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Après un échec inédit au premier tour de scrutin au Parlement, Friedrich Merz a finalement été élu ce mardi. Cette journée témoigne de la fragilité de la coalition. Friedrich Merz, chancelier fragilisé ?Le chancelier prend ses fonctions avec une courte marge de manœuvre politique et des défis majeurs à relever : redresser l'économie allemande en récession depuis deux ans, accélérer le soutien à l'Ukraine et la construction de l'autonomie européenne, dans un monde en plein bouleversement géopolitique sous pression de l'administration Trump. Il est également très attendu sur la relance du tandem franco-allemand et sera à Paris mercredi, avant de se rendre à Varsovie.Invitée : Marie Krpata, chercheuse au Comité d'études des relations franco-allemandes (Cerfa) à l'Ifri, Institut français des relations internationales.Reportage à Berlin où les investissements promis pour remettre les infrastructures en état sont très attendus par les habitants. Salomé Hénon Cohin.À lire aussiAllemagne : Friedrich Merz finalement élu chancelier après un second tour historiqueAlbanie : le Premier ministre Edi Rama, au pouvoir depuis 12 ans, vise un quatrième mandatLes législatives ont lieu dimanche 11 mai et l'actuelle majorité socialiste part favorite. Principale promesse de campagne d'Edi Rama : l'adhésion du pays à l'Union européenne. Mais le chef du gouvernement reste très critiqué par ses opposants qui l'accusent de corruption et de dérive mafieuse. Reportage à Tirana, Louis Seiller.Pays Baltes : Soviet Jeans une série venue de LettoniePrimée au festival Série Mania, elle sera visible sur la chaine Arte à partir du 8 mai. À la fin des années 1970, alors que la pérestroïka est encore loin, un fan de rock réussit à mettre en place une fabrique clandestine de jeans dans un hôpital psychiatrique. Marielle Vitureau a rencontré le scénariste et le réalisateur de Soviet Jeans.
Après un échec inédit au premier tour de scrutin au Parlement, Friedrich Merz a finalement été élu ce mardi. Cette journée témoigne de la fragilité de la coalition. Friedrich Merz, chancelier fragilisé ?Le chancelier prend ses fonctions avec une courte marge de manœuvre politique et des défis majeurs à relever : redresser l'économie allemande en récession depuis deux ans, accélérer le soutien à l'Ukraine et la construction de l'autonomie européenne, dans un monde en plein bouleversement géopolitique sous pression de l'administration Trump. Il est également très attendu sur la relance du tandem franco-allemand et sera à Paris mercredi, avant de se rendre à Varsovie.Invitée : Marie Krpata, chercheuse au Comité d'études des relations franco-allemandes (Cerfa) à l'Ifri, Institut français des relations internationales.Reportage à Berlin où les investissements promis pour remettre les infrastructures en état sont très attendus par les habitants. Salomé Hénon Cohin.À lire aussiAllemagne : Friedrich Merz finalement élu chancelier après un second tour historiqueAlbanie : le Premier ministre Edi Rama, au pouvoir depuis 12 ans, vise un quatrième mandatLes législatives ont lieu dimanche 11 mai et l'actuelle majorité socialiste part favorite. Principale promesse de campagne d'Edi Rama : l'adhésion du pays à l'Union européenne. Mais le chef du gouvernement reste très critiqué par ses opposants qui l'accusent de corruption et de dérive mafieuse. Reportage à Tirana, Louis Seiller.Pays Baltes : Soviet Jeans une série venue de LettoniePrimée au festival Série Mania, elle sera visible sur la chaine Arte à partir du 8 mai. À la fin des années 1970, alors que la pérestroïka est encore loin, un fan de rock réussit à mettre en place une fabrique clandestine de jeans dans un hôpital psychiatrique. Marielle Vitureau a rencontré le scénariste et le réalisateur de Soviet Jeans.
C'est le troisième dirigeant allemand avec lequel Emmanuel Macron va travailler : Friedrich Merz sera officiellement élu chancelier, ce mardi 6 mai, par les députés du Bundestag. Dès le lendemain, comme le veut la tradition, il effectuera son premier voyage à l'étranger à Paris. Une première étape pour ce nouveau couple franco-allemand, qui aspire à redevenir un véritable moteur pour l'Union européenne, face aux hostilités américaines de Donald Trump et après plus de trois ans d'invasion russe en Ukraine. Alors quelle relation Emmanuel Macron et Friedrich Merz vont-ils entretenir ? Quelles avancées les Européens peuvent-ils espérer ? Et quelles limites les deux dirigeants rencontreront-ils dans leurs ambitions ? Avec : - Paul Maurice, secrétaire général du Comité d'études des relations franco-allemandes (Cerfa) à l'Ifri.
durée : 00:59:30 - Affaires étrangères - par : Christine Ockrent - Friedrich Merz sera élu chancelier le 6 mai prochain en Allemagne. Son investiture marque-elle un nouvel élan pour l'Europe ? Quelles seront désormais les relations entre Berlin et Washington ? - réalisation : Luc-Jean Reynaud - invités : Daniela Schwarzer Politologue, membre du directoire de la Fondation Bertelsmann et du conseil d'administration de l'Institut Jacques-Delors; Marie Krpata Chercheuse au Comité d'études des relations franco-allemandes (Cerfa) à l'Ifri; Paul Maurice Secrétaire général du Comité d'études des relations franco-allemandes (Cerfa) à l'IFRI; Martin Baloge Enseignant-chercheur à l'Université Catholique de Lille
durée : 00:03:40 - La politique avec - Les députés discuteront cet après-midi du projet de loi sur la simplification économique. Lors de la préparation du texte, les élus ont abordé l'épineuse question des formulaires administratifs.
durée : 00:12:52 - Les Enjeux internationaux - par : Guillaume Erner - Hier, en Allemagne, le Bundestag a donné son feu vert à la levée du « frein à l'endettement », une mesure constitutionnelle limitant les capacités d'investissement du pays. - réalisation : Félicie Faugère - invités : Marie Krpata Chercheuse à l'IFRI rattachée au Centres d'études franco-allemandes (Cerfa)
durée : 00:58:45 - Entendez-vous l'éco ? - par : Aliette Hovine, Bruno Baradat - Première usine de Tesla en Europe, la Gigafactory de Berlin enchaîne les controverses sur fond de difficultés économiques. Si elle sanctionne les connivences politiques d'Elon Musk, la baisse des ventes qui affecte le constructeur reflète surtout l'enrayement structurel du “modèle Tesla”. - réalisation : Françoise Le Floch - invités : Bernard Jullien Maître de conférence en économie à l'Université de Bordeaux, spécialiste de l'industrie automobile ; Marie Krpata Chercheuse à l'IFRI rattachée au Centres d'études franco-allemandes (Cerfa)
Spéciale élections allemandes avec Paul Maurice, secrétaire général du Comité d'études des relations franco-allemandes (Cerfa) à l'IFRI.
Reportage officiel de notre 20ᵉ mission solidarité Israël ! Un grand repas grillade offert à 400 soldats de Tsahal, accompagné de la remise de 30 paires de Téfilines, dédiée à la 30ᵉ Hiloula du Rabbi de Loubavitch, s'est tenue en plein cœur de la guerre contre le Hamas, en janvier 2025 (Tevet 5785).Participez à cette magnifique et inestimable mitzva en cliquant ici: https://don-chabad77.org/israel (Cerfa instantané).Merci & Am Israel Hai !Rav Yossi & Tzal'ha AMARHabad Loubavitch 77
Friedrich Merz, 69 ans, catholique millionnaire marié depuis plus de 40 ans à une juriste et père de trois enfants, devrait devenir le prochain chancelier allemand. Décrit comme impulsif et exigeant par les médias allemands, le chef des conservateurs prêche un retour aux "valeurs traditionnelles" et un renversement complet de la politique migratoire héritée de l'ancienne chancelière Angela Merkel. En matière géopolitique, il souhaite que l'Allemagne retrouve son rôle de leader au sein d'une Union Européenne unie face à Washington, tout en cultivant de bonnes relations avec les Etats-Unis, le premier partenaire commercial du pays. Avec Paul Maurice, Secrétaire général du Comité d'études des relations franco-allemandes (Cerfa) à l'Ifri. Réalisation : Camille KauffmannSur le Fil est le podcast quotidien de l'AFP. Vous avez des commentaires ? Ecrivez-nous à podcast@afp.com. Vous pouvez aussi nous envoyer une note vocale par Whatsapp au + 33 6 79 77 38 45. Si vous aimez, abonnez-vous, parlez de nous autour de vous et laissez-nous plein d'étoiles sur votre plateforme de podcasts préférée pour mieux faire connaître notre programme Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Dimanche, l'Allemagne élit ses députés. C'est la composition du parlement, le Bundestag, qui déterminera qui sera le nouveau chancelier de la première économie de l'Europe, actuellement divisée par la montée de l'extrême droite et fragilisée par le retour au pouvoir de Donald Trump.Les dernières attaques commises par des demandeurs d'asile, y compris la semaine dernière à Munich, a mis le thème de l'immigration en tête des préoccupations de tous les partis politiques allemands, et pas seulement de l'extrême droite. Ce scrutin intervient aussi dans un contexte économique difficile : le pays entre dans sa 3ème année de récession et les annonces de suppressions de poste dans l'industrie s'enchaînent. Un sentiment de déclin économique qui profite surtout à l'extrême droite de l'Alternative pour l'Allemagne (AfD), donné en deuxième position dans les sondages.Avec Pierrick Yvon, journaliste au bureau de l'AFP à Berlin et Jeanette Süss, chercheuse au Comité d'études des relations franco-allemandes (Cerfa) à l'Institut français des relations internationales (Ifri). Réalisation : Camille Kauffmann Sur le Fil est le podcast quotidien de l'AFP. Vous avez des commentaires ? Ecrivez-nous à podcast@afp.com. Vous pouvez aussi nous envoyer une note vocale par Whatsapp au + 33 6 79 77 38 45. Si vous aimez, abonnez-vous, parlez de nous autour de vous et laissez-nous plein d'étoiles sur votre plateforme de podcasts préférée pour mieux faire connaître notre programme Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
C Politique du dimanche 16 février 2025. Débat : Europe - États-Unis : la guerre idéologique ? avec - Thomas WIEDER, Rédacteur en chef adjoint du service international au Monde, ancien correspondant en Allemagne pour Le Monde- Paul MAURICE, Secrétaire général du Comité d'études des relations franco-allemandes (Cerfa) à l'Ifri- Géraldine SCHWARZ, Journaliste, autrice de «D'où nous venons. Ce qui nous unit, ce qui nous divise » aux éditions Flammarion (16.10.24) et « Les Amnésiques » aux éditions Flammarion (20.09.17)- Christian SALMON, EcrivainAuteur de L'empire du discredit, octobre 2024, Les Liens qui Libèrent- Hélène MIARD-DELACROIX, Professeure d'histoire et de civilisation allemande à la Faculté des Lettres Sorbonne Université
Regard sur le pays le plus peuplé de l'Union européenne, avec près de 85 millions d'habitants, qui se trouve, depuis sa réunification en 1990 et les élargissements de l'Union européenne dix ans plus tard, au cœur, voire au centre de l'Europe. Devenue le modèle de « l'ExportNation » innovante et agile, l'Allemagne occupe le troisième rang mondial des puissances économiques, derrière les États-Unis et la Chine et devant le Japon avec un PIB par habitant 1,2 fois plus élevé que la moyenne de l'Union européenne. Mais le retour de la guerre sur le continent européen a provoqué un électrochoc. Le modèle d'une Allemagne « nain politique et géant économique » installée dans un pacifisme de principe à l'abri du parapluie américain a vacillé. Une mue est en train de s'opérer. L'augmentation du budget de la défense ou la définition d'une stratégie de sécurité nationale témoignent de la volonté de Berlin d'inaugurer une ère nouvelle. Les élections anticipées du 23 février prochain sont un scrutin d'importance pour les choix à venir du pays. Le favori de ce rendez-vous politique est Friedrich Merz, candidat de l'Union chrétienne-démocrate, la CDU. Sa principale adversaire est la candidate du parti d'extrême droite, l'AFD, qui fait figure de deuxième formation la plus populaire de ces élections. L'AFD n'a toutefois aucune chance de gouverner, aucun parti ne souhaitant former de coalition avec elle. Une future coalition entre la CDU et le SPD du chancelier sortant Olaf Scholz fait en revanche partie des possibles. Claire Demesmay, chercheuse associée au Centre Marc-Bloch à Berlin et professeure à la chaire Alfred-Grosser de Sciences Po. Sabine Jansen, professeur au CNAM, Centre National des Arts et Metiers. Corédactrice en chef de la revue Questions Internationales. Hans Stark, professeur de civilisation allemande contemporaine à Sorbonne Université. Conseiller pour les relations franco-allemandes à l'IFRI et secrétaire général du Comité d'Études des relations franco-allemandes, le CERFA. Édition en partenariat avec la revue Questions Internationales - Allemagne Changement d'époque.
Dimanche 23 février, les électeurs allemands voteront dans le cadre des élections fédérales anticipées suite à l'éclatement de la coalition « feu tricolore » emmenée par Olaf Scholz. Un scrutin qui pourrait bien rester dans les annales de la politique allemande, car si l'on en croit les sondages, l'AfD, l'Alternative pour l'Allemagne, formation d'extrême droite, pourrait devenir la deuxième force politique du pays. Un changement brutal après la chute du gouvernement d'Olaf Scholz, tête de liste du parti social-démocrate pour ces élections, pris de cours durant son mandat par un contexte géopolitique aux multiples impacts pour un pays qui voit ses certitudes s'effondrer les unes après les autres. Ces élections pourraient bien marquer la fin de la carrière politique d'Olaf Scholz. À soixante-six ans, le chancelier sortant, ancien ministre des Finances dans le dernier gouvernement d'Angela Merkel, qui fut également maire de Hambourg entre 2011 et 2019, pourrait bien tirer sa révérence si sa formation, le SPD, le Parti social-démocrate, subit une défaite historique, ce que prédisent les sondages.Une coalition vouée à l'échecIl faut dire que la coalition « feu tricolore » qu'il dirigeait, avec le Parti social-démocrate, les Verts et le Parti libéral-démocrate, était plus ou moins vouée à l'échec, surtout dans un contexte de crises énergétique, économique et géopolitique. « C'était une coalition un peu contre-nature, estime Étienne Dubslaff, docteur en civilisation allemande et en histoire contemporaine et maître de conférences à l'Université Paris Nanterre. Il y a bien certains points communs, notamment dans la politique sociétale — ce sont trois partis plutôt libéraux somme toute, ils sont favorables par exemple au mariage gay ou encore plus ou moins favorables à la légalisation du cannabis. C'est anecdotique, mais néanmoins, ça joue quand même un rôle. Donc, là-dessus, ces trois partis pouvaient tout à fait s'entendre. En revanche, il y a toujours eu de graves dissensions, notamment entre les Verts et les Libéraux, autour des questions économique et financière. »Le déficit public : un verrou qui a eu raison de la coalitionEt ce sont justement ces questions d'ordre économique et financière qui ont fait imploser la coalition. Les sociaux-démocrates et les Verts souhaitaient faire sauter le verrou de la dette publique, un thème tabou en Allemagne. Mais mettre fin à ce verrou était indispensable, selon Olaf Scholz, pour relancer l'économie allemande, qui pourrait connaître une troisième année de récession en 2025, ce qui serait une première.Mais son ministre des Finances, également chef du FDP, le parti libéral, était totalement opposé à cette idée contraire aux principes de son parti. Et c'est ce point de crispation qui a fait éclater en novembre dernier la coalition « feu tricolore ». Une situation dont n'est pas vraiment responsable Olaf Scholz, détaille Marie Krpata, chercheuse au Cerfa, le Comité d'études des relations franco-allemandes à l'Ifri : « Avant lui, Angela Merkel a été au pouvoir pendant seize ans. Et un certain nombre de décisions ont été prises qui finalement ont fragilisé l'Allemagne. Et cela ne date pas d'Olaf Scholz en tant que chancelier, puisqu'en effet, la dépendance par rapport à la Russie sur le plan énergétique, c'était bien avant Olaf Scholz. Sous Angela Merkel aussi, il y a eu un sous-investissement dans l'armée allemande et aujourd'hui, on se rend compte de l'impact négatif que cela peut avoir. Alors effectivement, les sociaux-démocrates ont aussi été au gouvernement sous Angela Merkel, mais il est un peu trop simple de dire que la faute finalement est celle d'Olaf Scholz. »À écouter dans DécryptageÉconomie, politique: la fin du modèle allemand?Olaf Scholz : un candidat hors sujet ?Fini donc la coalition « feu tricolore », et pourtant, Olaf Scholz décide malgré tout de prendre la tête de la liste du SPD pour les prochaines élections. Mais le problème, c'est que les thèmes qui lui sont chers ne sont pas les thèmes qui dominent la campagne électorale. L'Allemagne a besoin de relancer son économie, d'investir dans des secteurs clés selon lui, mais ce sont d'autres questions qui dominent les débats, comme l'explique Marie Krpata : « Le thème de l'immigration est aujourd'hui un des thèmes phares de cette campagne électorale, qui plus est après un certain nombre d'attaques au couteau et différents attentats qu'il y a pu y avoir précédemment. Ce sujet de l'immigration et ce sujet de la sécurité aujourd'hui domine cette campagne électorale, même si, évidemment, la question de l'économie, de la compétitivité joue un rôle, mais aussi l'ingérence étrangère, avec Elon Musk qui soutient l'AfD effectivement. » Alors, bien que donné vainqueur après le premier débat face à Friedrich Merz, le chef des chrétiens-démocrates, et donc tête de liste de la CDU-CSU, Olaf Scholz, ne devrait pas être reconduit pour un éventuel gouvernement Scholz 2. L'ancien maire de Hambourg devrait donc quitter la scène politique prochainement, laissant derrière lui un parti social-démocrate qui pourrait bien mettre des années à se remettre d'un score qui s'annonce comme le plus mauvais de son histoire.À lire aussiLégislatives allemandes: la stratégie périlleuse du favori des sondages Friedrich Merz
durée : 00:57:58 - Cultures Monde - par : Julie Gacon, Mélanie Chalandon - Le 27 février 2022, 3 jours après le début de l'offensive russe, Olaf Scholz affirmait que l'Allemagne vivait un “changement d'époque”, devant mener à une reconfiguration de la politique étrangère allemande. Mais cette évolution semble inachevée et des désaccords persistent. - réalisation : Vivian Lecuivre - invités : Hans Stark Professeur de civilisation allemande contemporaine à Sorbonne Université, conseiller pour les relations franco-allemandes à l'IFRI; Marie Krpata Chercheuse à l'IFRI rattachée au Centres d'études franco-allemandes (Cerfa); Claire Demesmay Chercheuse associée au Centre March Bloch à Berlin et professeure à la chaire Alfred Grosser de Sciences Po
L'avenir proche de l'Allemagne, ce sont les élections législatives qui sont prévues le 23 février 2025. Un scrutin qui est observé de très près tant les enjeux sont importants. D'abord politiquement. Le parti d'extrême droite Afd ne cesse de monter. Il est annoncé en 2è position et cela s'inscrit dans un contexte économique très difficile puisque l'Allemagne sort de 2 ans de récession. L'Allemagne peut-elle retrouver son leadership européen ? Car historiquement, l'Allemagne est un poids lourd du Vieux Continent, mais le poids est de moins en moins lourd, donc jusqu'où ira la dérive, comment l'Allemagne peut-elle se relancer ? Pour en débattre- Jacques-Pierre Gougeon, professeur des Universités, directeur de recherche à l'Iris, auteur de « L'Allemagne, un enjeu pour l'Europe », éditions Eyrolles- Marie Krpata, chercheuse au Comité d'études des Relations franco-allemandes (CERFA) à l'Institut français des Relations internationales de l'UE.
L'avenir proche de l'Allemagne, ce sont les élections législatives qui sont prévues le 23 février 2025. Un scrutin qui est observé de très près tant les enjeux sont importants. D'abord politiquement. Le parti d'extrême droite Afd ne cesse de monter. Il est annoncé en 2è position et cela s'inscrit dans un contexte économique très difficile puisque l'Allemagne sort de 2 ans de récession. L'Allemagne peut-elle retrouver son leadership européen ? Car historiquement, l'Allemagne est un poids lourd du Vieux Continent, mais le poids est de moins en moins lourd, donc jusqu'où ira la dérive, comment l'Allemagne peut-elle se relancer ? Pour en débattre- Jacques-Pierre Gougeon, professeur des Universités, directeur de recherche à l'Iris, auteur de « L'Allemagne, un enjeu pour l'Europe », éditions Eyrolles- Marie Krpata, chercheuse au Comité d'études des Relations franco-allemandes (CERFA) à l'Institut français des Relations internationales de l'UE.
L'émission 28 minutes du 04/02/2025 L'Allemagne peut-elle basculer dans le camp de l'extrême droite ?Dimanche 2 février, plus de 160 000 Allemands selon les chiffres de la police, et 250 000 d'après les organisateurs, se sont réunis à Berlin pour protester contre l'alliance de circonstance nouée entre le parti de droite CDU (Chrétiens-Démocrates) et le parti d'extrême droite AfD (Alternative für Deutschland). Le président de la CDU Friedrich Merz a fait voter au Bundestag, mercredi 29 janvier, une motion non contraignante sur l'immigration en s'appuyant sur les voix du parti d'Alice Weidel (AfD). Cette motion prévoit des contrôles permanents aux frontières, ainsi que le blocage des étrangers en situation irrégulière, y compris les demandeurs d'asile. Une proposition de loi sur l'immigration a ensuite été débattue vendredi 31 janvier, mais Friedrich Merz a, cette fois-ci, essuyé un revers. À moins de trois semaines des législatives, l'écart sur les intentions de vote se resserre entre les deux partis, avec 30 % pour le parti de centre-droit en tête des sondages, contre 20 à 22 % pour le parti d'extrême droite. Friedrich Merz s'est attiré les foudres de la gauche mais aussi d'une partie de son camp, à commencer par la figure tutélaire des conservateurs, l'ex-chancelière Angela Merkel. Mais c'est surtout la société allemande qui a fait entendre sa colère tout le week-end, dans plusieurs grandes villes du pays, pour dénoncer un “pacte avec le diable”.On en débat avec Birgit Holzer, correspondante pour la presse régionale allemande à Paris, Hélène Miard-Delacroix, historienne et spécialiste de l'Allemagne et Paul Maurice, secrétaire général du Comité d'études des relations franco-allemandes (Cerfa).28 minutes est le magazine d'actualité d'ARTE, présenté par Élisabeth Quin du lundi au jeudi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le vendredi et le samedi. Ce podcast est coproduit par KM et ARTE Radio. Enregistrement 4 février 2025 Présentation Élisabeth Quin Production KM, ARTE Radio
Alors que la coalition tricolore d'Olaf Scholz s'est effondrée, précipitant ainsi des élections législatives le 23 février prochain, l'Allemagne s'enfonce dans une profonde crise politique, sociale et économique sans précédent pour la première économie de l'Union européenne. Même Volkswagen, le symbole de la prospérité allemande, envisage de fermer trois de ses usines dans le pays, une véritable première. L'Allemagne, en plein déclin économique, est sous la menace d'une deuxième récession annuelle d'affilée, sur fond de hausse du chômage. Le pays est-il « Kaput » comme s'en inquiètent les éditorialistes allemands ? Le fameux « modèle allemand » est-il irrémédiablement cassé ? L'Allemagne va-t-elle devenir « l'homme malade de l'Union européenne » ?Avec nos invités : Marie Krpata, chercheuse au Comité d'études des relations franco-allemandes (Cerfa) à l'Ifri Nils Schmid, député, porte-parole du SPD pour la politique étrangère
durée : 00:59:00 - Entendez-vous l'éco ? - par : Aliette Hovine, Bruno Baradat - Ford, Volkswagen, Michelin, les annonces de fermetures d'usines liées au secteur de l'automobile se multiplient en Europe. Derrière les symboles que sont les constructeurs historiques européens, c'est un réseau de milliers de sous-traitants qui se retrouvent plongés dans la crise sur le continent. - réalisation : Françoise Le Floch - invités : Elvire Fabry Chercheuse senior sur la géopolitique du commerce à l'Institut Jacques Delors; Tommaso Pardi Codirecteur du GIS Gerpisa (Groupe d'Etudes et de Recherche Permanent sur l'Industrie et les Salariés de l'Automobile) à l'ENS Cachan; Marie Krpata Chercheuse à l'IFRI, au comité d'études des relations franco-allemandes (Cerfa)
96% des voix en sa faveur : c'est le score presque unanime récolté par Robert Habeck pour devenir le candidat des écologistes allemands aux élections fédérales qui auront lieu en février prochain. Mais le ministre sortant de l'Économie et du Climat aura un sacré défi à relever : relancer un parti écologiste en plein doute à trois mois de ces élections anticipées. C'est plein d'ambition que Robert Habeck se lance dans cette campagne électorale… même si, pour l'heure, les Verts sont plutôt à la traîne dans les sondages. Les « Grünen » sont crédités de 10 à 12 % des voix, en repli très net par rapport aux dernières élections.Robert Habeck en est conscient, mais il dispose de plusieurs atouts pour tenter de remonter la pente : il a du charisme, il est très à l'aise sur les tribunes électorales comme sur les plateaux télévisés, et il a des convictions environnementales fortes sans être dogmatique. « C'est quelqu'un qui sait écouter et qui sait aussi reconnaître des erreurs ont été faites », décrypte Éric-André Martin, spécialiste de la vie politique allemande et ancien secrétaire général du Comité d'études des relations franco-allemandes (Cerfa). « Je prendrai comme exemple la loi sur le chauffage domestique de 2023, qui avait suscité beaucoup d'oppositions et de réticences dans la population. Il a su reconnaître que ce n'était pas le moment et il a su reculer. Il a des convictions très fortes sur la transition énergétique et sur l'opposition au nucléaire, mais c'est quelqu'un qui sait quand même ménager les sensibilités. »Un « super-ministère » de l'Économie et du ClimatAvant de se lancer en politique, Robert Habeck a été professeur de philosophie et écrivain à succès. C'est à l'âge de 33 ans, au début des années 2000, qu'il décide de s'engager auprès des Verts pour une raison très simple : il n'y a pas de piste cyclable dans son quartier ! Dix ans plus tard, il devient ministre de la Transition énergétique dans la région septentrionale du Schleswig-Holstein. Il échoue à deux reprises pour devenir le candidat des Verts à la chancellerie, mais il devient ministre de l'Économie et du Climat et numéro deux du gouvernement lors de la victoire de la coalition « tricolore » en 2021.Ses objectifs sont alors très ambitieux pour la transition énergétique de l'Allemagne, mais tout sera chamboulé en 2022 lorsque la Russie envahit l'Ukraine. « La conséquence de la guerre en Ukraine, ça a été de priver l'Allemagne du gaz russe, un gaz bon marché, ce qui a fortement perturbé le calcul politique et économique qui avait été fait au départ », rappelle Éric-André Martin. « Robert Habeck a su réagir en faisant preuve de pragmatisme puisqu'il a très vite entamé une tournée auprès des pays qui pourraient suppléer au gaz russe. Il est notamment allé dans les pays du Golfe pour essayer de conclure des contrats d'approvisionnement en gaz et, dans ce dossier, il a fait preuve d'un très grand réalisme. »À lire aussiL'Allemagne «court à la pénurie de gaz», alerte le ministre de l'ÉconomieCoalition avec la CDU ? Ce réalisme lui a été vivement reproché par la gauche du parti écologiste allemand, mais il lui permet aussi aujourd'hui de courtiser les électeurs centristes – et même d'envisager, ce qui paraitrait impensable en France, une coalition de gouvernement non pas avec les socialistes, mais avec la CDU, le parti conservateur qui devrait arriver en tête du prochain scrutin…Une ambition réaliste et même souhaitable aux yeux de Daniel Cohn-Bendit, l'ancien eurodéputé écologiste qui a assisté le week-end dernier au Congrès des Verts allemands à Wiesbaden. « Cette coalition serait un compromis historique pour faire passer la transition écologique et pour faire passer une position migratoire qui tienne compte des angoisses de la population, mais qui respecte le droit international. Je crois que c'est un défi intéressant et que Robert Habeck, par sa personnalité et son intelligence, est le personnage pour arriver à ce genre de coalition. »À lire aussiCongrès des Verts en Allemagne: des divisions sur la question migratoireBien entendu, Robert Habeck suscite l'hostilité d'une bonne partie de la droite allemande en raison de ses convictions écologiques – et pour la base militante de la CDU, il est en grande partie responsable des difficultés actuelles de l'économie allemande. Mais, sur d'autres sujets, il peut trouver des points de convergence, notamment sur l'aide militaire à l'Ukraine, dont il est un farouche partisan. « Il a été le premier à dire qu'il fallait livrer des armes à Kiev, lors de la dernière campagne électorale en 2021 », pointe Daniel Cohn-Bendit. « À l'époque, tout le monde lui est tombé dessus au sein de son propre parti et de l'ensemble de la classe politique allemande – y compris la CDU… Et c'est lui qui avait raison ! » Officiellement, Robert Habeck affirme qu'il vise la chancellerie, mais c'est un objectif hors de portée pour les Verts. Son objectif sera en réalité de talonner ou même de dépasser le SPD lors du scrutin de février.Avec un espoir : rester au gouvernement pour continuer sur la voie de la transition énergétique. Car, malgré la guerre en Ukraine et les très fortes turbulences économiques rencontrées par l'Allemagne, le pays a tenu son objectif de faire monter la part de renouvelables dans son « mix énergétique », en le faisant passer de 42% en 2021 à plus de 50% en 2023.À écouter dans Grand reportageBerlin, ville éponge: sur la voie de l'adaptation au changement climatique
« Je ne regretterai certainement pas d'avoir proposé des compromis jusqu'au dernier jour commun de cette coalition gouvernementale ». Le chancelier allemand Olaf Scholz s'exprimait ce mercredi devant les députés du Bundestag, six jours après l'éclatement de la coalition au pouvoir. Un mode de gouvernance dont l'Allemagne est pourtant experte puisque depuis 1949 aucun parti n'a dirigé seul le pays.Est-ce la fin d'un modèle ? A l'image de la France qui n'est pas parvenu à former une coalition, les antagonismes politiques sont-ils devenus si forts qu'aucun compromis n'est désormais possible ? Pour en débattre :- Pascale Joannin, directrice générale de la Fondation Robert Schuman- Patrick Martin Genier, enseignant à Sciences Po, spécialiste des questions européennes, auteur du livre L'Europe a-t-elle un avenir, aux éditions Studyrama- Paul Maurice, secrétaire général du Comité d'études des relations franco-allemandes (Cerfa) à l'Institut français des Relations internationales. Auteur d'une étude à l'IFRi Trente-cinq ans après la chute du mur de Berlin : à l'Est, quoi de nouveau ?
« Je ne regretterai certainement pas d'avoir proposé des compromis jusqu'au dernier jour commun de cette coalition gouvernementale ». Le chancelier allemand Olaf Scholz s'exprimait ce mercredi devant les députés du Bundestag, six jours après l'éclatement de la coalition au pouvoir. Un mode de gouvernance dont l'Allemagne est pourtant experte puisque depuis 1949 aucun parti n'a dirigé seul le pays.Est-ce la fin d'un modèle ? A l'image de la France qui n'est pas parvenu à former une coalition, les antagonismes politiques sont-ils devenus si forts qu'aucun compromis n'est désormais possible ? Pour en débattre :- Pascale Joannin, directrice générale de la Fondation Robert Schuman- Patrick Martin Genier, enseignant à Sciences Po, spécialiste des questions européennes, auteur du livre L'Europe a-t-elle un avenir, aux éditions Studyrama- Paul Maurice, secrétaire général du Comité d'études des relations franco-allemandes (Cerfa) à l'Institut français des Relations internationales. Auteur d'une étude à l'IFRi Trente-cinq ans après la chute du mur de Berlin : à l'Est, quoi de nouveau ?
durée : 00:35:27 - Cultures Monde - par : Mélanie Chalandon, Julie Gacon - L'Allemagne est sous le choc après les annonces par le comité d'entreprise de Volkswagen de possibles fermetures d'usines et de réduction des effectifs. En grande difficulté, le fleuron de l'industrie automobile met le gouvernement allemand, déjà miné par les divisions, au pied du mur. - réalisation : Margot Page - invités : Marie Krpata Chercheuse à l'IFRI, au comité d'études des relations franco-allemandes (Cerfa); Jacques-Pierre Gougeon Spécialiste de l'Allemagne contemporaine, professeur des universités, directeur de recherche à l'IRIS, directeur de l'Observatoire de l'Allemagne et ancien conseiller culturel en Allemagne; Marc Semo Correspondant diplomatique du Monde
durée : 00:58:02 - Cultures Monde - par : Mélanie Chalandon - Comme chaque vendredi, une émission d'actualité en deux parties : zoom sur le Nigéria, avec le documentaire "Coconut Head Generation" du réalisateur Alain Kassanda ; suivi d'une table-ronde d'actualité consacrée à l'Allemagne, secouée par l'annonce de potentielles fermetures d'usines automobiles. - réalisation : Margot Page - invités : Alain Kassanda Cinéaste et réalisateur; Marie Krpata Chercheuse à l'IFRI, au comité d'études des relations franco-allemandes (Cerfa); Jacques-Pierre Gougeon Spécialiste de l'Allemagne contemporaine, professeur des universités, directeur de recherche à l'IRIS, directeur de l'Observatoire de l'Allemagne et ancien conseiller culturel en Allemagne
durée : 00:58:02 - Cultures Monde - par : Mélanie Chalandon - Comme chaque vendredi, une émission d'actualité en deux parties : retour de terrain avec Antoine Védeilhé qui a couvert la répression à Hong Kong, suivi d'une table-ronde d'actualité sur l'avenir de la diplomatie française. - réalisation : Vivian Lecuivre - invités : Marie Krpata Chercheuse à l'IFRI, au comité d'études des relations franco-allemandes (Cerfa); Denis Bauchard Conseiller pour le Moyen-Orient à l'Institut français de relations internationales (IFRI), ancien diplomate, ancien directeur d'Afrique du Nord et du Moyen-Orient au ministère des Affaires étrangères; Antoine Vedeilhé Journaliste, producteur et réalisateur de reportages et de documentaires
durée : 00:34:55 - Cultures Monde - par : Mélanie Chalandon - À la tribune de l'ONU, le 25 septembre, le Président français a, sans succès, exhorté Israël et le Hezbollah à faire taire les armes. La voix de la France est-elle encore audible ? Quelle sera la feuille de route du nouveau Ministre des Affaires étrangères ? Quels seront ses leviers d'action ? - réalisation : Vivian Lecuivre - invités : Marie Krpata Chercheuse à l'IFRI, au comité d'études des relations franco-allemandes (Cerfa); Denis Bauchard Conseiller pour le Moyen-Orient à l'Institut français de relations internationales (IFRI), ancien diplomate, ancien directeur d'Afrique du Nord et du Moyen-Orient au ministère des Affaires étrangères; Marc Semo Correspondant diplomatique du Monde
durée : 01:02:08 - Affaires étrangères - par : Christine Ockrent - Après la remise très attendue du rapport Draghi, quel diagnostic sur l'état de l'Union européenne aujourd'hui ? Quelles capacités de rebond et quels défis en perspective ? - réalisation : Luc-Jean Reynaud - invités : Olivier Costa Directeur de recherche CNRS au CEVIPOF, spécialiste des institutions et politiques de l'Union européenne et de la représentation parlementaire; Agathe Demarais Économiste, Responsable des travaux du Conseil Européen pour les Relations Internationales (ECFR) dans le domaine de la géoéconomie; Jean-Dominique Giuliani Président de la Fondation Robert Schuman et Président de l'ILERI (Institut Libre d'Etudes des Relations Internationales); Paul Maurice Secrétaire général du Comité d'études des relations franco-allemandes (Cerfa) à l'IFRI
Deux élections régionales ont lieu aujourd'hui en Allemagne, en Saxe et en Thuringe, deux Landers de l'ex-RDA. Quels sont les enjeux de ces deux scrutins dans lesquelles le parti d'extrême droite AfD est donné largement victorieux, et leurs impacts sur le paysage politique allemand à un an des élections législatives ? Paul Maurice, secrétaire général du Comité d'études des relations franco-allemandes (Cerfa) à l'Institut français des relations internationales (Ifri), est notre invité international de la mi-journée. À lire aussiÉlections régionales en Allemagne: le parti d'extrême droite AfD attendu en tête en Thuringe
durée : 00:58:23 - Cultures Monde - par : Julie Gacon, Mélanie Chalandon - En votant l'interdiction de la vente des moteurs thermiques d'ici à 2035, l'Union européenne a obligé les constructeurs du continent à miser sur la voiture électrique. Mais entre concurrence chinoise et réticences de certains géants allemands de l'automobile, quel sera le coût la transition ? - invités : Tommaso Pardi Codirecteur du GIS Gerpisa (Groupe d'Etudes et de Recherche Permanent sur l'Industrie et les Salariés de l'Automobile) à l'ENS Cachan; Anne-Sophie Alsif Cheffe économiste au cabinet d'Audit BDO ; Marie Krpata Chercheuse à l'IFRI, au comité d'études des relations franco-allemandes (Cerfa)
Au terme de ces élections européennes, l'heure est venue de faire le bilan dans ce dernier épisode d'Europa 2024. En France comme en Allemagne, les mêmes dynamiques ont agité le scrutin du 9 juin: victoire des conservateurs, léger recul des sociaux-démocrates, claque pour les libéraux et les écologistes, mais surtout progression de l'extrême droite. C'est donc une élection à analyser dans sa globalité, marquée par la sanction des partis au pouvoir.Pour en parler, Christophe Carron reçoit Olivier Costa, membre du Centre de recherches politiques de Sciences Po et spécialiste des institutions et politiques de l'Union européenne, ainsi que Jeanette Süß, chercheuse au Comité d'études des relations franco-allemandes (Cerfa) de l'Institut français des relations internationales (IFRI).Europa 2024 est un podcast IFRI-Cerfa-Slate produit et réalisé par Slate Podcasts.Direction éditoriale: Christophe CarronProduction éditoriale: Nina ParejaMontage: Johanna LalondeMusique: «Sunny Days» – Anno Domini BeatsIllustration: Aurélie Rodrigues
En 2019, le Pacte vert pour l'Europe était un enjeu central des élections européennes. Depuis, la guerre en Ukraine a remis en question nos politiques énergétiques en nous faisant prendre conscience de manière brutale de notre dépendance aux énergies fossiles russes et de notre retard en matière de développement des énergies renouvelables. Le conflit nous a aussi poussés à interroger l'abandon peut-être un peu trop rapide du nucléaire, supplanté en Allemagne par le recours massif au charbon pour produire de l'électricité.Que retenir de ce Pacte vert, mis en cause lors du mouvement des agriculteurs de l'hiver dernier, partout dans l'Union? Comment les partis écologistes défendent-ils la transition verte et ses coûts économiques et sociaux, face à des mouvements populistes qui instrumentalisent la protection de l'environnement et dénoncent une écologie dite punitive?On en parle avec la Dre Vanessa Jérome, sociologue et politiste, et Kévin Puisieux, directeur de la Fondation de l'écologie politique. Anna Deparnay-Grunenberg, eurodéputée écologiste franco-allemande, fait également une intervention.Pour couvrir la campagne en cours et décrypter les enjeux des élections européennes, ce rendez-vous démocratique si important et si souvent mal compris, nous nous retrouverons chaque semaine avec Jeanette Süß, chercheuse au Comité d'études des relations franco-allemandes (Cerfa) de l'Institut français des relations internationales (IFRI).À la présentation, Jeanette Süß, chercheuse au Comité d'études des relations franco-allemandes (Cerfa) de l'Institut français des relations internationales (IFRI), et Christophe Carron.Europa 2024 est un podcast IFRI-Cerfa-Slate produit et réalisé par Slate Podcasts.Direction éditoriale: Christophe CarronProduction éditoriale: Nina ParejaMontage: Johanna LalondeMusique: «Sunny Days» – Anno Domini BeatsIllustration: Aurélie Rodrigues
Les partis d'extrême droite et populistes ont le vent en poupe dans toute l'Europe. Inflation, afflux migratoires liés aux conflits en cours, bouleversement du modèle économique dans de nombreux États de l'union: le contexte est propice à un sentiment d'insécurité quant au maintien des acquis sociaux, ouvrant la voie aux discours populistes, souvent axés sur la question de la migration. Pour en parler, la Dre Ronja Kempin, chercheuse à la Stiftung Wissenschaft und Politik (SWP) à Berlin, ainsi que Martin Baloge, docteur en science politique, nous accompagnent dans cet épisode.Pour couvrir la campagne en cours et décrypter les enjeux des élections européennes, ce rendez-vous démocratique si important et si souvent mal compris, nous nous retrouverons chaque semaine avec Jeanette Süß, chercheuse au Comité d'études des relations franco-allemandes (Cerfa) de l'Institut français des relations internationales (IFRI).ArticlesPodcastsEuropéennes 2024: Jordan Bardella et le RN perdront-ils le sourire d'ici au 9 juin?Européennes 2024: Jordan Bardella et le RN perdront-ils le sourire d'ici au 9 juin?À la présentation, Jeanette Süß, chercheuse au Comité d'études des relations franco-allemandes (Cerfa) de l'Institut français des relations internationales (IFRI), et Christophe Carron.Europa 2024 est un podcast IFRI-Cerfa-Slate produit et réalisé par Slate Podcasts.Direction éditoriale: Christophe CarronProduction éditoriale: Nina ParejaMontage: Johanna LalondeMusique: «Sunny Days» – Anno Domini BeatsIllustration: Aurélie Rodrigues
Plus petit groupe du Parlement européen avec seulement trente-sept eurodéputés, la gauche européenne milite pour ce qu'elle appelle une autre Europe et s'oppose à une Union qu'elle décrit dans ses discours comme antidémocratique et trop libérale. Alors, quel projet politique porte cette gauche de la gauche en France et en Allemagne, en vue des élections du 9 juin?On en parle dans Europa 2024 avec Patrick Moreau, chercheur au CNRS et au Centre franco-autrichien pour le rapprochement en Europe, auteur d'une étude publiée par la Fondapol sur la nouvelle alliance autour de la figure montante de la gauche allemande Sahra Wagenknecht, et Simon Braun, doctorant en sciences politiques à l'université de Bonn en Allemagne.À la présentation, Jeanette Süß, chercheuse au Comité d'études des relations franco-allemandes (Cerfa) de l'Institut français des relations internationales (IFRI), et Christophe Carron.Europa 2024 est un podcast IFRI-Cerfa-Slate produit et réalisé par Slate Podcasts.Direction éditoriale: Christophe CarronProduction éditoriale: Nina ParejaMontage: Johanna LalondeMusique: «Sunny Days» – Anno Domini BeatsIllustration: Aurélie Rodrigues
À l'heure où chaque traité de libre-échange est vécu comme une menace pour les citoyens, où les États-Unis de Joe Biden jouent la carte du protectionnisme et de la réindustrialisation, où se situe l'Europe? Elle reste dépendante du monde entier, en particulier la Chine. Comment alors rassurer celles et ceux qui craignent pour leur job, leur salaire et leur pouvoir d'achat? Comment calmer l'inquiétude des agriculteurs, qui ont manifesté dans toute l'Union européenne en février dernier et dénoncé la libéralisation de leur secteur? Comment maintenir la promesse libérale du libre-échange en temps de crise?Pour en parler, Marie Krpata, chercheuse au Comité d'études des relations franco-allemandes (Cerfa) à l'IFRI, et Mathieu Solal, journaliste indépendant, collaborateur de Slate, auteur de la newsletter Blocs.Pour couvrir la campagne en cours et décrypter les enjeux des élections européennes, ce rendez-vous démocratique si important et si souvent mal compris, nous nous retrouverons chaque semaine avec Jeanette Süß, chercheuse au Comité d'études des relations franco-allemandes (Cerfa) de l'Institut français des relations internationales (IFRI).À la présentation, Jeanette Süß, chercheuse au Comité d'études des relations franco-allemandes (Cerfa) de l'Institut français des relations internationales (IFRI), et Christophe Carron.Europa 2024 est un podcast IFRI-Cerfa-Slate produit et réalisé par Slate Podcasts.Direction éditoriale: Christophe CarronProduction éditoriale: Nina ParejaMontage: Slate PodcastsMusique: «Sunny Days» – Anno Domini BeatsIllustration: Aurélie Rodrigues
Dans ce troisième épisode d'Europa 2024, nous parlons de l'«Europe qui protège», de cette idée d'Europe sociale avec Étienne Dubslaff, maître de conférences en études germaniques et auteur de l'ouvrage Oser plus de social-démocratie (2019), et Benjamin Schreiber, chercheur de la fondation Friedrich-Ebert, fondation politique allemande proche du SPD, le Parti social-démocrate d'Allemagne.Pour couvrir la campagne en cours et décrypter les enjeux des élections européennes, ce rendez-vous démocratique si important et si souvent mal compris, nous nous retrouverons chaque semaine avec Jeanette Süß, chercheuse au Comité d'études des relations franco-allemandes (Cerfa) de l'Institut français des relations internationales (IFRI).À la présentation, Jeanette Süß, chercheuse au Comité d'études des relations franco-allemandes (Cerfa) de l'Institut français des relations internationales (IFRI), et Christophe Carron.Europa 2024 est un podcast IFRI-Cerfa-Slate produit et réalisé par Slate Podcasts.Direction éditoriale: Christophe CarronProduction éditoriale: Nina ParejaMontage: Slate PodcastsMusique: «Sunny Days» – Anno Domini BeatsIllustration: Aurélie Rodrigues
Ils mènent une campagne qui n'est pas des plus faciles pour les Verts : l'eurodéputée allemande Terry Reintke, 36 ans, et son collègue néerlandais Bas Eickhout, 47 ans, sont les têtes de liste des écologistes à niveau continental pour les élections européennes. Les sondages leur prédisent un recul substantiel par rapport au scrutins de 2019, où ils étaient parvenus à devenir le 4e groupe au Parlement européen. Si les Verts sont à la peine, c'est avant tout parce que le contexte géopolitique a changé. En 2019, les écologistes avaient le vent en poupe, avec la multiplication des manifestations pour la défense du climat. À l'époque, « l'émergence de mouvements comme Fridays for future a fait augmenter le soutien de la population partout en Europe à cette cause climatique, observe Jeanette Süss, chercheuse au Comité d'études aux relations franco-allemandes (Cerfa), à l'Institut français des relations internationales (Ifri). Mais avec la crise Covid, la guerre en Ukraine, la hausse des prix, l'inflation, bien d'autres sujets sont venus sur le devant de la scène et les Verts ils ont de plus en plus de mal à se battre pour cette cause climatique qui représente quand même l'ADN du parti. »Face aux divers mouvements de protestation qui ont secoué plusieurs États membres, la Commission européenne a fait des concessions sur le Pacte vert. « En 2019, on avait une Ursula von der Leyen qui nous annonçait son grand projet semblable au projet d'envoyer un homme sur la Lune. Imaginez un instant que JFK ait dit au bout de quatre ans : on est à mi-chemin, on peut s'arrêter là. Le Pacte vert était un bon début, mais nous ne sommes qu'au départ de ce marathon », considère Bas Eickhout lui-même. L'eurodéputé sait de quoi il parle : issu de la gauche écologiste, il a été chercheur à l'Agence néerlandaise pour l'amélioration de l'environnement avant d'être élu député européen en 2009. Deux ans plus tôt, il avait partagé le prix Nobel de la paix avec les autres co-auteurs du rapport du Giec sur le changement climatique.Aujourd'hui vice-président de la commission Environnement, Santé publique et Sécurité alimentaire, le Néerlandais est tête de liste pour la deuxième fois d'affilée ; en 2019, il avait mené la campagne européenne des Verts avec l'Allemande Ska Keller. Élu expérimenté, il connait bien les arcanes du Parlement. « Un bon choix », estime Camille Defard, responsable du centre énergie-environnement de l'Institut Jacques Delors. « C'est quelqu'un qui est très technique, qui connait très bien les dossiers et qui a une belle aura politique au sein de l'écosystème », observe-t-elle.Extrême droite cibléeDe onze ans sa cadette, Terry Reintke est en lice pour un troisième mandat. Lors de sa première élection en 2014, cette native de Gelsenkirchen dans la Ruhr, née un 9 mai, Journée de l'Europe, était alors la plus jeune eurodéputée de l'hémicycle. Elle est aujourd'hui la vice-présidente du groupe des Verts/Alliance libre européenne. Tout au long de la campagne, elle a insisté sur la menace que constitue, selon elle, la montée de l'extrême droite dans les sondages. « Cette menace existe, nous ne pouvons pas le nier », a-t-elle lancé, avant d'appeler les militants et les élus à ne pas rester les bras croisés en s'inspirant d'exemples comme la Pologne, où après huit années de gouvernement populiste Pis, le gouvernement est désormais dirigé par le pro-européen Donald Tusk.Dans plusieurs pays européens, dont la France et l'Allemagne, l'extrême droite pourrait arriver en première ou deuxième position aux élections européennes. Un mauvais signal pour les Verts, qui, de quatrième force au Parlement, pourraient être rétrogradés à la sixième place, derrière les formations d'extrême droite ID et ECR. « L'extrême droite arrive à monopoliser sur certains sujets et à présenter le Pacte vert comme une menace pour la compétitivité et comme un monstre bureaucratique », note Jeannette Süss. Face à cela, les Verts ont du mal à convaincre les électeurs sur le fait que compétitivité, croissance et environnement peuvent faire bon ménage. « Ils ont lancé un Pacte vert industriel, comme un contre-exemple de celui présenté par la Commission européenne », rappelle la chercheuse.Les Verts allemands à la peinePlus connue à Bruxelles qu'à Berlin, Terry Reintke, représentante de Die Grünen, les Verts allemands, eux-mêmes engagés dans une coalition social-démocrate-libérale affaiblie, a fort à faire. Sa désignation est « un pari sur sa capacité à mobiliser les électeurs allemands », estime Camile Defard, qui souligne le « poids disproportionné des libéraux par rapport à leur poids électoral dans l'inflexion de ce gouvernement de coalition. Ça ne profite absolument pas aux Verts parce qu'ils sont associés à un gouvernement qui n'arrive pas à faire passer les réformes qu'ils souhaitent. » À l'échelle nationale allemande, il y a beaucoup de discussions et de polarisation, souligne Jeannette Süss : « Les Verts ont du mal à s'imposer, notamment face aux libéraux, ce qui provoque des discussions houleuses autour de plusieurs mesures environnementales contraignantes. Par ailleurs, les sondages ne leur attribuent pas de véritable compétence sur le plan économique. »Les mouvements des agriculteurs ont placé les Verts en première ligne des critiques. Les écologistes se disent prêts à continuer à défendre le Green Deal, de plus en plus contesté par certaines catégories, telles que les agriculteurs. La tâche s'annonce délicate : « L'atmosphère, l'humeur du temps en Europe, n'est pas tellement positive pour les thèmes de l'environnement et du réchauffement climatique. Actuellement, l'écologie est un peu en défense plutôt qu'en attaque », note Daniel Boy, directeur de recherche numérique à Sciences Po. Dans ce contexte, souligne-t-il, les Verts ne seront pas en position d'en demander plus. « Rehausser encore plus l'ambition climatique n'est pas la priorité. La priorité, c'est la mise en œuvre des textes qui ont déjà été adoptés », abonde Camille Defard. « Les Verts pâtissent de leurs très grandes ambitions climatiques et du manque de moyens dont on dispose pour les réaliser, que ce soit au niveau européen, national ou local. »Défini au congrès de Lyon, le projet de programme électoral européen des écologistes européens reste ambitieux. Il souhaite que l'UE atteigne la neutralité climatique d'ici à 2040, soit dix ans plus tôt que prévu.
Chers auditeurs et auditrices de «New Deal», nous vous proposons de découvrir le premier épisode de notre nouveau podcast, Europa 2024 qui couvre la campagne des élections européennes et qui décrypte les enjeux de ce rendez-vous démocratique si important et si souvent mal compris. Rendez-vous avec Jeanette Süß, chercheuse au Comité d'études des relations franco-allemandes (Cerfa) de l'Institut français des relations internationales (Ifri), tous les mardi dans le flux du podcast «Le monde devant soi» jusqu'au 9 juin. Dans ce premier épisode d'Europa 2024, Christophe Carron et Jeanette Süß reçoivent Laurence de Nervaux, directrice de Destin Commun, côté France, et UIrich Pfeil, professeur de civilisation allemande à l'université de Lorraine. Ensemble, ils se penchent sur le rapport des Allemands et des Français à l'Europe et au scrutin des européennes 2024.À la présentation, Jeanette Süß, chercheuse au Comité d'études des relations franco-allemandes (Cerfa) de l'Institut français des relations internationales (Ifri), et Christophe Carron.Europa 2024 est un podcast Ifri-Cerfa-Slate produit et réalisé par Slate Podcasts.Direction éditoriale: Christophe CarronProduction éditoriale: Nina ParejaMontage: Marius SortMusique: «Sunny Days» – Anno Domini BeatsIllustration: Aurélie Rodrigues
Dans ce deuxième épisode d'Europa 2024, nous allons nous pencher sur un serpent de mer européen, un sujet sur lesquels les capitales n'ont jamais réussi à se mettre d'accord tant il touche aux questions de souveraineté, un sujet plus que jamais d'actualité depuis l'invasion de l'Ukraine par la Russie et qui fut un des points largement développés par Emmanuel Macron lors de son discours sur l'Europe à la Sorbonne le 25 avril: l'Europe de la défense.Christophe Carron et Jeanette Süß reçoivent Florence Ertel, directrice du Science Hub for Europe (SHE) et chercheuse, ainsi que Dimitri Mauchien, attaché de recherche à la fondation politique allemande Konrad Adenauer à Paris (proche de l'Union chrétienne-démocrate d'Allemagne).Pour couvrir la campagne en cours et décrypter les enjeux des élections européennes, ce rendez-vous démocratique si important et si souvent mal compris, nous nous retrouverons chaque semaine avec Jeanette Süß, chercheuse au Comité d'études des relations franco-allemandes (Cerfa) de l'Institut français des relations internationales (IFRI).À écouter aussiÀ la présentation, Jeanette Süß, chercheuse au Comité d'études des relations franco-allemandes (Cerfa) de l'Institut français des relations internationales (IFRI), et Christophe Carron.Europa 2024 est un podcast IFRI-Cerfa-Slate produit et réalisé par Slate Podcasts.Direction éditoriale: Christophe CarronProduction éditoriale: Nina ParejaMontage: Marius SortMusique: «Sunny Days» – Anno Domini BeatsIllustration: Aurélie Rodrigues
Chers auditeurs et auditrices du podcast Le monde devant soi, une fois par semaine avant les élections européennes, Europa 2024 vous accompagne pour couvrir la campagne en cours et décrypter les enjeux de ces élections, ce rendez-vous démocratique si important et si souvent mal compris. Rendez-vous avec Jeanette Süß, chercheuse au Comité d'études des relations franco-allemandes (Cerfa) de l'Institut français des relations internationales (Ifri), tous les mardi jusqu'au 9 juin. Dans ce premier épisode d'Europa 2024, Christophe Carron et Jeanette Süß reçoivent Laurence de Nervaux, directrice de Destin Commun, côté France, et UIrich Pfeil, professeur de civilisation allemande à l'université de Lorraine. Ensemble, ils se penchent sur le rapport des Allemands et des Français à l'Europe et au scrutin des européennes 2024.À la présentation, Jeanette Süß, chercheuse au Comité d'études des relations franco-allemandes (Cerfa) de l'Institut français des relations internationales (Ifri), et Christophe Carron.Europa 2024 est un podcast Ifri-Cerfa-Slate produit et réalisé par Slate Podcasts.Direction éditoriale: Christophe CarronProduction éditoriale: Nina ParejaMontage: Marius SortMusique: «Sunny Days» – Anno Domini BeatsIllustration: Aurélie Rodrigues
Plusieurs mesures ont été déjà révélées, comme la suppression progressive des formulaires administratifs Cerfa ou encore la mensualisation des loyers pour les commerçantsMention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Bruno Le Maire a annoncé hier vouloir supprimer "tous les formulaires Cerfa" d'ici à 2030. Derrière ce nom générique, se cachent tous nos formulaires administratifs que nous utilisons au quotidien. Ils font peser une charge importante sur les chefs d'entreprise. Le ministre de l'économie veut simplifier leurs démarches. Explications signées Mathilde Piqué. Ecoutez RTL vous explique du 07 mars 2024 avec Mathilde Piqué.
De violents incidents ont éclaté mardi matin devant le lycée polyvalent de Cachan. Des individus encagoulés ont jeté des projectiles et brûlé du mobilier urbain. Les pompiers ont été pris à partie, et les forces de l'ordre sont intervenues avant que les élèves ne puissent reprendre les cours. La manifestation de violences qui s'est exprimée hier laisse tout le monde interdit. "C'est inexcusable", s'insurge Ruth Elkrief. Elle compare cet événement à une sorte de mini-émeute, comme en juin ou en juillet. "C'est inadmissible", martèle-t-elle. Le ministre de l'Économie a annoncé, mercredi, qu'il allait supprimer définitivement les formulaires Cerfa d'ici à 2030. Une décision prise dans le cadre du choc de simplification promis par le gouvernement. Bruno Le Maire a également indiqué vouloir simplifier et "diviser par deux" le code du commerce. Pour Pascal Perri, ce sont les paroles, quand on regarde les actes, tout va bien pour la pompe à fric, merci. Il rappelle également que les dépenses de l'État a augmenté en 2023, 496 milliards d'euros, alors que les recettes fiscales baissent. La France a créé 60 000 nouveaux postes publics en 2023. Selon l'REF, 3,4 millions de fonctionnaires de plus que l'Allemagne au prorata de la population. "La France est en réalité suradministrée. Les normes et les fonctionnaires, c'est un couple qui marche ensemble", constate-t-il. "Il nous faudrait une administration de service, nous avons aujourd'hui, malheureusement, une administration de contrôle en France". Une usine Tesla située en Allemagne a été contrainte de stopper mardi sa production dans son usine située près de Berlin. La cause en est le sabotage d'une infrastructure électrique à proximité. Le "Vulkan Gruppe", un groupuscule d'extrême gauche, a revendiqué cette action. Et se justifie : "[Tesla] mange de la terre, des ressources, des hommes, de la main-d'oeuvre et crache pour cela 6.000 SUV, machines à tuer et monster trucks par semaine". Le groupe Vulcain accuse également l'usine américaine de "polluer la nappe phréatique et de consommer pour ses produits d'énormes quantités d'une ressource en eau potable déjà rare". Pour Catherine Jentile, "entre détruire le fonctionnement d'une usine et mettre 12.000 au chômage, il y a peut-être une voie intermédiaire à trouver". Du lundi au vendredi, à partir de 18h, David Pujadas apporte toute son expertise pour analyser l'actualité du jour avec pédagogie.
Les références : La présentation de Laurent Costy sur le trombinoscope de l'April L'impossible combat contre la vente forcée, transcription de l'interview de Laurent Costy par Camille Gévaudan dans l'émission 56Kast en mai 2016 La CJUE consacre les racketiciels au mépris des droits des consommateurs européens, communiqué de presse de l'April publié le 9 septembre 2016 à l'issu de l'arrêt de la Cour de justice de l'Union européenne du 7 septembre 2016 Groupe de travail Libre Association de l'April Cerfa 12156-05 (document de demande de subvention) au format odt modifiable Bénévalibre, le logiciel libre qui facilite la gestion et la valorisation du bénévolat dans les associations Lancement de Bénévalibre, le 15 septembre 2019 lors du Grand Déj' des associations à Dijon Bénévalibre, un commun numérique pour aider à valoriser le bénévolat, dans Les Cahiers de l'action n°61 (décembre 2023), pp. 47-55 Solidatech : un programme qui entrave le développement du libre en milieu associatif, article publié le 10 novembre 2020 sur le site de l'April Techsoup : instrument d'influence des big tech américaines, tribune de Laurent Costy publiée le 1er mars 2024 sur le site de l'April Chronique « À cœur vaillant, la voie est libre », de Laurent et Lorette Costy ; environ une fois par mois dans l'émission de radio de l'April Journée du Libre Éducatif (3e édition), vendredi 29 mars 2024 à la Faculté de droit de l'Université Paris-Est Créteil Laurent Costy en cotte de maille au festival de l'imaginaire Geek Faëries (2019) La chute de LapinvilleVous pouvez commenter les émissions, nous faire des retours pour nous améliorer, ou encore des suggestions. Et même mettre une note sur 5 étoiles si vous le souhaitez. Il est important pour nous d'avoir vos retours car, contrairement par exemple à une conférence, nous n'avons pas un public en face de nous qui peut réagir. Pour cela, rendez-vous sur la page dédiée.Pour connaître les nouvelles concernant l'émission (annonce des podcasts, des émissions à venir, ainsi que des bonus et des annonces en avant-première) inscrivez-vous à la lettre d'actus. / Parcours libriste
Toutes les infos nécessaires au sujet de la demande d'autorisation d'IEF et la rédaction du projet éducatif. Accès aux différents CERFA... L'article Demande d'autorisation d'instruction en famille et projet éducatif : comment faire ? est apparu en premier sur .
La Matinale de ce jour est animée par Sophie ! Dans une première interview, Tiphaine et Hugo Traversié accueillent (à distance) Eric-André Martin, secrétaire général du Comité d'études des relations franco-allemandes (CERFA). Ensemble, ils reviendront sur les manifestations contre l'extrême-droite, qui ont eu lieu le weekend du 20 et 21 janvier. Ensuite, dans une première interview Zoom, Pierre Yarid accueille l'influenceuse Aphrodisart, qui met en avant l'Art via les réseaux sociaux (et aussi via un podcast) ! Dans la seconde interview Zoom, Hugo Traversié reçoit l'équipe du Mashup Culture, qui vient nous présenter leur événement, mettant en lumière la diversité culturelle des étudiants ! Une heure d'émission agrémentée de deux chroniques, signées Sébastien Petit et Ann-Sophie Herzner ! Animation : Sophie / Interview : Tiphaine et Hugo Traversié / Zoom 1 : Pierre Yarid / Zoom 2 : Hugo Traversié / Chroniques : Sébastien Petit et Ann-Sophie Herzner / Réalisation : Jeanne Thevenot / Coordination : Héloïse Robert
Le clip officiel de notre 19ème mission solidarité Israel, organisée pour 700 soldats de Tsahal avec la remise de 30 paires de Tefilin & 'Hitat, dédiée à l'occasion de la 30ème année de la Hiloula du Rabbi de Loubavitch, pendant la guerre d'Israël contre le Hamas, Novembre 2023 / Kislev 5784. Contribuez a cette grande et unique mitzva en cliquant ici: https://don-chabad77.org/israel (Cerfa instantané). Merci & Am Israel Hai ! Rav Yossi & Tzal'ha AMAR Habad Loubavitch 77
durée : 00:02:16 - Le vrai ou faux - Un formulaire administratif proposant de faire une "déclaration de décision d'euthanasie" a été vu plus de 300 000 fois sur les réseaux sociaux. Mais il s'agit d'un faux.
durée : 00:58:02 - Cultures Monde - par : Mélanie Chalandon - La journaliste Gaëlle Borgia revient de Madagascar, où les élections présidentielles se déroulent dans un climat de contestation et de misère sociale / En Allemagne, la coalition au pouvoir apparaît en crise, alors que la Cour constitutionnelle vient d'invalider certaines dispositions du budget. - invités : Elisa Goudin-Steinmann Maîtresse de conférences en études germaniques à la Sorbonne Nouvelle et co-rédactrice du blog 'Regards sur la RDA et l'Allemagne de l'Est'; Eric-André Martin Secrétaire général du Comité d'études des relations franco-allemandes (Cerfa) de l'Ifri, spécialiste de la politique européenne et des relations internationales de l'Union européenne; Gaëlle Borgia Correspondante à France 24
« La position du gouvernement allemand est très claire : le Hamas est une organisation terroriste et Israël a tous les droits de se défendre contre le Hamas. Nous sommes aux côtés d'Israël ». C'est ce qu'a déclaré aujourd'hui le chancelier allemand. Depuis le 7 octobre 2023 et l'attaque du Hamas, Olaf Sholtz ne cesse de réaffirmer le soutien indéfectible de son pays à Israël. Mais avec l'accumulation de destructions et de pertes humaines à Gaza, cette politique se heurte à des résistances : les manifestations pro-palestiniennes se multiplient en Allemagne, et le pays connaît parallèlement une explosion d'actes antisémites, qui plonge la communauté juive dans la peur et la sidération. Ces manifestations haineuses relancent le débat sur la politique migratoire du pays, même si la montée du parti d'extrême droite AFD, n'est sans doute pas étrangère à ce climat délétère.Avec notre invitée :Marie Krpata, chercheuse au Comité d'études des Relations franco-allemandes (CERFA) de l'Institut français des Relations internationales (IFRI).
Il y a tout juste 10 ans, le président chinois Xi Jinping lançait ce qu'il appelait le projet du siècle, les nouvelles routes de la soie... on l'a comparé à un vaste plan Marshall du XXIè siècle dirigé vers l'Europe puis le monde, avec des investissements colossaux dans les infrastructures des Transports, de l'Énergie et des Télécoms. RFI revient, pendant toute une semaine, sur les enjeux et les derniers développements de ce ce projet qui a été rebaptisé entre temps en anglais Belt and Road Initiative, la BRI, l'initiative de la ceinture et de la route. Instrument de puissance économique, mais aussi de politique globale, la BRI suscite aujourd'hui de nombreuses inquiétudes en Europe, celle d'une trop forte dépendance économique, et d'un entrisme politique, voire militaire. L'Europe et les nouvelles routes de la soie, est-ce l'histoire d'une grande désillusion ? Nos deux invitées :- Alice Ekman, analyste responsable de l'Asie à l'Institut d'études de sécurité de l'Union européenne (EUISS). Auteure de « Dernier vol pour Pékin », aux éditions de L'Observatoire (2022)- Marie Krpata, chercheuse au Comité d'études des relations franco-allemandes (Cerfa).
durée : 00:58:18 - Cultures Monde - par : Julie Gacon, Mélanie Chalandon - En votant l'interdiction de la vente des moteurs thermiques d'ici à 2035, l'Union européenne a obligé les constructeurs du continent à miser sur la voiture électrique. Mais entre concurrence chinoise et réticences de certains géants allemands de l'automobile, quel sera le coût la transition ? - invités : Tommaso Pardi Codirecteur du GIS Gerpisa (Groupe d'Etudes et de Recherche Permanent sur l'Industrie et les Salariés de l'Automobile) à l'ENS Cachan; Anne-Sophie Alsif Cheffe économiste au cabinet BDO, docteure en sciences économiques EHESS et professeure d'économie à la Sorbonne; Marie Krpata Chercheuse à l'IFRI, au comité d'études des relations franco-allemandes (Cerfa)
durée : 00:38:40 - Le Temps du débat - par : Emmanuel Laurentin - L'Allemagne, pilier de l'économie européenne, a vu son produit intérieur brut (PIB) chuté de 0,3% entre janvier et mars 2023. Comment redynamiser son économie face à une inflation grandissante dans un contexte fragilisé par la guerre en Ukraine ? - invités : Marie Krpata Chercheuse à l'IFRI, au comité d'études des relations franco-allemandes (Cerfa); Elisa Goudin-Steinmann Maîtresse de conférences en études germaniques à la Sorbonne Nouvelle et co-rédactrice du blog 'Regards sur la RDA et l'Allemagne de l'Est'; Joseph de Weck Historien, politologue et journaliste, directeur Europe de Greenmantle (cabinet de conseil en risques macroéconomiques et géopolitiques basé à Paris)
durée : 00:38:40 - Le Temps du débat - par : Emmanuel Laurentin - L'Allemagne, pilier de l'économie européenne, a vu son produit intérieur brut (PIB) chuté de 0,3% entre janvier et mars 2023. Comment redynamiser son économie face à une inflation grandissante dans un contexte fragilisé par la guerre en Ukraine ? - invités : Marie Krpata Chercheuse à l'IFRI, au comité d'études des relations franco-allemandes (Cerfa); Elisa Goudin-Steinmann Maîtresse de conférences en études germaniques à la Sorbonne Nouvelle et co-rédactrice du blog 'Regards sur la RDA et l'Allemagne de l'Est'; Joseph de Weck Historien, politologue et journaliste, directeur Europe de Greenmantle (cabinet de conseil en risques macroéconomiques et géopolitiques basé à Paris)
durée : 00:59:04 - Affaires étrangères - par : Christine Ockrent - Alors que la Commission européenne s'apprête à publier une nouvelle doctrine stratégique vis-à-vis de la Chine, un pays membre pourrait se placer au centre de ces bouleversements géopolitiques : la première économie du continent, l'Allemagne. - invités : Marie Krpata Chercheuse à l'IFRI, au comité d'études des relations franco-allemandes (Cerfa); François Chimits économiste au sein du think tank allemand Mercator Institute on China Studies et au centre d'études prospectives et d'informations internationales (CEPII) ; Shahin Vallée Chercheur en économie l'institut allemand de politique étrangère, politique au Deutsche Gesellschaft für Auswärtige Politik (DGAP),; Philippe Le Corre Chercheur au Asia Society Policy Institute et professeur invité à l'ESSEC; Cyrille Bret maître de conférences à Sciences Po Paris et co-auteur du blog EurAsiaProspective.net.
durée : 00:58:16 - Cultures Monde - par : Julie Gacon - En août 2022, la Lettonie annonce le retour du service militaire obligatoire. Ce fut le cas aussi en 2015 pour la Lituanie et en 2018 pour la Suède, preuves que les pays baltes et scandinaves tâchent de renforcer leur système de défense nationale face à leur menaçant voisin russe. - invités : Barbara Kunz Politologue, chercheuse au Comité d'études des relations franco-allemandes (Cerfa), à l'Ifri; Živilė Kalibataitė Docteure en sciences politiques; Angeliki Drongiti Chercheuse post-doctorante au Laboratoire PLACES de Cergy Paris Université, membre du Cresppa-CSU et du Laboratoire d'Analyse Sociale et de Recherche Sociale Appliquée de l'Université de l'île de Crète
L'annonce par Berlin d'un plan national de 200 milliards d'euros pour faire face à la crise de l'énergie continue d'être vivement commentée au sein de l'Union européenne. L'Allemagne est accusée de faire cavalier seul au détriment d'une solution harmonisée. Pourquoi ce choix ? Est-ce parce que les nuages s'amoncellent au-dessus de l'économie allemande aujourd'hui menacée de récession ? Comment analyser la nouvelle politique au regard du projet européen ? Quelles perspectives pour l'Allemagne ? Avec : - Hans Stark est professeur à l'Université Paris-Sorbonne, et Secrétaire général du Comité d'études des relations franco-allemandes (Cerfa) à l'Institut français des relations internationales. (Ifri) - Michel Ruimy économiste et professeur à l'ESCP Europe et à Science Po Paris - Rémi Bourgeot, économiste, statisticien chercheur associé à Institut de relations internationales et stratégiques (IRIS)
L'annonce par Berlin d'un plan national de 200 milliards d'euros pour faire face à la crise de l'énergie continue d'être vivement commentée au sein de l'Union européenne. L'Allemagne est accusée de faire cavalier seul au détriment d'une solution harmonisée. Pourquoi ce choix ? Est-ce parce que les nuages s'amoncellent au-dessus de l'économie allemande aujourd'hui menacée de récession ? Comment analyser la nouvelle politique au regard du projet européen ? Quelles perspectives pour l'Allemagne ? Avec : - Hans Stark est professeur à l'Université Paris-Sorbonne, et Secrétaire général du Comité d'études des relations franco-allemandes (Cerfa) à l'Institut français des relations internationales. (Ifri) - Michel Ruimy économiste et professeur à l'ESCP Europe et à Science Po Paris - Rémi Bourgeot, économiste, statisticien chercheur associé à Institut de relations internationales et stratégiques (IRIS)
Aurélien de Nunzio a monté Permettez moi de Construire afin de simplifier la tâche aux particuliers français dans leurs démarches administratives urbanistiques comme les déclarations préalables de travaux ou les permis de construire. Il a levé 400 000€ puis un peu plus d'un million d'euros et enfin 3M€ récemment et s'est renommé Algar, anagramme de "Graal". Découvrez comment vous déposerez votre prochain CERFA bien plus simplement la prochaine fois que vous construirez une piscine ou une extension !
durée : 00:58:36 - Entendez-vous l'éco ? - par : Tiphaine de Rocquigny - Face à la menace de coupure du gaz, la stratégie économique de l'Allemagne paraît particulièrement fragile, dépendante d'un ordre économique international stable qui n'existe plus. L'Allemagne a-t-elle oublié de se doter d'une stratégie de résilience économique ? - invités : Anne Salles Maîtresse de conférences en études germaniques à Sorbonne-Université; Eric-André Martin Secrétaire général du Comité d'études des relations franco-allemandes (Cerfa) de l'Ifri, spécialiste de la politique européenne et des relations internationales de l'Union européenne; Michel Ruimy Professeur d'économie à Science po et à l'ESCP Europe
On va parler de nom de famille ... Quand les parents ne sont pas mariés, on décide parfois de ne donner au bébé à la naissance que l'un des deux noms ... souvent celui du père ... et souvent on regrette ... Mais maintenant il y a une marche arrière possible Katell .... Oui une nouvelle loi a été promulguée sur le choix du nom ... Une loi très attendue notamment par les mères séparées des pères de leurs enfants qui portent uniquement le nom du papa ... Ca fait toujours un peu mal à ce moment-là et on regrette de ne pas avoir donné AUSSI notre nom à son enfant ... Et bien le premier article de cette nouvelle loi permet au parent qui n'a pas transmis son nom de famille -dans 80% des cas, la mère- de l'adjoindre, à titre d'usage, à l'enfant mineur et ce, sans autorisation de l'autre parent ... Jusqu'à présent, l'autorisation de l'autre parent était nécessaire. Ce n'est plus le cas ... Le nom d'usage c'est-à-dire ? C'est-à-dire que ça ne deviendra jamais le nom de naissance mais c'est un nom qu'on pourra utiliser dans la vie de tous les jours, à l'école ... Et ce sera aussi le nom qui figurera sur la pièce d'identité de l'enfant .. Et pour ce changement de nom, on ne demandera le consentement de l'enfant qu'à partir de l'âge de 13 ans ... Et est-ce qu'un enfant aura le droit, lui, de décider de changer de nom ? Oui c'est l'article 2 de la loi ... Chaque citoyen majeur qui le souhaite peut changer de nom de famille une fois dans sa vie sur simple présentation d'un formulaire Cerfa à la mairie de son domicile ... L'enfant, à ses 18 ans, pourra donc choisir son nom de famille pour garder celui de sa mère, celui de son père, ou les deux. Jusqu'à présent pour avoir le droit de changer de nom il fallait prouver que son nom était ridicule ou connoté négativement dans l'histoire… Ou si la demande permettait d'éviter l'extinction d'un nom, par exemple. Et en moyenne, 35% des demandes sont rejetées. Et les démarches étaient hyper longues ... La loi entrera en vigueur en juillet 2022 ...
Guerre en UKRAINE: Que se passe-t-il sur le terrain ? Que pouvons nous faire ? Mon interview sur RADIO SHALOM 6 mars 2022 dans l'émission a contre courant. SVP aidez Keren Esther à leurs venir en aide dans ces moments difficiles : https://kerenesther.org/ukraine/ Cerfa instantané. MERCI BEAUCOUP ! Sdv que des bonnes nouvelles !
Sujets traités : - 2e conseil communautaire pour le Pays Rhin Brisach hier soir. Réunis à Biesheim pour une séance fleuve, les élus ont surtout discuté de la crise ukrainienne. Suite à l'invasion russe lancée jeudi, les conseillers communautaires se sont concertés pour savoir comment agir au mieux pour venir en aide au peuple ukrainien. Pour Gérard Hug, président de la collectivité, il est impossible de faire abstraction de ces événements qui ont lieu à 2 000km de l'Alsace. Il a donc proposé la création d'une Task Force pour collecter du matériel, des financements à transmettre en Ukraine, ou même pour accueillir des réfugiés. Les habitants du territoire de la communauté du Pays Rhin Brisach voulant soutenir les Ukrainiens peuvent également se rapprocher de leurs élus locaux. - Ces soutiens suite au conflit ukrainien se font à l'échelle alsacienne, voire régionale. Jean Rottner, le Président du Grand Est veut mobiliser les élus du territoire afin de coordonner une action commune pour venir en aide au pays envahi par la Russie. Un soutien qui se fera dans tous les cas en concertation avec l'Etat, via les préfectures concernées, pour faciliter ces actions communes. - Certaines collectivités ont d'ailleurs déjà affiché leur soutien à l'Ukraine, hier la Ville de Colmar a drapé de jaune et bleu sa satue de la liberté, les couleurs du drapeau ukrainien. De la même sorte, depuis dimanche, les remparts de Châtenois sont illuminés de jeune et de bleu. En outre, la ville de Volgelsheim, qui dispose d'un accueil, se propose d'accueillir des réfugiés, tout comme Éric Straumann, pour la cité de Bartholdi. - Du côté de Strasbourg, une cellule de crise a été mise en place autour de la maire Jeanne Barseghian. Les élus veulent axer leur action sur deux axes : d'une part, une aide matérielle et financière auprès des associations humanitaires et d'autre part, l'accueil de réfugiés ukrainiens. - Visite régionale au lycée Jean-Baptiste Schwilgué. Marie-Gabrielle Chevillon, Vice-Présidente de la Région Grand Est déléguée à la Cohésion territoriale et à la Contractualisation, était ce lundi à Sélestat dans le cadre de son tour du Grand Est. L'occasion de visiter le nouveau bâtiment, dont les travaux se sont achevés en 2018, mais aussi de faire l'annonce d'un prochain investissement. On écoute ses précisions. Des propos recueillis par Solène Martin. - Il reste encore un peu de temps pour s'inscrire sur les listes électorales à Colmar. Pour l'élection présidentielle, les administrés ont jusqu'à demain pour le faire en ligne et jusqu'à vendredi pour faire la démarche en mairie ou par courrier. Cette inscription est nécessaire pour faire valoir son droit de vote. Mode d'emploi : en ligne, grâce au téléservice disponible sur Service-Public.fr sur présentation d'un justificatif d'identité et d'un justificatif de domicile numérisés ; en mairie, sur présentation d'un justificatif de domicile, d'un justificatif d'identité et du Cerfa de demande d'inscription ; par courrier adressé à sa mairie, en joignant un justificatif de domicile, un justificatif d'identité et le Cerfa de demande d'inscription. - Trois accidents hier dans le Pays de Barr. Tous ont eu lieu aux alentours de 18h et ont mobilisé les secours du secteur. Le premier a eu lieu au nxiveau de l'aire de covoiturage de Barr-Saint-Pierre, un homme a perdu le contrôle de son véhicule qui a terminé dans le fossé. A Andlau, un cycliste a chuté et s'est blessé à l'épaule avant d'être transporté à l'hôpital de Sélestat. Enfin, sur la D 35 à Eischoffen, une voiture est entrée en collision avec celle qui la précédait au niveau d'une priorité à droite. La conductrice en tort a été contrôlée, son taux d'alcoolémie était de 2 grammes par litre de sang, son permis lui a é...
Sujets traités : - 2e conseil communautaire pour le Pays Rhin Brisach hier soir. Réunis à Biesheim pour une séance fleuve, les élus ont surtout discuté de la crise ukrainienne. Suite à l'invasion russe lancée jeudi, les conseillers communautaires se sont concertés pour savoir comment agir au mieux pour venir en aide au peuple ukrainien. Pour Gérard Hug, président de la collectivité, il est impossible de faire abstraction de ces événements qui ont lieu à 2 000km de l'Alsace. Il a donc proposé la création d'une Task Force pour collecter du matériel, des financements à transmettre en Ukraine, ou même pour accueillir des réfugiés. Les habitants du territoire de la communauté du Pays Rhin Brisach voulant soutenir les Ukrainiens peuvent également se rapprocher de leurs élus locaux. - Ces soutiens suite au conflit ukrainien se font à l'échelle alsacienne, voire régionale. Jean Rottner, le Président du Grand Est veut mobiliser les élus du territoire afin de coordonner une action commune pour venir en aide au pays envahi par la Russie. Un soutien qui se fera dans tous les cas en concertation avec l'Etat, via les préfectures concernées, pour faciliter ces actions communes. - Certaines collectivités ont d'ailleurs déjà affiché leur soutien à l'Ukraine, hier la Ville de Colmar a drapé de jaune et bleu sa satue de la liberté, les couleurs du drapeau ukrainien. De la même sorte, depuis dimanche, les remparts de Châtenois sont illuminés de jeune et de bleu. En outre, la ville de Volgelsheim, qui dispose d'un accueil, se propose d'accueillir des réfugiés, tout comme Éric Straumann, pour la cité de Bartholdi. - Du côté de Strasbourg, une cellule de crise a été mise en place autour de la maire Jeanne Barseghian. Les élus veulent axer leur action sur deux axes : d'une part, une aide matérielle et financière auprès des associations humanitaires et d'autre part, l'accueil de réfugiés ukrainiens. - Visite régionale au lycée Jean-Baptiste Schwilgué. Marie-Gabrielle Chevillon, Vice-Présidente de la Région Grand Est déléguée à la Cohésion territoriale et à la Contractualisation, était ce lundi à Sélestat dans le cadre de son tour du Grand Est. L'occasion de visiter le nouveau bâtiment, dont les travaux se sont achevés en 2018, mais aussi de faire l'annonce d'un prochain investissement. On écoute ses précisions. Des propos recueillis par Solène Martin. - Il reste encore un peu de temps pour s'inscrire sur les listes électorales à Colmar. Pour l'élection présidentielle, les administrés ont jusqu'à demain pour le faire en ligne et jusqu'à vendredi pour faire la démarche en mairie ou par courrier. Cette inscription est nécessaire pour faire valoir son droit de vote. Mode d'emploi : en ligne, grâce au téléservice disponible sur Service-Public.fr sur présentation d'un justificatif d'identité et d'un justificatif de domicile numérisés ; en mairie, sur présentation d'un justificatif de domicile, d'un justificatif d'identité et du Cerfa de demande d'inscription ; par courrier adressé à sa mairie, en joignant un justificatif de domicile, un justificatif d'identité et le Cerfa de demande d'inscription. - Trois accidents hier dans le Pays de Barr. Tous ont eu lieu aux alentours de 18h et ont mobilisé les secours du secteur. Le premier a eu lieu au nxiveau de l'aire de covoiturage de Barr-Saint-Pierre, un homme a perdu le contrôle de son véhicule qui a terminé dans le fossé. A Andlau, un cycliste a chuté et s'est blessé à l'épaule avant d'être transporté à l'hôpital de Sélestat. Enfin, sur la D 35 à Eischoffen, une voiture est entrée en collision avec celle qui la précédait au niveau d'une priorité à droite. La conductrice en tort a été contrôlée, son taux d'alcoolémie était de 2 grammes par litre de sang, son permis lui a été provisoirement retiré.
Sujets traités : - Les restaurateurs s'en sortent bien, les commerçants un peu moins. C'est l'heure du bilan pour les marchés de Noël de Colmar, qui se sont déroulés du 26 novembre au 29 décembre. L'office de tourisme a ainsi contacté près de 150 professionnels du secteur pour avoir leur avis sur cette édition 2021, après une année blanche. Côté clientèle étrangère, moins nombreuse que d'habitude, pandémie oblige, les Espagnols sont venus en nombre puisqu'ils représentaient la moitié des visiteurs internationaux présents. Juste derrière, Belges et Suisses étaient également nombreux. Pour la plupart des hôteliers, le taux d'occupation des chambres est revenu à la normale, par rapport à l'édition 2019, voire plus important pour certains. 75% en moyenne dans les hôtels et 84% dans les meublés touristiques. A l'inverse, les commerçants présents sur les marchés, pour les 3/4, estiment que la fréquentation a été moins importante que précédemment, ce que confirme l'office de tourisme avec ¼ de passage en moins à son guichet pour des renseignements. Enfin, les restaurateurs du centre de la cité de Bartholdi sont satisfaits des marchés de Noël. Même son de cloche que du côté des hôteliers, pour beaucoup d'entre eux, le bilan financier est le même ou très proche de celui de 2019. - On reste dans les chiffres et le commerce, avec l'élection de la nouvelle présidente pour la CCI, la chambre de commerce et de l'industrie de Colmar et du Centre-Alsace. Cécile Kern, également présidente de l'association commerçante Les Vitrines de Colmar s'est fixée plusieurs objectifs. Avec 20% des entreprises alsaciennes situées en Centre-Alsace, elle souhaite les accompagner dans leur développement, favoriser la création de nouvelles, en travaillant main dans la main avec les collectivités territoriales. Côté emploi, de nombreuses offres sont disponibles actuellement, dans différents secteurs, commerce, industrie et service. Cécile Kern veut s'appuyer sur le pôle formation de la CCI pour enrayer le problème. Enfin, elle regrette un début timide pour les soldes, 30% de chiffre en moins que d'habitude sur les premiers jours. Elle compte à présent sur une amélioration de la situation sanitaire pour que les affaires reprennent. - Une année chargée pour la Communauté de Communes du Val d'Argent. L'ouverture d'une maison France Services a déjà été réalisée en début de semaine, à la mairie de Sainte-Marie-Aux-Mines. Jean-Marc Burrus, le président de la Communauté de Communes, nous parle des autres principaux projets à venir. Il est au micro de Solène Martin. La Communauté de Communes du Val d'Argent tient aussi à afficher son soutien à l'hôpital intercommunal et aux deux Ehpad de son territoire. Côté environnement, des dépérissements ont été constatés, alors que le Val d'Argent est composé de milieu forestier à 60%. Des réflexions sont en cours. Retrouvez l'entretien complet sur notre site internet azur-fm.com, dans l'onglet actualités régionales - Coronavirus, les hospitalisations ont tendance à diminuer en Alsace, bien que le taux d'incidence atteigne un niveau record. Josiane Chevalier, préfète du Bas-Rhin a fait le point sur les chiffres de contamination hier en annonçant 3 011 nouveaux cas pour 100 000 habitants. Début janvier, 96% des personnes testées positives avaient contracté le variant Omicron, le Delta étant en très forte diminution. Malgré un taux d'incidence très élevé, les services Covid des hopitaux du territoire, notamment de réanimation, sont moins en tension qu'avant. Une amélioration qui n'est qu'une moyenne pour l'Alsace, car à Sélestat, les hospitalisations pour Covid augmentent. Hier 27 patients étaient soignés pour ce virus, contre 22 une semaine avant. Seule bonne nouvelle, les urgences sont moins sollicitées et la structure a moins besoin de déprogrammer certaines opérations. - Sélestat où un nouveau parking temporaire ouvre pour les usagers de la gare SNCF. Du fait du démarrage du chantier de la résidence séniors sur le site Seita, la capacité de stationnement sur le parking provisoire « Seita » est réduite de 200 à 100 emplacements. En compensation, la Ville de Sélestat a aménagé un parking provisoire de 80 places à l'entrée de la gare de marchandises, accès commun avec le parking Ouest à partir du giratoire route de Kintzheim / route d'Orschwiller). - A Colmar, les inscriptions sur les listes électorales sont ouvertes jusqu'à début mars ! Pour l'élection présidentielle, les administrés ont jusqu'au mercredi 2 mars, pour le faire en ligne et jusqu'au vendredi 4 mars pour faire la démarche en mairie ou par courrier. Cette inscription est nécessaire pour faire valoir son droit de vote. en ligne, grâce au téléservice disponible sur Service-Public.fr sur présentation d'un justificatif d'identité et d'un justificatif de domicile numérisés ; en mairie, sur présentation d'un justificatif de domicile, d'un justificatif d'identité et du Cerfa de demande d'inscription.
Après 16 ans à la tête de l'Allemagne, Angela Merkel a passé la main à son successeur Olaf Scholz le 8 décembre. Très discrète sur ses projets, l'ex-chancelière prévoit de faire une pause et s'est lancée dans la rédaction de ses mémoires politiques. Le 8 décembre 2021, une page de l'Allemagne se tourne. Au Bundestag, Angela Merkel reçoit une dernière ovation. Dans son tailleur sombre, elle se lève, salue les députés, esquisse un sourire derrière son masque, puis se rassoit, presque impassible. Les adieux sont sobres, à l'image de la chancelière : 4 mandats, 16 ans à la tête du pays. « Mutti », maman, comme l'appellent les Allemands, s'en va et à 67 ans, elle commence une nouvelle vie. « Elle va faire enfin pouvoir faire ses premiers pas en liberté », explique la grand reporter Marion Van Renterghem, auteure de la biographie « C'était Merkel » (éditions Les Arènes). « Elle veut profiter de cette vie libre qu'elle n'a jamais eue, que ce soit sous la dictature est-allemande de 1954 à 1989 ou quand elle était en politique : députée, ministre, secrétaire générale de l'Union chrétienne démocrate (CDU), puis chancelière de 1990 à 2021. Elle a ce rêve de jeunesse de voir les grands espaces américains, russes. » Angela Merkel, physicienne de formation, prévoit également de visiter la douzaine d'universités qui l'ont gratifiée d'un doctorat honorifique, en Israël ou en Finlande. En Allemagne, elle devrait passer du temps dans sa « datcha », sa maison de campagne de Templin à 80 km de Berlin. D'après le maire, Detlef Tabbert, c'est en tout cas elle-même qui supervise les travaux. « Il y a quelques semaines, un carreleur m'a dit : "Tu ne me croiras jamais, je viens de recevoir un appel d'Angela Merkel" », raconte l'élu rencontré sur place par Achim Lippold. L'artisan croit d'abord à canular d'une radio locale avant que le téléphone ne sonne à nouveau et qu'il réalise qu'Angela Merkel est bien au bout du fil. « D'après ce que je sais, la rénovation de la salle de bain est terminée, explique Detlef Tabbert. Elle prend en charge elle-même ce genre de choses : cela montre qu'elle est restée très terre à terre, elle s'occupe des choses banales comme vous et moi. » « Je me vois bien dormir un peu » Sauf qu'en tant qu'ancienne chancelière, Angela Merkel ne devrait manquer de rien. L'État devrait lui verser une pension de retraite estimée à 15 000 euros par mois par une association allemande de contribuables. Elle aura aussi droit à des gardes du corps à vie, ainsi que deux chauffeurs et un bureau. Mais pour ce qui est de ses autres projets, Angela Merkel se fait discrète. Fera-t-elle une pause pour s'adonner à ses passions, les randonnées ou les concerts d'opéra ? « Je me vois bien dormir un peu », concédait-elle tout juste cet été lors de l'un de ses derniers voyages officiels à Washington. Une chose est sûre pour Marion Van Renterghem, Angela Merkel n'occupera plus de hautes responsabilités politiques. « Elle se fiche des honneurs ou des postes de représentation. Elle ne sera pas présidente de la Commission européenne ou secrétaire générale des Nations unies, comme certains ont pu le penser. Je la vois bien en revanche monter une fondation, prendre une cause et s'y donner à fond. » Angela Merkel s'est aussi lancée avec sa proche conseillère Beate Baumann dans la rédaction de ses mémoires politiques. « La chancelière ne veut pas expliquer toute sa vie, détaille dans l'hebdomadaire Der Spiegel celle qui fut sa cheffe de bureau de 2005 à son départ. Elle veut expliquer ses principales décisions politiques avec ses propres mots et en se référant à son parcours. » Le projet d'écriture doit durer entre deux à trois ans. « Sur la crise grecque, on aimerait savoir ce qu'il l'a fait attendre si longtemps avant de débloquer le premier plan de sauvetage en 2010, s'interroge Paul Maurice, chercheur au Comité d'études des relations franco-allemandes (CERFA) de l'Institut français des relations internationales (IFRI). Ou encore qu'est-ce qui l'a conduite à ouvrir les frontières aux migrants en 2015 ? Qu'est-ce qui l'a guidée toutes ces années ? Toutes ces questions sont restées en suspens. Est-ce qu'elle y répondra ? On peut l'espérer. » À l'heure de dresser son bilan de 16 années à la tête de l'Allemagne, la journaliste Marion Van Renterghem rapporte dans son livre des propos d'Angela Merkel lors d'une réunion à Stralsund. À un participant qui lui demande : « Que voulez-vous que les livres d'histoire retiennent de vous dans 50 ans ?, elle répond : "Elle n'a pas ménagé sa peine" ».
Hacemos balance de la era Merkel con la periodista española Ana Carbajosa. Además, ¿sabes a quién acudir si tienes que traducir un documento al alemán o quieres solventar dudas burocráticas? Te damos todas las respuestas.
durée : 00:58:32 - Entendez-vous l'éco ? - par : Tiphaine de Rocquigny, Thibaut Mommeja - Après être restée 16 années à la tête de l'Allemagne, Angela Merkel devrait quitter le pouvoir dimanche prochain. Alors que l'histoire contemporaine de l'Europe est indéniablement liée à celle de la chancelière, retour sur le bilan politique et économique de la "femme la plus puissante du monde". - réalisation : François Richer - invités : Nicolas Leron Président du think tank EuroCité et du site de critiques Nonfiction, chercheur associé au Centre d'études européennes de Sciences Po; Eric-André Martin Secrétaire général du Comité d'études des relations franco-allemandes (Cerfa) de l'Ifri, spécialiste de la politique européenne et des relations internationales de l'Union européenne; Patricia Commun professeure de Civilisation Allemande à l'Université de Cergy-Pontoise, membre du laboratoire AGORA et directrice du master Langues et Commerce international
durée : 00:58:12 - Cultures Monde - par : Florian Delorme, Mélanie Chalandon - Entre concurrence, pénuries et contexte post-pandémie, l'automobile est-elle devenue le talon d'Achille de l'industrie allemande ? - réalisation : Vincent Abouchar, Benjamin Hû - invités : Patricia Commun professeure de Civilisation Allemande à l'Université de Cergy-Pontoise, membre du laboratoire AGORA et directrice du master Langues et Commerce international; Marie Krpata Chercheuse à l'IFRI, au comité d'études des relations franco-allemandes (Cerfa); Arnaud Lechevalier Maître de conférences en économie à l'université Panthéon-Sorbonne (Paris 1) et chercheur au Lise
Vous souhaitez vendre votre voiture, mais vous êtes perdus avec les démarches administratives à suivre ? Pas d'inquiétudes, nous sommes là pour vous aider à y voir plus clair. Dans cet article, Caroom vous détaille toutes les étapes à suivre, les documents nécessaires pour la cession du véhicule et tous les points importants à ne pas oublier lorsque vous souhaitez vendre votre véhicule. 00:00 Introduction 01:45 Quelles sont les conditions pour revendre son auto ? 02:42 Le site Histovec, pour vous aider à vendre votre voiture 03:32 Les démarches à suivre avant la vente 04:58 Le jour de la cession de votre voiture 06:22 Et après avoir vendu votre véhicule ? 06:57 L'essentiel à retenir N'hésitez pas à lire l'article en entier + BONUS :
Dans 9 jours … le dimanche 20 juin ce sera le premier tour des élections régionales … On redoute une forte abstention … Mais il faut rappeler que si on n'est pas là le jour du scrutin on peut donner procuration … Comment ça se passe Katell ? C'est très simple … Il y a deux manières de procéder … Soit via un formulaire papier à compléter … le classique formulaire CERFA à imprimer depuis le site du ministère de l'intérieur. Soit en ligne sur le site maprocuration.gouv.fr … Là il vous suffira d'indiquer la commune de vote, le nom, prénom et date de naissance du mandataire, et de sélectionner l'élection en question …départementale ou régionale …. Aucun justificatif n'est demandé. Mais dans les deux cas : papier ou en ligne il faut se déplacer dans un commissariat ou en gendarmerie pour valider la procédure de procuration. Que vous … pas la personne à qui vous donnez procuration … Et il n'est pas nécessaire de prendre rendez-vous … vous pouvez y aller comme ça !
durée : 00:57:32 - Affaires étrangères - par : Christine Ockrent - Comment le Nord Steam 2 accroît-il les tensions entre la Russie et l'Europe ? - réalisation : Luc-Jean Reynaud - invités : Céline Bayou Chargée de cours à l'INALCO, chercheure associée au CREE (Centre de recherches Europes-Eurasie) de l'INALCO et rédactrice en chef de la revue en ligne Regard sur l'Est.; Thierry Bros Professeur à Sciences Po, spécialiste de l'énergie; Igor Iourgens directeur de l’Institut de développement contemporain; Paul Maurice chercheur au Comité d'études des relations franco-allemandes (Cerfa) de l’Ifri,
El virólogo César Muñoz-Fontela nos da las claves de las vacunas para la COVID. Además, la mexicana Martha Marquina nos presenta su libro "Ninfas sin estrés" y Alejandra Valdés nos cuenta sobre la organización “Nosotras”.
durée : 00:38:46 - Le Temps du débat - par : Emmanuel Laurentin, Chloë Cambreling - Armin Laschet vient d’être élu à la tête de la CDU et sera probablement candidat à la chancellerie en septembre 2021. Avec le départ d’Angela Merkel s’annonce la fin d’un certain style et d’une pratique du pouvoir. Plus de 15 ans après sa première élection, peut-on parler d'un modèle Merkel ? - réalisation : Alexandre Manzanares - invités : Emmanuel Droit Professeur d'histoire contemporaine à Sciences Po Strasbourg, ancien directeur adjoint du Centre Marc Bloch; Eric-André Martin Secrétaire général du Comité d’études des relations franco-allemandes (Cerfa) de l'Ifri, spécialiste de la politique européenne et des relations internationales de l’Union européenne; Michèle Weinachter Maître de conférences en études germaniques contemporaines à l’Université de Cergy Pontoise et à Sciences-po Saint-Germain-en-Laye, membre du comité de rédaction de la revue Allemagne d'aujourd’hui
durée : 00:38:46 - Le Temps du débat - par : Emmanuel Laurentin, Chloë Cambreling - Armin Laschet vient d’être élu à la tête de la CDU et sera probablement candidat à la chancellerie en septembre 2021. Avec le départ d’Angela Merkel s’annonce la fin d’un certain style et d’une pratique du pouvoir. Plus de 15 ans après sa première élection, peut-on parler d'un modèle Merkel ? - réalisation : Alexandre Manzanares - invités : Emmanuel Droit Professeur d'histoire contemporaine à Sciences Po Strasbourg, ancien directeur adjoint du Centre Marc Bloch; Eric-André Martin Secrétaire général du Comité d’études des relations franco-allemandes (Cerfa) de l'Ifri, spécialiste de la politique européenne et des relations internationales de l’Union européenne; Michèle Weinachter Maître de conférences en études germaniques contemporaines à l’Université de Cergy Pontoise et à Sciences-po Saint-Germain-en-Laye, membre du comité de rédaction de la revue Allemagne d'aujourd’hui
durée : 00:58:16 - Affaires étrangères - par : Christine Ockrent - Clap de fin pour la chancelière allemande dont le successeur est élu ce samedi au congrès de l'Union chrétienne démocrate. - réalisation : Luc-Jean Reynaud - invités : Claire Demesmay Directrice du programme franco-allemand de l'Institut allemand de politique étrangère (DGAP - Deutsche Gesellschaft für Auswärtige Politik); Daniel Cohn-Bendit homme politique; Hans Stark Secrétaire général du Comité d'études des relations franco-allemandes (Cerfa) de l'Ifri (Institut Français des Relations Internationales) et professeur à la Sorbonne.; Henrik Uterwedde chercheur à l'Institut franco-allemand de Ludwigsburg (Bade-Wurtemberg)
durée : 00:58:15 - Cultures Monde - par : Florian Delorme, Mélanie Chalandon, Antoine Dhulster - Erigés en modèles d’intégration, de vivre-ensemble et d’égalité, les pays scandinaves ont longtemps fait figure d’exception dans le paysage politique européen. Mais qu’en est-il vraiment, à l'heure où la crise migratoire puis la pandémie ont mis les peuples scandinaves face à leurs faiblesses ? - réalisation : Vincent Abouchar, Benjamin Hû - invités : Yohann Aucante Politiste et maître de conférences à l’EHESS, spécialiste de la Scandinavie; Cyril Coulet chercheur spécialiste des pays nordiques.; Barbara Kunz politologue, chercheuse au Comité d’études des relations franco-allemandes (Cerfa), à l'Ifri
Surnommée affectueusement par ses partisans « Mutti » (maman), pour toute une génération elle est la seule incarnation du pouvoir. Angela Merkel fête ce dimanche 22 novembre les 15 ans de son arrivée à la tête du gouvernement allemand. 74% des Allemands ont une opinion favorable d’Angela Merkel. Comment expliquer cette popularité ? Notre invité est Paul Maurice, chercheur au Comité d'études des relations franco-allemandes (Cerfa) à l'IFRI.
Aidez-nous ! « Cette année, vu la situation liée à cette terrible épidémie, nous avons décidé de ne pas fixer de limites car au delà des 120 familles francophones que nous aidons chaque fête, de nombreuses personnes ont perdu leur emploi et les besoins seront immenses» C’est pourquoi je fais appel à votre générosité pour la plus grande mitsva de « Kim’ha Dépiss’ha ».Comme chaque année, nous transmettrons l’intégralité des sommes que nous recevrons.Une partie leur sera directement versée et l'autre partie servira à faire des achats « en gros » (à prix réduits) des produits nécessaires pour la fête. "Tous les membres d'Israël sont garants l'un de l'autre".Je bénis, du plus profond de mon cœur, tous nos frères qui voudront être nos associés pour réaliser cette si belle mitsva. Que D.ieu leur octroie la délivrance avec une grande générosité : bonheur, réussite, paix, santé, joie et Sa grande proximité. Amen ! Reçu Cerfa délivré pour déduction de vos impôts à hauteur de 66% Rav Ron Chaya J'accomplis cette Mitsva
Aidez-nous ! « Cette année, vu la situation liée à cette terrible épidémie, nous avons décidé de ne pas fixer de limites car au delà des 120 familles francophones que nous aidons chaque fête, de nombreuses personnes ont perdu leur emploi et les besoins seront immenses» C’est pourquoi je fais appel à votre générosité pour la plus grande mitsva de « Kim’ha Dépiss’ha ».Comme chaque année, nous transmettrons l’intégralité des sommes que nous recevrons.Une partie leur sera directement versée et l'autre partie servira à faire des achats « en gros » (à prix réduits) des produits nécessaires pour la fête. "Tous les membres d'Israël sont garants l'un de l'autre".Je bénis, du plus profond de mon cœur, tous nos frères qui voudront être nos associés pour réaliser cette si belle mitsva. Que D.ieu leur octroie la délivrance avec une grande générosité : bonheur, réussite, paix, santé, joie et Sa grande proximité. Amen ! Reçu Cerfa délivré pour déduction de vos impôts à hauteur de 66% Rav Ron Chaya J'accomplis cette Mitsva
Podcast de notre BCM du 19 octobre : « Les Européens peuvent-ils rester solidaires face à Donald Trump ? » avec Célia Belin, chercheuse invitée au Centre sur les Etats-Unis et l'Europe de la Brookings Institution, Barbara Kunz, chercheuse au Cerfa de l'IFRI, et moderé par Manuel Lafont Rapnouil, directeur du bureau de Paris de l’ECFR.
Podcast du Black Coffee Morning "L’élection présidentielle française vue par les Européens" du 16/05, animé par Barbara Kunz, chercheur au Comité d'études des relations franco-allemandes (Cerfa) de l'Ifri, Nicu Popescu, analyste senior à l’Institut d’études de sécurité de l’Union européenne (EUISS), et Tara Varma, coordinatrice du bureau de l’ECFR Paris.
Ce jeudi 26 août, Guillaume Rozier, fondateur de CovidTracker, Olivier Bogillot, président de Sanofi France, Cédric Villani, mathématicien, membre de l'Académie des sciences, Dounia Belghiti, fondatrice de PhDTalent, Oliver Lombard, Président-directeur général de Hopium, Stanislas Niox-Château, cofondateur de Doctolib, Alain Griset, ministre délégué en charge des Petites et Moyennes Entreprises, ainsi que Martin Stephan, directeur général délégué de Carbios, étaient les invités de la plénière de la REF 2021 présentée par Hedwige Chevrillon, Paul Maurice, chercheur au Comité d'études des relations franco-allemandes (Cerfa), Marion Van Renterghem, Grand reporter, lauréate du prix Albert Londres, Bernard Spitz, président international et Europe du MEDEF, ainsi que Hélène Herschel, délégué générale de la Fédération nationale des éditeurs de films (FNEF), étaient les invités dans Le Grand Journal de l'Éco présentée par Delphine Liou.Support this podcast at — https://redcircle.com/le-grand-journal-de-leco/donationsAdvertising Inquiries: https://redcircle.com/brandsPrivacy & Opt-Out: https://redcircle.com/privacy
Ce jeudi 26 août, Paul Maurice, chercheur au Comité d'études des relations franco-allemandes (Cerfa), et Marion Van Renterghem, Grand reporter, lauréate du prix Albert Londres, se sont penchés sur le suspens à la chancellerie allemande pour les prochaines élections fédérales, Bernard Spitz, président international et Europe du MEDEF, s'est penché sur le déplacement d'Emmanuel Macron à Dublin pour la rentrée européenne, ainsi que Hélène Herschel, délégué générale de la Fédération nationale des éditeurs de films (FNEF), s'est penchée sur le fait que le cinéma est pénalisé par le pass sanitaire, dans l'émission Le Grand Journal de l'Éco présentée par Delphine Liou.Support this podcast at — https://redcircle.com/le-grand-journal-de-leco/donationsAdvertising Inquiries: https://redcircle.com/brandsPrivacy & Opt-Out: https://redcircle.com/privacy