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Sept lieux, sept expositions : Laurent Le Bon, président du Centre Pompidou, revient sur sa pratique curatoriale à travers quelques expositions – de Dada à Dioramas en passant par Vides. Une rétrospective et Chefs d'œuvres ?Cet événement est organisé conjointement par l'École d'architecture Paris-Malaquais et les Beaux-arts de Paris, en lien avec l'enseignement « L'entour ». Il sera modéré par Audrey Illouz et Yann Rocher.L'enseignement de master « L'entour », consacré à l'histoire et à la technique de la scénographie d'exposition, est commun à l'École d'architecture Paris-Malaquais, aux Beaux-Arts de Paris, au Pavillon Bosio de Monaco, à l'ENSAD et au Centre Pompidou.Conservateur général du patrimoine, Laurent Le Bon fut chargé de la commande publique à la Délégation aux arts plastiques du ministère de la Culture et de la Communication puis, de 2000 à 2010, conservateur au Musée national d'Art Moderne du Centre national d'art et de culture Georges Pompidou. De 2008 à 2014, il a dirigé le Centre Pompidou-Metz où il a assuré le commissariat des expositions « Chefs-d'œuvre ? » et « 1917 ». De 2014 à 2021, il a présidé le Musée national Picasso-Paris.Il a été commissaire d'une cinquantaine d'expositions et l'auteur des ouvrages afférents, notamment « Dada » au Centre Pompidou, « Jeff Koons Versailles » au Château de Versailles, « Jardins » aux Galeries nationales du Grand Palais,« Dioramas » au Palais de Tokyo et « Picasso. Bleu et rose » au Musée d'Orsay. Depuis juillet 2021, il est président du Centre national d'art et de culture Georges Pompidou. Amphithéâtre des LogesLundi 5 mai 2025Crédit photo : © Didier Plowy Centre Pompidou
Partagez votre opinion avec la rédactionCécile Debray, présidente du Musée Picasso Paris, nous révèle les dessous de l'exposition "Picasso for Asia" qui fait dialoguer le maître espagnol avec l'art asiatique. À découvrir jusqu'au 13 juillet au M+ Hong Kong !Support the show
C'est la première exposition en France dédiée à l'un des chapitres les plus sombres de l'histoire de l'Art en Allemagne : celui de l'art « dégénéré ». Ce terme désignait les œuvres de plus de 1 400 artistes jugés non conformes à l'art officiel sous le régime nazi, de 1933 à 1945. Une attaque méthodique contre l'art moderne que le Musée Picasso explore à travers une soixantaine d'œuvres "rescapées" d'une trentaine d'artistes – avec l'objectif de leur rendre justice aujourd'hui. L'exposition L'art «dégénéré» : le procès de l'art moderne sous le nazisme est à découvrir au Musée Picasso à Paris jusqu'au 25 mai 2025.À lire aussiExposition «Paris Noir»: «Paris a été un carrefour d'artistes et d'intellectuels qui pensaient l'émancipation»
C'est la première exposition en France dédiée à l'un des chapitres les plus sombres de l'histoire de l'Art en Allemagne : celui de l'art « dégénéré ». Ce terme désignait les œuvres de plus de 1 400 artistes jugés non conformes à l'art officiel sous le régime nazi, de 1933 à 1945. Une attaque méthodique contre l'art moderne que le Musée Picasso explore à travers une soixantaine d'œuvres "rescapées" d'une trentaine d'artistes – avec l'objectif de leur rendre justice aujourd'hui. L'exposition L'art «dégénéré» : le procès de l'art moderne sous le nazisme est à découvrir au Musée Picasso à Paris jusqu'au 25 mai 2025.À lire aussiExposition «Paris Noir»: «Paris a été un carrefour d'artistes et d'intellectuels qui pensaient l'émancipation»
Le Musée national Picasso-Paris présente sa nouvelle exposition temporaire "Lʹart "dégénéré": Le procès de lʹart moderne sous le nazisme", à voir jusquʹau 25 mai 2025. Première exposition en France consacrée à lʹArt dit "dégénéré", elle explore et met en perspective lʹattaque méthodique du régime nazi contre lʹart moderne et la place quʹoccupe Pablo Picasso, archétype de lʹartiste "dégénéré" dans cette histoire. Johan Popelard, commissaire de lʹexposition est au micro dʹAriane Hasler.
durée : 00:17:34 - Les Midis de Culture - par : Marie Labory - Les critiques discutent de l'exposition "L'art 'dégénéré' : le procès de l'art moderne sous le nazisme" organisée au musée Picasso à Paris, qui présente des œuvres condamnées par les nazis en les remettant dans le contexte de l'émergence de théories racistes et antisémites dans l'histoire de l'art. - réalisation : Laurence Malonda, Daphné Leblond - invités : Stéphane Corréard Editorialiste au Journal des Arts; Sarah Ihler-Meyer Critique d'art et commissaire d'exposition
Le musée national Picasso-Paris présente actuellement l'exposition "L'art "dégénéré" : le procès de l'art moderne sous le nazisme". À cette occasion, Johan Popelard, chef du département de la conservation et des collections du musée et commissaire de l'exposition, reçoit Virginie Girod pour une visite guidée. Qu'est-ce que l'art "dégénéré" selon les nazis ? Comment le IIIe Reich a-t-il stigmatisé les artistes moderne ? Que sont devenues les œuvres confisquées par le régime ? Un entretien réalisé en partenariat avec l'exposition "L'art "dégénéré" : le procès de l'art moderne sous le nazisme", une exposition à découvrir jusqu'au 25 mai 2025 au musée national Picasso-Paris.
Virginie Girod raconte le parcours artistique de Pablo Picasso (1881-1973), figure majeure de l'art moderne. Dans le second épisode de ce double récit inédit d'Au cœur de l'Histoire, Pablo Picasso est un peintre célèbre, devenu un grand nom de l'art moderne. En Allemagne, Hitler prend le pouvoir et entend bientôt mettre l'art au service de sa propagande raciste et antisémite. La notion d'art "dégénéré" émerge, désignant toute forme d'art qui, selon les nazis, pourrait corrompre la pureté de la "race aryenne". Alors que de nombreux artistes modernes voient leur œuvre instrumentalisée par le IIIe Reich, Picasso, archétype du peintre dégénéré, assiste à la montée des périls. Un récit en partenariat avec l'exposition "L'art "dégénéré" : le procès de l'art moderne sous le nazisme" , présentée au musée national Picasso-Paris jusqu'au 25 mai 2025.
durée : 02:30:02 - Les Matins - par : Guillaume Erner, Isabelle de Gaulmyn - . - réalisation : Félicie Faugère - invités : Cécile Debray Conservatrice générale du patrimoine, présidente du Musée national Picasso-Paris; Jacques Follorou Journaliste au service International du « Monde », chargé des questions de sécurité, de renseignement, de terrorisme.; Alexandra Goujon Maîtresse de conférences à l'Université de Bourgogne, enseignante à Sciences Po Paris et spécialiste de l'Ukraine et de la Biélorussie; Luz Dessinateur satirique, auteur de bandes dessinées français
durée : 00:36:45 - France Culture va plus loin (l'Invité(e) des Matins) - par : Guillaume Erner, Isabelle de Gaulmyn - Plus de 20 000 œuvres furent la cible du régime national-socialiste, de 1933 à 1945. L'exposition “L'art “dégénéré”: le procès de l'art moderne sous le nazisme” au Musée Picasso, jusqu'au 25 mai 2025, nous plonge au cœur de cette vaste campagne de dénigrement et de destruction. - réalisation : Félicie Faugère - invités : Cécile Debray Conservatrice générale du patrimoine, présidente du Musée national Picasso-Paris; Luz Dessinateur satirique, auteur de bandes dessinées français
“Picasso Iconophage”au Musée national Picasso, Parisdu 11 juin au 15 septembre 2024Entretien avec Cécile Godefroy, responsable du Centre d'Études Picasso au Musée national Picasso-Paris, et co-commissaire de l'exposition,par Anne-Frédérique Fer, à Paris, le 10 juin 2024, durée 16'36,© FranceFineArt.https://francefineart.com/2024/06/12/3545_picasso-iconophage_musee-national-picasso/Communiqué de presseCommissariat :Cécile Godefroy, responsable du Centre d'Études Picasso au Musée national Picasso-Paris, docteure en histoire de l'art et membre de l'Association Internationale des Critiques d'art.Anne Montfort-Tanguy, conservatrice au cabinet d'Art graphique du Musée national d'art moderne et professeure en histoire de l'art moderne à l'École du Louvre.Le Musée national Picasso-Paris présente sa nouvelle exposition temporaire intitulée « Picasso Iconophage » du 11 juin au 15 septembre 2024 dans les espaces du rez-de-chaussée. L'exposition analyse la modernité de la conception de l'image de Pablo Picasso en explorant les sources artistiques et extra-artistiques de son oeuvre et leurs modes d'appropriationParcours de l'expositionMultiréférencée, l'oeuvre de Pablo Picasso frappe par la richesse de sa culture visuelle. L'artiste, célébré par les avant-gardes comme le pourfendeur de l'académisme, n'a eu pourtant de cesse de se présenter comme l'héritier d'une longue tradition picturale. Son rapport ambigu à l'histoire de l'art pose à la fois la question des sources et celle de leurs modes d'appropriation. Visiteur assidu du Louvre, Picasso a accumulé sa vie durant photographies, cartes postales, reproductions, affiches, revues et livres illustrés auxquels il faut encore ajouter les oeuvres de sa collection personnelle. Cet amoncellement qui constitua pour l'artiste un riche répertoire iconographique est symptomatique d'une nouvelle façon de penser l'image, affranchie du champ artistique et du temps historique. Il n'existe néanmoins aucune citation littérale dans son oeuvre : ses variations sur les tableaux des grands maîtres sont avant tout des déconstructions ; ses formes et ses compositions sont toujours hybrides. L'exposition propose de mettre en évidence l'inscription des peintures, des sculptures et des dessins de Picasso dans un réseau complexe d'images sources à travers quatre thèmes qui traversent son oeuvre : le héros, le Minotaure, le voyeur, le mousquetaire.[...] Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Fondateur du cubisme avec le peintre Georges Braque, créateur prolifique de près de 50 000 œuvres comprenant tableaux, sculptures, céramiques, tapisseries, dessins, croquis ou estampes, Pablo Picasso est sans conteste l'un des artistes majeurs du XXème siècle. À la suite du massacre de la ville de Guernica lors de la guerre d'Espagne en 1937, il devient aussi un peintre engagé et un symbole de paix en réalisant la fresque du même nom. En 2023, plusieurs musées à travers le monde, dont le Musée Picasso à Paris jusqu'au 27 août, célèbrent Picasso à l'occasion des 50 ans de sa mort. Mais les rétrospectives sur l'artiste mettent également en lumière les zones d'ombre de l'homme, et créent la polémique. Faisait-il déjà polémique de son vivant ? Sur quoi porte la polémique aujourd'hui ? Pourquoi maintenir les hommages malgré toutes ces révélations ? Écoutez la suite dans cet épisode de "Maintenant vous savez - Culture". Un podcast Bababam Originals, écrit et réalisé par Béatrice Jumel. Première diffusion : 8 mai 2023 A écouter aussi : Comment les luttes sociales sont-elles représentées dans l'art ? Quel est le livre préféré des Français ? Pourquoi les personnages de série meurent-ils sans raison ? Retrouvez tous les épisodes de "Maintenant vous savez - Culture". Suivez Bababam sur Instagram. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
“La collection : revoir Picasso”Nouvel accrochage de la collectionau Musée national Picasso, Parisà partir du 12 mars 2024Interview de Cécile Godefroy, Responsable du Centre d'Etudes Picasso, et co-commissaire de l'exposition,par Anne-Frédérique Fer, à Paris, le 11 mars 2024, durée 19'01,© FranceFineArt.https://francefineart.com/2024/03/14/3523_la-collection_musee-national-picasso/Communiqué de presseCommissariat :Cécile Debray, Présidente du Musée national Picasso-ParisSébastien Delot, Directeur de la conservation et des collections, Musée national Picasso-ParisCécile Godefroy, Responsable du Centre d'Etudes PicassoVirginie Perdrisot, Conservatrice du patrimoine, Musée national Picasso-ParisJohan Popelard, Conservateur du patrimoine, Musée national Picasso-ParisJoanne Snrech, Conservatrice du patrimoine, Musée national Picasso-ParisLe Musée national Picasso-Paris retrouve sa collection déployée sur trois étages, à partir du 12 mars prochain ; après une année de célébration et la magistrale exposition consacrée à l'artiste Sophie Calle. Dix ans après la réouverture du musée, la collection s'installe de manière pérenne dans l'écrin de l'Hôtel Salé.Fruit d'une histoire hors du commun, la constitution de la collection du Musée national Picasso-Paris a été rendue possible grâce au dispositif de la dation – aujourd'hui c'est la plus importante collection publique d'oeuvres de Picasso, les « Picasso de Picasso ». Issue des ateliers de l'artiste, cette collection nous permet de mieux saisir les explorations esthétiques de ce Picasso tour à tour : déconcertant, pluriel, contradictoire, réflexif, gestuel et conceptuel, esthète et engagé, bricoleur et poète. Est-il symboliste, cubiste, classique, surréaliste ou tout simplement figuratif et politique ?Lieu ouvert et vivant, le musée se saisit des questions de société pour interroger à travers la traversée de son oeuvre, celle de sa réception, c'est-à-dire celle du peintre le plus renommé, le plus regardé, mais également le plus discuté. C'est également l'occasion de consacrer des expositions dossiers ou des contrepoints, au coeur des collections. Le premier de cette série rend hommage à l'artiste Françoise Gilot, récemment disparue. Au-delà de son célèbre ouvrage intitulé Vivre avec Picasso, publié en 1965 – le parcours de l'artiste est évoqué depuis sa proximité avec le groupe des Réalités nouvelles aux grandes compositions totémiques des « peintures emblématiques » des années 1980.Développée sur 22 salles, cette nouvelle présentation rassemble près de 400 oeuvres : peintures, sculptures, assemblages, céramiques, dessins ou estampes, de toutes les périodes qui permettent d'offrir le témoignage de l'ampleur de ses explorations.Pour l'occasion, un appareil critique a été conçu à partir d'une documentation abondante (provenant des archives exceptionnelles du musée) : revues, photographies, ouvrages, films, correspondances, ainsi que des textes de salles permettant de saisir le contexte culturel de la création de ces oeuvres.La présence d'oeuvres de sa collection, des tableaux d'Henri Matisse ou de Paul Cézanne, des sculptures anonymes d'Afrique ou d'Océanie, révèle le dialogue constant que celui-ci a entretenu avec d'autres créateurs.L'oeuvre de Pablo Picasso enregistre soigneusement le monde qui l'entoure. Picasso développe sa propre théorie de l'histoire : il montre comment toute mémoire est associée à des archives de données et d'images. Conçu en étroite complicité avec Joris Lipsch de l'agence scénographique Studio Matters, le parcours a été le fruit d'un commissariat collectif de la conservation. Il s'est construit de manière à favoriser détours et redécouvertes. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Stéphane Bern raconte un marchand d'art et galeriste, un amoureux des arts, et du cubisme notamment, qui a vendu des œuvres, et en a exposées chez lui… avant d'en voir disparaître une grande partie durant la Seconde Guerre mondiale. Ou la véritable histoire de Léonce Rosenberg, le marchand d'art vivant… Comment a-t-il associé son nom au cubisme ? Quelles œuvres composaient son incroyable collection ? Quelle était sa conception du métier de marchand d'art ? Pour en parler, Stéphane Bern reçoit Giovanni Casini, historien de l'art et commissaire, avec Juliette Pozzo, de l'exposition "Dans l'appartement de Léonce Rosenberg" au musée Picasso à Paris jusqu'au 19 mai 2024.
“Dans l'appartement de Léonce Rosenberg”De Chirico, Ernst, Léger, Picabia…au Musée national Picasso, Parisdu 30 janvier au 19 mai 2024Interview de Juliette Pozzo, responsable de la collection personnelle de l'artiste au musée national Picasso de Paris et co-commissaire de l'exposition,par Anne-Frédérique Fer, à Paris, le 29 janvier 2024, durée 16'00,© FranceFineArt.https://francefineart.com/2024/02/05/3509_leonce-rosenberg_musee-national-picasso/Communiqué de presse Commissariat :Juliette Pozzo est chargée d'études documentaires principale. responsable de la collection personnelle de l'artiste au musée national Picasso de ParisGiovanni Casini est historien de l'art et commissaire indépendant basé à MilanLe Musée national Picasso-Paris présente sa nouvelle exposition temporaire, « Dans l'appartement de Léonce Rosenberg. De Chirico, Ernst, Léger, Picabia… ». Sous forme d'évocation d'un décor disparu, l'exposition permettra de mettre en lumière un ensemble pictural inédit et méconnu, conçu par des artistes majeurs de l'entre-deux-guerres.L'exposition présente l'histoire du décor mythique de l'appartement parisien du marchand et galeriste Léonce Rosenberg. Celui-ci entend associer son nom au cubisme tardif mâtiné de figuration, voie ouverte par Picasso, artiste qu'il admire et accompagne pendant la guerre et les années 1920. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 00:11:59 - L'invité de 7h50 du week-end - L'exposition "À toi de faire, ma mignonne" de Sophie Calle se termine ce dimanche 28 janvier au Musée Picasso (Paris 4e). L'artiste plasticienne et photographe était l'invitée de 7h50.
Sophie Calle se penche sur les mots des Petits Papiers au coeur de son exposition "A toi de faire ma mignonne" au Musée Picasso à Paris. Elle raconte son travail et évoque les thèmes qui lui sont chers comme l'absence et le manque. Présentation : Régine DUBOIS Merci pour votre écoute Les petits Papiers c'est également en direct tous les dimanches de 17h à 18h sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez tous les épisodes des petits Papiers sur notre plateforme Auvio.be : https://auvio.rtbf.be/emission/2332 Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement.
Dès 1905, Gertrude Stein et Pablo Picasso, fraîchement arrivés à Paris, nouent une amitié étroite. De ce dialogue artistique entre le peintre et l'écrivain naît le cubisme, ainsi qu'une postérité immense sur la scène américaine du vingtième siècle. Dans cette conférence, les commissaires présentent leur exposition conçue comme une traversée dans les avant-gardes picturales et littéraires. Avec Cécile Debray, conservatrice générale du patrimoine, présidente du Musée national Picasso-Paris et Assia Quesnel, historienne de l'art Jusqu'au 28/01/2024
Le 8 avril 2023 marque le cinquantième anniversaire de la disparition de Pablo Picasso et place ainsi l'année sous le signe de la célébration de son œuvre et de son héritage artistique en France, en Espagne et à l'international. À l'occasion de cette année anniversaire, le Musée national Picasso-Paris invite le designer britannique Sir Paul Smith, connu pour son travail sur la couleur, le sur-mesure et le kitsch, à signer la direction artistique d'un accrochage exceptionnel, mettant à l'honneur la collection du musée. Cet accrochage conçu avec la complicité de Sir Paul Smith se déploie autour des chefs-d'œuvre de la collection. L'approche unique que le designer porte sur les œuvres invite le public à les envisager à travers une lecture plus contemporaine, et souligne le caractère toujours actuel du travail de Picasso. Aussi, les univers des deux créateurs se rencontrent parfois, comme autour d'un amour partagé pour les objets, pour le costume ou l'espièglerie, proposant des rapprochements et une mise en espace des œuvres résolument inventive et spectaculaire !
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Des lumières noires pour une nuit blanche.. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Fondateur du cubisme avec le peintre Georges Braque, créateur prolifique de près de 50 000 œuvres comprenant tableaux, sculptures, céramiques, tapisseries, dessins, croquis ou estampes, Pablo Picasso est sans conteste l'un des artistes majeurs du XXème siècle. À la suite du massacre de la ville de Guernica lors de la guerre d'Espagne en 1937, il devient aussi un peintre engagé et un symbole de paix en réalisant la fresque du même nom. En 2023, plusieurs musées à travers le monde, dont le Musée Picasso à Paris jusqu'au 27 août, célèbrent Picasso à l'occasion des 50 ans de sa mort. Mais les rétrospectives sur l'artiste mettent également en lumière les zones d'ombre de l'homme, et créent la polémique. Faisait-il déjà polémique de son vivant ? Sur quoi porte la polémique aujourd'hui ? Pourquoi maintenir les hommages malgré toutes ces révélations ? Écoutez la suite dans cet épisode de "Maintenant vous savez - Culture". Un podcast Bababam Originals, écrit et réalisé par Béatrice Jumel. A écouter aussi : Quels sont les 3 plans les plus cultes d'Alfred Hitchcock ? Pourquoi le nouveau logo de New York fait-il polémique ? Comment est-on passé du cinéma en noir et blanc à la couleur ? Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Exposition Matisse. Cahiers d'art, le tournant des année 30Du 1er mars au 29 mai 2023 au musée de l'OrangerieLes expositions sur Matisse sont foisonnantes. Parmi celles qui ont abordé les différentes périodes de sa carrière, très peu se sont penchées spécifiquement sur les années 1930. Dans cet entretien, Cécile Debray livre les clés de l'exposition « Matisse. Cahiers d'art, le tournant des années 1930 », qui se consacre exclusivement à cette décennie.Avec la participation de Cécile Debray, Présidente du Musée national Picasso – Paris, et commissaire de l'exposition.Entretien réalisé par Scarlett Reliquet, chargée de programmation culturelle et scientifique aux musées d'Orsay et de l'Orangerie. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Cette semaine, Audrey nous recommande Black is beautiful, l'exposition de Faith Ringgold, artiste américaine militante qui travaille sur les communautés afro-américaines ainsi que sur la question raciale. Remplie d'huiles sur toiles et de peintures sur tissu, l'exposition a lieu au Musée Picasso à Paris jusqu'au 2 juillet 2023. Merci à HelloFresh de soutenir Les Mains dans la pop ! Avec le code POP100 ou via ce lien vous aurez droit jusqu'à 100 euros de réduction sur vos 4 premières commandes.Les Mains dans la pop est une émission de Nouvelles ÉcoutesAnimée par Mahaut Drama et Audrey Couppé de KermadecProduite par Julien NeuvilleMontage, mixage et enregistrement par Livio Boullenger au studio Artistic PalaceDirectrice générale adjointe : Nora HissemDirectrice artistique : Aurore MahieuDirectrice des productions : Marion GourdonDirectrice commercial : Emmanuelle FortunatoChargée de production : Ashley Tola Vous pouvez consulter notre politique de confidentialité sur https://art19.com/privacy ainsi que la notice de confidentialité de la Californie sur https://art19.com/privacy#do-not-sell-my-info.
Merci à HelloFresh de soutenir Les Mains dans la pop ! Avec le code POP100 via ce lien vous aurez droit jusqu'à 100 euros de réduction sur vos 4 premières commandes.Cette semaine, la couronne de la win revient aux associations qui ont attaqué l'Etat en justice dans le but de le contraindre à appliquer, enfin, trois cours d'éducation sexuelle annuels à l'école. Le deuxième winner n'est autre qu'Eliott Page, icône queer et acteur révélé dans le film Juno. Côté loose, on retrouve Hailey Bieber et Kylie Jenner, surnommées les mean girls sur les réseaux sociaux, qui se moqueraient de Selena Gomez, ex copine de Justin Bieber. Le dernier prix de la lose est décerné à Elon Musk qui affirme que les médias sont racistes… envers les blancs ! Audrey et Mahaut reviennent ensuite sur les polémiques autour de The Idol, la nouvelle série HBO du créateur d'Euphoria, Sam Levinson. Entre hypersexualisation des femmes au cinéma et conditions de tournage plus que problématiques, la série fait déjà parler d'elle en mal avant même d'être sortie. L'occasion de s'intéresser à la différence entre le female et le male gaze.Dans la rôtisserie de Mahaut, c'est Dora Moutot, la créatrice du compte Instagram T'as joui, qui s'apprête à se faire rôtir. Poursuivie en justice pour injures et appel à la haine transphobe, elle a ouvert une cagnotte Leetchi pour que ses abonné·es lui payent ses frais de justice. Enfin, Audrey nous recommande Black is beautiful, l'exposition de Faith Ringgold, une artiste américaine militante qui travaille autour des communautés afro-américaines ainsi que sur la question raciale. L'exposition a lieu au Musée Picasso à Paris, jusqu'au 2 juillet 2023.Les Mains dans la pop est une émission de Nouvelles ÉcoutesAnimée par Mahaut Drama et Audrey Couppé de KermadecProduite par Julien NeuvilleMontage, mixage et enregistrement par Livio Boullenger au studio Artistic PalaceDirectrice générale adjointe : Nora HissemDirectrice artistique : Aurore MahieuDirectrice des productions : Marion GourdonDirectrice commercial : Emmanuelle FortunatoChargée de production : Ashley Tola et Cassandra De Carvalho Vous pouvez consulter notre politique de confidentialité sur https://art19.com/privacy ainsi que la notice de confidentialité de la Californie sur https://art19.com/privacy#do-not-sell-my-info.
“Célébration Picasso”La collection prend des couleurs !au Musée national Picasso, Parisdu 7 mars au 27 août 2023Interview de Joanne Snrech, conservatrice du patrimoine, responsable des peintures au Musée national Picasso-Paris, et co-commissaire de l'exposition,par Anne-Frédérique Fer, à Paris, le 6 mars 2023, durée 20'57.© FranceFineArt.https://francefineart.com/2023/02/26/3394_collection-rijksmuseum_fondation-custodiaCommuniqué de presse Commissariat et direction artistique :L'accrochage est conçu par Cécile Debray, conservatrice générale du patrimoine et présidente du Musée national Picasso-Paris. & Joanne Snrech, conservatrice du patrimoine et responsable des peintures au Musée national Picasso-Paris, commissaires, avec une direction artistique de Paul Smith, designers britanniques.Le 8 avril 2023 marque le cinquantième anniversaire de la disparition de Pablo Picasso et place ainsi l'année sous le signe de la célébration de son oeuvre et de son héritage artistique en France, en Espagne et à l'international. À l'occasion de cette année anniversaire, le Musée national Picasso-Paris invite le designer britannique Sir Paul Smith, connu pour son travail sur la couleur et le sur-mesure à signer la direction artistique d'un accrochage exceptionnel, mettant à l'honneur la collection du musée.Cet accrochage conçu sous la direction artistique de Sir Paul Smith se déploie autour des chefs-d'oeuvre de la collection. L'approche unique que le designer porte sur les oeuvres invite le public à les envisager à travers une lecture plus contemporaine, et souligne le caractère toujours actuel du travail de Picasso. Aussi, les univers des deux créateurs se rencontrent parfois, comme autour d'un amour partagé pour les objets, pour le costume ou l'espièglerie, proposant des rapprochements et une mise en espace des oeuvres résolument inventive et spectaculaire !Le parcours est ponctué d'oeuvres d'artistes contemporains internationaux. Ainsi, Guillermo Kuitca, Obi Okigbo, Mickalene Thomas et Chéri Samba participent de cette même volonté d'ouvrir de nouvelles perspectives sur la postérité de l'oeuvre de Picasso, en questionnant son image ou en reprenant à leur compte, certaines de ses innovations plastiques. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
“Picasso & la Préhistoire” au Musée de l'Homme, Parisdu 8 février au 12 juin 2023Interview de Cécile Godefroy, historienne de l'art, responsable scientifique du centre d'études Picasso – musée national Picasso Paris, et commissaire de l'exposition,par Anne-Frédérique Fer, à Paris, le 8 février 2023, durée 20'27.© FranceFineArt.https://francefineart.com/2023/02/08/3381_picasso_musee-de-l-homme/Communiqué de presse Commissariat :commissariat : Cécile Godefroyconseillers scientifiques préhistoire : Patrick Paillet et Éric Robertcheffe de projet muséographe : Charlène CamarellaDans le cadre de sa saison « Arts et Préhistoire », le Musée de l'Homme propose, du 8 février au 12 juin 2023, une exposition inédite consacrée à « Picasso et la Préhistoire ». Sur 240 m2, une quarantaine de peintures, sculptures, dessins, céramiques et galets gravés de Pablo Picasso, sont présentés en dialogue avec des oeuvres préhistoriques et des objets de ses ateliers, explorant la relation de Picasso à ce passé lointain. Cette exposition s'inscrit dans le cadre de la « Célébration Picasso 1973 – 2023 ».L'authentification des premiers objets et peintures de la Préhistoire, au début du XXe siècle, marque profondément les artistes de l'époque et ouvre leur regard. Par le biais d'expositions et de publications, ils accèdent à un catalogue d'œuvres venues d'ailleurs, dont le réalisme schématique leur apparaît d'une modernité remarquable.Les premières peintures préhistoriques sont découvertes en Espagne dans la grotte d'Altamira en 1879 – deux ans avant la naissance de Picasso. Il faut cependant attendre 1902, (l'année des 21 ans de Picasso, qui vit alors principalement à Barcelone) pour que les scientifiques les authentifient comme la marque d'un art pariétal paléolithique original, doté d'un réalisme et d'une modernité remarquables. Ce choc esthétique et philosophique s'inscrit dans un contexte artistique de profond renouvellement, bientôt marqué par les expérimentations cubistes et surréalistes. Le Manifeste du Surréalisme d'André Breton, paraît en 1924, deux ans après la découverte de la Vénus de Lespugue. Picasso a-t-il visité les sites préhistoriques révélés à cette époque ? Rien ne l'atteste, même si on lui a prêté des propos enthousiastes à ce sujet. Mais les préhistoriens disposaient déjà d'outils de diffusion : ils pratiquaient la photographie en noir et blanc, les relevés à vue et les relevés par contact, à l'échelle 1, à l'aide de papiers calques apposés sur les parois. Les objets d'art mobilier et l'art pariétal ont ainsi été portées à la connaissance du public et des artistes, par le biais de reproductions dans des revues d'art et d'archéologie, à l'instar de Cahiers d'art, créée en 1926 par Christian Zervos, critique d'art et ami de Picasso, dont l'exposition réunit quelques parutions dédiées.[...] Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
“Faith Ringgold” Black is bautifulau Musée national Picasso, Parisdu 31 janvier au 2 juillet 2023Interview de Cécile Debray, présidente du Musée national Picasso-Paris et commissaire de l'exposition,par Anne-Frédérique Fer, à Paris, le 30 janvier 2023, durée 8'15.© FranceFineArt.https://francefineart.com/2023/01/31/3375_faith-ringgold_musee-national-picasso/Communiqué de presse Commissariat :Cécile Debray, conservatrice générale du patrimoine, présidente du Musée national Picasso-ParisLe Musée national Picasso-Paris accueille la première exposition en France réunissant un ensemble d'oeuvres majeures de Faith Ringgold. Figure emblématique d'un art engagé et féministe américain, depuis les luttes pour les droits civiques jusqu'à celles des Black Lives Matter, auteur de très célèbres ouvrages de littérature enfantine, Faith Ringgold a développé une oeuvre qui relie le riche héritage de la Harlem Renaissance à l'art actuel des jeunes artistes noirs américains. Elle mène, à travers ses relectures de l'histoire de l'art moderne, un véritable dialogue plastique et critique avec la scène artistique parisienne du début du XXème siècle, notamment avec Picasso et ses Demoiselles d'Avignon.Née à New York en 1930, Faith Ringgold a grandi à Harlem, quartier nord de Manhattan devenu, dans l'entre-deux guerres, la capitale symbolique de l'éveil culturel des communautés noires, encouragé notamment par l'ouvrage The New Negro (1925) de l'écrivain et philosophe Alain Locke. Elle a passé son enfance dans une communauté florissante de créateurs, de musiciens, d'écrivains et de penseurs. Elle a continué à y vivre et à y travailler en tant qu'artiste et enseignante dans les écoles publiques pendant des décennies. C'est là où se sont formés ses engagements artistiques, culturels et familiaux. L'ensemble du parcours de l'artiste témoigne de sa quête et de sa création de formes singulières propres à l'exploration radicale de l'identité sexuelle et raciale. Cette exposition est la première à réunir, en France, un ensemble d'oeuvres majeures de Faith Ringgold. Elle prolonge la rétrospective que lui a consacré le New Museum au début de l'année 2022 et est organisée en collaboration avec cette institution new-yorkaise.Catalogue de l'exposition Faith Ringgold aux éditions Musée national Picasso-Paris – RMN-Grand-Palais#RinggoldPicasso Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
“Pierre Moignard” Mentir vraiau Musée national Picasso, Parisdu 13 décembre 2022 au 2 avril 2023Interview de François Dareau, chargé de recherches au Musée national Picasso-Paris, et commissaire de l'exposition,par Anne-Frédérique Fer, à Paris, le 14 décembre 2022, durée 14'17.© FranceFineArt.https://francefineart.com/2022/12/15/3364_pierre-moignard_musee-national-picasso/Communiqué de presse Commissariat : François Dareau, chargé de recherches au Musée national Picasso-Paris.Le Musée national Picasso-Paris poursuit son travail d'inventaire sur l'influence de l'oeuvre de Pablo Picasso au sein de la création contemporaine, en accueillant l'artiste Pierre Moignard.L'oeuvre picturale de Pierre Moignard se développe au cours des années 1980 à contre-courant des pratiques artistiques dominantes, dans un contexte où la peinture figurative intéresse peu les artistes et la critique. Incorporant régulièrement à son iconographie des figures empruntées à l'Histoire de l'art occidental, de Francisco de Goya à Edward Hopper, en passant par Édouard Manet, l'artiste travaille depuis 2013 à partir de l'oeuvre de Pablo Picasso. Transposant en peintures des dessins érotiques tardifs de l'artiste espagnol découverts lors de l'exposition « Le Dernier Picasso » au Centre Pompidou en 1989, Pierre Moignard replace l'inventivité et la puissance formelle de ces oeuvres dans notre présent. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Christophe Hondelatte raconte l'année 1966 en puisant dans les archives d'Europe 1. Cette année-là… le phénomène Antoine énerve Johnny Hallyday; De Gaulle s'oppose à la guerre américaine au Vietnam; l'invention des caisses automatiques dans les magasins et le carton de l'exposition Picasso à Paris !
Christophe Hondelatte raconte l'année 1966 en puisant dans les archives d'Europe 1. Cette année-là… le phénomène Antoine énerve Johnny Hallyday; De Gaulle s'oppose à la guerre américaine au Vietnam; l'invention des caisses automatiques dans les magasins et le carton de l'exposition Picasso à Paris !
Hasta el 15 de enero de 2023, el Museo Thyssen presenta en sus salas la exposición Picasso/Chanel, organizada con el apoyo de la Comisión Nacional para la Conmemoración del 50 aniversario de la muerte de Pablo Picasso y el excepcional apoyo del Musée national Picasso-Paris. Este nuevo proyecto expositivo explora la relación entre el artista español y la diseñadora Gabrielle Chanel, dos de los grandes creadores del siglo XX. Para hablarnos de este vínculo y del montaje de la exposición nos acompañan su comisaria, Paula Luengo, conservadora del Área de Exposiciones, y Leticia de Cos, también conservadora del museo y comisaria técnica de este proyecto. Empresa colaboradora de la celebración en España Telefónica. Con el apoyo de CHANEL. Con la colaboración de Turismo Comunidad de Madrid.
“Farah Atassi“ Artistes et modèlesau Musée national Picasso [2ème étage de l'hôtel Salé], Parisdu 13 septembre 2022 au 29 janvier 2023Interview de Florence Derieux, historienne de l'art et commissaire de l'exposition,par Anne-Frédérique Fer, à Paris, le 8 septembre 2022, durée 10'33.© FranceFineArt.Communiqué de presse Commissaire de l'exposition :Florence Derieux, historienne de l'artLe musée Picasso lance un nouveau cycle d'invitations à des artistes contemporainsAfin d'interroger la postérité de Picasso et faire écho aux débats actuels autour de son oeuvre, le Musée national Picasso-Paris lance une programmation d'interventions d'artistes contemporains. Pour sa première invitation à une figure de la création contemporaine, le Musée a convié l'artiste française ORLAN à exposer deux séries photographiques intitulées « ORLAN s'hybride aux portraits des femmes de Picasso » et « Les femmes qui pleurent sont en colère », réalisées en 2019. En septembre 2022, pour sa deuxième invitation, le Musée invite l'artiste belgo-syrienne Farah Atassi qui présente une quinzaine de ses oeuvres les plus récentes, dont six produites spécialement pour le Musée national Picasso-Paris.Un catalogue en co-édition Musée national Picasso-Paris et Manuella éditions est disponible.https://www.manuella-editions.fr/Née en 1981, d'origine syrienne, l'artiste Farah Atassi opère une relecture de la modernité en visant à la communication universelle. Elle utilise ainsi le langage formel créé par les modernes (Pablo Picasso, Fermand Léger, Georges Braque, Henri Matisse, mais aussi Jean Brusselmans ou encore Sonia Delaunay et, plus récemment, Tarsila do Amaral) non pas dans une soumission à cet héritage, mais bien pour marquer une rencontre avec un langage et un choix pictural. La régularité et la rapidité avec laquelle le travail de Farah Atassi a et continue d'évoluer, et la manière dont il se développe, en font une oeuvre particulièrement remarquable. Pour sa première exposition personnelle dans une institution parisienne, l'artiste présente une quinzaine de ses oeuvres les plus récentes, dont six d'entre elles ont été produites spécialement pour le Musée national Picasso-Paris. Cette exposition est accompagnée d'un catalogue monographique. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
PICASSO THE MAGUS. Diana Widmaier-Picasso recently published a book with anthropologist Philippe Charlier (Gallimard) titled Picasso Sorcier and curated an exhibition about her mother Maya with Emilia Philippot that is on until December 31, 2022 at Musée Picasso-Paris. She has also had a presentation during Couture Week in Paris of her other activity, which is jewelry. In 2017 she co-founded with Roy Sebag a company called Menē which specialises in 24 karat gold and platinum jewelry.
Picasso est certes un génie, mais il n'a pas que des qualités pour les féministes qui le considèrent comme misogyne. Participant à ce débat, le Musée Picasso à Paris a invité la grande artiste féministe Orlan qui revisite les portraits féminins de Picasso. Les femmes qui pleurent sont en colère est le titre de l'exposition et fait référence aux portraits de Dora Maar en pleurs.
“ORLAN“Les femmes qui pleurent sont en colèreSalle blanche de l'hôtel Salé, au Musée national Picasso, Parisdu 17 mai au 4 septembre 2022Interview de François Dareau, chargé de recherches au Musée national Picasso-Paris et commissaire de l'exposition,par Anne-Frédérique Fer, enregistrement réalisé par téléphone, entre Paris et Marseille, le 16 janvier 2022, durée 13'24.© FranceFineArt.Communiqué de presse Commissariat : François Dareau, chargé de recherches au Musée national Picasso-Paris.Le musée Picasso lance un nouveau cycle d'invitations à des artistes contemporains Afin d'interroger la postérité de Picasso et faire écho aux débats actuels autour de son oeuvre, le Musée national Picasso-Paris lance une programmation d'interventions d'artistes contemporains. Pour sa première invitation à une figure de la création contemporaine, le Musée convie l'artiste fran-çaise ORLAN à exposer deux séries photographiques intitulées « ORLAN s'hybride aux portraits des femmes de Picasso » et « Les femmes qui pleurent sont en colère », réalisées en 2019. En septembre 2022, l'artiste belgo-syrienne Farah Atassi présentera une quinzaine de ses oeuvres les plus récentes, dont six produites spécialement pour le Musée national Picasso-Paris.« Les femmes qui pleurent sont en colère » est une nouvelle série de photographies hybridées que j'ai créé pour mettre en scène les femmes de l'ombre : les inspiratrices, les modèles, les muses. (…) Je relis l'oeuvre de Picasso pour remettre la femme-sujet au centre. » ORLANArtiste totale, ORLAN interroge le statut du corps et les pressions politiques, religieuses, sociales et traditionnelles qui s'y inscrivent. Son travail dénonce la violence faite aux corps et en particulier à ceux des femmes, engageant ainsi son oeuvre dans un combat féministe. Elle s'empare ici d'une série de peintures et dessins de Picasso datant de la fin des années 1930. Représentant des figures éplorées, allégories de la souffrance, elles ont été en grande partie inspirées par la photographe Dora Maar, alors compagne du peintre, mais aussi des victimes de la guerre civile espagnole. Pour accompagner l'exposition, un livret est publié par le Musée Picasso Paris est articulé autour d'un entretien avec ORLAN et François Dareau, commissaire de l'exposition, ainsi qu'une postface de Cécile Derbray, directrice du Musée national Picasso-Paris. Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.
Il y a 60 ans, Yves Saint Laurent présentait sa première collection. À l'occasion de cet anniversaire, 6 musées parisiens (le Centre Pompidou, le Musée d'Art Moderne de Paris, le Musée du Louvre, le Musée d'Orsay, le Musée national Picasso-Paris et le Musée Yves Saint Laurent Paris) rendent hommage au couturier en exposant ses créations. Comment est né ce projet ? Comment les musées ont été choisis ? "Dispatcher des vêtements et les mettre en confrontation avec des œuvres d'art qui les ont inspirées, c'est une première mondiale", explique Monique Younès, journaliste du service culture de RTL "Focus" est un podcast quotidien de RTL. Du lundi au vendredi, "Focus" prend un peu de temps, un peu de champ, pour mieux comprendre ce qui se passe autour de nous, mieux comprendre notre époque, grâce aux reporters, correspondants et experts de RTL.
Christophe Hondelatte raconte l'année 1966 en puisant dans les archives d'Europe 1. Cette année-là… le phénomène Antoine énerve Johnny Hallyday ! De Gaulle s'oppose à la guerre américaine au Vietnam, l'invention des caisses automatiques dans les magasins ! Et le carton de l'exposition Picasso à Paris !
“Picasso à l'image“ au Musée national Picasso, Parisdu 9 novembre 2021 au 12 février 2023Interview de Joanne Snrech, conservatrice au Musée national Picasso-Paris et de Camille Frasca, historienne de l'art, commissaires de l'exposition,par Anne-Frédérique Fer, à Paris, le 9 novembre 2021, durée 17'10.© FranceFineArt.Communiqué de presse commissaires de l'exposition :Joanne Snrech, conservatrice au Musée national Picasso-ParisCamille Frasca, historienne de l'artA l'automne 2021, “Picasso à l'image” présente un parcours thématique inédit au sein des collections autour des apparitions de Pablo Picasso devant la caméra, aux niveaux 2 et 3 du musée.À partir de films d'art et d'archives, de documentaires tournés du vivant de l'artiste, de reportages photographiques et de documents sonores, Picasso apparaît en mouvement, présentant les différentes facettes de sa vie et de son oeuvre : créateur de génie et père de famille, hédoniste méditerranéen et infatigable travailleur, personnalité enjouée et ami fidèle… C'est Picasso lui-même, à travers ces films, qui est ainsi mis au coeur du parcours, rythmé par le fil rouge des extraits audiovisuels. En regard de ces images fixes ou animées sont présentées des chefs-d'oeuvre de la collection faisant écho à chacune des projections.Conçu en deux temps, le parcours propose d'abord, au niveau 2, une remise en perspective de l'homme et de sa création par une traversée dans divers lieux qui ont marqué Picasso, des années 1930 aux années 1960. Il se poursuit au niveau 3 par une plongée dans l'atelier cannois de la villa La Californie au sein duquel fusionnent véritablement la vie et l'oeuvre de l'artiste. Un rendez-vous immersif inédit clôt la visite, invitant le visiteur à pénétrer dans cet atelier mythique que Picasso a occupé de 1955 à 1961.“Picasso à l'image” mêle images d'archives et extraits de grands projets cinématographiques (Le Mystère Picasso, en 1956, Le Testament d'Orphée, en 1960) avec la volonté de montrer l'artiste dans son environnement, au travail, en famille, entre amis, devant la caméra et sous les feux des projecteurs.Au sein des salles, cet accrochage est ponctué par une intervention d'art contemporain qui se déploie dans plusieurs espaces du musée : invité à produire une oeuvre in situ, l'artiste Adalberto Mecarelli propose au même moment une installation composée d'une dizaine de projections lumineuses instaurant un dialogue poétique avec les lieux. Déployée sur les quatre niveaux du bâtiment, Lux Umbrae dessine un parcours inédit au sein de l'hôtel Salé : les faisceaux de lumière projetés sur les murs soulignent des détails architecturaux et invitent le public à promener son regard pour découvrir des formes qui ouvrent un nouvel espace imaginaire au sein du musée Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.
“Picasso l'étranger“au Musée de l'histoire de l'immigration, Palais de la Porte dorée, Parisdu 4 novembre 2021 au 13 février 2022Interview de Annie Cohen-Solal, historienne et commissaire de l'exposition,par Anne-Frédérique Fer, à Paris, le 3 novembre 2021, durée 9'36.© FranceFineArt.Communiqué de presseCommissariat général :Annie Cohen-Solal, historienne, assistée d'Elsa RigauxEn collaboration avec le Musée national Picasso-ParisPrenant appui sur une enquête stupéfiante menée par l'historienne Annie Cohen-Solal, cette exposition porte un regard radicalement nouveau sur Picasso, l'un des plus grands artistes de notre temps.On a l'impression que tout a été dit sur Picasso, l'artiste mythique du XXe siècle. Aucune œuvre n'a provoqué autant de passions, de débats, de polémiques que la sienne. Mais qui a conscience aujourd'hui des obstacles qui pavèrent la route du jeune artiste, convaincu de son génie, qui débarque à Paris en 1900 sans parler un mot de français ? Comment Picasso se repère-t-il dans cette métropole moderne, encore secouée par les séquelles de l'Affaire Dreyfus ? Comment organise-t-il ses premières amitiés, ses premiers succès ? Pourquoi, en 1940, alors qu'il est célébré dans le monde entier, sa demande de naturalisation française est-elle refusée? Pourquoi son oeuvre reste-t-elle invisible dans les musées de son pays d'accueil jusqu'en 1947 ?Telles sont quelques-unes des questions soulevées par l'exposition Picasso l'étranger. Tel est l'angle inédit adopté par sa commissaire, l'historienne Annie Cohen-Solal. La situation existentielle de Picasso étranger en France, insiste-t-elle, a conditionné sa démarche de création artistique. Six années de recherches dans des fonds d'archives inexploités ont permis de dévoiler les anomalies, les décalages, les scandales même parfois qui attendaient Picasso dans un pays aux institutions obsolètes, secoué par des vagues de xénophobie jusqu'en 1945. C'est dès juin 1901, au moment de sa première exposition à la galerie Vollard, que la police constitue un dossier contre lui, le décrivant comme anarchiste. Pendant quarante ans, dans les administrations françaises, Picasso sera perçu comme un intrus, un étranger, un homme d'extrême gauche, un artiste d'avant-garde – autant de stigmates dont il ne parla jamais à personne, mais qui marquèrent indéniablement son quotidien.De fait, au-delà de sa production artistique considérable, Picasso va aussi révéler des talents politiques hors pair, devenant un puissant vecteur de modernisation de la France. En 1955, en artiste global et étranger illustre, il s'installe pour toujours dans le Midi, choisissant le Sud contre le Nord, les artisans contre les beaux-arts, la région contre la capitale. Aujourd'hui, son expérience d'exclusion ne rejoint-elle pas l'expérience de tous ceux qui se sont heurtés au rejet de l'autre ? L'habileté de ses réactions ne constitue-t-elle pas un modèle à contempler et même à suivre ?À travers les prêts exceptionnels du Musée national Picasso-Paris, du Musée Picasso de Barcelone et du Musée Picasso d'Antibes ainsi que d'autres institutions comme le Centre Pompidou-MNAM, MAMVP, la collection Masurel-LaM tout comme des musées étrangers et des collections privées, Picasso l'étranger établit un nouveau lien entre archives (documents, photographies, films) et oeuvres de l'artiste. Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.
Annemieke Bosman spreekt directeur van Museum Voorlinden Suzanne Swarts over de tentoonstelling 'Picasso-Giacometti'. In samenwerking met het Musée national Picasso-Paris en de Fondation Giacometti presenteert museum Voorlinden de eerste tentoonstelling in Nederland gewijd aan het werk van twee van de belangrijkste kunstenaars van de twintigste eeuw, Pablo Picasso (1881-1973) en Alberto Giacometti (1901-1966). De tentoonstelling loopt van 16 oktober 2021 tot 13 februari 2022.
“Picasso – Rodin“ au Musée national Picasso-Paris et au Musée Rodin, Parisjusqu'au 2 janvier 2022Interview de Véronique Mattiussi, Cheffe du service de la recherche et responsable scientifique du fonds historique – Musée Rodin, et co-commissaire de l'exposition,par Anne-Frédérique Fer, à Paris, le 10 juin 2021, durée 16'00.© FranceFineArt.Extrait du communiqué de presse :Commissariat :Catherine Chevillot, Conservateur général du patrimoine Directrice du Musée RodinVirginie Perdrisot-Cassan, Conservateur du patrimoine, responsable des sculptures, des céramiques et du mobilier Giacometti, Musée national Picasso-ParisVéronique Mattiussi, Cheffe du service de la recherche et responsable scientifique du fonds historique, Musée RodinPour la première fois, le Musée Rodin et le Musée national Picasso-Paris s'unissent afin de présenter l'exposition-événement « Picasso-Rodin ».Ce partenariat exceptionnel entre deux grands musées monographiques offre un regard inédit sur ces artistes de génie qui ont ouvert la voie à la modernité dans l'art. Leurs chefs-d'oeuvre sont présentés simultanément au sein des deux monuments historiques qui abritent ces musées nationaux.L'exposition invite à une relecture croisée des oeuvres de Rodin (1840-1917) et Picasso (1881-1973), ces deux grands artistes ayant durablement bouleversé les pratiques artistiques de leur temps pour les générations à venir. Il ne s'agit pas de montrer ce que Picasso a emprunté à Rodin, mais plutôt d'examiner les convergences signifiantes qui apparaissent entre l'oeuvre de Rodin et plusieurs périodes de la production de Picasso. Cette relecture croisée de leurs oeuvres se décline en différents chapitres sur les deux lieux, au Musée Rodin d'une part à travers la crise de la représentation du début du XXe siècle, et au Musée Picasso d'autre part dans les processus créatifs mis en oeuvre par les deux artistes. À des époques et dans des contextes différents, Rodin et Picasso participent à une articulation décisive de l'histoire et sans doute est-ce là une des clés de leurs similitudes. À leur façon, ils inventent un nouveau mode de représentation, expressionniste chez Rodin, cubiste chez Picasso.Pour Rodin, comme pour Picasso, l'atelier est un espace privilégié d'expérimentation sur les formes et les matériaux. Travail en série, fragmentation, assemblage, détournement sont autant d'approches singulières et novatrices. Le travail de l'artiste en perpétuel mouvement, explore un motif en constante métamorphose.À travers un dialogue systématique, cette exposition riche de plus de 500 oeuvres, peintures, sculptures, céramiques, dessins, documents d'archives, photographies invite le visiteur à une relecture inédite de leur parcours artistique foisonnant et innovant.Pour accompagner l'exposition, un catalogue est disponible aux éditions Gallimard. Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.
Le tableau Guernica signé du peintre espagnol Pablo Picasso, est l'un des tableaux les plus célèbres du monde. Il raconte un épisode de la guerre civile espagnole devenu le symbole de l’horreur de la guerre en général. Guernica est aujourd’hui une paisible ville du Pays basque espagnol, où les touristes se font photographier devant la reproduction de l’œuvre de Picasso qui porte son nom. Le 26 avril1937 en pleine guerre d’Espagne autre ambiance, la ville est dévastée, bombardée par les troupes allemandes nazies et fascistes italiennes sur demande des nationalistes espagnols du général Franco. Picasso, exilé en France, n’a guère les moyens d’agir. Le gouvernement républicain lui a passé commande d’une toile qui pourrait figurer au pavillon de la République espagnole à l’exposition internationale de 1937 qui doit bientôt ouvrir à Paris. Les bombardements de Guernica vont lui fournir son sujet. Sa toile monumentale sera une dénonciation engagée, le tableau hurle, les personnages ont presque tous la bouche ouverte et la tête renversée. « Au centre, au milieu du tableau, il y a ce cheval la gueule ouverte, le bras d’une femme qui sort d’une fenêtre, sa tête qui surgit, au-dessus une ampoule vient la scène qui est entièrement en noir et blanc, et petit à petit on découvre, en bas, le corps d’un homme couché, un taureau, une femme qui tient dans ses bras un enfant mort, une autre qui semble surgir d’une maison en flamme », décrit Johan Popelard, conservateur au Musée national Picasso Paris. « On découvre ainsi à partir du centre les pièces de l’horreur qui se mettent en place. » Des photographies qui témoignent de la genèse de l'œuvre Guernica fait 8 mètres sur 3 mètres. Rien de réaliste dans ce tableau, pas de bombes, mais des victimes humaines et animales, surtout des femmes et des enfants, le tout de style cubiste. Une peinture documentée par la compagne de Picasso de l’époque, l’artiste Dora Maar. « On a une série de photographies tout à fait exceptionnelles de Dora Maar qui était dans l’atelier des Grands-Augustins quand Picasso peignait Guernica et qui nous permettent de voir comment s’est construit couche à couche, le cheminement, les hésitations de Picasso, les différentes trajectoires qui ont permis l’élaboration de ce tableau. Ainsi, on a une série d’images arrêtées qui permettent de suivre du début à la fin l’histoire de la création de Guernica ». Entre 1937 et 1939, Guernica voyage dans de nombreux pays, acquiert une renommée et une portée politique internationale. La toile est hébergée à New York au Musée d’art moderne (MoMA) et ne rentrera en Espagne qu’en 1981 après la chute du régime franquiste, huit ans après la mort de Picasso. Aujourd’hui l’œuvre ne voyage plus. Pour l’admirer en vrai, il faut se rendre au Musée national Reina Sofia à Madrid.
L'œuvre de Picasso est si vaste et variée qu'on trouve toujours un angle nouveau pour la mettre en valeur. Le musée Picasso à Paris propose jusqu'au 3 janvier 2021 une exposition originale explorant les liens entre le peintre espagnol et la bande dessinée.
durée : 00:52:59 - Retour en scène - Le Musée Picasso Paris propose deux nouvelles expositions dont une centrée sur les quelques 350 poèmes que le peintre a écrit.
“Picasso poète”au Musée national Picasso, Parisdu 21 juillet 2020 au 3 janvier 2021Musée national PicassoExtrait du communiqué de presse :commissaires :Marie-Laure Bernadac, conservatrice générale honoraire du PatrimoineAndroula Michael, historienne de l'artJohan Popelard, conservateur en charge des peintures (1895-1921) et des arts graphiques au Musée national Picasso-Paris.« Après tout, les arts ne font qu'un. On peut écrire une peinture en mots tout comme on peut peindre des sensations dans un poème ».« Si j'étais chinois je ne serais pas peintre mais écrivain, j'écrirai mes peintures»L'exposition « Picasso poète » montre l'importance de l'écriture poétique dans la démarche créatrice de Pablo Picasso. Entre 1935 et 1959, l'artiste produit plus de trois cent quarante poèmes. La présentation de ces manuscrits d'une grande beauté graphique permet de voir les liens étroits qui existent entre l'écriture et la peinture, et de mesurer combien, chez Picasso, la complexité du travail mené sur le texte (collage, répétions, variations) fait écho au processus pictural. Le contenu autobiographique de ces écrits – véritable « journal intime à la fois sensoriel et sentimental» – évoque le contexte historique et révèle la riche personnalité de l'artiste. L'exposition explore les sources et la genèse du rapport qu'à entretenu Picasso à l'écriture poétique, les correspondances thématiques entre ses textes et ses tableaux ainsi que son extraordinaire inventivité qui a façonné cette pâte verbale avec autant de liberté que les autres médiums. Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.
Buongiorno Dedicato alla Stessa Bachata in Quanto Diventata Patrimonio Immateriale dell'Umanità dall'UNESCO!!!
Expo: "LE CUBISME" / DU 17 OCTOBRE 2018 AU 25 FÉVRIER 2019 / Centre Pompidou Une traversée inédite de l’un des mouvements fondateurs de l’histoire de l’art moderne : le cubisme (1907-1917). Selon un parcours chronologique, quelque 300 pièces de Pablo Picasso, Georges Braque, André Derain, Henri Laurens, Robert Delaunay, Fernand Léger, Francis Picabia, Marcel Duchamp... mettent en lumière la richesse, l’inventivité et le foisonnement de ce mouvement qui ne se limite pas uniquement à la géométrisation des formes et au rejet de la représentation classique, mais dont les recherches radicales et l’énergie créatrice de ses membres sont aux sources de l’art moderne. Avec le soutien exceptionnel du Musée national Picasso-Paris
Was it dance quitting the stage - the museum entering the opera? The piece 20 Dancers for the XX century by Boris Charmatz, performed at the Opera Garnier this October, scattered dance solos everywhere but on stage - in the lobby, on the stairs, at the bar. It was an unprecedented use of space of the “world’s most famous opera”, upsetting all the rules of classical dance presentations. The public walked, the dancers talked, and it looked like an exhibition more than a spectacle - a “living exhibition”, in Charmatz’s own words. The abundant commentaries on the piece were controversial - some celebrated the audacity of the presentation of dance, others were rather frustrated by it. Elena Sorokina is curator and art historian, alumna of the Whitney Museum of American Art ISP in New York. Throughout her career, she was invited to organise exhibitions and projects at the Musee d’Art Moderne de la Ville de Paris; WIELS, Brussels; Stedelijk Museum Amsterdam, Musée Picasso Paris and other institutions. She published in numerous catalogs, and has been writing for Artforum, Flash Art, Cabinett Magazine, Manifesta Journal, and other publications.