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durée : 00:48:48 - La 20e heure - par : Eva Bester - Haute-fonctionnaire et écrivaine, Constance Rivière est, depuis 2022, directrice générale du Palais de la Porte Dorée, à Paris. Le lieu, qui abrite le musée de l'Histoire de l'immigration, accueille jusqu'au mois d'août une exposition, “Banlieues chéries”.
L'émission 28 minutes du 09/05/2025 Ce vendredi, Renaud Dély décrypte l'actualité avec le regard de nos clubistes : Nathan Devers, écrivain et philosophe ; Catherine Tricot, directrice de la revue "Regards" ; Géraldine Woessner, rédactrice en chef du "Point" ainsi que le dessinateur de presse Pascal Gros. Retour sur deux actualités de la semaine :E.Macron/F.Merz: le couple franco-allemand revitalisé ?Mardi 6 mai, Friedrich Merz a été élu chancelier de la République fédérale d'Allemagne à l'issue d'un vote d'investiture aux allures de revers : faute de soutiens au sein de sa coalition, il aura fallu un deuxième tour pour qu'il accède au poste. Lors du traditionnel premier déplacement à Paris du chancelier, Friedrich Merz s'est empressé de consacrer avec Emmanuel Macron la renaissance du "réflexe franco-allemand" dans une tribune publiée dans le Figaro, notamment sur les questions de défense et de souveraineté énergétique et économique. Preuve d'une volonté de coopération étroite, un conseil des ministres franco-allemand est prévu cet été. Malgré leur bonne entente diplomatique, les deux homologues gouvernent chacun sur une ligne de crête politique, avec une dissolution aux airs d'échec pour Emmanuel Macron et une coalition fragile pour Friedrich Merz. Ce nouveau tandem sera-t-il capable de faire bouger les lignes en Europe ?Défilé du 9 mai à Moscou: démonstration de force réussie pour Vladimir Poutine ?Ce vendredi 9 mai, la Russie célèbre les 80 ans de sa victoire sur le nazisme. Cette grand-messe patriotique comprend un défilé militaire auquel ont assisté de nombreux chefs d'États : Lula, Xi Jinping, mais aussi des Européens, comme le président serbe Aleksandar Vucic ou le Premier ministre slovaque Robert Fico. Une présence qui rappelle des dissensions au sein de l'Union Européenne qui s'oppose fermement à la Russie depuis son invasion de l'Ukraine . Xi Jinping est quant à lui au premier rang auprès de Vladimir Poutine, affichant ainsi leur volonté conjointe de détrôner un Occident qu'ils jugent "hégémonique". Cette fête nationale fait-elle office de démonstration de force face aux Européens ? Constance Rivière est directrice générale du palais de la Porte Dorée, à Paris, et présente l'exposition "Banlieues chéries" qui se tient au musée de l'histoire de l'immigration, jusqu'au 17 août. Elle retrace l'histoire des banlieues, particulièrement les banlieues franciliennes, avec "un angle artistique très poussé pour aborder des questions politiques extrêmement sensibles", explique Constance Rivière. De Sarcelles à Ivry-sur-Seine, l'exposition vient briser le stigmate accolé à la banlieue, qui reste un territoire mal-aimé et méconnu en France. Mercredi 7 mai, François Bayrou a laissé l'hémicycle circonspect en évoquant un référendum quant aux finances publiques, alors que le gouvernement patine pour trouver 40 milliards afin de réduire le déficit public. Dès le lendemain, Emmanuel Macron reprend la main en invoquant de possibles consultations des Français, qu'il entend détailler lundi prochain. C'est le duel de la semaine signé Valérie Brochard.Donald Trump a annoncé vouloir "rouvrir Alcatraz, [...] afin d'y accueillir les criminels les plus violents et les plus impitoyables des États-Unis". La possible remise en service de cet établissement pénitentiaire, fermé depuis 1963 et mythifié par Hollywood, suscite un tollé (et l'ironie des internautes) sur les réseaux. C'est le Point com de Paola Puerari.En 1944, deux officiers de marine, l'un Français et l'autre Allemand, ont réussi à s'entendre dans le tumulte de la Seconde Guerre mondiale pour épargner La Rochelle. C'est l'histoire de la semaine de Claude Askolovitch, à l'occasion des commémorations du 8 mai, 80 ans après la fin de la guerre. Enfin, ne manquez pas la Une internationale sur l'élection du nouveau pape Léon XIV ; les photos de la semaine soigneusement sélectionnées par nos invités, ainsi que Dérive des continents de Benoît Forgeard !28 minutes est le magazine d'actualité d'ARTE, présenté par Élisabeth Quin du lundi au jeudi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le vendredi et le samedi. Ce podcast est coproduit par KM et ARTE Radio. Enregistrement 9 mai 2025 Présentation Renaud Dély Production KM, ARTE Radio
durée : 00:17:14 - Les Midis de Culture - par : Marie Sorbier - Nos critiques discutent de l'exposition "Banlieues chéries" au Palais de la Porte Dorée - Musée national de l'histoire de l'immigration à Paris, qui nous immerge au cœur de l'histoire des banlieues françaises pour dépasser les clichés. - réalisation : Laurence Malonda - invités : Philippe Azoury Journaliste, critique et auteur; Stéphane Corréard Editorialiste au Journal des Arts
durée : 00:27:45 - Les Midis de Culture - par : Marie Sorbier - Les critiques discutent de deux expositions à découvrir à Paris : "Banlieues chéries" au Palais de la Porte Dorée et "Corps et âmes" à la Bourse de Commerce. - réalisation : Laurence Malonda - invités : Stéphane Corréard Editorialiste au Journal des Arts; Philippe Azoury Journaliste, critique et auteur
durée : 00:27:32 - Les Midis de Culture - par : Marie Labory - Au programme du débat critique, des expositions : "Chaque vie est une histoire" au Palais de la Porte Dorée et "Faits divers - Une hypothèse en 26 lettres, 5 équations et aucune réponse" au Mac-Val de Vitry-sur-Seine. - réalisation : Laurence Malonda - invités : Sarah Ihler-Meyer Critique d'art et commissaire d'exposition ; Sally Bonn Maître de conférence en esthétique à l'Université Picardie Jules Verne, auteure, critique d'art et commissaire d'exposition.
120 secondes prend des vacances et revient le lundi 6 janvier ! En attendant, découvrez WOMEN ON BOARD, la série d'interview menée par Guila Clara Kessous pour Harvard Business Review. Pourquoi est-il, aujourd'hui encore, si difficile de parvenir à plus de mixité dans les comités exécutifs ? Des femmes présentes dans les instances dirigeantes de leur entreprise ont répondu à la questionUn podcast à retrouver sur toutes les plateformes à ce lien : https://lnk.to/womenonboard***Mercedes Erra est fondatrice et présidente du conseil de surveillance du groupe BETC, première agence française de publicité, dans le top 3 européen. Elle s'engage pour de nombreuses causes en faveur des droits humains et des femmes – elle a cofondé le Women's Forum et co-préside le comité français de Human Rights Watch, et est présidente d'honneur du Palais de la Porte Dorée et du Musée national de l'histoire de l'immigration.Dans cet épisode, "Les femmes doivent s'épauler", elle revient sur ses premiers pas dans un board et comment elle a réussi à faire entendre sa voix.Un podcast sur une idée originale et présenté par Guila Clara Kessous, coach executive en entreprise & artiste de l'Unesco pour la paix.Réalisation : Lucas Wybo Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d'informations.
Le Palais de la Porte Dorée à Paris accueille jusqu'au 9 février 2025 une double exposition inédite intitulée Chaque vie est une histoire. Tout le bâtiment monumental, inauguré pour l'exposition coloniale de 1931 et devenu depuis le musée d'art et histoire de l'immigration, est investi par des artistes. Le musée a proposé une carte blanche à treize plasticiens contemporains dont le sculpteur togolais Kokou Ferdinand Makouvia qui nous fait part de sa démarche. Pour aller plus loin : Carte blanche à 13 artistes plasticiens sur le PalaisÀ lire aussiNEWSLETTER RFI CULTURE : Ne manquez pas les meilleurs reportages et idées d'une actualité culturelle internationale qui n'oublie pas l'Afrique.
Le Palais de la Porte Dorée à Paris accueille jusqu'au 9 février 2025 une double exposition inédite intitulée Chaque vie est une histoire. Tout le bâtiment monumental, inauguré pour l'exposition coloniale de 1931 et devenu depuis le musée d'art et histoire de l'immigration, est investi par des artistes. Le musée a proposé une carte blanche à treize plasticiens contemporains dont le sculpteur togolais Kokou Ferdinand Makouvia qui nous fait part de sa démarche. Pour aller plus loin : Carte blanche à 13 artistes plasticiens sur le PalaisÀ lire aussiNEWSLETTER RFI CULTURE : Ne manquez pas les meilleurs reportages et idées d'une actualité culturelle internationale qui n'oublie pas l'Afrique.
Le Musée de l'Homme et le Palais de la Porte Dorée consacrent une exposition sur la migration, un thème qui suscite débats virulents et fait circuler fantasmes et préjugés. Pourtant, depuis tout temps, les hommes ont migré. Entre témoignages et histoires, ces deux expositions nous permettent de mieux comprendre ces déplacements de populations. Invitées : Sylvie Mazzela, sociologue, directrice de recherche au CNRS, Aix-Marseille Université, Mesopolhis, commissaire scientifique de l'exposition « Migrations : une odyssée humaine » au Musée de l'Homme et qu'Elisabeth Jolys-Shimells, co-commissaire de l'exposition « Chaque vie est une histoire » au Musée de l'histoire de l'Immigration du palais de la Porte Dorée.
Le Musée de l'Homme et le Palais de la Porte Dorée consacrent une exposition sur la migration, un thème qui suscite débats virulents et fait circuler fantasmes et préjugés. Pourtant, depuis tout temps, les hommes ont migré. Entre témoignages et histoires, ces deux expositions nous permettent de mieux comprendre ces déplacements de populations. Invitées : Sylvie Mazzela, sociologue, directrice de recherche au CNRS, Aix-Marseille Université, Mesopolhis, commissaire scientifique de l'exposition « Migrations : une odyssée humaine » au Musée de l'Homme et qu'Elisabeth Jolys-Shimells, co-commissaire de l'exposition « Chaque vie est une histoire » au Musée de l'histoire de l'Immigration du palais de la Porte Dorée.
La conservatrice en chef du patrimoine, Élisabeth Jolys-Shimells et l'historien Pascal Charitas, présentent l'exposition Olympisme, une histoire du monde – des premiers Jeux olympiques d'Athènes 1896 aux Jeux olympiques et paralympiques de Paris 2024. De quoi revivre 130 ans d'histoire olympique et marquer l'accueil en France des Jeux olympiques et paralympiques de Paris. L'Olympiade culturelle a commencé en cette année de Jeux d'été. Paris 2024 approche à petites foulées et nous laisse le temps de regarder dans le rétroviseur. C'est ce que nous propose l'exposition dont nous allons parler aujourd'hui.Elle s'intitule sobrement Olympisme, une histoire du monde et nous raconte 130 ans d'histoire de la planète à travers 33 olympiades qui – peu ou prou – ont épousé les fractures, les luttes et les évolutions politiques, économiques et sociales, de 1896 jusqu'à aujourd'hui.Exposition à découvrir au Palais de la Porte Dorée – Musée national de l'histoire de l'immigration à Paris jusqu'au 8 septembre 2024.Élisabeth Jolys-Shimells et Pascal Charitas sont les invités de VMDN.Rediffusion de l'émission du 30 avril 2024.
La conservatrice en chef du patrimoine, Élisabeth Jolys-Shimells et l'historien Pascal Charitas, présentent l'exposition Olympisme, une histoire du monde – des premiers Jeux olympiques d'Athènes 1896 aux Jeux olympiques et paralympiques de Paris 2024. De quoi revivre 130 ans d'histoire olympique et marquer l'accueil en France des Jeux olympiques et paralympiques de Paris. L'Olympiade culturelle a commencé en cette année de Jeux d'été. Paris 2024 approche à petites foulées et nous laisse le temps de regarder dans le rétroviseur. C'est ce que nous propose l'exposition dont nous allons parler aujourd'hui.Elle s'intitule sobrement Olympisme, une histoire du monde et nous raconte 130 ans d'histoire de la planète à travers 33 olympiades qui – peu ou prou – ont épousé les fractures, les luttes et les évolutions politiques, économiques et sociales, de 1896 jusqu'à aujourd'hui.Exposition à découvrir au Palais de la Porte Dorée – Musée national de l'histoire de l'immigration à Paris jusqu'au 8 septembre 2024.Élisabeth Jolys-Shimells et Pascal Charitas sont les invités de VMDN.Rediffusion de l'émission du 30 avril 2024.
Je suis Jessica Troisfontaine et vous écoutez le podcast Ressentir. Cet épisode fait partie d'une série qui s'intitule "Ressentir les livres", à travers laquelle je vous propose de découvrir ou de redécouvrir des livres dont les mots, le style et le propos ont fleuri dans mon cœur avec le plus d'émotions à travers une lecture à voix haute d'un extrait particulièrement coloré. Le livre que je vous propose de ressentir aujourd'hui est « Rendez-vous à la Porte Dorée » d'Agathe Ruga, qui est paru en 2024 chez Flammarion. Agathe Ruga est née à Nancy en mai 1986 et elle vit en Bourgogne. Elle est autrice et dentiste. Je l'ai reçue à ce micro pour lui poser des questions sur son parcours, sur son processus d'écriture et plus généralement sur sa manière d'habiter le monde. Je ne saurais suffisamment vous recommander d'écouter son interview, que vous retrouverez un peu plus bas sur le chaîne de ce podcast, pour découvrir la femme formidable derrière la plume passionnée. Agathe a publié trois romans, qui relèvent tous de l'auto-fiction : « Sous le soleil de tes cheveux blonds » d'abord, publié chez Stock et en poche ; Puis « L'homme que je ne devais pas aimer », publié chez Flammarion et en poche ; Et enfin « Rendez-vous à la Porte Dorée », dont il s'agit aujourd'hui. « Rendez-vous à la Porte Dorée », c'est l'histoire de la désillusion d'une épouse, d'une mère, après sa fuite du foyer familial. C'est l'histoire d'Anne, qui a quitté son mari Joachim et une vie qui avait l'air parfaite mais dans laquelle elle étouffait intensément. C'était 3 ans auparavant et aujourd'hui, la liberté tant promise (celle d'écrire, celle de vivre) n'advient pas, et elle regrette sa fuite. Anne a oublié pourquoi elle a quitté son mari mais elle se rappelle pourquoi elle l'a tant aimé et décide d'entreprendre sa reconquête en partant sur les traces de leur amour. J'aime la manière très personnelle que possède Agathe Ruga de retourner le sentiment amoureux dans tous les sens au fil de ses romans, et d'en manipuler les blocs à la manière d'un Rubik's cube, donnant à voir des nouvelles associations de couleurs, d'émotions, de nouvelles définitions. J'ai choisi de vous lire l'introduction et les premières pages de la première partie, intitulée « La grande désillusion ».
durée : 00:04:55 - franceinfo junior - À l'occasion d'une exposition à la Porte Dorée, on parle de l'histoire des Jeux olympiques et paralympiques. Pour répondre aux questions des enfants : Sandrine Lemaire, co-commissaire de l'exposition et historienne.
Les Grosses Têtes parlent à Yvan Gastaut, commissaire de l'exposition "Olympisme, une histoire du monde", au palais de la Porte Dorée à Paris jusqu'au 8 septembre 2024. Retrouvez tous les jours le meilleur des Grosses Têtes en podcast sur RTL.fr et l'application RTL.
Au Palais de la Porte Dorée, à Paris, se tient, jusqu'à la fin des Jeux olympique, une exposition consacrée à l'histoire des Jeux modernes. De 1896 à Athènes jusqu'à Paris 2024, l'histoire des Jeux olympiques est le miroir de l'histoire mondiale et les JO sont les témoins et les acteurs des soubresauts de la géopolitique mondiale. C'est que met en lumière cette exposition pédagogique et très complète. L'olympisme est le miroir du monde. Théâtre de ses luttes, de ses rêves et de ses contradictions. Voilà ce qu'a voulu mettre en lumière le Palais de la Porte Dorée. « C'est cinq ans de travail avec sept commissaires, à la fois des historiens et des conservateurs, pour croiser deux histoires, explique sa directrice générale Constance Rivière. L'histoire du monde depuis la fin du XIXe siècle et l'histoire de l'olympisme. »Pour chaque olympiade, d'Athènes en 1896 jusqu'à Tokyo en 2021, l'exposition entremêle l'histoire des sportifs ayant marqué les Jeux et celle des soubresauts du monde. « C'est à la fois toutes les grandes luttes, les luttes sociales, les luttes pour l'égalité, les luttes pour les femmes qui se reflètent dans l'histoire des Jeux. Ce sont aussi les grands conflits du monde : la guerre froide, les deux guerres mondiales, la lutte pour la décolonisation », énumère Constance Rivière.Malgré l'apolitisme revendiqué par le Comité international olympique, les Jeux deviennent quasiment dès le départ une affaire de géopolitique. Dans cette enceinte planétaire se mettent en scène la puissance des uns et les luttes des autres. À cet égard, les Jeux de Berlin en 1936 resteront comme un triste exemple. Pour l'historien Yvan Gastaut, Hitler se sert des Jeux et les Jeux servent Hitler : « À ce moment-là, le sport et le nazisme se sont reliés dans un même intérêt, ce qui pose problème. Dans cette exposition, on ne veut pas négliger cette dimension, explique-t-il. On n'est pas dans une histoire officielle qui serait de montrer les très bons côtés du CIO (il y en a), mais de montrer que parfois aussi le système olympique est parti en errements, et s'est dévoyé par rapport à des systèmes politiques qui ont utilisé le sport. »Quelle meilleure enceinte que ces rendez-vous quadriennaux pour faire valoir ses droits ? En 1968 à Mexico, Tommie Smith et John Carlos, deux athlètes noirs américains, montent sur le podium du deux cents mètres et inscrivent, poing levé, pour l'histoire le geste politique dans l'arène sportive. Ce geste sportif dans l'arène politique, c'est justement de lever le poing, d'être le symbole d'une lutte antiraciste, contre le racisme dont sont victimes les afro-américains à cette époque-là. D'une manière assez géniale, ces deux hommes se sont exprimés avec force, avec puissance. Ils ont payé le prix de leur geste, puisqu'ils sont exclus des jeux. Et, ils vont devenir des parias, jusqu'à être aujourd'hui – encore vivants tous les deux-réhabilité au nom de leur engagement. Dès les années soixante les nations décolonisées apparaissent aux Jeux. Les JO sont pour les jeunes nations africaines et asiatiques un moment clé. Celui où leur nom et leurs drapeaux apparaissent, où leur hymne national est joué, où leurs sportifs jouent sous leurs couleurs. L'olympisme est aussi – et peut-être même avant tout – une immense lutte de libération.À lire aussiArt et sport: «L'Olympisme. Une invention moderne, un héritage antique», au Louvre
Au Palais de la Porte Dorée, à Paris, se tient, jusqu'à la fin des Jeux olympique, une exposition consacrée à l'histoire des Jeux modernes. De 1896 à Athènes jusqu'à Paris 2024, l'histoire des Jeux olympiques est le miroir de l'histoire mondiale et les JO sont les témoins et les acteurs des soubresauts de la géopolitique mondiale. C'est que met en lumière cette exposition pédagogique et très complète. L'olympisme est le miroir du monde. Théâtre de ses luttes, de ses rêves et de ses contradictions. Voilà ce qu'a voulu mettre en lumière le Palais de la Porte Dorée. « C'est cinq ans de travail avec sept commissaires, à la fois des historiens et des conservateurs, pour croiser deux histoires, explique sa directrice générale Constance Rivière. L'histoire du monde depuis la fin du XIXe siècle et l'histoire de l'olympisme. »Pour chaque olympiade, d'Athènes en 1896 jusqu'à Tokyo en 2021, l'exposition entremêle l'histoire des sportifs ayant marqué les Jeux et celle des soubresauts du monde. « C'est à la fois toutes les grandes luttes, les luttes sociales, les luttes pour l'égalité, les luttes pour les femmes qui se reflètent dans l'histoire des Jeux. Ce sont aussi les grands conflits du monde : la guerre froide, les deux guerres mondiales, la lutte pour la décolonisation », énumère Constance Rivière.Malgré l'apolitisme revendiqué par le Comité international olympique, les Jeux deviennent quasiment dès le départ une affaire de géopolitique. Dans cette enceinte planétaire se mettent en scène la puissance des uns et les luttes des autres. À cet égard, les Jeux de Berlin en 1936 resteront comme un triste exemple. Pour l'historien Yvan Gastaut, Hitler se sert des Jeux et les Jeux servent Hitler : « À ce moment-là, le sport et le nazisme se sont reliés dans un même intérêt, ce qui pose problème. Dans cette exposition, on ne veut pas négliger cette dimension, explique-t-il. On n'est pas dans une histoire officielle qui serait de montrer les très bons côtés du CIO (il y en a), mais de montrer que parfois aussi le système olympique est parti en errements, et s'est dévoyé par rapport à des systèmes politiques qui ont utilisé le sport. »Quelle meilleure enceinte que ces rendez-vous quadriennaux pour faire valoir ses droits ? En 1968 à Mexico, Tommie Smith et John Carlos, deux athlètes noirs américains, montent sur le podium du deux cents mètres et inscrivent, poing levé, pour l'histoire le geste politique dans l'arène sportive. Ce geste sportif dans l'arène politique, c'est justement de lever le poing, d'être le symbole d'une lutte antiraciste, contre le racisme dont sont victimes les afro-américains à cette époque-là. D'une manière assez géniale, ces deux hommes se sont exprimés avec force, avec puissance. Ils ont payé le prix de leur geste, puisqu'ils sont exclus des jeux. Et, ils vont devenir des parias, jusqu'à être aujourd'hui – encore vivants tous les deux-réhabilité au nom de leur engagement. Dès les années soixante les nations décolonisées apparaissent aux Jeux. Les JO sont pour les jeunes nations africaines et asiatiques un moment clé. Celui où leur nom et leurs drapeaux apparaissent, où leur hymne national est joué, où leurs sportifs jouent sous leurs couleurs. L'olympisme est aussi – et peut-être même avant tout – une immense lutte de libération.À lire aussiArt et sport: «L'Olympisme. Une invention moderne, un héritage antique», au Louvre
A pouco mais de dois meses do início dos Jogos Olímpicos Paris 2024, o Palais de la Porte Dorée, no 12° distrito da capital francesa, inaugurou a exposição "Olimpismo, uma história do mundo". A mostra inédita reconstitui os últimos 130 anos a partir da primeira Olimpíada, em 1896, em Atenas, até os dias de hoje. Daniella Franco, da RFIAtravés de uma viagem cronológica, os 33 Jogos Olímpicos já realizados são retratados paralelamente a fatos políticos que marcaram a evolução da sociedade. Ganham destaque na mostra a admissão de atletas mulheres a partir de 1900, as edições canceladas devido às grandes guerras, o uso dos Jogos na propaganda política de regimes ditatoriais, e a luta de esportistas contra o racismo, discriminações e desigualdades. A exposição também exibe objetos históricos - como as primeiras medalhas e os primeiros uniformes olímpicos - e até antigos instrumentos esportivos. Tudo isso acompanhado de centenas de arquivos, documentos, filmes e fotografias de grandes momentos olímpicos."Essa é uma forma de conhecermos a história dos Jogos Olímpicos e de compreender o que vai acontecer em Paris em 2024. Aqui podemos ver toda a evolução dos Jogos Olímpicos, e como, em vários momentos ao longo da História, esses espaços de visibilidade ecoaram de forma política e social. A exposição também nos permite mergulhar na trajetória de algumas grandes campeãs e campeões", afirma uma das curadoras da exposição, Elisabeth Jolys-Shimells.Segundo ela, a exposição também propõe uma reflexão sobre o futuro dos Jogos, um exercício que considera fundamental para continuar a inscrevê-los na História. "Será que seguiremos realizando megaeventos concentrados em uma só cidade? Será que as questões ambientais e sociais serão mais levadas em consideração? E, finalmente, qual governança será necessária para organizar esses eventos?", questiona.No clima dos Jogos OlímpicosA exposição não tem um público-alvo específico. Entre os visitantes de "Olimpismo, uma história do mundo", há pessoas de todas as idades: fãs de esportes, de História, ou simplesmente interessados em entrar no clima dos Jogos Olímpicos.“Eu não costumo assistir às Olimpíadas. Mas a maneira como elas são apresentadas aqui, ano por ano, com o espectro geopolítico, é superinteressante. Então talvez eu até assista aos Jogos neste ano, sobretudo porque eles ocorrem na França", diz a francesa Astrid Garnier.Outro visitante, Dominique Dounont, viajou da Bretanha, no noroeste da França, à capital francesa especialmente para conferir a mostra no Palais de la Porte Dorée. "O que é muito interessante é que, efetivamente, a exposição nos fala de esportes, mas também da história, desde 1896, ano dos primeiros Jogos Olímpicos, em Atenas. Nessa ordem cronológica perfeitamente realizada, aprendemos muita coisa. Eu já conheço bastante, mas aprendi ainda mais."Florent Le Demazel foi atraído pelo retrato das evoluções geopolíticas exibido na exposição. Um dos enfoques que mais o agradou foi a evolução da participação das mulheres nos Jogos. "A cada edição dos Jogos, de quatro em quatro anos, percebemos que a diferença entre a presença dos homens e das mulheres se reduz, e que, felizmente, há cada vez mais mulheres que participam dos JO. A gente sabe que isso não aconteceu por conta própria, que combates foram realizados e podemos ver essa marca de uma edição a outra”, salienta.A exposição "Olimpismo, uma história do mundo", fica em cartaz no Palais de la Porte Dorée, no 12° distrito de Paris, até 8 de setembro.
Ce dont on parle dans cet épisode de Laisse-moi kiffer :Le kiff d'Ariane : sa psy (00:33:16)Le kiff d'Anthony : les expositions au Palais de la Porte Dorée à Paris "Immigrations est et sud-est asiatiques depuis 1860" et "J'ai une famille 10 artistes de l'avant-garde chinoise installés en France" (jusqu'au 18 février 2024) (00:54:50)+ Article Qui est Euzhan Palcy, réalisatrice martiniquaise qui a reçu un Oscar d'honneur pour sa carrière ?Le kiff de Kalindi : la série "LOL qui rit sort" sur Prime Vidéo + le livre "Veiller sur elle" de Jean-Baptiste Andréa aux éditions de l'Iconoclaste (01:06:47)Le kiff de Marie-Stéphanie : Petite et grande et petit et grand, collection de livres pour enfants (01:25:13)+ le livre pour enfant "Lionel ! Le dentifrice à la saucisse et autres histoires incroyables" chez Actes sud jeunesseLaisse-moi kiffer :Autour d'une table, chaque jeudi, l'équipe échange recos culturelles, anecdotes et coups de gueule. Envoyez-nous sur Instagram vos anecbofs de star (une anecdote bof avec une star cool et vice versa), vies de boloss (une VDM mais en 2023, quoi) et autres messages boubou (si/quand vous avez un petit coup dans le nez).Retrouve-nous sur Instagram :Laisse-moi kiffer / Marie-Stéphanie / Ariane / Kalindi / AnthonyAbonnez-vous :Apple Podcasts • Deezer • SpotifyLaisse-moi kiffer est un podcast de Madmoizelle présenté par Marie-Stéphanie Servos.Avec Ariane Hemery, Anthony Vincent et Kalindi RamphulRéalisation et production : Fanny Cohen Moreau.Rédaction en chef : Marie-Stéphanie Servos. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
La conservatrice en chef du patrimoine, Élisabeth Jolys-Shimells et l'historien Pascal Charitas, présentent l'exposition « Olympisme, une histoire du monde - des premiers Jeux olympiques d'Athènes 1896 aux Jeux olympiques et paralympiques de Paris 2024 ». De quoi revivre 130 ans d'histoire olympique et marquer l'accueil en France des Jeux Olympiques et Paralympiques de Paris. L'Olympiade culturelle a commencé en cette année de Jeux d'été. Paris 2024 approche à petites foulées et nous laisse le temps de regarder dans le rétroviseur. C'est ce que nous propose l'exposition dont nous allons parler aujourd'hui.Elle s'intitule sobrement « Olympisme, une histoire du monde » et nous raconte 130 ans d'histoire de la planète à travers 33 olympiades qui - peu ou prou - ont épousé les fractures, les luttes et les évolutions politiques, économiques et sociales, de 1896 jusqu'à aujourd'hui.Exposition à découvrir au Palais de la Porte Dorée / Musée National de l'Histoire de l'Immigration à Paris jusqu'au 8 septembre 2024.Élisabeth Jolys-Shimells et Pascal Charitas sont les invités de VMDN.
La conservatrice en chef du patrimoine, Élisabeth Jolys-Shimells et l'historien Pascal Charitas, présentent l'exposition « Olympisme, une histoire du monde - des premiers Jeux olympiques d'Athènes 1896 aux Jeux olympiques et paralympiques de Paris 2024 ». De quoi revivre 130 ans d'histoire olympique et marquer l'accueil en France des Jeux Olympiques et Paralympiques de Paris. L'Olympiade culturelle a commencé en cette année de Jeux d'été. Paris 2024 approche à petites foulées et nous laisse le temps de regarder dans le rétroviseur. C'est ce que nous propose l'exposition dont nous allons parler aujourd'hui.Elle s'intitule sobrement « Olympisme, une histoire du monde » et nous raconte 130 ans d'histoire de la planète à travers 33 olympiades qui - peu ou prou - ont épousé les fractures, les luttes et les évolutions politiques, économiques et sociales, de 1896 jusqu'à aujourd'hui.Exposition à découvrir au Palais de la Porte Dorée / Musée National de l'Histoire de l'Immigration à Paris jusqu'au 8 septembre 2024.Élisabeth Jolys-Shimells et Pascal Charitas sont les invités de VMDN.
100 jours avant les J.O de Paris, je vous propose de revivre les Jeux Olympiques de 1964, l'année où les nations africaines souveraines font une entrée massive dans la compétition. Tandis que la star éthiopienne du marathon Abebe Bikila décroche sa deuxième médaille d'or après un premier exploit aux jeux de Rome quatre ans plus tôt, d'autres athlètes africains montent sur le podium. Ghanéen, Kenyan, Tunisiens, tous ramènent des médailles dans leur pays fraîchement indépendant. Quels sont les athlètes qui incarnent cette histoire longue de la décolonisation, comment l'Afrique se fait-elle une place dans le concert des nations et pourquoi les Jeux sont-ils devenus un espace de revendications politiques pour les causes anticoloniale et antiraciste, autant de questions posées à nos invités Pascal Charitas et Sylvère-Henry Cissé, aux sons des archives de RFI et de l'INA.- Sylvère-Henry Cissé, auteur, conférencier, journaliste presse, télévision et radio, intervenant sur de nombreux sujets autour du sport depuis 1998. Il anime tous les samedis, du 6 avril au 21 septembre 2024 à 11h30 TU, l'émission l'Afrique en Jeux sur RFI- Pascal Charitas, maître de conférences à l'UFR STAPS de l'Université Paris Nanterre, auteur d'une thèse de Sciences du sport intitulée L'Afrique au mouvement olympique : enjeux et stratégies de l'influence de la France dans l'internationalisation du sport africain (1944-1966), soutenu en 2010 à l'Université Paris-Sud.À lire : Le catalogue de l'exposition Olympisme, une histoire du monde, aux Éditions de la Martinière, dirigé par Pascal Blanchard, avec notamment des contributions de Pascal Charitas et Sylvère-Henry Cissé. Olympisme, une histoire du monde - Éditions de La Martinière (editionsdelamartiniere.fr) Une Histoire mondiale de l'Olympisme, aux éditions Altande, dirigé par Nicolas Bancel, Pascal Blanchard, Gilles Boëtsch, Daphné Bolz, Yvan Gastaut, Sandrine Lemaire et Stéphane Mourlane Une histoire mondiale de l'olympisme (atlande.eu).À voir : L'Exposition Olympisme une histoire du monde au Palais de la Porte Dorée, du 26 avril au 8 septembre 2024. Olympisme, une histoire du monde | Tout le Palais (palais-portedoree.fr)
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#brightside Find more information on the topic in this article: https://brightside.me/wonder-animals/... Cookiecutter shark teeth: By JSUBiology/Flickr, CC BY 2.0 https://creativecommons.org/licenses/..., https://commons.wikimedia.org/w/index... A Megamouth Shark, Megachasma pelagios: By CSIRO National Fish Collection, CC BY 3.0 https://creativecommons.org/licenses/..., https://commons.wikimedia.org/w/index... Ninja lanternshark Etmopterus benchleyi: By Victoria Elena Vasquez/Journal of the Ocean Science Foundation, CC BY 4.0 https://creativecommons.org/licenses/..., https://commons.wikimedia.org/w/index... CC BY-SA 2.0 https://creativecommons.org/licenses/... Japanese angelshark (Squatina japonica): By RYO SATO, https://commons.wikimedia.org/w/index... Sea urchins are a favored prey of the horn shark: By John, https://commons.wikimedia.org/w/index... CC BY-SA 2.5 https://creativecommons.org/licenses/... Horn sharks are innocuous towards humans: By Aquaimages, https://commons.wikimedia.org/w/index... The frilled shark's lower jaw has 21–29 rows of recurved: By Wikimedia, https://commons.wikimedia.org/w/index... CC BY-SA 3.0 https://creativecommons.org/licenses/... Chlamydoselachus anguineus at Aquarium tropical du Palais de la Porte Dorée (Paris): By Citron, https://commons.wikimedia.org/w/index... Goblin shark, Pengo: By Wikimedia, https://commons.wikimedia.org/w/index... Head of a goblin shark (Mitsukurina owstoni) with jaws extended: By Dianne Bray/Museum Victoria, CC BY 3.0 au https://creativecommons.org/licenses/..., https://commons.wikimedia.org/w/index... Thresher shark jumping in Costa Rica: By Steve Momot, CC BY-SA 4.0 https://creativecommons.org/licenses/..., https://commons.wikimedia.org/w/index... Animation is created by Bright Side. Music by Epidemic Sound https://www.epidemicsound.com/ Subscribe to Bright Side : https://goo.gl/rQTJZz ---------------------------------------------------------------------------------------- Our Social Media: Facebook: / brightside Instagram: / brightgram 5-Minute Crafts Youtube: https://www.goo.gl/8JVmuC Stock materials (photos, footages and other): https://www.depositphotos.com https://www.shutterstock.com https://www.eastnews.ru ---------------------------------------------------------------------------------------- For more videos and articles visit: http://www.brightside.me/ Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Depuis des siècles, la France s'est battue, construite et réinventée grâce et avec ses étrangers, ses immigrés. C'est une vérité historique que rappelle le Musée national de l'histoire de l'immigration. Voyage à la découverte de son nouveau parcours permanent. Situé dans le 12è arrondissement de Paris, dans l'emblématique bâtiment colonial du Palais de la Porte Dorée, le Musée national de l'histoire de l'immigration a rouvert ses portes en juin 2023, après trois ans de travaux. Et dans sa nouvelle exposition permanente, le musée a décidé de placer l'histoire au centre, à travers onze dates repères de l'immigration et de l'histoire de France. Car ce qui s'y raconte, sur près de 1 800 m2 et avec plus de 600 objets, c'est bien l'histoire de la France et de ses immigrés, la France étant le plus ancien pays d'immigration en Europe. De tout temps et partout, les migrations ont nourri, façonné le visage des peuples, des nations et des cultures du monde. De tout temps et partout, l'étranger, l'allogène, le nouvel arrivant a suscité, la crainte et le rejet, surtout en temps de crises et de repli. Dans ce parcours, le musée se propose de porter et de partager un autre regard sur l'immigration, en interrogeant comment les immigrés ont fait la France, comment ils ont été accueillis, perçus à travers le temps, comment le code de nationalité et les droits des étrangers ont évolué au gré de législations tantôt populistes, tantôt pragmatiques, souvent opportunistes.Nul doute en tout cas que de 1685, date du Code Noir et de l'exil huguenot, à l'engagement des troupes coloniales dans les deux guerres mondiales en passant par la résistance étrangère, le destin du pays et de toutes celles et ceux qui sont venu(e)s y trouver refuge, vivre, travailler et lutter, est commun. Et à l'heure de la loi dite « asile et immigration » et de l'annonce d'une révision historique du droit du sol à Mayotte, cette salutaire traversée de l'histoire permet de prendre de la hauteur et du recul.En savoir plus :- Sur le parcours permanent du Musée national de l'histoire de l'immigration- Sur les expositions temporaires et activités du musée- Sur l'Affiche rouge et le combat de Missak Manouchian, résistant arménien communiste entré au Panthéon le 21 février 2024, avec ses compagnons de résistance.
Depuis des siècles, la France s'est battue, construite et réinventée grâce et avec ses étrangers, ses immigrés. C'est une vérité historique que rappelle le Musée national de l'histoire de l'immigration. Voyage à la découverte de son nouveau parcours permanent. Situé dans le 12è arrondissement de Paris, dans l'emblématique bâtiment colonial du Palais de la Porte Dorée, le Musée national de l'histoire de l'immigration a rouvert ses portes en juin 2023, après trois ans de travaux. Et dans sa nouvelle exposition permanente, le musée a décidé de placer l'histoire au centre, à travers onze dates repères de l'immigration et de l'histoire de France. Car ce qui s'y raconte, sur près de 1 800 m2 et avec plus de 600 objets, c'est bien l'histoire de la France et de ses immigrés, la France étant le plus ancien pays d'immigration en Europe. De tout temps et partout, les migrations ont nourri, façonné le visage des peuples, des nations et des cultures du monde. De tout temps et partout, l'étranger, l'allogène, le nouvel arrivant a suscité, la crainte et le rejet, surtout en temps de crises et de repli. Dans ce parcours, le musée se propose de porter et de partager un autre regard sur l'immigration, en interrogeant comment les immigrés ont fait la France, comment ils ont été accueillis, perçus à travers le temps, comment le code de nationalité et les droits des étrangers ont évolué au gré de législations tantôt populistes, tantôt pragmatiques, souvent opportunistes.Nul doute en tout cas que de 1685, date du Code Noir et de l'exil huguenot, à l'engagement des troupes coloniales dans les deux guerres mondiales en passant par la résistance étrangère, le destin du pays et de toutes celles et ceux qui sont venu(e)s y trouver refuge, vivre, travailler et lutter, est commun. Et à l'heure de la loi dite « asile et immigration » et de l'annonce d'une révision historique du droit du sol à Mayotte, cette salutaire traversée de l'histoire permet de prendre de la hauteur et du recul.En savoir plus :- Sur le parcours permanent du Musée national de l'histoire de l'immigration- Sur les expositions temporaires et activités du musée- Sur l'Affiche rouge et le combat de Missak Manouchian, résistant arménien communiste entré au Panthéon le 21 février 2024, avec ses compagnons de résistance.
SPOTLIGHT c'est le nouveau format de BISSAI MEDIA dans lequel on échange avec un·e entrepreneur·e, créateur·ice, artiste, auteur·ice ou encore militant·e qui nous parle de son parcours, de son actu, de son héritage culturel et de ce qu'iel aimerait laisser aux générations futures. On démarre ce nouveau format avec Laëtitia Ngoto, cofondatrice de l'association qui promeut la culture afro-urbaine Art'Press Yourself. Avec Laëtitia, on a parlé de ce qui l'a amené à se lancer dans l'entrepreneuriat, du syndrome de l'imposteur, de créer ce qu'on aurait aimé avoir, du festival Afro Future Experience qu'elle organise et qui aura lieu le 26 mars au Palais de la Porte Dorée.
Le musée de l'Immigration à Paris consacre une exposition à la communauté venue de l'est et du sud-est asiatique (Japon, Chine, Vietnam, Corée, Cambodge, Thaïlande et Philippines). Si l'on parle souvent des immigrés venus de l'Afrique noire et du Maghreb, il est rare d'évoquer en France les personnes d'origine asiatique qui constituent pourtant 6% de la population immigrée dans l'Hexagone. Et Paris a le plus grand « chinatown » d'Europe dans le XIIIe arrondissement. L'immigration asiatique en France, c'est une longue histoire. L'exposition démarre en 1860. C'est la fin de la guerre de l'opium et l'ouverture forcée de la Chine et du Japon. Les diplomates sont les premiers à se rendre en France pour négocier des accords, mais le premier gros flux migratoire résulte de la colonisation française en Extrême-Orient. « On évoque, dans cette deuxième moitié du XIXe siècle, tout le système de l'engagisme dans l'empire colonial français à travers ce système de travail engagé qui vise notamment à remplacer la main d'œuvre servile dans les plantations. Donc, ça, c'est pour la première partie de notre exposition, indiqueÉmilie Gandon, co-commissaire. Ensuite, avec la Première Guerre mondiale, on recrute un certain nombre de travailleurs et de soldats, près de 90 000 en provenance de l'ex-Indochine et près de 140 000 travailleurs chinois. Au moment de la Seconde Guerre mondiale, à nouveau, on fait venir des travailleurs et des soldats de l'Indochine pour participer à l'effort de guerre. »Si l'on connaît le rôle des tirailleurs sénégalais, on connaît moins celui des asiatiques que l'exposition éclaire. Ensuite, on passe à la décolonisation et aux conflits régionaux qui génèrent un nouvel afflux de migrants. La dernière partie du parcours aborde les stéréotypes raciaux entourant les communautés asiatiques.« Dans l'exposition, on prend pour exemple le stéréotype du "péril jaune" qui prend naissance à la fin du XIXe siècle, et on montre comment, à travers la presse, à travers les journaux, comment ce stéréotype est régulièrement réactivé dans l'histoire. Et on montre de manière très contemporaine, à l'aulne de la crise du Covid-19, comment ce stéréotype est à nouveau réactivé. On revient aussi surtout ce qu'on a pu appeler les stéréotypes dits "positifs" – et j'y mets des guillemets – de population discrète, silencieuse, travailleuse. Dans l'exposition, on montre comment ces stéréotypes sont aussi le produit de la domination coloniale au moment du recrutement des travailleurs et des soldats pendant la Première Guerre mondiale. »Une exposition richement documentée, photos, archives, œuvres d'art, mais aussi très instructive sur un sujet peu abordé.Immigrations est et sud-est asiatiques depuis 1860 au musée de l'Immigration au Palais de la porte Dorée jusqu'au 18 février 2024.
Vous faites quoi à Noël ? Vous, je sais pas, mais du côté d'En Sol Majeur on a choisi de pousser la porte d'un atelier de peintre. Pas n'importe lequel, un de ceux qui font des Bouddha à tête de fleurs par exemple. Bienvenus sur RFI dans le temple de Ru Xiao Fan, artiste majeur de la scène artistique internationale, diplômé des Beaux arts de l'Ecole normale supérieure de Nankin et, une dictature maoïste plus tard, diplômé de l'école nationale des Beaux-Arts de Paris. Exposé dans le monde entier, à l'affiche de J'ai une famille (au milieu de 10 artistes de l'avant garde chinoise installés en France) au Palais de la Porte Dorée à Paris, nous allons surfer sur sa double culture artistique, entre langage pictural occidental et techniques traditionnelles chinoises. Et franchement, quoi de mieux que réveillonner au milieu d'une forêt de bambous…Les choix musicaux de Ru Xiao FanVerdi La Traviata Acte I Libiamo ne'lieti caliciSinatra Jingle bellsMichael Jackson Don't stop ‘till you get enough
Avec ces deux projets photographiques et documentaires « Rouge et Jaune Kéré », le photographe Ivanoël Barreto s'est intéressé au kéré, une famine qui sévit depuis plus de quatre ans, dans le sud de Madagascar. En collaboration avec des ONG comme Médecins du Monde, ou bien encore Action Contre la Faim, il raconte en images cette catastrophe climatique et humanitaire. « Kéré » en malgache est un mot qui signifie la famine. Celle qui, depuis plusieurs années, touche durement le sud de l'île de Madagascar. Une famine aggravée par la persistance de la sécheresse due en partie au réchauffement climatique. Le photographe Ivanoël Barreto, invité de VMDN, a voulu témoigner de cette catastrophe sanitaire mais aussi du courage du peuple malgache au travers de deux projets : « Rouge et Jaune Kéré ». En collaboration avec des ONG, autour d'un documentaire réalisé par François Tuso, et d'une série de photographies, il raconte son voyage et le choc d'une réalité d'une catastrophe écologique méconnueIvanoël Barreto présentera son travail photographique au Festival Curieux Voyageurs, du 15 au 17 mars 2024, à Saint-Étienne.Reportages : Direction le Sénégal aux côtés de Léa-Lisa Westerhoff. Elle nous emmène au festival « Partcours », un itinéraire d'art contemporain à travers une trentaine de lieux de la capitale et de sa banlieue. Il a démarré le 30, pendant deux semaines… 34 galeries et lieux d'exposition ouvrent leurs portes à une centaine d'artistes mis en dialogue à travers la ville… Avec, cette année, un « partcours » très marqué par la métamorphose galopante de la capitale : Dakar.Lisa Giroldini s'est rendue à l'Aquarium de la Porte Dorée, pour l'exposition « Il faut sauver le Joba Mena : enquête à Madagascar ». L'Aquarium tropical vous plonge au cœur d'une enquête passionnante sous forme d'exposition immersive. Une exposition familiale, à la recherche d'une espèce en danger critique d'extinction : le Joba Mena, poisson d'eau douce de Madagascar.Café Polar : Patrick Raynal et son fils Emmanuel-Alain Raynal signent « Domenica » publié aux éditions Albin Michel. Inspiré de vie réelle de Domenica Walter-Guillaume dite « La diabolique de l'art », le livre raconte l'histoire de cette femme fatale et veuve noire qui a connu son heure de gloire entre les deux guerres et qui (sans doute) a laissé mourir ses deux époux et tenté d'assassiner son fils adoptif. Mieux qu'un roman noir, une histoire vraie !
durée : 03:01:36 - Le 6/9 - par : Mathilde Khlat, Benjamin Dussy, Marion L'hour, Ali Baddou - Les invités de la matinale de France Inter ce vendredi 1er décembre sont : Constance Rivière et Toumi Djaïdja sont les invités de 6h20, Dominique Seux et Thomas Porcher pour le débat éco, Laurence Tubiana et Jean-Marc Jancovici pour le 8h20, au micro d'Ali Baddou et de Marion L'Hour. - invités : Laurence Tubiana, Jean Marc JANCOVICI, Dominique Seux, Thomas PORCHER, Constance Rivière, Toumi Djaïdja - Laurence Tubiana : Directrice de la Fondation européenne pour le climat, professeure à Sciences Po Paris et à l'université de Columbia, Jean-Marc Jancovici : Ingénieur, Enseigant à Mines ParisTech, Associé de Carbone 4, Président du Shift Project, Dominique Seux : Directeur délégué de la rédaction des Echos et éditorialiste à France Inter, Thomas Porcher : Économiste, professeur à la Paris School of Business, Constance Rivière : Directrice générale de l'établissement public du Palais de la Porte Dorée (Musée national de l'histoire de l'immigration et l'Aquarium tropical)., Toumi Djaïdja : Ecrivain - réalisé par : Marie MéRIER
Ce dont on parle dans cet épisode de Laisse-moi kiffer :Le kiff d'Ariane : sa psy (00:33:16)Le kiff d'Anthony : les expositions au Palais de la Porte Dorée à Paris "Immigrations est et sud-est asiatiques depuis 1860" et "J'ai une famille 10 artistes de l'avant-garde chinoise installés en France" (jusqu'au 18 février 2024) (00:54:50)+ Article Qui est Euzhan Palcy, réalisatrice martiniquaise qui a reçu un Oscar d'honneur pour sa carrière ?Le kiff de Kalindi : la série "LOL qui rit sort" sur Prime Vidéo + le livre "Veiller sur elle" de Jean-Baptiste Andréa aux éditions de l'Iconoclaste (01:06:47)Le kiff de Marie-Stéphanie : Petite et grande et petit et grand, collection de livres pour enfants (01:25:13)+ le livre pour enfant "Lionel ! Le dentifrice à la saucisse et autres histoires incroyables" chez Actes sud jeunesseLaisse-moi kiffer :Autour d'une table, chaque jeudi, l'équipe échange recos culturelles, anecdotes et coups de gueule. Envoyez-nous sur Instagram vos anecbofs de star (une anecdote bof avec une star cool et vice versa), vies de boloss (une VDM mais en 2023, quoi) et autres messages boubou (si/quand vous avez un petit coup dans le nez).Retrouve-nous sur Instagram :Laisse-moi kiffer / Marie-Stéphanie / Ariane / Kalindi / AnthonyAbonnez-vous :Apple Podcasts • Deezer • SpotifyLaisse-moi kiffer est un podcast de Madmoizelle présenté par Marie-Stéphanie Servos.Avec Ariane Hemery, Anthony Vincent et Kalindi RamphulRéalisation et production : Fanny Cohen Moreau.Rédaction en chef : Marie-Stéphanie Servos. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Gaston Lagaffe, le héros le plus paresseux de la bande dessinée franco-belge revient avec un 22ème tome signé du Québécois Delaf d'après l'œuvre hilarante de Franquin. C'est une icône de la bande dessinée franco-belge. Il est apparu, le 28 février 1957, en costume et nœud papillon dans les pages du journal de Spirou. Deux semaines plus tard, dans une tenue beaucoup plus cool et décontractée : jean noir, pull vert à col roulé, espadrilles bleues. Un personnage indolent et même feignant, mais très actif du ciboulot ; un éternel gamin, jamais à court d'idées ni de gaffes, d'où son nom : Gaston Lagaffe.Pendant 40 ans, ce bricoleur et inventeur pourtant plein de bonnes intentions allait pourrir la vie de ses collègues de travail et du businessman M. de Mesmaeker, faire battre le cœur de 'Moiselle Jeanne, et faire rire des millions de lecteurs dans quelque 27 langues nationales et régionales.25 ans après la mort de son créateur Franquin, la Une du journal de Spirou du 6 avril 2022 l'annonçait en deux mots : « il revient ». Et puis rien. Le 23 août 2023, nouveau dessin en Une du magazine, cette fois avec ce titre : « Il re-revient ». Cette fois, ça y est, depuis hier, 22 novembre 2023, le nouveau Gaston Lagaffe est en librairie.Sur la couverture de ce 22ème album, la signature du dessinateur canadien Marc Delafontaine alias Delaf, figure d'ailleurs avec la mention « d'après Franquin ».« Le retour de Lagaffe », le 22ème album de la série est enfin disponible aux éditions Dupuis.Delaf est l'invité de VMDN.Café Polar : Catherine Fruchon nous présente l'écrivaine suédoise Karin Smirnoff qui reprend la suite de la célèbre saga « Millenium » dont elle signe le volume 7 « La fille dans les serres » (Actes Sud) où l'on retrouve la géniale hackeuse Lisbeth Salander et le journaliste Mikael Blomkvist pour une nouvelle enquête liée au développement de l'industrie éolienne dans le nord de la Suède.Reportage : Clara Gabillet est allée au Palais de la Porte Dorée assister à la pièce « Nos Corps empoisonnés » de la metteuse en scène Marine Bachelot Nguyen, présentée dans le cadre du Festival Vivants.
Pour ce Bada du Nouvel Esprit Public, Philippe Meyer a eu la joie de recevoir Constance Rivière, haute fonctionnaire, écrivaine et directrice du Palais de la Porte-Dorée. Dans ce troisième et dernier épisode, Constance Rivière nous parle du Palais de la Porte-Dorée qu'elle dirige depuis un an. Elle revient sur la nouvelle exposition permanente du Musée national de l'histoire de l'immigration ainsi que l'aquarium tropical situé au sous-sol du Palais.Chaque semaine, Philippe Meyer anime une conversation d'analyse politique, argumentée et courtoise, sur des thèmes nationaux et internationaux liés à l'actualité. Pour en savoir plus : www.lenouvelespritpublic.fr
Pour ce Bada du Nouvel Esprit Public, Philippe Meyer a eu la joie de recevoir Constance Rivière, haute fonctionnaire, écrivaine et directrice du Palais de la Porte-Dorée. Dans ce deuxième épisode, Constance Rivière revient sur ses cinq années de secrétaire générale du Défenseur des droits, Jacques Toubon. Elle nous parle également de l'économie du spectacle vivant et l'éducation artistique qu'elle a pu observer de près comme conseillère chargée de la culture au cabinet de François Hollande. Chaque semaine, Philippe Meyer anime une conversation d'analyse politique, argumentée et courtoise, sur des thèmes nationaux et internationaux liés à l'actualité. Pour en savoir plus : www.lenouvelespritpublic.fr
“J'avais envie de raconter ma réalité de la Chine.” Pour ce 40ème épisode, Linda rencontre Thomas et Valentine. Thomas Cai est président de l'association AJCF, l'Association des Jeunes Chinois de France et Valentine Hu a rejoint l'association de 2021 à 2022. Créé en 2009, l'AJCF est la plus grande association chinoise de France, et compte plus de 500 adhérents chaque année. Thomas et Valentine nous partagent les différentes actions de l'AJCF dont : La lutte contre le racisme anti-asiatique et leurs interventions dans les écoles pour sensibiliser les élèves les projets culturels comme la Chinese Food Day, pour faire découvrir les spécialités culinaires de différentes provinces de Chine à un large public, La création d'un média, pour la visibilisation des communautés chinoises La recherche avec le projet Histoire Diaspora pour parcourir les différentes migrations chinoises françaises Thomas et Valentine reviennent sur leur lien avec leur pays d'origine, leur rapport à la langue et leurs parents, et pourquoi ils ont décidé de rejoindre l'association. Valentine a habité en Chine, elle prenait déjà la parole au moment de la crise sanitaire pour raconter sa vie là-bas, et surtout partager “sa réalité de la Chine”. On évoque aussi les sujets : Enjeux culturels et représentations des Chinois et de la Chine dans le monde Les relations de l'AJCF avec les institutions françaises S'associer à d'autres collectifs pour porter ensemble le rayonnement de l'Asie Le dialogue intergénérationnel avec les associations chinoises des aînés Le travail avec les chercheurs du musée de l'mmigration pour la première exposition en France des migrations asiatiques et sud-est asiatiques en France au Palais de la Porte Dorée Un épisode qui déconstruit les clichés de la communauté chinoise, met en lumière l'esprit collectif et d'ouverture, d'engagement, de quête d'identité, et de se réapproprier son histoire pour mieux la raconter et la partager. Je vous invite dans une conversation où prône le partage, le rapport à ses cultures, les histoires multiples des communautés chinoises et des actions concrètes pour plus de tolérance et qui amènent à se reconnecter à ses racines. Pose toi avec nous et écoute ce qu'on t'a préparé. Pour la version filmée, RDV sur la chaîne Youtube Banh Mi Media Très bonne écoute et n'hésites pas à t'abonner et m'écrire sur la page insta @banhmi.media / Pour donner de la force au podcast, mettez-lui des étoiles et commentaires sur vos plateformes de podcast préférées. Pour suivre AJCF : @ajcf_fr Pour suivre Banh Mi : @banhmi.media / banh-mi.co/ Musique Intro: Benjamin Pham Outro : Tong hua 童话 - Guang Liang 光良 Photo: Sébastien Kong Banh Mi est un podcast créé et réalisé par Linda Nguon. – La grande nouveauté de la Saison 3 de Banh Mi, c'est Banh Mi Community, pour prolonger l'expérience : rencontre, échange, partage avec la communauté.
Pour ce Bada du Nouvel Esprit Public, Philippe Meyer a eu la joie de recevoir Constance Rivière, haute fonctionnaire, écrivaine et directrice du Palais de la Porte-Dorée. Dans ce premier épisode, Constance Rivière nous parle de son dernier livre, La vie des Ombres, consacré à l'œuvre de Frederick Wiseman. Elle revient également sur l'importance de son père dans sa découverte du cinéaste. Chaque semaine, Philippe Meyer anime une conversation d'analyse politique, argumentée et courtoise, sur des thèmes nationaux et internationaux liés à l'actualité. Pour en savoir plus : www.lenouvelespritpublic.fr
Table ronde organisée à l'occasion de la parution de l'ouvrage Une révolution iranienne : Femme, Vie, Liberté, avec Odile Burluraux, conservatrice du patrimoine au musée d'Art moderne de Paris, Chahda Chafiq, écrivaine et sociologue, Rachida El Azzouzi, journaliste à Mediapart et photographe, Hugo Vitrani, commissaire d'expositions au Palais de Tokyo et Julien Sirjacq, artiste chef d'atelier aux Beaux-Arts de Paris. Elle s'appelait Mahsa Amini, jeune femme kurde tuée par la police iranienne des mœurs le 16 septembre 2022.Plus de 100 graphistes et dessinateurs de presse s'engagent pour soutenir le combat des femmes et la liberté en Iran avec des affiches et des créations graphiques inspirées des affiches des révolutions Russe ou Cubaine, de mai 68 et des codes graphiques forts, efficaces propres à la Perse.4 institutions se mobilisent, les Beaux-Arts de Paris, le Musée d'art moderne de Paris, le Palais de Tokyo et le Palais de la porte Dorée pour éditer le premier ouvrage de référence sur ces luttes. Véritable hommage au combat et à la dignité, cet ouvrage s'inscrit dans les luttes fondamentales pour les droits des femmes et des hommes. Richement illustré ce beau livre rassemble plus de 250 affiches et documents photographiques. Cette publication s'inscrit dans le prolongement du soutien aux Iraniennes et Iraniens face à la répression, mené en mars dernier à l'occasion de la journée internationale des droits des femmes. Les Beaux-Arts de Paris, le Musée d'Art Moderne, le Palais de Tokyo et le Palais de la Porte Dorée s'étaient accordés pour habiller leurs façades et espaces intérieurs d'affiches issues des manifestations iraniennes, imprimées généreusement par l'atelier Julien Sirjacq aux Beaux-Arts de Paris. Cet engagement est présenté dans l'un des chapitres de l'ouvrage. Prix 35 € - Format 170 x 240 mm - 244 pages - Broché Amphithéâtre des LogesMercredi 4 octobre 2023 Crédit photo : © Anonymous Designer for From Iran
À quoi ressemble Le Pouldu, Cotonou, Les Sables-d'Olonne, l'île d'Oléron ou encore Venise en 2050 ? Avec "Face à la mer à la nouvelle ère", Sailing Hirondelle vous embarque dans le futur pour découvrir les plages, les ports et les sentiers côtiers de demain. Depuis la création de notre association, nous recueillons des témoignages pour raconter comment le littoral et les activités liées à l'océan évoluent. Cette fois-ci, nous avons demandé à des hommes et des femmes, des enfants, des ados et des adultes, de se projeter en 2050 et de livrer leur témoignage du futur. Nous avons rassemblé quelques extraits dans cette série de podcast en quatre épisodes. Dans ce deuxième épisode, "Le calme et la tempête", nos témoins parlent des bouleversements sociétaux et climatiques, pour le meilleur et pour le pire. Se projeter dans le futur n'est pas un exercice facile. Il y a eu des hésitations, des rires, des inquiétudes et des notes d'espoir, des prédictions sombres et des mondes idéalisés. Se projeter dans le futur n'est pas une science exacte. Pourtant, c'est un exercice nécessaire pour comprendre les mécanismes du dérèglement climatique, anticiper les bouleversements à venir et réfléchir aux actions qu'on peut mettre en place pour construire une société durable. "Face à la mer à la nouvelle ère" est un podcast d'anticipation collaboratif. Les enregistrements ont été réalisés les samedi 3 et dimanche 4 juin 2023 au Palais de la Porte Dorée dans le cadre de la Fête de l'Océan. Un grand merci à celles et ceux qui ont accepté de se prêter au jeu, et au Palais de la Porte Dorée pour leur accueil. Prise de son, montage et réalisation : Sailing Hirondelle Musique : "Perspehone", "Aphrodite", "Make It Happen" Crédit musical : FiftySounds
À quoi ressemble Le Pouldu, Cotonou, Les Sables-d'Olonne, l'île d'Oléron ou encore Venise en 2050 ? Avec "Face à la mer à la nouvelle ère", Sailing Hirondelle vous embarque dans le futur pour découvrir les plages, les ports et les sentiers côtiers de demain. Depuis la création de notre association, nous recueillons des témoignages pour raconter comment le littoral et les activités liées à l'océan évoluent. Cette fois-ci, nous avons demandé à des hommes et des femmes, des enfants, des ados et des adultes, de se projeter en 2050 et de livrer leur témoignage du futur. Nous avons rassemblé quelques extraits dans cette série de podcast en quatre épisodes. Dans de quatrième et dernier épisode, "Oléron, l'île des possibles", Nathan évoque aussi bien le paysage altéré par un parc éolien que les planches de surf et la faune ornithologique de l'île charentaise. Se projeter dans le futur n'est pas un exercice facile. Il y a eu des hésitations, des rires, des inquiétudes et des notes d'espoir, des prédictions sombres et des mondes idéalisés. Se projeter dans le futur n'est pas une science exacte. Pourtant, c'est un exercice nécessaire pour comprendre les mécanismes du dérèglement climatique, anticiper les bouleversements à venir et réfléchir aux actions qu'on peut mettre en place pour construire une société durable. "Face à la mer à la nouvelle ère" est un podcast d'anticipation collaboratif. Les enregistrements ont été réalisés les samedi 3 et dimanche 4 juin 2023 au Palais de la Porte Dorée dans le cadre de la Fête de l'Océan. Un grand merci à celles et ceux qui ont accepté de se prêter au jeu, et au Palais de la Porte Dorée pour leur accueil. Prise de son, montage et réalisation : Sailing Hirondelle Archives documentaires : Extrait du JT de France 3 diffusé en mars 2023 : https://www.youtube.com/watch?v=HVd5dg1Tl44 Extrait du JT de France 3 diffusé en juillet 2022 : https://www.francetvinfo.fr/economie/energie/eoliennes-a-oleron-l-eloignement-d-un-parc-eolien-en-mer-par-le-gouvernement-ne-rassurepas_5286733.html Musique : "Perspehone", "Aphrodite", "Make It Happen" Crédit musical : FiftySounds
À quoi ressemble Le Pouldu, Cotonou, Les Sables-d'Olonne, l'île d'Oléron ou encore Venise en 2050 ? Avec "Face à la mer à la nouvelle ère", Sailing Hirondelle vous embarque dans le futur pour découvrir les plages, les ports et les sentiers côtiers de demain. Depuis la création de notre association, nous recueillons des témoignages pour raconter comment le littoral et les activités liées à l'océan évoluent. Cette fois-ci, nous avons demandé à des hommes et des femmes, des enfants, des ados et des adultes, de se projeter en 2050 et de livrer leur témoignage du futur. Nous avons rassemblé quelques extraits dans cette série de podcast en quatre épisodes. Dans ce premier épisode, "Marée humaine", nos témoins imaginent comment les humains, touristes et résident.es, occuperont les littoraux de demain. Se projeter dans le futur n'est pas un exercice facile. Il y a eu des hésitations, des rires, des inquiétudes et des notes d'espoir, des prédictions sombres et des mondes idéalisés. Se projeter dans le futur n'est pas une science exacte. Pourtant, c'est un exercice nécessaire pour comprendre les mécanismes du dérèglement climatique, anticiper les bouleversements à venir et réfléchir aux actions qu'on peut mettre en place pour construire une société durable. "Face à la mer à la nouvelle ère" est un podcast d'anticipation collaboratif. Les enregistrements ont été réalisés les samedi 3 et dimanche 4 juin 2023 au Palais de la Porte Dorée dans le cadre de la Fête de l'Océan. Un grand merci à celles et ceux qui ont accepté de se prêter au jeu, et au Palais de la Porte Dorée pour leur accueil. Prise de son, montage et réalisation : Sailing Hirondelle Musique : "Persephone", "Aphrodite", "Make It Happen" Crédit musical : FiftySounds
L'émission 28 Minutes du 29/07/2023 Constance Rivière remet à flots le musée national de l'immigrationDirectrice générale du Palais de la Porte Dorée, haute fonctionnaire et écrivaine française, Constance Rivière a bâti une carrière placée sous le signe de l'engagement politique. En 2021, la normalienne et énarque est approchée afin de diriger le Palais de la Porte Dorée — qui comprend le Musée de l'immigration et l'Aquarium. Elle décline la proposition et c'est finalement Pap N'Diaye qui en prend la tête. Finalement, en 2022, la femme en prend les rènes et insuffle la nécessité d'y conduire des travaux. Logé dans un bâtiment construit en 1931 pour y accueillir l'Exposition coloniale internationale, le Musée national de l'histoire de l'immigration a rouvert ses portes le 17 juin dernier après 3 ans.Découvrez le portrait de notre invitée, par Philippe Ridet et lu par Amira Souilem.Le roman de Constance Rivière, “La vie des ombres”, aux éditions Stock, est à paraître le 6 septembre 2023.Élections générales en Espagne : une leçon pour la gauche européenne ?En ce mois de juillet 2023, tous les regards étaient braqués sur l'Espagne où des élections législatives anticipées avaient lieu. Alors que les sondages annonçaient comme vainqueur une coalition extrême droite et droite, les résultats sont tout autres. Le Premier ministre socialiste Pedro Sanchez reste à la tête du pays avec 122 députés sur 350. Une façon de limiter la casse. La progression de l'extrême droite, qui paraissait irrésistible eu égard à ce qui se passe dans d'autres pays d'Europe, vient de subir un coup d'arrêt. Est-ce le début d'un renversement de tendance ? Ou y a-t-il une exception espagnole ?JO 2024 : faut-il réintégrer les athlètes russes ? Année -1. Pour marquer cette date symbolique, le président du Comité international olympique avait fait le déplacement à Saint-Denis, le 26 juillet, au siège du Comité d'organisation. L'occasion pour le CIO de lancer officiellement les invitations aux différents comités olympiques. Problème : que faire avec les athlètes russes et biélorusses ? Depuis des mois, la question fait débat et l'organisation tergiverse. Les fédérations sportives internationales sont laissées libres de leur choix, et le CIO, qui a fait de la neutralité politique un de ses principes fondamentaux, ne se fixe aucune date pour trancher. Si Kiev a annoncé accepter de se rendre à Paris si les athlètes russes restent sous bannière neutre, le risque d'un boycott des autres pays reste entier. Une mauvaise pub pour la France, pays organisateur. Frédéric Tanvier nous emmène voir ailleurs au Mexique où le projet d'une longue ligne ferroviaire, le train Maya, initié en 2018 a suscité la colère des défenseurs de l'environnement. Puis, ne manquez pas la question très intéressante de David Castello-Lopes, la chronique d'Alix Van Pee et un retour sur le temps fort de la semaine.28 Minutes est le magazine d'actualité d'ARTE, présenté par Elisabeth Quin du lundi au jeudi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le vendredi et le samedi. Ce podcast est coproduit par KM et ARTE Radio. Enregistrement : 29 juillet 2023 - Présentation : Renaud Dély - Production : KM, ARTE Radio
durée : 00:55:55 - Affaires sensibles - C'est l'histoire d'un fait divers tragique, le plus mystérieux, le plus sensationnel et le plus étonnant dossier criminel de l'entre-deux-guerres : l'affaire dite « du tueur du métro ». Le 16 mai 1937, une jeune femme de 29 ans est retrouvée morte, poignardée, dans une rame du métro parisien à la station Porte Dorée.
durée : 00:18:26 - Et maintenant ? L'Invité(e) des matins du samedi - par : Quentin Lafay - La réouverture du Musée de l'immigration est l'occasion de revenir sur l'histoire de ce lieu et ses ambitions. - invités : Constance Rivière Directrice générale de l'établissement public du Palais de la Porte Dorée (Musée national de l'histoire de l'immigration et l'Aquarium tropical).; Nikolaï Angelov Policier municipal, auteur de Voyage à Auschwitz, Récit d'un jeune Rom (A Dos d'âne, 2015)
"It's no use. She's beyond aid. She can't speak. Don't touch her. The thing to do is call the police."On 16 May 1937, 29-year-old Laetitia Toureaux boarded line 8 on the Paris metro, having arrived at the Porte de Charenton station just after 6:30 PM. With it being a warm Sunday in the Spring (and Pentecost, no less) the station was bustling with activity. For that reason, instead of sitting in the cramped second class cars, Laetitia purchased a ticket to sit in the completely empty first class car, a decision she didn't normally make.Roughly one minute after leaving the Porte de Charenton station, the metro pulled up at its next scheduled stop, Porte Dorée. A handful of first class passengers there boarded the train and were met by a horrific sight...Research & writing by Olivia ParadiceHosting & production by Micheal WhelanLearn more about this podcast at http://unresolved.meIf you would like to support this podcast and others, consider heading to https://www.patreon.com/unresolvedpod to become a Patron or ProducerMusic Credits:Matthew L. Fisher - Dark Traveler (Instrumental)Gideon Boley - Bloom (Piano Mix - Instrumental)Marko Maksimovic - Slow Piano (Instrumental)Risian - Out of this World (Instrumental)Center Of The Sea - Through the Past (Instrumental)J Scott Rakozy - Rose Petals (Instrumental)This show is part of the Spreaker Prime Network, if you are interested in advertising on this podcast, contact us at https://www.spreaker.com/show/3266604/advertisement
Dans cet épisode, (re)découvrez le premier crime commis dans le métro parisien en 1937. Par une belle après-midi printanière, une jeune femme d'origine italienne revient d'une guinguette de l'est parisien. Quelques minutes plus tard, on la retrouve morte, poignardée en l'espace d'une seule station de la ligne 8. Son nom : Lætitia Toureaux. De victime mystérieuse au crime parfait, découvrez sa True Story. Dimanche 16 mai 1937, 18h30, une rame en provenance de la station Porte de Charenton entre à la Porte Dorée. A son bord, une jeune femme rousse à la robe verte et au chapeau blanc, est assise et semble somnoler. 6 passagers entrent dans cette rame de première classe. Au moment où il pénètrent dans le wagon, le corps de la jeune femme bascule en avant et s'écroule sur le sol dans une mare de sang. L'un des passagers qui vient de rentrer est médecin, il se précipite vers ce corps gisant et découvre un couteau Laguiole planté au bas de son cou. Ecoutez la suite de cette histoire incroyable dans ce podcast. Pour découvrir d'autres récits passionnants, cliquez ci-dessous : La Maison Frochot, la demeure hantée de Pigalle aux phénomènes inexplicables Marie-Antoinette, l'une des reines les plus scandaleuses de l'Histoire Ralph Baer, le père du jeu-vidéo Ecriture : Hélène Vézier Réalisation : Célia Brondeau, Antoine Berry Roger Voix : Andréa Brusque Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
EPISODE 561 Ce soir de mai 1937, Laetitia Toureaux seule dans son wagon, arrive à la station Porte Dorée. On la retrouve avec un couteau planté dans le cou. Morte... Comment ce meurtre a-t-il pu être commis ? L'enquête se révélera d'autant plus complexe que la jeune femme est loin d'être aussi sans histoires qu'elle n'y paraît... Parler du Podcast Si vous avez aimé ce podcast "Dans l'ombre des légendes" , nous vous invitons à en faire la promotion autour de vous. Parlez-en à vos amis, à votre famille, et sur les réseaux sociaux. Plus nous aurons d'auditeurs, plus nous pourrons continuer à vous offrir des épisodes passionnants et terrifiants. Vous pouvez également vous abonner à notre podcast sur les plateformes de streaming audio, comme Spotify , Apple Podcasts ou Deezer , pour ne manquer aucun épisode. Nous vous remercions de votre soutien et nous espérons vous retrouver bientôt pour de nouvelles histoires d'horreur. Soutenir le podcast Chers auditeurs de notre podcast, nous espérons que vous appréciez notre contenu et que vous avez été captivé par nos histoires d'horreur et de creepypasta. Si vous souhaitez soutenir notre podcast et nous aider à continuer de vous proposer du contenu de qualité, vous pouvez faire un don sur cette page . Tout montant, même minime, sera grandement apprécié et nous permettra de continuer à vous offrir des épisodes captivants et terrifiants. Merci pour votre soutien. La fiche Contact Chers auditeurs de notre podcast, si vous avez des questions, des suggestions ou des commentaires sur notre contenu, n'hésitez pas à nous contacter. Vous pouvez nous envoyer un message via nos liens en bas de cette page. Nous sommes toujours à l'écoute de nos auditeurs et nous nous ferons un plaisir de répondre à vos messages. N'hésitez pas à nous contacter pour discuter de notre podcast ou pour nous faire part de vos idées. Nous sommes impatients de vous lire.
Rues en mémoire de militaires coloniaux, statues à la gloire de personnages impliqués dans l'esclavagisme… Loin de son image de “ville lumière” et de “capitale de l'amour”, Paris porte les traces des violences racistes et sexistes dans son espace public. Souvent peu contextualisé·es, ces voies, bas-reliefs et bâtiments qui valorisent des figures de l'oppression impérialiste rendent la ville inhospitalière pour beaucoup et fait le récit d'une Histoire partielle, écrite par les dominant·es. De quelle manière l'ex-empire français se rend-t-il visible dans l'espace public parisien ? Comment transformer notre regard sur une Histoire qui occulte le vécu des opprimé·es ? Quelle forme peut prendre la décolonisation de l'espace public ? Pour en parler, Rokhaya Diallo et Grace Ly reçoivent Seumboy Vrainom :€. Créateur de la chaîne YouTube « Histoires crépues », ce militant a participé à la confection de l'ouvrage De la violence coloniale dans l'espace public (éd. Shed, 2021) aux côtés de Françoise Vergès. Cet essai se présente comme un guide décolonial du “triangle de la Porte Dorée” à Paris, où trois monuments offrent un condensé de l'histoire coloniale, culturelle, économique, raciale et politique de la France.RÉFÉRENCES CITÉES DANS L'ÉMISSION Retrouvez toutes les références sur https://www.binge.audio/podcast/kiffetarace/paris-decolonial CRÉDITS Kiffe ta race est un podcast de Binge Audio animé par Rokhaya Diallo et Grace Ly. Cet épisode a été enregistré en janvier 2022 au studio Virginie Despentes, dans les locaux de Binge Audio (Paris, 19e). Prise de son : Elisa Grenet. Réalisation : Alice Ninin. Générique : Shkyd. Production et édition : Naomi Titti. Identité graphique : Manon Louvard & Camille Bernard (Upian). Direction des programmes : Joël Ronez. Direction de la rédaction : David Carzon. Direction générale : Gabrielle Boeri-Charles. Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.
Dans cet épisode, découvrez le premier crime commis dans le métro parisien en 1937. Par une belle après-midi printanière, une jeune femme d'origine italienne revient d'une guinguette de l'est parisien. Quelques minutes plus tard, on la retrouve morte, poignardée en l'espace d'une seule station de la ligne 8. Son nom : Lætitia Toureaux. De victime mystérieuse au crime parfait, découvrez sa True Story. Un crime mystérieux Dimanche 16 mai 1937, 18h30, une rame en provenance de la station Porte de Charenton entre à la Porte Dorée. A son bord, une jeune femme rousse à la robe verte et au chapeau blanc, est assise et semble somnoler. 6 passagers entrent dans cette rame de première classe. Au moment où il pénètrent dans le wagon, le corps de la jeune femme bascule en avant et s'écroule sur le sol dans une mare de sang. L'un des passagers qui vient de rentrer est médecin, il se précipite vers ce corps gisant et découvre un couteau Laguiole planté au bas de son cou. Ecoutez la suite de cette histoire incroyable dans ce podcast. Pour découvrir d'autres récits passionnants, cliquez ci-dessous : Jim Jones, l'organisateur du plus grand suicide collectif de l'Histoire Le pont d'Overtoun, le lieu hanté qui pousse les chiens à se suicider Martin Luther King, le célèbre rêveur de l'égalité entre les peuples Ecriture : Hélène Vézier Réalisation : Célia Brondeau, Antoine Berry Roger Voix : Andréa Brusque Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Françoise Vergès, writer, historian, activist and public educator, walks us through the mise en scène of ‘the colonial triangle' in the 12th Arrondissement in Paris. Between le Palais de la Porte Dorée (former Musée des Colonies, inaugurated in 1931 for the Exposition Coloniale Internationale in Paris), the Statue of Athena and le Monument Marchand, we discuss her new book with Seumboy Vrainom :€ called ‘De la violence coloniale dans l'espace public: Visite du triangle de la Porte Dorée à Paris' (2021, Shed Publishing) which unveils the memorialisation of colonial violence and expeditions, imperialism, and extractivism on murals, museum walls, streets names and statues in the public space.