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Ils traversent le temps avec la même grâce réjouissante qu'ils parcourent l'espace de la scène : pour les danseurs de la compagnie DCA, du piano de cabaret à l'électro, de Bach à Madonna en passant par Rameau et Gloria Gaynor, toutes les musiques sont bonnes. Le nouveau spectacle de Philippe Decouflé «Entre temps», créé au printemps est en ce moment à la Villette, à Paris, à l'espace Chapiteaux. C'est un spectacle qui nous parle du temps qui passe, de la mémoire qui s'envole et du temps du rêve. Philippe Decouflé et Dominique Boivin étaient les invités de Nathalie Amar. ► Playlist du jour - Madonna - Isla Bonita. - Keren Ann - Paris Amour.
Ils traversent le temps avec la même grâce réjouissante qu'ils parcourent l'espace de la scène : pour les danseurs de la compagnie DCA, du piano de cabaret à l'électro, de Bach à Madonna en passant par Rameau et Gloria Gaynor, toutes les musiques sont bonnes. Le nouveau spectacle de Philippe Decouflé «Entre temps», créé au printemps est en ce moment à la Villette, à Paris, à l'espace Chapiteaux. C'est un spectacle qui nous parle du temps qui passe, de la mémoire qui s'envole et du temps du rêve. Philippe Decouflé et Dominique Boivin étaient les invités de Nathalie Amar. ► Playlist du jour - Madonna - Isla Bonita. - Keren Ann - Paris Amour.
Nel volgere di pochi decenni il rapporto tra genitori e figli ha subìto un cambiamento epocale. Di questo ce ne parla Barbara Tamborini autrice con Alberto Pellai del libro, Esci da quella stanza (Mondadori). Nella seconda parte le recensioni ai seguenti libri:- Walter Siti, La fuga immobile, Lo strano caso della generazione Z, Silvio Berlusconi editore- Luca Bellardini, La donna che ha cambiato il mondo, Margaret Thatcher e la sua eredità, Liberilibri- Ignacio Peyró, Anglofilia, Piccolo glossario sentimentale della cultura inglese, Graphe.it edizioni- Alison Weir, Enrico VIII, Neri Pozza- Milton Friedman, Non esistono pasti gratis, Liberilibri- James M. Buchanan, Perché dobbiamo lavorare di più e risparmiare di più, Liberilibri.Il confettino, i consigli di lettura per i più piccoli, di questa settimana:- Alberto Pellai, Nella pancia del papà. Filastrocche per crescere insieme, Salani.
Il a grandi à Forbach, sans diplôme, sans réseau, sans plan B. Il a connu la rue, les chantiers, la galère. Mais un jour, il a trouvé un langage que tout le monde pouvait comprendre : la danse. Aujourd'hui, ses chorégraphies ont ému le monde entier. Chaque mouvement raconte son histoire : celle d'un autodidacte devenu phénomène mondial, sans plan de carrière, mais avec une seule obsession : transformer sa liberté en art. De Shakira aux Jeux Olympiques, en passant par les Grammy Awards, J-Lo ou encore les Black Eyed Peas, Sadeck Berrabah est devenu un artiste à rayonnement mondial que rien ne prédestinait à la lumière. Dans le podcast PAUSE, il nous raconte tout : la débrouille, la foi, la chute, la rage, la liberté. Et cette phrase qui résume tout : “Heureusement que j'ai vécu tout ça.”
durée : 00:59:51 - François Chaignaud, danseur, chorégraphe, chanteur - par : Priscille Lafitte - Dans l'univers foisonnant du chorégraphe François Chaignaud, le chant occupe une place aussi centrale que la danse. Son rapport à la musique s'est forgé au contact notamment de Nina Laisné, Marie-Pierre Brébant, ainsi que Geoffroy Jourdain et l'ensemble vocal Les Cris de Paris. - réalisé par : Claire Lagarde Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Bienvenue dans La Leçon, le podcast sur l'art d'échouer. Cette semaine, je suis tellement heureuse de recevoir le danseur et chorégraphe Sadeck Berrabah. Sadeck a un parcours hors norme, stratosphérique même. Et, surtout, compliqué à définir en quelques lignes. Et pour cause, lui le chorégraphe des stars a vécu deux ans à la rue avant de trouver sa voie. Aujourd'hui, il est partout : Skims (Kim Kardashian), Nike, le Ballon d'Or, les Grammys, Shakira, JLo… Son parcours, c'est la preuve qu'un échec n'est jamais une fin mais peut devenir le début d'une histoire incroyable. Aujourd'hui Sadeck Berrabah a une carrière qui en ferait pâlir plus d'un, compte plus d'un million 5 de followers sur Instagram et autant de vues sur chacune de ses créations. A partir du 21 décembre, il présente son spectacle Murmurations level 2 au théâtre Marigni et ensuite tournée des zenith. Hello Sadeck !Bonne écoute les amis, vous allez voir, l'épisode est incroyable.
Un avant-goût du prochain épisode de la Leçon qui sort vendredi à 23h30 ! Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aujourd'hui, je reçois Simon Le Borgne, danseur et chorégraphe.Formé à l'École de Danse et devenu sujet à l'Opéra national de Paris, il quitte la compagnie en 2022 animé par la nécessité d'inventer son propre langage corporel.Depuis, il façonne sa danse aux côtés de complices avec lesquels il tisse des aventures créatives et des compagnonnages artistiques.C'est avec Ulysse Zangs – musicien et danseur, son ancien camarade de chambre à l'École de Danse – qu'il évolue dans sa toute dernière pièce, Ad Libitum, l'un des rendez-vous vibrants de cette édition de la Biennale de la danse de Lyon (Les Subs).Il raconte sa mue, un processus parfois douloureux, à la genèse d'Ad Libitum.C'est donc l'histoire d'une naissance, celle d'un nouvel auteur de la danse.On l'écoute avec joie.
La grande chorégraphe brésilienne engagée, Lia Rodrigues, est de retour au Festival d'Automne à Paris. Sa dernière création Borda est présentée ce week-end au Théâtre National de Chaillot dans le cadre d'une grande tournée jusqu'à mi-octobre. Une pièce que l'artiste a créée une fois de plus au cœur de la Favela Mare à Rio de Janeiro où elle a implanté son centre d'art. « Il y a plusieurs sens dans ces mots, et c'est pour cela que j'aime bien, parce que ce n'est pas seulement une frontière aux limites, c'est aussi du verbe broder. C'est aussi quand on fait en sorte qu'une phrase soit plus belle. Au moins, en portugais, on a ce sens-là. Alors, j'aime bien ces sens un peu flottants. » Un univers flottant, mais aussi imaginaire et fantasmagorique. C'est ce monde qui s'ouvre à nous dans le dernier spectacle de Lia Rodrigues. La pièce commence dans le silence. Un tableau vivant. Un amas de tissu qui respire et sous lequel sont enfouis les neuf interprètes. « Tout ce que vous avez vu sur scène, ce sont des matériaux de 35 ans de ma compagnie. De toutes les pièces qu'on a mises sur les plateaux pour créer les costumes et aussi les costumes du May B d'une pièce de Maguy Marin qui a offert cette pièce pour les élèves de notre école. » À lire aussiDanse: «Encantado», la dernière création de Lia Rodrigues Une scénographie conçue de tissus, de voilages blancs et de plastiques Ainsi les tissus composent la scénographie, le décor de la pièce. Les danseurs semblent éclore de cette matière qu'ils déploient sur scène. Voilages blancs et plastiques envahissent l'espace au sein d'interprètes qui se découvrent grimaçants, prenant vie, troquant la torpeur et la lenteur contre une danse énergique. Une pièce conçue dans la favela Maré à Rio de Janeiro où Lia Rodrigues est installée. « Depuis 20 ans, je mène un projet avec une association, et on a créé un centre d'art et une école de danse. Cette école de danse a été créée en 2011 et c'est ça notre projet pédagogique. On a 300 élèves de tous les âges. » Borda une pièce généreuse qui se termine dans une explosion de gestes et de sons et où la vie prend toujours le dessus. À lire aussiDanse Lia Rodrigues Encantado
Bienvenue dans Un pas de côté, une capsule du podcast Les Sens de la Danse pensée pour éclairer chaque épisode.Pourquoi ce format ? Parce qu'écouter un danseur raconter son parcours, c'est passionnant, mais pour vraiment saisir la richesse de ses propos, il faut parfois replacer un nom, une esthétique, une révolution artistique dans son contexte.
La grande chorégraphe brésilienne engagée, Lia Rodrigues, est de retour au Festival d'Automne à Paris. Sa dernière création Borda est présentée ce week-end au Théâtre National de Chaillot dans le cadre d'une grande tournée jusqu'à mi-octobre. Une pièce que l'artiste a créée une fois de plus au cœur de la Favela Mare à Rio de Janeiro où elle a implanté son centre d'art. « Il y a plusieurs sens dans ces mots, et c'est pour cela que j'aime bien, parce que ce n'est pas seulement une frontière aux limites, c'est aussi du verbe broder. C'est aussi quand on fait en sorte qu'une phrase soit plus belle. Au moins, en portugais, on a ce sens-là. Alors, j'aime bien ces sens un peu flottants. » Un univers flottant, mais aussi imaginaire et fantasmagorique. C'est ce monde qui s'ouvre à nous dans le dernier spectacle de Lia Rodrigues. La pièce commence dans le silence. Un tableau vivant. Un amas de tissu qui respire et sous lequel sont enfouis les neuf interprètes. « Tout ce que vous avez vu sur scène, ce sont des matériaux de 35 ans de ma compagnie. De toutes les pièces qu'on a mises sur les plateaux pour créer les costumes et aussi les costumes du May B d'une pièce de Maguy Marin qui a offert cette pièce pour les élèves de notre école. » À lire aussiDanse: «Encantado», la dernière création de Lia Rodrigues Une scénographie conçue de tissus, de voilages blancs et de plastiques Ainsi les tissus composent la scénographie, le décor de la pièce. Les danseurs semblent éclore de cette matière qu'ils déploient sur scène. Voilages blancs et plastiques envahissent l'espace au sein d'interprètes qui se découvrent grimaçants, prenant vie, troquant la torpeur et la lenteur contre une danse énergique. Une pièce conçue dans la favela Maré à Rio de Janeiro où Lia Rodrigues est installée. « Depuis 20 ans, je mène un projet avec une association, et on a créé un centre d'art et une école de danse. Cette école de danse a été créée en 2011 et c'est ça notre projet pédagogique. On a 300 élèves de tous les âges. » Borda une pièce généreuse qui se termine dans une explosion de gestes et de sons et où la vie prend toujours le dessus. À lire aussiDanse Lia Rodrigues Encantado
durée : 01:00:07 - Angelin Preljocaj, chorégraphe - par : Priscille Lafitte - Angelin Preljocaj est danseur et chorégraphe, originaire d'Albanie et formé à New York auprès de Merce Cunnigham. Son oeuvre se forge à partir du grand répertoire des Ballets russes, puis s'élargit à Mozart, Schubert, Bach et Messiaen. Comment s'élaborent ses choix musicaux ? - réalisé par : Claire Lagarde Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Ouest Track vous fait découvrir les oeuvres d'un Été au Havre !Dans cet épisode découvrez Le Marégraphe, une immersion sonore et visuelle créée par Méline Grellier, artiste et étudiante au sein de l'École Supérieure d'Art et de Design du Havre. Rejoignez un groupe de visiteurs au 17e étage de la tour de l'Hôtel de ville afin de profiter des bruits du ports et d'une vue imprenable sur la ville. Grégoire et David, médiateurs chez Seineaction, vous y accueillent.Si vous souhaitez voir ce que ça donne, vous pouvez aussi faire un tour sur notre compte Tiktok, une vidéo à ce sujet y est postée : cliquer ici pour voir la vidéo. Enfin, si vous souhaitez faire l'expérience vous-même, réservez votre place sur ce lien. La visite est gratuite et disponible uniquement jusqu'au 31 août 2025. Image : Un Ete au Havre
durée : 00:08:40 - France Culture va plus loin (l'Invité(e) des Matins d'été) - par : Julie Gacon, Sarah Masson - À l'occasion du festival La Grange aux Pianos, à Chassignolles dans l'Indre, Bruno Bouché présente son spectacle "Création Ravel". Ce sera la première fois que ce festival s'ouvre à la danse, présentée au jardin de la Grange aux pianos, le 14 et 15 août 2025. - réalisation : Sam Baquiast, Vivian Lecuivre - invités : Bruno Bouché Danseur, chorégraphe, et Directeur artistique du CCN, Ballet de l'Opéra national du Rhin
Comment mémoriser un opéra entier ? Et des lyrics de rap, une sonate, une tragédie ou encore une pleine heure de mouvements de danse ? Existe-t-il des méthodes, des trucs infaillibles ? Et comment réagir si, malgré tout, un trou de mémoire survient ? Au micro de Thierry Sartoretti, cinq artistes de Suisse romande racontent leur manière dʹapprendre par cœur, de jouer en public sans partitions, notes, prompteur ou oreillette. Et parfois… oublier.
Aujourd'hui, je reçois Némo Flouret.Danseur et chorégraphe français, formé à P.A.R.T.S., Némo aime investir collectivement et par le mouvement des lieux non destinés à la danse, au spectacle vivant.Pour sa toute première fois à Avignon, il présente dans la cour du Lycée Saint-Joseph, avec 11 interprètes, « Derniers Feux », une mise en abyme puisque c'est un spectacle sur la création d'un spectacle - le dernier - qui serait joué indéfiniment.
durée : 00:09:53 - France Culture va plus loin (l'Invité(e) des Matins d'été) - par : Astrid de Villaines, Stéphanie Villeneuve, Sarah Masson - À l'occasion de Grand Palais d'été, à Paris, Boris Charmatz propose "Cercles", un atelier chorégraphique en temps réel réunissant 200 danseurs. Entre énergie collective et singularités, le public est invité à suivre l'échauffement et la performance, jusqu'à une soirée DJ festive. - réalisation : Félicie Faugère - invités : Boris Charmatz Chorégraphe français
L'émission 28 minutes du 10/07/2025 La chorégraphe Blanca Li nous immerge dans le Bal de ParisChorégraphe, danseuse, réalisatrice, metteuse en scène et aujourd'hui présidente de la Grande Halle de la Villette, Blanca Li n'a jamais cessé d'élargir le champ du possible. Son œuvre est une œuvre du mouvement, au sens propre comme au figuré. Née à Grenade, formée à New York chez Alvin Ailey et Martha Graham, elle mêle flamenco, hip-hop, danse baroque, ballet classique, robots et réalité virtuelle dans un travail jubilatoire et sans frontières. Fondatrice de sa compagnie en 1992, elle impose dès "Macadam Macadam" une danse urbaine sur scène, puis enchaîne avec "Al Andalus", "Elektrik", "Robot", ou encore "Le Jardin des Délices". Artiste populaire et pionnière, elle signe aussi des clips pour Daft Punk ou Beyoncé, des défilés pour Jean-Paul Gaultier et des comédies musicales pour les Folies Bergère. Première femme chorégraphe élue à l'Académie des Beaux-Arts, elle a parfois dérouté par son éclectisme assumé, mais toujours ouvert des voies nouvelles. Son actualité : le retour du "Bal de Paris", bal masqué en réalité virtuelle, récompensé à la Mostra de Venise, est à découvrir du 21 septembre au 2 novembre à la Seine Musicale. Un moment d'extase collective où le spectateur devient danseur. L'avion moins cher que le train : faut-il payer plus cher l'aérien ?Avec plus de 12 millions de billets vendus pour juillet et août, la SNCF s'attend à un été record. Rien que pour le premier grand week-end des vacances, 1,3 million de voyageurs étaient attendus à bord de 2 400 trains TGV, Ouigo et Intercités. Mais si le train séduit toujours, il reste souvent plus cher que l'avion pour voyager en Europe. Une étude conjointe de Greenpeace, UFC-Que Choisir et Réseau Action Climat révèle qu'un billet de train coûte en moyenne 2,6 fois plus cher qu'un billet d'avion pour des trajets européens. Un paradoxe, alors que les épisodes caniculaires de ce début d'été rappellent l'urgence climatique. Faut-il rendre l'avion plus cher pour inciter à des choix plus écologiques ? Enfin, Théophile Cossa nous parle du trafic de drogue sous marin et Marjorie Adelson s'intéresse à l'essor des espaces strictement féminins, en Chine.28 minutes est le magazine d'actualité d'ARTE, présenté par Élisabeth Quin du lundi au jeudi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le vendredi et le samedi. Ce podcast est coproduit par KM et ARTE Radio. Enregistrement 10 juillet 2025 Présentation Jean-Mathieu Pernin Production KM, ARTE Radio
Roma ha impresso in Europa un'impronta a tutt'oggi ancora indelebile. Dal Mare del Nord al Mar Nero moltissime città sono state infatti fondate dai romani.Ne parliamo con Livio Zerbini autore del libro: Le vie delle città romane, Il Mulino.Anche nella seconda parte domina la storia di Roma con le seguenti recensioni:- Catherine Fletcher, Le strade di Roma, Garzanti- Aglaia McClintock, L'Arco di Traiano. Un libro di pietra, Mauvais Livres- Mirko Rizzotto, Traiano, il migliore imperatore di Roma, Graphe.it edizioni- Tom Holland, PAX, guerre e pace nell’età d’oro di Roma, Mondadori.Segnalati anche altri due libri: - Daniele Clarizia, Hugo Pratt e Corto Maltese, Luni editrice e Vivere, di Boualem Sansal, Neri Pozza.Quest'ultimo è detenuto in Algeria, benché malato, per le sue pozioni sgradite al Governo algerino e per il quale si è mosso anche Manuel Macron che ha scritto su X: "La condanna a cinque anni di reclusione inflitta in appello al nostro connazionale Boualem Sansal, gravemente malato, equivale a una condanna a morte".
Le 79ᵉ Festival d'Avignon s'est ouvert ce samedi 5 juillet. Cette édition met la langue arabe à l'honneur après l'espagnol et l'anglais les deux dernières années. Parmi les nombreux artistes des pays arabes programmés, Ali Chahrour, le chorégraphe libanais, est un habitué du festival. Il présente sa dernière création When I Saw the Sea (Quand j'ai vu la mer). Sur scène, des employées de maison éthiopiennes incarnent le dramatique destin des travailleuses à domicile d'Afrique ou d'Asie au Moyen-Orient soumises à un esclavage moderne. De notre envoyée spéciale à Avignon, « Kafala », signifie responsabilité en arabe. Mais c'est d'une bien triste responsabilité qu'il s'agit. Dans le système de la Kafala les jeunes femmes débarquant au Liban pour y travailler se trouvent dépossédées de leur passeport et donc à la merci de leur employeur. Ali Chahrour en pleine guerre entre Israël et le Hezbollah en octobre dernier, a rencontré quelques-unes de ces employées abandonnées par leur patron qui avaient fui les bombardements. Elles campaient en bord de mer. When I saw the sea, Quand j'ai vu la mer raconte leur histoire incarnée par trois femmes éthiopiennes : « Ces trois femmes racontent leur vie et en même temps, elles sont porteuses de milliers d'histoires de femmes qui ont subi ce système d'esclavage moderne, explique Ali Chahrour. Leurs récits se traduisent par des mots, mais aussi par la danse et la musique. Dans le travail, on est parti de l'histoire de chacune de ces femmes. Et aussi de leur façon de se mouvoir, de chanter. On a mis en avant cet héritage qui se mêle au nôtre. Car certaines vivent au Liban depuis plus de 25 ans. Donc, elles ne représentent pas l'autre, l'étranger. Elles sont un mélange de leur culture d'origine éthiopienne et de la culture libanaise. » Et en écho à ces histoires, on écoute les chansons composées et interprétées sur scène par Lyn Adib et Abed Kobeïssy : « Les chansons sont inspirées des noms des trois femmes sur scène qui ont été parfois changés à leur arrivée au Liban en des prénoms plus familiers aux oreilles de leurs employés. Ces femmes sur scène retrouvent ainsi leur identité et leurs noms d'origine. Une façon de leur rendre l'humanité à laquelle elles ont droit. » Ali Chahrour a créé jusque-là des pièces autobiographiques partant de sa propre famille. Il sort pour la première fois de ce chemin : « Cette pièce ne parle pas de ma famille de sang. Mais ces personnes prennent soin de nos maisons, de nos enfants. Elles ont quitté les leurs pour s'occuper de nous et ont rêvé d'un avenir meilleur. Moi-même, en tant que Libanais, j'appartiens à une population dont les 3/4 ont émigré. Je peux donc comprendre ce que c'est de quitter son pays et les siens. Ma sœur et mon frère sont en Europe et souffrent du racisme envers les Arabes. » When I saw the sea, un chant d'humanité qui retentit au-delà des frontières libanaises. Festival d'Avignon 2025 /
Le 79ᵉ Festival d'Avignon s'est ouvert ce samedi 5 juillet. Cette édition met la langue arabe à l'honneur après l'espagnol et l'anglais les deux dernières années. Parmi les nombreux artistes des pays arabes programmés, Ali Chahrour, le chorégraphe libanais, est un habitué du festival. Il présente sa dernière création When I Saw the Sea (Quand j'ai vu la mer). Sur scène, des employées de maison éthiopiennes incarnent le dramatique destin des travailleuses à domicile d'Afrique ou d'Asie au Moyen-Orient soumises à un esclavage moderne. De notre envoyée spéciale à Avignon, « Kafala », signifie responsabilité en arabe. Mais c'est d'une bien triste responsabilité qu'il s'agit. Dans le système de la Kafala les jeunes femmes débarquant au Liban pour y travailler se trouvent dépossédées de leur passeport et donc à la merci de leur employeur. Ali Chahrour en pleine guerre entre Israël et le Hezbollah en octobre dernier, a rencontré quelques-unes de ces employées abandonnées par leur patron qui avaient fui les bombardements. Elles campaient en bord de mer. When I saw the sea, Quand j'ai vu la mer raconte leur histoire incarnée par trois femmes éthiopiennes : « Ces trois femmes racontent leur vie et en même temps, elles sont porteuses de milliers d'histoires de femmes qui ont subi ce système d'esclavage moderne, explique Ali Chahrour. Leurs récits se traduisent par des mots, mais aussi par la danse et la musique. Dans le travail, on est parti de l'histoire de chacune de ces femmes. Et aussi de leur façon de se mouvoir, de chanter. On a mis en avant cet héritage qui se mêle au nôtre. Car certaines vivent au Liban depuis plus de 25 ans. Donc, elles ne représentent pas l'autre, l'étranger. Elles sont un mélange de leur culture d'origine éthiopienne et de la culture libanaise. » Et en écho à ces histoires, on écoute les chansons composées et interprétées sur scène par Lyn Adib et Abed Kobeïssy : « Les chansons sont inspirées des noms des trois femmes sur scène qui ont été parfois changés à leur arrivée au Liban en des prénoms plus familiers aux oreilles de leurs employés. Ces femmes sur scène retrouvent ainsi leur identité et leurs noms d'origine. Une façon de leur rendre l'humanité à laquelle elles ont droit. » Ali Chahrour a créé jusque-là des pièces autobiographiques partant de sa propre famille. Il sort pour la première fois de ce chemin : « Cette pièce ne parle pas de ma famille de sang. Mais ces personnes prennent soin de nos maisons, de nos enfants. Elles ont quitté les leurs pour s'occuper de nous et ont rêvé d'un avenir meilleur. Moi-même, en tant que Libanais, j'appartiens à une population dont les 3/4 ont émigré. Je peux donc comprendre ce que c'est de quitter son pays et les siens. Ma sœur et mon frère sont en Europe et souffrent du racisme envers les Arabes. » When I saw the sea, un chant d'humanité qui retentit au-delà des frontières libanaises. Festival d'Avignon 2025 /
Aujourd'hui, je reçois Salia Sanou, danseur et chorégraphe, fraîchement nommé à la direction du Centre Chorégraphique National de Nantes.Artiste burkinabé, il rejoint à 24 ans Mathilde Monnier à Montpellier et fonde en 2011 sa compagnie - Mouvements Perpétuels.Salia est un enfant de la cour de l'Agora, désormais cour Montanari à la Cité internationale de la danse de Montpellier.Pour la 45e édition de Montpellier Danse, il y présente les 3 et 4 juillet De Fugues…en Suites… une création pour 6 femmes portée par l'Art de la fugue de Bach.On l'écoute avec joie.
Aujourd'hui, je reçois Oona Doherty, danseuse et chorégraphe d'Irlande du Nord, désormais installée en France.J'ai rencontré Oona en novembre dans la foulée de la 2e représentation de Specky Clark au Pavillon Noir où elle y est artiste associée. Cette pièce de théâtre dansé qui raconte son histoire familiale dans un Belfast punk et poétique s'installe au Théâtre de la Ville du 24 au 27 juin.On l'écoute avec joie,Toute la conversation avec Oona Doherty est en anglais.
durée : 00:28:49 - Les Midis de Culture - par : Marie Labory - Blanca Li est chorégraphe, danseuse, réalisatrice, depuis peu présidente de la Grande Halle de la Villette, mais aussi grande curieuse des nouvelles technologies qu'elle injecte dans ses créations, à l'image de "L'Ombre" une version 2.0 du conte d'Andersen présentée à l'Ircam - Centre Pompidou. - réalisation : Laurence Malonda, Anna Holveck - invités : Blanca Li Chorégraphe
Aujourd'hui, je reçois Emmanuelle Huynh, danseuse, chorégraphe et enseignante.Elle est l'une des chorégraphes de la 2e édition de La Ville Dansée, ce rendez-vous dans l'espace urbain francilien imaginé par le Paris Dance Project autour d'une œuvre chorégraphique inédite pensée comme une réflexion dansée sur l'état du monde.Du 5 au 8 juin, 5 chorégraphes (Pam Tanowitz, Dimitri Chamblas et Jamar Roberts, Benjamin Millepied et Emmanuelle Huynh) vont présenter dans 7 lieux d'Île-de-France en accès libre - ce ballet collectif.Benjamin Millepied qui en assure la direction artistique a donné comme point de départ aux chorégraphes le film poétique Koyaanisqatsi et sa musique iconique de Philip Glass.On écoute, avec joie, Emmanuelle raconter la danse et ce projet.Cette conversation a été imaginée en partenariat avec les équipes du Paris Dance Project.
durée : 01:00:05 - Elsa Wolliaston, danseuse, pédagogue et chorégraphe - par : Priscille Lafitte - Reconnue comme figure de la danse contemporaine, Elsa Wolliaston vient de souffler ses 80 bougies au Centre Pompidou, en présence de la chanteuse Camille et du cinéaste Arnaud Desplechin. La chorégraphe parle ici d'une pierre majeure dans son parcours : sa formation de pianiste classique. - réalisé par : Claire Lagarde
"C'est entre les pas de danse que l'émotion se crée" Dans cette série spéciale été 2023, je reçois des artisans et des artistes pour comprendre leur métier et enfin savoir si le métier de dev est plus un métier d'artiste ou d'artisan !Cette semaine je reçois Kat de Blois chorégraphe et metteuse en scène. Sa carrière a été riche et variée, allant du design graphique à la direction artistique : elle a travaillé pour Disneyland Paris pendant 25 ans et plus récemment pour des longs projets audiovisuels et des synthèses artistiques. Amoureuse de la créativité et de l'innovation, elle vient nous parler de son processus de création, emprunt de liberté et de contraintes ! Kat a une curiosité que l'on confondrait presque avec de l'enfance, depuis toute petite elle crée des spectacles et continue à vouloir nous émerveiller au travers de la danse. 🎙️ Soutenez le podcast If This Then Dev ! 🎙️ Chaque contribution aide à maintenir et améliorer nos épisodes. Cliquez ici pour nous soutenir sur Tipeee 🙏Archives | Site | Boutique | TikTok | Discord | Twitter | LinkedIn | Instagram | Youtube | Twitch | Job Board |Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aujourd'hui, je reçois Emilie Leriche, danseuse et chorégraphe franco-américaine.Après un parcours en compagnie, notamment à Chicago pour la Hubbard Street Dance et en Suède pour le GöteborgsOperans Danskompani, l'une des compagnies de danse contemporaine les plus prestigieuses en Europe, Emilie multiplie les collaborations artistiques en tant que free-lance.Elle est la chorégraphe et interprète de l'Hiver, l'un des 4 films des Saisons de la danse - réalisés par Tommy Pascal et produits par Martha productions - à voir sur Arte.Elle danse avec Martin Hariague dans Crocodile à Vaison Danses le 11 juillet.On l'écoute avec joie,
durée : 00:28:16 - Les Midis de Culture - par : Marie Labory - Figure reconnaissable du Tanztheater Wuppertal de Pina Bausch, Cristiana Morganti s'est créé de spectacle en spectacle une forme sur mesure, entre le one-woman-show et le solo de danse. Elle les représente sous forme de trilogie au Théâtre de la Ville de Paris. - réalisation : Laurence Malonda - invités : Cristiana Morganti Danseuse et chorégraphe
Dans vos oreilles , un épisode pour accompagner le festival Jogging du Carreau du Temple, un événement festif qui mêle sports et danse contemporaine du 22 au 25 mai. Aujourd'hui, je reçois Akène Lenoir, danseur, CrossFiteur et jeune chorégraphe de Lundy Grandpré.Tout comme le fait Le Carreau du Temple, Akène aime aborder les questions du genre et mêler avec humour les pratiques sportives et artistiques.Au Festival Jogging, avec Marco Mary, Akène présente Wod - qui signifie Workout of the Day en jargon CrossFit - un duo qui s'amuse dans le mouvement tout en interrogeant notre rapport au corps et à la performance.On l'écoute avec joie,Cet épisode a été réalisé en partenariat avec les équipes du Carreau du Temple.
Dans vos oreilles , un épisode pour accompagner le festival Jogging du Carreau du Temple, un événement festif qui mêle sports et danse contemporaine du 22 au 25 mai. Aujourd'hui, je reçois Pierre Rigal, danseur, chorégraphe et athlète.Pierre clôture le 25 mai le festival Jogging avec son Ballet Jogging interprété par plus de 80 coureurs dans La Halle du Carreau du Temple.Il y célèbre par ce dispositif gigantesque le goût du dépassement, le collectif, la poésie du mouvement. On l'écoute avec joie, Cet épisode a été réalisé en partenariat avec les équipes du Carreau du Temple.
Aujourd'hui, je reçois Damien Jalet, chorégraphe.La danse contemporaine est son espace de liberté, de réinvention, d'expérimentation du vivant.Les mythes et les rites ancestraux sont souvent la source de ses explorations. Et dans le dialogue foisonnant avec d'autres artistes, il imagine des mondes, hypnotiques et plastiques.Après Vessel, Mist, Planet [wanderer], il collabore pour la 4e fois avec l'artiste visuel japonais Kohei Nawa dans Mirage, sa toute première création pour le Ballet du Grand Théâtre de Genève.On l'écoute avec joie,Mirage, c'est jusqu'au 11 mai au Grand Théâtre de Genève.
Aujourd'hui, je reçois Rafaële Giovanola, chorégraphe.Cette danseuse suisse, ex interprète pour William Forsythe, fonde en 2000 avec le dramaturge Rainald Endrass la compagnie CocoonDance.Chaque pièce est l'occasion de faire naître un nouveau corps, « un corps encore impensé ».Après plus de 50 créations, la compagnie présente CHOREIA - un PolyBallet, les 18 et 19 mai aux Rencontres chorégraphiques internationales de Seine Saint-Denis, une pièce où 8 danseurs produisent sons et mouvements en live. On l'écoute avec joie,Cette conversation a été enregistrée au Pavillon Noir le 21 mars. Rafaële était en résidence avec sa troupe.
durée : 00:28:42 - Les Midis de Culture - par : Marie Labory - La chorégraphe Maud Le Pladec reprend sa création "Static Shot", interprétée par les danseurs du Ballet de Lorraine. Un spectacle pensé à partir d'images cinématographiques, à la fois pop et abstrait, qui joue avec le son, l'espace et le temps, dans un crescendo permanent. - réalisation : Laurence Malonda - invités : Maud Le Pladec Danseuse, chorégraphe
Dans son émission média, Jean-Pierre Foucault et sa bande reçoivent chaque jour un invité. Aujourd'hui Chris Marques, danseur professionnel et Mel Charlot, chorégraphe, sont invités pour parler de la finale de Danse avec les stars. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:28:43 - Les Midis de Culture - par : Marie Labory - Dans sa nouvelle pièce "Helikopter/Licht", le chorégraphe contemporain Angelin Preljocaj rend hommage en deux parties au compositeur d'avant-garde allemand Karlheinz Stockhausen. - réalisation : Laurence Malonda - invités : Angelin Preljocaj Chorégraphe, danseur et directeur artistique
Aujourd'hui, je reçois Ayelen Parolin, danseuse et chorégraphe.Ayelen est une argentine qui a choisi la Belgique pour installer sa compagnie Ruda.Elle raconte ce parcours atypique et son travail chorégraphique dans lequel elle expérimente, joue, provoque pour donner à voir le plaisir d'être en lien par la danse. Simple est une pièce où elle s'est concentrée sur l'essentiel, les danseurs.On l'écoute avec joie,Voir Simple :Au Théâtre de Suresnes Jean Vilar le 4 avril :https://www.theatre-suresnes.fr/spectacle/simple/Au Théâtre du Châtillon, le 8 avril : https://www.theatreachatillon.com/Au Carreau du Temple, les 9 et 10 avril : https://www.lecarreaudutemple.eu/evenements/simple-ruda-ayelen-parolin/
Dans vos oreilles, un portrait de Laura Arend, danseuse et chorégraphe, fondatrice de la compagnie Laboration Art Company.Cette conversation a été enregistrée dans le cadre du festival Moving Forward - pour les femmes chorégraphes - organisé par Laëtitia Daché de la compagnie Contra.La voix de Laura Arend est également dans le podcast Tous Danseurs - épisode 172.
Dans vos oreilles, un portrait de Laura Nala, danseuse et chorégraphe, figure incontournable du hip-hop et cofondatrice de la compagnie Mazelfreten.Cette conversation a été enregistrée dans le cadre du festival Moving Forward - pour les femmes chorégraphes - organisé par Laëtitia Daché de la compagnie Contra.
Y a-t-il des spécificités féminines dans le parcours de chorégraphe ?Je vous propose de parcourir ce sujet avec Anna Chirescu, danseuse et chorégraphe.Hélène Marquié, danseuse et chorégraphe mais aujourd'hui chercheuse engagée, responsable du département d'Études de genre, Université Paris 8Laura Nala et Brandon Masele, danseurs et chorégraphes, fondateurs de Mazelfreten.D'après le rapport du Haut Conseil à l'Egalité entre les femmes et les hommes pour le ministère de la Culture sur les inégalités dans la culture, les femmes chorégraphes ont moins accès aux financements et sont moins programmées.Pourquoi ?On les écoute avec joie en débattre,Cette table ronde a été enregistrée dans le cadre du festival Moving Forward - pour les femmes chorégraphes - organisé par Laëtitia Daché de la compagnie Contra.
Pastor KJay taught us that God often speaks in whispers—not always in the loud or some ways we may expect.God communicates in various ways: • Graphe (pronounced GRAH-fay): The written Word of God—the Scriptures. • Logos (pronounced LOH-goss): The Word made flesh—Jesus Christ. • Rhema (pronounced RAY-mah): The spoken word—God's personal message to you. Nine Signs You're Hearing from God: 1. Supernatural wisdom 2. Fruitful and Godly character 3. Spiritual success 4. Sustained fire and passion for God 5. Supernatural peace 6. A heart inclined to obedience 7. Spiritual discernment 8. Confirmation from God 9. Leads people to God, not to themselves PARTNER WITH US Thank you for your generosity! To give, visit https://www.radiantchurchtxk.com/give____ PRAYER We would be honored to pray with you. Text the word "Prayer" to 903-201-0606. ____ FIRST TIMEIs this your first time visiting Radiant Church Online? Text the word "First Time" to 903-201-0606.Connect With Us: Website: https://www.radiantchurchtxk.com Facebook: https://www.facebook.com/Radianttxk Instagram: https://www.instagram.com/radiantchurchtxk/DOWNLOAD OUR APP https://apps.apple.com/us/app/radiant-txk/id6473744016https://play.google.com/store/apps/details?id=io.pushpay.radiantchurchtxk&pcampaignid=web_shareCatch us LIVE on Youtube at 9:30 a.m. & 11:30 a.m. CST to experience powerful worship and a life-changing message!Support the show
Aujourd'hui, je reçois Zoé Lakhnati, danseuse et chorégraphe, organisatrice du laboratoire de recherche créatif « de l'Impertinence », et artiste associée à la Ménagerie de Verre.Formée à P.A.R.T.S., elle aime créer à partir d'un corpus d'images, une approche inspirée de « l'Atlas Mnemosyne » de l'historien d'art Aby Warburg.Après « Where the Fuck Am I ?» et « Gush is great », elle présente un premier solo « This is la mort ».* This is la mort est à la Ménagerie de Verre les 12, 13 et 14 mars pour le festival Les Inaccoutumés.* Une version in situ sera présentée au festival de danse d'UzesOn l'écoute avec joie,Pour en savoir plus sur :
Aujourd'hui, je reçois Lenio Kaklea, danseuse et chorégraphe. Par l'art de la danse, elle aime proposer des réflexions critiques sur la société. Avec 5 interprètes de la compagnie Bodhi Project, Lenio présente les 17 et 18 février, Chemical Joy, une pièce sur la jeunesse et ses contradictions, le tout sur une musique pop des années 2000. On l'écoute avec joie, Du 14 au 18 février, au Carreau du Temple, c'est le festival Everybody, le festival de tous les corps.
Aujourd'hui, je reçois Alice Davazoglou. Alice est trisomique, normale mais ordinaire. Elle est surtout danseuse, chorégraphe, dessinatrice et écrivaine. Les 17 et 18 février, au Carreau du Temple, Alice expose une sélection de dessins et présente avec 10 chorégraphes - ici interprètes pour elle - « Danser Ensemble », sa pièce qui célèbre l'inclusion par la danse. On l'écoute avec joie, Du 14 au 18 février, au Carreau du Temple, c'est le festival Everybody, le festival de tous les corps.
Aujourd'hui, je reçois Betty Tchomanga, danseuse et chorégraphe.Elle est à l'affiche de Faits d'hiver, avec Histoire(s) décoloniale(s) - Portraits croisés au Théâtre de la Bastille.Cette série dansée de 4 portraits - Emma, Folly, Dalila, et Mulunesh - nous invite à découvrir par le mouvement et par les mots l'histoire coloniale en passant par la France, le Bénin, l'Éthiopie et l'Algérie. Des petites histoires pour mieux comprendre la grande Histoire.On l'écoute avec joie,
durée : 00:29:12 - Les Midis de Culture - par : Marie Labory - Danseur, chorégraphe et figure phare du hip hop depuis les années 1980, Mourad Merzouki et sa compagnie Käfig reprennent "Pixel", un ballet enchanteur, mi-réel, mi virtuel, co-créé en 2015 avec les artistes numériques Adrien M. et Claire B. - réalisation : Laurence Malonda - invités : Mourad Merzouki Danseur et chorégraphe
durée : 00:10:53 - Les Nuits de France Culture - par : Albane Penaranda - À la fin de l'année 1965, Roland Petit présente à l'Opéra de Paris le ballet que lui a inspiré le roman de Victor Hugo, "Notre-Dame de Paris". Un spectacle monumental sur une musique originale de Maurice Jarre, un choix dont il s'explique dans l'émission "Magazine de la musique". - réalisation : Emily Vallat - invités : Roland Petit Danseur et chorégraphe
Aujourd'hui, je reçois Émilie Lalande, artiste chorégraphique.Après un parcours d'interprète, notamment pour le Ballet Preljocaj pendant plus de 10 ans, Emilie fonde sa compagnie (1) Promptu et axe son travail sur la jeunesse.Elle y développe une écriture du geste musicale et poétique, qui mêle technique classique et contemporaine mais aussi un savoir faire pour des décors féeriques ancrés sur le détournement d'objet.Emilie présente un classique revisité, Petrouchka ou le choix d'Holubichka, du 10 au 20 décembre à laMaison des Arts de Créteil.On l'écoute avec joie,
Aujourd'hui, je reçois Marion Motin, danseuse et chorégraphe. Marion aime raconter des histoires par la danse. C'est ce qu'elle fait dans Narcisse, sa toute dernière création présentée à La Villette du 4 au 6 décembre. Avec 5 danseurs interprètes très différents sur une scène en partie miroir, elle s'attaque à l'égocentrisme 3.0, aux narcisses de notre ère. On l'écoute avec joie,