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Dans ce dernier épisode, nouveau souffle pour Filigranes. La célèbre librairie bruxelloise tourne la page de son adresse historique, sans pour autant quitter son quartier. Elle s'installe désormais au cœur du concept store Mayfair, tout près de la porte de Namur. Ensuite, ils sont nombreux à jongler entre cours et petits boulots. Mais certains étudiants tirent leur épingle du jeu, en décrochant un job qui colle à leur parcours académique.Dans le Trends Tendances de cette semaine, Baptiste Lambert nous parle de cette tension palpable sur le marché locatif à Bruxelles. Enfin, côté bourse, focus sur le marché du luxe.
Aujourd'hui, dans votre podcast, les enseignants font front face au projet de refonte de l'enseignement de la FWB. On annonce plus de 15 millions d'euros de coupes budgétaires, les enseignements techniques et professionnels étant les premiers touchés. Les classes de 10 élèves dans le qualifiant seront supprimées, ce qui représente la moitié des 5400 options existantes. Le secteur du diamant n'est pas brillant cette année. Il y a quelques jours, la Banque nationale de Belgique indiquait des chiffres catastrophiques. Si en 2014, les importations et exportations de diamants représentaient 15 milliards d'euros de chiffre d'affaires, en 2023 le secteur n'en générait plus que 8,5 milliards. L'Antwerp World Diamond dément, le CA est certes en baisse, mais il s'élève tout de même à quelques 26 milliards d'euros. Le tribunal de l'entreprise de Bruxelles a donc désigné Mehmet Sandurac comme repreneur de Filigranes. D'après la directrice de la librairie Filigranes, c'est un homme d'affaires de 37 ans, qui a les pieds sur terre, qui a déjà une bonne équipe et qui a une bonne réputation à Bruxelles où il a l'ensemble de ses magasins. Restez à l'écoute!
Dans cet épisode, découvrez l'identité des repreneurs potentiels de l'usine Audi de Forest. La FED annonce finalement la baisse de ses taux d'intérêt. La librairie bruxelloise Filigranes cherche des repreneurs. L'experte boursière revient sur l'annonce de la FED tandis qu'Itinéra s'intéresse à la productivité belge. Belle écoute de votre Z podcast !
“Last Paradise” de Kourtney Roy et Mathias DelplanqueLe Prix Swiss Life à 4 mains, 6ème édition, 2024-2025Aux éditions FiligranesEntretien avec Kourtney Roy et de Mathias Delplanque,par Anne-Frédérique Fer, à Paris, le 13 mai 2024, durée 22'24.© FranceFineArt.https://francefineart.com/2024/05/19/133_livres_last-paradise/Communiqué de presseLast Paradise – Kourtney Roy (photographie) et Mathias Delplanque (musique)Last Paradise est l'évocation en son et en image des dernières vacances d'un personnage féminin singulier dans un univers balnéaire déserté.Le projet prend racine dans la région de Rimini (Italie), où le duo d'artistes se rend en février 2024, hors saison, pour travailler à la conception de leur oeuvre commune, Last Paradise, projet lauréat de la 6ème édition du Prix Swiss Life à 4 mains.Parcourant les stations touristiques vidées de toute présence humaine, Kourtney Roy se met en scène et se photographie, détournant les espaces et les objets, qu'elle transforme en décors et accessoires de cinéma éphémères. En orbite sur sa propre planète, elle s'intéresse aux espaces liminaires, aux zones marginales de la célébrité et du plaisir humain.Actrice sans public, en errance dans un univers de désolation encore empreint du bruit et de la frénésie humaine, elle investit les architectures abandonnées et dialogue avec les objets trouvés, en tentant de leur donner une nouvelle vie, de révéler leur étrange beauté.Désireux de composer une musique qui dialogue avec les propositions visuelles de Kourtney Roy, sans jamais chercher à les illustrer, Mathias Delplanque se laisse également guider et inspirer par le contexte de la côte adriatique. Il se plonge dans l'univers des synthétiseurs vintage italiens, dont un grand nombre a été conçu dans la région de Rimini. Contactés par ses soins, les collectionneurs locaux lui ouvrent grand les portes de leurs studios. Les instruments sont typés, inattendus, rares. Le son est immédiatement chargé d'une intense émotion. L'intégralité des sons produits par le musicien pour ce projet, provient d'instruments enregistrés sur place, ou du moins d'instruments made in Rimini. A cela s'ajoute un travail de field recording réalisé pendant les séances photo de Kourtney.S'inspirant à la fois des musiques de films giallo, des films de série Z, de la disco baléarique et de l'easy listening, l'artiste, pour Last Paradise, en compose une version vaporeuse et décalée. Comme un juke-box fonctionnant tout seul dans un club vide un dimanche matin.Le livre d'artiste Last Paradise – sortie début juillet 2024Le livre aux éditions Filigranes est accompagné d'un vinyle 45 tours avec deux des titres créés par Mathias Delplanque et ils sont déjà à l'écoute sur le site de l'éditeur :https://www.filigranes.com/last-paradise-streaming/Le parcours d'exposition 2024-2025 :du 1er juillet au 29 septembre 2024 : L'Aire d'Arles – sortie du livre aux Éditions Filigranesdu 4 au 25 février 2025 : Jeu de Paume, Parisdu 16 juin au 14 septembre 2025 : Jeu de Paume – Château de ToursLe parcours sera enrichi d'une représentation live lors d'un festival de musique encore à déterminer. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
“Julien Magre” En vieau Jeu de Paume – Château de Tours, Toursdu 23 juin au 29 octobre 2023Interview de Julien Magrepar Anne-Frédérique Fer, à Tours, le 22 juin 2023, durée 13'11,© FranceFineArt.https://francefineart.com/2023/06/24/3462_julien-magre_jeu-de-paume_chateau-de-tours/Communiqué de presseCommissariat :Julien Magre avec la collaboration de Quentin Bajac, directeur du Jeu de Paume Le Jeu de Paume met à l'honneur, au Château de Tours, le photographe Julien Magre, lauréat du Prix Niépce de Gens d'images 2022. L'exposition présente « En vie », un corpus de 50 tirages, à travers lesquels l'artiste documente son quotidien de 1999 à 2020. Derrière son objectif, il immortalise des scènes de famille : les portraits de sa compagne aux premiers temps de leur relation, les photographies de ses deux filles, jusqu'à ce que l'une d'elles s'éteigne, puis les images de son fils, le dernier né. Le Jeu de Paume présente à cette occasion des oeuvres inédites, produites tout spécialement pour cette exposition.Né en 1973, Julien Magre vit et travaille à Paris. Diplômé des Arts Décoratifs de Paris en 2000, son travail est représenté par la galerie Le Réverbère à Lyon depuis 2017. À Paris Photo en 2010, Agnès b. repère son travail lors de la signature de Caroline, Histoire numéro deux (Filigranes, 2010). En parlant de ce projet qu'il mène maintenant depuis quinze ans, le photographe se dit « spectateur de [sa] propre intimité » : choisissant la bonne distance avec son sujet, ni trop loin, ni trop près, il documente son quotidien, et par là même le rend poétique. Je n'ai plus peur du noir (Filigranes, 2016) fait partie des 10 meilleurs livres sélectionnés par le Prix Nadar 2017 ainsi que de la short-list livres d'auteur aux Rencontres d'Arles 2017. En 2022, il est l'un des lauréats de « La grande commande photographique du ministère de la Culture » initiée par la BnF. Dévoilés dans cette exposition, les tirages appartenant au corpus « En vie » s'étalent sur près de 20 ans de la vie de Julien Magre : ils sont présentés selon un ordre chronologique, de 1999 à 2020. Inaugurant cet ensemble, la première image représente Caroline, la femme de l'artiste, en 1999. Puis, toujours avec poésie et humilité, l'artiste cristallise des fragments d'intimité de ses deux filles Louise et Suzanne, entre 2004 et 2007. Après le décès tragique de Suzanne en 2015, il continue à photographier Caroline, Louise puis Paul, son troisième enfant qui naît le 3 janvier 2019 et qui symbolise pour lui la reconstruction. Au fil de ses oeuvres, Julien Magre capture avec tendresse le temps qui passe. L'intimité dévoilée n'est jamais simple, puisqu'il prend grand soin de dissimuler toutes les parcelles de sa vie et opère ainsi une transfiguration de la banalité quotidienne. En Vie affirme la capacité du médium photographique à immortaliser chaque instant, jusqu'à faire ressentir un sentiment d'appartenance et de proximité, jusqu'à faire tendre les choses simples vers l'universel. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
La pandemia ha ribaltato il nostro rapporto con il tempo. Ne avevamo troppo. E i libri dovrebbero averne giovato. I dati generali sulla lettura del 2020 lo hanno confermato. Abbiamo letto di più. Ilaria Gaspari ha dunque deciso di fare un'altra delle sue piccole inchieste. Nessuna pretesa di esaustività solo sentire dalla viva voce di chi i libri li vende, se ha qualche curioso aneddoto o dato su Proust, autore del tempo per la cui lettura serve tempo. Ancora un reportage, come quello fra i passanti, ma stavolta nelle librerie. Una produzione Emons Recordcon il sostegno dell'Institut Français Italia Si ringraziano Paola Di Stefano della liberia Carta Bianca di Valsamoggia, Alessandro, i librai e le libraie delle librerie Novembre e Filigranes di Bruxelles per i contributi © 2022, Ilaria GaspariPublished by arrangement with The Italian Literary Agency(p) 2022, Emons Italia s.r.l.See omnystudio.com/listener for privacy information. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices