Equatorial country in West Africa
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Reconnaissance Energy Africa or ReconAfrica CEO Brian Reinsborough joined Steve Darling from Proactive to announce a transformational milestone for the company: the signing of a production sharing contract and joint venture agreement with the Republic of Gabon and the Gabon Oil Company (GOC) for the exploration, appraisal, development, and production of oil and gas on Offshore Block C-7, now officially renamed Ngulu. Under the terms of the agreement, ReconAfrica has been designated as operator with a 55% working interest. The Government of Gabon has emphasized its commitment to establishing a stable and attractive regulatory framework that supports investment and leverages the country's abundant hydrocarbon resources to create lasting economic growth for its citizens. Reinsborough highlighted that this partnership marks ReconAfrica's entry as an offshore operator in West Africa, a strategic shift that expands the company's growth potential. Block C-7 (Ngulu) spans 1,214 km² of shallow water acreage offshore central Gabon, situated on trend and offset to a series of prolific producing fields in the region, which range in size from 38 million to 250 million barrels. One of the block's key assets is the Loba oil discovery, drilled in 1976, which encountered 140 metres of gross hydrocarbon pay (70 metres net pay). This discovery provides low-risk appraisal and development opportunities and is estimated to hold the potential for ~20,000 barrels per day of production, comparable to nearby producing fields. Beyond near-term development, Ngulu offers significant exploration upside, with an inventory of 28 mapped prospects. These prospects are considered geologically analogous to successful Gulf of Mexico play types, opening the door to substantial resource additions. The company views Ngulu as a balanced project, combining short-cycle development potential with meaningful exploration upside—an alignment that could drive near-term cash flow while securing ReconAfrica's role in one of Africa's most prospective offshore basins. #proactiveinvestors #reconnaissanceenergyafricaltd #tsxv #reco #otcqx #recaf #NamibiaOil #ProspectI #OilExploration #EnergyUpdate #OnshoreDrilling #OilAndGasNews #AfricanEnergy #OilDiscovery #EnergyInvesting #OilExploration #NamibiaOil #EnergyInvesting #KavangoBasin #BrianReinsborough #OilAndGas #InvestorUpdate #ProactiveInvestors #AngolaEnergy #gabon #ngulu
Nous sommes le 3 juin 1838. Le Journal des Débats fait état d'une peau de grand singe exposée dans le cabinet du naturaliste Guillaume Lennier, marchand d'oiseaux. Le journaliste évoque un certain capitaine Touret, commandant du navire La Clarisse, qui aurait ramené, au Havre, au retour d'un de ses voyages au Gabon, les restes d'un singe énorme. « l'inspection de ce quadrumane extraordinaire ( 4 mains), ajoute le journal, fit croire généralement qu'il devait appartenir à l'espèce des ourang-outans ou des chimpanzés. Ses formes musculeuses, sa taille de cinq pieds et quelques pouces, après l'affaissement que la mort avait dû faire subir à tout son système cutané, la force de ses membres épais et de sa tête volumineuse, prouvaient assez l'origine de cet animal, qui semble être la transition naturelle entre la race des orangs et celle des hommes (…). Monsieur Lennier a exposé dans son cabinet, situé sur la jetée du Nord, ce chimpanzé du Gabon, qui, aujourd'hui, se trouve être probablement le plus grand et le plus curieux des quadrumanes que l'on ait encore introduit en Europe », conclut l'article de presse. Sommes-nous, en réalité, en présence des restes d'un gorille ? Nous allons bien voir car c'est l'évolution de la place de ce primate dans l'arbre du vivant que nous allons explorer. Nous tenterons aussi de comprendre les liens que les sociétés humaines ont noués avec lui. Nous nous interrogerons enfin sur le défi que représente sa conservation. Partons sur les traces du gorille … Avec nous : Cédric Crémière, historien des sciences et muséologue, chercheur associé à l'Institut d'histoire moderne et contemporaine, à Paris. « Dans la tête d'un gorille – Histoire et culture » ; éd. humenSciences Sujets traités : Gorille, Guillaume Lennier, ourang-outans, chimpanzés, Gabon Merci pour votre écoute Un Jour dans l'Histoire, c'est également en direct tous les jours de la semaine de 13h15 à 14h30 sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez tous les épisodes d'Un Jour dans l'Histoire sur notre plateforme Auvio.be :https://auvio.rtbf.be/emission/5936 Intéressés par l'histoire ? Vous pourriez également aimer nos autres podcasts : L'Histoire Continue: https://audmns.com/kSbpELwL'heure H : https://audmns.com/YagLLiKEt sa version à écouter en famille : La Mini Heure H https://audmns.com/YagLLiKAinsi que nos séries historiques :Chili, le Pays de mes Histoires : https://audmns.com/XHbnevhD-Day : https://audmns.com/JWRdPYIJoséphine Baker : https://audmns.com/wCfhoEwLa folle histoire de l'aviation : https://audmns.com/xAWjyWCLes Jeux Olympiques, l'étonnant miroir de notre Histoire : https://audmns.com/ZEIihzZMarguerite, la Voix d'une Résistante : https://audmns.com/zFDehnENapoléon, le crépuscule de l'Aigle : https://audmns.com/DcdnIUnUn Jour dans le Sport : https://audmns.com/xXlkHMHSous le sable des Pyramides : https://audmns.com/rXfVppvN'oubliez pas de vous y abonner pour ne rien manquer.Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Les journalistes et experts de RFI répondent également à vos questions sur le limogeage de la présidente de la Cour suprême du Ghana et sur l'opposition manifestée par les évêques au projet de code pastoral au Tchad. Gaza : que prévoit le plan « Riviera » de Donald Trump ? Le Washington Post a dévoilé le projet de Donald Trump pour l'« après-guerre » dans la bande de Gaza. Baptisé « GREAT Trust », il prévoit le déplacement des habitants vers d'autres pays afin de transformer l'enclave palestinienne en zone touristique et économique. Que contient exactement ce plan ? Avec Pierre Olivier, journaliste au service international de RFI. Ghana : pourquoi la présidente de la Cour suprême a été limogée ? Au Ghana, c'est une décision inédite dans l'histoire de la IVe République. Le président John Dramani Mahama a évincé la présidente de la Cour suprême. Que lui reproche-t-on ? Pourquoi le principal parti d'opposition dénonce-t-il un abus de pouvoir ? Avec Victor Cariou, correspondant de RFI à Accra. Tchad : pourquoi les évêques s'opposent au projet de code pastoral ? Au Tchad, les évêques catholiques dénoncent le projet de code pastoral. Ils affirment qu'il est injuste pour les agriculteurs et favorise les éleveurs. Pourquoi ce texte fait-il polémique ? Quels amendements pourraient garantir une meilleure protection des agriculteurs ? Avec Yamingué Bétinbaye, analyste et directeur de recherche au Centre de recherche en anthropologie et sciences humaines (CRASH) à N'Djamena. Chronique « Un œil sur les réseaux » de Jessica Taieb Aujourd'hui, direction le Gabon où Brice Oligui Oligui Nguema s'affiche en papa président.
Episode Summary In this episode, Damien Swaby sits down with Josiane Faubert, a photographer and creative entrepreneur who has built a platform to showcase authentic, diverse imagery of Africa and the diaspora. From her early life in Gabon to studying in Paris and building a career in London, Josiane shares her journey of redefining representation in visual storytelling.The conversation explores how cultural heritage, lived experience, and determination can shape a filmmaker's and photographer's perspective — and why authentic representation matters now more than ever.What You'll Learn in This Episode
The road to the 2026 World Cup is heating up — and so are the storylines. FIFA has unveiled the ticketing process for the biggest tournament in history, with prices ranging from $60 to nearly $7,000 and millions of fans already registered. On the pitch, qualifying drama spans the globe: Denis Bouanga's whirlwind journey delivers a hat trick for Gabon, Italy face do-or-die pressure, and Europe's toughest groups kick off. In South America, Lionel Messi prepares for what could be his final World Cup qualifier on home soil, while Venezuela and Ronald Hernández chase history. Plus, USMNT call-ups, NWSL transfer shocks, and a transformative new season in the Women's Super League.Morning Espresso — your daily shot of the world's game.
Les éliminatoires de la Coupe du monde 2026 se poursuivent en Afrique avec les 7e et 8e journées. En Europe, l'équipe de France se prépare à affronter l'Ukraine. Les leaders de groupe ont l'opportunité de renforcer leur avance et de se rapprocher de la qualification. Pour d'autres, la compétition reste serrée : les prochains matchs seront décisifs ! Zone Afrique Retour sur le match Tchad-Ghana : victoire conseillée pour les Black Stars qui ont les Comores aux trousses ! Vendredi, deux duels à distance dans le groupe B : la RDC, leader, et le Sénégal, en embuscade, qui luttent à couteaux tirés devront éviter le faux pas. Dans le groupe F, la Côte d'Ivoire recevra le Burundi : ne pas décevoir pour repasser devant le Gabon en cas de succès. Le Maroc sera-t-il la première équipe africaine qualifiée dès demain après son match face au Niger ? La première sélection africaine à avoir atteint le dernier carré d'une Coupe du monde tient-elle son rang ? Zone Europe Gattuso première ! Mal embarqués dans ces éliminatoires, les Italiens n'ont pas le droit à l'erreur demain en recevant l'Estonie. L'ancienne forte tête de l'AC Milan et champion du monde 2006 saura-t-il trouver la formule pour les relancer ? Éléments de réponse avec Matteo Cioffi, notre correspondant en Italie ! Équipe de France Les Bleus se déplacent en Pologne demain pour affronter l'Ukraine. Didier Deschamps est-il, au fil des matches, en train d'adopter définitivement l'option offensive chez les Bleus ? Autour d'Annie Gasnier, nos consultants du jour : Étienne Moatti, Saïd Amdaa et Patrick Juillard Édition : David Fintzel – TCR : Laurent Salerno
Les éliminatoires de la Coupe du monde 2026 se poursuivent en Afrique avec les 7e et 8e journées. En Europe, l'équipe de France se prépare à affronter l'Ukraine. Les leaders de groupe ont l'opportunité de renforcer leur avance et de se rapprocher de la qualification. Pour d'autres, la compétition reste serrée : les prochains matchs seront décisifs ! Zone Afrique Retour sur le match Tchad-Ghana : victoire conseillée pour les Black Stars qui ont les Comores aux trousses ! Vendredi, deux duels à distance dans le groupe B : la RDC, leader, et le Sénégal, en embuscade, qui luttent à couteaux tirés devront éviter le faux pas. Dans le groupe F, la Côte d'Ivoire recevra le Burundi : ne pas décevoir pour repasser devant le Gabon en cas de succès. Le Maroc sera-t-il la première équipe africaine qualifiée dès demain après son match face au Niger ? La première sélection africaine à avoir atteint le dernier carré d'une Coupe du monde tient-elle son rang ? Zone Europe Gattuso première ! Mal embarqués dans ces éliminatoires, les Italiens n'ont pas le droit à l'erreur demain en recevant l'Estonie. L'ancienne forte tête de l'AC Milan et champion du monde 2006 saura-t-il trouver la formule pour les relancer ? Éléments de réponse avec Matteo Cioffi, notre correspondant en Italie ! Équipe de France Les Bleus se déplacent en Pologne demain pour affronter l'Ukraine. Didier Deschamps est-il, au fil des matches, en train d'adopter définitivement l'option offensive chez les Bleus ? Autour d'Annie Gasnier, nos consultants du jour : Étienne Moatti, Saïd Amdaa et Patrick Juillard Édition : David Fintzel – TCR : Laurent Salerno
Les Panthères du Gabon ont pris provisoirement la tête de leur groupe grâce à leur victoire sur les Seychelles (4-0). L'attaquant Denis Bouanga a signé un triplé.
Les éliminatoires Mondial 2026 zone Afrique, on dispute les 7e et 8e journées. Neuf nations décrocheront leur billet direct pour les États-Unis, tandis que les quatre meilleurs deuxièmes de groupes passeront par un tournoi de barrages continental, avant de défier une nation d'une autre confédération pour un ultime sésame fin novembre ! Les leaders de poules peuvent conforter leurs positions et se rapprocher du but. Pour d'autres, la hiérarchie est encore serrée, les matches à venir seront cruciaux ! Groupe F : les Éléphants en tête, mais le Gabon qui suit à un point, peut reprendre la tête aujourd'hui. Le rendez-vous entre Pachydermes et Panthères à Franceville dans six jours vaudra cher ! Groupe I : le Mali peut se replacer s'il bat les Comores, Madagascar reste en embuscade, et espère vaincre la Centrafrique à Casablanca ce jeudi. Groupe D : le Cap-Vert mène le bal, le Cameroun est à une unité. Victoire impérative pour les Lions indomptables avant le déplacement piégeux mardi prochain à Praia. Groupe G : l'Algérie doit prendre trois points demain face au Botswana et espère un faux pas du Mozambique en Ouganda vendredi. Les Cranes n'ont pas dit leur dernier mot... À lire aussiÉliminatoires Mondial 2026 : journées chocs avec RDC-Sénégal, Gabon-Côte d'Ivoire et Burkina-Égypte Éliminatoires Coupe du monde suite, la dernière campagne de Didier Deschamps Et un dernier objectif, soulever une fois encore le trophée, après avoir disputé deux finales et réussi à ramener les Bleus au sommet. Avant de se frotter à la rude concurrence de la phase finale. Un sélectionneur concentré sur des échéances rapprochées, l'Ukraine puis l'Islande. Antoine Grognet au plus près de l'équipe de France et en direct dans l'émission. Scènes de chaos en Leagues Cup à Seattle Une finale perdue par l'Inter Miami face aux Sounders, et une bagarre générale en fin de rencontre impliquant notamment Sergio Busquets et Luis Suarez. La MLS perd-elle son sang-froid ? Pour débattre avec Annie Gasnier : Yoro Mangara, Frank Simon et Hervé Penot Technique/réalisation Laurent Salerno – David Fintzel/Pierre Guérin
Les éliminatoires Mondial 2026 zone Afrique, on dispute les 7e et 8e journées. Neuf nations décrocheront leur billet direct pour les États-Unis, tandis que les quatre meilleurs deuxièmes de groupes passeront par un tournoi de barrages continental, avant de défier une nation d'une autre confédération pour un ultime sésame fin novembre ! Les leaders de poules peuvent conforter leurs positions et se rapprocher du but. Pour d'autres, la hiérarchie est encore serrée, les matches à venir seront cruciaux ! Groupe F : les Éléphants en tête, mais le Gabon qui suit à un point, peut reprendre la tête aujourd'hui. Le rendez-vous entre Pachydermes et Panthères à Franceville dans six jours vaudra cher ! Groupe I : le Mali peut se replacer s'il bat les Comores, Madagascar reste en embuscade, et espère vaincre la Centrafrique à Casablanca ce jeudi. Groupe D : le Cap-Vert mène le bal, le Cameroun est à une unité. Victoire impérative pour les Lions indomptables avant le déplacement piégeux mardi prochain à Praia. Groupe G : l'Algérie doit prendre trois points demain face au Botswana et espère un faux pas du Mozambique en Ouganda vendredi. Les Cranes n'ont pas dit leur dernier mot... À lire aussiÉliminatoires Mondial 2026 : journées chocs avec RDC-Sénégal, Gabon-Côte d'Ivoire et Burkina-Égypte Éliminatoires Coupe du monde suite, la dernière campagne de Didier Deschamps Et un dernier objectif, soulever une fois encore le trophée, après avoir disputé deux finales et réussi à ramener les Bleus au sommet. Avant de se frotter à la rude concurrence de la phase finale. Un sélectionneur concentré sur des échéances rapprochées, l'Ukraine puis l'Islande. Antoine Grognet au plus près de l'équipe de France et en direct dans l'émission. Scènes de chaos en Leagues Cup à Seattle Une finale perdue par l'Inter Miami face aux Sounders, et une bagarre générale en fin de rencontre impliquant notamment Sergio Busquets et Luis Suarez. La MLS perd-elle son sang-froid ? Pour débattre avec Annie Gasnier : Yoro Mangara, Frank Simon et Hervé Penot Technique/réalisation Laurent Salerno – David Fintzel/Pierre Guérin
Learn what you can do to combat environmental destruction and human rights abuses in the coffee industry staring today. _____________________________ Subscribe to The Maverick Show's Monday Minute Newsletter where I email you 3 short items of value to start each week that you can consume in 60 seconds (all personal recommendations like the latest travel gear I'm using, my favorite destinations, discounts for special events, etc.). Follow The Maverick Show on Instagram ____________________________________ In part 2 of this interview, Etelle Higonnet explains how human rights abuses and environmental destruction are intertwined and breaks down the main causes and industries harming the environment today. She then explains the sustainable alternatives, how we can work together to reform these industries, and shares some specific activist victories. Etelle then talks about the environmental campaign she ran against the company Olam in Gabon, and tells the story of how she survived when two hitmen were sent to kill her. She then talks about her love of coffee, what most people don't know about the coffee they drink, and why she founded Coffee Watch. Etelle explains how human rights abuses and environmental destruction pervade the coffee industry, and what campaigns Coffee Watch is undertaking to combat them. She explains how we can all make an impact towards reforming the coffee industry by buying more ethical coffee, pressuring our favorite brands, signing petitions, getting politically active, and volunteering with Coffee Watch. FULL SHOW NOTES WITH DIRECT LINKS TO EVERYTHING DISCUSSED ARE AVAILABLE HERE. ____________________________________ See my Top 10 Apps For Digital Nomads See my Top 10 Books For Digital Nomads See my 7 Keys For Building A Remote Business (Even in a space that's not traditionally virtual) Watch my Video Training on Stylish Minimalist Packing so you can join #TeamCarryOn See the Travel Gear I Use and Recommend See How I Produce The Maverick Show Podcast (The equipment, services & vendors I use) ____________________________________ ENJOYING THE SHOW? Please Leave a Rating and Review. It really helps the show and I read each one personally. You Can Buy Me a Coffee. Espressos help me produce significantly better podcast episodes! :)
Enerji Günlüğü Haber Bülteni:Türkiye'nin ve Dünyanın Enerji Gündemienerjigunlugu.net
This week on the show, I'm sharing my recent journey of initiation into the spiritual tradition of the Bwiti in Gabon, Africa.What is the Bwiti?Why Gabon? Why did I choose to do this—and what did I gain from it?All of these questions (and more) are answered in this episode. For 17 days, I stayed in village and underwent three initiatory ceremonies into the Bwiti tradition. Out of respect, many details remain held in my heart, but here I'll paint the picture: the wisdom and lessons, the trials and tribulations, and the otherworldly moments in between.Some Highlights:- Lessons in community, passion, and living fully in the moment from my time with the Gabonese people- Reflections on what is truly worthy of being held as precious in my life and spirituality- Wisdom from my big iboga initiation ceremony, and how it has inspired me to move forward in my life- A pivotal moment of choice: to descend into darkness, or to reclaim my source of radianceThis episode is both a glimpse into a sacred path and an invitation to reflect on your own journey of growth, resilience, and radiance.If you'd like to connect with me, you can contact me here:Instagram-@schoolofwhispers @__steef___ email-schoolofwhispers@gmail.com If you would like to schedule an acupuncture appointment with me at my current clinic, Balance Point Acupuncture, you can either visit www.balancepointacu.com or call 561-615-4535 to schedule your appointment todayDISCLAIMER: This podcast is presented for educational and exploratory purposes only. Published content is not intended to be used for diagnosing or treating any illness. Those responsible for this show disclaim responsibility for any possible adverse effects from the use of information presented by Stephanie or her guests.
Réagissez à l'actualité de votre choix avec Vincent Dublange. RFI vous donne la parole. L'occasion d'aborder des thèmes qui ne font pas toujours la Une des médias français et internationaux.
Préconisée pour les enfants et les personnes âgées, la sieste a parfois mauvaise réputation pour ceux qui ont la malchance d'être entre les deux âges. Baisse de la productivité ou tout simplement perte de temps, nos sociétés éprises de performance ont tendance à regarder les « siesteurs » d'un mauvais œil, en particulier dans le monde du travail. (Rediffusion) Mais que les adeptes du petit somme se rassurent, la sieste a aussi ses défenseurs. C'est même une tradition dans certains pays comme en Espagne ou en Italie pour supporter les heures chaudes de l'après-midi. La Chine en a fait un droit constitutionnel. De nombreuses personnalités en ont fait l'éloge, on peut citer le peintre Léonard de Vinci, le physicien Albert Einstein ou l'ancien président français Jacques Chirac, tous les trois accros à la micro-sieste. Preuve que la sieste n'empêche ni la créativité ni les carrières politiques. Sans nourrir forcément les plus grandes ambitions, pourquoi s'adonner aux petits plaisirs de la sieste ? Comment profiter de sa sieste sans passer pour un paresseux ? Avec : Sébastien Spitzer, écrivain et essayiste, enseignant à Sciences Po, auteur de Petite philosophie de la sieste (Éditions de La Martinière, 2025). Nicolas Goarant, expert sommeil de la Fondation Jean Jaurès et auteur du livre Le sommeil malmené (L'Aube, 2020). Un nouvel épisode de notre série Le succès des repats réalisée par Charlie Dupiot. Le portrait de Vanessa Arago, la chimiste des eaux gabonaises. Ils et elles sont originaires d'Afrique centrale et ont décidé de rentrer chez eux pour contribuer au développement de leur pays... C'est le moment du « Succès des Repats » ! Vanessa Arago est revenue au Gabon, il y a 10 ans. Avec un père ingénieur en pétrochimie, elle baigne dans la chimie depuis toute petite. En 2018, elle a lancé son laboratoire, appelé « Omilab », à Libreville. Notre reporter Charlie Dupiot l'a rencontrée sur place, alors que Vanessa Arago et son équipe s'apprêtent à mener une analyse. Cette émission est une rediffusion du 9 juin 2025. Programmation musicale : ► Cabossé – Pat Kalla et le Super Mojo ► Umuwuze – Code Sangala.
Préconisée pour les enfants et les personnes âgées, la sieste a parfois mauvaise réputation pour ceux qui ont la malchance d'être entre les deux âges. Baisse de la productivité ou tout simplement perte de temps, nos sociétés éprises de performance ont tendance à regarder les « siesteurs » d'un mauvais œil, en particulier dans le monde du travail. (Rediffusion) Mais que les adeptes du petit somme se rassurent, la sieste a aussi ses défenseurs. C'est même une tradition dans certains pays comme en Espagne ou en Italie pour supporter les heures chaudes de l'après-midi. La Chine en a fait un droit constitutionnel. De nombreuses personnalités en ont fait l'éloge, on peut citer le peintre Léonard de Vinci, le physicien Albert Einstein ou l'ancien président français Jacques Chirac, tous les trois accros à la micro-sieste. Preuve que la sieste n'empêche ni la créativité ni les carrières politiques. Sans nourrir forcément les plus grandes ambitions, pourquoi s'adonner aux petits plaisirs de la sieste ? Comment profiter de sa sieste sans passer pour un paresseux ? Avec : Sébastien Spitzer, écrivain et essayiste, enseignant à Sciences Po, auteur de Petite philosophie de la sieste (Éditions de La Martinière, 2025). Nicolas Goarant, expert sommeil de la Fondation Jean Jaurès et auteur du livre Le sommeil malmené (L'Aube, 2020). Un nouvel épisode de notre série Le succès des repats réalisée par Charlie Dupiot. Le portrait de Vanessa Arago, la chimiste des eaux gabonaises. Ils et elles sont originaires d'Afrique centrale et ont décidé de rentrer chez eux pour contribuer au développement de leur pays... C'est le moment du « Succès des Repats » ! Vanessa Arago est revenue au Gabon, il y a 10 ans. Avec un père ingénieur en pétrochimie, elle baigne dans la chimie depuis toute petite. En 2018, elle a lancé son laboratoire, appelé « Omilab », à Libreville. Notre reporter Charlie Dupiot l'a rencontrée sur place, alors que Vanessa Arago et son équipe s'apprêtent à mener une analyse. Cette émission est une rediffusion du 9 juin 2025. Programmation musicale : ► Cabossé – Pat Kalla et le Super Mojo ► Umuwuze – Code Sangala.
Chaque année en France, 44 000 nouveaux jeunes ingénieurs, filles et garçons, arrivent sur le marché du travail alors qu'il en faudrait 60 000. Les jeunes filles sont encore peu nombreuses à s'engager dans les filières et les carrières scientifiques. (Rediffusion) Sur les ingénieurs en activité, 24% sont des femmes et la proportion des jeunes filles dans les filières scientifiques stagne. Pourquoi ces filières ne séduisent pas les filles alors qu'elles portent sur des univers variés comme le développement durable, l'industrie du futur, la défense, la santé, les biotechnologies, l'aérospatiale, la cybersécurité ? Quelle sensibilisation dans les lycées ? Quelles politiques RH dans les entreprises pour accueillir de nouvelles femmes ingénieures ? Avec : • Fatima Bakhti, présidente de l'Association Femmes Ingénieures et ingénieure dans les télécommunications • Elyès Jouini, professeur des Universités (économie et mathématiques), administrateur de l'Institut Universitaire de France (UAF), responsable de la chaire Dauphine-UNESCO « Femmes et Science » à l'Université Paris-Dauphine, ancien ministre en Tunisie. Le Monde des enfants par Charlie Dupiot C'est le moment du « Monde des enfants » ! Charlie Dupiot tend son micro à des enfants pour qu'ils nous livrent leurs regards sur le monde... Et aujourd'hui, elle nous emmène à Yaoundé au Cameroun : on va retrouver Erica, Danielle, Isaac, Christie, Luz, Kevin, Emmanuel et Ruth. Ces enfants, âgés de 8 à 12 ans, nous parlent des accidents de la route... une réalité qu'ils connaissent bien. En fin d'émission, Un parent, une question et les conseils du psychologue Ibrahima Giroux, professeur à l'Université Gaston Berger de Saint-Louis du Sénégal. Il répond à la question de Kevin à Libreville, Gabon. Cette émission est une rediffusion du 12 février 2025 Programmation musicale : ► Tout savoir - Adé. ► Nishimira - Boukuru.
Chaque année en France, 44 000 nouveaux jeunes ingénieurs, filles et garçons, arrivent sur le marché du travail alors qu'il en faudrait 60 000. Les jeunes filles sont encore peu nombreuses à s'engager dans les filières et les carrières scientifiques. (Rediffusion) Sur les ingénieurs en activité, 24% sont des femmes et la proportion des jeunes filles dans les filières scientifiques stagne. Pourquoi ces filières ne séduisent pas les filles alors qu'elles portent sur des univers variés comme le développement durable, l'industrie du futur, la défense, la santé, les biotechnologies, l'aérospatiale, la cybersécurité ? Quelle sensibilisation dans les lycées ? Quelles politiques RH dans les entreprises pour accueillir de nouvelles femmes ingénieures ? Avec : • Fatima Bakhti, présidente de l'Association Femmes Ingénieures et ingénieure dans les télécommunications • Elyès Jouini, professeur des Universités (économie et mathématiques), administrateur de l'Institut Universitaire de France (UAF), responsable de la chaire Dauphine-UNESCO « Femmes et Science » à l'Université Paris-Dauphine, ancien ministre en Tunisie. Le Monde des enfants par Charlie Dupiot C'est le moment du « Monde des enfants » ! Charlie Dupiot tend son micro à des enfants pour qu'ils nous livrent leurs regards sur le monde... Et aujourd'hui, elle nous emmène à Yaoundé au Cameroun : on va retrouver Erica, Danielle, Isaac, Christie, Luz, Kevin, Emmanuel et Ruth. Ces enfants, âgés de 8 à 12 ans, nous parlent des accidents de la route... une réalité qu'ils connaissent bien. En fin d'émission, Un parent, une question et les conseils du psychologue Ibrahima Giroux, professeur à l'Université Gaston Berger de Saint-Louis du Sénégal. Il répond à la question de Kevin à Libreville, Gabon. Cette émission est une rediffusion du 12 février 2025 Programmation musicale : ► Tout savoir - Adé. ► Nishimira - Boukuru.
Réagissez à l'actualité de votre choix avec Namouri Dosso. RFI vous donne la parole. L'occasion d'aborder des thèmes qui ne font pas toujours la Une des médias français et internationaux.
Le 12 octobre prochain, les Camerounais sont appelés aux urnes pour l'élection présidentielle dans un climat toujours marqué par une insécurité persistante et les incertitudes entourant la succession du président Paul Biya, au pouvoir depuis plus de quatre décennies. Dans ce contexte, l'International Crisis Group (ICG) vient de publier un rapport qui alerte sur les risques de violences avant et après le vote. Enrica Picco, la directrice Afrique centrale du centre de recherche international et qui anime le podcast Afrique 360° pour ICG, est l'invitée de Liza Fabbian. RFI : Comment qualifier l'élection qui aura lieu le 12 octobre prochain au Cameroun ? Enrica Picco : L'élection présidentielle d'octobre sera sans doute un scrutin historique pour deux raisons principales : l'exclusion du candidat de l'opposition Maurice Kamto, par décision du Conseil constitutionnel au début du mois d'août. Mais aussi les appels à ce que le président Paul Biya passe finalement la main après 42 ans au pouvoir et avec son âge déjà très avancé. Pour la première fois, ces appels ne viennent pas seulement de l'opposition ou de la société civile, mais viennent aussi de personnalités très importantes du parti au pouvoir, le RDPC, et aussi d'une partie de l'Église catholique. Donc, ça, ce sont les deux éléments qui nous font parler d'une élection différente du scrutin de 2018. Il y a un certain tabou autour de la succession de Paul Biya. Pourquoi est-ce problématique ? Le président Paul Biya n'a jamais voulu toucher au sujet de sa succession. Il y a eu l'hypothèse que son fils Franck Biya puisse le remplacer, hypothèse qui a été mise de côté. Le président a toujours, avec un système de répression ou de cooptation, calmé toutes les velléités d'autres membres du parti au pouvoir de prendre sa place. Donc, le sujet, évidemment, est resté très important, surtout parce que durant les derniers mandats, il a délégué de plus en plus à son cercle restreint au gouvernement et à la présidence. Donc, ça a aussi créé des tensions très fortes qui créent des luttes de pouvoir en interne, qui, finalement, empêchent la gestion des affaires de l'État et, en général, le développement économique, les réformes dont le pays aurait besoin. Vous évoquez aussi dans votre rapport les nombreux remaniements au sein de l'armée camerounaise ces derniers temps. Dans quel objectif cela a été fait, selon l'International Crisis Group ? Le coup d'État au Gabon en août 2023 était sans doute un signal que le président Biya a pris en considération de manière très évidente parce que tout de suite après, il a commencé à faire des remaniements au sein de l'armée pour casser tout type de réseaux de connexions qui pourraient mettre des officiers, des hauts gradés de l'armée, dans des conditions d'organiser quelque forme de résistance au pouvoir. Et ça montre que le président Biya est bien déterminé à empêcher que tout type de mécontentement au sein de l'armée puisse se transformer en quelque chose de plus dangereux pour le pays. Concernant les élections à venir elles-mêmes et l'organisation du scrutin, quelles sont les principales failles, les principaux risques identifiés par l'ICG ? Le premier point, c'est sans doute l'indépendance des institutions électorales : je me réfère surtout à Elecam, Elections Cameroon, mais aussi au Conseil constitutionnel, dont les membres sont, dans la plupart des cas, nommés par le président et sont ou ont été membres du parti présidentiel ou très proches de l'entourage présidentiel. L'autre sujet, c'est le bulletin électoral. Maintenant, chaque candidat a un bulletin séparé et une réforme vers un bulletin unique où tous les candidats sont listés sur le même papier, n'a pas été mise en place depuis les scrutins de 2018. Cela aurait évité des fraudes et aurait aussi évité les problèmes de ne pas trouver le bulletin du candidat qu'on cherche dans les centres de vote le jour des élections. Après, il y a aussi évidemment les problèmes de dépouillements qui donnent également lieu a tout type de recours dans un temps très, très limité : 72 heures, ce temps, n'est pas suffisant pour vérifier la situation et pour récolter des preuves sur le dépouillement des votes en province et dans les autres régions du pays. Le scrutin a lieu dans seulement deux mois au Cameroun. Quelle est la priorité ? Évidemment, le temps d'ici au scrutin n'est plus suffisant pour réformer le système électoral. Mais il y a encore assez de temps pour des gestes politiques qui pourraient montrer une volonté de transparence et de crédibilité. Une mesure, ce serait la libération des prisonniers politiques de l'opposition qui sont en prison à Yaoundé depuis le scrutin de 2018 et l'adoption d'un code de bonne conduite pour essayer de mettre un frein aux discours haineux et ne pas faire monter des tensions autour des élections qui pourraient amener à des protestations violentes et des manifestations avant ou après les scrutins. Les séparatistes anglophones ont annoncé déjà qu'ils feront des opérations de ville-morte qui feront tout ce qui est dans leur pouvoir pour empêcher les votes dans les zones qu'ils contrôlent. Donc, pour nous, la priorité, c'est vraiment la protection des civils : empêcher que la population anglophone, mais aussi les fonctionnaires qui travaillent pour les institutions électorales dans ces zones, ne soient pas exposés aux violences d'un côté ou de l'autre. Dans ces régions, pour la cessation des hostilités, c'est la seule manière de protéger les civils et de leur permettre d'aller voter s'ils veulent, mais surtout de ne pas avoir de victimes civiles pendant la semaine électorale.
430 000 étudiants africains partent chaque année étudier à Harvard, Oxford ou la Sorbonne. Mais seulement 3 sur 10 reviennent au pays ! Face à ce constat, le Gabon va supprimer ses bourses vers les États-Unis et le Canada dès 2026. Bonne ou mauvaise décision ? Comment concilier excellence académique et développement local ? Avez-vous bénéficié d'une bourse d'études à l'étranger ? Êtes-vous rentré ? Parents d'étudiants : préféreriez-vous une université d'excellence locale ou une formation à l'étranger ? On attend vos réactions.
Au Gabon, à moins de deux mois de l'élection législative, une coalition de l'opposition gabonaise menace tout simplement de boycotter le scrutin. Dans une déclaration commune, ils dénoncent un processus qu'ils qualifient de partial, précipité et non inclusif.
Le torchon brûle une nouvelle fois entre la France et l'Algérie. Le président français Emmanuel Macron a demandé à son Premier ministre de durcir le ton, avec des mesures très concrètes comme la suspension de l'exemption de visa pour les détenteurs de passeport diplomatiques. Des annonces qui n'ont pas manqué de faire réagir les autorités algériennes.
Les journalistes et experts de RFI répondent également à vos questions sur l'annulation de la candidature de Maurice Kamto, la création d'une milice au Niger et l'augmentation des productions de pétrole. Gabon : retour sur le chantage d'un influenceur contre le président Un influenceur gabonais d'origine libanaise menace de divulguer des vidéos compromettantes du président Oligui Nguema. Quel est le contenu des enregistrements que Nazih affirme détenir ? Une enquête est-elle ouverte côté gabonais pour vérifier l'authenticité des enregistrements ? Avec Yves-Laurent Goma, correspondant de RFI à Libreville. Cameroun : Maurice Kamto définitivement écarté de la course à la présidentielle Considéré comme « non fondé », le recours de l'opposant a été rejeté par le Conseil constitutionnel. Comment expliquer cette décision ? À quoi s'attendre pour l'avenir politique de Maurice Kamto ? Avec Stéphane Akoa, politologue camerounais et chercheur à la fondation Paul Ango Ela. Niger : une milice citoyenne en appui aux forces de l'ordre Au Niger, le mouvement citoyen M62 lance une milice civile pour appuyer les forces de sécurité. Quelle est la mission précise de cette milice ? Plusieurs organisations de la société civile mettent en garde contre une dérive de cette milice. Ces craintes sont-elles fondées ? Avec Seidik Abba, président du Centre international de réflexions et d'études sur le Sahel. Auteur de l'ouvrage « Crise interne au Conseil Militaire Suprême du Niger » (éditions L'Harmattan). Pétrole : pourquoi les pays de l'OPEP+ augmentent leur production ? Les pays de l'OPEP+ ont prévu d'augmenter leur production de pétrole en septembre 2025. Pourquoi l'OPEP+ cherche-t-elle à augmenter sa production alors qu'elle avait jusqu'à maintenant réduit son offre pour maintenir des prix élevés ? Jusqu'où l'Organisation peut-elle augmenter sa production sans provoquer une chute importante des prix ? Avec Marie-Pierre Olphand, journaliste pour la Chronique des matières premières sur RFI.
In Episode 28 of Geopolitics with Ghost, the global chessboard shifts again as Ghost breaks down the latest developments in Africa and their implications for BRICS, Western hegemony, and the unraveling global order. With coups in Niger and Gabon disrupting Western resource pipelines and raising questions about French and American influence, Ghost highlights how nations are rejecting colonial control in favor of multipolar partnerships. He explores the strategic alignment of these countries with BRICS ideals, resource sovereignty, decentralized development, and economic autonomy. The episode also examines the ripple effects of Israel's judicial overhaul, Hungary's quiet rise in Eastern Europe, and the growing irrelevance of Western NGOs and media. It's a wide-angle lens on the death throes of unipolar dominance and the messy, hopeful birth of a new global balance.
Nous parlons ce matin de l'importante de la diaspora des mourides, une confrérie musulmane sénégalaise. Lundi dernier, des organisations de la diaspora ont célébré le Bamba Day. Un hommage rendu à Cheikh Ahmadou Bamba, le fondateur de la confrérie. Le 13 août, surtout, les fidèles mourides pratiqueront le grand magal, le pèlerinage annuel dans la ville sainte de la confrérie, Touba. C'est l'occasion pour nous de nous plonger dans un ouvrage qui vient de paraître : La Mouridiyya en marche : islam, migration et implantations, publié par les Éditions de la Maison des Sciences de l'Homme. Le livre revient sur l'expansion internationale de la confrérie et en analyse certaines conséquences. Son auteur Cheikh Anta Babou est l'invité de Laurent Correau. RFI : Qu'est-ce qui explique l'importance de la diaspora et de l'émigration dans le mouridisme ? Pourquoi est-ce qu'on associe si souvent cette image du mouridisme à ces réseaux diasporiques ? Cheikh Anta Babou : Ce qui fait l'importance de cette diaspora mouride, c'est un phénomène imprévu. Les mourides, qui étaient un peu considérés comme des sédentaires naturels, des conservateurs qui sont perdus dans la modernité, ont profité de cette modernité qui n'était pas faite pour eux. Ils ont migré dans les villes de plus en plus, en grand nombre. Ils se sont installés, ils ont pris l'économie informelle. Et quand les conditions se sont présentées, ils ont quitté le Sénégal pour l'Afrique occidentale, pour l'Europe et maintenant pour les États-Unis dans les années 80. Donc comment ont-ils réussi à domestiquer cette modernité et à en profiter pour devenir une diaspora globale ? Et qu'est-ce qui l'explique selon vous ? Ce qui l'explique, c'est la mobilité avec Ahmadou Bamba. … Cheikh Ahmadou Bamba, le fondateur du mouridisme. Effectivement. Vous savez que dans sa saga, la mobilité joue un rôle important. Ses exils, d'abord au Gabon où il a passé sept ans… il s'exile en Mauritanie… Les exils, au niveau du Sénégal. Donc c'est une certaine aura qui accompagne cette mobilité. Autre chose qui s'est développé : vous allez avoir des dahiras, ces organisations urbaines mourides. Ces dahiras ont été formés au Sénégal dans les années 40, dans les villes, originellement comme une organisation qui aide à développer, à préserver l'identité mouride menacée par la modernité occidentale dans les villes. Et quand les mourides ont voyagé, ils ont voyagé avec ces dahiras. Ce qui est intéressant avec ces dahiras, c'est qu'ils aident la religion à voyager. Ils donnent une mobilité à la culture mouride. Une fois à Paris, une fois à New York, une fois à Abidjan ou ailleurs, ces dahiras deviennent le creuset où les mourides se retrouvent chaque semaine, où la sociabilité mouride est développée, où les événements religieux sont célébrés. Donc cette sociabilité mouride, d'une certaine manière, est ancrée autour de ce creuset, le dahira mouride. Vous avez aussi une réflexion intéressante dans votre ouvrage sur la question de la deuxième génération et la façon dont cette deuxième génération vit la foi mouride. Qu'est-ce qui se passe avec la génération qui n'est pas celle des premiers migrants, mais celle de leurs enfants ? Vivre sa religion dans la diaspora est chère. C'est un investissement lourd en termes financiers, mais aussi en termes de temps, en termes d'émotion. Et beaucoup de ces parents, maintenant, se demandent, est-ce que mes enfants auront cette volonté d'avoir cet investissement que nous, nous avons produit pour que l'amour de Dieu continue à se perpétuer ? C'est la grande question. Mais il y a même des mourides moins jeunes qui commencent à s'interroger, surtout ce qu'on appelle les professionnels. Ils ne peuvent pas faire ces réunions sociales avec le dahira. Les investissements financiers ne posent pas de problème, mais pour la plupart de ces gens-là, c'est le temps à consacrer à ces événements qui pose problème. De sorte que la plupart d'entre eux se disent « je peux être mouride autrement. C'est-à-dire, je peux apprendre les khassaïdes de Serigne Touba chez moi. Pas nécessairement en communauté, comme c'est l'habitude dans les dahiras. Mais je peux également nouer une relation personnelle avec Ahmadou Bamba à travers ses ouvrages plutôt qu'avec sa descendance. C'est-à-dire ce lien-là qui se base sur la généalogie est en train de se déliter un tout petit peu. Les gens se disent « je peux être mouride sans me soumettre à un cheikh qui est un descendant d'Ahmadou Bamba », comme de tradition dans la mouridiyya. Ils se disent « je peux lire les khassidas, essayer de modeler ma vie par rapport à la vie d'Ahmadou Bamba. Quand je vais au Sénégal, je vais sur sa tombe, je prie chez lui et je prie sur sa tombe et pour moi, c'est suffisant. » Vous diriez qu'on voit une foi individuelle se développer un peu plus dans cette deuxième génération ? Dans cette deuxième génération où vous gérez vous-même cette foi… au lieu de la donner à gérer à la Communauté elle-même. Est-ce que les circulations entre Touba, la ville sainte des mourides et toutes ces villes de l'étranger, toutes ces terres d'immigration ont créé quelque chose ? Cette diaspora mouride est en train d'avoir un impact extrêmement important. Les mourides ont produit une culture mouride qui n'est pas celle qu'ils ont quitté au Sénégal. Il y a par exemple ce que les mourides appellent les « khassidas days ». … Les khassaïdes, ce sont les poèmes de Cheikh Ahmadou Bamba Oui, les poèmes d'Ahmadou Bamba… Ils ont ce qu'ils s'appellent les khassidas days. C'est-à-dire une journée où différents groupes de dahiras se regroupent et chantent les khassidas toute la journée jusqu'à la nuit. Et ça, c'est du nouveau. C'est la solidarité diasporique. Mais cette solidarité a été réexportée au Sénégal où les gens font également leur khassida day. Mais également même sur l'investissement. Vous avez maintenant des ONG, des dahiras qui ne sont plus des dahiras classiques, mais des ONG. Il y en a un, Matlaboul Fawzeyni, qui a construit un hôpital. Ces mourides qui vivaient dans les zones rurales qui ont migré à Touba et par la suite ont migré en Europe ou en Amérique se sont rendus compte qu'ils ont besoin d'installations sanitaires modernes pour leurs parents qu'ils ont laissés derrière. Ils se disent, mais pourquoi pas investir sur ça ? Donc, ils ont construit le premier hôpital moderne au niveau de Touba et ils continuent à investir, par exemple sur l'éclairage public, sur l'assainissement. Ça ce sont des choses qui sont absolument nouvelles. Et l'argent qu'ils envoient également au Sénégal, qui est assez substantiel, tout cela également a un impact non seulement sur la mouridiyya, mais sur le Sénégal en général. À lire aussiSur les traces de l'exil de Cheikh Ahmadou Bamba (1/2)
Charles and Jon talk with carnivore conservation expert Laila Bahaa-el-din.Laila studied the near mythical African Golden Cat for her PhD in Gabon from 2010 - 2015 and was the first to study the species for a PhD.She explains how her grandfather inspired her to follow a career in conservation and how a chance encounter with a mislabeled photo of an African Golden Cat saved her from studying raptors and took her to Gabon.Laila describes how she studied the cats using camera traps and how a bird flying into a tent led to her one and only sighting during four years in the field. She also recounts some of her very many adventures in Gabon that range from pleading with a female gorilla to keep quiet so as not to alert the silverback, to fleeing from an elephant while trying to get out of a poncho. No wonder she turned to poetry for solace!For more information visit www.mammalwatching.com/podcastNotes: Here is an African Geographic artlce from Laila about her work with the Golden Cat. And here is the video she mentioned of an African Golden Cat hunting Red Colobus in Uganda.Jon's report of his recent trip to Japan in search of Sato's Beaked Whales is here. And hs report of a weekend in China is here. Cover art: African Golden Cat, Laila Bahaa-el-din Dr Charles Foley is a mammalwatcher and biologist who, together with his wife Lara, spent 30 years studying elephants in Tanzania. They now run the Tanzania Conservation Research Program at the Lincoln Park Zoo in Chicago.Jon Hall set up mammalwatching.com in 2005. Genetically Welsh, spiritually Australian, currently in New York City. He has looked for mammals in over 110 countries.
On today's episode, we will be diving into a timely and sensitive topic — the Executive Order signed by President Trump in January 2025 to terminate the DEI programs in the U.S. federal government workforce and in federal contracting and spending.While this marks a significant shift domestically, we want to examine how this policy change may affect U.S. companies operating abroad — particularly in Angola, Mozambique, and Gabon. Subscribe to our podcast today to stay up to date on employment issues from law experts worldwide.Host: Nuno Gouveia (email) (Miranda Alliance)Guest Speakers: Patrícia Carril (email) (Miranda Alliance - Fátima Freitas Associados / Angola), Silvia Mota Carvalho (email) (Miranda Alliance – Cabinet Nguia / Gabon) & João Pires Teixeira (email) (Miranda Alliance – Pimenta & Associados / Mozambique)Support the showRegister on the ELA website here to receive email invitations to future programs.
La démocratie sur le continent africain a connu ces dernières années des évolutions contrastées. Tandis que certains pays ont renforcé leurs institutions démocratiques par des élections relativement libres et une alternance pacifique du pouvoir, plusieurs États ont été marqués par des coups d'État ou encore des révisions constitutionnelles controversées. Si six putschs ont réussi depuis 2020 (Mali, Niger, Burkina Faso, Guinée, Tchad, Gabon), peut-on pour autant parler d'une crise démocratique généralisée à l'Afrique ? Avec la participation de : Ousmane Ndiaye, journaliste, auteur de L'Afrique contre la démocratie. Mythes, déni et péril (éd. Riveneuve). Francis Laloupo, journaliste, essayiste et enseignant en géopolitique, auteur de Blues démocratique, 1990-2020 (éd.Karthala). Arthur Banga, historien, maître de conférences à l'université Félix Houphouët Boigny.
Actualité musicale avec Makhalba Malecheck du Congo, Smarty du Burkina Faso et Emma'a du Gabon entre autres. Pour visionner les clips, cliquez sur les titres des chansons : Shanice - I love your smile Krys feat YSN - God bless Hilary - C'est moi Goulam - C'est confirmé Wally Ballago Seck - Je t'aime Lamomali - Je suis Mali Makhalba Malecheck - Le séisme Smarty - Chacun sa vie Emma'a - Ça m'a laissé Charlotte Dipanda - Promesses manquées Bamby - Guyane Burna Boy - Sweet love Blaiz Fayah et Ayetian - Neva bèg Agatchu - Maradona Oliver Ngoma - Asia Retrouvez notre playlist sur Deezer.
Au Gabon, la bataille pour le contrôle de l'ex-parti au pouvoir, le PDG, se poursuit à Libreville. Les cadres proches d'Ali Bongo sont interdits d'accès au siège du parti, où ils avaient programmé une réunion stratégique, par la nouvelle direction du parti. Les précisions de notre correspondant à Libreville, Ismaël Obiang Nze.
Ce lundi 21 juillet aurait pourtant dû être un jour de fête, ou au moins à marquer d'une pierre blanche, pour le Parti démocratique gabonais de l'ancien président Ali Bongo : une véritable « réunion stratégique » était prévue, rappelle Gabon Media Time, « visant à relancer la dynamique interne » de la formation, « en prélude aux échéances électorales à venir ». Dit plus clairement, abonde Le Pays, l'ex-parti au pouvoir « tente de se réorganiser pour son grand retour dans une arène politique en pleine recomposition ». Affaibli par le coup d'État à l'encontre d'Ali Bongo en 2023, la formation ambitionne de revenir sur la scène politique, bon an mal an. Mais elle n'est pas la seule, note Gabon Review : « l'homme que l'on croyait politiquement défait, effacé, exilé à jamais dans les marges de l'histoire nationale, revient. » Car Ali Bongo a annoncé, en fin de semaine dernière, reprendre la présidence du parti, de Londres, où il vit désormais. À lire aussiGabon: les cadres pro-Bongo et la nouvelle direction du parti se disputent le contrôle du siège du PDG Les crispations éclatent au grand jour Les crispations se sont alors éclatées au grand jour et cela s'est particulièrement vu ce lundi, lorsque les fidèles d'Ali Bongo, dirigés par son dauphin désigné Ali Akbar Onanga, ont été empêchés de se réunir au siège du parti par la nouvelle direction du PDG, élue lors d'un congrès en janvier dernier et emmenée par Blaise Louembé. L'Union a beau minimiser en parlant d'une « situation (…) incertaine », pour Le Pays, c'est justement certain : la formation est « miné[e] par des luttes intestines qui amènent » même le journal à « s'interroger sur son avenir. » Et Gabon Actu va dans le même sens : le parti « apparaît plus que jamais divisé. » Or, le PDG ne peut pas vraiment se permettre de telles querelles internes : à ce stade, il « joue sa survie », martèle Gabon Media Time. Il faut dire, rappelle Le Pays, que la formation a déjà été « beaucoup fragilisé[e] » par l'après coup d'État, lorsqu'elle a subi « une véritable saignée avec des démissions en cascades. » Plusieurs cadres, « et pas des moindres », insiste encore le titre burkinabè, « n'ont pas hésité à quitter le navire, en le laissant dans le creux de la vague. » En plus de ces défections, « les positions divergentes », les « exclusions réciproques, les réunions concurrentes, les déclarations antagonistes » continuent « d'affaiblir » ce parti historique, opine Gabon Review. À lire aussiGabon: bataille de succession au sein du Parti démocratique gabonais Jusqu'où l'escalade peut-elle aller ? Du Pays à Gabon Review, on emploie le même terme : celui d'une possible « implosion » dont les actuelles tensions ne seraient que les premiers symptômes. Même analyse pour Gabon Actu pour qui « la bataille du siège » lundi « semble à s'y méprendre n'être que la face visible de l'iceberg », qui pourrait bien « préfigure[r] une autre bataille, sur le terrain judiciaire cette fois-ci, au bout de laquelle l'ancien parti au pouvoir pourrait sortir complètement exsangue et groggy ». Pour le journal, ce contexte « hypothèque toutes chances de participation du PDG aux prochaines échéances électorales », prévues cette année. Mais en réalité, analyse Gabon Review, l'enjeu est ailleurs : « il se situe dans le temps long ». Et c'est peut-être le fruit d'une tactique mûrement réfléchie par Ali Bongo : s'agirait-il, s'interroge le journal, d'une « stratégie pour peser à nouveau sur le destin national ? » Pour Le Pays, il y a lieu de le penser : « la volonté de Bongo-fils de garder la haute main sur son parti dans l'espoir de maintenir son influence sur la scène politique gabonaise » est « la preuve (…) qu'il est loin d'avoir digéré sa perte de pouvoir, encore moins d'en avoir fait le deuil », diagnostique le titre. Car parmi les multiples scénarios possibles, il y en a un, imagine Gabon Review, dans lequel, « à la faveur d'un affaiblissement du pouvoir central, d'une faille institutionnelle, ou d'un retournement d'alliances, l'ancien président pourra redevenir acteur, sinon roi ». Faute d'avoir conservé le pouvoir, Ali Bongo tente au moins « d'en garder la matrice », croit savoir le journal, qui conclut : « Ali Bongo n'a peut-être pas dit son dernier mot ».
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The Daily Quiz - Geography Today's Questions: Question 1: In which Vietnamese city are Ho Chi Minh's remains displayed in a mausoleum in Ba Dinh Square? Question 2: What's the oldest capital city in the Americas? Question 3: What is the capital city of Republic of the Congo? Question 4: What is the capital city of Cuba? Question 5: Vientiane is the capital city of which country? Question 6: Which volcano's 1980 eruption caused the city of Spokane to be plunged into darkness due to the ash? Question 7: Bern is the capital city of which country? Question 8: What is the capital city of Gabon? This podcast is produced by Klassic Studios Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Debt-for-nature swaps are gaining traction as a way to restructure sovereign debt in exchange for conservation commitments. In this episode of ESG Currents, Bloomberg Intelligence director of ESG research Eric Kane and senior ESG associate Melanie Rua speak with Slav Gatchev, who leads The Nature Conservancy’s Sustainable Debt team, and Jake Harper, senior investment manager for Alternative Debt at Legal & General. Together, they discuss how these deals are structured, the role of new market standards in improving investor confidence and takeaways from landmark transactions in Ecuador and Gabon. Legal & General has invested nearly $500 million across four swaps, while TNC’s work has unlocked over $1 billion for conservation.See omnystudio.com/listener for privacy information.
In this expansive episode, Ghost dives deep into Africa's shifting alliances and the global scramble for critical resources. He opens with Trump's Africa Summit, where five West African nations were invited to Washington to negotiate trade deals centered on rare earth minerals, oil, and gas. Ghost methodically dissects NPR and AP coverage, showing how Western media narratives obscure the real incentives driving U.S. outreach, countering China's and Russia's growing footholds across the continent. Using detailed maps and timelines, he explains how military coups in Mali, Niger, and Burkina Faso have created a new power bloc aligned with Russia, and why Liberia, Gabon, and others were strategically selected for engagement. The conversation moves to the Pentagon's controversial investment in MP Materials, effectively nationalizing America's only rare earth mine to break dependence on Chinese supply chains. Ghost then pivots to Israel's turmoil, exploring how Netanyahu's government is trapped between domestic collapse, far-right coalition partners, and stalled Gaza negotiations. With plenty of sidebars, on rare earth land grabs, CIA-backed coups, and the long game of economic warfare, this episode is equal parts exposé and history lesson, revealing how old empires still pull the strings behind modern headlines.
Au sommaire : Cinq chefs d'Etats africains (Gabon, Guinée-Bissau, Liberia, Mauritanie et Sénégal) se sont rendus cette semaine à Washington pour un sommet consacré aux questions commerciales, mais aussi aux défis sécuritaires et à la politique migratoire. Pourquoi cet intérêt nouveau du président Trump pour le continent ? Volonté de contrer l'influence de la Chine en Afrique ? Multiplication des partenariats portant sur les ressources souterraines ? Autre visite à Washington, celle du Premier ministre israélien Benyamin Netanyahu. Le président Donald Trump presse pour un cessez-le-feu à Gaza. Chaque semaine, des journalistes et éditorialistes africains décryptent l'actualité africaine et internationale. Avec la participation de : Jean-Paul Oro, correspondant à Paris du quotidien L'intelligent d'Abidjan, président de l'Union des journalistes ivoiriens en France Karine Oriot, éditorialiste camerounaise Eric Topona, journaliste tchadien au sein de la rédaction Afrique francophone de la Deutsche Welle
Candidat ou pas ? Au Cameroun, l'avenir du président Biya provoque de multiples débats depuis que le porte-parole du gouvernement et celui du parti au pouvoir ont affiché publiquement leur désaccord. C'était au début de la semaine sur RFI. Ce vendredi, voici la réaction de Christopher Fomunyoh. Mais comme le grand essayiste camerounais est aussi le directeur Afrique du National Democratic Institute, un think tank américain proche du Parti démocrate, il s'exprime d'abord sur le sommet organisé mercredi par Donald Trump. En ligne de Washington, Christopher Fomunyoh répond à C. Boisbouvier. RFI : « Plus de commerce, moins d'aide », a dit en substance Donald Trump aux cinq chefs d'État africains qu'il a reçus ce mercredi à la Maison Blanche. Qu'est-ce que vous pensez de cette nouvelle approche des États-Unis avec l'Afrique ? Christopher Fomunyoh : Effectivement, je pense que peut-être, compte tenu des richesses naturelles existant sur le continent, ça va ouvrir de nouvelles perspectives. Et nous l'avons ressenti parce que, mercredi, les cinq chefs d'États à tour de rôle, chacun parlait des richesses naturelles de son pays. Et il est envisagé un autre sommet, peut-être au mois de septembre à New York, et peut-être que ça va changer le paradigme. Les contrats miniers, c'est l'un des arguments que les États-Unis mettent à présent sur la table. Est-ce qu'après 25 ans d'échec dans les Grands Lacs, cette stratégie pourrait réussir ? Peut-être que les deux États du Congo et du Rwanda, voyant un intérêt commun dans la possibilité de nouvelles richesses dans l'exploitation des minerais, pourront s'entendre à régler leurs conflits par des voies de négociations. Donc c'est à encourager si ça peut calmer les choses et éviter la perte en vies humaines qu'a connu le Congo à l'est de son territoire, c'est vraiment à saluer. Alors à propos de ces matières premières, pour l'instant, c'est la Chine qui exploite le plus de terres rares en Afrique. Est-ce que les États-Unis ont raison ou pas de vouloir entrer en compétition avec la Chine sur le terrain africain ? Effectivement, la compétition avec la Chine, je ne serais pas surpris si cela était entré dans le calcul par rapport même à l'invitation des cinq pays dont les chefs d'États se trouvent à Washington en ce moment. Donc, a priori, Washington a pris soin d'inviter cinq chefs d'États qui résistent à la force d'attraction de la Chine ? Je ne sais pas si c'est cela, l'indicateur qui a motivé le choix de ces cinq pays, mais c'est quand même des pays qui, à divers degrés, contiennent des ressources qui peuvent attirer le secteur privé américain. Sur RFI et France 24, au mois de mars dernier, le nouveau président du Gabon, Brice Clotaire Oligui Nguema, a révélé que les Chinois avaient souhaité installer une base militaire sur les côtes gabonaises, mais que le Gabon avait décliné la proposition. Est-ce que vous pensez que c'est l'une des raisons pour lesquelles ce président était invité à la Maison Blanche ce mercredi ? Effectivement, ça se voit que, depuis la transition au Gabon, le Gabon essaie de peser aussi dans les conversations diplomatiques avec Washington. On l'a ressenti aussi mercredi lorsque le nouveau président gabonais a fait étalage de son ouverture. Vous êtes Camerounais et vous suivez avec beaucoup d'attention le début de la campagne pour la présidentielle d'octobre prochain. Cette semaine, on a entendu le porte-parole du gouvernement nous dire que la candidature de Paul Biya à un huitième mandat n'était sûre qu'à 50%. Puis le porte-parole du parti au pouvoir RDPC nous dire que cette candidature était sûre à 100%. Comment vous réagissez ? Cela ne me surprend pas du tout. Tout au contraire, ça démontre ce que nous avons toujours décrié avec le régime en place, parce que nous avons vu le ministre René Sadi, par exemple, qui semble prendre la mesure de l'angoisse dans laquelle vivent les populations camerounaises quant à l'effectivité de la gouvernance et de la gestion du pouvoir par le président Paul Biya. Il a essayé d'être rationnel et même de rassurer dans une certaine mesure ces populations-là. Mais quelques heures après, nous avons été très surpris que le ministre Fame Ndongo sorte en se lançant dans un sophisme exacerbé, qui prête à confusion non seulement pour les Camerounais, mais aussi pour tous les Africains qui regardent avec curiosité ce qui se passe au Cameroun. Si Paul Biya vous demandait conseil aujourd'hui, qu'est-ce que vous lui diriez ? Je lui dirais clairement d'aller se reposer parce que, si je voulais être cynique, je dirais comme certains que la candidature de Paul Biya serait un cadeau. Le plus beau cadeau que le parti au pouvoir pourrait rendre à l'opposition. Parce que ce serait très facile de le battre dans une campagne où il ne pourra pas battre campagne, où il ne pourra pas faire des tournées dans les dix régions du pays, où il ne pourra pas interagir avec les journalistes et les populations. Mais je ne suis pas cynique à ce point. Je suis optimiste de nature et je lui dirais carrément : « en tant que grand-père, en tant qu'arrière-grand-père, c'est le moment de prendre votre retraite et d'être respecté par les Camerounais et par les Africains et par le monde entier ».
The Rich Zeoli Show- Full Show (07/09/2025): 3:05pm- On Monday, President Donald Trump hosted leaders from Mauritania, Gabon, Guinea-Bissau, Liberia, and Senegal at the White House—announcing that his administration has “closed the USAID group to eliminate waste, fraud, and abuse.” USAID's responsibilities will now be carried out by the State Department. 3:15pm- While speaking with the press, President Trump reacted to Senator Jose Padilla's proposed bill which would prevent ICE agents from wearing masks and concealing their personal identity. There have been several recent attacks on ICE facilities—including one attack in McAllen, Texas involving a man with an assault rifle. 3:20pm- BIG ANNOUNCEMENT: Rich will be hosting Fox News contributor Gianno Caldwell for a Politics & Pints event on Thursday, July 31st at 7:30pm at the Zlock Performing Arts Center in Newtown, PA. VIP tickets are on sale now at: 1210wpht.com. 3:30pm- According to a report from Fox News Digital, the Department of Justice is criminally investigating former CIA Director John Brennan and former FBI Director James Comey for potential false statements to Congress related to the Trump-Russia probe. 3:45pm- Sen. Dave McCormick—United States Senator from Pennsylvania—joins The Rich Zeoli Show to preview his Energy and Innovation Summit on July 15th. Plus, it has been almost one year since the assassination attempt against President Donald Trump in Butler, PA, when will we finally learn what happened? Sen. McCormick explains: “Honestly, I'm unsatisfied that we don't have answers. I don't understand it.” 4:05pm- The city of Philadelphia has reached an agreement with District Council 33—the union representing the city's trash collectors. 4:20pm- New Jersey gubernatorial candidate Mikie Sherril has endorsed socialist Zohran Mamdani for New York City mayor—but was that a major mistake? 4:30pm- Lora Ries—Director of the Border Security and Immigration Center at the Heritage Foundation—joins The Rich Zeoli Show to discuss several recent attacks on ICE facilities—including one attack in McAllen, Texas involving a man with an assault rifle. 4:50pm- Want to go bowling in the nude? There is (horrifyingly) an event in Pittsburgh on Saturday where you can! 5:05pm- The Department of Justice and FBI have announced that there is no evidence of a Jeffrey Epstein “client list” and that their inquiry will come to a close—though, the law enforcement departments did release an 11-hour video recording from outside Epstein's prison cell in hopes of dispelling claims that Epstein was secretly murdered. There is, however, one-minute from the tape missing—which Attorney General Pam Bondi attempted to explain away when questioned by the press on Tuesday. 5:15pm- Don't worry, Bill Pullman is still alive! Plus, Rich and Justin discuss their favorite Bill Paxton films. Did Matt really pick Titanic? 5:30pm- During a meeting at the White House, Israeli Prime Minister Benjamin Netanyahu announced he has officially nominated President Donald Trump for the Nobel Peace Prize. 5:40pm- A Kamala Harris interview was so bizarre that a social media personality decided not to use it, a Washington Post editorial complains about CVS locking up shampoo, Grok has a meltdown on X, and Gov. Ron DeSantis suggests Elon Musk should spend his energy and money fighting for a balanced budget Amendment instead of creating a third party. 6:05pm- While on the red carpet, actor Sean Gunn was asked if MAGA was mad because Superman is an immigrant. Rich sets the record straight: MAGA doesn't hate Superman despite this far-left journalist's claims. 6:30pm- While speaking with the press, President Trump reacted to Senator Jose Padilla's proposed bill which would prevent ICE agents from wearing masks and concealing their personal identity. There have been several recent attacks on ICE facilities—including one attack in McAllen, Texas involving a man with an assault rifle. 6:45pm- According to a re ...
Donate (no account necessary) | Subscribe (account required) Join Bryan Dean Wright, former CIA Operations Officer, as he breaks down today's biggest stories shaping America and the world. Alligator Alcatraz and ICE Raids Spark National Debate Polling shows over 60% of Americans support deportations, including a growing number of Hispanic voters. At Florida's “Alligator Alcatraz” detention center, migrants complain about conditions, while LA officials criticize ongoing ICE raids. Meanwhile, left-wing attacks on ICE officers escalate, and Democrat senators propose unmasking agents. President Trump slams the idea, calling it dangerous and un-American. Trump Offers Tariff Discounts to African Nations That Accept Deportees President Trump is using tariff policy to pressure countries to accept U.S. deportees. In a bid to ease deportation backlogs, he offers lower tariffs and increased investment to African nations like Gabon, Senegal, and Guinea-Bissau if they agree to resettle illegal migrants. Some leaders appear open, especially where economic incentives align with rare earth mineral access. Brazil Tariffs Escalate as Trump Responds to Free Speech Crackdown Trump imposes a 50% tariff on Brazilian goods in response to President Lula's treatment of former conservative leader Jair Bolsonaro. Brazil threatens retaliation, which could affect prices for key imports like coffee, beef, and rare earths. Bryan supports Trump's leverage strategy but cautions against alienating allies without diplomatic finesse. Tariffs Not Driving Inflation, But Price Pressures May Be Coming Despite fears, Axios reports that tariffs have not significantly raised consumer prices. Most U.S. companies are absorbing the costs or adapting supply chains. However, 77% say they may raise prices within six months. Bryan celebrates being right about his “Costco analogy” and urges listeners to watch corporate earnings next week for updates. Microsoft Lays Off Americans, Hires Foreign Workers, and Embraces AI Microsoft plans to lay off 15,000 U.S. workers while replacing them with AI and 14,000 foreign hires, mostly from China and India, via H-1B visas. Critics argue the program is abused to undercut American wages. Bryan warns of growing youth unemployment and calls for policy changes before AI and outsourcing further erode the U.S. labor market. "And you shall know the truth, and the truth shall make you free." – John 8:32
Les présidents du Gabon, de la Guinée-Bissau, du Liberia, de la Mauritanie et du Sénégal sont à Washington à l'invitation de Donald Trump. Au centre des discussions, les questions commerciales, les minerais et la sécurité. Qu'attendez-vous de ce sommet aux États-Unis ? Quelles sont vos priorités ?
Ce mois-ci, émission spéciale : double culture et recherche d'emploi, avantage ou désavantage ? Nos spécialistes vous conseillent dans votre recherche d'emploi. Valoriser vos diplômes, savoir parler de votre expérience professionnelle, de vos compétences, venez poser vos questions sur un monde du travail en pleine mutation. Avec : • Farida Akadiri, consultante et coach internationale pour leaders, managers et entrepreneurs • Aniéla Ve Kouakou, consultante en ressources humaines, fondatrice de Agiloya Afrique, un cabinet de conseils et de recrutement basé à Abidjan en Côte d'Ivoire. En fin d'émission, un nouvel épisode de notre série Le succès des repats, réalisée par Charlie Dupiot. Le portrait de Pamela Gassita Demeulemeester et Maéva Chavihot Mebiame, deux soeurs qui, en 2019, ont monté « Pam'cakes & Foodies » pour comme elles le disent, donner le goût de la pâtisserie fine au Gabon. Aujourd'hui, elles emploient 11 personnes, dans le quartier d'Angondjé au nord de Libreville. Programmation musicale : ► Lion - Little Simz & Obongjayar ► Zaazaa - Frenna feat. Shalllipopi.
The Rich Zeoli Show- Hour 1: 3:05pm- On Monday, President Donald Trump hosted leaders from Mauritania, Gabon, Guinea-Bissau, Liberia, and Senegal at the White House—announcing that his administration has “closed the USAID group to eliminate waste, fraud, and abuse.” USAID's responsibilities will now be carried out by the State Department. 3:15pm- While speaking with the press, President Trump reacted to Senator Jose Padilla's proposed bill which would prevent ICE agents from wearing masks and concealing their personal identity. There have been several recent attacks on ICE facilities—including one attack in McAllen, Texas involving a man with an assault rifle. 3:20pm- BIG ANNOUNCEMENT: Rich will be hosting Fox News contributor Gianno Caldwell for a Politics & Pints event on Thursday, July 31st at 7:30pm at the Zlock Performing Arts Center in Newtown, PA. VIP tickets are on sale now at: 1210wpht.com. 3:30pm- According to a report from Fox News Digital, the Department of Justice is criminally investigating former CIA Director John Brennan and former FBI Director James Comey for potential false statements to Congress related to the Trump-Russia probe. 3:45pm- Sen. Dave McCormick—United States Senator from Pennsylvania—joins The Rich Zeoli Show to preview his Energy and Innovation Summit on July 15th. Plus, it has been almost one year since the assassination attempt against President Donald Trump in Butler, PA, when will we finally learn what happened? Sen. McCormick explains: “Honestly, I'm unsatisfied that we don't have answers. I don't understand it.”
The Rich Zeoli Show- Opening Monologue (07/09/2025): On Monday, President Donald Trump hosted leaders from Mauritania, Gabon, Guinea-Bissau, Liberia, and Senegal at the White House—announcing that his administration has “closed the USAID group to eliminate waste, fraud, and abuse.” USAID's responsibilities will now be carried out by the State Department.
Ghanaian authorities have rescued more than 70 young men from a trafficking ring in Nigeria. The men thought they were heading for football contracts or overseas opportunities. Why has football become a gateway for trafficking?Leaders from five African countries - Gabon, Guinea-Bissau, Liberia, Mauritania, and Senegal - have been invited to a meeting with US President Donald Trump at the White House. What will they discuss?And we hear how women in Morocco are keeping the art of rug-weaving alive, and how traditional rugs are a symbol of cultural identity.Presenter: Charles Gitonga Producers: Nyasha Michelle, Yvette Twagiramariya, Alfonso Daniels and Sunita Nahar in London. Blessing Aderogba in Lagos Technical Producer: Pat Sissons Senior Journalists: Karnie Sharp and Patricia Whitehorne Editors: Andre Lombard and Karnie Sharp
Ghanaian authorities have rescued more than 70 young men from a trafficking ring in Nigeria. The men thought they were heading for football contracts or overseas opportunities. Why has football become a gateway for trafficking? Leaders from five African countries - Gabon, Guinea-Bissau, Liberia, Mauritania, and Senegal - have been invited to a meeting with US President Donald Trump at the White House. What will they discuss? And we hear how women in Morocco are keeping the art of rug-weaving alive, and how traditional rugs are a symbol of cultural identity. Presenter: Charles Gitonga Producers: Nyasha Michelle, Yvette Twagiramariya, Alfonso Daniels and Sunita Nahar in London. Blessing Aderogba in Lagos Technical Producer: Pat Sissons Senior Journalists: Karnie Sharp and Patricia Whitehorne Editors: Andre Lombard and Karnie Sharp
U.S. President Donald Trump hosts leaders from five African nations for a discussion and lunch at the White House on Wednesday, including leaders from Gabon, Guinea-Bissau, Liberia, Mauritania and Senegal.Trump announced in a Truth Social post on Tuesday evening that at least seven countries will receive trade-related letters on Wednesday morning, with an additional number of announcements set for the afternoon.Authorities have confirmed at least 119 deaths as a result of the flooding in central Texas, including 59 adults and 36 children in Kerr County. In New Mexico, At least three people have died in flash flooding in the village of Ruidoso.
Cinq chefs d'État africains sont accueillis à la Maison Blanche pour un sommet de trois jours. Les présidents du Liberia, du Sénégal, de Mauritanie, de Guinée-Bissau et du Gabon ont été invités pour cette rencontre centrée officiellement sur des questions commerciales. L'Amérique revient en Afrique… non plus avec de l'aide humanitaire, mais avec des contrats.
Le rappeur togolais Aamron est au micro de France 24. Il avait été arrêté dans la nuit du 26 mai dernier à son domicile par une escouade de la gendarmerie, puis interné à l'hôpital psychiatrique de Zébé. Il a été libéré, samedi 21 juin. Son arrestation avait amorcé une série de manifestations citoyennes, sanctionnées par des dizaines d'interpellation à travers tout le pays et des cas de torture, selon un rapport publié par Amnesty International et la Fédération Internationale pour les Droits Humains.
n this episode of Psychedelics Today, kicking of Psychedelic Science 2025 week in Denver, we sit down with Jonathan Dicksinson, Chief Executive Officer, and Trevor Millar, Chief Operations Officer of Ambio Life Sciences – one of the world's leading ibogaine clinics – to explore the potential of ibogaine for addiction, neuroregeneration, and how ethics, honoring experience, and sustainability will be key to delivering ibogaine at scale. Trevor shares his early work supporting marginalized populations in Vancouver's Downtown Eastside, which led to the founding of Liberty Root, one of Canada's first ibogaine clinics. Jonathan reflects on his apprenticeship in Mexican clinics, years of international advocacy with the Global Ibogaine Therapy Alliance, and drafting the first set of clinical guidelines for ibogaine detoxification. Together with paramedic and ibogaine safety protocols expert Jose Inzunza, they co-founded Ambio in Tijuana in 2021. They discuss: The unique safety standards Ambio has pioneered – including industry-wide clinical protocols and magnesium therapy to mitigate cardiac risk. Their scale: over 3,000 patients treated, with 100+ clients per month across five dedicated houses in Baja California. Ambio's groundbreaking neuroregenerative program for Parkinson's, MS, and traumatic brain injury – which has already drawn patients like Brett Favre and Clay Walker. How ibogaine appears to drive profound physiological change – including evidence of TBI reversal as shown in Stanford's 2024 study on Special Forces veterans. Why ibogaine isn't just a molecule – it opens a long-lasting “critical period” of neuroplasticity that must be supported with preparation, integration, and holistic care. The deeper story of sourcing: through his company Terragnosis, Jonathan is the only person with a legal export license for Tabernanthe iboga from Gabon, and Ambio is setting a precedent for reciprocal and ethical global supply chains. Their cautionary perspective on Texas' $50M push toward ibogaine clinical trials – and why the traditional “one drug, one indication” model misses the complexity and promise of psychedelic healing. They also make a compelling case that Ambio is already modeling what the future of psychedelic care should look like – not a single drug in a sterile clinical setting, but a comprehensive, integrated protocol combining preparation, medical oversight, and deep integration. “Start with the end in mind,” Trevor urges – Ambio isn't just part of the movement; it's the blueprint for how ibogaine could be delivered worldwide. Links: Ambio Website: https://ambio.life/ Significant lesion reduction and neural structural changes following ibogaine treatments for multiple sclerosis (Frontiers in Immunology, Feb 2025) Magnesium–ibogaine therapy in veterans with traumatic brain injuries (Nature Medicine, Jan 2024) Ibogaine reduced severe neuropathic pain associated with a case of brachial plexus nerve root avulsion (Frontiers in Pain Research, Aug 2023) Novel treatment of opioid use disorder using ibogaine and iboga in two adults (Journal of Psychedelic Studies, Jan 2020) Clinical Guidelines for Ibogaine-Assisted Detoxification Ambio Life Sciences Launches World's First Clinical Ibogaine Program for Patients With Neurodegenerative Conditions Bios: Jonathan Dickinson is the Chief Executive Officer and Co-Founder of Ambio Life Sciences. One of the world's leading experts on ibogaine, Jonathan brings over 15 years of experience in clinical care, traditional practice, and psychedelic research to his leadership at Ambio. A Mexico-licensed psychologist and former Executive Director of the Global Ibogaine Therapy Alliance, he authored the field's foundational safety guidelines and has published widely on ibogaine's therapeutic, cultural, and ecological significance. He holds the only active export license for Tabernanthe iboga root, led the first Nagoya-compliant export from Gabon, and was initiated into the Dissoumba/Fang tradition of Bwiti in 2014 and the Missoko tradition in 2022. He has co-authored peer-reviewed research on ibogaine's potential for trauma, TBI, pain, MS, and Parkinson's. At Ambio, he leads strategy, research, and innovation – advancing a globally scalable model of care that bridges tradition, science, and integrity. Trevor Millar is the Chief Operating Officer and Co-Founder of Ambio Life Sciences. A social entrepreneur and pioneer in ibogaine advocacy and treatment, Trevor brings over a decade of experience supporting individuals through addiction recovery, trauma healing, and post-treatment integration. His background includes co-founding the Canadian Psychedelic Association and serving as Chair of the Board for MAPS Canada. He has co-authored peer-reviewed research on ibogaine's applications for trauma, TBI, and opioid use disorder, and has been featured in award-winning documentaries including DOSED and In Waves and War. Grounded in personal experience and guided by a philosophical approach to healing, Trevor is helping shape a new model for ethical, integrative psychedelic care on a global scale. At Ambio, Trevor leads operations, strategic partnerships, and client experience – bridging clinical care with systems design, education, and public advocacy.