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Le XIXe sommet de la Francophonie, c'est vendredi à Villers-Cotterêts, près de Paris. Grosse affluence en perspective : une cinquantaine de chefs d'État et de gouvernement y sont attendus. Mais la francophonie, ce n'est pas qu'un rendez-vous biennal entre les grands de ce monde. C'est aussi un espace de rencontres entre jeunes talents. Grâce à la plateforme France Volontaires, la jeune Congolaise Triphène Tamba a fait neuf mois d'études en France il y a trois ans. En ligne de Brazzaville, où elle est étudiante en économie du développement durable, elle répond aux questions de Christophe Boisbouvier. RFI : La francophonie, ça représente quoi pour vous ?Triphène Tamba : Pour moi, la francophonie, c'est d'abord des femmes et des hommes qui partagent une langue commune : le français. Une langue mondiale qui n'est peut-être pas parlée plus que l'anglais, mais qui favorise la diversité culturelle.Alors, grâce à l'Université Senghor d'Alexandrie, vous avez été l'une des 30 volontaires de l'OIF qui ont participé l'an dernier aux Jeux de la Francophonie à Kinshasa. Est-ce que cette mission a été utile ?Très utile en fait. Par exemple sur l'égalité femmes-hommes, aujourd'hui, on parle de la question de genre, parfois, il y a des hommes qui infériorisent les femmes, mais il y a un dialogue qui peut se faire entre les femmes et les hommes pour essayer de trouver un terrain d'entente. Aussi, ça m'a permis de développer des compétences dans le leadership, le travail en équipe, l'autonomie, la capacité de gérer le stress surtout, parce que je suis une personne qui stresse parfois, mais ça, ça a été vraiment cadré grâce à nos différentes formations. Donc pour moi, vraiment, à la francophonie et à l'université Senghor, ils ont joué un grand rôle dans mon développement professionnel.Alors, il y a trois ans, dans le cadre de la saison Africa 2020, vous avez étudié pendant neuf mois à l'Ecole Supérieure d'Art et Design de Saint-Étienne, en France, à l'invitation de la plateforme France Volontaires et de l'Institut Français. Et je crois comprendre que vous avez appris beaucoup de choses pendant ces neuf mois, bien au-delà de l'art et du design ?Exactement. C'était super bien. En fait, j'ai été affecté à la Cité du Design. Moi, en tant que médiatrice culturelle, le but était d'essayer d'orienter le public, partager ma culture en fait avec les Français, faire tomber les clichés qui existent entre les Français et les Africains, donc ce que les Français pensent de l'Afrique et ce que les Africains pensent de la France.À Brazzaville, vous étudiez l'économie du développement durable à l'université Marien Ngouabi. Qu'est-ce que la Francophonie vous apporte dans cet apprentissage ?Alors, par exemple, aujourd'hui, on a un projet avec l'AFD (Agence Française de Développement) sur la question de l'eau. L'eau est indispensable à notre santé. Dans les objectifs du développement durable, il y a l'eau propre, l'assainissement et tout et tout. Et moi, en tant qu'étudiante en économie du développement, je participe à ce projet en tant que chargée de communication. Pour moi, la francophonie est au cœur du développement durable.La lutte pour protéger la forêt est un grand enjeu dans votre pays, le Congo. Est-ce que la francophonie est l'un de vos outils dans cette bataille pour l'environnement ?Oui, je l'affirme, parce que je veux prendre l'exemple de la CIAR. La CIAR, c'est la Conférence Internationale sur la Forestation et le Reboisement, qui a été organisée du 2 au 5 juillet 2024, ici à Brazzaville, où on a retrouvé des jeunes venus de partout et des experts de partout aussi. Donc, il y avait ceux du Gabon et il y avait d'autres qui s'exprimaient en anglais. Mais la langue qui dominait, c'était la langue française. Et on voit que la francophonie, c'est faire en sorte que les hommes et les femmes qui partagent la même langue, la langue française, soient regroupés. On a parlé sur les questions de la protection de la forêt. On a même insisté pour que chaque jeune puisse planter au moins un arbre. Et moi, je me dis que la francophonie a son rôle.Alors, vous vous êtes posé la question « qu'est-ce que les Africains pensent de la France ? ». Pour un certain nombre de jeunes Africains, la francophonie, c'est suspect parce que c'est à leurs yeux un instrument de la France, l'ancienne puissance coloniale. Qu'est-ce que vous en pensez ?Pour moi, c'est la francophonie. On ne peut pas essayer de noircir son image. Donc, nous, en tant que jeunes, si on voit que la francophonie n'est pas bonne, moi, je pense que c'est faux. Pour moi, tant que ça booste les carrières des jeunes, c'est déjà bien en fait. Il y a des formations que l'OIF organise par exemple sur Internet en lien avec l'Université Senghor et d'autres plateformes. Si on participe à ça, ça nous permet d'avoir des certificats qui vont booster nos carrières, ça nous permet aussi de développer des compétences.Donc pour vous, ce n'est pas un instrument post-colonial ?Non, pour moi, je ne pense pas ça. On va juste prendre le mauvais côté. Pour moi, il faut positiver la chose. On peut dire qu'on ne peut pas former le présent sans le passé. Mais aussi, si dans le passé il y a les côtés sombres, s'il y a le noir, on ne va pas ramener le noir parce qu'on veut qu'il y ait de la lumière. Donc la francophonie actuelle, elle apporte la lumière, elle permet aux jeunes de se réunir. Regardez-nous, on était 30 jeunes.Aux Jeux de la Francophonie à Kinshasa, c'est ça ?Exactement. Trente jeunes venus d'Afrique centrale. Il y avait onze Camerounais, un équato-guinéen. On s'est inséré là, les Gabonais et tout, on a formé un seul homme. On a travaillé, l'union fait la force. Je pense qu'actuellement, on doit positiver les choses, se dire : en tant que jeunes, qu'est-ce qu'on propose ? Parce que je pense que la francophonie encourage aussi des formations, permet aussi à des jeunes d'aller étudier ailleurs par des bourses. Pourquoi pas ? On voit que la francophonie arrive à financer même des femmes qui veulent aller de l'avant, qui ont des entreprises, à les booster aussi, c'est déjà bien en fait.
Le XIXe siècle voit l'émergence de l'industrie textile. Dandys, romantiques et dames de la cour impériale rivalisent d'exubérance, d'audace et d'esthétisme. Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Et... qu'est-ce qui se passe au 19e siècle côté sexualité ? Adhérez à cette chaîne pour obtenir des avantages : https://www.youtube.com/channel/UCN4TCCaX-gqBNkrUqXdgGRA/join Pour soutenir la chaîne, au choix: 1. Cliquez sur le bouton « Adhérer » sous la vidéo. 2. Patreon: https://www.patreon.com/hndl Musique issue du site : epidemicsound.com Images provenant de https://www.storyblocks.com Abonnez-vous à la chaine: https://www.youtube.com/c/LHistoirenousledira Les vidéos sont utilisées à des fins éducatives selon l'article 107 du Copyright Act de 1976 sur le Fair-Use. Sources et pour aller plus loin: Philippe Brenot et Laetitia Coryn, Sexe Story. La première histoire de la sexualité en BD, Montréal, Guy Saint-Jean, 2016 Reay Tannahill, Le sexe dans l'histoire, Paris, Marabout, 1982. Maryse Jaspard, Sociologie des comportements sexuels, Paris, Découverte, 2005. Sylvie Steinberg (dir.), Une histoire des sexualités, Paris, PUF, 2018 Robert Muchembled, L'orgasme et l'Occident, Paris, Seuil, 2015. Lo Duca, Histoire de l'érotisme, Paris, Pygmalion, 1979. Yvonne Knibiehler, La sexualité et l'histoire, Paris, Odile Jacob, 2002. Michel Foucault, Histoire de la sexualité, t. I La Volonté de savoir, Paris, Gallimard Gabrielle Houbre, « Le XIXe siècle », dans Une histoire des sexualités, sous la dir. de Sylvie Steinberg, Paris, PUF, 2018. Gabrielle Houbre, La discipline de l'amour: l'éducation sentimentale des filles et des garçons à l'âge du romantisme, Paris, Plon, 1997. Pauline Mortas, Une rose épineuse: La défloration au XIXe siècle en France, Rennes, PUR, 2017. Christine Bard, « XXe-XXIe siècle », dans Une histoire des sexualités, sous la dir. de Sylvie Steinberg, Paris, PUF, 2018. Sylvie Chaperon, Les origines de la sexologie: 1850-1900, Paris, Audibert, 2007. Anne-Marie Sohn, « Le corps sexué », dans Histoire du corps. 3. Les mutations du regard. Le XXe siècle, sous la dir. de Jean-Jacques Courtine, Paris, Seuil, 2005. Anne-Marie Sohn, « Soi un homme ! » La construction de la masculinité au XIXe siècle, Paris, Seuil, 2009. Anne-Marie Sohn, Du premier baiser à l'alcôve. La sexualité des Français au quotidien (1850-1950), Paris, Aubier, 1996. Alain Corbin, « La rencontre des corps », Histoire du corps, 2. De la Révolution à la Grande Guerre, Paris, Seuil, 2005. Lola Gonzalez-Quijano, Capitale de l'amour. Filles de lieux de plaisir à Paris au XIXe siècle, Paris, Vendémiaire, 2015. Anne-Marie Sohn, Du premier baiser à l'alcôve : La sexualité des Français au quotidien (1850-1950), Aubier, 1996. Florence Tamagne, « Mutations homosexuelles », dans Histoire de la virilité, 3. Virilité en crise ? XXe-XXIe siècle, sous la dir. de Jean-Jacques Courtine, Paris, Seuil, 2011, p. 351-375. Régis Revevin, Homosexualité et prostitutions masculines à Paris, 1870-1918, Paris, L'Harmattan, 2005. Christophe Granger, « Les prospérités du fouet. La flagellation ou la logique de l'excès », Terrain, 67, 2017, p. 128-147. http://journals.openedition.org/terrain/16163 Nicole G. Albert, « De la topographie invisible à l'espace public et littéraire: les lieux de plaisir lesbien dans le Paris de la Belle Époque », Revue d'histoire moderne et contemporaine, 2006, no 53-4, no 4, p. 87-105. Philippe Brenot (dir.), Dictionnaire de la sexualité humaine, L'Esprit du Temps, 2004 Nadine Cattan et Stéphane Leroy, Atlas mondial des sexualités, Paris, Autrement, 2013. Baptiste Coulmont, Sex-shops. Une histoire française, Paris, Dilecta, 2007. Françoise Barret-Ducrocq, L'amour sous Victoria. Sexualité et classes populaires à Londres au XIXe siècle, Paris, Plon, 1989. Laure Adler, Les maisons closes, 1830-1930, la vie quotidienne, Paris, Hachette, 1993. Claude Didry et Monique Selim. « Sexe et politique du XXe au XXIe siècle : entre aliénation et émancipation », L'Homme & la Société, vol. 189-190, no. 3-4, 2013, pp. 7-14. G. Desjardins, « Une mémoire hantée : l'histoire de la sexualité au Québec » Cap-aux-Diamants, 49, 1997, p.10–14 https://www.erudit.org/fr/revues/cd/1997-n49-cd1042136/8194ac.pdf « Histoire de la sexologie », Wikipédia. https://fr.wikipedia.org/wiki/Histoire_de_la_sexologie https://www.gbtribune.com/news/trending-topics/how-porn-influences-mainstream-culture-and-childrens-future-relationships/ https://www.thrillist.com/drink/cincy-bars-for-beer-and-bourbon-lovers https://inews.co.uk/opinion/dont-give-pornographic-film-industry-credit-2928328 Autres références disponibles sur demande. #histoire #documentaire #sexualité #19esiecle #revolutionindustrielle #insdustrialrevolution #sexuality
Les propos exprimés dans ce podcast relèvent d'expériences et d'opinions personnelles dans un but de divertissement et ne substituent pas les conseils d'un.e sexologue ou autre professionnel de la santé.Cette semaine sur le podcast, on reçoit pour la 2e fois Laurent Turcot qui est venu parler de la sexualité au 20e siècle cette fois-ci. Quelques ressources discutées lors du podcast : Philippe Brenot et Laetitia Coryn, Sexe Story. La première histoire de la sexualité en BD, Montréal, Guy Saint-Jean, 2016Reay Tannahill, Le sexe dans l'histoire, Paris, Marabout, 1982.Maryse Jaspard, Sociologie des comportements sexuels, Paris, Découverte, 2005.Sylvie Steinberg (dir.), Une histoire des sexualités, Paris, PUF, 2018Robert Muchembled, L'orgasme et l'Occident, Paris, Seuil, 2015.Lo Duca, Histoire de l'érotisme, Paris, Pygmalion, 1979.Yvonne Knibiehler, La sexualité et l'histoire, Paris, Odile Jacob, 2002.Michel Foucault, Histoire de la sexualité, t. I La Volonté de savoir, Paris, GallimardGabrielle Houbre, « Le XIXe siècle », dans Une histoire des sexualités, sous la dir. de Sylvie Steinberg, Paris, PUF, 2018.Gabrielle Houbre, La discipline de l'amour: l'éducation sentimentale des filles et des garçons à l'âge du romantisme, Paris, Plon, 1997.Pauline Mortas, Une rose épineuse: La défloration au XIXe siècle en France, Rennes, PUR, 2017.Christine Bard, « XXe-XXIe siècle », dans Une histoire des sexualités, sous la dir. de Sylvie Steinberg, Paris, PUF, 2018.Sylvie Chaperon, Les origines de la sexologie: 1850-1900, Paris, Audibert, 2007. Le podcast est présenté par Shop Santé. Pour plus d'informations: https://glnk.io/103kq/so Code promo pour 10% de rabais: SEXEORAL Sa chaîne Youtube : https://www.youtube.com/@lhistoirenouslediraSexe en Grèce antique - Sexualité occidentale (tome 1) série #5 | L'Histoire nous le dirahttps://www.youtube.com/watch?v=G4A4fJGnfVA&ab_channel=L%27Histoirenousledira----- Le podcast est présenté par Éros et Compagnie Utiliser le code promo : SexeOral pour 15% de rabais https://www.erosetcompagnie.com/ Les jouets dont les filles parlent: https://www.erosetcompagnie.com/page/podcast ---- Pour collaborations: partenariats@studiosf.ca Pour toutes questions: sexeoral@studiosf.ca Pour suivre les filles sur Patreon: https://www.patreon.com/sexeoralpodcast Pour contacter les filles directement, écrivez-nous sur Instagram: https://www.instagram.com/sexeoral.podcast/
Le XIXe siècle a été particulièrement marqué par les crises, entre coup d'état, guerres et changements de régime. Alors, en 1900, afin de réconcilier les Français, le Président de l'époque, Emile Loubet, décide de convier tous les maires du pays à un grand banquet. Une table de 7km fut nécessaire pour attabler les 22.000 maires présents... Chaque week-end, retrouvez les meilleurs moments de l'émission "Ça va faire des histoires" diffusée à l'été 2023 sur RTL. Stéphane Rotenberg avait réuni les meilleurs experts de RTL pour un grand concours d'anecdotes.
durée : 00:02:25 - L'Humeur du matin par Guillaume Erner - par : Guillaume Erner - Parution de deux tomes du journal intime du romancier, philosophe Philippe Muray (1945-2006)
Découvrez l'abonnement "Au Coeur de l'Histoire +" et accédez à des heures de programmes, des archives inédites, des épisodes en avant-première et une sélection d'épisodes sur des grandes thématiques. Profitez de cette offre sur Apple Podcasts dès aujourd'hui ! C'est au XIXe siècle que la haine des juifs prend ses caractéristiques modernes. En s'adossant à un discours pseudo-scientifique, elle prend un nouveau nom : "antisémitisme". Pour évoquer la montée de l'antisémitisme, qui culmine avec l'affaire Dreyfus, Virginie Girod s'entretient avec Denis Charbit, professeur de science politique à l'université libre d'Israël. "Il faut bien comprendre que ce qui fait le succès de l'antisémitisme à travers les siècles vient du fait qu'il se greffe sur un discours social dominant. Au XIXe siècle, le discours social principal est celui de la science" explique Denis Charbit. "La haine des Juifs va se greffer à un discours pseudo-scientifique pour décréter qu'il y a une race sémite, qui serait inférieure, mais surtout dangereuse". C'est en 1873 que le journaliste allemand Wilhelm Marr forge le néologisme "antisémitisme". Si la révolution industrielle fait entrer les sociétés dans l'ère moderne, elle donne aussi de nouvelles munitions à ceux qui prônent le rejet des Juifs, notamment à gauche. "La révolution industrielle va permettre à certains Juifs de s'élever dans l'échelle sociale et à travers la figure des Rothschild, par exemple, on va associer le juif à l'argent" illustre Denis Charbit. Si l'antisémitisme prospère dans les milieux socialistes et marxiste, la bourgeoisie est également hostile aux juifs. Un rejet encore teinté d'antijudaïsme. "L'homme qui fait la jonction, c'est Édouard Drumont" précise Denis Charbit. Polémiste et homme politique d'extrême-droite, il publie La France juive "où il essaie de démontrer que la révolution aurait profité aux Juifs seulement, et qu'elle aurait pénalisé en France les ouvriers et les catholiques". Le pamphlet antisémite est un best-seller. Huit ans après sa parution, l'affaire Dreyfus éclate et cristallise l'antisémitisme de l'époque. Alfred Dreyfus, parce qu'il est juif, est considéré comme le coupable idéal d'une affaire de haute trahison qui devient bientôt un conflit social entre deux France. Lorsqu'il s'achève, l'antisémitisme a encore changé de visage. "L'antisémitisme va passer de la gauche à la droite de manière définitive" détaille l'historien "les forces anti-républicaines vont récupérer politiquement l'antisémitisme pour en faire une valeur cardinale jusqu'à l'apothéose : le régime de Vichy". Autre conséquence moins connue, l'affaire Dreyfus contribue à forger le projet sioniste dans l'esprit du journaliste autrichien Theodore Herzl, correspondant à Paris. Accablé par la haine des Juifs qui se déverse dans le pays des droits de l'Homme, "il en arrive à concevoir que la solution politique pour les Juifs, c'est qu'ils disposent d'une terre et d'un État dont ils seraient à la tête" raconte Denis Charbit. Thèmes abordés : antisémitisme, judaïsme, marxisme, Affaire Dreyfus "Au cœur de l'histoire" est un podcast Europe 1 Studio- Présentation : Virginie Girod - Production : Camille Bichler et Nathan Laporte- Réalisation : Julien Tharaud- Composition de la musique originale : Julien Tharaud - Rédaction et Diffusion : Nathan Laporte- Communication : Marie Corpet- Visuel : Sidonie Mangin
Le 19e siècle n'est pas seulement une période comme les autres. Arrière-monde du 20e, il en annonçait aussi l'étrange futur consolateur, avec le socialisme, l'occultisme et diverses formes de religions du progrès. Dissemblables sinon opposés en apparence, ces mouvements, et d'autres apparentés comme le féminisme ou l'antisémitisme, obéissaient en fait à un code commun, à la fois simple et mystérieux, que Philippe Muray a entrepris de déchiffrer dans cette enquête originale et d'une actualité toujours aussi brûlante, quarante-ans après sa première publication.
Dans ces chroniques, nous avons exploré l'histoire des jours fériés en France, révélant l'évolution de ces jours de repos au fil des siècles. Ces jours fériés, que nous chérissons tant, remontent à l'Antiquité, avec des célébrations liées aux cycles agricoles. Au fil du temps, l'Église catholique a introduit de nombreux jours saints, tandis que la Révolution française a instauré des jours commémoratifs républicains. L'Empire napoléonien a également joué un rôle clé en réorganisant le calendrier des fêtes. Le XIXe siècle, de son côté, a vu l'ajout de jours tels que le 14 juillet pour commémorer la Révolution, et la laïcisation du calendrier sous la Troisième République a supprimé des jours saints religieux. De nos jours, la France compte 11 jours fériés nationaux, mais certaines régions ont également leurs propres jours de célébration, reflétant la diversité culturelle du pays ((comme en Alsace et dans les DROM-COM, anciens DOM-TOM). Ces jours fériés sont une occasion pour les Français de se détendre, de célébrer leur histoire et leur culture, et de passer du temps en famille. L'histoire des jours fériés en France est un mélange fascinant de traditions religieuses, politiques et culturelles qui témoigne de l'évolution de la société française au fil des siècles.
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Dans ces chroniques, nous avons exploré l'histoire des jours fériés en France, révélant l'évolution de ces jours de repos au fil des siècles. Ces jours fériés, que nous chérissons tant, remontent à l'Antiquité, avec des célébrations liées aux cycles agricoles. Au fil du temps, l'Église catholique a introduit de nombreux jours saints, tandis que la Révolution française a instauré des jours commémoratifs républicains. L'Empire napoléonien a également joué un rôle clé en réorganisant le calendrier des fêtes. Le XIXe siècle, de son côté, a vu l'ajout de jours tels que le 14 juillet pour commémorer la Révolution, et la laïcisation du calendrier sous la Troisième République a supprimé des jours saints religieux. De nos jours, la France compte 11 jours fériés nationaux, mais certaines régions ont également leurs propres jours de célébration, reflétant la diversité culturelle du pays ((comme en Alsace et dans les DROM-COM, anciens DOM-TOM). Ces jours fériés sont une occasion pour les Français de se détendre, de célébrer leur histoire et leur culture, et de passer du temps en famille. L'histoire des jours fériés en France est un mélange fascinant de traditions religieuses, politiques et culturelles qui témoigne de l'évolution de la société française au fil des siècles.
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Le concile Vatican II est parfois vilipendé comme un moment de rupture avec la Tradition multi-séculaire de l'Église, en particulier avec l'héritage du concile de Trente. Mais est-ce vraiment avec ce concile du XVIe siècle que Vatican II entend rompre, si tant est qu'il y ait réellement rupture ? « A bien des égards, Vatican I opère de nombreux changements sans le dire, là où Vatican II change peu de choses, mais en le disant », explique Jean-Pascal Gay, Professeur d'histoire religieuse à l'Université Catholique de Louvain. « En un sens, c'est aussi le XIXe siècle qui a inventé la Tradition », précise-t-il. Si rupture il y a eu, celle-ci semble donc s'amorcer bien avant le concile de Vatican II. « On mesure mal le traumatisme qu'a été la Révolution française et à quel point celle-ci a polarisé toute une part de l'Église contre la modernité », explique à son tour Frédéric Gugelot, Professeur d'histoire contemporaine à l'Université de Reims. L'insistance sur la Tradition comme refus du monde moderne serait donc également un héritage de ce XIXe siècle. Pour autant, il serait réducteur de décrire cette période de l'Église comme s'inscrivant dans un simple refus du monde moderne. « C'est un temps qui est marqué par un passage d'une religion de la prescription, à une religion où le fidèle est invité à constituer sa propre foi. » A la fois moderne et anti-moderne, le XIXe siècle semble occuper une place centrale, quoi que mal connue, y compris dans l'histoire contemporaine de l'Église.
Le concile Vatican II est parfois vilipendé comme un moment de rupture avec la Tradition multi-séculaire de l'Église, en particulier avec l'héritage du concile de Trente. Mais est-ce vraiment avec ce concile du XVIe siècle que Vatican II entend rompre, si tant est qu'il y ait réellement rupture ? « A bien des égards, Vatican I opère de nombreux changements sans le dire, là où Vatican II change peu de choses, mais en le disant », explique Jean-Pascal Gay, Professeur d'histoire religieuse à l'Université Catholique de Louvain. « En un sens, c'est aussi le XIXe siècle qui a inventé la Tradition », précise-t-il. Si rupture il y a eu, celle-ci semble donc s'amorcer bien avant le concile de Vatican II. « On mesure mal le traumatisme qu'a été la Révolution française et à quel point celle-ci a polarisé toute une part de l'Église contre la modernité », explique à son tour Frédéric Gugelot, Professeur d'histoire contemporaine à l'Université de Reims. L'insistance sur la Tradition comme refus du monde moderne serait donc également un héritage de ce XIXe siècle. Pour autant, il serait réducteur de décrire cette période de l'Église comme s'inscrivant dans un simple refus du monde moderne. « C'est un temps qui est marqué par un passage d'une religion de la prescription, à une religion où le fidèle est invité à constituer sa propre foi. » A la fois moderne et anti-moderne, le XIXe siècle semble occuper une place centrale, quoi que mal connue, y compris dans l'histoire contemporaine de l'Église.
Vous écoutez le podcast "5 minutes d'Histoire", notre émission quotidienne gratuite pour tous. Si cela vous a plu, retrouvez plus 300 podcasts d'une heure environ "Timeline 5.000 ans d'Histoire" pour seulement 2€ par mois sans publicité, avec une nouvelle émission chaque semaine : https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo Chaque mois, l'équipe de « Timeline, 5.000 ans d'Histoire » vous propose un dossier thématique "5 minutes d'Histoire" sous la forme de capsules quotidiennes de 5 minutes. Pour les grands comme les plus petits, passionnés ou intéressés, ces dossiers vous permettront d'en apprendre plus sur les 5.000 ans qui font l'Histoire. Ce mois-ci, "5 minutes d'Histoire" vous propose « L'Histoire du Théâtre.
Conférence de Martine LacasLa BnF propose un cycle de conférences pour s'initier aux principaux courants artistiques et comprendre les œuvres d'art en regard de lectures critiques. La seconde édition s'intéresse aux questions d'identités artistiques au XIXe siècle et au début du XXe siècle. Le XIXe siècle s'ouvre avec un phénomène inédit de féminisation de l'espace de production artistique. Dans cette séance, l'historienne Martine Lacas s'attache à montrer, à travers la figure de Rosa Bonheur, les places qu'occupent les artistes femmes dans les sociétés françaises et européennes de l'époque. Conférence enregistrée le 8 novembre 2022 à la BnF I François-Mitterrand. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Le XIXe siècle voit l'émergence de l'industrie textile. Dandys, romantiques et dames de la cour impériale rivalisent d'exubérance, d'audace et d'esthétisme. Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.
Le XIXe siècle est le siècle des transformations, et notamment des transformations économiques. Or, ces évolutions sont toujours les fruits, directs ou indirects, voulus ou non, des décisions humaines, politiques ou non. Qui sont les hommes qui pensent l'économie et définissent les lois du négoce ? Quels sont les corps sociaux responsables de l'évolution du commerce ? Dans quelle mesure la définition de la nation détermine-t-elle les contours du marché ? La ligne de douane est-elle un obstacle au libéralisme ? De la même manière que le XIXe siècle semble tiraillé entre son héritage monarchique et son passé révolutionnaire, il donne l'impression de balancer entre deux modèles économiques : le libre échange et le protectionnisme. Ces lois dépendent-elles de l'idéologie des régimes en place ? Qu'est-ce que les pratiques commerciales nous disent-elles de l'attachement des Français à leur territoire ? Car étudier le dynamisme économique d'une nation, c'est comprendre la politique de toute une société. L'invité : Francis Démier, professeur émérite d'histoire contemporaine à l'université de Paris-Nanterre, est spécialiste de l'histoire de la France du premier XIXe siècle : La France de la Restauration. L'impossible retour du passé (Gallimard, 2012), La France du XIXe siècle. 1814-1914 (Points Seuil, 2014). Il vient de publier La nation, frontière du libéralisme, libre-échangistes et protectionnistes français (CNRS éditions, 2022, 464 pages, 26,00 €).
durée : 00:51:49 - Le Cours de l'histoire - par : Xavier Mauduit - Les crises politiques et économiques du XIXe siècle massifient le phénomène d'exil. Les pays européens mettent en place des politiques d'accueil, qui se révèlent des outils de contrôle. De l'idée de charité chrétienne à la stigmatisation des exilés, comment la figure du réfugié se construit-elle ? - invités : Sylvie Aprile Professeure d'histoire contemporaine à l'Université Paris Nanterre; Delphine Diaz Maîtresse de conférences en histoire contemporaine à l'Université de Reims
Le XIXe siècle, qui a vu naître la République, a été marqué par des luttes incessantes. Au fil de ces épisodes révolutionnaires, elle a hésité entre différents modèles : une version plus sociale et une autre plus libérale, qui a donné corps à la IIIe République. Tout au long de cet accouchement difficile, une question est restée lancinante : la République a-t-elle peur du peuple ? Pour en parler, Frédéric Mounier reçoit : Daniel de Montplaisir, auteur de "Les Trois Glorieuses - La révolution de 1830 démystifiée" (éd. Perrin) ; Marie-Hélène Baylac, auteure de "La peur du peuple - Histoire de la IIe république, 1848 - 1852" (éd. Perrin), et Gérard Unger, auteur de "Gambetta" (éd. Perrin).
durée : 00:50:47 - Le Cours de l'histoire - par : Xavier Mauduit - Communiquer avec les esprits est une pratique en vogue dans la seconde moitié du XIXe siècle. Le spiritisme fleurit aux États-Unis et en Europe, comme une nouvelle voie de compréhension d'un monde en proie à de nombreux bouleversements et mutations. - invités : Nicole Edelman Maîtresse de conférences honoraire en histoire contemporaine à l'Université Paris Nanterre; Jean-Marc Hovasse Professeur de littérature française à Sorbonne Université et directeur de recherches au CNRS
- Camille Pissaro - Le XIXe siècle en paysages - Vincent, un champenois à Kyoto
durée : 00:22:33 - Le Réveil culturel - par : Tewfik Hakem - Avec la réouverture du Musée d'Orsay, la commissaire Laura Bossi, évoque l’exposition " Les origines du monde. L’invention de la nature au XIXe siècle " - réalisation : Vincent Abouchar - invités : Laura Bossi neurologue et historienne des sciences, commissaire générale de l’exposition « Les origines du monde. L’invention de la nature au XIXème siècle ».; Stéphane Audeguy écrivain, enseignant en histoire de l’Art
durée : 00:22:33 - Le Réveil culturel - par : Tewfik Hakem - Avec la réouverture du Musée d'Orsay, la commissaire Laura Bossi, évoque l’exposition " Les origines du monde. L’invention de la nature au XIXe siècle " - réalisation : Vincent Abouchar - invités : Laura Bossi neurologue et historienne des sciences, commissaire générale de l’exposition « Les origines du monde. L’invention de la nature au XIXème siècle ».; Stéphane Audeguy écrivain, enseignant en histoire de l’Art
“Histoires de photographies” Collections du Musée des Arts Décoratifsau MAD, musée des Arts Décoratifs, Parisdu 19 mai au 12 décembre 2021Interview de Sébastien Quéquet, attaché de conservation en charge des collections photographiques, département des Arts graphiques et commissaire de l'exposition,par Anne-Frédérique Fer, à Paris, le 19 mai 2021, durée 27'22, © FranceFineArt.Extrait du communiqué de presse :CommissariatSébastien Quéquet, attaché de conservation en charge des collections photographiques, département des Arts graphiquesAvec la collaboration de :Sonia Aubès, documentalisteMax Bonhomme, docteur en histoire de l'artIris Cartron, élève de l'École normale supérieureBéatrice Krikorian, chargée de missionLe Musée des Arts Décoratifs présente une exposition de ses collections de photographies, révélées pour la première fois au public. Ce fonds patrimonial exceptionnel, riche de plus de 350 000 phototypes, rassemble des photographies de mode, d'architecture, de paysage, de décor, mais aussi publicitaires, allant des années 1840 aux créations les plus récentes.« Histoires de photographies » retrace, à travers 400 tirages originaux et négatifs, un siècle et demi d'histoires photographiques immortalisées par de grands noms tels Eugène Atget, Laure Albin-Guillot, Dora Kallmus, plus connue sous le nom de Madame d'Ora, Man Ray, Cecil Beaton, Robert Doisneau, Bettina Rheims, David Seidner… Chronologique et thématique, l'exposition dévoile la diversité des usages de la photo — politique, économique, juridique, artistique ou documentaire — et met en lumière les croisements, sensibles ou inattendus, avec les arts décoratifs. Elle offre ainsi un regard neuf sur le rôle de premier plan que le Musée des Arts Décoratifs a joué dans la reconnaissance de la photographie sur la scène artistique française.Dès son origine en 1864, l'Union centrale des beaux-arts appliqués à l'industrie – aujourd'hui Les Arts Décoratifs – envisage la photographie comme un « art appliqué à l'enseignement et à la vulgarisation ». Elle est alors considérée comme l'un des vecteurs les plus efficaces pour inspirer les ouvriers et artisans en plein contexte d'émulation artistique et économique. Au temps des premières expositions d'arts industriels, l'institution produit ses propres photographies grâce au laboratoire qu'elle met en place en 1883 et appelle les photographes à rejoindre ses rangs afin de fournir des modèles, en vue de former le regard et d'éduquer par l'image. Au fil du temps, le musée et sa bibliothèque acquièrent des milliers de clichés ayant pour vocation de documenter les collections que les créateurs ont pu donner par ailleurs, à l'instar de la maison Fouquet ou Louis Sognot.Au-delà des collections, c'est toute une politique d'expositions que la photographie nourrit tout au long du XXe siècle comme l'« Exposition des photographies de guerre » en 1916 ou l'« Exposition internationale de la photographie contemporaine » en 1936. La programmation propose et accueille les premières rétrospectives françaises consacrées à Henri Cartier-Bresson (1955) ou à Jacques Henri Lartigue (1975). En 2021, le musée rend un nouvel hommage à la photographie mais cette fois à travers le prisme de sa propre collection. Six sections permettent d'en saisir la profusion et la variété : la quête des modèles, les vues de pays comme objet d'étude et d'inspiration, la photographie au service du patrimoine, l'utilité commerciale de la photographie exploitée par la presse et la publicité, la reconnaissance de la photographie et la photographie de mode.Le parcours débute au commencement de l'histoire de la photographie dans le sillon des premières associations et institutions : la Société française de photographie voit le jour en 1854 et la Chambre syndicale de la photographie en 1862. Cette partie introduit le visiteur dans les premières images de ce milieu du XIXe siècle en rappelant leur vocation pédagogique pour les artistes et les artisans. L'acquisition de modèles photographiques – natures mortes mais aussi ornements ou figures – est alors au coeur des impératifs des institutions.Le XIXe siècle est aussi une époque d'échanges et de mouvements. Les expositions universelles, plus particulièrement à partir de 1867, invitent à découvrir le monde, cet « ailleurs » que l'on méconnait alors, et la photographie participe à ce phénomène. Les clichés pris à l'étranger ont nourri l'imaginaire des artistes et des décorateurs, autant que celui des collectionneurs. De l'Amérique du Sud à l'Asie en passant par l'Europe et la Méditerranée, les photographies témoignent de différents points de vue : colonial, touristique, ethnographique ou personnel. La photographie est également l'une des ressources les plus convoquées à l'heure où s'organise la protection des monuments. En apportant un témoignage visuel de leur état et de leur transformation, elle joue un rôle essentiel à l'égard du patrimoine et de l'architecture à travers l'objectif d'Henri Le Secq ou de Charles Marville.L'exposition entraîne le visiteur dans les années 1920-1930, qui voient l'apparition progressive de la photographie publicitaire. Cette partie dévoile comment l'essor du modernisme photographique doit autant aux photographes eux-mêmes qu'aux graphistes, éditeurs et décorateurs, qui font entrer l'image dans les domaines de la vie quotidienne. L'Exposition internationale des arts décoratifs et industriels modernes, qui se tient à Paris en 1925, est fondamentale pour le marché de la photographie et de l'édition. Certaines revues comme Art et Décoration ou L'Architecture d'Aujourd'hui, et Connaissance des arts ensuite, accordent une place croissante à l'illustration photographique. Publiées dans ces revues, les clichés de Thérèse Bonney, Dora Kallmus ou Jean Collas jouent également un rôle de diffusion de modèles, contribuant au renouveau de la création et à l'évolution des goûts.C'est également l'ambition de l'Union française des arts du costume (UFAC), créée en 1948, sous l'impulsion de François Boucher, qui rassemble un ensemble prestigieux de pièces de mode, textiles et de tirages dont la gestion est alors confiée au musée. L'alliance de ces deux collections, dont l'accord est scellé en 1981, devient le socle de la mode du Musée des Arts Décoratifs. Le corpus photographique apporte un témoignage artistique et intime sur les figures les plus marquantes de la haute couture parisienne : Charles Frederick Worth, Madeleine Vionnet, Paul Poiret… Créateurs que les toutes récentes expositions « Harpers Bazaar. Premier magazine de mode » et « Le dessin sans réserve » ont mis en lumière.« Histoires de photographies » s'inscrit dans une programmation initiée en 2020 avec « Le dessin sans réserve », à la suite de « Faire le mur. Quatre siècles de papiers peints » en 2016, qui s'attache à faire découvrir au public toute la richesse de fonds restés longtemps dans l'ombre. L'exposition révèle les contours d'un médium à part entière, ses personnalités fondatrices et ses expressions les plus surprenantes.Un catalogue éponyme est disponible aux éditions MAD. Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.
Période qui a vu triompher le positivisme et le rationalisme, le XIXe siècle en France a-t-il été aussi religieux qu'on le dit ? Guillaume Cuchet, dont le livre "Une histoire du sentiment religieux au XIXe siècle" (éd. Cerf) est une véritable mine d'informations et de découvertes, montre la grande diversité du "sentiment religieux" entre la Révolution française et la Grande Guerre, gagné entre autres par le spiritisme et le courant romantique. au XIXe siècle, une église de plus en plus féminine En 1789, on comptait 40.000 religieuses en France, en 1808 il n'y en avait plus que 8.000 et en 1870, on en comptait 128.000. Des chiffres qu'il faut évidemment correler avec la Révolution française et la dissolution des communautés religieuses, puis avec le Concordat et la reconstitution de ces mêmes communautés, "les unes autorisées les autres tolérées". La forte augmentation des effectifs dans la seconde moitité du XIXe siècle concerne surtout les femmes. Guillaume Cuchet parle d'une "sorte de libération féminine". "Dans la société du XIXe siècle, il n'y a pas d'autre institution que l'Église catholique, qui offre des carrières de véritable chefs d'entreprise possibles pour les femmes, que les congrégations féminines." Ces femmes, qui "ont inventé les futurs métiers féminins du XXe siècle - institutrices, infirmières, assistantes sociales", sont "des personnages extrêmement familiers de la société française, qui rendent énormément de services" et sont "d'ailleurs très appréciées". la renaissance romantique du catholicisme Tout au long du XIXe siècle, le sentiment religieux a connu beaucoup d'évolutions, explique l'historien. Si, à l'époque du Concordat, vers 1801, la situation était "très critique", il y a eu progressivement "un travail de reconstruction", variable selon les diocèses. Entre 1830 et 1870, Guillaume Cuchet note "une très belle séquence", avec de très nombreuses vocations. Un renouveau lié notamment au courant romantique, qui "remet la religion à la mode sur le plan culturel". À la suite de Chateaubriand et de son "Génie du christianisme" (1802) - véritable "coup de force apologétique", "on a tout un courant romantique qui se développe un petit peu comme une sorte de mouvement religieux à l'intérieur de l'incrédulité héritée du XVIIIe siècle, qui redécouverte toute la richesse, la densité anthropolgique, humaine, du catholicisme". L'événément qui marque la renaissance romantique du catholicisme, c'est le retour des prédications de Carême à Notre-Dame de Paris en 1835, confiées au célèbre dominicain Henri Lacordaire (1802-1861) ; c'est "l'événement religieux et mondain" auquel tout le monde se rend. Le XIXe siècle est aussi celui de l'engouement pour le spiritisme, dont l'un des adeptes les plus célèbres n'est autre que Victor Hugo. Émission d'archive diffusée en juin 2020 ; enregistrée en duplex avec RCF Bordeaux
Période qui a vu triompher le positivisme et le rationalisme, le XIXe siècle en France a-t-il été aussi religieux qu'on le dit ? Guillaume Cuchet, dont le livre "Une histoire du sentiment religieux au XIXe siècle" (éd. Cerf) est une véritable mine d'informations et de découvertes, montre la grande diversité du "sentiment religieux" entre la Révolution française et la Grande Guerre, gagné entre autres par le spiritisme et le courant romantique. au XIXe siècle, une église de plus en plus féminine En 1789, on comptait 40.000 religieuses en France, en 1808 il n'y en avait plus que 8.000 et en 1870, on en comptait 128.000. Des chiffres qu'il faut évidemment correler avec la Révolution française et la dissolution des communautés religieuses, puis avec le Concordat et la reconstitution de ces mêmes communautés, "les unes autorisées les autres tolérées". La forte augmentation des effectifs dans la seconde moitité du XIXe siècle concerne surtout les femmes. Guillaume Cuchet parle d'une "sorte de libération féminine". "Dans la société du XIXe siècle, il n'y a pas d'autre institution que l'Église catholique, qui offre des carrières de véritable chefs d'entreprise possibles pour les femmes, que les congrégations féminines." Ces femmes, qui "ont inventé les futurs métiers féminins du XXe siècle - institutrices, infirmières, assistantes sociales", sont "des personnages extrêmement familiers de la société française, qui rendent énormément de services" et sont "d'ailleurs très appréciées". la renaissance romantique du catholicisme Tout au long du XIXe siècle, le sentiment religieux a connu beaucoup d'évolutions, explique l'historien. Si, à l'époque du Concordat, vers 1801, la situation était "très critique", il y a eu progressivement "un travail de reconstruction", variable selon les diocèses. Entre 1830 et 1870, Guillaume Cuchet note "une très belle séquence", avec de très nombreuses vocations. Un renouveau lié notamment au courant romantique, qui "remet la religion à la mode sur le plan culturel". À la suite de Chateaubriand et de son "Génie du christianisme" (1802) - véritable "coup de force apologétique", "on a tout un courant romantique qui se développe un petit peu comme une sorte de mouvement religieux à l'intérieur de l'incrédulité héritée du XVIIIe siècle, qui redécouverte toute la richesse, la densité anthropolgique, humaine, du catholicisme". L'événément qui marque la renaissance romantique du catholicisme, c'est le retour des prédications de Carême à Notre-Dame de Paris en 1835, confiées au célèbre dominicain Henri Lacordaire (1802-1861) ; c'est "l'événement religieux et mondain" auquel tout le monde se rend. Le XIXe siècle est aussi celui de l'engouement pour le spiritisme, dont l'un des adeptes les plus célèbres n'est autre que Victor Hugo. Émission enregistrée en duplex avec RCF Bordeaux
durée : 00:06:46 - Ecouter le XIXe siècle : les enregistrements d'hier - par : Christophe Dilys - Et si nous étions plus rigide dans nos interprétations d'aujourd'hui qu'au XIXe siècle ? Les enregistrements tendent à le prouver : il suffit d'entendre le hautbois dans le "Lac des Cygnes" dans l'enregistrement de 1933 (dir. John Barbirolli)...
Le XIXe siècle en 5 min sous la forme dynamique d’un dialogue entre des professeur·e·s et une élève.
Yoga, méditation et autres techniques de bien-être : l’idée est aujourd’hui largement répandue que nous pouvons agir sur notre humeur et nos états d’âme par un travail sur le corps. Or cette idée a une histoire. Jusqu’au XVIIIe siècle, le moi était circonscrit à la pensée et à l’esprit. C’est avec les Lumières qu’apparaît l’idée d’un sixième sens pour désigner les perceptions internes du corps. Le corps coïncide avec le moi : véritable révolution de la perception de soi, qui s’exprimera bientôt abondamment dans les journaux intimes. Le XIXe siècle approfondit ces réflexions en s’interrogeant sur le rêve, la folie, l’effet des drogues, le somnambulisme qui conduit à notre perception d’aujourd’hui : de la relaxation aux exercices de prise de conscience, de la détente à l'étourdissement, la conscience corporelle devient un lieu de vertige autant que d’exploration de l’intime. Georges Vigarello est directeur d’études à l’EHESS. Il a publié au Seuil de nombreux ouvrages et dirigé avec Alain Corbin et Jean-Jacques Courtine une Histoire du corps (2005-2006) et une Histoire de la virilité (2011). Parmi ses derniers titres : Les Métamorphoses du gras (2010) et La Silhouette du XVIIIe siècle à nos jours (2012). En collaboration avec Payot Libraire. Enregistré au Club 44 le 14 mai 2019.
Historien, Gaël Nofri présente une nouvelle série de nos [Cours d'Histoire] consacrée à la place de la Révolution dans l'Histoire de France. Dans ce troisième et dernier volet, il évoque les "révolutions françaises" d'Etienne Marcel à Mai 68. Interrogé par Christophe Dickès, il répond aux questions suivantes: - Qui était Etienne Marcel? Peut-on lire cette révolution avec la grille du XIXe siècle ? - Quelle fut la nature des Etats généraux à l'époque médiévale? Etienne Marcel était-il un réactionnaire? - On retrouve cette volonté de retour aux bons usages dans la révolte de Caboche quelques décennies plus tard... d’où vient l’expression de Caboche ? - Peut-on parler de terreur à cette époque? - 1789, 1830, 1848, 1870… n’est-ce pas ici pour reprendre la thèse de François Furet qui lui-même s’inspirait de Tocqueville : une seule et même révolution ? - Le XIXe siècle n'est-il pas un siècle qui se recherche, qui tente, qui essaie, oscillant entre mythes, idéalismes et réalités? - Paradoxalement, c’est en 1870 que la Révolution se pose la question de l’Etat dont elle se méfie… Le système révolutionnaire de la Commune, la Révolution pour la Révolution apparaissent… Pourtant, les années 70 permettent une stabilisation de la République ? - Pourquoi avoir mis le 6 février 1934 comme une révolution ? N’est-ce pas un coup d’Etat éphémère ? - Pourquoi ne pas avoir retenu le régime du Maréchal Pétain qui se qualifie lui-même de Révolution nationale? L'invité: Gaël Nofri est historien. Auteur d'un Napoléon, visionnaire de l'Europe (Edition François-Xavier de Guibert, 2010), il vient de oublier Une histoire des Révolutions en France aux Editions du Cerf, (465 pages, 29€). Élu de la ville de Nice, il mène par ailleurs une action politique. ___________________________________________________ - Retrouvez nous sur www.storiavoce.com/ - Notre compte Twitter: twitter.com/Storiavoce - Notre page Facebook: www.facebook.com/storiavoce/
Coups, rites initiatiques douloureux, humiliations : pourquoi tant de violence dans l’éducation des garçons ? Dans cet épisode, il est question de ce que les hommes font aux autres hommes.On y parle de la pédérastie dans la Grèce antique, du service militaire, des châtiments de l’école républicaine, de l’obéissance fasciste… avec Olivia Gazalé, l’auteure de l’essai Le Mythe de la Virilité, publié en octobre 2017 aux éditions Robert Laffont.RECOMMANDATIONSHistoire de la virilité, Georges Vigarello, Alain Corbin et Jean-Jacques Courtine (Seuil, 2011)T. I - l'invention de la virilité De l'Antiquité aux LumièresT. II - le triomphe de la virilité Le XIXe siècleT. III - La Virilité en crise ? XX e-XXI e siècle.Françoise Héritier - Hommes, femmes : la construction de la différence (Pommier, 2017)Elisabeth Badinter, XY - De l’identité masculine (Odile Jacob, 1992)CRÉDITSLes couilles sur la table est un podcast de Victoire Tuaillon, produit par Binge Audio. Production : Joël Ronez. Rédaction en chef : David Carzon. Chargée d’édition et production : Camille Regache. Direction générale : Gabrielle Boeri-Charles. Direction artistique : Julien Cernobori. Générique : Théo Boulenger. See acast.com/privacy for privacy and opt-out information.