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L'indépendance de la Nouvelle-Calédonie s'annonçait bien depuis plusieurs années, mais les solutions politiques proposées depuis de nombreuses années n'ont eu de cesse de fragiliser cet équilibre illusoire Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Après des journées d'incertitude, François Bayrou a annoncé qu'il n'entrera pas au sein du gouvernement, faute « d'accord profond sur la politique à suivre », de quoi semer le trouble au sein même de son parti. Le président du MoDem veut rester « un membre à part entière de la majorité » et laisse la porte ouverte à une candidature en 2027. L'annonce de la deuxième moitié de l'équipe de Gabriel Attal reste attendue ce jeudi. L'analyse du politologue Martial Foucault, professeur à Sciences Po Paris et directeur du Centre de recherches politiques de Sciences Po (Cevipof).
durée : 00:06:39 - franceinfo junior - En attendant la déclaration de politique générale du nouveau Premier ministre, Gabriel Attal, on parle de cette fonction particulière dans franceinfo junior avec Martial Foucault, politologue et directeur du CEVIPOF (Centre de recherches politiques de Sciences Po).
« Gabriel Attal n'échappera pas à l'utilisation du 49.3 »Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.
"La Loi immigration est le marqueur qui divisera la majorité présidentielle"Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.
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« Communes attaquées, République menacée », c'est le thème cette année du Congrès des Maires de France qui s'est ouvert à Paris ce lundi. Les agressions contre les élus ont augmenté de 15% sur un an, estime une enquête Cevipof publiée dans Le Monde. Les démissions de maires aussi sont en hausse de 30%, signe d'une « fatigue républicaine » selon Martial Foucault, professeur à Sciences Po Paris et directeur du Centre de recherches politiques de Sciences Po. Auteur de l'enquête du Cevipof réalisée pour l'Association des maires de France (AMF).
durée : 00:53:25 - Le Débat de midi - par : Paola Puerari - Ils sont près de 1300 maires à avoir démissionné depuis le début de leur mandat à l'été 2020. Un niveau sans précédent ! Incivilités, agressions à répétition, pour beaucoup d'entre eux la coupe est pleine. Les maires sont-ils au bord de la crise de nerfs ? - invités : Martial Foucault, Chloé Morin, Dorothée Pacaud, Boris Ravignon - Martial Foucault : Professeur de sciences politiques et directeur du Cevipof, le Centre de recherches politiques de Sciences Po, Chloé Morin : Associée à la Fondation Jean-Jaurès et spécialiste de l'opinion publique, ancienne conseillère en charge de l'opinion publique au sein du cabinet du Premier ministre de 2012 à 2016., Dorothée Pacaud : Maire de Saint-Brevin, Boris Ravignon : maire LR de Charleville-Mézières
L'invité de Dimanche politique est Martial Foucault, directeur du Centre de recherches politiques de Sciences Po (CEVIPOF).
Deux heures trente de direct à l'écoute de celles et ceux qui font le monde : le raconter, le décrypter et l'analyser pour donner des clés de lecture et de compréhension aux auditeurs.
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Coup dur pour Emmanuel Macron ! Deux de ses proches se retrouvent dans le viseur de la justice. Le garde de Sceaux Eric Dupond-Moretti, accusé de « prise illégale d'intérêts », est renvoyé devant la Cour de justice de la République et Alexis Kohler, secrétaire général de l'Élysée a été mis en examen dans l'enquête sur ses liens avec l'armateur MSC. Une situation inédite. L'analyse du politologue Martial Foucault, directeur du Centre de recherches politiques de Sciences Po (Cevipof).
Législatives en Italie : une vague populiste peut-elle déferler en Europe ? Pour en débattre : Martial Foucault, professeur des universités et directeur du CEVIPOF et Jean Garrigues, historien, président du comité d'histoire parlementaire et politique. Ecoutez Le débat avec Yves Calvi et Amandine Bégot du 26 septembre 2022
Législatives en Italie : une vague populiste peut-elle déferler en Europe ? Pour en débattre : Martial Foucault, professeur des universités et directeur du CEVIPOF et Jean Garrigues, historien, président du comité d'histoire parlementaire et politique. Ecoutez Le débat avec Yves Calvi et Amandine Bégot du 26 septembre 2022
durée : 01:55:18 - Les Matins - par : Guillaume Erner - En première partie, décryptage du remaniement du gouvernement Borne avec le politiste Martial Foucault. Avant de recevoir l'astrophysicienne Françoise Combes, qui participe au podcast "Les mondes de Chloé" de France Culture. - invités : Martial Foucault Professeur de sciences politiques et directeur du Cevipof, le Centre de recherches politiques de Sciences Po; Françoise Combes Astrophysicienne à l'Observatoire de Paris, professeure au Collège de France et membre de l'Académie des sciences
Au programme : Invités : Martial Foucault, politologue et directeur du CEVIPOF, et Olivier Beaumont, grand reporter au service politique “Le Parisien” • Consultations à l'Élysée et à Matignon • Emmanuel Macron face au KO institutionnel • Élisabeth Borne en sursis ? • 2022 ou la mort du front républicain • Comment le RN a brisé son plafond de verre • La NUPES souhaite la démission d'Emmanuel Macron La Story - Les nouveaux députés font leur rentrée • La France entre canicule et orages. Avec Christine Pena, journaliste météo France Info. • Un prix Nobel russe vend sa médaille pour aider les enfants d'Ukraine • Ben Stiller en Ukraine ! • Le combat d'Olivier Goy contre la maladie de Charcot. Avec Olivier Goy, entrepreneur et fondateur d'October
Directeur du Centre de recherches politiques de Sciences Po Paris (Cevipof), Martial Foucault analyse les résultats du premier tour des élections législatives. Il souligne les Bons résultats du Rassemblement national, qui peut espérer posséder son propre groupe parlementaire à l'issue du 2e tour, et la stratégie gagnante de La France insoumise qui pourrait posséder cinq fois plus de parlementaires au sein de la prochaine Assemblée.
Si loin, si près. Si loin, car peu d'entre nous les connaissent. Si près, ils sont indispensables à notre vie sur Terre. Les océans. Immensité bleue qui recouvre les 2/3 de la planète. Bien commun de l'humanité, les océans appartiennent à tous et personne à la fois. Sans foi, ni loi, le premier arrivé est le premier servi. Comme pour dompter notre animalité, sous l'égide des Nations unies un traité inédit pour protéger la haute mer et ses ressources est en pourparler. Si tous les États se mettent d'accord et ce n'est pas une mince affaire, cet accord international contraignant verrait le jour cette année 2022. Ce texte a pour but la conservation et l'utilisation durable de la biodiversité marine. Alors comment concilier les intérêts de chacun ? Quelle gouvernance pour les océans ? Pour en débattre : - Ludovic Frère Escofier, responsable du Programme vie des Océans chez WWF France. - Mikaa Mered, secrétaire général de la Chaire Outre-mer et enseignant des Outre-mer à Sciences Po. À paraître aux éditions Autrement, L'Atlas des Outre-mer, codirigé avec Martial Foucault et Jean-Christophe Gay.
Si loin, si près. Si loin, car peu d'entre nous les connaissent. Si près, ils sont indispensables à notre vie sur Terre. Les océans. Immensité bleue qui recouvre les 2/3 de la planète. Bien commun de l'humanité, les océans appartiennent à tous et personne à la fois. Sans foi, ni loi, le premier arrivé est le premier servi. Comme pour dompter notre animalité, sous l'égide des Nations unies un traité inédit pour protéger la haute mer et ses ressources est en pourparler. Si tous les États se mettent d'accord et ce n'est pas une mince affaire, cet accord international contraignant verrait le jour cette année 2022. Ce texte a pour but la conservation et l'utilisation durable de la biodiversité marine. Alors comment concilier les intérêts de chacun ? Quelle gouvernance pour les océans ? Pour en débattre : - Ludovic Frère Escofier, responsable du Programme vie des Océans chez WWF France. - Mikaa Mered, secrétaire général de la Chaire Outre-mer et enseignant des Outre-mer à Sciences Po. À paraître aux éditions Autrement, L'Atlas des Outre-mer, codirigé avec Martial Foucault et Jean-Christophe Gay.
Directeur du Centre de recherches politiques de Sciences Po (Cevipof), Martial Foucault analyse les résultats du premier tour gagné par Emmanuel Macron devant Marine Le Pen. Les deux finalistes vont désormais s'efforcer d'élargir leur électorat. Et Jean-Luc Mélenchon aura, selon Martial Foucault, un rôle "décisif" à jouer dans l'entre-deux tours. Il n'a pas appelé dimanche à voter pour Emmanuel Macron, se limitant à répéter qu'il ne fallait "pas donner une seule voix à Mme Le Pen".
Est-ce que les riches votent à droite ? C'est ce qu'on a tendance à penser... Mais s'il y a un lien direct entre la fortune et le vote conservateur, cela ne permet pas d'expliquer par exemple le phénomène de la gauche caviar. Ce n'est pas donc si simple que cela : lorsqu'on vote, on ne cherche pas simplement à choisir un candidat en fonction de propositions fiscales avantageuses, en fonction de l'utilité qu'il peut avoir pour nous. Alors peut-on lier niveau de richesse et vote ?Martial Foucault est professeur des universités à Sciences Po, directeur du Cevipof et spécialiste des questions de comportement électoral. Il s'intéresse en particulier à toutes les dimensions de patrimoine, de revenu et de choix de vote des électeurs. Il est l'invité du dixième épisode de Je vote, tu votes, nous votons.Il explique que, quand on parle de richesse, il faut clairement distinguer le salaire du patrimoine. Les inégalités de patrimoine sont beaucoup plus fortes que les inégalités de revenus. C'est là l'une des découvertes de l'économiste Thomas Piketty. On a d'ailleurs pu le constater pendant cette campagne présidentielle, lors du débat autour des droits de succession. L'idée de faciliter la transmission est clairement de droite et celle de la taxer est au contraire de gauche.En plus de cela, pour Martial Foucault, il faut distinguer la façon dont on gère le patrimoine. Placements risqués ou placements sûrs ? Ceux qui optent pour des placements sûrs, des livrets, sont plutôt de gauche car ils ont confiance en une gestion étatique. Au contraire, ceux qui ont confiance dans le marché sont plutôt de droite. Mais bien sûr, l'irruption d'Emmanuel Macron, ce candidat, et de gauche, et de droite a bouleversé la donne...RÉFÉRENCES :Jacques Capdevielle, Élisabeth Dupoirier, « L'effet patrimoine », dans Jacques Capdevielle, Élisabeth Dupoirier, Gérard Grunberg, Étienne Schweisguth, Colette Ysmal (dir.), France de gauche, vote à droite, Paris, Presses de Sciences Po, 1981, p. 169-227.Martial Foucault, Richard Nadeau, Michael S. Lewis-Beck , « La persistance de l'effet patrimoine lors des élections présidentielles françaises », Revue française de science politique, 2011/4 (Vol. 61), p. 659-680. DOI : 10.3917/rfsp.614.0659. URLThomas Piketty, Capital et idéologie, Paris, Le Seuil, 2019.Martial Foucault, « La France politique des possédants et des non-possédants », in Pascal Perrineau éd., La démocratie de l'entre-soi, Paris, Presses de Sciences Po, 2017, p. 43-56.Michael Lewis-Beck, Richard Nadeau and Martial Foucault, "The Compleat Economic Voter: New Theory and UK Evidence”, British Journal of Political Science, 43(2), p.241-261, 2013---Interview et narration : Tâm Tran HuyRéalisation sonore, montage et mixage : MajoraProdCréation musicale : MajoraProdDirection éditoriale : Perrine TarneaudProductrice exécutive : Elise ColetteProduction : Public Sénat et Cevipof-Sciences Po Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Quelle est la place du vote dans la famille ? Est-ce que les jeunes, dans leurs premiers votes, se rebellent contre leurs parents ou est-ce qu'au contraire, ils votent comme leurs darons ? Et les jeunes, qui boudent massivement les urnes, boudent-ils pour autant la politique ?Pour répondre à toutes ces questions, Tâm Tran Huy s'entretient avec Anne Muxel, directrice de recherche au CNRS qui travaille au Cevipof, le centre de recherches politiques de Sciences Po. Elle a consacré une partie de sa recherche à la transmission des choix des orientations politiques et idéologiques, notamment dans le cadre de la famille.L'occasion de mieux comprendre la place paradoxale de la politique dans la famille : à la fois le creuset dans lequel se forme l'identité politique, l'endroit où l'on échange le plus ses convictions mais aussi le lieu où l'on cache parfois ses idées, de peur d'entamer le lien affectif avec ses proches.Et les jeunes dans tout ça ? Ils sont très loin de l'opposition systématique à leurs parents : au contraire, ils se construisent souvent en absorbant les idées politiques de leurs parents avant de se forger progressivement leurs propres convictions. Parmi leurs constantes, celle de l'abstention : lors des dernières élections régionales, 9 jeunes sur 10 ont boudé les urnes. Pourquoi ? Les jeunes éprouvent-ils, comme de nombreux Français, de la défiance à l'égard des responsables politiques ? Nous allons découvrir que ce manque d'intérêt pour le vote ne reflète pas forcément le désintérêt pour la marche du monde.Références de l'épisode- Anne Muxel, Politiquement jeune, Editions de l'Aube/Jean-Jaurès, 2018- Anne Muxel, Toi, moi et la politique, Amour et convictions, Seuil, 2008- Anne Muxel, Politique, affectivité, intimité. La vie privée des convictions, Presses de Sciences Po, 2014- Sous la direction de Martial Foucault et Pascal Perrineau, La politique au microscope, 60 ans d'histoire du Cevipof, Presses de Sciences Po, 2021- Les jeunes et l'élection présidentielle de 2022 : intentions et déterminants du vote, Ifop, décembre 2021- L'impressionnante désaffiliation politique des 18-24 ans soulignée par une étude, Le Monde, 3 février 2022--------------Interview et narration : Tâm Tran Huy Réalisation sonore, montage et mixage : MajoraProd Création musicale : MajoraProd Direction éditoriale : Perrine Tarneaud Productrice exécutive : Elise Colette Production : Public Sénat et Cevipof-Sciences Po Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Le vote est souvent présenté comme un choix rationnel, mais dans le fond, est-ce qu'on vote vraiment avec sa tête ou avec son cœur ?Ces deux dernières années, à l'épreuve de la crise du Covid, on a éprouvé toute une palette d'émotions : de la peur face au virus, de la tristesse, parfois de l'espoir, et aujourd'hui pour certains, de la colère. Ces émotions vont-elles jouer dans le vote des Français ? Vont-elles avoir plus (ou moins) d'impact dans leur choix que leur condition sociale ou leurs revenus ?Le quinquennat d'Emmanuel Macron a également été marqué par la mobilisation des Gilets jaunes, un mouvement inédit dans sa durée et son intensité. Comment cette colère va-t-elle se matérialiser dans le scrutin présidentiel d'avril ?C'est ce sujet que le premier épisode du podcast « Je vote, tu votes, nous votons » va explorer, avec Martial Foucault, directeur du Centre de recherches politiques de Science Po-Cevipof.Dans sa conversation avec la journaliste de Public Sénat, Tâm Tran Huy, on découvre que la colère est associée aux extrêmes, la peur aux partis conservateurs et l'enthousiasme à Emmanuel Macron ! On s'interroge également sur les ressorts de l'élection de Donald Trump ou encore du Brexit. Références de l'épisodeAlgan Yann, Beasley Elisabeth, Cohen Daniel, Foucault Martial, Les origines du populisme. Enquête sur un schisme politique et social, Paris, Seuil, 2019.Marcus George E., Le citoyen sentimental, Paris, Presses de Sciences Po, 2008.Braud, Philippe, L'émotion en politique : problèmes d'analyse. Paris, Presses de Sciences Po, 1996.Sous la direction de Martial Foucault et Pascal Perrineau, La politique au microscope, 60 ans d'histoire du CEVIPOF, Presses de Sciences Po, 2021Election présidentielle : « Les émotions façonnent nos réactions à l'environnement », Le Monde, 2017Baromètre des émotions, Viavoice et Fondation Jean Jaurès, décembre 2021Comment les candidats à la présidentielle se saisissent de la colère des Français, Marion Ballet, The Conversation, janvier 2022-----Interview et narration : Tâm Tran HuyRéalisation sonore, montage et mixage : MajoraProdCréation musicale : MajoraProdDirection éditoriale : Perrine TarneaudProductrice exécutive : Elise ColetteProduction : Public Sénat et Cevipof-Sciences Po Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
C'est la première digue qui saute. Depuis le début de la crise sanitaire, sous pression les services publics avaient tenu. Aujourd'hui, l'école a craqué. Un jeudi noir, une unité historique qui a rassemblé profs, direction, et même inspection et parents d'élèves. Beaucoup de monde dans les rues, et un gouvernement inquiet à quelques semaines de la présidentielle, et un ministre sur la sellette. Après la crise sanitaire est-ce le temps de la crise sociale et peut-être de la crise politique ? La question des services publics va-t-elle percuter la campagne présidentielle ? Martial FOUCAULT, Politologue Olivier BEAUFRÈRE, Proviseur, secrétaire national du SNPDEN-UNSA Sophie CROZIER, Neurologue à la Pitié-Salpêtrière Erwan LE NOAN, Consultant en stratégie Maud BERGEON, Porte-parole LREM Charlotte CHAFFANJON, Journaliste politique à Libération
durée : 02:00:50 - Les Matins - par : Guillaume Erner - .
Confinera, confinera pas, le discours d'Emmanuel Macron est attendu. C'est à 20h ce mercredi soir que le président s'exprimera devant les Français. Première allocution solennelle depuis le mois de novembre, il devrait évoquer les sujets de l'école, de la vaccination, de la surcharge des services de réanimation, et surtout de la marche à suivre pour les semaines à venir. Sa stratégie décryptée par Martial Foucault, politologue, directeur du Centre de recherches politiques de Sciences Po (CEVIPOF).
Dans son baromètre annuel de la confiance politique, le Cevipof, le centre de recherche de Sciences Po dévoile, plus que dans certains autres pays européens, une grande lassitude et de la morosité de la part des Français dont le sentiment de défiance est toujours important à l'égard du gouvernement et, en particulier, concernant la gestion de la crise sanitaire. Comment la crise sanitaire a-t-elle rebattu les cartes ? Le cas français est-il un cas à part ? Invités : - Martial Foucault, directeur du CEVIPOF - Raul Magni Berton, professeur de Sciences politiques à l’IEP de Grenoble.
Après un samedi de manifestation en France contre le projet de loi « sécurité globale », l'exécutif se retrouve pris en tenailles face à la pression d'une mobilisation grandissante et une aile droite incarnée par Gérald Darmanin, soucieuse de défendre les forces de l'ordre. Comment déminer les querelles sur la proposition de cette loi et son très controversé article 24 qui prévoit de pénaliser la diffusion malveillante d'images de policiers ? La disposition est devenue le symbole d'une véritable crise politique depuis son vote en première lecture à l'Assemblée nationale, percutée par plusieurs affaires de violences policières présumées, précisément révélées par des vidéos qui ont suscité l'émoi et ont multiplié soudainement les rangs de ses opposants. L'analyse de Martial Foucault, politologue, directeur du Centre de recherches politiques de Sciences Po (CEVIPOF).
Après la démission de son numéro deux Pierre Person, La République en marche a tenté, lundi 21 septembre, d'endiguer la crise dans laquelle le parti s'enfonce depuis plusieurs semaines, avec un nouvel organigramme, lors d'un bureau exécutif houleux. Cette démission accentue la crise profonde de la formation présidentielle, qui ne parvient plus à incarner le souffle du « en même temps » de 2017, d'autant qu'il enchaîne les déroutes électorales. Pour le politologue Martial Foucault, directeur du Centre de recherches politiques de Sciences Po (Cevipof), le parti ne se pose qu’une question actuellement : « à quoi sert LaREM ? »
durée : 01:09:38 - Le Magazine du week-end - par : Julie Gacon, Antoine Dhulster - Ce samedi, nous analyserons la nouvelle situation politique créée par les élections municipales, de Matignon aux 36.000 communes de France. Et, nous reviendrons sur l’influence grandissante de la Turquie en Méditerranée qui sème encore davantage de dissensions au sein de l’Otan et de l’UE. - réalisation : Luc-Jean Reynaud - invités : Stéphane Cadiou Maître de conférences en science politique à l’Université Jean Monnet de Saint-Etienne; Martial Foucault professeur de science politique et directeur du Cevipof, le centre de recherches politiques de Sciences Po; Elisa Martin Première adjointe au maire de Grenoble; Agnès Levallois Maître de recherche à la Fondation pour la recherche stratégique, vice-présidente de l'iReMMO (Institut de Recherche et d'études Méditerranée Moyen-Orient); Marc Pierini Chercheur invité à Carnegie Europe, ancien ambassadeur de l'Union Européenne en Turquie, en Syrie, et en Libye
durée : 00:36:32 - Le Téléphone sonne - Vague verte et déroute de LREM sur fond d’abstention record : avec nos invités Martial Foucault, président du CEVIPOF, et Gaël Sliman, co-fondateur de l’institut de sondage Odoxa, on fait le point sur les résultats du second tour des élections municipales.
Cứ 6 năm 1 lần, nước Pháp tổ chức bầu cử cấp xã và thành phố. Năm nay, sau bầu cử vòng 1 vào ngày 15/03, vòng 2 dự kiến được tổ chức vào ngày Chủ Nhật 22/03/2020. Thế nhưng, do dịch bệnh Covid-19 nước Pháp bị phong tỏa nên bầu cử bị hoãn lại. Mới đây, chính quyền quyết định cho tổ chức bầu cử vòng 2 vào ngày Chủ Nhật 28/06/2020. Trong khi tại một số thành phố lớn, nhất là thủ đô Paris, chiến dịch tranh cử diễn ra sôi nổi, cạnh tranh gay gắt, với nhiều ứng viên từng là các nhân vật có tiếng trong giới lãnh đạo Pháp, thì tại một số nơi, nhất là những xã nhỏ, ở vùng sâu, vùng xa, hoặc dân cư thưa thớt, chính quyền tìm « mỏi mắt » cũng không có ứng viên tranh chức xã trưởng. Nói cách khác, xã trưởng không phải là ghế nhiều người muốn có, cho dù được mời gọi nhiệt tình. Chức vụ chẳng mấy ai ham Tại Pháp, có khoảng 36.000 xã. Về phân cấp quản lý hành chính, các thành phố lớn, như Lyon, Marseilles … kể cả thủ đô Paris với hơn 2,2 triệu dân cũng là « commune » - xã, đương nhiên là với quy chế đặc biệt hơn. Trong kỳ bầu cử xã trưởng năm nay, theo số liệu của bộ Nội Vụ Pháp, có tổng cộng 106 xã không có ứng viên tranh cử, trong số đó có 4 xã dưới 1.000 nhân khẩu. Con số 106 xã nói trên cao gần gấp đôi so với kỳ bầu cử năm 2014 (64 xã), nhưng một là do có một số xã đã bị sáp nhập. Ngày 27/02 là hết hạn nộp hồ sơ ứng cử, nhưng cho đến ngày 21/02, ở xã Montpensier, tỉnh Puy-de-Dome, với 450 nhân khẩu, vẫn không có một ai muốn trở thành xã trưởng. Trên đài France 2, ngày 21/02, Bà Gisèle Boissier, 70 tuổi, người đứng đầu xã Montpensier, giải thích tại sao bà không muốn tái tranh cử : « Tuổi tác, vâng đó là do tuổi tác và tôi thì cũng đã được bầu lên từ 19 năm nay rồi. Vậy đấy ! Tôi cũng phải dành thời gian cho gia đình nữa. Đối với những người trẻ hơn và những ai còn chần chừ ngại ra ứng cử, thì tôi nói với họ : Thôi làm đi nào, công việc rất thú vị đấy ! » Trong khi đó, tại Berbiguères, tỉnh Dordogne, xã trưởng José Chassériaud, 65 tuổi, hy vọng có thể « rút lui » để « an nhàn tuổi già », nhưng thực tế không đơn giản như ông nghĩ. Sau 25 năm quản lý cấp xã, 2 nhiệm kỳ làm phó xã trưởng thứ nhất và 2 nhiệm kỳ làm xã trưởng, José Chassériaud đành ra ứng cử nhiệm kỳ thứ 3 vì ông không « đành lòng » đẩy xã với 186 người dân vào cảnh « không người chèo lái ». Ông không thể thuyết phục được ai « kế nhiệm » mình, kể cả ông Michel Scanff, phó xã trưởng. Ông Scanff giải thích trên đài France 2 : « Tôi không biết liệu mình có thể duy trì sức khỏe tốt suốt 6 năm tới nữa hay không. Việc ra tranh cử thêm một nhiệm kỳ xã trưởng không được phù hợp cho lắm trong khi tôi không biết chắc là tôi có trụ được không ! » Cách xã Berbiguères 4 km là xã Cladèche, với 103 nhân khẩu. Xã trưởng Jean-Pierre André cũng lâm vào tình cảnh tương tự đồng nhiệm Chassériaud : « Tôi đã không tính tới việc làm tiếp. Trước tiên, đó là vì tôi đã 74 tuổi rồi. Nếu tiếp tục, đến hết nhiệm kỳ tới thì tôi 80 tuổi mất rồi. Ngoài ra, dù sao thì vị trí này cũng có rất nhiều ràng buộc ». Để có thể yên tâm « về hưu » sau 6 năm nữa, ngay từ trước khi diễn ra kỳ bầu cử năm 2020, cả hai xã trưởng José Chassériaud và Jean-Pierre André đều đã bắt tay vào việc tìm người muốn ra tranh cử cho kỳ bầu cử … 2026. Đối với nhiều xã trưởng, khi lần đầu tiên ra tranh cử, họ như đã « tự mình rơi vào bẫy do chính mình giăng ra ». Hậu quả ? Điều khiến cho xã trưởng của những xã không có ứng viên đau lòng nhất là nguy cơ xã buộc bị sáp nhập vào xã khác. Đó cũng là nỗi lo của ông Victor Coulin, sau 2 nhiệm kỳ lãnh đạo xã Châtenois với 130 cư dân. Phát biểu trên đài France 24 ngày 12/03/2020, chỉ 3 ngày trước khi diễn ra vòng 1 bầu cử, ông Coulin giải thích : « Tôi đã 73 tuổi. Tôi là xã trưởng xã Châtenois từ năm 2008. Suốt hơn 1 năm nay tôi nói là chắc chắn tôi sẽ rút lui, do tuổi tôi đã cao và cũng là để nhường chỗ cho giới trẻ. Từ hơn một năm nay tôi đã nói như vậy rồi, nhưng đến hôm nay vẫn không có ai ra tranh cử. Ngày 22/03 (ngày dự kiến tổ chức vòng 2 trước khi nước Pháp bị phong tỏa vì dịch Covid-19), phòng phiếu sẽ đóng cửa vì không có ứng viên nào cả. Kể từ lúc đó, Nhà nước sẽ cho chúng tôi 3 tháng để tổ chức lại bầu cử. Nhưng nếu mà vẫn không bầu được ê-kíp mới lãnh đạo xã, thì chắc chắn là chúng tôi sẽ bị sáp nhập vào một xã khác. Đó là điều mà tôi, người từng là xã trưởng, không mong muốn chút nào ! Tôi không muốn xã mình bị ép phải sáp nhập vào một xã khác (…) Nhìn xã Châtenois biến mất, thành thật mà nói, tôi thấy rất đau lòng ». Lý do ? Ông Coulin hy vọng giới trẻ sẽ quan tâm hơn đến vị trí xã trưởng và tạo ra những thay đổi. Vậy điều gì khiến chẳng mấy cư dân các làng xã mặn mà với chức xã trưởng ? Trên đài France 2, một số người dân xã Montpensier giải thích : « Cần một người có thời gian, có quan hệ tốt với mọi người và biết nhiều điều. Đây là điều khó nhất đối với một xã nhỏ. Vậy đấy ! Còn tôi thì không, không, tôi không có thời gian, không đâu ! » ; « Hơi mất thời gian, đúng đấy. Cần tham gia các cuộc họp. Không đơn giản chút nào » ; « Tôi nghĩ rằng xã trưởng thời bây giờ có rất nhiều việc phải làm. Dân chúng thì kêu ca than phiền nhiều lắm. Mọi người có thể làm phiền xã trưởng bất kể giờ giấc » ; « Tiếng gà gáy làm họ khó chịu. Tiếng chuông nhà thờ đổ cũng làm họ thấy phiền toái. Chó hàng xóm sủa họ cũng thấy phiền phức. Vì thế, công việc của xã trưởng đòi hỏi nhiều thời gian và lấy đi rất nhiều sức lực » ; « Cần một ai đó có sức khỏe dẻo dai và có cá tính để đủ sức đối phó với những người suốt ngày kêu ca, than phiền ! » Còn ông Victor Coulin, xã trưởng Châtenois, cho biết về khó khăn mà xã trưởng như ông đang phải đương đầu : « Ngày nay, vị trí xã trưởng không phải một chức vụ mọi người thèm muốn. Lúc nào chúng tôi cũng gặp chuyện, nhỏ thôi, nhưng tình hình ngày càng phức tạp. Bây giờ, xã hội chúng ta nhìn chung đã thay đổi, thay đổi rất nhiều : người dân có quyền nhưng không có nhiều trách nhiệm, nghĩa vụ, vì thế phần nào dẫn đến nhiều vụ kiện cáo. Khi có một cành cây, một bông hoa, một khóm cây mọc chờm ra, thế là họ sẽ nói : “Sao người ta lại không tỉa chúng đi? Sao người ta lại để thế mà không can thiệp? » Tại những làng như của chúng tôi, đôi khi những chuyện như vậy dẫn đến căng thẳng. Mọi người nói, chỉ trích, nhưng lại không dám nói thẳng với những người liên quan. Tôi rất lấy làm tiếc về chuyện này. Bởi vì khi để xảy ra những chuyện căng thẳng thì cuộc sống ở làng không còn thoải mái nữa. Như thế, tốt nhất họ nên chuyển ra thành phố mà sống, nơi họ đi đâu xong thì về nhà, đóng sập cửa lại, và thế là xong. Ở những ngôi làng như chỗ chúng tôi, dân số ngày càng già, mặc dù có giới trẻ, có thêm người đến xây nhà cửa, thêm người đến sinh sống. Thông qua một hiệp hội, chúng tôi đang cố gắng cải thiện cuộc sống ở làng. Chúng tôi đã tạo một khu vui chơi cho trẻ nhỏ và mọi người rất thích. Mặc dù ngân sách eo hẹp, nhưng với nỗ lực, chúng tôi đã thử, đã cố để cuộc sống ở làng được tốt hơn. Nhưng mọi chuyện không hề đơn giản. Quý vị biết đấy, chúng tôi không có bộ phận kỹ thuật. Chúng tôi bắt buộc phải tự quản lý hết. Tại một xã như Châtenois, thay vì trả cho một đơn vị phụ trách, tôi không biết chính xác là bao nhiêu nữa, nhưng khoảng 7-10% (ngân sách), chúng tôi tự lo hết mọi việc. Hệ thống nước, chúng tôi cũng tự quản lý. Chúng tôi quản lý theo cấp xã, đồng hồ nước cũng là do chúng tôi ghi số, chúng tôi cũng tự đi kiểm tra tháp nước. Đúng là sau 12 năm, tôi cũng thấy mệt mỏi một chút. Và ở tuổi 73, tôi cũng muốn chuyển giao công việc cho người khác ». Dường như những thay đổi trong cuộc sống của cư dân làng mạc đã khiến quan hệ hàng xóng láng giềng xấu dần, công việc của xã trưởng vì thế cũng phức tạp hơn. Dân Pháp hẳn chưa quên vụ án gà trống … Đó là chưa kể đến ngân sách ngày càng hạn hẹp, các xã ngày càng phụ thuộc vào Nhà nước, với nhiều thay đổi về các cấp quản lý … Chính vì những khó khăn đó, chức xã trưởng không còn là vinh dự nhiều người muốn nhận. Ngày 05/03, đài France Info trích dẫn nhà nghiên cứu khoa học chính trị Martial Foucault, theo đó « tại những xã nhỏ, việc xã trưởng tái tranh cử vô số lần có liên quan đến việc vì thiếu ứng viên thay thế, nên xã trưởng không muốn để xã thiếu người đại diện cho nền dân chủ ». Cá biệt, tại một số xã nhỏ, có những người làm xã trưởng tới hàng chục nhiệm kỳ, từ khi còn là thanh niên cho tới khi đã 80-90 tuổi. Điển hình là trường hợp của ông Paul Girod, xã trưởng Droizy, một ngôi làng chỉ có 75 cư dân, ở tỉnh Aisne. Lần đầu nhận chức xã trưởng vào năm … 1958, Paul Girod khi đó mới là một thanh niên 26 tuổi, nay ông đã 88 tuổi và ra ứng cử nhiệm kỳ thứ 12, sau 62 năm liên tục làm xã trưởng. Còn ông François Dupuis, được dân Saint-Germain-sous-Cailly, tỉnh Seine-Maritime, bầu làm xã trưởng vào năm 1971 khi ông mới 25 tuổi. Ông phát biểu trên France Info : «Tôi làm xã trưởng suốt 49 năm. Nếu tôi có tiếp tục, thì đó cũng chỉ là để quản lý xã của tôi, nơi tôi rất gắn bó ». Ông lấy làm tiếc là dù ông đã cố thuyết phục, nhưng những trợ lý trong ê-kíp lãnh đạo của ông không ai muốn thay ông. Nếu ông từ bỏ, họ cũng ra đi : «Tôi có một vài người trẻ trong ê-kíp, nhưng không có sự thay đổi thực sự nào. Chức xã trưởng đòi hỏi phải dồn hết thời gian vào. Tại những xã ở nông thôn, xã trưởng chỉ có một thư ký. Chỉ thế thôi và ông ấy sẽ phải quản lý hết. Xã trưởng sẽ không thể đồng thời theo đuổi sự nghiệp riêng, mà cũng không thể sống với khoản tiền phụ cấp 500 euro/tháng ». Trách nhiệm nặng nề mà phụ cấp ít ỏi, ngân sách nhà nước cấp cho xã hạn hẹp có lẽ là những lý do khiến thời buổi này không mấy ai còn « mặn mà » với chức xã trưởng, trừ ở những thành phố lớn, được cấp nhiều ngân sách Nhà nước, với nhiều nguồn đầu tư. Ở những nơi này, quyền lực thị trưởng là niềm mơ ước của biết bao người, chiếc ghế thị trưởng vẫn là điều mà nhiều chính khách lão làng, kể cả các cựu thủ tướng, bộ trưởng, cũng phải dồn nhiều công sức vận động tích cực đến phút cuối mới mong có được ! Đúng là nơi thì bao người « đấu đá », nơi thì ai cũng dửng dưng, chẳng mảy may ngó ngàng !
Emmanuel Macron s'est adressé aux Français ce dimanche 14 juin, trois mois après le début du confinement décidé pour lutter contre l’épidémie due au coronavirus. Le chef de l’État a défendu sa gestion de la crise et proclamé un quasi-retour à la normale en France. Il en a également profité pour tracer « un nouveau chemin » pour la suite, autour de l’écologie, la souveraineté économique, l’unité de la République et la décentralisation. L'analyse du politologue Martial Foucault, directeur du Centre de recherches politiques de Sciences Po (Cevipof). « Hier, il a créé toutes les conditions pour qu'au mois de juillet, il y ait une attente, qui sera appréciée si les mesures sont concrètes mais aussi diffèrent de ce que Emmanuel Macron et son gouvernement ont incarné jusqu'à présent. »
Le 28 juin 2020, c'est la date retenue pour le second tour des élections municipales en France. C'est ce qu'a décidé le gouvernement et sauf contre-ordre pour des raisons sanitaires, c'est ce qui va arriver. On connaît maintenant d'ailleurs les forces en présence puisque le dépôt des listes, avec parfois quelques surprises ont eu lieu la semaine dernière. Mais avec un second tour aussi éloigné du premier, plus de trois mois, l'impact de la pandémie sur ce premier tour, puis sur les enjeux d'une campagne bousculée et désormais distanciée et difficilement audible, le second tour des élections municipales a-t-il encore un sens ? C'est la question du jour. Pour en débattre :- Martial Foucault, professeur de Science politique et directeur du Cevipof, le Centre de recherches politiques de Sciences Po et auteur du livre "Maires au bord de la crise de nerfs. La démocratie locale peut-elle survivre", éditions de L'aube- Olivier Ihl, professeur de Science politique et de sociologie historique à Sciences-Po Grenoble- Bruno Jeudy, rédacteur en chef politique et économie à Paris Match.
Intellectuels, chefs d'entreprises, artistes, hommes et femmes politiques... Dans “C’est arrivé demain”, pendant une heure, Patrick Cohen reçoit, des personnalités de tous horizons pour éclairer différemment et prendre du recul sur l'actualité de la semaine écoulée le samedi. Même recette le dimanche pour anticiper la semaine à venir. Un rendez-vous emblématique pour mieux comprendre l'air du temps et la complexité de notre monde.
Martial Foucault, professeur des universités, directeur du CEVIPOF (CNRS) et auteur de "Maires au bord de la crise de nerfs. La démocratie locale peut-elle survivre ?" (Editions De L'aube) était l'invité de Patrick Cohen dimanche sur Europe 1.
durée : 00:58:34 - Entendez-vous l'éco ? - par : Tiphaine de Rocquigny, Marguerite Catton - Faire plus avec beaucoup moins : tel est le défi imposé quotidiennement aux maires des communes dont les budgets se resserrent au fur et à mesure que s'étendent leurs champs de responsabilité. Quelle marge de manœuvre leur reste-t-il pour faire valoir leur action dans la bataille des municipales ? - réalisation : Anne Depelchin, Philippe Baudouin - invités : Martial Foucault professeur de science politique et directeur du Cevipof, le centre de recherches politiques de Sciences Po; Claire Verrier consultante associée au cabinet Michel Klopfer, cabinet de conseil aux collectivités locales; Nicolas Portier délégué général de l’AdCF Intercommunalités, enseignant à Sciences PO en développement économique local
durée : 02:58:05 - Le 6/9 - Le café est chaud, top départ du 6/9 du week-end par Eric Delvaux, avec Patricia Martin.
durée : 02:58:05 - Le 6/9 - Le café est chaud, top départ du 6/9 du week-end par Eric Delvaux, avec Patricia Martin.
durée : 00:18:21 - L'invité du Week End - par : Eric Delvaux - Deux invités ce matin, Martial Foucault et Christophe Lannelogue. Ils répondent aux questions d'Eric Delvaux et de Patricia Martin.
durée : 00:03:33 - Le reportage FB Champagne-Ardenne
durée : 00:27:48 - L'Invité actu - par : Caroline Broué, Roxane Poulain - Dans son nouvel ouvrage "Maires au bord de la crise de nerfs", le professeur de sciences politiques et président du Cevipof Martial Foucault se penche sur la figure du maire et interroge les conditions de survie de la démocratie locale. - réalisation : Jean-Christophe Francis - invités : Martial Foucault professeur de science politique et directeur du Cevipof, le centre de recherches politiques de Sciences Po
durée : 02:01:11 - Les Matins du samedi - par : Caroline Broué, Stéphanie Villeneuve - Rencontre avec la pianiste Shani Diluka dont le dernier album "Cosmos" croise la musique classique indienne avec deux sonates de Beethoven // Le professeur de sciences politiques, directeur du Cevipof Martial Foucault autour des élections municipales à venir et de la démocratie locale. - réalisation : Jean-Christophe Francis
L'invité de Dimanche politique est Martial Foucault, professeur à Sciences Po Paris et directeur du Centre de recherches politiques de Sciences Po (CEVIPOF).
durée : 00:54:10 - Questions politiques - par : Ali Baddou - Jerome Jaffré, directeur du centre d'études et de connaissances sur l'opinion publique (Cecop), et Martial Foucault, professeur des universités à Sciences Po et directeur du Cevipof, seront les invités de « Questions Politiques » ce dimanche.
Produit du ressentiment contre les partis et les institutions, le populisme prospère dans la société d’individus qui a mis fin à la société de classes. Entre philosophie et économie, C. Fleury et M. Foucault en débattent. Philosophe, C. Fleury préside le conseil d'établissement des Champs Libres. Martial Foucault est professeur des universités en science politique à Sciences Po. À lire : Cynthia Fleury, La fin du mensonge - Les irremplaçables (éd. Gallimard). Yann Algan, R. Beasley, D. Cohen et M. Foucault, Les origines du populisme (Seuil-La République des idées).
Ça nous intéresse avec Claudia Larochelle; la saison de la sorcière en littérature. Entrevue avec Rima Elkouri pour son récit Manam. Cécile Van de Velde et Jean-Philippe Warren ont lu Les origines du populisme. Enquête sur un schisme politique et social, de Daniel Cohen, Martial Foucault et Yann Algan. La finale de Mission impossible; Ulysse, de James Joyce avec Alain Farah, Pascale Montpetit, Jessica Barker et Jean-François Chicoine. Morceau choisi de Patrick Nicol pour son roman Les manifestations. Mégan Bédard et Jean-François Chassay ont revu Alien.
durée : 00:04:37 - Hashtag - par : Thomas Larabi - La fracture de confiance entre citoyens et politiques s'est encore révélée avec l'incendie de l'usine Lubrizol, à Rouen. Pourquoi cette défiance : scandales, mensonges, déconnexion, institution ? Tentative de réponse à cette problématique multiple. - invités : Martial Foucault professeur de science politique et directeur du Cevipof, le centre de recherches politiques de Sciences Po; Jonathan Parienté Rédacteur en chef adjoint de la rédaction numérique du Monde; Etienne Chouard
durée : 00:04:37 - Hashtag - par : Thomas Larabi - La fracture de confiance entre citoyens et politiques s'est encore révélée avec l'incendie de l'usine Lubrizol, à Rouen. Pourquoi cette défiance : scandales, mensonges, déconnexion, institution ? Tentative de réponse à cette problématique multiple. - invités : Martial Foucault professeur de science politique et directeur du Cevipof, le centre de recherches politiques de Sciences Po; Jonathan Parienté Rédacteur en chef adjoint de la rédaction numérique du Monde; Etienne Chouard
Dimanche politique reçoit Martial Foucault, professeur à Sciences Po Paris et directeur du Centre de Recherches politiques de Sciences Po (CEVIPOF).
durée : 00:45:16 - Signes des temps - par : Marc Weitzmann - Après les déboires de M. Salvini et de Boris Johnson, quel bilan dresser de cette vague populiste que l’on disait irrésistible, mais qui semble aujourd'hui subir quelques revers ? "Signes de temps" revient sur différents visages du populisme, de Patrick Buisson en France à Steve Bannon aux EU. - invités : Georges Buisson; Martial Foucault professeur de science politique et directeur du Cevipof, le centre de recherches politiques de Sciences Po; Alain Frachon éditorialiste au journal Le Monde, ancien directeur de la rédaction
durée : 01:00:23 - Entendez-vous l'éco ? - par : Tiphaine de Rocquigny, Marguerite Catton - Le projet de loi de finance sera présenté vendredi prochain au Conseil des Ministres, le premier depuis le mouvement des Gilets jaunes. Que peut-on en attendre ? S'adaptera-t-il aux revendications sociales qui s'élèvent depuis bientôt un an ? - réalisation : Anne Depelchin, Charlotte Roux - invités : Martial Foucault professeur de science politique et directeur du Cevipof, le centre de recherches politiques de Sciences Po; Virginie Pradel avocate fiscaliste, fondatrice de l’Institut Vauban; Pierre Khalfa économiste, co-président de la Fondation Copernic, cercle de réflexion critique du libéralisme, membre de l’organisation altermondialiste Attac
durée : 01:09:08 - Le Magazine du week-end - par : Emilie Chaudet, Chloé Rossignol - Plus de la moitié des maires élus en 2014 ne souhaitent pas se représenter en 2019. Cette crise des vocations met-elle en péril le socle du pacte républicain qui se joue entre les maires et les administrés ? - réalisation : Emily Vallat - invités : Martial Foucault professeur de science politique et directeur du Cevipof, le centre de recherches politiques de Sciences Po; David Lefèvre ancien maire de Friville-Escarbotin; Christian Robache Maire de Montévrain; Gilles Bataillon sociologue, directeur d'études à l'EHESS.; Kim Aumonier ex-membre du Collectif Guatemala et consultante en droits humains; Kévin Parthenay docteur en science politique de SciencePo, docteur associé au Ceri, spécialiste de l’Amérique centrale
23 avril - 7 mai. Jours d’élection. Quand on ne vote pas, que fait-on lorsque toute la France se rend aux urnes ? Et, surtout, que ressent-on ? Du premier tour au lendemain de l'élection d'Emmanuel Macron, Andréane et Camille ont suivi et discuté longuement avec les trois personnages principaux de "Parti Pris" -Tatiana, Samir et Christian- et sont parties à la rencontre d'autres abstentionnistes, nouveaux et historiques. Pendant ces élections si particulières, nos personnages sont ils tous restés abstentionnistes ? Pourquoi ? Toutes les réponses dans cet épisode. SOURCES ET BIBLIOGRAPHIE : - Les chiffres du Ministère de l'Intérieur sur l'abstention La chaîne Youtube de TatianaLa chaîne Youtube, "Fil d'Actu"Le compte twitter de Fania Noël Le Parisien du 8 mai 2017 où est citée l’enquête d’Harris InteractiveL’initiative d’Elliot Lepers, le deuxième bulletinLa pétition en faveur du vote après 17h La chronique de Pierre-Emmanuel Barré- Le site des Bureaux d’abstention La fiche de Martial Foucault sur le site du CEVIPOF Parti Pris est signé Andréane Meslard et Camille Romano, produit par Nouvelles Écoutes. Réalisation et générique : Aurore Meyer-Mahieu. Montage : Lorraine Besse Mixage : Zaki Allal Coordination : Laura Cuissard
1ère heure : Inondations au Québec, en Ontario et dans les Maritimes - Michel Désautels fait le point sur la situation avec des experts, des journalistes, des intervenants et des victimes. 2è heure : Élections présidentielles en France - Michel Désautels s’entretient avec les journalistes Sylvain Desjardins et Manon Globensky qui suivent le déroulement du scrutin à Paris ; Emmanuel Macron en position de favori à la présidence française - Entrevue de Michel Désautels avec le politologue Martial Foucault, directeur du Centre de recherches politiques de Sciences Po Paris ; Les équipements des Forces armées canadiennes à bout de souffle - Entrevue de Michel Désautels avec le spécialiste de politique étrangère et de défense du Canada, Jean-Christophe Boucher ; Vaticanum - Entrevue de Michel Désautels avec José Rodrigues Dos Santos, journaliste portugais et romancier.