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Dimanche politique reçoit Adrien Broche, responsable des études politiques à ViaVoice, auteur de Portrait moderne de la gauche française (Éditions de l'Aube).
Le fait divers est de plus en plus présent dans les médias et rencontre l'intérêt des Français, comme l'a montré une étude récente présentée aux Assises du Journalisme de Tours. Un sondage Viavoice, paru mi-mars à l'occasion des Assises du journalisme, l'a montré, près de sept Français sur dix se disent intéressés par le fait divers et 62 % estiment qu'il est « parfois » nécessaire que les politiques s'en saisissent. Les motivations sont plus ou moins avouées. La plupart considèrent qu'il s'agit d'un bon moyen de s'intéresser à l'actualité judiciaire et sécuritaire. Mais il peut y avoir des récupérations politiques, comme on l'a vu l'an dernier à Crépol, dans la Drôme, où une rixe qui a fait un mort a alimenté la thèse extra-judiciaire d'un « racisme anti-blancs ».Depuis l'émission à succès Faites entrer l'accusé, passée de France 2 à RMC Story, il peut y avoir aussi une forme de voyeurisme pour des détails morbides dans certains traitements d'affaires criminelles. Patricia Tourancheau, une journaliste chevronnée qui vient de signer une série documentaire sur l'affaire Grégory pour Netflix, se défend par exemple d'avoir recours à des reconstitutions, en refusant de montrer un enfant ligoté dans une camionnette. Mais elle n'hésite pas à livrer des « évocations », comme de vrais corbeaux, allégorie de ceux qui persécutaient les parents de Grégory Villemin, l'enfant disparu il y a 40 ans dans les Vosges.À lire aussiFrance: 40 ans plus tard, l'affaire Grégory toujours en suspensUn genre qui fait florès dans les médiasD'après Patricia Tourancheau, car les gens s'identifient à des victimes et se rassurent en se disant que c'est loin de chez eux ou de leur vie. Vincent Vantighem de BFMTV explique même que cela permet de se dire que « ça va bien puisqu'il y a pire ailleurs ». Ce qui est sûr, c'est que le genre fait florès. « Affaires sensibles », l'émission de France Inter, trouve une extension sur France 2. Les miniséries Laetitia ou Sambre, de Jean-Xavier de Lestrade, sur des affaires réelles, ont été des cartons d'audience. Et les plateformes comme Netflix s'y mettent abondamment avec des séries comme Le Serpent ou un documentaire sur l'affaire Cantat, le chanteur de Noir Désir qui a tué Marie Trintignant.Les féminicides, un sujet de plus en plus abordéOn parle ainsi plus fréquemment des féminicides, un terme que l'on entend surtout en France où l'on tend à bannir le terme de « crime passionnel », qui trouvait une certaine indulgence dans les jurys populaires. C'est parfois tout à fait évident, comme dans l'affaire Chahinez Daoud, brûlée vive par son ex-compagnon. Mais on retrouve aussi de grandes affaires qui sont susceptibles de s'inscrire dans le temps par le mystère qu'elles entretiennent et leur dimension sociétale ou politique. C'est le cas de la disparition du petit Émile dans les Alpes de Hautes Provence. En filigrane, il y a une société patriarcale finissante et sa violence plus ou moins contenue.À lire aussiFaits divers: faits de société?
Une partie de la consommation du vin et surtout la découverte de nouveaux producteurs et nouvelles cuvées, se font au sein du CHR (Cafés, Hôtels, Restaurants). Ces lieux de consommation hors domicile voient naturellement le vin comme une composante de leur expérience, de leur offre et de leur marge. Si la consommation de vin au verre est établie dans les bars et de plus en plus en restauration, cette dynamique n'a jamais fait l'objet d'une étude permettant d'analyser ses forces et ses freins.C'est la raison pour laquelle, le club Vignobles & Signatures réunissant 17 domaines familiaux très actifs dans le circuit traditionnel a mandaté SOWINE pour aller à la rencontre des Français via une étude dédiée confiée à l'institut ViaVoice.Alors quels consommateurs sont attirés par ce mode de consommation ? Pour quelles raisons les restaurateurs le privilégient ? Quels sont les types de vin les plus plébiscités ? Sylvain Dadé dresse un panorama de l'état de l'art pour le vin au verre en France. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Que pensent les français de l'IA ?
Dans un contexte d'inflation, les consommateurs adoptent de nouvelles pratiques pour maintenir leur pouvoir d'achat. Quelle formes prennent-elles ? Comment se développent-elles ? Comment est-il possible de préserver son pouvoir d'achat à budget équivalent ? Le cagnottage, également appelé cash back, en est un exemple. Cette méthode permet aux consommateurs de récupérer une partie de leur dépense initiale en recevant un pourcentage du montant de leurs achats sous forme de remboursement. Nous aurons de plaisir de discuter de ce sujet avec Arnaud Zegierman, cofondateur de Viavoice, l'institut de sondage, et Rodolphe Oulmi, Directeur général de Webloyalty France, le leader international dans la monétisation d'audience des sites e-commerce.
durée : 00:06:43 - L'invité de 6h20 - par : Matthieu Conquet - Viavoice publie son étude "Les Français et l'Union Européenne, les élections européennes et la guerre en Ukraine" : Adrien Broche Responsable des études politiques de Viavoice est l'invité de 6h20.
C dans l'air du 30 janvier : Attal a-t-il surpris ? Ambiance électrique ce mardi. Les actions coups de poing se multiplient dans les supermarchés pour dénoncer les marges de la grande distribution et l'origine de produits vendus alors que tous les accès à Paris sont maintenant bloqués par des agriculteurs. Déterminés, certains paysans partis ce matin du Lot-et-Garonne sont bien décidés à gagner Rungis, quitte à prendre la nationale pour contourner les barrages policiers. Retardé et sous surveillance, le convoi de tracteurs roule toujours en direction de la capitale tandis que d'autres blocages sont maintenus sur de nombreux axes routiers en province, notamment sur l'A7 mais aussi autour de Lyon et de l'aéroport de Toulouse. C'est donc un Premier ministre sous la pression d'un mouvement social qui a prononcé cet après-midi son discours de politique générale à l'Assemblée nationale, vingt et un jours après sa nomination à Matignon. Un grand oral dans lequel Gabriel Attal a insisté sur le travail et la lutte contre le chômage, l'accès aux services publics, l'éducation, l'accès aux soins, la sécurité, l'autorité, la transition écologique, le nucléaire, le logement, les classes moyennes et le pouvoir d'achat, priorité des Français en ces temps d'inflation. C'est en effet d'abord en matière de pouvoir d'achat que les Français souhaitaient des annonces de Gabriel Attal selon un sondage Viavoice réalisé ces derniers jours. Viennent ensuite la santé (48 %), l'éducation (45 %), l'immigration (34 %) et la sécurité (31 %). La crise agricole était également sans surprise un des points de ce discours. Des annonces suivies sur les barrages par des agriculteurs en demande de mesures concrètes notamment sur les prix d'achat, après les premières mesures jugées insuffisantes vendredi dernier. Alors que retenir du discours de politique générale de Gabriel Attal ? A-t-il convaincu les Français ? Qu'en pensent les agriculteurs ? Y a-t-il un risque de pénurie dans les magasins ? LES EXPERTS : - JÉRÔME JAFFRÉ - Politologue - Chercheur associé au CEVIPOF - YVES THRÉARD - Éditorialiste, directeur adjoint de la rédaction - Le Figaro - RAPHAËLLE BACQUÉ - Grand reporter - Le Monde - EMMANUEL DUTEIL - Directeur de la rédaction - L'Usine Nouvelle
C dans l'air du 7 septembre - Bardella s'installe, Marion Maréchal revient LES EXPERTS : - JÉRÔME JAFFRÉ - Politologue - Chercheur associé au CEVIPOF - LOUIS HAUSALTER - Journaliste politique - Marianne - ALIX BOUILHAGUET - Éditorialiste politique - France Télévisions - BERNARD SANANÈS - Politologue – Président de l'Institut de sondage Elabe La bataille des européennes est lancée. Jordan Bardella conduira la liste du Rassemblement national et Marion Maréchal celle de Reconquête lors des élections de juin 2024. La petite fille de Jean-Marie Le Pen a confirmé hier soir sur TF1 son "retour politique", elle qui a été députée FN entre 2012 et 2017 avant de se mettre en retrait puis de rejoindre le mouvement d'Éric Zemmour lors de la dernière présidentielle. Marion Maréchal a précisé que ce retour ne laissait en rien présager de ses ambitions pour la prochaine présidentielle : "Je souhaite qu'Éric Zemmour soit le candidat en 2027, c'est le candidat naturel". Un peu plus tôt ce dernier avait expliqué dans les colonnes du Figaro avoir "décidé de confier à Marion Maréchal la mission de conduire la liste de Reconquête pour les élections européennes. Je souhaite qu'elle soit accompagnée par toute la jeune génération, venue de tous les partis de droite, qui m'a rallié pendant la présidentielle et qu'ils fassent le plus haut score possible", a-t-il dit. "Je n'ai pas vocation à être candidat à toutes les élections", avait précisé celui qui a réuni 7,07 % à la présidentielle de 2022. Le dauphin de Marine Le Pen face à sa nièce, c'est donc le nouveau duel annoncé à l'extrême droite lors de ces prochaines échéances électorales dont ils souhaitent faire de véritables "midterms" du second quinquennat d'Emmanuel Macron et un tremplin pour la prochaine présidentielle. "Les élections européennes, c'est, en fait, l'unique occasion pour les Français de sanctionner le gouvernement et de préparer l'après-Emmanuel Macron", a déclaré ces derniers jours le président du RN dans le Figaro. Porté par des sondages qui montrent les uns après les autres que l'image de Marine Le Pen s'améliore dans l'opinion publique et que son parti gagne en crédibilité, Jordan Bardella entend tendre la main aux électeurs des Républicains (LR) et à ceux d'Éric Zemmour. Avec un argument de poids : selon une enquête Ifop pour le JDD, la liste RN qu'il mènera arrive largement en tête des intentions de vote avec 25 % des suffrages, soit un score supérieur de 2 points à celui de 2019 (23,3 %). Au sein des classes populaires, le RN frôle les 40 % et atteint presque les 50 % d'intentions de vote chez les ouvriers. De son côté, Marion Maréchal s'est vu confier une mission de taille tant ce scrutin est important pour le parti d'Éric Zemmour qui n'a aucun député au Parlement. Car l'obtention de députés européens lui est essentielle pour continuer d'exister. Reconquête est actuellement crédité d'environ 7 % d'intentions de vote dans le sondage Ifop pour Le JDD. A neuf mois des élections européennes, le RN et Reconquête se mettent en ordre de marche, bien décidés à passer à l'offensive alors que Renaissance et LR n'ont pas encore tranché la question de la tête de liste, et que la gauche est plus divisée que jamais. Mardi soir, les socialistes ont acté leur autonomie, et les Insoumis ont nommé Manon Aubry pour coordonner une liste unique de la gauche aux européennes. Mais la tâche s'annonce complexe et le dernier sondage de l'institut Viavoice pour Libération ne devrait pas faciliter la tâche. D'après cette enquête, réalisée fin août, le RN est jugé moins "radical", moins "violent", et surtout moins "dangereux" que La France Insoumise… De quoi relancer le débat ouvert par Jean-François Ruffin lors des Amfis des Insoumis à Valence cet été. Le député de la Somme y avait défendu l'idée que LFI devait cesser d'incarner une forme de radicalité afin de rassurer les électeurs. Une position qu'il martèle depuis des mois lors de ces nombreux déplacements sur le terrain et qui est éloignée de la ligne officielle. DIFFUSION : du lundi au samedi à 17h45 FORMAT : 65 minutes PRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé - REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40 PRODUCTION DES PODCASTS: Jean-Christophe Thiéfine RÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son, Benoît Lemoine PRODUCTION : France Télévisions / Maximal Productions Retrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux : INTERNET : francetv.fr FACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5 TWITTER : https://twitter.com/cdanslair INSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/
Deze episode neemt jullie mee in de gesproken shownotes van de vorige aflevering. Joost Vos heeft een website online gezet waar alle taaltechnieken vanuit IBM bij elkaar zijn geplaatst. Joost neemt ons mee in deze website en legt kort uit welke taaltechnieken er zijn ontstaan en waarom ze bijzonder zijn. Denk o.a. aan Georgetown Experiment, The Shoebox, Speech Recognition Computer, ViaVoice, BLEU, Jeopardy!, Project Debater, Deep Blue. De website is hier te vinden: https://application-94.10p0w8p3t3gi.eu-de.codeengine.appdomain.cloudOp- en aanmerkingen kunnen gestuurd worden naar: ofjestoptdestekkererin@nl.ibm.com
Adrien Broche, responsable des études politiques à l'institut Viavoice, est l'invité de ce RCJ Midi, au micro de Rudy Saada, suite à une étude publiée dans libération sur les inquiétudes des Français face au dysfonctionnement de leur démocratie.
n°294 / 23 avril 2023Connaissez-vous notre site ? www.lenouvelespritpublic.frUne émission de Philippe Meyer, enregistrée au studio l'Arrière-boutique le 21 avril 2023.Avec cette semaine :Nicolas Baverez, essayiste et avocat.Jean-Louis Bourlanges, président de la Commission des Affaires étrangères de l'Assemblée nationale.Marc-Olivier Padis, directeur des études de la fondation Terra Nova.Michaela Wiegel, correspondante à Paris de la Frankfurter Allgemeine Zeitung.APRÈS LA DÉCISION DU CONSEIL CONSTITUTIONNEL, FIN DE PARTIE, MAIS POUR QUI ?La loi réformant les retraites et portant l'âge légal de départ à 64 ans a été promulguée au « Journal Officiel » dans la foulée de son approbation par le Conseil constitutionnel. Cette approbation n'a pas calmé la colère de l'intersyndicale, qui a décliné l'invitation d'Emmanuel Macron à le rencontrer, le 18 avril. Le secrétaire national de la CFDT, Laurent Berger, a réclamé un « délai de décence », ajoutant que l'intersyndicale s'était donnée comme horizon pour entamer les discussions l'« après 1er mai », date d'une nouvelle journée de mobilisation des opposants à la réforme des retraites. Les treize organisations de salariés et de défense de la jeunesse, réunies en intersyndicale, ont diffusé, dès la décision du Conseil constitutionnel connue, une déclaration commune titrée : « Ce n'est pas fini ! ». L'intersyndicale promet un 1er mai « unitaire et populaire ». Un 1er mai unitaire serait une première depuis 2002, quelques jours après le fameux 21 avril qui avait vu Jean-Marie Le Pen accéder au second tour de l'élection présidentielle.Lors de son allocution télévisée, lundi, le président de la République a listé trois chantiers prioritaires : le travail, la « justice et l'ordre républicain et démocratique » et « le progrès pour mieux vivre ». Il a donné rendez-vous dans « cent jours », au 14 juillet, pour « faire un premier bilan ». Elisabeth Borne, confortée à son poste, détaillera sa feuille de route la semaine prochaine. Pour Laurent Berger, il n'en ressort « rien de concret », il s'est agi d'un « énième discours de la méthode » qui « ne nous a rien appris et ne met pas fin au ressentiment des gens ».D'après une enquête pour Libération, réalisée par l'institut Viavoice, 76 % des personnes interrogées estiment que la démocratie française est actuellement « en mauvaise santé », tandis que 39 % sont encore plus critiques, la jugeant même « en très mauvaise santé ». 74 % pensent que la mauvaise santé de la démocratie est due au moins en partie au fait que les élus sont « déconnectés des réalités des Français ». Selon un sondage de l'institut Elabe réalisé les 15 et 16 avril, l'image du président de la République s'est fortement dégradée, en France comme à l'étranger. Avec seulement 25 % d'opinions positives, Emmanuel Macron est proche du taux d'impopularité où l'avait plongé la crise des Gilets jaunes (23% en novembre/décembre 2018) observe Bernard Sananès, président d'Elabe. Loin du Président « protecteur » des années Covid, ou du Président « chef de guerre » du premier semestre 2022, c'est aujourd'hui l'image d'un chef d'État autoritaire, voire brutal qui domine dans l'opinion.Figure de la lutte contre la réforme des retraites, le secrétaire général de la CFDT, Laurent Berger, dont l'organisation a gagné 31.000 adhérents dans les dernières semaines, a annoncé mercredi qu'il quittait ses fonctions en juin au profit de Marylise Léon, actuellement numéro deux du syndicat. Elle se décrit elle-même comme « pas facile, surtout dans les négociations » et veut, elle aussi, un 1er mai « historique » face à la « surdité de l'exécutif ».***LULA EN CHINE, LE SUD GLOBAL CONTRE L'OCCIDENT ? Le président brésilien, Luiz Inacio Lula da Silva, a effectué du 13 au 14 avril une visite officielle en Chine. Il a rencontré le président Xi Jinping. Objectif affiché : permettre à la première puissance d'Amérique latine de revenir au centre de la géopolitique mondiale, consolider son rôle au sein des pays émergents et sécuriser ses exportations, alors que la situation économique du pays est précaire. Avant de rejoindre Pékin, Lula s'est arrêté à Shangaï où il a assisté à la cérémonie d'investiture de Dilma Rousseff, en tant que présidente de la Nouvelle Banque de développement, la banque des Brics (Brésil, Russie, Inde, Chine, Afrique du Sud), appelé le « G7 des émergents ». Cette banque vise à « aider à financer les économies en développement, en particulier dans les infrastructures et la transition énergétique durable ». Le dirigeant brésilien en a profité pour fustiger le Fonds monétaire international, qu'il a accusé d'« asphyxier les économies de pays comme l'Argentine » et estimé que la banque des Brics « a un grand potentiel de transformation », car elle « libère les pays émergents de la soumission aux institutions financières traditionnelles ».Les échanges entre le Brésil et la Chine ont atteint en 2022 un record de 152 milliards de dollars, loin devant les États-Unis (89 milliards). Un chiffre multiplié par vingt depuis la première visite de Lula, en 2004, avec un excédent de 28 milliards en faveur du Brésil. Le géant sud-américain vend des matières premières et achète des produits manufacturés à haute valeur ajoutée. La Chine est le premier partenaire commercial du Brésil, qui est également le premier récipiendaire des investissements chinois dans la région, avec 6 milliards de dollars en 2021, dans des secteurs stratégiques, comme les routes, les usines hydroélectriques et les télécommunications, en particulier en déployant le réseau 5G de Huawei malgré l'hostilité de Washington. Au terme de sa visite à Pékin, le président brésilien a signé quinze accords économiques couvrant des domaines tels que la technologie des satellites, l'économie numérique, les énergies renouvelables, l'industrie automobile et l'agro-industrie.Tant sur le plan diplomatique qu'économique, les deux pays ont décidé de développer leurs relations pour « se débarrasser de règles injustes et réaliser un développement plus juste et plus équilibré », selon les termes de Lula. Comme la Chine et la plupart des pays émergents, le Brésil n'a pas imposé de sanctions à l'encontre de la Russie. Le président Brésilien qui se refuse toujours à envoyer des munitions à l'Ukraine « au nom de la paix » a affirmé à Pékin que « les Etats-Unis doivent cesser d'encourager la guerre et parler de paix, l'Union européenne doit commencer à parler de paix ». Le porte-parole du Conseil de sécurité nationale américain a observé que « dans ce cas précis, le Brésil se fait l'écho de la propagande russe et chinoise sans prendre en compte les faits ». En revanche, le ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Lavrov, avant sa rencontre lundi avec le président Lula à Brasilia a déclaré : « Nous sommes reconnaissants envers nos amis brésiliens pour l'excellente compréhension de la genèse de cette situation » en Ukraine.Vous pouvez consulter notre politique de confidentialité sur https://art19.com/privacy ainsi que la notice de confidentialité de la Californie sur https://art19.com/privacy#do-not-sell-my-info.
En toute franchise, interview politique de Christophe Barbier
Christophe Barbier reçoit François Miquet-Marty, président de Viavoice, institut d'études et de conseil en opinions
Marine Aubaret est Business Designer, spécialisée dans l'optimisation de la productivité
Viavoice est un cabinet d'études et de tendances ⚖️
Ce jeudi 8 décembre, la polémique autour de la fortune des Arnault, la chance ou le danger de l'intelligence artificielle, la vérité sur les problèmes d'énergie et les ETI en France , ont été abordé par Thibault Lanxade, PDG du groupe Luminess, et François Miquet-Marty, président de Viavoice, reçus par Laure Closier et Christophe Jakubyszyn dans l'émission Good Morning Business sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
Ce jeudi 8 décembre, Laure Closier et Christophe Jakubyszyn ont reçu Adrien Pagès, PDG et co-fondateur de Morfo, Olivier Duha, PDG de Webhelp et auteur de "Think human. La révolution de l'expérience client à l'heure du digital", Philippe Boucly, président de France Hydrogène et conseiller spécial de GRT gaz, Nicolas Julia, PDG et Co-fondateur de Sorare, Thibault Lanxade, PDG de Luminess, et François Miquet-Marty, président de Viavoice, dans l'émission Good Morning Business sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
Ce vendredi 14 octobre, les résultats de LVMH qui ne correspondent pas au reste de l'économie mondiale et la situation de TotalEnergies avec la hausse de salaire de 7% ont été abordés par Benaouda Abdeddaïm, éditorialiste BFM Business, Marc Fiorentino, essayiste et spécialiste des marchés financiers, et François Miquet-Marty, président de Viavoice, reçu par Laure Closier et Christophe Jakubyszyn dans l'émission Good Morning Business sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
Ce vendredi 23 septembre, les résultats d'une étude sur le moral des décideurs a été abordé parFrançois Miquet-Marty, Président de Viavoice, Marc Fiorentino, éditorialiste BFM Business, et Emmanuel Lechypre, éditorialiste BFM Business, reçu par Laure Closier et Christophe Jakubyszyn dans l'émission Good Morning Business sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
Ce vendredi 23 septembre, Laure Closier et Christophe Jakubyszyn ont reçu Lucas Verre, cofondateur et PDG de Prophesee, Eric Plat, PDG d'Atol les Opticiens, Olivier Lombard, fondateur et président d'Hopium, Nicolas Notebaert, directeur général de VINCI Concessions et président de VINCI Airports, François Miquet-Marty, président de Viavoice, Marc Fiorentino, essayiste, et Emmanuel Lechypre, éditorialiste éco de BFM Business, dans l'émission Good Morning Business sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
Echange entre Dominique Reynié, politologue, directeur général de la Fondation pour l'innovation politique face à Adrien Broche, Chargé d'études à l'institut Viavoice
« Inflation, réforme de l'assurance chômage, retraites… La rentrée sociale sera explosive, prévient Libération. À gauche comme chez les syndicats, tous en sont certains. "Je sens que ça bout, tous les éléments sont là", gage Aurélie Trouvé, députée insoumise, issue de l'organisation altermondialiste Attac. L'Insee prévoit un pic d'inflation autour de 7 % à la rentrée, de quoi gonfler le prix des fournitures scolaires et de l'essence. La réponse du gouvernement ? "Il reste arc-bouté sur un message ultralibéral. Ce qu'il n'a pas entendu dans les urnes, il faudra lui faire comprendre dans la rue", tempête le porte-parole communiste, Ian Brossat. » Commentaire de Libération : « Cette rentrée-ci, c'est de la nitroglycérine ». Libération qui s'appuie sur un sondage Viavoice selon lequel « 68 % des Français anticipent une rentrée agitée, sous le signe de mouvements sociaux d'ampleur. Après un été les yeux rivés sur les prix, ce qui les inquiète le plus, c'est évidemment le pouvoir d'achat. Le paquet législatif adopté par le Parlement au début du mois n'a pas soldé le sujet, loin de là ! », s'exclame encore Libération. « Et parlez aux Français de la réforme de l'assurance-chômage, de celle du RSA, du mutisme sur les salaires et des incertitudes concernant le recul de l'âge de la retraite… Vous verrez. » Un paysage politique éclaté « La rentrée est toujours annoncée comme "chaude", rappelle pour sa part Le Figaro. Cette année n'échappe pas à la tradition. Il est vrai que le retour de l'inflation, la flambée des prix de l'énergie, les conséquences de la guerre en Ukraine suscitent des craintes et des tensions. Mais, à ce climat, s'ajoute un contexte inédit, relève le quotidien de droite : un paysage politique éclaté comme jamais. Le président de la République et son gouvernement ne disposent pas d'une majorité absolue, et donc d'une totale liberté d'action. Quant à l'opposition, si elle est plurielle, elle est surtout répartie entre les deux extrêmes, à gauche et à droite. Dans ces conditions, s'interroge Le Figaro, Emmanuel Macron va-t-il pouvoir conduire les réformes qu'il entend entreprendre ? Rien n'est moins sûr, tellement l'adversité est forte. » Macron indéchiffrable ? Qui plus est, pointe Le Monde, le chef de l'État est critiqué également dans son propre camp… « Si les temps sont troublés, ils permettent de camoufler le fait que le cap d'Emmanuel Macron l'est, lui aussi. Depuis qu'il a lancé sa campagne pour sa réélection, en février, l'ancien ministre de l'Économie ne parvient pas à expliquer le but qu'il a fixé à son nouveau mandat. Le réformateur échevelé a vécu ; ses amis pointent un "manque de projection stratégique", voire s'agacent d'un pouvoir qui "patauge". "Ce quinquennat semble avancer semestre par semestre, au gré d'une gestion de crise permanente, explique l'ancienne "plume" du chef de l'État, Sylvain Fort. Cette prudence manifeste sans doute la conscience de la menace que font peser les crises exogènes, qui supposent de ne pas fragiliser le national. » D'où cette interrogation de L'Opinion : « Le président s'appuierait-il sur les risques extérieurs pour minimiser sa relative impuissance interne et justifier une forme de résignation à la donne post-législative ? Pour ses proches et ses soutiens, le chef de l'État demeure une énigme que le silence de ses vacances et sa solitude renforcée rendent encore plus indéchiffrable et lointaine ». Urgence climatique : quelque chose est en marche ? À lire également cette fois dans La Croix : la prise de conscience des Français face à l'ampleur du réchauffement climatique… « Il n'est plus possible de détourner le regard, affirme La Croix. Ni de le porter systématiquement, et un brin dédaigneusement, sur les seuls pays en développement. Les effets du réchauffement climatique ont explosé cet été, sous nos yeux d'Occidentaux impuissants. Au-delà de l'émotion, une mise au pied du mur. Et une prise de conscience que l'on veut croire, à l'instar de notre responsabilité, collective. Et durable. (…) Quelque chose est en marche, s'exclame encore La Croix, de l'ordre d'un changement de paradigme, qui nous oblige tous. Le temps est à l'action. Et l'attention portée à la rentrée au pouvoir d'achat des Français ne devra pas occulter l'urgence qu'il y a à décarboner notre économie. À l'image de cet été brûlant, le prix à payer en serait écrasant. »
Dimanche politique reçoit Stewart Chau, directeur des Études politiques et sociétales à l'Institut de sondages Viavoice. Auteur de « L'Opinion des émotions », éditions de l'Aube et Fondation Jean-Jaurès.
Dimanche politique reçoit Adrien Broche, consultant Opinion au Cabinet d'études et de sondages Viavoice.
durée : 00:43:05 - Le Temps du débat d'été - par : François Saltiel - L'inflation s'emballe en France avec 5,8% au moins de juin. Le gouvernement doit annoncer cette semaine son projet de loi de finances rectificatives et présenter les mesures d'urgence pour la protection du pouvoir d'achat. Mais quels défis imposent cette inflation aux enjeux hautement politiques ? - invités : Stewart Chau Directeur des études politiques et opinion chez Viavoice; Anne Eydoux Maîtresse de conférences d'économie au Cnam, chercheuse au Centre d'études de l'emploi et du travail (CEET) et au Laboratoire interdisciplinaire de sociologie économique (Lise), membre des Economistes atterrés; Michel-Pierre Chelini Professeur d'histoire économique contemporaine
durée : 00:43:05 - Le Temps du débat d'été - par : François Saltiel - L'inflation s'emballe en France avec 5,8% au moins de juin. Le gouvernement doit annoncer cette semaine son projet de loi de finances rectificatives et présenter les mesures d'urgence pour la protection du pouvoir d'achat. Mais quels défis imposent cette inflation aux enjeux hautement politiques ? - invités : Stewart Chau Directeur des études politiques et opinion chez Viavoice; Anne Eydoux Maîtresse de conférences d'économie au Cnam, chercheuse au Centre d'études de l'emploi et du travail (CEET) et au Laboratoire interdisciplinaire de sociologie économique (Lise), membre des Economistes atterrés; Michel-Pierre Chelini Professeur d'histoire économique contemporaine
durée : 00:02:41 - C'est mon boulot - par : Philippe DUPORT - Selon le baromètre de la vie au travail ViaVoice, avec la Mutuelle familiale, BloomTime et franceinfo, deux tiers des salariés pensent que le lien humain qui prévalait par le passé entre salariés se détériore ainsi que le sens donné au travail.
durée : 01:34:45 - Le Grand Face-à-face - Le Grand Face-à-face XXL, en public depuis Cergy, avec Eva Sadoun, entrepreneuse et activiste, Stewart Chau, directeur des études politiques et opinion à l'institut de sondage ViaVoice, et Maxime Lledo, journaliste, essayiste. Débat autour de la jeunesse ou plutôt des jeunesses françaises.
durée : 01:34:45 - Le Grand Face-à-face - Le Grand Face-à-face XXL, en public depuis Cergy, avec Eva Sadoun, entrepreneuse et activiste, Stewart Chau, directeur des études politiques et opinion à l'institut de sondage ViaVoice, et Maxime Lledo, journaliste, essayiste. Débat autour de la jeunesse ou plutôt des jeunesses françaises.
durée : 01:34:45 - Le Grand Face-à-face - Le Grand Face-à-face XXL, en public depuis Cergy, avec Eva Sadoun, entrepreneuse et activiste, Stewart Chau, directeur des études politiques et opinion à l'institut de sondage ViaVoice, et Maxime Lledo, journaliste, essayiste. Débat autour de la jeunesse ou plutôt des jeunesses françaises.
Après la question de savoir qui sera le nouveau Premier ministre – on en parlait hier et on va en reparler dans quelques instants – la presse se projette encore plus loin ce jeudi et s'interroge d'ores et déjà sur les législatives de la mi-juin. Qui va l'emporter ? D'après le baromètre Harris Interactive pour Challenges, un sondage largement détaillé dans La Dépêche du Midi, l'union de la gauche, la NUPES, arriverait en tête des intentions de vote au plan national, avec 28% suivi de près par la majorité présidentielle, Renaissance, ex-LREM, avec 26%, et arrive en troisième position le Rassemblement national avec 24%. Toutefois, si la gauche arrivait donc en tête au premier tour, « cela ne suffirait pas pour la propulser au rang de première force politique dans la future Assemblée et Jean-Luc Mélenchon au poste de Premier ministre », pointe La Dépêche. C'est le camp présidentiel qui l'emporterait au second tour, avec entre 300 et 350 sièges, contre plus d'une centaine pour la NUPES. Elan à gauche mais… insuffisant ! Autre sondage, celui publié ce matin par Libération, qui conforte la dynamique à gauche : « l'union rallume la gauche », lance Libé en Une. « Selon une enquête Viavoice, 78% des sympathisants de gauche soutiennent l'alliance entre insoumis, écolos, socialistes et communistes. De quoi, malgré les désaccords, rêver d'une présence massive à l'Assemblée. » Alors, « un élan, certes mais jusqu'où et jusqu'à quand ? », s'interroge le journal. « Le pari est loin d'être gagné, pointe Libération. Certes, le bloc de gauche est haut dans les sondages à l'échelle nationale, mais la carte des résultats électoraux de Mélenchon au premier tour dessine une France coupée en deux. Très fort dans les centres-villes et les quartiers populaires, moins dans la France rurale et périphérique. Il n'est en tête que dans 104 circonscriptions, contre 256 pour Macron. Selon un sondage OpinionWay pour Les Echos, le camp du président réélu remporterait entre 310 et 350 sièges, soit la majorité absolue (correspondant au seuil de 289 députés). » Qui ! ? Et on revient au futur Premier ministre… dont on devrait connaître le nom « entre vendredi et lundi, mais rien n'est certain », pointent Les Dernières Nouvelles d'Alsace. « Plusieurs noms circulent, dont celui d'Élisabeth Borne, actuelle ministre du Travail. Le Canard Enchaîné évoque Audrey Azoulay, actuelle directrice générale de l'Unesco et ancienne ministre de la Culture. Si Emmanuel Macron nommait un homme, c'est Julien Denormandie, actuel ministre de l'Agriculture, qui revient le plus souvent dans les pronostics. » En tout cas, pour il ou elle, « la tâche sera rude », affirme Le Parisien. « Tenir la majorité durant les législatives ; faire passer la réforme des retraites ; ne pas faire d'ombre à Macron ; contenir la colère sociale et incarner l'enjeu climatique. » Chambardement économique mondial… Le tout dans un contexte économique mondial explosif… Attention, prévient Le Figaro en première page : « inflation, taux, croissance: le monde en état d'alerte. (…) Les banques centrales relèvent une à une les taux d'intérêt pour essayer de contrer la flambée des prix. Au risque de casser l'activité économique qui ralentit déjà partout. » Commentaire du Figaro : « Pour un quinquennat placé sous le signe du pouvoir d'achat et des tensions sociales, ce grand chambardement tombe bien mal. La cigale, ayant beaucoup trop chanté, se trouve aujourd'hui fort dépourvue. Au moment où le ciel s'assombrit, l'État serait bien inspiré de reprendre, enfin, la maîtrise de ses dépenses. À un mois des élections législatives, telle visiblement n'est pas la priorité du gouvernement, déplore Le Figaro, le gouvernement qui a encore signé hier pour plusieurs milliards d'euros de chèques sans provision. » Qui a tué la journaliste Shireen Abu Akleh ? Enfin la mort de la journaliste Shireen Abu Akleh, tuée hier matin par balle, lors d'une opération militaire de l'armée israélienne en Cisjordanie. « Israéliens et Palestiniens, constate Le Figaro, se rejettent la responsabilité de la mort de cette icône médiatique pour des millions de téléspectateurs dans le monde arabophone. » Le service CheckNews de Libération a analysé une dizaine de vidéos amateur tournées au moment des faits. « Elles attestent d'affrontements dans cette zone, et de la présence de soldats israéliens dans la rue où la journaliste Shireen Abu Akleh a été tuée. (…) Hier, les condamnations se sont multipliées au sein de la communauté internationale, des Etats-Unis à l'Union européenne, en passant par l'Unesco. Ces différents Etats et institutions appelant de leurs vœux une enquête 'transparente' et 'indépendante'. »
Les journalistes ont-ils mauvaise presse ? C'est la question récurrente que posent les Assises internationales du journalisme qui s'ouvrent ce lundi 9 mai à Tours, et dont RFI est partenaire. Comment les Français jugent le travail des journalistes et plus particulièrement celui fait pendant la campagne présidentielle ? Entretien avec Adrien Broche, consultant au cabinet d'études et de sondage Viavoice. ► À lire aussi : Présidentielle, guerre en Ukraine: ce que pensent les Français des journalistes Les 15e Assises internationales du journalisme, auront lieu à Tours, au Sud de Paris, du 9 au 13 mai, en partenariat avec France Télévisions, Radio France, le Journal du Dimanche et France Médias Monde.
La Fondation Pernod Ricard accueillait, jeudi 14 avril, la conférence "Le péril jeune", dans le cadre du cycle "S'inspirer, respirer", animé par Jean-Marie Durand. A cette occasion, nos trois invités ont pu débattre autour de la citation marconienne, "C'est dur d'avoir 20 ans en 2020", depuis leurs propres champs d'expertise, sociologique, militant et artistique : - Directeur des études politiques et opinion de l'institut de sondage Viavoice, Stewart Chau a co-écrit La Fracture (avec Frédéric Dabi, éditions Les Arènes, 2021), sur la génération des 18-30 ans, en véritable fracture avec ses précédentes. - Directrice de l'association Chemins d'avenir, Salomé Berlioux milite pour que les voix de la jeunesse, notamment en milieu rural, soit mieux entendues. Elle reviendra sur la nature et la portée de ses actions de sensibilisation aux enjeux de la jeunesse durant la campagne présidentielle. - Romancier (77, G.A.V, éditions Actes Sud), rappeur, Marin Fouqué radiographie la jeunesse contemporaine. Ses textes puissants captent de manière subtile et singulière les épreuves de sa génération désorientée. Ses mots traduisent une partie des maux de la jeunesse.
durée : 00:42:22 - Une semaine en France - par : Claire Servajean - Une semaine en France est avec François Miquet-Marty, le président de l'institut de sondages Viavoice, et l'auteur de « Les oubliés de la démocratie ». La sémiologue Mariette Darrigrand nous rejoindra également pour revenir sur le débat de mercredi dernier.
La campagne de l'entre-deux-tours de la présidentielle française bat son plein. Emmanuel Macron et Marine Le Pen multiplient les déplacements et tentent, l'un et l'autre, de rallier l'électorat de Jean-Luc Mélenchon. Marc Perelman, en partenariat avec Slate.fr et son fondateur Jean-Marie Colombani, en parlent avec Lydia Guirous, éditorialiste et essayiste, David Revault d'Allonnes du Journal du Dimanche et Stewart Chau, directeur des études politiques et opinion chez Viavoice.
Après sa défaite au premier tour, on revient sur la campagne de J.L Mélenchon. Quelle leçon en tirer ? Quelle suite pour l'ex candidat et la France Insoumise ?On en parle avec Stewart Chau, responsable des études politiques chez Viavoice.Mashup, chaque mercredi à 20h sur Twitch : https://www.twitch.tv/hugodecrypte----Notre invité : Stewart Chau, responsable des études politiques chez Viavoice, auteur de “La Fracture” aux éditions Les Arènes et de “L'opinion des émotions” aux éditions de l'AubeSon compte Twitter : https://twitter.com/StewartChau_----POUR SUIVRE MASHUP• Twitter: https://twitter.com/mashup_talk• Instagram: https://www.instagram.com/mashup_talk/• TikTok: https://www.tiktok.com/@mashup_talk----CRÉDITSPrésentateur : Hugo TraversProducteur : Julien PotiéRédactrice en chef : Anais LochonRéalisateur : Nicolas CardellIngénieur du son : Erwan JametÉdito : Alice DiemAssistant de production : Clément ChauletMonteur : Camille Paulet Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Lundi 11 avril 2022, BE SMART reçoit Wilfrid Galand (Directeur stratégiste, Montpensier finance) , Jean-Pierre Petit (président, Cahiers Verts de l'Économie) et François Miquet-Marty (président, Viavoice)
Dimanche politique reçoit Stewart Chau, responsable des Études politiques et sociétales à l'Institut de sondages Viavoice. Auteur de « L'opinion des émotions », qui vient de paraître (17 mars 2022), éditions de l'Aube et Fondation Jean-Jaurès.
Il y a ceux qui en parlent et ceux qui se taisent. Il y a ceux qui nomment leur cancer etd'autres qui évoquent une longue ou douloureuse maladie. En 2005, la chanteuse KylieMinogue est l'une des premières célébrités à médiatiser son cancer du sein, afin d'enpromouvoir le dépistage. Dix ans plus tard, l'actrice américaine Shannen Doherty rend elleaussi public son cancer du sein pour, dit-elle, « décomplexer les autres malades ». En France,Florent Pagny et Jean-Pierre Pernaud ont récemment révélé souffrir d'un cancer du poumon.Clémentine Célarié d'un cancer colorectal. A l'inverse, le créateur Virgil Abloh, directeurartistique de Louis Vuitton Homme, décédé le 28 novembre 2021, avait fait le choix de ne pasdévoiler sa maladie.Alors que plus de 380 000 Français sont diagnostiqués chaque année, en parler restedélicat. Le cancer est-il encore un sujet tabou ? Les Français sont partagés. Selon unsondage de l'institut Viavoice pour l'association Rose up en septembre 2021, 23% pensentque le cancer est toujours tabou, 5% qu'il l'est même davantage qu'il y a 10 ans, quand 67%pensent qu'il l'est de moins en moins. Et puis, en parler, mais à qui ? A ses proches, donton anticipe la peine et l'inquiétude ? Au travail, dont on peut craindre les réactions de sonchef ou de ses collègues, autant qu'espérer un soutien ? En parler, mais pourquoi ?Pour répondre à toutes ces questions, Aline Perraudin reçoit la Dr Ophélie Soulié, psychiatrespécialiste en psycho-oncologie à l'Institut Curie, à Paris.CRÉDITSHypercondriaque est un podcast de Santé magazine animé par Aline PerraudinRédaction et réalisation : Nathalie Courret, Nicolas Jean et Aline PerraudinExtraits : Huffpost – Florent Pagny – 26/12/22 ; BFMTV – 27/09/18 ; RTL – 23/11/21 ;Franceinfo – 27/11/13Musique : François ClosIdentité graphique : Upian Communication : Marianne Meyniel et Farid AdouMise en ligne : 22 février 2022Enregistrements : 7 janvier et 18 février 2022 Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.
Le vote est souvent présenté comme un choix rationnel, mais dans le fond, est-ce qu'on vote vraiment avec sa tête ou avec son cœur ?Ces deux dernières années, à l'épreuve de la crise du Covid, on a éprouvé toute une palette d'émotions : de la peur face au virus, de la tristesse, parfois de l'espoir, et aujourd'hui pour certains, de la colère. Ces émotions vont-elles jouer dans le vote des Français ? Vont-elles avoir plus (ou moins) d'impact dans leur choix que leur condition sociale ou leurs revenus ?Le quinquennat d'Emmanuel Macron a également été marqué par la mobilisation des Gilets jaunes, un mouvement inédit dans sa durée et son intensité. Comment cette colère va-t-elle se matérialiser dans le scrutin présidentiel d'avril ?C'est ce sujet que le premier épisode du podcast « Je vote, tu votes, nous votons » va explorer, avec Martial Foucault, directeur du Centre de recherches politiques de Science Po-Cevipof.Dans sa conversation avec la journaliste de Public Sénat, Tâm Tran Huy, on découvre que la colère est associée aux extrêmes, la peur aux partis conservateurs et l'enthousiasme à Emmanuel Macron ! On s'interroge également sur les ressorts de l'élection de Donald Trump ou encore du Brexit. Références de l'épisodeAlgan Yann, Beasley Elisabeth, Cohen Daniel, Foucault Martial, Les origines du populisme. Enquête sur un schisme politique et social, Paris, Seuil, 2019.Marcus George E., Le citoyen sentimental, Paris, Presses de Sciences Po, 2008.Braud, Philippe, L'émotion en politique : problèmes d'analyse. Paris, Presses de Sciences Po, 1996.Sous la direction de Martial Foucault et Pascal Perrineau, La politique au microscope, 60 ans d'histoire du CEVIPOF, Presses de Sciences Po, 2021Election présidentielle : « Les émotions façonnent nos réactions à l'environnement », Le Monde, 2017Baromètre des émotions, Viavoice et Fondation Jean Jaurès, décembre 2021Comment les candidats à la présidentielle se saisissent de la colère des Français, Marion Ballet, The Conversation, janvier 2022-----Interview et narration : Tâm Tran HuyRéalisation sonore, montage et mixage : MajoraProdCréation musicale : MajoraProdDirection éditoriale : Perrine TarneaudProductrice exécutive : Elise ColetteProduction : Public Sénat et Cevipof-Sciences Po Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Mardi 1 février 2022, BE SMART reçoit François Miquet-Marty (président, Viavoice) , Mathieu Colas (fondateur, StarZdata) et Jean Christophe Alquier (Président fondateur, Alquier Communication)
Je connais l'amour de certains, ou certaines, pour le Journal du Dimanche, alors on ne pouvait pas passer à côté de l'interview d'Olivier Véran ce matin dans ses colonnes. Le ministre de la Santé y dévoile entre autres « les nouvelles règles sanitaires » applicables dès demain lundi et, « non, l'éloignement de la perspective d'être confinés ne serait pas due à l'approche de l'élection présidentielle », prévient le JDD mais bien « à la nature du supermutant » Omicron. Ainsi, dès ce lundi, « les personnes protégées par un rappel pourront notamment sortir librement si elles sont cas contact ». Ou comment « surveiller et punir » les non vaccinés, analyse le JDD. Plus largement, si l'épidémie de Delta n'est pas finie elle non plus, affirme Oliver Véran, comme Emmanuel Macron le soir du 31, il nous dit aussi que cette « 5ème vague de covid-19 est peut-être la dernière ». Mais au vu de l'histoire récente, la première leçon qu'on a envie de tirer, c'est probablement qu'il est urgent d'attendre avant de s'emballer. « Wait and see », comme disent les British. La mamie nazie Pour bien lire le présent, il faut paraît-il connaître et comprendre le passé. C'est sans doute la raison pour laquelle L'OBS nous présente cette semaine Imrgard Furchner, « la dactylo du camp nazi » du Stuthof. À 96 ans, elle s'est enfuie de sa maison de retraite, cet automne en Allemagne, pour échapper à son procès. Après avoir « commandé un taxi seule à l'aube », elle a finalement été rattrapée par les policiers, « trottinant avec son déambulateur sur l'avenue menant à l'aéroport de Hambourg ». Elle comparaît donc en ce moment devant les juges, relate L'OBS, comme plusieurs autres mamies et papis nazis avant elle ces dernières années. « Pour que les derniers survivants obtiennent justice », explique un avocat des parties civiles. « Une nouvelle Histoire de France » Pour mieux comprendre le passé, L'OBS nous livre par ailleurs « une nouvelle Histoire de France », car quel est « le pire pour une société vivante ? », nous interroge le magazine. Eh bien, c'est de « laisser son histoire prendre la poussière », lit-on, puisque « c'est l'assurance de ne plus pouvoir affronter l'avenir ». Alors, « pour répondre aux thuriféraires d'un roman national gravé dans le marbre », L'OBS prétend répondre en « ouvrant une trentaine de chapitres qui changent notre regard sur le passé », pour offrir « un récit historique enfin enrichi et renouvelé ».Trente dates sont ainsi revisitées : de « nos ancêtres les migrants », 45.000 ans avant JC, qui n'étaient pas des « européens de souche » et « encore moins des Gaulois », jusqu'à l'entrée de Simone Veil cet été au Panthéon, qui par sa propre histoire – « de l'extermination des juifs d'Europe à l'Union européenne » , incarne on ne peut mieux « la résilience de tout un continent » . Trente dates donc, au total, revues par L'OBS, en passant, par exemple par « les leçons d'Averroes », vers l'an 1230, ce savant arabe qui a permis aux européens de redécouvrir Aristote. Car « il faut le dire aux identitaires qui ne jurent que par la pureté des racines », écrit l'hebdo : « Aucune civilisation ne s'est jamais développée par génération spontanée. Mais toutes ont emprunté aux autres. » L'OBS ouvre finalement un vaste chantier, et il faut reconnaître que c'est plutôt réussi. Les leçons des centenaires Cette semaine dans les magazines, on trouve aussi les leçons des centenaires… À commencer par celles sur Molière, Jean-Baptiste Poquelin de son vrai nom. Quatre fois centenaire, s'il vous plait, et « toujours moderne », assure Le Figaro Magazine. En effet, le 15 janvier, on célébrera le 400ème anniversaire de la naissance du dramaturge, et Le Figaro nous explique pourquoi ses pièces « continuent à se jouer avec tant de succès » dans sa maison notamment, la Comédie-Française : parce que « leurs personnages nous ressemblent tant », encore aujourd'hui. Et vu le contexte actuel, c'est vrai qu'on peut relire sans peine « Le Médecin Malgré Lui », ou « Tartuffe », on n'en manque pas. Il y a aussi les centenaires vivants... C'est à lire dans Le Point, « les leçons de vie des centenaires ». Pour « surmonter la crise », le magazine nous propose « les conseils de ceux qui en ont vécu d'autres ». Des centenaires connus, à l'image de la résistante Odile Vasselot, ou de l'écrivain Michel Peyramaure, que l'on voit faire du tai-chi chez lui à Brive-La-Gaillarde. Ils livrent au Point « leurs manuels d'optimisme ». Les français « usés » et « indifférents à la présidentielle » Optimisme, c'est d'ailleurs un mot qui revient beaucoup ces jours-ci dans la presse. Il faut croire qu'on en a bien besoin car Le Point a « sondé les émotions des Français » et nous apprend, baromètre Viavoice à l'appui, qu'ils se sentent globalement « usés ». Et que la présidentielle ne les emballe pas. À la question « Quel sentiment ressentez-vous le plus souvent actuellement ? », ils sont 57% à répondre « la fatigue », 40% pour « l'incompréhension ». Quand 25%, 1/4 d'entre eux, se disent « indifférents » à la prochaine présidentielle, soit un recul de 18 points par rapport à mars 2021. Dieu ou l'alcool Et pour les plus pessimistes, il reste toujours Dieu ou... l'alcool. « Dieu et la science, les liaisons dangereuses ». Un dossier de L'Express cette semaine, enquête sur le best-seller « Dieu, la Science et les Preuves », avec une découverte ou redécouverte des croyances de quelques grands savants. Newton, par exemple qui faisait la part belle à la théologie, ou Einstein qui ne croyait pas en « un Dieu personnel comme celui révélé par les Églises ». Et il y a aussi l'alcool. Le Point nous apprend cette semaine qui sont les plus gros buveurs dans le monde. Les Français restent en tête pour le vin évidemment, plus de 6 litres par personne et par an, on est 8èmes du classement global. Mais figurez-vous que c'est aux Îles Cook qu'on boit le plus, avec plus de 13 litres, « principalement des spiritueux ». Alors que les Russes sont loin de l'image qu'on leur prête encore, l'alcoolisme a visiblement « fortement chuté », avec moins de 8 litres par personne et par an. Il y en a des surprises !
La France enregistre un nouveau record de contamination, mercredi 29 décembre avec plus de 208.000 nouveaux cas de Covid-19 recensés en 24 heures. Pour endiguer la flambée de la cinquième vague épidémique, et notamment freiner la propagation du variant Omicron, le gouvernement a annoncé la mise en place d'un pass vaccinal, qui viendra remplacer le pass sanitaire. Après avoir été examiné cette semaine par la commission des Lois à l'Assemblée nationale, il sera étudié par le Sénat, en vue d'une entrée en vigueur prévue le 15 janvier. Du côté de l'opposition, on grince des dents. Certains partis, notamment l'extrême droite et l'extrême gauche s'y sont montrés hostiles. « L'inquiétude que j'ai est que c'est une mesure qui n'est pas reconnue par les scientifiques et qui a plutôt tendance à diviser et à radicaliser », a estimé, Mélanie Vogel, sénatrice des Français de l'étranger et porte-parole du candidat écologiste, Yannick Jadot, sur le plateau des 4 vérités, jeudi 30 décembre, sur France 2. La responsable écologiste appelle avant tout à « lever les brevets » pour permettre une vaccination massive « dans le monde entier ». « C'est une question de responsabilité et de logique ». Élection présidentielle : une possible alliance avec Christiane Taubira ? À quatre mois du scrutin, Christiane Taubira fait irruption dans la campagne présidentielle, souhaitant se porter garante de l'unité de la gauche. Dans une tribune publiée dans le journal Le Monde, mercredi 29 décembre, l'ex-ministre de la Justice appelle les candidats de gauche à l'Élysée à joindre leurs forces et a annoncé qu'elle rendrait, d'ici à la mi-janvier, sa décision sur son éventuelle candidature. Selon elles, les « convergences » idéologiques des candidats de gauche sont « suffisantes pour nous permettre de gouverner ensemble cinq ans ». Elle y aborde notamment certaines pistes de rassemblement et rappelle que les forces de gauche sont « liées par un destin collectif qui transcende les péripéties personnelles ». Pour l'heure, cet appel semble rester lettre morte de la part des autres partis. « Nous voulons le rassemblement, mais nous pensons que c'est à l'écologie politique de repenser le projet du XXIe siècle », a rétorqué Mélanie Vogel. Pourtant, selon un sondage réalisé par Viavoice pour Libération, paru le 29 décembre, les sympathisants de gauche semblent favorables à la tenue d'une primaire à gauche. « Nous sommes aussi favorables à un rassemblement. La question, c'est la méthode. En 2017, nous nous sommes retirés pour un candidat. On s'est rendu compte que ça n'a pas marché. Beaucoup de personnes au sein du Parti socialiste sont parties pour soutenir Yannick Jadot », a-t-elle expliqué.
À quelque quatre mois maintenant de l'échéance, « comment être audible ? », s'interroge Le Figaro. « Alors que le débat de cette fin d'année tourne autour des conséquences de la flambée épidémique […] l'opposition peine à se faire entendre. Et les candidats à imprimer dans l'opinion », estime le quotidien. D'autant qu'à gauche, le paysage semble encore loin d'être dessiné. Union ou désunion ? Les Insoumis et les écologistes mettent en garde contre la première solution, note encore Le Figaro. Ils estiment « que l'injonction au rassemblement peut décourager les électeurs », alors que Christiane Taubira quant à elle passe « une tête entre les fêtes », nous dit Libération. Car dans les colonnes du Monde, l'ancienne Garde des Sceaux appelle une nouvelle fois au rassemblement. Elle s'est fixée jusqu'à la mi-janvier pour savoir si elle se porterait candidate, mais « à gauche, dit-elle, nos convergences sont suffisantes pour nous permettre de gouverner ensemble ». Elle parle d'un « destin collectif qui transcende les péripéties personnelles » mais pour l'heure, estime Libération, « personne ne connaît le projet de Taubira », et ses « soutiens [sont] encore très discrets ». Les attentes des électeurs de gauche Libération décortique d'ailleurs les attentes des électeurs de gauche, « divisés » eux aussi mais « pas résignés », sondage réalisé par Viavoice à l'appui. Une« radioscopie »qui souligne les« nombreux désaccords et les dégâts causés par les querelles d'appareil », mais qui « laisse aussi entrevoir des convergences sur les valeurs d'égalité et l'acceptation d'une primaire », peut-on lire. En effet, 49% des électeurs de gauche pensent « qu'il existe encore des valeurs qui les rassemblent ». Le verre est « à moitié plein »pour Libé mais il est aussi« à moitié vide » car, dans le même temps, 52% d'entre eux estiment que « ce qui les divise est plus important que ce qu'il les réunit ». Pour autant, plus des deux tiers des sondés voient l'idée d'une primaire ouverte comme une « bonne idée ». Or, attention, alerte de son côté L'Humanité, « un piège à cons » menace de toute façon la gauche, c'est l'abstention. « La désertion des urnes guette la présidentielle », estime le journal « fondé par Jean Jaurès », comme il aime à le rappeler. Or, « à l'évidence, analyse son édito, ne pas voter signifie soit nourrir le système libéral, soit créditer les extrêmes droites qui profitent du confusionnisme ambiant ». Les libertés réprimées en Russie et en Chine Les journaux français condamnent par ailleurs le recul de la démocratie en Russie. Après la dissolution de l'ONG Mémorial par la Cour suprême russe, « la mémoire verrouillée » titre l'édito du Monde. « La boucle est bouclée », nous dit-il car l'itinéraire de cette association de défense des droits de l'homme illustre finalement « l'évolution politique de la Russie de ces 30 dernières années ». Née à l'origine pour« faire la lumière sur la répression politique de l'URSS », elle est ainsi passée de« l'espoir démocratique au bannissement ». La Croix s'en inquiète également, comme de la situation en Chine où « les libertés sont réprimées également ». Pourtant, pour le quotidien catholique, si Vladimir Poutine et Xi Jinping assurent que leurs concitoyens n'attendent que « sécurité et prospérité », c'est tout le contraire. « Ceux et celles qu'ils pourchassent expriment justement, en réalité, leur soif d'indépendance ». C'est parce que « leurs attentes et leurs espoirs sont contagieux qu'ils sont brutalement réduits au silence ». Le nouveau roman de Michel Houellebecq Anéantir, c'est le titre du nouveau roman de Michel Houellebecq. Et sa promo est d'ores et déjà assurée, même si l'auteur n'en voulait pas, dans Le Parisien-Aujourd'hui en France, en Une de Libé ou encore en Une du Figaro qui nous présente Houellebecq comme un « miroir vrai de notre temps ». Trois ans après Sérotonine, « l'écrivain français le plus connu dans le monde revient avec un grand roman sur les maux de notre société », écrit Le Figaro. Libé, tout aussi conquis, nous parle d'un « superbe » livre à paraître le 7 janvier 2022. Il nous plonge avec un peu d'avance, dans la campagne présidentielle de 2027 et « oscille entre le tragique et l'ironie sans perdre espoir ». La mort de Sabine Weiss, photographe humaniste Elle était une « humaniste ». C'est en ces termes que Le Figaro et L'Humanité lui rendent hommage. La photographe Sabine Weiss s'est éteinte mercredi, à l'âge de 97 ans. Elle qui avait été « fêtée cet été aux dernières Rencontres d'Arles » rendez-vous incontournable des amoureux de la photo, souligne L'Humanité. « Figure majeure et dernière représentante »de la photo humaniste, ce « courant d'après-guerre qui privilégiait l'humain », comme son nom l'indique. Elle qui avait été propulsée par la légende Robert Doisneau au début des années 1950 et qui a « brossé le portrait de Braque, Giacometti, Niki de Saint Phalle, Jeanne Moreau ou encore Romy Schneider » et tant d'autres… On lui dit chapeau l'artiste et bon vent !
Jeudi 9 décembre 2021, BE SMART reçoit André Loesekrug-Pietri (directeur, JEDI) et François Miquet-Marty (président, Viavoice)
durée : 00:04:17 - Le monde d'après - par : Jean Marc FOUR - Le 1er janvier la France prendra la présidence de l'Union Européenne. Dans ce contexte paraissent deux enquêtes sur la relation des Français à l'Europe : l'une de Viavoice pour Radio France et France TV, l'autre de Kantar pour l'institut Delors. L'euroscepticisme qui s'en dégage est trompeur.
durée : 00:04:17 - Le monde d'après - par : Jean Marc FOUR - Le 1er janvier la France prendra la présidence de l'Union Européenne. Dans ce contexte paraissent deux enquêtes sur la relation des Français à l'Europe : l'une de Viavoice pour Radio France et France TV, l'autre de Kantar pour l'institut Delors. L'euroscepticisme qui s'en dégage est trompeur.
Le lancement du baromètre européen Viavoice pour Radio France, France Télévisions et France Médias Monde a pour ambition d'analyser le rapport des Français à l'Union européenne et ce qui sous-tend leurs perceptions. Cette première édition s'inscrit dans un contexte inédit. Crise sanitaire, crise environnementale et présidence française de l'UE : l'actualité présente et à venir place la question européenne au cœur des enjeux. Les grands enseignements de ce sondage avec Adrien Broche, consultant opinion auprès du cabinet Viavoice et co-réalisateur de cette étude.
Bruno LE MAIRE, Ministre de l'Économie, des Finances et de la Relance, auteur de « Un Éternel Soleil » aux éditions Albin Michel Arnaud ZEGIERMAN, Sociologue, co-fondateur de l'institut Viavoice, co-auteur avec Thierry Keller de « Entre déclin et grandeur » aux éditions de l'Aube Mathieu SOUQUIÈRE, Expert associé auprès de la Fondation Jean Jaurès, auteur de la note « ZEMMOUR : Feu de paille médiatique ou embrasement démocratique », co-auteur avec Damien Fleurot de « 2022 La flambée populiste » aux éditions Plon / Fondation Jean Jaurès Claudia SENIK, Professeure d'économie à Sorbonne-Université et à l'école d'économie de Paris, directrice scientifique de la Fondation pour les sciences sociales, auteure de « Sociétés en danger » aux éditions La Découverte Jean-Yves DORMAGEN, Professeur de science politique à l'Université de Montpellier, fondateur du laboratoire d'études de l'opinion “Cluster17”
Lundi 8 novembre 2021, BE SMART reçoit Jérôme Dedeyan (Associé, MonPartenairePatrimoine.com) , Isabelle Bordry (cofondatrice, Retency) et François Miquet-Marty (président, Viavoice)
Lundi 27 septembre 2021, BE SMART reçoit Thibaut Bechetoille (Président, CroissancePlus) , Julie de la Sablière (Fondatrice, Little Wing) et François Miquet-Marty (président, Viavoice)
L'invité politologue est Stewart Chau, responsable des études politiques et sociétales de l'Institut de sondages Viavoice. Co-auteur avec le directeur général de l'Ifop Frédéric Dabi de La Fracture, aux éditions Les Arènes.
durée : 00:03:14 - C'est mon boulot - par : Philippe DUPORT - La crise a éloigné bon nombre de salariés de leur entreprise. Un tiers a le sentiment de moins faire partie du collectif qu'avant. C'est l'un des enseignements du baromètre réalisé par Viavoice pour La Mutuelle Familiale, avec BloomTime et franceinfo.
Bonjour à tous !
Un sondage réalisé par Viavoice pour L’Exploratoire Sopra Steria Next révèle un monde de l’entreprise littéralement coupé en deux sur le sujet du maintien du télétravail après la crise sanitaire. Nicolas Barré fait le point sur une question d'actualité économique.
Un sondage réalisé par Viavoice pour L’Exploratoire Sopra Steria Next révèle un monde de l’entreprise littéralement coupé en deux sur le sujet du maintien du télétravail après la crise sanitaire. Nicolas Barré fait le point sur une question d'actualité économique.
L'invité politologue est Stewart Chau, consultant au cabinet d’études et de sondages Viavoice.
Jeremy Ghez, professeur associé d'économie à HEC Paris, était l'invité de Christophe Jakubyszyn dans Good Morning Business, ce lundi 1er mars. Il commente les résultats du baromètre Viavoice sur l'optimiste des cadres après la crise, sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
Un sondage Viavoice montre que les Français jugent très sévèrement la couverture de l'épidémie de Covid-19 par les télévisions, radios et journaux. C'est une étude qui montre une nouvelle fois la défiance des Français face à leurs médias, présentée aujourd'hui aux Assises internationales du journalisme de Tours, en partenariat avec France télévisions, le Journal du dimanche, Radio France et France Médias Monde, le groupe auquel appartient RFI. Stewart Chau, consultant au cabinet Viavoice, a dirigé cette étude. Il est notre invité.
Dans un contexte parfois plus que morose en raison de la pandémie de Covid-19, nombre de patrons appréhendent la rentrée. « Les entreprises regardent leur bilan dégringoler et piaffent d’impatience, s’exclame Le Parisien. Elles attendent le plan global de relance de 100 milliards d’euros qui sera dévoilé la semaine prochaine, sans doute le 2 septembre [Le Premier ministre Jean Castex a précisé ce mercredi que le plan serait annoncé le 3 septembre, NDLR]. » En attendant, donc, « les entreprises sont à la peine, avec une chute de croissance attendue à moins 11 % en 2020. »Certes, rappelle Le Parisien, « de nombreux patrons, petits et grands, savent ce qu’ils doivent à l’État. Plus de 450 milliards auront bientôt été mobilisés depuis le début de l’épidémie pour maintenir à flot une partie des sociétés de notre pays. Dispositifs de chômage partiel, prêts garantis, aides exceptionnelles… l’effort de guerre a été considérable et a permis jusqu’ici de limiter les défaillances. Mais au-delà de la trésorerie, c’est bien d’activité que manquent aujourd’hui beaucoup d’entreprises. » Le Medef confiant C’est dans ce contexte tendu donc que s’ouvre ce mercredi l’université d’été du Medef, le patronat français. Malgré la crise, son président Geoffroy Roux de Bézieux, interrogé par Le Figaro, affiche sa confiance en l’avenir. « Les entreprises françaises sont dans un meilleur état qu’en avril, affirme-t-il, même si elles n’ont pas retrouvé leur niveau d’activité d’avant-crise. La situation diffère selon les secteurs ; certains comme l’hôtellerie-restauration, la culture ou l’événementiel sont bien sûr plus impactés. Je suis cependant surpris par l’état d’esprit positif des entrepreneurs en cette rentrée. On n’est pas entrepreneur si on n’est pas optimiste ! poursuit le patron du Medef. D’ailleurs, les plans sociaux ne représentent à cette date que 50 000 suppressions de postes et il y a toujours 600 000 emplois à pourvoir à Pôle emploi. L’explosion du chômage vient davantage des non-embauches, notamment en CDD et intérim, que des licenciements. » Priorité aux emplois ! En tout cas, commente La Croix, « quand les temps sont durs, il est bon de pouvoir compter sur une collectivité nationale pour ne pas rester seul face aux périls. Et la collectivité a répondu présent (avec tous ces milliards mobilisés). Fait remarquable, pointe le quotidien catholique, ces mesures n’ont pas - ou presque - suscité de réactions critiques sur le thème du "cadeaux aux patrons". Comme si l’opinion publique et la plupart des forces politiques et syndicales avaient conscience que le soutien aux entreprises était dans l’intérêt général. Les dirigeants d’entreprise peuvent s’en réjouir. Mais aussi avoir en tête que ce soutien les oblige. Ce qui signifie, estime La Croix, mettre en priorité le maintien des emplois et des sites de production situés en France ainsi que favoriser la rémunération du travail - source de consommation - plutôt que celle du capital. » Emploi, santé, environnement : les priorités des Français Autre grand sujet à la Une de Libération : ce qu’attendent, cette fois les Français… Avec ce baromètre politique Viavoice publié par le journal : « Au registre des priorités des Français, "l’emploi" et plus concrètement la "lutte contre le chômage" (48 %) apparaissent comme la principale attente en cette rentrée. Parce que l’effet de la crise se fait déjà sentir, même si l’investissement massif dans le chômage partiel a porté ses fruits et que les milliards d’argent public continuent de pleuvoir, et parce que chacun anticipe que le pire en la matière n’est pas forcément derrière nous. Dans le même ordre de grandeur (46 %), le "système de santé, de soins" et plus largement la notion de "protection" sont jugés tout aussi prioritaires, juste devant "l’environnement" (40 %), après un été caniculaire, et le "pouvoir d’achat" (40 %), une thématique elle aussi liée à la crise économique. » À quel politique faire confiance ? Sur le plan politique, c’est le grand flou… « À moins de deux ans de la prochaine présidentielle, pointe Libération, seuls 39 % des Français déclarent qu’il existe actuellement "une personnalité politique" à laquelle ils feraient "confiance pour améliorer la situation de la France à l’avenir". Et 22 %, pas plus, souhaitent que l’actuel président renouvelle son mandat. » Commentaire de Libération : « Dans cette situation objectivement complexe, une carte majeure va faire défaut au chef de l’État : la confiance des Français. Au-delà de son noyau dur électoral, le charme des débuts s’est évanoui, le doute durablement installé. Les milliards mis sur la table depuis mars n’y ont pas changé grand-chose. La nomination d’un nouveau Premier ministre non plus. » Bref, conclut Libé, « rentrée à risques… » Messi sur le départ… Enfin, en première page de L’Équipe, un visage, celui de Lionel Messi, et une question : « Adios ? » Eh bien oui, « Messi claque la porte, s’exclame le quotidien sportif. L’Argentin a indiqué hier au Barça qu’il souhaitait partir. Cette fois-ci, sa décision semble définitive, même si son club va tout faire pour le retenir. » Le sextuple Ballon d’or vaut cher… très cher… même s’il a 33 ans, âge canonique pour un footballeur. Entre 70 et 110 millions d’euros, selon L’Équipe. Quel club aurait les moyens de se le payer ? Le PSG ? Impossible, répondent les décideurs parisiens interrogés par le journal. Alors où pourrait-il poser ses valises ? Réponse du Parisien : « La destination la plus crédible l’envoie du côté de la Premier League, où Manchester City dispose de tout l’éventail susceptible de l’attirer : le championnat le plus puissant de la planète, une farouche volonté de décrocher sa première Ligue des champions, une surface financière considérable et surtout Pep Guardiola, un entraîneur avec lequel il a tout remporté et sous la direction duquel il n’a sans doute jamais été si fort. »
L'invité de Dimanche politique est Stewart Chau, consultant au cabinet d'études et de sondages Viavoice.
Dimanche politique reçoit Stewart Chau, consultant au Cabinet d’études et de sondages Viavoice.
Laïcité, que de cris on émet en ton nom !Selon une enquête ViaVoice pour l’Observatoire de la laïcité réalisé en novembre 2018, trois sondés sur quatre se déclaraient attachés à ce principe. Les deux tiers (69%) des personnes interrogées jugent que la laïcité est « un principe républicain essentiel » et quatre sur cinq (79%) qu’elle n’est « ni de droite ni de gauche ».Mais on note des disparités entre catégories de la population. « Les personnes les plus aisées (cadres, CSP+) ou plus âgées (retraités) sont à la fois les mieux informées et les plus attachées à la laïcité ». Les réponses divergent, de même, assez largement en fonction de la religion des répondants. 72% des protestants et 60% des catholiques considèrent que la laïcité, du moins dans ses principes juridiques, protège les pratiquants des différentes religions, tandis que moins d’un musulman sur deux (45%) en est convaincu.Interrogés sur l’avenir, le sondés sont 57% à juger que « la montée des intolérances entre les différentes communautés religieuses » constitue la principale difficulté à laquelle sera confrontée la laïcité en France. Arrivent ensuite, pour 44% les « crispations engendrées par le port de signes visibles de certaines religions ».Ces crispations sont anciennes : l’affaire du foulard de Creil en 1989, la première polémique sur les parents accompagnateurs des activités périscolaires en 2006, l’affaire de la crèche Baby-Loup en 2008, la polémique sur le port du voile dans les universités en 2013, à celle sur le burkini à l’été 2016, celle sur le voile pour courir de Décathlon en janvier 2019, ou celle de l’affiche de la Fédération des conseils de parents d’élèves en septembre dernier et, récemment, la pprise à partie d’une femme voilée dans le public du conseil régional de Bourgogne-Franche-Comté par le député du Rassemblement national Julien Odoul. Dans cette dernière affaire, la macronie a fait entendre des voix dissonantes. Pour le ministre de l’Éducation nationale, Jean-Michel Blanquer, ce que le voile islamique « dit de la condition féminine n’est pas conforme à nos valeurs », et il « n’est pas souhaitable dans notre société » Le député du Val d’Oise, Aurélien Taché, porte-drapeau de l’aile gauche de la majorité charge le ministre insinue que le ministre fait le jeu du Rassemblement national. Le Premier ministre tente de calmer le jeu en déclarant que « l’accompagnant scolaire est un collaborateur occasionnel du service public. Dans le droit actuel, il n’est pas tenu au principe de neutralité. » Sans ligne directrice sur la laïcité, la majorité se divise espère une prise de parole du président. Mais celle-ci se fait attendre.***Blocage en Israël Les élections du 17 septembre dernier ont confirmé la situation de blocage en Israël. Comme lors des élections du 9 avril dernier, le parti de droite nationaliste du Premier Ministre Benyamin Netanyahou, le Likoud, a fait jeu égal avec l'alliance centriste Bleu et Blanc de l'ancien général Benny Gantz. Ces résultats ont clos une campagne tendue, marquée par un fort usage par le Likoud de fausses informations et de tentatives de pressions visant à décourager le vote de l'électorat arabe qui lui est traditionnellement hostile. Chargé de former un gouvernement par le Président Reuven Rivlin, Benyamin Netanyahou a annoncé avoir échoué le 21 octobre, faisant porter à àBenny Gantz la responsabilité de cet échec. Les analystes politiques ne donnent pas à l’ex-général davantage de chances de réussir à former un gouvernement qu’a Premeirministre sortant. Netanyahou pouvait compter sur deux partis ultra-orthodoxes (Shaset Judaïsme Unifié de la Torah), tandis que Benny Gantz a reçu le soutien de la gauche et de Liste unifiée, arabe, qui a réalisé un score historique, la plaçant à la 3ème place. Il s’agit toutefois d’un soutien sans participation. Seul parti refusant d'appuyer un des deux blocs, le parti laïc d'extrême droite Israel Beytenou d'Avigdor Liberman, ancien proche de Netayahou, se pose en faiseur de roi. Liberman refuse jusqu'ici d'appuyer le bloc de droite de Netanyahou du fait du soutien des ultra-orthodoxes ainsi que le bloc centriste de Benny Gantz du fait de l'appui reçu par la liste arabe. En cas d'échec de Benny Gantz à former un gouvernement minoritaire (cas improbable dans lequel Liberman accepterait de ne pas voter contre l'investiture de Gantz), un gouvernement d'union nationale entre les deux principaux partis pourrait être présenté à la Knesset. Pour le moment, cette solution a été refusée par Netanyahou qui refuse de lâcher ses alliés ultra-orthodoxes et par Gantz car elle permettrait à Netanyahou de rester au pouvoir, ce que le dirigeant Bleu et blanc refuse du fait des accusations qui pèsent sur le Premier ministre sortant. Dans ces affaires de corruption, Netanyahou pourrait être inculpé d'ici au 15 décembre. Face aux risques de renversement par les instances du parti inquiètes que les affaires judiciaires de leur chef ne rejaillissent sur le Likoud, Netanyahou s'est employé ces dernières semaines à museler toute rébellion dans les rangs du parti, jusqu'ici avec succès. En cas d'impasse,de nouvelles élections pourraient avoir lieu en mars 2020, les 3èmes en moins d'unan.
Dimanche politique reçoit Stewart Chau, consultant au Cabinet d’études et de sondages Viavoice.
Synonyme d’oppression pour certain·e·s, expression de la liberté de culte pour d’autres, l’évoquer revient à ouvrir la boîte de Pandore. Le débat public autour des différents foulards portés par les musulmanes, réduits au terme de voile, se cristallise souvent sur son interdiction ou non.En quoi réguler le port du foulard peut aller à l’encontre de la liberté des femmes à disposer elle-mêmes de leur corps ? Comment certains arguments de ses détracteur·rice·s relèvent de l’islamophobie ou du sexisme ?Grace Ly et Rokhaya Diallo reçoivent Nadiya Lazzouni, journaliste, productrice et fondatrice du Speak Up Channel, un média créé en 2017. À travers son expérience, elle explique ce qui, selon elle, est à l’origine de cette obsession française.RÉFÉRENCES CITÉES DANS L’ÉMISSION« Hijab de running » de Decathlon – Débat dans l’émission « Morandini Live » sur CNews et Non Stop People (jeanmarcmorandini.com, Dailymotion, 2019), Que signifie le port du voile ? (@quatremer, Twitter, 26 février 2019), Le hijab de Decathlon fait scandale (BFM Story, BFMTV, 26 février 2019), État des lieux de la laïcité en France (Etude d’opinion réalisée par Viavoice pour l’Observatoire de la laïcité, janvier 2019), Projet de loi pour une école de la confiance (version modifiée par le Sénat le 21 mai 2019), Joan Wallach ScottCRÉDITS Kiffe ta race est un podcast de Rokhaya Diallo et Grace Ly produit par Binge Audio. Réalisation : Quentin Bresson. Générique : Shkyd. Chargée de production : Juliette Livartowski. Chargée d’édition : Diane Jean. Identité graphique : Manon Louvard (Upian). Direction des programmes : Joël Ronez. Direction de la rédaction : David Carzon. Direction générale : Gabrielle Boeri-Charles. See acast.com/privacy for privacy and opt-out information.
« Pas viril », « petite bite », « crevette » : les hommes asiatiques sont souvent moqués, marginalisés, dé-virilisés et dé-sexualisés. Exclus du marché de la séduction, ou au contraire fétichisés, les hommes asiatiques n’existent quasiment pas dans les représentations de la séduction. Pour beaucoup, ils appartiennent à un seul et même modèle - l’homme asiatique - sans distinction d’origines, et ne peuvent accéder à la virilité qui est incarnée par l’homme blanc.Qu’est ce que ça fait d’être un homme asiatique dans un pays en majorité blanche ? Comment se construisent les identités masculines asiatiques ?Pour répondre à ces questions, Grace Ly et Victoire Tuaillon - du podcast Les couilles sur la table - se penchent sur les articulations entre race et genre en compagnie de deux invités, tous deux hommes et asiatiques, qui partagent leur témoignage et leur vécu. Franco-cambodgien, Stewart Chau est consultant à l’institut Viavoice et diplômé en sociologie. Stéphane Ly-Cuong, d’origine vietnamienne, est né et a grandi en France, il est réalisateur, auteur et metteur en scène.RÉFÉRENCES CITÉES DANS L’ÉMISSIONRetrouvez toutes les références citées dans cet épisode sur www.binge.audioCRÉDITSKiffe ta race est un podcast de Rokhaya Diallo et Grace Ly produit par Binge Audio. Réalisation : Quentin Bresson. Générique : Shkyd. Chargée de production : Juliette Livartowski. Chargée d’édition : Camille Regache. Identité graphique : Manon Louvard (Upian). Direction des programmes : Joël Ronez. Direction de la rédaction : David Carzon. Direction générale : Gabrielle Boeri-Charles. See acast.com/privacy for privacy and opt-out information.
« Pas viril », « petite bite », « crevette » : les hommes asiatiques sont souvent moqués, marginalisés, dé-virilisés et dé-sexualisés. Exclus du marché de la séduction, ou au contraire fétichisés, les hommes asiatiques n’existent quasiment pas dans les représentations de la séduction. Pour beaucoup, ils appartiennent à un seul et même modèle - l’homme asiatique - sans distinction d’origines, et ne peuvent accéder à la virilité qui est incarnée par l’homme blanc.Qu’est ce que ça fait d’être un homme asiatique dans un pays en majorité blanche ? Comment se construisent les identités masculines asiatiques ?Pour répondre à ces questions, Victoire Tuaillon et Grace Ly - du podcast Kiffe ta Race - se penchent sur les articulations entre race et genre en compagnie de deux invités, tous deux hommes et asiatiques, qui partagent leur témoignage et leur vécu. Franco-cambodgien, Stewart Chau est consultant à l’institut Viavoice diplômé en sociologie. Stéphane Ly-Cuong, d’origine vietnamienne, est né et a grandi en France, il est réalisateur, auteur et metteur en scène.RÉFÉRENCES CITÉES DANS L’ÉMISSIONRetrouvez toutes les références citées dans cet épisode sur www.binge.audioCRÉDITSLes couilles sur la table est un podcast de Victoire Tuaillon produit par Binge Audio. Réalisation : Quentin Bresson. Stagiaire : Nadia Chapelle. Générique : Théo Boulenger. Chargée de production : Juliette Livartowski. Chargée d’édition : Camille Regache. Direction des programmes : Joël Ronez. Direction de la rédaction : David Carzon. Direction générale : Gabrielle Boeri-Charles. See acast.com/privacy for privacy and opt-out information.
Ce mercredi 31 mars, Marie Lebec, députée des Yvelines, vice-présidente de LREM à l'Assemblée nationale, Jacques Creyssel, déléguée de la Fédération du Commerce et de la Distribution (FCD), Stewart Chau, consultant en stratégie d'opinion chez Viavoice, Emmanuel Lechypre, éditorialiste de BFM Business, Bertrand Badré, ex-directeur général de la Banque mondiale, Christopher Dembik, directeur associé chez Berenberg, et Arthur Barillas, président et cofondateur d'Ovrsea, étaient les invités dans l'émission Le Grand Journal de l'Éco présentée par Stéphane Pedrazzi.Support this podcast at — https://redcircle.com/le-grand-journal-de-leco/donationsAdvertising Inquiries: https://redcircle.com/brandsPrivacy & Opt-Out: https://redcircle.com/privacy
Ce mercredi 31 mars, Marie Lebec, députée des Yvelines, vice-présidente de LREM à l'Assemblée nationale, a abordé la prise de parole d'Emmanuel Macron de ce soir, Jacques Creyssel, déléguée de la Fédération du Commerce et de la Distribution (FCD), s'est penché sur la prise de parole d'Emmanuel Macron de ce soir, Stewart Chau, consultant en stratégie d'opinion chez Viavoice, et Emmanuel Lechypre, éditorialiste de BFM Business, se sont penchés sur la réaction des Français sur l'éventualité d'un nouveau confinement, dans l'émission Le Grand Journal de l'Éco présentée par Stéphane Pedrazzi.Support this podcast at — https://redcircle.com/le-grand-journal-de-leco/donationsAdvertising Inquiries: https://redcircle.com/brandsPrivacy & Opt-Out: https://redcircle.com/privacy