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D'abord reportée puis décalée puis recalée, la loi immigration est l'objet de beaucoup de tergiversations en Macronie. Un texte, deux textes, puis finalement un texte... Pourquoi de tels revirements ? Dans ce nouveau podcast du service politique, Thomas Soulié, entouré de Benjamin Duhamel et Alexis Cuvillier, vous expliquent la genèse et vous livrent les coulisses de cette loi maudite pour le Président.
Der SPD-Außenpolitiker Andreas Larem hat angesichts der Repressionen gegen iranische Sportler einen Ausschluss des Iran aus dem Weltsport gefordert. „Die Weltverbände sollten hier wirklich ein Zeichen setzen“, sagte Larem im Deutschlandfunk.www.deutschlandfunk.de, Sport am FeiertagDirekter Link zur Audiodatei
Der SPD-Außenpolitiker Andreas Larem hat angesichts der Repressionen gegen iranische Sportler einen Ausschluss des Iran aus dem Weltsport gefordert. „Die Weltverbände sollten hier wirklich ein Zeichen setzen“, sagte Larem im Deutschlandfunk.www.deutschlandfunk.de, Sport am FeiertagDirekter Link zur Audiodatei
Der SPD-Außenpolitiker zeigt sich im Morgeninterview bei Politik mit Stil beeindruckt vom Votum der UN-Vollversammlung zur völkerrechtswidrigen Annexion weiterer Teile der Ukraine. Natürlich werde Putin dieses Votum erstmal wenig beeindrucken, so der SPD-Politiker. Das eindeutige Votum werde aber Russland weiter isolieren. Beim Thema Waffenlieferungen rät Larem zu Besonnenheit und Abwägung und nennt die Diskussion über Waffenlieferungen „unsäglich“.
Aurore Bergé, députée des Yvelines, présidente de LAREM à l'Assemblée Nationale et conseillère régionale IDF, répond aux questions de Lionel Gougelot au sujet de l'ambiance à l'Assemblée nationale, du pouvoir d'achat et de l'emploi.
Frédéric Descrozaille, député LaREM du Val-de-Marne et co-auteur de la web série Legislators, évoque la nouvelle composition de l'Assemblée nationale.
NieDoMówienia, czyli rozmowy niezobowiązujące Artura Andrusa w RMF Classic
Aurore Bergé, députée LaREM des Yvelines était, ce jeudi 16 juin, l'invitée du matin de RFI. Au micro de Frédéric Rivière, elle évoque le déplacement d'Emmanuel Macron, accompagné de Mario Draghi et Olaf Scholz, à Kiev, ainsi que la demande d'adhésion de l'Ukraine à l'Union européenne.
Jérôme Peyrat, qui était investi par La République en Marche dans la 4? circonscription de Dordogne, a annoncé ce mercredi à 17h le retrait sa candidature aux élections législatives. Le maire de La Roque-Gageac depuis 1995 a été condamné pour violences conjugales en 2020 par le tribunal correctionnel d'Angoulême pour avoir giflé son ex-compagne. "Après LFI, le naufrage LaREM", réagit Jean-Michel Aphatie. Douze centrales nucléaires sur 56 sont à l'arrêt en France. Au début, on pensait que cela était provisoire, mais il semble durer et commence à peser sur la production électrique française. En cause, des problèmes de corrosion. Selon Marc Touati, "le nucléaire français est en danger". Pour entrer dans l'OTAN, la Finlande et la Suède ont besoin de l'accord de tous les pays membres. Cependant, la Turquie s'oppose à l'élargissement de l'organisation. Recep Tayyip Erdogan reproche à ces deux pays d'avoir accordé le droit d'asile à des militants kurdes. "Erdogan, le boulet de l'OTAN", réagit Abnousse Shalmani. Du lundi au vendredi, à partir de 18h, David Pujadas apporte toute son expertise pour analyser l'actualité du jour avec pédagogie.
Durant le quinquennat, 50 députés investis par LaREM en 2017 ont quitté le groupe ou ont été exclu avec parfois des mots très durs contre le gouvernement.
Laurent Saint-Martin, député LaREM du Val-de-Marne et rapporteur général du budget de l'Assemblée nationale, était, ce lundi 9 mai, l'invité du matin de RFI. Au micro de Frédéric Rivière, il évoque la rencontre d'Emmanuel Macron et du chancelier allemand Olaf Scholz ainsi que les élections législatives des 12 et 19 juin prochains.
Chaque matin sur BFM RADIO, notre éditorialiste Matthieu Croissandeau analyse l'actualité politique tout en dévoilant les coulisses du pouvoir. L'occasion aussi de donner quelques coups de griffe à ceux qui nous dirigent.
En vue des législatives, "Ensemble" va rassembler tous les mouvements autour de la majorité présidentielle actuelle.
L'invité de Mardi politique est Gilles Le Gendre (@GillesLeGendre), député LaREM de Paris et fondateur du think tank « Le Défi démocratique ». Gilles Le Gendre est interrogé par : - Frédéric Rivière (RFI) - Roselyne Febvre (France 24) Live-tweet @MardiPolitique #MardiPol Diffusions : - 18h10-18h50 sur France 24 - 19h10-19h50 sur RFI
Elizabeth Martichoux poursuit son aventure à LCI et conserve les commandes de l'Interview Politique de 8H30. Avec son long format, Elizabeth Martichoux recevra, du lundi au vendredi, un invité au coeur des enjeux de la présidentielle, politique ou membre de la société civile.
Plusieurs fois ministre, athlète de haut niveau, avocate : l'Allemande Anke Rehlinger, 46 ans, est une étoile montante du centre gauche allemand. Elle a fait basculer la région de la Sarre dans le giron du SPD en s'offrant même la majorité absolue à l'élection législative de dimanche dernier, après 28 ans de présence de la CDU à la tête de ce petit land frontalier de la France. Fin 2021, Anke Rehninger était réélue vice-présidente du SPD. Et ce jour-là, dans la foulée des législatives fédérales de septembre, elle annonçait clairement la couleur : « Il ne faut pas que les législatives soient un succès sans lendemain ! Je vais tout faire pour que le SPD devienne la première force de Sarre », déclarait-elle devant les membres du parti en promettant de troquer, « comme Olaf Scholz », le poste de vice-Première ministre pour celui de Première ministre. Car comme au niveau fédéral, la Sarre était dirigée jusqu'à ces nouvelles élections par une « groko », coalition de la CDU de centre droit et du SPD de centre gauche. Avec 43,5% des voix aux législatives du 27 mars, Anke Rehlinger a gagné son pari haut la main, puisque dans la Sarre, le SPD pourra gouverner seul. La CDU est tombée à 28,5% – la moitié de ses sympathisants de plus de 60 ans se sont d'ailleurs tournés vers le SPD. Le score du parti doit beaucoup à l'ancrage local d'Anke Rehlinger. La socialiste a fait toute sa carrière dans la Sarre, de son engagement du mouvement des jeunes du SPD dont elle a assuré la direction, à son actuel poste de vice-Première ministre, en passant par des responsabilités municipale et ministérielles. Elle est très connue des électeurs, confirme Paul Maurice, spécialiste des relations franco-allemandes à l'Ifri : « On met souvent en avant le fait que c'est une sportive, une lanceuse de poids, donc quelqu'un de résistant, d'endurant. Mais elle est aussi juriste de formation, elle est avocate. C'est une femme très méticuleuse, qui travaille beaucoup ses dossiers, et sa rigueur lui a sûrement été profitable à son poste actuel. Elle est respectée par les électeurs, et par ses collègues ». Autant de gages de succès à la présidence de la Sarre, juge le chercheur qui précise qu'Anke Rehlinger a beaucoup axé sa campagne sur le thème de la sécurisation ou de la création d'emplois. « Il ne faut pas oublier que la Sarre est certes une petite région, mais c'est une région industrielle – ou anciennement industrielle – où l'on a perdu beaucoup d'emplois, et où l'ouverture européenne a quand même permis de recréer de l'activité ». Outre le poste de vice-Première ministre, Anke Rehlinger assumait depuis 2014 celui de ministre de l'Économie et de l'Emploi. Et elle a su utiliser cette chance qu'offre le statut particulier de cette « eurorégion » transfrontalière, explique Paul Maurice. Trois mille emplois viennent d'être garantis à la Sarre, grâce à l'implantation d'une usine de mobilier de cuisine et de deux usines de batteries électriques. Anke Rehlinger a aussi convaincu les électeurs sur un sujet qui a fait débat : la gestion de la pandémie de Covid. Une polémique en particulier a nui à la CDU. « Un certain nombre de Sarrois ont très mal vécu les déclarations à l'époque du ministre CDU de l'intérieur », explique Christophe Arent, député LaREM de la Moselle, qui coopère régulièrement avec Anke Rehninger. Le ministre Klaus Bouillon avait tenu des propos jugés anti-français. Alors que la fermeture de la frontière stupéfiait la population. « Lorsque au pire moment de la crise, faute de moyens humains pour faire les contrôles, les 36 points de passage autorisés entre la Moselle et la Sarre ont été fermés, ça a été… vraiment quelque chose qui a choqué la population. Les liens ici sont tellement étroits ; il y a dans ma circonscription 2 000 enfants qui sont scolarisés en Allemagne. On ne parle plus de Français ou d'Allemands, on parle d'Européens résidant en France ou en Allemagne ». Pour le député, la CDU a aussi payé pour les décisions impopulaires liées à la pandémie. « Tobias Hans, le ministre président CDU de la Sarre, a beaucoup été vu à Berlin ». Alors que face à lui, « Anke Rehlinger et Heiko Mas, lui aussi élu de la Sarre et alors ministre fédéral, se sont très vite excusés pour le comportement du gouvernement, par rapport à la fermeture de la frontière ». Anke Rehlinger a aussi bénéficié de la crise qui mine le parti de gauche Die Linke. Habituellement bien implanté en Sarre, il n'aura aucun député dans la nouvelle législature. Le seul parti à se hisser au-dessus du seuil de représentation avec le SPD et la CDU est celui de l'extrême droite, l'AFD. Ils auront respectivement 29, 19 et 3 sièges sur les 51 de l'Assemblée. La victoire du SPD aura-t-elle un effet d'entraînement ? Deux autres länder vont élire leur Parlement cette année et pour l'instant CDU et SPD sont donnés au coude à coude. Anke Rehlinger peut en tout cas envisager un destin national. Paul Maurice rappelle qu'il y a eu des précédents, notamment celui d'Annegret Kramp-Karrenbauer, devenue ministre au niveau fédéral au bout de quelques années. « Par ailleurs, souligne le chercheur, Anke Rehlinger fait partie de ces femmes qui représentent un peu le renouvellement du SPD, avec trois autres présidentes de Länder : Franziska Giffey, Manuela Schwesig et Malu Dreyer. Ce sont d'ailleurs les seules femmes présidentes sur les 16 Länder d'Allemagne ». Mais avant de penser à Berlin, il faudra transformer l'essai en Sarre. Anke Rehlinger sera élue à la tête du land le 25 avril, lors de la session constitutive du Parlement.
En partenariat avec Mag2Lyon, chaque jeudi soir à partir de 18h30 sur BFM LYON, une femme ou un homme politique la métropole lyonnaise est l'invité spécial de BFM LYON pour répondre aux questions d'Elodie Poyade.
L'oeil de Philippe Caverivière en compagnie de Christophe Castaner, président du groupe LaREM à l'Assemblée nationale Ecoutez L'oeil de... avec Philippe Caverivière du 10 février 2022
Elizabeth Martichoux poursuit son aventure à LCI et conserve les commandes de l'Interview Politique de 8H30. Avec son long format, Elizabeth Martichoux recevra, du lundi au vendredi, un invité au coeur des enjeux de la présidentielle, politique ou membre de la société civile.
Stéphane Vojetta est député des Français de l'étranger pour la 5ème circonscription, soit en péninsule ibérique. Arrivé en fonction le 6 octobre dernier, il a pris le relais de Samantha Cazebonne devenue sénatrice.2022 est une année placée sous le signe des élections comme nous le savons. La présidentielle sera suivie de peu des législatives, l'occasion pour LesFrancais.press de dresser un bilan du mandat présidentiel avec le député, et de savoir si personnellement il compte se représenter ou non. L'actualité chaude a également été abordée, avec les sujets de la double nationalité franco-espagnole et de la dématérialisation de la procédure pour renouveler ses papiers d'identité à l'étranger.La dématérialisation de la procédure de renouvèlement de passeportLe secrétaire d'État au tourisme est aux Français de l'étranger, Jean-Baptiste Lemoyne, a annoncé lundi 31 janvier durant sa présentation des vœux pour l'année 2022, qu'une phase de test pour refaire son passeport en ligne allait être lancée dans le courant de l'année. Une démarche pensée pour les expatriés devant se rendre à leur consulat, souvent très éloigné de leur domicile. Pour l'instant, cela va être testé au Canada et au Portugal, deux pays où la communauté des Français hors de France est conséquente mais à taille humaine.Pour Stéphane Vojetta, député des Français du Portugal, « c'est une excellente nouvelle ». Effectivement, il défend le projet depuis sa prise de poste car de nombreux retours lui sont remontés quant aux difficultés pour prendre rendez-vous dans les consulats. Il espère vivement, que la période d'essai sera concluante et que la méthode pourra rapidement s'étendre au reste du monde.Bien qu'il ne connaisse pas exactement les techniques allouées pour remplir une demande de nouveau papier d'identité, il soumet plusieurs idées.La double nationalité franco-espagnoleLe 27 janvier dernier a été voté en procédure accélérée, le texte de loi « autorisant la ratification de la convention relative à la nationalité entre la République française et le Royaume d'Espagne ». Autrement dit, les Français résidants en Espagne vont bientôt pouvoir demander la bi-nationalité.Effectivement jusqu'ici, seuls les Espagnols pouvaient être binationaux car la France ne demandait pas de contrepartie en échange de l'octroi de la nationalité française. A contrario, le gouvernement espagnol demandait aux Français souhaitant acquérir la nationalité espagnole, de se détacher de leur nationalité française.En mars 2021, s'est tenu un sommet à Montauban entre les deux chefs d'États pour revoir la convention internationale. Depuis, Stéphane Vojetta a été nommé responsable du texte par le groupe parlementaire LaREM pour le porter et le faire voter à l'Assemblé nationale.Dans le podcast, le parlementaire nous explique les règles à respecter pour pouvoir demander la binationalité, à quoi elle peut bien servir et combien de personnes elle concerne.« Je pense que c'est un pas symbolique, magnifique, qui démontre la proximité et le rapprochement entre nos deux pays. »Présidentielle et législativesStéphane Vojetta ne se prononce pas sur sa volonté de se présenter aux prochaines législatives. A ses yeux, le plus important en ce moment, est de se concentrer sur les dossiers en cours, les Français de sa circonscription et pouvoir en faire le plus possible pour eux, en peu de temps. Il espère pouvoir être influent et actif à Paris, mais surtout en circonscription où il a « encore beaucoup à apprendre ».... La suite sur le site Lesfrancais.press
Avec : Maude Bregeon, porte-parole LaREM. Léa Falco, étudiante. Jérôme Marty, médecin généraliste. Et Kevin Bossuet, professeur d'Histoire-géographie. - Alain Marschall et Olivier Truchot présentent un show de 3 heures avec leurs invités, où actualité rime avec liberté de ton, sur RMC la radio d'opinion. « Les Grandes Gueules » animées par Alain Marschall et Olivier Truchot sont de retour pour une 18e saison ! Agriculteur, fromager, avocat, enseignante… les 14 GG, issues de la société civile, n'ont jamais peur de défendre leurs idées. Entre débats animés, accrochages et éclats de rires, ces 3 heures de talk-show sont le reflet des vraies préoccupations des Français. Cette année, Fred Hermel débarque dans les GG avec un billet d'humeur : « C'est ça la France ». Chaque matin dès 6h, écoutez un show radio/télé unique en France. Pendant trois heures, l'équipe de RMC s'applique à partager l'actualité au plus près du quotidien des Français. Un rendez-vous exceptionnel mêlant infos en direct, débats autour de l'actualité, réactions et intervention d'experts. En simultané de 6h à 8h30 sur RMC Découverte. RMC est une radio généraliste, essentiellement axée sur l'actualité et sur l'interactivité avec les auditeurs, dans un format 100% parlé, inédit en France. La grille des programmes de RMC s'articule autour de rendez-vous phares comme Apolline Matin (6h-9h), les Grandes Gueules (9h-12h), Estelle Midi (12h-15h).
Avec : Maude Bregeon, porte-parole LaREM. Léa Falco, étudiante. Jérôme Marty, médecin généraliste. Et Kevin Bossuet, professeur d'Histoire-géographie. - Alain Marschall et Olivier Truchot présentent un show de 3 heures avec leurs invités, où actualité rime avec liberté de ton, sur RMC la radio d'opinion. « Les Grandes Gueules » animées par Alain Marschall et Olivier Truchot sont de retour pour une 18e saison ! Agriculteur, fromager, avocat, enseignante… les 14 GG, issues de la société civile, n'ont jamais peur de défendre leurs idées. Entre débats animés, accrochages et éclats de rires, ces 3 heures de talk-show sont le reflet des vraies préoccupations des Français. Cette année, Fred Hermel débarque dans les GG avec un billet d'humeur : « C'est ça la France ». RMC est une radio généraliste, essentiellement axée sur l'actualité et sur l'interactivité avec les auditeurs, dans un format 100% parlé, inédit en France. La grille des programmes de RMC s'articule autour de rendez-vous phares comme Apolline Matin (6h-9h), les Grandes Gueules (9h-12h), Estelle Midi (12h-15h), Super Moscato Show (15h-18h), Rothen s'enflamme (18h-20h), l'After Foot (20h-minuit).
Chaque jeudi soir à partir de 18h sur BFM PARIS, une femme ou un homme politique d'Ile-de-France est l'invité spécial de BFM PARIS pour répondre aux questions de Marguerite Dumont.
Pieyre-Alexandre Anglade, porte-parole du groupe LaREM à l'Assemblée nationale était ce mardi 7 décembre, l'Invité du matin de RFI. Nouvelles mesures gouvernementales anti-Covid, actualité politique française avec les meetings de campagne ce week-end d'Eric Zemmour et de Jean-Luc Mélenchon, puis celui, annulé de Valérie Pécresse hier à Nice prélude à l'élection présidentielle de 2022... Il répond aux questions d'Anthony Lattier.
À droite, la campagne bat son plein entre les cinq candidats en lice pour porter les couleurs des Républicains à la présidentielle française. Les militants LR vont voter début décembre 2021. Cette élection pour désigner le champion de la droite est scrutée avec beaucoup d'attention du côté de la macronie. Les ministres, les députés, les conseillers... dans la majorité, tout le monde a son avis sur la primaire des Républicains. Même si certains font mine de ne pas s'y intéresser, dès qu'on insiste un peu les persiflages fusent. « Ils organisent un congrès fermé où les militants votent pour élire des gens qui ne sont plus dans le parti », s'amusait il y a quelques temps une responsable de LaRem issue de la droite, en faisant référence à Valérie Pécresse et Xavier Bertrand qui avaient quitté leur formation politique mais ont depuis décidé de reprendre leur carte. Tout est bon pour dénigrer cet exercice de désignation d'un candidat à la présidentielle. « C'est une élection sénatoriale leur truc », ajoute la même élue avec une pointe d'ironie quand un ministre affirme que les LR ont fait une « erreur monumentale » en s'engageant dans une primaire interne. Une députée En Marche devient même sarcastique en déclarant qu'ils « présentent comme un triomphe d'avoir 150 000 votants », eux qui avaient fait voter plus de quatre millions de Français en 2016 pour désigner François Fillon. Y a-t-il un candidat LR plus redoutable pour Emmanuel Macron ? Il y en a un en tout cas qui concentre les critiques les plus agressives, Xavier Bertrand. C'est « Sarkozy sans le génie, il ne reste que la vulgarité », assène un macroniste historique issu de la gauche qui croit quand même que c'est lui qui va l'emporter. Une ancienne stratège de la campagne de 2017 qui estime aussi que Xavier Bertrand peut gagner la primaire LR affirme que « son côté populaire est surjoué », une manière de dire « même pas peur », en ajoutant que tout ce que Xavier Bertrand propose soit Macron l'a déjà fait, soit c'est « infaisable ». Ce qui montre bien que tout ce qu'il dit est scruté à la loupe. Un ministre concède tout de même : « Il a la niaque, il est plus dur que Pécresse ». Sur Valérie Pécresse justement et Michel Barnier, celui qui semble avoir les faveurs des militants LR, il y a moins de commentaires acerbes mais une observation : « Ils se droitisent », peut-être sous l'effet Zemmour. Et un espoir, exprimé par un ministre : « Cela ouvre un champ politique à Emmanuel Macron ». Car tous en semblent persuadés, c'est à droite que se jouera l'élection.
Sacha Houlié, député LaREM de la Vienne était ce mercredi 17 novembre, l'Invité du matin de RFI. Actualité politique nationale, questions sécuritaires, menaces répétées contre les hommes politiques, comment expliquer cette haine qui s'exprime sans limites aujourd'hui contre les élus ? Il répond aux questions de Frédéric Rivière.
Chaque samedi, Jean-Pierre Elkabbach reçoit un invité au cœur de l'actualité. Aujourd'hui, Maud Bregeon, porte-parole LaREM et ingénieure nucléaire, revient sur la bataille entre candidats déclarés ou non dans la course à la présidentielle. Soutenant sans faille Emmanuel Macron, elle s'inquiète de la vision de la société que propose le polémiste Eric Zemmour.
À partir de 8h20 (heure de Paris), Frédéric Rivière reçoit Aurore Bergé, députée des Yvelines, présidente déléguée du groupe LaREM.
L'ancien Premier ministre a officialisé la création de sa nouvelle structure devant plusieurs cadres de la majorité, dont Christophe Castaner, président du groupe LaREM à l'Assemblée Nationale, et plusieurs milliers d'autres personnes réunies au Havre.
Eric Zemmour, ce polémiste d'extrême droite qui s'est invité dans la campagne présidentielle, capte depuis quelques semaines l'attention médiatique, à tel point qu'un sondage l'a placé récemment pour la première fois au second tour de l'élection présidentielle. Jusqu'où Eric Zemmour peut-il aller ? C'est très difficile à dire pour le moment. D'autant qu'Eric Zemmour n'est pas encore officiellement candidat à l'élection présidentielle même s'il participe activement à la campagne en jouant une partition d'occupation de l'espace médiatique avec des positions extrêmes sur l'islam notamment et dont le fond de commerce est la théorie du « grand remplacement » selon laquelle la population française risquerait d'être « remplacée » par la population d'origine africaine et maghrébine. Une théorie qui joue sur les peurs mais qui attire l'attention d'une partie des Français. Même si à plus de six mois de l'élection présidentielle, il faut prendre les sondages qui indiquent une dynamique d'Eric Zemmour avec précaution. Faut-il minimiser le phénomène Zemmour ? Cela a été la première réaction des adversaires d'Eric Zemmour, à la recherche de la bonne manière de contrecarrer son offensive sans paraître fébriles. Mais Marine Le Pen, celle qui fait le plus les frais de sa progression, a senti qu'elle ne pouvait plus se contenter de laisser passer la vague en affichant son « calme » et son expérience des campagnes qui lui a appris que la vérité de l'automne n'est pas celle du printemps, car Eric Zemmour offre un débouché politique à ceux qui ne croient plus que la chef du RN peut gagner l'élection présidentielle. Elle le qualifie donc maintenant de « concurrent » et marque ses différences avec lui. Du côté des Républicains, c'est le flottement. Xavier Bertrand et Valérie Pécresse sont empêtrés dans leur bataille pour la candidature et laissent un espace à Eric Zemmour. A gauche, Jean-Luc Mélenchon a, lui, pris l'option de débattre avec le polémiste, une confrontation télévisée qui a été reprochée à l'Insoumis car elle crédibilisait Eric Zemmour. Et dans le camp d'Emmanuel Macron ? On observe un phénomène qui pour le moment ne nuit pas à Emmanuel Macron. Un haut responsable de LaRem estime que « la fausse campagne d'Eric Zemmour ne peut pas durer », qu'on verra ce qui se passera quand il sera candidat et qu'il « prendra les coups en pleine face ». Un autre s'inquiète de la « fascination morbide pour le débat trash » mais croit qu'il faut affronter Zemmour sur le fond car il est « creux dès qu'il ne parle pas du grand remplacement ». Et un ministre espère que les Français préfèreront le président sortant à un « saut dans l'inconnu ».
Il n'est pas candidat à la présidentielle de 2022 mais Édouard Philippe joue déjà 2027. L'ex-Premier ministre s'organise. L'homme politique le plus populaire de France lance son parti dans une semaine. Rendez-vous samedi prochain au Carré des Docks dans la ville du Havre, le fief d'Édouard Philippe. Le nom du futur parti n'apparaît pas sur le carton d'invitation mais on peut y lire : « Pour une nouvelle offre politique ». L'ancien chef du gouvernement ouvre sa boutique, en grande pompe. Un discours d'une heure, une salle remplie de sympathisants et de nombreux invités politiques, beaucoup de maires de droite qui le soutiennent depuis son passage en macronie en 2017. Pourquoi maintenant et avec qui ? À moins de sept mois de la présidentielle, Édouard Philippe est lui aussi en campagne... mais pour le scrutin de 2027 ! Avec son propre parti, Édouard Philippe veut continuer à occuper l'espace de la droite macron-compatible ces élus encartés chez les LR ou au centre qui soutiennent l'action d'Emmanuel Macron. Les membres du parti Agir pourraient passer avec armes et bagages dans cette nouvelle équipe : « on est prêt à bouger », me confiait un cadre du parti. Réunies sous sa nouvelle bannière, les troupes d'Édouard Philippe seront visibles. De quoi imposer sa force en matière électorale pour l'après-2022 et négocier des places aux législatives. Ce qui fait grincer des dents chez En Marche et le MoDem. Garder son indépendance à côté de la « maison commune » de la macronie Edouard Philippe veut garder son autonomie, lui qui se présente comme « loyal mais libre » par rapport à Emmanuel Macron. Nous y sommes. Loyal, il l'est. Il a participé au dîner autour d'Emmanuel Macron cette semaine qui réunissait tous les barons de la macronie pour parler de cette maison commune qui réunirait LaREM, Modem et les autres satellites du camp présidentiel. Libre, Édouard Philippe le reste puisqu'il lance malgré tout sa propre boutique, en marge de cette future maison commune - qui a un peu de mal à sortir de terre. Le maire du Havre en campagne de plus en plus visible Édouard Philippe travaille pour lui et le fait ouvertement, presque avec provocation. Il fait la une du magazine Challenges cette semaine pour lancer « l'alerte » sur l'état de nos finances, en distillant quelques attaques à fleurets mouchetés. Florilèges : « On a l'impression d'avoir trouvé un système d'argent magique... attachons nous moins à la quantité qu'à la qualité des dépenses »de l'État. Il dézingue le revenu d'engagement pour les jeunes, envisagé par l'Élysée. Il appelle à allonger l'âge de départ à la retraite à 67 ans. Autant de pierres jetées dans la mare de l'Élysée. Édouard Philippe, loyal mais libre, et déterminé à faire entendre sa petite musique de plus en plus fort.
Édouard Philippe lancera son parti le week-end prochain au Havre. L'ancien Premier ministre lance sa boutique, dans le cadre de la majorité présidentielle, mais en faisant entendre sa petite musique. Cette semaine, il a proposé de repousser l'âge de la retraite à 65, 66 voire 67 ans, attisant la tension des marcheurs à son endroit. Édouard Philippe alterne entre les périodes de loyauté, et de liberté. On verra le week-end prochain de quel côté ça penche.
Une « CVthèque des talents » pour les Français de l'étranger vient d'être proposée par Amélia Lakrafi dans un rapport sur le commerce extérieur et la diplomatie. Cette CVthèque est une plateforme de CV et de compétences des expatriés, à disposition des TPE et PME françaises qui souhaitent se développer à l'export. Les explications d'Amélia Lakrafi, députée LaREM de la dixième circonscription des Français établis hors de France (les Français d'Afrique, du Moyen-Orient et de l'océan Indien).
Andreas Larem ist ein “fassbarer” Politiker und als Bürgermeister von Messel kennt er sich mit den Sorgen und Nöten der Menschen aus. Im Interview mit Hannes Marb von Radio Darmstadt erzählt er über seinen politischen Werdegang und über sein Ziel dem nächsten Deutschen Bundestag anzugehören. Dabei hat er konkrete Pläne, um die Lebensqualität zu verbessern. Innovation ist sein Programm, denn wer an stelle von give aways wie Kugelschreibern oder Flaschenöffnern 1000 Bäume pflanzt ist definitv im 21. Jh. angekommen! Das Interview ist auch als Podcast unter Hannes and Guests – meet&speak zu hören.
Avec: Cédric Roussel, Député LaREM, président du groupe d'études“Économie du sport“. - L'After foot, c'est LE show d'après-match et surtout la référence des fans de football depuis 15 ans ! Les rencontres se prolongent tous les soirs avec Gilbert Brisbois et Nicolas Jamain avec les réactions des joueurs et entraîneurs, les conférences de presse d'après-match et les débats animés entre supporters, experts de l'After et auditeurs. Live, résultats, interviews, analyses, ... Toute l'actualité sportive et l'ensemble des consultants de la Dream Team RMC Sport sont à l'antenne de RMC à partir de 15h.
Très récemment, la ministre déléguée auprès du ministre de l'intérieur, Marlène Schiappa, se plaignait dans un thread Twitter d'être la victime d'attaques régulières et coordonnées sur les réseaux sociaux. L'occasion pour les Eclaireurs du Numérique de rappeler les pratiques d'astroturfing de la "Schiappasphère", de LaREM ainsi que d'autres forces politiques françaises ou étrangères, dans la perspective de la Présidentielle de 2022. Avec Fabrice Epelboin, Damien Douani et Bertrand Lenotre.
Frédéric Rivière reçoit Anne Genetet, députée des Français établis hors de France (Asie, Océanie et Europe orientale) et porte-parole du groupe parlementaire LaREM.
Interrogée sur les résultats de LaREM aux élections régionales dans le "Grand Rendez-vous" d'Europe 1/Les Echos/CNews, Emmanuelle Wargon, ministre déléguée au logement, estime que les résultats de ces scrutins ne sont pas "un échec pour le président, mais un échec d'ancrage local". Pour la ministre du logement, il faudra du temps pour que le parti présidentiel puisse avoir des élus locaux supplémentaires.
Frédéric Rivière reçoit Yaël Braun-Pivet, députée LaREM des Yvelines et présidente de la commission des lois à l'Assemblée nationale, ce mardi 29 juin 2021.
Le garde de Sceaux Eric Dupond-Moretti et Gérald Darmanin ont eu un échange houleux à la sortie du Conseil des ministres ce mercredi à propos des régionales. En cause, le ministre de l'Intérieur, a dans un premier temps félicité Xavier Bertrand sur France Inter pour son bon résultat lors du scrutin. Puis, il a publiquement taclé la liste LaREM de Laurent Pietraszewski, sur laquelle se trouvait Eric Dupond-Moretti, liste éliminée au premier tour de l'élection. Pour Jean-Michel Apathie, c'est la rupture entre Dupond-Moretti et Gérald Darmanin. L'UEFA a envoyé mardi une fin de non-recevoir au projet de la ville de Munich d'illuminer son stade aux couleurs arc-en-ciel de la communauté LGBT pour le match de l'Euro Allemagne-Hongrie de mercredi. Une opération qui avait pour but de protester contre une loi interdisant la "promotion" de l'homosexualité auprès des mineurs, votée en Hongrie. Une décision regrettée par de nombreux pays européens, dont la France. Pour Abnousse Shalmani, le sport est politique ! Dans un communiqué publié ce mercredi, l'Agence Spatiale Européenne a confirmé le succès de sa campagne de recrutement d'astronautes, lancée en mars dernier. Les premiers chiffres indiquent que plus de 22 000 personnes ont postulé, dont 7 000 Français. L'ESA espère dénicher quatre à six astronautes en devenir. Mais la concurrence sera rude. Pascal Perri parle de 7 000 successeurs potentiels à Thomas Pesquet ! Du lundi au vendredi, à partir de 18h, David Pujadas apporte toute son expertise pour analyser l'actualité du jour avec pédagogie.
LE CHOC DE L'ABSTENTION, LE DERNIER DÉFI DE MACRON – 22/06/21 Invités CÉCILE CORNUDET Éditorialiste politique – « Les Echos » JÉRÔME FOURQUET Directeur du département Opinion - Institut de sondages IFOP BRUNO CAUTRÈS Politologue - Chercheur au CNRS ANNE ROSENCHER Directrice déléguée de la rédaction - « L'Express » Au lendemain du premier tour des régionales marqué par une cuisante défaite de LaREM et d'une abstention historiquement haute, Emmanuel Macron a choisi de laisser parler le Premier ministre et les membres du gouvernement qui ont tenté un timide appel à la mobilisation sur Twitter, et de garder le silence. Le chef de l'Etat a préféré poursuivre son travail de retour à « la vie d'avant » et se mettre au diapason des Français en fêtant la musique à l'Elysée, plutôt que d'envoyer un signal politique fort. Lundi Emmanuel Macron a ainsi planifié la réouverture des discothèques, reçu le chanteur canadien Justin Bieber et son épouse, inauguré la réouverture de La Samaritaine, le mythique grand magasin de la rue de Rivoli, et décoré Jean-Michel Jarre et Marc Cerrone, avant d'écouter les concerts organisés dans la cour du palais présidentiel pour la 40e Fête de la musique. Des activités inattendues et une ambiance à mille lieues du naufrage dans les urnes de dimanche, pendant que ses troupes s'interrogent sur la déroute d'En Marche et que les discussions vont bon train entre les candidats des différents partis politiques en vue de négocier des alliances, des fusions ou des retraits pour le second tour du 27 juin. Ils ont en effet jusqu'à ce mardi 18 heures pour déposer les listes du second tour. Mais dans la plupart des régions, les jeux sont déjà faits. En Ile-de-France notamment, l'écologiste Julien Bayou, arrivé deuxième (12,95 %), a annoncé l'union de sa liste avec celles d'Audrey Pulvar (11,07 %), soutenue par le PS, et de Clémentine Autain (LFI-PCF 10,24 %) pour tenter de battre la sortante Valérie Pécresse (ex-LR 35,94 %), arrivée loin devant Jordan Bardella du Rassemblement national (13,12 %) et Laurent Saint-Martin de la République en Marche (11,02 %). Parallèlement la question de l'abstention continue de susciter interrogations et débats. Près des deux tiers des électeurs ne se sont pas rendus aux urnes dimanche. Un chiffre encore plus élevé chez les jeunes, avec 87 % d'abstentionnistes chez les 18-24 ans, et 83 % chez les 25-34 ans selon une enquête de l'institut Ipsos/Sopra Steria pour France Télévisions et Radio France. Alors pour faciliter le vote, plusieurs représentants politiques évoquent de nouveau l'hypothèse d'un vote électronique et d'un vote par correspondance. D'autres mettent en avant la nécessité de passer à une VIe République avec davantage de participation citoyenne entre les élections. Enfin des élus réclament "une commission d'enquête au niveau du Parlement" sur les conditions dans lesquelles s'est déroulé le vote dimanche, pointant de nombreux dysfonctionnements : absence des livraisons des professions de foi chez de nombreux Français, bureaux de vote fermés, manque d'assesseurs ou encore plantage du logiciel de transcription des procurations sur les listes électorales. Alors quelles leçons tirer du premier tour des élections régionales et départementales ? Comment faire pour que la participation retrouve des couleurs lors des prochains scrutins ? Quelle est l'ampleur des dysfonctionnements lors de ce vote ? DIFFUSION : du lundi au samedi à 17h45 FORMAT : 65 minutes PRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40 RÉALISATION : Nicolas Ferraro - Pascal Hendrick - Benoît Lemoine - Jean-François Verzele - Jacques Wehrlin PRODUCTION : France Télévisions / Maximal Productions Retrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux : INTERNET : francetv.fr FACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5 TWITTER : https://twitter.com/cdanslair INSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/
INVITÉ RTL - La tête de liste LaREM dans les Hauts-de-France, Laurent Pietraszewski, a appelé à voter au second tour pour le président sortant. Une décision "logique", pour le porte-parole du gouvernement. Ecoutez L'invité de RTL avec Benjamin Sportouch du 21 juin 2021
Roland Lescure, responsable des porte-paroles de LaREM, président de la Commission des affaires économiques à l'Assemblée nationale, député des Français de l'étranger.
INVITÉE RTL - Valérie Pécresse refuse toute alliance avec le candidat LaREM dans l'hypothèse d'un deuxième tour aux régionales. Ecoutez L'invité de RTL avec Benjamin Sportouch du 16 juin 2021.
Comment gérer la question du Rassemblement national qui est un parti dominant aujourd'hui sur la scène politique française ? Il n'a pas d'allié, mais beaucoup d'adversaires. LaREM jouera-t-elle le jeu du front républicain pour empêcher le RN d'être élu ? Jean-Michel Apathie parle d'un dilemme du front républicain. François Lenglet revient ce soir sur l'autre match entre la France et l'Allemagne : l'économie, en s'appuyant sur trois critères. En 20 ans, la France a décroché de 11% de croissance par tête sur la période 2000-2020 par rapport à l'Allemagne. Les finances publiques : le solde cumulé 2012-2020 : Allemagne : +3,3% du PIB. France : - 37,8% du PIB. Dernier critère, le chômage. Aujourd'hui, il est à 3,8% chez notre voisin, contre 8% chez nous. Avant le coup d'envoi, les joueurs de Didier Deschamps ont prévu de mettre un genou à terre en signe de protestation contre les discriminations lors du match de l'Euro contre l'Allemagne. Un choix fort soutenu par une majorité d'acteurs du sport. Les politiques se sont précipités pour réagir. Abnousse Shalmani, elle, parle de geste importé. Du lundi au vendredi, à partir de 18h, David Pujadas apporte toute son expertise pour analyser l'actualité du jour avec pédagogie.
Mémoire de la Ve République, Alain Duhamel apporte son expérience et se confronte dans BFM Story à une duelliste de choc différente chaque soir.
Frédéric Descrozaille, député LaREM du Val-de-Marne et co-créateur de la websérie Legislators est l'invité de Frédéric Rivière à partir de 8h20 (heure de Paris). ► Tous les épisodes de la websérie Legislators sont visibles ici.
durée : 00:23:04 - L'invité de 8h20 : le grand entretien - par : Nicolas Demorand, Léa Salamé - Interrogé sur les prochaines élections régionales, Stéphane Séjourné, eurodéputé LaRem, conseiller d'Emmanuel Macron, estime que "la responsabilité de ceux qui veulent rassembler" est de garantir aux listes qui se désistent "la présence de quelques élus" et la présence d'une opposition "autre que le FN". - invités : Stéphane Séjourné - Stéphane Séjourné : Directeur de campagne de La République en marche (LRM) pour les élections européennes
Aurore Bergé (@auroreberge), députée des Yvelines et présidente déléguée du groupe La République En Marche est l'invitée de Mardi Politique. Aurore Bergé est interrogée par : - Frédéric Rivière (RFI) - Roselyne Febvre (France 24) Live-tweet @MardiPolitique #MardiPol
Avec 208 voix contre 86, l'Assemblée Nationale a voté dans la nuit de mardi 11 à mercredi 12 mai le projet de loi de sortie de crise, et le décrié « pass sanitaire ». Après le rejet à l'unanimité du premier texte par le MoDem, pourtant allié de la majorité, le gouvernement a dû faire des concessions en raccourcissant notamment la période de transition par rapport au contenu initial. Cet épisode marque-t-il une scission entre LaREM et le MoDem ? Eléments de réponse avec Christophe Boutin, politologue et professeur de droit public à l’Université de Caen-Normandie. Christophe Boutin est l'auteur de Le dictionnaire des populismes (Cerf)