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Im Live-Podcast der F.A.Z. in der Bar Shuka diskutieren die Konfliktforscherin Nicole Deitelhoff, der „Alt-Europäer“ Daniel Cohn-Bendit und die F.A.Z.-Frankreich-Korrespondentin Michaela Wiegel über Europas Zukunft.
Il fête aujourd'hui ses 80 ans et n'a pas perdu sa foi en l'Europe : face à Donald Trump il rêve plus que jamais aux "États-Unis d'Europe". Daniel Cohn-Bendit, ancien député européen, auteur de "Souvenirs d'un apatride" (Flammarion), est l'invité de RTL. Ecoutez L'invité de RTL avec Thomas Sotto du 04 avril 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Il fête aujourd'hui ses 80 ans et n'a pas perdu sa foi en l'Europe : face à Donald Trump il rêve plus que jamais aux "États-Unis d'Europe". Daniel Cohn-Bendit, ancien député européen, auteur de "Souvenirs d'un apatride" (Flammarion), est l'invité de RTL. Ecoutez L'invité de RTL avec Thomas Sotto du 04 avril 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aujourd'hui, c'est au tour de Daniel Cohn-Bendit, ex-leader de mai 68, ancien eurodéputé, de faire face aux GG. - L'émission de libre expression sans filtre et sans masque social… Dans les Grandes Gueules, les esprits s'ouvrent et les points de vue s'élargissent. 3h de talk, de débats de fond engagés où la liberté d'expression est reine et où l'on en ressort grandi.
Aujourd'hui, Élina Dumont, Étienne Liebig et Emmanuel de Villiers débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Aujourd'hui, Élina Dumont, Étienne Liebig et Emmanuel de Villiers débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Aujourd'hui, Élina Dumont, Étienne Liebig et Emmanuel de Villiers débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
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Der frühere grüne Europa-Abgeordnete Cohn-Bendit findet die Kritik der französischen Rechtspopulistin Le Pen an dem Urteil gegen sie unangemessen. Sie inszeniere sich als Opfer, obwohl ihre Partei das Anti-Korruptionsgesetz mit verabschiedet habe. Ambrüster, Tobias www.deutschlandfunk.de, Interviews
durée : 03:00:02 - Le 7/10 - par : Nicolas Demorand, Léa Salamé, Sonia Devillers, Anne-Laure Sugier - Ce matin dans le 7/10 : Roland Lescure / Daniel Cohn-Bendit / Monique Canto-Sperber / Arnaud Orain / Jean-Baptiste Del Amo et Marco Luraschi
durée : 00:25:02 - L'invité de 8h20 : le grand entretien - par : Nicolas Demorand, Léa Salamé - Daniel Cohn-Bendit, ancien eurodéputé, était l'invité de France Inter ce mercredi, à l'occasion de la parution de son livre “Souvenirs d'un apatride”, aux éditions Flammarion. - invités : Daniel Cohn-Bendit - Daniel Cohn-Bendit : Ancien député européen
durée : 00:25:02 - L'invité de 8h20 : le grand entretien - par : Nicolas Demorand, Léa Salamé - Daniel Cohn-Bendit, ancien eurodéputé, était l'invité de France Inter ce mercredi, à l'occasion de la parution de son livre “Souvenirs d'un apatride”, aux éditions Flammarion. - invités : Daniel Cohn-Bendit - Daniel Cohn-Bendit : Ancien député européen
Les souvenirs de Daniel Cohn-Bendit se sont un peu ceux des français avec celui qui est apparu dans leurs vies en mai 68. Européen forcené depuis toujours, révolté par les attaques du 7 octobre pour celui qui a été "apatride" jusqu'à ses 13 ans. Patrick Cohen brosse le portrait de "dany le rouge".Patrick Cohen décrypte sur le plateau de “C à Vous” un point précis de l'actualité pour le replacer dans son contexte, l'analyser et le mettre en perspective, en écartant opinions et approximations.
Dans son livre de souvenirs « Souvenirs d'un apatride », Daniel Cohn-Bendit se confie sur près de 60 ans de vie publique et politique, en France en Allemagne : d'icône de Mai 68 à député européen tout en revendiquant d'être un nomade aux identités et aux vies multiples. Daniel Cohn-Bendit ancien député européen pour son livre « Souvenirs d'un apatride » co-écrit avec Marion Van Renterghem » disponible dès aujourd'hui aux éditions Mialet Barrault.Tous les soirs du lundi au vendredi à 19h sur France 5, Anne-Elisabeth Lemoine et toute son équipe accueillent celles et ceux qui font l'actualité du jour.
Nos invités du mercredi 26 mars 2025 : Daniel Cohn-Bendit ancien député européen pour son livre « Souvenirs d'un apatride » co-écrit avec Marion Van Renterghem » disponible dès aujourd'hui aux éditions Mialet Barrault. Marc-Olivier Fogiel, Journaliste et président de campagne pour l'UNICEF aux côtés d'Ann Avril, directrice générale d'UNICEF France avant le sommet international "Nutrition for Growth" qui débute demain à Paris.Avec également comme chaque soir L'édito de Patrick Cohen, La story de Mohamed Bouhafsi, Le 5 sur 5 de Lorrain Sénéchal.Tous les soirs du lundi au vendredi à 19h sur France 5, Anne-Elisabeth Lemoine et toute son équipe accueillent celles et ceux qui font l'actualité du jour.
Die Debatte mit Natascha Freundel, Monika Grütters und Claus Leggewie --- "Wir brauchen eine Verteidigungsgemeinschaft." Claus Leggewie --- Die neu zu bildende Bundesregierung steht vor enormen Herausforderungen: Innen- wie außenpolitisch muss sie auf Kräfte reagieren, die gern zur „Jagd“ trommeln. Da ist die AfD, nunmehr zweitstärkste Partei in Deutschland, mit ihrer anti-demokratischen Parole: „Wir werden sie jagen“. Im neuen Bundestag hat sie gemeinsam mit der Partei Die Linke eine Sperrminorität. Und da sind die USA, deren Präsident Demokratie und Rechtstaatlichkeit für seinen Machthunger zerstört und einen „Deal“ mit dem russischen Diktator über die Zukunft der unabhängigen Ukraine und damit auch die Zukunft Europas plant. --- Monika Grütters und Claus Leggewie denken offen, konstruktiv und über ideologische Lager hinweg über die politischen Aufgaben Deutschlands und Europas nach: über Migration und Vielfalt, Kultur und Verteidigung, Wirtschaft und die sozial-ökonomische Wende. Zuversicht ist möglich, auch und gerade mit der jungen Generation. --- Monika Grütters war von 2013 bis 2021 Staatsministerin für Kultur und Medien im Kanzleramt. Nach 30 Jahren als Abgeordnete im Deutschen Bundestag kandidierte sie nicht nochmals bei der Bundestagswahl 2025. --- Claus Leggewie ist Politikwissenschaftler, Ludwig-Börne-Professor und Leiter des „Panel on Planetary Thinking“ an der Uni Gießen. Im März 2025 erscheint sein mit Daniel Cohn- Bendit verfasstes Buch „Zurück zur Wirklichkeit. Eine politische Freundschaft“ bei Wagenbach. --- Mehr Infos s. www.radiodrei.de/derzweitegedanke. Schreiben Sie uns an derzweitegedanke@radiodrei.de.
Barenberg, Jasper www.deutschlandfunk.de, Interviews
Ulla Meinecke im Gespräch mit Peter Fobian vor ihrem Konzert im Savoy in Bordesholm. Vor zwei Jahren war sie schon einmal in unserem Sendegebiet. Jetzt kommt sie am 25.01.2015 wieder und wir bringen das Interview von damals und ausgewählte Lieder. Sie war musikalische Weggefährtin von Udo Lindenberg und Rio Reiser und Teil der Frankfurter Hausbesetzerszene um Joschka Fischer und Daniel Cohn-Bendit und sie erzählt von ihren Kontakten zur RAF. Ein spannendes Gespräch mit einer Zeitzeugin erwartet euch. Eine weitere Facette als Künstlerin ist mit ihren Büchern, Lesungen und Hörbüchern verbunden. Darüber spricht sie und wir erfahren, was sie an Mark Twain schätzt. Und natürlich hört ihr wieder zahlreiche Beispiele ihres musikalischen Schaffens aus fast fünfzig Jahren als Liedermacherin und Sängerin. Alles sehr authentisch, denn während im Hintergrund ihr musikalischer Begleiter Reinmar Henschke im Soundchek zu hören ist, erzählt Ulla lebendig und und sehr persönlich aus ihrem interessanten Leben. In unserer Audiothek verfügbar bis einschließlich 26.1.2025.
Retour dans cet épisode sur le principe de "Toucher sans être touché" développé par Victor Ferry. Une stratégie qui consiste à faire sortir de ses gonds son adversaire. Bien sûr nous sommes loin du principe qui veut que : "Se battre ce n'est pas vaincre l'autre mais s'élever soi-même". La mission est plutôt ici de détruire la crédibilité de son adversaire. C'est l'une des règles de base enseignée en media training politique.Néanmoins, chacun reste libre d'adopter une position "haute" en débat. Avec moins d'égo et la possibilité de se servir de la force de l'adversaire, comme dans les arts martiaux. Pour illustrer mon propos ie reviens sur le récent pétage de plomb de Manon Aubry face à julien Audoul. Mais également sur la joute qui opposa en 2007 entre les deux tours de la présidentielle Ségolène Royal à Nicolas Sarkozy.Avec un arrêt sur image concernant un magnifique exemple de prétérition de François Bayrou lors d'un débat qui l'opposait à Daniel Cohn-Bendit. D'autres pépites sont également à découvrir dans ce nouveau numéro du Lab'Oratoire, votre podcast pour gagner en confiance et impact à l'oral par Daniel MURGUI TOMAS, media trainer et coach en prise de parole en public.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:12:47 - L'invité de 7h50 du week-end - Notre invité de 7h50 est aujourd'hui Daniel Cohn-Bendit, ancien député européen. Il signe avec Raphaël Glucksmann une tribune intitulée "Comment ne pas voir que la riposte israélienne viole les lois de la guerre et piétine le droit international ?"
durée : 03:00:00 - Le 6/9 du week-end - par : Ali Baddou, Marion L'hour, Benjamin Dussy, Elodie Royer, Mathilde Khlat - Aujourd'hui dans le 6/9, nous recevons l'ancien député européen Les Verts (1994-1999), puis Les Verts/Alliance libre européenne (1999-2014) Daniel Cohn-Bendit à 7h50. Puis, à 8h20, l'auteur Jean-Christophe Rufin, pour son dernier livre “Sur le fleuve Amazone, carnet de voyage” (Calmann Lévy). - réalisé par : Marie MéRIER
96% des voix en sa faveur : c'est le score presque unanime récolté par Robert Habeck pour devenir le candidat des écologistes allemands aux élections fédérales qui auront lieu en février prochain. Mais le ministre sortant de l'Économie et du Climat aura un sacré défi à relever : relancer un parti écologiste en plein doute à trois mois de ces élections anticipées. C'est plein d'ambition que Robert Habeck se lance dans cette campagne électorale… même si, pour l'heure, les Verts sont plutôt à la traîne dans les sondages. Les « Grünen » sont crédités de 10 à 12 % des voix, en repli très net par rapport aux dernières élections.Robert Habeck en est conscient, mais il dispose de plusieurs atouts pour tenter de remonter la pente : il a du charisme, il est très à l'aise sur les tribunes électorales comme sur les plateaux télévisés, et il a des convictions environnementales fortes sans être dogmatique. « C'est quelqu'un qui sait écouter et qui sait aussi reconnaître des erreurs ont été faites », décrypte Éric-André Martin, spécialiste de la vie politique allemande et ancien secrétaire général du Comité d'études des relations franco-allemandes (Cerfa). « Je prendrai comme exemple la loi sur le chauffage domestique de 2023, qui avait suscité beaucoup d'oppositions et de réticences dans la population. Il a su reconnaître que ce n'était pas le moment et il a su reculer. Il a des convictions très fortes sur la transition énergétique et sur l'opposition au nucléaire, mais c'est quelqu'un qui sait quand même ménager les sensibilités. »Un « super-ministère » de l'Économie et du ClimatAvant de se lancer en politique, Robert Habeck a été professeur de philosophie et écrivain à succès. C'est à l'âge de 33 ans, au début des années 2000, qu'il décide de s'engager auprès des Verts pour une raison très simple : il n'y a pas de piste cyclable dans son quartier ! Dix ans plus tard, il devient ministre de la Transition énergétique dans la région septentrionale du Schleswig-Holstein. Il échoue à deux reprises pour devenir le candidat des Verts à la chancellerie, mais il devient ministre de l'Économie et du Climat et numéro deux du gouvernement lors de la victoire de la coalition « tricolore » en 2021.Ses objectifs sont alors très ambitieux pour la transition énergétique de l'Allemagne, mais tout sera chamboulé en 2022 lorsque la Russie envahit l'Ukraine. « La conséquence de la guerre en Ukraine, ça a été de priver l'Allemagne du gaz russe, un gaz bon marché, ce qui a fortement perturbé le calcul politique et économique qui avait été fait au départ », rappelle Éric-André Martin. « Robert Habeck a su réagir en faisant preuve de pragmatisme puisqu'il a très vite entamé une tournée auprès des pays qui pourraient suppléer au gaz russe. Il est notamment allé dans les pays du Golfe pour essayer de conclure des contrats d'approvisionnement en gaz et, dans ce dossier, il a fait preuve d'un très grand réalisme. »À lire aussiL'Allemagne «court à la pénurie de gaz», alerte le ministre de l'ÉconomieCoalition avec la CDU ? Ce réalisme lui a été vivement reproché par la gauche du parti écologiste allemand, mais il lui permet aussi aujourd'hui de courtiser les électeurs centristes – et même d'envisager, ce qui paraitrait impensable en France, une coalition de gouvernement non pas avec les socialistes, mais avec la CDU, le parti conservateur qui devrait arriver en tête du prochain scrutin…Une ambition réaliste et même souhaitable aux yeux de Daniel Cohn-Bendit, l'ancien eurodéputé écologiste qui a assisté le week-end dernier au Congrès des Verts allemands à Wiesbaden. « Cette coalition serait un compromis historique pour faire passer la transition écologique et pour faire passer une position migratoire qui tienne compte des angoisses de la population, mais qui respecte le droit international. Je crois que c'est un défi intéressant et que Robert Habeck, par sa personnalité et son intelligence, est le personnage pour arriver à ce genre de coalition. »À lire aussiCongrès des Verts en Allemagne: des divisions sur la question migratoireBien entendu, Robert Habeck suscite l'hostilité d'une bonne partie de la droite allemande en raison de ses convictions écologiques – et pour la base militante de la CDU, il est en grande partie responsable des difficultés actuelles de l'économie allemande. Mais, sur d'autres sujets, il peut trouver des points de convergence, notamment sur l'aide militaire à l'Ukraine, dont il est un farouche partisan. « Il a été le premier à dire qu'il fallait livrer des armes à Kiev, lors de la dernière campagne électorale en 2021 », pointe Daniel Cohn-Bendit. « À l'époque, tout le monde lui est tombé dessus au sein de son propre parti et de l'ensemble de la classe politique allemande – y compris la CDU… Et c'est lui qui avait raison ! » Officiellement, Robert Habeck affirme qu'il vise la chancellerie, mais c'est un objectif hors de portée pour les Verts. Son objectif sera en réalité de talonner ou même de dépasser le SPD lors du scrutin de février.Avec un espoir : rester au gouvernement pour continuer sur la voie de la transition énergétique. Car, malgré la guerre en Ukraine et les très fortes turbulences économiques rencontrées par l'Allemagne, le pays a tenu son objectif de faire monter la part de renouvelables dans son « mix énergétique », en le faisant passer de 42% en 2021 à plus de 50% en 2023.À écouter dans Grand reportageBerlin, ville éponge: sur la voie de l'adaptation au changement climatique
Die Themen der Sendung: Erleichtert und besorgt Interview mit Daniel Cohn-Bendit über den Wahlausgang in Frankreich und die Angst vor linkem Antisemitismus Almut Engelien Thora-Auslegung: Rabbiner Shlomo Bistritzky, Hamburg
May, Philipp www.deutschlandfunk.de, Interviews
Milliardenloch im Bundeshaushalt: Wo kann die Ampel-Koalition sparen? Und: Droht bei der Europawahl ein Rechtsruck? Dazu im Studio zu Gast: Christian Lindner, Daniel Cohn-Bendit & Markus Preiß sowie Hubertus Meyer-Burckhardt, Julia Löhr und Ulrike Herrmann. Von Sandra Maischberger.
durée : 02:59:15 - Le 7/10 - par : Nicolas Demorand, Léa Salamé, Sonia Devillers, Anne-Laure Sugier - Les invités de la matinale du lundi 15 avril sont : Jamel Debbouze, Christophe Ayad, Armin Arefi et Dov Alfon, Daniel Cohn-Bendit X Aquilino Morelle, Solène Chalvon-Fioriti et Zamdane. - invités : Jamel DEBBOUZE, Daniel Cohn-Bendit, Christophe AYAD, Aquilino MORELLE, Armin Arefi, Dov Alfon, Solène Chalvon-Fioriti - Jamel Debbouze : Humoriste, acteur, producteur, Daniel Cohn-Bendit : Ancien député européen, Christophe Ayad : Grand reporter au Monde chargé des questions de terrorisme, auteur de "Géopolitique du Hezbollah" à paraitre le 27 mars 2024 aux éditions PUF., Aquilino Morelle : Haut-fonctionnaire, ancien conseiller de François Hollande à l'Elysée, Armin Arefi : Journaliste au Point, ancien correspondant à Téhéran, Dov Alfon : Journaliste, directeur de la publication et de la rédaction du quotidien français Libération, Solène Chalvon-Fioriti : Journaliste indépendante, Zamdane : Rappeur
Ingrid er tilbake i studio og glad for det! Vi går i dybden på den pågående debatten om støtten til Ukraina. Skillet i samfunnet går tvers gjennom det sosialdemokratiske partiet SPD. Dessuten snakker vi om cannabis - i Tyskland er det nå lov til å bruke stoffet, riktignok med noen byråkratiske begrensninger. Personene vi snakker om i denne episoden er stort sett SPDs toppolitikere: kansler Olaf Scholz, forsvarsminister Boris Pistorius, de to representantene i Forbundsdagen Rolf Mützenich og Michael Roth - og vi dumper innom den historiske kansleren Willy Brandt og hans "Ostpolitik". Kommentaren Ingrid er så begeistret for er skrevet av Peter Dausend i Die Zeit. Tittelen er "Mehr Willy Brandt wagen". Vi nevner også historikeren Heinrich August Winkler. Han har stått i spissen for et opprop mot SPDs holdninger til krigen. Ukrainskfødte Marina Weissband har lenge markert seg i debatten - også hun kommer med kritikk av Scholz. Frankrikes president Macron havnet nylig i konflikt med Scholz og Kai har sett på forskjellene mellom Tyskland og Frankrike i Ukraina-spørsmålet. Podkasten Kai tipser om heter Alles gesagt og publiseres av Die Zeit. Særlig relevant nå er intervjuet med Daniel Cohn-Bendit, en grønn politiker som har vært aktiv i både Tyskland og Frankrike. I innslaget om cannabis snakker vi om helseminister Karl Lauterbach, også han fra SPD. Kontakt oss gjerne på epostadressen tyskernepodkast@gmail.com - eller via Facebook eller Instagram. Og vi blir veldig veldig veldig glade dersom flere støtter oss økonomisk via Patreon. Lenken er ganske enkelt https://www.patreon.com/tyskerne Snakk om oss til andre, del oss i sosiale medier. God lytting!
Pour ce nouvel opus de « L'oeil de MouMou », le journaliste indépendant Mourad Guichard a scindé sa chronique de critique média en trois parties. Les « tops » et les « flops », « au microscope » et « le coup de cœur ». Dans sa première partie, il a rendu hommage à l'économiste Michaël Zemmour qui a su, au cours d'un débat face à l'éditocrate en chef Frantz-Olivier Giesberg, garder son calme malgré les affirmations totalement fantaisistes de ce dernier. Puis, il s'est amusé d'une publicité pour une marque de produits halals portée par le site de Valeurs Actuelles, l'hebdomadaire d'extrême droite maintes fois condamné pour racisme militant. Il s'est ensuite intéressé à la manière dont Nabil Béligh de Chronikfr, le spécialiste de droit international et de géopolitique, a su tenir la dragée haute à Olivier Rafowicz, le zélé porte-parole de l'armée d'occupation israélienne. Daniel Cohn-Bendit et Luc Ferry, les deux papys du Muppet Show télévisuel, ont également eu les honneurs de cette chronique grâce à leur numéro de duettistes sur le nombre présumé de pays baltes. Olivier Cachin, le spécialiste français du rap et célèbre présentateur d'émissions musicales, s'est plus sérieusement distingué dans la polémique aux relents racistes qui a entouré la possible prestation de la chanteuse Aya Nakamura à l'occasion de la cérémonie d'ouverture des Jeux Olympiques de Paris. Dans ses flops, Mourad Guichard a pointé l'arrivée de Michel Onfray sur l'antenne de CNews pourtant censée donner toute sa part au pluralisme. Puis, de dérapages bien contrôlés de Finkiekraut chez Darius Rochebin, de Villiers sur l'IVG ou de Dupont-Moretti chez Haziza, il en est venu à son sujet central : « Gaza, les médias français mainstream ouvrent-ils enfin les yeux ? ». Pour ce faire, il s'est appuyé sur les récentes émissions des chaînes d'information qui semblent montrer un virage éditorial face aux atrocités commises à Gaza par l'armée israélienne jugée, par de nombreuses instances et observateurs internationaux, comme une armée génocidaire. Son coup de cœur, accompagné de remerciements aux internautes toujours plus nombreux et plus fidèles, est allé au livre révélation d'Henri Alleg qui avait, en son temps, dénoncé la torture pratiquée par l'armée française en Algérie. L'Association des combattants de la cause anti-coloniale (ACCA) continue d'ailleurs de porter son combat en prenant position, notamment, sur les évènements en cours à Gaza.
Er ist Politiker, Publizist und Moderator, Schauspieler, Drehbuchautor und Regisseur, Ex-Sponti und Ex-Revolutionär und wurde wahlweise "Dany Le Rouge", "Dany le Vert" und "Dany the Bourgeois" genannt sowie "Das Wappentier des Europäischen Parlaments". Daniel Cohn-Bendit ist zu Gast bei Alles gesagt?. Er ist wohl der einflussreichste deutsch-französische Politiker unserer Zeit. Er war einer der Köpfe der 68er-Studentenbewegung in Frankreich und Deutschland - und ist in beiden Ländern gleichermaßen bekannt. Im Alter von 23 gab der informelle Anführer der französischen 68er-Bewegung dem Philosophen Jean-Paul Sartre ein Interview in der ZEIT, später begleitete Cohn-Bendit den Philosophen bei seinem Besuch der RAF im Gefängnis. Daniel Cohn-Bendit prägte die Grünen seit ihrer Gründung mit und war in Frankfurt am Main Chef des bundesweit ersten Amts für Integration. Später wurde er zunächst für die deutschen Grünen und später für die französischen Les Verts ins Europaparlament gewählt. Im Gespräch mit den Gastgebern Jochen Wegner und Christoph Amend erzählt er von seiner jüdischen Familiengeschichte und von seinem frühen Ruhm, mit dem er kaum umgehen konnte, von seinen wichtigsten politischen Erfolgen und von seinem größten Fehler. Er spricht über seine Erfahrungen mit der linksradikalen Terrororganisation RAF und seine Nähe zu ihren Mitgliedern, seine Freundschaften mit Jean-Paul Sartre und Joschka Fischer, die Gründung des Frankfurter Stadtmagazins "Pflasterstand", über seine Zeit als Moderator von Literatursendungen - und über die Philosophin Hannah Arendt, die mit seiner Familie eng befreundet war. Marc Daniel Cohn-Bendit wurde am 4. April 1945 als Kind von Juden, die vor den Nazis geflohen waren, in Frankreich geboren und wuchs zunächst dort auf. Ende der 1950er Jahre zog der offiziell Staatenlose zunächst nach Deutschland, nahm die deutsche Staatsbürgerschaft an und ging später nach Paris, um dort zu studieren. 1968 zog er nach Frankfurt am Main, wo er bis heute seinen Hauptwohnsitz hat. Bis heute besitzt er ein französisches und ein deutsches Handy. Nach 7 Stunden und 26 Minuten beendet Daniel Cohn-Bendit das Gespräch, denn das kann bei Alles Gesagt? nur der Gast. [ANZEIGE] Mehr über die Angebote unserer Werbepartnerinnen und -partner finden Sie HIER [ANZEIGE] Falls Sie uns nicht nur hören, sondern auch lesen möchten, testen Sie jetzt 4 Wochen kostenlos Die ZEIT. Hier geht's zum Angebot.
C dans l'air du 20 janvier 2024 - Dati, Macron, Bardella : les fossoyeurs de la droite Ça n'aura échappé à personne. Jamais, depuis son élection en 2017, Emmanuel Macron n'avais mis un tel coup de barre à droite. Après le passage controversé de la loi immigration à la fin de l'année, le président vient d'appeler au gouvernement deux anciens ministres sarkozystes, Rachida Dati à la Culture et Catherine Vautrin au Travail. Après ces nominations, c'est lors d'une longue conférence de presse devant 200 journalistes qu'Emmanuel Macron a insisté sur son souhait de réarmer les services publics et l'économie française. En déplacement en Suisse au forum économique mondial de Davos ce jeudi, le chef de l'État a annoncé vouloir durcir les conditions de l'assurance chômage, notamment en mettant en place "des règles plus sévères quand des offres d'emploi sont refusées". Mais ce réarmement ne se limite pas à une simple formule. Le gouvernement veut aussi stimuler la Défense. Jeudi, le gouvernement a annoncé le lancement d'une coalition "Artillerie" avec d'autres pays du bloc occidental, pour mieux répondre aux besoins de munitions de l'Ukraine dans sa guerre contre la Russie. Pendant ce temps-là, le nouveau plus jeune Premier ministre de la Ve République tente d'exister. Gabriel Attal, 34 ans, qui doit annoncer son discours de politique général le 30 janvier, entend nourrir sa réflexion par une discussion avec 150 Français du Rhône ce samedi. Des rencontres qui rappellent le "grand débat" initié par son mentor, Emmanuel Macron. Depuis sa nomination, le jeune macroniste multiplie les rencontres. Il a reçu les leaders syndicaux de la CFDT, CGT et FO, les représentants du Medef et de la CPME, puis les responsables des principaux partis politiques de droite, dont Jordan Bardella, le chef de file du Rassemblement national, ce vendredi. La nouvelle figure lissée du parti d'extrême droite a déjà demandé à Gabriel Attal de "renoncer" à la hausse des tarifs réglementés de l'électricité prévue le 1er février qui est une "inquiétude majeure pour la France du travail, pour les classes populaires et les classes moyennes". Récemment élu dans le top 50 des personnalités préférées des Français, Jordan Bardella peut se targuer d'être la seule personnalité politique à y figurer. Et ce malgré l'émission de Complément d'enquête, diffusée ce jeudi sur France 2, qui a déterré un ancien compte twitter anonyme du président du RN qui n'hésitait pas, à l'époque, à multiplier les blagues racistes. Après une ascension politique éclaire, l'homme politique de 28 ans a son avenir tout tracé dans le camp du RN. C'est lui qui conduira la liste RN aux élections européennes de juin. Dans une interview au JDD, Marine Le Pen a même officialisé qu'il serait son Premier ministre, en cas de victoire du RN à l'élection présidentielle de 2027 : "Ce ticket est absolument nécessaire parce que les Français doivent savoir qui sera le chef du gouvernement s'ils nous font confiance". Face à ces déclarations en cascade, la gauche, elle, peine à exister. Plusieurs élus de gauche, comme François Ruffin, ont profité de la méforme de l'entreprise ferroviaire Valdunes, placée en redressement judiciaire il y a 2 mois, pour se rappeler à leurs électeurs. "« De l'action et des résultats » nous dit Attal. Voilà son premier dossier : Valdunes, fleuron industriel du ferroviaire français, lâché par ses actionnaires, sans repreneur", a ainsi tweeté le député François Ruffin. Adrien Quatennens, députés LFI de la Somme et du Nord, et Fabien Roussel, député et secrétaire national du parti communiste français, se sont également déplacés mercredi devant le Tribunal de commerce de Lille, qui doit statuer sur un éventuel repreneur, pour soutenir les salariés. Si le conflit entre Israël et le Hamas a eu raison de la Nupes, un homme espère réunir les déçus de Macron et de la Nupes : Raphaël Glucksmann. Le futur tête de liste du Parti Socialiste aux élections européennes a lancé sa campagne et espère bien profiter du coup de barre à droite d'Emmanuel Macron. Crédité de 10 à 11% des intentions de vote, le député européen pourrait doubler son score de 2019 (6,2%). D'autant qu'il a récemment reçu le soutien d'un proche du Président, Daniel Cohn-Bendit. Pourquoi Emmanuel Macron s'adresse-t-il à l'électorat de droite ? Le nouveau Premier ministre Gabriel Attal peut-il vraiment contrer la montée en puissance de Jordan Bardella ? Et Raphaël Glucksmann a-t-il les moyens de venir jouer les trouble-fêtes aux élections européennes ? NOS EXPERTS : - Nathalie SAINT-CRICQ - Éditorialiste politique à France Télévisions, auteure de "L'ombre d'un traître" - Fanny GUINOCHET - Éditorialiste - France Info et La Tribune - Gaël SLIMAN - Président et cofondateur d'Odoxa - Carl MEUS - Rédacteur en chef - Le Figaro Magazine
Die Debatte mit Natascha Freundel, Dany Cohn-Bendit und Susan Neiman --- Wiederholung vom 02.11.2023 --- "Man muss den Palästinensern Hoffnung auf die Anerkennung ihrer Menschenrechte geben." (Susan Neiman) --- „Erst indem wir darüber sprechen, vermenschlichen wir, was in der Welt, wie das, was in unserem eigenen Innern vorgeht, und in diesem Sprechen lernen wir, menschlich zu sein.“ Hannah Arendts Essay „Von der Menschlichkeit in finsteren Zeiten“ (1959) klingt heute aktueller denn je, ist es doch verblüffend schwierig, kontroverse Gespräche über den Krieg zwischen Hamas und Israel, über den so genannten „Nahostkonflikt“ zu führen; als hätten viele Menschen Angst, menschlich auf den Krieg zu reagieren. - Die Philosophin Susan Neiman und der Grünen-Mitbegründer Dany Cohn-Bendit lassen sich auf dieses Gespräch ein. Susan Neiman ist davon überzeugt, dass der Konflikt nicht ohne eine Politik der Menschlichkeit, des Universalismus, befriedet werden kann. Cohn-Bendit argumentiert realpolitischer: „Es gibt keine einfache oder wirklich richtige Lösung oder Handlung nach dem 7. Oktober.“ --- Susan Neiman ist Philosophin und leitet seit 2000 das Einstein Forums in Potsdam.2023 ist ihre Streitschrift „Links ist nicht woke“ erschienen (Hanser). --- Daniel Cohn-Bendit ist Mitbegründer der Grünen und Publizist. Von 1994 bis 2014 saß er für die deutschen und die französischen Grünen im EU-Parlament. 2020 erschien sein Dokumentarfilm „Wir sind alle deutsche Juden“, eine Auseinandersetzung mit Israel. --- Mehr Infos unter www.rbbkultur.de/derzweitegedanke --- Schreiben Sie uns gern direkt an derzweitegedanke@rbbkultur.de.
Accord in extremis à la COP 28 Argentine: Le Président Milei lance sa thérapie de choc Fin de l'idylle entre Daniel Cohn-Bendit et Emmanuel Macron Tintin au Congo, une polémique qui ne s'est jamais éteinte Musée d'Orsay : L'impressionnisme fête ses 150 ans en grande pompe
dans l'air du 19 décembre 2023 - Crise politique : le RN maître du jeu ? Le projet de loi immigration sera-t-il voté ce soir ? Après des heures de négociations, la majorité présidentielle et les LR seraient parvenus à s'entendre. Au cœur des discussions : les APL, les aides au logement. Les étrangers en situation régulière - qui ne travaillent pas - devraient attendre 5 ans avant de pouvoir recevoir des APL. Ceux qui travaillent les toucheraient après un délais de carence de trois mois. Les étudiants étrangers et les réfugiés ne seraient pas concernés. La Commission mixte paritaire, réunissant des députés et des sénateurs pour décider de l'avenir du projet de loi, a repris ce matin. Un quinzaine d'articles ont été examinés lundi et plusieurs mesures, introduites par la droite au Sénat, ont été validées : des quotas d'immigration pluriannuels définis au Parlement et le rétablissement d'un délit de séjour irrégulier. Pour la gauche des limites morales ont été dépassées. "La majorité a cédé sur toutes les lignes rouges et a dépassé les lignes bleu marine", a dénoncé le président du groupe socialiste Boris Vallaud, membre de la commission. Cette CMP est "une mascarade de démocratie", a déclaré, de son côté, Mathilde Panot, la cheffe de file du groupe La France insoumise qui a déposé, d'ores et déjà, une motion de rejet. Les Verts, eux, disent y "réfléchir". Au RN, plusieurs élus se sont réjouis hier de voir le texte reprendre "un nombre considérable" de leurs positions. Mais le président du Rassemblement national Jordan Bardella a exclu ce matin sur France Inter un vote favorable sauf "suppression des mesures qui visent à faciliter la régularisation d'immigrés clandestins". "Il faut aller beaucoup plus loin, nous sommes favorables à la priorité nationale" a également affirmé celui qui doit conduire la liste du parti d'extrême droite aux élections européennes et qui a le vent en poupe dans les sondages. Une première enquête (Ifop-Sud Radio) donne, en effet, la liste RN à 30 %, loin devant celle de Renaissance (18 %). Il s'est également installé parmi les dix personnalités politiques les plus populaires dans le baromètre Ifop-Paris Match, devançant d'un point Marine Le Pen et près d'un Français sur deux considère qu'il serait un "bon Premier ministre" dans l'hypothèse d'une cohabitation, d'après un sondage Elabe. Porté par des sondages flatteurs, le leader d'extrême droite s'est félicité ce matin de voir "la victoire idéologique du RN, plus en plus forte chaque jour" et s'est interrogé : "est-ce que les députés de l'aile gauche de la majorité vont voter en faveur de ces mesures qui sont reprises du programme du Rassemblement national ?" Alors que le groupe des députés Renaissance est divisé sur le texte, la Première ministre aurait promis ce mardi devant ses troupes de préserver les "valeurs du macronisme historique". "Il ne se passe pas une minute sans que je veille à ce que nos valeurs soient respectées", a-t-elle affirmé alors que droite et majorité poursuivent leurs négociations en commission mixte paritaire. Si un accord est trouvé, le vote final du projet de loi aura lieu ce soir à 19 heures au Sénat et à 21h30 à l'Assemblée nationale. Quelles sont les mesures validées par la Commission mixte paritaire ? Pourquoi la gauche est-elle vent debout ? Le RN sort-il renforcé de la crise politique ? Et est-ce la fin du "en même temps" ? Pour certains, comme Daniel Cohn-Bendit, c'est une certitude. L'ex-eurodéputé écologiste, qui soutenait le chef de l'Etat depuis 2017, lui reproche désormais d'avoir tourné le dos au "en même temps" et de mener une politique du "vieux monde" qui ne repose que sur une jambe droite. Il a appelé la semaine dernière les écologistes à former une liste commune derrière le député européen Raphaël Glucksmann aux européennes de juin 2024. NOS EXPERTS : - Yves THRÉARD - Éditorialiste, directeur adjoint de la rédaction - Le Figaro - Yaël GOOSZ - Éditorialiste, chef du service politique - France Inter - Brice TEINTURIER - Directeur général délégué - Institut de sondages Ipsos - Caroline VIGOUREUX - Journaliste politique – La Tribune Dimanche
durée : 00:12:14 - L'invité de 7h50 du week-end - L'ancien député européen prend ses distances avec Emmanuel Macron. Il estime que le président n'a pas réussi à "dépasser" le clivage gauche-droite.
durée : 02:59:24 - Le 6/9 - Aujourd'hui dans le 6-9, nous discutons à 6h20 avec Elisa Martin (LFI), la co-cheffe de file sur le projet de loi immigration, et à 7h50, entretien avec Daniel Cohn Bendit. Puis, à 8h20, dans le grand entretien, nous recevons le co-créateur de l'assistant vocal Siri, Luc Julia.
Giovanni di Lorenzo ist Journalist durch und durch. Seit 2004 ist er Chefredakteur der angesehenen Wochenzeitung „Die Zeit“, seit 1989 Moderator der Talkshow „3 nach 9“ von Radio Bremen. Als enorm große, persönliche Bereicherung empfindet er die Gespräche, die er seit Jahren mit Prominenten führt. Was ihn dabei antreibt, davon vermittelt nun sein jüngstes Buch einen tiefen Eindruck. „Vom Leben und anderen Zumutungen" (Kiepenheuer & Witsch) heißt es und es versammelt Gespräche der letzten zehn Jahre, die Giovanni di Lorenzo geführt hat mit Persönlichkeiten aus Politik, Kultur, aus Wissenschaft und Wirtschaft. Nicht immer saß er dabei Menschen gegenüber, die er mag und schätzt. Aber er empfindet es als seine journalistische Pflicht, zum Beispiel auch mit Politikern zu sprechen, deren Regierungsstil er ganz und gar nicht teilt. Etwa mit dem türkischen Präsidenten Recep Tayyip Erdoğan oder dem ungarischen Ministerpräsidenten Victor Orbán. Und so finden sich diese zum Teil beklemmenden und ungemein offen geführten Gespräche neben solchen, die die Leserinnen und Leser tief berührt zurücklassen: so das Gespräch mit Pabst Franziskus oder mit Daniel Cohn-Bendit. Es sind intensive Begegnungen, die spannende Porträts entwerfen - und zugleich die großen gesellschaftlichen Themen der letzten Jahre widerspiegeln und vertiefen. „Vom Leben und anderen Zumutungen" erzählt von persönlichen Begegnungen mit großen Persönlichkeiten - und lädt zugleich in der Diskussion wichtiger und auch unbequemer Themen (Flüchtlingskrise, Kriege, Fremdenfeindlichkeit, Cancel-Culture-Debatten) jeden einzelnen ein, sich auch über sie Gedanken zu machen. Ein gutes, ein wichtiges Buch.
Die Debatte mit Natascha Freundel, Dany Cohn-Bendit und Susan Neiman --- "Man muss den Palästinensern Hoffnung auf die Anerkennung ihrer Menschenrechte geben." (Susan Neiman) --- „Erst indem wir darüber sprechen, vermenschlichen wir, was in der Welt, wie das, was in unserem eigenen Innern vorgeht, und in diesem Sprechen lernen wir, menschlich zu sein.“ Hannah Arendts Essay „Von der Menschlichkeit in finsteren Zeiten“ (1959) klingt heute aktueller denn je, ist es doch verblüffend schwierig, kontroverse Gespräche über den Krieg zwischen Hamas und Israel, über den so genannten „Nahostkonflikt“ zu führen; als hätten viele Menschen Angst, menschlich auf den Krieg zu reagieren. - Die Philosophin Susan Neiman und der Grünen-Mitbegründer Dany Cohn-Bendit lassen sich auf dieses Gespräch ein. Susan Neiman ist davon überzeugt, dass der Konflikt nicht ohne eine Politik der Menschlichkeit, des Universalismus, befriedet werden kann. Cohn-Bendit argumentiert realpolitischer: „Es gibt keine einfache oder wirklich richtige Lösung oder Handlung nach dem 7. Oktober.“ --- Susan Neiman ist Philosophin und leitet seit 2000 das Einstein Forums in Potsdam. Vor kurzem ist ihre Streitschrift „Links ist nicht woke“ erschienen (Hanser). --- Daniel Cohn-Bendit ist Mitbegründer der Grünen und Publizist. Von 1994 bis 2014 saß er für die deutschen und die französischen Grünen im EU-Parlament. 2020 erschien sein Dokumentarfilm „Wir sind alle deutsche Juden“, eine Auseinandersetzung mit Israel. --- Mehr Infos unter www.rbbkultur.de/derzweitegedanke --- Schreiben Sie uns gern direkt an derzweitegedanke@rbbkultur.de.
« Comment la guerre Israël-Hamas fracture le monde » titre l'Obs qui remonte le fil des événements depuis le 7 octobre et l'attaque du Hamas. Elle a d'abord « sidéré le monde par sa soudaineté et son déchaînement de violences » peut-on lire. Et puis il y a ensuite la réplique israélienne, les bombes sur Gaza, des événements qui, nous dit le magazine, « ont réveillé, partout, une cause palestinienne qui semblait oubliée » et qui « révèle l'impuissance de l'Occident qui a cru pouvoir, ces dernières années, rester à l'écart de ce conflit ». Alors comment « éviter l'aggravation des tensions », en France notamment ? Pour tenter de répondre, l'Obs publie un dialogue entre la rabbin Delphine Horvilleur, « figure de proue du judaïsme libéral en France », et l'écrivain franco-algérien Kamel Daoud. Il y a d'un côté les regrets très amers de Delphine Horvilleur : « J'attendais les paroles d'intellectuels musulmans avec qui je dialogue habituellement. Il y en a eu quelques-unes, si essentielles, mais si rares. Quelque chose m'échappe dans ce silence qui me terrasse » explique-t-elle. Un silence qui lui paraît d'autant plus injuste qu'elle affirme dénoncer depuis des années « le gouvernement de Netanyahou, l'horreur de l'occupation, la dérive de la société ». De l'autre côté, Kamel Daoud, lui, regrette surtout cette prise de position perpétuelle qu'on lui impose à coups de chiffres et de bilans humains, aussi lourds soient-ils. « Je ne suis pas comptable. La logique des équivalences entraîne la logique de l'inhumain » affirme l'écrivain qui ajoute : « ce match Shoah contre Nakba qu'on voudrait nous faire jouer dans nos pays et qui arrange les islamistes est une mise en scène. C'est la cristallisation d'une histoire que l'on voudrait figer ». Un petit peu plus loin dans le magazine, David Khalfa, spécialiste du Moyen-Orient à la fondation Jean Jaurès, estime qu'on peut être à la fois « sensible à la cause palestinienne, soutenir la solution à deux États, critiquer la politique israélienne et condamner le Hamas. On ne doit pas choisir ses morts ».C'est pourtant, selon l'Express, ce que fait Jean-Luc Mélenchon« Le désastre », « la stratégie immorale » : l'hebdomadaire ne mâche pas ses mots après les prises de positions du leader de la France Insoumise qui s'est par exemple refusé à qualifier les actes du Hamas de terroristes. « Est-ce de la bêtise ? Ou peut-être de l'ignorance ? » se demande le magazine qui répond immédiatement : « Non et non. Jean-Luc Mélenchon connaît trop (…) le poids des mots ». Ce sont en fait « de sordides calculs » selon Le Point pour qui celui qui est arrivé troisième à la dernière présidentielle « est un homme qui ne laisse rien au hasard ». L'offensive du Hamas contre Israël représenterait « une aubaine pour un vieux politicien en perte de vitesse ». Interrogé sur la question, l'ex-député européen écologiste Daniel Cohn-Bendit y va de son analyse : « Pour capitaliser sur la révolte qui s'est affirmée dans les banlieues cet été et chercher un nouvel électorat », Jean-Luc Mélenchon se servirait « de la rancœur de beaucoup de personnes d'origine musulmane » et l'instrumentaliserait « à des fins politiques, et même bassement électorales ».Le Ghana, « La poubelle des textiles du monde » : ça, c'est à lire dans Le Figaro MagazineIl s'en prend cette semaine à la fast fashion, à cette surconsommation occidentale qui est devenue « un mode de vie et une logique économique ». Une fois les vêtements remplacés par une nouvelle tendance, ils sont majoritairement expédiés à l'étranger et notamment vers le continent africain « avec la promesse d'une seconde vie possible ». Sauf que pour l'hebdomadaire, « ce trésor textile (...) s'est mué en un bourbier écologique et sanitaire pour les populations locales ». Chaque jour, le Ghana reçoit 160 tonnes de vêtements déjà portés, acheminés par bateau. La moitié de ces cargaisons serait « considérée comme invendable dans les échoppes locales », pour finir « jetée dans les rues ou les allées du marché » à Accra. Alors pour quelques pièces, des personnes ramassent ces vêtements abandonnés et s'en débarrassent à la périphérie de la ville, dans des décharges sauvages où ils finissent par former « de véritables dunes artificielles (...) pouvant atteindre 20 mètres de hauteur », au détriment de l'environnement.Et puis M, le magazine du Monde, s'intéresse lui à ces jeunes « Lisses comme des images »« Ils ont à peine plus de 20 ans, pas une ridule », et pourtant ils fréquentent « déjà des cabinets de médecine esthétique ». L'article nous apprend tout de ces techniques qui ont la cote auprès de ces jeunes et qui évitent de passer par le bistouri : les injections, le laser, le peeling chimique… Des soins, peut-on lire, « qui promettent à cette génération biberonnée aux réseaux sociaux de prévenir le moindre signe de vieillissement ». S'y prendre aussi tôt, ça porte un nom : la Préjuvénation. Mais attention au cliché, ça ne veut pas dire que ces jeunes, ils veulent ressembler aux stars de la réalité. Non, ce qu'ils veulent, nous dit M, c'est du Glow, soit un éclat qui semble venir de l'intérieur, un teint radieux, des pores invisibles, des lèvres bien hydratées. Le tout grâce à des techniques « insoupçonnables et indolores », pratiquées « si possible entre midi et deux à l'heure du déjeuner, comme on ferait une course ou une séance de sport ». Cette nouvelle patientèle, poursuit le magazine, « économise ou se fait offrir un soin pour son anniversaire, elle fait des recherches sur internet, connaît le nom des machines, des ingrédients, partage ses adresses, met des notes aux médecins ». Bref, ce serait presque devenu banal et naturel, pas de quoi rougir… Quoique : aucune des personnes qui témoignent dans cet article n'a souhaité donner son nom. Vestige, peut-être, d'un léger sentiment de honte plus dur à effacer que des rides !
Daniel Cohn-Bendit war einst ein Hauptdarsteller der Studentenbewegung, ein "Studentenlautsprecher", wie er im Gespräch betont, und kein 'Studentenführer'. Aber er war noch viel mehr - ehrenamtlicher Dezernent für Multikulturelles in Frankfurt, Sportjournalist, Fernsehmoderator, Europaabgeordneter. (Wdh. vom 14.11.2022)
Streiks und Proteste legen im Frühjahr 1968 Frankreich lahm. Die Medien berichten von bürgerkriegsähnlichen Ausschreitungen. Die Filmfestspiele in Cannes werden ein Fiasko. Staatspräsident Charles de Gaulle geht auf manche Forderungen der Studierenden ein, um Entgegenkommen zu signalieren. Unter anderem verspricht er, für mehr Arbeitsplätze zu sorgen das Pensionsalter auf 60 Jahre zu senken. Eine der Hauptfiguren ist der 23-jährige Soziologiestudent Daniel Cohn-Bendit. Während eines Aufenthalts in Deutschland wird er zur unerwünschten Person erklärt, die Wiedereinreise nach Frankreich wird ihm verweigert. Über all das berichtet dieser Hintergrundbericht vom 25. Mai 1968, der am Ende auch auf die zunehmend unruhige Situation an den deutschen Hochschulen eingeht.
Debata z cyklu „Debat Europejskich” zorganizowana przez Fundację Centrum im. Profesora Bronisława Geremka we współpracy z Fundacją Heinricha Bölla oraz Ośrodkiem Kultury Francuskiej i Studiów Frankofońskich. 23 kwietnia 2013 r., Gazeta Wyborcza [1h41min] https://wszechnica.org.pl/wyklad/czy-europa-geremka-jest-wciaz-mozliwa/ Okazją do dyskusji stał się wydany jesienią ubiegłego roku zbiór esejów Bronisława Geremka pt. „Nasza Europa” (wyd. Universitas). W tekstach pisanych w latach 2002-2008 autor postrzegał Europę jako mocarstwo sprawiedliwe, kierujące się nakazem przestrzegania praw człowieka, choć zarazem obserwował zwiększający się dystans pomiędzy obywatelami Unii Europejskiej a reprezentującymi ich instytucjami. Apelował o szersze włączanie Europejczyków w procesy decyzyjne i pogłębienie integracji politycznej. We wstępie do publikacji Aleksander Smolar podkreślił: „Bronisław Geremek w swoich działaniach i w swoich esejach był zawsze po stronie wspólnej Europy, był też zawsze po stronie nadziei. Nie udzielał, oczywiście, odpowiedzi na problemy, przed którymi obecnie stoimy, ale w swoim myśleniu o Europie i historii podsuwał nam jeden z tropów, którym powinniśmy podążać, aby rozwiązać jeden z fundamentalnych dylematów naszego kontynentu: jak pogodzić bogactwo wielości narodów i kultur z potrzebą wspólnego istnienia i działania”. Na początku spotkania – na prośbę publiczności – moderator, Jarosław Kurski, zarysował zakres znaczeniowy użytej w tytule formuły „Europa Geremka”. Jest to Europa człowieka, który był świadkiem tragicznych skutków wojny, dlatego też empatia dla słabych oraz pamięć o grozie wojennej pożogi zrodziły w nim tęsknotę za Europą demokratyczną, za tożsamością i świadomością europejską – powiedział Jarosław Kurski. Prof. Magdalena Środa podkreśliła, że jest entuzjastką wizji Europy Bronisława Geremka – koncepcji politycznej, która wsparta na wzajemnym zaufaniu i solidarności, sięga swymi korzeniami do optymistycznych źródeł człowieczeństwa. Więź, która służyła wyartykułowaniu podstawowych wartości owej koncepcji byłaby jednak wprost proporcjonalna do siły pamięci historycznej. Prof. Geremek często mówił, że mamy już wspólną Europę, ale wciąż nie mamy Europejczyków – wspomniała Magdalena Środa – Być może ów proces poszukiwania formuły obywatelskiej w Europie winien wykroczyć poza model jedności państw narodowych. Narzędziem kształtowania tak rozumianej świadomości powinna stać się spójna strategia edukacyjna. Uczestnicy debaty starali się odnieść do wizji politycznej i społecznej, którą prof. Bronisław Geremek przez lata budował i współkształtował. Jest to zadanie trudne, a zarazem odpowiedzialne, zwłaszcza w kontekście kryzysu gospodarczego oraz wyrazistej fali nieufności wobec wspólnych, europejskich instytucji. Europa, jaką dziś widzimy to przestrzeń prawa i odpowiedzialności za negatywne konsekwencje elementów dekonstruujących dyskurs społeczny i polityczny kontynentu, takie jak krwawe nacjonalizmy, czy też wojny. Europa jest więc marzeniem, to prawda, ale jest ona w takim samym, a może nawet w większym stopniu konstruktem – powiedział Daniel Cohn-Bendit. Zasadniczy problem dotyczy zatem przyszłości. Czy możemy wciąż czerpać siłę, ograniczając się jedynie do lekcji owego spełnionego snu? Wydaje się, że nie. W świecie globalnym państwa narodowe nie są już w stanie podejmować wyzwań współczesności. Marzenie europejskie Geremka musi ulec przemianie w kierunku federacyjnym – podkreślił polityk. Znajdź nas: https://www.youtube.com/c/WszechnicaFWW/ https://www.facebook.com/WszechnicaFWW1/ https://anchor.fm/wszechnicaorgpl---historia https://anchor.fm/wszechnica-fww-nauka https://wszechnica.org.pl/ #geremek #europa
CRISE ÉNERGÉTIQUE : L'EUROPE À L'ÉPREUVE – 05/12/22 DANIEL COHN-BENDIT Ancien député européen La France est en retard sur les énergies renouvelables. Le pays, qui s'est longtemps reposé sur la puissance de son parc nucléaire, a généré en 2021 le quart de son électricité avec des renouvelables, une part plus faible qu'ailleurs en Europe. Pour inverser cette tendance, un projet de loi arrive ce lundi à l'Assemblée. Après s'être appuyée sur la droite pour faire adopter ses précédents textes, la majorité se tourne vers la gauche et les écologistes pour faire passer ce projet de loi. Lors de l'examen en commission, « nous avons repris des propositions des députés, en particulier de gauche et de LIOT (Liberté, Indépendants, Outre-mer et Territoires) », a fait valoir la ministre de la Transition énergétique Agnès Pannier-Runacher dans le JDD. A ce jour, le solaire et l'éolien ne représentent que 19,3 % de la consommation finale brute d'énergie, déjà en deçà de l'objectif fixé en 2020 de 23 %. Dans le même temps, la France vit sous la menace de coupures d'électricité, alors qu'une partie importante de sa production électrique est amputée par l'arrêt de la moitié de ses réacteurs nucléaires. Vendredi 2 décembre, Varsovie a donné son accord et permis aux Occidentaux de finaliser le mécanisme de plafonnement des prix du pétrole russe qu'ils souhaitaient mettre en place. En s'engageant à ne pas acheter de pétrole russe au-dessus de 60 dollars (57 euros) le baril, ils veulent limiter les revenus de Moscou et l'empêcher de financer sa guerre contre l'Ukraine. Daniel Cohn-Bendit reviendra sur le retard de la France en matière d'énergies renouvelables et sur le plafonnement des prix du pétrole russe des Européens.
Daniel Cohn-Bendit war einst ein Hauptdarsteller der Studentenbewegung, ein "Studentenlautsprecher", wie er im Gespräch betont, und kein 'Studentenführer'. Aber er war noch viel mehr - ehrenamtlicher Dezernent für Multikulturelles in Frankfurt, Sportjournalist, Fernsehmoderator, Europaabgeordneter.
Florin, Christianewww.deutschlandfunk.de, StreitkulturDirekter Link zur Audiodatei
durée : 00:43:20 - Sens politique - par : Arnaud Bousquet - Danny le rouge puis Danny le vert est un européen convaincu qui navigue entre l'Allemagne et la France. Il s'est fait connaître pendant mai 68 puis en tant que figure emblématique d'Europe-Ecologie-Les-Verts. Retraité de la vie politique depuis plusieurs années, il continue à la commenter. - invités : Daniel Cohn-Bendit Ancien député européen
Au programme de C à vous la suite : C le Festival : • En direct du festival de Cannes ! • « Novembre » : Cannes revient sur les attentats du 13/11/15 Invité : Robert Namias, journaliste et ancien directeur de l'information du groupe TF1 • Course à l'info, course à l'audience : Robert Namias se confie • Affaire Baudis : l'histoire d'un emballement médiatique • Robert Namias : dans les coulisses des chaînes info • Robert Namias raconte la fabrique de l'information • L'information aujourd'hui par Robert Namias • Le polar plus vrai que nature de Robert Namias • « Mortelles comédies », le nouveau polar de Robert Namias • Affaire PPDA : Robert Namias parle Invité·es : Thierry Marx et Jessie Inchauspé, biochimiste et chercheuse en nutrition • L'assiette santé de Thierry Marx • Thierry Marx : ceinture noire et cordon bleu • Thierry Marx, le goût et la forme ! • Jessie Inchauspé : la glucose révolution ! • La formule scientifique pour perdre du poids ! • Thierry Marx et Jessie Inchauspé : top chefs ! • Thierry Marx et Jessie Inchauspé : les petits plats dans les grands ! La Story médias - Le succès de la « slow TV » L'ABC - Les actualités de Bertrand Chameroy • Les journalistes dans toutes les voitures des ministres • Sujet journalistique : il fait moins chaud • Là où je t'emmènerai : le remake de France 3 • Point Moquette Paca : ce qu'il se passe sur la Croisette • Nouveau Muppet Show avec Daniel Cohn-Bendit et Luc Ferry
LÉGISLATIVES : QUI A PEUR DE MÉLENCHON ? – 10/05/22 Invités CHRISTOPHE BARBIER Éditorialiste politique Conseiller de la rédaction - « Franc-Tireur » SOAZIG QUÉMÉNER Rédactrice en chef du service politique - « Marianne » ASTRID DE VILLAINES Cheffe du service politique - « Huffington Post » JÉRÔME FOURQUET Directeur département Opinion - Institut de sondages IFOP Auteur de « La France sous nos yeux » Alors qu'Emmanuel Macron était investi à l'Élysée pour un second mandat, les partis ont définitivement lancé samedi la bataille des législatives. A gauche, insoumis, communistes, socialistes et écologistes ont affiché leurs convergences à Aubervilliers lors de la convention de la Nouvelle Union Populaire Écologiste et Sociale (Nupes), la coalition formée pour les élections de juin. Un succès stratégique pour Jean-Luc Mélenchon qui se verrait bien Premier ministre, si la Nupes devient majoritaire à l'Assemblée nationale en juin. Mais si une partie de la gauche se félicite d'un moment « historique », chez les socialistes comme chez les communistes et écologistes, les opposants à l'accord électoral avec La France insoumise se succèdent dans les médias pour dénoncer une « reddition », un « naufrage », une « infamie sans nom ». Dans une tribune au Monde samedi, trois anciens députés européens, Jean-Paul Besset, José Bové et Daniel Cohn-Bendit, qualifient ainsi le ralliement derrière Jean-Luc Mélenchon « d'escroquerie » et accusent les dirigeants des Verts de trahir les valeurs fondatrices d'EELV. « Un Tout sauf Mélenchon est en train de se construire », a assuré de son côté dimanche l'ex-Premier secrétaire du Parti socialiste, Jean-Christophe Cambadélis. Et il n'y a pas qu'à gauche que les attaques fusent contre le troisième homme de la présidentielle, considéré par 37 % des Français comme celui qui incarne le mieux l'opposition au président d'après un dernier sondage Elabe. Depuis Hénin-Beaumont, dans le Pas-de-Calais, où le RN a lancé sa campagne des législatives, Marine Le Pen a ciblé hier le député insoumis, qui serait loin d'incarner un adversaire crédible au président réélu selon elle. « Jean-Luc Mélenchon a fait élire Emmanuel Macron. Cela le discrédite absolument pour pouvoir se mettre dans la posture d'opposant d'Emmanuel Macron. Il joue les fous du roi », a-t-elle attaqué. Le président des Républicains Christian Jacob a lui affirmé qu'il n'y avait « aucune chance que Jean-Luc Mélenchon devienne Premier ministre », estimant que le chef de file des insoumis jouait le rôle « d'idiot utile » d'Emmanuel Macron. Le président du groupe LREM à l'Assemblée nationale Christophe Castaner a pour sa part estimé que « le programme de Jean-Luc Mélenchon, c'est celui d'une imposture et d'une banqueroute ». L'ancien député socialiste a également déploré que le bloc de gauche se soit aligné sur son programme. « Tout ça n'est que fantaisie et mensonge » a-t-il lancé encore. Quand l'ancien Premier ministre Manuel Valls, investi par la majorité aux législatives dans la Xe circonscription des Français de l'étranger (Espagne - Portugal), a lui affirmé que son « adversaire, ce sont les extrêmes, mais c'est le mélenchonisme ». De son côté, Emmanuel Macron a fait savoir à Berlin, lundi, lors d'une conférence de presse, qu'il connaissait l'identité de son prochain Premier ministre sans en dévoiler le nom. Le chef de l'Etat préfère encore faire durer le suspense et fait cap vers les législatives. Il a décidé de lancer la campagne dans son camp ce mardi en rendant visite en fin de journée aux candidats investis par la majorité présidentielle réunis à Aubervilliers. Objectif : galvaniser ses troupes en vue des élections des 12 et 19 juin. DIFFUSION : du lundi au samedi à 17h45 FORMAT : 65 minutes PRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40 RÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son PRODUCTION : France Télévisions / Maximal Productions Retrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux : INTERNET : francetv.fr FACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5 TWITTER : https://twitter.com/cdanslair INSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/
durée : 00:39:00 - Les Nuits de France Culture - "Vivons-nous la fin du politique ou de la politique ?" En mars 1980, douze années après "le moment 68", la productrice Françoise Lévy posait la question dans les "Nuits Magnétiques" à cinq intellectuels français. Premier invité de la série, le militant politique Daniel Cohn-Bendit. - invités : Daniel Cohn-Bendit homme politique; Michel Butel Ecrivain