Podcasts about rabih mrou

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Dramathis
Le bilan critique de novembre (S3E3)

Dramathis

Play Episode Listen Later Dec 3, 2024 59:11


Dans cet épisode du bilan critique, il sera question de :« Notre Comédie Humaine » du Nouveau Théâtre Populaire« Pessoa. Since I've been me » de Robert Wilson« Rituel 5 : la mort » d'Emilie Rousset« The Love behind my eyes » d'Ali Charhour« THISISPAIN » de Hilel Kogan« Dynasties » de Sara Forever« Tchoko » d'Olivia Mabounga et Ludmilla Dabo« Chaos Ballad » de Samir Kennedy« Diaspora » de Soa de Muse et Bia Kaysel« La Vegetariana » de Daria Defloran«Ouvrir les cahiers de doléances » avec Penda Diouf, Christophe Pellet, Claudine Galéa, Constance de Saint-Rémy et Noham Selcer« Cabaret » de Rebecca« Hadestown » d'Anais Mitchell« 33 tours et quelques secondes » de Lina Madjalanie et Rabih Mroué« Inconditionnelles » de Dorothée Munyaneza« Les Misérables » de Ladislas Chollat« Les Forces Vives » d'Animal CollectiveCliquez ici pour les critiques complètes de Rituel 5 : La mort et de Chaos Ballad sur l'Œil d'Olivier. Get bonus content on Patreon Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

Le zoom de la rédaction
Lina Majdalanie et Rabih Mroué : deux artistes libanais en exil

Le zoom de la rédaction

Play Episode Listen Later Dec 1, 2024 4:30


durée : 00:04:30 - Le Zoom de France Inter - Zoom ce matin sur deux artistes libanais, Lina Majdalanie et Rabih Mroué. Le festival d'Automne à Paris leur consacre un "portrait". Une retrospective de leur travail depuis 30 ans, à travers une quinzaine de spectacle et de conférences.

Kultur heute Beiträge - Deutschlandfunk
„A Sky Like A Wall“: Dance On-Ensemble inszeniert von Rabih Mroué in Berlin

Kultur heute Beiträge - Deutschlandfunk

Play Episode Listen Later Nov 30, 2024 5:35


Nehring, Elisabeth www.deutschlandfunk.de, Kultur heute

Fazit - Kultur vom Tage - Deutschlandfunk Kultur
"A Sky Like A Wall": Dance On-Ensemble inszeniert von Rabih Mroué in Berlin

Fazit - Kultur vom Tage - Deutschlandfunk Kultur

Play Episode Listen Later Nov 29, 2024 6:31


Nehring, Elisabeth www.deutschlandfunkkultur.de, Fazit

Culture en direct
Lina Majdalanie : "En ce moment on monte sur scène juste après avoir appris un bombardement au Liban"

Culture en direct

Play Episode Listen Later Nov 16, 2024 10:57


durée : 00:10:57 - L'Avant-scène - par : Aurélie Charon - Les artistes libanais Lina Majdalanie et Rabih Mroué revisitent leurs œuvres au Festival d'Automne à l'occasion d'un "Portrait" : six spectacles en reprise et deux créations. Il n'est pas simple de jouer ces pièces qui questionnent la situation politique du Liban, en pleine guerre. - réalisation : Alexandre Fougeron - invités : Lina Majdalanie autrice, metteuse en scène, comédienne libanaise

Tous en scène
Lina Majdalanie : "En ce moment on monte sur scène juste après avoir appris un bombardement au Liban"

Tous en scène

Play Episode Listen Later Nov 16, 2024 10:57


durée : 00:10:57 - L'Avant-scène - par : Aurélie Charon - Les artistes libanais Lina Majdalanie et Rabih Mroué revisitent leurs œuvres au Festival d'Automne à l'occasion d'un "Portrait" : six spectacles en reprise et deux créations. Il n'est pas simple de jouer ces pièces qui questionnent la situation politique du Liban, en pleine guerre. - réalisation : Alexandre Fougeron - invités : Lina Majdalanie autrice, metteuse en scène, comédienne libanaise

Vous m'en direz des nouvelles
Le photographe Jean-Baptiste Pellerin, les Parisiens en boite, le quality street

Vous m'en direz des nouvelles

Play Episode Listen Later Oct 25, 2024 48:29


Jean-Baptiste Pellerin nous plonge grandeur nature dans les rues de la capitale française. Il nous fait vivre un «Paris de toutes les couleurs», que l'on soit parisien ou touriste. L'album est publié aux éditions des Grandes Personnes. Notre livre s'ouvre sur une phrase entre guillemets : « Bonjour, est-ce que je peux faire une photo de vous ? ». On découvre alors 187 photos qui irisent ce que l'on a coutume d'appeler la grisaille de la capitale française. Ce sont, à la fois des portraits en pied qui forment un étonnant album grandeur nature, mais aussi des rues de la Ville Lumière et de celles et ceux qui les font vivre. Notre photographe s'intéresse au Paris cosmopolite dans ses détails, avec ses visages, ses vêtements, ou encore son élégance. Finalement, Jean-Baptiste Pellerin nous questionne, et si Paris était beaucoup plus coloré qu'on ne pouvait le penser ?Jean-Baptiste Pellerin sera l'invité de VMDN. Son album-photos Paris de toutes les couleurs est publié chez les éditions Les Grandes Personnes.Café Gourmand : Solène Gardré s'intéresse au diptyque de Simon Abkarian, « Une odyssée en Asie mineure » au Théâtre de l'Epée de Bois, à Paris.Lisa Giroldini s'invite au « concile des oiseaux » avec le duo Didier Malherbe et Loy Ehrlich. Une quinzaine d'instruments tous entremêlés dans une fusion de mélodies traditionnelles et de jazz.Muriel Maalouf a rencontré Lina Majdalanie et Rabih Mroué, deux artistes libanais mis à l'honneur du Festival d'Automne.

Vous m'en direz des nouvelles !
Le photographe Jean-Baptiste Pellerin, les Parisiens en boite, le quality street

Vous m'en direz des nouvelles !

Play Episode Listen Later Oct 25, 2024 48:29


Jean-Baptiste Pellerin nous plonge grandeur nature dans les rues de la capitale française. Il nous fait vivre un «Paris de toutes les couleurs», que l'on soit parisien ou touriste. L'album est publié aux éditions des Grandes Personnes. Notre livre s'ouvre sur une phrase entre guillemets : « Bonjour, est-ce que je peux faire une photo de vous ? ». On découvre alors 187 photos qui irisent ce que l'on a coutume d'appeler la grisaille de la capitale française. Ce sont, à la fois des portraits en pied qui forment un étonnant album grandeur nature, mais aussi des rues de la Ville Lumière et de celles et ceux qui les font vivre. Notre photographe s'intéresse au Paris cosmopolite dans ses détails, avec ses visages, ses vêtements, ou encore son élégance. Finalement, Jean-Baptiste Pellerin nous questionne, et si Paris était beaucoup plus coloré qu'on ne pouvait le penser ?Jean-Baptiste Pellerin sera l'invité de VMDN. Son album-photos Paris de toutes les couleurs est publié chez les éditions Les Grandes Personnes.Café Gourmand : Solène Gardré s'intéresse au diptyque de Simon Abkarian, « Une odyssée en Asie mineure » au Théâtre de l'Epée de Bois, à Paris.Lisa Giroldini s'invite au « concile des oiseaux » avec le duo Didier Malherbe et Loy Ehrlich. Une quinzaine d'instruments tous entremêlés dans une fusion de mélodies traditionnelles et de jazz.Muriel Maalouf a rencontré Lina Majdalanie et Rabih Mroué, deux artistes libanais mis à l'honneur du Festival d'Automne.

il posto delle parole
Sergio Ariotti "Festival delle Colline Torinesi"

il posto delle parole

Play Episode Listen Later Oct 9, 2023 9:53


Sergio Ariotti"Festival delle Colline Torinesi"Il 14 ottobre al via il Festival delle Colline Torinesi Martedì 10 anteprima del Festival e della stagione TPE conBirds o l'impeccabile armonia del caso del Mulino di Amleto 5 prime, 6 produzioni, 16 spettacoli, 26 giorni, 41 reciteIl Festival ventottoIl Festival delle Colline Torinesi - Torino Creazione Contemporanea torna dal 14 ottobre al 5 novembre 2023, con un'anteprima il 10 ottobre. La storica rassegna teatrale, sempre organizzata dalla TPE - Teatro Astra, propone un'edizione di ampio respiro che può contare su 5 prime, 6 produzioni, 16 spettacoli, 26 giorni di programmazione e 41 recite. Continua il percorso del festival di teatro contemporaneo d'autunnoIl Festival delle Colline Torinesi prosegue, per il terzo anno, il suo nuovo cammino di festival d'autunno ribadendo il rapporto con la creazione contemporanea anche grazie alla partnership progettuale con la Fondazione Merz, nei cui spazi, specie durante la settimana di ContemporaryArt, avranno luogo appuntamenti di teatro più sperimentale. L'anteprimaIl 10 ottobre andrà in scena Birds o l'impeccabile armonia del caso del Mulino di Amleto, anteprima del Festival e della stagione TPE nell'ambito del Libano paese ospite. Potente e lacerante, il capolavoro di Wajdi Mouawad, tradotto in italiano per la prima assoluta diretta da Marco Lorenzi, racconta la storia d'amore tra Eitan, giovane di origine israeliana, e Wahida, ragazza di origine araba, in una realtà storica fatta di conflitti, dolore, odi, attentati. La produzione è sostenuta nell'ambito del bando “ART~WAVES. Per la creatività, dall'idea alla scena” della Fondazione Compagnia di San Paolo. Il temaConfini-sconfinamenti è il tema dell'ultimo anno di un triennio. Fa riferimento al confine geografico, che viene superato in caso di migrazione, di fuga dal proprio paese. Esuli, profughi, migranti, rifugiati, espatriati, sono termini, quasi equivalenti, che vengono spesso adoperati per identificare persone che hanno lasciato il loro paese d'origine, varcato uno o più confini, a seguito di guerre, calamità, persecuzioni. L'espatrio, come necessità individuale o collettiva, è antico come il mondo, ma nel ventesimo e ventunesimo secolo ha assunto caratteristiche ben precise, correlate, ad esempio, all'avvento di dittature o a sommovimenti politici. Ondate migratorie sono nate dopo la rivoluzione russa del 1917, con il fascismo, il nazismo (dalla presa di potere di Hitler fino al 1946), il franchismo. Per altre ragioni ci sono stati esodi dall'Europa verso l'America, dettati prevalentemente dalla povertà e mancanza di lavoro, e oggi, per motivi più complessi, tra le Americhe, dal Nord Africa verso l'Europa, con protagonista lo sventurato popolo dei barconi. Da non dimenticare la fuga dall'Ucraina pari ormai a quelle della Seconda Guerra Mondiale. Sconfinamenti sono anche quelli tra i linguaggi artistici. Il Paese ospiteIl Libano è il paese ospite del Festival '23 e Lina Majdalanie e Rabih Mroué sono i protagonisti della monografia d'artista ‘23.Lo spettacolo inaugurale Hartāqat, di Lina e Rabih, una sorta di manifesto dell'edizione 2023, propone tre racconti di sconfinamenti. Dalla Palestina verso il Libano di Izdihar, dal Libano verso altri paesi, dalla propria obbligata identità di genere ad altra. Viene evocata anche Hannah Arendt, intellettuale ebrea, allieva di Heidegger, fuggita dalla Germania nazista alla volta di Parigi e degli USA, testimone come giornalista del processo Eichmann, autrice di un fondamentale saggio, ristampato, recentemente da Einaudi, Noi rifugiati. Lina Majdalanie lo ricorda nello spettacolo presentato in prima nazionale. “Sembra che nessuno voglia sapere che la storia contemporanea ha creato una nuova specie di esseri umani: quelli che vengono messi nei campi di concentramento dai loro nemici e e nei campi di internamento dai loro amici”. (Hanna Arendt, Noi rifugiati, Einaudi, 2022).A completare la vetrina del “paese ospite” ci saranno ancora Lina Majdalanie e Rabih Mroué con una videoinstallazione dedicata alla fotografia alla Fondazione Merz, Second Look, sempre in prima nazionale. La fugaLa fuga verso l'Europa c'è in Blind Runner. Percorrere di corsa il tunnel della Manica per raggiungere l'Inghilterra. È il proposito di due fuggiaschi dall'Iran, marito e moglie. Lei finisce in prigione, ma i due non smettono di allenarsi. Regista: Amir Reza Koohestani, iraniano. In La Isla di Agrupaciòn Senor Serrano e in Frankenstein (A Love Story) di Motus si narra invece una fuga immateriale dalla condizione umana. Uno sconfinamento verso il mondo dell'intelligenza artificiale, dove superare le divisioni o uno sconfinamento, magari mostruoso, quello creato dalle pagine di Mary Shelley, con il ricomporsi di parti di esseri umani. La madre dell'autrice era morta drammaticamente. Mary vuole vendicarsi sulla morte. Infine una fuga nel linguaggio dei segni c'è in Urla silenziose di Tedacà, uno spettacolo sulla falsariga della vita di un'attrice sorda, Emmanuelle Laborit, Premio Molière.Passage, conversazione con alcuni posteri, uno spettacolo itinerante da pagine di Walter Benjamin, interpretato da Paolo Musio in Galleria Subalpina, celebra la complessità intellettuale di un famoso esule del novecento. In fuga dall'incubo nazista, Walter Benjamin giunge a Parigi il 18 marzo 1933. Non tornerà più in Germania. Concluderà suicida la sua vita di esiliato a Port Bou in Spagna, nel 1940. Passage evoca i passages e la Biblioteca Nazionale di Parigi, il buon rifugio di Benjamin.Tra i tanti termini che integrano quello di migrante c'è anche perseguitato. Non siete stati ancora sconfitti è un libro di Alaa Abd el-Fattah, scrittore e blogger, vittima di una spietata persecuzione giudiziaria. In Egitto. Uno sciopero della fame gli ha fatto rischiare la vita. Fa una lettura scenica, di questo libro, Massimiliano Speziani, lo zio Vanja nel prossimo spettacolo di Leonardo Lidi. La lettura scenica ha debuttato a Palermo negli spazi dello ZACentrale.Una riga nera al piano di sopra, in ricordo dei fuggiaschi dal Polesine, è infine un testo scritto e interpretato da Matilde Vigna. I confini fra le artiConfini-sconfinamenti fa riferimento anche, come detto, al confine tra le arti, teatro e arte e questi sconfinamenti saranno ospitati alla Fondazione Merz con cui continua una felice esperienza di co-progettazione. Ashes di Muta Imago, ad esempio, allestito negli spazi espositivi della Fondazione, è l'esplorazione dei suoni come frammenti di memoria. Il segno d'artista del festival, quest'anno, è di Mario Merz: il particolare di un igloo con la scritta My Home's Wind. Un riferimento consono all'idea di fuga, a una casa provvisoria, all'essere una particella dell'universo. L'omaggio a Romeo CastellucciChe cosa si lasciano dietro i migranti? Spesso guerre e totalitarismi. Il nazismo nel caso di Arendt e Benjamin. In Il Terzo Reich di Romeo Castellucci, vengono proposte le parole del potere con probabile allusione proprio al nazismo. I suoni sono di Scott Gibbons. Un progetto speciale del Festival in collaborazione con il Teatro Stabile di Torino, e la Fondazione Merz. Il valore della memoriaAl dovere di ricordare fanno riferimento alcuni spettacoli del Festival '23, che hanno nelle nonne grandi protagoniste. Oltre a Izdihar, una nonna che dalla Palestina fugge in Libano in Hartāqat, c'è la nonna di Sergi Casero Nieto in El pacto del olvido che invita a ricordare gli anni del franchismo, della guerra civile spagnola, e c'è una nonna di decisiva importanza drammaturgica in Birds.La memoria irrompe a teatro anche nello spettacolo Con la carabina di Licia Lanera, da un dramma di Pauline Peyrade che ha recentemente vinto il Premio Ubu quale miglior testo straniero.IL POSTO DELLE PAROLEascoltare fa pensarewww.ilpostodelleparole.itQuesto show fa parte del network Spreaker Prime. Se sei interessato a fare pubblicità in questo podcast, contattaci su https://www.spreaker.com/show/1487855/advertisement

il posto delle parole
Sergio Ariotti "Festival delle Colline"

il posto delle parole

Play Episode Listen Later Oct 14, 2021 10:16


Sergio Ariotti"Festival delle Colline"http://www.festivaldellecolline.it/Il Festival delle Colline Torinesi - Torino Creazione Contemporanea si rilancia spostandosi in un periodo inedito: dal 14 ottobre al 14 novembre 2021. La storica rassegna teatrale, sempre organizzata dalla Fondazione TPE - Teatro Piemonte Europa, propone un'edizione d'eccezione con molte novità, che può contare su 19 spettacoli in 32 giorni, 51 recite, 6 spazi in 3 città, 7 prime e gli artisti provenienti da 12 nazioni.Un festival contemporaneo «Je continue à apprendre par cœur Le bateau ivre, qui me prendre beaucoup de temps.» così scrive con ironia Sophie Calle, che nel 2021 dona il segno d'artista al Festival delle Colline Torinesi. Proprio il rapporto con la scrittura poetica caratterizza il mondo figurativo della Calle, la cui personale al Castello di Rivoli, del 2014, rimane indelebile nel ricordo. «Parce que la tentation de la suivre» si legge su un'immagine fotografica della Calle, una linea bianca che incrocia una distesa di sassi e il mare. Frase e immagine diventano un'opera («Ligne Blanche», recentemente in mostra alla Fondazione Merz), i poli di una dialettica, il “segno d'artista”. Anche il Festival ha l'intenzione di seguire una linea: quella della ripresa di attività nel dopo pandemia, in autunno, sperimentando nuove formule e nuovi linguaggi. Fra le novità: la presenza di un Paese ospite, il Belgio; la monografia d'artista, dedicata alla Socìetas, una famiglia d'arte, con spettacoli rispettivamente di Claudia Castellucci, Chiara Guidi, Romeo Castellucci; la contaminazione del teatro con l'arte contemporanea, condivisa proprio con la Fondazione Merz e in collaborazione con la Fondazione Piemonte dal Vivo e il Castello di Rivoli – Museo d'Arte Contemporanea. Il temaSlogan programmatico diventa, dopo quello del viaggio, confini/sconfinamenti. Il Festival delle Colline Torinesi vuole dare spazio alla performance d'arte superando certi steccati rimuovendoli: guardando ad artisti che non utilizzano solo schemi drammaturgici, che cercano spazi nuovi e nuove concettualità e ad artisti che scommettono su altre combinazioni, persino con la moda e il design, come certe sfilate suggeriscono. La volontà di superare confini, di contaminare linguaggi, alternarli, coniugarli, caratterizza da sempre Motus che con Chroma Keys, interpretato da Silvia Caldero-ni, compie una incursione nel cinema, portando il corpo della performer, illusoriamente e illusionisticamente, nelle scene di film proiettati, intarsiati con una vecchia tecnica video (ora rinnovata dal digitale), il Chroma Key appunto. Una esibizione tutta in sospeso tra un mondo a venire e un avvenire senza mondo, tra Hitchcock e Godard, tra Lars Von Trier e l'apocalittico Bela Tarr. Un'operazione che, forse, richiama certe avanguardie storiche. Secondo appuntamento con Motus e spettacolo conclusivo del Festival Tutto brucia: una nuova creazione ri-cavata da Le Troiane di Sartre. Scritta a Roma nel 1964, Le Troiane è un adatta-mento del testo di Euripide, con allusioni all'imperialismo europeo e alla Guerra d'Algeria.Con la performance Rompere il ghiaccio, Filippo Andreatta riflette sul rapporto tra uomo e paesaggio. Il pretesto è la sorte di un ghiacciaio, il Grafferner, sulla frontiera tra Italia e Austria, ma anche la storia d'amore tra Elsa e Enrico, i nonni dell'autore, separati da un confine «mobile», da quel ghiacciaio appunto, che si contrae. Il tutto è volto a dimostrare la natura discutibile, cangiante, di ogni idea di confine. Sunny Sundays è, invece, una performance (con uno stand-up, momenti di narrazione e un fumetto), progettata e realizzata dagli artisti libanesi Rabih Mroué e Lina Majdalanie, di ritorno al Festival dopo qualche anno. Un lavoro in bilico tra finzione e ricognizione storica, con lo spettatore quasi impossibilitato a distinguerle. Secondo appuntamento al Festival con gli artisti libanesi, Borgborygmus (con Lina e Rabih figura l'artista visivo, musicista e autore di fumetti Mazen Kerbaj) presenta il mondo di oggi come un gorgoglio, come il rumore continuo di un fallimento, come un requiem per vivi. Al Castello di Rivoli – Museo d'Arte Contemporanea, il Festival sarà presente con Exhibition: evento performativo di Cuocolo/Bosetti pensato per i musei, che sotto forma di una particolare visita guidata, si interroga sulla natura della fruizione. Dunque anche del teatro e dell'arte, con un gruppo di venticinque spettatori muniti di radio guide che attraversa gli spazi museali guidato dall'attrice-performer.Fanno parte del segmento arte-teatro anche la creazione originale site-specific di Virgilio Sieni, La dimora del volto, dedicata alla mostra di Marisa e Mario Merz realizzata proprio negli spazi espositivi a contatto con le opere e Sonora Desert, installazione interattiva della Compagnia Muta Imago, cioè Claudia Surace e Riccardo Fazi, che indaga, alla Lavanderia a Vapore, il rapporto spettatore-percezione a partire da un viaggio nel deserto di Sonora, al confine tra l'Arizona e il Messico. Vibrazioni sonore, luminose e cromatiche, sono in dialogo con le musiche appositamente composte da Alvin Curran, spesso sulla falsariga di effetti ambientali rielaborati. Il Belgio Paese ospiteRitmo e velocità sono le componenti di All Around, concerto con il batterista Will Guthrie e la coreografa/ballerina danese Mette Ingvartsen, che lavora a Bruxelles. Una performance, la loro, illuminata da neon, che sospinge quasi verso la trance. Tutto in cerchio è il pubblico intorno agli interpreti, come dichiara il titolo. Lin-guaggi differenti racchiusi in un solo evento (teatro, danza, musica e arte) caratterizzano All the Good, nato da un incontro di Jan Lauwers con un veterano della guerra arabo-israeliana, Elik Niv, diventato danzatore dopo un grave incidente e una lunga riabilitazione. Un festival internazionaleAppuntamento internazionale attesissimo è quello con l'ungherese Kornél Mun-druczó e il suo Proton Theatre, alle prese con Imitation of Life (con Lili Monori, Bori Péterfy, Roland Rába, Zsombor Jéger, Dáriusz Kozma). Un atto d‘accusa contro una società contemporanea votata alla discriminazione. Fanno parte del segmento internazionale (oltre ai già citati libanesi Rabih Mroué e Lina Majdalanie, i belgi Needcompany e la danese Mette Ingvartsen) anche gli spagnoli Agrupaciòn Señor Serrano con The Mountain, nel cui filo narrativo compaiono l'alpinista Mallory e i misteriosi interrogativi sulla salita all'Everest, ma anche Orson Welles e Putin. Sempre superlativo nella compagnia catalana l'uso del video.IL POSTO DELLE PAROLEascoltare fa pensarehttps://ilpostodelleparole.it/

Architecture&Anthropocene
From the Moon – Episode 3 – Frontiers: visible and invisible

Architecture&Anthropocene

Play Episode Listen Later Jun 24, 2021 59:23


With Hangama Amiri, Rabih Mroué, Thyago Nogueira, Ippolito Pestellini Laparelli. From demarcations in the Amazon to data front lines on our smartphones and under the oceans, we look at the visible and invisible frontiers that continue to affect billions of people. Hosted by David Plaisant

Framing Human Rights
On artistic and human rights interventions with Rabih Mroué and Wolfgang Kaleck

Framing Human Rights

Play Episode Listen Later Apr 27, 2021 16:19


#2 Lebanese performance and video artist Rabih Mroué speaks with ECCHR General Secretary Wolfgang Kaleck about how he treats the impact of violent images in his work. Beginning with his piece PIXELATED REVOLUTION, which uses the moment of the civilian witness capturing violence on their cellphone camera, Mroué lays out a complicated web of connections between the witnessing acts of viewer, victim, and perpetrator. For the interactive experience visit: explore.ecchr.eu

SWR2 Kultur Info
Eine „unvergessliche Zeit“: Kunsthaus Bregenz zeigt die Kunst der Corona-Krise

SWR2 Kultur Info

Play Episode Listen Later Jun 5, 2020 3:44


Kunst dokumentiert Zeitgeschichte im Kunsthaus Bregenz. Mit der Ausstellung „Unvergessliche Zeit“ will das Museum für zeitgenössische Kunst der Corona-Pandemie und all ihren Begleiterscheinungen wie Isolation, Quarantäne und Maskenpflicht ein Denkmal setzen. Mit dabei sind Werke von Helen Cammock, William Kentridge’s The Centre for the Less Good Idea, Annette Messager, Rabih Mroué, Markus Schinwald, Marianna Simnett und Ania Soliman.

il posto delle parole
"Festival delle Colline Torinesi"

il posto delle parole

Play Episode Listen Later May 3, 2020 22:48


"Festival delle Colline Torinesi"Sergio Ariotti, direttore artisticoGentili amici, artisti, spettatori, giornalisti, operatori, vi ringrazio per l'attenzione. Proprio in questi giorni nei quali viene diffuso questo intervento avrebbe dovuto svolgersi alla Fondazione Merz di Torino, tradizionale alleato, la presentazione della 25esima edizione del Festival delle Colline Torinesi. L'epidemia ce lo ha impedito ed è giusto che ciascuno di noi sia ancora in casa. Per superare la crisi e tra le altre cose, magari, tornare a teatro. Dalla mia di casa vi parlo per qualche cenno su un programma che non verrà organizzato nelle date previste, cioè dal 4 al 20 giugno, ma in altro periodo che non possiamo ancora precisare. Il Festival nel nuovo periodo difficilmente avrà proprio lo stesso programma, per ragioni evidenti: altri impegni delle compagnie e degli artisti, mutata disponibilità degli spazi. Sarà nostra cura operare perché le differenze siano minime. Il cartellone preparato per giugno, concedetemi la valutazione che spetterebbe ad altri, è infatti di particolare interesse. E non vorremmo perdere nulla. Intanto mi piace sottolineare che 25 - venticinquesima edizione - significa un quarto di secolo di programmazione. Un bel tragitto. Assolutamente da festeggiare insieme al pubblico quando e come sarà possibile. Ma da festeggiare anche con iniziative tipo mostre e incontri in web, su cui stiamo ragionando. Il successo del Festivalè nato in primo luogo da un patto con gli artisti e gli spettatori e chiama in causa la fiducia dei sostenitori pubblici e delle fondazioni private, la collaborazione del Teatro Stabile di Torino, del Circuito Piemonte dal Vivo, di altri partner anche internazionali e da un biennio la condivisione fondamentale della Fondazione Teatro Piemonte Europa diretta da Valter Malosti. Un successo che va assolutamente a onore di uno staff eccezionale che negli anni è anche cambiato. Molti dei collaboratori ora con altri incarichi professionali fuori dal Festival non mancano mai di far sentire il loro appoggio.Vogliamo accennare al lavoro fatto per la venticinquesima edizione. Solo pochi indizi. Il segmento internazionale del Festival sarebbe stato inaugurato cosi come il cartellone complessivo dalla Needcompany di Jan Lauwers, attore, autore, regista belga di formidabile talento e qualità. Lo spettacolo “All the Good” avrebbe portato a Torino, anche grazie al sostegno del Governo delle Fiandre, e crediamo porterà a Torino più avanti, una creazione di sicuro interesse con più linguaggi espressivi rappresentati, prosa, musica, danza, arte contemporanea.Il Festival 2020 si sarebbe concluso con una Trilogia di Licia Lanera: Cechov, Majakovskij, Bulgakov. Poi, in mezzo, vari spettacoli e artisti italiani e europei provenienti da Ungheria, Serbia, Francia, grandi interpreti, giovani autori, registi, attori italiani, spesso segnalatisi con la vittoria di premi, giovani a cui il Festival delle Colline Torinesi ha sempre riservato molta attenzione. Una parola d'ordine per noi è, da sempre, «accompagnare». In tutto: 22 spettacoli, 53 recite e 7 prime nazionali.Il Festival 2020 per quel che riguarda gli argomenti proposticompleta il triennio ministeriale dedicato al viaggio. Motivi di ispirazione non solo il viaggio dei migranti ma anche altri tipi di viaggio, nelle biografie, nella storia e nella memoria ad esempio. Per una volta però, proprio per la venticinquesima edizione,vorremmo considerare pure il viaggio alla riscoperta di taluni motivi ricorrenti del Festival, quali il far spettacolo fuori dai teatri, la contaminazione dei linguaggi, la ricerca di una nuova lingua drammaturgica. Ricordo che nel 1996 e nei tre-quattro anni successivi il Festival volle riflettere sulla cosiddetta «insoddisfazione della lingua» portando in scena autori come Testori, Gadda, Cappuccio, Guerra, Tarantino e poi Spiro Scimone, Emma Dante, Saverio La Ruina che proprio dalla contaminazione tra le lingue e i dialetti erano partiti. Furono gli anni delle prove di grandi artisti come Marisa Fabbri, Galatea Ranzi, Roberto Herlitzska, Massimo Popolizio, Mauro Avogadro, lo stesso Malosti. Poi ci fu la sterzata verso la creazione contemporanea, quella più sperimentale, con Motus, Socìetas, Pippo Delbono, Fanny&Alexander, Ricci/Forte, Teatro delle Albe, Antonio Latella, Anagoor, Marcido, Deflorian/Tagliarini, Cuocolo/Bosetti, Rodrigo Garcia, Hubert Colas, Wajdi Mouawad, Rabih Mroué, Amir Reza Koohestani, Ludovic Lagarde e tanti altri. Si indagarono successivamente vari temi: i rapporti tra le generazioni, il teatro al femminile, l'identità di genere, il viaggio. Negli ultimi anni il Festival si è apparentato a quei festival europei, a partire da Avignon e Kunstenfestivaldesarts che indagano nella sperimentazione e la suggeriscono al pubblico. Dopo lo shock del corona virus credo che le relazioni con l'Europa vadano rilanciate, nonostante tutte le difficoltà. Quelle con altri festival italiani hanno visto il Festival delle Colline Torinesi farsi promotore di una rete estesa.Al pubblico e agli interpreti chiedo di aspettarci con fiducia. Appena sarà possibile. Distanziati o riavvicinati.Sergio Ariottihttps://www.facebook.com/festivalcollinetorinesi/videos/871027703371878/IL POSTO DELLE PAROLEascoltare fa pensarewww.ilpostodelleparole.it

Cult
18/05/17: Cult al 30 ° Salone del libro di Torino

Cult

Play Episode Listen Later May 18, 2017 54:02


Barbara Sorrentini in collegamento dal festival del Cinema di Cannes 2017. Il maestro Emanuele Arciuli parla di “Piano Lesson” una delle iniziative di PianoCity 2017. Maria Tatsos firma il libro “La ragazza del Mar Nero”, sui profughi greci dei primi del ‘900: l'intervista di Barbara Sorrentini. Roberto Festa in diretta dal Salone del Libro di Torino 2017, con la sua intervista all'editore Roberto Keller. Un breve estratto dallo spettacolo “Riding on a cloud” del regista libanese Rabih Mrouè, in scena al CRT – Teatro dell'Arte di Milano. La rubrica di lirica a cura di Giovanni Chiodi.

Cult
18/05/17: Cult al 30 ° Salone del libro di Torino

Cult

Play Episode Listen Later May 17, 2017 54:02


Barbara Sorrentini in collegamento dal festival del Cinema di Cannes 2017. Il maestro Emanuele Arciuli parla di “Piano Lesson” una delle iniziative di PianoCity 2017. Maria Tatsos firma il libro “La ragazza del Mar Nero”, sui profughi greci dei primi del ‘900: l’intervista di Barbara Sorrentini. Roberto Festa in diretta dal Salone del Libro di Torino 2017, con la sua intervista all’editore Roberto Keller. Un breve estratto dallo spettacolo “Riding on a cloud” del regista libanese Rabih Mrouè, in scena al CRT – Teatro dell’Arte di Milano. La rubrica di lirica a cura di Giovanni Chiodi.

Cult
18/05/17: Cult al 30 ° Salone del libro di Torino

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Play Episode Listen Later May 17, 2017 54:02


Barbara Sorrentini in collegamento dal festival del Cinema di Cannes 2017. Il maestro Emanuele Arciuli parla di “Piano Lesson” una delle iniziative di PianoCity 2017. Maria Tatsos firma il libro “La ragazza del Mar Nero”, sui profughi greci dei primi del ‘900: l’intervista di Barbara Sorrentini. Roberto Festa in diretta dal Salone del Libro di Torino 2017, con la sua intervista all’editore Roberto Keller. Un breve estratto dallo spettacolo “Riding on a cloud” del regista libanese Rabih Mrouè, in scena al CRT – Teatro dell’Arte di Milano. La rubrica di lirica a cura di Giovanni Chiodi.

OK Radio
Rabih Mroué - OK Radio Episode 71

OK Radio

Play Episode Listen Later Aug 16, 2013 98:41


Nature Theater of Oklahoma talks with Lebanese visual and performing artist Rabih Mroué - about so many things! - but mainly about difference and similarity, self and community, solo and group, inside and outside, original and imitation.  Though we both make performance and theater, we come from very different backgrounds and environments, and even different working situations.  What are the influences that make us who and what we are and what we make?  And what has been his particular experience growing up and making art in Beirut?

Kulturradion: Kosmo
dOKUMENTA (13) - världens viktigaste konstutställning?

Kulturradion: Kosmo

Play Episode Listen Later Jun 16, 2012 41:48


Världens viktigaste konstutställning, så brukar den kallas - Documenta - som äger rum i Kassel vart femte år. Denna upplaga, nummer 13, sprider sig också över världen, bland annat öppnar ett litet Documenta i Kabul nästa vecka. Kosmo har varit där och mött både konstscenens största namn och flera som kan få en knuff i karriären genom utställningen. 1955 var startpunkten för Documenta då grundare, konstnären och läraren Arnold Bode, lyfte fram den konst som nazisterna hade benämnt Entartete Kunst - degenererad konst – med verk från 20- och 30-talen av konstnärer som Kandinsky, Picasso och Nolde. Documenta har sedan haft fokus på samtida konst och sedan 1972 äger den rum vart femte år. I början visades det främst konst från Europa och USA, men så småningom kom utställningen att ta in resten av världen. Den 9:e juni öppnades Documenta 13 som pågår i hundra dagar.  Vid rodret detta år är kuratorn Carolyn Christov-Barkagiev som i år sprider Documenta över världen och där också forskningen har en speciell plats. The Refusal of Time heter den numera världsberömda sydafrikanska konstnären Williams Kentridges verk. Det är en föreställning på cirka 20 minuter. I taket finns trattformade högtalare där olika röster och musik hörs, som William Kentridges egna funderingar över tidens filosofiska aspekter, som vad svarta hål är. Cecilia Blomberg mötte honom och där han berättar hur verket även handlar om hur man som konstnär ska lyckas att ta sig ur förutsägbara uttryck. Mårten Arndtzén har mött två konstnärer som också deltar i Documentas satelitutställning i Afghanistans huvudstad Kabul -  Mariam Ghani och Michael Rakowitz. Båda utgår från hjärtat på Documenta: Fridericianum, byggt i slutet av 1700-talet och Europas första öppna, offentliga museum. Hör också den egyptiske konstnären Wael Shawky som, för två år sedan, påbörjade en serie filmer om korstågen, ur ett arabiskt perspektiv. Och den libanesiske konstnärer Rabih Mroué som både i sin föreläsning och installation på Hauptbahnhof analyserar i detalj mobilfilmade klipp från folkresningen i Syrien. På Documenta13 kretsar mycket av konsten kring historien. Den kanadensiska konstnären Janet Cardiff tar i sitt verk avstamp i den gamla centralstationen i Kassel och specifikt från spår 13 där transporter till Auschwitz och Theresienstadt avgick i början av 40-talet. I tyske Clemens von Wedemeyers videoninstallation Rushes tas man till Benedictinerklostret Breitenau strax söder om staden. En plats som bär på många lager av 1900-talshistoria. Före andra världskriget var Breitenau ett av de första koncentrationslägren. Under andra världskriget döptes det om till arbets- och uppfostringsläger. Efter kriget blev det en ungdomsvårdskola för flickor. Därefter har det varit öppen psykiatrisk anstalt, och historisk minnesplats. På Documenta 13: Mårten Arndtzén och Cecilia Blomberg Producent: Marie Liljedahl

Kulturradion: Kosmo
Beirut - om krig, minne och passion

Kulturradion: Kosmo

Play Episode Listen Later Apr 16, 2011 41:55


En stad härjad av krig, en partystad och en huvudstad i ett land vid Medelhavets östra hörn med Israel och Syrien som grannar. Kosmos Anneli Dufva och Sveriges Radios kulturkorrespondent Gunnar Bolin tog sig till Beirut för att höra hur det är att leva i en stad fylld av motsättningar och kontraster, där det byggs frenetiskt och där historien är ständigt närvarande genom både spåren och minnet av krigen. Kosmo har mött konstnären och arkitekten Tony Chakar och konstnären Paola Yacoub som talar om Beirut som stad; förlorad och återuppbyggd och där minnen och förvandling kantas sida vid sida. Och konstnären och aktivisten Pascale Ingea som har startat en förening som motarbetar rivning av historiska byggnader. Författaren och konstnären Zena El Khalil, som skrivit romanen Beirut jag älskar dig visar sin ateljé allra högst upp i ett högt hus med utsikt över havet och pratar om politik och om sin inte alls självklara roll som kvinna och som drus. Hur skriver man historia, när ingen är överens om vad som hänt? Och hur går man vidare? Två libanesiska konstnärer, Walid Raad och Rabih Mroué, båda sverigeaktuella formulerar olika former av motstånd mot den sekterism som är inbyggd i det libanesiska samhället. I centrum för deras berättelser står det 15-åriga inbördeskriget och det omöjliga i att förstå och förklara en så djupt absurd företeelse.  Mårten Arndtzén har mött dem båda. Hör också Akl Awit, poet, professor och kulturredaktör på den största dagstidningen An Nahar om yttrandefrihet och Libanons särställning som demokrati i regionen. Programledare: Anneli Dufva Producent: Marie Liljedahl