loose term for painters and artistic movements based in Paris during the early 20th century
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durée : 00:58:58 - Affaires étrangères - par : Christine Ockrent - Entre remise en question de l'hégémonie du dollar, montée en puissance des cryptomonnaies et ambitions chinoises, la géo-finance redessine les rapports de force. Sommes-nous entrés dans une nouvelle ère monétaire ? - réalisation : Luc-Jean Reynaud - invités : Hélène Rey Économiste, professeur à la London Business School; Éric Monnet Économiste, professeur à la Paris School of Economics (PSE) et directeur d'études à l'École des hautes études en sciences sociales (EHESS); Olivier Blanchard Économiste français
C dans l'air du 14 novembre 2025 - Budget: dépenses partout, économies nulle partLe budget va-t-il être voté à l'Assemblée nationale ? Déjà très serré, le calendrier des discussions budgétaires a été rendu encore plus complexe par la décision du gouvernement de ne pas faire siéger les députés au cours du week-end. La gauche a immédiatement dénoncé cette décision, certains députés accusant l'exécutif de chercher à empêcher la tenue d'un vote.Sur la partie du budget de l'État consacrée aux recettes, un vote était initialement prévu lundi prochain. Mais « au rythme auquel nous avançons, il est évident que lundi nous ne terminerons pas les 1 900 amendements » restants sur ce premier volet, a déclaré jeudi le ministre des Relations avec le Parlement, Laurent Panifous. D'autre part, « nous devons également tenir compte de la fatigue qui existe chez les députés, chez les collaborateurs, chez les administrateurs » de l'Assemblée, a-t-il ajouté dans l'hémicycle, précisant avoir été « saisi » par plusieurs groupes sur la question. Les débats ne se poursuivront donc pas « samedi et dimanche », a-t-il annoncé, mais reprendront lundi dès 9 h, au lieu du milieu de journée.Cette décision est jugée « inacceptable » par la cheffe des députés écologistes, Cyrielle Chatelain, qui a accusé l'exécutif « d'organiser […] le fait que cette assemblée ne puisse pas se prononcer sur le budget ». « Ne prenez pas prétexte de la fatigue des uns et des autres pour nous empêcher de pouvoir voter sur le budget de l'État », a abondé le coordinateur de La France insoumise, Manuel Bompard.L'ensemble du texte doit être transmis au Sénat le 23 novembre à minuit, selon les délais constitutionnels. S'il semble clair que les députés n'auront pas le temps d'aller au bout, un vote sur la seule partie “recettes” n'est pas non plus assuré.Faute de temps, les députés n'ont déjà pas voté le projet de loi de financement de la Sécurité sociale. Les débats ont été interrompus à l'Assemblée nationale dans la nuit du mercredi 12 au jeudi 13 novembre, et c'est le texte modifié par les amendements des députés qui va être examiné par le Sénat à partir de la semaine prochaine. Et pour le ministre du Travail, le compte n'y est pas. D'un « déficit de 17,5 milliards d'euros » prévu initialement par le gouvernement, les députés sont passés à un déficit « d'environ 24,3 milliards d'euros », a expliqué Jean-Pierre Farandou dans les colonnes du Parisien. À ce stade, « il nous manque beaucoup d'économies que l'on a du mal à faire voter », a-t-il reconnu.Selon les calculs du rapporteur général de la commission des Affaires sociales, Thibault Bazin (LR), les changements apportés par l'Assemblée nationale au projet de budget de la Sécurité sociale pour 2026 creuseraient son déficit de 6,8 milliards d'euros.Parmi ces amendements figure le rejet d'une taxe exceptionnelle sur les contrats des complémentaires santé, le maintien des exonérations de cotisations pour les apprentis, la suspension de la réforme des retraites de 2023, la suppression du gel des pensions…Autant de points qui ont suscité une levée de boucliers ces dernières semaines, notamment chez les retraités qui ont, fait rare, manifesté la semaine dernière dans les rues de France. Nous sommes allés à la rencontre de plusieurs retraités qui ont manifesté le 6 novembre dernier à Granville, dans la Manche.La colère gagne également les agriculteurs qui se disent à nouveau prêts à se mobiliser après les propos d'Emmanuel Macron sur le Mercosur. Ces derniers sont vent debout contre le traité de libre-échange en discussion entre l'Europe et les pays d'Amérique latine, qu'ils jugent néfaste pour eux. Reportage ce soir chez un exploitant agricole à Lens-Lestang.Nos experts : - CÉCILE CORNUDET - Éditorialiste politique - Les Echos - NATHALIE SAINT-CRICQ - Éditorialiste politique - France Télévisions- EMMANUEL DUTEIL - Directeur de la rédaction - L'Usine Nouvelle - THOMAS PORCHER - Économiste, professeur à la Paris School of Business
C dans l'air du 14 novembre 2025 - Budget: dépenses partout, économies nulle partNos experts : - CÉCILE CORNUDET - Éditorialiste politique - Les Echos - NATHALIE SAINT-CRICQ - Éditorialiste politique - France Télévisions- EMMANUEL DUTEIL - Directeur de la rédaction - L'Usine Nouvelle - THOMAS PORCHER - Économiste, professeur à la Paris School of Business
Fluent Fiction - French: Mysteries Beneath Ivy: The Secret Treasure of Paris School Find the full episode transcript, vocabulary words, and more:fluentfiction.com/fr/episode/2025-11-14-23-34-02-fr Story Transcript:Fr: L'automne avait peint l'école en rouge et or.En: The autumn had painted the school in red and gold.Fr: Le pensionnat, niché au cœur de Paris, était un lieu de mystère.En: The boarding school, nestled in the heart of Paris, was a place of mystery.Fr: Les murs couverts de lierre semblaient murmurer des secrets de temps anciens.En: The ivy-covered walls seemed to whisper secrets from ancient times.Fr: Étienne, un élève curieux, passait son temps libre dans la grande bibliothèque.En: Étienne, a curious student, spent his free time in the large library.Fr: Cet endroit était son refuge, un monde rempli d'histoires et d'aventures.En: This place was his refuge, a world filled with stories and adventures.Fr: Un jour, tandis qu'il explorait les rayonnages poussiéreux, Étienne découvrit un livre vieux et délaissé.En: One day, while he was exploring the dusty shelves, Étienne discovered an old and neglected book.Fr: En l'ouvrant, une feuille de papier glissa doucement sur le sol.En: Upon opening it, a piece of paper gently slid to the floor.Fr: Étienne ramassa le papier avec soin.En: Étienne carefully picked up the paper.Fr: Il y avait une note, écrite à la main, qui disait simplement : "Cherchez où la tour touche le ciel."En: There was a note, handwritten, which simply said: "Seek where the tower touches the sky."Fr: Étienne sentit un frisson d'excitation.En: Étienne felt a thrill of excitement.Fr: Il savait qu'il devait découvrir la vérité derrière ce message.En: He knew he had to discover the truth behind this message.Fr: Mais la bibliothèque était immense et le livre très ancien.En: But the library was immense and the book very ancient.Fr: Étienne réalisa qu'il avait besoin d'aide.En: Étienne realized he needed help.Fr: Il chercha Chloé, une camarade du club de débat, et Martin, son colocataire qui aimait les énigmes.En: He sought out Chloé, a fellow member of the debate club, and Martin, his roommate who loved puzzles.Fr: "Chloé, Martin, j'ai besoin de votre aide," dit-il, montrant le papier.En: "Chloé, Martin, I need your help," he said, showing the paper.Fr: Chloé lut la note et dit : "C'est intriguant.En: Chloé read the note and said, "This is intriguing.Fr: Ça ressemble à une énigme."En: It sounds like a riddle."Fr: Martin ajouta : "Oui, mais il est dangereux d'explorer des zones interdites de l'école."En: Martin added, "Yes, but it's dangerous to explore forbidden areas of the school."Fr: Malgré les règles strictes de l'école, le trio décida de mener l'enquête.En: Despite the strict rules of the school, the trio decided to conduct the investigation.Fr: Ils commencèrent à chercher des indices.En: They began to search for clues.Fr: La bibliothèque était vaste, pleine de recoins secrets.En: The library was vast, full of hidden corners.Fr: En cherchant, ils découvrirent une porte menant aux archives réservées de l'école.En: While searching, they discovered a door leading to the school's restricted archives.Fr: Avec prudence, ils pénétrèrent dans les archives.En: With caution, they entered the archives.Fr: L'endroit était sombre et poussiéreux.En: The place was dark and dusty.Fr: Là, ils trouvèrent un vieux document caché sous une pile de livres.En: There, they found an old document hidden beneath a pile of books.Fr: Le document révélait une histoire fascinante sur une ancienne chasse au trésor, organisée par un ancien directeur de l'école il y a plus de cent ans.En: The document revealed a fascinating story about an ancient treasure hunt organized by a former headmaster of the school over a hundred years ago.Fr: Étienne, Chloé et Martin réussirent à décoder le message final : le trésor était caché dans le jardin de l'école, près d'une tour ancienne.En: Étienne, Chloé, and Martin managed to decode the final message: the treasure was hidden in the school garden, near an old tower.Fr: Excités, ils se rendirent au jardin.En: Excited, they went to the garden.Fr: Après quelques recherches, ils découvrirent une boîte en métal, délicatement scellée sous une dalle de pierre.En: After some searching, they discovered a metal box, delicately sealed beneath a stone slab.Fr: L'intérieur contenait des objets précieux et une lettre du directeur.En: Inside were precious objects and a letter from the headmaster.Fr: Il expliquait que le trésor était destiné à ceux qui avaient la curiosité et le courage de chercher la vérité.En: It explained that the treasure was meant for those with the curiosity and courage to seek the truth.Fr: Étienne sentit sa confiance grandir.En: Étienne felt his confidence grow.Fr: Il avait non seulement résolu un mystère, mais aussi tissé des liens plus forts avec Chloé et Martin.En: He had not only solved a mystery but also strengthened his bonds with Chloé and Martin.Fr: L'aventure avait changé Étienne.En: The adventure had changed Étienne.Fr: Il était toujours le jeune curieux qu'il avait été, mais maintenant, il savait qu'avec de l'aide et de la persévérance, il pouvait accomplir l'impossible.En: He was still the curious young person he had been, but now he knew that with help and perseverance, he could accomplish the impossible.Fr: Le trésor était juste le début de leurs aventures à l'école.En: The treasure was just the beginning of their adventures at the school.Fr: Et les murs anciens murmuraient de nouvelles histoires à découvrir.En: And the ancient walls whispered of new stories to discover. Vocabulary Words:the autumn: l'automnethe boarding school: le pensionnatthe ivy: le lierrethe refuge: le refugedusty: poussiéreuxneglected: délaisséthe thrill: le frissonthe truth: la véritéthe fellow: le camaradethe riddle: l'énigmethe clues: les indicesthe restricted archives: les archives réservéesthe pile: la pilethe treasure hunt: la chasse au trésorthe headmaster: le directeurthe clue: l'indicesealed: scelléethe slab: la dallethe curiosity: la curiositéthe courage: le couragethe bond: le lienthe perseverance: la persévérancethe adventure: l'aventurethe puzzle: l'énigmethe excitement: l'excitationthe stone: la pierrethe secret: le secretthe ancient times: les temps anciensthe corner: le recointhe document: le document
¿En qué consiste el concepto de "destrucción creativa", acuñado por Philippe Aghion? Los planteamientos del nuevo Premio Nobel de Economía 2025 es lo que aborda Alfredo Joignant con Guillermo Larraín, Doctor en Economía de la Paris School of Economics e Ingeniero Comercial de la Universidad Católica, en un nuevo capítulo de la séptima temporada de Hay Algo Allá Afuera.
C dans l'air l'invité du 15 octobre 2025 avec Olivier Blanchard, professeur émérite au MIT (Boston) et à la Paris School of economics, ancien économiste en chef du FMI.Sébastien Lecornu a annoncé mardi devant l'Assemblée nationale la suspension de la réforme des retraites, symbole de la présidence Macron. Lors de sa déclaration de politique générale, il a proposé la suspension de la réforme des retraites «jusqu'à l'élection présidentielle» de 2027, qui portera sur la mesure d'âge et la durée de cotisation, comme demandé par le PS, et proposé une conférence sociale sur «les retraites et le travail». «Aucun relèvement de l'âge n'interviendra à partir de maintenant jusqu'à janvier 2028, comme l'avait précisément demandé la CFDT. En complément, la durée d'assurance sera elle aussi suspendue et restera à 170 trimestres jusqu'à janvier 2028», a indiqué le Premier ministre. Selon Sébastien Lecornu, «le coût de la suspension pour notre système de retraite est de 400 millions d'euros en 2026 et de 1,8 milliard d'euros en 2027». Il a affirmé que «cette suspension bénéficiera à terme à 3,5 millions de Français».La réforme «devra donc être compensée financièrement, y compris par des mesures d'économies» et ne pourra «pas se faire au prix d'un déficit accru», a toutefois prévenu Sébastien Lecornu, qui a souligné sa volonté de préserver «la crédibilité de notre pays» aux yeux des «prêteurs sur les marchés financiers».Olivier Blanchard, ancien économiste en chef du FMI et professeur émérite au MIT, à Boston, et à la Paris School of economics, est notre invité. Il réagira à la suspension de la réforme des retraites, et analysera les conséquences pour le déficit, alors que le FMI annonce une prévision de croissance de 0,7% pour la France en 2025. Il nous donnera aussi ses préconisations en terme de justice fiscale et de taxation des plus riches, le jour où le socialiste Olivier Faure annonce qu'il souhaite proposer la taxe Zucman sous forme d'amendement au budget.
C dans l'air du 15 octobre 2025 - Lecornu : la censure s'éloigne... jusqu'à quand ? Sébastien Lecornu a-t-il sauvé sa peau ? Le Premier ministre a en tout cas convaincu les socialistes de ne pas voter la censure. Hier après-midi, dans son discours de politique générale, le chef du gouvernement a en effet répondu aux exigeances du PS en suspendant la réforme des retraites, et en confirmation la non-utilisation du 49.3.Sans les socialistes, la motion de censure déposée par les insoumis ne devrait donc pas être adoptée. Mais les dissidents, PS ou républicains (ceux-ci digèrent mal cette victoire de la gauche, même si leur parti appelle à ne pas censurer) pourraient permettre d'atteindre les 289 voix nécessaires pour faire tomber le gouvernement. Le compte sera donc serré. Réponse demain matin.En attendant, on en sait plus sur les mesures du budget 2026 proposé par Lecornu. La suppression de l'abattement de 10% sur les retraites est l'un des points principaux.Un abattement forfaitaire de 2000 euros devrait le remplacer et ce, dans l'objectif d'améliorer la situation des retraités les plus modestes, en mettant davantage à contribution les plus aisés. C dans l'air est allé à la rencontre de l'économiste Maxime Sbaihi, favorable à cette suppression. Selon lui, le système français souffre d'une iniquité générationnelle dont les actifs sont les grands perdants.Pendant ce temps, certains patrons de PME ont de plus en plus de difficultés. Prix de l'énergie, inflation, guerre commerciale… La multiplication des chocs conjoncturels menace l'activité de milliers d'entreprises. C dans l'air a suivi un plaquiste et cuisiniste de Troyes, dans l'Aube. Les deux ont parfois du mal à trouver des clients, et à augmenter le salaire de leurs employés...Alors, les motions de censure déposées ont-elles encore des chances d'être adoptées ? La suppression de l'abattement de 10% sur les retraites est-elle une mesure juste ? Comment les PME font-elles face au contexte économique tendu ? LES EXPERTS :- François ECALLE - Ancien rapporteur général de la Cour des Comptes, président de Fipeco- Brigitte BOUCHER - Journaliste politique à Franceinfo TV- Sylvie PIERRE-BROSSOLETTE - Éditorialiste politique au Point- Thomas PORCHER – Économiste, professeur à la Paris School of Business, auteur du Vacataire
C dans l'air du 15 octobre 2025 - Lecornu : la censure s'éloigne... jusqu'à quand ? LES EXPERTS :- François ECALLE - Ancien rapporteur général de la Cour des Comptes, président de Fipeco- Brigitte BOUCHER - Journaliste politique à Franceinfo TV- Sylvie PIERRE-BROSSOLETTE - Éditorialiste politique au Point- Thomas PORCHER – Économiste, professeur à la Paris School of Business, auteur du Vacataire
Pour la première fois, DeepTechs s'est produit en public, pour deux épisodes. C'était le 25 septembre dernier à l'occasion du Sommet du Bien Commun, organisé par Challenges et la Paris School of Economics, à la Maison de l'Océan, à Paris. Dans ce deuxième volet, Michael Jordan, professeur à Berkeley et chercheur à l'Institut national de recherche en sciences et technologies du numérique livre ses pistes pour rapprocher économie et intelligence artificielle.Chercheur américain en intelligence artificielle, apprentissage automatique et statistiques, Michael I. Jordan jouit d'une notoriété internationale ; en 2016 ; la prestigieuse revue Science l'a qualifié « d'informaticien le plus influent au monde ». Très attaché à l'Europe – il parle français et italien – il a été accueilli pendant un an à l'Inria en 2013 pour une année sabbatique. Il en dirige, pour cinq ans, la chaire "Marchés et apprentissage" Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Os europeus são os campões mundiais da poupança: € 10 trilhões (R$ 63,7 trilhões) estão parados em contas seguras e com baixo rendimento no bloco, uma fortuna que a Comissão Europeia busca agora mobilizar. Um plano que alia educação financeira, produtos mais acessíveis e incentivos fiscais foi lançado no começo do mês, de olho em trazer esse dinheiro para a economia real. Entre os países ricos, ninguém poupa mais do que os europeus, um dos impactos de longo prazo das duas guerras mundiais no continente. Além do aspecto cultural, outro entrave é que o sistema financeiro no bloco não é totalmente integrado e transparente, uma barreira para os cidadãos tirarem o dinheiro da poupança para investir em ações. “O problema principal não é o nível de poupança em si, mas a orientação dela. Em todos os países europeus, os investimentos a risco, em empresas e no sistema produtivo em geral, são relativamente limitados”, afirma Luc Arrondel, diretor de pesquisas do prestigioso CNRS, na França, e professor da Paris School of Economics (PSE). “Se comparamos com os países anglo-saxões, por exemplo, a grande diferença é que a França ou a Alemanha não têm fundos de pensão, que poderiam apoiar os investimentos de longo prazo.” Angelo Riva, professor de finanças da Inseec Business Scholl e pesquisador associado da PSE, complementa: “Nos Estados Unidos, tem o sistema consolidated tape, que permite aos investidores acessarem qualquer bolsa, graças a um circuito seguro. Na prática, se você quiser comprar ações da Google na Bolsa de Boston, você pode e é automático. Na Europa, é mais complicado”, aponta. Rendimento negativo na poupança Bruxelas avalia que os trilhões da poupança dos europeus poderiam impulsionar o sistema produtivo no bloco, em plena crise, enquanto Estados Unidos e China protagonizam uma acirrada guerra industrial. O dinheiro, ao contrário, permanece paralisado a rendimentos próximos de zero ou até negativos, como ocorreu durante o período de inflação alta na zona, em 2023 e 2024. Um primeiro passo será tirar do papel um produto comum a todos os países: a União da Poupança e do Investimento, com ações, obrigações e fundos a partir de € 10. O objetivo é atrair investimentos de particulares em pequenas e médias empresas, para acelerar a transição energética e apoiar grandes projetos do bloco. Angelo Riva salienta o impacto da fraca educação financeira dos cidadãos, que, num contexto de grandes incertezas econômicas, afeta a sensibilidade ao risco. Ele também destaca o problema de intermediação entre os correntistas e os bancos. “Na Europa, não é muito fácil, para as pessoas pouco familiarizadas com mercados financeiro, investimentos e finanças em geral, confiarem nos conselhos de alguém. Tem um trabalho a ser feito junto aos bancários, que muitas vezes não têm as informações mais corretas ou atualizadas para oferecer”, observa. “Os clientes também têm muita dificuldade de compreender as diferenças entre as ofertas dos bancos”, indica. Dinheiro embaixo do colchão Neste contexto, uma nota do Banco Central Europeu sobre o uso do dinheiro em espécie em tempos de crise causou confusão. A instituição relatou a iniciativa de alguns estados-membros, como a Holanda e a Áustria, de recomendarem a seus cidadãos manterem em casa um certo valor em dinheiro vivo, “em caso de crise maior”. O montante sugerido, entre € 70 e € 100 por integrante da família, deve ser suficiente para cobrir os gastos de até 72h. O relatório logo foi associado ao temor de uma expansão da guerra da Rússia contra a Ucrânia pelo continente, mas segundo os especialistas ouvidos pela RFI, esta não é uma leitura adequada do estudo. Para Luc Arrondel, são as eventuais crises de energia ou de informática que estão na mira do BCE. “Em tempos de crise, as pessoas buscam liquidez, por segurança. Acho que existe uma certa angústia com a possibilidade de não ser possível fazer pagamentos pelos meios digitais”, diz o especialista em poupança. “E isso é algo bem racional, na verdade: ter um pouco de liquidez para aguentar dois ou três dias, caso não seja possível, por qualquer razão, ter acesso aos pagamentos digitais.” A pane generalizada no sistema energético na Espanha e em Portugal em abril exemplifica a pertinência da precaução, concorda Angelo Riva. O pesquisador da INSEEC lembra que, muito antes dos pagamentos digitais, uma greve bancária na Irlanda causou o fechamento dos bancos durante seis meses, em 1970. Neste período, os irlandeses instauraram um sistema próprio de pagamentos por cheques e garantias, que compensou a escassez de dinheiro em espécie em circulação. “São eventos que os economistas chamam de extremos, ou seja, muito pouco prováveis, mas que são possíveis, e se precaver deste risco não chega ser um grande esforço para os cidadãos”, frisa.
In the second of our episodes based on the topics discussed at the conference “Addressing the Risks and Responses to Climate Overshoot”, organised by the AXA Research Fund, CEPR, and Paris School of Economics, Tim Phillips talks to Matthias Kalkuhl of the University of Potsdam about how to remove carbon from the atmosphere. The innovative technologies that might be able to do this in the future need investment now – so one idea is for firms to buy the right to emit carbon now, as long as they commit to remove carbon when mature technology exists. But to administer this, Europe would need a dedicated Carbon Central Bank. Who would be in charge of it, how would it work, and is any politician brave enough to set it up?
En Columnistas de Mesa Central, Iván Valenzuela y Kike Mujica conversan con Hernán Larraín y Ximena Jara sobre la relación de la izquierda con las fuerzas de orden público, a raíz de los polémicas declaraciones de Carolina Tohá en la Paris School of International Affairs de Sciences Po.
Pour la première fois, DeepTechs s'est produit en public, pour deux épisodes. C'était le 25 septembre dernier à l'occasion du Sommet du Bien Commun, organisé par Challenges et la Paris School of Economics, à la Maison de l'Océan, à Paris. Dans ce premier volet, Luc Julia, auteur du livre IA génératives pas productives (Le Cherche Midi) discute de la nécessité de réguler ou pas l'intelligence artificielle : L'Europe est-elle trop pressée ? Quels sont les vrais risques ? Faut-il interdire ?Luc Julia est actuellement directeur scientifique du Groupe Renault. Il est également cofondateur de la start-up toulousaine Odia spécialisée dans la synthèse vocale. Auparavant, il a été vice-président de l'innovation et directeur technique de Samsung Electronics, dont il a dirigé la stratégie pour l'Internet des objets. Luc a aussi dirigé Siri chez Apple, a été chef de la technologie chez Hewlett-Packard et a cofondé un certain nombre de start-ups dans la Silicon Valley.Il a commencé sa carrière chez SRI International, où il a fondé le Computer Human Interaction Center et a participé à la création de Nuance Communications, aujourd'hui leader mondial de la reconnaissance vocale.Luc est diplômé en mathématiques et en informatique à l'Université Pierre et Marie Curie à Paris et a obtenu un doctorat en sciences informatiques à l'École nationale supérieure des télécommunications de Télécommunications de Paris. Il est également reconnu comme l'un des 100 développeurs français les plus influents dans le monde numérique. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
In the first of two podcasts recorded at the conference “Addressing the Risks and Responses to Climate Overshoot”, organised by the AXA Research Fund, CEPR, and Paris School of Economics, Tim Phillips talks to Franck Courchamp of the University of Paris-Saclay about an aspect of climate change that is rarely talked about, increasingly important, and very costly. When plants or animals move, or are moved, to a place they don't belong, there is a risk of damage to natural habitats and an economic cost too. So how do we estimate the size of this risk, and what can we do about it?
Brazil's Congress is discussing a proposal for income tax reform. Backed by the Lula administration, the bill seeks to make the country's system more progressive. But just how unequal are taxes in Brazil? This week, we host economist Davi Bhering, who co-authored a Paris School of Economics study on Brazil's tax income system. In our newly released episode of the Explaining Brazil podcast, he unpacks: Why Brazil's income inequality may be higher than previously estimated.How the Brazilian system's regressivity compares to other countries.Why his findings may indicate that global inequality is higher than anticipated.Listen to the full episode on Apple Podcasts, Spotify or on The Brazilian Report.Send us your feedbackSupport the show
Brazil's Congress is discussing a proposal for income tax reform. Backed by the Lula administration, the bill seeks to make the country's system more progressive. But just how unequal are taxes in Brazil? This week, we host economist Davi Bhering, who co-authored a Paris School of Economics study on Brazil's tax income system. In our newly released episode of the Explaining Brazil podcast, he unpacks: Why Brazil's income inequality may be higher than previously estimated.How the Brazilian system's regressivity compares to other countries.Why his findings may indicate that global inequality is higher than anticipated.Send us your feedback
As the EU political season gets back into full swing, member states are confronted by daunting challenges. In the last few days, they have revisited the thorny question of providing security guarantees to Ukraine – which, of course, means dealing with the notoriously mercurial US president, Donald Trump. Transatlantic tensions are obvious, both politically and on the trade side of things – despite an EU-US agreement on tariffs struck at the end of July. We take a closer look at the geopolitical and economic headwinds faced by the EU with Arancha Gonzalez Laya, the dean of the Paris School of International Affairs at Sciences Po university. She is a former foreign minister of Spain, and a former senior official at the World Trade Organization and the United Nations.
Cette semaine, nous recevons Arancha González Laya, ancienne ministre des Affaires étrangères espagnole, ainsi que doyenne de la Paris School of International Affairs à Sciences Po. Face à l'imprévisibilité de Donald Trump, une résolution des conflits qui piétine en Ukraine et à Gaza et une croissance économique très lente, la rentrée est morose pour les Européens.
C dans l'air du 4 septembre 2025 - Faut-il plus taxer les riches ?En cette rentrée, la question revient en force dans le débat politique. Et cette fois, c'est le Parti socialiste qui remet le sujet sur la table en proposant d'inclure la taxe Zucman au budget 2026, sur lequel le gouvernement promet de faire des compromis, alors qu'il se trouve sur la sellette à l'approche d'un vote de confiance prévu le 8 septembre.Mais de quoi parle-t-on ? Qu'est-ce que la taxe Zucman, au cœur du contre-budget du PS ? Adoptée à l'Assemblée nationale en février dernier (par 116 voix contre 39), puis rejetée au Sénat en juin, cette mesure, inspirée des travaux de l'économiste Gabriel Zucman (qui lui a donné son nom), propose un impôt plancher sur la fortune (IPF) équivalent à 2 % du patrimoine net des ultra-riches dépassant 100 millions d'euros — soit 0,01 % des contribuables, environ 1 800 foyers français. Avec à la clé : entre 15 et 25 milliards de recettes supplémentaires.Soutenue par la gauche, contestée par la droite et l'extrême droite, la mise en œuvre de cette taxe soulève de nombreux débats depuis des semaines.Cet été, sept prix Nobel d'économie ont apporté leur soutien à la mesure : Daron Acemoglu (2024), George Akerlof (2001), Abhijit Banerjee (2019), Esther Duflo (2019), Simon Johnson (2024), Paul Krugman (2008) et Joseph Stiglitz (2001), réunis dans une tribune du Monde parue en juillet. D'autres, en revanche, comme le président du Medef, Patrick Martin, évoquent la menace de l'exil fiscal.Parallèlement, alors qu'une vague historique de transmissions se profile, les propositions de réforme de l'impôt sur les successions se multiplient. Dans un entretien accordé aux Échos, la présidente de l'Assemblée nationale, Yaël Braun-Pivet (Renaissance), évoque la nécessité de ne pas « exclure d'emblée toute hausse d'impôts » et de « se pencher sur la taxation des "super-héritages" ». L'élue des Yvelines explique : « 0,1 % des héritiers reçoivent des montants supérieurs à 13 millions d'euros et ne paient en moyenne que 10 % de droits de succession. »Aujourd'hui, près de la moitié des ménages français ne touche pas d'héritage. Parmi ceux qui en bénéficient, 87 % ne paient aucun droit de succession (chaque parent peut donner jusqu'à 100 000 euros par enfant sans qu'il y ait de droits de donation à payer). Au-dessus, le taux moyen d'imposition effectif sur les successions en France est d'environ 5 %.Autre sujet dans le débat : le train de vie des élus. En réponse à de nombreux messages de Français, le Premier ministre a promis de passer au crible et de supprimer d'éventuels avantages indus dont bénéficieraient les responsables politiques. Il a confié une mission à l'ex-député socialiste René Dosière pour les identifier.LES EXPERTS :- EMMANUEL DUTEIL - Directeur de la rédaction - L'Usine Nouvelle - THOMAS PORCHER - Économiste, professeur à la Paris School of Business, auteur de Le vacataire - RAPHAËLLE BACQUÉ - Grand reporter - Le Monde , auteure de Successions - CAROLINE MICHEL-AGUIRRE - Grand reporter au service France – Nouvel Obs
C dans l'air du 4 septembre 2025 - Faut-il plus taxer les riches ?LES EXPERTS :- EMMANUEL DUTEIL - Directeur de la rédaction - L'Usine Nouvelle - THOMAS PORCHER - Économiste, professeur à la Paris School of Business, auteur de Le vacataire - RAPHAËLLE BACQUÉ - Grand reporter - Le Monde , auteure de Successions - CAROLINE MICHEL-AGUIRRE - Grand reporter au service France – Nouvel Obs
Il detonatore della crisi francese sarà il voto di fiducia all'Assemblea nazionale, previsto per l'8 settembre. Il primo ministro François Bayrou si gioca le ultime carte per far passare misure finanziarie che dovrebbero consentire un taglio della spesa per circa 44 miliardi. Misure osteggiate sia a destra, sia a sinistra. Un fuoco di sbarramento che isola sempre più il presidente Emmanuel Macron, erode la sua già esigua compagine parlamentare e potrebbe portare per la seconda volta in pochi mesi ad elezioni anticipate, senza escludere peraltro le dimissioni dello stesso presidente. Gli esponenti più moderati della sinistra, così come il Rassemblement national, hanno già detto chiaramente che non sosterranno il governo. Gli investitori temono un ennesimo crollo del governo. Il CAC 40, l'indice di riferimento di Parigi, ha registrato già diverse cadute nei giorni scorsi. Il tasso di interesse dei titoli di Stato francesi a dieci anni è ora tra i più alti dell'eurozona. Ha già superato quelli di Grecia e Portogallo, due paesi al centro dell'ultima crisi finanziaria, e si avvicina a quello dell'Italia. Ma il nostro Paese oggi è visto con maggiore favore dai mercati, in compagnia di Grecia e Spagna. Ne parliamo con Paolo Guerrieri, docente di Economia alla Paris School of International Affairs, Sciences-Po (Parigi).Da Venerdì la cinquantunesima edizione del Forum Teha La cinquantunesima edizione del Forum Teha (The European House Ambrosetti) si apre venerdì, fino a domenica, e cercherà di mettere a fuoco gli scenari geopolitici, economici, tecnologici e sociali non solo dell'Italia, con la presenza di 9 Governi (Albania, Arabia Saudita, Irlanda, Italia, Portogallo, Qatar, Spagna, Stati Uniti, Turchia), dei principali ministri del Governo italiano, di 5 Commissari Europei e l'EU Rapporteur per il Single Market. Ad aprire i lavori, subito dopo i saluti di Valerio De Molli, è previsto un intervento del Presidente dell'Ucraina Volodymyr Zelensky in videoconference. Ad ascoltarlo in sala ci sarà, tra gli altri, Antonio Tajani, vice Presidente del Consiglio dei Ministri dell'Italia e Ministro degli Affari Esteri e della Cooperazione Internazionale dell'Italia. Il messaggio del Presidente della Repubblica Italiana, Sergio Mattarella, arriverà sabato mattina, nella giornata dedicata all'Europa, durante la quale si parlerà anche di difesa e sicurezza; domenica, nella tradizionale sessione dell'Agenda per l'Italia dedicata alle opposizioni, interverranno Elly Schlein, Giuseppe Conte, Angelo Bonelli, Carlo Calenda e Matteo Renzi. Tra i ministri presenti alla tre giorni, oltre a Tajani, Maria Chiara Carrozza, Giuseppe Valditara, Marina Calderone, Matteo Salvini, Paolo Zangrillo, Carlo Nordio e Adolfo Urso per concludere con l'intervento di Giancarlo Giorgetti. Approfondiamo il tema con Valerio De Molli, Managing Partner & CEO di The European House - Ambrosetti.
C dans l'air du 25 août 2025 – "Bloquons tout", dette...La France entre dans le durUne conférence de presse avant un automne délicat. François Bayrou répondra aux journalistes cet après-midi, en amont d'une rentrée politique qu'il sait périlleuse, marquée par la préparation du budget 2026 et les appels à bloquer le pays le 10 septembre – appels soutenus par la gauche et une partie des syndicats. Jean-Luc Mélenchon en appelle à une grève générale. « Nous déposerons la motion de censure pour faire tomber M. Bayrou le 23 septembre » a-t-il déjà planifié. Le Rassemblement national a prévenu qu'il n'hésitera pas à faire tomber le gouvernement si la copie n'est pas revue.Tout pourrait se jouer lors de la rentrée parlementaire, qui aura lieu le 22 septembre. Les débats autour du budget et de ses quarante-quatre milliards d'économies s'annoncent en effet houleux. Cette cure de rigueur passe par le gel des dépenses de l'Etat et la suppression de deux jours fériés. Le Premier ministre voudrait également réformer une nouvelle fois l'assurance chômage. Des mesures qui font l'unanimité contre elles. Les syndicats agitent le spectre de journées de mobilisation. 70% des Français y seraient favorables.Mais ce qui inquiète le gouvernement est l'ampleur que pourrait prendre le mouvement #BloquonsTout, qui prévoit de mettre le pays à l'arrêt le 10 septembre. Ce mouvement, qui a émergé au sein l'extrême-droite et dans les sphères complotistes, séduit maintenant la gauche. C dans l'air est allé à la rencontre d'anciens Gilets Jaunes de Besançon. Financièrement pris à la gorge, ils prévoient de se mobiliser avec autant de ferveur qu'en 2018.Pendant ce temps, au Sénat, une commission d'enquête s'est penchée sur les missions des agences de l'Etat (France Travail, Ademe, etc), souvent accusées de trop coûter. Mais après cinq mois de travail, la sénatrice LR Christine Lavarde, rapporteure de la Commission, n'identifie que 540 millions d'euros d'économies possibles pour le budget 2026, loin des cinq milliards proposés par Laurent Wauquiez.Alors, face au risque de censure, Bayrou devra-t-il revoir son budget ? Jusqu'où ira le mouvement Bloquons Tout ? Les agences de l'Etat coûtent-elle trop cher ?LES EXPERTS :Philippe DESSERTINE- Directeur de l'institut de Haute financeCaroline MICHEL-AGUIRRE- Grand reporter au magazine L'ObsLaurence DE NERVAUX - Directrice générale de Destin communThomas PORCHER - Économiste, professeur à la Paris School of Business
C dans l'air du 25 août 2025 – "Bloquons tout", dette...La France entre dans le durLES EXPERTS :Philippe DESSERTINE- Directeur de l'institut de Haute financeCaroline MICHEL-AGUIRRE- Grand reporter au magazine L'ObsLaurence DE NERVAUX - Directrice générale de Destin communThomas PORCHER - Économiste, professeur à la Paris School of Business
Hoy han entrado en vigor los nuevos aranceles que en el caso de la UE se han quedado —al menos de momento— en ese 15% que pactaron el presidente de Estados Unidos y Ursula Von der Leyen, aunque Trump ya ha amenazado con elevarlos hasta el 35% si Bruselas no cumple. Arancha González Laya, decana de la 'Paris School for International Affairs' en Sciences Po París y exministra de Asuntos Exteriores, ha asegurado en 'Las Mañanas de RNE': "En comercio internacional asistimos a la crónica de un desastre de la salida de Estados Unidos del marco de reglas que regulan este comercio y que ha supuesto un periodo sin precedentes de progreso y de beneficio también para EE.UU." La exministra vaticina: "Tenemos un problema muy serio todos, a largo plazo, si esto sigue, la economía internacional se verá afectada seriamente y se verá sobre todo afectada la economía estadounidense, no me cabe ninguna duda". González Laya insiste en el sometimiento de todos los países a Estados Unidos y su imposición arancelaria: "Se ha aceptado a través de un acuerdo unas relaciones internacionales basadas en el vasallaje, en la fuerza. No en un orden establecido que todos se comprometan a respetar", denuncia. Escuchar audio
Les journalistes et experts de RFI répondent à vos questions sur l'entrée en vigueur des taxes douanières américaines, des conditions pour la création d'un État palestinien et le séisme à l'est de la Russie. France : vers une restitution simplifiée des biens culturels spoliés ? La France doit présenter un projet de loi visant à faciliter la restitution des biens culturels pillés durant la colonisation. Que dit cette loi sur les conditions de restitution des biens pillés ? Pourquoi le Conseil d'État avait-il bloqué le précédent texte ? Avec Florence Morice, journaliste au service Afrique de RFI. Droits de douane américains : l'heure des comptes a sonné Les droits de douane américains entrent en vigueur aujourd'hui, après une série d'accords commerciaux conclus avec seulement sept pays. Donald Trump sort-il gagnant de tous ces accords financiers ? Maintenant que les taxes américaines entrent en vigueur, quels sont les pays qui vont être les plus touchés ? Avec Lionel Fontagné, professeur d'économie à Paris Panthéon-Sorbonne, titulaire d'une chaire à la Paris School of Economics. Droit international : vers la création d'un État palestinien, mais sous quelles conditions ? En l'espace de quelques jours, trois nouveaux pays ont annoncé reconnaître un État palestinien en septembre lors de l'Assemblée générale de l'ONU. Quelles sont les conditions pour que la Palestine soit considérée comme un État souverain ? Quelles pourraient être les frontières d'un État palestinien reconnu ? Avec Rafaëlle Maison, agrégée des facultés de droit, professeur de droit à l'université Paris-Saclay Russie : comment le séisme a-t-il pu provoquer un tsunami dans tout le Pacifique ? À la suite du puissant séisme survenu à l'est de la Russie, plusieurs pays du Pacifique ont déclenché des alertes au tsunami. Comment ce séisme en Russie a-t-il pu provoquer un tsunami dans tout l'océan Pacifique ? Comment expliquer que les vagues redoutées aient finalement été bien plus faibles que prévu dans plusieurs régions ? Avec Martin Vallée, sismologue à l'Institut de physique du globe de Paris.
In this Berkeley Talks episode, economist Gabriel Zucman discusses how wealth inequality and billionaire wealth has soared in recent decades, prompting the need for a global minimum tax of 2% on billionaires. “The key benefit of a global minimum tax on billionaires is not only that it would generate substantial revenue for governments worldwide — about $250 billion a year — but also, and maybe most importantly, that it would restore a sense of fairness,” says Zucman, a UC Berkeley summer research professor and director of the Stone Center on Wealth and Income Inequality's Summer Institute. Today, billionaires pay only about 0.2% of their wealth in taxes, says Zucman, because they often structure their wealth to minimize taxable income through control over corporate dividends, delaying capital gains and using holding company structures, among other methods. The 2% tax rate proposal is a modest one, he argues, and would merely ensure that billionaires, comprising about 3,000 families around the world, pay at least as high an effective tax rate as those in the middle class.“For the first time in decades,” he continues, “billionaires would pay at least the same effective tax rate as nurses, teachers or secretaries, ending a situation where, in many countries, the very richest pay less than the middle class. It's a modest, pragmatic reform, but it would make a big difference for our democracies and social cohesion.”Zucman spoke at Berkeley on June 23 as part of the campus's annual Stone Lecture series. Now a professor of economics at the Paris School of Economics, Zucman previously served on the Berkeley faculty for a decade, first as an assistant professor of economics and then as founding director of the Stone Center on Wealth and Income Inequality. He co-authored the 2019 book The Triumph of Injustice: How the Rich Dodge Taxes and How to Make Them Pay with Berkeley economics professor Emmanuel Saez. Watch a video of his lecture, followed by a Q&A.Listen to the episode and read the transcript on UC Berkeley News (news.berkeley.edu/podcasts).Music by HoliznaCC0.Photo courtesy of UC Berkeley. Hosted on Acast. See acast.com/privacy for more information.
C dans l'air du 8 juillet 2025 : Budget : attention, ça va faire mal...François Bayrou s'est rendu à Chartres ce mardi pour présenter la nouvelle réforme de l'administration territoriale de l'État. L'idée est d'octroyer davantage de pouvoir aux 133 préfets de l'Hexagone, leur conférant ainsi une autorité plus importante que celle des agences de l'État et des directions générales publiques, afin de simplifier l'action des pouvoirs publics, dans l'espoir de faire des économies. "Les préfets ont pour responsabilité de faire travailler ensemble ceux qui travaillent pour l'État", a expliqué le Premier ministre. "C'est une légitimité nouvelle donnée à la décentralisation. Les élus n'auront plus qu'un seul interlocuteur. C'est un moyen de rendre la dépense publique plus efficace. Cette nouvelle organisation de l'action publique est une manière de rendre plus efficace l'utilisation de l'argent", a ajouté le chef du gouvernement, qui alerte depuis des semaines sur la nécessité de redresser les finances publiques.François Bayrou a d'ailleurs insisté sur le fait que la France "est en danger mortel. Cela va demander des efforts à tout le monde", a-t-il une nouvelle fois reconnu à huit jours de dévoiler les grandes lignes du budget 2026.Après avoir consulté pendant des semaines, Bercy a rendu sa copie. Il revient désormais au Premier ministre d'effectuer les derniers arbitrages pour dégager 40 milliards d'euros d'économies. Année blanche, instauration d'une TVA sociale, baisse des dépenses de la Sécurité sociale, création d'une "taxe Zucman", rabotage des niches fiscales et crédits d'impôt… Plusieurs pistes ont déjà été lancées.Alors, que va décider François Bayrou ? Où trouver les 40 milliards d'euros ? Certains, à droite et à l'extrême droite, appellent à prendre exemple sur les politiques mises en œuvre par Javier Milei en Argentine et Giorgia Meloni en Italie. Mais quel est le bilan de la "politique de la tronçonneuse" de Javier Milei ? Comment l'Italie a-t-elle redressé ses comptes publics ? Depuis vendredi 4 juillet, "la France emprunte à des taux plus élevés que l'Italie", a glissé le ministre de l'Économie Eric Lombard afin d'alerter les Français sur le remboursement de la dette de l'Etat.LES EXPERTS :- Dominique Seux - Directeur délégué de la rédaction - Les Echos- François Ecalle - Ancien magistrat à la Cour des comptes et président du site spécialisé dans la gestion des finances publiques Fipeco - Anne de Guigné - Journaliste au service économie - Le Figaro- Thomas Porcher - Économiste, professeur à la Paris School of Business
C dans l'air du 8 juillet 2025 : Budget : attention, ça va faire mal...LES EXPERTS :- Dominique Seux - Directeur délégué de la rédaction - Les Echos- François Ecalle - Ancien magistrat à la Cour des comptes et président du site spécialisé dans la gestion des finances publiques Fipeco - Anne de Guigné - Journaliste au service économie - Le Figaro- Thomas Porcher - Économiste, professeur à la Paris School of Business
Recorded live at the PSE-CEPR Policy Forum 2025. This year the annual Paris School of Economics-PSE Policy Forum is organized around three themes: artificial intelligence and labour reallocation, working conditions and remote work, and inequality in the workplace. In short, what's work going to look like in the future? Our series of podcasts, recorded live at the event, starts with David Autor's work on the impact of AI on jobs. Rather than speculate about how soon AI will destroy work, David's research focuses on which tasks AI will automate, and what that means in terms of the expertise needed to do these jobs in the future. He tells Tim Phillips that some jobs will become more expert and some less – but the employment effects of AI may be the opposite of what many people expect.
Tregua violata tra Iran e Israele, l'ira di Trump e la premier Giorgia Meloni che alla Camera cita “Si vis pacem, para bellum”. È caos in Medioriente, ne parliamo con Manlio Graziano, docente alla Paris School of International Affairs di SciencesPo e all'Università della Sorbona.La guerra stravolge anche i cieli: voli cancellati, rotte deviate e traffico aereo commerciale in stallo. Affrontiamo il tema con Leonard Berberi del Corriere della Sera.Intanto in Italia gli arbitri diventano pubblici ufficiali: chi li aggredisce rischia il carcere. Il commento con Luca Marelli, avvocato ed ex arbitro.
Tagg Hurtubise is the Director of Marketing at Benchmarkit, where he specializes in B2B SaaS growth strategy, product marketing, and user experience. He has a strong track record of driving innovation through strategic initiatives, including leading SaaS Metrics Palooza and organizing executive events that bring together top industry leaders. With expertise in UX/UI design, digital transformation, and data-driven marketing, Tagg focuses on building strong relationships and elevating brand visibility. A graduate of San Diego State University with additional studies in Luxury Brand Management from the Paris School of Business, he is passionate about scaling high-impact marketing strategies in the SaaS space. Website: https://www.benchmarkit.ai/ LinkedIn: https://www.linkedin.com/in/tagghurtubise/ YouTube: https://www.youtube.com/@benchmarkitai Facebook: https://www.facebook.com/benchmarkitai Camela Thompson is a fractional marketing advisor known for blending data-driven strategy with empathetic, collaborative leadership. Based in Seattle, she brings over 15 years of experience in Revenue Operations, having worked at successful tech startups including Qumulo, Extrahop, and CDK Global. Camela transitioned into marketing leadership as VP of Marketing at CaliberMind, where she positioned the brand as a trusted authority for data-driven marketers. Her customer-first approach and deep understanding of growth marketing make her a sought-after advisor in the B2B tech space. Website: https://www.camelathompsoncreative.com/ LinkedIn: https://www.linkedin.com/in/camela-thompson/ Instagram: https://www.instagram.com/camela.thompson/ In this episode, we explore B2B SaaS marketing strategies and AI impact and dive into event highlights and AI marketing tools with experts Tagg and Camela. Apply to join our marketing mastermind group: https://notypicalmoments.typeform.com/to/hWLDNgjz Follow No Typical Moments at: Website: https://notypicalmoments.com/ LinkedIn: https://www.linkedin.com/company/no-typical-moments-llc/ YouTube: https://www.youtube.com/channel/UC4G7csw9j7zpjdASvpMzqUA Instagram: https://www.instagram.com/notypicalmoments Facebook: https://www.facebook.com/NTMoments
Tagg Hurtubise is the Director of Marketing at Benchmarkit, where he specializes in B2B SaaS growth strategy, product marketing, and user experience. He has a strong track record of driving innovation through strategic initiatives, including leading SaaS Metrics Palooza and organizing executive events that bring together top industry leaders. With expertise in UX/UI design, digital transformation, and data-driven marketing, Tagg focuses on building strong relationships and elevating brand visibility. A graduate of San Diego State University with additional studies in Luxury Brand Management from the Paris School of Business, he is passionate about scaling high-impact marketing strategies in the SaaS space. Website: https://www.benchmarkit.ai/ LinkedIn: https://www.linkedin.com/in/tagghurtubise/ YouTube: https://www.youtube.com/@benchmarkitai Facebook: https://www.facebook.com/benchmarkitai Camela Thompson is a fractional marketing advisor known for blending data-driven strategy with empathetic, collaborative leadership. Based in Seattle, she brings over 15 years of experience in Revenue Operations, having worked at successful tech startups including Qumulo, Extrahop, and CDK Global. Camela transitioned into marketing leadership as VP of Marketing at CaliberMind, where she positioned the brand as a trusted authority for data-driven marketers. Her customer-first approach and deep understanding of growth marketing make her a sought-after advisor in the B2B tech space. Website: https://www.camelathompsoncreative.com/ LinkedIn: https://www.linkedin.com/in/camela-thompson/ Instagram: https://www.instagram.com/camela.thompson/ In this episode, we explore B2B SaaS marketing strategies and AI impact and dive into event highlights and AI marketing tools with experts Tagg and Camela. Apply to join our marketing mastermind group: https://notypicalmoments.typeform.com/to/hWLDNgjz Follow No Typical Moments at: Website: https://notypicalmoments.com/ LinkedIn: https://www.linkedin.com/company/no-typical-moments-llc/ YouTube: https://www.youtube.com/channel/UC4G7csw9j7zpjdASvpMzqUA Instagram: https://www.instagram.com/notypicalmoments Facebook: https://www.facebook.com/NTMoments
C dans l'air du 7 juin 2025 - Budget : Une "année blanche" pour trouver 40 milliards ?« Encombrement » et « excès des fraudes ». Telles sont les raisons invoquées cette semaine au Sénat par le ministre de l'Économie, Éric Lombard, pour suspendre temporairement MaPrimeRénov'. L'enveloppe budgétaire aurait été consommée, le gouvernement veut donc remettre à plat ce levier pour encourager la rénovation énergétique des logements.De quoi mettre vent debout l'opposition de gauche. « Votre gouvernement accélère son désengagement brutal du financement de la transition écologique », a dénoncé le sénateur écologiste Ronan Dantec. « Une fois réglé, le processus pourra continuer » a voulu rassurer Lombard. En attendant, les particuliers doivent toujours patienter longtemps avant de recevoir l'aide promise. C dans l'air a rencontré un habitant de Clamart (Hauts-de-Seine) qui attend désespérément 40.000 euros suite à la rénovation de son logement.Cette suspension arrive au moment où le gouvernement cherche 40 milliards d'euros pour renflouer les caisses de l'État. C'est l'équation sur laquelle planche Bercy pour le budget 2026. Plusieurs pistes se dessinent comme celle de la TVA sociale. Mais cette mesure a ses détracteurs : les syndicats, la gauche, et le RN, qui pourrait censurer François Bayrou sur ce motif. Celui-ci évoque aussi la possibilité d'une année blanche pour geler tous les budgets, comme les allocations, le portefeuille des collectivités ou l'indexation des retraites - sujet hautement sensible. Le Premier ministre, qui a annoncé qu'il allait demander "un effort à tous les Français", a fixé le 14 juillet comme date limite pour présenter son plan d'économies. L'impossible équation budgétaire est aussi l'occasion pour plusieurs ténors de se positionner pour 2027. Dans son dernier livre, Édouard Philippe prône la rigueur budgétaire mais Xavier Bertrand l'accuse d'être en partie responsable du bilan macroniste. La popularité de Philippe est aussi rattrapée par celle de Bruno Retailleau. Beaucoup verrait bien le très droitier ministre de l'Intérieur à l'Élysée. Alors, quels sont les problèmes de MaPrimeRénov' ? François Bayrou fera-t-il passer son budget 2026 ? Qui est le mieux placé à droite pour la présidentielle ?LES EXPERTS :Nathalie SAINT-CRICQ - Editorialiste politique à France TélévisionsFrançois ECALLE - Ancien rapporteur général à la Cour des Comptes, président de FipecoThomas PORCHER – Économiste, professeur à la Paris School of Business, auteur du VacataireIsabelle RAYMOND - Cheffe du service économique à Franceinfo
C dans l'air du 7 juin 2025 - Budget : Une "année blanche" pour trouver 40 milliards ?LES EXPERTS :Nathalie SAINT-CRICQ - Editorialiste politique à France TélévisionsFrançois ECALLE - Ancien rapporteur général à la Cour des Comptes, président de FipecoThomas PORCHER – Économiste, professeur à la Paris School of Business, auteur du VacataireIsabelle RAYMOND - Cheffe du service économique à Franceinfo
durée : 00:59:18 - Affaires étrangères - par : Christine Ockrent - Au-delà d'une portée symbolique, en quoi la reconnaissance d'un État palestinien peut-elle contribuer à arrêter la guerre ? Que doit faire, que peut faire l'Europe ? - réalisation : Luc-Jean Reynaud - invités : Arancha Gonzáles Laya Doyenne de la Paris School of international Affairs (PSIA), ancienne ministre espagnole des Affaires étrangères; Daniela Schwarzer Politologue, membre du directoire de la Fondation Bertelsmann et du conseil d'administration de l'Institut Jacques-Delors; Rym Momtaz Rédactrice en chef de la plateforme Strategic Europe chez Carnegie; Gérard Araud Diplomate français; David Khalfa Co-Directeur de l'Observatoire de l'Afrique du Nord et du Moyen-Orient de la fondation Jean-Jaurès, co-fondateur du think tank international Atlantic Middle East Forum
C dans l'air du 31 mai 2025 - Musk : les milliardaires peuvent-ils réussir en politique ?LES EXPERTS :- PHILIPPE DESSERTINE - Directeur de l'Institut de Haute Finance, auteur de "L'horizon des possibles"- RAPHAËLLE BACQUÉ - Grand reporter au journal Le Monde, auteure de "Successions"- LOU FRITEL - Journaliste politique à Paris Match- THOMAS PORCHER - Économiste, professeur à la Paris School of Business, auteur de "Le vacataire"
C dans l'air du 31 mai 2025 - Musk : les milliardaires peuvent-ils réussir en politique ?Un départ et des questions pour Elon Musk. Le milliardaire américain a officialisé vendredi son départ de l'administration Trump après avoir annoncé quelques semaines plus tôt qu'il allait retourner à ses affaires de chef d'entreprise. Quelques mois après sa nomination à la tête du DOGE, ministère chargé de lutter contre le "gaspillage" de la dépense publique, celui qui s'était fixé pour ambition de faire 1 000 milliards de dollars d'économie à l'administration en est bien loin. Selon le site indépendant DOGE tracker, seuls 12 milliards d'économie ont été réalisés, notamment via des coupes massives dans l'aide internationale et des milliers de licenciements de fonctionnaires. Répondant aux rumeurs qui le disent en froid avec le président américain, Elon Musk a nié, assurant vouloir rester "l'ami et le conseiller" de Donald Trump qui lui a remis une clé en or, symbole que les portes de la Maison Blanche lui resteront toujours ouvertes. Pour Elon Musk, c'est un difficile retour aux affaires qui commence, lui qui a perdu plus de 100 milliards de dollars entre décembre et mars à cause de la hausse des droits de douane américains. Au-delà de sa fortune, ses déclarations en faveur de l'extrême droite ont entaché sa réputation et les ventes de Tesla s'effondrent en Europe comme au Québec.En France, on n'a pas attendu Elon Musk pour faire entrer des hommes d'affaires au gouvernement. En 1992, l'ancien patron de l'Olympique de Marseille Bernard Tapie était nommé de la Ville par Pierre Bérégovoy, avant de démissionner cinq mois plus tard. Plus récemment, c'est à Michel-Edouard Leclerc, patron des magasins Leclerc, qu'on prête des ambitions élyséennes. Celui dont le slogan, "lutter contre la vie cher", résonne déjà à travers la France n'a jamais caché son admiration pour son père qui s'était présenté trois fois aux élections législatives et même brièvement à une élection présidentielle. D'autres patrons se tiennent plus en retrait mais n'hésitent pas à influer sur le cours des élections. Cofondateur et principal actionnaire du groupe Smartbox, Pierre-Édouard Stérin, dont la fortune est estimée à 1,4 milliard d'euros, a lancé un projet, baptisé "Périclès", qui vise à aider le RN et LR à conquérir le pouvoir. Sa vision conservatrice de la société française et ses ambitions politiques inquiètent jusqu'à l'Assemblée nationale. Les députés l'ont convoqué à deux reprises au mois de mai, lors d'une commission d'enquête portant sur l'organisation des élections en France. Le milliardaire ne s'est jamais présenté.Pour ces grandes fortunes, la gestion de la fortune est très politique. Certaines décident d'ailleurs de déshériter leurs enfants, à l'image de Bill Gates qui a légué une grosse partie de ses 107 milliards de dollars à sa fondation. "Mes enfants vont recevoir des sommes généreuses importantes, mais ce n'est qu'un pourcentage", confirmait-il en février dernier dans l'émission 7 à 8. Et il n'est pas un cas isolé. Dix ans plus tôt, le chanteur Sting a lui aussi confirmé que ses enfants ne bénéficieraient pas de sa fortune de 225 millions d'euros, assurant vouloir leur rendre service : "Je ne veux pas laisser un héritage qui soit un fardeau" avait-il déclaré dans un journal britannique. Plus récemment, c'est l'héritière du groupe d'entreprises chimiques et pharmaceutiques allemandes BASF, Marlene Engelhorn, qui a reversé 92 % de son héritage (27 millions d'euros) à des associations. "L'héritage est une injustice", estime celle qui milite activement pour la taxation des plus riches.Pourquoi Elon Musk a-t-il quitté le gouvernement de Trump ? Son parcours politique pourrait-il inspirer des grandes fortunes françaises ? Comment ces ultra-riches gèrent-ils leur héritage ?LES EXPERTS :- PHILIPPE DESSERTINE - Directeur de l'Institut de Haute Finance, auteur de "L'horizon des possibles"- RAPHAËLLE BACQUÉ - Grand reporter au journal Le Monde, auteure de "Successions"- LOU FRITEL - Journaliste politique à Paris Match- THOMAS PORCHER - Économiste, professeur à la Paris School of Business, auteur de "Le vacataire"
JUST HOW UNEQUAL IS OUR WEALTH? If you listen to Bernie Sanders rich people are literally stealing the change from poor people's pockets, but of course that is false. But the Gospel of Wealth Inequality is a powerful elixir doled out to gin up envy and greed in the people and it's effective. But is it true? At 1 I'm talking with Daniel Waldenstrom, Professor of Economics, Research Institute of Industrial Economics, Stockholm, Sweden Previously professor at Paris School of Economics, Uppsala University, UCLA about his work on it, and it tells a much different story. Read this for more, but we will dig in today. Find his book on the subject, Richer and More Equal: A New History of Wealth in the West by clicking here.
C dans l'air du 27 mai 2025 : Dette : "tous les Français" vont payer.Le Premier ministre a annoncé, ce mardi matin, un vaste plan de redressement des finances publiques qui portera sur trois ou quatre ans. Détaillé par le gouvernement au mois de juillet ce plan pluriannuel "de retour à l'équilibre des finances publiques va demander un effort à tous les Français. Le plus juste possible, mais un effort suffisant pour que la France sorte de cette situation qu'on a laissé grandir" a déclaré François Bayrou. Confronté d'ores et déjà à la colère des taxis, le chef du gouvernement a confirmé que la réforme de la rémunération du transport des malades s'appliquera bien début octobre et générera même "davantage d'économies que prévu" grâce à la concertation qui va s'ouvrir. Le Premier ministre a également indiqué qu'il souhaitait que les partenaires sociaux s'emparent de la question de la TVA sociale, abrogée par François Hollande en 2012. Ce dispositif consiste à compenser les réductions de cotisations qui repose sur le travail par une augmentation de la TVA pour compenser les pertes de recettes de la Sécurité sociale."Je souhaite que tous ceux qui ont la responsabilité du monde du travail, du monde de l'entreprise et du monde des salariés, acceptent de poser ensemble cette question", a affirmé le chef du Modem. François Bayrou ajoutant que "le travail en France n'est pas récompensé comme il devrait l'être" et se disant "prêt à revoir la totalité de la question du financement du modèle social français". Emmanuel Macron avait exprimé le 13 mai dernier son souhait d'"aller chercher de l'argent en dehors du seul travail", notamment par le biais de la "consommation", pour financer notre modèle social alors que les défaillances d'entreprises continuent d'augmenter en 2025 et les comptes publics sont dans le rouge.Hier, à quelques heures de présenter un rapport sur la Sécurité sociale, le premier président de la Cour des Comptes Pierre Moscovici a appelé la France à "reprendre le contrôle" de ses finances, dénonçant des dérapages et des années noires en 2023 et 2024. Face à une trajectoire des comptes de la Sécurité sociale "hors de contrôle", les sages de la rue Cambon explorent dans leur dernier rapport plusieurs préconisations. Parmi celles-ci, se trouvent des mesures de rééquilibrage des charges patronales, le cumul emploi-retraite ou encore la lutte contre la fraude à l'étranger.Alors quelle est la situation des finances publiques ? Comment redresser les comptes ? Qu'est-ce que la TVA sociale ? La fiscalité sur le travail est-elle trop lourde ? Le capital doit-il être plus taxé ? Quelles sont les pistes d'économie ? Qui va payer ?LES EXPERTS :- FRANÇOIS ECALLE - Ancien rapporteur général de la Cour des Comptes, président de Fipeco- THOMAS PORCHER - Économiste, professeur à la Paris School of Business et auteur de Le Vacataire- EMMANUEL DUTEIL - Directeur de la rédaction - L'Usine Nouvelle - CAROLINE MICHEL-AGUIRRE - Grand reporter au service politique - Le Nouvel Obs
C dans l'air du 27 mai 2025 : Dette : "tous les Français" vont payerLES EXPERTS :- FRANÇOIS ECALLE - Ancien rapporteur général de la Cour des Comptes, président de Fipeco- THOMAS PORCHER - Économiste, professeur à la Paris School of Business et auteur de Le Vacataire- EMMANUEL DUTEIL - Directeur de la rédaction - L'Usine Nouvelle - CAROLINE MICHEL-AGUIRRE - Grand reporter au service politique - Le Nouvel Obs
durée : 00:05:04 - Avec sciences - par : Alexandra Delbot - Une nouvelle étude révèle que les 10% des plus riches sont responsables de deux tiers du réchauffement climatique et d'une augmentation significative des événements climatiques extrêmes, mais... ils n'en subissent pas vraiment les conséquences. - invités : Fanny Henriet Economiste et professeure à Paris School of Economics
Millions of people around the world have no access to sanitation. They defecate in the open, or in facilities where it's hard to avoid human contact, unavoidably spreading disease. One of the Sustainable Development Goals that you don't hear about so much is the call to end open defecation by 2030. What progress are we making, and what health improvements are we seeing so far? In the latest of our episodes based on J-PAL's policy insights, Karen Macours of the Paris School of Economics, also co-chair of J-PAL's Health Sector, tells Tim Phillips about how we can achieve this development goal, why it's not a quick fix, and the surprising results of research into the health benefits of improving sanitation. Read the full show notes on VoxDev: https://voxdev.org/topic/health/improving-sanitation-what-works-and-what-doesnt Read the Policy Insight on J-PAL: https://www.povertyactionlab.org/policy-insight/improving-sanitation-access-subsidies-loans-and-community-led-programs
durée : 00:37:27 - France Culture va plus loin (l'Invité(e) des Matins) - par : Guillaume Erner, Isabelle de Gaulmyn - Alors que les États-Unis ont décidé d'entrer dans un rapport de force avec leurs partenaires commerciaux, les pays ciblés semblent démunis. Pourtant, il existe des leviers pour résister à la pression, à commencer par le dollar. Comment le système financier peut-il limiter la casse ? - réalisation : Félicie Faugère - invités : Éric Monnet Économiste, professeur à la Paris School of Economics (PSE) et directeur d'études à l'École des hautes études en sciences sociales (EHESS); Christian de Boissieu Professeur d'économie à l'université Paris 1 et au Collège d'Europe à Bruges, Président du Conseil d'analyse économique (CAE)
C dans l'air du 15 avril 2025 - Retraites, santé, impôts : 40 milliards à trouver...François Bayrou a réuni ce mardi matin plusieurs membres de son gouvernement ainsi que des parlementaires et des partenaires sociaux, pour sonner l'alerte budgétaire et préparer le pays à des choix douloureux. "Il est des heures de vérité décisives et celle-ci en est une", a déclaré le Premier ministre, deux jours après que ses ministres ont annoncé 40 milliards d'euros d'économies sur le budget 2026 afin de ramener le déficit public de la France à 4,6 % de son produit intérieur brut (PIB).Mais ce n'est pas aujourd'hui que l'on connaîtra les coupes envisagées. François Bayrou s'est contenté de faire un état des lieux de la situation financière du pays et de dévoiler les grandes orientations du budget pour l'année à venir, qui sera présenté dès cet été. Rendez-vous est donné avant le 14 juillet pour connaître les "grands choix" budgétaires. D'ici là des échanges avec les parlementaires, les entreprises, les représentants des salariés et une "conférence des territoires" seront organisés alors que les collectivités locales qui représentent 20 % des dépenses de l'Etat s'inquiètent d'être à nouveau mises à contribution. Dans le budget 2025, leur effort de participation a déjà été de 2,2 milliards d'euros. L'association des maires de France a d'ailleurs refusé de participer à cette conférence sur les finances publiques, fustigeant un énième coup de com. Une absence remarquée par le gouvernement. "Tout le monde doit faire preuve d'esprit de responsabilité", a averti ce matin le ministre de l'Industrie, Marc Ferracci, sur France Inter. "On sait qu'il y a des dépenses inefficaces (...) Cela peut être des aides aux entreprises, à l'investissement, des prestations sociales qui n'atteignent pas leur objectif", a-t-il expliqué. Mais d'autres hypothèses sont sur la table, à commencer par la suppression d'un abattement fiscal des retraités, qui "fait partie des pistes crédibles", a déclaré Marc Ferracci. Il s'agit d'un abattement fiscal de 10 % dont bénéficient l'ensemble des retraités. Il "coûte à peu près 4 à 5 milliards d'euros" et "repose sur l'idée qu'il y a un abattement pour frais professionnels des retraites", selon le ministre, ce que contestent la plupart des syndicats, qui évoquent eux un abattement accordé "par souci d'équité". "Dans la situation dans laquelle nous sommes, si on ne prend pas des mesures puissantes, extrêmement impactantes sur nos comptes publics, on ne s'en sortira pas donc tout doit être sur la table et les tabous d'hier ne doivent pas être les tabous de demain", a insisté le ministre.Le Premier ministre a également mis l'accent ce matin sur le fait que la France "ne produit et ne travaille pas assez". "Il est impératif de réduire nos dépendances industrielles, agricoles, industrielles (…) Une politique de réindustrialisation doit devenir une obsession" a-t-il jugé. Le chef du gouvernement a également évoqué "le taux d'emploi des jeunes et des seniors, plus faible en France que chez nos voisins européens, comme l'Allemagne et le Royaume-Uni". Alors quel budget pour 2026 ? Sécurité sociale, hauts revenus, retraités, collectivités locales…Où trouver les 40 milliards d'euros ? Nos journalistes sont allés à la rencontre du maire de La Ferté-Bernard, qui après avoir mené une politique volontariste de désendettement depuis 2017, entend désormais réinvestir et augmenter les subventions aux associations. Nous avons également suivi dans son quotidien une conseillère France travail alors que les défaillances d'entreprises continuent d'augmenter en 2025, après une vague "historique" en 2024, avec plus de 250 000 emplois menacés.Les experts :- Christophe BARBIER - Éditorialiste politique, conseiller de la rédaction - Franc-Tireur - Brigitte BOUCHER - Journaliste politique - Franceinfo TV- Sandra HOIBIAN - Directrice générale du CRÉDOC- Thomas PORCHER - Économiste, professeur à la Paris School of Business
C dans l'air du 15 avril 2025 - Retraites, santé, impôts : 40 milliards à trouver...Les experts :- Christophe BARBIER - Éditorialiste politique, conseiller de la rédaction - Franc-Tireur - Brigitte BOUCHER - Journaliste politique - Franceinfo TV- Sandra HOIBIAN - Directrice générale du CRÉDOC- Thomas PORCHER - Économiste, professeur à la Paris School of Business
C dans l'air du 7 avril 2025 - Taxe Trump: la panique socialeLa panique se propage sur les marchés financiers. Alors que les droits de douane annoncés par Donald Trump doivent entrer en vigueur ce mercredi, les principales Bourses mondiales continuent de plonger. Les places d'Asie ont encore dévissé ce lundi et le Cac 40 est passé sous le seuil des 7.000 points à la suite de l'inflexibilité affichée par le président américain. Donald Trump a en effet défendu à plusieurs reprises dimanche le déluge de droits de douane dévoilé la semaine dernière sur tous les produits importés aux Etats-Unis, tout est restant ouvert à la discussion avec les partenaires commerciaux. "Oubliez les marchés pendant une seconde", a-t-il dit aux journalistes alors que la Maison-Blanche a indiqué que 50 pays étaient prêts à négocier. Mais c'est plus facile à dire qu'à faire au vu de la débâcle des Bourses mondiales depuis jeudi dernier qui alimente les craintes d'une récession et d'un krach historique. Aux Etats-Unis, la situation donne des sueurs froides à nombre d'Américains qui sont trois foyers sur cinq à détenir des actions, en particulier les retraités dont les pensions sont en partie indexées sur les marchés. Et pour la première fois depuis le retour de Donald Trump à la Maison-Blanche, des manifestations massives se sont tenues samedi dans tout le pays. Une marée humaine rarement vue notamment à Washington où 100 000 personnes ont défilé pour exprimer leur inquiétude pour la démocratie et les conséquences des nouveaux droits de douane. De son côté, Elon Musk, le patron de Tesla qui dévisse en Bourse, a affirmé samedi espérer l'apparition d'une "zone de libre-échange" entre l'Europe et l'Amérique du Nord, avec des "droits de douane nuls", lors du Congrès de la Ligue italienne anti-migrants à Florence. Il a également révélé avoir déjà "conseillé le président américain en ce sens".Mais pour l'heure, Donald Trump continue de défendre sa révolution économique et n'entend pas faire machine arrière. Il l'a réaffirmé ce lundi, reprochant une nouvelle fois aux partenaires économiques des Etats-Unis de les "piller" et qualifiant la Chine de "plus grand profiteur de tous". En conséquence, il a décidé d'imposer, dès mercredi, un taux universel de 10 % de taxe douanière sur tous les produits importés aux Etats-Unis et des taxes supplémentaires, pour plusieurs dizaines de partenaires commerciaux majeurs, notamment l'Union européenne (20 %) et la Chine (34 %).Ce à quoi Pékin a choisi de répliquer très vite en annonçant, vendredi, des taxes de 34 % sur tous les produits américains arrivant en Chine. Parallèlement, 16 entreprises américaines ont été placées sur une liste noire qui les empêchera de s'approvisionner en Chine. Le ministère chinois du Commerce a aussi annoncé des contrôles à l'exportation sur sept éléments de terres rares, y compris le gadolinium, utilisé notamment pour les IRM, et l'yttrium, dans l'électronique grand public.Tiraillés sur la stratégie à adopter, les dirigeants européens ont multiplié les contacts au cours du week-end avant une réunion ce lundi à Luxembourg des ministres du Commerce extérieur de l'UE pour préparer "la réponse européenne aux Etats-Unis". "Le monde tel qu'on le connaissait a disparu", a résumé le Premier ministre britannique Keir Starmer au sujet de cette remise en cause de l'ordre mondial du commerce. La réponse européenne peut être "extrêmement agressive", a prévenu de son côté le ministre du Commerce extérieur Laurent Saint-Martin.Alors face à la guerre commerciale de Donald Trump comment l'Union européenne doit-elle réagir ? Comment défendre nos producteurs et nos industries ? Emmanuel Macron a invité jeudi les patrons français à "suspendre" leurs investissements aux Etats-Unis. Quelles sont les entreprises françaises qui ont massivement investi dernièrement au "pays de l'Oncle Sam" ?Les experts :- Nicolas BOUZOU - Économiste – Directeur fondateur du cabinet de conseil Asterès, chroniqueur à L'Express - Nicole BACHARAN - Historienne et politologue, spécialiste des États-Unis, éditorialiste - Ouest France - Joséphine STARON - Directrice des études et des relations internationales – Synopia- Thomas PORCHER - Économiste, professeur à la Paris School of Business
C dans l'air du 7 avril 2025 - Taxe Trump: la panique sociale Les experts :- Nicolas BOUZOU - Économiste – Directeur fondateur du cabinet de conseil Asterès, chroniqueur à L'Express - Nicole BACHARAN - Historienne et politologue, spécialiste des États-Unis, éditorialiste - Ouest France - Joséphine STARON - Directrice des études et des relations internationales – Synopia- Thomas PORCHER - Économiste, professeur à la Paris School of Business
durée : 00:59:05 - Entendez-vous l'éco ? - par : Aliette Hovine, Bruno Baradat - La multiplication des annonces européennes pour répondre aux enjeux sécuritaires et stratégiques semblent dessiner les contours d'un nouvel interventionnismes de la part de l'Union Européenne. - réalisation : Françoise Le Floch - invités : Jézabel Couppey-Soubeyran Maîtresse de conférences en économie à l'université Paris-I, conseillère scientifique à l'Institut Veblen; Jérôme Creel Directeur du département des études de l'OFCE et spécialiste de l'UE, professeur à l'ESCP Business School ; Éric Monnet Économiste, professeur à la Paris School of Economics (PSE) et directeur d'études à l'École des hautes études en sciences sociales (EHESS)
Europe is facing its biggest defence challenge since the second world war. This is compounded by the destabilising impact of US tariffs. So how is it measuring up? Gideon puts this question to Arancha González Laya, dean of the Paris School of International Affairs at Science Po and a former foreign minister of Spain. Clip: Emmanuel MacronFree links to read more on this topic:EU retaliates after Donald Trump's steel and aluminium tariffs take effectTrump is making Europe great againHow Europe can take up America's mantleSweden to expand arms and space capabilities without USSubscribe to The Rachman Review wherever you get your podcasts - please listen, rate and subscribe.Presented by Gideon Rachman. Produced by Fiona Symon. Sound design is by Breen Turner.Read a transcript of this episode on FT.com Hosted on Acast. See acast.com/privacy for more information.
Recorded at the CEPR Paris Symposium. Everywhere in the world there is still a stigma around periods. That can lead to bullying or exclusion in schools. Girls are stressed, and that affects their ability to study. In Madagascar, an RCT set out to end the stigma by discussing menstruation openly and seeking out Young Girl Leaders who could help their peers understand what was happening, and why it shouldn't be a source of embarrassment or shame. Karen Macours of the Paris School of Economics tells Tim Phillips about the extraordinary effect of the programme on mental health and graduation rates.