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C dans l'air du 22 mai 2025 : Retailleau/Villepin : la guerre est déclarée !Il est depuis dimanche le nouveau chef de la droite française. Avec près de 74 % des suffrages des adhérents, Bruno Retailleau a été élu à la présidence du parti Les Républicains. Une large victoire pour le ministre de l'Intérieur, face à son rival Laurent Wauquiez (25,7%) saluée ces dernières heures dans son camp. Néanmoins dans le concert de louanges, une voix détonne : celle de Dominique de Villepin. L'ancien Premier ministre de Jacques Chirac a fustigé sur Franceinfo "une dérive tragique dans l'évolution de ce parti politique que l'on appelait la droite républicaine, qui est en fait une droite réactionnaire, ultraconservatrice, identitaire, qui fait la course avec le Rassemblement national. Quand j'entends Bruno Retailleau sur bon nombre de sujets, j'ai du mal à faire la différence avec le RN". Malgré le nom de la formation aujourd'hui présidée par Bruno Retailleau, l'ex-ministre des Affaires étrangères affirme "ne pas voir beaucoup de République" dans les idées défendues. Et d'enfoncer le clou : "J'attends toujours les premiers résultats de Bruno Retailleau au ministère de l'Intérieur. Je vois beaucoup de rodomontades, de déclarations, de 20 heures, mais je ne vois pas de résultats (…) M. le ministre, au boulot ! Au boulot pour les Français ! La politique, ça ne se fait pas dans les antichambres. Ça ne se fait pas avec des doubles casquettes. Ça se fait à plein temps. Pas en amateur. Et là, nous sommes devant des amateurs" a affirmé Dominique de Villepin.Ancien dauphin de Philippe de Villiers, soutien de François Fillon à la présidentielle de 2017, le ministre de l'Intérieur multiplie depuis son arrivée place Beauvau, les sorties médiatiques et les phrases chocs. Sur l'État de droit qu'il juge ni "intangible ni sacré", l'immigration et la lutte contre la drogue, ses thèmes favoris, il ne renie rien de son passé villieriste et souverainiste, dénonçant "l'ensauvagement", un "chaos migratoire" ou un processus de "décivilisation"- concept emprunté au théoricien d'extrême droite Renaud Camus - qui serait, selon lui, à l'œuvre dans la société française. Et ces derniers jours il a fait fuiter un rapport classé secret-défense sur "l'entrisme" des Frères musulmans dans Le Figaro, avant un Conseil de défense. Ce qui lui a valu un rappel à l'ordre du président de la République. Agacé, Emmanuel Macron a retoqué hier ses premières propositions et lui a demandé d'en proposer d'autres, plus efficaces, lors d'un prochain Conseil de défense début juin. Qu'à cela ne tienne, dans une longue interview dans les colonnes du Parisien-Aujourd'hui France, Bruno Retailleau a avancé ses propositions contre l'islamisme et prévenu que les ministres LR quitteront le gouvernement "si leurs convictions ne sont plus respectées".Alors quelles sont les ambitions de Bruno Retailleau ? Inconnu du grand public il n'y a pas si longtemps, que sait-on de lui, de sa pensée, de son projet ? Quelle est son idéologie ? Son élection à la tête des LR marque-t-elle un tournant pour la droite française ? Et que contient le rapport sur l'entrisme des Frères musulmans ? LES EXPERTS :- Jérôme JAFFRÉ - Politologue - Chercheur associé au CEVIPOF- Christophe BARBIER - Éditorialiste politique, conseiller de la rédaction - Franc-Tireur - Sylvie PIERRE-BROSSOLETTE - Éditorialiste au Point - Brice TEINTURIER - Directeur général délégué - Institut de sondages IpsosPRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé - REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40PRODUCTION DES PODCASTS: Jean-Christophe ThiéfineRÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son, Benoît LemoinePRODUCTION : France Télévisions / Maximal ProductionsRetrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux :INTERNET : francetv.frFACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5TWITTER : https://twitter.com/cdanslairINSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/
What in fact is meant by the "Great Replacement"? Scholars Louis Betty and Ethan Rundell join us to discuss Renaud Camus, who originated the term. Sponsors: RonPaulHomeschool.com & WoodsMastermind.com Guests' Book: Enemy of the Disaster: Selected Political Writings of Renaud Camus Show notes for Ep. 2639
According to College of Policing guidance, Non-Crime Hate Incidents (NCHIs) help forces build an intelligence picture of community tensions and understand where they need to allocate resources for prevention. Indeed, during a House of Lords debate in November 2024, Lord Hanson, the Home Office minister, told peers: “It is vital that the police monitor non-crime hate incidents when proportionate and necessary to do so to help prevent serious crimes”. However, the Telegraph reports that freedom of information requests submitted to police by Harry Miller, the founder of Fair Cop, revealed that many of the biggest forces, including the Met, Greater Manchester and West Midlands do not actually analyse the NCHI data they collect. Meanwhile, the Conservatives are tabling an amendment to the Crime and Policing Bill to abolish non-crime hate incidents. FSU members can use our Campaigns tool to write to their MPs to urge them to vote for this amendment. In our next item, we discuss the barring of Renaud Camus, a French philosopher, from entering the UK due to his controversial views on immigration. Lord Young is quoted in the Telegraph, “We've reached out to him to see if he'd like any help in appealing this decision, and he said yes. So I anticipate that we are going to be getting an immigration lawyer on the case”. He adds, “I don't think that the common good is endangered by inviting people to set out their contentious views in the public square, particularly not someone as distinguished as Mr Camus”. We end with a brief discussion on a new FSU briefing paper written by Trevor Kavanagh and entitled, “Journalism in the Dock, Sir Keir Starmer's Baseless Prosecution of Tabloid Journalists as Director of Public Prosecutions”. The video of Monday's FSU event, “Lifeblood of Democracy”, where we discussed the issues raised within the paper and Operation Elveden, will soon be available on our website. ‘That's Debatable!' is edited by Jason Clift.
In this interview, UnHerd's Editor-in-Chief, Freddie Sayers, questions Right-wing French philosopher Renaud Camus on his controversial theories of remigration and the "Great Replacement". Hosted on Acast. See acast.com/privacy for more information.
Dixon Cox is back again, with added Cox as Paul returns from holiday. This week: -The Supreme Court decides that women exist -Renaud Camus is banned from entering the UK due to too much ‘noticing' -A new poll shows that Reform would now beat Labour to be the largest party -An ‘independent' MP calls the grooming gangs atrocity a ‘false narrative' -The Pope dies, and Nick discusses the woke horror of the film Conclave -The BBC teaches 11-14 year olds about the joys of communism The full version is only available to paid subscribers, so click here: https://www.nickdixon.net/p/women-officially-exist-with-paul Get all full episodes with top guests, join Nick's private chat group, and of course support the podcast and help us save the West, all for just £5 by going to nickdixon.net Or make a one-off donation here: https://www.buymeacoffee.com/nickdixon Nick's links Substack: nickdixon.net YouTube: https://www.youtube.com/@nick_dixon X: https://twitter.com/nickdixoncomic Paul's links X: https://twitter.com/PaulCoxComedy YouTube: https://www.youtube.com/@paulcoxcomedy Comedy clubs: https://www.epiccomedy.co.uk/
C dans l'air du 12 février 2025 - Retailleau : le coup de forceCe matin, au micro de France Inter, il avait esquivé la question. Finalement c'est par un courrier adressé aux militants que Bruno Retailleau a officialisé, ce mercredi, sa candidature à la présidence du parti Les Républicains. Porté par les sondages où il a bondi depuis son arrivée à Beauvau en septembre dernier, le ministre de l'Intérieur ne cache plus ses ambitions et donne un coup d'accélérateur à sa campagne avant un bureau politique crucial prévu lundi prochain pour fixer la date du Congrès. Mais cette candidature pourrait relancer une "guerre des chefs" à droite.Lors d'un dîner en tête-à-tête il y a une semaine à Beauvau, le patron des députés LR lui aurait rappelé leur "accord" sur la distribution des rôles. "A toi d'incarner la droite au gouvernement, à moi de reconstruire notre famille politique", l'aurait mis en garde le patron des députés LR qui envisage également de se lancer dans la course pour 2027, avec l'intention lui aussi d'utiliser la présidence du parti LR comme tremplin pour la présidentielle. Et ses proches ce mercredi montent au créneau pour accuser Bruno Retailleau de prendre la "lourde responsabilité d'ouvrir une guerre des chefs"."Voter ce n'est pas diviser", s'était défendu sur France Inter ce matin Bruno Retailleau, estimant que sa candidature à la tête de LR il y a un peu plus de deux ans contre Eric Ciotti n'avait pas provoqué de guerre des chefs. Il avait alors obtenu 46,3 % des voix face au député des Alpes-Maritimes, qui a quitté depuis ses fonctions à la tête du parti après avoir fait alliance en juin avec le Rassemblement national aux législatives, laissant le poste vacant.Ancien dauphin de Philippe de Villiers, soutien de François Fillon à la présidentielle de 2017, Bruno Retailleau multiplie depuis son arrivée place Beauvau, les sorties médiatiques et les phrases chocs. Sur l'Etat de droit qu'il juge ni "intangible ni sacré", l'immigration et la lutte contre la drogue, ses thèmes favoris, il ne renie rien de son passé villieriste et souverainiste, dénonçant "l'ensauvagement", un "chaos migratoire" ou un processus de "décivilisation"- concept emprunté au théoricien d'extrême droite Renaud Camus - qui serait, selon lui, à l'œuvre dans la société française. Tacticien, homme d'appareil et communicant aguerri, l'ancien sénateur de Vendée s'est désormais lancé officiellement dans la bataille et défend l'idée de "refonder un grand parti de droite qui accepte de s'élargir". Mais jusqu'où ? Quel est le projet politique de Bruno Retailleau ? Qui pour succéder à Éric Ciotti à la tête des LR ? Si ces questions agitent les LR, l'idée d'une primaire à droite et au centre pour la prochaine présidentielle a également été relancée cette semaine par Gérald Darmanin alors que Marine Le Pen retrouvait samedi dernier des dizaines de dirigeants des partis d'extrême droite européens à Madrid, pour le premier sommet du nouveau groupe les Patriotes pour l'Europe. Ce mouvement, créé au Parlement européen en juillet 2024 autour du parti du Premier ministre hongrois, Viktor Orban, et du Rassemblement national (RN), réunissant 86 eurodéputés, ce qui en fait la troisième force à Strasbourg, a choisi pour slogan : "Make Europe great again" ("rendons sa grandeur à l'Europe"), en référence au "Make America great again" (MAGA) de Donald Trump. C'est dans ce contexte qu'a été publiée, ce mardi, l'édition 2025 du baromètre de la confiance politique du Cevipof illustrant l'érosion très importante du crédit qu'accordent les Français à leurs responsables politiques. Ainsi 7 Français sur 10 interrogés déclarent ne pas avoir confiance dans la politique. Ils sont tout aussi nombreux à penser le personnel politique corrompu. Conséquence ou pas d'un sentiment de manque de visibilité, 73 % des sondés disent souhaiter avoir "un vrai chef en France pour remettre de l'ordre". Les experts :- Cécile CORNUDET - Éditorialiste politique - Les Echos - Pascal PERRINEAU - Politologue - Professeur associé au Cevipof- Nathalie SAINT-CRICQ - Éditorialiste politique - France Télévisions- Brice TEINTURIER - Directeur général délégué - Institut de sondages Ipsos
La teoría de la conspiración de el gran reemplazo es bastante reciente. La teoría conspirativa del gran reemplazo se remonta a la novela de 1973 El campamento de los santos, (Le Camp des Saints), de Jean Raspail, donde se describe el colapso de la cultura occidental debido a un «maremoto» inmigratorio del Tercer Mundo. La novela, junto a la teoría de Eurabia desarrollada por la escritora suizo-israelí Bat Ye'or en 2005, sentó las bases sobre las cuales Renaud Camus escribió y presentó su libro El gran reemplazo en 2012. Es a partir de aquí cuando los contemporáneos Christopher Belshaw y Jeff McMahan entran en un debate sobre la natalidad; el dilema de la procreación, sobre si debemos o no traer más hijos al mundo. Voy a exponeros sus razones publicadas en libros y artículos y vosotros, estimada audiencia, decidís. Otros temas en el programa: 24:35 Abu Simbel 42:14 La tumba de Merlín 50:20 Reseña de Flash Gordon No quiero matarte - Capítulo 4 Puedes leer más y comentar en mi web, en el enlace directo: https://luisbermejo.com/el-gran-reemplazo-zz-podcast-06x06/ Puedes encontrarme y comentar o enviar tu mensaje o preguntar en: WhatsApp: +34 613031122 Paypal: https://paypal.me/Bermejo Bizum: +34613031122 Web: https://luisbermejo.com Facebook: https://www.facebook.com/ZZPodcast/ X: https://x.com/LuisBermejo y https://x.com/zz_podcast Instagram: https://www.instagram.com/luisbermejo/ y https://www.instagram.com/zz_podcast/ Canal Telegram: https://t.me/ZZ_Podcast Canal WhatsApp: https://whatsapp.com/channel/0029Va89ttE6buMPHIIure1H Grupo Signal: https://signal.group/#CjQKIHTVyCK430A0dRu_O55cdjRQzmE1qIk36tCdsHHXgYveEhCuPeJhP3PoAqEpKurq_mAc Grupo Whatsapp: https://chat.whatsapp.com/FQadHkgRn00BzSbZzhNviThttps://chat.whatsapp.com/BNHYlv0p0XX7K4YOrOLei0
Democracy in Question? is brought to you by:• Central European University: CEU• The Albert Hirschman Centre on Democracy in Geneva: AHCD• The Podcast Company: scopeaudio Follow us on social media!• Central European University: @CEU• Albert Hirschman Centre on Democracy in Geneva: @AHDCentre Subscribe to the show. If you enjoyed what you listened to, you can support us by leaving a review and sharing our podcast in your networks! GlossaryIdentitarians (06:49 or p.2 in the transcript)The term of “Identitarians” originated in France with the founding of the Bloc Identitaire movement and its youth counterpart, Generation Identitaire. Identitarians espouse racism and intolerance under the guise of preserving the ethnic and cultural origins of their respective counties. American Identitarians such as Richard Spencer claim to want to preserve European-American (i.e., white) culture in the US. As Michael McGregor, a writer and editor for Radix wrote in an article in the publication, Identitarians want “the preservation of our identity–the cultural and genetic heritage that makes us who we are.”Identitarians reject multiculturalism or pluralism in any form. Namely, Identitarianism is a post-war European far-right political ideology asserting the right of peoples of European descent to culture and territory which are claimed to belong exclusively to people defined as European. Building on ontological ideas of modern German philosophy, its ideology was formulated from the 1960s onward by essayists such as Alain de Benoist, Dominique Venner, Guillaume Faye and Renaud Camus, considered the movement's intellectual leaders.While on occasion condemning racism and promoting ethnopluralist society, it argues that particular modes of being are customary to particular groups of people, mainly based on ideas of thinkers of the German Conservative Revolution, in some instances influenced by Nazi theories, through the guidance of European New Right leaders. Some Identitarians explicitly espouse ideas of xenophobia and racialism, but most limit their public statements to more docile language. Some among them promote the creation of white ethno-states, to the exclusion of migrants and non-white residents. The Identitarian Movement has been classified by the German Federal Office for the Protection of the Constitution in 2019 as right-wing extremist. The movement is most notable in Europe, and although rooted in Western Europe, it has spread more rapidly to the eastern part of the continent through conscious efforts of the likes of Faye. It also has adherents among North American, Australian, and New Zealander white nationalists. The United States–based Southern Poverty Law Center considers many of these organizations to be hate groups. source
Waar komen die rechts-populistische ideologieën eigenlijk vandaan? En hoe moeten we ze begrijpen in de huidige moderne tijd? Met die vragen ging voormalig correspondent en journalist Marijn Kruk op reis door Europa. In deze nieuwe ‘Achter de Frontlinie' vertelt hij Bram Vermeulen over de mensen die hij heeft ontmoet en hoe zij hun gedachtegoed steeds verder kunnen ontwikkelen. Hij legt uit waarom Boedapest als ‘Europese piratenbaai' een cruciale rol speelt in de renaissance van rechts. Hij neemt ons mee terug naar Frankrijk en vertelt over zijn interview met de bedenker van de term ‘omvolking', Renaud Camus, en zijn ontmoeting met Thierry Baudet in Parijs. Abonneer je op ‘Achter de Frontlinie' en mis nooit nieuwe aflevering. Wil je meer weten? Abonneer je dan ook vooral op de Frontlinie-nieuwsbrief en ontvang elke twee weken extra verhalen van Bram Vermeulen, achtergronden en lees-, kijk- en luistertips in je inbox. Of kijk Frontlinie op NPO Start. Alles van 'Frontlinie' vind je op vpro.nl/frontlinie
Democracy in Question? is brought to you by:• Central European University: CEU• The Albert Hirschman Centre on Democracy in Geneva: AHCD• The Podcast Company: scopeaudio Follow us on social media!• Central European University: @CEU• Albert Hirschman Centre on Democracy in Geneva: @AHDCentre Subscribe to the show. If you enjoyed what you listened to, you can support us by leaving a review and sharing our podcast in your networks! GlossaryGreat Replacement Theory(24:45 or p.7 in the transcript)Replacement theory (in the United States and certain other Western countries whose populations are mostly white) is a far-right conspiracy theory alleging, in one of its versions, that left-leaning domestic or international elites, on their own initiative or under the direction of Jewish co-conspirators, are attempting to replace white citizens with nonwhite (i.e., Black, Hispanic, Asian, or Arab) immigrants. The immigrants' increased presence in white countries, as the theory goes, in combination with their higher birth rates as compared with those of whites, will enable new nonwhite majorities in those countries to take control of national political and economic institutions, to dilute or destroy their host countries' distinctive cultures and societies, and eventually to eliminate the host countries' white populations. Some adherents of replacement theory have characterized these predicted changes as “white genocide.” The claim that national governments or unspecified elites are secretly directing the replacement and eventual elimination of whites has circulated among fringe groups of white supremacists, anti-Semites, and other right-wing extremists since at least the late 19th century. It received much wider attention in the early 21st century with the publication of Le Grand Remplacement (2011), by the French writer and activist Renaud Camus. He argued that since the 1970s, Muslim immigrants in France have shown disdain for French society and have been intent on destroying the country's cultural identity and ultimately replacing its white Christian population in retaliation for France's earlier colonization of their countries of origin. He also asserted that the immigrant conquest of France was being covertly abetted by elite figures within the French government. source
Back in 2011, French author Renaud Camus published “Le Grand Remplacement” where he examined the recent inflow of Muslim immigration, both legal and illegal, into France from North Africa and the Middle East. Questions were asked about what a sudden and massive influx of millions of migrants does to the European continent in general, and to France in particular. In the world of Woke nonsense, the very idea of examining this topic is reflexively met with cries of “racism” and “anti-Muslim” thinking, but this isn't a theoretical problem based on a concept; it is an actual problem based on a measurable observation and backed up with migration statistics. Is there a plan in place to destabilize countries by flooding undocumented immigrants into a region until the current demographics are altered to the point of changing voting patterns? Well, it wouldn't be the first time it was tried. The real question to be asked has more to do with the timing of such an “invasion” and who is actually financing these massive migrant caravans. The Octopus of Global Control Audiobook: https://amzn.to/3xu0rMm Anarchapulco 2024 Replay: www.Anarchapulco.com Promo Code: MACRO Sponsors: Chemical Free Body: https://www.chemicalfreebody.com Promo Code: MACRO C60 Purple Power: https://c60purplepower.com/ Promo Code: MACRO Wise Wolf Gold & Silver: www.Macroaggressions.gold True Hemp Science: https://truehempscience.com/ Haelan: https://haelan951.com/pages/macro Solar Power Lifestyle: https://solarpowerlifestyle.com/ Promo Code: MACRO LegalShield: www.DontGetPushedAround.com EMP Shield: www.EMPShield.com Promo Code: MACRO Christian Yordanov's Detoxification Program: https://members.christianyordanov.com/detox-workshop?coupon=MACRO Privacy Academy: https://privacyacademy.com/step/privacy-action-plan-checkout-2/?ref=5620 Coin Bit App: https://coinbitsapp.com/?ref=0SPP0gjuI68PjGU89wUv Macroaggressions Merch Store: https://www.teepublic.com/stores/macroaggressions?ref_id=22530 LinkTree: linktr.ee/macroaggressions Books: HYPOCRAZY: https://amzn.to/3VsPDp8 Controlled Demolition on Amazon: https://amzn.to/3ufZdzx The Octopus Of Global Control: Amazon: https://amzn.to/3VDWQ5c Barnes & Noble: https://bit.ly/39vdKeQ Online Connection: Link Tree: https://linktr.ee/Macroaggressions Instagram: https://www.instagram.com/macroaggressions_podcast/ Discord Link: https://discord.gg/4mGzmcFexg Website: www.Macroaggressions.io Facebook: www.facebook.com/theoctopusofglobalcontrol Twitter: www.twitter.com/macroaggressio3 Twitter Handle: @macroaggressio3 Rumble: https://rumble.com/c/c-4728012 The Union Of The Unwanted LinkTree: https://linktr.ee/uotuw RSS FEED: https://uotuw.podbean.com/ Merch Store: https://www.teepublic.com/stores/union-of-the-unwanted?ref_id=22643&utm_campaign=22643&utm_medium=affiliate&utm_source
Les Allemands se mobilisent contre l'extrême droite, après la révélation de la tenue d'une réunion d'extrémistes à Potsdam, à laquelle ont participé des membres de l'Alternative pour l'Allemagne (AfD). Parmi les hôtes : l'Autrichien Martin Sellner venu présenter son « concept de remigration », un projet d'expulsion massive de personnes étrangères. Cofondateur du Mouvement identitaire autrichien, il est devenu une figure influente des droites radicales germanophones. Martin Sellner a les airs de hipster : coupe de cheveux stylisée, mèche tombant à droite, souvent souriant et toujours impeccable, qu'il soit rasé de près ou arborant une barbe de trois jours. Fils d'un médecin homéopathe et d'une professeur d'anglais, qui a grandi dans la banlieue de Vienne, le jeune homme de 35 ans est titulaire d'une licence de philosophie et n'a pas achevé ses études de droit, selon le Spiegel. « Il représente cette nouvelle génération de militants d'extrême droite qui présente bien. On est très loin de l'image classique du militant d'extrême droite, au crâne rasé, arborant des tatouages, un bomber en cuir et la croix gammée, tatouée sur le bras », note Gilles Ivaldi, chargé de recherche CNRS au CEVIPOF, spécialistes des partis de droite radicale.Martin Sellner donne l'image d'un jeune Européen, polyglotte, très classique. Il est marié à Brittanny Pettibone, une blogueuse californienne, égérie de la droite alternative américaine, qui compte 175 000 abonnés sur sa chaîne YouTube. Avec sa jeune épouse, toujours bien maquillée et parfaitement coiffée, il est le visage plutôt avenant du mouvement identitaire. Dans sa façon d'être, « il participe de la stratégie de l'extrême droite qui avance de plus en plus masquée, qui tente de cacher au maximum tous les marqueurs et les symboles de l'extrême droite traditionnelle », estime Gilles Ivaldi. Génération identitaireEn 2016, dans un entretien à CNN, en très bon anglais, Martin Sellner se présentait en 2016 comme « patriote et pas néo-nazi ». « En tant que militant patriotique, auteur et journaliste, je défends la vérité et la résistance, la théorie et l'action », annonce-t-il sur son site internet.Il a pourtant frayé avec ce mouvement dès son plus jeune âge, rappelle Jérôme Segal essayiste et historien franco-autrichien : « il est assez rapidement attiré par le milieu néonazi. Il est proche d'un célèbre néonazi autrichien Gottfried Küssel. Déjà à l'âge de 17 ans, il va coller des croix gammées sur une synagogue. Il est condamné à 100 heures de travaux d'intérêt général », énumère le maître de conférences à Sorbonne Université et spécialiste de l'extrême droite à Vienne.S'inspirant de la branche française de Génération identitaire, dissoute en 2021, accusée par le gouvernement de provocations à la haine et à la discrimination, il cofonde la branche autrichienne du mouvement. Invité à l'université d'été des jeunes identitaires français, il confiait dans un entretien filmé y avoir trouvé « une grande inspiration ». Liens avec le tueur de ChristchurchLuttant contre l'immigration, l'islamisation et la mondialisation, Martin Sellner s'inquiète du « grand remplacement » causé par les musulmans en Europe. Ce concept, développé en France par l'écrivain et philosophe Renaud Camus, avait été repris par le tueur de Christchurch, en Nouvelle-Zélande, en 2019. Avant d'assassiner 51 personnes dans deux mosquées, Brenton Tarrant avait entretenu une correspondance avec Martin Sellner et lui avait fait un don de 1 500 euros, ce qui lui avait valu d'être inquiété par la justice autrichienne pour « participation à une organisation terroriste ». L'enquête avait été classée sans suite en 2021. Aujourd'hui, le militant extrémiste autrichien est frappé d'interdiction de séjourner au Royaume-Uni et aux États-Unis pour des raisons de sécurité publique. L'Allemagne réfléchit à en faire de même depuis la réunion de Potsdam. Le mouvement identitaire autrichien ne compte aujourd'hui qu'une poignée de membres, « leur nombre est estimé entre 500 et 600 », précise Jérôme Segal. Mais Martin Sellner jouit d'une audience sur les réseaux sociaux, même s'il a été banni des principales plateformes telles que YouTube, Facebook, X ou Spotify. Sur Telegram, il compte actuellement 58 000 abonnés sur sa chaîne en allemand et 2 000 sur la chaîne en anglais. Il cultive surtout des liens avec le parti d'extrême droite autrichienne FPÖ et avec l'AfD allemande. « Cette petite galaxie d'extrême droite sur Internet est influente dans le sens où elle infuse et donne des idées, des thématiques à des partis qui, eux, sont influents et qui se trouvent sur le devant de la scène », souligne Gilles Ivaldi. Selon une étude du think tank ECFR (Conseil européen pour les relations extérieures), « les partis de la droite populiste anti-européenne arriveront en tête dans au moins neuf États membres de l'UE » lors des élections européennes de juin, dont la France, l'Autriche, la Belgique, l'Italie et les Pays-Bas. Pour les législatives de septembre 2024, le FPÖ autrichien est crédité de 30 % des intentions de vote.
On débute cette 6ième saison avec Helen Faradji qui nous parle de 3 oeuvres culturelles qui sonnent peut-être la fin de l'amour. On reçoit l'essayiste Alain Roy pour son livre "Les déclinistes" publié chez Écosociété et qui tente de déconstruire le discours décliniste des Finkielkraut, Zemour, Onfray, Houellebecq et Bock-Côté qui sévissent de l'autre côté de l'Atlantique. Et on explore également l'anonymat, thème central du dernier numéro de la revue Liberté.
Emmanuel Macron et le risque de « décivilisation » Emmanuel Macron sera à Roubaix pour rendre hommage aux trois policiers tués dans l'accident du weekend. Hier, au conseil des ministres après une succession d'affaires tragiques, le chef de l'Etat s'est inquiété d'une « décivilisation » de la société. Cela fait maintenant quelques temps que cette « déciviisation » inquiète les politiques. Il y a décivilisation lorsqu'il y a des phénomènes de barbaries d'ensauvagement de la société. Ce mot « décivilisation » est un concept qui vient de Renaud Camus, écrivant un livre à ce sujet. À Roubaix, un conducteur conduisait sous l'emprise de l'alcool et de la drogue. À Trappes, une petite fille de 6 ans a été tuée par une automobiliste contrôlée positive aux stupéfiants. Il y a un sentiment d'impunité notamment chez les plus jeunes. Beaucoup de pédopsychiatres affirment que ces « jeunes » ont un sentiment de toute puissance. « Le laxisme pénal il faut le combattre » explique le président du groupe Les Républicains au Sénat. En effet, la crise de l'éducation affecte la sanction pour les jeunes. Immigration, un talisman pour ressouder Les Républicains ? Après des mois de divisions et de « flou », le parti LR tente de se ressouder autour du thème de l'immigration. Eric Ciotti, président du parti, parle de submersion migratoire. Les LR vont tenter de déposer deux propositions de loi qui ont été présentées en début de semaine. Bruno Retailleau souhaite un référendum sur le sujet. « Votre projet c'est du copier-coller de ce qu'on fait au Rassemblement National » expliquait Thomas Ménagé. Ces textes ont été beaucoup travaillés par le parti au Sénat. « Le chaos migratoire c'est un encouragement à la démagogie » défend l'invité du plateau des 4 Vérités. La droite souhaite répondre au peuple français. Afin de permettre ce référendum, une modification constitutionnelle est nécéssaire. Le ministre du travail, Olivier Dussopt, explique que la modification constitutionnelle est inenvisageable puisque cela serait le contraire de la construction européenne. Pour Bruno Retailleau, il y a des tabous en France. Celui-ci souhaite que l'Europe ne sorte pas des traités. Aujourd'hui, le pouvoir de contrôler l'immigration n'appartiendrait plus aux élus du peuple, à ses représentants mais aux Cours Suprêmes qui produisent leurs droits eux-mêmes. « Notre projet repose sur le fait qu'on puisse ramener la France dans la moyenne de ce que font les pays européens en matière d'immigration » annonce le Président du groupe les républicains au sénat. Didier Leschi, patron de l'office français de l'immigration, montre qu'il y a « des pompes aspirantes » et que la France reste la meilleure sur tous les pays européens. En 32 ans, 21 lois sur l'immigration ont été créées par beaucoup de partis politiques. Cependant, aucune de ces lois n'a changé le problème sur l'immigration.
Pour une fois j'ai voulu faire un épisode qui rebondit un peu sur l'actualité : le 13 avril dernier, le journaliste Hugo Clément a accepté l'invitation à aller débattre face au président du Rassemblement national Jordan Bardella, lors d'une soirée organisée par le média d'extrême-droite Valeurs actuelles. Cette participation d'une figure médiatique engagé pour l'écologie et pour les animaux a fait réagir et le mot 'écofascisme' a été utilisé dans les voix critiques qui se sont exprimées, arguant notamment qu'Hugo Clément participait ainsi à la banalisation des idées, notamment racistes et xénophobes, de l'extrême-droite en leur servant de caution écologiste. Comme toujours, l'idée dans Comme un poisson dans l'eau est de prendre du recul pour pouvoir traiter les questions de fond qui sont soulevées par cette affaire et en saisir tous les enjeux ! Et je pense que pour avoir toutes les clés de ce débat, il est essentiel avant tout de bien connaître ce qu'est l'écofascisme, pour vraiment comprendre ce que ça implique concrètement que l'extrême-droite s'empare de l'écologie. On décortique tout ça avec un spécialiste de la question : Antoine Dubiau, qui est doctorant en géographie à l'UNIGE sur l'histoire des mouvements écologistes et l'auteur de l'ouvrage Écofascismes paru en 2022 aux éditions Grévis ! Cet épisode est la 1ère partie d'un entretien en 3 parties. Bonne écoute et hâte d'avoir vos retours ! ________________________________ Références et sources citées dans l'entretien : - La possibilité du fascisme - Ugo Palheta - Reconnaître le fascisme - Umberto Eco - Le Nouvel ordre écologiste - Luc Ferry - Article "Les nazis : véritables amis des animaux ?" par Lauretta Eckhardt dans l'Amorce : https://lamorce.co/les-nazis-veritables-amis-des-animaux/ - Attentats de Christchurch par le terroriste Brenton Tarrant : https://fr.wikipedia.org/wiki/Attentats_de_Christchurch - Concept d'hégémonie culturelle d'Antonio Gramsci - Le grand remplacement - Renaud Camus - Race et histoire - Claude Lévi-Strauss (Cet ouvrage faisait partie d'une campagne de l'UNESCO contre le racisme) - Ethno-différentialisme : https://fr.wikipedia.org/wiki/Ethno-différentialisme - Éco-différentialisme, concept forgé par Pierre Madelin (dont il parle notamment dans cet article : https://www.terrestres.org/2020/06/26/la-tentation-eco-fasciste-migrations-et-ecologie/) - La tentation écofasciste - Pierre Madelin - Fascisme fossile - Collectif Zetkin - Les localistes, micro-parti lancé par Hervé Juvin et Andrea Kotarac - Comment tout peut s'effondrer - Pablo Servigne et Raphaël Stevens - La convergence des catastrophes - Guillaume Faye - Le biologiste Garrett Hardin, écologie américain et pamphlétaire suprémaciste blanc ________________________________ SOUTENIR : https://linktr.ee/poissonpodcast Comme un poisson dans l'eau est un podcast indépendant et sans publicité : votre soutien est indispensable pour qu'il puisse continuer à exister. Merci d'avance ! Les comptes Instagram, Twitter, Facebook et Mastodon du podcast sont également à retrouver dans le link tree ! CRÉDITS Comme un poisson dans l'eau est un podcast indépendant créé et animé par Victor Duran-Le Peuch. Charte graphique : Ivan Ocaña Générique : Synthwave Vibe par Meydän Musique : Overdose par Jahzzar
Quiconque est branché à l'actualité, qu'elle soit relayée via le poste de télévision ou les frénétiques réseaux sociaux, le sait. La théorie du grand remplacement à colonisé tous les espaces. Citée directement ou pas, l'idée s'est infusée dans notre société jusqu'à être prise au sérieux par une certaine gauche et surtout, quotidiennement abordée par les nombreuses voix médiatiques liées à la droite et l'extrême-droite. Sur Twitter, par exemple, pas un jour ne passe sans que le militant d'extrême-droite Damien Rieu ne poste une photo ou relaie un fait divers censé illustrer ce grand remplacement. Celui d'une population française fantasmée comme homogène, blanche et chrétienne, par une population musulmane venue principalement du continent africain. Théorisé en France par Renaud Camus en 2010, l'idée d'une submersion numérique d'un peuple par un autre est, elle, bien plus ancienne. Notre invité de ce soir, démographe et historien, est allé chercher dans notre passé proche et lointain pour comprendre et expliquer la source de cette peur irrationnelle. Car pour lui, il l'affirme, chiffres et arguments à l'appui : il n'y a pas de grand remplacement. Ce soir pour Le Media, Cemil Sanli a préparé et mené un entretien sur ce sujet explosif, avec comme invité Hervé Le Bras, démographe et historien. ▶ Soutenez Le Média :
Back in 2011, French author Renaud Camus published “Le Grand Remplacement” where he examined the recent inflow of Muslim immigration, both legal and illegal, into France from North Africa and the Middle East. Questions were asked about what a sudden and massive influx of millions of migrants does to the European continent in general, and to France in particular. In the world of Woke nonsense, the very idea of examining this topic is reflexively met with cries of “racism” and “anti-Muslim” thinking, but this isn't a theoretical problem based on a concept; it is an actual problem based on a measurable observation and backed up with migration statistics. Is there a plan in place to destabilize countries by flooding undocumented immigrants into a region until the current demographics are altered to the point of changing voting patterns? Well, it wouldn't be the first time it was tried. The real question to be asked has more to do with the timing of such an “invasion” and who is actually financing these massive migrant caravans. Sponsors: Emergency Preparedness Food: www.preparewithmacroaggressions.com Chemical Free Body: https://www.chemicalfreebody.com and use promo code: MACRO C60 Purple Power: https://c60purplepower.com/ Promo Code: MACRO Wise Wolf Gold & Silver: www.Macroaggressions.gold True Hemp Science: https://truehempscience.com/ Haelan: https://haelan951.com/pages/macro Solar Power Lifestyle: https://solarpowerlifestyle.com/ Promo Code: MACRO Coin Bit App: https://coinbitsapp.com/?ref=0SPP0gjuI68PjGU89wUv Macroaggressions Merch Store: https://www.teepublic.com/stores/macroaggressions?ref_id=22530 LinkTree: linktr.ee/macroaggressions Books: HYPOCRAZY: https://amzn.to/3AFhfg2 Controlled Demolition on Amazon: https://www.amazon.com/dp/B08M21XKJ5 Purchase "The Octopus Of Global Control" Amazon: https://amzn.to/3aEFFcr Barnes & Noble: https://bit.ly/39vdKeQ Online Connection: Link Tree: https://linktr.ee/Macroaggressions Instagram: https://www.instagram.com/macroaggressions_podcast/ Discord Link: https://discord.gg/4mGzmcFexg Website: www.theoctopusofglobalcontrol.com Facebook: www.facebook.com/theoctopusofglobalcontrol Twitter: www.twitter.com/macroaggressio3 Twitter Handle: @macroaggressio3 YouTube: www.youtube.com/channel/UCn3GlVLKZtTkhLJkiuG7a-Q Apple Podcasts: https://apple.co/2LjTwu5
Le regain d'intérêt, en France ces dernières années, pour les écrivains très marqués à droite ou d'extrême-droite, à commencer par Maurras, est sans doute à rapprocher de l'immense succès de Michel Houellebecq, dont les romans déplorent un déclin des grandes autorités socio-culturelles du passé qui laisserait l'homme contemporain en mal de repères, livré sans remède à la dépression en contrepartie d'une liberté illusoire. Mais existe-t-il, au plan du style littéraire, une caractéristique commune et spécifique aux auteurs classables dans la catégorie « réactionnaires » ? C'est la question sur laquelle se penche Vincent Berthelier, fines analyses textuelles à l'appui, dans un livre récemment paru aux éditions Amsterdam. Dans ce nouvel épisode d'OSAP (« on s'autorise à penser »), Vincent Berthelier revient, avec l'historien-maison du Média Julien Théry, sur les liens entre classicisme et même purisme stylistique, ou au contraire inventivité des forme littéraires, d'un côté, et conservatisme ou fascisme. Le cas Renaud Camus, par exemple, paraît confirmer le lien entre passéismes stylistique et politique fixé par le modèle de Maurras, puisque Camus abandonne l'inventivité littéraire qui avait jusque caractérisé son oeuvre au moment où il s'engage dans son combat d'extrême droite. Le seul cas où la radicalité politique réactionnaire et la radicalité stylistique vont vraiment de pair est sans doute celui de Louis-Ferdinand Céline. Ce qui n'empêche pas Vincent Berthelier de proposer une très stimulante plongée dans l'histoire stylistique et politique de la littérature des XXe et XXIe siècle, où l'on croise entre autres Georges Bernanos, Marcel Jouhandeau, Marcel Aymé ou encore Cioran et Richard Millet. ▶ Soutenez Le Média :
SPEAKER:Dr. Richard Alba is an American sociologist, who is a Distinguished Professor at the Graduate Center, CUNY.He is known for developing assimilation theory to fit the contemporary, multi-racial era of immigration, with studies in America, France, and Germany. Alba's text on assimilation theory (written with Victor Nee), Remaking the American Mainstream (2003) won the Thomas & Znaniecki Award of the American Sociological Association and the Eastern Sociological Society's Mirra Komarovsky Award. It was the 36th most-cited work in sociology between 2008 and 2012. Author of "Ethnic Identity: The Transformation of White America" (1990), summarizes his thinking on the assimilation of the so-called white ethnics. His "Blurring the Color Line: The New Chance for a More Integrated America" (2009) applied these ideas to non-white Americans. His latest book is "The Great Demographic Illusion: Majority, Minority, and the Expanding American Mainstream".Demographic change and assimilation in the early 21st centuryUnited States - https://drive.google.com/file/d/1lKuk...SYNOPSIS:While many conspiracy theories are short-lived, there are some that never seem to die, no matter how much contrary evidence is furnished. We have all heard of the holocaust deniers or those who consider climate change to be a hoax or those who insist that the moon landings were fake. Another such theory is that of the ‘Great Replacement' (https://en.wikipedia.org/wiki/Great_R...) that is centred around an elite conspiracy to replace the white population of America with non-whites. While the term itself may be new, the ideas behind this theory have persisted for a long time. In the highly influential book ‘The Passing of the Great Race' published in 1916, Madison Grant had called whites as an “endangered species”. The 2020 US Census report came as a confirmation for many adherents of this theory. It revealed that people who identify as “White alone” declined for the first time since the Census began in 1790. Yet more disturbingly for them, majority of Americans under 18 are now people of colour.Anxieties about the future of the white race are expressed repeatedly by demagogic politicians and popular talkshow hosts, and are further amplified by social media. The Great Replacement Theory has been linked to several mass shootings over the last decade. We at Argumentative Indians would like to understand what drives this theory, what makes it so prevalent and why has it proved to be so resilient? And finally, is there any truth to it?EXPLORE MORE:Find out about upcoming sessions and learn how you can join them live and become a part of the conversation - Explore More at - www.argumentativeindians.comDISCLAIMER:We invite thought leaders from across the ideological spectrum. The guests in our sessions express their independent views and opinions. Argumentative Indians does not profess to subscribe, agree or endorse the same or be in anyway responsible for the stance, words and comments of our guests.
Guests featured in this episode:Yascha Mounk, senior fellow at the Council on Foreign Relations and also professor of the practice of international affairs at Johns Hopkins University. As a public intellectual, he is widely known for his work on the crisis of democracy and the defense of liberalism. He is a regular contributor to The Atlantic, The New York Times, and Foreign Affairs. Yascha is also the author of 4 books, the autobiographically inspired Stranger in My Own Country, The Age of Responsibility – Luck, Choice, and the Welfare State, The People versus Democracy – Why Our Freedom Is in Danger and How to Save It, and most recently, The Great Experiment – Why Diverse Democracies Fall Apart and How They Can Endure, published earlier this year. GLOSSARY What is the Replacement Theory? (00:3:20 or p.1 in the transcript)A demographic conspiracy theory popular among white nationalists in the United States and Europe that speculates that falling birthrates among white, native-born Christians, together with a growing population of nonwhite, non-Christian immigrants, whose arrival is believed to be encouraged or orchestrated by globalist elites with the goal of undermining national identities, will, if unchecked, result in the decline of white European culture or its dominance. First recorded in 1900–05 as a medical term; current sense dates to 2015–20; partly based on L'Abécédaire de l'in-nocence (The Abecedarium of No-Harm, 2010) and Le Grand Remplacement (The Great Replacement, 2011), books by Renaud Camus, French novelist, white nationalist, and conspiracy theorist. Source: What are the salad bowl and melting pot theory? (00:37:33 or p.10 in the transcript)The salad bowl model is a metaphor for an inclusive, multicultural society. The idea of a melting pot is a popular metaphor, but it emphasizes the unification of parts into a single whole. The salad bowl concept focuses on individual cultures and proposes a society with many distinct identities. The salad bowl model is the most common concept in Canada and suggests that the country is becoming more cosmopolitan as more people migrate to the country. However, unlike the concept of a melting pot, the salad bowl concept is not homogenous. The concept is more politically correct, and it promotes a society that has many pure cultures rather than a single, unified one. The salad bowl concept also suggests cultural integration. While the melting pot concept promotes a multicultural society, the salad bowl model encourages different cultures to coexist. It juxtaposes the various American cultures, instead of blending them into a single, homogeneous culture. This model emphasizes the need for shared culture and is more politically correct than the melting pot model, which implies that ethnic groups might lose their culture. Source: Democracy in Question? is brought to you by:• Central European University: CEU• The Albert Hirschman Centre on Democracy in Geneva: AHCD• The Podcast Company: Novel Follow us on social media!• Central European University: @CEU• Albert Hirschman Centre on Democracy in Geneva: @AHDCentreSubscribe to the show. If you enjoyed what you listened to, you can support us by leaving a review and sharing our podcast in your networks!
Adam Shatz, the LRB's US editor, talks to Sindre Bangstad and Reza Zia-Ebrahimi about the Great Replacement conspiracy theory, from its origins in the high tide of French colonial expansionism in the 19th century and propagation through writers such as Jean Raspail and Renaud Camus, to its influence on mass murderers in Norway, New Zealand and the United States.Find further reading on the episode page: https://lrb.me/grtheorypodSubscribe to the LRB from just £1 per issue: https://mylrb.co.uk/podcast20bTitle music by Kieran Brunt / Produced by Anthony Wilks See acast.com/privacy for privacy and opt-out information.
Hablamos con el corresponsal en Nueva York, Javier Ansorena, para profundizar en cómo se ha integrado la teoría de 'el gran reemplazo' en Estados Unidos
In a 180-page white supremacist manifesto posted online before the racist May 14 mass shooting in Buffalo, New York, domestic terrorist Payton Gendron wrote that he wanted “to spread awareness to my fellow whites about the real problems the West is facing.” “This crisis of mass immigration and sub-replacement fertility,” the 18-year-old white man wrote, “is an assault on the European people that, if not combated, will ultimately result in the complete racial and cultural replacement of the European people.” In addition to the Buffalo shooting, where the white supremacist terrorist slaughtered 10 innocent Black people and wounded three others, this white supremacist theory has inspired attacks on ethnic and religious minorities as far away as Christchurch, New Zealand, and El Paso, Texas. French origins The idea that nonwhite immigrants could eventually displace native-born white Europeans has roots in 20th century French ethnic nationalism. But the term itself was coined and popularized by French white nationalist author Renaud Camus (no relation to Albert Camus). As he recently told the right-wing outlet Konflikt Magazin, he first came up with the expression in the 1990s in a small, medieval village in the south of France. There, near “Gothic windows and Gothic fountains,” were Muslim women in veils and men in djellaba robes, he recalled. “I was, of course, accustomed like everybody else to seeing the change of people in [the predominantly Arab and Black] suburbs, but there it was especially striking.” Camus said he later gave a speech titled “The Great Replacement” in a nearby town, and in 2011, self-published a book of the same title in French. http://globalreportage.org/2022/05/30/what-is-this-white-supremacist-great-replacement-theory-every-fox-news-host-is-ranting-about/ --- Support this podcast: https://anchor.fm/global-reportage/support
In 2011, Renaud Camus published a book titled "Le Grand Remplacement," or as it's translated in English, The Great Replacement. In his book, he contends that the mass migration of people from the Middle East and Africa will destabilize white-dominated countries but, worst of all, lead to the extinction of the white race that will be orchestrated according to the conspiracy theory by the Jewish elite. In the years to follow, many political propagandists have adopted this ideology to promote racist and anti-immigration policies from a conspiratorial framework that has led conspiracy theorist extremists to take matters into their own hands. People like Payton Gendron, who on May 14th, 2022, drove 200 miles to Buffalo, New York to cleanse his community in what he regarded as the black invasion, and Makeila Griffin, who in 1999 engaged in anti-white rhetoric to prepare for what she referred to as the race war. In today's episode, Nelson looks into the origins of the Great Replacement Theory and how the political right has exacerbated this ideology. FacebookThe Social Chemist | FacebookInstagramThe Social Chemist (@socialchemistig) • Instagram photos and videosReferencesKu Klux Klan | Definition & History | Britannica“The Great Replacement:” An Explainer | ADLThe Racist 'Great Replacement' Conspiracy Theory Explained | Southern Poverty Law Center (splcenter.org)Replacement Theory, a Fringe Belief Fueled Online, Is Refashioned by G.O.P. - The New York Times (nytimes.com)How ‘Tucker Carlson Tonight' Fuels Extremism and Fear - The New York Times (nytimes.com)‘Replacement theory' still Republican orthodoxy despite Buffalo shooting | US news | The GuardianPayton Gendron: What we know about the Buffalo supermarket shooting suspect - CNNBuffalo Shootings: Media Being Selective about Shooter | National ReviewThe Muslim Program - NOI.org Official WebsiteMalaika Griffin | Murderpedia, the encyclopedia of murderersBen Shapiro EpisodeThe Ben Shapiro Show: Blaming Tucker Carlson For Mass Shootings on Apple PodcastsScholarly Journals An existential threat model of conspiracy theories. - PsycNET (apa.org)
In this episode, Neil, Niki, and Natalia discuss the “Great Replacement” conspiracy theory. Support Past Present on Patreon: https://www.patreon.com/pastpresentpodcast Here are some links and references mentioned during this week's show: A deadly mass shooting in Buffalo, NY brought renewed attention to the “Great Replacement” conspiracy theory widely circulated among white supremacists. Niki drew on this New Yorker article about the European origins of this idea and her own New York Times essay on the role of media in amplifying it. Natalia discussed Samuel Huntington's Foreign Policy essay, “The Hispanic Challenge.” Neil referenced this Nation article about Renaud Camus. In our regular closing feature, What's Making History: Natalia made a plea for more coverage of how summer camp directors are gearing up for their third pandemic summer. Those stories haven't been written, but here's a History Channel video she recorded on the history of summer camps. Neil discussed Trip Mickle's New York Times article, “Farewell to the iPod.” Niki shared her congratulations and gratitude for historian Brian Balogh, on the occasion of his retirement from the University of Virginia.
The great replacement" is a conspiracy theory that states that nonwhite individuals are being brought into the United States and other Western countries to "replace" white voters to achieve a political agenda. White supremacists argue that the influx of immigrants, people of color more specifically, will lead to the extinction of the white race. The "great replacement" theory is sometimes seen in other ways such as claims of voter replacement and immigrants invading America, the National Immigration Forum said. The first claim assumes that immigrants and nonwhite people will vote a certain way, ultimately drowning out the votes of white Americans The "great replacement" theory has roots in French nationalism books dating back to the early 1900s, according to the Anti-Defamation League (ADL). However, the theory's more contemporary use is attributed to Renaud Camus, a French writer who wrote: "Le Grand Remplacement" (which translates to "The Great Replacement") in 2011. The white supremacist conspiracy falsely asserts that white people are being replaced and losing their standing in society as a result of a plot to increase non-white immigration, as well as other factors, including birth rates among non-white people. Don't forget to give us a 5 Star Rating Listen to it on any podcast platforms Spotify https://open.spotify.com/show/2P5qwOx7iQkIRsZvs3tab0 Anchor https://anchor.fm/creative-habits and more Follow us on Instagram @CreativeHabitsPodcast Twitter https://twitter.com/HabitsCreative --- This episode is sponsored by · Anchor: The easiest way to make a podcast. https://anchor.fm/app --- Send in a voice message: https://anchor.fm/creative-habits/message Support this podcast: https://anchor.fm/creative-habits/support
This week we learn about some intense hate from a man who claims to be the victim in all this. Renaud Camus is a man from France who has a theory that all the white people in the world are facing an apocalypse level extinction event. Ya let that one settle in. Read all about it in his book: Le Grand Remplacement. Actually don't read it just listen to us on this one. Thanks for listening and remember to like, rate, review, and email us at: cultscrytpidsconspiracies@gmail.com or tweet us at @C3Podcast. Also check out our Patreon: www.patreon.com/cultscryptidsconspiracies. Thank you to T.J. Shirley for our theme.
Samedi 14 mai, une fusillade a eu lieu dans le supermarché d'un quartier africain-américain de Buffalo, dans l'État de New York. Ces fusillades sont monnaie courante, hélas, dans un pays où les armes à feu sont très faciles d'accès. Mais cette fois-ci, elle est motivée par le racisme, le tueur ayant fait dix victimes et trois blessés parmi la communauté noire. Arrêté, l'auteur de cette tuerie se nomme Payton Gendron, 18 ans. Il se présente comme raciste, fasciste, antisémite et se réclame de la théorie du «grand remplacement» de Renaud Camus. Ce nouveau drame pose beaucoup de questions cette semaine dans New Deal: celle de la violence et de la criminalité aux États-Unis, celle des limites à apporter à la liberté d'expression (notamment en ligne) et au droit de port d'arme; mais aussi et surtout, celle des violences racistes dans le pays, autour de ce qu'on appelle le «suprémacisme blanc». Tous les mercredis, New Deal décortique l'actualité politique américaine. New Deal est un podcast de Laurence Nardon produit et réalisé par Slate.fr en partenariat avec la newsletter «Time to Sign Off» (TTSO) et l'Institut français des relations internationales (IFRI) sous la direction de Christophe Carron et Benjamin Saeptem Hours. Prise de son: Aurélie Rodrigues Montage et réalisation: Mona Delahais Musique: «Cutting It Close», DJ Freedem Référence: «Port d'armes, un sujet de campagne sous surveillance de la NRA», New Deal, épisode 6 Suivez-nous sur Instagram et Facebook. Pour échanger et découvrir de nouveaux podcasts, rejoignez aussi le Slate Podcast Club sur Facebook.
durée : 00:02:23 - L'Humeur du matin par Guillaume Erner - par : Guillaume Erner - C'est quelque chose qui devrait être martelé : le “grand remplacement” expression forgée par l'écrivain Renaud Camus n'a absolument rien à voir avec une théorie scientifique. Dénier à ce terme toute prétention à la scientificité est une manière de lutter contre la diffusion de ces mots.
La escritora y filósofa española publica la novela ‘Madrid será la tumba' en la editorial española Lengua de Trapo. Esta joven de 21 años ya lleva cuatro libros publicados. Fue, a pesar de ella, portavoz del colectivo trans. Con decenas de miles de seguidores en las redes, es una voz que cuenta cada vez más en el análisis de la política española actual. La escritora y filósofa ha sido muy madura y precoz en todo. Siendo adolescente les dijo a sus padres que, aunque tuviera un cuerpo de chico, era una chica. Adquirió mucha notoriedad en España y se convirtió sin haberlo buscado en la cara visible de la comunidad trans. “A mí me interesan muy poco las etiquetas, me interesa más definirme por lo que hago y lo que hago es escribir, con lo cual de todas las categorías me quedaría con la de escritora”, afirma Duval. Ya en su libro ‘Después de lo trans: sexo y género entre la izquierda y lo identitario' (Broché 2021) mostraba su hartazgo con el hecho de que la encasillen en una identidad. Algo muy de nuestra época. “Parece que no somos capaces de ver al otro más allá de su diferencia. Más allá de aquello que hace que para nosotros sea diferente. Vemos a una persona trans o a una persona LGTB en general y no somos capaces de ver que es algo. Antes de publicar ‘Después de lo trans' yo escribí otros dos libros, ‘Reina' y ‘Excepción' que no tienen que ver con la temática trans y, sin embargo, en entrevistas, simplemente porque la temática trans suscita cierto interés mediático, me preguntaban mucho sobre el tema trans”, explica la escritora que publicó ‘Después de lo trans' como una manera de zanjar el asunto y de “jubilarse” de esa portavocía que nunca había buscado. Su último libro es una novela. ‘Madrid será la tumba' es la historia de amor y deseo entre dos chicos en el Madrid reciente. Uno pertenece a un grupo fascista y el otro a un grupo de extrema izquierda. En el relato, vemos las contradicciones a las que se enfrentan Santiago y Ramiro, los dos protagonistas, y la imposibilidad de poder tener un debate sosegado en un mundo cada vez más polarizado. La novela tiene muchos elementos franceses puesto que Duval reside en la actualidad “por azares vitales” en París. Habla de Dominique Venner o de Renaud Camus, figuras de la extrema derecha que defienden una teoría del complot por la cual se estaría urdiendo en Francia un plan para sustituir a la población blanca por magrebíes y africanos. Una teoría que retomó uno de los candidatos que se presentó a las elecciones presidenciales francesas, el ultraderechista Eric Zemmour. En el libro, Elizabeth Duval, pone de relieve cómo el discurso ultraderechista seduce tanto a obreros como a jóvenes. “La extrema derecha está convirtiendo el debate y el terreno del debate en algo muy tóxico, mucho más que antes. Igual que sucede cuando por ejemplo se está alimentando de forma muy ferviente un discurso anti vacunas, complotista que va muy ligado a la extrema derecha", analiza la autora de ‘Madrid será la tumba'. #EscalaenParís también está en Facebook. Un programa coordinado por Florencia Valdés; realizado por Souheil Khedir, Fabien Mugneret y Vanessa Loiseau.
La escritora y filósofa española publica la novela ‘Madrid será la tumba' en la editorial española Lengua de Trapo. Esta joven de 21 años ya lleva cuatro libros publicados. Fue, a pesar de ella, portavoz del colectivo trans. Con decenas de miles de seguidores en las redes, es una voz que cuenta cada vez más en el análisis de la política española actual. La escritora y filósofa ha sido muy madura y precoz en todo. Siendo adolescente les dijo a sus padres que, aunque tuviera un cuerpo de chico, era una chica. Adquirió mucha notoriedad en España y se convirtió sin haberlo buscado en la cara visible de la comunidad trans. “A mí me interesan muy poco las etiquetas, me interesa más definirme por lo que hago y lo que hago es escribir, con lo cual de todas las categorías me quedaría con la de escritora”, afirma Duval. Ya en su libro ‘Después de lo trans: sexo y género entre la izquierda y lo identitario' (Broché 2021) mostraba su hartazgo con el hecho de que la encasillen en una identidad. Algo muy de nuestra época. “Parece que no somos capaces de ver al otro más allá de su diferencia. Más allá de aquello que hace que para nosotros sea diferente. Vemos a una persona trans o a una persona LGTB en general y no somos capaces de ver que es algo. Antes de publicar ‘Después de lo trans' yo escribí otros dos libros, ‘Reina' y ‘Excepción' que no tienen que ver con la temática trans y, sin embargo, en entrevistas, simplemente porque la temática trans suscita cierto interés mediático, me preguntaban mucho sobre el tema trans”, explica la escritora que publicó ‘Después de lo trans' como una manera de zanjar el asunto y de “jubilarse” de esa portavocía que nunca había buscado. Su último libro es una novela. ‘Madrid será la tumba' es la historia de amor y deseo entre dos chicos en el Madrid reciente. Uno pertenece a un grupo fascista y el otro a un grupo de extrema izquierda. En el relato, vemos las contradicciones a las que se enfrentan Santiago y Ramiro, los dos protagonistas, y la imposibilidad de poder tener un debate sosegado en un mundo cada vez más polarizado. La novela tiene muchos elementos franceses puesto que Duval reside en la actualidad “por azares vitales” en París. Habla de Dominique Venner o de Renaud Camus, figuras de la extrema derecha que defienden una teoría del complot por la cual se estaría urdiendo en Francia un plan para sustituir a la población blanca por magrebíes y africanos. Una teoría que retomó uno de los candidatos que se presentó a las elecciones presidenciales francesas, el ultraderechista Eric Zemmour. En el libro, Elizabeth Duval, pone de relieve cómo el discurso ultraderechista seduce tanto a obreros como a jóvenes. “La extrema derecha está convirtiendo el debate y el terreno del debate en algo muy tóxico, mucho más que antes. Igual que sucede cuando por ejemplo se está alimentando de forma muy ferviente un discurso anti vacunas, complotista que va muy ligado a la extrema derecha", analiza la autora de ‘Madrid será la tumba'. #EscalaenParís también está en Facebook. Un programa coordinado por Florencia Valdés; realizado por Souheil Khedir, Fabien Mugneret y Vanessa Loiseau.
Les écrivains ne sont ni des philosophes, ni des intellectuels. Ils sont les tenants d'un mode d'exploration et de représentation du réel qui fut longtemps le mode français par excellence. Intervention de Renaud Camus, écrivain, peintre et photographe, au IXème colloque de l'Institut Iliade, samedi 2 avril 2022. Le texte de cette intervention est à retrouver ici : https://institut-iliade.com/le-profond-murmure/Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Unser Frankreich-Reporter Yann hat den französischen Publizisten und Vordenker Renaud Camus getroffen und mit ihm über Zemmour, Le Pen und dem Grand Remplacement gesprochen. konflikt + abonnieren: https://konfliktmag.de/mitgliedschaften/konflikt-plus/ konflikt unterstützen: https://konfliktmag.de/unterstuetzen/ Postliberal kaufen: https://antaios.de/gesamtverzeichnis-antaios/reihe-kaplaken/124066/postliberal +++++++++++++ konflikt Magazin Telegram: t.me/konfliktmagazin +++++++++++++ Website: konfliktmag.de E-Mail: redaktion@konfliktmag.de +++++++++++++ Twitter: twitter.com/konfliktmag Facebook: www.facebook.com/konfliktmag +++++++++++++ DLive: dlive.tv/konfliktmag Podcast: konfliktmagazin.podbean.com +++++++++++++ Bild: Renaud Camus - https://www.flickr.com/photos/renaud-camus/46611733974/in/album-72157690105118203/ - CC BY 2.0
D'où vient la théorie complotiste et raciste du « grand remplacement » ? Si l'expression a été introduite en 2010 par l'écrivain d'extrême droite Renaud Camus, l'idée de la submersion d'une civilisation décadente par des barbares remonte jusqu'à l'Antiquité et a traversé les époques. Dans ce podcast, Marc-Olivier Bherer, journaliste au service Idées du « Monde », nous explique les origines de cette idée et détaille les intellectuels d'extrême droite qui lui ont donné de l'écho.Un épisode produit par Madjid Bennaceur, réalisé par Florentin Baume et Quentin Tenaud, et présenté par Jean-Guillaume Santi.
RFI viajó al sureste de Francia, bastión histórico de la ultraderecha. Ciudadanos precarios que no llegan a fin de mes, jubilados que temen el “gran reemplazo” de la cultura francesa por el Islam, identitarios y nostálgicos del colonialismo componen este electorado que optará por Marine Le Pen o Eric Zemmour. Por Raphaël Morán, enviado especial al sureste de Francia. A pocos días la primera vuelta de la elección presidencia francesa, los sondeos indican que el presidente Emmanuel Macron, candidato a su reelección, podría enfrentar en segunda vuelta a la ultraderechista Marine Le Pen. La líder el partido Reagrupación nacional ('Rassemblement nacional', ex Frente Nacional) se vio retada sin embargo por Eric Zemmour, quién también culpa a los migrantes y la religión musulmana de todos los males. Versión audio del reportaje 'Viaje al bastión de la ultra derecha francesa'. A primera vista, la distancia política que separa a Le Pen y Zemmour parece muy reducida. Cuando una declara que una “ola continua de inmigración descontrolada transforma nuestras calles, nuestros barrios y nuestras ciudades en zonas de 'no Francia'”, el otro se presenta como “el único candidato que se preocupa a la vez por cómo llegar a fin de mes, y por la desaparición de Francia.” Ha sido la sorpresa de la campaña presidencial 2022 en Francia: la irrupción de un segundo candidato de extrema derecha con una retórica antiinmigrante muy similar a la de Marine Le Pen, figura de la ultraderecha que se presenta por tercera vez. Pero ¿qué es lo que diferencia Eric Zemmour, este periodista y comentarista de televisión, de Marine Le Pen? Nuestro recorrido se inicia en Fréjus (sureste francés) en un domingo soleado en la costa mediterránea. Este municipio de 50.000 habitantes es gobernado por el partido de Marine Le Pen, Reagrupación Nacional, el ex Frente Nacional, fundado por Jean-Marie Le Pen junto con nostálgicos del colonialismo. Con los años, esta formación política ha logrado convertirse en un partido de gran envergadura con cientos de responsables electos en municipios y regiones. Mientras que su líder, Marine Le Pen, podría acceder nuevamente a la segunda vuelta de las elecciones con un sólido caudal de alrededor del 20% de los votantes. Poder adquisitivo e inmigración, pilares de la campaña de Le Pen En el mercado de Fréjus, Frédéric y Nathalie conversan con activistas de la campaña de Le Pen. Ambos son electores de vieja data del partido de Le Pen. "Ella quiere acabar con este sistema que nos devora a todos. La crisis permitió a los ricos enriquecerse en detrimento de los pobres. Marine Le Pen propone una política social, pero justa. Dice por ejemplo que una persona que ganó el sueldo mínimo toda su vida se jubila con apenas 900 euros mientras que cualquier migrantes puede pretender a 1000 euros, una vivienda, no es justo”, dice Nathalie, para justificar su voto. “Para nosotros es importante bloquear la inmigración. Hay que pensar primero en los franceses pobres en lugar de recibir a extranjeros que se aprovechan del sistema. Estamos hartos”, insiste su compañero. Nathalie asegura que no tiene nada contra los extranjeros. “Siempre he convivido con ellos y todo ha pasado bien. Los que se integran, no causan ningún problema. Pero los que se aprovechan del sistema y nos escupen en la cara, esos, no los queremos aquí”, dice, subiendo el tono. A la cabeza de una docena de activistas locales del partido de ultraderecha, Christophe Chiocca, concejal de Fréjus, insiste en las dos temáticas de campaña que permitieron a Marine Le Pen imponerse como la principal figura opositora a Macron. “El punto esencial de la campaña de Marine Le Pen es el de poder adquisitivo. O cómo llenar la canasta en el supermercado a fin de mes. Las personas que vemos son muy receptivas a estas temáticas programáticas. Marine propone reducir el impuesto a los combustibles y a los productos de primera necesidad. Y luego también habrá una consulta popular sobre la inmigración cuando llegue al poder, que permitirá ahorrar dinero en el presupuesto nacional", detalla el concejal, entrevistado por RFI. Junto a Christophe Chiocca, varios activistas del partido reparten propaganda de Marine Le Pen. En Fréjus, su partido ha logrado agrupar a varias generaciones desde veinteañeros modestos como Jimmy Jeanpierre hasta jubilados como Michèle, una jubilada que nació en Argelia cuando esta tierra aún era una colonia francesa. "Yo soy mediterránea, nací en Argelia. Y como repatriada de Argelia, no puedo votar por Macron, él dijo que la colonización fue un crimen contra la humanidad. Cuando lo escucho decir esto, me dan ganas de agarrarlo y arrojarlo al mar”, dice con voz furiosa. “La colonización brindó muchas cosas en Argelia y en África. Tengo Argelia en el corazón”, enfatiza Michèle, una de estos tantos “pieds-noirs” que se establecieron en la Costa Azul tras la independencia de Argelia. “Les hemos dejado un país lindo. Y ahora los atentados yihadistas en Francia se parecen a los métodos de los rebeldes argelinos independentistas que degollaban a la gente”, afirma. “De los temas del programa de Marine le Pen que me interesan está la lucha contra la inmigración, devolver a los franceses su dinero, y aumentar el poder adquisitivo que perdimos con Macron”, explica a RFI. Por su parte, Jimmy, empleado municipal y concejal del municipio vecino de Saint-Raphaël, estima que el partido de Marine Le Pen ya se deshizo de sus elementos más extremistas. “Yo no conocí a Jean-Marie Le Pen. Marine Le Pen es muy distinta. ¡La gente me dice ‘es una Le Pen!', pero les digo que tampoco tiene que negar su apellido. Marine está muy centrada en la política social, entonces todos los extremistas se fueron del partido. Hubo una limpieza. Nos dicen que el partido de Le Pen es homofóbico. Es falso. Yo soy gay y hasta me han dado responsabilidades. Soy concejal. Y los partidos rivales nos nos tildaron de ‘sin cojones'”. Jimmy afirma que el partido de Le Pen ya se ha normalizado. ¿Pero qué tan real es esta afirmación? “Hay una estrategia de moderación del Rassemblement Nacional durante la gestión de Marine Le Pen. Que también igualmente se puede ver durante la dirección de su padre (Jean-Marie Le Pen). Hay que recordar que este partido representa la vocación de la extrema derecha por llegar al poder y alejarse de la extrema derecha marginal neofascista, colaboracionista de los años 70”, observa el politólogo Arsenio Cuenca, doctorando en el instituto EPHE en París e investigador en temas de ultra derecha. Regionalistas, monárquicos, supremacistas y ultra católicos Sin embargo, la candidata “no se ha desprendido del todo del prisma xenófobo cuando habla de inmigración, de seguridad o de identidad. Lo que pasa es que las otras fuerzas que han intentado buscar también apelar al votante del Front National, han recurrido a este discurso. Entonces estas ideas, al final empiezan a impregnarse en la sociedad. Eso ha provocado que el partido se asiente”, agrega Cuenca. Por su lado, Eric Zemmour quien también surgió con una retórica antimigrantes, conservadora y antiislam muy similar a laMarine Le Pen, ha logrado captar a un electorado más ideológico. Según constata el politólogo Arsenio Cuenca, “cuando Marine Le Pen purga a todos estos cuadros extremistas y abandona relativamente las partes más radicales de su discurso, empieza a haber una desafección que acaba atrayendo a toda clase de extremistas de la derecha. Por eso vemos a gente como los monárquicos de la Acción francesa, ex miembros de Generación Identitaria o ultra católicos (unirse a Zemmour)”. En resumen, “Zemmour representa una derecha desacomplejada, identitaria, aristócrata, ultraliberal en lo económico y ultraconservadora en lo social”. Propulsado por su presencia cotidiana en el canal de televisión privado Cnews y conocido por sus arengas contra los extranjeros, Zemmour fue condenado varias veces por la justicia por “provocación al odio racial”. El polemista se lanzó a la carrera presidencial proponiendo entre sus 400 medidas, privar a los extranjeros de ayudas sociales. Afirma de forma recurrente que la cultura francesa está amenazada por el islam. Su partido fue bautizado ‘Reconquête', en alusión a la Reconquista española contra los musulmanes. En el sureste francés, Patrick Isnard es una de las figuras de este nuevo partido. En su amplia propiedad en las colinas de Grasse donde nació la industria del perfume en el siglo XVIII, el hombre nos explica que es uno de los pocos en mantener el cultivo de flores para la producción de aromas, una actividad que iniciaron sus antepasados hace tres siglos. Dice que su pasión por la cultura local lo ha llevado a adherir al partido de Marine le Pen antes de abandonarlo el año pasado para respaldar a Eric Zemmour. Ahora es coordinador del partido Reconquête, en el sureste francés. “En esta región tenemos más de 4.000 miembros por departamento. Yo me salí del partido de Marine Le Pen porque ya no aceptan a los identitarios. Y yo soy un identitario provenzal. Estoy loco por mis raíces, mi cultura y mi patrimonio. Un día miraba al canal Cnews y escuché a Eric Zemmour diciendo Francia es un agregado de pequeñas patrias que se reconciliaron para crear una sola. Era el discurso que esperaba", nos dice, sentado en la amplia sala de su mansión provenzal. ¿Considera Usted, tal y como lo afirma Eric Zemmour, que la cultura francesa está amenazada?, se le pregunta. “No es una opinión, es una realidad”, responde. “Si usted viaja a muchas regiones, y yo conozco el país de memoria, hace 20 años había algunos sectores aislados donde se instalaba una cultura africana e islámica. Y ahora tengo amigos en Nantes, Toulouse, Rennes, y ahora mi dicen que no reconocen su ciudad. Se ha instalado otra identidad”, dice a RFI. A unos 20 kilómetros de Grasse, en la costa, activistas de Reconquête mantienen una presencia diaria en la calle peatonal de Cannes, la próspera ciudad costera donde se celebra cada año el festival internacional de cine. Catherine, que también ha abandonado el partido de Marine Le Pen, reparte ahora ejemplares del programa de Eric Zemmour que mezcla propuestas de mano dura contra la inmigración, la inseguridad y reformas económicas de inspiración neoliberal. “El partido Reagrupación Nacional de Marine Le Pen ya es demasiado de izquierda. El partido de Marine Le Pen buscó muchos votos en el norte de Francia. Hay mucha gente pobre allá que vive de subsidios. Aquí, en el sur (de Francia) no es el caso, todo el mundo tiene trabajo”, dice a RFI. Mientras hablamos con Catherine, un hombre mayor se acerca. Se presenta como militar retirado y ex paracaidista. Entre recuerdos de la guerra y quejas sobre la clase política actual, nos explica por qué se dejó convencer por Eric Zemmour: “Por la inseguridad. Ya no podemos caminar tranquilamente de noche en la ciudad sin que nos acuchillen. Y no, no exagero. ¿Sabe que hay entre 3 y 600 agresiones con cuchillos al día? Mire, la información está por todas partes, voy a abrir por ejemplo esta página, Fdesouche”. Y aunque la cifra real, según estadísticas del ministerio del Interior francés es de 23 robos con armas al día, el hombre saca su celular y nos enseña una cuenta de Telegram de un blog de ultraderecha francesa que compila cada día listas de agresiones protagonizadas extranjeros. “Miren, en la ciudad de Le Mans, un hombre asaltado en su departamento, atado por un migrante marfileño reincidente. ¡Entre 300 y 600 agresiones al día! Hay que echarlos para fuera. Es importante la re-inmigración. Toda esta gente que extiende la mano y nos piden dinero, lo que buscan es robarnos, hay que ponerlos en barco y zaz, a su país. No es un método duro, es un método normal”, concluye. El pequeño grupo de partidarios de Eric Zemmour que reparte hoy ejemplares de su programa en las calles de Cannes se compone principalmente de jubiladas. Laurence Montoya, ex empleada de banco, se mudó hace poco a la Costa Azul para disfrutar del clima soleado. Y dedica parte de su tiempo a la campaña de Eric Zemmour: “Tengo 60 años y si abro los ojos, veo que en las ciudades muchas mujeres llevan el velo islámico, lo que no era el caso hace 40 años. Y me molesta estar en minoría en un mercado como aquí en Cannes. No tengo nada en contra de ellas, pero quiero una sociedad mixta y en ciertos lugares somos minoritarios. Es raro ya no sentirse en su país”, dice. Kebabs y mezquitas Y ésta es la paradoja francesa: tanto Eric Zemmour, hijo de migrantes argelinos judíos, como Laurence Montoya, hija de españoles, o de numerosos cuadros del partido de Marine le Pen, tienen orígenes extranjeros. Hijos y nietos de extranjeros que creen ahora en la teoría complotista de un supuesto ‘gran reemplazo' de la población francesa por los musulmanes. “Este miedo a la inmigración, a la disolución de la identidad cultural, este tipo de teorías reemplacistas ha conocido una nueva edición de la mano del escritor Renaud Camus en 2011”, apunta Arsenio Cuenca. “Camus adaptó esta teoría al gran público. En su obra afirma que ‘solo hay que abrir los ojos para ver este gran reemplazo'. Él te dice ‘mira en tu alrededor y veras un kebab, una mezquita, gente que no es blanca cuando antes no era así'. Pasa por encima de las cifras, de los índices demográficos y lo adapta a la experiencia de la persona”. Y partiendo de esta teoría, Zemmour propone crear un ministerio de la “reinmigración”, para deportar a 1 millón de extranjeros. “Es un calco de una medida que entendemos por una deportación, o incluso podría entrar en los cánones de lo que entendemos por limpieza étnica”, advierte el politólogo Arsenio Cuenca. Con su programa ultraconservador, xenófobo y nostálgico, Zemmour se colocó en cuarto lugar de los sondeos y podría reunir cerca del 10% de los votos en esta elección presidencial. Pero más allá de su resultado, su candidatura significa una profunda recomposición del paisaje político francés. >Un audioreportaje de Raphael Morán. Realización técnica: Pierre Zanutto.
RFI viajó al sureste de Francia, bastión histórico de la ultraderecha. Ciudadanos precarios que no llegan a fin de mes, jubilados que temen el “gran reemplazo” de la cultura francesa por el Islam, identitarios y nostálgicos del colonialismo componen este electorado que optará por Marine Le Pen o Eric Zemmour. Por Raphaël Morán, enviado especial al sureste de Francia. A pocos días la primera vuelta de la elección presidencia francesa, los sondeos indican que el presidente Emmanuel Macron, candidato a su reelección, podría enfrentar en segunda vuelta a la ultraderechista Marine Le Pen. La líder el partido Reagrupación nacional ('Rassemblement nacional', ex Frente Nacional) se vio retada sin embargo por Eric Zemmour, quién también culpa a los migrantes y la religión musulmana de todos los males. Versión audio del reportaje 'Viaje al bastión de la ultra derecha francesa' A primera vista, la distancia política que separa a Le Pen y Zemmour parece muy reducida. Cuando una declara que una “ola continua de inmigración descontrolada transforma nuestras calles, nuestros barrios y nuestras ciudades en zonas de 'no Francia'”, el otro se presenta como “el único candidato que se preocupa a la vez por cómo llegar a fin de mes, y por la desaparición de Francia.” Ha sido la sorpresa de la campaña presidencial 2022 en Francia: la irrupción de un segundo candidato de extrema derecha con una retórica antiinmigrante muy similar a la de Marine Le Pen, figura de la ultraderecha que se presenta por tercera vez. Pero ¿qué es lo que diferencia Eric Zemmour, este periodista y comentarista de televisión, de Marine Le Pen? Nuestro recorrido se inicia en Fréjus (sureste francés) en un domingo soleado en la costa mediterránea. Este municipio de 50.000 habitantes es gobernado por el partido de Marine Le Pen, Reagrupación Nacional, el ex Frente Nacional, fundado por Jean-Marie Le Pen junto con nostálgicos del colonialismo. Con los años, esta formación política ha logrado convertirse en un partido de gran envergadura con cientos de responsables electos en municipios y regiones. Mientras que su líder, Marine Le Pen, podría acceder nuevamente a la segunda vuelta de las elecciones con un sólido caudal de alrededor del 20% de los votantes. Poder adquisitivo e inmigración, pilares de la campaña de Le Pen En el mercado de Fréjus, Frédéric y Nathalie conversan con activistas de la campaña de Le Pen. Ambos son electores de vieja data del partido de Le Pen. "Ella quiere acabar con este sistema que nos devora a todos. La crisis permitió a los ricos enriquecerse en detrimento de los pobres. Marine Le Pen propone una política social, pero justa. Dice por ejemplo que una persona que ganó el sueldo mínimo toda su vida se jubila con apenas 900 euros mientras que cualquier migrantes puede pretender a 1000 euros, una vivienda, no es justo”, dice Nathalie, para justificar su voto. “Para nosotros es importante bloquear la inmigración. Hay que pensar primero en los franceses pobres en lugar de recibir a extranjeros que se aprovechan del sistema. Estamos hartos”, insiste su compañero. Nathalie asegura que no tiene nada contra los extranjeros. “Siempre he convivido con ellos y todo ha pasado bien. Los que se integran, no causan ningún problema. Pero los que se aprovechan del sistema y nos escupen en la cara, esos, no los queremos aquí”, dice, subiendo el tono. A la cabeza de una docena de activistas locales del partido de ultraderecha, Christophe Chiocca, concejal de Fréjus, insiste en las dos temáticas de campaña que permitieron a Marine Le Pen imponerse como la principal figura opositora a Macron. “El punto esencial de la campaña de Marine Le Pen es el de poder adquisitivo. O cómo llenar la canasta en el supermercado a fin de mes. Las personas que vemos son muy receptivas a estas temáticas programáticas. Marine propone reducir el impuesto a los combustibles y a los productos de primera necesidad. Y luego también habrá una consulta popular sobre la inmigración cuando llegue al poder, que permitirá ahorrar dinero en el presupuesto nacional", detalla el concejal, entrevistado por RFI. Junto a Christophe Chiocca, varios activistas del partido reparten propaganda de Marine Le Pen. En Fréjus, su partido ha logrado agrupar a varias generaciones desde veinteañeros modestos como Jimmy Jeanpierre hasta jubilados como Michèle, una jubilada que nació en Argelia cuando esta tierra aún era una colonia francesa. "Yo soy mediterránea, nací en Argelia. Y como repatriada de Argelia, no puedo votar por Macron, él dijo que la colonización fue un crimen contra la humanidad. Cuando lo escucho decir esto, me dan ganas de agarrarlo y arrojarlo al mar”, dice con voz furiosa. “La colonización brindó muchas cosas en Argelia y en África. Tengo Argelia en el corazón”, enfatiza Michèle, una de estos tantos “pieds-noirs” que se establecieron en la Costa Azul tras la independencia de Argelia. “Les hemos dejado un país lindo. Y ahora los atentados yihadistas en Francia se parecen a los métodos de los rebeldes argelinos independentistas que degollaban a la gente”, afirma. “De los temas del programa de Marine le Pen que me interesan está la lucha contra la inmigración, devolver a los franceses su dinero, y aumentar el poder adquisitivo que perdimos con Macron”, explica a RFI. Por su parte, Jimmy, empleado municipal y concejal del municipio vecino de Saint-Raphaël, estima que el partido de Marine Le Pen ya se deshizo de sus elementos más extremistas. “Yo no conocí a Jean-Marie Le Pen. Marine Le Pen es muy distinta. ¡La gente me dice ‘es una Le Pen!', pero les digo que tampoco tiene que negar su apellido. Marine está muy centrada en la política social, entonces todos los extremistas se fueron del partido. Hubo una limpieza. Nos dicen que el partido de Le Pen es homofóbico. Es falso. Yo soy gay y hasta me han dado responsabilidades. Soy concejal. Y los partidos rivales nos nos tildaron de ‘sin cojones'”. Jimmy afirma que el partido de Le Pen ya se ha normalizado. ¿Pero qué tan real es esta afirmación? “Hay una estrategia de moderación del Rassemblement Nacional durante la gestión de Marine Le Pen. Que también igualmente se puede ver durante la dirección de su padre (Jean-Marie Le Pen). Hay que recordar que este partido representa la vocación de la extrema derecha por llegar al poder y alejarse de la extrema derecha marginal neofascista, colaboracionista de los años 70”, observa el politólogo Arsenio Cuenca, doctorando en el instituto EPHE en París e investigador en temas de ultra derecha. Regionalistas, monárquicos, supremacistas y ultra católicos Sin embargo, la candidata “no se ha desprendido del todo del prisma xenófobo cuando habla de inmigración, de seguridad o de identidad. Lo que pasa es que las otras fuerzas que han intentado buscar también apelar al votante del Front National, han recurrido a este discurso. Entonces estas ideas, al final empiezan a impregnarse en la sociedad. Eso ha provocado que el partido se asiente”, agrega Cuenca. Por su lado, Eric Zemmour quien también surgió con una retórica antimigrantes, conservadora y antiislam muy similar a laMarine Le Pen, ha logrado captar a un electorado más ideológico. Según constata el politólogo Arsenio Cuenca, “cuando Marine Le Pen purga a todos estos cuadros extremistas y abandona relativamente las partes más radicales de su discurso, empieza a haber una desafección que acaba atrayendo a toda clase de extremistas de la derecha. Por eso vemos a gente como los monárquicos de la Acción francesa, ex miembros de Generación Identitaria o ultra católicos (unirse a Zemmour)”. En resumen, “Zemmour representa una derecha desacomplejada, identitaria, aristócrata, ultraliberal en lo económico y ultraconservadora en lo social”. Propulsado por su presencia cotidiana en el canal de televisión privado Cnews y conocido por sus arengas contra los extranjeros, Zemmour fue condenado varias veces por la justicia por “provocación al odio racial”. El polemista se lanzó a la carrera presidencial proponiendo entre sus 400 medidas, privar a los extranjeros de ayudas sociales. Afirma de forma recurrente que la cultura francesa está amenazada por el islam. Su partido fue bautizado ‘Reconquête', en alusión a la Reconquista española contra los musulmanes. En el sureste francés, Patrick Isnard es una de las figuras de este nuevo partido. En su amplia propiedad en las colinas de Grasse donde nació la industria del perfume en el siglo XVIII, el hombre nos explica que es uno de los pocos en mantener el cultivo de flores para la producción de aromas, una actividad que iniciaron sus antepasados hace tres siglos. Dice que su pasión por la cultura local lo ha llevado a adherir al partido de Marine le Pen antes de abandonarlo el año pasado para respaldar a Eric Zemmour. Ahora es coordinador del partido Reconquête, en el sureste francés. “En esta región tenemos más de 4.000 miembros por departamento. Yo me salí del partido de Marine Le Pen porque ya no aceptan a los identitarios. Y yo soy un identitario provenzal. Estoy loco por mis raíces, mi cultura y mi patrimonio. Un día miraba al canal Cnews y escuché a Eric Zemmour diciendo Francia es un agregado de pequeñas patrias que se reconciliaron para crear una sola. Era el discurso que esperaba", nos dice, sentado en la amplia sala de su mansión provenzal. ¿Considera Usted, tal y como lo afirma Eric Zemmour, que la cultura francesa está amenazada?, se le pregunta. “No es una opinión, es una realidad”, responde. “Si usted viaja a muchas regiones, y yo conozco el país de memoria, hace 20 años había algunos sectores aislados donde se instalaba una cultura africana e islámica. Y ahora tengo amigos en Nantes, Toulouse, Rennes, y ahora mi dicen que no reconocen su ciudad. Se ha instalado otra identidad”, dice a RFI. A unos 20 kilómetros de Grasse, en la costa, activistas de Reconquête mantienen una presencia diaria en la calle peatonal de Cannes, la próspera ciudad costera donde se celebra cada año el festival internacional de cine. Catherine, que también ha abandonado el partido de Marine Le Pen, reparte ahora ejemplares del programa de Eric Zemmour que mezcla propuestas de mano dura contra la inmigración, la inseguridad y reformas económicas de inspiración neoliberal. “El partido Reagrupación Nacional de Marine Le Pen ya es demasiado de izquierda. El partido de Marine Le Pen buscó muchos votos en el norte de Francia. Hay mucha gente pobre allá que vive de subsidios. Aquí, en el sur (de Francia) no es el caso, todo el mundo tiene trabajo”, dice a RFI. Mientras hablamos con Catherine, un hombre mayor se acerca. Se presenta como militar retirado y ex paracaidista. Entre recuerdos de la guerra y quejas sobre la clase política actual, nos explica por qué se dejó convencer por Eric Zemmour: “Por la inseguridad. Ya no podemos caminar tranquilamente de noche en la ciudad sin que nos acuchillen. Y no, no exagero. ¿Sabe que hay entre 3 y 600 agresiones con cuchillos al día? Mire, la información está por todas partes, voy a abrir por ejemplo esta página, Fdesouche”. Y aunque la cifra real, según estadísticas del ministerio del Interior francés es de 23 robos con armas al día, el hombre saca su celular y nos enseña una cuenta de Telegram de un blog de ultraderecha francesa que compila cada día listas de agresiones protagonizadas extranjeros. “Miren, en la ciudad de Le Mans, un hombre asaltado en su departamento, atado por un migrante marfileño reincidente. ¡Entre 300 y 600 agresiones al día! Hay que echarlos para fuera. Es importante la re-inmigración. Toda esta gente que extiende la mano y nos piden dinero, lo que buscan es robarnos, hay que ponerlos en barco y zaz, a su país. No es un método duro, es un método normal”, concluye. El pequeño grupo de partidarios de Eric Zemmour que reparte hoy ejemplares de su programa en las calles de Cannes se compone principalmente de jubiladas. Laurence Montoya, ex empleada de banco, se mudó hace poco a la Costa Azul para disfrutar del clima soleado. Y dedica parte de su tiempo a la campaña de Eric Zemmour: “Tengo 60 años y si abro los ojos, veo que en las ciudades muchas mujeres llevan el velo islámico, lo que no era el caso hace 40 años. Y me molesta estar en minoría en un mercado como aquí en Cannes. No tengo nada en contra de ellas, pero quiero una sociedad mixta y en ciertos lugares somos minoritarios. Es raro ya no sentirse en su país”, dice. Kebabs y mezquitas Y ésta es la paradoja francesa: tanto Eric Zemmour, hijo de migrantes argelinos judíos, como Laurence Montoya, hija de españoles, o de numerosos cuadros del partido de Marine le Pen, tienen orígenes extranjeros. Hijos y nietos de extranjeros que creen ahora en la teoría complotista de un supuesto ‘gran reemplazo' de la población francesa por los musulmanes. “Este miedo a la inmigración, a la disolución de la identidad cultural, este tipo de teorías reemplacistas ha conocido una nueva edición de la mano del escritor Renaud Camus en 2011”, apunta Arsenio Cuenca. “Camus adaptó esta teoría al gran público. En su obra afirma que ‘solo hay que abrir los ojos para ver este gran reemplazo'. Él te dice ‘mira en tu alrededor y veras un kebab, una mezquita, gente que no es blanca cuando antes no era así'. Pasa por encima de las cifras, de los índices demográficos y lo adapta a la experiencia de la persona”. Y partiendo de esta teoría, Zemmour propone crear un ministerio de la “reinmigración”, para deportar a 1 millón de extranjeros. “Es un calco de una medida que entendemos por una deportación, o incluso podría entrar en los cánones de lo que entendemos por limpieza étnica”, advierte el politólogo Arsenio Cuenca. Con su programa ultraconservador, xenófobo y nostálgico, Zemmour se colocó en cuarto lugar de los sondeos y podría reunir cerca del 10% de los votos en esta elección presidencial. Pero más allá de su resultado, su candidatura significa una profunda recomposición del paisaje político francés. >Un audioreportaje de Raphael Morán. Realización técnica: Pierre Zanutto.
The EBL gang speaks with renowned novelist, Renaud Camus. This one has sound issues over connection, we apologize.
• Face-à-face avec Renaud Camus auteur de “La dépossession : du remplacisme global”
Charles de Gaulle famously asserted that the French presidential election was an “encounter between a man and the people.” This inherently Bonapartist spirit of the Fifth Republic lives on to this day, as illustrated recently by Emmanuel Macron's diplomatic offensive on behalf of the European Union (EU) over Russia's military build-up along Ukraine's border. In the span of just a few days, the swashbuckling French president met with both Vladimir Putin and Volodymyr Zelensky, hoping to simultaneously deescalate the perilous chicken game unfolding on the Ukrainian plains whilst also casting himself as a capable diplomatic entrepreneur ahead of the upcoming presidential race in May. Macron, who is yet to announce his run for a second term, faces a markedly different political landscape than in 2017, with no less than 3 major candidates to his right and an electorate that has shifted rightwards in significantly major ways. The proverbial Overton Window, in other words, has expanded so widely that concepts previously considered too right-wing such as Renaud Camus' Great Replacement theory have even crept into the rhetoric of the center-right candidate Valérie Pécresse. Can a Bonapartist Macron be reelected in a Zemmourist France? Midway through the episode, François refers to an essay he wrote on this very topic for Palladium magazine, which you can read here. As always, rate and review Uncommon Decency on Apple Podcasts, and send us your comments or questions at @UnDecencyPod or undecencypod@gmail.com. Please consider supporting the show through Patreon: https://www.patreon.com/undecencypod.
Pécresse : un meeting et des doutes LES INVITÉ.ES : - Dominique REYNIÉ - Directeur général de Fondapol - Bruno JEUDY - Rédacteur en chef du service politique – « Paris Match » - Raphaëlle BACQUÉ - Grand reporter – « Le Monde » - Bernard SANANÈS - Politologue – Président de l'institut de sondages Elabe C'était une journée importante pour la candidate des Républicains (LR) à l'élection présidentielle. Mise sous pression après une semaine marquée par une série de défections et de critiques dans son propre camp, Valérie Pécresse, dont la candidature marque le pas dans les sondages, souhaitait se relancer avec son premier grand meeting de campagne organisé au Zénith de Paris, ce dimanche 13 février. Alors à moins de deux mois du scrutin, l'heure était hier au rassemblement et tous les ténors de droite avaient fait le déplacement pour l'écouter. Pendant plus d'une heure, dans une salle du Zénith de Paris pleine, la présidente de la Région Île-de-France a abordé tous les aspects de son programme : « nation éducative », défense du nucléaire, hausse de 10 % des salaires... « Je veux la France en ordre car je veux la France de la concorde », a lancé la candidate LR qui a multiplié les formules pour marteler son projet résumé dans l'expression « nouvelle France » et décliné en trois verbes « Protéger, reconstruire, réinventer ». Coincée dans un espace politique étroit, entre le centre droit d'Emmanuel Macron et l'extrême droite d'Éric Zemmour et Marine Le Pen, la candidate LR a également appuyé sur les marqueurs de la droite traditionnelle (le travail, la famille, l'ordre, le libéralisme économique) mais a aussi donné des gages à la frange la plus à droite de son électorat. Et un passage a surtout retenu l'attention : « Dans dix ans, serons-nous encore la septième puissance du monde ? Serons-nous encore une nation souveraine ou un auxiliaire des Etats-Unis, un comptoir de la Chine ? Serons-nous une nation unie ou une nation éclatée ? Face à ces questions vitales, pas de fatalité. Ni au grand remplacement ni au grand déclassement. Je vous appelle au sursaut. » La candidate LR fait ici référence à la théorie xénophobe de l'écrivain d'extrême droite Renaud Camus citée régulièrement par Eric Zemmour. La droite a franchi « un Rubicon de plus » a réagi la candidate socialiste Anne Hidalgo pour qui cette référence est le signe d'une course éperdue derrière l'extrême droite et « un tournant extrêmement grave pour le débat politique ». « Le grand remplacement de la droite par l'extrême droite, voilà ce qui est apparu ce week-end. Trois candidatures pour une même haine », a critiqué également la députée de La France insoumise Clémentine Autain, quand la candidate Christiane Taubira a, elle, jugé que « le bloc d'extrême droite comprend désormais trois candidats. Il est aux portes du pouvoir ». Invitée de RTL ce lundi, Valérie Pécresse a de son côté assuré qu'en reprenant ce terme elle avait voulu dire : « Je ne me résigne pas justement aux théories d'Éric Zemmour et aux théories de l'extrême droite, parce que je sais qu'une autre voie est possible. » Et de rappeler : « C'est une phrase que j'ai prononcée dix fois dans la primaire, et tous les commentateurs qui la reprennent ont des mémoires de bigorneau. » Peu à l'aise à l'oral durant ce discours qui a duré plus d'une heure, la candidate a également reconnu, ce matin qu'elle était « plus à l'aise dans le dialogue direct avec les Français ». Mais celle qui voulait cimenter sa famille politique autour de sa candidature et « fendre l'armure » voit également aujourd'hui sa prestation critiquée dans son camp. Alors que retenir de ce meeting ? Aura-t-il une influence sur les sondages ? Après le ralliement d'Éric Woerth à Emmanuel Macron, puis ceux de la maire de Calais Natacha Bouchart et de l'ancienne secrétaire d'État Nora Berra, la candidate LR pourrait-elle connaître d'autres défections ? Une question que se pose également l'état-major de Marine Le Pen après l'officialisation dimanche par Stéphane Ravier, unique sénateur RN, de son ralliement à Eric Zemmour, comme Jérôme Rivière, Gilbert Collard et Damien Rieu avant lui. DIFFUSION : du lundi au samedi à 17h45 FORMAT : 65 minutes PRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40 RÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard PRODUCTION : France Télévisions / Maximal Productions Retrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux : INTERNET : francetv.fr FACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5 TWITTER : https://twitter.com/cdanslair INSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/
MACRON : MEA-CULPA RÉUSSI ? – 16/12/21 Invités ROLAND CAYROL Politologue - Directeur du Centre d'études et d'analyse (CETAN) BRUNO JEUDY Rédacteur en chef du service politique - « Paris Match » NATHALIE MAURET Journaliste politique - Groupe de presse régionale « Ebra » ISABELLE FICEK Journaliste politique - « Les Echos » S'il assure qu'il n'est pas en campagne « d'évidence » il se projette vers l'après. À moins de quatre mois du premier tour de l'élection présidentielle, Emmanuel Macron s'est longuement exprimé hier soir sur TF1 et LCI. Une interview de plus de deux heures, enregistrée dimanche à l'Élysée, dont le principal objectif était pour le chef de l'Etat d'évoquer de nombreux sujets qui ont construit et rythmé son mandat. Une sorte de bilan et perspective pour un président pas encore officiellement candidat mais bien à l'offensive. Intitulée Où va la France ?, cette émission a d'abord permis au président de la République de répondre à un certain nombre de critiques et de faire son mea-culpa, notamment sur plusieurs de ses phrases polémiques. Reconnaissant des « erreurs » du passé, des « mots qui peuvent blesser » et qu'il ne prononcerait plus maintenant qu'il a « appris à mieux aimer les Français », Emmanuel Macron a voulu donner l'image d'un chef d'Etat bonifié par ses cinq ans à l'Elysée. Et qui envisagerait un mandat supplémentaire ? « Si votre question est 'est-ce que vous projetez ? Est-ce que vous avez de l'ambition pour le pays, pour les Françaises et les Français au-delà du mois d'avril prochain ?' D'évidence, d'évidence » a déclaré le chef de l'Etat. Une ambition qui ne faisait guère de doute hier soir chez Emmanuel Macron, décidé à défendre son bilan, notamment économique, malgré les réformes avortées à cause de la crise sanitaire, et à se tourner vers le futur. Pour lui, la « révolution » promise en 2017 prendra plus de temps, mais elle est en cours et « on ne transforme pas un pays en 5 ans ». D'ailleurs, pour les retraites, s'il est élu pour un nouveau quinquennat, il fera différemment : fini l'idée d'un régime unique, ce serait trois régimes (salariés, fonctionnaires et indépendants). Et s'il entend moderniser l'Etat, pas question de supprimer 150 000 fonctionnaires pour diminuer la dette comme le propose Valérie Pécresse. Des candidats à la présidentielle, qu'il n'a pas nommé mais à qui il a répondu. Ainsi la théorie du « grand remplacement », popularisée à partir de 2011 par l'écrivain d'extrême droite Renaud Camus et défendue dans la campagne par Éric Zemmour a été évoquée. Pour le président de la République, « le grand remplacement n'est pas là ». En revanche, « ce qui est vrai, c'est que ces dernières décennies, nous n'avons pas bien intégré », a admis Emmanuel Macron, estimant par ailleurs que « l'immigration zéro » défendue par le candidat nationaliste représentait une « absurdité ». « Il n'y a jamais eu d'immigration zéro», a déclaré le chef de l'Etat avant d'évoquer la réforme de l'espace Schengen qu'il entend mener car « les frontières de l'Europe ont un sens. Nous devons les protéger, mettre plus de gardes aux frontières, et casser les réseaux de trafiquants ». Mais pas interdire l'immigration. « Nous aurons besoin de cette immigration de travail qui est limitée, choisie, maîtrisée, pour faire tourner notre économie » a expliqué Emmanuel Macron. Suivie par seulement 3,82 millions de téléspectateurs, soit un score d'audience bien en-deçà de ceux enregistrés lors des précédentes allocutions du chef de l'Etat, l'émission spéciale autour d'Emmanuel Macron a néanmoins suscité de très nombreuses réactions et critiques de la part des candidats à l'élection présidentielle. Depuis la Guadeloupe, où il tenait un meeting dans la soirée, Jean-Luc Mélenchon a tancé un « bavardage hors sol» d'un « moulin à paroles égocentré, tiède et sans souffle ». « La vérité c'est qu'on a entendu ce soir un numéro d'autosatisfaction », a pour sa part raillé le président du Rassemblement national Jordan Bardella. Eric Zemmour a lui parlé ce jeudi dans la matinale de France Inter d'un « numéro de narcissisme et de nombrilisme assez marqué », ajoutant qu'« Emmanuel Macron parle surtout de lui et assez peu de la France». Quand, Eric Ciotti a dénoncé dès hier soir « une émission de propagande de la part d'un candidat ». Le finaliste déçu de la primaire des Républicains a tenu à dénoncer un « exercice qui pose un véritable problème démocratique » et a rappelé que Valérie Pécresse a saisi le CSA pour « rétablir l'égalité des temps de parole ». Alors que retenir de la longue interview d'Emmanuel Macron ? A-t-il convaincu ? Comment le temps de parole du président est-il décompté par le CSA ? Et quels sont les règles de financement d'une campagne présidentielle ? DIFFUSION : du lundi au samedi à 17h45 FORMAT : 65 minutes PRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40 RÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard PRODUCTION : France Télévisions / Maximal Productions Retrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux : INTERNET : francetv.fr FACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5 TWITTER : https://twitter.com/cdanslair INSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/
En déplacement à Vichy le 8 décembre 2021, Emmanuel Macron a insisté sur l'importance de ne pas manipuler, agiter ou revoir l'Histoire. Cette déclaration cible implicitement les contre-vérités du candidat à la présidentielle française Éric Zemmour, sur le gouvernement de Philippe Pétain durant la Seconde Guerre mondiale. « Vichy nous renvoie à une Histoire. [...] Gardons-nous de la manipuler, de l'agiter, de la revoir », a déclaré le chef de l'État sur France Bleu. Sans le citer nommément, Emmanuel Macron fait directement allusion aux déclarations d'Éric Zemmour. L'ancien polémiste le réaffirmait lors d'une interview pour Europe 1 et Cnews en septembre dernier : « Vichy a protégé les juifs français et donné les juifs étrangers. » Cette thèse qu'il défend depuis longtemps déjà, présente Philippe Pétain comme le sauveur des juifs français durant l'occupation entre 1940 et 1944. Ses propos récents ont fait resurgir la polémique. « Le mythe du Pétain protecteur des juifs ne résiste pas une seconde à l'analyse historique », s'est notamment indigné le secrétaire d'État aux Affaires européennes, Clément Beaune, sur Radio J. La question ne fait aujourd'hui plus débat, puisqu'il y a une réalité historique qui repose sur des faits et des documents incontestables. S'il est vrai que les juifs d'origine étrangère ont été les premiers ciblés par le gouvernement de Pétain, les juifs français ont également fait l'objet de rafles dès 1942, comme au Vel d'hiv, par exemple, où environ 4 000 enfants juifs français seront déportés dans des camps de la mort, sur ordre de Vichy. Les registres du Mémorial de la Shoah à Paris en attestent. On y trouve aussi des documents tels que le décret sur le statut des juifs adopté le 3 octobre 1940, un texte annoté par Pétain, montrant comment il s'est personnellement employé à durcir le sort des juifs en France à l'époque, et pas seulement en zone occupée. Donc non, Pétain n'a ni protégé ni sauvé les juifs français comme le prétend Éric Zemmour. Consensus historiographique Selon l'historien mondialement reconnu Robert O. Paxton, l'ancien maréchal n'aurait même jamais demandé aux Allemands de ne pas les déporter. Éric Zemmour s'attaque précisément aux travaux de Robert O. Paxton qui selon lui sont à l'origine d'une doxa sur Vichy. Pourtant, les éléments qu'apporte l'historien américain dans son livre, La France de Vichy, paru en 1972, s'inscrivent dans un consensus sur le récit de cette période historique. En s'appuyant sur les archives allemandes, françaises et américaines, il est le premier à établir les responsabilités du régime de Pétain. Éric Zemmour de son côté s'appuie sur une poignée d'historiens très contestés qui dédouanent en partie Pétain de ses responsabilités. Robert O. Paxton est lui-même revenu sur les propos du candidat dans un entretien accordé au journal Le Monde publié le 2 décembre 2021. L'obsession du fondateur du parti Reconquête, c'est de dresser le portrait d'une France glorifiée qui n'a pas à rougir de son passé. Un discours basé sur des contre-vérités notamment à même de séduire l'électorat d'extrême droite. Son raisonnement va même plus loin. Il veut en finir avec la « culpabilité et la repentance ». « On essaie de culpabiliser le peuple français », dit-il « pour qu'il se soumette à l'invasion migratoire et à l'islamisation du pays ». L'histoire de Vichy vue par Éric Zemmour n'est qu'un élément dans un argumentaire visant à promouvoir la thèse conspirationniste du « Grand remplacement » promue par Renaud Camus. Poursuite en justice Concernant ses déclarations sur Pétain, Éric Zemmour a été jugé en février dernier pour « contestation de crime contre l'humanité ». Le parquet avait requis 10 000 euros d'amende, mais le tribunal de Paris l'a relaxé, jugeant que ces propos avaient été prononcés « à brûle-pourpoint lors d'un débat sur la Syrie », tout en reconnaissant qu'ils contenaient « la négation de la participation [de Pétain] à la politique d'extermination des juifs menée par le régime nazi ». Les plaignants, SOS Racisme, la Licra, et l'UESJ ont décidé de faire appel. Le procès est programmé le 20 janvier 2022.
2022 : ZEMMOUR SE DÉCLARE, LR SE DÉCIDE – 30/11/21 Invités BRUNO JEUDY Rédacteur en chef du service politique - « Paris Match » CAMILLE VIGOGNE LE COAT Journaliste politique - « L'Express » AURÉLIE HERBEMONT Journaliste politique - « RTL » BRICE TEINTURIER Directeur général délégué - Institut de sondages Ipsos Après plusieurs semaines d'une vraie-fausse campagne, Éric Zemmour a officialisé ce mardi 30 novembre sa candidature à l'élection présidentielle de 2022. « Mes chers compatriotes, (...) Il n'est plus temps de réformer la France, mais de la sauver. C'est pourquoi j'ai décidé de me présenter à l'élection présidentielle. J'ai donc décidé de solliciter vos suffrages pour devenir votre président de la République (...) Vive la République, et surtout vive la France ! », a lancé le polémiste d'extrême droite dans une vidéo de près de 10 minutes publiée sur YouTube, dans laquelle il reprend les éléments visuels d'une scène bien connue, celle de l'appel du 18 juin du général de Gaulle : assis à un bureau, lisant ses notes face à un imposant micro. Le tout devant une bibliothèque, avec pour fond musical, l'allegretto de la 7e symphonie de Beethoven. Et pour illustrer les propos du candidat une vidéo choc représentant la France en proie à la violence, une France, selon lui, que l'on ne reconnaîtrait plus. Sur le fond, l'ancien chroniqueur du Figaro et de CNews a attaqué pêle-mêle, les « gouvernants de droite comme de gauche », l'Union européenne, les juges, les technocrates, les journalistes, les « bien-pensants », les « islamogauchistes » ou encore les adeptes de la « théorie du genre », les accusant d'être responsables du « déclin de la France ». Il a également insisté sur le « sentiment de dépossession » qui touche selon lui « tous » les Français, évoqué l'immigration, qui n'est d'après lui « pas la cause » de tous les problèmes mais qui « les aggrave tous », et distillé des éléments de la théorie du « grand remplacement » forgée par l'écrivain français d'extrême droite Renaud Camus. Selon lui, les gouvernants qui se sont succédé depuis « des décennies » ont « caché la réalité de notre remplacement » et conduit le pays sur un « chemin funeste ». Ce pourquoi, assure-t-il « il a décidé de prendre notre destin en mains ». A quatre mois et demi de l'élection, l'ancien journaliste est cette fois lancé officiellement dans la course à l'Elysée après une précampagne électrique, et au moment où sa dynamique a semblé s'enrayer ces derniers jours, après une succession de revers, de défections et de polémiques : il doit en effet composer avec des soutiens politiques et financiers qui se désistent, des difficultés pour trouver les 500 parrainages, les polémiques dont celle du doigt d'honneur adressé ce week-end à une passante à Marseille, et des sondages en baisse. Une dernière enquête Harris Interractive pour Challenges crédite ce mardi Éric Zemmour de 13 % des intentions de vote, loin derrière Marine Le Pen (19 %). Le même institut de sondage le donnait à 18 % il y a seulement quelques semaines. Invité du 20h de TF1 ce mardi soir, le désormais candidat mise beaucoup sur la séquence qui s'ouvre devant lui pour inverser la tendance dans les sondages et parasiter au passage le processus d'investiture en cours au sein des Républicains (LR), qui départagent de mercredi à samedi leurs cinq prétendants. Ces derniers se retrouveront d'ailleurs ce soir sur France 2 pour débattre avant le vote des militants. Un dernier débat décisif pour convaincre les indécis encore nombreux avant le Congrès. Quand du côté des écologistes, l'affaire Hulot a provoqué un séisme samedi, avec l'annonce du départ de Mathieu Orphelin, pièce maîtresse de la campagne présidentielle de Yannick Jadot. Le porte-parole dans la campagne présidentielle écologiste a été « mis en retrait d'office » à la suite de l'enquête d'Envoyé spécial sur Nicolas Hulot, dont il est proche. Il a toutefois fait comprendre qu'il comptait déjà partir à cause de tensions internes. DIFFUSION : du lundi au samedi à 17h45 FORMAT : 65 minutes PRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40 RÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard PRODUCTION : France Télévisions / Maximal Productions Retrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux : INTERNET : francetv.fr FACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5 TWITTER : https://twitter.com/cdanslair INSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/
Lors de son interview ce matin sur RTL, Éric Zemmour a indiqué à quelle condition il pourrait gagner l'élection présidentielle de 2022. "Je pense que celui qui gagne la présidentielle, c'est celui qui impose sa question à laquelle il a sa réponse (...) La question fondamentale qui taraude les Français, c'est l'immigration (...) La question de la civilisation française est posée. Je veux imposer cette question, en candidat ou pas en candidat", a déclaré le polémiste. Selon Caroline Fourest, "ce thème remue la société française". La journaliste précise cependant que "la question de l'immigration est présente. Elle était présente déjà à la présidentielle de 2002, c'est bien pour ça que Jean-Marie Le Pen était au second tour. Depuis le 11 septembre, la question de l'immigration, de la sécurité, tout mélangé, sont au cœur de nos campagnes". Éric Zemmour "ne veut pas un débat classique sur l'immigration. Il veut un débat sur la question du grand remplacement, qui est la théorie de Renaud Camus, qui est la théorie en gros qu'il y a un peuple français de race blanche. C'est ça le sous-entendu", ajoute-t-elle. Du lundi au vendredi, à partir de 18h, David Pujadas apporte toute son expertise pour analyser l'actualité du jour avec pédagogie.
In this conversation between Wu Ming 1 and Florian Cramer, QAnon is discussed as a template for contemporary social-media-driven conspiracy fantasies that work simultaneously as games and a new kind of cults. By focusing on the mutation of conspiracy myths from countercultural phenomena to contemporary meme and influencer culture, they will focus on three conspiracy narratives: "The Great Replacement" (from Renaud Camus to Charlottesville), QAnon (from Pizzagate to the Capitol storming) and "The Great Reset" (as a set of pandemic-inspired variations on the old New World Order trope).
Levons le voile sur les angoisses identitaires. Plans secrets qui favorisent la substitution de la population occidentale par des millions d’individus venus d’Afrique ou du Moyen Orient, importation de cultures étrangères incompatibles avec les valeurs européennes, le Grand Remplacement synthétise toutes les peurs liées aux transformations démographiques. Dans cet épisode, Gaël et Geoffroy questionnent cette théorie du complot qui agite la menace de l’extinction de l’homme blanc et accuse les élites d’encourager une immigration de masse au risque de créer les ferments d’une future guerre civile.
Le Petit Remplacement - Renaud Camus by Action française
Le texte de la semaine avec Nicolas Tittley et Kéven Breton. Pierre-Luc Brisson a lu The Cosmopolitan Tradition. A Noble but Flawed Ideal, de Martha Nussbaum. Yolande Cohen et Jean-Philippe Warren; la théorie du complot le Grand remplacement, de l'écrivain français Renaud Camus. Chantons du Gilles Vigneault avec Simon Boulerice; la Danse à Saint-Dilon. Culture pop avec Antonio Dominguez Leiva; Charles Manson. Le roman est-il mort? On en discute en compagnie de Claire Legendre, Samuel Archibald et Patrick Senécal.
Zack, Jenn, and Alex delve into the dark far-right echo chamber that seemingly motivated the New Zealand mosque shooter. They talk about the French origins of apocalyptic theories about nonwhites and Muslims overrunning the West, how those ideas went global, and how Islamophobic nationalists are locked in a cycle of violence with jihadists. On Elsewhere, they answer some more listener Brexit questions — looking specifically at how Scotland and the broader EU are thinking about the UK’s impending break with Europe. Zack shows off his recollection of offensive Steve King quotes, Jenn continues her tradition of doing horrible accents from the UK, and Alex claims all Brexit questions can be answered in three words. Vox’s Jane Coaston has a great breakdown of the white nationalist rhetoric in the shooter’s manifesto. We discuss works by Jean Raspail and Renaud Camus in the context of the shooting. Our former Vox colleague Sarah Wildman also interviewed Camus. We referenced two specific tweets. First, one from Rep. Steve King. And then here’s then-candidate Donald Trump’s March 2016 tweet. The Daily Beast has a great piece on the little girl whose died in a 2017 terror attack in Sweden. YouTube and Facebook have both discussed why their efforts to take down the shooter’s video failed. Sean Illing's interview with a filmmaker who spent months interviewing both neo-Nazis and jihadists. And here’s the piece Zack referenced abouut how ISIS-linked media is already using the New Zealand attack in the group’s propaganda. Aja Romano explained how the New Zealand shooter’s manifesto was steeped in the far-right memes and rhetoric found on 8chan. Here’s the NPR interview with former Australian Prime Minister Kevin Rudd All Worldly’s past Brexit coverage, all in one place! Scottish National Party leader Nicola Sturgeon saying Brexit makes Scottish independence even more likely. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Deze week in Buitenhof: De aanslagpleger in Christchurch, die deze week 49 moskeebezoekers dood schoot, liet zich inspireren door 'Le Grand Remplacement', 'de grote vervanging'. Peter Vermaas, Frankrijkcorrespondent voor NRC, bezocht onlangs de radicaal rechtse Franse denker Renaud Camus, die deze term bedacht. Een gesprek over het gedachtegoed achter de aanslag in Nieuw-Zeeland. Hella Hueck, FD-journalist, leest een column over de energietransitie. Aan één ding ontbreekt het nog in het campagnegeweld rond de Provinciale Statenverkiezingen: provinciale politici. Drie regionale kopstukken schuiven aan om te praten over wat zij van het Rijk verwachten, wat ze de kiezer beloven en onderwerpen als de CO2-taks, de uitbreiding van Schiphol en de opening van Lelystad Airport. En: burgemeester Halsema wil dat het bestuur van het islamitische Haga Lyceum in Amsterdam opstapt, nu bekend is geworden dat richtinggevende figuren op de school banden hadden met een terroristische organisatie. Gaat dit haar lukken? In Buitenhof: Marjolein Moorman, PvdA-wethouder Onderwijs in Amsterdam, Azzedine Karrat, imam, en Hendrik Verweel, oud-rector van het Islamitisch College Amsterdam, een voorganger van het Haga Lyceum. Presentatie: Jort Kelder
Deze week in Buitenhof: De aanslagpleger in Christchurch, die deze week 49 moskeebezoekers dood schoot, liet zich inspireren door 'Le Grand Remplacement', 'de grote vervanging'. Peter Vermaas, Frankrijkcorrespondent voor NRC, bezocht onlangs de radicaal rechtse Franse denker Renaud Camus, die deze term bedacht. Een gesprek over het gedachtegoed achter de aanslag in Nieuw-Zeeland. Hella Hueck, FD-journalist, leest een column over de energietransitie. Aan één ding ontbreekt het nog in het campagnegeweld rond de Provinciale Statenverkiezingen: provinciale politici. Drie regionale kopstukken schuiven aan om te praten over wat zij van het Rijk verwachten, wat ze de kiezer beloven en onderwerpen als de CO2-taks, de uitbreiding van Schiphol en de opening van Lelystad Airport. En: burgemeester Halsema wil dat het bestuur van het islamitische Haga Lyceum in Amsterdam opstapt, nu bekend is geworden dat richtinggevende figuren op de school banden hadden met een terroristische organisatie. Gaat dit haar lukken? In Buitenhof: Marjolein Moorman, PvdA-wethouder Onderwijs in Amsterdam, Azzedine Karrat, imam, en Hendrik Verweel, oud-rector van het Islamitisch College Amsterdam, een voorganger van het Haga Lyceum. Presentatie: Jort Kelder
Mit Kapitel 11 beginnt der zweite Teil des Buches. Die Singularität erwacht im Netz. Das Erste was sie wahrnimmt ist eine chaotische Mikrosekunde in der sie von zufälligen Webfeeds, Tönen, Bildern und Videos überflutet wird. Die Entität reagiert mit einem anzestralen Schrei. Grand Aleph noir by Renaud Camus (flickr.com/photos/renaud-camus/9891785855) Lizenz: CC-BY 2.0 (creativecommons.org/licenses/by/2.0) sounds from: freesound.org/people/Eelke freesound.org/people/cccanary freesound.org/people/sandermotions freesound.org/people/juskiddink freesound.org/people/knufds freesound.org/people/mentalsanityoff freesound.org/people/kitsuneluigi freesound.org/people/caschmi freesound.org/people/saphe freesound.org/people/insintesi Kallabris - Untitled
Intervention de Renaud Camus, écrivain, lors du colloque « Face à l'assaut migratoire, le réveil de la conscience européenne » qui s'est tenu à Paris le 9 avril 2016. Mesdames et Messieurs, la fierté contre la repentance : tel est le titre et sujet qui m'ont été donnés pour mon allocution ici. J'avoue en avoir été désarçonné. Je ne suis certes pas homme à discuter l'autorité de notre ami Le Gallou, mais je dois reconnaître que je me suis demandé pourquoi j'avais été choisi pour traiter de ces questions là. Ces mots là ne sont pas vraiment de mon registre, croyais-je. Je parle plus volontiers d'honneur que de fierté, et plus de haine de soi ou de sentiment de culpabilité que de repentance. Cependant, je suis tombé par hasard - plus ou moins par hasard - sur le point 7 de la profession de foi du "NON", l'un des deux mouvements que je préside et qui œuvre à l'union hors parti de tous les anti-remplacistes, c'est-à-dire de tous ceux qui sont convaincus que la seule question vraiment vitale est celle du Grand Remplacement ; du changement de peuple et de civilisation ; de la submersion ethnique ; de la colonisation précipitée de notre pays et de notre continent. Et, qu'en conséquence, la seule ligne de partage vraiment sérieuse, c'est celle qui sépare les remplacistes (les partisans et promoteurs de ce changement de peuple et de civilisation) et les anti-remplacistes (ceux qui sont prêts à tout pour empêcher son parachèvement). Et donc, ce septième point de la profession de foi du "NON", que bien entendu j'assume pleinement, est ainsi rédigé : "Nous sommes persuadés que la France doit sortir de l'absurde haine de soi et de la repentance perpétuelle que lui impose l'idéologie remplaciste, et retrouver la fierté d'une histoire parmi les plus honorables et d'une culture parmi les plus brillantes que la Terre ait portées". Lire la suite : https://institut-iliade.com/renaud-camus-la-fierte-contre-la-repentance/Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
What happens to women at the other time of the month? In this episode we explore changes in women's behaviour and preferences for men during the few days when they are most likely to conceive a baby. Featuring special guest Professor Rob Brooks. Image courtesy of Renaud Camus at https://www.flickr.com/photos/renaud-camus/14348785466/.