Podcasts about Gennevilliers

durée : 00:02:14 - Le vrai ou faux - Les préfets ont demandé aux maires de Saint-Denis et Gennevilliers de retirer les drapeaux palestiniens de leurs mairies, et au maire de Nice d'enlever le drapeau israélien.

durée : 00:16:21 - Journal de la Création du dimanche 11 mai 2025 - par : Laurent Vilarem - A Marseille, le Festival Propagations reprenait la collection de concerts-fictions initiée par l'Ircam, mêlant musique et littérature. D'après le texte de Pérec, Espèces d'espaces de Philippe Hurel est donné tout ce printemps à Tourcoing, Gennevilliers et Courbevoie. - réalisé par : Arthur Rayrole

Fils d'instituteurs, c'est en région Parisienne que grandit Alexandre. Alors plein d'énergie, il s'essaie à pas mal de sports mais c'est bien le rugby qui obtiendra ses faveurs du côté de Villeneuve la Garenne et le Gennevilliers ! En Cadets, il intègre un Racing Club de France en pleine reconstruction et fait ses premiers pas en équipe 1ère à peine le Bac en poche.Champion de France en Groupe A2 (l'ancienne Pro D2) en 1998, il prend l'année suivante la direction de Clermont Ferrand, où il construira sa carrière, et plus largement sa vie. Il y devient alors international et participe notamment à la conquête du Grand Chelem 2002 avec XV de France.Quadruple finaliste malheureux du Championnat, en 2010, la 5ème sera ENFIN la bonne puisqu'il ramènera le Bouclier de Brennus Place de Jaude, à un peuple Auvergnat qui attendait la consécration depuis 99 ans !Retiré des terrains en 2013 et toujours en quête de performance, Alexandre se lance alors dans l'entrainement. Doté d'un immense esprit entrepreneurial, il a tout au long de sa carrière multiplié les projets transverses. Véritable caméléon, il a été tour à tour associé la formation, dans le conseil en gestion de patrimoine, le solaire, les assurances et il a même dirigé des boites de nuit !Il exerce depuis 2017 dans une société spécialisée dans les lasers ophtalmologiques pour laquelle il parcourt le monde et promeut la gamme d'appareils.C'était passionnant d'échanger avec Alexandre, ce touche à tout plein de centres d'intérêts, exigeant envers lui-même mais aussi doté d'un grand sens de la famille.Bonne écoute !-----------------------------

Pour ce nouvel épisode de Vie de Maire, je me suis rendue à Gennevilliers, commune d'histoire populaire et ouvrière de 50 000 habitants située dans une boucle de Seine des Hauts-de-Seine, dans le Nord-Est Parisien.Patrice Leclerc, 61 ans, en est aujourd'hui le maire.Passé de jeune catholique pratiquant à communiste convaincu, président de l'UNEF puis conseiller municipal et départemental, il raconte comment la politique l'a transformé, lui qui était "un enfant timide" devenu un "gauchiste perturbateur".Maire depuis 2014, il défend une vision politique originale : améliorer la ville sans chasser ses habitants, maintenir une ville populaire tout en la modernisant, et garder un lien direct et affectif avec les Gennevillois.Dans cet épisode il nous raconte son parcours militant, son refus de la professionnalisation politique, mais aussi pourquoi il publie ses fiches d'imposition et comment, en tant que maire, il mène des combats internationaux, par exemple en faveur de le reconnaissance de l'Etat Palestinien. Bonne écoute !Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

En Île-de-France, l'hydrogène bas-carbone se rêve en pilier de la transition énergétique. Dans un contexte où la décarbonation devient une urgence, la région dispose d'un terreau fertile : un concentré d'industriels, d'universitaires et d'institutions engagés pour une mobilité plus propre et une industrie plus verte. Pourtant, la filière hydrogène francilienne reste à un carrefour critique de son développement.Selon une étude de l'AREC Île-de-France, la dynamique est lancée, mais il faut désormais passer à la vitesse supérieure. L'objectif : sortir du stade expérimental pour entrer dans une véritable phase d'industrialisation pérenne. L'hydrogène vert, produit par électrolyse de l'eau à partir d'électricité renouvelable, offre des solutions prometteuses. Côté industrie, il peut remplacer l'hydrogène gris fossile, notamment dans des secteurs lourds comme le verre, l'acier ou le ciment. Des sites franciliens réfléchissent à cette mutation. Côté mobilité, les usages ne manquent pas : bus, camions, trains ou encore taxis. Pour ces véhicules intensifs, l'hydrogène offre une alternative là où la batterie atteint ses limites.Parmi les projets phares, H2 Hub Airport entend faire de l'aéroport de Roissy un modèle européen, avec production et distribution d'hydrogène sur place. En ville, HysetCo déploie des stations pour alimenter la flotte de taxis Hype, avec un objectif de 10 000 véhicules à hydrogène d'ici 2030. La SNCF teste aussi des trains à hydrogène, notamment sur la ligne Paris-Provins. Enfin, des sites de production locale d'hydrogène vert voient le jour à Gennevilliers ou Bonneuil-sur-Marne. Mais le tableau n'est pas sans ombre. Le coût reste le principal frein : produire de l'hydrogène vert est encore bien plus cher que son équivalent fossile. Les infrastructures manquent, le réseau de distribution est embryonnaire, et le cadre réglementaire manque de lisibilité. Pendant ce temps, l'Allemagne, le Japon ou la Corée avancent à grands pas. Pour ne pas décrocher, l'Île-de-France devra bâtir un écosystème solide, rassembler les forces publiques et privées, et accélérer la transition vers un marché compétitif. Car au-delà de l'environnement, l'hydrogène peut devenir un levier économique stratégique. Reste à transformer les promesses en réalité. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

Au programme de l'émission du 05 février : avec Viviane Ezratty et Hélène Valloteau, commissaires d'exposition ; et avec Jana Klein et Stéphane Schoukroun, artistes EXPOSITION - interview de Viviane Ezratty et Hélène Valloteau - c'est vers 08 mn ✔️L'Heure joyeuse, première bibliothèque française pour enfants, a été inaugurée en novembre 1924, dans le quartier Saint-Séverin à Paris. L'exposition intitulée À quoi bon lire ? célèbre son centième anniversaire et revient sur son histoire, à la médiathèque Françoise Sagan à Paris (10e) où se trouve aujourd'hui le fonds patrimonial Heure joyeuse. Objets, mobilier, photographies, affiches, livres, etc., sont présentés dans une scénographie joyeuse et colorée, conçue par les deux artistes-illustrateurs Serge Bloch et Gérard Lo Monaco. Ils invitent enfants et adultes à répondre à la question : à quoi bon lire ?, tout en leur fournissant quelques pistes !

Après les 9 nouveaux témoignages contre l'Abbé Pierre, 9 accusations de violences sexuelles, viol sur mineur et abus incestueux, la consternation franchit encore un cap dans la communauté Emmaüs. La fondation Abbé Pierre a tenu à médiatiser cette enquête dans un souci de transparence, et pour dire que la mission d'aider les plus démunis, elle, restait intacte. Mais au quotidien, rien n'est simple pour les salariés et les bénévoles. Morad Djabari s'est rendu pour RTL à la Maison de la solidarité de Gennevilliers, près de Paris. Depuis les premières révélations sur l'homme d'Église, c'est le choc. Et à chaque nouveau témoignage, c'est une douleur supplémentaire. Ecoutez RTL Inside avec Agnès Bonfillon du 14 janvier 2025.

durée : 00:34:00 - L'invité du 13/14 - par : Céline Asselot - Le 13/14 en direct du chapiteau des Restos du Coeur à Gennevilliers pour le lancement de la 40ème campagne - invités : Patrice Douret - Patrice Douret : Président des Restos du cœur

durée : 00:58:40 - Le 13/14 - par : Céline Asselot - Parce que c'est ici que tout a commencé il y a 40 ans, après l'appel aux dons lancé par Coluche pour une première collecte. Qu'en est-il aujourd'hui ? Alors que l'année dernière les Restos ont pour la première fois dû refuser du monde. Rencontre avec des bénévoles, des bénéficiaires et des élus. - invités : Patrice Douret - Patrice Douret : Président des Restos du cœur

Comment se souviendra-t-on de l'humanité ? Dans des milliers d'années, que restera-t-il de nous ? Quelles traces voulons-nous laisser et sur quel support ? Interrogations partagées au théâtre avec l'astrophysicien Jean-Philippe Uzan qui prépare l'envoi d'une capsule condensée de notre humanité sur la Lune. Comment se souviendra-t-on de l'humanité dans des milliers, voire des millions d'années ? Que restera-t-il de nous ? Quelles traces quelle mémoire de notre -et de nos- humanités voudrions-nous laisser pour le futur ? Quels savoirs, quelles connaissances, quelles histoires raconter, préserver ? Comment ? Pour qui ? Et sur quel support ? Comment résister au temps ?AvecJean-Philippe Uzan, astrophysicien et comédien, pour la pièce de théâtre Mémory of Mankind de Marcus Lindeen. EtMarianne Segol (metteuse en scène de la pièce, jusqu'au 25 novembre au Théâtre de Gennevilliers). Et notre chronique mensuelle Ciel d'Afrique en partenariat avec l'Astronomie Afrique, présentée par le planétologue Sylvain Bouley.

Comment se souviendra-t-on de l'humanité ? Dans des milliers d'années, que restera-t-il de nous ? Quelles traces voulons-nous laisser et sur quel support ? Interrogations partagées au théâtre avec l'astrophysicien Jean-Philippe Uzan qui prépare l'envoi d'une capsule condensée de notre humanité sur la Lune. Comment se souviendra-t-on de l'humanité dans des milliers, voire des millions d'années ? Que restera-t-il de nous ? Quelles traces quelle mémoire de notre -et de nos- humanités voudrions-nous laisser pour le futur ? Quels savoirs, quelles connaissances, quelles histoires raconter, préserver ? Comment ? Pour qui ? Et sur quel support ? Comment résister au temps ?AvecJean-Philippe Uzan, astrophysicien et comédien, pour la pièce de théâtre Mémory of Mankind de Marcus Lindeen. EtMarianne Segol (metteuse en scène de la pièce, jusqu'au 25 novembre au Théâtre de Gennevilliers). Et notre chronique mensuelle Ciel d'Afrique en partenariat avec l'Astronomie Afrique, présentée par le planétologue Sylvain Bouley.

En la ciudad francesa de Gennevilliers, cerca de París, hace apenas unas semanas ha empezado a funcionar un sistema nuevo para encender las farolas por las noches. En vez de activarlas y dejarlas encendidas toda la noche hasta la madrugada, los habitantes que paseen por las calles pueden encenderlas con el teléfono móvil.

En 2021, les biomédicaments représentaient 400 milliards d'euros, soit environ 33% du marché pharmaceutique mondial et un médicament sur deux en développement est un biomédicament. En France, bien que la filière se développe et soit accompagnée d'investissements, l'industrie manque de main d'œuvre. La France dépend encore beaucoup de ses importations puisque 95% des biomédicaments vendus sont importés. Pour susciter de nouvelles vocations, la filière essaie de se montrer attractive. Un biomédicament, c'est un médicament dont la substance active est produite à partir d'une source biologique, à partir du vivant, comme des cellules de mammifères, au contraire des médicaments de synthèse dont le principe actif est produit en laboratoire. Les biomédicaments permettent des avancées médicales, ce qui attire certains étudiants vers ce secteur. C'est le cas de Lucas Le Hercy. À 28 ans, il est en formation à l'IMT d'Évry-Courcouronnes en région parisienne afin de devenir technicien dans le domaine des biomédicaments. « Les thérapies géniques, qui sont en train de se développer très rapidement, offrent de nouvelles pistes pour soigner des maladies qu'on ne pouvait pas soigner jusque-là, les maladies orphelines et maladies rares, explique l'étudiant, mais aussi pour soigner de nouvelles façons des maladies qui sont déjà présentes, comme le cancer », précise-t-il. Dans ce champ, en tant que technicien, il peut travailler « tout le long de la chaîne de production, pour s'assurer de A à Z que le produit est fabriqué », par exemple.À écouter dans Le Conseil santéThérapies géniques: quelles perspectives pour les chercheurs et les patients?De nombreuses opportunités professionnellesSelon le lobby du médicament Leem, plus de 10 000 postes seront à pourvoir d'ici à 2030 dans les biotechnologies. Lucas Le Hercy est en alternance, ce qui lui permet d'avoir déjà un pied dans le monde du travail. « Il y a de la place pour des ingénieurs, pour faire de la recherche ou pour faire les procédés, et il y a aussi de la place pour des techniciens, des opérateurs », constate-t-il. Toutes ces opportunités d'emploi le rassurent pour son avenir.Les besoins croissants dans le domaine du biomédicaments nécessitent de recruter dès à présent. « Il y a un besoin inhérent et un manque cruel de personnes dans ce domaine, il y a un manque de bras opérationnels, de cerveaux aussi, d'innovation, déplore Christophe Lanneau, directeur de Genopole, un groupement de laboratoires, entreprises et centres de recherches. C'est un besoin qui est non pourvu pour le moment. Mais c'est aussi difficile de trouver des personnes qui sont intéressées par ce domaine, parce que c'est un domaine assez particulier. »Le secteur éducatif en manque de formationLe domaine des biomédicaments est en pleine croissance, avec des technologies qui évoluent rapidement, ce qui peut être difficile à suivre pour les professeurs. « Dans le cadre du plan « France 2030 », les BTS ont été réformés et donc on doit enseigner de nouvelles matières avec nos formations initiales, explique Laure Garnier-Legrand, enseignante de biotechnologies au lycée Galilée de Gennevilliers. En tant que professeure, ces matières n'existaient pas et on n'a pas forcément tout le temps les compétences. » C'est pourquoi certains professeurs souhaitent renforcer les liens entre les professionnels et les écoles. « J'ai vu aujourd'hui des équipements que je ne connaissais même pas, confie Laure Garnier-Legrand qui s'est inscrite pour une visite de Genopole. Forcément, si je ne vois pas ces machines, si je ne sais pas comment elles fonctionnent, je ne peux pas transmettre ce savoir à mes étudiants. Il faut qu'on ait du temps pour enseigner et puis, après, il faut qu'on ait du temps aussi pour se former, pour enseigner mieux à nos élèves. »La France est le 4ᵉ pays producteur de biomédicaments en Europe avec  131 entreprises opérant dans ce domaine.  Chaque mois, à retrouver dans 8 milliards de voisins Recherche d'emploi : conseils aux jeunes diplômés

Replongez dans l'histoire des Restos du Coeur à l'occasion du 70e anniversaire d'Europe 1 !Le 26 septembre 1985, Coluche, figure emblématique de l'humour français, lance depuis les studios d'Europe 1 un appel à la générosité pour créer une « cantine gratuite » qui deviendra les célèbres Restos du Coeur. Avec son franc-parler et son esprit d'initiative, Coluche improvise ce jour-là une idée qui va bouleverser le paysage caritatif en France.Découvrez les coulisses de cette naissance, les premiers jours des Restos du Coeur, et l'élan de solidarité qu'a suscité cet appel sur les ondes d'Europe 1. Des personnalités comme Yves Montand, Josiane Balasco ou Michel Sardou se mobilisent rapidement pour soutenir cette initiative inédite.Plongez au cœur de cette histoire qui a marqué l'âme de la France, à travers les récits de témoins et d'acteurs de cette époque. Revivez l'effervescence de ces premiers mois, l'ouverture du premier centre à Gennevilliers, et l'ampleur prise par ce mouvement de générosité populaire.Aujourd'hui, 170 millions de repas sont distribués chaque année par les Restos du Coeur. Retour sur les origines de cette aventure hors du commun, née sur les ondes d'Europe 1 grâce à l'audace et la clairvoyance de Coluche.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.

MIXOLOGIE : mardi, jeudi et samedi de 19h à 20h. Playlist créée et animée par Serge Mariani sur Art District Radio composée de l'actualité des sorties d'albums de jazz. Dix extraits d'albums récents ou à venir, de la musique pour un été qui rime avec tranquillité car de musique, d'été et de tranquillité, nous en avons besoin toutes et tous. La musique sera celle de la pianiste Mamiko Watanabe, de Shabaka Hutchings qui délaisse un moment le saxophone pour les flûtes, du duo piano-voix de Julia Perminova et Tatiana Nova et celui, saxophone-guitare, de Francesco Bearzati et Federico Casagrande, de formations à géométrie variable comme le trio made in USA de Tarbaby, le 4tet made in Gennevilliers de Louise Jallu qui taquine Ravel avec son bandoneon, le trio de David Leon entre Cuba et la Corée, le 5tet de Chris Jennings impeccable à la barre de sa contrebasse, celle de l'émotion retenue de Sarah Lenka et celle des énergies chamaniques de Senem Diyici, tel est le programme de cette Mixologie, 34ème édition. 1.Shabaka Hutchings / Body to Inhabit / album Perceive Its Beauty Acknowledge Its Grace (Impulse!) 2.Julia Perminova / Leti / album Echoes of Home 3.Senem Diyici / Nara / album Senem Diyici Paris 2023 (Pias) 4.Chris Jennings / Casbah Radio / album Boy She is the Dandy (Eden River Records) 5.Sarah Lenka / Betty / album Isha (Caramba Records) 6.Louise Jallu / Mon Bolero / album Jeu (Klarthe) 7.Tarbaby / Tree Tops / album You Think This America (Giant Step Arts) 8.David Leon / Ay-ya / album Bird's Eye (Pyroclastic Records) 9.Francesco Bearzatti, Federico Casagrande / 3007 / album And Winter Came Again (CAM Jazz) 10.Mamiko Watanabe / Nigeria / album Being Guided by the Light (Jojo Records)Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

JAZZ INTERVIEW mardi et vendredi à 14h. Cette semaine, Julie Chaizemartin, Serge Mariani ou Fred Blanc rencontrent des personnalités du monde du jazz. Cette semaine, Serge rencontre Louise Jallu. "Après Francesita en 2018, « la petite française » Louise Jallu s'était attaquée au sommet du tango, Astor Piazzolla, en 2021. Cette année, avec son 3ème album intitulé Jeu (label Klarthe), à nouveau épaulée par le compositeur Bernard Cavanna, elle étend encore davantage le champ de ses explorations, confrontant ou reliant, quelques thèmes universels « classiques » aux formes traditionnelles argentines, aux approches contemporaines comme à l'esprit du jazz, et fait chanter son bandoneon virtuose au fil d'une odyssée musicale qui la ramène fidèlement à son port d'attache : Gennevilliers." Serge Mariani, Art District radio Programmation musicale :Milonga en mi majeur / Louise Jallu / album Jeu (Klarthe 2024)Schumann et Wozzeck / Louise Jallu / album Jeu (Klarthe 2024)A Gennevilliers, toujours / Louise Jallu / album Jeu (Klarthe 2024)Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

durée : 00:16:16 - C'est bientôt demain - par : Antoine CHAO - A Gennevilliers, les Soulèvements de la Terre et l'association Protection Berges de Seine battent le pavé contre le projet d'entrepôt XXL Green Dock

Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

durée : 00:16:38 - C'est bientôt demain - par : Antoine CHAO - Une gigantesque plateforme logistique Green Dock est projetée sur les bords de Seine dans le port de Gennevilliers, elle menace l'écosystème fluvial et un site ornithologique Natura 2000 situé en face à la pointe de L'Île-Saint-Denis. Malgré la contestation, les travaux des travaux ont déjà commencé

Depuis la semaine dernière, nous sommes dans la classe de Karine qui est professeure de français pour migrants à l'espace Grésillons, de Gennevilliers, dans la proche banlieue de Paris. Sa classe, les Motivés, m'a accueillie pour quelques séances d'enregistrement. Les Motivés partagent avec vous, chers auditeurs, un souvenir ou un aspect de leur vie en France qui les a marqués. La classe est de niveau A2, B1. Je vous remercie de leur réserver le meilleur accueil !  J'ai aussi rencontré Karine pour qu'elle nous présente son métier et son travail au sein de cette classe.  Dans ce dernier épisode, Karine va aborder son rôle de professeur de français dans sa classe et la difficulté, parfois, de rester purement dans ce rôle.  Ce sera aussi l'occasion d'écouter Houria, pour qui le français est une opportunité : celle de réaliser son rêve de vie en France. Ensuite, Fatma, qui aime beaucoup sa professeure et qui explique dans son texte ce que permet la maîtrise du français. Enfin, le mot de la fin sera pour Larabass qui vous délivrera son mot de passe pour la France.    Pour envoyer votre message audio aux Motivés : https://www.speakpipe.com/OneThingInAFrenchDay    

Depuis la semaine dernière et jusqu'au prochain épisode, nous sommes dans la classe de Karine qui est professeure de français pour migrants à l'espace Grésillons à Gennevilliers dans la proche banlieue de Paris. Sa classe, les Motivés, m'a accueillie pour quelques séances d'enregistrement. Les Motivés partagent avec vous, chers auditeurs, un souvenir ou un aspect de leur vie en France qui les a marqués et dont ils avaient envie de vous parler. La classe est de niveau A2, B1. Je vous remercie de leur réserver le meilleur accueil !  Quand nous avons présenté notre projet d'épisodes de podcast à la classe, Karine et moi avons laissé les apprenants libres de leur sujet, bien sûr. Ainsi, vous avez pu entendre jusqu'à présent des histoires de belles rencontres, de sourires, du souvenir du premier jour en France. Mais parmi les Motivés, Fatima Zahra et Naïma ont souhaité évoquer des souvenirs culinaires.  Est-ce une surprise ? Pas pour Karine, leur professeure.  Vous pouvez envoyer un message aux Motivés en utilisant la plateforme SpeakPipe, ça leur ferait énormément plaisir. Un grand merci pour les messages qui sont déjà arrivés !  https://www.speakpipe.com/OneThingInAFrenchDay  

Depuis lundi et jusqu'à la semaine prochaine, nous sommes dans la classe de Karine qui est professeure de français pour migrants à l'espace Grésillons à Gennevilliers dans la proche banlieue de Paris. Sa classe, les Motivés, m'a accueillie pour quelques séances d'enregistrement. Les Motivés partagent avec vous, chers auditeurs, un souvenir ou un aspect de leur vie en France qui les a marqués. La classe est de niveau A2, B1. Je vous remercie de leur offrir le meilleur accueil !  J'ai aussi rencontré Karine pour qu'elle nous présente son métier et son travail au sein de cette classe. Dans l'épisode de mercredi, nous avons parlé du niveau attendu pour avoir un titre ou une carte de séjour en France. Aujourd'hui, avant d'entendre Najat, Farzana et Souad, évoquer le système de soins en France, Karine va évoquer le « mini-interview » en début de cours.   Vous pouvez aussi envoyer un message aux Motivés en utilisant la plateforme SpeakPipe, ça leur ferait énormément plaisir. Un grand merci pour les messages qui sont déjà arrivés !  https://www.speakpipe.com/OneThingInAFrenchDay  

Depuis lundi et jusqu'à la semaine prochaine, nous sommes dans la classe de Karine qui est professeure de français pour migrants à l'espace Grésillons à Gennevilliers dans la proche banlieue de Paris. Sa classe, les Motivés, m'a accueillie pour quelques séances d'enregistrement. Les Motivés partagent avec vous, chers auditeurs, un souvenir ou un aspect de leur vie en France qui les a marqués et dont ils souhaitaient vous parler. La classe est de niveau A2, B1. Je vous remercie de leur offrir le meilleur accueil !  J'ai aussi rencontré Karine pour qu'elle nous présente son métier et son travail au sein de cette classe. Nous vous avons présenté, dans l'épisode de lundi, notre projet. Aujourd'hui, avant d'entendre Hagiba et Sophie, Karine va vous dire quelques mots sur le niveau qui est attendu en français pour avoir des papiers.   https://www.speakpipe.com/OneThingInAFrenchDay  

Tu as choisi de voyager dans une nuit au clair de lune, abandonnant mon cœur à terre, aussi brillant qu'une épingle en argent. Pourtant, j'espère que tu l'accrocheras à tes cheveux. Ces mots masqués par le clair de lune viennent d'une langue pleine de sang et de diamant, cette langue arabe palestinienne parlée et chantée par Christine Zayed. Comment chanter la Palestine depuis le 7 octobre ?Cette histoire christique commence à Jérusalem, elle se poursuit au Conservatoire de musique Edward Saïd de Ramallah entre violon et qanoun, vous savez... cette cithare qui a si joliment orné le monde arabe dans la nuit des temps, depuis les Mille et une nuits. Aujourd'hui dotée d'un master en Musicologie et tout en étudiant les répertoires grec, turc, arabo-andalou, algérien et tunisien au Conservatoire Edgar Varèse de Gennevilliers, près de Paris, Christine Zayed sort son tout premier album intitulé Kamakuntu/Comme j'étais… Les choix musicaux de Christine Zayed- Christine Zayed Romman - Christine Zayed Gharimi- Tchaïkovsky Autumn song.

Tu as choisi de voyager dans une nuit au clair de lune, abandonnant mon cœur à terre, aussi brillant qu'une épingle en argent. Pourtant, j'espère que tu l'accrocheras à tes cheveux. Ces mots masqués par le clair de lune viennent d'une langue pleine de sang et de diamant, cette langue arabe palestinienne parlée et chantée par Christine Zayed. Comment chanter la Palestine depuis le 7 octobre ?Cette histoire christique commence à Jérusalem, elle se poursuit au Conservatoire de musique Edward Saïd de Ramallah entre violon et qanoun, vous savez... cette cithare qui a si joliment orné le monde arabe dans la nuit des temps, depuis les Mille et une nuits. Aujourd'hui dotée d'un master en Musicologie et tout en étudiant les répertoires grec, turc, arabo-andalou, algérien et tunisien au Conservatoire Edgar Varèse de Gennevilliers, près de Paris, Christine Zayed sort son tout premier album intitulé Kamakuntu/Comme j'étais… Les choix musicaux de Christine Zayed- Christine Zayed Romman - Christine Zayed Gharimi- Tchaïkovsky Autumn song.

Dans cet épisode je reçois Julia Marsaud, Directrice Générale des Services de la Ville de Gennevilliers. Julia incarne dans son parcours et dans ses actes pour la collectivité, une certaine idée du service public que je souhaite mettre en lumière dans cet épisode. Loin des lieux communs et des idées préconçues sur le secteur public, Julia partage avec nous son admiration sans faille pour les élus locaux, son engagement pour le bien commun, sa vision managériale, son action pour la collectivité et pour l'ensemble de ses équipes. Julia agit au sein de l'association La Cordée pour la promotion de la diversité sociale dans la fonction publique et en faveur de l'égalité professionnelle en tant que membre du Conseil d'Administration de l'association Dirigeantes et Territoires. Je vous invite à découvrir la richesse, la diversité et l'ensemble des opportunités de l'action publique dans des territoires populaires. Sa parole claire, son engagement authentique et sa vision de la relation font d'elle une personne inspirante. Parmi les thèmes que nous partageons au cours de cette conversation je retiens notamment :

Aujourd'hui dans les Libébulles, on se demande c'est quoi le pardon, c'est quoi oublier, c'est quoi se souvenir et ce que ça nous fait à l'intérieur de nous... Ces cartes postales sonores ont été réalisées avec les élèves de CE1/CE2 de Valérie Vendrin, de l'école du Fresne-Camilly, les élèves de 3ème du collège Pierre Brossolette à Réhon, les enfants de la maison de l'enfance à caractère social "Le Renan", de Cormeilles en Vexin, Ayla, Lyna, Ismaïl, Noun Abdou qui ont participé au projet « radio philo » à Gennevilliers, les élèves de GS de Laurence Cantoia, de l'école Victor Hugo à Sevran, les élèves de 4ème d'Agathe Zentelin du collège Evariste Galois à Nanterre. La discussion sur le pardon a été menée après la lecture du texte d'Antonio Carmona Les hamsters n'existent pas publié aux éditions théâtrales jeunesse. Celle sur l'oubli a été faite dans le cadre des actions culturelles de la compagnie En attendant et Denis Lachaud. Celle sur les rêves a été faite autour du spectacle "Bagarre" de la compagnie Loba-Annabelle Sergent, d'après un texte inédit de Karin Serres. La discussion « c'est quoi n'importe quoi ? » a été faite en lien avec le spectacle de Pascal Parisot, dans le cadre du festival des rêveurs éveillés à Sevran. Ces cartes postales sonores ont été financées par Minute papillon, le Théâtre du champ exquis à Blainville sur Orne, Scènes et territoires à Maxéville, Points communs à Cergy, la Maison du développement culturel de Gennevilliers, le service culturel de Sevran et la cité éducative de Nanterre. Le montage de la carte « faut-il oublier ? » a été fait par Elodie Royer. Celui de la carte « c'est quoi n'importe quoi ? » a été fait par Julie Briand. Prise de son, montage et animation des ateliers : Emmanuelle Soler Les musiques de l'émission : Vincent Burlot - « Libébulles », « Recherche électro noz », « Présence en attendant »,  « Présence Gérald » 

JAZZ FEED lundi, mercredi et vendredi à 17h30. Serge Mariani présente régulièrement un choix d'albums sortis récemment ou sur le point de l'être, des extraits de leur musique, des informations, des commentaires, des impressions, des émotions, c'est la nouvelle émission de Serge Mariani sur Art District Radio: JAZZFEED ! Au programme de cet épisode 2: l'album JEU de Louise Jallu / Oizel de Marion Rampal et Modular de Srdjan Ivanovic En ce début 2024, Srdjan Ivanovic nous propose de découvrir avec l'album Modular d'autres facettes de sa créativitéetdesoninspiration.Silestraditionsdes Balkans, de la Bosnie, de la Grèce, ne sont jamais très éloignées dans l'esprit et le coeur du compositeur commede l'instrumentiste, l'ouverture sur les autres cultures et une vision personnelle riche du jazz des plus récentes décennies,participentàconféreràl'albumModulartoute sa saveur. Pour Srdjan Ivanovic, la modulation est au coeur de toute vie et spécialement de l'univers infini des sonsdont la musique nous permet d'entrevoir la puissance créatrice. Le plus remarquable dans l'art de Marion Rampal, c'est certainement cette maîtrise d'une alchimie qui fait de savoix l'instrument le plus délicat et transforme son grain, chaque syllabe, chaque phonème, presque chaque lettre,en perles de musique. De chaque mesure de ses chansons, émane aussi un parfum unique, intime, organique. Ça sent lebayouetMarseille,LaNouvelle-Orléansetlescalanques. Le travail réalisé en studio avec le guitariste Matthis Pascaud depuis 2020 a trouvé au fil des compositions de Oizel une matière propice à ce qu'il n'est pas exagéré d'appeler son génie des climats. Et Marion Rampal nous ensorcelle à nouveau au cours d'un genre de descente tranquille d'un fleuve sûr de sa puissance, un fleuve nommé Oizel, dont les larges méandres nous laissent le temps de savourer sa musicalité naturelle et nous invite à nous baigner dans l'eau limpide de sa poésie. Il en fallait de la force pour se libérer de l'attraction d'un astre aussi puissant que la musique, et la stature, d'Astor Piazzolla. C'est pourtant ce qu'a réussi Louise Jallu avec son nouvel album, JEU. Le Schumann et Wozzeck de l'ouverture, un adagio de Bach transfiguré un peu plus loin, et surtout une exceptionnelle version bandoneonienne jallumée et cubiste du Bolero de Ravel, affirment une volonté de mettre sereinement le cap sur quelques-uns des horizons les plus lumineux de la musique universelle. Mathias Lévy, Karsten Hochapfel, Grégoire Letouvet, Alexandre Perrot et Ariel Tessier sont de son équipage, sans oublier Bernard Cavana, que l'on retrouve avec plaisir au poste éminent de directeur artistique et d'arrangeur éclairé. AvantqueLouiseetsonéquipagenereviennentaccoster au port de Gennevilliers après leurs aventures extraordinaires sur les océans de la musique, on aura entendu Georges Brassens dire que « les gens qui écrivent, écriventpourça,pourcréerautrechosequecequi existe ». Et bien je crois que l'on peut en dire autant de la musiquedeLouiseJalludansJEU:ellefaitchanterson bandoneonetl'orchestrequil'accompagnepourcréer autre chose que ce qui existe et cette « autre chose » est magnifique. Programmationmusicale  1- Kapetan Mihalis / Srdjan Ivanovic AlbumModular(sortiele2février2024) Label Rue des Balkans

durée : 00:54:23 - Affaires sensibles - 8 octobre 2009, Paris Match publie des photos de Diam's, la rappeuse la plus populaire de France, en train de marcher, vêtue d'un hijab et d'une tunique, en compagnie de son mari, vers la Mosquée de Gennevilliers en banlieue parisienne. - réalisé par : Frédéric Milano

durée : 01:00:15 - Le Conservatoire de Gennevilliers (3/3) - par : Françoise Degeorges - Dernière partie du trytique consacré au Conservatoire Edgar-Varèse de Genevilliers. Après le Département Musique Orientale et le Département Tango, découverte du Département des Percussions afro cubaines, créé et dirigé par Sebastian Quezada. - réalisé par : Pierre Willer

Dans ses 64 refuges et maisons, la Société protectrice des animaux (SPA), qui ne fonctionne que grâce aux dons, a recueilli plus de 45.000 animaux en 2021.Or, cette association a une longue histoire derrière elle. En effet, elle a été créée en 1845, par un groupe de notables, composé notamment de médecins, dont le docteur Dumont de Monteux et le docteur Pariset, premier Président de la SPA.Ils s'étaient émus, tous deux, du spectacle des chevaux de Paris, souvent maltraités par les cochers et les charretiers. Quand ils refusaient d'avancer ou se couchaient sur le sol, incapables de se relever, ils n'hésitaient pas à les frapper, avec le manche de leur fouet, dans les pattes ou sur les naseaux.Une prise de conscience progressiveDécidés à protéger ces animaux rudoyés, ces médecins fondent, avec d'autres, la SPA, et alertent les autorités. Avant même la création de l'association, ils obtiennent du préfet de police de Paris, en 1843, une interdiction de ces mauvais traitement, sous peine, pour les contrevenants, de lourdes amendes.On le voit, la SPA s'est d'abord préoccupée du sort des chevaux, avant de s'intéresser, plus tard, à celui des chiens, des chats et d'autres animaux.Faisant pression sur les députés, la Société obtient le vote de la loi Grammont, en 1850. C'est la première fois que la cruauté à l'égard des animaux est sanctionnée en France, mais elle ne s'applique qu'aux mauvais traitements infligés en public. Dans la sphère privée, les maîtres sadiques pouvaient continuer de brutaliser leurs animaux.Autre étape importante pour la SPA, en 1860 : elle est déclarée d'utilité publique par Napoléon III. Ce qui lui assure notamment plus de visibilité auprès du grand public.En 1881, Guy de Maupassant, qui possédait une véritable ménagerie, dont un singe et un perroquet, relaie dans la presse l'appel de la SPA pour construire un "asile pour les bêtes".À la suite de cette initiative, et d'autres actions, le premier refuge de la SPA, à Gennevilliers, est inauguré en 1903. Quant au premier dispensaire, il verra le jour en 1945. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

Dans ses 64 refuges et maisons, la Société protectrice des animaux (SPA), qui ne fonctionne que grâce aux dons, a recueilli plus de 45.000 animaux en 2021. Or, cette association a une longue histoire derrière elle. En effet, elle a été créée en 1845, par un groupe de notables, composé notamment de médecins, dont le docteur Dumont de Monteux et le docteur Pariset, premier Président de la SPA. Ils s'étaient émus, tous deux, du spectacle des chevaux de Paris, souvent maltraités par les cochers et les charretiers. Quand ils refusaient d'avancer ou se couchaient sur le sol, incapables de se relever, ils n'hésitaient pas à les frapper, avec le manche de leur fouet, dans les pattes ou sur les naseaux. Une prise de conscience progressive Décidés à protéger ces animaux rudoyés, ces médecins fondent, avec d'autres, la SPA, et alertent les autorités. Avant même la création de l'association, ils obtiennent du préfet de police de Paris, en 1843, une interdiction de ces mauvais traitement, sous peine, pour les contrevenants, de lourdes amendes. On le voit, la SPA s'est d'abord préoccupée du sort des chevaux, avant de s'intéresser, plus tard, à celui des chiens, des chats et d'autres animaux. Faisant pression sur les députés, la Société obtient le vote de la loi Grammont, en 1850. C'est la première fois que la cruauté à l'égard des animaux est sanctionnée en France, mais elle ne s'applique qu'aux mauvais traitements infligés en public. Dans la sphère privée, les maîtres sadiques pouvaient continuer de brutaliser leurs animaux. Autre étape importante pour la SPA, en 1860 : elle est déclarée d'utilité publique par Napoléon III. Ce qui lui assure notamment plus de visibilité auprès du grand public. En 1881, Guy de Maupassant, qui possédait une véritable ménagerie, dont un singe et un perroquet, relaie dans la presse l'appel de la SPA pour construire un "asile pour les bêtes". À la suite de cette initiative, et d'autres actions, le premier refuge de la SPA, à Gennevilliers, est inauguré en 1903. Quant au premier dispensaire, il verra le jour en 1945. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices

durée : 00:04:40 - Le Reportage de la Rédaction - Samedi 1er juillet, en pleine période d'émeutes après la mort du jeune Nahel, une kermesse artistique s'est tenue sur la place derrière le théâtre. Elle a permis de tisser des liens entre les habitants du quartier, les artistes et le T2G, le théâtre de Gennevilliers, un centre dramatique national.

Sur la plupart d'entre elles, des photos d'émeutiers de nuit, éclairés par les flammes... « Tout changer avant qu'il ne soit trop tard », titre Le Figaro Magazine tandis que Paris Match parle d'une « France à feu et à sang ». « Le sursaut ou le chaos », affiche Le Point. « Quartiers : 40 ans de désastre », écrit L'Express alors que Valeurs actuelles parle de « sécession ».Une couverture se démarque ce matin, celle de L'Humanité Magazine qui choisit de traiter des violences des forces de l'ordres. « Police Française : histoire d'une dérive », titre le magazine avec en une photo, celle de l'agrandissement de la vidéo de l'interpellation ayant conduit à la mort de Nahel. Dans son éditorial, le directeur de L'Humanité appelle à « entendre la colère ». « L'institution policière doit être repensée, réformée. Il faut écouter et dialoguer », affirme Fabien Gay.Le Point se demande plutôt si être policier n'est pas devenu une « mission impossible ». « Depuis une semaine, ils se font traiter d'assassins », peut-on lire. Pour l'hebdomadaire, le secrétaire régional Île-de-France du syndicat de police Alliance résume : « On est passé de "Pinot simple flic" à "American Nightmare" ». Et le fait que la justice retienne l'homicide volontaire contre le policier auteur du tir contre Nahel n'a rien arrangé dans le camp des forces de l'ordre, selon Paris Match : « Son incarcération est le coup de trop pour ces fonctionnaires ». Mais L'Express parle de l'outrance de certains syndicats, en l'occurrence Alliance et l'UNSA Police, qui ont publié un communiqué qui « a marqué les esprits ». Dans ce texte, ils fustigent les nuisibles – comprendre les jeunes émeutiers – et concluent en termes martiaux : « Aujourd'hui, les policiers sont au combat car nous sommes en guerre. Demain, nous serons en résistance ».Pas d'apaisement après l'incarcération du policierLe Point, Paris Match, Le Figaro Magazine ou encore Valeurs actuelles, tous publient des photos des nuits de violences et des dégâts au petit matin. Carcasses de voitures et de bus calcinées, mairies dévastées par les flammes. Un élu est le symbole de ces violences : Vincent Jeanbrun, maire de L'Haÿ-les-Roses, dont le domicile familial a été attaqué à la voiture bélier.Le Point et Valeurs actuelles le qualifient de « maire courage, de nouveau visage des élus qui résistent ». Des élus qui se demandent comme beaucoup comment on en est arrivé là. Pour tenter de comprendre le phénomène, les hebdos interrogent des spécialistes, notamment pour comprendre cette jeunesse qui a participé aux émeutes. Pour Le Point, c'est Boris Cyrulnik. Le spécialiste de la toute petite enfance l'assure : « ces enfants sont désespérés car ils ne sont pas tutorisés. Ils obéissent à des rituels claniques. Seule l'éducation peut les sauver ».De son côté, Le Figaro Magazine donne la parole à Pierre Brochand, l'ancien directeur général de la DGSE. Pour lui, « rien de comparable ne s'est produit dans les villes françaises depuis la Révolution de 1789 ». Il parle de « décennies d'abdication dans les quartiers populaires ». Mais ces banlieues populaires « ont besoin d'un État qui protège », martèle dans L'Humanité Magazine le maire communiste de Gennevilliers, où les nuits de violences se sont enchaînées. Selon lui, certaines villes souffrent depuis des années de l'absence de politique de la ville. Pas vraiment le même son de cloche du côté du Point, qui assure que « pour répondre au désarroi des habitants, les banlieues vivent sous perfusion d'argent public ». Sans résultats probants, constate l'hebdomadaire. Des hebdos qui sont tous d'accord sur un point : les émeutes urbaines et la situation actuelle ne profitent à terme qu'à l'extrême droite. Les réponses d'Élisabeth Borne au ParisienPremier constat du journal : « Certains la disent fragilisée. D'autres espéreraient qu'elle soit remplacée à Matignon. Mais Élisabeth Borne s'accroche ! » Dans les colonnes du Parisien, elle annonce « des moyens massifs pour protéger les Français », les 13 et 14 juillet. Quant aux mesures pour répondre aux émeutes, Élisabeth Borne l'assure : « On veut des réponses très rapides, que les familles mesurent les conséquences des actes commis par leurs enfants ». Agir vite, des réponses rapides, c'est d'ailleurs ce qui revient le plus dans cette interview. En 100 jours peut-être ? Sur cette question du cap des trois mois et quelques pour relancer le pays, la Première ministre l'affirme : « Tous les chantiers sont au vert, que ce soit du point de vue du travail, d'ordre républicain ou d'éducation et de santé… Tous les chantiers présentés fin avril ont été engagés ». Quant aux rumeurs autour de son départ, Élisabeth Borne botte en touche et le répète : « Je ne suis pas dans le commentaire, mais dans l'action ». Et à la question de savoir si Pap Ndiaye peut être ministre de l'Éducation nationale à la rentrée ? Si Marlène Schiappa peut rester malgré l'affaire du Fonds Marianne ? « Pas de commentaires », répond-elle. Des carences dans certains ministères ? « Ce sont des sujets que je n'évoque qu'en tête-à-tête avec le président de la République. »La Première ministre qui s'exprime donc dans les colonnes du Parisien, elle aurait aussi pu le faire dans celles du Journal du dimanche. Mais voilà, la grève se poursuit pour la troisième semaine d'affilée. La rédaction demande le retrait de la nomination de Geoffroy Lejeune, ancien de Valeurs actuelles. Les journalistes veulent aussi des garanties d'indépendance et en appellent à Emmanuel Macron.

Las mascotas se han convertido en la tercera fuente de tráfico en Francia, después de las drogas y las armas. Los robos, los casos de maltrato y las incautaciones se han disparado en los últimos años. Muchos franceses pasean a sus perros con el temor de no volverlos a ver. Nicolas recorre el barrio parisino de Montmartre con un balde de pegante en mano. Coloca en cada esquina una foto gigante de su perro Bayou: un aviso que dice “se busca” en letras rojas. “La tomé una vez que fuimos a la playa. Se ve su mancha en forma de corazón en su costado derecho. Hice 2.500 afiches. Me costaron como 1.00 euros. La próxima etapa será imprimir avisos de tres metros por cuatro y colocarlos al borde de la autopista. Quiero que toda Francia se entere que mi perro no está con sus dueños”, dice a RFI.Fue aquí que vio a Bayou por última vez. Muestra en su celular la foto del hombre que se llevó a su perro, agarrándolo por la correa. Una imagen sacada de una cámara de seguridad. “Mi perro solía andar sin correa. Ese día sí se la puse y salió corriendo con la correa puesta. El ladrón sin duda la tomó y se lo llevó. Fuimos a poner la denuncia en la comisaría”, recuerda.Nicolas y su pareja lograron localizar las cámaras de seguridad de la zona. “Fuimos tienda por tienda pidiendo ver grabaciones que mostraran la cara del ladrón. En una de ellas, un encargado nos confirmó que lo vio a las 7 y 02 pm. Le rogué a los policías que fueran a recuperar esas imágenes, pero no me dieron respuesta”. A los pocos días, la policía le anunció que habían cerrado el caso por falta de pruebas.Desesperado, Nicolas decidió tomar las riendas de la investigación. Con sus amigos y vecinos del barrio, emprendieron una búsqueda que los llevó a recorrer varios puntos de la capital.“Es complicado suponer los motivos del robo porque es una mezcla de raza criolla y ya tiene 6 años. No está castrado entonces puede que lo usen para reproducirse, para excitar perros de pelea, para venderlos a gente en sitios de anuncios en línea. Todo es posible. Es muy duro no saber dónde está”.3.400 señalamientos en 2022En Francia, además de las drogas y las armas, las mascotas son la tercera mayor fuente de tráfico. La Brigada de Protección de Animales (BPA) es una asociación de policías voluntarios encargada de investigar y alertar sobre casos de maltrato y tráfico de animales.“Los animales se venden por dinero. Las razas en especial interesan mucho. Las principales víctimas de este tráfico son los perros. No se puede rastrear el origen de una camada de cachorros”, explica Nathalie, su presidenta.“Hoy en día, con la crisis económica, la gente busca nuevos ingresos. Hemos visto más particulares vender sus propios cachorros en redes sociales, sin identificarse como criadores de perros”, detalla. El tráfico de animales se multiplicó por 10 en dos años. Pasó de más de 330 en 2020 a más de 3.400 en 2022. Existen redes de traficantes que importan a Francia animales provenientes de Europa y del Norte de África.  “Hay gente que se aprovechó de la guerra para ir a buscar perros de raza en Ucrania y traerlos. Además de los perros, hay todo un tráfico internacional de animales silvestres. Todo tipo de especies transitan por España para llegar a Francia”, recalca Nathalie.En el centro de París, en la isla de la Cité, existía cada domingo el mercado de pájaros. Una venta con centenares de jaulas repletas de aves domésticas, pero también silvestres. La asociación París Animales Zoopolis (PAZ) logró que se decidiera su cierre definitivo en 2022.“Había puestos sin licencia de venta, o sea que colocaban jaulas con pájaros sin autorización. También había vendedores que proponían en el baúl de sus vehículos especies protegidas, cuya venta está prohibida en Francia. Las autoridades incautaron por ejemplo jilgueros, una especie de aves silvestres muy traficadas, en peligro de extinción”, explica a RFI Amandine Savinsens, fundadora de PAZ, asociación que aboga por la “prohibición pura y dura de todo tipo de venta de animales”.Comercio y tráfico en líneaEn 2024 quedará prohibida la venta de cachorros y gatitos en las tiendas. Así lo decidieron los legisladores franceses al votar en 2021 una ley sobre el maltrato animal. RFI contactó varias de estas tiendas. Todas se rehúsan a comentar públicamente los efectos que tendrá. El sindicato del sector estimó que al menos 50 de ellas cerrarán debido a la nueva legislación y 100 quedarán fragilizadas económicamente. Sin embargo, los parlamentarios sostuvieron que el 80% de las mascotas se venden en internet. Si bien no prohibieron el comercio en línea, colocaron restricciones para la venta, como certificados y números de identidad, limitaciones a una camada por año de razas específicas y certificados veterinarios.En el norte de París, en la localidad de Gennevilliers, se encuentra uno de los 60 refugios de la Sociedad Protectora de Animales francesa (SPA). Aquí reciben todo tipo de animales domésticos abandonados o incautados, para encontrarles familia.En una de las jaulas vive Taiga, una perrita que hacía parte de una camada incautada en el archipiélago francés de Mayotte. “Nos dijeron que las incautaron a unos delincuentes que organizaban peleas. Estaban muy flacas y asustadas. Nos explicaron que en esa región del océano Índico la gente no paseaba a sus perros por temor a que se los roben”, dice Julie Rojo, responsable del refugio.Según ella, hay razas que interesan las redes de tráfico más que otras, como los Pitbull o los Staffordshire Bull Terrier. Lo que en Francia llaman perros de “primera categoría”, que se pueden considerar peligrosos. “La gente los compra sin saber que requieren cuidados específicos y no logran ocuparse de ellos. A su vez los venden a alguien más, que puede usarlos para la reproducción o para combates”, deplora Rojo.La SPA pide ciertos requisitos a las personas que buscan adoptar a sus animales, como “documentos de identidad, de domicilio, de ingresos, y los antecedentes penales”. Aún así, Julie Rojo dice que ninguno está a salvo de acabar en malas manos.Feliz reencuentroLa historia de Nicolas y de su perro robado le dio la vuelta a las redes sociales en Francia. Después de haber participado en un programa de televisión, recibió un mensaje de una mujer. Señalaba haber visto a Bayou con dos personas en un tren de suburbio. Nicolas alertó a la policía y horas después pudo reunirse de nuevo con Bayou.Las autoridades no lograron capturar al ladrón puesto que este le entregó el perro a un tercero que no había estado implicado en el robo y luego desapareció. Nicolas nunca supo por qué se había llevado a su perro. Ahora él y sus amigos buscan mejorar el manejo de estos casos por la justicia.“Queremos reformar los procesos, sensibilizar a los policías para que representen la causa animal en las comisarías. Son detalles, como dejar de cerrar casos rápidamente bajo el pretexto de que no hay evidencias nuevas”, dice y agrega: “Nosotros tuvimos mucha suerte”.  Un reportaje de Melissa Barra con la participación técnica de Pierre Zanutto.Lista musical:- "Dogs", Pink Floyd- "Chien chinois", Petit Prince

durée : 01:00:49 - Les élèves et les professeurs du département Tango au Conservatoire Edgar-Varèse de Gennevilliers - par : Françoise Degeorges - Les élèves et les professeurs du département Tango au Conservatoire Edgar-Varèse de Gennevilliers. - réalisé par : Pierre Willer

Sortant de sa séance de kinésiologie, Melha Bedia est passée par le studio de La Poudre pour un entretien assez exceptionnel, tout en finesse. Elle qui se définit comme une “Kardashian mixée à Arlette Laguiller” (08'12) a grandi à Gennevilliers aux côtés de son frère Ramzy (07'15) au sein d'une famille de femmes (13'20), dont sa mère, la plus grande féministe qu'elle connaisse (50'08). C'est la chanteuse Diam's qui l'a introduite à la scène (26'54), elle qui était alors son habilleuse sur sa tournée (25'37). Elle a vécu en direct la mise au ban par la société de cette rappeuse “qui parlait à toutes les femmes” (21'26). Au micro de Lauren Bastide, elle évoque son passage rapide au PSG Jeunes (15'30), et l'importance des valeurs du football, matérialisées sur le terrain (16'55). Melha Bedia a la réflexion rapide, elle parle vite, de la solitude (51'52), du rire comme mécanisme de défense (17'03), du body positivisme (32'23), de l'importance de la représentation des minorités à la télévision et au cinéma (47'15). Tout en humilité (05'02), elle confesse finalement que pour elle, une vraie femme, c'est un vrai bonhomme (48'29). La Poudre est une émission produite par Lauren Bastide, diffusée en exclusivité sur Spotify. Générique : Lauren Bastide et Marion Emerit sur un concept original d'Aurore Meyer-Mahieu. Prise de son, montage et mixage : Marion Emerit. Programmation et coordination : Marie Laurence-Chérie assistée de Sophie Volatier-Godard. Learn more about your ad choices. Visit podcastchoices.com/adchoices

durée : 01:00:15 - Le Département de musique arabo-andalouse du Conservatoire Edgar-Varèse de Gennevilliers - par : Françoise Degeorges - Avec Rachid Brahim-Djelloul et ses élèves de 2ème et 3ème cycle. - réalisé par : Pierre Willer

durée : 00:50:00 - Les Nuits de France Culture - par : Albane Penaranda - En 1966, à l'occasion de la sortie de son film "Les cours verts", Édouard Luntz était l'invité de "Connaître le cinéma", pour un entretien suivi d'un débat avec un public qui réagissait à la découverte du film. Disparu en 2009, Édouard Luntz est aujourd'hui un cinéaste un peu oublié. Évoquant certains films de Truffaut, de Pialat ou Eustache, son ouvre est travaillée par les questions de l'enfance, de l'adolescence, de la délinquance dans la banlieue des années 60. Après avoir été l'assistant de Jean Grémillon, Nicholas Ray et Pierre Prévert, il se lança, aux premiers temps de la Nouvelle Vague, dans la réalisation de courts-métrages remarqués, en particulier Enfants des courants d'air, tourné dans un bidonville de la Plaine Saint Denis et récompensé du Prix Jean Vigo. Mais c'est surtout son long métrage de 1966, Les cours verts, qui domine sa filmographie ; une fiction tournée avec une bande de blousons noirs à Nanterre et Gennevilliers. C'est à l'occasion de sa sortie qu'Édouard Luntz était l'invité de "Connaître le cinéma", pour un entretien suivi d'un débat avec un public qui régissait à la projection du film. * Production : Philippe Esnault Connaître   le cinéma - "Les coeurs verts" d'Edouard Luntz (1ère diffusion :   25/06/1966) Archive INA-Radio France

REDIFF - Le 21 décembre 1985, à Gennevilliers, à seulement quelques kilomètres au nord-ouest de Paris. C'est la période de Noël, mais pas pour tout le monde...Devant un chapiteau installé sur le terrain de sport communal prêté par la Ville, des centaines de familles font déjà la queue. C'est aujourd'hui que Coluche inaugure le premier centre des Restos du cœur. Ce jour-là, 700 sacs de nourriture sont distribués. Nos invités sont Marie Sisco, bénévole depuis la 2ème campagne des Restos du Cœur, Muriel Mitchell qui a collaboré avec Véronique Colucci de nombreuses années et l'un des piliers du lancement des Enfoirés et Romain Colucci, bénévole aux Resto du Cœur et fils de Coluche.

durée : 00:44:31 - Par les temps qui courent - par : Marie Richeux - Rencontre avec le metteur en scène Daniel Jeanneteau, et le vidéaste Mammar Benranou pour le spectacle "La cerisaie" d'Anton Tchékhov, qui se joue au T2G-théâtre de Gennevilliers jusqu'au 28 novembre. - invités : Daniel Jeanneteau Metteur en scène et scénographe; Mammar Benranou vidéaste

durée : 00:44:31 - Par les temps qui courent - par : Marie Richeux - Rencontre avec le metteur en scène Daniel Jeanneteau, et le vidéaste Mammar Benranou pour le spectacle "La cerisaie" d'Anton Tchékhov, qui se joue au T2G-théâtre de Gennevilliers jusqu'au 28 novembre. - invités : Daniel Jeanneteau Metteur en scène et scénographe; Mammar Benranou vidéaste

durée : 00:44:50 - Par les temps qui courent - Nous recevons la danseuse et chorégraphe Bouchra Ouizguen son spectacle "Elephant" au Centre Pompidou du 14 au 17 septembre puis au T2G Théâtre de Gennevilliers les 29 et 30 septembre, dans le cadre du festival d'Automne à Paris. - invités : Bouchra Ouizguen danseuse, chorégraphe

durée : 00:44:50 - Par les temps qui courent - Nous recevons la danseuse et chorégraphe Bouchra Ouizguen son spectacle "Elephant" au Centre Pompidou du 14 au 17 septembre puis au T2G Théâtre de Gennevilliers les 29 et 30 septembre, dans le cadre du festival d'Automne à Paris. - invités : Bouchra Ouizguen danseuse, chorégraphe

durée : 00:54:21 - Affaires sensibles - par : Fabrice Drouelle - 8 octobre 2009, Paris Match publie des photos de Diam's, la rappeuse la plus populaire de France, en train de marcher, vêtue d'un hijab et d'une tunique, en compagnie de son mari, vers la Mosquée de Gennevilliers en banlieue parisienne.

Un En Sol Majeur, et une émission spéciale aujourd'hui, puisqu'on a repris le chemin des RER et autres trains de banlieue pour aller à la rencontre des Chibanis. Cheveux blancs, la soixantaine et plus, ils ont été pour la plupart ces jeunes travailleurs immigrés venus du maghreb et d'Afrique subsaharienne, dont la France a eu besoin pour se reconstruire après la guerre, et puis comme main-d'œuvre dès les années 70. Aujourd'hui, l'heure de la retraite sonne douloureusement : puisque ces oubliés des « trente glorieuses » (environ 110 000 en France) logés par Adoma ex-Sonacotra vivent dans une immense précarité, soutenus Allah y berek par de tenaces réseaux associatifs dont l'ATMF (l'Association des travailleurs maghrébins de France). C'est d'ailleurs dans les locaux de cette association à Gennevilliers, près de Paris, que nous rencontrons ceux qui ont l'élégance de bien vouloir témoigner de leur statut et de leur parcours de vie, ces chibanis qui -je l'avoue- ont un peu le visage de mon grand-père. Ils sont trois avec, par ordre d'apparition, Mohamed Djoumi, Abdellah Moubine (président de l'ATMF) et Mouloud. Musiques diffusées pendant l'émission Meskoud Abdelmajid El Assima Rachid Taha Ya rayah Idir Vava inouva (Rediffusion du 7 juillet 2020)

Octobre 2009. 5 ans après avoir débattu puis interdit le port du voile à l'école, la France et ses représentants s'écharpent au sujet de l'interdiction ou non dans la rue de la burqa, le voile intégral. C'est dans ce climat tendu que Paris Match décide de publier une photo volée de la chanteuse Diam's. Accompagnée de son mari Aziz, elle sort de la mosquée de Gennevilliers. Diam's porte l'abaya, une tenue islamique, ainsi qu'un foulard. C'est une paparazzade. L'artiste est blessée et furieuse. La presse s'interroge, mais la première et unique star féminine du rap français se refuse à tout entretien. De surcroit, la polémique intervient un mois avant la sortie de son quatrième album, « SOS ». Ecoutez Jour J avec Flavie Flament du 29 juin 2022

En octobre 2009, 5 ans après avoir débattu puis interdit le port du voile à l'école, la France et ses représentants s'écharpent au sujet de l'interdiction ou non dans la rue de la burqa, le voile intégral. C'est dans ce climat tendu que "Paris Match" décide de publier une photo volée de la chanteuse Diam's. Accompagnée de son mari Aziz, elle sort de la mosquée de Gennevilliers. Diam's porte l'abaya, une tenue traditionnelle portée par certaines femmes musulmanes, ainsi qu'un foulard. C'est une paparazzade. L'artiste est blessée et furieuse. La presse s'interroge, mais la première et unique star féminine du rap français se refuse à tout entretien. Ce soir dans "Jour J", nous vous parlons d'une femme qui a décidé un jour de prendre un chemin personnel que d'aucuns ont perçu comme un affront à la laïcité. Notre invité sera Olivier Cachin, journaliste et écrivain, spécialiste du rap. Ecoutez Jour J avec Flavie Flament du 29 juin 2022

Mission bac place Beauvau Melha Bédia : les Kardashian de Gennevilliers (4/10). L'actrice et stand-uppeuse Melha Bedia raconte comment son frère Ramzy et Jamel Debbouze l'ont obligée à passer son bac dans un bon lycée. Celle qui préfère les tournées avec Diam's aux longues études se retrouve invitée au ministère de l'Intérieur, alors dirigé par Sarkozy, dans le bureau de Rachida Dati... Les histoires de quartier d'Oxmo PuccinoLe rappeur et écrivain Oxmo Puccino part à la rencontre de fortes personnalités issues des quartiers : des artistes comme Mehla Bédia et Médine, mais aussi et surtout des anonymes qui se succèdent au micro avec une gouaille authentique pour raconter leur plus forte «  histoire de quartier ». Alors bien sûr, il y a des embrouilles, des dealers qui défendent leur terrain, une fusillade dans une soirée hip-hop... Mais il y a aussi des histoires de famille, d'oiseau exotique et d'amour nées entre les tours. Cette série fraîche et cash réalisée par David Commeillas propose un recueil de la mémoire vivante des quartiers pour raconter la France d'aujourd'hui. Enregistrements : 2021 - Réalisation : David Commeillas - Musiques : Oxmo Puccino, Samuel Hirsch - Illustration : Zaven Najjar - Production : ARTE Radio en partenariat avec Derrière les planches - Musiques : Oxmo Puccino, Samuel Hirsch