Swiss actor
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durée : 01:30:54 - Les Nuits de France Culture - par : Albane Penaranda - En 1985, dix ans après sa mort, hommage à Michel Simon dans les "Mardis du cinéma", avec certains de ceux qui avaient été ses partenaires comme Françoise Seigner, Arletty ou Daniel Gélin, et avec Jean-Pierre Mocky qui lui offrit son dernier rôle. - réalisation : Virginie Mourthé - invités : Jean-Pierre Mocky Réalisateur, scénariste, producteur, comédien; Arletty Comédienne et chanteuse française (1898 - 1992); Michel Simon; Jean Renoir Cinéaste (1894 - 1979)
durée : 01:15:00 - Les Nuits de France Culture - par : Philippe Garbit - La joie de vivre - Michel Simon (1ère diffusion : 09/10/1955 Chaîne Parisienne)
durée : 00:27:57 - Les Nuits de France Culture - par : Albane Penaranda - Dans “Rapport pour une Académie” de Kafka, un homme évoque son passé de singe devant une assemblée de savants. En 1965, l'acteur Michel Simon en propose une lecture. Michel Simon que son amour pour ses guenons, en plus de son immense talent, désignait évidemment comme le lecteur rêvé de ce texte. - invités : Michel Simon
durée : 01:19:56 - Les Nuits de France Culture - par : Philippe Garbit - Janine Bazin est la productrice de la mythique émission de cinéma "Cinéastes de notre temps". En 1997, elle se confie au micro des "Nuits Magnétiques" dans un portrait illustré d'archives de Michel Simon, Jean Renoir, Franju, Pasolini, Josef Von Sternberg, des personnalités qu'elle a bien connues. - invités : Janine Bazin Productrice française de cinéma et de télévision (1923-2003); André S. Labarthe Critique de cinéma, documentariste et producteur français; Michel Simon; Georges Franju; Jean Renoir Cinéaste (1894 - 1979); Jacques Rivette Réalisateur de cinéma français; Luis Buñuel Réalisateur et scénariste espagnol naturalisé mexicain; Josef Von Sternberg
Ki méltó a gondoskodásra és milyen függelmi viszonyok válnak az erőszakos munkakényszer helytartójává a két világháború között? Mi teszi érdemesse Boudut a megmentésre, milyen referenciák szerint ő a tökéletes csavargó? Mitől olyan különleges Michel Simon teste, Boudu szexualitása? Mit jelent a folyó az avantgárd számára? Hogy működik az iskola, amelyet a francia új hullám archetipikus kisfiúja egy vízisiklóval dúl szét? Mitől operai Rozier és Renoir filmje?Ezekről beszélget Őze Eszter művészettörténésszel Babos Anna és Petri-Lukács Simon, a Partizán Filmklub két műsorvezetője. Az adás a filmklub április 25-i alkalmát dolgozza fel, amikor Jacques Rozier és Jean Renoir filmjét mutattuk be. Mától hallgatható a Partizán Podcast szokásos platformjain!Ha pedig a beszélgetés meghozta a kedved, hogy részt vegyél egy vetítésen és magad is hozzászólj a filmekhez, gyere el a következő alkalomra május 22-én 19 órára a Partizán Filmklub eseményére az Eötvös10-be: https://www.facebook.com/events/467162845750911Támogasd te is a Partizánt adód 1 százalékával!Adószám: 19286031-2-42Név: Partizán Rendszerkritikus Tartalomelőállításért AlapítványMinden adó 1% infót és segítséget megtalálsz itt: https://szja1.partizanmedia.hu/Nézd, olvasd, hallgasd - minden péntek reggel: https://pentekreggel.huTámogasd te is a Partizán munkáját!https://csapat.partizanmedia.hu/fundraising/partizan/További támogatási lehetőségekről bővebben: https://www.partizanmedia.hu/tamogatasA Partizán Podcast oldalait itt találod: YouTube: https://www.youtube.com/@PartizanPodcastFacebook: https://www.facebook.com/profile.php?id=100087436092000A Partizán videóit itt tudod megnézni:https://www.youtube.com/c/Partiz%C3%A1nm%C3%A9dia
Jennifer Mary avait quatorze ans. C'était une collégienne souriante, simple, tranquille. Personne ne lui voulait du mal et pourtant on l'a retrouvée morte, poignardée chez elle, à Reims, au premier jour du printemps 2001. Cette seule scène de crime, témoignant d'un terrifiant acharnement du tueur, va dès le premier jour intriguer les policiers qui vont vite s'orienter vers l'acte d'un familier. Quelqu'un qui connaissait Jennifer.
Le premier long métrage de Claude Berri sorti en 1967 sʹintitule Le Vieil Homme et lʹEnfant. A 32 ans, le réalisateur revient sur ses souvenirs dʹenfance et les romance. Car Claude Berri, né Claude Langmann, a connu la guerre et la France occupée. Juif, il est placé en 1944 à la campagne, par ses parents, auprès dʹun vieux couple qui ignore son origine. Il y passe de beaux moments, à lʹabri du danger. Bien des années plus tard, Claude Berri en fait une histoire simple que lʹon peut comparer à une fable. Lʹhistoire dʹun réactionnaire antisémite et dʹun enfant juif qui sʹaiment. Un grand-père et un petit-fils juste ravis dʹêtre ensemble. Le film critique les propagandes antisémites, dénonce le racisme, la bêtise, lʹabrutissement. A lʹautomne 1945, le petit Claude retourne à la ville emportant son secret. Le pépé ne saura jamais quʹil a hébergé un juif. Difficile de tourner ça. Le rôle du Pépé est confié à un acteur dʹenvergure, une gueule, Michel Simon qui avait un peu disparu des écrans. A ses côté Alain Cohen, le petit garçon. Luce Fabiole, Claude Piéplu, Charles Denner, Paul Préboist, Roger Carel complètent le casting. A sa sortie, le film plaît beaucoup, enchante le public et la critique et reçoit lʹOurs d'argent à Berlin, en 1967. Aujourdʹhui, dans Travelling, nous allons dérouler lʹhistoire de ce beau film qui dénonce les idées toutes faites et qui prône le vivre ensemble, la tolérance. Ne tardons pas. Les parents de Claude, fourreurs, ont très peur dans ce climat délétère de cette guerre. Juifs, ils se cachent et finissent par envoyer leur petit garçon à la campagne pour le protéger et en lui apprenant à réciter le Notre Père. REFERENCES Michel Mortier, " Le Vieil homme et l'enfant ", Téléciné no 135, Paris, Fédération des Loisirs et Culture Cinématographique (FLECC), novembre 1967, Claude Berri, Autoportrait, Edition Léo Scheer, 2003 Claude Berri et Raymonde Letournel, les Dossiers de lʹécran, le 18 novembre 1975. https://www.facebook.com/Ina.fr/videos/claude-berri-cach%C3%A9-par-raymonde-pendant-loccupation-1975/875418763751613/?locale=fr_FR Michel Simon après la sortie du film https://www.ina.fr/ina-eclaire-actu/video/cpf07007167/michel-simon
Ecoutez On refait la planète du 14 janvier 2024 avec La Rédaction RTL.
durée : 01:15:00 - Les Nuits de France Culture - par : Philippe Garbit - Par Gisèle Boyer et Guy Montassut - Avec Michel Simon, Paul Guth, Jean Meyer, Albert Willemetz, Henri Decoin, Maurice Chevalier, Michèle Morgan, François Villiers et Sacha Guitry - Réalisation René Wilmet
durée : 01:19:59 - Les Nuits de France Culture - par : Philippe Garbit - "Nuits magnétiques - Janine Bazin : sous le signe du lion" l'émission propose un portrait de la productrice et des archives de Michel Simon, Jean Renoir, Georges Franju, Pier Paolo Pasolini, Luis Buñuel et Josef Von Sternberg, des hommes de cinéma que Janine Bazin connaissait bien. - invités : Janine Bazin Productrice française de cinéma et de télévision (1923-2003); André S. Labarthe; Michel Simon; Georges Franju; Jean Renoir Cinéaste (1894 - 1979); Jacques Rivette Réalisateur de cinéma français; Luis Buñuel Réalisateur et scénariste espagnol naturalisé mexicain; Josef Von Sternberg
Jennifer Mary avait quatorze ans. C'était une collégienne souriante, simple, tranquille. Personne ne lui voulait du mal et pourtant on l'a retrouvée morte, poignardée chez elle, à Reims, au premier jour du printemps 2001. Cette seule scène de crime, témoignant d'un terrifiant acharnement du tueur, va dès le premier jour intriguer les policiers qui vont vite s'orienter vers l'acte d'un familier. Quelqu'un qui connaissait Jennifer. Retrouvez tous les jours en podcast le décryptage d'un faits divers, d'un crime ou d'une énigme judiciaire par Jean-Alphonse Richard, entouré de spécialistes, et de témoins d'affaires criminelles. Ecoutez L'heure du Crime du 08 septembre 2023 avec Jean-Alphonse Richard.
durée : 00:07:42 - Les Nuits de France Culture - par : Albane Penaranda - Lors d'un entretien mené dans un train en septembre 1964, Rose Valland, conservatrice de musée et résistante, présente le film franco-américain "Le Train" qui s'inspire d'un épisode réel de la Seconde Guerre mondiale, relaté dans son livre "Le Front de l'art" publié en 1961. - invités : Rose Valland Conservatrice de musée et résistante française; Michel Simon
durée : 01:35:00 - Les Nuits de France Culture - Par Michel Boujut - Avec Charles Goldblatt, Pierre Lherminier et Jean Dasté - Avec les voix de Michel Simon, Albert Riera, Jean Painlevé et Gille Margaritis
durée : 00:04:43 - Voyage en Comédie - par : Thomas CROISIERE - En avance sur son époque, il ne connut le succès qu'après sa ressortie de 1951 et quel plaisir d'y revoir Jouvet et Simon qui se détestaient cordialement. - réalisé par : François AUDOIN
In the nineteenth episode of Season 6 (Heists, Cons, & Grifters) Kyle is joined by cinematographer Josh Carter and script supervisor Katy Baldwin to discuss the thrilling World War II French Resistance actioner about the heist of cultural heritage and the lives it takes to save it in John Frankenheimer's The Train (1964).
In the second episode of Season 6 (Heists, Cons, & Grifters) Kyle is joined by fellow podcaster Ben Thelen (of the Dead Reckoner Podcast) and stunt actor Danny Hernandez to talk about Jean Renoir's immensely cynical depiction of the post-war France grifting lifestyle that equates survival and usury in La Chienne (1931).
Bienvenue sur Il était une fois le bijou, le seul podcast thématique de la joaillerie, dans cette nouvelle saison consacrée aux bijoux et aux montres érotiques où je vous propose comme Michel Onfray, un Art de Jouir qui dépasse la lignée morale, pour réhabiliter une pensée hédoniste mais concentrée en joaillerie et horlogerie. Parce que l'érotisme ce n'est ni le sexe, ni l'amour, ni la pornographie mais toutes les émotions qui provoquent l'ardeur et stimulent les appétits. Et, cet appel ardant est suggéré, entretenu, démultiplié par les représentations culturelles et artistiques, les plus susceptibles de réchauffer les sens. Et en ce sens les œuvres de nombreux artistes joailliers et horlogers évoquent Eros, réchauffent la flamme, suggèrent les fantasmes et même stimulent la concupiscence. Alors je vous propose en quelques épisodes, de découvrir comment le bijou et la montre reflète à travers le temps, l'érotisme sulfureux des interdits d'autrefois comme le jouir ludique des différentes époques. Je vous invite à décrypter les représentations sociales que le bijou érotique indique. Et pour que le plaisir soit complet, je vous entraine au milieu des gardes temps licencieux et des montres libertines. Dans ce 1 épisode, Dominique Fléchon, historien et membre du Conseil culturel de la FHH (Fondation de la Haute Horlogerie) nous raconte l'apparition des montres érotiques au XVIIe siècle. La montre étant au départ une montre de poche, les modèles comprenaient des caches pour protéger le mécanisme, le verre de montre alors très fragile et l'ensemble de la montre. Cette configuration permettait de créer des scènes décoratives cachées. Aussi se prêtaient-elles à ce qu'on insère des représentations érotiques. Avec l'apparition des mouvements automates des montres, les horlogers imaginent des scènes animées. Bien sûr elles pouvaient être innocentes comme libertines. Dans ce cas l'atelier ne signait jamais, ce qui rend la démarche historique plus complexe. La montre de cette époque est un objet de grand luxe, un objet de conversation, c'est-à-dire qu'on la fait admirer en privé à un public averti. Alors comme l'Eglise interdit la montre libertine, les amateurs demandent la création de montres érotiques qui mettent en scènes des curés et des nonnes, des personnages publics, des représentants politiques et des scènes montrant les niveaux sociaux. La montre automate de l'époque a tellement de valeur qu'elle est même une compensation du commerce extérieur. On importe de Chine le thé, la soie, la porcelaine,… Et on exporte de magnifiques montres érotiques aux scènes colorées dont les chinois aisés sont friands. Il n'y a pas de ventes aux enchères officiels c'est un marché de collectionneurs et souvent de gré à gré. On connait les collections du roi Farouk, la montre d'Elton John et on sait que l'acteur Michel Simon avait poursuivit la collection paternelle. Mais il n'y apas de catalogue officiel de ces montres. La montre de poche tombe en désuétude en faveur de la montre bracelet au XIX et la montre érotique mute également. On voit apparaitre des montres en métal non précieux avec des photographies mais qui n'ont plus la même dimension d'objet artistique. Vers le XXe les grandes Maisons horlogères, en voulait redonner ses lettres de noblesses aux montres à mouvements, produisent quelquefois des montres érotiques qui attirent un rayonnement médiatiques favorable à créer un engouement pour les automates. Ces montres sont maintenant des montres bracelets et à nouveau de très beaux objets de luxe et d'art. Je suis Anne Desmarest de Jotemps et je donne une voix aux bijoux chaque dimanche. Et notre prochain RDV pour effeuiller ce sujet de la montre libertine sera le 24 avril sur ce podcast pour un nouvel épisode où nous entrerons dans le « cabinet de curiosité » du célèbre horloger Svend Andersen spécialiste de la montre érotique. Oui seulement le 24 avril, parce l'attente peut être croustillante et que j'aurais le plaisir de vous accueillir en préambule sur mes autres podcasts Le bijou comme un bisou le 10 avril, puis sur le Brillante, le podcast des femmes de la joaillerie, le 17 avril. Pour ne manquez aucun de nos rendez-vous du dimanche autour du bijou, abonnez à chacun de mes 3 podcasts sur votre plate-forme d'écoute préférée et encouragez-moi en partageant l'épisode sur vos réseaux sociaux. Si vous êtes sur Apple podcast, Spotify ou sur You Tube mettez de jolis commentaires, des pouces ou des étoiles c'est ce qui permet de faire monter le référencement des podcasts ! Si vous aussi vous avez envie de faire parler vos bijoux et votre Maison je serai ravie de vous accompagner pour réaliser votre podcast de marque ou de vous accueillir en partenaire dans mes podcast natifs. A la semaine prochaine, en joyau et avec amour ! Création sonore et Ingénierie du son : Alice Krief – Les Belles Fréquences
Como el caso de Jean Vigo, hay muy pocos en la historia del cine. Sólo cuatro obras en apenas cuatro años, dos de ellas clásicos absolutos de la historia del cine, en una carrera que sólo fue ganando influencia en forma póstuma. Fallecido a los 29 años, a causa de una tuberculosis que lo acechó desde su juventud, Vigo se sabía operando con los minutos contados y quizás por eso desde sus primeros intentos con los cortos documentales À propos de Nice (1930) y Taris (1931), irrumpió con energía e imaginación desusadas en un principiante situado a caballo entre el tránsito del cine mudo al sonoro. La promesa de Vigo se reforzaría en 1933, con el polémico no-estreno de Cero en conducta —un filme de revolución escolar sin el cual nunca habrían existido Los cuatrocientos golpes, La guerra de los botones o If...— y más tarde el rodaje de L'Atalante (1934). Este último prodigio, artefacto que funde de manera indisoluble el melodrama de enamorados, el germen del realismo poético, una buena cuota de simbolismo, el arte insuperable de Michel Simon y sobre todo la idea de imagen cinematográfica entendida como enigma, como misterio, bien puede ser una de las obras capitales en el arte del siglo XX. Vigo no alcanzaría a enterarse de nada de esto, moriría, caería en el olvido, para luego —vía Henri Langlois, la Cinemateca Frencesa y los jóvenes de Cahiers du Cinéma— convertirse en inmortal. Sobre eso y más se habla en este podcast.
For today's movie review:Jean Renoir directs Michel Simon in Boudu Saved from Drowning! Join Adam and Andy as they discuss the 1930s comedy that inspired Down and Out in Beverly Hills!Check out Boudu Saved from Drowning (1932)Show Notes:Viewer's Question:What are our favorite Richard Dreyfuss movies?Comment/email your answers.Chapters:(~0:00:08) Introduction(~0:00:47) Featured Review(~0:15:31) Viewer's Question(~0:19:16) ClosingLike, comment, or subscribe if you'd want to see more episodes.Feel free to send us a question we can answer on the air to ReelShame@gmail.com or follow us on Instagram @ReelShame.
durée : 01:34:59 - Les Nuits de France Culture - par : Philippe Garbit, Albane Penaranda, Mathilde Wagman - Mardis du cinéma - Michel Simon (1ère diffusion : 23/04/1985)Par Simone Douek - Avec Arletty, Françoise Seigner, Didier Baudet, Daniel Gélin, Léon Lesacq, Roger Corbeau (photographe de plateau), Jean-Pierre Mocky (réalisateur) et Xavier Pasquini (journaliste et écrivain) - Avec les voix de Michel Simon et de Jean Renoir - Réalisation Maurice Audran - réalisation : Virginie Mourthé
Deux misérables cabotins, Trignol et Baluchet, imaginent pour conquérir la gloire de simuler un meurtre: Baluchet devra assassiner Trignol qui disparaîtra quelques temps pour réapparaître aux assises. Mais le jour dit, Trignol ne revient pas. Il a été arrêté à la place d'un général révolutionnaire. Il s'évade heureusement juste à temps pour sauver son ami.Avec : Michel Simon, Jules Berry, Marie Glory, Gabrielle Fontan, Claire Gerard, Fernande AlbanyDans cette comédie le duo Jules Berry-Michel Simon endosse les rôles de deux acteurs ratés qui, pour accéder à la célébrité, se retrouvent pris au piège d’une farce macabre… et hilarante !Restauration et numérisation 2 K avec le soutien du CNC.Audio : Mono - Langues : Français - Image : Noir & Blanc 4/3
durée : 00:25:11 - Ar valeadenn - La balade en breton FB Breizh Izel
durée : 00:26:57 - Ar valeadenn - La balade en breton FB Breizh Izel - Une balade à Bonen en Centre-Bretagne sur les traces de Philomène Cadoret 1892-1923 poétesse, auteure de chansons sous le nom de Koumig Arvor. Michel Simon est l'auteur de plusieurs ouvrage qui lui sont consacrés "Filomena Cadoret Une voix oubliée" 2016, "Filomena Cadoret Une plume passionnée" 2020
Lʹhistoire est celle, absurde, dʹun homme qui ne peut plus supporter sa femme. Et réciproquement. Chacun projette de tuer lʹautre. Lʹhomme se montrera plus malin et réalisera le crime parfait. Comédie de mœurs villageoise et drame familial absurde qui permet au cinéaste, Sacha Guitry, de régler ses comptes avec la société française de la libération ainsi quʹavec la justice. La Poison, de Sacha Guitry, avec Michel Simon, sort en 1951. Références: Les œuvres majeures de Sacha Guitry, Un demi-siècle dʹamour, de théâtre et dʹesprit, préface dʹAlain Decaux, Presses de la cité/Omnibus, 1991-1993 Sacha Guitry, Cinéma, de Bonne chance à Si Versailles mʹétait conté…, Tous les scénarios écrits spécialement pour le cinéma, Omnibus, 2007 LORCEY, Jacques, les films de Sacha Guitry, Préface de Francis Huster, Edtion Empreinte, 2007
durée : 00:59:59 - Les Nuits de France Culture - par : Philippe Garbit, Albane Penaranda, Mathilde Wagman - Par Luc Bérimont - Avec Michel Simon - Réalisation Bernard Gandrey-Réty - réalisation : Virginie Mourthé
durée : 01:19:59 - Les Nuits de France Culture - par : Philippe Garbit, Albane Penaranda, Mathilde Wagman - "Nuits magnétiques - Janine Bazin : sous le signe du lion" l'émission propose un portrait de la productrice et des archives de Michel Simon, Jean Renoir, Georges Franju, Pier Paolo Pasolini, Luis Buñuel et Josef Von Sternberg, des hommes de cinéma que Janine Bazin connaissait bien. - réalisation : Virginie Mourthé - invités : Janine Bazin Productrice française de cinéma et de télévision (1923-2003); André S. Labarthe; Michel Simon; Georges Franju; Jean Renoir cinéaste (1894 - 1979); Jacques Rivette Réalisateur de cinéma français; Luis Buñuel; Josef Von Sternberg
durée : 00:35:00 - Les Nuits de France Culture - par : Philippe Garbit, Albane Penaranda, Mathilde Wagman - La Nuit rêvée de Fabrice Luchini - Entretien 2/3. Le comédien évoque son admiration pour les monuments que sont les comédiens Bernard Blier, Jules Raimu, Michel Simon et Louis Jouvet ainsi que sa passion inconditionnelle pour Molière. - réalisation : Virginie Mourthé - invités : Fabrice Luchini Comédien et acteur
durée : 01:34:59 - Les Nuits de France Culture - par : Philippe Garbit, Albane Penaranda, Mathilde Wagman - Mardis du cinéma - Michel Simon (1ère diffusion : 23/04/1985) - réalisation : Virginie Mourthé
durée : 01:54:59 - Les Nuits de France Culture - par : Philippe Garbit, Albane Penaranda, Mathilde Wagman - Par Michel Polac - Avec Jean Renoir et Michel Simon - Réalisation Annie Coeurdevey - réalisation : Virginie Mourthé
durée : 00:54:21 - Et je remets le son - par : Matthieu Conquet - Tandis que sort son nouvel album "Terre Neuve", l'Artiste reçoit dans son domaine, l'île Saint-Louis, pour évoquer les musiques qui l'accompagnent, notamment Michel Simon, Tom Waits, Mozart et Billie Holiday... Retrouvez aussi les nouveautés de la Playlist Inter : Yaël Naïm, David Walters, Oxmo Puccino... - invités : Brigitte Fontaine - Brigitte FONTAINE
durée : 01:35:00 - Les Nuits de France Culture - Par Michel Boujut - Avec Charles Goldblatt, Pierre Lherminier et Jean Dasté - Avec les voix de Michel Simon, Albert Riera, Jean Painlevé et Gille Margaritis
Esta noche tenemos cine de emoción, sin un segundo de respiro. El Tren de John Frankenheimer, 1964. El Tren contiene compromiso social y espectáculo, entretenimiento y dilemas morales. Es una pieza de orfebrería, con un ritmo y una atmósfera excepcional. Se nota la manera de narrar de Frankenheimer, quizás el director más talentoso de esa generación de la televisión que revitalizó Hollywood en los sesenta. Su puesta en escena y su brío para la acción son indudables. El arranque de la historia, con ese primer ataque a la estación te dejan boquiabierto. Un tren cargado de obras de arte que los Nazis quieren llevarse de Francia en las postrimerías de la ocupación; los ferroviarios franceses, infiltrados en la resistencia, son los verdaderos héroes de este episodio verídico de la segunda guerra mundial. La película grita al mundo que no olvidemos el brutal sacrifico de esos civiles anónimos, que entregaron sus vidas para salvaguardar la Cultura y la Libertad de su país, la Gloria de Francia. El reparto es magnífico, Labiche es Burt Lancaster, un alarde de actuación y poderío físico para encarnar a este héroe con las manos manchadas de aceite de locomotora, que cree que las personas, cree que sus vidas son más importantes que las pinturas, pero lo entregará todo por cumplir la misión. La visión elitista del arte la encarna el papel del Coronel Franz Von Waldheim, inmenso Paul Scofield, con un discurso final sobrecogedor, delimitando el acceso a la belleza, al arte... un sucio mono grasiento no sabe apreciarlo… El contrapunto femenino es Jeanne Moreau, Christine, viuda, dueña de un hostal, que no quiere mas muertes, que sobrevive como puede, pero que también luchará por la única causa justa. Además tenemos a Allbert Rémy, Howard Vernon, o Michel Simon, Papa Boule, otro personaje inolvidable, su mirada a Labiche tras ser descubierto el sabotaje, es de las que dejan huella. Monet, Picasso, Cezanne, Matisse, Van Gogh…no hace falta que veamos los cuadros en sí, vemos las cajas que los contienen, con la esvástica marcada, arte degenerado para especular, arte en mayusculas que sólo una pocos saben apreciar, no……….El arte no tiene dueños, pertenece a todos y cada uno de nosotros. El cine como arte, como identidad, el Tren de Joh Frankenheimer es una gran aventura, reflejo de la propia vida. Con las caras y las manos manchadas de aceite y cine, esta noche de otoño, el retén de guardia de la estación de Radiopolis recuerda a los caídos por la libertad. Jefe de Estación: José Miguel Moreno. Maquinista: Zacarías Cotán. Fogonero: Raúl Gallego. Guardagujas: Gervi Navío.
In questa puntata: con Carlo Tagliazucca (attualmente alla Cineteca di Bologna) approfondiamo due trasposizioni da Georges Simenon nelle sale in versione restaurata. "Panique" di Julien Duviver con Michel Simon, tratto da "Il fidanzamento del signor Hire", col suo protagonista solitario vittima dei maneggi di una coppia e della gente del quartiere a cui non piace; e il secondo Maigret interpretato da Jean Gabin, da uno dei romanzi più noti col commissario, in una trasferta che gli fa ritrovare peggiorato un ambiente di provincia che aveva conosciuto, ora luogo di un delitto annunciato. Poi, focus su "Maigret a Pigalle", l'unico film con lo storico Maigret italiano Gino Cervi, alle prese con un doppio assassinio -e due sospettati-: la ragazza di un night-club che sembra aver sentito troppo e una contessa.
Un ami chanteur, également critique ciné et musique.Enregistré le Lundi 5 Octobre 2015 à Paris.Les films de Walt Disney, Le Retour du Jedi, Blue Velvet, les vidéo-clubs, les films d'horreur dans les vidéos club, les magazines Vidéo 7 et Vidéo Jaquette, le gore et l'épouvante, le genre du slasheur, la jaquette d'Evil Dead, celle des Griffes de la Nuit, celle de Zombie, la diffusion de Zombies sur Canal+, Martin de Romero, John Carpenter, Wes Craven, George Romero, Tobe Hooper ou la génération des cinéastes d'horreur des années 70, la politique des auteurs intuitive, les journaux Mad Movies et l'Ecran Fantastique, Thriller de John Landis et son passage à l'émission Les Champs-Élysées, un palier supplémentaire dans l'art du clip, Bad taste de Peter Jackson, de la comédie dans les films d'horreur, Brain Dead, la surenchère dans les films gore, l'humour d'Evil Dead, Réanimator de Stuart Gordon, Cannibal Holocauste de Ruggiero Deodato, les Mondo Carne, les réalisateurs d'horreur italiens, Anthropophagous de Joe D'Amato et sa femme Laura gemser, l'attirance pour le morbide, Street Trash, Elmer le Remue-Méninges, Evil Dead 2, Predator, l'été 86 puis le désintérêt pour le film d'horreur, Hellraiser, Faux-Semblants de Cronenberg, Robocop de Verhoeven, la disparition des films d'horreur pure, Blue Velvet de David Lynch, le côté "menstruations féminines" de The Descent, Jeeper Creepers, Freddy sort de la nuit de Wes Craven, Scream 4 son dernier film, la mort de Wes Craven, les réalisateurs qui vont le suivre, les chroniqueurs de Mad Movies, James Cameron, la défense des blockbusters dans Mad Movies, les numéros spéciaux de Mad Movies, les Cahiers du Cinéma, Paul Verhoeven en couverture, les bonnes plumes des Cahiers du Cinéma, les Cahiers du Cinéma et le cinéma de genre, Olivier Assayas et Clint Eastwood, les Inrockuptibles, Lana Del Rey en couverture des Inrcks, Positif, Michel Simon et son côté universitaire, Délivrance de John Boorman, la politique des auteurs, le dernier Godard, Film Socialisme, Mad Max, le retour de George Miller, ses film "pour enfants", les films d'action aujourd'hui, le problème du dernier film de George Miller, le mixage du podcast, les plus gros films d'action de tous les temps, John Woo, Die Hard, Alien 2, Terminator 2, Matrix 2, The Blade de Tsui Hark, Croix de Fer et La Horde Sauvage de Peckinpah, le final de Scarface, Police Story avec Jacky Chan, Bruce Lee, le final de Bonnie and Clyde d'Arthur Penn, Full Metal Jacket, Les Sentiers de la Gloire et d'autres films de Kubrick, dont Barry Lindon et 2001 l'Odyssée de l'Espace, Zulawski dont entre autres L'Amour Braque et Possession, le thème du double dans son cinéma, sa richesse et la constance de la photo malgré des chefs opérateurs différents, le mauvais festival de Cannes 2015, Weerasethakul, Maiwen, le réalisateur Audiard est-il bon où doit-il être expulsé aux États-Unis, son utilisation ambiguë des personnages, Dheepan et son utilisation problématique de la banlieue, Tarantino et ses mélanges, son amour pour ses personnages, Christophe Waltz en nazi, ses dialogues filmés comme des scènes d'action comme dans Inglorious Bastard, les accidents filmés par Cronenberg dans Crash, la première scène de dialogue dans Reservoir Dog, la bande annonce de The Hateful Eight, la fin de Django, ceux qui se réclameraient de son cinéma, Ti West, le générique de House of The Devil, le réalisateur du remake de Cannibal Holocaust Eli Roth, Hostel, le genre du Torture Porn, le viol au cinéma, Un justicier dans la Ville de Michael Winner, le mauvais Joseph Guzman et son Nude nuns with a gun, la scène de viol dans Cannibal Holocaust, la scène de sexe entre documentaristes dans le village des indigènes et la critique de la société du spectacle, Gaspard Noé le petit malin qui veut choquer le bourgeois et qui n'est sexuellement pas très mature, la photo dans ses films et ses artifices de mise en scène.
Silent Power, Noisy Door He's been to Director's Jail, served his Director's Probation, and is now worryingly close to being a repeat offender (according to Mick, Graham and Aidan that is). It's M. Night Shyamalan, whose trilogy-capper "Glass" is put under the magnifying lens as our Film of the Week. A packed Off the Shelf sees Aidan stalking a highly desirable object in the form of Criterion's new Blu-ray release of the Michel Simon vehicle "Panique", before Graham breaks the silence around Second Run's new edition of the late Jan Nemec's "Diamonds of the Night". Finally, Mick points us towards Indicator's new release of William Castle's "Zotz!". What is "Zotz!", you ask? It's hard to explain, but impossible to stop saying. If you liked the show and want to see it continue then you can help in a number of ways. You can share us with your movie friends, give us a rating or review on wherever you get your podcasts or share us with your friends. The cool ones, yeah? #Podcast #Reviews #Movies #Films #CinemaEclectica #Eclectica #TheGeekShow #SecondRun #Glass #MNightShyamalan #Criterion #Panique #WilliamCastle #Zotz #Indicator #JanNemec #DiamondsOfTheNight #Czech #Czechia #Superheroes #Unbreakable #Split #BruceWillis #JamesMcAvoy #SamuelLJackson
Fred e Alexandre trazem Rafael Amaral (do Blog “Palavras de Cinema”) no episódio 85 para debater a carreira de Marcel Carné, um dos grandes nomes por trás do chamado Realismo Poético Francês, movimento cinematográfico que saiu da França nos anos 30 para influenciar cinemas mundo afora. Algumas das mais inspiradas obras desta tendência de se fazer cinema foram dirigidas por Marcel Carné, como os principais filmes discutidos neste áudio. “Cais das Sombras” (Le Quai des Brume, 1938), “Trágico Amanhecer” (Le Jour se Lève, 1939), “Os Visitantes da Noite” (Les visiteurs du soir, 1942) e “O Boulevard do Crime” (Les enfants du paradis, 1945) foram obras influentes no cinema francês e mundial desse período e este último longa até hoje é considerado um dos melhores filmes franceses de todos os tempos. Atores como Jean Gabin, Michele Morgan, Arletty, Michel Simon, Jean-Louis Barrault, Pierre Brasseur e Louis Jouvet também marcam presença em filmes memoráveis de Carné discutidos neste episódio do Podcast Filmes Clássicos.
Enregistré le Lundi 5 Octobre 2015 à Paris. Les films de Walt Disney, Le Retour du Jedi, Blue Velvet, les vidéo-clubs, les films d'horreur dans les vidéos club, les magazines Vidéo 7 et Vidéo Jaquette, le gore et l'épouvante, le genre du slasheur, la jaquette d'Evil Dead, celle des Griffes de la Nuit, celle de Zombie, la diffusion de Zombies sur Canal+, Martin de Romero, John Carpenter, Wes Craven, George Romero, Tobe Hooper ou la génération des cinéastes d'horreur des années 70, la politique des auteurs intuitive, les journaux Mad Movies et l'Ecran Fantastique, Thriller de John Landis et son passage à l'émission Les Champs-Élysées, un palier supplémentaire dans l'art du clip, Bad taste de Peter Jackson, de la comédie dans les films d'horreur, Brain Dead, la surenchère dans les films gore, l'humour d’Evil Dead, Réanimator de Stuart Gordon, Cannibal Holocauste de Ruggiero Deodato, les Mondo Carne, les réalisateurs d’horreur italiens, Anthropophagous de Joe D’Amato et sa femme Laura gemser, l'attirance pour le morbide, Street Trash, Elmer le Remue-Méninges, Evil Dead 2, Predator, l'été 86 puis le désintérêt pour le film d'horreur, Hellraiser, Faux-Semblants de Cronenberg, Robocop de Verhoeven, la disparition des films d'horreur pure, Blue Velvet de David Lynch, le côté "menstruations féminines" de The Descent, Jeeper Creepers, Freddy sort de la nuit de Wes Craven, Scream 4 son dernier film, la mort de Wes Craven, les réalisateurs qui vont le suivre, les chroniqueurs de Mad Movies, James Cameron, la défense des blockbusters dans Mad Movies, les numéros spéciaux de Mad Movies, les Cahiers du Cinéma, Paul Verhoeven en couverture, les bonnes plumes des Cahiers du Cinéma, les Cahiers du Cinéma et le cinéma de genre, Olivier Assayas et Clint Eastwood, les Inrockuptibles, Lana Del Rey en couverture des Inrcks, Positif, Michel Simon et son côté universitaire, Délivrance de John Boorman, la politique des auteurs, le dernier Godard, Film Socialisme, Mad Max, le retour de George Miller, ses film "pour enfants", les films d'action aujourd'hui, le problème du dernier film de George Miller, le mixage du podcast, les plus gros films d'action de tous les temps, John Woo, Die Hard, Alien 2, Terminator 2, Matrix 2, The Blade de Tsui Hark, Croix de Fer et La Horde Sauvage de Peckinpah, le final de Scarface, Police Story avec Jacky Chan, Bruce Lee, le final de Bonnie and Clyde d'Arthur Penn, Full Metal Jacket, Les Sentiers de la Gloire et d'autres films de Kubrick, dont Barry Lindon et 2001 l'Odyssée de l'Espace, Zulawski dont entre autres L'Amour Braque et Possession, le thème du double dans son cinéma, sa richesse et la constance de la photo malgré des chefs opérateurs différents, le mauvais festival de Cannes 2015, Weerasethakul, Maiwen, le réalisateur Audiard est-il bon où doit-il être expulsé aux États-Unis, son utilisation ambiguë des personnages, Dheepan et son utilisation problématique de la banlieue, Tarantino et ses mélanges, son amour pour ses personnages, Christophe Waltz en nazi, ses dialogues filmés comme des scènes d'action comme dans Inglorious Bastard, les accidents filmés par Cronenberg dans Crash, la première scène de dialogue dans Reservoir Dog, la bande annonce de The Hateful Eight, la fin de Django, ceux qui se réclameraient de son cinéma, Ti West, le générique de House of The Devil, le réalisateur du remake de Cannibal Holocaust Eli Roth, Hostel, le genre du Torture Porn, le viol au cinéma, Un justicier dans la Ville de Michael Winner, le mauvais Joseph Guzman et son Nude nuns with a gun, la scène de viol dans Cannibal Holocaust, la scène de sexe entre documentaristes dans le village des indigènes et la critique de la société du spectacle, Gaspard Noé le petit malin qui veut choquer le bourgeois et qui n’est sexuellement pas très mature, la photo dans ses films et ses artifices de mise en scène.