1898-1992 French actress
POPULARITY
durée : 01:30:54 - Les Nuits de France Culture - par : Albane Penaranda - En 1985, dix ans après sa mort, hommage à Michel Simon dans les "Mardis du cinéma", avec certains de ceux qui avaient été ses partenaires comme Françoise Seigner, Arletty ou Daniel Gélin, et avec Jean-Pierre Mocky qui lui offrit son dernier rôle. - réalisation : Virginie Mourthé - invités : Jean-Pierre Mocky Réalisateur, scénariste, producteur, comédien; Arletty Comédienne et chanteuse française (1898 - 1992); Michel Simon; Jean Renoir Cinéaste (1894 - 1979)
durée : 00:30:04 - Les Nuits de France Culture - par : Philippe Garbit - Arletty fait son show. Dans l'émission "Je suis comme je suis - Mémoires imaginaires de Arletty", enregistrée en 1951, la comédienne chante et interprète, avec gouaille et bonne humeur, des extraits de pièces et des poèmes de son choix de Molière, Desnos et Tchekhov - réalisation : Virginie Mourthé - invités : Arletty Comédienne et chanteuse française (1898 - 1992); Tania Balachova Comédienne
Faites un don et recevez un cadeau : http://don.storiavoce.com/ Entre 1940 et 1944, la France mène une politique de collaboration active avec le pouvoir nazi. De ces années noires, on retient souvent la participation du personnel politique, des administrations, des entreprises ou encore de la milice française. Pourtant, l'une des images symboliques de la collaboration et de sa condamnation représente une femme anonyme : La tondue de Chartres. Cette femme, photographiée par Robert Capa en 1944, est devenue une figure de la collaboration “horizontale”, qui désigne les Françaises qui ont pris des allemands pour amants. L'épuration violente et spontanée contre ces femmes a pu occulter dans les mémoires les rôles extrêmement variés des femmes dans la collaboration. Loin d'être l'apanage des hommes, des femmes artistes, mondaines, intellectuelles comme Arletty ou Coco Chanel, ont collaboré avec l'Occupant. D'autres profils, les filles de ou femmes de collaborateur comme Josée Laval de Chambrun, la fille de Pierre Laval, interrogent. À l'heure de la révolution nationale, qui circonscrit les femmes à l'espace domestique, comment définir le rôle tenu par celles qui sont les proches des collaborateurs ? Mais Joëlle Dusseau et Pierre Brana ne s'arrêtent pas là. Dans leur livre, ils mettent au jour ces milliers de femmes anonymes, qui ont participé à une collaboration du quotidien à diverses échelles. Ces femmes ont pratiqué la délation, se sont engagées dans la milice, ont espionné au profit de l'Occupant… La question de la motivation des collaboratrices reste un point central : pourquoi, alors même que l'idéologie nazie est délétère pour les femmes, ces dernières choisissent de se mettre à son service ? L'invitée : Agrégée d'histoire et docteur ès lettres, Joëlle Dusseau concilie une carrière politique dans l'Éducation nationale à une production d'ouvrages historiques abondante. Avec Pierre Brana, elle écrit sur des politiques et des syndicalistes, et leurs itinéraires dans la collaboration et la Résistance. On peut citer par exemple sa biographie du collaborateur Philippe Doriot parue en 2017. Cette année, toujours en tandem avec Pierre Brana, elle publie Collaboratrices. 1940-1945, Histoire des femmes qui ont soutenu le régime de Vichy et l'occupant nazi (Perrin, 2024, 24 €). *** Facebook : https://www.facebook.com/HistoireEtCivilisationsMag Instagram : https://www.instagram.com/histoireetcivilisations/ Twitter : https://twitter.com/Storiavoce
Dans son récit, Stéphane Bern nous raconte l'histoire d'Arletty, une star pas très résistante.
Stéphane Bern raconte une comédienne qui a marqué le cinéma français avec son célèbre "Atmosphère, Atmosphère, est-ce que j'ai une gueule d'atmosphère?" et s'est surtout maquée avec un officier… allemand lui, en revanche, pendant la guerre. Allemand et nazi. Oui oui… Ou la véritable histoire d'Arletty, une star pas très résistante… De quoi Arletty s'est-elle rendue véritablement coupable sous l'Occupation ? Quel tournant sa carrière d'actrice a-t-elle pris dans la France occupée ? La comédienne qui n'est pas exempte de compromissions a-t-elle exprimé des regrets ? Pour en parler, Stéphane Bern reçoit David Alliot, écrivain, auteur de "Arletty, si mon coeur est français" (Tallandier, collection Texto).
Dans son récit, Stéphane Bern nous raconte l'histoire d'Arletty, une star pas très résistante.
durée : 01:05:00 - Les Nuits de France Culture - par : Philippe Garbit - En 1987, l'actrice Arletty, Lady Paname, immortalisée dans les films "Hôtel du nord", "Le Jour se lève", "Les Visiteurs du soir" et "Les Enfants du paradis" se raconte dans ce long entretien des "Nuits magnétiques", émaillé de témoignages dont celui du réalisateur Marcel Carné. - invités : Arletty Comédienne et chanteuse française (1898 - 1992); Marcel Carné Réalisateur
This week, Patrick and Eliana discuss Marcel Carné's 1945 film Les Enfants du Paradis (Children of Paradise), which appeared in the 2011 Cannes Classics section. Filmed during the Nazi Occupation of France and released as the first film following its liberation, the film has continued to charm audiences in France and abroad with its gorgeous set design, iconic actors, and wit-infused characters, a result of the core collaboration between set designer Alexandre Trauner, screenwriter Jacques Prevert, and composer Joseph Kosma.Spectatorship and performance are at the heart of this farcical and bittersweet film, where four men vie for the radiant yet fugacious Garance as she flits between them, and they amongst themselves on the grand Boulevard du ‘Crime.' It is a film about action and re-action, the verbal and the non-verbal, in a city too small for undying dreams.Resources:Affron, Mirella Jona. "Les Enfants Du Paradis: Play of Genres." Cinema Journal, vol. 18, no. 1, 1978, pp. JSTOR.Ebert, Roger. “Children of Paradise.” RogerEbert.com,Forbes, Jill. Les Enfants Du Paradis, British Film Institute, 1997.Mancini, Marc. "Prevert: Poetry in Motion Pictures." Film Comment, vol. 17, no. 6, 1981, pp. 34-37. JSTOR.Nye, Edward. Deburau. Pierrot, Mime, and Culture, Routledge, 2022.Picherit, Hervé. “A Strange Child of Paradise: The Artistry of Arletty's “Self” in Les enfants du paradis.” Camera Obscura, Vol. 32, No. 1, Duke University Press, 2017.Reid, Tina. “Marcel Carné on Children of Paradise: Forty-Five Years Later” The Criterion Collection, 20 Sept. 2012,Sadoul, Georges. "The Postwar French Cinema."Hollywood Quarterly, vol. 4, no. 3, 1950, pp. JSTOR.Sellier Geneviève. « Les Enfants du paradis dans le cinéma de l'Occupation.” 1895, revue d'histoire du cinéma, n° 22, 1997, pp. 55-66.Turk, Edward Baron. Child of Paradise. Marcel Carné and the Golden Age of French Cinema, Harvard University Press, 1989.Sound:EFF Open Audio License for Le Carnaval des Animaux (Saint-Saëns, Camille - Aquarium) by Neal O'Doan (Piano) Nancy O'Doan (Piano), and Seattle Youth Orchestra Pandora Records/Al Goldstein Archive.Excerpt
durée : 00:34:59 - Les Nuits de France Culture - par : Philippe Garbit - "L'île de la tortue et le trésor du pirate Morgan" une lecture captivante par Arletty de cette nouvelle d'aventure qui fut lauréate du prix de la nouvelle en 1962, (1ère diffusion : 03/02/1962 Chaîne Nationale). - invités : Arletty Comédienne et chanteuse française (1898 - 1992)
This week some movies with film directors slaughtered, coitus interruptus, and not enough Tony Todd (but, really, is it ever?). Arletty's artist father has vanished. So she goes to his small California coastal town to find him. Instead all she finds is his journal, a trio of wonderers, and some nightly moonbathers awaiting a return from the sea. An atmospheric curiosity from the decade of feathered hair and oil crises... Messiah of Evil. A ridiculously creepy German photographer has absolutely no issues commuting the least interesting murder spree ever put to film despite openly stalking children and being prone to shouting about Hitler at everyone on first meeting them. A movie whose limp attempt at viral marketing has left a lingering bad taste in the mouths of many online horror communities... Murder-Set-Pieces. Return once again to the sleepy wetlands of Honey Island Swamp, where the screams of those who wonder into the territory of Victor Crowley ring out. Picking up immediately where the previous film ended, sole survivor Marybeth Dunston enlists the aide of local entrepreneur Reverend Zombie to end the swamp's curse once and for all. Assuming everyone doesn't get a... Hatchet II ...the face this time. Artist Anthony McCoy is struggling to find inspiration until his girlfriend's brother tells him the story of Helen Lyle, who went on a killing spree and kidnapped a baby before throwing herself into a bonfire. As Anthony digs deeper into the truth of the story, and the history of the currently gentrifying area it happened in, he learns of the cyclical nature of an ever renewing legend. Arguably the best legacy sequel so far, do not say his name five times in a mirror... Candyman.All that and Dave acknowledges why he's going to die alone, Tyler self-soothes, and Kevin admires his vast tunnels full of horded discs located deep below his home. Join us, won't we? Episode 330- Swamps for the Sweet
durée : 01:00:09 - Nicolas d'Estienne d'Orves - par : Benoît Duteurtre - Née en 1898, Léonie Bathiat aurait pu être paysanne ou ouvrière. Avec sa silhouette qui prend la lumière, son goût de la fête, sa joie de vivre, elle démarre une carrière de comédienne, et se lie d'amitié avec Marcel Carné, Sacha Guitry, Jacques Prévert, qui lui offriront ses plus grands rôles. - réalisé par : Davy Travailleur
Jackie and Greg set the stage for Marcel Carné's epic tale of love, loss, and the theatre, CHILDREN OF PARADISE from 1945. Topics of discussion include the film's epic scope, how it was made in Nazi-occupied France, a debate on whether Garance is worthy of everyone's attention, and how the trope of the sad clown is expanded upon to create cinema's most iconic mime.#73 on Sight & Sound's 2012 "The 100 Greatest Films of All Time" list.bfi.org.uk/sight-and-sound/polls/greatest-films-all-time-2012#136 on Sight & Sound's 2022 "The 100 Greatest Films of All Time" list. bfi.org.uk/sight-and-sound/greatest-films-all-timeCheck us out on Instagram: instagram.com/sceneandheardpodCheck us out at our official website: sceneandheardpod.comJoin our weekly film club: instagram.com/arroyofilmclubJP Instagram/Twitter: jacpostajGK Instagram: gkleinschmidtPhotography: Matt AraquistainMusic: Andrew CoxGet in touch at hello@sceneandheardpod.comSupport the show on Patreon: patreon.com/SceneandHeardPodorSubscribe just to get access to our bonus episodes: buzzsprout.com/1905508/subscribe
De la zone de Courbevoie au sommet de l'affiche, la carrière de Léonie Batiat, alias Arletty, a embrasé les Années folles. Mais celle qui était devenue l'icône du cinéma français s'est énamourée, en pleine Occupation, d'un jeune officier allemand – jusqu'à mettre sa carrière en péril… Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.
French Month continues with a look at Marcel Carne's Children of Paradise. Released in 1945 and set in the early-mid 1800s, the film tells a winding tale of the woman Garance (Arletty) and the four men in her orbit: The mime Baptiste, the actor Frederick, the criminal Larcenaire, and the aristocrat Edouard.Keith Gordon and Samm Deighan join Mike to discuss the film as well as the compelling circumstances around its making.Become a supporter of this podcast: https://www.spreaker.com/show/the-projection-booth-podcast_2/support.This show is part of the Spreaker Prime Network, if you are interested in advertising on this podcast, contact us at https://www.spreaker.com/show/5513239/advertisement
French Month continues with a look at Marcel Carne's Children of Paradise. Released in 1945 and set in the early-mid 1800s, the film tells a winding tale of the woman Garance (Arletty) and the four men in her orbit: The mime Baptiste, the actor Frederick, the criminal Larcenaire, and the aristocrat Edouard.Keith Gordon and Samm Deighan join Mike to discuss the film as well as the compelling circumstances around its making.
Historiquement Vôtre réunit 3 dames qui ont vécu une idylle qu'on leur interdisait : la jeune princesse Isabelle de Bourbon-Parme qui a déclaré, dans des lettres enflammées, son amour à une femme et pas n'importe laquelle : l'archiduchesse Marie-Christine d'Autriche, qui n'était autre que la sœur de son mari, futur empereur du Saint Empire Joseph II ! Puis l'actrice Arletty tombée, elle, amoureuse d'un officier nazi en pleine guerre, ou l'histoire d'amour la plus célèbre de l'Occupation, et la plus controversée aussi. Et une star qui n'est tombée amoureuse ni de sa belle-soeur, ni d'un nazi, mais de René qui était un poil plus âgé qu'elle. Et pour sa famille, ça a fait le même effet : Céline Dion.
Stéphane Bern, entouré de ses chroniqueurs historiquement drôles et parfaitement informés, s'amuse avec l'Histoire – la grande, la petite, la moyenne… - et retrace les destins extraordinaires de personnalités qui n'auraient jamais pu se croiser, pour deux heures où le savoir et l'humour avancent main dans la main. Aujourd'hui, l'actrice Arletty tombée, elle, amoureuse d'un officier nazi en pleine guerre, ou l'histoire d'amour la plus célèbre de l'Occupation, et la plus controversée aussi.
Olaf vystoupil z vlaku a rovnou zamířil za Zikym, aby probrali hudební novinky. Začneme opět nekrology, jak je poslední dobou tradicí. Probereme případ Micka Gordona a soundtracku k Doomu. KGLW zveřejnili předkapelu pro svůj pražský koncert a je to nejlepší. Olaf pak dlouze povypráví o svých cestách, ať jako muzikant nebo etnomuzikolog. Poslechneme si o kostelech i konferenci v Rakousku. Nevyhneme se paroží na zdech a nekonečnému jódlování. Nakonec si zrecenzujeme nové EP od Arletty a popovídáme si o nové desce Budče. Čemu se Ziky věnuje místo hudby? Kdo ještě nehrál v O2 Areně? Jak vypadá backstage v kostele? Kolik jódlování dokáže Olaf unést? A jste taky úplně vyřízený? Pusť to!
Christophe Hondelatte raconte l'année 1992 en puisant dans les archives d'Europe 1. Cette année-là : Bill Clinton élu à la Maison Blanche; la ruée sur les consoles de jeux; les débuts du permis à points et Arletty s'en va...
Christophe Hondelatte raconte l'année 1992 en puisant dans les archives d'Europe 1. Cette année-là : Bill Clinton élu à la Maison Blanche; la ruée sur les consoles de jeux; les débuts du permis à points et Arletty s'en va...
C'est en amie fidèle et de longue date que la galeriste italienne Carla Sozzani revient sur le parcours hors-norme du couturier Azzedine Alaïa, arrivé en 1956 à Paris pour devenir à force de persévérance, l'une des figures majeures de la mode française. Artiste autodidacte, d'origines modestes, il a su dès ses débuts et tout au long de sa carrière s'entourer de femmes de la haute société qui lui ont donné la liberté de créer une mode exigeante et sensuelle dans laquelle elles se sentaient fortes et jamais objetisées. Malgré sa disparition en novembre 2017, la fondation Azzedine Alaïa, co-fondée en 2007 avec Carla Sozzani pour transmettre ses connaissances et inspirer les générations futures, ne cesse de perpétuer son oeuvre et sa mémoire grâce à des conférences, cours, bourses, mais aussi de multiples expositions présentant son travail et celui des autres qu'il n'a jamais cessé de collectionner (Vionnet, Balenciaga, Schiaparelli, Patou, Chanel, etc.). « Il avait des yeux, un sourire, une façon de s'exprimer qui était touchante (…) tout le monde aimait Azzedine » Ce que vous allez apprendre dans cet épisode: L'enfance d'Azzedine Alaïa Son arrivée à Paris Sa formation express chez Dior Les femmes de la haute société qui l'ont aidé à se lancer Sa rencontre avec Arletty et l'influence du cinéma dans son travail Son admiration pour Schiaparelli La découverte de Balenciaga Son déménagement vers la rue Bellechasse Son goût pour la collection et la conservation Sa rencontre avec Greta Garbo Sa vision du féminin Ses débuts dans le prêt-à-porter Sa rencontre avec Thierry Mugler Son travail pour le Crazy Horse Sa première collection en cuir refusée puis adoubée Son premier défilé à New-York Sa rencontre avec Carla Sozzani Ses 26 ans d'apprentissage avant d'atteindre le succès Ses 2 oscars de la mode Sa sortie du calendrier de la mode Son départ de la rue Bellechasse vers la rue du parc Royal Son rapport privilégié à la cuisine Le vocabulaire Alaïa Son rapport au travail et son processus de création Le rachat de sa société par Prada puis Richemont Sa disparition en 2017 L'après Alaïa Son projet de fondation et sa particularité « Azzedine avait une culture instinctive très forte, il n'avait pas besoin de livre, il avait un oeil, un instinct, un sens de la beauté qui l'a accompagné toute sa vie et qui n'appartenait qu'à lui. » «Dans le travail d'Azzedine, il y a toujours cette féminité très forte, mais il détestait le mot « sexy » il ne voulait pas que les femmes soit sexy, mais qu'elle soit féminine avant tout. » « La collection printemps 1992 était sa collection la plus grande, la plus importante, il y avait comme un vocabulaire Alaïa là-dedans, il y avait tout » N'oubliez pas de vous inscrire à la newsletter de Entreprendre Dans La Mode, les industries créatives et l'art de vivre sur www.entreprendredanslamode.com Aussi, si vous souhaitez me contacter ou me suggérer de nouveaux invités, vous pouvez le faire sur Instagram sous le pseudonyme @entreprendredanslamode Enfin, le plus important : laissez-moi un avis sur Apple Podcast ou iTunes, 5 étoiles de préférence ; cela m'aide à faire connaître le podcast à plus de monde et me motive à faire de meilleures interviews ! Merci de soutenir ce podcast et à bientôt pour un nouvel épisode ! Références : La fondation Azzedine Alaïa: https://fondationazzedinealaia.org/fondation/lafondation/ Le livre L'alchimie secrète d'une collection: https://fondationazzedinealaia.org/shop/lalchimie-secrete-dune-collection/ Le prix Azzedine Alaïa: https://fondationazzedinealaia.org/education/prix-azzedine-alaia/ L'anecdote des meubles Jean Prouvé: https://fondationazzedinealaia.org/collection/patrimoine/ L'amitié entre Thierry Mugler et Azzedine Alaïa: https://fondationazzedinealaia.org/en/evenements/thierry-mugler-azzedine-alaia/ Alaïa et la cuisine: https://fondationazzedinealaia.org/cuisine/
C'est en amie fidèle et de longue date que la galeriste italienne Carla Sozzani revient sur le parcours hors-norme du couturier Azzedine Alaïa, arrivé en 1956 à Paris pour devenir à force de persévérance, l'une des figures majeures de la mode française. Artiste autodidacte, d'origines modestes, il a su dès ses débuts et tout au long de sa carrière s'entourer de femmes de la haute société qui lui ont donné la liberté de créer une mode exigeante et sensuelle dans laquelle elles se sentaient fortes et jamais objetisées. Malgré sa disparition en novembre 2017, la fondation Azzedine Alaïa, co-fondée en 2007 avec Carla Sozzani pour transmettre ses connaissances et inspirer les générations futures, ne cesse de perpétuer son oeuvre et sa mémoire grâce à des conférences, cours, bourses, mais aussi de multiples expositions présentant son travail et celui des autres qu'il n'a jamais cessé de collectionner (Vionnet, Balenciaga, Schiaparelli, Patou, Chanel, etc.). « Il avait des yeux, un sourire, une façon de s'exprimer qui était touchante (…) tout le monde aimait Azzedine » Ce que vous allez apprendre dans cet épisode: L'enfance d'Azzedine Alaïa Son arrivée à Paris Sa formation express chez Dior Les femmes de la haute société qui l'ont aidé à se lancer Sa rencontre avec Arletty et l'influence du cinéma dans son travail Son admiration pour Schiaparelli La découverte de Balenciaga Son déménagement vers la rue Bellechasse Son goût pour la collection et la conservation Sa rencontre avec Greta Garbo Sa vision du féminin Ses débuts dans le prêt-à-porter Sa rencontre avec Thierry Mugler Son travail pour le Crazy Horse Sa première collection en cuir refusée puis adoubée Son premier défilé à New-York Sa rencontre avec Carla Sozzani Ses 26 ans d'apprentissage avant d'atteindre le succès Ses 2 oscars de la mode Sa sortie du calendrier de la mode Son départ de la rue Bellechasse vers la rue du parc Royal Son rapport privilégié à la cuisine Le vocabulaire Alaïa Son rapport au travail et son processus de création Le rachat de sa société par Prada puis Richemont Sa disparition en 2017 L'après Alaïa Son projet de fondation et sa particularité « Azzedine avait une culture instinctive très forte, il n'avait pas besoin de livre, il avait un oeil, un instinct, un sens de la beauté qui l'a accompagné toute sa vie et qui n'appartenait qu'à lui. » «Dans le travail d'Azzedine, il y a toujours cette féminité très forte, mais il détestait le mot « sexy » il ne voulait pas que les femmes soit sexy, mais qu'elle soit féminine avant tout. » « La collection printemps 1992 était sa collection la plus grande, la plus importante, il y avait comme un vocabulaire Alaïa là-dedans, il y avait tout » N'oubliez pas de vous inscrire à la newsletter de Entreprendre Dans La Mode, les industries créatives et l'art de vivre sur www.entreprendredanslamode.com Aussi, si vous souhaitez me contacter ou me suggérer de nouveaux invités, vous pouvez le faire sur Instagram sous le pseudonyme @entreprendredanslamode Enfin, le plus important : laissez-moi un avis sur Apple Podcast ou iTunes, 5 étoiles de préférence ; cela m'aide à faire connaître le podcast à plus de monde et me motive à faire de meilleures interviews ! Merci de soutenir ce podcast et à bientôt pour un nouvel épisode ! Références : La fondation Azzedine Alaïa: https://fondationazzedinealaia.org/fondation/lafondation/ Le livre L'alchimie secrète d'une collection: https://fondationazzedinealaia.org/shop/lalchimie-secrete-dune-collection/ Le prix Azzedine Alaïa: https://fondationazzedinealaia.org/education/prix-azzedine-alaia/ L'anecdote des meubles Jean Prouvé: https://fondationazzedinealaia.org/collection/patrimoine/ L'amitié entre Thierry Mugler et Azzedine Alaïa: https://fondationazzedinealaia.org/en/evenements/thierry-mugler-azzedine-alaia/ Alaïa et la cuisine: https://fondationazzedinealaia.org/cuisine/
durée : 00:55:36 - Autant en emporte l'Histoire - par : Stéphanie Duncan - En 1958, Arletty, immense comédienne, âgée de 60 ans et devenue aveugle, a déjà dit adieu au cinéma et au théâtre mais ouvre volontiers sa porte et son cœur aux amis et aux admirateurs. - invités : Denis DEMONPION - Denis Demonpion : Journaliste - réalisé par : Anne WEINFELD
In the eighth episode of Season 7 (Fantastical Realities) Kyle is joined by musician Ben Childs and writer August Gummere to discuss the use of fantasy as political and societal allegory in Marcel Carne's romantic French fable made under German Occupation, Les Visiteurs du Soir (1942).
‘Vaut le détour' lees je in Franse reisgidsen, maar dat lees je natuurlijk niet over Parijs. De stad zal door niemand overgeslagen worden en staat eeuwig in de Franse toeristische top 10. Maar binnen de hoofdstad zélf is het altijd kiezen waar je heen moet en dan is een echte kenner welkom om je mee te voeren naar die plekken waar je zelf nooit aan zou denken. Zijn vandaag de omweg waard: Théâtre des Bouffes-Parisiens met Arletty, Longjumeau met Lenin en de Eglise St-Roch met John Law. Eind augustus 1944, na de bevrijding van Parijs, worden rekeningen vereffend. Ook Arletty, de populairste actrice van Frankrijk, moet verantwoording afleggen, voor een liefdesrelatie met een Duits officier. De ster uit Hotel du Nord en tientallen andere films, theaterstukken, revues en musicals is voor ondervraging meegenomen. Maar Arletty vindt l'amour geen misdaad. Met haar felle theaterbek en haar pikante replieken bijt ze van zich af.“Vous avez couché avec un Allemand?”“Ah! Si vous ne vouliez pas que l'on couche avec les Allemands, fallait pas les laisser entrer!”“C'est de not' faute alors?”“Bèn, en tout cas, la chute de la France n'était pas mon idée!”De verbale mokerslagen volgen mekaar op. De mannen van de Milice Patriotique, aan de andere kant van de tafel, worden woedend. Arletty doet er nog een schepje bovenop – eentje te veel. Iemand springt overeind en richt zijn mitrailleur. In een tel ziet ze de zesenveertig jaren van haar wervelende leven voorbijflitsen. Nochtans was het goed begonnen. Het wielrennen verliest aan de Oktoberrevolutie een talentrijke coureur. Want Lenin, zo bleek tijdens zijn ballingschap in Parijs, had een bijzondere voorliefde voor de fiets. Met gespierde benen, stalen hart en gevreesd doorzettingsvermogen heeft de toekomstige Voorzitter van de Raad der Volkscommissarissen van de Unie der Socialistische Sovjetrepublieken het profiel van een Tour de France-winnaar. Maar neen. In plaats van op de gele trui werpt hij zich op de rode vlag, op de verheffing van het proletariaat. In Venetië, halfweg tussen het San Marcoplein en de Galleria dell' Accademia, ligt de San Moisèkerk. Wie vanuit het felle licht van de lagune het donkere portaal betreedt, riskeert onbewust op een graf te gaan staan. Een kleine ruitvormige steen bij de ingang draagt de inscriptie Honori et memorial Joannis Law Edinburgensis Regii Galliarum Aerarii Prefecti Clarissima – vrij vertaald: ‘Ter herinnering aan John Law van Edinburgh, de meest onderscheiden controleur van financiën der Franse koningen.'1 Hoe komt de eerste centraal bankier van Frankrijk, tegelijk ondernemer van een internationale handelsmaatschappij, terecht onder een tegel van een Italiaanse kerk in plaats van in een Parijs praalgraf? Stemmen: Dirk Velghe en Rik Van Puymbroeck Scenario en regie: Karel Dierickx Montage: Stef Lenaerts Mix en muziek: Jordan Hudson Alle originele muziek werd gecomponeerd en gearrangeerd door Jordan Hudson. In deze aflevering horen we ook fragmenten uit: 'I'm a Fool for Loving you', E.A 1727, Fletcher Henderson, 1936 'Coeur de Parisienne', Arletty 'Voulez-vous Jouer avec Moa', Arletty 'Thy Hand Belinda, Dido and Aeneas', Henry Purcell 'Les Indes Galantes - Menuets I & II', Rameau 'Prelude and Fugue in C Major - BWV 545 - Prelude', J.S. Bach 'Cello Suite No 5 in C Minor BWV 1011-IV-216', J.S. Bach See omnystudio.com/listener for privacy information.
« Est-ce que j'ai une gueule d'Arletty ? » c'est ce que va nous raconter Elodie Menant dans cette pièce qu'elle a écrite avec Eric Bu et dans laquelle elle interprète Arletty. « Est-ce que j'ai une gueule d'Arletty ? » se joue depuis le 12 mars au Théâtre Michel, en partenariat avec RTL Cette pièce a reçu 2 Molières et « ARLETTY » reste une personnalité connue du grand public. • Meilleur Spectacle Musical • Révélation Féminine pour Elodie Menant
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Hija del galerista Albert Loeb y nieta del también galerista Pierre Loeb, pasa su infancia en Nueva York, Estados Unidos. Apasionada de teatro, se inscribe a los famosos Cursos Florent de París bajo la dirección de Francis Huster. Actúa en Succès escrita por los primeros autores del grupo TSE, cuyos trajes y decorados fueron creados por Paloma Picasso. Y participa en numerosas películas realizadas por Adolfo Arrieta, James Ivory o Jacques Demy. En 1983, el primer álbum de Caroline Loeb Piranana sale al mercado (Ze Records), siendo autora de todas las letras. El álbum se realiza en Nueva York, con la carátula de Jean-Baptiste Mondino. En 1986 se convierte en una estrella con el título C'est la ouate del que es intérprete y coautora. La canción se convierte en un éxito internacional (n.º 1 en Italia, n.º 3 en España, n.º 5 en Francia, n.º 10 en Alemania, Austria, Argentina...).1 Publica un segundo álbum Loeb CD en 1987. A partir de 1993, Caroline Loeb dirige a numerosos artistas con repertorios de Édith Piaf, Marlene Dietrich, Jacques Prévert, etc. En 1999, dirige Shirley en el Festival de Aviñón, siguiendo los cuadernos de Shirley Goldfarb. La intérprete, Judith Magre, es recompensada con un Molière, máximo galardón del Teatro Francés. En 2007, dirige y actúa en Les Monologues du vagin (Los Monólogos de la vagina) en París. En 2008, Caroline Loeb se lanza en la realización cinematográfica con el cortometraje Vous désirez? (¿Qué desea?), realizado para la colección X-plicit Films. La película se presentó en la Mostra de Venecia en septiembre con los cortos de Laetitia Masson, Arielle Dombasle, Helena Noguerra y Lola Doillon. En julio de 2008 en el Festival de Aviñón, vuelve a subirse a un escenario con el espectáculo musical Mistinguett, Madonna & Moi. Evocando los iconos que admira desde siempre: Mae West, Tallulah Bankhead, Zizi Jeanmaire o Arletty y canta sus canciones junto a títulos de Serge Gainsbourg, Joséphine Baker, Fred Astaire, Yvette Guilbert y Madonna. Desde el 2 de octubre de 2008, representa este espectáculo en el Théâtre des Blancs Manteaux en París.2 El 5 de enero de 2009, publicó su nuevo álbum Crime Parfait (Crimen Perfecto), mezcla de canciones poéticas y emotivas con matices de humor negro. --- Send in a voice message: https://anchor.fm/radioflowok/message
Léonie Bathiat (1898 -1992), immense actrice française des années 1930 et 1940, mieux connue sous le nom d'Arletty, n'était pas du genre à se censurer, bien au contraire. En 1941, pendant l'Occupation, elle rencontre Hans Jürgen Soehring, un officier allemand de dix ans son cadet, proche d'Hermann Goering, l'un des hommes forts du IIIème Reich. L'actrice tombe amoureuse et entame une idylle passionnée. Alors que sa popularité est au firmament, elle s'affiche sans complexe avec un représentant de l'ennemi. À la Libération, cette “collaboration horizontale” vaudra à Arletty quelques ennuis...
L'écrivain nomade est là. Il a même réussi à stopper le train de son agenda volant pour s'arrêter 50 minutes En Sol Majeur. Koffi Kwahule, homme de théâtre, romancier et nouvelliste, se balade, la conscience diasporique sous la plume; cet amoureux du verbe incarné nous dira en quoi ça consiste. Appartenant à la génération des auteurs post-indépendance, venu au théâtre par amour du cinéma, traduit et joué dans le monde entier, notre dramaturge est une sorte d'exception culturelle, puisqu'il est quasiment le seul auteur ivoirien joué en dehors du continent. Au menu de notre partition, son jazz, son théâtre radical, et tout ça dans le cadre du cycle Koffi Kwahulé au Lavoir moderne parisien du 6 au 14 novembre et à l'occasion de son recueil Close up, Arletty, Boxer qui vient de paraître aux Editions Théâtrales Les choix musicaux de Koffi Kwahulé Amédée Pierre Réconciliation X-Clan & Christian Scott Prison Allah Therese Essoun Mo
Arletty, played by Marianna Hill, searches for her father in this 1973 horror film. Director Willard Huyck brings up the undead to the shores of Malibu much to the horror of its residents. Keep up with all things ISP: https://www.iscreampodcast.com/
While Gloria Katz and Willard Huyck wrote the script for American Graffiti for their USC chum George Lucas, they were working on a low budget horror film that they would produce, write, and direct together. This film was Messiah of Evil. Unfortunately for them, the producers took it away before they could finish filming. The producers hastily cut the project together and released a version in 1973, hoping it would make its money back. Because of that, Katz and Huyck largely dismissed the film for decades. Their attitude changed with time, and by the time the film's restoration for its 35th anniversary rolled around, they recognized the film was peculiar but had its fans and its strengths. Join us – Pete Wright and Andy Nelson – as we kick off our ‘Horror Debut' series with Katz's and Huyck's 1973 horror film Messiah of Evil. What works in Messiah of Evil and what doesn't? Katz and Huyck delivered a script that is a bit of a mess when you look at the story, but can we look past that? Perhaps if Katz and Huyck had been able to finish it their way. Then again, who knows? They did make Howard the Duck. So, we have to look at the film as what we have here. And honestly, the story may not be that strong, but it is definitely a horror tone poem. Katz, Huyck and team created a strong mood and tone for sure. Pete struggles a bit more with this tone because he felt like he'd been set up for more slasher killings. The film starts with several brutal murders, after all, before it shifts into less overt, bloody killings. But the film gets under Andy's skin, which he really likes. He feels it's enough. He thinks the film is excelling at creating a vibe that's hard to shake. We try tackling the story to see if we can sort out what we're meant to get from it. Because the story is more vague and ill-defined, it's tricky. There's a lot of guesswork in here on our parts. We think we have it sorted out, but again, this speaks to the problems with the story as it was constructed for this finished film. The story is rough, but are we here for the story? The colors, scene construction, lighting, editing, music, production design and effects all lend tremendously to this mood. Again, is that enough? Regardless, how great is it seeing so many film artists in these roles that would go on to contribute so strongly to the industry. The artfulness with the visuals really speaks to us though. From the first out of focus shot of Arletty in the hallway as she walks toward camera and eventually into focus, we're hooked. From creepy zombie people's silhouettes on the skylight to the crazy paintings on Arletty's dad's studio, to the killing in the movie theatre, the images are designed to terrify. And speaking of that movie theatre scene, that's likely the strongest horror scene in the film. It builds the tension well and becomes truly terrifying. The grocery store is great too, but doesn't work quite as well as this. And it leaves the question – if these townspeople are mindless zombies eating whatever meat they can find, why does the albino leave her alone when he picks her up hitchhiking? Is it because he's full from eating rats? Or has the sickness not quite completely infected him? These are those story points that can be frustrating. Regardless, it's a great film selection to kick off our Horror Debuts series. It gives us a chance to talk about Gloria Katz and Willard Huyck, which is particularly touching having lost Katz in 2018 to ovarian cancer. We have a great conversation about this film so check it out then tune in. The Next Reel – when the movie ends, our conversation begins! Join the conversation with movie lovers from around the world on The Next Reel's Discord channel! Film Sundries Learn more about supporting The Next Reel Film Podcast through your own membership — visit TruStory FM. Watch this on Amazon, or find other places at JustWatch Original theatrical trailer Original poster artwork Flickchart Letterboxd
While Gloria Katz and Willard Huyck wrote the script for American Graffiti for their USC chum George Lucas, they were working on a low budget horror film that they would produce, write, and direct together. This film was Messiah of Evil. Unfortunately for them, the producers took it away before they could finish filming. The producers hastily cut the project together and released a version in 1973, hoping it would make its money back. Because of that, Katz and Huyck largely dismissed the film for decades. Their attitude changed with time, and by the time the film's restoration for its 35th anniversary rolled around, they recognized the film was peculiar but had its fans and its strengths. Join us – Pete Wright and Andy Nelson – as we kick off our ‘Horror Debut' series with Katz's and Huyck's 1973 horror film Messiah of Evil. What works in Messiah of Evil and what doesn't? Katz and Huyck delivered a script that is a bit of a mess when you look at the story, but can we look past that? Perhaps if Katz and Huyck had been able to finish it their way. Then again, who knows? They did make Howard the Duck. So, we have to look at the film as what we have here. And honestly, the story may not be that strong, but it is definitely a horror tone poem. Katz, Huyck and team created a strong mood and tone for sure. Pete struggles a bit more with this tone because he felt like he'd been set up for more slasher killings. The film starts with several brutal murders, after all, before it shifts into less overt, bloody killings. But the film gets under Andy's skin, which he really likes. He feels it's enough. He thinks the film is excelling at creating a vibe that's hard to shake. We try tackling the story to see if we can sort out what we're meant to get from it. Because the story is more vague and ill-defined, it's tricky. There's a lot of guesswork in here on our parts. We think we have it sorted out, but again, this speaks to the problems with the story as it was constructed for this finished film. The story is rough, but are we here for the story? The colors, scene construction, lighting, editing, music, production design and effects all lend tremendously to this mood. Again, is that enough? Regardless, how great is it seeing so many film artists in these roles that would go on to contribute so strongly to the industry. The artfulness with the visuals really speaks to us though. From the first out of focus shot of Arletty in the hallway as she walks toward camera and eventually into focus, we're hooked. From creepy zombie people's silhouettes on the skylight to the crazy paintings on Arletty's dad's studio, to the killing in the movie theatre, the images are designed to terrify. And speaking of that movie theatre scene, that's likely the strongest horror scene in the film. It builds the tension well and becomes truly terrifying. The grocery store is great too, but doesn't work quite as well as this. And it leaves the question – if these townspeople are mindless zombies eating whatever meat they can find, why does the albino leave her alone when he picks her up hitchhiking? Is it because he's full from eating rats? Or has the sickness not quite completely infected him? These are those story points that can be frustrating. Regardless, it's a great film selection to kick off our Horror Debuts series. It gives us a chance to talk about Gloria Katz and Willard Huyck, which is particularly touching having lost Katz in 2018 to ovarian cancer. We have a great conversation about this film so check it out then tune in. The Next Reel – when the movie ends, our conversation begins! Join the conversation with movie lovers from around the world on The Next Reel's Discord channel! Film Sundries Learn more about supporting The Next Reel Film Podcast through your own membership — visit TruStory FM. Watch this on Amazon, or find other places at JustWatch Original theatrical trailer Original poster artwork Flickchart Letterboxd
Arletty, nom de scène de Léonie Bathiat, née le 15 mai 1898 à Courbevoie1 et morte le 23 juillet 1992 à Paris2, est une actrice et chanteuse française. Elle figure dans quelques chefs-d'œuvre du patrimoine cinématographique français des années 1930 et 1940 : Hôtel du Nord en 1938, Le jour se lève en 1939, Les Visiteurs du soir en 1942, Les Enfants du paradis en 1945, quatre films de Marcel Carné, les trois derniers dialogués par Jacques Prévert.
Little Talk in Slow French : Learn French through conversations
"A Great Classic from French Cinema" - Yves Montand - Les Feuilles Mortes (Poème de Jacques Prévert) : https://www.youtube.com/watch?v=Xo1C6E7jbPw - La scène du mime avec Arletty : https://www.youtube.com/watch?v=VDAs2K_UZ-0
Arletty, nom de scène de Léonie Bathiat, née le 15 mai 1898 à Courbevoie1 et morte le 23 juillet 1992 à Paris2, est une actrice et chanteuse française. Elle figure dans quelques chefs-d'œuvre du patrimoine cinématographique français des années 1930 et 1940 : Hôtel du Nord en 1938, Le jour se lève en 1939, Les Visiteurs du soir en 1942, Les Enfants du paradis en 1945, quatre films de Marcel Carné, les trois derniers dialogués par Jacques Prévert.
Arletty, nom de scène de Léonie Bathiat, née le 15 mai 1898 à Courbevoie1 et morte le 23 juillet 1992 à Paris2, est une actrice et chanteuse française. Elle figure dans quelques chefs-d'œuvre du patrimoine cinématographique français des années 1930 et 1940 : Hôtel du Nord en 1938, Le jour se lève en 1939, Les Visiteurs du soir en 1942, Les Enfants du paradis en 1945, quatre films de Marcel Carné, les trois derniers dialogués par Jacques Prévert.
Arletty, nom de scène de Léonie Bathiat, née le 15 mai 1898 à Courbevoie1 et morte le 23 juillet 1992 à Paris2, est une actrice et chanteuse française. Elle figure dans quelques chefs-d'œuvre du patrimoine cinématographique français des années 1930 et 1940 : Hôtel du Nord en 1938, Le jour se lève en 1939, Les Visiteurs du soir en 1942, Les Enfants du paradis en 1945, quatre films de Marcel Carné, les trois derniers dialogués par Jacques Prévert.
Arletty, nom de scène de Léonie Bathiat, née le 15 mai 1898 à Courbevoie1 et morte le 23 juillet 1992 à Paris2, est une actrice et chanteuse française. Elle figure dans quelques chefs-d'œuvre du patrimoine cinématographique français des années 1930 et 1940 : Hôtel du Nord en 1938, Le jour se lève en 1939, Les Visiteurs du soir en 1942, Les Enfants du paradis en 1945, quatre films de Marcel Carné, les trois derniers dialogués par Jacques Prévert.
Atmosphère ! « En lisant le scénario, je n'étais pas enthousiasmé par cette scène, raconta Marcel Carné, c‘est tiré par les cheveux. J'avais presque envie de la couper mais je me dis qu'avec l'accent d Arletty cela allait passer. Quitte à me faire engueuler par la production, autant tourner la scène même s'il faut la couper ensuite. Toute la drôlerie, de la scène, on la doit àArletty . On ne la voit pas dans le texte. Quand les flics l'arrêtent et qu'elle réplique « pour une bonne prise, c'est une bonne prise », ça c'est réel, c'est jaillissant, naturel. Mais atmosphère… Est-ce que la dernière des putains de Pigalle connaît même le mot ? Or, à mon grand étonnement, dès les premières projections les gens riaient. C'était la première fois qu'on riait à mes films. Par exemple, Hôtel du Nord, lui, a eu beaucoup de succès tout de suite. Tous les producteurs se sont jetés sur Arletty. Elle avait eu 60.000 francs à l'époque, pour le film suivant, elle a gagné 300.000 francs, Le succès du film a été tel que par la suite on a failli classer l'hôtel monument historique. Les guides, dans les péniches qui passaient devant, annonçaient aux touristes : « Et voici l'hôtel du Nord, c'est là que Marcel Carré a tourné son fameux film »… alors que nous avons tout reconstitué en studio ! » ARLETTY "Atmosphère...atmosphère...est-ce que j'ai une gueule d'atmosphère?...". Cette réplique culte est aujourd'hui dans tous les esprits. Cette réplique d'Hôtel du Nord, qu'Arletty prononce avec toute sa gouaille, près du Canal Saint-Martin, à un Louis Jouvet cynique...C'est Marcel Carné qui propulsa définitivement Arletty au firmament des actrices françaises de l'entre-deux-guerres. Ses meilleurs films : "Pension Mimosas" de Jacques Feyder, "Faisons un rêve", "Les perles de la couronne" ainsi que "Désiré" tous trois de Sacha Guitry, "La Chaleur du sein" de Jean Boyer, "Hôtel du Nord","Le Jour se lève, "Les Visiteurs du Soir" et "Les Enfants du Paradis" (ses meilleurs films), "Fric-Frac" de Autant-Lara, "Circonstances atténuantes" de Jean Boyer, "Madame Sans-Gêne" de Roger Richebé, "Huis Clos" de Jacqueline Audry, "Maxime" de Henri Verneuil et "Le Jour le plus long" (sa participation)
durée : 00:46:00 - Remède à la mélancolie - par : Eva Bester - "OSS 117, Rio ne répond plus" de Michel Hazanavicius, Eric Chevillard, Pierre Dac, la pensée libertine du XVIIe, Arletty et Jerry Lee Lewis, les sports de combat, Félicien Rops... Retrouvez les remèdes de notre invité !
Nous débarquons sur les plages de Normandie avec toute lʹéquipe du film de Darryl F. Zanuck. Le Jour le plus, The Longest Day, sorti en 1962, est une fresque épique retraçant les épisodes du fameux Jour J, le D-Day, le débarquement de Normandie du 6 juin 1944. Inspiré du livre de Cornélius Ryan, le film emploie 4 scénaristes en plus de lʹauteur, 5 réalisateurs dont Darryl F. Zanuck en personne, et des vedettes internationales, françaises, anglaises, américaines ou encore allemandes. Henry Fonda, John Wayne, Robert Mitchum, Mel Ferrer, Arletty, Sean Connery, Jean-Louis Barrault, Hans Christian Blech, Richard Burton, Madeleine Renaud incarnent à lʹécran les personnages historiques. 167 rôles parlés et des milliers de figurants. Sur lʹécran se succèdent les événements de ce jour le plus long, épisodes héroïques ou pathétiques, en un caléidoscope célébrant le courage, lʹabnégation, mais aussi les erreurs, la peur, la mort.
Petite Gueule, de son vrai nom Manon Gilbert, est une jeune femme aux multiples talents qui a déjà fait beaucoup de choses côté théâtre et musique - autrice, compositrice, musicienne, chanteuse, danseuse et comédienne ! - mais… le confinement a eu sur elle un effet explosif et révélateur : elle en est sortie avec une série de formidables titres et clip faits "maison", entre rap et chanson, dont le réjouissant "Ça m’énerve" qui a très vite cumulé plus de 100 000 vues ! Son "Concerto pour triangle" - plein d'humour et de sensibilité - et son superbe clip donnent une belle idée de ce dont elle est capable.Petite Gueule navigue joyeusement entre Arletty et les musiques urbaines, entre la Madeleine de Proust et Dumbo l’éléphant, entre un concerto pour triangle avec orchestre et les rues de Montreuil, entre de solides formations dans divers domaines artistiques et une farouche liberté, entre la musique classique, le piano, le cinéma, les musiques sud-américaines… Une créativité qui s’exprime à tous les étages sans négliger l’image, avec une urgence d’exprimer tout ça et une auto-dérision aussi désarmante que décapante. Je vous invite dans ce podcast à découvrir l’univers de Petite Gueule !Tous les clips des chansons et autres vidéos de Petite Gueule sur sa chaîne YouTube :https://www.youtube.com/channel/UCuRytsgy5kAt2WM1VM85HvQLa page Facebook de Petite Gueule :https://www.facebook.com/PetiteGueuleGrondeTous les liens des pages de Petite Gueule :https://linktr.ee/petitegueuleUne interview réalisée par © Anne Greffe - So Sweet Planet. Tous droits réservés. Soutenez ce podcast http://supporter.acast.com/so-sweet-planet. See acast.com/privacy for privacy and opt-out information.
De l'argot des blousons noirs aux accents de banlieue Pourquoi associe-ton toujours la jeunesse à la prétendue détérioration de la langue ? Comment est-on passé de l'expression « parler jeune » à « parler de banlieue » ? Quel dette ce langage doit-il à la gouaille populaire ?Dans ce deuxième épisode, les linguistes nous éclairent sur les évolutions naturelles de la langue. En se référant à l'histoire du cinéma, du théâtre ou de la radio, ils nous montrent comment la croyance en un « âge d'or de la langue » oriente notre regard sur le langage des jeunes. Tout fout le campPourquoi a-t-on toujours l'impression que les gens parlaient mieux avant ? Et pourquoi ce sont toujours les jeunes qui « parlent mal » ? Des blousons noirs aux rappers, de « astap » à « wesh gros », une histoire ludique du langage des jeunes pour savoir, si, vraiment, tout fout le camp. Lauréate de la bourse INALAB 2019, Manon Prigent s'appuie sur les trésors des archives audiovisuelles de l'INA pour tendre son micro aux principaux intéressés, les jeunes d'aujourd'hui, avec le renfort de quelques spécialistes du langage.Une coproduction INA-ARTE Radio. Manon PrigentAprès une formation en lettres et en arts visuels, puis un passage dans diverses institutions d'art contemporain, Manon Prigent s'initie en 2018 à la prise de son et à la réalisation de documentaires. Elle entame alors ses premières collaborations avec ARTE Radio et France Culture. Avec :- Michael Abecassis, linguiste et enseignant de langue française à Oxford - Philippe Boula de Mareüil, phonolinguiste et chercheur au CNRS - Maria Candea, sociolinguiste et directrice du département Langue et littérature françaises et latines – Université Sorbonne Nouvelle, Paris 3 - Cyril Trimaille, sociolinguiste et responsable du Master Sciences du langage – Université Grenoble Alpes - Héloise, Mourad, Nathan, Yanis et Léonore. Et les voix de (archives INA) : Renaud, Coluche, JoeyStarr, Arletty, André Malraux, des jeunes de Trouville et du Métropolis. Archives INA : Extraits des émissions Radioscopie, Dimanche dans un fauteuil, Nuits Magnétiques, Le Masque et la Plume, Les Pieds sur Terre. Musiques additionnelles (archives INA) :- Damia, Tout fout l'camp- Extraits de films : Marcel Carné, Hôtel du Nord ; Edgar Morin & Jean Rouch, Chroniques d'un été Remerciements : Jean-Julien Aucouturier, Henri Boyer, Nathalie Chouchan, Marc Jacquin, Jean Lebrun, Agathe Maire, Irène Omelianenko, Edwige Roncière, Jacqueline Schaeffer, Mathias Théry, Jack Vidal, Elsa Vettier. Pour aller plus loin :- Michael Abecassis, Gudrun Ledegen, Les Voix des Français Volumes 1 & 2, Peter Lang, 2010- Michael Abecassis, The Representation of Parisian Speech in the Cinema of the 1930s, Peter Lang, 2005- Philippe Boula de Mareüil, D'où viennent les accents régionaux ?, éd. Le Pommier 2010- Maria Candea, Le français est à nous ! Petit manuel d'émancipation linguistique, La Découverte, 2019- Maria Candea, L'Académie contre la langue française. Le dossier « féminisation », éd. Ixe, 2016- Michel Chion, Le complexe de Cyrano, la langue parlée dans les films français, Cahiers du cinéma — Essais, 2008- Cyril Trimaille, Études de parlers de jeunes urbains en France. Éléments pour un état des lieux, Presses Universitaires de Rennes, 2004 Enregistrements : janvier, juin 2020 - Prises de son, texte et montage : Manon Prigent - Réalisation, mixage et musique originale : Charlie Marcelet - Archives INA : 1938—2008 - Illustration : Alice Meteignier - Production : ARTE Radio et INA
Début 1980, dans l’émission Poubelle Night, Supernana reçoit Moïse Maatouk qui a interviewé Arletty et le diffuse en exclusivité sur la radio Carbone 14. Cet enregistrement a été numérisé par nos soins, elle était conservé par la famille de Supernana.
Durée : 4:17 - "Atmosphère, atmosphère ! Est-ce que j'ai une gueule d'atmosphère ?!"
Notre nouvel invité du podcast Regard de cinéaste est une créatrice qui a pris son destin en main, qui s'est réinventée, en opérant une série de métamorphoses successives : la comédienne est devenue autrice, l'autrice est devenue cinéaste, la cinéaste est devenue chanteuse, la chanteuse est devenue parolière. Après avoir écrit et tourné pour Alain Resnais, notamment On connaît la chanson, son passage à la mise en scène s'effectue avec une comédie de moeurs au scalpel, pleine de sentiments mélangés, drolatique et bouleversante, Le Goût des autres. Avec elle, nous allons évoquer ses parti-pris musicaux comme metteuse en scène, parti-pris qui reflètent son goût pour la musique au pluriel, du baroque aux rythmes sud-américains et arabos-andalous. Par Stéphane Lerouge Crédits musicaux Cuisine et dépendances Musique de Vladimir Cosma Editions Larghetto Music BV Et le reste ?, par Arletty et Jean Aquistapace Musique de Félix Rosenberg et Marcel Lattes / Paroles de André Hornez Editions Salabert Le Rôle de sa vie (ouverture) Musique composée et dirigée par Philippe Rombi Inédit I would that my love (Opus 63, no 1), par Kathleen Ferrier et Isobel Baillie Musique de Felix Mendelssohn DP Au lait, par Pat Metheny Group Musique de Pat Metheny et Lyle Mays Editions Kobalt Music Publishing Ltd.
C'est un article récent du Figaro qui le fait remarquer : depuis longtemps les petites gens comme on disait à l'époque ne sont plus à l'honneur du cinéma et des nouveaux canaux de diffusion tels que Netflix : c'est plutôt la mixité raciale et religieuse qui est à l'honneur, un peu comme dans la pub : la marque Coca Cola, par exemple, qui sera à l'honneur de l'émission Fly Me To The Brands de décembre, montre dans ses pubs, deux jeunes femmes musulmanes entrain de boire du Coca ou encore un Papy tendance, motard participant à une Gay Pride, par contre montrer un ouvrier transpirotant entrain de boire dans un chantier boueux, pas très tendance. Et pourtant le cinéma Français de l'entre deux guerre a fait ses plus beaux films, ses chefs d'œuvres français, en mettant en scène les classes populaires, les gens ordinaires, incarnés par Gabin ou Arletty. Ils étaient beaux me direz-vous, et en 2020, après les gilets Jaunes et le succès monumental des Chtis de Dany Boon, les gens ordinaires reviennent avec Petit Paysan ou au nom de la terre. En Amérique, Donald Trump le savait bien, on a négligé les classes populaires...
durée : 00:34:59 - Les Nuits de France Culture - par : Philippe Garbit, Albane Penaranda, Mathilde Wagman - "L'île de la tortue et le trésor du pirate Morgan" une lecture captivante par Arletty de cette nouvelle d'aventure qui fut lauréate du prix de la nouvelle en 1962, (1ère diffusion : 03/02/1962 Chaîne Nationale). - réalisation : Virginie Mourthé - invités : Arletty Comédienne et chanteuse française (1898 - 1992)
Sarah Bernhardt (1844-1923), a été la plus importante actrice française du XIXe siècle et début du XXe siècle, et une fabuleuse comédienne de théâtre, surnommée la « Voix d’or » ou la « Divine ». Tragédienne exceptionnelle (Le Passant, Ruy Blas, Phèdre, Hernani, La Dame aux Camélias…), elle fut la muse d’artistes et habita la Pointe aux Poulains sur Belle-Île-en-Mer : « J’aime venir chaque année dans cette île pittoresque, goûter tout le charme de sa beauté sauvage et grandiose. J’y puise sous son ciel vivifiant et reposant de nouvelles forces artistiques. » On visite son habitation sans une certaine émotion teintée de surprise et j’y ai lu ceci : « Ici commence un monde sauvage, âpre et doux : la pointe des Poulains. Vous rêviez de sensations fortes, de rochers noirs battus par les vagues et les vents ? Vous les aurez ! Vous aviez envie de pelouses fleuries comme des jardins et d’une tranquillité à peine troublée par les cris des oiseaux de mer, vous les aurez aussi ! Ici, il faut aimer les contrastes. Ici, même par temps calme, l’océan fait un bruit de tempête. Ici flotte l’âme de celle qui y trouva décor à sa mesure : la grande tragédienne Sarah Bernhardt. » La vie privée de Sarah Bernhardt fut mouvementée, parfois tragique. C'est ici que Sarah Bernhardt vivait à Belle-Île-en-Mer (Photo Pierre Guelff) À 20 ans, elle donna naissance à son seul enfant, Maurice, qui nia sa paternité. Elle eut des amants en nombre (on parla de Victor Hugo, du Prince de Galles…), elle se maria avec un toxicomane, fut amputée d’une jambe à l’âge de 71 ans en raison d’une blessure gangrenée consécutive à un saut effectué une dizaine d’années plus tôt dans « Tosca », mais, courageusement, elle continua de jouer assise et visita même les Poilus au front lors de la Première Guerre Mondiale. Pourtant, déjà, elle vivait depuis cinquante ans avec un seul poumon, depuis trois décennies avec un seul rein. Une légende et une excentricité circulent à son encontre. Cette légende, mais en est-ce vraiment une ?, prétend qu’à Champigny-sur-Marne, le Château des Tourelles fut habité par la comédienne et que le nouveau propriétaire, dès sa première nuit audit château, entendit des pas « particuliers » dans l’escalier d’honneur. Ils se décomposaient en deux temps : le bruit léger d’un pied de femme, puis le martèlement sec d’une jambe de bois. Il en déduisit que le fantôme de Sarah Bernhardt se faisait entendre, ce que Sacha Guitry et Jacques Varenne constatèrent également suite à l’invitation du nouveau propriétaire, dit-on. L'intérieur de chez Sarah Bernhardt (Photo Marie-Paule Peuteman) Pour en revenir à Belle-Île, un Musée Sarah Bernhardt trouve très logiquement sa place à la Pointe des Poulains. Ici, la « Bonne Dame » était très sensible aux difficultés quotidiennes des Bellilois.es et elle finança une boulangerie coopérative : « L’œuvre du pain pas cher ». À côté de cet aspect humanitaire (elle militait aussi contre la peine de mort et l’antisémitisme), une photo montre la comédienne – lasse du monde, paraît-il ! -, de manière excentrique et quelque peu morbide, couchée dans un cercueil installé dans une chambre de son fortin. Elle y est couverte de couronnes et de fleurs, les mains croisées sur la poitrine, un cierge est allumé et un crâne repose sur le tapis pour « un adieu temporaire à la vie » ! L’une de ses devises était : « C’est en se dépensant soi-même que l’on devient riche » ! Outre Sarah Bernhardt, Belle-Île-en-Mer compta d’autres célébrités venues goûter au fantastique attrait de ce coin de Bretagne : Gustave Flaubert, Claude Monet, Arletty, Jacques Prévert, André Gide, Johnny Depp, Vanessa Paradis… À la semaine prochaine !
durée : 00:25:59 - Les Nuits de France Culture - par : Philippe Garbit, Albane Penaranda, Mathilde Wagman - Nuit des actrices françaises des années 30 - Entretien 2/4 avec Bruno Villlien qui a bien connu Arletty (1ère diffusion : 26/05/2019). - réalisation : Virginie Mourthé
durée : 00:30:00 - Les Nuits de France Culture - par : Philippe Garbit, Albane Penaranda, Mathilde Wagman - "Je suis comme je suis - Mémoires imaginaires de Arletty", dans cette émission la comédienne évoquait son métier, elle chantait et interprétait des extraits de pièces et des poèmes de son choix, (1ère diffusion : 08/05/1951 Chaîne Parisienne). - réalisation : Virginie Mourthé - invités : Arletty Comédienne et chanteuse française (1898 - 1992)
Née sous le nom de Léonie Bathiat, elle devient Arletty (1898-1992) en commençant sa carrière d’actrice et de chanteuse, d’abord dans les revues avant de se consacrer au théâtre et au cinéma. Elle incarne une figure de Parisienne populaire, notamment grâce à son rôle de Mme Raymonde dans «Hôtel du Nord», de Marcel Carné en 1938, dans lequel elle sort la célèbre réplique « Atmosphère ! Atmosphère ! Est-ce que j’ai une gueule d’atmosphère ? » Mais aussi :- Un entretien avec Stanislas Nordey, directeur du Théâtre National de Strasbourg et metteur en scène. Il évoque la reprise du travail dans un théâtre national, des répétitions pour préparer la prochaine saison et le programme qu’il a mis en place cet été pour retrouver le plateau et le public. La nouvelle création du metteur en scène, Berlin mon garçon, adapté de la pièce de Marie Ndiaye, sera jouée en mars 2021, un an après sa programmation initiale. - La chronique « En bons termes » avec Pierrette Crouzet Daurat, chef de la Mission du développement et de l'enrichissement de la langue française àla DGLFLF (Délégation générale à la langue française et aux langues de France), qui propose un autre terme pour clickbait ou « pute à clic ».
Notre invitée : Natacha Carré, chargée de communication de Fibois Bourgogne-Franche-Comté FIBOIS Bourgogne-Franche-Comté est une association qui représente tous les acteurs de la filière forêt-bois: des pépiniéristes aux propriétaires forestiers en passant par les sylviculteurs, exploitants forestiers, producteurs de combustibles bois, industriels de la première transformation du bois (sciage, tranchage, déroulage...) etc... L'association propose une série documentaire consacrée à la filière forêt-bois dans notre région, intitulée « Portraits ». 7 portraits de professionnels que l'on suit dans leur quotidien et qui partage avec nous leur passion et leur savoir-faire. Après un an de tournage, le film sort en salle cette semaine dans notre région: - jeudi 12 mars à 20h50 au cinéma L'Olympia à Pontarlier (25) - mardi 24 mars à 20h30 au cinéma Arletty à Autun (71) Bande-annonce: https://youtu.be/CPxYSOEg_2I + d'infos sur https://www.fibois-bfc.fr /
Notre invitée : Natacha Carré, chargée de communication de Fibois Bourgogne-Franche-Comté FIBOIS Bourgogne-Franche-Comté est une association qui représente tous les acteurs de la filière forêt-bois: des pépiniéristes aux propriétaires forestiers en passant par les sylviculteurs, exploitants forestiers, producteurs de combustibles bois, industriels de la première transformation du bois (sciage, tranchage, déroulage...) etc... L'association propose une série documentaire consacrée à la filière forêt-bois dans notre région, intitulée « Portraits ». 7 portraits de professionnels que l'on suit dans leur quotidien et qui partage avec nous leur passion et leur savoir-faire. Après un an de tournage, le film sort en salle cette semaine dans notre région: - jeudi 12 mars à 20h50 au cinéma L'Olympia à Pontarlier (25) - mardi 24 mars à 20h30 au cinéma Arletty à Autun (71) Bande-annonce: https://youtu.be/CPxYSOEg_2I + d’infos sur https://www.fibois-bfc.fr /
Notre invitée : Natacha Carré, chargée de communication de Fibois Bourgogne-Franche-Comté FIBOIS Bourgogne-Franche-Comté est une association qui représente tous les acteurs de la filière forêt-bois: des pépiniéristes aux propriétaires forestiers en passant par les sylviculteurs, exploitants forestiers, producteurs de combustibles bois, industriels de la première transformation du bois (sciage, tranchage, déroulage...) etc... L'association propose une série documentaire consacrée à la filière forêt-bois dans notre région, intitulée « Portraits ». 7 portraits de professionnels que l'on suit dans leur quotidien et qui partage avec nous leur passion et leur savoir-faire. Après un an de tournage, le film sort en salle cette semaine dans notre région: - jeudi 12 mars à 20h50 au cinéma L'Olympia à Pontarlier (25) - mardi 24 mars à 20h30 au cinéma Arletty à Autun (71) Bande-annonce: https://youtu.be/CPxYSOEg_2I + d’infos sur https://www.fibois-bfc.fr /
De la zone de Courbevoie au sommet de l’affiche, la carrière de Léonie Batiat, alias Arletty, a embrasé les Années folles. Mais celle qui était devenue l’icône du cinéma français s’est énamourée, en pleine Occupation, d’un jeune officier allemand – jusqu’à mettre sa carrière en péril… Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.
durée : 00:34:59 - Les Nuits de France Culture - par : Philippe Garbit, Albane Penaranda, Mathilde Wagman - "L'île de la tortue et le trésor du pirate Morgan" une lecture captivante par Arletty de cette nouvelle d'aventure qui fut lauréate du prix de la nouvelle en 1962, (1ère diffusion : 03/02/1962 Chaîne Nationale). - réalisation : Virginie Mourthé - invités : Arletty Comédienne et chanteuse française (1898 - 1992)
Caroline Loeb renoue avec la chanson et retrouve son public dans une formule très cabaret : Chiche ! Avec des chansons qui évoquent des thèmes qui la touchent : l'amour des mots, une vie à cent à l'heure, le succès ouaté qui foudroie ensuite ou la fragilité des amours... le tout avec une gouaille unique, Caroline Loeb nous raconte un déjeuner à l'Élysée avec François Mitterand, ses folles années Palace ou sa rencontre avec Arletty. Et elle a accepté de se livrer au micro de Gaële Beaussier-Lombard
In Episode Four of the Imaginary Frenchman, my exploration of French cinema takes us to a discussion of one of the most popular French films of all time, LES ENFANTS DU PARADISE, or, as it is known in English, CHILDREN OF PARADISE. Some call it the French GONE WITH THE WIND. You can learn about the movie's plot, its actors and creators, its production and release, and its critical reception. I think it's the best French movie ever!Also, my Francophile pick of the week will lead you to a playlist that can take you away to Paris.
La Cigale a conservé le charme de ces lieux conçus au 19e siècle. Cette belle salle à taille humaine, située dans le quartier Pigalle à Paris, fut d’abord un café-concert pendant 40 ans (de 1887 à 1927). Les plus grands noms du music-hall s’y sont produits comme Maurice Chevalier ou Arletty. Pendant la guerre, elle va se transformer en cinéma, avant de sombrer de longues années dans l’oubli. La renaissance date de 1987. Cette année-là, deux ex-brocanteurs rouvrent la salle et confient la direction artistique à Corinne Mimram. Cette jeune femme de 25 ans va faire de ce lieu un endroit incontournable de Paris. Aujourd’hui, c’est elle qui est toujours aux commandes et se souvient de ses débuts et de ses premières programmations. Un nombre incalculables de vedettes françaises et internationales se sont produites à la Cigale depuis 1987 : George Benson, David Bowie, Lenny Kravitz, Prince, et beaucoup d’artistes français, parmi lesquels Johnny Hallyday en 1993. Corinne Mimram se souvient du passage de Johnny Hallyday, et de la proximité qu’il a pu avoir avec le public. Parmi les centaines d’artistes à s’être produits à la Cigale : la Béninoise Angélique Kidjo. Elle apprécie le côté convivial de la salle. La jeune Cléa Vincent est l’une des chanteuses les plus en vue de la nouvelle génération. Elle a le sentiment qu’en passant dans cette salle, un palier a été franchi dans sa carrière. Christophe Conte a été longtemps journaliste aux Inrockuptibles. Ce magazine a organisé pendant une vingtaine d’années le festival des Inrocks à la Cigale. Christophe Conte se souvient des retours élogieux que lui faisaient les musiciens programmés dans cet établissement. Plus d'informations sur le site officiel de La Cigale, sa page Facebook ou ses comptes Twitter et Instagram.
Esperluette Podcast "En mode Festival" #25 Rencontre avec Elodie Menant pour parler de la pièce Est-ce que j'ai une gueule d'Arletty ?qu'elle a co-écrit avec Eric Bu et dans laquelle elle joue le rôle principal. Qui de mieux qu'Arletty elle-même pour revisiter sa vie ? Ce soir, la voici maîtresse de cérémonie. A Courbevoie, puis au music-hall, au théâtre, au cinéma, on traverse la Belle Epoque, 14-18, les Années Folles, on chante, on danse, tout flamboie, un tourbillon de succès, une revanche sur un passé et une vie modeste, un seul guide : la liberté ! Et puis la Deuxième Guerre Mondiale éclate, et l'amour s’invite... La voici amoureuse, d’un officier allemand ayant sa carte au parti nazi. Est-ce acceptable ? La liberté a-t-elle des limites ? -------- Retrouvez toutes les interviews d'Esperluette sur : www.esperluette-podcast.fr - Instagram - Facebook et sur toutes les applis de podcast Esperluette est un podcast natif produit par Marie-Cécile Drécourt sous licence Creative Commons BY-NC-ND 3.0 FR
durée : 00:03:51 - Femmes de Paname France Bleu Paris - Pia évoque une légende du cinéma dont l’image est intrinsèquement liée à celle de Paris : la comédienne Arletty.
Fred e Alexandre trazem Rafael Amaral (do Blog “Palavras de Cinema”) no episódio 85 para debater a carreira de Marcel Carné, um dos grandes nomes por trás do chamado Realismo Poético Francês, movimento cinematográfico que saiu da França nos anos 30 para influenciar cinemas mundo afora. Algumas das mais inspiradas obras desta tendência de se fazer cinema foram dirigidas por Marcel Carné, como os principais filmes discutidos neste áudio. “Cais das Sombras” (Le Quai des Brume, 1938), “Trágico Amanhecer” (Le Jour se Lève, 1939), “Os Visitantes da Noite” (Les visiteurs du soir, 1942) e “O Boulevard do Crime” (Les enfants du paradis, 1945) foram obras influentes no cinema francês e mundial desse período e este último longa até hoje é considerado um dos melhores filmes franceses de todos os tempos. Atores como Jean Gabin, Michele Morgan, Arletty, Michel Simon, Jean-Louis Barrault, Pierre Brasseur e Louis Jouvet também marcam presença em filmes memoráveis de Carné discutidos neste episódio do Podcast Filmes Clássicos.
Mission encre noire Tome 22 Chapitre 270. Je vous présente mes meilleurs voeux pour l'année 2018. Janvier débute avec ce qui va sans doute devenir un classique du polar: L'année du Lion de Deon Meyer paru en 2017 aux éditions du Seuil. Écrit en afrikaans et en anglais, le roman, traduit par Catherine Du Toit et Marie-Caroline Aubert se situe en Afrique du sud entre le désert du Karoo et le fleuve Orange. Nicolas (le narrateur) fait le récit de l'assassinat de son père, Willem Storm. Ils comptent parmi les rares survivant d'une fièvre qui a décimé 95 % de la population mondiale. La catastrophe a provoqué de nombreuses réaction en chaîne. Chez les humains, c'est la loi de la jungle. Pourtant Willem Storm est convaincu de pouvoir bâtir un monde meilleur avec les rescapés de ce cataclysme. Malgré que la prose soit aussi rêche et aride que la majesté du paysage, l'espoir demeure. La vision de Deon Meyer n'est pas désespérée, les communautés cherchent à se reconstruire. Il y beaucoup d'humanité dans cet ambitieux projet, qui se traduit par un esprit de résistance et de solidarité. L'année du Lion est un classique en devenir, qui a l'image du continent africain, (et de l'Afrique du sud en particulier) rugit de rage et de fureur. C'est un livre qu'on ne peut pas lâcher aussi facilement. Il finira bien par trouver le chemin de votre bibliothèque, à côté de La route de Cormac McCarthy, mais pas pour les mêmes raisons. Extrait: « Je revois ces événements avec du recul. L'importance et la signification de cette scène ne me frapperont que des années plus tard. Ce jour-là, je me rendais déjà compte que c'était un moment historique, autant qu'un gosse de treize ans, affamé de compagnie, de camarades de son âge, pouvait le ressentir. Je ne réaliserais que plus tard le véritable poids du moment et des personnes impliquées. Le car de luxe est déjà garé au milieu de la rue quand j'arrive. Deux hommes descendent et avancent vers Père et Hennie As, Domingo, Mélinda Swanevelder, Béryl et les seize enfants qui les attendent dans Proteastraat. Le premier homme est âgé, il a les cheveux blancs et porte une toge blanche avec une sorte de châle doré et un chapeau bizarre. Dans sa main droite il tient une houlette en bois argenté. De la gauche, il s'appuie sur le bras d'un homme plus jeune, très impressionnant, plus grand que tous les autres et large de poitrine. Voilà ce que j'observe, ce que j'essaie de marquer dans ma mémoire pour pouvoir le raconter un jour, pour pouvoir dire que j'étais présent, que j'ai participé à cet événement. » New Moon, Café de nuit joyeux de David Dufresne paru en 2017 aux éditions du Seuil. Paris la nuit c'est fini/Paris va crever d'ennui/Paris se meurt rendez lui/Arletty. Et si Pigalle nous était conté ? C'est le pari réussi de David Dufresne. L'auteur se retourne sur son passé, il arrive dans le quartier le plus chaud de Paris en 1988, il a 20 ans. Le New Moon est le plus grand des petits clubs rock parisiens. On y croise régulièrement la crème de la scène du rock alternatif, la Mano Negra en tête. 106 m2 de bonheur et d'énergie pure qui dissimule une histoire riche et palpitante à l'image du quartier. Ouvert en 1896 sous le nom de La feuille de vigne, l'endroit changera plusieurs fois de nom et de style. David Dufresne nous offre un livre déroutant au croisement du polar, du docu/fiction et du récit historique. Excellement bien documenté, vous ne perdrez rien de l'enquête autour du lieu mythique. Vous y croiserez Manu Chao en terrasse du New Moon, Virginie Despente, son premier manuscrit sous le bras, Cole Porter, Degas, Manet...et si une nouvelle forme de journalisme était né ? Depuis 2004, le New Moon a rendu les armes à l'embourgeoisement, une épicerie bio patronne désormais sur la rue Pigalle. Extrait: « Le Bricktop's fut le premier des cabarets de Pigalle à servir le whisky à table - jusqu'ici, on ne le faisait qu'au bar, il fallait se déplacer pour cette vulgaire boisson. La maîtresse des lieux y perdait le chic du champagne exclusif, mais elle y gagnait les écrivains. Et ils allaient se précipiter. La première fois que John Steinbeck était venu,ça avait mal commencé. Il avait dû envoyer un taxi de roses à Brick pour s'excuser de son comportement (Il ajoutera plus tard à ses fleurs ces mots: « Brick, chaque fois que tu chantes «Embraceable You», tu m'enlèves vingt ans de ma vie d'homme »). Hemingway, aussi, traînait dans les parages ; comme F. Scott Fitzgerald qui met en scène un de ses héros de Retour à Babylone devant le Bricktop's, où «il avait passé tant de temps et dépensé tant d'argent».» Le retour du Gang d'Edward Abbey paru en 2017 aux éditions Gallmeister dans la collection Nature Writing. Le Gang de la clé à molette est un livre culte. Un best seller des éditions Gallmeister paru en 2013 et illustré par Crumb. Edward Abbey, décédé en 1989, a été inhumé dans le désert, un lieu encore tenu secret aujourd'hui. Le retour du Gang est la touche finale d'une oeuvre riche, qui relève le défi de présenter le combat écologiste de l'auteur. Le gang de la clé à molette est composé de quatre personnages: de Bonnie Abbzug compagne du Doc Sarvis, médecin dans la vie, de Seldom Smith, un membre de l'église mormone et George Hayduke, vétéran du Vietnam, passionné d'armes à feu, vivant en renégat dans une grotte dans le désert avec pour seul compagnon, un féroce crotale. C'est lui qui se charge de remobiliser la troupe contre l'invasion de l'excavateur géant: Goliath. Pour sauver les déserts de l'ouest américain tous les moyens sont bons. L'auteur publie ici, un manifeste de résistance, drôle et cynique. Edward Abbey se place déjà comme une influence majeure et son style plutôt explosif est à découvrir. Extrait: « Silence. Hayducke crache par terre. Il lève les yeux et les plante dans ceux de Seldom, l'air incapable de comprendre ou de croire ou même d'entendre clairement ce que son vieux pote lui dit. Tout ce que Seldom voit du regard d'hayducke sont ces deux petits points rouges, comme les diodes de mise sous tension d'une mystérieuse machine nocturne. Comme deux tisons luisant dans un feu qui se meurt. Comme...comme les faibles feux arrières d'un train fou qui s'en va, au loin, pour ne jamais revenir. Un simple souffle de réalité peut éteindre, pour toujours, d'un moment à l'autre, ces deux rubis d'espoir. » Naissance d'une jungle de Nancy Huston paru en 2017 aux éditions de l'Aube collection Le Un en livre. Le Un est un journal d'enquête et d'idées, indépendant, sans publicité qui rassemble sous la direction de l'écrivain Éric Fottorino, chaque semaine des écrivains, artistes, journaliste et des chercheurs, pour éclairer sur un thème en particulier lié à l'actualité. Vous connaissez sans doute déjà la plume parfois acérée de l'écrivaine. Ses prises de positions, au risque de déplaire, permettent le plus souvent d'insuffler une nouvelle dynamique dans les débats. Nancy Huston tire le signal d'alarme sur les dérives de la pensée dominante, primitive, qui a pris le pouvoir un peu partout et particulièrement aux USA. On appelle cela le règne de la jungle. Au fil de la lecture des cinq textes disponibles dans cet ouvrage, l'autrice interroge notre capacité à nous décentrer, pour si possible déplacer notre point de vue sur le monde. Extrait: « Aujourd'hui, leur prolixité m'épuise. Tant d'arrogance, tant d'agressivité! Comment font-ils pour ne pas entendre leur propre morgue? Regardez ceux qui, derrière les guichets des maries, postes et administrations, accueillent les citoyens: c'était bien la peine de faire la Révolution pour se voir encore traité ainsi de haut! Véritablement elle est guindée cette langue française, et induit des attitudes guindées. »
Mission encre noire Tome 22 Chapitre 270. Je vous présente mes meilleurs voeux pour l'année 2018. Janvier débute avec ce qui va sans doute devenir un classique du polar: L'année du Lion de Deon Meyer paru en 2017 aux éditions du Seuil. Écrit en afrikaans et en anglais, le roman, traduit par Catherine Du Toit et Marie-Caroline Aubert se situe en Afrique du sud entre le désert du Karoo et le fleuve Orange. Nicolas (le narrateur) fait le récit de l'assassinat de son père, Willem Storm. Ils comptent parmi les rares survivant d'une fièvre qui a décimé 95 % de la population mondiale. La catastrophe a provoqué de nombreuses réaction en chaîne. Chez les humains, c'est la loi de la jungle. Pourtant Willem Storm est convaincu de pouvoir bâtir un monde meilleur avec les rescapés de ce cataclysme. Malgré que la prose soit aussi rêche et aride que la majesté du paysage, l'espoir demeure. La vision de Deon Meyer n'est pas désespérée, les communautés cherchent à se reconstruire. Il y beaucoup d'humanité dans cet ambitieux projet, qui se traduit par un esprit de résistance et de solidarité. L'année du Lion est un classique en devenir, qui a l'image du continent africain, (et de l'Afrique du sud en particulier) rugit de rage et de fureur. C'est un livre qu'on ne peut pas lâcher aussi facilement. Il finira bien par trouver le chemin de votre bibliothèque, à côté de La route de Cormac McCarthy, mais pas pour les mêmes raisons. Extrait: « Je revois ces événements avec du recul. L'importance et la signification de cette scène ne me frapperont que des années plus tard. Ce jour-là, je me rendais déjà compte que c'était un moment historique, autant qu'un gosse de treize ans, affamé de compagnie, de camarades de son âge, pouvait le ressentir. Je ne réaliserais que plus tard le véritable poids du moment et des personnes impliquées. Le car de luxe est déjà garé au milieu de la rue quand j'arrive. Deux hommes descendent et avancent vers Père et Hennie As, Domingo, Mélinda Swanevelder, Béryl et les seize enfants qui les attendent dans Proteastraat. Le premier homme est âgé, il a les cheveux blancs et porte une toge blanche avec une sorte de châle doré et un chapeau bizarre. Dans sa main droite il tient une houlette en bois argenté. De la gauche, il s'appuie sur le bras d'un homme plus jeune, très impressionnant, plus grand que tous les autres et large de poitrine. Voilà ce que j'observe, ce que j'essaie de marquer dans ma mémoire pour pouvoir le raconter un jour, pour pouvoir dire que j'étais présent, que j'ai participé à cet événement. » New Moon, Café de nuit joyeux de David Dufresne paru en 2017 aux éditions du Seuil. Paris la nuit c'est fini/Paris va crever d'ennui/Paris se meurt rendez lui/Arletty. Et si Pigalle nous était conté ? C'est le pari réussi de David Dufresne. L'auteur se retourne sur son passé, il arrive dans le quartier le plus chaud de Paris en 1988, il a 20 ans. Le New Moon est le plus grand des petits clubs rock parisiens. On y croise régulièrement la crème de la scène du rock alternatif, la Mano Negra en tête. 106 m2 de bonheur et d'énergie pure qui dissimule une histoire riche et palpitante à l'image du quartier. Ouvert en 1896 sous le nom de La feuille de vigne, l'endroit changera plusieurs fois de nom et de style. David Dufresne nous offre un livre déroutant au croisement du polar, du docu/fiction et du récit historique. Excellement bien documenté, vous ne perdrez rien de l'enquête autour du lieu mythique. Vous y croiserez Manu Chao en terrasse du New Moon, Virginie Despente, son premier manuscrit sous le bras, Cole Porter, Degas, Manet...et si une nouvelle forme de journalisme était né ? Depuis 2004, le New Moon a rendu les armes à l'embourgeoisement, une épicerie bio patronne désormais sur la rue Pigalle. Extrait: « Le Bricktop's fut le premier des cabarets de Pigalle à servir le whisky à table - jusqu'ici, on ne le faisait qu'au bar, il fallait se déplacer pour cette vulgaire boisson. La maîtresse des lieux y perdait le chic du champagne exclusif, mais elle y gagnait les écrivains. Et ils allaient se précipiter. La première fois que John Steinbeck était venu,ça avait mal commencé. Il avait dû envoyer un taxi de roses à Brick pour s'excuser de son comportement (Il ajoutera plus tard à ses fleurs ces mots: « Brick, chaque fois que tu chantes «Embraceable You», tu m'enlèves vingt ans de ma vie d'homme »). Hemingway, aussi, traînait dans les parages ; comme F. Scott Fitzgerald qui met en scène un de ses héros de Retour à Babylone devant le Bricktop's, où «il avait passé tant de temps et dépensé tant d'argent».» Le retour du Gang d'Edward Abbey paru en 2017 aux éditions Gallmeister dans la collection Nature Writing. Le Gang de la clé à molette est un livre culte. Un best seller des éditions Gallmeister paru en 2013 et illustré par Crumb. Edward Abbey, décédé en 1989, a été inhumé dans le désert, un lieu encore tenu secret aujourd'hui. Le retour du Gang est la touche finale d'une oeuvre riche, qui relève le défi de présenter le combat écologiste de l'auteur. Le gang de la clé à molette est composé de quatre personnages: de Bonnie Abbzug compagne du Doc Sarvis, médecin dans la vie, de Seldom Smith, un membre de l'église mormone et George Hayduke, vétéran du Vietnam, passionné d'armes à feu, vivant en renégat dans une grotte dans le désert avec pour seul compagnon, un féroce crotale. C'est lui qui se charge de remobiliser la troupe contre l'invasion de l'excavateur géant: Goliath. Pour sauver les déserts de l'ouest américain tous les moyens sont bons. L'auteur publie ici, un manifeste de résistance, drôle et cynique. Edward Abbey se place déjà comme une influence majeure et son style plutôt explosif est à découvrir. Extrait: « Silence. Hayducke crache par terre. Il lève les yeux et les plante dans ceux de Seldom, l'air incapable de comprendre ou de croire ou même d'entendre clairement ce que son vieux pote lui dit. Tout ce que Seldom voit du regard d'hayducke sont ces deux petits points rouges, comme les diodes de mise sous tension d'une mystérieuse machine nocturne. Comme deux tisons luisant dans un feu qui se meurt. Comme...comme les faibles feux arrières d'un train fou qui s'en va, au loin, pour ne jamais revenir. Un simple souffle de réalité peut éteindre, pour toujours, d'un moment à l'autre, ces deux rubis d'espoir. » Naissance d'une jungle de Nancy Huston paru en 2017 aux éditions de l'Aube collection Le Un en livre. Le Un est un journal d'enquête et d'idées, indépendant, sans publicité qui rassemble sous la direction de l'écrivain Éric Fottorino, chaque semaine des écrivains, artistes, journaliste et des chercheurs, pour éclairer sur un thème en particulier lié à l'actualité. Vous connaissez sans doute déjà la plume parfois acérée de l'écrivaine. Ses prises de positions, au risque de déplaire, permettent le plus souvent d'insuffler une nouvelle dynamique dans les débats. Nancy Huston tire le signal d'alarme sur les dérives de la pensée dominante, primitive, qui a pris le pouvoir un peu partout et particulièrement aux USA. On appelle cela le règne de la jungle. Au fil de la lecture des cinq textes disponibles dans cet ouvrage, l'autrice interroge notre capacité à nous décentrer, pour si possible déplacer notre point de vue sur le monde. Extrait: « Aujourd'hui, leur prolixité m'épuise. Tant d'arrogance, tant d'agressivité! Comment font-ils pour ne pas entendre leur propre morgue? Regardez ceux qui, derrière les guichets des maries, postes et administrations, accueillent les citoyens: c'était bien la peine de faire la Révolution pour se voir encore traité ainsi de haut! Véritablement elle est guindée cette langue française, et induit des attitudes guindées. »
4 minutes pour aborder les plus grandes répliques du cinéma: vous êtes bien dans Ma ligne de chance, sur Radio Campus Paris. Aujourd'hui, Les Enfants du Paradis, de Marcel Carné, et une phrase célèbre du personnage de Garance. « Paris est tout petit pour ceux qui s’aiment comme nous d’un aussi grand amour ». Cette réplique d’Arletty nous a donné à penser. Voici notre interprétation, subjective bien sûr, de cette trouvaille du scénariste Jacques Prévert. Arletty alias Garance prononce cette phrase au début du film alors que Pierre Brasseur alias Frédéric Lemaître, vient de l’aborder dans la rue. Sa drague, directe et effrontée, est mise en péril, par l’attitude indifférente et insouciante de Garance. L'extrait complet de la rencontre entre Garance et Frédéric: https://www.youtube.com/watch?v=ZqAl5fERJgA Pour renverser l’aisance et la confiance de Frédéric, Garance utilise un procédé rhétorique très efficace : l’ironie. Comme le rappelle Bergson dans Le Rire, l’ironie consiste à faire croire, que ce qui devrait être existe, que les valeurs que nous nous donnons, sont bien appliqués dans la réalité : c’est précisément ce que fait Garance, qui feint de croire, que l’amour entre elle et Frédéric, est bel et bien réel. Or Frédéric ne s’attend pas, à ce que les femmes qu’il séduit, lui répondent par de l’ironie : bien plutôt, il s’était préparé, à ce qu’on le repousse, comme dans une approche classique de la séduction, où la personne à séduire dit non, et ce malgré les assauts répétés du séducteur, jusqu’à ce qu’elle s’épuise et s’abandonne à lui : on reconnaît là l’attitude du vicomte de Valmont, face à Mme de Tourvel, dans les Liaisons dangereuses. L’ironie de Garance est particulièrement cinglante. En effet, elle joue sur plusieurs niveaux : non seulement elle sape la stratégie de séduction de Frédéric, mais plus encore elle va jusqu’à ridiculiser le sentiment amoureux. En comparant Paris et l’amour, avec comme point de comparaison une échelle de grandeur, elle réduit l’amour à une donnée mesurable. Pire: elle en fait une simple donnée géographique. Et dans le même temps, sa réplique fait mine de croire à l’idée de destin. Garance semble hésiter entre destin et hasard. C'est ce qu’indique sa phrase précédente : « Sait-on jamais, avec le hasard ? » Mais s’il y a du hasard, il ne peut y avoir du destin. Le destin crée des aboutissements nécessaires, quand le hasard ne produit que des phénomènes contingents. L’ironie de Garance est donc redoublée par cette confusion subtile entre ce qui doit arriver et ce qui peut arriver. Pas étonnant que cette profusion de sens laisse Frédéric pantois. Mais le fringant séducteur aura sa revanche : lorsque plus tard dans le film, il la retrouve, par hasard, et alors qu’elle s’exclame « ça alors, pour une rencontre, c’est une rencontre », l’aisance revient, et, ayant appris de ses erreurs, Frédéric peut répondre : « Paris est tout petit pour ceux qui s’aiment comme nous d’un aussi grand amour. » L’absence de destin n’empêche pas que quand le hasard advient, la rencontre est peut-être encore plus belle. En définitive, cette réplique nous dévoile une loi du cinéma : il sait faire advenir les hasards. Les références de l'émission: Pour aller plus loin: x Sur la distinction ironie/humour : "L'immoralisme" dans La liberté heureuse : cours et conférences (Hubert Grenier) x Quant à l'amour vu du point de vue géographique : la Carte de Tendre élaborée au 17e siècle x A propos du hasard et du destin : la doctrine stoïcienne de ce qui dépend de nous et ce qui ne dépend pas de nous
A travers le portrait de Frede, l'une des figures emblématiques de la nuit parisienne d'après-guerre, Denis Cosnard évoque dans Flashback #12 les stars de cinéma qui croisèrent sa route : de Marlène Dietrich à Errol Flynn, en passant par Gary Cooper, Yves Montand et Simone Signoret, Lana Turner, Jean Marais, Arletty ou Daniel Delorme... Grand spécialiste de Patrick Modiano qui lui donna envie d'en savoir plus, Denis Cosnard convoque aujourd'hui ce personnage méconnu de femme androgyne, fondatrice du mythique "Carroll's" et qui aura marqué les plus grands acteurs et actrices d'un certain âge d'or du cinéma. Antoine Jullien et Antoine Sire proposent ainsi un avant-goût très cinématographique de l'ouvrage de Denis Cosnard : "Frede", à découvrir absolument aux éditions des Equateurs. Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.
https://improvisations.fr/wp-content/uploads/20170624oberfeld.mp3 Il y avait, au Journal officiel de ce matin, un texte qui a attiré mon attention : un Arrêté du 16 juin 2017 portant prorogation des droits de M. OBERFELD (Casimir). J'aime bien le prénom de Casimir, qui, indépendamment du personnage pour enfants, fut porté par l'un de mes arrières grands-pères, je crois, et que je trouve à la fois mignon et très daté. Quant au texte, j'ai vu qu'il avait été pris en application d'un article du code de la propriété intellectuelle relatif à la prorogation, au bénéfice de leurs ayants-droits, des droits d'auteurs des auteurs morts pour la France. Le nom de Casimir Oberfeld ne me disant rien, je me suis documenté et ai trouvé qu'il s'agissait d'un musicien et compositeur, très célèbre dans l'entre-deux-guerres (mais la célébrité est chose si éphémère ! ...) pour avoir composé des dizaines d'opérettes, de musiques de films, de chansons pour Arletty, Mistinguett, Maurice Chevalier ou Fernandel, la plus célèbre, au moins pour moi, étant Félicie aussi, chantée par Fernandel. Né en Pologne en 1903, Casimir Oberfeld s'est installé en France à la fin des années 1920. Lorsque la France a été occupée, il s'est réfugié en zone Sud, puis à Nice lorsque la zone Sud a été occupée, Nice étant sous contrôle italien, et l'Italie menant une politique beaucoup moins antisémite que l'Allemagne et que la France d'alors. Au renversement de Mussolini, les troupes allemandes ont pris le contrôle de la région niçoise et c'est au cours d'une rafle organisée alors que Casimir Oberfeld a été arrêté, envoyé à Drancy puis déporté, de là, vers Auschwitz, où il a été, pendant quelques mois, utilisé comme musicien par les SS. Il est mort au début de 1945, au cours d'une de ces "marches de la mort" qui visaient à rapatrier vers l'Allemagne les déportés pour éviter qu'ils ne soient libérés par les Alliés. Et son nom, que j'ignorais, revient aujourd'hui, au Journal officiel. Merci à cet arrêté de nous faire nous souvenir de cet homme, dont la fin fut si terrible mais dont les mélodies vivent et survivent, joyeuses et entrainantes. PS : à l'écoute complète de la chanson, je me rends compte que les paroles sont d'une finesse toute modérée et d'une grande mysoginie. C'est ainsi !
Florence Müller livre aux étudiants IFM sa vision de la Parisienne et de son rapport singulier à la mode. La Parisienne est multiple : de Joséphine de Beauharnais à Charlotte Gainsbourg en passant par Simone de Beauvoir et Catherine Deneuve, de la comtesse Greffulhe à Loulou de la Falaise en passant par Cora Pearl et Arletty, elle est aussi bien incarnée par des femmes de la Haute société que par des femmes du petit peuple, voire des demi-mondaines ou des midinettes anonymes... La Parisienne n'est pas forcément française (cf. Jane Birkin, Audrey Hepburn...). Entre culture populaire et high life, la Parisienne est provocante, sexy, extravagante, mais "jamais trop"... Elle affiche un air piquant, vif, joyeux, accordant une part égale à la sophistication et à la transgression. La Parisienne montre un mépris des tendances tout en les manipulant. Elle fait absolument ce qu'elle veut et peut se vêtir très simplement, mais elle connaît la mode sur le bout des doigts. Cette complexité prend sans doute sa source dans une histoire longue : le rapport des Parisiennes à la mode s'est construit autour des femmes de la cour, puis des ateliers de haute couture (aussi bien du côté des clientes que des ouvrières), et enfin dans le cosmopolitisme du "gai Paris" (la fête permanente, le théâtre, les bals, la ville où l'on vient s'encanailler...). En écoutant le podcast, consulter les images de la présentation : http://www.ifm-paris.com/document/La-Parisienne.pdf
C'est la semaine de Walter, c'est la saison 4, et c'est l'épisode 103 !et c'est qui le président des pingouins ?
Vous pourrez y rencontrer Jacques et Pierre Prévert, en 1961, et croiser avec eux quelques uns de leurs « compagnons de cinéma… », ou amis de la première heure. Les conversations sont entrecoupées d'extraits de films auxquels ils font allusion et de nombreux documents le plus souvent inédits.Des filmographies de Jacques et de Pierre Prévert, ainsi qu'une bibliographie de Jacques Prévert se trouvent sur le DVD N°2.Avec les extraits de 20 films & un livret illustré« Mon frère Jacques, en quatre heures, vous donne le sentiment, oui le sentiment, fort et frais, d'appartenir à la tribu. Les copains passent : Marcel Duhamel, Raymond Bussières, Marcel Carné, Jean Gabin, Arletty, toute la bande, quoi. Et Pierrot les interroge, sérieusement. Et chacun de raconter son bout de chemin avec Jacques Prévert. Lui, la clope au bec, la voix haletante, hachée par le tabac, hisse hors de son gosier, comme un marchand des quatre saisons pousse sa charrette dans une vieille rue pavée, des formules belles et imprévues, des mots de tous les jours, agencés par l'humour et la sympathie, en un ordre soudainement poétique. » Antoine Perraud - TéléramaVersion française - DVD Pal Noir&Blanc et Couleur
durée : 00:51:30 - Les Grandes Traversées - Archives. Arletty, Mistinguett, Edith Biaf, Barbara, Dalida, Jeanne Moreau, Simone Signoret, Catherine Deneuve, Agnès B ou Niki de Saint Phalle racontent leurs approches du spectacle et de la notoriété.