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durée : 00:25:25 - 8h30 franceinfo - L'ancien ministre des Affaires étrangères estime que "depuis que le président Trump est arrivé aux responsabilités, toutes les piques qui ont été envoyées s'adressent uniquement aux amis historiques des États-Unis."
Quelle est la plus grande institution financière multilatérale au monde ? La Banque européenne d'investissement, la BEI. La BEI est née avec l'Europe lors du traité de Rome en 1957. Ce sont les Etats membres de l'UE qui en sont actionnaires. Cette banque systémique au capital souscrit de 250 milliards d'Euros est dirigée par une espagnole, Mme Nadia Calviño. Aujourd'hui, j'ai le privilège d'interviewer son représentant français, Grégoire Chauvière le Drian. Grégoire arrive à mon bureau à vélo et en jeans. Rien n'indique son métier. Il a le visage blond de ces surfeurs qui ont traversé mille vagues. Il vous sourit avec le plus grand naturel. Il est cool comme Christian Bale, enfin presque ! Ne vous fiez pas seulement à l'humilité et à la gentillesse de Grégoire. La discrétion de la BEI est inversement proportionnelle à son impact, loin de devant la BPI que nous connaissons tous au moins de nom. Et son modèle n'a rien à voir. Vous découvrirez pourquoi en nous écoutant. La banque s'est toujours adaptée au temps qu'elle accompagne. Ce fut d'abord la construction européenne, puis la résolution de la crise de 2008, puis le soutien à la Grèce. Aujourd'hui, c'est le climat, l'Ukraine, la Défense et tant d'autres choses encore. Tout cela avec des unités de compte qui donnent parfois le tournis. On est n°1 au monde ou on ne l'est pas. Passionnant. Suivre Grégoire sur LinkedIn Si cette nouvelle interview vous a plu, parlez-en autour de vous, notez 5 ⭐ le podcast (Spotify, Deezer, ApplePodcast...) et rédigez un avis.N'hésitez pas à m'écrire sur LinkedIn ➡️ LinkedIn/MartinVidelaine et à vous abonner à notre Newsletter hebdomadaire Toutes les Histoires d'Entreprises sont également disponibles sur histoiresentreprises.com et sur le site de bluebirds.partners, site de la communauté d'indépendants que j'anime et qui conseille ou remplace des dirigeants. Un podcast co-réalisé avec Agnès Guillard © photo Fabrizio SansoniHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:21:59 - L'invité de 8h20 : le grand entretien - Le représentant personnel du Président de la République au Liban et ancien ministre des Affaires etrangères Jean-Yves Le Drian revient sur les conséquences de l'élection de Donald Trump aux États-Unis mais aussi de la guerre au Proche-Orient. - invités : Jean Yves LE DRIAN - Jean-Yves Le Drian : Ministre de l'Europe et des Affaires Etrangères
durée : 02:58:36 - Le 7/10 - par : Nicolas Demorand, Léa Salamé, Sonia Devillers, Anne-Laure Sugier - Les invités de la Matinale de France Inter ce jeudi 21 novembre 2024 seront : Nikola Karabatic / Jean-Yves Le Drian / Débat sur le cinéma français / Christian Louboutin / Emma Benestan
durée : 00:21:59 - L'invité de 8h20 : le grand entretien - Le représentant personnel du Président de la République au Liban et ancien ministre des Affaires etrangères Jean-Yves Le Drian revient sur les conséquences de l'élection de Donald Trump aux États-Unis mais aussi de la guerre au Proche-Orient. - invités : Jean Yves LE DRIAN - Jean-Yves Le Drian : Ministre de l'Europe et des Affaires Etrangères
"Embrace Pain to Avoid Suffering" - An interview with Brian Bogert. Brian Bogert is a passionate performance coach, motivational speaker, business strategist, top sales professional and philanthropic leader who believes in helping growth-minded individuals achieve the best version of themselves: their most authentic selves. Brian teaches how to leverage radical authenticity and awareness to create the intentional life you've been dreaming of, but have struggled to create on your own. His revolutionary strategy—embrace pain to avoid suffering—has helped individuals, groups and entire companies break beyond their normal to achieve the success in life and business that they've always wanted. If you want to create a life of no limits, Brian and his team will get you there. This was one of my favorite interviews to date and you will love it. Contact Brian Bogert: Websites: https://brianbogert.com https://iamnolimits.com IG: @bogertbrian Highlights 0:00 - Intro 1:21 - Whats it like to be Brian Bogert these Days? 4:38 - Navigating Obstacles 8:21 - Brian's Story 13:59 - Embracing Pain in order to avoid suffering 20:31 - Pain points us towards what is important 23:21 - Whats your process for working with people that seek change?
durée : 02:59:00 - Le 7/10 - par : Nicolas Demorand, Léa Salamé, Sonia Devillers, Anne-Laure Sugier - Les invités de la matinale du lundi 6 mai sont : Raphaël Glucksmann / Jean-Yves Le Drian / Benoît Hamon X Thibault de Montbrial/ Emmanuelle Bercot / Yamê - invités : Raphaël GLUCKSMANN, Jean Yves LE DRIAN, Benoît HALLER, Thibault de Montbrial, Emmanuelle BERCOT - Raphaël Glucksmann : Député européen Place publique, Jean-Yves Le Drian : Ministre de l'Europe et des Affaires Etrangères, Benoît Haller : Ténor, chef d'orchestre, Thibault de Montbrial : Avocat au barreau de Paris, président du Centre de réflexion sur la sécurité intérieure, Emmanuelle Bercot : Réalisatrice et scénariste, Yamê : Rappeur franco-camerounais
durée : 00:21:36 - L'invité de 8h20 : le grand entretien - Jean-Yves Le Drian, représentant personnel d'Emmanuel Macron au Liban, ancien Ministre de la Défense et des Affaires étrangères et Président du comité de soutien de la liste "Besoin d'Europe" est l'invité du Grand Entretien. - invités : Jean Yves LE DRIAN - Jean-Yves Le Drian : Ministre de l'Europe et des Affaires Etrangères
durée : 00:21:36 - L'invité de 8h20 : le grand entretien - Jean-Yves Le Drian, représentant personnel d'Emmanuel Macron au Liban, ancien Ministre de la Défense et des Affaires étrangères et Président du comité de soutien de la liste "Besoin d'Europe" est l'invité du Grand Entretien. - invités : Jean Yves LE DRIAN - Jean-Yves Le Drian : Ministre de l'Europe et des Affaires Etrangères
durée : 00:26:01 - 8h30 franceinfo - L'ancien ministre des Affaires étrangères était l'invité du 8h30 franceinfo du jeudi 14 mars 2024. Il répondait à Salhia Brakhlia et Jérôme Chapuis
durée : 00:25:23 - 8h30 franceinfo - L'ancien ministre des Affaires étrangères et représentant personnel du président de la République pour le Liban était l'invité du "8h30 franceinfo", mercredi 22 novembre 2023.
durée : 00:02:33 - Un monde d'avance - L'envoyé personnel du président Emmanuel Macron pour le Liban, Jean-Yves Le Drian, démarre mercredi sa mission à Beyrouth. Objectif : débloquer l'élection d'un nouveau président après des mois de vide politique.
durée : 00:04:02 - Le monde d'après - par : Jean Marc FOUR - Comment sortir de la crise politique et institutionnelle qui paralyse le Liban ? Pour tenter de débloquer la situation, Emmanuel Macron vient de nommer un émissaire personnel à Beyrouth : l'ancien ministre des affaires étrangères Jean-Yves Le Drian.
durée : 00:04:02 - Le monde d'après - par : Jean Marc FOUR - Comment sortir de la crise politique et institutionnelle qui paralyse le Liban ? Pour tenter de débloquer la situation, Emmanuel Macron vient de nommer un émissaire personnel à Beyrouth : l'ancien ministre des affaires étrangères Jean-Yves Le Drian.
durée : 00:02:10 - Histoires politiques - Emmanuel Macron va se livrer demain à l'un de ses rituels préférés : la remise de décoration. Jean-Yves le Drian, l'ancien ministre des Affaires étrangères sera fait officier dans l'ordre de la légion d'honneur par le président.
During crisis and recovery phases, financing is a major concern for businesses. Companies have to find the funds needed to mitigate the effects of cooling activity, and to identify the financing sources needed to support a full relaunch. Companies also need take into account the risks they face in a still fragile health, economic and geopolitical environment. Grégoire Chauvière le Drian, Head of European Investment Bank Group Office in France and Carine Pichon, CEO for the Western Europe Region and France at Coface, help us unpick those challenges. Hosted by Ausha. See ausha.co/privacy-policy for more information.
Cela s'appelle une inversion accusatoire, et cela devient systématique. À chaque fois que des militaires russes sont suspectés d'un massacre ou d'exactions en Ukraine, Moscou retourne l'accusation contre les Ukrainiens, rendus coupables d'assassiner leur propre peuple. Après Boutcha, c'est de nouveau le cas à Kramatorsk où 52 civils ont perdu la vie à la suite du bombardement de la gare. Cette fois encore, la version russe ne tient pas et fait la part belle aux infox sur les réseaux. Vendredi 8 avril, aux alentours de 10h30, deux missiles de type Tochka-U viennent frapper la gare de Kramatorsk, dans le Donbass, là où s'étaient massés de nombreux civils en train de fuir la région. Les premières images des femmes et des enfants tués ce jour-là soulèvent l'indignation dans le monde entier. Le ministre français des Affaires étrangères, Jean-Yves le Drian, a évoqué un acte constitutif d'un « crime contre l'humanité ». Le président ukrainien, Volodymyr Zelensky, a lui dénoncé un « mal sans limite ». Quelques heures après le bombardement, la Russie, pointée du doigt, dément être à l'origine de cette frappe. À 14h20, la Commission d'enquête de la fédération de Russie publie un communiqué catégorique affirmant que « les forces armées ukrainiennes sont à l'origine de cette frappe ». Moscou parle d'une « nouvelle provocation ». « Le but de la frappe orchestrée par le régime de Kiev sur la gare ferroviaire de Kramatorsk était d'empêcher le départ de la population de la ville afin de pouvoir l'utiliser comme bouclier humain », a réagi le ministère russe de la Défense. L'argumentaire repose principalement sur le fait que ces missiles Tochka-U ne seraient pas utilisés par l'armée russe, mais seulement par les Ukrainiens. Les Russes possèdent bien des Tochka-U En réalité, les Russes possèdent également ce type de missiles Tochka-U. Lors d'exercices conjoints avec la Biélorussie en 2022, baptisés « détermination de l'union », le ministère de la Défense russe ne s'en cache pas. Sa chaîne de télévision, Zvezda, diffuse le 15 février des images montrant des tirs de missiles Tochka-U. Une vidéo publiée sur Tik Tok le 31 mars 2022 montre également un convoi de véhicules russes, reconnaissables grâce au marquage « V », qui sont des lanceurs de missiles Tochka-U. Les recherches en sources ouvertes, notamment menées par le collectif Bellingcat, viennent confirmer cela. Les propagandistes pro-russes affirment également que le numéro de série visible sur une épave d'un des missiles lancés sur Kramatorsk prouverait qu'il appartenait à l'armée ukrainienne. Pourtant, ce numéro seul ne permet aucunement d'établir ce constat, affirment les experts de Bellingcat. Des publications compromettantes Juste après l'attaque, des comptes Telegram pro-russes ont revendiqué le bombardement. Ils déclarent alors, vidéo à l'appui, que la frappe a tué plusieurs militaires ukrainiens. Une information partagée par certains journalistes russes. Mais lorsque les premières images remontent du terrain et qu'ils s'aperçoivent que les victimes sont en réalité des civils, ils décident de se rétracter. Certains suppriment alors leur publication, quand d'autres changent de discours et basculent dans le récit officiel de Moscou. Autre élément accablant, le jeudi 7 avril sur Telegram, la veille du bombardement, un canal pro-russe conseille, sans justification, à ceux qui quittent Kramatorsk, de ne pas partir en train. Le lendemain, un quart d'heure seulement avant l'attaque, la même source renouvelle son avertissement : « Une fois encore, je tiens à me répéter. Évitez l'évacuation par le train », affirme-t-il. Par ailleurs, le ministère de la Défense russe a reconnu que son armée avait effectué des frappes le 8 avril sur « des armements et d'autres équipements militaires dans les gares de Pokrovsk, Sloviansk et Barvinkove ». Toutes ces gares sont dans les environs de Kramatorsk, dont celle de Sloviansk à une dizaine de kilomètres seulement. Le narratif russe se propage Sur les réseaux sociaux, ce sont aujourd'hui des infox qui servent à propager la version imposée par le Kremlin. En témoigne ce faux reportage attribué à la BBC qui prétend que l'Ukraine est à l'origine de l'attaque de Kramatorsk. Diffusé le mercredi 13 avril, il a notamment été repris en direct par la chaîne de télévision d'État russe Rossiya 24. En réalité, la BBC n'a ni produit, ni diffusé ce reportage. Le format, le logo, le texte, tout est manipulé pour tromper le public. La BBC a rapidement pris des mesures pour faire retirer cette vidéo, devenue virale sur les réseaux. Même retirée de la circulation, cette fausse vidéo siglée BBC laisse des traces. De nombreux internautes s'y réfèrent pour affirmer la culpabilité de l'Ukraine. En France, ce récit est abondamment partagé par l'extrême droite pro-Poutine, à l'image de l'ancien conseiller de Marine Le Pen, Aymeric Chauprade, qui espère que les Ukrainiens « répondront de ces crimes de guerre ». C'est tout l'art d'inverser les accusations et de faire passer les victimes pour les bourreaux.
This week, host Lindsey Deaton sits down with Drian Juarez, the current VP of Training & Culture at Folx Health. Folx Health provides hormones, PrEP, and other services to the LGBTQIA+ community. She discusses her gender affirmation surgery and the process involved to get approved and scheduled, including the WPATH Standards of Care, which are a set of rules that providers should follow when treating transgender patients. She also talks about the viewing party she held to show off her new vagina, what it means to truly love the body you're in, and whether or not it really matters what's between your legs. Show links: FOLX Health Grindr For Equality WPATH Standards of Care This show is hosted by Lindsey Deaton. This show was engineered and edited by Meika Grimm. Logo created by Jack Grimm. This show is produced by Katherine Spiers. Sponsorship information and guest info can be found at transdialogues.com. This is a TableCakes podcast. To support this podcast, and others on their network, check out their Patreon page.
Hier, Emmanuel Macron s'est exprimé pour exposer dans les grandes lignes les décisions retenues contre la Russie dans la gestion de la crise ukrainienne. S'il assure que la « France n'est pas en guerre avec la Russie », il maintient les sanctions prises à l'encontre de Vladimir Poutine sans cacher que ce parti pris aura des répercussions économiques sur l'avenir des français. Alors que les troupes russes progressent à vitesse grand V et que toutes les tentatives de conciliation ont échoué, à quoi faut-il s'attendre dans les prochains jours ? « Il est possible que le pire soit devant nous car nous sommes rentrés dans une logique de siège » constate Jean-Yves Le Drian, ministre des Affaires étrangères. Mercredi 2 mars, l'Assemblée générale de l'ONU a adopté une résolution qui « exige que la Russie cesse immédiatement de recourir à la force contre l'Ukraine » avec plus de 141 pays signataires contre quatre outsiders qui y sont opposés à savoir la, Biélorussie, La Corée du Nord, la Syrie et l'Erythrée. 35 pays dont la Chine se sont abstenus. L'ex ministre de la Défense constate que la Russie s'isole progressivement, l'occasion de poursuivre « le mouvement de solidarité internationale qui s'est manifesté avec l'espoir d'aboutir à un cessez-le-feu » et enrayer une « partie du désastre ». Malgré le soutien international massif, le vote historique à l'ONU et l'investissement de l'Europe pour armer les ukrainiens, le président russe ne recule devant rien en brandissant régulièrement la carte de la menace nucléaire. Le dialogue est-il la seule arme efficace dont nous disposons pour mettre fin à l'invasion russe ? « Le point de départ c'est le cessez-le-feu, on ne peut pas dialoguer sans ça. Ce sera d'ailleurs la résolution que nous allons proposer au Conseil de sécurité » explique notre invité au micro de Caroline Roux. Guerre en Ukraine : une Europe solidaire ? Si l'énième demande d'intégration immédiate de l'Ukraine à l'Union Européenne reste en suspens, l'Europe semble se mobiliser pour accueillir les centaines de milliers de réfugiés. Un bilan humain qui va bientôt dépasser la barre du million. La Pologne et d'autres membres de l'UE se mobilisent et proposent des solutions d'accueil. « C'est une vraie bascule dans l'histoire » félicite Jean-Yves le Drian. Si la solidarité s'active d'un point de vue humain, l'invasion de l'Ukraine ressuscite l'hypothèse d'une Europe de la Défense avec la constitution d'une armée commune. Serait-elle plus dissuasive que les sanctions prises à l'égard de la Russie ? Emmanuel Macron y est favorable et réaffirme sa position en faveur d'une « "Europe de la défense” capable de protéger ses frontières, ses citoyens et de se projeter vers ses alliés ». Hier, lors de son allocution, Emmanuel Macron a alerté les français sur les répercussions économiques que la Guerre en Ukraine exerçait sur l'Hexagone. Les banques liées au secteur de l'énergie ayant été épargnées des mesures de rétorsion européenne, le commerce des hydrocarbures se poursuit avec Vladimir Poutine. Néanmoins en cette période de crise et de négociations, Jean-Yves le Drian n'écarte pas le scénario catastrophe dans lequel la Russie coupe le robinet des hydrocarbures. « Il faut se préparer à notre propre souveraineté énergétique en Europe » déclare le ministre des Affaires étrangères.
durée : 01:59:25 - Le 7/9 - par : Nicolas Demorand, Léa Salamé - Xavier Dolan, réalisateur, acteur dans « Illusions perdues » de Xavier Giannoli, nommé pour le César du meilleur acteur dans un second rôle, et Jean-Yves Le Drian, ministre de l'Europe et des affaires étrangères, sont les invités du 7/9 de France Inter. - invités : Xavier Dolan, Jean Yves LE DRIAN - Xavier Dolan : Acteur, réalisateur, scénariste et producteur canadien., Jean-Yves Le Drian : Ministre de l'Europe et des Affaires Etrangères
Agitation diplomatique autour du Mali cette semaine. Une réunion des ministres européens des Affaires étrangères a eu lieu, lundi, avant d'autres rendez-vous prévus cette semaine. L'annonce d'un retrait des troupes françaises et européenne du pays est attendue. Le chef de la diplomatie française, Jean- Yves le Drian, est revenu sur Wagner, le groupe privé russe de mercenaires, affirmant que 1 000 d'entre eux sont présents au Mali.
Une présence militaire russe renforcée aux frontières de l'Ukraine, des manœuvres militaires conjointes en Biélorussie, tous les ingrédients sont réunis pour faire monter la tension en Europe. D'où l'intense ballet diplomatique mené par la France qui préside jusqu'en juin l'Union européenne. Mais quand la désinformation s'en mêle, il devient difficile de se faire une idée de la situation réelle. Au summum des tensions entre la Russie et l'OTAN, l'information est précieuse mais les infox prolifèrent. On a pu voir toute la palette de la mésinformation se déployer sur les réseaux sociaux à propos des résultats obtenus ou non par Emmanuel Macron lors de sa rencontre avec le président Poutine. Erreurs d'interprétation plus ou moins volontaires, subtilités diplomatiques mal comprises, extrapolations à partir de déclarations officielles quand ce n'est pas citations inventées. A titre d'exemple, la citation plus qu'approximative faite par le président de l'Union populaire républicaine, François Asselineau, candidat potentiel à la présidentielle, invité sur RFI jeudi 10 février, le jour même du coup d'envoi des manœuvres en Biélorussie. Or le président Macron n'a jamais dit cela, cette citation n'apparaît nulle part. Les manœuvres ont démarré comme prévu le 10 février pour dix jours. Jamais Emmanuel Macron n'a demandé aux Russes d'y renoncer. Ce que le président français affirme avoir obtenu ce sont des gages qu'il n'y aurait pas d'escalade supplémentaire. Quant au démenti du Kremlin évoqué par monsieur Asselineau, il s'agit en fait d'une mise au point du porte-parole du Kremlin Dmitri Peskov qui réagissait le 8 février, aux allégations selon lesquels le président russe aurait fait des concessions et accepté qu'il n'y ait pas de nouvelles initiatives militaires aux abords de l'Ukraine. C'est un démenti qui vise certaines interprétations des résultats de cette rencontre. Le candidat François Asselineau n'est pas seul à relayer des citations erronées, attribuées à tort à Emmanuel Macron mais aussi à ses interlocuteurs russes. On citera le tweet de l'avocat Juan Branco qualifiant la séquence diplomatique de « mascarade électoraliste » et relayant le démenti du Kremlin de façon trompeuse. Une communication trop volontariste de la part de l'Elysée ? Il est évident que l'Elysée a souhaité tirer le meilleur parti de ces efforts de médiation. Le fait d'avoir laissé entendre que le président Macron aurait reçu l'assurance que les troupes russes rentreraient une fois les manœuvres terminées, comme suggéré par un conseillé de l'Elysée, était une façon inexacte de présenter les choses. C'est ce qui a poussé le Kremlin à rectifier : il n'y aurait pas eu de nouvel engagement explicite de Vladimir Poutine sur ce point, car il a toujours été prévu que ces troupes retournent à un moment ou un autre sur leurs bases en Russie après les manœuvres en Biélorussie. « Personne n'a jamais dit qu'elles resteraient » a rappelé le porte-parole Dmitri Peskov cité par Reuters le 8 février dernier, à l'issue de la rencontre. « Les annonces de manœuvres ont été faites qui dureront jusqu'au 20 février », a constaté ce jeudi 10 février Jean-Yves le Drian sur la radio publique France Inter. Tout en se disant préoccupé par ce qu'il qualifie comme « un geste d'une grande violence », le chef de la diplomatie française a réaffirmé « On peut imaginer que lorsque la date est aboutie, les force se retirent, on verra à ce moment-là si c'est le cas (…)On verra s'il y a ou pas un processus de désescalade qui sera mis en œuvre. »
durée : 02:00:00 - Le 7/9 - par : Nicolas Demorand, Léa Salamé - Germain Louvet, danseur étoile à l'Opéra de Paris, auteur du récit autobiographique : « Des choses qui se dansent » (Fayard), et Jean-Yves Le Drian, ministre de l'Europe et des Affaires étrangères, sont les invités du 7/9 de France Inter. - invités : Jean Yves LE DRIAN, Germain Louvet - Jean-Yves Le Drian : Ministre de l'Europe et des Affaires Etrangères, Germain Louvet : Danseur
À près de deux mois du premier tour de l'élection présidentielle, le sortant Emmanuel Macron tarde à présenter sa candidature. Le chef de l'État français, chargé aussi de la présidence de l'Union européenne, est trop occupé à gérer les affaires du monde, comme il le déclarait mercredi 2 février à La Voix du Nord dans le cadre d'un déplacement à Tourcoing: «Je ne peux pas raisonnablement expliquer aux Français que je vais m'adonner à ce temps démocratique important, alors que je leur ai dit que je serai président jusqu'au bout.» Ainsi, le multi-président s'est donné pour mission d'enclencher la désescalade des tensions entre l'Ukraine et son voisin russe: après une série de coups de téléphone avec Vladimir Poutine, Emmanuel Macron se rendra en personne à Moscou, puis à Kiev. Un activisme diplomatique qui rappelle celui d'un autre multi-président, Nicolas Sarkozy, qui avait tenté une médiation entre Russie et Géorgie en 2008, encore une fois dans le cadre de la présidence française de l'Union. Et pendant que l'Élysée tente une réconciliation sur le front de l'Est, entre Paris et Bamako, la situation se tend considérablement: après une condamnation de la junte au pouvoir au Mali, qualifiée d'«illégitime» par le ministre des Affaires étrangères Jean-Yves le Drian, l'ambassadeur français a été prié de faire ses bagages par les autorités locales. Enfin, diplomatie toujours, si la France ne boycotte pas officiellement les Jeux olympiques d'hiver, elle évite soigneusement la cérémonie d'ouverture: la ministre des Sports française a préféré ce jour-là un déplacement dans la Creuse à un voyage à Pékin –Pékin où elle se rendra néanmoins dans la semaine pour soutenir les athlètes tricolores. Tout cela nous donne l'occasion de dresser un bilan de la diplomatie de ce quinquennat. Comment qualifier la doctrine Macron? Le bilan international de la présidence est-il positif? Pèsera-t-il vraiment dans la crise ukrainienne? Le président n'aurait-il pas négligé l'Afrique, zone d'influence historique de la France? Réponses dans Le Monde devant soi, le podcast hebdomadaire d'actualité internationale présenté par Christophe Carron, avec Jean-Marie Colombani, directeur de la publication de Slate.fr, et Alain Frachon, éditorialiste au Monde spécialisé dans les questions internationales. Si vous aimez Le Monde devant soi, pensez à l'exprimer en nous donnant la note maximale sur votre plateforme de podcast préférée, en en parlant autour de vous et en laissant vos commentaires sur les réseaux sociaux. Suivez Slate Podcasts sur Facebook et Instagram. Pour échanger et découvrir de nouveaux podcasts, rejoignez le Slate Podcast Club sur Facebook. Musique: «True Messiah (LilRod Edit)», DJ Freedem Réalisation et montage: Aurélie Rodrigues
durée : 00:14:50 - Journal de 22h - La junte malienne n'a pas supporté les dernières déclarations du ministre français des Affaires étrangères Jean-Yves le Drian sur les mercenaires russes du groupe Wagner accusés de "piller le pays". Les militaires maliens défendent la présence de Wagner sur leur territoire.
Le sommet biannuel de la Chine-Afrique a commencé hier à Dakar dans un format plus modeste que les précédents, il se tient au niveau ministériel. L'absence de Xi Jinping est-elle un signe d'essoufflement des relations économiques ? C'est principalement à cause du Covid 19 que le dirigeant suprême de la République populaire de Chine est resté chez lui. C'est aussi à cause de la pandémie que de grands investissements chinois prévus en Afrique sont aujourd'hui en souffrance. La ligne de chemin de fer à grande vitesse entre Monbassa et l'Ouganda n'est plus financée, tout comme l'autoroute entre Douala et Yaoundé au Cameroun ou encore un grand projet de chemin de fer en Ethiopie. Les banques chinoises sont devenues prudentes voire réticentes à s'engager en Afrique et les investissements réalisés dans le cadre de la Route de la soie ont fondu, passant de 11 milliards de dollars en 2017 à 3,3 milliards en 2020. Ce n'est pourquoi personne ne s'attend aujourd'hui à Dakar des annonces tonitruantes d'investissement chinois se chiffrant en dizaines de milliards de dollars comme c'était le cas lors des éditions précédentes. La Chine n'est plus le partenaire idéal du développement africain ? Ce qui a été accompli en vingt ans demeure. Avec des échanges portant sur 200 milliards de dollars par an la Chine est incontestablement le premier partenaire commercial de l'Afrique, son premier créancier et ses entreprises de BTP sont omniprésentes, elles captent maintenant le tiers des grands chantiers d'infrastructures. D'après l'Afrobarometer publié au Ghana, la présence chinoise reste très appréciée par la rue africaine. Mais les dirigeants africains sont en train de sortir de leur fascination béate pour cette grande puissance à première vue très accommodante. D'abord parce qu'ils réalisent que l'argent facile des Chinois est en fait très cher, ils prêtent mais à leurs conditions, en venant avec leur propre personnel au bénéfice de leurs propres entreprises, et en obtenant des ristournes fiscales. Au final, l'addition est astronomique et très indigeste quand la crise survient. Pékin se pose volontiers en alternative au néo colonialisme, c'est justifié ? Derrière ce récit officiel, ses motivations ne sont pas si éloignées de celles des partenaires historiques de l'Afrique, elle a d'abord été attirée par les richesses du sous-sol africain, pour satisfaire ses propres besoins, et sa présence économique très forte en Afrique n'a en rien modifié la donne économique du continent, il n'est pas sorti de la dépendance aux matières premières qui constitue 80% toujours de ses exportations. Le ministre français des Affaires étrangères, Jean-Yves le Drian, le dit sans ambages : la Chine agit « en prédateur ». La rudesse des propos tenus dans un entretien donné aux nos confrères du journal Le Monde a fait sursauter les Chinois. Leur franchise témoigne surtout de la rivalité croissante entre l'Occident et Pékin pour reconquérir la confiance des Africains et les parts de marchés qui vont avec. Le modèle des routes de la soie a fait école ? L'Europe est en train de peaufiner son Global Gateway avec l'Afrique, un partenariat présenté cet automne par la présidente de la Commission européenne. Les Etats-Unis déploient leur propre outil, Build Back Better -reconstruire en mieux- ; Anthony Blinken, le chef de la diplomatie américaine, a fait récemment une première tournée sur le continent dans la perspective d'un sommet Afrique-États-Unis en 2022. Les Occidentaux sont en train de se réveiller et de proposer à leur tour des partenariats plus séduisants aux Africains. Il est temps. Car la compétition s'est accrue sur ce grand marché africain en devenir. La Russie, la Turquie, le Brésil et dans une moindre mesure l'Inde sont aussi à l'offensive.
ABŞ-ın dövlət katibi Entoni Blinkenlə Fransanın xarici işlər naziri Jan-İv le Drian arasında telefon danışığı baş tutub.
“France does not know it, but we are at war with America. It's a permanent war, an economic war, one seemingly without deaths and yet a war to death.” This quote from former French President François Mitterrand illustrates the ancestral gallic defiance toward the US “hyperpower,” one that continues to inform French strategic thinking. So when the US entered secret negotiations with Australia and the UK to launch the AUKUS defense partnership—thus scuttling France's 90-billion dollar submarine contract with Australia—Mitterrand's warnings turned prophetic. Even the usually diplomatic Minister for Foreign Affairs Jean-Yves le Drian spoke of “a stab in the back.” This extraordinary diplomatic coup de théâtre happened amidst an ongoing conversation on the concept of European strategic autonomy, a topic Uncommon Decency covered in depth last year. Can the EU become a geopolitical actor in its own right, and not just a geopolitical playing field for the great powers of the 21st century? Following the events in Afghanistan and Australia, we take stock of where this conversation is headed—and whether the transatlantic relationship has suffered as a result—with The Economist's Sophie Pedder and the Atlantic Council's Benjamin Haddad. As always, rate and review Uncommon Decency on Apple Podcasts, and send us your comments or questions at @UnDecencyPod or undecencypod@gmail.com. Please consider supporting the show through Patreon: https://www.patreon.com/undecencypod.
Une émission de Philippe Meyer, enregistrée au studio l'Arrière-boutique le 24 septembre 2021.Avec cette semaine :Nicolas Baverez, essayiste et avocat.Nicole Gnesotto, titulaire de la chaire « Union Européenne » au CNAM.Marc-Olivier Padis, directeur des études de la fondation Terra Nova.Richard Werly, correspondant à Paris du quotidien helvétique Le Temps. LA RÉACTION EST-ELLE EN MARCHE ? L'essayiste Éric Zemmour, qui a publié le 16 septembre « La France n'a pas dit son dernier mot », réimprimé à 200.000 exemplaires avant même sa sortie, a entamé une série de conférences aux allures de campagne électorale. La décision du président de la région Auvergne-Rhône-Alpes, Laurent Wauquiez, de renoncer à toute candidature présidentielle lui laisse libre champ sur le flanc droit du parti Les Républicains. Islam, immigration, place des femmes, le livre d'Éric Zemmour reprend ses thèmes favoris que ses adversaires qualifient de racistes, misogynes et homophobes. Quoiqu'il ne soit pas officiellement candidat, dès le 28 juin, des affiches « Zemmour président » avaient fleuri sur les panneaux électoraux après la fin des régionales, à l'initiative de la galaxie Génération Z, qui se définit comme le futur mouvement de jeunes appuyant la candidature de leur champion. Tandis que le maire Ligue du Sud d'Orange, Jacques Bompard, lançait un site Internet et une pétition « jesignepourzemmour » à son nom, Samuel Lafont, ancien membre du pôle société civile de la campagne de François Fillon, créait ledièse #DemainAvecZemmour. Ses soutiens clament haut et fort qu'en cas de candidature, ils misent sur l'électorat de François Fillon à la présidentielle de 2017 et non sur celui de Marine Le Pen. Le 27 août, dans un texte signé par 100 sympathisants de droite se revendiquantde la Génération Z, des jeunes appellent Les Républicains à soutenir une candidature Zemmour. Créée dès la fin avril, l'association de financement du parti Les amis d'Éric Zemmour a été récemment agréée par la commission des comptes de campagne. Le polémiste est crédité de 11% d'intentions de vote au premier tour de l'élection présidentielle, révèle le 21 septembre un sondage Harris Interactive publié par Challenges. Le journaliste n'est devancé que de trois et sept points par Xavier Bertrand (14%) et Marine Le Pen (18%). Le même institut de sondage ne lui promettait que 5% des voix au cœur de l'été. « Cette progression est forte et rapide. Il se passe quelque chose, analyse Brice Teinturier, directeur général délégué d'Ipsos. Éric Zemmour jouit d'une présence médiatique extrêmement forte. La visibilité est la condition clé pour une telle hausse. »***BIDEN EST-IL UN AUTRE TRUMP ? Au lendemain de la claque infligée à la France par les Etats-Unis et leur nouveau partenariat stratégique avec l'Australie et le Royaume-Uni baptisé Aukus entraînant l'annulation de la vente de douze sous-marins conventionnels de technologie tricolore à Canberra, le chef de la diplomatie française, Jean-Yves le Drian qui avait supervisé la vente des sous-marins en tant que ministre de la défense, en 2016 a déclaré : « Cette décision unilatérale, brutale, imprévisible ressemble beaucoup à ce que faisait M. Trump ». « Cela ne se fait pas entre alliés ». Le choc est d'autant plus grand que les Etats-Unis n'ont pas prévenu Paris. C'est le ministre de la Défense australien qui a décroché son téléphone le 15 septembre, tandis que le 30 août dernier, les Australiens n'avaient rien laissé paraître lors d'une réunion à quatre entre les ministères de la Défense et des Affaires étrangères.Après le cavalier seul des Etats-Unis lors du retrait d'Afghanistan, le « coup de Trafalgar » des sous-marins australiens éclaire différemment la campagne de Joe Biden qui se définissait comme l'«anti-Trump » et promettait de revenir au multilatéralisme et à un pacte des nations démocratiques basé sur le respect mutuel et la défense des droits de l'homme. Pour Dominique Moïsidans les Echos : « Loin d'être le sauveur attendu par l'Europe, Joe Biden apparaît au contraire comme un condensé de l'action de ses deux prédécesseurs. Il combine, de manière brutale, le virage vers l'Asie de Barack Obama, et « l'Amérique d'abord » sinon « seule » de Donald Trump. » Il n'a pas levé les principaux sujets irritants de l'ère Trump, comme les tarifs sur l'acier et l'aluminium, ou la résolution du contentieux Boeing-Airbus, remis à plus tard.En marge de l'Assemblée générale des Nations unies à New York la France a reçu en début de semaine le soutien des dirigeants de l'Union européenne : sur CNN, la présidente de la Commission européenne, Ursula vonder Leyen, a jugé « inacceptable » la manière dont la France a été « traitée ». Le président du Conseil européen, Charles Michel, a dénoncé un « manque de loyauté » des États-Unis. Le China Daily a jugé que l'administration Biden marche sur les traces de Donald Trump et « se comporte dans la région comme un chef de gang de rue amplifiant les différences et provoquant la confrontation en vue de commencer une guerre de territoire ». La France a formalisé sa colère contre l'Australie et les Etats-Unis en rappelant pour consultation ses ambassadeurs à Washington et à Canberra le 17 septembre. A l'issue du coup de téléphone, le 22 septembre, entre Emmanuel Macron et Joe Biden, à la demande du président américain les deux chefs d'Etat ont affiché leur volonté de calmer le jeu dans un communiqué commun. L'ambassadeur français aux Etats-Unis, retournera à Washington la semaine prochaine.See Privacy Policy at https://art19.com/privacy and California Privacy Notice at https://art19.com/privacy#do-not-sell-my-info.
Toute la semaine, le discret et taiseux ministre français des Affaires étrangères Jean-Yves Le Drian s'est retrouvé au front, suite à la rupture par l'Australie d'un contrat de 56 milliards d'euros pour l'achat de 12 sous-marins. « Un coup dans le dos » qui a provoqué des tensions diplomatiques inédites avec les États-Unis, grand allié de la France, qui a négocié, en douce, un partenariat stratégique pour le Pacifique avec l'Australie et le Royaume-Uni. Il a donné à cet affront une dimension européenne, et pour cela, Jean-Yves le Drian est notre Européen de la Semaine.
Caroline Roux reçoit Michel Barnier, candidat de la droite à la présidentielle dans les 4 vérités. Alors que la France vient de perdre le « contrat du siècle » avec la rupture de l'accord de vente des sous-marins français torpillé sous pression de Washington, Jean-Yves le Drian a évoqué la « rupture de confiance » entre la France et les États-Unis. Pour Michel Barnier c'est « un désastre diplomatique et industriel auquel nous venons d'assister ». Ce contrat annoncé en grande pompe il y a quelques années a-t-il été suffisamment accompagné avec le Parlement australien ? L'ancien député s'interroge face à la défaite française. « Nous devons clairement discuter avec les Américains, poser la question de confiance notamment du dialogue que nous devons avoir sur l'OTAN dans l'alliance atlantique » déclare le candidat à la primaire LR avant de poursuivre que la République française « doit se prononcer sur son propre destin ». Concernant la place de la France au sein de l'OTAN, la question d'un retrait potentiel ne se pose pas mais il faut selon l'élu de droite que « les Américains nous disent ce qu'ils attendent de cette alliance qui doit être équilibrée ». Et de poursuivre que « La France n'est pas grande quand elle est arrogante, elle n'est pas forte si elle est solitaire ». Crise des sous-marins, départ de Merkel … Et l'Europe ? La trahison américaine a des répercussions bien au-delà de nos frontières. Va-t-elle avoir des conséquences sur le rapport qu'entretient la France avec l'Europe ? Pour l'ancien ministre des affaires étrangères, l'Hexagone a déjà perdu de sa superbe au regard de l'Europe depuis une dizaine d'années : « la France doit reconstruire son influence en Europe ». Selon Michel Bernier, l'Allemagne d'Angela Merkel exerçait jusqu'alors une influence significative. Alors que la chancelière doit remettre son titre en jeu à l'approche des élections allemandes, à quoi s'attendre d'un régime « après-Merkel » ? L'ex-commissaire européen explique que la « coopération allemande initiée par le Général de Gaulle est de plus en plus nécessaire ». Interpellé pour son penchant radical, Michel Barnier évoque la nécessité de « retrouver une souveraineté juridique aux États européens » dans le domaine précis de l'immigration, de la politique française ou de la politique européenne, « ça ne fonctionne pas ». « La question de l'immigration est très grave et va provoquer des ruptures » affirme le candidat de droite à la présidentielle. Élection présidentielle 2022 : quelles seront les règles pour départager la droite ? À 200 jours des élections, le camp de droite perçoit quelques difficultés à voir émerger son favori en lice pour l'élection présidentielle. Un congrès se déroulera le week-end du 25/26 septembre 2021 pour trouver enfin un mode de départage. Celui qui se porte volontaire pour être le « chef d'équipe » du parti LR explique qu'il y aura deux formules pour élire le futur candidat : « un vote large ouvert aux citoyens de droite républicaine du centre qui se reconnaissent comme tel et qui voteraient » et « un choix plus fermé seulement pour les militants de notre famille ». Pour fédérer les militants autour de lui, Michel Barnier conclura sur ces mots : « je sais que je peux réunir les talents et les énergies de la famille politique et du centre et de bien d'autres Français ». --
durée : 00:02:05 - Le héros du jour - par : Daniel Morin - Ce matin, Daniel imagine un instant de vie de Jean-Yves Le Drian, ministre de l'Europe et des Affaires étrangères
durée : 00:02:44 - Le sketch, par Jupiter ! - par : Charline Vanhoenacker, Alex Vizorek - Avec Marina Rollman, plongez-vous dans le bureau de Jean-Yves Le Drian lors de l'annulation de la vente des douze sous-marins à l'Australie...
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Une claque pour la France. Mercredi 15 septembre, l'Australie a rompu un contrat à plusieurs milliards d'euros qui prévoyait la livraison d'une douzaine de sous-marins français à Canberra. Ce n'est pas une histoire d'argent, encore que, mais un revirement stratégique de la part du lointain pays, qui a décidé de s'associer avec les États-Unis et le Royaume-Uni pour protéger ses intérêts dans la zone indo-pacifique face à la Chine. Les trois pays ont passé un pacte, dit Aukus prévoyant la construction de sous-marins nucléaires de technologie américaine, plus perfectionnés, sur le papier, que ceux à propulsion conventionnelle achetés à la France. Ce choix a considérablement agacé Paris, qui a réagi par la voix de son ministre des affaires étrangères, Jean-Yves le Drian. Le ministre évoque un «coup dans le dos» de la part de l'Australie et dénonce le choix américain, qui «conduit à écarter un allié et un partenaire européen comme la France, d'un partenariat structurant avec l'Australie, au moment où nous faisons face à des défis sans précédent dans la région indo-pacifique». La colère est d'autant plus forte que le gouvernement français n'aurait pas été officiellement prévenu de ce changement de cap avant que celui-ci ne soit annoncé à la presse. Mauvaise ambiance entre des alliés historiques : une soirée de gala prévue jeudi 16 septembre à Washington pour célébrer l'entente entre les États-Unis et la France a été annulée à la dernière minute. Ça n'a l'air de rien, comme ça, mais en langage diplomatique, ça signifie qu'on est très fâché. Le Monde devant soi, est podcast hebdomadaire d'actualité internationale présenté par Christophe Carron, avec Jean-Marie Colombani, directeur de la publication de Slate.fr, et Alain Frachon, éditorialiste au Monde spécialisé dans les questions internationales. Si vous aimez Le Monde devant soi, pensez à l'exprimer en nous donnant la note maximale sur iTunes et ailleurs, en en parlant autour de vous et en laissant vos commentaires sur les réseaux sociaux. Suivez Slate Podcasts sur Facebook et Instagram. Pour échanger et découvrir de nouveaux podcasts, rejoignez le Slate Podcast Club sur Facebook. Musique: «True Messiah (LilRod Edit)», DJ Freedem Réalisation et montage: Aurélie Rodrigues
durée : 00:04:24 - Le journal de presque 17h17 - par : Charline Vanhoenacker, Alex Vizorek - Du retour du train de nuit Paris-Nice à la disparition prochaine du navigateur historique Internet Explorer en passant par l'organisation d'une interview avec uniquement des journalistes issus de minorités, voici les actus de ce vendredi 21 mai.
durée : 00:04:24 - Le journal de presque 17h17 - par : Charline Vanhoenacker, Alex Vizorek - Du retour du train de nuit Paris-Nice à la disparition prochaine du navigateur historique Internet Explorer en passant par l'organisation d'une interview avec uniquement des journalistes issus de minorités, voici les actus de ce vendredi 21 mai.
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Episodio especial con la colaboracion de Drian Bernal de PELOTA CUBANA sobre Pito Abreu y su 700 en 1000!
Hablemos de diferentes formas de adivinación y cómo llevar una espiritualidad más sana.
durée : 00:11:01 - L'invité de 7h50 - par : Léa Salamé - Jean-Yves Le Drian, ministre de l'Europe et des Affaires étrangère, est l'invité de 7h50.
durée : 00:02:33 - Le Billet de Charline Vanhœnacker - par : Charline Vanhoenacker - Jean-Yves Le Drian est l'invité de 7h50. Charline en profite pour dresser le portrait d’un ministre des Affaires étrangères...
durée : 00:53:50 - Questions politiques - Jean-Yves Le Drian, ministre de l'Europe et des Affaires étrangères, est l’invité de « Questions Politiques » ce dimanche. Une émission présentée par Ali Baddou avec Carine Bécard (France Inter), Françoise Fressoz (Le Monde) et Nathalie Saint-Cricq (France Télévisions).
durée : 00:14:41 - Journal de 12h30 - Pour le ministre des affaires étrangères Jean-Yves Le Drian, Téhéran travaille désormais clairement sur l'arme atomique pour déstabiliser ses voisins.
durée : 00:14:41 - Journal de 12h30 - Pour le ministre des affaires étrangères Jean-Yves Le Drian, Téhéran travaille désormais clairement sur l'arme atomique pour déstabiliser ses voisins.
Le Premier ministre malien de la transition, Moctar Ouane, a accordé un entretien exclusif à RFI et France 24. Il a répondu aux questions de David Baché et Marc Perelman. C'était juste avant l'annonce, ce jeudi 3 décembre, de la composition du Conseil national de transition. Le chef du gouvernement malien s'exprime sur la longueur des négociations avec les groupes jihadistes, les conflits intercommunautaires dans le Centre ou encore sur le sort du président déchu Ibrahim Boubacar Keita et de son fils, Karim Keita. Marc Perelman : Monsieur le Premier ministre, deux mois et demi après le coup d’État du 18 août, globalement salué par la population, l’installation du dernier organe de la transition se fait toujours attendre : le Conseil national de transition fait polémique, la plupart des partis refusent d’y siéger et dénoncent l’accaparement de la transition par les militaires. Il y a aussi le front social, avec des grèves qui se multiplient. Pourquoi le Conseil de transition n’est toujours pas installé, et est-ce que vous pouvez nous dire quand il le sera ? Moctar Ouane : Nous aurons bientôt les résultats des consultations qui auront permis de trouver les compromis nécessaires pour concilier les points de vue afin d’aboutir à la mise en place très rapidement du Conseil national de transition. Cela ne devrait plus tarder. M.P.: Est-ce que vous pouvez être plus précis, est-ce que c’est une question de jours ou de semaines ? Soyons patients. Je pense que c’est une question qui interviendra très rapidement. David Baché : L’essentiel des sujets régaliens, à commencer par le CNT, sont gérés par le président Bah N’Daw et surtout par le vice-président, le colonel Assimi Goïta, qui a dirigé le coup d’État du 18 août. Est-ce que vous-même, monsieur le Premier ministre, vous ne la subissez pas cette militarisation des institutions, est-ce que vous n’êtes pas l’alibi, la caution civile des militaires ? Non, les rôles sont bien répartis. Chacun joue sa partition. Nous avons tous à cœur de nous hisser à la hauteur de la mission qui nous a été confiée. D.B. : Ceux qui ont le sentiment que les militaires prennent trop de place, est-ce que vous entendez leurs inquiétudes ? Je vous l’ai dit tout à l’heure, nous sommes tous conscients de ce que nous avons à cœur de mener à bien, la mission qui nous a été confiée, puisque les rôles sont très clairement définis, chacun joue sa partition. Il n’y a pas de difficultés particulières à signaler de ce point de vue. M.P. : Début octobre, le Mali a négocié avec Aqmi la libération de trois otages occidentaux, dont la Française Sophie Pétronin, et du chef de l’opposition malienne Soumaïla Cissé. Le Mali a-t-il négocié seul, ou est-ce que d’autres pays ont eu leur mot à dire sur les contreparties ? L’essentiel pour nous est que nous ayons pu aboutir à la libération de ceux que vous avez mentionnés. C’est à la suite d’efforts conjugués des uns et des autres que cela a été rendu possible. D.B. : Est-il vrai que la France a fait pression pour que Soumaïla Cissé ne soit pas libéré seul, avant Sophie Pétronin, ce qui aurait pu retarder le processus ? Je parle pour le compte du Mali. D.B. : Justement, est-ce que la France s’est adressée au Mali en ce sens ? Est-ce que c’est vrai, est-ce que c’est faux ? Nous ne pensons pas que de ce point de vue-là il y ait eu une intrusion quelconque de la France dans le processus. En tout cas, pas à mon niveau. M.P. : Lors de sa visite à Bamako, le ministre français des Affaires étrangères, Jean-Yves le Drian, a rappelé le refus de la France d’ouvrir des négociations de paix avec les groupes terroristes comme Aqmi ou le groupe État islamique. Vous lui avez personnellement, monsieur le Premier ministre, rappelé que le Mali était favorable à « de vastes discussions », conformément aux conclusions du dialogue national. La France et le Mali ne sont donc pas sur la même ligne ? Il n’y a pas de déphasage entre le Mali et la France sur cette question. Nous comprenons les décisions et les positions de la France, basées sur ses réalités. Mais la volonté de dialogue dont je me suis fait l’écho découle d’une préoccupation, d’une volonté qui a été exprimée déjà en 2017 par notre pays, par notre peuple, dans le cadre de la Conférence d’entente nationale. Puis cette volonté a été renouvelée en 2019 à la suite du Dialogue national inclusif. Il s’agit donc pour nous d’être en phase avec la volonté des Maliens et aussi tenir compte des réalités nationales. Les groupes auxquels vous faites allusion détruisent, alors que le rôle du gouvernement est de construire. Nous devons donc les empêcher de détruire soit par les armes, ou par le truchement du dialogue. Et nous avons choisi cette deuxième option, de manière à ce que ce dialogue soit considéré comme une opportunité permettant précisément d’apporter un élément complémentaire, un prolongement des réponses qui ont précédemment été apportées à travers l’action militaire, à travers la gouvernance ou encore le développement. Je précise aussi que le dialogue que nous voulons doit être appréhendé comme une opportunité d’engager des discussions vastes avec les communautés, de manière à redéfinir les contours de la gouvernance dans les localités où ces groupes ont pu s’implanter. D.B. : Mais Barkhane a multiplié, ces dernières semaines, les actions d’envergure, notamment contre le groupe d’Iyad Ag Ghali. Ce n’est pas une manière de saborder les tentatives maliennes de dialogue ? Les options ne sont pas exclusives l’une de l’autre. Le dialogue que nous poursuivons ne doit pas être considéré comme une panacée. Je vous le dis, il constitue le prolongement d’efforts d’actions à d’autres niveaux. Donc l’action militaire n’est pas exclusive du dialogue ou inversement. Les deux actions se complètent, se prolongent, dans le cadre d’une dynamique d’ensemble qui devrait permettre précisément de rétablir la sécurité sur l’ensemble du pays. M.P : Est-ce que de telles discussions ont lieu, en ce moment, avec Iyad Ag Ghali, avec Amadou Kouffa ? Il ne s’agit pas pour nous d’individualiser l’action en direction de telle ou telle personne. Ce que nous recherchons, c’est d’engager une dynamique d’ensemble à travers le dialogue qui, comme je vous le dis, doit être appréhendée dans cette double dimensions que je viens d’indiquer, à savoir le dialogue saisi comme une opportunité d’échanges avec les communautés, mais aussi un dialogue permettant précisément de déboucher sur…. M.P. : Mais vous ne les excluez pas vous, le dialogue avec eux est une piste qui est poursuivie en ce moment même ? Les recommandations du Dialogue national inclusif comme de la Conférence d’entente nationale sont claires à cet égard. Il s’agit d’engager le dialogue avec tous les enfants du Mali. D.B. : Et ce dialogue est déjà en cours, ou pas encore ? C’est une dynamique qui est en cours et à la suite de la Conférence nationale, et ce que nous avons voulu dans le prolongement du Dialogue national inclusif, c’est d’aboutir à cela. Et à ce stade, ce que je peux vous dire, c’est que nous travaillons à cela et nous n’excluons pas justement de parvenir à nouer ce dialogue-là. Encore une fois, ce n’est pas avec telle ou telle individualité, mais de manière précisément à permettre la prise en compte des préoccupations de toutes les communautés où ces groupes terroristes [sévissent, ndlr, interruption]. D.B. : Les attaques terroristes, sur fond de conflits entre communauté peule et chasseurs traditionnels dozos, connaissent une flambée en ce moment dans le Centre : à Farabougou et dans tout le cercle de Niono, mais aussi dans la région de Mopti. Le gouvernement a organisé un forum pour la réconciliation, le mois dernier. Depuis, les engagements pris par l’État n’ont pas été appliqués, la situation continue de se dégrader, l’armée malienne semble impuissante. Que comptez-vous faire, à présent ? Le gouvernement s’emploie fortement à ramener la paix sur l’ensemble du territoire, y compris dans la zone de Farabougou. Les actions qui ont été engagées de ce point de vue doivent impliquées à la fois les communautés locales à travers donc le dialogue intercommunautaire, mais aussi à travers les actions, les initiatives de l’État. C’est ce que nous avons fait récemment par l’envoi d’une délégation de haut niveau qui s’est rendue sur place… M. P. : Mais apparemment, cela ne fonctionne pas ? Oui, mais c’est une dynamique qui est en cours. On ne peut pas préjuger des résultats de cette action, elle se met en place, elle nécessitera une compréhension des uns et des autres, et un engagement des uns et des autres plus exactement. Et c’est à cela que nous travaillons. M.P. : L’armée malienne est accusée d’exactions à Libbé, un village peul incendié fin octobre, une vingtaine de villageois ont été tués. L’armée a réfuté ces accusations, mais tout de même promis des enquêtes. Elles ont été menées ? Conformément à l’engagement qu’il a pris, le gouvernement conduira ces enquêtes-là et lorsque les résultats seront connus, ils seront mis à disposition de tous. D.B. : L’ex-président Ibrahim Boubacar Keïta (IBK) est actuellement en résidence surveillée chez lui. Pourquoi ? Des poursuites ont été engagées à son encontre ? Le président Ibrahim Boubacar Keita est à sa résidence. Il est là avec sa famille et il n’est pas en résidence surveillée. M.P. : Il est libre ? Il est à sa résidence avec sa famille. M.P. : Cela veut dire en résidence surveillée ? Il n’est pas en résidence surveillée, parce que la résidence surveillée suppose donc qu’il ait été soit sous le coup d’une inculpation ou qu’il soit poursuivi ou qu’on lui reproche quoi que ce soit, ce qui n’est pas le cas à ce stade. M.P. : Mais il n’a pas le droit d’en sortir… Il est revenu de soins chez lui et il est à sa résidence avec sa famille. M.P. : Sans avoir le droit d’en sortir ? Mais ça, je ne saurais vous le dire. M.P.: Son fils, Karim Keïta, a fui Bamako. On le dit en Côte d’ivoire. Est-ce que vous avez demandé à Abidjan de vous le remettre ? Il a quitté le pays, il est à l’étranger et vis-à-vis duquel également, il n’y a pas de commentaires particuliers que je puisse faire à ce stade. D.B. : Donc, le gouvernement malien ne le recherche pas particulièrement, ne cherche pas à le faire revenir au Mali ? Il a quitté le pays de son plein gré. À ce stade, je ne suis pas en mesure de vous indiquer quoi que ce soit, puisque c’est l’affaire de la justice, lorsque le cas échéant, cela se saurait. Mais pour l’instant, je ne peux vous en dire davantage que cela. D.B. : Pas de discussions avec Abidjan à son sujet donc ? Non. À ce stade, je ne peux pas vous dire qu’il y a des discussions quelconques ou non. Aucune action de ce point de vue n’a été engagée à ce jour encore.
durée : 00:20:30 - Journal de 18h - Au lendemain de ce nouvel attentat dans la basilique de Nice, une attaque au couteau qui a fait 3 morts, le gouvernement a décidé de renforcer la sécurité sur le territoire national. Le ministre de l'intérieur, Gérald Darmanin annonce le renfort de 7 000 membres des forces de l’ordre.
durée : 00:20:30 - Journal de 18h - Au lendemain de ce nouvel attentat dans la basilique de Nice, une attaque au couteau qui a fait 3 morts, le gouvernement a décidé de renforcer la sécurité sur le territoire national. Le ministre de l'intérieur, Gérald Darmanin annonce le renfort de 7 000 membres des forces de l’ordre.
Drïan Juarez is a global consultant on diversity and inclusion and is the Vice President of Programing for Trans Can Work. She works to build inclusive company cultures where gender diverse people can thrive. She has served as the Global Partnerships Manager for Grindr’s Grinder for Equality program where she promoted health, justice, and equality for the global LGBTQI community. She is the founder and former Program Manager of the LA LGBT Center’s Transgender Economic Empowerment Project (TEEP). Building a solid foundation for TEEP, Juarez established cross-organizational/ cross-functional teams to assist in the mission of developing substantive employment and business opportunities for the Los Angeles Transgender community. Under her direction, TEEP worked with thousands of Transgender and gender nonconforming people by assisting with basic housing and helping Transgender and gender nonconforming people move from the street economy to assisting with more complex job skills like resume writing and job searches for Transgender people who transitioned after establishing professional careers. In her role, Juarez developed a coalition of grass-roots organizations to help meet the specific needs of the LGBTQI+ community. She has collaborated with homeless shelters to provide housing and basic living needs, coordinated with non-profits and schools to offer basic job training and has taught over 700 employers in law enforcement, government entities and businesses on the unique issues faced by gender diverse communities.
Russie, Jean-Yves le Drian et Heiko Maas, les deux ministres des affaires étrangères, français et allemand, réclament des sanctions suite à l'empoisonnement de l'opposant politique Alexei Navalny; en France, la lutte sur les droits d'auteurs se poursuit entre la presse et les géants du numériques; enfin, la commission européenne se donne dix ans pour améliorer les conditions de vie des roms en Europe.
Les négociations israélo palestiniennes souhaitée par le ministre Français des affaires étrangères Jean Yves le Drian ont-elles une chance d’exister ?
durée : 00:53:52 - Questions politiques - Jean-Yves Le Drian, ministre de l'Europe et des Affaires Étrangères, est l'invité de Questions Politiques ce dimanche.
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Jean-Benard Padaré, le secrétaire général adjoint du MPS, le parti du président Déby, est l'invité de RFI. L’ancien ministre de la Justice répond à l’opposant Mahamat Ahmad Alhabo qui, mardi 7 juillet, dénonçait sur notre antenne le nouveau report des législatives. Il qualifiait aussi le ministre français des Affaires étrangères Jean-Yves Le Drian d’« ami » du président tchadien, affirmant qu’il n’y avait rien à attendre du gouvernement d'Emmanuel Macron. RFI : Jean-Yves Le Drian reste aux Affaires étrangères, l’opposition le qualifie d’ami du président Idriss Déby, est-ce une réalité ? Jean-Benard Padaré : Écoutez, Jean-Yves le Drian ne vient pas au Tchad pour passer des vacances. Il ne vient pas en visite privée. Il vient en visite officielle, il vient dans le cadre d’une mission et d’ailleurs la fois où il est allé à Amdjarass, c’est quand le président était en vacances et il y a passé même pas une heure de temps. Donc, c’est la France qui a des relations avec le Tchad. Il faut que cela soit très clair. Pour ce qui est de la situation sécuritaire au Sahel, pourquoi le président Idriss Déby a-t-il décidé de ne pas envoyer un bataillon dans la zone des trois frontières ? Parce qu’il faut bien qu’on sécurise d’abord nos frontières dans le Lac Tchad, qui avait fait l’objet d’une attaque de Boko Haram, que de déployer immédiatement nos troupes dans la zone des trois frontières, parce qu’il faut s’assurer de sa propre sécurité d’abord avant de se courir et éventuellement les voisins C’est cette maxime qui a simplement été appliqué. Y a-t-il des craintes aussi du côté de la Libye, des rebelles tchadiens sont là-bas, on le sait dans le sud non loin de la frontière ?Écoutez, des craintes pourquoi ? Écoutez, nous n’avons plus de rebelles. Nous avons des narcotrafiquants, des terroristes qui écument cette zone, mais jusqu’à maintenant, toute la zone du Tibesti est sécurisée. Ils n’arrivent plus à faire une incursion dans notre territoire.À propos de la lutte contre Boko Haram, selon les défenseurs des droits de l´homme, les 44 prisonniers qui sont morts en détention n’étaient pas des terroristes. Ils sont morts par suffocation, de faim et déshydratés. Pourquoi ne pas accepter une enquête internationale, si vous critiquez le rapport du CCDH ?Mais pourquoi accepter une enquête internationale, alors qu’on a une commission qui n’a pas encore rendu le rapport, une commission nationale. C’est la présidence de la République qui a saisi cette commission nationale des droits de l'homme pour savoir la vérité.Est-elle indépendante ?Mais oui les membres de cette commission sont totalement indépendants. Donc attendons qu’ils publient le rapport. Pourquoi tout de suite « international » ! Quand quelque chose se passe en France, est-ce qu'on met en place une commission internationale. Le gouvernement de toute façon n’a rien à cacher. Alors les législatives qui devaient avoir lieu avant la présidentielle d’avril prochain sont finalement renvoyées en octobre 2021. L’opposition dénonce une fuite en avant, que répondez-vous ?Eh bien nous disons simplement à l’opposition qu’elle se met dans l’art de la mauvaise foi, dans la mesure où elle est représentée à la Céni à 50%, la majorité présidentielle à 50%. C’est ça qu'on n'arrive pas à comprendre, ce comportement irresponsable parce qu’il n’y a pas d’autres mots pour qualifier ça. Je fais remarquer que la prorogation du mandat des députés avait été votée à l’unanimité, donc ce qui veut dire qu’ils ont laissé la porte ouverte. On ne peut pas proroger l’élection présidentielle, c’est impossible.Quoi qu'il en soit, ces élections vont se tenir dans un contexte de méfiance la plus absolue, n’est-ce pas un véritable problème ?Ça c’est vous qui le dites. Moi je pense que tout est sur la table pour que les élections se passent dans de très bonnes conditions et nous croisons les doigts pour que d'ici là, la Covid-19 soit vaincue. Pour le reste, c'est une manœuvre tendant à retarder les échéances, et pour qu’on aboutisse à quoi ? Eh bien, à un vide juridique en avril pour conduire notre pays à la transition, c’est ce que souhaite l’opposition, c’est inacceptable.Et pourquoi ne pas coupler ces législatives avec la présidentielle du mois d’avril ?On ne peut pas coupler ! Vous le savez très bien que notre peuple, nos populations, nos électeurs, pour qu'ils comprennent déjà. Est-ce que vous imaginez que les gens cochent sur un bulletin pour les élections législatives et sur un autre bulletin pour les élections présidentielles ? Non. Nos populations ne sont pas encore prêtes pour assumer des élections cumulées. On ne peut pas prendre ce risque-là.Le président Idriss Déby vient d’être honoré du titre du maréchal du Tchad, était-ce vraiment opportun dans le contexte actuel ?C’est un titre qui est prévu dans nos textes. Ce n’est pas un grade, mais une dignité. C'est un témoignage de reconnaissance que la Nation a eu à lui faire.« Cela nous fait penser à Mobutu, à Bokassa, à Idi Amin Dada », rétorque que l’opposition.Ça n’a rien à voir ! Mobutu s’est autoproclamé, Bokassa s’est autoproclamé, Idi Amin Dada s’est autoproclamé aussi. Aujourd’hui, c’est la représentation nationale qui a décidé de l’élever à la dignité de maréchal. C’est purement honorifique.
durée : 02:00:54 - Le 7/9 - Julia de Funès, philosophe, est l'invitée de Léa Salamé à 7h50. Jean-Yves Le Drian, ministre de l'Europe et des Affaires étrangères, est l'invité du grand entretien de Nicolas Demorand et Léa Salamé à 8h20.
durée : 00:26:09 - L'invité de 8h20 : le grand entretien - par : Nicolas Demorand, Léa Salamé - Jean-Yves Le Drian, ministre de l'Europe et des Affaires étrangères, est l'invité du grand entretien de Nicolas Demorand et Léa Salamé à 8h20.
durée : 00:25:22 - 8.30 franceinfo: - Le ministre des Affaires étrangères était l'invité de franceinfo vendredi matin.
C’est une affaire exceptionnelle qui va être jugée à partir du mardi 4 février par le Tribunal correctionnel de Paris. Son nom : l’affaire de l’arnaque au Faux le Drian. Entre 2015 et 2016, des escrocs ont réussi à lever des dizaines de millions d’euros en se faisant passer, auprès de leurs victimes, pour Jean-Yves Le Drian, actuel ministre des affaires étrangères et en charge de la Défense lors de la présidence de François Hollande. Pour être crédible, dans les appels vidéos réalisés sur Skype, le prétendu ministre portait un masque en silicone de Jean-Yves Le Drian. Cet épisode de Code source est raconté par Jean-Michel Décugis, du service Police-Justice du Parisien. Direction de la rédaction : Pierre Chausse - Rédacteur en chef : Jules Lavie - Reporter : Clawdia Prolongeau - Conception et préparation : Clara Garnier-Amouroux - Production : Stéphane Geneste - Réalisation et mixage : Benoît Laur - Musiques : François Clos, Audio Network - Identité graphique : Upian - Archives : France 2, Envoyé Spécial. Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.
Hippy Drian comes upon new, virginal territory in her sexuality in her 40s. She gets by with a little help from her friends!Listen and rate the show on Apple podcasts or Stitcher or Google Play.Thank you to the Freeman Foundation, Elizabeth Scott, the Wild Geese Foundation and Grindr for Equality for their sponsorship!Production by E.T. Townsend.Show art by Allie VanHeest
durée : 00:54:00 - Questions politiques - par : Ali Baddou - Jean-Yves Le Drian, Ministre de l'Europe et des Affaires étrangères, est l’invité de « Questions Politiques » ce dimanche. Une émission présentée par Ali Baddou avec Carine Bécard (France Inter), Marc Semo (Le Monde) et Nathalie Saint-Cricq (France Télévisions). - invités : Jean Yves LE DRIAN - Jean Yves LE DRIAN
durée : 00:24:29 - L'invité de 8h20 : le grand entretien - Jean-Yves Le Drian, ministre de l'Europe et des Affaires étrangères s'est dit "réconforté" par une "belle démonstration démocratique" lors des élections européennes. "Les Européens ont pris leur destin en main", a-t-il expliqué sur France Inter, mardi matin.
durée : 00:02:06 - L'Humeur du matin par Guillaume Erner - par : Guillaume Erner - . C'est ce dont témoigne notre attitude vis à la vis de la mort de ces deux soldats français, Alain Bertoncello et Cédric de Pierrepont, nous ne savons que faire vis-à-vis du sacrifice suprême. Parce que nous ne vivons plus dans une société religieuse, parce que la république a parfois du mal à créer un nouveau sacré, malgré nos efforts, malgré nos souhaits, pour créer de la transcendance il n'est pas inutile de disposer d'une religion et d'une métaphysique. D'où cette polémique sur l'inconscience présumée des deux otages, polémique relayée y compris par Jean Yves le Drian, le ministre de la défense. Une polémique dénuée de fondement si l'on en croit libération puisque seule la frontière avec le Burkina Faso était une zone rouge, soit déconseillée, le reste était une zone jaune soit vigilance renforcée, à l'instar de la Thaïlande et des Maldives. Il ne viendrait à l'esprit de personne de considérer qu'une personne en vacances en Thaïlande a fait preuve d'imprudence. Derrière cette pulsion, ce reflexe, d'en vouloir aux deux otages se trouve le classique locus of control, autrement dit cette volonté de retrouver du sens à tout prix, y compris dans les situations ou une part de fatalité existe. C'est comme s'il nous était impossible d'accepter que la responsabilité engagée là-bas, la seule, soit celle des djihadistes preneurs d'otage. C'est une grande tristesse mais voilà les sauveteurs sont là pour sauver, les soldats pour protéger, comme le dit le patron des forces spéciales, « nous sommes prêts à recommencer demain ». Alors pourquoi n'arrivons nous pas à nous y faire ? La réponse de l'anthropologue Albert Hirschman est assez simple : parce que nous avons quitté les valeurs de la chevalerie. Notre société pour évoluer et se pacifier à troquer les valeurs de la chevalerie pour celles de la bourgeoisie. Désormais nous sommes devenus bourgeois et nous n'imaginons plus les duels, la mort ou le sacrifice. Et pour notre plus grand malheur, nous nous retrouvons face à des individus, en l'occurrence des djihadistes, qui continuent très bien à l'envisager.