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durée : 02:57:42 - Le 7/10 - Claude Malhuret, sénateur Horizons de l'Allier, Vincent Strubel, directeur général de l'ANSSI, Sandrine Mini, éditrice, Clara Dupont-Monod, écrivaine, William Marx, écrivain, Julie Depardieu, actrice, et Pauline Dujancourt, créatrice de mode, sont les invités de la matinale.
durée : 00:58:04 - Le Souffle de la pensée - par : Géraldine Mosna-Savoye - A quoi ressemblerait un être qui serait pure pensée ? Et quel défi pose un personnage aussi abstrait à la littérature ? C'est tout l'enjeu de "Monsieur Teste" de Paul Valéry, dont nous parle William Marx, professeur de littérature au Collège de France, habité par ce texte depuis l'adolescence. - réalisation : Nicolas Berger - invités : William Marx Historien de la littérature, professeur au Collège de France
durée : 00:10:17 - L'invité de 7h50 du week-end - Ce dimanche 15 décembre, notre invité de 7h50 est William Marx, professeur au Collège de France, auteur de la préface de “Louée soit la lecture. Lettre sur le rôle de la littérature dans la formation” du Pape François.
durée : 03:00:34 - Le 6/9 du week-end - par : Ali Baddou, Marion L'hour, Benjamin Dussy, Mathilde Khlat, Elodie Royer - Aujourd'hui dans le 6/9, nous recevons d'abord à 7h50 le professeur au Collège de France William Marx et à 8h20, Didier Fusillier, président de la Réunion des musées nationaux et du Grand Palais qui présente une exposition consacrée à l'artiste japonaise Chiharu Shiota jusqu'au 19 mars 2025... - réalisé par : Marie MéRIER
"Un été avec Don Quichotte" aux éditions des Equateurs France-Inter. Entretien avec Aurélia Gaillard.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Cette semaine, La Grande Librairie vous donne rendez-vous à Strasbourg, capitale mondiale du livre 2024 ! Au cœur de la magnifique Bibliothèque Nationale et Universitaire de la ville, Augustin Trapenard reçoit Florence Aubenas, Abd Al Malik, Olivier Guez, Paolo Rumiz, William Marx et Annick Cojean pour discuter des enjeux et des défis du livre aujourd'hui. À quelques jours des élections, ils interrogent aussi le sentiment européen, son histoire, ses mythologies, ainsi que la nécessité de nouveaux récits.
durée : 00:24:51 - L'invité de 8h20 - par : Marion L'hour, Ali Baddou - L'écrivain William Marx est l'auteur de la chronique "Un été avec don Quichotte" diffusée sur France Inter, publié le 1er mai aux éditions des Equateurs. - invités : William MARX - William Marx : Historien de la littérature, professeur au Collège de France
durée : 02:59:34 - Le 6/9 - par : Mathilde Khlat, Benjamin Dussy, Elodie Royer, Maëlle Polsinelli, Marion L'hour, Ali Baddou - Les invités de la matinale du vendredi 26 avril sont Dominique Seux et Thomas Porcher pour le débat éco, et William Marx à 8h20. - invités : Dominique Seux, Thomas PORCHER, William MARX - Dominique Seux : Directeur délégué de la rédaction des Echos et éditorialiste à France Inter, Thomas Porcher : Économiste, professeur à la Paris School of Business, William Marx : Historien de la littérature, professeur au Collège de France - réalisé par : Marie MéRIER
ESSENTIEL, les rendez-vous du jeudi – Un monde de livres présenté par Josyane Savigneau. Elle reçoit Charles Dantzig pour son roman « Paris dans tous ses siècles » chez Grasset et William Marx professeur au collège de France. À propos du livre : « Paris dans tous ses siècles ». paru aux éditions Grasset Que peuvent avoir en commun Victor, écrivain vieillissant qui ne publie plus et devient un commentateur d'actualité grincheux, son amie Gabrielle, galeriste quinquagénaire éprise d'un homme beaucoup plus jeune, le fils de Victor, la mère et la fille de Gabrielle, des étudiants qui tentent de devenir artistes, des provinciaux qui rêvent de se faire une place, un escort brésilien, le chat Xanax et le teckel Guillaume, un cadavre qui disparaît, un éléphant qui s'échappe et tant d'autres personnages de cette ronde qui efface les frontières entre les espèces, les espaces et les temps ? Tous vivent à Paris, cette scène du jugement perpétuel. Or, « Paris est un combat ». Certains cherchent la clef pour conquérir la capitale, d'autres croient l'avoir, d'autres l'espèrent, d'autres pensent qu'elle n'existe pas. Qu'adviendra-t-il des ambitions de chacun ? Parmi les mille inventions de ce roman qui fourmille de trouvailles, de traits d'esprit, de brio et de profondeur, soulignons quelques surprises : Au début de chaque chapitre, un animal parle, animal domestique ou symbolique du personnage qui va suivre, et traité à égalité avec lui. De temps à autre, les rues de Paris se complètent de « déroulés historiques » : leur bitume est retiré, des rambardes s'élèvent et les passants assistent, comme du balcon d'un théâtre, à des scènes du passé, celles de la Libération aussi bien que des conversations des « précieuses » de l'hôtel de Rambouillet. En bas de page, quand les personnages se trouvent dans la rue, sont notées des bribes de phrases qui forment la bande passante de conversations saisies au vol en marchant. On n'est pas plus obligé de les lire que de les écouter, mais elles contribuent à donner sa tonalité à la capitale. Une nouvelle façon de raconter des nouvelles vies, dans un Paris désordonné, vivace, imprévisible, créatif. Sous les auspices de l'Ulysse de Joyce, du Berlin Alexanderplatz de Döblin et du Petersbourg de Biély, une histoire à la fois contemporaine et mythologique, un grand roman de la ville.
William MarxLittératures comparéesCollège de FranceAnnée 2023-2024Colloque - Litterae latinae : pour une histoire littéraire de Rome - Discussion entre William Marx et Florence DupontIntervenant(s)William Marx, Professeur du Collège de FranceFlorence Dupont (Université Paris Cité)Y a-t-il une littérature à Rome ? Autrement dit, ce que nous nommons aujourd'hui littérature, avec toutes les qualités et fonctions qui y sont habituellement attachées, existait‑il déjà dans l'antiquité romaine ? La question a été posée sans relâche par Florence Dupont dans toute son œuvre de latiniste et d'helléniste, l'une des plus originales et marquantes des cinquante dernières années. Elle y revient tout récemment dans sa monumentale Histoire littéraire de Rome : de Romulus à Ovide, une culture de la traduction (2022). Cette approche anthropologique et sociale des objets dits littéraires intéresse évidemment le comparatisme, et c'est pourquoi il a paru important de réunir professeurs du Collège de France et spécialistes de diverses disciplines (littératures, droit, histoire) et de diverses périodes et aires culturelles pour réfléchir ensemble à la question du littéraire à Rome.Le colloque se poursuivra le samedi 14 octobre de 9 heures à 18 heures dans l'amphithéâtre Alan Turing de l'Université Paris Cité, Campus des Grands Moulins, 8, place Aurélie Nemours, 75013 Paris.Partenaires du colloqueCollège de France, chaire Littératures comparéesUniversité Paris Cité, CERILACUniversité Sorbonne Nouvelle, CERCUniversité Paris Nanterre, UFR PHILLIA, Littérature et poétique comparéesANHIMA (CNRS)Antiquité territoire des Écarts
William MarxLittératures comparéesCollège de FranceAnnée 2023-2024Colloque - Litterae latinae : pour une histoire littéraire de Rome - Discussion entre William Marx et Florence DupontIntervenant(s)William Marx, Professeur du Collège de FranceFlorence Dupont (Université Paris Cité)Y a-t-il une littérature à Rome ? Autrement dit, ce que nous nommons aujourd'hui littérature, avec toutes les qualités et fonctions qui y sont habituellement attachées, existait‑il déjà dans l'antiquité romaine ? La question a été posée sans relâche par Florence Dupont dans toute son œuvre de latiniste et d'helléniste, l'une des plus originales et marquantes des cinquante dernières années. Elle y revient tout récemment dans sa monumentale Histoire littéraire de Rome : de Romulus à Ovide, une culture de la traduction (2022). Cette approche anthropologique et sociale des objets dits littéraires intéresse évidemment le comparatisme, et c'est pourquoi il a paru important de réunir professeurs du Collège de France et spécialistes de diverses disciplines (littératures, droit, histoire) et de diverses périodes et aires culturelles pour réfléchir ensemble à la question du littéraire à Rome.Le colloque se poursuivra le samedi 14 octobre de 9 heures à 18 heures dans l'amphithéâtre Alan Turing de l'Université Paris Cité, Campus des Grands Moulins, 8, place Aurélie Nemours, 75013 Paris.Partenaires du colloqueCollège de France, chaire Littératures comparéesUniversité Paris Cité, CERILACUniversité Sorbonne Nouvelle, CERCUniversité Paris Nanterre, UFR PHILLIA, Littérature et poétique comparéesANHIMA (CNRS)Antiquité territoire des Écarts
William MarxLittératures comparéesCollège de FranceAnnée 2023-2024Colloque - Litterae latinae : pour une histoire littéraire de Rome - Ouverture du colloqueIntervenant(s)William Marx, Professeur du Collège de FranceJean-François Cottier (Université Paris Cité / IUF)Emmanuelle Valette (Université Paris Cité)Y a-t-il une littérature à Rome ? Autrement dit, ce que nous nommons aujourd'hui littérature, avec toutes les qualités et fonctions qui y sont habituellement attachées, existait‑il déjà dans l'antiquité romaine ? La question a été posée sans relâche par Florence Dupont dans toute son œuvre de latiniste et d'helléniste, l'une des plus originales et marquantes des cinquante dernières années. Elle y revient tout récemment dans sa monumentale Histoire littéraire de Rome : de Romulus à Ovide, une culture de la traduction (2022). Cette approche anthropologique et sociale des objets dits littéraires intéresse évidemment le comparatisme, et c'est pourquoi il a paru important de réunir professeurs du Collège de France et spécialistes de diverses disciplines (littératures, droit, histoire) et de diverses périodes et aires culturelles pour réfléchir ensemble à la question du littéraire à Rome.Le colloque se poursuivra le samedi 14 octobre de 9 heures à 18 heures dans l'amphithéâtre Alan Turing de l'Université Paris Cité, Campus des Grands Moulins, 8, place Aurélie Nemours, 75013 Paris.Partenaires du colloqueCollège de France, chaire Littératures comparéesUniversité Paris Cité, CERILACUniversité Sorbonne Nouvelle, CERCUniversité Paris Nanterre, UFR PHILLIA, Littérature et poétique comparéesANHIMA (CNRS)Antiquité territoire des Écarts
William MarxLittératures comparéesCollège de FranceAnnée 2023-2024Colloque - Litterae latinae : pour une histoire littéraire de Rome - Ouverture du colloqueIntervenant(s)William Marx, Professeur du Collège de FranceJean-François Cottier (Université Paris Cité / IUF)Emmanuelle Valette (Université Paris Cité)Y a-t-il une littérature à Rome ? Autrement dit, ce que nous nommons aujourd'hui littérature, avec toutes les qualités et fonctions qui y sont habituellement attachées, existait‑il déjà dans l'antiquité romaine ? La question a été posée sans relâche par Florence Dupont dans toute son œuvre de latiniste et d'helléniste, l'une des plus originales et marquantes des cinquante dernières années. Elle y revient tout récemment dans sa monumentale Histoire littéraire de Rome : de Romulus à Ovide, une culture de la traduction (2022). Cette approche anthropologique et sociale des objets dits littéraires intéresse évidemment le comparatisme, et c'est pourquoi il a paru important de réunir professeurs du Collège de France et spécialistes de diverses disciplines (littératures, droit, histoire) et de diverses périodes et aires culturelles pour réfléchir ensemble à la question du littéraire à Rome.Le colloque se poursuivra le samedi 14 octobre de 9 heures à 18 heures dans l'amphithéâtre Alan Turing de l'Université Paris Cité, Campus des Grands Moulins, 8, place Aurélie Nemours, 75013 Paris.Partenaires du colloqueCollège de France, chaire Littératures comparéesUniversité Paris Cité, CERILACUniversité Sorbonne Nouvelle, CERCUniversité Paris Nanterre, UFR PHILLIA, Littérature et poétique comparéesANHIMA (CNRS)Antiquité territoire des Écarts
durée : 00:59:47 - L'Été du Collège de France - par : Merryl Moneghetti - Comment la littérature exigeante permet-elle, selon Paul Valéry, de gagner en "finesse", par opposition à de nombreuses productions du monde moderne, qui offrent certes des "émotions fortes", mais néanmoins "grossières et faciles" ? Réponse avec William Marx dans la dernière partie de son cours.
durée : 01:00:13 - L'Été du Collège de France - par : Merryl Moneghetti - Comment Valéry put-il à la fois théoriser sa poétique et "se foutre" de la poésie ? William Marx nous emmène pour ce deuxième volet de sa série de cours sur Paul Valéry, explorer le sens de son travail littéraire.
durée : 00:58:46 - L'Été du Collège de France - par : Merryl Moneghetti - Pour ce premier volet de la série sur le Cours de poétique de Paul Valéry donné au Collège de France de 1937 à 1945, William Marx nous emmène avec lui dans le processus d'enquête et de reconstitution d'un monument de la littérature française.
In this episode, we're exploring our seventh and final aspect of deep listening which is “silence.” Ironically, silence is a powerful practice to help open up more deep conversation. It's a surprising tool that can uncover wisdom and healing. It's a powerful aspect of deep listening that you can practice and use more skillfully in conversation with others and yourself. Links and Sources: Resilient Community Find lots of resources to support you and you'll join a crew of inspiring people who are building their resilience and joy while also helping to keep our Joy Lab podcast in existence! Joy Lab Program (step-by-step practices to help you build and maintain the elements of joy in your life) More pods from this "listening deeply series" #62 Easing Anxiety with Curiosity & the Power of Deep Listening #63 Being Present with Yourself and Others #64 Taking Charge of Your Attention #65 Seeing Our Innocence & Listening Deeply #66 Seeing the Goodness in Others, Yourself, & The World #67 Allowing Space for Our Truths #68 Getting Out of Our Own Heads with the Aspect of Wonder More pods on our element of "Awe" #4 Letting in the Good #17 The Case for Wonder in a Distressed World #18 You Are That Vast Thing You See with Great Telescopes Chemistry of Calm (Dr. Emmons' book referenced in this series) About W. R. Espy (NYT obit) The Silences of Science: Gaps and Pauses in the Communication of Science (textbook) John Cage's "4'33" performed by William Marx (video) Brennan Manning's website Full transcript available at: https://www.naturalmentalhealth.com/podcasts/joy-lab-podcast/episodes/2147980343
durée : 00:19:59 - L'invité de 8h20 : le grand entretien - par : Nicolas Demorand, Léa Salamé - William Marx, professeur au Collège de France, titulaire de la chaire Littératures comparées et auteur de "Un été avec Don Quichotte" diffusé sur France Inter tout cet été, est l'invité du Grand entretien de 8h20.
durée : 02:29:39 - Le 7/9.30 - par : Nicolas Demorand, Léa Salamé - Jean-Pierre Farandou, président-directeur général de SNCF, est l'invité du 7h50. William Marx, professeur au Collège de France et auteur de "Un été avec Don Quichotte" est l'invité du 8h20. Bambi, danseuse et écrivaine, est l'invitée du 9h10.
durée : 00:19:59 - L'invité de 8h20 : le grand entretien - par : Nicolas Demorand, Léa Salamé - William Marx, professeur au Collège de France, titulaire de la chaire Littératures comparées et auteur de "Un été avec Don Quichotte" diffusé sur France Inter tout cet été, est l'invité du Grand entretien de 8h20.
William MarxLittératures comparéesCollège de FranceAnnée 2022-2023Colloque - Valéry au Collège de France : Discussion, William MarxIntervenant(s)William Marx, Professeur du Collège de France
William MarxLittératures comparéesCollège de FranceAnnée 2022-2023Colloque - Valéry au Collège de France : Le cycle sensori-moteur, l'implexe et la création poétiqueAtsuo MorimotoAtsuo Morimoto, né en 1970 à Tokyo. Il est professeur à l'Institut de Recherches en Sciences humaines de l'Université de Kyoto. Il est l'auteur de Paul Valéry. L'imaginaire et la genèse du sujet. De la psychologie à la poïétique (2009) et l'éditeur des recueils d'articles Marguerite Duras, une voix fantôme : roman, théâtre, cinéma (Zinbun, n° 50) et Les belles lettres dangereuses : Le destin de l'épistolarité littéraire du XVIIe au XIXe siècle (Zinbun, n° 53). Parmi ses traductions en japonais figurent entre autres celles de Valéry, Le Tombeau d'Œdipe de William Marx et Politique de la littérature de Jacques Rancière.
William MarxLittératures comparéesCollège de FranceAnnée 2022-2023Colloque - Valéry au Collège de France : Le cycle sensori-moteur, l'implexe et la création poétiqueAtsuo MorimotoAtsuo Morimoto, né en 1970 à Tokyo. Il est professeur à l'Institut de Recherches en Sciences humaines de l'Université de Kyoto. Il est l'auteur de Paul Valéry. L'imaginaire et la genèse du sujet. De la psychologie à la poïétique (2009) et l'éditeur des recueils d'articles Marguerite Duras, une voix fantôme : roman, théâtre, cinéma (Zinbun, n° 50) et Les belles lettres dangereuses : Le destin de l'épistolarité littéraire du XVIIe au XIXe siècle (Zinbun, n° 53). Parmi ses traductions en japonais figurent entre autres celles de Valéry, Le Tombeau d'Œdipe de William Marx et Politique de la littérature de Jacques Rancière.
William MarxLittératures comparéesCollège de FranceAnnée 2022-2023Colloque - Valéry au Collège de France : Discussion, William MarxIntervenant(s)William Marx, Professeur du Collège de France
William MarxLittératures comparéesCollège de FranceAnnée 2022-2023Colloque - Valéry au Collège de France : Ouverture, William MarxColloque international organisé par William Marx et Matilde Manara dans le cadre de la chaire Littératures comparées avec le soutien de la Fondation du Collège de France et de la Fondation Hugot du Collège de France.Paul Valéry représente dans l'histoire de la littérature un moment exceptionnel : celui où un écrivain, plus et mieux qu'aucun autre avant lui, prend conscience de son art et de ses conditions d'exercice psychologiques et physiologiques, sociales, historiques, économiques et culturelles.Qu'est-ce que créer ? Voilà la grande question, celle que ne cessa d'explorer sous toutes les facettes Paul Valéry au Collège de France, où il fut professeur de 1937 à 1945. Maintenant que son Cours de poétique (Gallimard, 2023, 2 volumes) est publié, il est opportun de revenir sur le contenu de cette réflexion aussi exigeante que libre et multiforme, et de considérer ce qu'elle signifie pour nous aujourd'hui.Tel est l'objet de ce colloque international, où l'activité de Valéry au Collège de France sera soumise à une large investigation. De premières lectures et analyses du Cours de poétique seront proposées. On s'interrogera sur les théories de la littérature et de la poésie qui s'y expriment. Des neuroscientifiques et psychologues débattront de l'actualité des propositions de Valéry sur le fonctionnement de l'esprit et du cerveau. Le contexte politique et idéologique du Cours sera mis en lumière. La réception de la pensée de Valéry par les professeurs du Collège de France jusqu'à aujourd'hui fera l'objet d'une attention particulière.Le colloque sera précédé le 14 juin par une projection publique de la pièce de théâtre Mon Faust, dans une réalisation télévisée de Pierre Franck en 1971, avec notamment Pierre Fresnay, Danièle Delorme, Pierre Dux et Philippe Laudenbach. Il sera également ponctué, pour clore la première journée, d'une récitation exceptionnelle du poème La Jeune Parque par Grégoire Leprince-Ringuet.
"Cours de poétique" aux éditions Gallimard.
durée : 00:22:40 - L'invité de 8h20 : le grand entretien - par : Nicolas Demorand, Léa Salamé - Le professeur William Marx raconte l'aventure éditoriale des cours au Collège de France de Paul Valéry, longtemps restés disparus.
durée : 02:29:53 - Le 7/9.30 - par : Nicolas Demorand, Léa Salamé, Stephanie BOUTONNAT - Thomas Piketty et Dominique Seux débattent de Chat GPT. William Marx, professeur au Collège de France, est l'invité du 8h20 pour évoquer des manuscrits inédits de Paul Valéry. Nadine de Rotschild est l'invitée du 9h10, pour« Très chères baronnes de Rothschild » (éd Gourcuff Gradenigo)
durée : 00:59:10 - Les Cours du Collège de France - par : Merryl Moneghetti - Par temps tragique, quelle serait la tentation moderne de l'exil pour La Boétie, en quête d'étoiles qui ne sont pas les siennes ? Qu'est-ce qui peut relier les étoiles nouvelles américaines aux étoiles antiques ? William Marx achève d'analyser la longue histoire de "les étoiles nouvelles".
durée : 01:00:00 - Les Cours du Collège de France - par : Merryl Moneghetti - Quelles sont les étoiles nouvelles des astronomes ? Comment Tintin et Milou regardent-ils l'étoile mystérieuse ? Pourquoi voir l'étoile nouvelle, est-ce s'exposer à la nouveauté complète ? demande William Marx.
durée : 01:00:28 - Les Cours du Collège de France - par : Merryl Moneghetti - D'où viennent les "étoiles nouvelles" du poète José Maria de Heredia ? Comment interpréter cette image ? Et quelle a été la polémique en 1905 autour de cette formule qu'explore William Marx, cours après cours ? Comment vie et littérature peuvent-elles se mêler, parfois jusqu'au vertige ?
durée : 00:58:45 - Les Cours du Collège de France - par : Merryl Moneghetti - Quelles sont les neuf catégories d'œuvres perdues ? De quelle façon faire connaître des créations dont il ne reste rien et "comment retrouver cette matière noire" ? Demande William Marx, philologue et historien de la littérature. - invités : William Marx Professeur au Collège de France, titulaire de la chaire "littératures comparées". Ecrivain français, essayiste, critique et historien de la littérature.
durée : 00:58:45 - Les Cours du Collège de France - par : Merryl Moneghetti - Quelles sont les causes principales de la perte des oeuvres ? S'interroge William Marx. Pour les deux derniers cours de sa grande enquête intitulée "A la recherche des oeuvres perdues", le philologue nous propose, aujourd'hui et demain, une typologie des formes de disparition des créations. - invités : William Marx Professeur au Collège de France, titulaire de la chaire "littératures comparées". Ecrivain français, essayiste, critique et historien de la littérature.
durée : 00:58:45 - Les Cours du Collège de France - par : Merryl Moneghetti - Pourquoi avoir recours au dispositif narratif du manuscrit trouvé ? demande William Marx. Comment l'imaginaire du manuscrit trouvé se double-t-il progressivement d'un imaginaire symétrique : celui du manuscrit perdu ? Enfin, à partir de quand le passé a-t-il été apprécié pour lui-même ? - invités : William Marx Professeur au Collège de France, titulaire de la chaire "littératures comparées". Ecrivain français, essayiste, critique et historien de la littérature.
durée : 00:58:45 - Les Cours du Collège de France - par : Merryl Moneghetti - Quel pourrait être "le réveil amère de la mémoire" chez le poète T.S. Eliot ? s'interroge l'historien de la littérature William Marx. À partir de quand décidons-nous de parler de passé ? Et pendant combien de temps une œuvre appartient-elle à notre présent ? - invités : William Marx Professeur au Collège de France, titulaire de la chaire "littératures comparées". Ecrivain français, essayiste, critique et historien de la littérature.
durée : 00:58:45 - Les Cours du Collège de France - par : Merryl Moneghetti - Comment l'hubris des tyrans et le "venin" des critiques détruisent-ils les créations, tandis que les musiciens peuvent donner un son à une œuvre perdue ? Quelles sont les cinq forces qui conduisent à la disparition des œuvres, selon le philologue, historien de la littérature, William Marx ? - invités : William Marx Professeur au Collège de France, titulaire de la chaire "littératures comparées". Ecrivain français, essayiste, critique et historien de la littérature.
durée : 00:58:45 - Les Cours du Collège de France - par : Merryl Moneghetti - Pourquoi la ruine représente-t-elle un avertissement salutaire ? Selon le philologue, historien de la littérature, William Marx. Qu'est-ce que pour Diderot la poétique et la dimension charnelle des ruines ? - invités : William Marx Professeur au Collège de France, titulaire de la chaire "littératures comparées". Ecrivain français, essayiste, critique et historien de la littérature.
durée : 00:58:46 - Les Cours du Collège de France - par : Merryl Moneghetti - Pourquoi le 2e siècle de notre ère, est-il le temps le plus mélancolique de l'Antiquité ? Demande William Marx. L'écriture chez Plutarque est-elle une "entreprise de sauvetage" pour préserver "ce qui reste des dieux & des rites anciens" et sauver les morts illustres du lointain passé ? - invités : William Marx Professeur au Collège de France, titulaire de la chaire "littératures comparées". Ecrivain français, essayiste, critique et historien de la littérature.
durée : 00:58:45 - Les Cours du Collège de France - par : Merryl Moneghetti - Mais où sont les neiges d'antan ? Demande le poète François Villon. Qu'est-ce que le lieu commun latin, "Ubi sunt", que l'on traduit par "Où sont-ils ? Où sont elles ?", s'interroge William Marx. Le philologue analyse pourquoi la création du nouveau produit le sentiment de la perte. - invités : William Marx Professeur au Collège de France, titulaire de la chaire "littératures comparées". Ecrivain français, essayiste, critique et historien de la littérature.
durée : 00:58:45 - Les Cours du Collège de France - par : Merryl Moneghetti - Qu'est-ce qui nous pousse à préserver la nature ? Demande le philologue, historien de la littérature, William Marx. Il analyse comment nous découpons spontanément des œuvres dans le réel et de quelle façon la création de l'œuvre, par le regard, peut influencer le réel lui-même...
durée : 00:58:43 - Les Cours du Collège de France - par : Merryl Moneghetti - Quel sélection effectue le temps ? Peut-on appréhender les œuvres perdues et se préserver des oublis passés et futurs ? S'interroge William Marx. Le philologue, historien de la littérature analyse les différentes façons de remédier à la perte des créations.
Événement majeur de la vie scientifique de l'établissement, le colloque de rentrée, dont le programme comprend à la fois des professeurs du Collège de France et des conférenciers invités, traite chaque année d'un thème aux nombreuses ramifications, dont les enjeux contemporains gagnent à être analysés au prisme des disciplines et des champs du savoir.Le 22 septembre 1822, Jean-François Champollion, dans un état d'excitation extrême, achève sa fameuse Lettre à Monsieur Dacier, secrétaire perpétuel de l'Académie royale des Inscriptions et Belles-Lettres. Il y expliquait comment il avait percé le mystère des hiéroglyphes égyptiens : c'est le texte fondateur de leur déchiffrement.Pour célébrer le bicentenaire de cet événement, le colloque de rentrée aura pour thème cette année : « Déchiffrement(s) : des hiéroglyphes à l'ADN ».Des spécialistes y exposeront l'histoire du déchiffrement de certaines écritures anciennes, mais aussi les problèmes du déchiffrement dans bien d'autres domaines : sciences de l'univers, biologie, cryptographie, linguistique et, enfin, herméneutique et interprétation des oeuvres d'art.Comité d'organisationProfesseurs Dominique Charpin et Xavier Leroy avec les professeurs Françoise Combes, Jean-Luc Fournet, Sonia Garel et William Marx.Intervenant(s)Thomas Römer, Professeur et administrateur du Collège de France
Événement majeur de la vie scientifique de l'établissement, le colloque de rentrée, dont le programme comprend à la fois des professeurs du Collège de France et des conférenciers invités, traite chaque année d'un thème aux nombreuses ramifications, dont les enjeux contemporains gagnent à être analysés au prisme des disciplines et des champs du savoir.Le 22 septembre 1822, Jean-François Champollion, dans un état d'excitation extrême, achève sa fameuse Lettre à Monsieur Dacier, secrétaire perpétuel de l'Académie royale des Inscriptions et Belles-Lettres. Il y expliquait comment il avait percé le mystère des hiéroglyphes égyptiens : c'est le texte fondateur de leur déchiffrement.Pour célébrer le bicentenaire de cet événement, le colloque de rentrée aura pour thème cette année : « Déchiffrement(s) : des hiéroglyphes à l'ADN ».Des spécialistes y exposeront l'histoire du déchiffrement de certaines écritures anciennes, mais aussi les problèmes du déchiffrement dans bien d'autres domaines : sciences de l'univers, biologie, cryptographie, linguistique et, enfin, herméneutique et interprétation des oeuvres d'art.Comité d'organisationProfesseurs Dominique Charpin et Xavier Leroy avec les professeurs Françoise Combes, Jean-Luc Fournet, Sonia Garel et William Marx.Intervenant(s)Thomas Römer, Professeur et administrateur du Collège de France
durée : 00:58:45 - Les Cours du Collège de France - Qu'est-ce qu'un canon et que pouvons-nous apprendre du moment de son officialisation? William Marx analyse de quelle façon un texte canonique, Shakespeare dans le monde anglophone, La Fontaine ou Molière en France, peut être précisément celui qui va permettre une communication entre les générations. Normalien, agrégé de lettres classiques William Marx est titulaire de la chaire de "Littératures comparées". Nous voici au terme de son enquête autour des bibliothèques invisibles, où bibliothèques matérielles et mentales sont étroitement liées.Le cours précédent s'est achevé sur "L'exclusion d'Ovide des collections des bibliothèques publiques, qui, au moins sous la fin du règne d'Auguste et sous Tibère, définit un espace exemplaire, où même ce qui reste en dehors de la bibliothèque, l'ouvre d'Ovide, sert d'exemple frappant pour tout un chacun", avait souligné William Marx. "L'en-dehors de la bibliothèque, poursuit le philologue, c'est le territoire du malheur, dévolu à la voix malheureuse du poète, et cet en-dehors n'est pas moins signifiant que l'en-dedans. On pourrait nommer cet en-dehors de la bibliothèque la bibliothèque invisible des exclus, et l'existence de cette bibliothèque invisible est peut-être la vraie raison, fondamentale, de l'existence de bibliothèques matérielles : l'en-dedans sert à définir un en-dehors."Il analyse aujourd'hui comment la canonisation, le canon, peut être "justement ce qui permet de passer par-dessus l'épreuve de la mort et de l'oubli, qui l'accompagne irrémédiablement."En juin 2020, Lorraine Rossignol, s'est demandée pour le magazine Télérama, si La bibliothèque idéale existait. "Avec la question de la sélection, note-t-elle, se pose celle de la formation des esprits". "Quelles cohortes de livres ignorés, proscrits, jugés trop fantaisistes, trop transgressifs, ou trop 'mauvais_', au regard de certains critères d'appréciation circonstanciés, ont ainsi échappé aux radars de l'Histoire??_ » demande la journaliste. Elle note que William Marx "reste inconsolable de l'engloutissement de ces bibliothèques invisibles". Lorraine Rossignol explique que le philologue "se demande à quoi pouvaient bien ressembler les centaines de tragédies grecques qui, aux temps de l'Empire romain, furent ainsi écartées des canons officiels?: sur quatre-vingt-dix pièces d'Eschyle, sept seulement nous sont parvenues. Sur quatre-vingts d'Euripide, dix-huit. Sur cent vingt de Sophocle, sept?! Une hécatombe." Et William Marx de souligner :"Et cela en partie à cause de ce besoin d'établir un 'ordre idéal' des livres. Il s'agit sûrement d'un mal nécessaire?: il faut bien que des ouvres fassent patrimoine commun, pour la cohésion de nos sociétés. Mais mon travail de chercheur consiste à le détruire. Parce qu'il engage les générations futures. Comment savoir ce qui aurait pu leur être utile???"La contradiction de la canonisationQuelle est la faute originelle de la canonisation et la contradiction où elle se tord ? demande William Marx. Son analyse autour du canon et de l'oubli s'appuie, en ouverture de cours, sur "une lecture d'un passage du livre de Néhémie, au chapitre 8, rapportant la lecture du livre de la Loi de Moïse par Esdras à la porte des Eaux, à Jérusalem, en 458 ou 398 avant notre ère". "Nous pouvons nous intéresser de plus près, souligne William Marx, à un moment qui souvent est passé sous silence dans les traditions religieuses : le moment de la canonisation, le moment d'inauguration et d'officialisation d'un canon."Nous gagnons le Collège de France, le 13 avril 2021 pour le cours de William Marx, aujourd'hui "Le canon et l'oubli".Pour prolonger La leçon inaugurale de William Marx, initulée « Vivre dans la bibliothèque du monde » est publiée chez Fayard et sa première série de cours à fait l'objet en 2021 d'un bel essai, intitulé « Des Etoiles nouvelles. Quand la littérature découvre le monde », aux Editions de Minuit.Références du générique de fin : Reprise de Claude Debussy, "Prélude à l'après-midi d'un f
durée : 00:58:45 - Les Cours du Collège de France - Peut on reconstituer le passé ou la totalité à partir de l'archive? Quel rapport entre la bibliothèque mentale et le canon? Quel rapport entre la bibliothèque matérielle et le canon? William Marx analyse comment la bibliothèque mentale peut se former à partir de l'archive. Le canon d'aujourd'hui est il l'archive de demain? » Se demandait William Marx, titulaire de la chaire de littératures comparées, à la fin du cours précédent. Nous voici presque au terme de sa grande enquête autour de la notion de « bibliothèques invisibles ». Aujourd'hui il s'attache à la relation des bibliothèques au pouvoir. Il s'agit également du pouvoir que peuvent avoir les bibliothèques. Dans la belle enquête que Marion Vignal a consacré à la bibliothèque, miroir de notre intimité pour le journal Le Monde fin 2020, l'architecte Aline Asmar d'Amman, d'origine libanaise a expliqué que pour elle, « la plus belle bibliothèque du monde restera celle du hall de son immeuble à Beyrouth, pendant la guerre ». A la journaliste, elle a indiqué : « Nous y avions rassemblé les livres de chacun et on y piochait librement. C'était la seule façon, dans ce contexte, de pouvoir continuer de s'échapper et de rêver. » Dans le cours précédent, William Marx a proposé d'élaborer « une théorie de l'archive, une théorie de la bibliothèque. Il est « parti de la bibliothèque mentale, celle que chacun d'entre nous a dans la tête, à savoir l'ensemble des ouvres qui peuplent un esprit ». "Cette bibliothèque mentale , a-t-il rappelé, ne surgit pas toute seule dans l'esprit. Elle est le produit de lectures, d'enseignements, de souvenirs. Ces souvenirs et ces enseignements renvoient à des livres bien réels. À de rares exceptions près, toutes les ouvres qui existent dans un esprit existent réellement quelque part dans une bibliothèque matérielle". L'inverse n'est pas vrai, a également noté le philologue. "On peut être certain que tous les livres disposés sur les étagères des bibliothèques visibles n'ont pas leur correspondant dans une bibliothèque mentale. Pour le dire autrement, tous les livres réels conservés dans les bibliothèques visibles n'ont pas été lus. Il y a des livres qui ne sont jamais lus ou qui sont lus une seule fois". Cela posé, William Marx a proposé de "fusionner mentalement toutes ces bibliothèques visibles". "On peut ainsi considérer l'ensemble des livres figurant dans toutes les bibliothèques visibles dans le monde, a-t-il souligné. Cet ensemble de livres représente la totalité de livres ou documents qu'il est possible de lire. Nous pourrions appeler cet ensemble la bibliothèque totale, mais je préfère lui donner le nom d'Archive." Il définit alors cinq niveaux différents : "la Bibliothèque de Babel (tous les livres virtuellement imaginables, par permutation des caractères) ; le Passé, la Totalité, le Totum ( tout ce qui a été produit dans l'histoire, mais qui n'a pas été nécessairement conservé) ; l'Archive (tout ce qui a été conservé, et notamment les bibliothèques matérielles ou visibles) ; les canons (sociaux, culturels : les canons sont des bibliothèques mentales au niveau collectif) ; les bibliothèques mentales (individuelles)". Mais avant de retrouver les question de pouvoir, quel le Mal d'archive ? Nous gagnons le Collège de France, le 30 mars 2021 pour le cours de William Marx, aujourd'hui « Bibliothèques et pouvoir »
durée : 00:58:46 - Les Cours du Collège de France - De quelle façon le poète, critique anglo-américain T.S Eliot nous aide-t-il à comprendre qu'une bibliothèque invisible est infiniment plus complexe qu'une bibliothèque matérielle? Comment William Marx a-t-il eu accès à la bibliothèque mentale d'un critique anglais des années 1920 à Kyoto au Japon? Pourquoi dans une bibliothèque qui reprendrait un classement d'avant la naissance de la littérature moderne, Rabelais, auteur du XVIe siècle serait-il un meilleur voisin d'un corpus des inscriptions latines que Proust, auteur du XXe siècle ? S'interroge non sans humour William Marx. Nous poursuivons la passionnante exploration de la question des "bibliothèques invisibles" en compagnie de William Marx, normalien, agrégé de lettres classiques, titulaire de la chaire de Littératures comparées."Faire refléter par le classement des livres une géographie mentale, c'est forcément présenter un point de vue parmi d'autres", a expliqué William Marx dans le cours précédent."Dès qu'on s'éloigne, culturellement et historiquement, de ce point de vue, poursuit notre philologue, le caractère limité du point de vue saute aux yeux. Dans une bibliothèque, une fois que les livres sont cotés, la recotation est difficile, en particulier dans le cas des grandes bibliothèques. Donc les bibliothèques matérielles gardent l'empreinte structurelle de la géographie mentale du temps de leur conception. Ce sont des fossiles vivants des organisations mentales d'une époque." C'est bien à une "sorte d'enquête archéologique" que William Marx nous convie aujourd'hui. Il rappelle que les bibliothèques invisibles ont des effets sur le monde. "T_oute bibliothèque matérielle reflète une bibliothèque invisible, celle de ses créateurs, nous dit-il. Il n'y a pas de bibliothèque empirique qui ne soit précédée d'une représentation mentale de l'organisation des ouvres qui la composent_". Dans le cours d'aujourd'hui, l'historien de la littérature propose d'élaborer une théorie de l'Archive, une théorie de la bibliothèque et de nous expliquer pourquoi il peut définir « l'archive », « comme l'ensemble des bibliothèques matérielles ou visibles ». Mais tout d'abord, William Marx renoue en première partie avec l'exploration de la « classe philologique » de la Bibliothèque Palatine à Parme, qui pose la question de l'organisation pré-littéraire »."Que change à la conception de la littérature le fait qu'elle comprenne la mythographie et les inscriptions et devises?" Demande-t-il. Nous gagnons le Collège de France, le 23 mars 2021 pour le cours de William Marx, aujourd'hui « Théorie de l'archive » Pour prolonger Sa leçon inaugurale, intitulée « Vivre dans la bibliothèque du monde » est publiée chez Fayard et sa première série de cours à fait l'objet en 2021 d'un bel essai, intitulé « Des Étoiles nouvelles. Quand la littérature découvre le monde », aux Éditions de MinuitTous les mardis à 16H30, William Marx donne ses cours en public au Collège de France. Vous pourrez y découvrir sa nouvelle série "A la Recherche des oeuvres perdues".
durée : 00:58:45 - Les Cours du Collège de France - Qu'est-ce que la bibliologie de Paul Otlet, spécialiste belge de la science du livre et auteur visionnaire? De quelle façon ses travaux mêlent-ils mystique du livre et une préfiguration technique de Wikipédia et d'Internet? S'émerveille l'historien de la littérature William Marx. Enfin que nous apprend l'hypothèse de Paul Otlet « du monde réduit à un catalogue parfait »? Combien d'hommes ont-ils pu écrire qu'ils croyaient à l'âme des livres ? William Marx, titulaire de la chaire de "Littératures comparées" explore sur dix cours ce qu'il appelle les "bibliothèques invisibles", - ces « bibliothèques mentales » qui ne sont pas sans lien avec les bibliothèques matérielles. En le suivant dans son enquête, force est de constater qu'il y a une vraie magie des bibliothèques. Depuis une semaine, nous plongeons avec délice dans un monde où se mêlent rigueur, intuition, science, imagination, réseaux et rhizomes, le limité et l'illimité, le visible et l'invisible, le stable et l'instable. "Le classement est l'acte fondateur de toute pensée", a rappelé William Marx dans le cours précédent. "Qu'on choisisse de classer ou de ne pas classer ses livres, "Dans les deux cas, souligne-t-il, une pensée est engagée. Et c'est elle qu'il faut mettre en évidence. Nous sommes embarqués malgré nous dans des bibliothèques qui, depuis des siècles, ont voulu classer leurs ouvrages. Lorsque nous entrons dans une bibliothèque, cette pensée du classement peut s'exprimer d'une manière très concrète : à travers des fiches bristol rangées dans des casiers, dans le cas d'une bibliothèque à l'ancienne. Mais cette expérience de vie n'a plus cours depuis que les catalogues sont informatisés, depuis le début des années 2000. Aujourd'hui, ils ont basculé sur Internet." Là encore quelle que soit la formule, le philologue note :"Il y a une pensée du catalogue, une pensée plus ou moins implicite et qui n'est pas toujours une pensée du catalogueur." Enfin, William Marx nous a indiqué que "Tous les fonds des bibliothèques n'expriment pas la même intensité de pensée. Une bibliothèque de dépôt légal, une bibliothèque nationale, pense moins qu'une bibliothèque plus petite, parce que la première accueille par principe tous les livres (c'est son projet), alors que la seconde opère une action de sélection. Il y a également d'autres parties du catalogue qui expriment une pensée : le catalogue par sujet, et la cote de l'ouvrage." Aujourd'hui William Marx s'attache aux travaux de l'étonnant bibliographe Paul Otlet et nous entraîne en fin de cours à Parme du côté de la "classe philologique" de la bibliothèque Palatine. Il analyse comment "les classifications révèlent moins la structure du monde qu'elles ne révèlent les structures des représentations du monde dans une société donnée". Alors que semble se déployer un "ordre idéal qui serait devenu fantomatique", de quelle façon le pouvoir d'organiser les savoirs existe-il encore, et pourquoi les algorithmes des moteurs de recherche sont-ils cachés? Nous gagnons le Collège de France, le 16 mars 2021 pour le cours de William Marx, aujourd'hui « Le livre universel, ou l'ordre idéal et fantomatique du monde »Pour prolonger Sa leçon inaugurale, intitulée « Vivre dans la bibliothèque du monde » est publiée chez Fayard et sa première série de cours à fait l'objet en 2021 d'un bel essai, intitulé « Des Étoiles nouvelles. Quand la littérature découvre le monde », aux Éditions de MinuitTous les mardis à 16H30, il donne ses cours en public au Collège de France. Vous pourrez y découvrir sa nouvelle série "A la Recherche des oeuvres perdues".
durée : 00:58:45 - Les Cours du Collège de France - Comment classez-vous votre bibliothèque? Quelle est la règle d'or des livres "bons voisins" dans une bibliothèque? le philologue, historien de la littérature, William Marx analyse la plus value d'une bibliothèque par rapport aux livres qu'elle contient. Pourquoi faut-il trouver le livre qu'on ne cherche pas et pourquoi la mémoire est-elle la divinité à laquelle la bibliothèque doit rendre un culte? William Marx, titulaire de la chaire de "Littératures comparées" nous propose cette semaine et la suivante une passionnante enquête autour "bibliothèques invisibles", bibliothèques mentales qui ne sont pas sans lien, avec les bibliothèques matérielles, - qu'elles soient individuelles et subjectives - ou qu'elles soient institutionnelles, pratiquant un classement décimal, plus ou moins dérivé du fameux système américain Dewey. Nous retrouvons aujourd'hui, encore, la figure de Gabriel Naudé, érudit du XVIIe siècle, qui s'avère le "type même du bibliothécaire pragmatique", tandis que d'extraordinaires images de bibliothèques sont commentées - et je vous invite à les retrouver sur la page de William Marx au Collège de France. Fin décembre 2020, Marion Vignal a analysé pour le journal Le Monde le grand retour des bibliothèques, qualifiées de "miroir de notre intimité", "à l'arrière plan des réunions zoom ou des apéros whatApp", par temps d'épidémie et alors qu' "On pensait le concept de bibliothèque de salon devenu désuet à l'ère du tout-numérique". "On a beau posséder les mêmes étagères Billy d'Ikea, les mêmes rangées de Folio ou de Pléiade que le voisin, impossible de trouver deux bibliothèques identiques" note la journaliste. "Certains, écrit Marion Vignal, peuvent se sentir oppressés par des linéaires d'ouvrages et préférer la compagnie de livres errants, selon les mots de Georges Perec. D'autres, au contraire, se délectent de leur profusion. A l'exemple de Serge Ricco, directeur artistique de L'Obs, qui considère son mur de dix mètres (.) saturé de livres, comme un arbre sur lequel se reposer.""Le collectionneur, indique Marion Vignal, a fini par opter pour un classement par couleur, après être tombé sous le charme d'une photo de la bibliothèque arc-en-ciel du designer graphique Stefan Sagmeister, à New York". Serge Ricco a précisé à la journaliste : "Je retrouve beaucoup plus facilement mes livres depuis que j'ai adopté ce principe chromatique. Cela correspond bien mieux à ma mémoire visuelle". Quant au directeur du Musée des arts décoratifs, Olivier Gabet, il met en avant une bibliothèque "officiellement mal rangée, truffée de petits objets en céramique, et qui obéit à son intuition personnelle" décrit Marion Vignal.Pour Olivier Gabet : "La bibliothèque est un lieu de rencontres. Je range un livre, je tombe sur un autre. Des histoires se tissent." Et c'est dans cet esprit que William Marx nous initie, aujourd'hui, à une stimulante "théorie énergétique et socio-économique" de la bibliothèque. Le philologue note que "l'énergie dépensée dans le classement se transforme en ordre, et l'ordre, c'est de l'information. L'entropie étant l'état de désordre de la bibliothèque, nous savons que l'entropie augmente quand un livre sort de la bibliothèque, et encore plus quand il n'est pas remis à sa place."Dès lors, de quelle façon l'ordre d'une bibliothèque devient-il information et peut-il éclairer la mémoire? Quelles connexions suscitent les classements ? Nous gagnons le Collège de France, le 2 mars 2021 pour le cours de William Marx, aujourd'hui "Comment classer une bibliothèque ?"
durée : 00:58:45 - Les Cours du Collège de France - Quels sont les "rêves humanistes de bibliothèques parfaites", qui parcourent les siècles ? demande l'écrivain-philologue William Marx. Quels sont les paradoxes de la bibliothèque de Babel imaginée par l'écrivain argentin Borges ? Pourquoi cette bibliothèque monstrueuse devient-elle un cauchemar ? De quelle façon la bibliothèque créée par Aby Warburg reconstitue-t-elle la totalité de l'expérience mentale et comment la forme en ellipse de sa salle de lecture rappelle-t-elle à la fois la boîte crânienne et la dimension cosmique de cette belle institution européenne?William Marx, titulaire de la chaire de "Littératures comparées" poursuit son exploration des "bibliothèques invisibles", bibliothèques mentales et pas seulement virtuelles, qui peuvent avoir des liens avec les bibliothèques matérielles.Dans le cours précédent, nous avons découvert le merveilleux Atlas Mnémosyne, du nom de la déesse grecque de la mémoire, élaboré par le grand chercheur historien de l'art Aby Warburg. William Marx nous a expliqué que "L'Atlas Mnémosyne est une carte mentale, et que c'est à ce titre qu'il intéresse depuis de nombreuses années non seulement les historiens de l'art, mais aussi les artistes et les écrivains. C'est une bibliothèque d'images organisée selon les réseaux de la mémoire. L'actuelle Warburg Institute Iconographic Database en est la prolongation numérique. Et il en va de même ou presque pour les 60 000 volumes de la bibliothèque d'Aby Warburg. Énorme bibliothèque, car il utilisa pour la constituer les fonds de l'héritage familial"."Il a pu ainsi fonder, rappelle William Marx, à Hambourg, dans les années 1910, un premier institut destiné à accueillir sa bibliothèque et à l'ouvrir aux chercheurs. Quand les nazis prirent le pouvoir, la bibliothèque fut envoyée à Londres, et l'institut y fut transféré, puis incorporé à l'université de Londres. Il y existe toujours, comme un centre de référence inégalé en histoire de l'art de la Renaissance et de la tradition classique. Le catalogue de la bibliothèque constitue une thèse à lui seul, une vision du savoir."L'analyse des "utopies bibliothécaires", comme William Marx les appelle, l'a conduit à nous présenter "celle de François Grudé La Croix du Maine, qui, en 1524, dans sa Bibliothèque française, a proposé au roi Henri III l'utopie d'une bibliothèque que l'on décrirait aujourd'hui comme panoptique." C'est cette prétention à la totalité, de savants bibliothécaires, qui doivent aussi négocier avec les puissants et les désastres des temps, qu'explore William Marx aujourd'hui. Et nous verrons que le rêve de fusion entre le cosmos et l'esprit n'est jamais loin...Nous gagnons le Collège de France, le 9 février 2021 pour le cours de William Marx, aujourd'hui "Le rêve de la bibliothèque parfaite".Pour prolonger La leçon inaugurale de William Marx, initulée « Vivre dans la bibliothèque du monde » est publiée chez Fayard et sa première série de cours à fait l'objet en 2021 d'un bel essai, intitulé « Des Etoiles nouvelles. Quand la littérature découvre le monde », aux Editions de Minuit. Aby Warburg, l'Atlas Mnémosyne. Avec une présentation de Roland Recht, L'Ecarquillé (poche, 2019). Une version grand format va être ré-imprimée... Stephan Waldhoff, "Leibniz bibliothécaire", La Revue de la BNU, 10 | 2014, 22-31 The Library of Babel by Érik Desmazières, "feuilleton" par l'artiste-designer John Coulthart. 11 estampes d'E. Desmazières, Bnf "La bibliothèque de Babel de Borges est une bibliothèque qui contient tous les textes possibles et imaginables. Il s'inspire de La bibliothèque universelle de l'écrivain, philosophe et mathématicien, Kurd Lasswitz (1904).
durée : 00:58:45 - Les Cours du Collège de France - par : Merryl Moneghetti - D'où vient l'image mentale de Madame Bovary, personnage éponyme du roman de Gustave Flaubert? William Marx, philologue et historien de la littérature analyse "les forces qui agissent à travers les bibliothèques invisibles et qui interagissent entre bibliothèques visibles et bibliothèques invisibles" - invités : William Marx Professeur au Collège de France, titulaire de la chaire "littératures comparées". Ecrivain français, essayiste, critique et historien de la littérature.
durée : 00:58:45 - Les Cours du Collège de France - Qu'est-ce qu'une bibliothèque invisible? Depuis sa leçon inaugurale, William Marx, philologue-écrivain, nous invite à "Vivre dans la bibliothèque du monde". A rebours d'une littérature globale, elle rassemble une myriade de bibliothèques hétérogènes, qu'elles soient matérielles ou mentales... - invités : William Marx Professeur au Collège de France, titulaire de la chaire "littératures comparées". Ecrivain français, essayiste, critique et historien de la littérature.
Comunque John Cage La prima clip è tratta dal canale YouTube di Roberto Mercadini all rights reserved. L'immagine e la seconda clip, sempre da YouTube, sono tratte dalla performance di William Marx che esegue «4'33''» composta da John Cage nel 1952 all rights reserved
durée : 00:58:45 - Les Cours du Collège de France - par : Merryl Moneghetti - Quelles sont les inventions de l'Europe, des mythes fondateurs aux dernières innovations scientifiques et techniques, en passant par l'aventure polyglotte? Thomas Römer, William Marx, Edith Heard et Tiphaine Samoyault déconstruisent bien des stéréotypes et ouvrent de stimulantes perspectives... - invités : Edith Heard Généticienne. Professeure au Collège de France. Titulaire de la Chaire Epigénétique et Mémoire Cellulaire. Directrice de l'UMR “Génétique et biologie du développement”. Lauréate du Grand Prix Inserm 2017 pour ses travaux sur l'épigénétique.; William Marx Professeur au Collège de France, titulaire de la chaire "littératures comparées". Ecrivain français, essayiste, critique et historien de la littérature.; Tiphaine Samoyault Essayiste, traductrice et critique littéraire (rédactrice en chef du site En Attendant Nadeau), professeure de littérature comparée à l'Université Paris 3 - Sorbonne Nouvelle et directrice d'études à l'EHESS.; Thomas Römer Administrateur du Collège de France et Professeur titulaire de la chaire "Milieux bibliques"
durée : 00:58:45 - Les Cours du Collège de France - par : Merryl Moneghetti - Qu'est-ce qu'un canon et que pouvons-nous apprendre du moment de son officialisation? William Marx analyse de quelle façon un texte canonique, Shakespeare dans le monde anglophone, La Fontaine ou Molière en France, peut être précisément celui qui va permettre une communication entre les générations. - invités : William Marx Professeur au Collège de France, titulaire de la chaire "littératures comparées". Ecrivain français, essayiste, critique et historien de la littérature.
durée : 00:58:45 - Les Cours du Collège de France - par : Merryl Moneghetti - Peut on reconstituer le passé ou la totalité à partir de l'archive? Quel rapport entre la bibliothèque mentale et le canon? Quel rapport entre la bibliothèque matérielle et le canon? William Marx analyse comment la bibliothèque mentale peut se former à partir de l'archive. - invités : William Marx Professeur au Collège de France, titulaire de la chaire "littératures comparées". Ecrivain français, essayiste, critique et historien de la littérature.
Catherine MeurisseL'Année de la bande dessinée au Collège de FranceEntretien avec William MarxCatherine Meurisse est née en 1980. Après un cursus de lettres modernes, elle poursuit ses études à l'école Estienne, puis à l'École nationale supérieure des arts décoratifs. En 2005, elle rejoint l'équipe de Charlie Hebdo. Elle dessine également pour des magazines et des quotidiens et illustre des livres jeunesse chez divers éditeurs. Elle signe plusieurs bandes dessinées, parmi lesquelles Mes hommes de lettres (éditions Sarbacane, préfacé par Cavanna), ou comment faire entrer avec humour toute la littérature française dans un seul album, Savoir-vivre ou mourir (éditions Les Échappées, préfacé par Claire Bretécher), guide des bonnes manières enseignées par la baronne de Rothschild, Le Pont des arts (éditions Sarbacane), récit d'amitiés entre peintres et écrivains, ou Moderne Olympia (éditions Futuropolis), une relecture du mythe de Roméo et Juliette.Aux éditions Dargaud, elle publie Drôles de femmes, en collaboration avec Julie Birmant, un recueil de portraits de femmes du spectacle, ainsi que La légèreté, récit de son retour à la vie, au dessin et à la mémoire, après l'attentat contre Charlie Hebdo. En 2016, elle sort Scènes de la vie hormonale, et en 2018 Les Grands Espaces. En 2019, avec Delacroix, toujours chez Dargaud, Catherine Meurisse s'invite dans les souvenirs d'Alexandre Dumas et de son amitié avec Eugène Delacroix. En janvier 2020 elle devient la première dessinatrice élue à l'Académie des beaux-arts.William Marx est professeur du Collège de France, titulaire de la chaire Littératures comparées.
Catherine MeurisseL'Année de la bande dessinée au Collège de FranceEntretien avec William MarxCatherine Meurisse est née en 1980. Après un cursus de lettres modernes, elle poursuit ses études à l'école Estienne, puis à l'École nationale supérieure des arts décoratifs. En 2005, elle rejoint l'équipe de Charlie Hebdo. Elle dessine également pour des magazines et des quotidiens et illustre des livres jeunesse chez divers éditeurs. Elle signe plusieurs bandes dessinées, parmi lesquelles Mes hommes de lettres (éditions Sarbacane, préfacé par Cavanna), ou comment faire entrer avec humour toute la littérature française dans un seul album, Savoir-vivre ou mourir (éditions Les Échappées, préfacé par Claire Bretécher), guide des bonnes manières enseignées par la baronne de Rothschild, Le Pont des arts (éditions Sarbacane), récit d'amitiés entre peintres et écrivains, ou Moderne Olympia (éditions Futuropolis), une relecture du mythe de Roméo et Juliette.Aux éditions Dargaud, elle publie Drôles de femmes, en collaboration avec Julie Birmant, un recueil de portraits de femmes du spectacle, ainsi que La légèreté, récit de son retour à la vie, au dessin et à la mémoire, après l'attentat contre Charlie Hebdo. En 2016, elle sort Scènes de la vie hormonale, et en 2018 Les Grands Espaces. En 2019, avec Delacroix, toujours chez Dargaud, Catherine Meurisse s'invite dans les souvenirs d'Alexandre Dumas et de son amitié avec Eugène Delacroix. En janvier 2020 elle devient la première dessinatrice élue à l'Académie des beaux-arts.William Marx est professeur du Collège de France, titulaire de la chaire Littératures comparées.
Catherine MeurisseL'Année de la bande dessinée au Collège de FranceEntretien avec William MarxCatherine Meurisse est née en 1980. Après un cursus de lettres modernes, elle poursuit ses études à l'école Estienne, puis à l'École nationale supérieure des arts décoratifs. En 2005, elle rejoint l'équipe de Charlie Hebdo. Elle dessine également pour des magazines et des quotidiens et illustre des livres jeunesse chez divers éditeurs. Elle signe plusieurs bandes dessinées, parmi lesquelles Mes hommes de lettres (éditions Sarbacane, préfacé par Cavanna), ou comment faire entrer avec humour toute la littérature française dans un seul album, Savoir-vivre ou mourir (éditions Les Échappées, préfacé par Claire Bretécher), guide des bonnes manières enseignées par la baronne de Rothschild, Le Pont des arts (éditions Sarbacane), récit d'amitiés entre peintres et écrivains, ou Moderne Olympia (éditions Futuropolis), une relecture du mythe de Roméo et Juliette.Aux éditions Dargaud, elle publie Drôles de femmes, en collaboration avec Julie Birmant, un recueil de portraits de femmes du spectacle, ainsi que La légèreté, récit de son retour à la vie, au dessin et à la mémoire, après l'attentat contre Charlie Hebdo. En 2016, elle sort Scènes de la vie hormonale, et en 2018 Les Grands Espaces. En 2019, avec Delacroix, toujours chez Dargaud, Catherine Meurisse s'invite dans les souvenirs d'Alexandre Dumas et de son amitié avec Eugène Delacroix. En janvier 2020 elle devient la première dessinatrice élue à l'Académie des beaux-arts.William Marx est professeur du Collège de France, titulaire de la chaire Littératures comparées.
Catherine Meurisse L'Année de la bande dessinée au Collège de France Entretien avec William Marx Catherine Meurisse est née en 1980. Après un cursus de lettres modernes, elle poursuit ses études à l'école Estienne, puis à l'École nationale supérieure des arts décoratifs. En 2005, elle rejoint l'équipe de Charlie Hebdo. Elle dessine également pour des magazines et des quotidiens et illustre des livres jeunesse chez divers éditeurs. Elle signe plusieurs bandes dessinées, parmi lesquelles Mes hommes de lettres (éditions Sarbacane, préfacé par Cavanna), ou comment faire entrer avec humour toute la littérature française dans un seul album, Savoir-vivre ou mourir (éditions Les Échappées, préfacé par Claire Bretécher), guide des bonnes manières enseignées par la baronne de Rothschild, Le Pont des arts (éditions Sarbacane), récit d'amitiés entre peintres et écrivains, ou Moderne Olympia (éditions Futuropolis), une relecture du mythe de Roméo et Juliette. Aux éditions Dargaud, elle publie Drôles de femmes, en collaboration avec Julie Birmant, un recueil de portraits de femmes du spectacle, ainsi que La légèreté, récit de son retour à la vie, au dessin et à la mémoire, après l'attentat contre Charlie Hebdo. En 2016, elle sort Scènes de la vie hormonale, et en 2018 Les Grands Espaces. En 2019, avec Delacroix, toujours chez Dargaud, Catherine Meurisse s'invite dans les souvenirs d'Alexandre Dumas et de son amitié avec Eugène Delacroix. En janvier 2020 elle devient la première dessinatrice élue à l'Académie des beaux-arts. William Marx est professeur du Collège de France, titulaire de la chaire Littératures comparées.
Catherine Meurisse L'Année de la bande dessinée au Collège de France Entretien avec William Marx Catherine Meurisse est née en 1980. Après un cursus de lettres modernes, elle poursuit ses études à l'école Estienne, puis à l'École nationale supérieure des arts décoratifs. En 2005, elle rejoint l'équipe de Charlie Hebdo. Elle dessine également pour des magazines et des quotidiens et illustre des livres jeunesse chez divers éditeurs. Elle signe plusieurs bandes dessinées, parmi lesquelles Mes hommes de lettres (éditions Sarbacane, préfacé par Cavanna), ou comment faire entrer avec humour toute la littérature française dans un seul album, Savoir-vivre ou mourir (éditions Les Échappées, préfacé par Claire Bretécher), guide des bonnes manières enseignées par la baronne de Rothschild, Le Pont des arts (éditions Sarbacane), récit d'amitiés entre peintres et écrivains, ou Moderne Olympia (éditions Futuropolis), une relecture du mythe de Roméo et Juliette. Aux éditions Dargaud, elle publie Drôles de femmes, en collaboration avec Julie Birmant, un recueil de portraits de femmes du spectacle, ainsi que La légèreté, récit de son retour à la vie, au dessin et à la mémoire, après l'attentat contre Charlie Hebdo. En 2016, elle sort Scènes de la vie hormonale, et en 2018 Les Grands Espaces. En 2019, avec Delacroix, toujours chez Dargaud, Catherine Meurisse s'invite dans les souvenirs d'Alexandre Dumas et de son amitié avec Eugène Delacroix. En janvier 2020 elle devient la première dessinatrice élue à l'Académie des beaux-arts. William Marx est professeur du Collège de France, titulaire de la chaire Littératures comparées.
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paru aux éditions de Minuit
William MarxLittératures comparéesCollège de FranceAnnée 2019-2020Leçon inauguralePour une bibliothèque mondialeUne nouvelle chaire intitulée Littératures comparées est confiée à l'historien de la littérature, écrivain et essayiste William MARX.Ancien élève de l'École normale supérieure et agrégé de lettres classiques, William MARX, né en 1966, est passé par de nombreuses universités françaises, dont l'université Paris Nanterre, où il fut professeur de 2009 à 2019, et étrangères, en Amérique du Nord, en Europe ou encore au Japon. Il est l'auteur d'une centaine d'articles portant notamment sur l'Antiquité classique, sur la littérature et les arts depuis le XIXe siècle autour de la question du modernisme, ainsi que sur l'histoire et l'épistémologie des études littéraires.Spécialiste des traditions littéraires française, anglo-américaine, italienne et germanique, comme des littératures grecque et latine, William MARX est aussi un philologue reconnu, qui a établi des éditions critiques, comme celle du dernier tome de l'édition des Cahiers 1894-1914 de Paul Valéry (Gallimard, 2016), et celle des notes de T.S. Eliot sur le cours d'Henri Bergson au Collège de France.Lauréat de l'Académie française, membre honoraire de l'Institut universitaire de France, membre du conseil scientifique du Wissenschaftskolleg zu Berlin (Allemagne), dont il a été fellow, régulièrement invité dans les universités étrangères, William MARX est l'auteur de nombreux ouvrages et essais traduits en une dizaine de langues, parmi lesquels : Un savoir gai (Minuit, 2018), La Haine de la littérature (Minuit, 2015), Le Tombeau d'Œdipe (Minuit, 2012), Vie du lettré (Minuit, 2009), L'Adieu à la littérature (Minuit, 2005), Les Arrière-gardes au XXe siècle (dir., PUF, 2004), Naissance de la critique moderne (Artois Presses Université, 2002). Ses ouvrages sont publiés aux États-Unis et dans le monde anglophone par Harvard University Press et Verso Books.« Ma recherche en littérature est née d'un malaise ressenti dès les années de lycée. Je ne voyais pas l'intérêt des études littéraires telles qu'elles m'étaient proposées (...). Je me demandais, en somme, à quoi servait le discours sur la littérature. Et longtemps je me le suis demandé.Après avoir passé un baccalauréat scientifique, j'hésitai longuement entre les sciences et les lettres, comme Hercule à la croisée des chemins, et n'optai pour la voie littéraire qu'afin d'approfondir ma connaissance des langues et de la culture antiques, tout en gardant le sentiment intime d'une certaine inadéquation aux études que je menais ou, du moins, d'un autre possible qui eût pu s'ouvrir à leur place. Ce sentiment me poursuivit jusqu'à l'agrégation de lettres classiques. Et je ne réussis à m'en débarrasser que le jour où je décidai de faire de cette interrogation presque existentielle la base même de mon travail (...) De là vient que l'essentiel de mes travaux propose une mise en évidence et une critique des a priori qui gouvernent notre perception de la littérature. Et cette interrogation quant à la légitimité du discours sur la littérature se double de la conviction comparatiste que seul l'éloignement temporel, spatial et culturel peut permettre une meilleure appréciation de la réalité la plus familière. »William MARX
William MarxLittératures comparéesCollège de FranceAnnée 2019-2020Leçon inauguralePour une bibliothèque mondialeUne nouvelle chaire intitulée Littératures comparées est confiée à l'historien de la littérature, écrivain et essayiste William MARX.Ancien élève de l'École normale supérieure et agrégé de lettres classiques, William MARX, né en 1966, est passé par de nombreuses universités françaises, dont l'université Paris Nanterre, où il fut professeur de 2009 à 2019, et étrangères, en Amérique du Nord, en Europe ou encore au Japon. Il est l'auteur d'une centaine d'articles portant notamment sur l'Antiquité classique, sur la littérature et les arts depuis le XIXe siècle autour de la question du modernisme, ainsi que sur l'histoire et l'épistémologie des études littéraires.Spécialiste des traditions littéraires française, anglo-américaine, italienne et germanique, comme des littératures grecque et latine, William MARX est aussi un philologue reconnu, qui a établi des éditions critiques, comme celle du dernier tome de l'édition des Cahiers 1894-1914 de Paul Valéry (Gallimard, 2016), et celle des notes de T.S. Eliot sur le cours d'Henri Bergson au Collège de France.Lauréat de l'Académie française, membre honoraire de l'Institut universitaire de France, membre du conseil scientifique du Wissenschaftskolleg zu Berlin (Allemagne), dont il a été fellow, régulièrement invité dans les universités étrangères, William MARX est l'auteur de nombreux ouvrages et essais traduits en une dizaine de langues, parmi lesquels : Un savoir gai (Minuit, 2018), La Haine de la littérature (Minuit, 2015), Le Tombeau d'Œdipe (Minuit, 2012), Vie du lettré (Minuit, 2009), L'Adieu à la littérature (Minuit, 2005), Les Arrière-gardes au XXe siècle (dir., PUF, 2004), Naissance de la critique moderne (Artois Presses Université, 2002). Ses ouvrages sont publiés aux États-Unis et dans le monde anglophone par Harvard University Press et Verso Books.« Ma recherche en littérature est née d'un malaise ressenti dès les années de lycée. Je ne voyais pas l'intérêt des études littéraires telles qu'elles m'étaient proposées (...). Je me demandais, en somme, à quoi servait le discours sur la littérature. Et longtemps je me le suis demandé.Après avoir passé un baccalauréat scientifique, j'hésitai longuement entre les sciences et les lettres, comme Hercule à la croisée des chemins, et n'optai pour la voie littéraire qu'afin d'approfondir ma connaissance des langues et de la culture antiques, tout en gardant le sentiment intime d'une certaine inadéquation aux études que je menais ou, du moins, d'un autre possible qui eût pu s'ouvrir à leur place. Ce sentiment me poursuivit jusqu'à l'agrégation de lettres classiques. Et je ne réussis à m'en débarrasser que le jour où je décidai de faire de cette interrogation presque existentielle la base même de mon travail (...) De là vient que l'essentiel de mes travaux propose une mise en évidence et une critique des a priori qui gouvernent notre perception de la littérature. Et cette interrogation quant à la légitimité du discours sur la littérature se double de la conviction comparatiste que seul l'éloignement temporel, spatial et culturel peut permettre une meilleure appréciation de la réalité la plus familière. »William MARX
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