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Mercredi 18 décembre 2024Olivier Guez - "Mesopotamia" - Editions GrasseVous ne la connaissez pas, pourtant elle a tenu le monde entre ses mains. Au lendemain de la Première Guerre mondiale, Gertrude Bell a dessiné les frontière de l'Orient, dans ce désert sauvage où tout a commencé : le pays entre deux fleuves, le Tigre et l'Euphrate.Aventurière, archéologue, espionne, parlant l'arabe et le persan, elle fut la première femme puissante de l'Empire britannique, mais aussi une héroïne tragique. Idéaliste comme son ami et frère d'âme Lawrence d'Arabie. Impérialiste et courageuse comme le jeune Winston Churchill. Enfant aimée et incomprise d'une riche famille victorienne. Amoureuse éperdue. Et une énigme pour nous : celle des femmes que l'Histoire a effacées.Olivier Guez lui rend sa gloire et nous offre une épopée flamboyante : de la découverte de gigantesques gisements pétroliers aux jeux de pouvoir cruels entre Britanniques, Français et Allemands, des négociations sous les tentes bédouines aux sables de Bagdad où se perdent nos rêves.Le roman de Gertrude Bell dessine la vaste freque de la première mondialisation, quand le plus grand empire de tous les temps s'approprie une contrée mythique et maudite, terre d'Abraham, du déluge et de Babel, tombeau d'Alexandre le Grand : la Mésopotamie.Romancier, essayiste, ancien journaliste, Olivier Guez est notamment l'auteur de La disparition de Josef Mengele (Grasset 2017, prix Renaudot). Il a reçu le César allemand du meilleur scénario pour le film Fritz Bauer, un héros allemand. Il vit à Rome.
durée : 00:23:06 - Chrétiens d'Orient - par : Sébastien de Courtois - Ce matin, nous inscrivons nos pas et notre curiosité dans les traces de Gertrude Bell, une personnalité féminine qui a profondément marqué le temps oriental, un temps de frontières avec des cartes et des longues traversées de déserts, un temps de mémoire aussi pour le patrimoine des chrétiens. - réalisation : François Caunac - invités : Olivier Guez Journaliste, Auteur
Voici la 100ème du podcast « Quoi de neuf en Histoire » ! Merci de votre fidélité renouvelée ! A numéro anniversaire, invité exceptionnel. Olivier GUEZ, prix Renaudot 2017, publie « Mesopotamia » aux éditions Grasset. Un roman biographique narrant la vie de Gertrude Bell, une archéologue, aventurière et espionne considérée comme la « femme la plus puissante de l'Empire britannique », au début du 20ème siècle, l'architecte de la transformation de la région qu'on appelait encore la Mésopotamie. Plongez dans cette histoire romanesque d'une héroïne au destin tragique.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ce journaliste devenu romancier a obtenu le Prix Renaudot avec « la disparition de Joseph Mengele ». Il publie « Mésopotamia », où il raconte le destin de la femme la plus puissante de l'empire britannique, dans les années 1920.
Olivier Guez "Mesopotamia" (Grasset)Vous ne la connaissez pas, pourtant elle a tenu le monde entre ses mains. Au lendemain de la Première Guerre mondiale, Gertrude Bell a dessiné les frontières de l'Orient, dans ce désert sauvage où tout a commencé : le pays entre deux fleuves, le Tigre et l'Euphrate.Aventurière, archéologue, espionne, parlant l'arabe et le persan, elle fut la première femme puissante de l'Empire britannique, mais aussi une héroïne tragique. Idéaliste comme son ami et frère d'âme Lawrence d'Arabie. Impérialiste et courageuse comme le jeune Winston Churchill. Enfant aimée et incomprise d'une riche famille victorienne. Amoureuse éperdue. Et une énigme pour nous : celle des femmes que l'Histoire a effacées. Olivier Guez lui rend sa gloire et nous offre une épopée flamboyante : de la découverte de gigantesques gisements pétroliers aux jeux de pouvoir cruels entre Britanniques, Français et Allemands, des négociations sous les tentes bédouines aux sables de Bagdad où se perdent nos rêves.Le roman de Gertrude Bell dessine la vaste fresque de la première mondialisation, quand le plus grand empire de tous les temps s'approprie une contrée mythique et maudite, terre d'Abraham, du déluge et de Babel, tombeau d'Alexandre le Grand : la Mésopotamie. Musique : Roxy Music “More than this”Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Le journaliste, essayiste et écrivain français Olivier Guez est notre invité pour son nouveau roman "Mesopotamia" (Grasset). Vous ne la connaissez pas, pourtant elle a tenu le monde entre ses mains. Au lendemain de la Première Guerre mondiale, Gertrude Bell a dessiné les frontières de l'Orient, dans ce désert sauvage où tout a commencé : le pays entre deux fleuves, le Tigre et l'Euphrate. Aventurière, archéologue, espionne, parlant l'arabe et le persan, elle fut la première femme puissante de l'Empire britannique, mais aussi une héroïne tragique. Idéaliste comme son ami et frère d'âme Lawrence d'Arabie. Impérialiste et courageuse comme le jeune Winston Churchill. Enfant aimée et incomprise d'une riche famille victorienne. Amoureuse éperdue. Et une énigme pour nous : celle des femmes que l'Histoire a effacées. Olivier Guez lui rend sa gloire et nous offre une épopée flamboyante : de la découverte de gigantesques gisements pétroliers aux jeux de pouvoir cruels entre Britanniques, Français et Allemands, des négociations sous les tentes bédouines aux sables de Bagdad où se perdent nos rêves. Le roman de Gertrude Bell dessine la vaste fresque de la première mondialisation, quand le plus grand empire de tous les temps s'approprie une contrée mythique et maudite, terre d'Abraham, du déluge et de Babel, tombeau d'Alexandre le Grand : la Mésopotamie. À partir de 16h00, Jérôme Colin et ses chroniqueurs vous offrent toute l'actualité culturelle : cinéma, musique, littérature, théâtre… Toujours avec une touche d'humour. Après Bagarre dans la Discothèque, le jeu musical décalé, Jérôme reçoit un grand invité et, dans la dernière demi-heure, avec Hélène Maquet, Julie Morelle et les chroniqueurs, ils vous emmènent dans la bonne humeur vers la nouvelle émission d'info de fin de journée. 1h30 de plaisir intelligent. Merci pour votre écoute Entrez sans Frapper c'est également en direct tous les jours de la semaine de 16h à 17h30 sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez tous les épisodes de Entrez sans Frapper sur notre plateforme Auvio.be : https://auvio.rtbf.be/emission/8521 Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement.
durée : 00:22:39 - L'invité de 8h20 - par : Ali Baddou, Marion L'hour - Le romancier Olivier Guez, essayiste, ancien journaliste, et prix Renaudot 2017 pour “La disparition de Joseph Mengele” (Grasset) vient nous parler de son nouveau roman “Mesopotamia” (Grasset).
durée : 03:01:06 - Le 6/9 du week-end - par : Ali Baddou, Marion L'hour - Aujourd'hui dans le 6-9, l'économiste Aurore Lalucq, eurodéputée Place publique et présidente de la commission des affaires économiques et monétaires au Parlement européen est notre invité de 7h50. A 8h20, c'est le romancier Olivier Guez qui nous parle de son livre “Mesopotamia” (Grasset).
Stéphane Bern raconte l'histoire fabuleuse de Gertrude Bell, la « Lawrence d'Arabie » au féminin. Archéologue, diplomate, écrivaine, exploratrice alpiniste et espionne, cette Britannique peu connue avait bien plus d'une corde à son arc et a pris part à certaines grandes décisions politiques de son époque.Pour en parler, Stéphane Bern reçoit Olivier Guez, romancier, essayiste, auteur du livre Mesopotamia publié aux éditions Grasset.
durée : 00:58:45 - Le Cours de l'histoire - par : Xavier Mauduit, Maïwenn Guiziou - De la cavale de Josef Mengele en Amérique latine à la construction de l'Irak moderne sous mandat britannique en Mésopotamie, l'écrivain Olivier Guez fait dialoguer l'histoire, la littérature et la géographie sur les traces des grands écrivains voyageurs qui ont marqué l'Europe. - réalisation : Thomas Beau, Anna Holveck - invités : Olivier Guez Journaliste, Auteur
Stéphane Bern raconte l'histoire fabuleuse de Gertrude Bell, la « Lawrence d'Arabie » au féminin. Archéologue, diplomate, écrivaine, exploratrice alpiniste et espionne, cette Britannique peu connue avait bien plus d'une corde à son arc et a pris part à certaines grandes décisions politiques de son époque.Pour en parler, Stéphane Bern reçoit Olivier Guez, romancier, essayiste, auteur du livre Mesopotamia publié aux éditions Grasset.
Cette semaine, La Grande Librairie vous donne rendez-vous à Strasbourg, capitale mondiale du livre 2024 ! Au cœur de la magnifique Bibliothèque Nationale et Universitaire de la ville, Augustin Trapenard reçoit Florence Aubenas, Abd Al Malik, Olivier Guez, Paolo Rumiz, William Marx et Annick Cojean pour discuter des enjeux et des défis du livre aujourd'hui. À quelques jours des élections, ils interrogent aussi le sentiment européen, son histoire, ses mythologies, ainsi que la nécessité de nouveaux récits.
C'est à Sciences-Po Paris que la mobilisation pro-palestinienne s'est le plus manifestement exprimée... même si les forces de l'ordre sont intervenues à plusieurs reprises. « Sciences-Po : la dérive antisioniste », titre Le Point, sans que l'article qui suit étaye véritablement cette affirmation. Même si l'on comprend entre les lignes, que la France Insoumise et son leader Jean-Luc Mélenchon, sont accusés d'avoir infiltré Sciences Po et d'avoir opté pour une ligne antisioniste, voire antisémite.Autre angle d'attaque pour Le Journal du Dimanche, qui nous annonce que « les Frères Musulmans sont à l'assaut »de Sciences Po. Dans le viseur cette fois-ci, une association pro-palestinienne qui serait proche des Frères Musulmans, et « qui aurait », nous dit-on, « joué un rôle majeur dans le déroulé des manifestations ». Le JDD publie aussi une tribune de Marek Halter, écrivain français, juif d'origine polonaise, une tribune intitulée : « A ceux qui occupent les universités en soutien au Hamas », accuse-t-il. Marek Halter dit craindre que « demain ou d'ici un mois, des synagogues et des écoles juives flambent en France », « au cri de Allah Akbar ».De son côté, l'hebdomadaire Marianne, a tenté de savoir ce que les jeunes pensent de la guerre à Gaza. Tout d'abord en province, à Rennes, dans l'ouest de la France, où certaines voix s'élèvent contre les accusations d'antisémitisme. « Des accusations malhonnêtes », estime une étudiante en histoire de l'art : « Nous on se soulève pour la Palestine, pour dénoncer la colonisation israélienne et le massacre qui se déroule là-bas. Il n'y a pas de haine. On ne fait pas de lien direct entre Israël et les juifs, on ne mélange pas tout ». Marianne s'est aussi rendu dans une banlieue dite « sensible », à Sarcelles, en région parisienne. « Pas de slogan antisémite ou antisioniste sur les murs de la ville », raconte l'hebdomadaire, « pas d'autocollant appelant au boycott d'Israël. Ici, le Palestinien n'est pas une icône musulmane ». Dans cette banlieue surnommée « la petite Jérusalem », « du fait de son importante communauté Juive », poursuit Marianne, « les habitants sont surtout soucieux de joindre les deux bouts ».Mission impossibleC'est en Argentine que l'hebdomadaire Le Point a envoyé le journaliste et écrivain Olivier Guez, dans l'espoir d'une rencontre avec l'ultra libéral et fantasque président argentin, Javier Milei. Un envoyé spécial bien à la peine... Étant passé, en vain, par le service de presse du président, il arrive tout de même à se faire inviter chez « un richissime homme d'affaires », qui lui « conseille d'écrire au président sur les réseaux sociaux. Karina (la soeur et collaboratrice du président), te répondra peut-être, elle et son frère y passent une partie de leur journée », lui conseille-t-il. « Autant jeter une bouteille à la mer dans l'Atlantique Sud », remarque l'envoyé spécial du Point, dont la quête sert de prétexte à la découverte de l'Argentine, qui nous dit-on, « affronte un de ces psychodrames dont elle raffole : elle est au bord du précipice, comme tous les dix à vingt ans ». On apprendra aussi de Javier Milei qu'il a fait cloner son chien Conan, que sa soeur Karina, est une « ancienne vendeuse de gâteaux sur Instagram », et qu'elle « fait régulièrement le ménage dans l'entourage du président ». Président que le journaliste du Point, vous l'aurez deviné, ne rencontrera jamais.Président TGVParis Match est allé à la rencontre d'Andry Rajoelina, le président malgache, visiblement beaucoup plus accessible que son homologue argentin. Andry Rajoelina que l'hebdomadaire, visiblement conquis, surnomme « Le président TGV ». « J'ai toujours eu un esprit de leader », affirme le président malgache. « À 20 ans, j'ai créé ma société d'évènementiel ». « À 34 ans, poursuit Paris Match, il devenait le plus jeune chef d'État africain ». Aujourd'hui, Andry Rajoelina tire un bilan élogieux de son premier mandat, assurant avoir construit « 30 centres hospitaliers universitaires en cinq ans », « bâti plus de 4 000 salles de classe, et goudronné plus de 500 kilomètres de routes ». Interrogé sur l'extrême pauvreté à Madagascar, il répond : « On peut toujours critiquer, mais dans d'autres pays, ce type de projet pourrait prendre une dizaine d'années ». « Quelles sont ses relations avec la France ? Très bonnes », répond Andry Rajoelina. « Je suis fréquemment en contact avec le président Macron ». « Mais selon moi, la France ne s'engage pas suffisamment avec Madagascar ». Les adieux à Killian Mbappé.Killian Mbappé est à la Une d'Aujourd'hui en France Dimanche, avec ce titre : « Le Parc perd son prince, la star du PSG joue ce dimanche, son dernier match sur la pelouse du stade parisien. Les supporters (...), regrettent déjà le meilleur buteur de l'histoire du club ». « Il va laisser un grand vide », déplore le journal, qui égrène les regrets. « Mbappé a tout donné, mais ce n'était pas assez aux yeux de certains (...) Ce dimanche, le PSG reçoit son trophée de champion de France, et rien n'est prévu pour la star qui va tirer sa révérence sans hommage particulier. C'est triste. Même s'il est brouillé avec son président, il mérite mieux qu'un adieu sans larmes », conclut Aujourd'hui en France-Dimanche.
Topics: Memorial Day, I Get Wild at Littlefield, Humbled by the Void gig, Luna Park/Coney Island, out of town friends, school happy hour, Black Mountain Wine House, Bryan Adams + Joan Jett at Madison Square Garden, end of school, Dolce Brooklyn, Keens Steakhouse, Barcade, The Cure at Madison Square Garden, Dead and Company at Citi Field, birthday party, Tears For Fears at Madison Square Garden, last day of school, Henry Public, The Disappearance of Josef Mengele by Olivier Guez, Unscripted: The Epic Battle for a Media Empire and the Redstone Family Legacy by James B. Stewart and Rachel Abrams, The Kingdom of Prep: The Inside Story of the Rise and (Near) Fall of J. Crew by Maggie Bullock, Judy Blume books.
Comment parle-t-on de l'espace européen, de la construction européenne dans les livres, dans les films ? Y a-t-il une culture européenne ou s'agit-il de cultures au pluriel, qui correspondent à différentes identités ? Héritage grec ou romain, racines chrétiennes, empires coloniaux, cafés et places de villages ; l'Europe c'est « un maximum de diversité dans un minimum d'espace » pour reprendre l'expression de Milan Kundera. Deux invités pour en discuter aujourd'hui : Marion Gaillard, enseignante à Sciences Po Paris, historienne, spécialiste des questions européennes et Olivier Guez, écrivain, sous la direction duquel est publié « Le Grand Tour » chez Grasset.
L'équipe de France fait mieux que Messmer l'hypnotiseur. Elle a réussi à endormir des dizaines de millions de spectateurs. Comme ça, en une frappe décadrée de Giroud. On débriefe le soporifique 0-0 contre le Danemark. Et on prend des nouvelles des Bleus avec notre envoyé spécial. L'Argentine a sauvé sa peau dans ce Mondial grâce à un but de Rojo à la 86e minute. La récompense ? Participer au prochain 0-0 contre l'équipe de France. Les Allemands doivent gagner contre la Corée du Sud cet après-midi pour se qualifier en huitièmes. Vont-ils gueuler? Vont-ils rire? C'est le thème de notre jeu du jour.Et comme tous les jours, vous retrouvez les pronos d'une personnalité. Aujourd'hui, l'écrivain Olivier Guez, lauréat du prix Renaudot 2017 pour "La Disparition de Joseph Mengele."Invité: Sylvain Gouverneur Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
I time to af 4 på foden har Magnus Kraft en gæst igennem fra Buenos Aires, og han har stadig ømme stænger efter gårsdagens VM-fest. Hvor længe kommer festen til at vare? Der er også telefonisk besøg fra den verdensberømte franske forfatter Olivier Guez. Han har set VM-fodbold med præsident Macron, så hvad siger han til præsidents grooming af Kylian Mbappé? Vi kommer også forbi Allan Simonsen, Michael Johansen og Brøndbys nye bestyrelse.See omnystudio.com/listener for privacy information.
Nicht nur als gelungenes Spektakel bleibe die Fußball-Weltmeisterschaft in Erinnerung. Die europäische Kritik an Katar werde in anderen Kontinenten nicht unterstützt, meint Autor und Fußballfan Olivier Guez. Das verdeutliche die Spaltung der Welt.Olivier Guez im Gespräch mit Britta Bürgerwww.deutschlandfunkkultur.de, FazitDirekter Link zur Audiodatei
Von Garrincha bis Messi: Olivier Guez erzählt vergnüglich, aber nicht ganz klischeebefreit, von denkwürdigen Alleingängen. Rezension von Roman Kaiser-Mühlecker. Aus dem Französischen von Nicola Denis Aufbau Verlag, 176 Seiten, 18,50 Euro ISBN 978-3-351-03972-1
durée : 00:58:36 - Le 13/14 - par : Bruno DUVIC - Allez-vous suivre la Coupe du monde de football au Qatar ? L'invité du 13-14 est l'écrivain Olivier Guez. Passionné de ballon, il a choisi de ne pas suivre ce Mondial, il nous dit pourquoi.
È stato una leggenda per milioni di tifosi: El Diez, Pibe de Oro, La mano de Dios, il giocatore più grande di tutti tempi, il capopopolo, il difensore degli ultimi, il piccolo grande uomo che è arrivato a Napoli e ne ha cambiato irrimediabilmente la storia. Ma se tutti lo hanno amato, quasi tutti lo hanno abbandonato. Maradona è sempre stato in movimento: ha dispensato bellezza e tristezza, ha dissipato ogni frammento di sé, rivendicando la libertà di farlo. Dalle origini povere alla gloria mondiale fino agli ultimi anni dolenti, Olivier Guez e Maurizio Crosetti ⎼ entrambi appassionati di calcio ⎼ si misurano con l'avventura umana e sportiva di un uomo che è stato santo e martire, angelo e demonio.
Gabriele Ametrano"La città dei lettori"Firenze, Villa Bardini, dal 9 al 12 giugnohttps://www.lacittadeilettori.it/Più di 100 ospiti e oltre 80 eventi, 27 giornate di incontri distribuiti su 12 comuni toscani, da giugno a ottobre.GROSSETO DEI LETTORI - 22 e 23 giugnoAREZZO DEI LETTORI - 25 e 26 giugnoLUCCA DEI LETTORI - 7 e 8 luglioVILLAMAGNA DEI LETTORI - 9 e 10 luglioMONTERIGGIONI DEI LETTORI - 15 e 16 luglioCALENZANO DEI LETTORI - 1/3 settembreBAGNO A RIPOLI DEI LETTORI - 9 e 10 settembre CAMPI BISENZIO DEI LETTORI - 15 e 16 settembreMONTELUPO FIORENTINO DEI LETTORI - 23 e 24 settembrePONTASSIEVE DEI LETTORI - 8 e 9 ottobreIMPRUNETA DEI LETTORI - 28 e 29 ottobreFestival a cura di Fondazione CR Firenze e Associazione Wimbledon APSTra gli ospiti: Francesco Guccini, Roberto Saviano, Francesca Michielin, Paolo Nori, Alba Donati, Vera Gheno, Alan Friedman, Jonathan Bazzi, Piero Pelù, Carlotta Vagnoli, Enrica Tesio, Elena Stancanelli, Marco Vichi, Caterina Soffici, Antonio Fusco, Sandro Ferri, Sveva Casati Modignani, Luca Ricci, Marco Malvaldi, Ilaria Gaspari, Claudio Piersanti, Giorgio van Straten, Catena Fiorello, Cristina Marconi, Fabio Genovesi e Marco BalianiTante novità: Gli ospiti internazionali Martín Caparrós, Fernanda Trías, Luc Lang, Itamar Orlev, Olivier Guez e BarrouxIl doppio appuntamento con i finalisti del Premio StregaLa nascita del Premio La città dei lettoriDa segnalare le celebrazioni per i 10 anni di Edizioni Clichy, l'omaggio a Pier Paolo Pasolini nell'anniversario della nascita in collaborazione con Gabinetto Vieusseux, l'evento “Leggere in libreria, leggere librerie” che coinvolgerà librai da tutta la Toscana in collaborazione con la fiera Testo, la conferenza del prof. Carlo Sisi per il bicentenario di Antonio Canova, lo spettacolo in omaggio allo sceneggiatore e regista Mattia Torre e poi incontri con gli autori, presentazioni, talk, letture, passeggiate letterarie, attività per ragazzi e ragazze, yoga e meditazione sul filo di pagine e parole.IL POSTO DELLE PAROLEascoltare fa pensarehttps://ilpostodelleparole.it/
En visite à Genève pour une conférence et des signatures, Olivier Guez ne reste pas longtemps dans la même ville. Ce globe- trotter est un grand journaliste qui a collaboré à beaucoup des plus grands journaux et magazines du monde. C'est également un grand essayiste et écrivain. Il a décrit pour nous les plus importants de ses livres et particulièrement celui qui lui a valu le Prix Renaudot "La disparition de Joseph Mengele". C'est un criminel de guerre allemand qui a effectué ses sinistres expériences dans le Camp d'extermination d'Auschwitz durant la deuxième guerre mondiale. Olivier Guez a déclaré : "C'est un personnage abject d'une médiocrité abyssale". Son talent : démystifier celui que l'on a surnommé "l'Ange du mal" le faire revivre dans son exil en Argentine, où il se croit recherché et décrire sa chute dans la paranoïa et le délire malgré la fortune de sa famille..
A l'initiative du journaliste et écrivain Olivier Guez, vingt-sept auteurs de tous les Etats membres de l'Union Européenne prennent la parole dans "Le Grand Tour". Destins, villes et lieux emblématiques de la culture européenne, le livre est un voyage passionnant auscultant l'Europe d'hier et d'aujourd'hui.
durée : 02:00:20 - Les Matins - par : Guillaume Erner - .
durée : 00:33:33 - Boomerang - par : Augustin Trapenard - On lui doit notamment "La disparition de Josef Mengele". Il réunit dans "Le grand tour", en librairie aujourd'hui, les textes de vingt-sept auteurs européens. Le journaliste et écrivain Olivier Guez est l'invité d'Augustin Trapenard. - invités : Olivier GUEZ - Olivier Guez : Journaliste, Auteur - réalisé par : Lola COSTANTINI
Desde Nelson Rodrigues e suas memoráveis crônicas de futebol, reunidas na coletânea “À sombra das chuteiras imortais”, o esporte mais popular do mundo continua inspirando escritores no Brasil, mas também em outros países. O jornalista brasileiro Eduardo Lamas publica o nostálgico “Contos da Bola”, pela editora Cartola, e o francês Olivier Guez “Une passion absurde et devorante” (“Uma paixão absurda e devoradora”) pela editora L'Observatoire. Olivier Guez e Eduardo Lamas não se conhecem, mas, além da paixão pelo futebol, têm muitas coisas em comum, a começar pela Copa do Mundo de 1982. Foi durante o Mundial na Espanha que Olivier Guez assitiu pela primeira vez a disputa planetária e descobriu que estava conectado com o mundo. “O primeiro jogo que assisti, na TV na casa de meus avôs em Estrasburgo (leste da França) foi o França x Inglaterra. A seleção francesa não se saiu bem, mas comigo aconteceu algo impressionante. Deixei a sala onde estava, o círculo familiar, a cidade média onde morava, para integrar uma comunidade mundial, a comunidade dos apaixonados pelo futebol. Eu estava, de alguma maneira, linkado com o planeta”, lembra em entrevista a Pierre-Edouard Deldique da RFI. A Copa do Mundo de 1982, e a seleção canarinho comandada por Zico, também marcou a geração do carioca Eduardo Lamas. “A seleção de 82 marcou a minha geração. 1982 é o meu auge como torcedor. Eu tinha 16 anos. É uma selação que marcou muito todos nós”. “Uma paixão absurda e devoradora” é o segundo livro de Oliver Guez sobre o futebol que, segundo ele, é “uma cultura formidável”. Em 2014, pouco antes da Copa do Mundo no Brasil, publicou “L`Éloge de l'Esquive” (“O Elogio da Esquiva”), sobre o drible e o futebol arte brasileiro. Ele lamenta ser um dos poucos a escrever sobre o esporte na França, bicampeã mundial, que não é um país do futebol. "O que me impresiona é que, ao contrário de países vizinhos e outras grandes nações sul-americanas, a França só ama o futebol quando a seleção nacional ganha. Há uma espécie de desprezo dos intelectuais do país com o futebol, considerado ópio do povo. Em outros países, vários escritores se interessaram pelo futebol, sem nenhuma vergonha. Por exemplo, o cantor Chico Buarque, que também é um grande escritor brasileiro, adora e joga futebol e isso não é nenhum problema”, salienta Guez. Argentina de Maradona Apesar de admirar o futebol brasileiro, a verdadeira paixão de Guez na América Latina é Argentina, terra de Maradona, tema de várias crônicas de “Uma paixão absurda e devoradora”. “Assistir um jogo de uma arquibancada na Argentina é um espetáculo excepcional. Um torcedor fanático tem que ter a chance de assistir um jogo em um estádio argentino”, sentencia o escritor francês. Como Olivier Guez, Eduardo Lamas também sonhou, criança, em ser um craque da bola, antes de virar um torcedor apaixonado e transformar os jogos e momentos que viveu nas arquibancadas em ficção. Os Contos da Bola lembram o velho Maracanã, o maior estádio do mundo, a Copa de 1970 e outras vitórias, as peladas nas ruas, o entusiasmo de campeonatos estaduais, o futebol arte. Para o jornalista brasileiro, todo torcedor é nostálgico: “O torcedor é em essência nostálgico. Embora ele esteja ali no dia a dia torcendo, acompanhando o noticiário, querendo saber quem o clube vai contratar, quem não vai, ele está sempre se referindo ao passado, aos grandes times, mesmo os mais jovens. Volta e meia, eles fazem nas redes sociais enquetes sobre os melhores jogadores de determinado clube, fazem a seleção dos melhores jogadores do mundo de todos os tempos." "Futebol virou um grande negócio" Tanto Olivier Guez quanto Eduardo Lamas criticam o futebol atual que se transformou em um grande negócio. O escritor carioca, hoje radicado em Florianópolis, diz que quase não vai mais aos estádios e tem dificuldades em criar no ambiente atual: “Hoje em dia o futebol ficou profissional demais. Virou um grande negócio. Os clubes são empresas. Lógico que o futebol sempre traz muitas histórias interessantes, tanto dentro quanto fora de campo, mas hoje em dia eu não consigo criar muito com esse ambiente atual, talvez de uma forma mais crítica, sim", revela. No entanto, Lamas já prepara o segundo volume de “Contos da Bola” onde as mulheres, praticamente ausentes do primeiro volume, marcarão presença: "O futebol feminino está ficando cada vez mais forte. As mulheres estão muito mais presentes do que na época em que eu era torcedor. Para você ter uma ideia, o futebol feminino era proibido no Brasil até a década de 1970. Tinha muito preconceito porque naquela época, realmente, elas eram muito pouco presentes e quando uma mulher mais bonita aparecia na arquibancada os gritos não eram muito elogiosos, o que revela também um caráter bem complicado da nossa cultura machista", acredita o jornalista. Eduardo Lamas tem também um projeto sobre música e futebol “Jogada de música” e escolhe para resumir a frutífera relação entre as duas artes no Brasil, o choro 1 a 0 de Pixinguinha, o primeiro de todos, composto em homenagem à vitória do Brasil sobre a seleção uruguaia no campeonato sul-americano de 1919. Os livros "Une passion absurde et devorante”, de Olivier Guez, e "Contos da Bola", de Eduardo Lamas, também estão disponíveis em versão ebook nas plataformas digitais.
Présenté par Shlomo Malka. Invité : Olivier Guez pour son livre » Une passion absurde et dévorante » (Observatoire). (Rediffusion du 03/06/21).
durée : 00:42:52 - La Grande Table culture - par : Sébastien Thème, Valérie Costantino - Dans son livre "Une passion absurde et dévorante. Écrits sur le football", Olivier Guez tisse des liens entre foot et art. Pour en parler avec lui, Anna Labouze et Keimis Henni, commissaires de l'exposition "Par amour du jeu 1998-2008", présentée aux Magasins généraux. - réalisation : Thomas Beau - invités : Olivier Guez Ecrivain; Anna Labouze Commissaire de l'exposition Par amour du jeu 1998-2008; Keimis Henni Commissaire de l'exposition Par amour du jeu 1998-2008
durée : 00:42:52 - La Grande Table culture - par : Sébastien Thème, Valérie Costantino - Dans son livre "Une passion absurde et dévorante. Écrits sur le football", Olivier Guez tisse des liens entre foot et art. Pour en parler avec lui, Anna Labouze et Keimis Henni, commissaires de l'exposition "Par amour du jeu 1998-2008", présentée aux Magasins généraux. - réalisation : Thomas Beau - invités : Olivier Guez Ecrivain; Anna Labouze Commissaire de l'exposition Par amour du jeu 1998-2008; Keimis Henni Commissaire de l'exposition Par amour du jeu 1998-2008
durée : 00:42:52 - La Grande Table culture - par : Sébastien Thème, Valérie Costantino - Dans son livre "Une passion absurde et dévorante. Écrits sur le football", Olivier Guez tisse des liens entre foot et art. Pour en parler avec lui, Anna Labouze et Keimis Henni, commissaires de l'exposition "Par amour du jeu 1998-2008", présentée aux Magasins généraux. - réalisation : Thomas Beau - invités : Olivier Guez Ecrivain; Anna Labouze Commissaire de l'exposition Par amour du jeu 1998-2008; Keimis Henni Commissaire de l'exposition Par amour du jeu 1998-2008
Olivier Guez pour son livre "Une passion absurde et dévorante. Écrits sur le football". Et Myriam Berghe pour son livre "Chair à camions". « Bagarre dans la Discothèque » à 11h30, avec Gorian Delpâture et Xavier Vanbuggenhout. Et dès midi : Les sorties BD de Xavier Vanbuggenhout : - « La Machine ne ferme jamais les yeux. Une histoire de la télésurveillance de 1984 à Facebook » de Yvan Greenberg, Everett Patterson et Joe Canlas (Delcourt) - Titeuf La grande aventure - Tome 17 » de Zep (Glénat) - « Les cavaliers de l'apocadispe vont bien - Tome 3 » de Libon (Dupuis) - « Lucky Luke se recycle » de Mawil (Lucky Comics/Dargaud) Le journaliste, essayiste et écrivain français Olivier Guez pour son livre "Une passion absurde et dévorante. Écrits sur le football" (L'Observatoire). Un soir d'été 1982, Olivier Guez assiste à son premier match de football. Il n'a pas 10 ans. Les formes pures du stade, les projecteurs aveuglants, le vert ardent de la pelouse cernée de lignes laiteuses, et les milliers de petites touches bleues qui parsèment les gradins?: le vertige, l'immense frisson. Il ne s'est jamais vraiment remis de ce spectacle grandiose. Le football a donné à l'écrivain le goût des autres, et le goût du large. Au fil des voyages, il a constaté que ce sport était le miroir des nations, de leur mémoire, de leurs conflits et de leurs imaginaires. Sur un terrain de football se racontent l'identité de la France, le stalinisme et le dégel en Union soviétique, la question raciale au Brésil, la modernité de l'Argentine et de Diego Maradona, le destin de l'Allemagne de l'Est après la réunification, les ambitions planétaires du Qatar et, sous l'égide de la FIFA, les dérives du capitalisme depuis trente ans. C'est le football, cette passion absurde et dévorante que partagent des milliards d'hommes et de femmes à travers le monde, trait d'union de la planète globalisée, que décrit Olivier Guez dans un recueil de textes admirables de sincérité, entrecoupé de photographies de légende, qui vibrent pour toujours dans la mémoire de chacun. Myriam Berghe, journaliste belge poursuivie pour trafic d'êtres humains par la justice belge pour avoir héberger des migrants, pour son livre "Chair à camions" (La Boîte à Pandore). Au sortir d'un procès inédit, Myriam Berghe ouvre les portes d'un monde de douleurs, d'une justice inhumaine, d'un combat qui est loin d'être terminé. C'est une histoire de rencontres. Avec les ¿ saute-frontières ¿ de la Jungle de Calais, traqués à mort mais tellement vivants. Avec toute la misère d'un monde qui refuse d'examiner la migration sous l'angle de la solution plutôt que du problème. Avec un Égyptien à qui la justice a taillé un costume de criminel bien trop grand pour lui. C'est une histoire de complicité entre sans-papiers et Bruxellois solidaires, accusés d'avoir franchi une ligne que leur propre procès en correctionnelle doit servir à tracer. Un dialogue de sourds entre ceux qui accueillent sans juger et ceux qui jugent sans accueillir. Dans cet ouvrage rageur, Myriam Berghe raconte le calvaire. D'abord celui des migrants qui tentent de survivre dans des conditions inhumaines. Le sien, ensuite. Le statut de criminelle qui lui a été attribué parce qu'elle a fait preuve de solidarité et d'humanité. Double coup de cœur de Gorian Delpâture : "La rivière pourquoi" de David James Duncan (Monsieur Toussaint Louverture) et "La rivière" de Peter Heller (Actes Sud). "La rivière pourquoi" : De Portland aux côtes de l'Oregon, de torrents en cascades, de truites arc-en-ciel en saumons royaux, du désespoir à l'euphorie, qu'il croise un cadavre ou une sirène, Gus Orviston est un prodige de la pêche : même sans appât, il cherche à attraper l'insaisissable. Expulsé d'un paradis de lacs et d'affluents par des parents qui passent leur temps à s'envoyer leur canne à pêche au visage, Gus quitte le foyer familial et s'isole au bord d'une rivière idyllique où il peut enfin se plonger dans l'ascèse...
Le journaliste, essayiste et écrivain français Olivier Guez pour son livre "Une passion absurde et dévorante. Écrits sur le football" (L'Observatoire). Un soir d'été 1982, Olivier Guez assiste à son premier match de football. Il n'a pas 10 ans. Les formes pures du stade, les projecteurs aveuglants, le vert ardent de la pelouse cernée de lignes laiteuses, et les milliers de petites touches bleues qui parsèment les gradins : le vertige, l'immense frisson. Il ne s'est jamais vraiment remis de ce spectacle grandiose. Le football a donné à l'écrivain le goût des autres, et le goût du large. Au fil des voyages, il a constaté que ce sport était le miroir des nations, de leur mémoire, de leurs conflits et de leurs imaginaires. Sur un terrain de football se racontent l'identité de la France, le stalinisme et le dégel en Union soviétique, la question raciale au Brésil, la modernité de l'Argentine et de Diego Maradona, le destin de l'Allemagne de l'Est après la réunification, les ambitions planétaires du Qatar et, sous l'égide de la FIFA, les dérives du capitalisme depuis trente ans. C'est le football, cette passion absurde et dévorante que partagent des milliards d'hommes et de femmes à travers le monde, trait d'union de la planète globalisée, que décrit Olivier Guez dans un recueil de textes admirables de sincérité, entrecoupé de photographies de légende, qui vibrent pour toujours dans la mémoire de chacun.
Les sorties BD de Xavier Vanbuggenhout : - « La Machine ne ferme jamais les yeux. Une histoire de la télésurveillance de 1984 à Facebook » de Yvan Greenberg et Everett Patterson et Joe Canlas (Delcourt) - Titeuf La grande aventure - Tome 17 » de Zep (Glénat) - « Les cavaliers de l'apocadispe vont bien - Tome 3 » de Libon (Dupuis) - « Lucky Luke se recycle » de Mawil (Lucky Comics/Dargaud) Le journaliste, essayiste et écrivain français Olivier Guez pour son livre "Une passion absurde et dévorante. Écrits sur le football" (L'Observatoire). Un soir d'été 1982, Olivier Guez assiste à son premier match de football. Il n'a pas 10 ans. Les formes pures du stade, les projecteurs aveuglants, le vert ardent de la pelouse cernée de lignes laiteuses, et les milliers de petites touches bleues qui parsèment les gradins : le vertige, l'immense frisson. Il ne s'est jamais vraiment remis de ce spectacle grandiose. Le football a donné à l'écrivain le goût des autres, et le goût du large. Au fil des voyages, il a constaté que ce sport était le miroir des nations, de leur mémoire, de leurs conflits et de leurs imaginaires. Sur un terrain de football se racontent l'identité de la France, le stalinisme et le dégel en Union soviétique, la question raciale au Brésil, la modernité de l'Argentine et de Diego Maradona, le destin de l'Allemagne de l'Est après la réunification, les ambitions planétaires du Qatar et, sous l'égide de la FIFA, les dérives du capitalisme depuis trente ans. C'est le football, cette passion absurde et dévorante que partagent des milliards d'hommes et de femmes à travers le monde, trait d'union de la planète globalisée, que décrit Olivier Guez dans un recueil de textes admirables de sincérité, entrecoupé de photographies de légende, qui vibrent pour toujours dans la mémoire de chacun. Myriam Berghe, journaliste belge poursuivie pour trafic d'êtres humains par la justice belge pour avoir héberger des migrants, pour son livre "Chair à camions" (La Boîte à Pandore). Au sortir d'un procès inédit, Myriam Berghe ouvre les portes d'un monde de douleurs, d'une justice inhumaine, d'un combat qui est loin d'être terminé. C'est une histoire de rencontres. Avec les "saute-frontières" de la Jungle de Calais, traqués à mort mais tellement vivants. Avec toute la misère d'un monde qui refuse d'examiner la migration sous l'angle de la solution plutôt que du problème. Avec un Égyptien à qui la justice a taillé un costume de criminel bien trop grand pour lui. C'est une histoire de complicité entre sans-papiers et Bruxellois solidaires, accusés d'avoir franchi une ligne que leur propre procès en correctionnelle doit servir à tracer. Un dialogue de sourds entre ceux qui accueillent sans juger et ceux qui jugent sans accueillir. Dans cet ouvrage rageur, Myriam Berghe raconte le calvaire. D'abord celui des migrants qui tentent de survivre dans des conditions inhumaines. Le sien, ensuite. Le statut de criminelle qui lui a été attribué parce qu'elle a fait preuve de solidarité et d'humanité. Double coup de cœur de Gorian Delpâture : "La rivière pourquoi" de David James Duncan (Monsieur Toussaint Louverture) et "La rivière" de Peter Heller (Actes Sud). "La rivière pourquoi" : De Portland aux côtes de l'Oregon, de torrents en cascades, de truites arc-en-ciel en saumons royaux, du désespoir à l'euphorie, qu'il croise un cadavre ou une sirène, Gus Orviston est un prodige de la pêche : même sans appât, il cherche à attraper l'insaisissable. Expulsé d'un paradis de lacs et d'affluents par des parents qui passent leur temps à s'envoyer leur canne à pêche au visage, Gus quitte le foyer familial et s'isole au bord d'une rivière idyllique où il peut enfin se plonger dans l'ascèse aquatique qu'il s'est choisi : la pêche. Et si pour lui la pêche résume le monde, le poisson en est l'énigme et au milieu, coule la rivière, ce méandre en forme de question, qui mène le jeu en interrogeant la vie et le bonheur. Avec drôlerie, sagesse et innocence, il nous entraîne dans sa quête du cours d'eau parfait, celui qui répondra à toutes ses questions. La Rivière Pourquoi est un hymne à une existence réconciliée avec nos passions et nos obsessions, avec la nature et ce que nous en faisons. C'est libre, c'est foisonnant, c'est profondément tendre. David James Duncan est un conteur hors pair, capable de dépeindre les âmes comme les paysages de façon fascinante, qui nous offre dans ces pages une aventure spirituelle en forme de roman un peu fou, poétique et surtout très drôle. C'est Kesey, c'est Harrison, c'est Brautigan. "La rivière" : Wynn et Jack, étudiants en pleine possession de leurs moyens, s'offrent enfin la virée en canoë de leurs rêves sur le mythique fleuve Maskwa, dans le Nord du Canada. Ils ont pour eux la connaissance intime de la nature, l'exper-tise des rapides et la confiance d'une amitié solide. Mais quand, à l'horizon, s'élève la menace d'un tout-puissant feu de forêt, le rêve commence à virer au cauchemar, qui transforme la balade contemplative en course contre la montre. Ils ignorent que ce n'est que le début de l'épreuve. Parce que toujours ses histoires, profondément hu-maines, sont prétextes à s'immerger dans la beauté des paysages, et parce qu'il a lui-même descendu quelques-unes des rivières les plus dangereuses de la planète, Peter Heller dose et alterne admirablement les moments suspen-dus, l'émerveillement, la présence à l'instant, et le sur gis-sement de la peur, les accélérations cardiaques, la montée de l'adrénaline. Ses descriptions relèvent d'une osmose enchanteresse avec la nature ; ses rebondissements, d'une maîtrise quasi sadique de l'engrenage. Ce cocktail redou-tablement efficace – suspense et poésie – est sa marque de fabrique. La Rivière n'y déroge pas.
durée : 00:53:12 - Popopop - par : Antoine de Caunes - A l'occasion de l'Euro de football en cours partout en Europe, Antoine de Caunes et Charline Roux accueillent les spécialistes de la question : l'auteur Olivier Guez et le dessinateur et scénariste de BD Didier Tronchet.
durée : 00:53:12 - Popopop - par : Antoine de Caunes - A l'occasion de l'Euro de football en cours partout en Europe, Antoine de Caunes et Charline Roux accueillent les spécialistes de la question : l'auteur Olivier Guez et le dessinateur et scénariste de BD Didier Tronchet.
Au détour d'une rue, à la terrasse d'un café, ou dans une rame de métro, Pascale Clark se balade et recueille les confidences de son invité. Une déambulation sonore dans son quotidien, à travers les lieux qui ont marqué sa vie et sa carrière, pour retracer son parcours et découvrir, ou redécouvrir, sa personnalité.
Au détour d'une rue, à la terrasse d'un café, ou dans une rame de métro, Pascale Clark se balade et recueille les confidences de son invité. Une déambulation sonore dans son quotidien, à travers les lieux qui ont marqué sa vie et sa carrière, pour retracer son parcours et découvrir, ou redécouvrir, sa personnalité.
durée : 02:01:44 - Les Matins du samedi - par : Chloë Cambreling, Stéphanie Villeneuve - Le comédien, directeur du Châteauvallon-Liberté, scène nationale à Toulon Charles Berling qui joue et met en scène "Dans la Solitude des champs de coton" au Théâtre 14 / Alors que l'Euro débute ce vendredi, l'écrivain Olivier Guez, auteur d'"Une passion absurde et dévorante. Ecrits sur le football". - réalisation : Jean-Christophe Francis - invités : Charles Berling; Olivier Guez Ecrivain
durée : 00:26:35 - L'Invité(e) actu - par : Chloë Cambreling, Stéphanie Villeneuve - Alors que l'Euro 2021 débute ce vendredi, l'écrivain Olivier Guez, prix Renaudot en 2017, auteur d'"Une passion absurde et dévorante. Ecrits sur le football" qui paraît aux éditions de l'Observatoire. - réalisation : Jean-Christophe Francis - invités : Olivier Guez Ecrivain
durée : 02:01:44 - Les Matins du samedi - par : Chloë Cambreling, Stéphanie Villeneuve - Le comédien, directeur du Châteauvallon-Liberté, scène nationale à Toulon Charles Berling qui joue et met en scène "Dans la Solitude des champs de coton" au Théâtre 14 / Alors que l'Euro débute ce vendredi, l'écrivain Olivier Guez, auteur d'"Une passion absurde et dévorante. Ecrits sur le football". - réalisation : Jean-Christophe Francis - invités : Charles Berling; Olivier Guez Ecrivain
La passion du football à l'honneur dans le magazine Idées présenté par Pierre-Édouard Deldique. Avec Olivier Guez, écrivain, auteur du livre : «Une passion absurde et dévorante», aux éditions de l'Observatoire, à l'occasion de l'ouverture du championnat d'Europe des nations.
Sur Europe 1, l'écrivain et journaliste Olivier Guez raconte sa passion du football, mais aussi sa frustration par rapport à son évolution. Dans le football moderne, "une gigantesque industrie", les stars "sont tellement encadrées qu'il y a beaucoup moins de légende et de romantisme", estime-t-il.
Chaque jour, Patrick Cohen reçoit dans son journal de la mi-journée un invité. Aujourd'hui, Olivier Guez.
durée : 00:05:04 - Le monde d'Elodie - par : Elodie SUIGO - Tous les jours, une personnalité s'invite dans le monde d'Élodie Suigo. Aujourd'hui, l'écrivain et essayiste Olivier Guez.
Présenté pas Shlomo Malka. Invité : Olivier Guez pour son livre » Une passion absurde et dévorante » paru aux éditions de l'Observatoire.
Olivier Guez nʹa que 10 ans quand il assiste à son premier match de football. Au cours de ses voyages, il constate que ce sport est le miroir des nations, de leur mémoire, de leurs conflits et de leurs imaginaires. Le football, cette passion absurde et dévorante que partagent des milliards d'hommes et de femmes à travers le monde, trait d'union de la planète globalisée, décrite dans un recueil de textes entrecoupé de photographies de légende. "Une passion absurde et dévorante" est paru aux éditions de Lʹobservatoire. Olivier Guez est lʹinvité de Pierre Philippe Cadert.
durée : 03:00:26 - Le 6/9 - Le 6/9 du dimanche 23 mai, avec Pierre Weill et Patricia Martin.
durée : 00:07:37 - L'invité de 7h50 du week-end - par : Patricia Martin - L'écrivain, prix Renaudot en 2017, est l'invité de Patricia Martin pour son dernier ouvrage, "Une passion dévorante", paru aux éditions de l’Observatoire.
durée : 03:00:26 - Le 6/9 - Le 6/9 du dimanche 23 mai, avec Pierre Weill et Patricia Martin.
La dernière journée de Ligue 1 se déroulera ce dimanche soir et elle promet d’être palpitante. En haut de tableau, plusieurs formations sont à la lutte pour le titre : Lille, le PSG et Monaco. Pour en parler, Wendy Bouchard reçoit Olivier Guez, journaliste et auteur de "Une passion absurde et dévorante, écrits sur le football" aux éditions de l’observatoire.
Il y a comme on dit « deux salles, deux ambiances » dans les journaux français ce matin. La Croix choisit tout d'abord de célébrer l'esprit de Noël en consacrant ses premières pages à « ces histoires qui nous lient en temps de crise », des exemples de « rapprochements solidaires », en Équateur notamment où « Maman Carmen », Carmen Carcelen, modeste vendeuse de fruits et légumes sur le marché de la ville d'Ipiales, continue avec son mari d'offrir gîte et couvert à des migrants vénézuéliens vivant dans le dénuement. Des milliers de personnes ont bénéficié de ses bons offices au point que sa maison est devenu un lieu de passage incontournable. Ce qui lui a valu un autre surnom « l'Ange de Juncal ». Autre exemple, celui de l'association Entourages en France qui met en lien via les messageries instantanées des personnes à la rue et des bénévoles pour recréer du lien social. C'est le cas pour Nicolas, jeune sans-abri qui s'est ainsi lié d'amitié avec Cléa, Guilherme, Hélène et Mathieu. Ils lui ont permis de remonter la pente de cette année difficile et Nicolas a désormais intégré le service militaire volontaire. Le Figaro est lui allé à Bethléem, haut lieu des célébrations religieuses de Noël, mais « désertée » cette année par les milliers de pèlerins qui faisaient habituellement le déplacement, en raison des restrictions sanitaires. Pas facile à vivre pour Frère Ananiasz sacristain de l'église grecque orthodoxe, qui s'il avait apprécié le calme apporté par le premier confinement, reconnaît désormais « ressentir un vide ». Vides aussi les caisses des hôteliers et des artisans locaux depuis le mois de mars. Avec une conséquence bien concrète explique Le Figaro : une centaine de familles chrétiennes palestiniennes ont pris le chemin de l'exil pour tenter de trouver une vie meilleure. En France, Le Monde s'inquiète des risques de tensions lors des réunions de famille. « Mes enfants ne passeront pas Noël avec Mamie, qui est embrigadée » : c'est avec cette citation que le quotidien titre son article. Car le grand sujet de conversation cette année, ce sera bien le Covid-19 et son corollaire, le complotisme. Pas forcément nouveau dans certaines familles mais des personnes interrogées par le journal ont vu de nombreux proches basculer à la faveur de la pandémie. Résultat, beaucoup s'attendent à grincer des dents entre la dinde et le dessert, entre partisans du professeur Raoult, antivaxx, pro-Trump et autres contempteurs de Bill Gates et de la 5G. Le Monde cite ainsi Gabriel, prénom de circonstance pour Noël, qui s'inquiète pour l'un de ses amis « qui a troqué sa croyance en Dieu pour une croyance aux théories du complot ». Libération titre de son côté « L'impair Noël » où comment à chaque moment les conversations risquent de basculer dans la franche engueulade. Et chacun réagit à sa manière : il y a donc ceux qui prennent leurs distances avec mamie et relève Libération, « passent Noël avec des gens qui partagent leur avis » et puis d'autres qui font le choix de maintenir le contact et « d'être ensemble envers et contre tout » comme l'explique Le Monde. « Patience et échange » renchérit Libération. Le Monde donne également la parole à ses lecteurs pour qu'ils lui décrivent leur monde d'après Covid-19. Un monde beaucoup fait de contact social : danser, aller au concert ou à la piscine, embrasser ses proches, voyager, se rouler dans l'herbe, dépasser les bornes, penser aux disparus... et surtout tomber les masques. C'est un inventaire à la Prévert et c'est très poétique. Libération consacre de son côté un cahier à la rétrospective de 2020 : une année éprouvante mais aussi de « solidarité, de résistance et d'inventivité ». Avec, au milieu, une courte nouvelle de l'écrivain Olivier Guez qui imagine l'année 2020 d'Emmanuel Macron qui se serait pris de passion pour L'homme-dé, livre culte de l'écrivain Luke Rinehart décédé cette année. L'histoire, en partie autobiographique est simple : le héros prend chacune de ses décisions en lançant les dés et donc en confiant sa destinée au hasard. Bon, dans le cas de l'Emmanuel Macron, d'Olivier Guez, c'est un peu cocasse. Je ne vous dis pas tout, mais cela implique Jean-Marie Bigard, des Gilets Jaunes, des chemises oranges, une nouvelle coupe de cheveux et la chanson Jump de Van Halen.
Olivier Guez qui a dirigé l’ouvrage collectif : «Le siècle des dictateurs » aux éditions Perrin
Olivier Guez qui a dirigé l’ouvrage collectif : «Le siècle des dictateurs » aux éditions Perrin
Présenté par Shlomo Malka. Rediffusion Olivier Guez n°10
durée : 00:10:21 - L'invité de 7h50 - par : Léa Salamé - Bixente Lizarazu, consultant football de France Inter, Omar Da Fonseca, ancien footballeur, commentateur sportif, et Olivier Guez, écrivain, sont les invités de 7h50.
Il suffit de lire la Une de L’Equipe ce matin et de tourner la page pour saisir toute l’ambivalence du personnage : « Dieu est mort », peut-on lire en couverture. Et en page une : « Une vie de tous les diables ». En effet, pointe le quotidien sportif, « pour raconter une vie, et une mort, il suffit de revoir le visage de la grâce, un ange aux boucles brunes, béni par tous les dieux et par trop de diables […] et de regarder sans s’en détourner le masque devenu cireux, au crépuscule d’une vie traversée par la magie d’un pied gauche et les excès qui auront abîmé son corps tout entier. À 60 ans, Diego Maradona est entré dans l’éternité bien avant l’heure, mais d’un pas lent, essoufflé par la vie et par toutes les nuits qu’il ne voulait jamais quitter avant l’aube. » « La disparition de Diego Maradona révèle que les surenchères funèbres ne sont pas réservées qu’aux divinités imaginées par les hommes pour conjurer l’effroi de la mort, pointent Les Dernières Nouvelles d’Alsace. Hier, la planète Covid s’est arrêtée de tourner un instant pour accueillir la nouvelle du décès d’un de ces dieux du stade qui désinhibent les passions et purgent les peuples depuis la nuit des temps. » Génial et cabochard Et Sud-Ouest le compare aux plus grands : « Il était au football ce qu’Elvis Presley était au rock’n’roll, ce que Michael Jackson était à la pop music ou ce que Gérard Depardieu est au cinéma. Lâché par son cœur que d’innombrables frasques n’avaient pas ménagé, Diego Maradona devait certes sa célébrité à ce ballon rond dont il faisait ce qu’il voulait grâce à un pied magique. Mais son nom était connu dans le monde entier, y compris de ceux qui n’éprouvent aucune chair de poule en entendant chanter un stade. Maradona aurait déjà dû mourir une dizaine de fois, s’exclame encore Sud-Ouest, victime de ses excès de fêtes, d’alcool, de cocaïne et de médicaments. Il avait invoqué "la main de Dieu" pour justifier ce but de la victoire, marqué au Mondial 86 contre l’Angleterre. Le but le plus ahurissant et le plus scandaleux de l’histoire du football mais qui avait serti un nouveau diamant dans la légende de ce gamin génial et cabochard. À force de défier la mort, Maradona a fini par lui céder et la main de Dieu n’a cette fois rien pu faire pour le mettre à l’abri. » Tel une rock star… « Céleste », s’exclame pour sa part Libération en Une. Avec cette photo pleine page d’un Maradona de dos, revêtu justement du maillot argentin ciel et blanc, le fameux albiceleste, arborant fièrement son numéro 10. « Véritable virtuose du ballon rond, Diego Maradona pouvait dans ses meilleures performances nous faire douter des lois de la physique, s’exclame Libération, autrement dit de notre propre mort. Ses dribbles, ses feintes et ses slaloms terrifiaient les joueurs adverses, poussant des scientifiques à émettre sérieusement l’idée que son centre de gravité était plus bas que la normale (…). Son deuxième but lors de la victoire de l’Argentine sur l’Angleterre durant la Coupe du monde de 1986 est probablement le plus beau dans l’histoire du football. » « C’était une rock star absolue », renchérit l’écrivain Olivier Guez dans Le Parisien. « Sauf qu’au lieu d’avoir une guitare, il avait un ballon », affirme le Prix Renaudot 2017. « Maradona, c’est un mélange de Keith Richards, du meilleur acrobate de cirque et de Pelé. Il est unique en son genre. » La légende continuera de courir… Au final, constate Le Figaro, « misère, blessures, drogue, scandales, excès, Diego Maradona, considéré comme l’un des plus grands joueurs de l’histoire, s’est toujours relevé de tout. Au prix de nombreuses cures de désintoxication à Cuba ou en Suisse quand son corps de "Bibendum" menaçait de céder. Mais même au plus fort de la déchéance, jamais le lien n’a été rompu avec cette star, à qui tout a été pardonné, et ses inconditionnels. Naples n’a rien oublié des années fastes. Son portrait habille toujours certains murs. La légende de l’enfant des bidonvilles devenu roi du football continuera de courir dans les rues de Buenos Aires. Et d’ailleurs… »
durée : 02:00:31 - Le 7/9 - Bixente Lizarazu, consultant football de France Inter, Omar Da Fonseca, ancien footballeur, Olivier Guez, écrivain, et Didier Leschi, directeur général de l’Office français de l’immigration et de l’intégration, auteur de Ce grand dérangement , l’immigration en face (Gallimard), sont les invités du 7/9.
Irgendwann hatte man sich das mal genau so vorgestellt mit dem Europäerdasein: in England und Belgien studieren. In den Nullerjahren nach Berlin ziehen und dort mit den lustigen Vögeln abhängen, die die ganze Nacht ausgehen, Mini-Mieten zahlen und sich dafür als Künstler bezeichnen lassen. Ein Drehbuch schreiben, dafür den deutschen Filmpreis gewinnen. Weiter nach Paris ziehen. Einen Bestseller schreiben, einen der wichtigsten französischen Literaturpreise gewinnen, Macron kennenlernen, mit Mick Jagger zum Fußball gehen, und schließlich … weiter nach Rom ziehen. Während die meisten von uns diese Bucket List Punkt für Punkt beerdigt haben, hat der gebürtige Straßburger Olivier Guez sie durchgezogen. Als Autor befasst er sich damit, wie die deutsche mit der jüdischen Geschichte verwoben ist: Für sein Drehbuch „Der Staat gegen Fritz Bauer“ hat er den Deutschen Filmpreis gewonnen, für sein Buch „Das Verschwinden des Josef Mengele“ wird er gefeiert, jetzt ist sein neuer Roman „Koskas und die Wirren der Liebe“ in Deutschland erschienen. Wir freuen uns sehr, dass er heute bei uns ist. Herzlich willkommen bei Die Sucht zu SEHEN: der französische Autor Olivier Guez.
Le 6 octobre 1989, quand il reçoit Gorbatchev pour célébrer les 40 ans de la RDA, Erich Honecker, principal dirigeant de la RDA, contemple avec sérénité l'avenir de son pays. Un mois plus tard, le tourbillon de l'Histoire balaie toutes ses illusions : le Mur de Berlin tombe dans la nuit du 9 au 10 novembre. Pendant ces quelques semaines ils sont des milliers à affronter la Stasi, à ébranler le Mur et la dictature. Reporters expérimentés, Olivier Guez et Jean-Marc Gonin ont fait de ces acteurs anonymes les héros de ce livre. À partir de leurs témoignages et d'un considérable travail de recherche, Olivier Guez, invité de l'IPW, nous raconte de l'intérieur ces jours qui ont fait basculer le XXe siècle. Dans le cadre de l'entretien avec Marie-Madeleine Rigopoulos, Olivier Guez s'exprimera également sur l' Europe Contemporaine. Olivier Guez et Marie-Madeleine Rigopoulos au Centre Culturel de Rencontre Abbaye de Neumünster le 24 octobre 2019 © Carlo Link Olivier Guez, né en 1974 à Strasbourg, est un journaliste et écrivain français. Après des études à Sciences-Po Strasbourg, London School of Economics et au Collège d'Europe de Bruges, il travaille comme journaliste indépendant pour plusieurs grands médias internationaux, dont le New York Times, Le Monde, Le Figaro Express et la Frankfurter Allgemeine Zeitung. Il réalise des enquêtes et reportages sur l'Europe centrale, l'Amérique latine, le Moyen-Orient et l'Union européenne. Olivier Guez est l'auteur de plusieurs essais et de romans, dont "La chute du mur" (Fayard 2009, avec Jean-Marc Gonin) et "La Disparition de Josef Mengele" (Grasset, 2017) pour lequel il a reçu le prix Renaudot en 2017. Marie-Madeleine Rigopoulos, après avoir passé huit ans à Europe1 puis huit ans à France Inter comme chroniqueuse littéraire et intervieweuse, et après avoir été pendant quatre ans responsable de la programmation du salon du livre de Paris, elle est aujourd'hui commissaire générale du livre sur la Place à Nancy, premier salon national de la rentrée littéraire, parrainé par l'Académie Goncourt. (Textes: IPW Institut Pierre Werner) Enregistrement: IPW / Montage: Carlo Link IPW: https://www.ipw.lu/accueil/
On peut tout plaquer à 40 ans et en étant père de famille, pour repartir à zéro. La preuve avec Christophe Servell, l’invité de cet épisode de Génération Do It Yourself. Son pari (réussi) : réinventer le goût du café, et en faire un produit gastronomique, comme on élabore du bon vin (et je sais de quoi je parle, je viens d’une famille de viticulteurs corses !). -------Juste pour vous chers auditeurs, deux codes promo : 20% de remise sur les cafés en grains / moulus et les capsules, à valoir sur l’eshop avec le code GDIY.100% de remise sur le café le 1er mois pour tout nouveau client Pro "Génération Do it Yourself" → contactez les ici : pro@terresdecafe.com------- Dans cet épisode, il me raconte son formidable parcours, l’importance de connaître l’origine de son produit, la fierté nécessaire pour être heureux dans son travail et son combat pour l’environnement et pour une consommation plus éthique. “Un café, pour qu’il soit beau, il faut des arbres, des gens heureux et de la fierté.”Et pourtant, le café et Christophe, ça n’a pas toujours été une histoire évidente. Malgré un grand-père torréfacteur et une mère ayant sa propre boutique, il passe d’abord par la radio puis lance deux boîtes : l’une de création de sites web “Websidestory” et une autre de production. Il faudra attendre une visite dans un célèbre magasin de café en dosette pour créer le déclic.“Tout ça m’a fait repenser au café. Je me suis dit que le café c’était comme un fruit, il y a une fermentation, j’étais certain qu’il y avait quelque chose à faire. ” Le reste n’est que du succès : la première boutique dans le Marais, l’ouverture au marché du B to B, une seconde levée de fonds, le développement à l’international …Un épisode passionnant, où l’on parle de café évidemment mais aussi de vin, de littérature, d’environnement et de nos pires nuit blanches … celles passées à cause de nos enfants ! Christophe lit tous les soirs, et il recommandeCéline, qui a changé son monde à jamaisFief de David Lopez, Lauréat du prix France Inter 2018 et qui se considère comme un successeur de Céline Le siècle de dictateurs, sous la direction d’Olivier Guez. Un MUST read pour comprendre comment fonctionne la dictature, la répression, l’autorité et surtout ce qui se passe quand un pays commence à sombrer dans l’obscurité … Et je vous recommande son livre Culture café - la révolution du café de spécialité. Un petit coucou à Julia, fondatrice d’Envouthé ! Pour organiser des séances de dégustation de thé en entreprises, contactez francois@cosavostra.com Et un petit coucou à mon fournisseur de café, Franck
durée : 00:23:14 - L'invité de 8h20 : le grand entretien - par : Nicolas Demorand, Léa Salamé - Pourquoi sommes-nous autant fascinés par l'histoire des dictateurs ? L'historien et écrivain Olivier Guez a dirigé "Le siècle des dictateurs", un nouvel ouvrage qui rassemble les portraits de vingt-deux d'entre eux, célèbres ou méconnus. Il est l'invité du grand entretien du 6/9, au micro de Pierre Weill.
durée : 00:46:16 - Signes des temps - par : Marc Weitzmann - Peut-on construire une histoire de l'Europe ? - invités : Olivier GUEZ, Thomas Serrier, Benjamin Haddad - Olivier Guez : Ecrivain Thomas Serrier : Historien, co-directeur de l'ouvrage Europa, notre histoire et professeur à l'Unviesrité de Lille, fellow à l'Institut d'Etudes avancées de Nantes Benjamin Haddad : chercheur à l'Hudson Institute (Washington) - réalisé par : Véronique Vila
In der ersten Folge unseres Podcasts stellen wir das erste Buch vor (Olivier Guez - Das Verschwinden des Josef Mengele) und bringen einige zusätzliche Informationen zu Olivier Guez und Josef Mengele (inkl. weiterführender Literatur). Außerdem unterhalten wir uns über die von uns zuletzt gelesenen Titel. __________________________ 1. Mullen, Thomas - Darktown, Köln 2018. 2. Beckett, Simon - Die ewigen Toten, Hamburg 2019. 3. Schirach, Ferdinand von - Verbrechen, München 2010. 4. Schirach, Ferdinand von - Kaffee und Zigaretten, München 2019. __________________________ 1. Guez, Oliver - Das Verschwinden des Josef Mengele, Berlin 2018. 2. Keller, Sven - Günzburg und der Fall Josef Mengele. Die Heimatstadt und die Jagd nach dem NS-Verbrecher, München 2003 (Schriftenreihe der Vierteljahreshefte für Zeitgeschichte 87). 3. Nyiszli, Miklós - Im Jenseits der Menschlichkeit. Ein Gerichtsmediziner in Auschwitz,Berlin 1992. 3. Völklein, Ulrich - Josef Mengele. Der Arzt von Auschwitz, Göttingen 1999. 4. Völklein, Ulrich - Dr. med. Eduard Wirths. Ein Arzt in Auschwitz. Eine Quellenedition, Norderstedt 2005. __________________________ Social Media Kanäle von Frontispiz: Podigee: https://frontispiz.podigee.io/ Twitter: https://twitter.com/Frontispizpcast Instagram: https://www.instagram.com/frontispizpodcast/?hl=de
L'écrivain Olivier Guez depuis la Russie, et l’ancien député PS de Seine-et-Marne et maître de conférence à Sciences Po Paris Eduardo Rihan Cypel depuis Paris, racontent leur Coupe du monde.
L'écrivain Olivier Guez depuis la Russie, et l’ancien député PS de Seine-et-Marne et maître de conférences à Sciences Po Paris Eduardo Rihan-Cypel depuis Paris, racontent leur Coupe du monde.
L'écrivain Olivier Guez depuis la Russie, et l’ancien député PS de Seine-et-Marne et maître de conférence à Sciences Po Paris Eduardo Rihan-Cypel depuis Paris, racontent leur Coupe du monde.
L'écrivain Olivier Guez depuis la Russie, et l’ancien député PS de Seine-et-Marne et maître de conférence à Sciences Po Paris Eduardo Rihan-Cypel depuis Paris, racontent leur Coupe du monde.
L'équipe de France fait mieux que Messmer l'hypnotiseur. Elle a réussi à endormir des dizaines de millions de spectateurs. Comme ça, en une frappe décadrée de Giroud. On débriefe le soporifique 0-0 contre le Danemark. Et on prend des nouvelles des Bleus avec notre envoyé spécial. L'Argentine a sauvé sa peau dans ce Mondial grâce à un but de Rojo à la 86e minute. La récompense ? Participer au prochain 0-0 contre l'équipe de France. Les Allemands doivent gagner contre la Corée du Sud cet après-midi pour se qualifier en huitièmes. Vont-ils gueuler? Vont-ils rire? C'est le thème de notre jeu du jour. Et comme tous les jours, vous retrouvez les pronos d'une personnalité. Aujourd'hui, l'écrivain Olivier Guez, lauréat du prix Renaudot 2017 pour "La Disparition de Joseph Mengele." Invité: Sylvain Gouverneur
L'écrivain Olivier Guez depuis la Russie, et le porte-parole du PS Eduardo Rihan-Cypel depuis Paris, racontent leur Coupe du monde.
L'écrivain Olivier Guez depuis la Russie, et le porte-parole du PS Eduardo Rihan-Cypel depuis Paris, racontent leur Coupe du monde.
L'écrivain Olivier Guez depuis la Russie, et le porte-parole du PS Eduardo Rihan-Cypel depuis Paris, racontent leur Coupe du monde.
L'écrivain Olivier Guez depuis la Russie, et le porte-parole du PS Eduardo Rihan-Cypel depuis Paris, racontent leur Coupe du monde.
L'écrivain Olivier Guez depuis la Russie, et le porte-parole du PS Eduardo Rihan-Cypel depuis Paris, racontent leur Coupe du monde.
L'écrivain Olivier Guez depuis la Russie, et le porte-parole du PS Eduardo Rihan-Cypel depuis Paris, racontent leur Coupe du monde.
Nicky Aerts praat met Daan Heerma Van Voss over zijn nieuwe roman 'Noem het liefde' (De Bezige Bij). Filosoof Pieter Adriaens las 'Gedaanten van de waanzin' van Rob van den Bosch. Christophe Vekeman brengt 'De verdwijning van Josef Mengele' van Olivier Guez mee.
David Szalay, “Tutto quello che è un uomo” - Olivier Guez, “La scomparsa di Josef Mengele” - Daniel Mendelsohn, “Un’Odissea” - Sylvie Schenk, “Veloce la vita” - Maurizio De Giovanni, “Sara al tramonto”
David Szalay, “Tutto quello che è un uomo” - Olivier Guez, “La scomparsa di Josef Mengele” - Daniel Mendelsohn, “Un’Odissea” - Sylvie Schenk, “Veloce la vita” - Maurizio De Giovanni, “Sara al tramonto”
À propos du livre : « La disparition de Josef Mengele » - Prix Renaudot 2017 aux éditions Grasset 1949 : Josef Mengele arrive en Argentine. Caché derrière divers pseudonymes, l’ancien médecin tortionnaire à Auschwitz croit pouvoir s’inventer une nouvelle vie à Buenos Aires. L’Argentine de Peron est bienveillante, le monde entier veut oublier les crimes nazis. Mais la traque reprend et le médecin SS doit s’enfuir au Paraguay puis au Brésil. Son errance de planque en planque, déguisé et rongé par l’angoisse, ne connaîtra plus de répit… jusqu’à sa mort mystérieuse sur une plage en 1979. Comment le médecin SS a-t-il pu passer entre les mailles du filet, trente ans durant ? La Disparition de Josef Mengele est une plongée inouïe au cœur des ténèbres. Anciens nazis, agents du Mossad, femmes cupides et dictateurs d’opérette évoluent dans un monde corrompu par le fanatisme, la realpolitik, l’argent et l’ambition. Voici l’odyssée dantesque de Josef Mengele en Amérique du Sud. Le roman-vrai de sa cavale après-guerre.
À propos du livre : « La disparition de Josef Mengele » - Prix Renaudot 2017 aux éditions Grasset 1949 : Josef Mengele arrive en Argentine. Caché derrière divers pseudonymes, l’ancien médecin tortionnaire à Auschwitz croit pouvoir s’inventer une nouvelle vie à Buenos Aires. L’Argentine de Peron est bienveillante, le monde entier veut oublier les crimes nazis. Mais la traque reprend et le médecin SS doit s’enfuir au Paraguay puis au Brésil. Son errance de planque en planque, déguisé et rongé par l’angoisse, ne connaîtra plus de répit… jusqu’à sa mort mystérieuse sur une plage en 1979. Comment le médecin SS a-t-il pu passer entre les mailles du filet, trente ans durant ? La Disparition de Josef Mengele est une plongée inouïe au cœur des ténèbres. Anciens nazis, agents du Mossad, femmes cupides et dictateurs d’opérette évoluent dans un monde corrompu par le fanatisme, la realpolitik, l’argent et l’ambition. Voici l’odyssée dantesque de Josef Mengele en Amérique du Sud. Le roman-vrai de sa cavale après-guerre.
Olivier Guez est l'auteur d'Eloge de l'esquive (Grasset, 2014), un essai sur le dribble brésilien vu sous l'angle de l'histoire, de la sociologie, de l'anthropologie... L'esquive, dans le football brésilien, est élevée au rang d'un grand art. Et c'est une clé de compréhension du pays : les victoires et les défaites des joueurs de l'équipe nationale y ont été plus qu'ailleurs des étapes fondatrices de la vie collective. L'histoire du dribble est une histoire sociale, aux sources du métissage racial brésilien : les premiers joueurs noirs du Brésil ont commencé à dribbler pour éviter les contacts avec les défenseurs blancs et ne pas se faire rosser sur la pelouse et à la fin des matchs. Garrincha, Pelé et quelques autres ont été les génies d'un style footballistique qui correspond à la démarche chaloupée des "malandros" des favelas, se jouant des obstacles de toutes sortes pour affirmer la puissance de la vie dans l'astuce et la joie.
Ce jeudi 1er juillet, Pierre Ferracci, PDG du groupe de conseil Alpha, président du Paris Football Club, s'est notamment penché sur la possible perturbation des départs en vacances avec les divers mouvements de grève, et Olivier Guez, écrivain, auteur du livre "Une passion absurde et dévorante", ainsi que Cédric Roussel, député LREM des Alpes-Maritimes, se sont notamment penchés sur le début de la diffusion sur Amazon des matchs de Ligue 1 le 24 juillet prochain, dans l'émission Le Grand Journal de l'Éco présentée par Hedwige Chevrillon.Support this podcast at — https://redcircle.com/le-grand-journal-de-leco/donationsAdvertising Inquiries: https://redcircle.com/brandsPrivacy & Opt-Out: https://redcircle.com/privacy
Ce jeudi 1er juillet, Elisabeth Moreno, ministre déléguée chargée de l'Égalité entre les femmes et les hommes, et de la Diversité, Pierre Ferracci, PDG du groupe de conseil Alpha, président du Paris Football Club, Olivier Nataf, président d'AstraZeneca France, Olivier Guez, écrivain, auteur du livre "Une passion absurde et dévorante", ainsi que Cédric Roussel, député LREM des Alpes-Maritimes, étaient les invités dans l'émission Le Grand Journal de l'Éco présentée par Hedwige Chevrillon.Support this podcast at — https://redcircle.com/le-grand-journal-de-leco/donationsAdvertising Inquiries: https://redcircle.com/brandsPrivacy & Opt-Out: https://redcircle.com/privacy