Commune in Île-de-France, France
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durée : 00:04:04 - Des chars, un défilé famililal et de la musique pour la Pekno parade de Saint-Cadou en Sizun
Hello and welcome (and a special hello and welcome to Adam Danger, who reads this 'sometimes')... to Episode 211 of Front End Chatter, the motorbicycling podcast prefrontally-lobotomised by Simon Hargreaves and Martin Fitz-Gibbons, two motorcycle journalists who've been doing since their own, personal Day Ones. We are, as always and hopefully forever, in debt to and grateful for the patronage of Bennetts, Britain's Best Bike Insurers – FACT – and bikesocial.co.uk, the bestest and brightest biking website and YouTube channel, amen. And on the pod this time around the sun, we have: • news of BMW's R1300 R • how to make BMW's £25k R1300 GSA better for £9.99 (with thanks to Neil at NJW Moto YouTube) • Yamaha's half fuel, half battery hybrid MT-09 • KTM in more trouble • Triumph's smashing super smart updated Trident and Tiger Sport 660s Plus emails and missives from you, dear FEC listener, including a spectacular rant from Martin – bit of a collector's item. Thank you very much for listening, look forward to seeing some of you on the forthcoming FEC Highland Flings (have I mentioned we're going ON HOLIDAY!)... ..oh, and please send your emails, questions, queries, thoughts, ponderings, which bike should you buy next to: anything@frontendchatter.com Chars!
Pékin, 1989. Les étudiants rêvent de changement et réclament plus de liberté. Très vite, une foule les rejoint, portée par un immense vent de contestation. Mais l'armée répond en ouvrant le feu sur les manifestants. Sur la place Tian'anmen, la contestation est balayée. En Chine, la mémoire de ces événements reste encore taboue. Revivez ces jours tragiques où l'espoir a été écrasé par les blindés. Crédits : Lorànt Deutsch, Éric Lange. Du lundi au vendredi de 15h à 15h30, Lorànt Deutsch vous révèle les secrets des personnages historiques les plus captivants !Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Pékin, 1989. Les étudiants rêvent de changement et réclament plus de liberté. Très vite, une foule les rejoint, portée par un immense vent de contestation. Mais l'armée répond en ouvrant le feu sur les manifestants. Sur la place Tian'anmen, la contestation est balayée. En Chine, la mémoire de ces événements reste encore taboue. Revivez ces jours tragiques où l'espoir a été écrasé par les blindés. Crédits : Lorànt Deutsch, Éric Lange. Du lundi au vendredi de 15h à 15h30, Lorànt Deutsch vous révèle les secrets des personnages historiques les plus captivants !Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
La banda de rock y ska nacida en los años 90, que supo recorrer muchos escenarios de nuestro país tanto en festivales como en la escena under, se tomó un impasse de 17 años y en 2022 tuvieron la urgencia de juntarse y volver a tocar.Con algunos de los integrantes que fundaron la banda y otros que se sumaron ahora, han estado tocando aquellos viejos temas y otros nuevos con temáticas que vigentes y nuevos ritmos.El próximo domingo 27 de abril presentarán el espectáculo "Transmutando". Un show en el que prometen hacer vibrar todos los sentidos. Proyecciones de mapping, música, fuego y experiencias escénicas, con artistas invitados internacionales de Chile y nacionales en la explanada del Hotel del Prado.Será a las 17:30 horas con entrada libre.
Tous les week-ends, à 6h51 et 8h20, évasion touristique et gastronomique avec Vanessa Zhâ et Olivier Poels. Ils nous font découvrir quelques pépites du patrimoine, et des bons plans en France et à l'étranger. De quoi vous faire voyager !Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Depuis l'invasion à grande échelle de l'Ukraine en février 2022, la Pologne a connu une remontée en puissance spectaculaire. Varsovie consacre désormais 4,7% de son PIB à son armée et consacre la moitié de son effort financier aux seuls achats d'équipement. D'ici 2030, le pays sera, sur le plan conventionnel, la première armée d'Europe. Au micro de Simon Desplanque et de Vincent Gabriel, Amélie Zima (IFRI) revient sur les origines de ce réarmement, sur les obstacles qu'il a dû surmonter ainsi que le contexte géopolitique dans lequel il s'inscrit et rient également sur les conséquences que celui-ci pourrait avoir sur l'équilibre des puissances au niveau européen.L'étude d'Amélie Zima et de Léo Péria-Peigné est disponible ici.Avec Simon Desplanque & Vincent GabrielInvitée : Amélie Zima (IFRI)Suivez le podcast ! Il est désormais sur X/Twitter : @20MPC_podcast & LinkedIn ! Générique : Léopold Corbion (15 Years of Reflection)Miniature : Sarah DargentoHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Alexandre Le Mer reçoit Philippe Ballard, porte-parole du Rassemblement National et député de l'Oise. Au menu : les enjeux de la guerre en Ukraine et le rôle que la France pourrait jouer dans un éventuel processus de paix.Philippe Ballard, représentant de l'opposition, fait connaître la position ferme de Marine Le Pen : hors de question de soutenir l'adhésion rapide de l'Ukraine à l'Union Européenne. Un point de désaccord majeur avec le gouvernement français.Alors que le président Macron met en garde contre la menace russe, Philippe Ballard nuance et accuse le chef de l'État de "jouer avec les peurs". Selon lui, la menace islamiste reste la priorité en France, et il faut relativiser le danger représenté par la Russie. Mais l'invité reconnaît néanmoins la nécessité de renforcer la défense nationale et les dépenses militaires.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.
250308 - Les histoires de chars avec Denis by Derrière le Volant
Ce sont plus de 40 000 personnes qui ont été forcées de quitter leur foyer en Cisjordanie occupée. Deux jours après la mise en place du cessez-le-feu à Gaza, l'armée israélienne a lancé une opération de long terme sur cette autre partie du territoire palestinien, en commençant par les villes du nord, Tulkarem et Jénine. Entre les deux se trouve Naplouse. Le poumon économique de la Cisjordanie craint d'être la prochaine cible des chars israéliens. De nos envoyés spéciaux à Naplouse,Depuis quelques jours, le camp de réfugiés de Balata a une nouvelle habitante. Saharab est arrivée avec ses quatre enfants d'un camp de Tulkarem. « Ils ont mené plusieurs raids dans notre maison, raconte la jeune femme. Nous avons choisi de rester pour les enfants. Ils nous ont envoyé des drones. Nous sommes restés jusqu'à vendredi dernier, témoigne-t-elle. Ils tiraient dans tous les sens, ils se fichaient des enfants. Ils ont forcé mon mari à rester dehors. Ils sont entrés dans ma chambre alors que j'avais mon fils asthmatique dans les bras. Il a besoin d'un inhalateur. Ils m'ont dit qu'ils n'en avaient rien à faire. Ils ont compté : 5 !... 4 !... 3 !... 2 !... 1 !... Dehors ! dehors ! »Le camp de Nour Shams était habité par des familles réfugiées en Cisjordanie suite à la création de l'État d'Israël en 1948. Saharab est partie dans un autre camp, chez sa sœur, à Balata, dans la banlieue de Naplouse. Mais ici aussi, l'armée israélienne multiplie les raids. « Les soldats israéliens peuvent arriver à tout moment, prévient-elle. Soudain, ils sont là, face à vous. »Assise sur un canapé, la mère de famille nous parle d'une voix chaleureuse et dynamique. Ces enfants s'agrippent à elle. « Ils sont terrifiés. Avant, c'étaient des moulins à paroles, maintenant, il y a une vibration étrange dans leur voix, ils sont tout pâles, se désole-t-elle. Je sais que rien n'est impossible pour l'occupation israélienne. Je suis partie du camp de Nour Shams et je me prépare à revivre la même expérience à Balata. »À lire aussi«Ils détruisent ma maison»: en Cisjordanie, l'armée israélienne rase les camps de réfugiés vides« Il n'y a pas une maison qui n'ait pas un martyr »Entre deux raids, le camp de Balata fourmille de vie. Assis sur un muret avec deux amis, un vieil homme observe les enfants jouer dans la rue. « Ici, il n'y a pas une maison qui n'ait pas un martyr, affirme-t-il. Est-ce que l'occupation israélienne arrivera à empêcher ces enfants de résister ? Nous les mettons au monde pour ça et nous leur parlons pour qu'ils n'oublient pas. »Ne pas oublier le droit au retour sur les terres que ces familles ont été forcées de quitter il y a plus de 70 ans. C'est ce souvenir qui fait des camps les foyers des groupes armés palestiniens — des « terroristes » pour Israël.Mais aujourd'hui, le gouverneur de Naplouse, Ghassan Daghlas, affirme que l'Autorité palestinienne et l'armée israélienne ont eu raison de la lutte armée à Naplouse : « Malgré tout, la ville est assiégée. Il y a un barrage à chaque entrée de la ville, pareil dans les villages. Il y a aussi de nombreuses attaques de colons israéliens, dénonce-t-il. L'Autorité palestinienne ne pourra rien faire s'il y a une offensive d'ampleur sur les quatre camps de réfugiés de la banlieue. Toute la ville est fermée, où iront les gens ? » L'annexion de la Cisjordanie est discutée jusqu'à Washington, grand allié d'Israël. En septembre dernier, l'Assemblée générale des Nations unies a pourtant donné un an à Israël pour mettre fin à sa présence illicite sur le territoire palestinien occupé.À lire aussiL'ONU adopte une résolution exigeant la fin de la «présence illicite» d'Israël dans les territoires palestiniens
Ce sont plus de 40 000 personnes qui ont été forcées de quitter leur foyer en Cisjordanie occupée. Deux jours après la mise en place du cessez-le-feu à Gaza, l'armée israélienne a lancé une opération de long terme sur cette autre partie du territoire palestinien, en commençant par les villes du nord, Tulkarem et Jénine. Entre les deux se trouve Naplouse. Le poumon économique de la Cisjordanie craint d'être la prochaine cible des chars israéliens. De nos envoyés spéciaux à Naplouse,Depuis quelques jours, le camp de réfugiés de Balata a une nouvelle habitante. Saharab est arrivée avec ses quatre enfants d'un camp de Tulkarem. « Ils ont mené plusieurs raids dans notre maison, raconte la jeune femme. Nous avons choisi de rester pour les enfants. Ils nous ont envoyé des drones. Nous sommes restés jusqu'à vendredi dernier, témoigne-t-elle. Ils tiraient dans tous les sens, ils se fichaient des enfants. Ils ont forcé mon mari à rester dehors. Ils sont entrés dans ma chambre alors que j'avais mon fils asthmatique dans les bras. Il a besoin d'un inhalateur. Ils m'ont dit qu'ils n'en avaient rien à faire. Ils ont compté : 5 !... 4 !... 3 !... 2 !... 1 !... Dehors ! dehors ! »Le camp de Nour Shams était habité par des familles réfugiées en Cisjordanie suite à la création de l'État d'Israël en 1948. Saharab est partie dans un autre camp, chez sa sœur, à Balata, dans la banlieue de Naplouse. Mais ici aussi, l'armée israélienne multiplie les raids. « Les soldats israéliens peuvent arriver à tout moment, prévient-elle. Soudain, ils sont là, face à vous. »Assise sur un canapé, la mère de famille nous parle d'une voix chaleureuse et dynamique. Ces enfants s'agrippent à elle. « Ils sont terrifiés. Avant, c'étaient des moulins à paroles, maintenant, il y a une vibration étrange dans leur voix, ils sont tout pâles, se désole-t-elle. Je sais que rien n'est impossible pour l'occupation israélienne. Je suis partie du camp de Nour Shams et je me prépare à revivre la même expérience à Balata. »À lire aussi«Ils détruisent ma maison»: en Cisjordanie, l'armée israélienne rase les camps de réfugiés vides« Il n'y a pas une maison qui n'ait pas un martyr »Entre deux raids, le camp de Balata fourmille de vie. Assis sur un muret avec deux amis, un vieil homme observe les enfants jouer dans la rue. « Ici, il n'y a pas une maison qui n'ait pas un martyr, affirme-t-il. Est-ce que l'occupation israélienne arrivera à empêcher ces enfants de résister ? Nous les mettons au monde pour ça et nous leur parlons pour qu'ils n'oublient pas. »Ne pas oublier le droit au retour sur les terres que ces familles ont été forcées de quitter il y a plus de 70 ans. C'est ce souvenir qui fait des camps les foyers des groupes armés palestiniens — des « terroristes » pour Israël.Mais aujourd'hui, le gouverneur de Naplouse, Ghassan Daghlas, affirme que l'Autorité palestinienne et l'armée israélienne ont eu raison de la lutte armée à Naplouse : « Malgré tout, la ville est assiégée. Il y a un barrage à chaque entrée de la ville, pareil dans les villages. Il y a aussi de nombreuses attaques de colons israéliens, dénonce-t-il. L'Autorité palestinienne ne pourra rien faire s'il y a une offensive d'ampleur sur les quatre camps de réfugiés de la banlieue. Toute la ville est fermée, où iront les gens ? » L'annexion de la Cisjordanie est discutée jusqu'à Washington, grand allié d'Israël. En septembre dernier, l'Assemblée générale des Nations unies a pourtant donné un an à Israël pour mettre fin à sa présence illicite sur le territoire palestinien occupé.À lire aussiL'ONU adopte une résolution exigeant la fin de la «présence illicite» d'Israël dans les territoires palestiniens
Dans cet épisode, on jase de couleurs de chars dans ce qu'on peut appeler Les grands sondages qui ne changent pas le monde du BOOST!, on vous présente un pas pire cas de messagers multiples vécu par Mathieu hier soir et Alex est en furie à cause de ces artistes et groupes célèbres qui n'ont jamais été mis en nomination au Temple de la renommée du rock and roll!
Thaipoosam Cavadee 2025 : Interdiction de véhiculer des chars de plus de 3 mètres de haut, précise Manoven Sadayen.
Aujourd'hui, Barbara Lefebvre, Étienne Liebig et Camille Fournil débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
C'est un projet structurant pour l'Europe de la Défense, son nom : le MGCS, pour système principal de combat terrestre. Ce char du futur, qui doit remplacer le Leopard 2 dans l'armée allemande et le Leclerc dans l'armée française vers 2040, peine pourtant à décoller. Mais le canon de ce char du futur existe déjà, KNDS France a présenté l'Ascalon, mais il fait l'objet de désaccords entre industriels. Qu'il est difficile de s'entendre lorsqu'on est quatre. Le char du futur est porté par Thales, Knds France–anciennement Nexter- Knds Allemagne avec Krauss Maffei Wegmann et enfin Rheinemetall, le géant allemand de la défense. Pour garantir un partage équitable des tâches, huit piliers capacitaires ont été édictés. Mais les choix technologiques seront faits après évaluation et des deux côtés du Rhin, on s'écharpe sur le canon.Rheinmettal a fait le choix d'un tube de 130 mm, quand Nexter propose l'Ascalon deux tubes pour tirer des obus de 120 et 140 mm.L'Ascalon est doté d'une architecture Super ShotEt l'Ascalon, nous l'avons vu au dernier salon d'Eurosatory, monté sur un char Leclerc Evolution, François Groshanny directeur de programme Char de combat futur chez KNDS France nous en a fait la présentation : « Quatre caractéristiques essentielles, d'abord, un niveau de puissance délivré à la bouche et à la cible jamais égalé. On a là une capacité à changer de calibre en moins de 30 Min. Troisième caractéristique, il est extrêmement compact, donc on utilise une architecture dite super shot. On voit ici la munition qui est une munition de 140 qui fait donc 130 millimètres de haut. Dernière chose, on travaille beaucoup à l'intégrabilité de ce canon en tourelle pour avoir une empreinte à l'intérieur de la tourelle qui est minimale et donc on pourra loger plus de personnel en châssis. » À lire aussiÀ quoi servent les chars sur le champ de bataille?Côté français, l'on craint que Rheinmetall et Krauss Maffei Wegmann réunis impose le canon allemand, et ce, malgré le coup d'avance de Nexter qui avec l'Ascalon propose une technologie de rupture. « Ascalon, c'est d'abord une technologie. »,François Groshanny,« Ici, elle est déclinée en 140 et en 120. Mais c'est une technologie qui pourrait être déclinée dans un autre calibre si c'était de nature à faire l'assentiment d'une force occidentale intéressée par le canon. Tout le monde connaît bien le canon du César qui est aujourd'hui une référence mondiale. On espère faire de l'Ascalon également la référence mondiale, mais cette fois-ci, pas sur le segment de l'artillerie, mais sur le segment des chars. »Des arbitrages industriels lourds de conséquencesIl y a donc des arbitrages industriels lourds de conséquences, surtout dans un contexte de retour de la guerre de haute intensité. La France ne veut pas devenir un nain industriel dans le segment des chars de combat. Pour François Groshanny, « La guerre en Ukraine a remis sur le devant de la scène la guerre symétrique. La France était plutôt organisée autour d'une armée de projection. On voit que cette période est révolue. On est en train de changer d'ère. Et quand on change d'ère et qu'on revient au combat asymétrique, ça veut dire qu'il faut se rééquiper avec toute la gamme et pas seulement avec la gamme des véhicules médians. Et puis le segment du char est un segment stratégique puisque c'est autour de ce segment qu'est en train de se réorganiser l'industrie de défense terrestre. On est dans une phase un peu de concentration. On l'a vu, nous, avec la création de Knds Group qui résulte de la fusion de Nexter et de Krauss Maffei Wegmann. Mais cette concentration est plus générale puisqu'on voit maintenant que dans MGCS on intègre Rheinmetall. Donc c'est vraiment sur ce segment de produit que s'opère la concentration de l'industrie et chacun travaille ses domaines d'excellence pour arriver à construire dans la durée le Lego qui va faire matcher les différents industriels. »À lire aussiAccord franco-allemand pour le projet de char du futurEt pour que cela puisse « matcher » et satisfaire français et allemand, la Direction Générale de l'Armement émet l'hypothèse d'une coexistence de deux chars différents, rappelant que le projet commun ne préfigure en rien la nature du char du futur, MGCS étant avant tout un système de systèmes avec un cloud de combat et des drones. Mais qui pour l'heure reste à l'état d'ébauche.
L'épicentre du vol de véhicules à Montréal. Qui a volé le bronze de Gilles Villeneuve? Une épidémie chez nos valeureux fonctionnaires fédéraux? Une plaque d'immatriculation de très mauvais goût en Ontario… La rencontre avec Alexandre Dubé et Benoit Dutrizac.Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Dans l'actualité automobile de cette semaine : La remise provinciale pour l'achat d'un véhicule électrique diminuera de 7 000 $ à 4 000 $ dès le 1er janvier 2025. La statue de Gilles Villeneuve volée devant son musée. Stellantis termine son mois d'octobre avec seulement 1 000 ventes au Québec. Pourquoi le Kia Tasman ne sera-t-il pas commercialisé en Amérique du Nord. Ford abandonne le projet d'usine de cathodes à Bécancour. Pour sa chronique rétro, Hugues Gonnot nous parle de la Lincoln Versailles, une grosse berline qui voulait émuler la vie de palais... sur quatre roues. Antoine Joubert fait un survol des offres actuelles dans les véhicules électriques au Québec à la veille de la réduction des subventions provinciales. Cette semaine, Louis-Philippe Dubé et Antoine Joubert partagent leurs impressions de conduite au sujet de la Subaru Outback et de la Kia K4.Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Aujourd'hui dans le BOOST ! C'est fini les machines à crème glacée brisées au McDo !!! On jase au grand Denis Talbot qui lance son autobiographie : Les Aventures de M. Net et du Grand Talbot. «Gabin ça» : Quel film d'horreur vous a le plus TRAUMATISÉ ? Flo nous fait deviner des classiques rock version symphonique ! Qu'est-ce que votre chum/blonde possède en TROP ? Bonne écoute :)
Les actualités automobile de la semaine : Nissan dévoile le Murano 2025 La MINI électrique reçoit une variante John Cooper Works Hyundai signe un partenariat avec l'entreprise québécoise Lithion pour le recyclage de batteries Audi dévoile les Q6 e-tron et SQ6 e-tron en version Sportback Les déboires de Stellantis se poursuivent Pour sa chronique rétro, Hugues Gonnot nous parle de la l'Alfa Romeo Montréal, une voiture qui a été présentée à l'Expo 67. Cette semaine, Louis-Philippe Dubé et Antoine Joubert partagent leurs impressions de conduite au sujet de la Kia Carnival hybride 2025 et du Nissan Kicks 2025.Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Dans l'actualité de ce 17 octobre : L'Ukraine accueille favorablement l'annonce que l'Australie lui enverra davantage de chars.En France, l'examen du budget 2025 démarre en commission à l'Assemblée Nationale sur fond de discordances et de défiances sur les raisons du déficit. Affrontements violents entre Israël et le Hezbollah, le bilan s'alourdit alors que la France et des pays de l'UE tentent de prévenir des nouveaux incidents contre les forces des Nations Unies au Sud Liban…
durée : 00:10:02 - Journal de 18h - Fustigeant des "violations choquantes", la Force intérimaire des Nations unies au Liban réclame des explications à Israël dont l'armée aurait également empêché la force onusienne de mener un "mouvement logistique crucial."
durée : 00:10:02 - Journal de 18h - Fustigeant des "violations choquantes", la Force intérimaire des Nations unies au Liban réclame des explications à Israël dont l'armée aurait également empêché la force onusienne de mener un "mouvement logistique crucial."
Aujourd'hui dans la gang ➜ On fête les 40 ans d'un film québécois MYTHIQUE! Une nouvelle tendance à la mode : L'Adultoween! Shazam Humain spécial octobre! On rince notre boss sur ses achats d'épicerie LIVE! On jase de voitures électriques, avec Pierre Harvey et Sébastien Raîche du Salon des véhicules électriques de l'Estrie! Les lois non-écrites au cinéma! Bonne écoute!
En réussissant une percée dans la région de Koursk en août dernier, Kiev a obtenu en demi-succès qui pourrait être sans lendemain, faute notamment de chars de combats pour poursuivre la manœuvre. En l'espace d'une année, les forces armées ukrainiennes, ont perdu un grand nombre de leurs chars modernes fournis par les occidentaux. L'armée ukrainienne a perdu près de la moitié de ses 31 chars Abrams fournis après beaucoup de réticence par les américains. Sur les 21 chars allemands Leopard 2A6 qu'elle a reçu, relève le site Oryx qui documente les pertes du conflit, 12 ont été détruits ou endommagés et 21 léopard dans la version 2A4 ont été mis hors de combat. Le char, c'est du consommable, rappelle le spécialiste français de l'arme blindée, Marc Chassillan : « Dans tout conflit de haute intensité, vous avez des attritions qui paraissent totalement anormales mais qui en fait relèvent de la normalité. On a quand même quelques références pour ça. Je parle par exemple de la guerre du Kippour, 3 000 chars détruits en 3 semaines. On peut parler de la guerre Iran-Irak. Donc aujourd'hui, ce qui nous paraît énorme relève en fait de la normalité pour ce type de conflit. La guerre de haute intensité, c'est une immense chaudière qu'il faut alimenter en matériel, en munition, en rechange, en carburant, de manière quotidienne et de manière continue. C'est un énorme glouton qui absorbe absolument tout ». Le combat des ressourcesEt c'est bien le problème qui se pose à l'armée ukrainienne comment remplacer ces chars alors que son offensive surprise dans la région de Koursk lancée cet été ne progresse plus faute de ressources et subit même depuis quelques jours une contre-attaque, « C'est un peu comme au poker Kiev a fait tapis. » Marc Chassillan, « Il a tout misé sur cette offensive pour espérer renverser la situation d'un point de vue politique et stratégique. D'un point de vue strictement tactique, l'opération a réussi puisque les Ukrainiens sont rentrés sur le territoire russe, mais ce qu'ils pensaient obtenir, c'est-à-dire en fait un déplacement des unités russes du Donbass, vers ce front ne s'est pas opéré, maintenant on le sait après ces quelques semaines d'offensive. Donc là d'un point de vue opératif, c'est raté. Après, d'un point de vue stratégique, est-ce que ça a déstabilisé la Russie, Moscou, son gouvernement, son régime ? Évidemment que non. Aujourd'hui, toute la question est de savoir à quel moment finalement les Ukrainiens se retireront de cette région. Et c'est là qu'on retrouve les basiques de la guerre qui sont qu'une guerre, c'est deux combats, c'est le combat des ressources et le combat du moral ». Et le combat des ressources, c'est aussi pour l'Ukraine faire un choix aujourd'hui entre des missiles ou des chars…Des missiles à longue portée que Kiev réclame en nombre et surtout avec l'autorisation des Occidentaux de pouvoir les utiliser dans la profondeur du territoire adverse, pour attaquer les bases aériennes, d'où partent les bombes planantes russes et autres missiles fournis par l'Iran. L'heure n'est pas au combat de chars note Marc Chassillan : « Les chars ne sont rien s'ils ne sont pas environnés par les véhicules tactiques qui doivent les accompagner. Donc livrer des chars sans livrer des engins du génie pour déminer, ça ne sert à rien, sans livrer des véhicules de combat d'infanterie pour les escorter, ça ne sert à rien. Et donc le char lui-même aujourd'hui, il est une des composantes, mais il n'est pas la totalité. Il faudrait entre 500 et 700 chars modernes à l'armée ukrainienne pour obtenir quelque chose. Mais si ces chars ne sont pas capables de percer les champs de mines russes, ils ne vont pas servir à grand-chose ». Pour Kiev, l'urgence est de contrer les bombardements massifs, desserrer l'étau russe, le temps des chars reviendra à la condition expresse de renouer avec une guerre de mouvement.
Chars, blindés, drones, obus, missiles et autres munitions, systèmes électroniques, de plus en plus guidés par l'intelligence artificielle : toute l'industrie de l'armement était représentée à Eurosatory 2024, salon mondial de la défense et de la sécurité. Plus de 2.000 exposants venus de 62 pays y ont présenté leurs matériels et leurs innovations pour maîtriser le champ de bataille face aux menaces de conflits de haute intensité. Au centre des préoccupations: la guerre en Ukraine qui a profondément bouleversé le marché de la défense. Depuis l'invasion russe en février 2022, les besoins en armements ont explosé, faisant naître de nouveaux marchés pour des entreprises lancées dans la course technologique. Les pays européens, aux premières loges du conflit, sont particulièrement concernés. Comment produire vite, produire plus et dans le même temps innover ? C'est le sujet de cette émission tournée sur le site du salon Eurosatory.NOS INVITÉS : Le général Charles Baudouin, commissaire général du salon Eurosatory, président de Coges Events Le général Jean-Marc Duquesne, délégué général du GICAT (groupement des industriels françaises de la défense et de la sécurité terrestres et aéroterrestres) Bastien Mancini, directeur général du fabricant de drones Delair Franck Alexandre, journaliste à RFI spécialiste des questions de défense, auteur de la chronique hebdomadaire Lignes de défense.
Chars, blindés, drones, obus, missiles et autres munitions, systèmes électroniques, de plus en plus guidés par l'intelligence artificielle : toute l'industrie de l'armement était représentée à Eurosatory 2024, salon mondial de la défense et de la sécurité. Plus de 2.000 exposants venus de 62 pays y ont présenté leurs matériels et leurs innovations pour maîtriser le champ de bataille face aux menaces de conflits de haute intensité. Au centre des préoccupations: la guerre en Ukraine qui a profondément bouleversé le marché de la défense. Depuis l'invasion russe en février 2022, les besoins en armements ont explosé, faisant naître de nouveaux marchés pour des entreprises lancées dans la course technologique. Les pays européens, aux premières loges du conflit, sont particulièrement concernés. Comment produire vite, produire plus et dans le même temps innover ? C'est le sujet de cette émission tournée sur le site du salon Eurosatory.NOS INVITÉS : Le général Charles Baudouin, commissaire général du salon Eurosatory, président de Coges Events Le général Jean-Marc Duquesne, délégué général du GICAT (groupement des industriels françaises de la défense et de la sécurité terrestres et aéroterrestres) Bastien Mancini, directeur général du fabricant de drones Delair Franck Alexandre, journaliste à RFI spécialiste des questions de défense, auteur de la chronique hebdomadaire Lignes de défense.
On vous l'a promis : deux heures sur les chars avec Babu.J'ai rien compris de tout l'épisode. Les gars ont parlé de char et moi je disais "D'accord" à la fin de leurs phrases.Merci pour vos questions. J'imagine qu'elles pertinentes, j'en ai compris aucune.J'ai hâte d'apprendre à conduire manuel avec Babu et de faire de la drift.Dans cet épisode, je pense qu'on a parlé :- Des chars de Babu - Les gars essaient de montrer à conduire manuel - Babu à planche - La descente pas d'allure - Des affaires de chars que j'ai pas compris - Faire de la drift - Le chaos au Grand Pris de Trois-Rivières - De l'accident de moto de Babu - Gilles Villeneuve Deux Princes et un as de la course automobile
durée : 00:54:24 - franceinfo: Les informés - par : Jean-François ACHILLI - Autour de Bérangère Bonte, les informés débattent de l'actualité du mardi 7 mai 2024.
durée : 00:16:46 - Gaza, Israël déploie des chars à Rafah
durée : 00:10:44 - Les Enjeux internationaux - par : Guillaume Erner - Jeudi dernier à la Sorbonne, Emmanuel Macron a formulé ses “vœux pour l'Europe”. Entre la guerre en Ukraine à l'Est et la menace d'un retrait américain de l'OTAN en cas d'élection de Donald Trump, pour le chef de l'Etat, l'heure est à la construction d'une “défense européenne”. - invités : Olivier Schmitt Professeur de science politique
Cet épisode vous est proposé gratuitement en partenariat avec ISpeakSpokeSpoken.com la plus grande communauté d'apprentissage de l'anglais en France sponsorise cet épisode. Recevez gratuitement votre challenge PDF pour vous (re)mettre à l'anglais en 4 semaines en suivant le lien créé pour vous : www.ispeakspokespoken.com/timeline En ce début de XXe siècle, l'industrie pétrolière est maintenant en marche. Les Etats-Unis ont lancé le mouvement, et le monde veut désormais suivre le même exemple. Entre guerres, coups bas, alliances, cartels et trahisons, les plus grandes nations mondiales sortent le grand jeu et elles ne reculeront devant rien pour acquérir la nouvelle énergie miracle. C'est une question de vie ou de mort, dans certains cas, mais surtout une question de Capital, à chaque fois… Écriture : Lucie Devocelle
On tonights episode we go over the new normal post strike, chars intro into anime, hereths thoughts on spider-man 2, gaming news, marvel, ahsoka thoughts, bad batch, and avatar the last air bender s2.Where you can follow us: Hereth:Tiktok: https://www.tiktok.com/@herethproductions?lang=enTwitter: https://twitter.com/Hereth_editsInstagram: https://www.instagram.com/herethproductions/Char:Tiktok: https://www.tiktok.com/@charcharjay?lang=enTwitter: https://twitter.com/charcharjayInstagram: https://www.instagram.com/charcharjay/Luke:Tiktok: https://www.tiktok.com/@jedimastereggsTwitter: https://twitter.com/JediMasterEggsInstagram: https://www.instagram.com/jedimastereggs/Podcast SocialsTiktok: https://www.tiktok.com/@thepodwansTwitter: https://twitter.com/ThePodwansInstagram: https://www.instagram.com/thepodwans/Youtube: https://www.youtube.com/channel/UCEfQg50YPmQdCl9RFW-HnZA
Chars en action, bombardements ininterrompus, soldats mobilisés près de la frontière... Dès les premiers jours qui ont suivi les attaques meurtrières du 7 octobre, Israël a promis “d'anéantir le Hamas”. Le gouvernement de Benyamin Netanyahou a débuté son opération au sol. Mais entre les capacités de l'armée et un possible embrasement régional, les risques sont nombreux. Corentin Pennarguear, Paul Véronique et Clément Daniez, journalistes au service Monde de L'Express, nous expliquent tout dans cet épisode. Retrouvez tous les détails de l'épisode ici et inscrivez-vous à notre newsletter. L'équipe : Présentation et écriture : Charlotte BarisMontage : Mathias PenguillyRéalisation : Jules Krot Musique et habillage : Emmanuel Herschon / Studio Torrent Crédits : Europe 1, France Info, The Telegraph Logo : Anne-Laure Chapelain / Thibaut Zschiesche Pour nous écrire : laloupe@lexpress.fr Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Au 24ème jour de guerre entre Israël et le Hamas, l'organisation terroriste a diffusé une vidéo montrant trois femmes otages qui appellent Benyamin Netanyahu à conclure un échange de prisonniers. Il y aussi cette opération de l'armée israélienne à la lisière de la ville de Gaza. Opération avec des chars, qui lui a permis de couper au moins pendant une heure le principal axe routier entre le nord et le sud de la bande de Gaza.
durée : 00:20:33 - Journal de 12h30 - Depuis vendredi 27 octobre, Israël a intensifié ses bombardements sur le territoire palestinien et ses soldats y opèrent également au sol.
durée : 00:19:49 - Journal de 18h - Les premiers chars Abrams arrivent en Ukraine. Ces puissants chars américains donnent l'espoir aux forces ukrainiennes d'accélérer leur contre-offensive avant que la météo ne se détériore.
durée : 00:11:34 - Les Enjeux internationaux - par : Guillaume Erner - La contre-offensive ukrainienne se prolonge. Pour le pays, l'heure est toujours à la demande de soutien militaire aux puissances occidentales. Les chars Abrams doivent être livrés cette semaine par les États-Unis. Mais que peut vraiment changer le soutien militaire occidental ? - invités : Cédric Mas Historien militaire et président de l'Institut Action Résilience
durée : 00:19:49 - Journal de 18h - Les premiers chars Abrams arrivent en Ukraine. Ces puissants chars américains donnent l'espoir aux forces ukrainiennes d'accélérer leur contre-offensive avant que la météo ne se détériore.
C dans l'air du 22 juin : Poutine : les chars occidentaux "brûlent de bon cœur" - LES EXPERTS : - GÉNÉRAL DOMINIQUE TRINQUAND - Ancien chef de la mission militaire française auprès de l'ONU - BRUNO TERTRAIS - Directeur adjoint de la FRS - Conseiller géopolitique à l'Institut Montaigne - ANTHONY BELLANGER - Éditorialiste, spécialiste des questions internationales France Inter - IRYNA DMYTRYCHYN - Maîtresse de conférences à l'Inalco - Institut National des Langues et Civilisations Orientales Après la destruction du barrage de Kakhovka le 6 juin dernier, l'Ukraine s'inquiète au sujet de la centrale de Zaporijia. Volodymyr Zelensky a accusé ce jeudi la Russie de préparer un "attentat terroriste" impliquant une fuite "de radiations" à la centrale nucléaire occupée par les troupes russes dans le sud du pays. "Ils ont tout préparé pour cela", a déclaré sur Telegram le président ukrainien, dont le pays avait été le théâtre du pire accident nucléaire de l'histoire après l'explosion d'un réacteur à la centrale de Tchernobyl en 1986. "Nous transmettons ces informations à tous nos partenaires dans le monde entier, toutes les preuves (…) Le monde est prévenu, le monde peut et doit agir", a-t-il exhorté. "C'est un nouveau mensonge" a immédiatement réagi la Russie. "On vient juste d'avoir des contacts avec l'Agence internationale de l'énergie atomique", dont le directeur Rafael Grossi est attendu en Russie vendredi et s'est rendu la semaine dernière dans la centrale ukrainienne, a expliqué le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov. Cette installation, la plus grande d'Europe, se trouve depuis plus d'un an au cœur de la guerre lancée par la Russie contre l'Ukraine. Tombée aux mains de l'armée russe en mars 2022, elle a été visée par des tirs et a été coupée du réseau électrique à plusieurs reprises. Mais la destruction du barrage de Kakhovka a ravivé les inquiétudes et suscité des interrogations sur la pérennité du bassin servant à refroidir les six réacteurs de la centrale. En visitant le site le 15 juin dernier, le directeur de l'AIEA a estimé que la situation y était "grave" mais en cours de stabilisation. Alors quelle est la situation dans la centrale de Zaporijia ? Y a-t-il un risque d'"attentat" ? Et où en est la contre-offensive ukrainienne ? Alors que la bataille de communication se poursuit entre Kiev et Moscou, sur le terrain les combats font rage. Les troupes ukrainiennes cherchent à percer les épaisses lignes des forces russes : champs de mines, tranchées, fortifications, aviations… Mais l'avancée est lente et très difficile. Même Volodymyr Zelensky le reconnaît : la contre-offensive de l'armée de Kiev, entamée le 4 juin, connaît des progrès "plus lents que ce qui était souhaité". "Certaines personnes pensent qu'il s'agit d'un film hollywoodien et attendent des résultats immédiats. Ce n'est pas le cas", a-t-il affirmé, dans un entretien publié mercredi 21 juin sur le site de la chaîne britannique BBC. Si les premiers jours de la contre-attaque ont permis à Kiev de récupérer une dizaine de villages et environ 100 kilomètres carrés de territoire, la progression s'est depuis ralentie. Mercredi, Vladimir Poutine a déclaré à la télévision d'Etat que la contre-offensive ukrainienne n'a "aucune chance" de réussir, ajoutant que les chars de combat "Leopard, les blindés sur roue français et les chars américains brûlent de bon cœur". Mais le même jour, le chef du groupe Wagner, Evgueni Prigojine, a accusé la hiérarchie militaire russe de "cacher" les difficultés rencontrées par son armée. "L'ennemi occupe Piatykhaty, le nord de Robotyné, et Urojaïné, ce qui veut dire que de grands pans de territoire ont été perdus au profit de l'ennemi (…) Tout cela est complètement caché à tout le monde. Un jour la Russie se réveillera et s'apercevra que la Crimée est ukrainienne " a-t-il affirmé. Depuis on a appris qu'une frappe ukrainienne a touché le pont de Tchongar, reliant la Crimée à la région de Kherson. Un point stratégique : la Crimée sert notamment de base arrière logistique aux forces russes déployées dans le sud de l'Ukraine. Parallèlement, la bataille se mène aussi sur le front diplomatique. Quelques jours après la mission de médiation de sept pays africains à Kiev et Saint-Pétersbourg, Emmanuel Macron accueille ce jeudi et vendredi à Paris un "Sommet pour un nouveau pacte financier mondial". Au total, une cinquantaine de chefs d'État sont réunis pour tenter de relancer la coopération Nord-Sud. Officiellement les discussions devraient porter sur l'aide à la lutte contre le réchauffement climatique, mais la guerre en Ukraine sera également un élément central de cette rencontre. Emmanuel Macron devrait chercher à rallier les pays du Sud à la cause ukrainienne. Car la guerre a mis en lumière des lignes de fracture au sein de la communauté internationale. Avec d'un côté, les pays occidentaux unis autour de Kiev face à ce qu'ils qualifient d'agression russe. De l'autre, en Asie, en Afrique, au Moyen-Orient et en Amérique du Sud, un certain nombre de pays qui ont opté pour un positionnement plus ambigu, refusant ou s'abstenant de condamner la Russie. Une neutralité souvent calculée, liée à la défense de leurs propres intérêts (énergie, céréales…) mais aussi à la diatribe de Moscou qui ne cesse d'évoquer la création d'un ordre mondial multipolaire contre l'hégémonie de l'Occident. DIFFUSION : du lundi au samedi à 17h45 FORMAT : 65 minutes PRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40 RÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son, Benoît Lemoine PRODUCTION : France Télévisions / Maximal Productions Retrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux : INTERNET : francetv.fr FACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5 TWITTER : https://twitter.com/cdanslair INSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/
En début d'année, le Premier ministre britannique Rishi Sunak annonçait l'envoi de 14 chars Challenger 2. Dix-mille Ukrainiens ont bénéficié de ces entraînements ces six derniers mois. Le gouvernement prévoit d'en former 20 000 cette année. Notre correspondante a assisté à l'un de ces entraînements dans une base militaire dans le sud-ouest de l'Angleterre. Objectif : apprendre aux apprentis soldats à utiliser ce type de char.
Ecoutez L'oeil de Philippe Caverivière avec Philippe Caverivière du 10 février 2023
Les souhaits de Kiev sont exaucés : les alliés occidentaux de l'Ukraine lui fourniront des chars d'assaut pour contrer l'envahisseur russe. Au micro d'Alexis De Lancer, François Brousseau met en contexte l'impact possible de cette aide militaire sur la guerre en cours.
De Washington, Joe Biden a annoncé mercredi 25 janvier fournir à l'Ukraine 31 chars lourds M1 Abrams. C'est apparemment ce qui a aussi débloqué l'Allemagne à accepter livrer des chars Leopard 2 un peu plus tôt, et ouvert la porte à la promesse d'une centaine de chars occidentaux pour Kiev, par tous les alliés. Ces annonces successives ont vraiment été le fruit de semaines de négociations intenses.
EXPERTS GÉNÉRAL DOMINIQUE TRINQUAND Ancien chef de la mission militaire française auprès de l'ONU PIERRE HASKI Chroniqueur international - « France Inter » et « L'Obs » ANNIE DAUBENTON Journaliste spécialiste de l'Ukraine Auteure de « Ukraine, l'indépendance à tout prix » RYM MOMTAZ Chercheuse en politique étrangère et de défense International Institute for Strategic Studies Après plusieurs semaines de tergiversations, l'Allemagne et les États-Unis ont donné, mercredi, leur feu vert à la livraison de chars Leopard et Abrams à l'Ukraine. « Berlin va envoyer 14 chars d'assaut Leopard 2 à l'Ukraine et accepte qu'ils soient réexportés à Kiev par des pays partenaires », a ainsi annoncé le porte-parole du gouvernement allemand, Steffen Hebestreit. L'annonce attendue, intervient après les demandes répétées de l'Ukraine et les pressions d'autres pays pour autoriser ces livraisons. Dans la foulée Washington a confirmé l'envoi de 31 chars Abrams. Avant l'Allemagne et les Etats-Unis, le Royaume-Uni avait pris les devants en promettant de telles livraisons, tandis que la Pologne n'attendait plus le feu vert de Berlin pour acheminer des blindés lourds aux forces ukrainiennes. Désormais, ce sont une dizaine de pays d'Europe qui vont envoyer près d'une centaine de Leopard 2 à l'Ukraine, ces derniers s'ajoutant à ceux promis par Londres et Washington. La France, de son côté, a applaudi ces décisions mais n'a pas suivi le mouvement. La question de la livraison des chars Leclerc devrait être tranchée ces prochains jours mais le ministre des Armées a déjà fait comprendre hier sur le plateau de C dans l'air l'Invité que les discussions avec les Ukrainiens portaient aujourd'hui plus sur « la défense sol-air ou sur l'artillerie » que sur les chars Leclerc. D'ailleurs après avoir obtenu la promesse de chars lourds occidentaux, le président ukrainien a mis la barre plus haut dans son allocution d'hier soir, réclamant des missiles longue portée et des avions de combat afin de permettre à l'Ukraine de faire face aux prochaines offensives russes. Remerciant tous les alliés « pour leur volonté de nous donner des chars modernes et indispensables », Vlodimir Zelensky a également tenu à souligner que « la clé » pour renverser les forces russes sur le champ de bataille était « maintenant la vitesse des livraisons et le volume du soutien ». Alors jusqu'où iront les alliés pour aider l'Ukraine ? Après l'annonce de la livraison de dizaines de chars européens et américains à Kiev, le Kremlin a fait tirer une nouvelle salve de missiles contre l'Ukraine, notamment sur Kiev, et a dénoncé « l'engagement direct » des Occidentaux dans le conflit en Ukraine. Ni la France, ni aucun de ses partenaires, ne sont en guerre contre la Russie, a répondu de son côté le ministère français des Affaires étrangères, récusant les propos tenus par Moscou. Mais, en France, le débat s'intensifie sur la question des livraisons d'armes. Marine Le Pen a dit s'opposer à l'envoi d'armes lourdes à l'Ukraine, craignant une escalade dans le conflit contre Vladimir Poutine. A gauche, le communiste Fabien Roussel a lui réclamé un débat au Parlement, portant sur la stratégie de la France dans ce conflit et l'envoi d'armes lourdes. De son côté, le ministre des Armée Sébastien Lecornu s'est dit favorable hier soir dans C dans l'air l'invité à un « débat global sur la livraison des armes, pour bien redire à quel point il y a ceux qui veulent aider l'Ukraine et ceux qui sont un peu gênés aux entournures ». Mais de quel matériel parle-t-on ? Que pourraient changer les livraisons de chars lourds par plusieurs pays dans le conflit ? Quelle est la situation en Ukraine ? Pourquoi le président ukrainien vient-il de renvoyer plus de dix hauts responsables politiques, dont un membre proche de son cabinet ? Enfin faut-il un débat au Parlement sur les livraisons d'armes à l'Ukraine ? DIFFUSION : du lundi au samedi à 17h45 FORMAT : 65 minutes PRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40 RÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son, Benoît Lemoine PRODUCTION : France Télévisions / Maximal Productions Retrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux : INTERNET : francetv.fr FACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5 TWITTER : https://twitter.com/cdanslair INSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/
EXPERTS COLONEL MICHEL GOYA Ancien colonel des troupes de marine Historien militaire BRUNO TERTRAIS Politologue spécialiste de l'analyse géopolitique et stratégique Directeur adjoint de la FRS ELSA VIDAL Rédactrice en chef de la rédaction en langue russe - « RFI » MARION VAN RENTERGHEM Grand reporter Chroniqueuse - « L'Express » Auteure de « C'était Merkel » Cela fait des mois que l'Ukraine réclame des chars de combat occidentaux. Mais alors que les troupes ukrainiennes subissent une pression accrue sur le front oriental depuis plusieurs jours, Kiev ne cache plus son impatience et exhorte ses alliés à « cesser de trembler devant Poutine ». Le message a été reçu à Berlin et Paris. L'Allemagne ne « s'opposera pas » à la livraison de chars Leopard à l'Ukraine a répondu sans détour la cheffe de la diplomatie allemande Annalena Baerbock à une question de LCI hier. La Pologne et la Finlande qui pourraient livrer ces chars lourds à l'Ukraine ont besoin pour cela du feu vert de l'Allemagne et de son chancelier, toujours réticent à se prononcer sur la question, alors que la pression sur lui se fait de plus en plus forte. Le Premier ministre polonais a ainsi déclaré ce lundi que si l'Allemagne ne consentait pas au transfert à l'Ukraine des chars Leopard 2, la Pologne formerait une « coalition plus petite » de pays prêts à envoyer des chars et d'autres équipements. « Près d'un an s'est écoulé depuis le déclenchement de la guerre. Des preuves des crimes de guerre de l'armée russe peuvent être vues à la télévision et sur YouTube. De quoi l'Allemagne a-t-elle besoin de plus pour ouvrir les yeux et commencer à agir conformément au potentiel de l'Allemagne ? » s'est interrogé Mateusz Morawiecki, ajoutant que la Pologne ne resterait pas passive pendant que l'Ukraine est saignée. Quant à la France et ses chars Leclerc, finiront-ils par rejoindre le front ukrainien ? « J'ai demandé au ministre des Armées d'y travailler. Rien n'est exclu et cela s'apprécie en effet collectivement », a déclaré dimanche Emmanuel Macron. Mais pour que cette décision soit prise, trois critères doivent être respectés a expliqué le président de la République : « que ce ne soit pas ‘escalatoire', que ça puisse apporter un soutien réel et efficace à nos amis ukrainiens. Le troisième critère, c'est de ne pas affaiblir nos capacités propres de défense en particulier de nos structures critiques. » La question des livraisons d'armes à l'Ukraine est au centre des discussions. Vendredi se tenait à Ramstein, en Allemagne, une réunion avec tous les alliés de Kiev. L'objectif était de trouver des solutions pour venir rapidement en aide à l'Ukraine. Volodymyr Zelensky attendait beaucoup de cette rencontre, notamment sur le sujet des chars Leopard et autres véhicules blindés, nécessaires pour lancer une nouvelle offensive contre les forces russes. Mais finalement, aucune livraison n'a été planifiée alors que la Russie affirme progresser à nouveau près de Bakhmout à l'est de l'Ukraine ainsi que dans la région de Zaporijjia, au sud du pays. Le président de la Douma (chambre basse du parlement russe) a par ailleurs lancé un avertissement sur Telegram : « Si Washington et les pays de l'OTAN fournissent des armes qui seront utilisées pour frapper des villes civiles et tenter de s'emparer de nos territoires, comme ils le menacent, cela entraînera des mesures de rétorsion utilisant des armes plus puissantes (…) Les livraisons d'armes offensives au régime de Kiev conduiront à une catastrophe mondiale ». Pourquoi l'Allemagne est-elle réticente à fournir des chars Leopard à l'Ukraine ? De plus en plus sous pression, que va décider le chancelier allemand ? Quid des chars Leclerc français ? Enfin comment les Polonais s'organisent-ils face au voisin russe ? DIFFUSION : du lundi au samedi à 17h45 FORMAT : 65 minutes PRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40 RÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son, Benoît Lemoine PRODUCTION : France Télévisions / Maximal Productions Retrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux : INTERNET : francetv.fr FACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5 TWITTER : https://twitter.com/cdanslair INSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/
L'Ukraine va-t-elle bientôt recevoir des chars de combat de la part de ses alliés occidentaux ? C'est l'un des enjeux de la réunion qui se tient aujourd'hui sur la base militaire américaine de Ramstein en Allemagne. Tous les yeux sont tournés vers l'Allemagne et ses Léopard 2 qui colleraient parfaitement au terrain ukrainien.
EXPERTS ANTHONY BELLANGER Éditorialiste, spécialiste des questions internationales « France Inter » ELSA VIDAL Rédactrice en chef de la rédaction en langue russe – « RFI » MARION VAN RENTERGHEM Grand reporter Chroniqueuse – « L'Express » PIERRE HAROCHE Maître de conférences en sécurité internationale Université Queen Mary de Londres Au moins quatorze morts, dont un enfant. C'est le bilan provisoire du crash d'hélicoptère qui a eu lieu ce mercredi 18 janvier près de Kiev. Parmi les victimes, le ministre de l'Intérieur ukrainien, Denys Monastyrsky, 42 ans. Les réactions internationales ont immédiatement afflué de toutes parts. « La France présente ses condoléances à ses amis ukrainiens » a déclaré Emmanuel Macron tandis que la ministre allemande de l'Intérieur, Nancy Faeser, a annoncé avoir proposé à Kiev le « soutien » de son pays dans l'enquête sur les causes du drame. Car rien n'indique à l'heure actuelle si l'engin – qui se rendait sur le front - a été abattu ou a été victime d'une panne. Cette nouvelle tragédie survient quatre jours seulement après la frappe sur un immeuble d'habitation de Dnipo, qui a fait quarante-cinq morts selon le dernier bilan. Près d'un an après l'invasion russe de l'Ukraine, la guerre ne faiblit donc pas, bien au contraire. Le front est plus sanglant que jamais du côté de Soledar, avec des pertes russes considérables. Côté Occidentaux, les regards se tournent vers l'Allemagne sur la question des chars Leopard. La pression s'accentue pour que Berlin autorise la livraison de ces chars lourds. Une question qui fait l'objet d'un débat au sein de la coalition gouvernementale. Le chancelier Olaf Schloz, qui vient de choisir le social-démocrate Boris Pistorius comme nouveau ministre de la Défense, réclame une décision collective des alliés. Ce vendredi 20 janvier, une réunion capitale aura lieu sur ce sujet à Rammstein, dans l'ouest du pays, avec l'ensemble des ministres de la défense des pays de l'OTAN. Pendant ce temps, l'utilisation des drones comme armes de guerre est de plus en plus fréquente. Qu'ils servent à capter l'information ou à attaquer l'ennemi, l'enjeu pour chaque camp est de s'en prémunir. Côté ukrainien, les drones turcs ont permis de faire des ravages dans l'armée russe. Celle-ci utilise pour sa part des drones iraniens. Alors, que savons-nous du crash d'hélicoptère de ce matin ? L'Allemagne peut-elle refuser la livraison de chars Leopard ? Comment se défendre face aux drones ? DIFFUSION : du lundi au samedi à 17h45 FORMAT : 65 minutes PRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40 RÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son, Benoît Lemoine PRODUCTION : France Télévisions / Maximal Productions Retrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux : INTERNET : francetv.fr FACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5 TWITTER : https://twitter.com/cdanslair INSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/
EXPERTS ALAIN BAUER Professeur de criminologie - CNAM Auteur de « La guerre qui revient » FRANÇOIS CLEMENCEAU Rédacteur en chef international - « Le Journal du Dimanche » GUILLAUME ANCEL Ancien officier de l'armée française ANNE NIVAT Grand reporter - « Le Point » Auteure de « Un continent derrière Poutine ? » Un bilan dramatique. La frappe russe qui a touché ce samedi un immeuble d'habitation à Dnipro (centre-est de l'Ukraine) a fait au moins quarante morts, dont deux enfants. L'immeuble comprenait environ 1.700 résidents, ce qui laisse craindre un bilan bien plus lourd. « Je pense que le nombre de morts se comptera par dizaines », a affirmé le maire de la ville, Boris Filatov, qui pense que les Russes visaient« la centrale thermique située derrière l'immeuble». Un bombardement dont le Kremlin a nié aujourd'hui toute responsabilité. « Les forces armées russes ne bombardent pas les immeubles résidentiels mais des cibles militaires », a déclaré le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov, avant d'évoquer la piste d'un missile de défense antiaérienne ukrainien qui serait tombé sur le bâtiment. De son côté, l'Union européenne accuse la Russie de « crime de guerre ». Pendant ce temps, sur le front, les Ukrainiens reculent à Soledar mais restent campés à l'ouest de la ville. Si Vladimir Poutine a assuré que « tout se déroule selon les plans », la vice-ministre ukrainienne de la Défense, Ganna Maliar, a estimé dimanche soir que les forces ukrainiennes ont « repoussé les attaques des envahisseurs » en de multiples points dans les régions de Louhansk et Donetsk, dont Soledar. Par conséquent, « la bataille continue ». Un espoir est même présent, côté ukrainien, avec la livraison prochaine de chars lourds par les Occidentaux. En effet, l'Otan a annoncé que l'Ukraine pouvait s'attendre à recevoir de nouveaux armements lourds « dans un futur proche ». Le Royaume-Uni enverra ainsi 14 chars Challenger-2 tandis que Berlin, sous la pression de la Pologne et de la Finlande, semble prêt à livrer des chars Leopard. Les ministres de la défense des alliés de l'Ukraine se réuniront, vendredi 20 janvier en Allemagne, bien que la ministre allemande de la défense vient de démissionner. Enfin, en Lituanie comme ailleurs, les militaires proches du conflit s'entraînent en cas d'expansion de la guerre. Des avions russes s'approchent parfois des limites de l'espace de l'OTAN et sont alors repoussées par les armées européennes, notamment des pilotes français d'avion Rafale. Alors, comment analyser la frappe russe à Dnipro ? Qu'en est-il de l'avancement de la situation sur le front ? Pourquoi l'arrivée prochaine de chars lourds suscite-t-elle autant d'espoir côté ukrainiens ? Comment les pays proche de l'Ukraine peuvent-ils se protéger ? DIFFUSION : du lundi au samedi à 17h45 FORMAT : 65 minutes PRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40 RÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son, Benoît Lemoine PRODUCTION : France Télévisions / Maximal Productions Retrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux : INTERNET : francetv.fr FACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5 TWITTER : https://twitter.com/cdanslair INSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/
durée : 00:04:40 - Le journal de presque 17h17 - par : Charline Vanhoenacker, Alex Vizorek - Emmanuel Macron a annoncé que la France allait livrer des chars légers à l'Ukraine, les Insoumis recalés de la nouvelle direction du parti tiendront un meeting le 16 février, et au Mexique un des fils du narcotrafiquant « El Chapo » a été arrêté par les forces de sécurité, c'est l'actu du jour !