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Play along at home with the lyrics:[Intro]Oppa is Gangnam styleGangnam style[Verse 1]A lady who is warm and human during the dayA classy lady who knows how to enjoy a cup of coffeeA lady whose heart gets hot when night comesA lady with that kind of twist[Refrain]I am a manA man as warm as you during the dayA man who one-shots his coffee before it even cools downA man whose heart bursts when night comesSuch a man[Pre-Chorus]Beautiful, lovelyYes, you (Hey), yes, it's you (Hey)Beautiful, lovelyYes, you (Hey), yes, it's you (Hey)Shall we go from now to the end?[Chorus]Oppa is Gangnam style, uhGangnam styleOp, op, op, op, Oppa is Gangnam style, uhGangnam styleOp, op, op, op, Oppa is Gangnam style, uhAyy, sexy ladyOp, op, op, op, Oppa is Gangnam style, uhAyy, sexy ladyOp, op, op, op, eh-eh-eh, eh-eh-eh[Verse 2]A woman who seems calm but knows how to have funA woman who lets her hair down when she feels it's the right timeA woman who covers herself but is more sexy than a woman who bares it allA woman with that kind of sense[Refrain]I am a manA man who seems calm but knows how to have funA man who goes completely crazy when it's the right timeA man who is more bulging with ideas than musclesSuch a man[Pre-Chorus]Beautiful, lovelyYes, you (Hey), yes, it's you (Hey)Beautiful, lovelyYes, you (Hey), yes, it's you (Hey)Shall we go from now to the end?[Chorus]Oppa is Gangnam style, uhGangnam styleOp, op, op, op, Oppa is Gangnam style, uhGangnam styleOp, op, op, op, Oppa is Gangnam style, uhAyy, sexy ladyOp, op, op, op, Oppa is Gangnam style, uhAyy, sexy ladyOp, op, op, op, eh-eh-eh, eh-eh-eh[Bridge]A guy who runs, and then a guy who fliesBaby, baby, I am a guy who knows a thing or twoA guy who runs, and then a guy who fliesBaby, baby, I am a guy who knows a thing or two (You know what I'm sayin')[Chorus]Oppa is Gangnam styleEh-eh-eh, eh-eh-ehAyy, sexy ladyOp, op, op, op, Oppa is Gangnam styleAyy, sexy ladyOp, op, op, op, eh-eh-eh, eh-eh-ehOppa is Gangnam style, uh Jump to section:(00:12) Introduction but no waffling like you get on some podcasts. You know the ones.(00:22) Song title, writers' details, anagram shortage(02:20) To the lyrics. - Translations, Oppa/Daddy, help from K-dramas, brown TV. North Korean attack! Jack Black attack! Creepiness(25:40) Extended lyrics uncovered - Exclusive(26:55) Dave takes us through hot beverages and how to enjoy them(30:51) The artist's comments and music video(34:07) Other theories from the internet(38:45) Misheard Lyrics(41:06) Notable Trivia(48:51) Farewells and give us moneyWould you like to appear (well, vocally) on the show? Do you have a pop song or ear-worm from the SMOOTH FM genre that's infested your mind and needs to be investigated? Visit this page https://speakpipe.com/lyrics to record us your own voicemail hot-take on your specific smooth song of suckiness. You could be on a future episode! (you can always email sound files or text your thoughts to poidadavis@gmail.com if that's easier). Cheers!Find us on Twitter, Facebook, Instagram etc @LyricsPodast ... and we're on all your favourite podcasting platforms.Sound clips are included for educational reference, criticism, satire and parody in fair use. Clips remain the property of the respective rights holder and no endorsement is implied. All information and opinion is performed and expressed in-character and does not reflect reality or genuine commentary on any persons (living or dead), bands or other organisations, or their works, and is not recommended listening for anyone, anywhere.
En RDC, à la frontière avec la Zambie, environ 700 femmes de Kasumbalesa assurent le transport manuel des marchandises des petits commerçants. On les appelle les femmes « wowo ». Si leur travail est vital pour l'économie locale, il se fait dans la précarité et sous la menace permanente de violences. De notre correspondante de retour de Kasumbalesa, Dès le matin, les femmes « wowo », chargées de sacs de farine, de packs de biscuits, de lots de boissons sucrées pesant parfois de plus de 30 kilos, sont dans le couloir piétonnier de Kasumbalesa et dans la zone neutre. Un sac sur sa tête, Anto vient de braver les différentes barrières du couloir : « Il y a trois barrières. À la sortie de la Zambie, je paye 500 francs congolais. Au couloir, je donne 1 000 francs congolais et un peu plus loin, je débourse encore 1 000 francs congolais. Une fois en dehors du couloir, d'autres agents des services publics nous attendent. Des fois, je négocie avec eux et ils me laissent passer. » Des attouchements et des humiliations Au-delà de ces tracasseries, certaines femmes subissent des violences verbales de la part des agents publics. Jacquie, jeune femme veuve, rencontrée à la sortie du couloir piétonnier, témoigne : « On m'insulte souvent. Ces agents me disent. Pourquoi es-tu ici ? Où est ton mari ? Est-il incapable de te nourrir ? Bon, je n'en ai rien à faire, on supporte parce qu'ils ne connaissent pas ma situation. » D'autres subissent même des agressions sexuelles, déclare Régine Mbuyi, une autre femme « wowo » : « Lorsqu'un agent m'interpelle parfois, il me demande des faveurs sexuelles pour laisser passer la marchandise. Il arrive également que pendant la fouille, ces agents se permettent des attouchements jusque sur les parties intimes. C'est humiliant… » Les femmes « wowo » de Kasumbalesa n'ont aucune protection sociale ni de recours légal. L'Association des femmes actives dans le commerce transfrontalier (AFACT) dénonce une situation alarmante. Solange Masengo est la présidente : « Dans la zone de la Comesa, le Marché commun de l'Afrique orientale et australe, nous voyons les femmes assurer le transport transfrontalier sans problème. Mais ici, chez nous, ces femmes discriminées, elles sont chassées. Il y a des filles qui ont été humiliées et déshabillées, et nous avons des preuves. On a aussi des femmes qui ont été fouettées publiquement. Lorsque l'association veut intervenir, on nous demande de laisser la situation comme ça. Pourquoi la femme ne peut pas faire un travail de son choix ? » Pour l'heure, nous n'avons pas réussi à avoir la réaction du maire de Kasumbalesa et même du sous-directeur de la douane. Les femmes « wowo » quant à elles, continuent de porter le commerce frontalier sur leurs épaules malgré la fatigue et les humiliations. À lire aussiFemmes «wowo», ces forces invisibles du commerce transfrontalier entre la RDC et la Zambie [1/2]
À Kasumbalesa, à la frontière entre la Zambie et la RDC, se vit un trafic parallèle, loin des grands camions et des formalités douanières. Chaque jour, plusieurs centaines de femmes congolaises transportent sur leur tête, ou leur dos, des marchandises pour traverser la frontière Zambienne. On appelle ces femmes « wowo », en référence aux camions chinois de la même marque. Notre correspondante a suivi quelques-unes de ces femmes. De notre correspondante de retour de Kasumbalesa, À Kasumbalesa, deuxième poste frontalier plus important de la RDC, elles sont là, à quelques mètres des files interminables de camions : des femmes portant de lourdes charges sur la tête et le dos, qui franchissent le couloir piétonnier. Ce sont les femmes « wowo » raconte avec sourire Alphonsine, l'une d'elles : « Je suis en mesure de faire passer la charge de tout un camion. Nous sommes les mamans "wowo", c'est l'image des camions qui transportent des charges importantes. Nous travaillons en équipe. S'il faut décharger le camion, nous le faisons et puis nous transportons la cargaison jusqu'à la destination au Congo, selon les instructions du propriétaire. » Selon l'association des femmes actives dans le commerce transfrontalier, elles sont près de sept cents, tous âges confondus, qui exercent ce métier. Les petits commerçants, eux, ne s'affichent pas dès qu'ils confient la marchandise aux femmes « wowo ». Témoignage de Régine Mbuyi, une autre transporteuse : « Le petit commerçant vient acheter toute sorte d'articles, du jus, de la farine de froment, de l'huile végétale… Il me sollicite pour faire traverser ces produits. S'il est de bonne foi, il me donne aussi l'argent pour payer la douane et d'autres services publics. Mais s'il n'a rien, je dois me débrouiller. » À la sortie de la frontière côté congolais, quatre femmes arrivent chacune avec cinq packs de boisson sucrée d'environ 30 kg sur sa tête. Coût de transport, 1 500 francs congolais par course, soit moins d'un dollar. La recette journalière de chacune est de près de 5 dollars. Ces femmes doivent transporter environ une tonne. Pour y arriver, c'est la course contre-la-montre, explique Keren pendant qu'elle range les packs : « Chacune de nous a une quantité qu'elle doit transporter. Moi, j'ai 25 packs. Le commerçant a acheté 100, ce n'est pas beaucoup. Bon, on y va pour la dernière course. » Les services de douanes, quant à eux, ne voient pas d'un bon œil cette activité des femmes, car elle favoriserait un manque à gagner quotidien de près de 3 000 dollars. Pour Malaxe Luhanga, président des petits transporteurs transfrontaliers, il faut formaliser cette activité : « On peut appliquer le système de groupage selon la catégorie des marchandises et qu'elles soient taxées officiellement. On peut adopter ce système qui est admis par les pays membres du Comesa pour faciliter les transactions et la taxation par les services publics. » En attendant, des centaines des femmes « wowo » de Kasumbalesa poursuivent leur activité de manière informelle. À lire aussiLa frontière entre la Zambie et la RDC rouvre après plusieurs jours de fermetures
Manuel Comesaña finaliza su ruta hacia los Beatles para pronto comenzar una nueva, ¡no te lo pierdas!
Manuel Comesaña sigue desgranando el mundo que configuró a los Beatles. Hoy el skiffle y los ramalazos americanos. ¡No te lo pierdas!
Hoy Manuel Comesaña nos deleita con un viaje desde el ragtime hasta el maravilloso merseybeat, ¡nos acercamos a los Beatles!
Manuel Comesaña regresa por todo lo alto. Nos da la mano y andamos por el sendero de la música moderna. Empezamos por Strauss y terminamos en el R&B.
Manuel Comesaña cierra temporada con un genial repaso a todo lo descubierto desde septiembre hasta hoy, ¡no te lo pierdas!
Manuel Comesaña despide a los Beach Boys analizando el Pet Sounds y la mejor canción de la historia. ¡No te lo pierdas!
Manuel Comesaña nos sigue deleitando con los ritmos costeros de los Beach Boys, años 60 en vena. ¡Vamos con ello!
Hoy Manuel Comesaña nos sumerge en el verano desgranando a los Beach Boys en su primera etapa, ¡no te lo pierdas!
A special simulcast of this week's Off-Nominal—the other show I do, if you somehow haven't heard of it!—because it's exactly the topic list with exactly the guest I had up next on my list. I'm joined by Adrian Beil of NASASpaceflight to talk about the recent mayhem at Starbase, and to kick around European space policy topics in the run up to the ESA Ministerial later this year.This episode of Main Engine Cut Off is brought to you by 34 executive producers—Creative Taxi, David, Donald, Matt, Frank, Better Every Day Studios, Warren, Bob, Russell, Pat from KC, Pat, Lee, Joel, Tim Dodd (the Everyday Astronaut!), Ryan, Josh from Impulse, Joonas, Natasha Tsakos (pronounced Tszakos), Heiko, Will and Lars from Agile, Fred, Kris, Stealth Julian, Joakim (Jo-Kim), Theo and Violet, Jan, Steve, The Astrogators at SEE, and four anonymous—and hundreds of supporters.TopicsAdrian Beil (@BCCarCounters) / TwitterAdrian Beil, Author at NASASpaceFlight.comOff-Nominal - YouTubeEpisode 202 - Rapidly Adjusting (with Adrian Beil) - YouTubeFollowing the Loss of Ship 36, SpaceX now Focuses on Rebuilding Masseys - NASASpaceFlight.comJack Beyer on X: “Close up slow motion footage of the unexpected event(s) during Northrop Grumman's BOLE DM-1 stb test today.”Northrop Grumman tests SLS Block 2 BOLE booster in Utah; nozzle issue seen - NASASpaceFlight.comESA studying impacts of proposed NASA budget cuts - SpaceNewsESA moving ahead with ‘resilience from space' satellite imaging program - SpaceNewsThe ShowLike the show? Support the show on Patreon or Substack!Email your thoughts, comments, and questions to anthony@mainenginecutoff.comFollow @WeHaveMECOFollow @meco@spacey.space on MastodonListen to MECO HeadlinesListen to Off-NominalJoin the Off-Nominal DiscordSubscribe on Apple Podcasts, Overcast, Pocket Casts, Spotify, Google Play, Stitcher, TuneIn or elsewhereSubscribe to the Main Engine Cut Off NewsletterArtwork photo by NASAWork with me and my design and development agency: Pine Works
Anthony is joined by Adrian Beil of NASASpaceflight to talk about the recent mayhem at Starbase, and to kick around European space policy topics in the run up to the ESA Ministerial later this year.TopicsOff-Nominal - YouTubeEpisode 202 - Rapidly Adjusting (with Adrian Beil) - YouTubeFollowing the Loss of Ship 36, SpaceX now Focuses on Rebuilding Masseys - NASASpaceFlight.comJack Beyer on X: “Close up slow motion footage of the unexpected event(s) during Northrop Grumman's BOLE DM-1 stb test today.”Northrop Grumman tests SLS Block 2 BOLE booster in Utah; nozzle issue seen - NASASpaceFlight.comESA studying impacts of proposed NASA budget cuts - SpaceNewsESA moving ahead with ‘resilience from space' satellite imaging program - SpaceNewsFollow AdrianAdrian Beil (@BCCarCounters) / TwitterAdrian Beil, Author at NASASpaceFlight.comFollow Off-NominalSubscribe to the show! - Off-NominalSupport the show, join the DiscordOff-Nominal (@offnom) / TwitterOff-Nominal (@offnom@spacey.space) - Spacey SpaceFollow JakeWeMartians Podcast - Follow Humanity's Journey to MarsWeMartians Podcast (@We_Martians) | TwitterJake Robins (@JakeOnOrbit) | TwitterJake Robins (@JakeOnOrbit@spacey.space) - Spacey SpaceFollow AnthonyMain Engine Cut OffMain Engine Cut Off (@WeHaveMECO) | TwitterMain Engine Cut Off (@meco@spacey.space) - Spacey SpaceAnthony Colangelo (@acolangelo) | TwitterAnthony Colangelo (@acolangelo@jawns.club) - jawns.club
Have you ever felt like everything started going wrong the moment you decided to homeschool? The doubts, the exhaustion, the unexpected criticism—it's not just coincidence. It's a spiritual battle. In this powerful episode of the Gift of Homeschooling podcast, I open up about my own struggles and reveal the hidden enemy that tries to discourage and derail faith-filled homeschool families.We'll take a closer look at the story of Nehemiah and the spiritual resistance he faced while rebuilding the walls of Jerusalem—and what his unwavering resolve teaches us as homeschooling parents today. If you're feeling weary, overwhelmed, or tempted to give up, this episode is your battle plan.You'll walk away with:A mindset shift that will reignite your homeschool purposeEncouragement to stand strong when opposition comesA practical challenge to overcome discouragement in your day-to-dayBiblical insight to strengthen your faith as you lead your familyWhether you're new to homeschooling or years into the journey, you'll be reminded that you are not alone—and that the fight you're in is worth it. Your homeschool matters. Your children's future matters. And your calling is worth protecting.
Manuel Comesaña nos hace bailar al son ochentero de Daryl Hall & John Oates. ¡No te lo pierdas!
Manuel Comesaña hoy nos hace disfrutar de Daryl Hall y John Oates en su versión setentera y brillante, ¡no te lo pierdas!
Manuel Comesaña cierra el ciclo de El Último de la Fila y repasa la carrera en solitario de Manolo García, ¡no te lo pierdas!
Merger control and antitrust enforcement continues to develop rapidly in Africa. What is happening in the key jurisdictions of Egypt, South Africa, Nigeria and COMESA? John Oxenham, lawyer at Primerio, and Nicolas Bremer, lawyer at Bremer, join Matthew Hall to discuss developments. Listen to this episode to learn more about the status of African antitrust and merger control enforcement generally and these jurisdictions specifically. With special guests: John Oxenham, partner, Primerio and Nicolas Bremer, partner, Bremer Related Links: COMESA Competition Commission website ECOWAS Regional Competition Authority website Egyptian Competition Authority website The Competition Commission website (South Africa) Federal Competition & Consumer Protection Commission website (Nigeria) Hosted by: Matthew Hall, McGuireWoods London LLP
Manuel Comesaña hoy nos descubre a El Último de la Fila y todos sus misterios musicales, ¡al lío!
Manuel Comesaña nos lleva a los 80 con Level 42 y un funky con un bajo maravilloso, ¡no te lo pierdas!
Pase filtrado a Comesaña que con una vaselina supera a Ter Stegen.
Manuel Comesaña trae al estudio al violonchelista Adolfo Guitiérrez Arenas y disfrutamos de su maestría, ¡no te lo pierdas!
Manuel Comesaña nos acerca a la música de Dr. John.
Manuel Comesaña nos descubre una sorpresiva mezcla de jazz y trap como es Ca7riel y Paco Amoroso. ¡No te lo pierdas!
Manuel Comesaña nos sorprende con Ca7riel y Paco Amoroso y Miguel del Pino nos alucina con el mundo de las lindas mariposas.
Manuel Comesaña nos hace bailar mucho y muy bien con los ritmos de Simply Red, un soul pelirrojo. ¡Vamos con ello!
In this episode, I'm joined by rising Argentine star Francisco Comesaña, currently sitting inside the ATP top 70. Francisco shares the grind of coming up through Futures with no funding, how a mindset shift helped him break through, and what it was like beating top names like Rublev and Zverev. We also talk about his first Slam experience at Wimbledon, what it's like playing on grass for the first time, and why belief, fueled by hard work has been the key to his rise.✅ 5 Takeaway Points 1. Breaking through in Argentina is tough without sponsors or early exposure. 2. Belief and mindset are often more important than talent. 3. Playing Futures is a grind that can break many players mentally. 4. Big wins against players like Rublev and Zverev gave him confidence he belongs. 5. Long-term goals include becoming a better person first, and reaching the top 30.
Manuel Comesaña celebra el Sábado Santo con música sacra contemporánea, ¡pero sin morcillas! ¡Vamos con ello!
Manuel Comesaña trae al programa la música de Beverley Craven y unos mensajes especiales para los oyentes, ¡no te lo pierdas!
Manuel Comesaña nos descubre al grupo Scritti Politti y su álbum Provision, ¡no te lo pierdas!
En 6AM de Caracol Radio estuvo Julio Avelino Comesaña, ex entrenador del Junior de Barranquilla, quien habló sobre el presente de la ‘tricolor' en las Eliminatorias mundialistas
Manuel Comesaña hoy dedica su Pentagrama a Alicia Keys, una reina del pop simpatiquísima y con talento musical. ¡Vamos!
Manuel Comesaña nos descubre la apasionante y fantástica voz de la recientemente fallecida Roberta Flack, ¡no te lo pierdas!
Manuel Comesaña nos descubre a un marciano en la Tierra: Adrian Belew. ¡Qué extraño! Vamos con ello...
Manuel Comesaña cierra el ciclo Bee Gees repasando desde sus inicios más cincuentones hasta la Fiebre Disco quemando la pista. ¡Dale al play!
Manuel Comesaña nos da un voltio por el mundo movidito de Saturday Night Fever y los grandes éxitos de los Bee Gees, ¡no te lo pierdas!
Manuel Comesaña cierra el ciclo Queen por todo lo alto: We will rock you, Radio Gaga y muchísimo más. ¡No te lo pierdas!
Qui sera le prochain président de la Commission de l'Union africaine ? Trois candidats briguent la succession du tchadien Moussa Faki Mahamat : l'ancien Premier ministre kényan Raila Odinga, l'actuel ministre djiboutien des Affaires étrangères, Mahmoud Ali Youssouf, et l'ancien ministre malgache des Affaires étrangères, Richard Randriamandrato. C'est le 15 février 2025 que les 55 chefs d'État de l'Union africaine trancheront, lors du sommet annuel de l'UA à Addis-Abeba, en Éthiopie. En attendant, RFI donne la parole, bien sûr, aux trois candidats. Il y a une semaine, vous avez entendu le candidat de Djibouti. Voici ce matin celui de Madagascar, l'ancien ministre Richard Randriamandrato répond aux questions de Christophe Boisbouvier. RFI : Si vous êtes élu le 15 février prochain, quels seront vos deux priorités ?Richard Randriamandrato : Tout d'abord, il faut de manière urgente mener à terme ces réformes qui ont été entamées depuis 2016, avec des propositions parfois douloureuses, mais il faut passer par là, pour que l'Union africaine, pas seulement la Commission, mais tous les organes de l'Union africaine, soient moins bureaucratiques, plus efficaces, avec moins de réunionite et surtout un état d'esprit de cohésion entre les organes. Donc ça, c'est le premier volet. Le deuxième volet, c'est comment faire mieux avec moins. Maintenant, le budget de l'Union africaine a été réduit, donc il va falloir faire avec. Et donc je me propose de mettre en place un plan stratégique pour 3 à 4 ans. Et j'espère que les instances dirigeantes de l'Union africaine vont adopter cette démarche.Quand la guerre fait rage en Afrique comme en ce moment dans l'est du Congo-Kinshasa, c'est le Conseil de sécurité de l'ONU qui s'en occupe et pas le Conseil paix et sécurité de l'Union africaine, est-ce que vous ne le regrettez pas ?De prime abord, on peut dire que les crises sur tous les continents devraient revenir évidemment à des instances continentales telles que l'Union africaine ou le Conseil paix et sécurité de l'Union africaine. Tout cela est possible, mais, voyez-vous, le Conseil de sécurité des Nations unies, il faut le reconnaître, c'est l'instance planétaire qui résout les problèmes de cette envergure. Donc, je ne m'en offusque pas pour autant. Je pense que l'Union africaine doit être présente dans les prises de décisions au niveau du Conseil de sécurité de l'ONU. J'espère que l'Union africaine ne sera pas écartée de la résolution de la crise dans l'immédiat.Dans la guerre au Nord-Kivu, tout le monde désigne le Rwanda comme complice, sauf l'Union africaine et les trois pays qui représentent l'Afrique au Conseil de sécurité de l'ONU, pourquoi cette retenue ?Disons que l'Union africaine est la maison commune qui rassemble tous les Etats membres de cette Union. Je pense que l'Union africaine se doit de rester solidaire aussi bien avec les versions et les arguments avancés par Kigali, autant que les arguments défendus par Kinshasa. Ce n'est pas facile, mais c'est un exercice qui doit être exécuté afin de garder la solidarité entre les pays africains. Et donc il faut vraiment que ce processus de Nairobi et aussi le processus de Luanda aboutissent à des accords qui rassurent les uns et les autres.Face à vous, il y a deux candidats, le kényan Raila Odinga et le djiboutien Mahmoud Ali Youssouf. Qu'est-ce qui vous distingue de ces deux autres candidats ?Je pense que le fait de ne pas être un chef de parti politique est un avantage. Je ne prétends pas avoir passé une vingtaine d'années à faire de la diplomatie caméléon, à écrire des notes verbales et à faire des discours ici et là. Non, je suis un homme de terrain. J'ai beaucoup travaillé dans les ONG au COMESA, qui est une organisation régionale en l'Afrique de l'Est. J'ai travaillé pour les Nations unies au sein du PNUD et à la Banque mondiale. Et puis j'ai été ministre de l'Economie et des Finances de Madagascar. J'ai négocié beaucoup de financements de projets pour mon pays. Donc, je ne suis pas un candidat de salon et je pense que c'est un avantage. Et puis, je ne cherche pas à être le « lion qui va rugir dans la jungle », c'est ce que j'ai entendu d'un de mes concurrents. Je veux rester un candidat réaliste, un candidat pragmatique et je pense que je peux répondre aux attentes de notre organisation.Alors le « lion qui va rugir dans la jungle », c'est l'ancien Premier ministre kényan Raila Odinga, qui est favori dans cette bataille parce qu'il a été Premier ministre justement, et parce qu'il est soutenu par un pays influent, le Kenya. Qu'est-ce que vous répondez ?Tout le monde est favori jusqu'au jour du vote. Quelle sera donc l'image que l'Union africaine va projeter à la communauté internationale ? Est-ce que c'est une Union africaine de plus en plus politisée, plus orientée vers les combats politiques ? Est-ce une Afrique qui est plus orientée vers l'économie, l'éducation des jeunes et ainsi de suite ? C'est ce que je veux incarner d'ailleurs. Je veux mettre en place une architecture économique et financière avec la Banque africaine de développement et les institutions. C'est ce que je sais faire. J'ai été ministre de l'Economie et des Finances et je sais comment négocier avec ces instances de la finance internationale. Et c'est ce qui est important.Si vous êtes élu, quelles seront vos priorités dans l'Océan Indien, au regard, par exemple, de la situation de certains territoires comme l'archipel des Chagos, comme Mayotte, comme les îles Éparses au large de Madagascar ?La question de la souveraineté des États dans cette partie de l'Océan Indien et ailleurs ne doit pas être remise en cause. Je pense qu'il faut défendre les avancées réalisées avec les négociations qui sont en cours. Le cas des Chagos est déjà assez explicite. Il faut en tenir compte. Je pense qu'il appartient aux Etats de continuer à défendre ce principe de la souveraineté. Ce n'est pas chose facile puisque ce sont des hommes et des femmes qui sont derrière chaque État concerné.Vous pensez que l'accord de l'année dernière entre la Grande-Bretagne et l'île Maurice sur l'archipel des Chagos est un bon accord ou un mauvais accord ?Je pense qu'il y a encore des points d'achoppement, si j'ai bien compris, qui restent à être résolus dans l'immédiat. Mais c'est un accord qui permet d'avancer. En tout cas, il y a l'esprit de cet accord qui doit être maintenant respecté, à savoir que la restitution de ce territoire doit se faire avec un accord mutuel sur le contenu même de cet accord. Donc moi, je pense que c'est l'esprit qu'il faut garder en tête et il faut attendre que les négociations aboutissent à leur terme.Et concernant les autres territoires, je pense à Mayotte et aux îles Éparses ?Pour ce qui concerne Mayotte, je crois que c'est entre la France et les Comores dans un premier temps. Mais bien entendu, les Comores étant un membre à part entière de l'Union africaine, le principe même du respect de la souveraineté de ces Etats doit être le principe directeur. Et je laisserai le soin, bien entendu, à ceux qui sont directement concernés dans les négociations de faire aboutir les points qui vont rassurer les uns et les autres. Je ne vais pas m'aventurer à dire ce que je ne peux pas, en tant que candidat, avancer pour des questions bilatérales. Je crois qu'il revient à la France et aux Comores de trouver l'accord qui rassure les uns et les autres.Et concernant les îles Éparses, au large de Madagascar ?Le principe est le même. Je pense qu'il y a des résolutions, depuis 1972, qui sont au niveau des Nations unies et nous continuons à échanger nos points de vue pour que nous puissions trouver la meilleure formule pour que, une fois de plus, la souveraineté soit rassurante pour les uns et les autres. Et puis en même temps, il y a la question environnementale et la question liée aussi aux richesses dans ces zones, donc le plateau de ces îles Éparses. Tout cela n'est pas facile, donc il faut rester optimiste et nous espérons que le comité qui a été mis en place et qui, malheureusement pour diverses raisons, a connu un report dans ses travaux, nous espérons que nous puissions reprendre ces travaux très prochainement. Madagascar va accueillir le sommet de la Commission de l'Océan Indien, je ne sais pas si c'est l'occasion d'évoquer ce sujet bilatéral, mais en tout cas, nous continuons à espérer que la diplomatie va gagner en termes d'efficacité et que tout le monde soit rassuré au final.Oui, car derrière la question des îles Éparses, il y a celle de l'espace maritime et de son exploitation, soit par Madagascar, soit par la France. C'est ça ?Tout à fait. C'est une question délicate puisque ça touche donc à une dimension plus économique. Et bien entendu, ce n'est pas une simple question de souveraineté politique et d'identité, mais c'est aussi cet aspect économique qui est tout aussi important.
Gran centro de Cardona desde la izquierda para que Comesaña marque de cabeza.
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Cracked Racquets Contributor Damian Kust recaps another exciting week of ATP Challenger action. He offers his thoughts Comesaña, Fognini, and Nardi securing Top 100 finishes with titles, and Basavareddy winning on his last legs. Today's episode also features conversations from Montemar with Fabio Fognini, Lukas Neumayer, Iñaki Montes de la Torre, Pol Martin Tiffon, Nicolai Budkov Kjaer, Abdullah Shelbayh, Nick Hardt, Edas Butvilas, Kimmer Coppejans, and Karol Drzewiecki/Piotr Matuszewski Don't forget to give a 5 star review on your favorite podcast app! In addition, add your twitter/instagram handle to the review for a chance to win some FREE CR gear!! Tennis Channel Podcast Network Visit https://www.tennis.com/pro-game/podcasts/ to stay current on the latest tennis news and trends and enjoy in-depth analysis and dynamic debates. Find Cracked Racquets Website: https://www.crackedracquets.com Instagram: https://instagram.com/crackedracquets Twitter: https://twitter.com/crackedracquets Facebook: https://Facebook.com/crackedracquets YouTube: https://www.youtube.com/c/crackedracquets Email Newsletter: https://crackedracquets.substack.com/ATP Challenger Tour Recap [1-14-24] ft. Damian Kust Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Parejo abrió a la izquierda para Sergi Cardona, y puso un centro que no consiguió rematar ni Baena y Barry, pero lo aprovecha Comesaña para abrir el marcador.