Podcasts about Luanda

Capital of Angola

  • 430PODCASTS
  • 1,244EPISODES
  • 31mAVG DURATION
  • 5WEEKLY NEW EPISODES
  • Sep 14, 2025LATEST
Luanda

POPULARITY

20172018201920202021202220232024

Categories



Best podcasts about Luanda

Latest podcast episodes about Luanda

Business Travel 360
Linking the Travel Industry | TSA Launches One Stop Security for International Travelers

Business Travel 360

Play Episode Listen Later Sep 14, 2025 18:31


Send us a textLinking the Travel Industry is a business travel podcast where we review the top travel industry stories that are posted on LinkedIn by LinkedIn members.  We curate the top posts and discuss with them with travel industry veterans in a live session with audience members.  You can join the live recording session by visiting BusinessTravel360.comYour Hosts are Riaan van Schoor, Ann Cederhall and Aash ShravahStories covered on this podcast episode include -The American Express Global Business Travel / CWT deal concludes.Johnny Thorsen joins the board of Kyte.TAAG-Linhas Aereas de Angola's inaugural flight between Luanda and Nairobi takes places.Austrian Airlines is going to test a seasonal route between Vienna and Dubai from December this year.Southwest Airlines frequent flyer members will enjoy free, unlimited wifi on-board with T-Mobile.The TSA has officially launched its One Stop Security (OSS) pilot program, allowing select international passengers to skip re-screening when connecting in the U.S.Ryanair introduces a cabin bag size allowance which is 33% bigger than the EU standard.The most engaged post of the week goes to Gaurav Bhatnagar in his announcement of TBO.COM's acquisition of Classic Vacations.You can subscribe to this podcast by searching 'BusinessTravel360' on your favorite podcast player or visiting BusinessTravel360.comThis podcast was created, edited and distributed by BusinessTravel360.  Be sure to sign up for regular updates at BusinessTravel360.com - Enjoy!Support the show

Invité Afrique
Jean Kaseya, directeur de l'Africa CDC: «En moyenne, nous avons une nouvelle épidémie par jour»

Invité Afrique

Play Episode Listen Later Sep 3, 2025 4:34


Le Mpox continue de se propager de manière inquiétante en Afrique. En 2025, les cas ont dépassé ceux de 2024. Ce sont plus de 21 000 cas de Mpox qui sont détectés dans treize pays africains, et cela risque de doubler d'ici la fin de l'année. Les coupes des aides en provenance des États-Unis et d'Europe ont fragilisé les systèmes de santé. Au total, 700 000 doses de vaccin ont été administrées, mais les stocks sont insuffisants. La Sierra Leone représente 41% des infections récentes, et la RDC est aussi en première ligne avec 24 000 cas détectés depuis début 2024. On en parle ce matin avec notre Grand invité Afrique : Jean Kaseya, directeur de l'Africa CDC (les centres africains de contrôle et de prévention des maladies). RFI : Avec les coupes budgétaires de l'aide occidentale, est-ce que vous avez déjà mesuré un impact direct sur la réponse aux épidémies ? Jean Kaseya : Je suis très clair là-dessus. Ces coupes peuvent ou sont en train d'accélérer une possible pandémie venant d'Afrique. Le nombre d'épidémies ne fait qu'augmenter d'une année à l'autre. Nous avons toujours ces problèmes d'accès aux médicaments et aux vaccins. Et ça, ce sont des conditions réunies en plus des changements climatiques, en plus de l'insécurité, pour déclencher une pandémie. Mais je sens partout, dans tous les pays où je passe, un réveil. J'étais à Lusaka, en Zambie, il y a quatre jours. Il y a deux jours, j'étais à Luanda et maintenant, je suis à Abidjan. Je vois comment les pays se mobilisent pour trouver des ressources internes et c'est partout en Afrique le cas. Justement, est-ce que ces pays arrivent à trouver des fonds ? Je vais vous donner l'exemple de la RDC où j'ai eu à rencontrer le président Tshisekedi, qui m'a informé que le pays a décidé de mettre en place une taxe de 2 % sur tous les produits importés. En plus de cela, ils ont mis une taxe sur les salaires de toutes les personnes qui travaillent de 2,5 %. Au total, cela va donner autour de 1,5 milliard de dollars additionnels chaque année. Ça, ce sont des ressources concrètes. Le président Mahama me parlait d'un programme qu'on appelle Mahama Cares Ghana. Les pays africains avancent dans la réalité. À lire aussiÉpidémie de mpox: malgré une baisse constatée en Afrique, la vigilance reste de mise En Sierra Leone, le testing est à 100 % et le pays semble se distinguer par une gestion plus efficace du Mpox ? C'est d'abord un grand effort au niveau communautaire pour mobiliser les relais communautaires. C'est former les agents de santé par rapport à la surveillance. C'est mettre en place la vaccination qu'il faut. C'est détecter la comorbidité, ça peut être le VIH ou d'autres maladies. C'est aujourd'hui l'occasion de dire et de tordre le cou à tous ceux-là qui pensent que les Africains n'aiment pas les vaccins. Ce n'est pas vrai. Aujourd'hui, dans la plupart des pays, le taux de testing est de 100 % puisque les gens acceptent de se faire tester pour savoir s'ils sont malades. Là où le vaccin est disponible, le taux de couverture est très élevé. On parle beaucoup d'un sous-groupe du virus appelé le clade 1b, réputé plus mortel : 2000 décès enregistrés depuis 2024. Qu'est-ce qui distingue cette souche des précédentes ? Nous avons tout le temps des mutations qui se font, et nous avons maintenant des combinaisons différentes dans un même endroit au Libéria, où on a eu le clade 2a et 2b au même moment. Nous avons par exemple la RDC où nous avons eu la combinaison de ces différents clades. Ce sont toutes ces combinaisons qui font qu'on ne sait pas la bombe qui peut sortir demain. À lire aussiGuinée: l'épidémie de mpox s'étend dans le pays, un an après son apparition Cet été, le CDC Africa a dévoilé son premier cadre stratégique climat et santé, pourquoi et pour quoi faire ? 70 % des épidémies que nous avons en Afrique sont ce qu'on appelle les épidémies zoonotiques. Donc ça vient de l'animal vers l'homme, interchangeables. Nous avons vu que c'est le changement climatique qui est à la base de tout cela. En plus, nous avons le choléra. Ce choléra est dû principalement aux effets liés aux inondations et à d'autres changements climatiques. Donc voilà pourquoi nous avons décidé de lancer ce plan qui lie le climat et la santé pour mieux combattre les épidémies. Justement, le choléra connaît une recrudescence majeure. Au Soudan, Alima [The Alliance for International Medical Action] estime que si rien n'est fait, la maladie pourrait tuer plus que les armes… Entre 2022 à 2024, il y a eu doublement des cas. On est passé de 104 000 cas à 254 000 cas. Sachant que la saison des pluies va commencer dans quelques jours, je m'attends à ce que si ça continue comme ça, nous puissions avoir plus de 300 000 cas. De janvier à août, nous avons 4900 décès, alors que toute l'année 2024, on n'a eu que 4700 décès. Donc, ça signifie que le choléra actuellement devient un problème de santé publique majeur que nous devons arrêter. Comment faites-vous pour lutter contre les deux épidémies de Mpox et de choléra en même temps, sans diluer les moyens et l'attention ? Malheureusement, nous n'avons pas que ces deux épidémies. Nous en avons d'autres. Nous avons la rougeole, des cas d'Ebola, de Marburg et d'autres épidémies encore. En moyenne, nous avons une nouvelle épidémie par jour et ça, ça fait beaucoup pour nous.

Conversas à quinta - Observador
A Vida em Revolução. “A vida era um festim”. O amor na revolução entre Julião Sarmento e Helena Vasconcelos

Conversas à quinta - Observador

Play Episode Listen Later Sep 1, 2025 64:38


Primeiro date proposto pelo artista Julião Sarmento à ex-assistente de bordo da TAP Helena Vasconcelos, em 1974: irem a uma orgia em Cascais — em que acabaram por ficar vestidos a um canto. Uma viagem de impulso a Marrocos para irem comprar haxixe. O acordo para terem uma relação aberta. A falta de preocupação com o dinheiro. O emprego na Secretaria de Estado da Cultura com Eduardo Prado Coelho. A vida boémia com outros artistas. As primeiras exposições. E ainda as mudanças na aviação e os traumas da ponte aérea para Luanda.See omnystudio.com/listener for privacy information.

Conversas de Fim de Tarde
A Vida em Revolução. “A vida era um festim”. O amor na revolução entre Julião Sarmento e Helena Vasconcelos

Conversas de Fim de Tarde

Play Episode Listen Later Sep 1, 2025 64:38


Primeiro date proposto pelo artista Julião Sarmento à ex-assistente de bordo da TAP Helena Vasconcelos, em 1974: irem a uma orgia em Cascais — em que acabaram por ficar vestidos a um canto. Uma viagem de impulso a Marrocos para irem comprar haxixe. O acordo para terem uma relação aberta. A falta de preocupação com o dinheiro. O emprego na Secretaria de Estado da Cultura com Eduardo Prado Coelho. A vida boémia com outros artistas. As primeiras exposições. E ainda as mudanças na aviação e os traumas da ponte aérea para Luanda.See omnystudio.com/listener for privacy information.

Brasil de Fato Entrevista
#304 - Visibilidade Lésbica: “Somos merecedoras de cuidado” - Luanda Pires

Brasil de Fato Entrevista

Play Episode Listen Later Aug 28, 2025 45:29


Dia 29 de agosto é celebrado o Dia da Visibilidade Lésbica. Para celebrar a data, o BdF Entrevista desta quinta-feira (28) recebe a advogada Luanda Pires, presidenta da Associação de Mulheres LBTI. Ela fala sobre o combate à violência e à discriminação, o desafio de garantir cuidado a essa população e a questão do envelhecimento.

Convidado
Angola vs Argentina: o jogo que está a indignar os angolanos

Convidado

Play Episode Listen Later Aug 27, 2025 8:30


Angola pretende canalizar mais de sete milhões de dólares norte-americanos num jogo amigável com a selecção da Argentina, previsto para 11 de Novembro, no âmbito das celebrações dos 50 anos da Independência Nacional. As ONG's angolanas criticam a iniciativa devido ao actual contexto socio-económico que o país atravessa.  Angola pretende canalizar mais de sete milhões de dólares norte-americanos num jogo amistoso com a selecção da Argentina, previsto para 11 de Novembro, no âmbito das celebrações dos 50 anos da Independência Nacional. Os Albicelestes já confirmaram o jogo amigável com os Palancas Negras. Entretanto, quatro ONG´S angolanas criticam a iniciativa e solicitam o cancelamento do jogo, devido ao actual contexto socio-económico que o país atravessa.  Por apenas 90 minutos de jogo, a selecção argentina de futebol pode facturar, em Novembro deste ano, cerca de 11 milhões de dólares numa partida amigável, a decorrer em Luanda, com a selecção angolana de futebol, no dia do jubileu da Independência de Angola. O montante, a ser gasto, está a gerar críticas pela sociedade angolana, que ainda acredita que a Argentina possa desistir do convite da Federação Angolana de Futebol (FAF).  É o caso de Serra Bango, líder da Associação Justiça, Paz e Democracia (AJPD), que diz ser uma vergonha Angola gastar tanto dinheiro num jogo, quando o país se encontra mergulhado numa crise social e económica sem precedentes.  O nosso objectivo é, exactamente, chamar a atenção aos jogadores da selecção argentina, sobretudo ao Messi, porque eles têm uma visibilidade universal. A nossa chamada de atenção é no sentido de que eles se solidarizem com o sofrimento por que passam os cidadãos angolanos: a fome, a miséria, a nudez, o desemprego, falta de educação, de escolas. Nós temos problemas ainda de cólera, paludismo, saneamento básico. Temos problemas de saúde como a febre tifóide, por falta de água potável, por quase todo o país.  E associado a isso, infelizmente, ocorreu neste espaço de tempo aquelas execuções sumárias que já têm ocorrido várias vezes e têm sido denunciadas por vários outros activistas das execuções sumárias que ocorrem em Angola. Face a isso e face ao volume financeiro que se quer despender para esta partida de futebol, não temos certeza se serão apenas os 6 milhões de dólares que poderão ser revertidos para outras situações aqui em Angola. Nós apelamos à solidariedade destes jogadores, no sentido de recusarem esta vinda, este convite para jogarem com Angola. Porque nós temos assistido a nível da África - infelizmente Angola não escapou - preferem desembolsar várias somas de dinheiro para visitas momentâneas de ilustres figuras a nível do topo universal e o povo angolano vive na indigência. A Friends Of Angola, a Pro Bono Angola e a AJPD são subscritoras de uma carta enviada à Federação Argentina de Futebol e a Lionel Messi, cujo teor tem a ver com o cancelamento do jogo.  Florindo Chivucute, presidente da Friends Of Angola, entende que a selecção da Argentina antes de aceitar o convite de Angola, deveria lembrar-se do movimento de protesto de um grupo de mulheres que exigia a localização de seus filhos desaparecidos durante a ditadura militar argentina.  Esta decisão ficará na história, porque os argentinos sabem muito bem qual é as consequências de uma ditadura. É importante aqui lembrar das mães da Praça de Maio que começaram as suas marchas em 1977, que representam um dos maiores símbolos mundiais de resistência contra a violência de Estado e o desaparecimento forçado de pessoas durante a ditadura militar argentina que durou de 1976 a 1983. As mães  da Praça de Maio até hoje continuam a se reunir, todas as quintas-feiras, na Praça de Maio, lembrando ao mundo que não se pode esquecer do passado. É uma luta que simboliza a luta pela memória, pela verdade e pela justiça e é isso que nós esperávamos que a selecção da Argentina fizesse, mas, infelizmente, não fez. Serra Bango esclarece que a sociedade civil angolana não está contra o jogo, mas contra os gastos milionários a serem aplicados pelo Governo. A nossa carta apresenta dados, números que foram pesquisados, quem quiser desmenti-los, que apresentem outros números e outros dados diferentes. Por outro lado, nós não estamos contra uma partida de futebol. Angola pode jogar, aliás, é bom que a celebração dos 50 anos seja feita. Mas aqui há outro elemento. É que o partido no poder e o executivo querem fazer da celebração dos 50 anos só a sua actividade, particularmente não está a envolver os angolanos. Nem os outros movimentos. Mas a independência não foi conquistada só pelo MPLA.  Por outro lado, há um elemento importante. Seria interessante que a selecção de Angola ou a República de Angola, o nosso país, ao invés de convidar a selecção argentina, convidasse quatro selecções africanas, o valor não seria tanto. Estas equipas que eventualmente vão participar no CAN, teriam interesse também em ter jogos de preparação e aproveitariam a selecção de Angola a preparar-se com mais duas ou três equipas.  Para a independência de Angola participaram outros estados africanos. O Congo Democrático, ex-Zaire, o MPLA encontrou guarida no Congo, a FNLA quase que foi fundada no Congo, a UNITA encontrou guarida no Congo… por isso, é que temos angolanos refugiados no Congo e na Zâmbia.  A Zâmbia foi o país que abriu as portas para esses movimentos,  inserindo-se nos vários contactos internacionais, a nível da antiga OUA, actualmente União Africana. Convidem estes países! A selecção da Argentina confirmou a vinda a Luanda. Mas, apesar disso, o responsável da Friends Of Angola ainda acha que os argentinos podem vir a recuar na decisão, em solidariedade com milhares de crianças angolanas sem escolas.  Apesar da equipa nacional da Argentina ter confirmado o jogo, há sinais de que o jogador Lionel Messi não irá participar nesse jogo, que para nós já é um ganho, e espero que não participe mesmo. Fizemos um apelo de novo à selecção da Argentina, para que, de facto, repensem a decisão, ainda vão a tempo, que não manchem a sua dignidade por causa de 6, 11 ou 20 milhões de dólares. Ainda há tempo de eles poderem recuar nesta decisão. Este dinheiro deveria sim ser usado para dar oportunidade a crianças, centenas de crianças, em Luanda, e em todo o país, para ir à escola pela primeira vez. Nós temos centenas de crianças que estão fora do ensino todos os anos, porque, segundo as autoridades locais, não há condições para essas crianças poderem atender a escola pela primeira vez, não há escolas suficientes. Era nesse sentido que nós gostaríamos mais uma vez apelar à equipa da Argentina e ao próprio executivo angolano que não realize este evento, que use este dinheiro para melhorar a vida dos angolanos, porque isto é o que os angolanos querem. Para as organizações da sociedade civil, o Governo, liderado pelo MPLA, quer proporcionar uma operação de charme com jogo, no sentido de branquear a imagem do Presidente aos olhos do mundo, tendo em conta a oposição interna que tem na sua formação política e a falta de soluções concretas e imediatas para o país.

DW em Português para África | Deutsche Welle
26 de Agosto de 2025 - Jornal da Manhã

DW em Português para África | Deutsche Welle

Play Episode Listen Later Aug 26, 2025 20:00


Em Moçambique, investigador afirma que ministro da Defesa está a tentar esconder as lacunas das forças de segurança de Moçambique em defender Cabo Delgado. "MC Bandeira" acredita que Nampula será o bastião do partido político ANAMOLA. A famosa banda musical são-tomense dos irmãos CALEMA foi distinguida como "embaixadores da CPLP". Zelensky discute sanções a Moscovo com enviado de Trump.

Convidado
Angola: “Se nada for feito, o que aconteceu em Julho vai voltar a acontecer”

Convidado

Play Episode Listen Later Aug 20, 2025 6:40


Entre 28 e 30 de Julho, os protestos em Luanda contra o aumento dos combustíveis fizeram 30 mortos e revelaram a frágil situação de três milhões de jovens angolanos desempregados. O economista angolano, Francisco Miguel Paulo, sublinha que muitos nem têm emprego informal e alerta para a necessidade de medidas de formação profissional. Adverte que, sem acção, a instabilidade social pode repetir-se, mas garante que “há dinheiro e é possível ocupá-los”. Entre 28 e 30 de Julho, Luanda viveu protestos violentos contra o aumento do preço dos combustíveis, que resultaram em 30 mortos, mais de 200 feridos e 1.500 detenções. A tensão social pode estar ligada a um dado preocupante para investigadores, segundo o Instituto Nacional de Estatística, cerca de um milhão de jovens na capital, e três milhões em todo o país, não estudam nem trabalham. O economista e investigador do Centro de Estudos de Investigação Científica da Universidade Católica de Angola, Francisco Miguel Paulo, explica que os números oficiais do Instituto Nacional de Estatística consideram como empregados também aqueles que trabalham no mercado informal. No entanto, sublinha, há jovens que nem sequer conseguem esse tipo de ocupação precária. “Esses jovens não têm emprego informal, ou seja, nem dispõem de dinheiro para iniciar um pequeno negócio. Não trabalham, não estudam e não é por falta de vontade, mas porque não existem oportunidades reais para trabalhar ou estudar”, afirma. O economista acrescenta que “não é fácil conseguir lugar para estudar em Luanda ou em Angola em geral” e lamenta que “esses jovens sejam quase que marginalizados de toda a política social e económica do governo”. Afirma mesmo: “Não conheço nenhum programa do governo ou nenhuma política que tenha em mente essa franja de jovens de 15 a 24 anos que não trabalham e que não estudam. Mas isso pode ser feito, apesar da crise. Ainda há dinheiro para isso. É possível ocupar esses jovens". Para o economista, a solução passa pela formação profissional, aproveitando recursos já existentes. “Temos o Ministério do Emprego e Segurança Social, temos as escolas e centros de formação profissional públicos que estão em todos os municípios do país. Há empresas privadas disponíveis para dar formação de pedreiro, electricidade, canalização, coisas simples, mas que ajudam os jovens a serem empregáveis. Temos que formar esses jovens e há dinheiro para isso. Mas agora, se há vontade política, é outra questão”. O investigador alerta também para o peso da economia informal: “Da força de trabalho em Angola, dos 12 milhões, 10 milhões estão no mercado informal, só 2 milhões estão no mercado formal. Desses 10 milhões, boa parte são agricultores. Aliás, 50% da força de trabalho que está no informal são agricultores”. Essa realidade, alerta, levanta problemas sérios no futuro: “Não pagam segurança social e, quando aos 60 anos estão cansados, como é que resolvemos essa situação? O governo podia muito bem fazer com que a segurança social cubra isso, como fez com os antigos militares desmobilizados. Mas infelizmente há poucos programas sociais com impacto na sociedade”. A inactividade juvenil, adverte, tem efeitos directos na segurança e estabilidade do país. “Se nada for feito, o que aconteceu no 28 e 29 de Julho vai voltar a acontecer frequentemente, porque esses jovens não têm nada a perder, já não têm esperança, só têm a perder a vida e muitos deles passam fome”, descreve. “Às vezes precisam de 10.000, 5.000 kwanzas para começar negócios e nem têm esses valores. É uma insegurança para todo o país, porque nada justifica o vandalismo, mas também coloquemo-nos no lugar deles: o que é que eles têm de esperança?” Segundo o economista, não é possível conter esta realidade apenas com repressão policial. “Se o governo continuar a chamá-los de vândalos e não entender a situação deles, não há efectivos da polícia ou militares que vão conseguir combater. Eles são um milhão só em Luanda. Em todo o país são cerca de três milhões. Não queremos isso. Queremos que reconheçam que de facto falhámos em termos sociais. É possível fazermos isso e há dinheiro para fazer isso”, lembra. Após as detenções de líderes associativos, justificadas pelas autoridades como medidas de segurança, o economista considera que a principal lição a retirar é “mostrar empatia para com o que os jovens estão a enfrentar. Jovens sem emprego, sem escola… é preciso colocar-se no lugar deles, reconhecer e resolver essa situação”. Para isso, defende medidas simples e de execução rápida: “Há centros de formação profissional no país, criam-se mais centros. Numa ou duas semanas conseguimos cadastrar esses jovens todos e que seja feito a nível municipal, porque a nível central é muita burocracia, nada funciona. Dá-se autoridade aos municípios para registar os jovens que estão nesta situação, dar-lhes formação, kits e, no caso dos que estão no mercado informal, formalizá-los”. Francisco Miguel Paulo lembra, ainda, que a informalidade pode resolver necessidades imediatas, mas não garante o futuro: “No curto prazo, a informalidade consegue cobrir a sua necessidade, mas e depois? Amanhã, quando se reformarem, como é que eles vão viver, já que não conseguirão contribuir para a segurança social? Temos que pensar nisso”. Apesar do contexto preocupante, o economista mantém-se optimista: “No curto prazo é possível resolver isso. Basta ocupá-los, dar-lhes esperança de que é possível. São um motor para o desenvolvimento. O país precisa de desenvolver e precisa da mão-de-obra. O melhor recurso que o país pode ter é a sua mão-de-obra, mas para isso tem que ser qualificada e empregável".

Semana em África
Mau tempo deixa rasto de destruição em Cabo Verde

Semana em África

Play Episode Listen Later Aug 15, 2025 8:02


Neste programa, voltamos aos temas que marcaram a semana na África Lusófona, em Cabo Verde, o Governo cabo-verdiano declarou estado de calamidade na sequência das fortes chuvas e inundações que causaram nove mortos e danos significativos em infra-estruturas. Em Moçambique, o Ministério da Justiça, Assuntos Constitucionais e Religiosos de Moçambique aceitou o registo do partido Anamola, do político e ex-candidato presidencial Venâncio Mondlane e em Angola A edição de 2025 do Afrobasket arrancou esta semana em Luanda. Esta semana, Cabo Verde enfrentou fortes chuvas e inundações nas ilhas de São Vicente e Santo Antão, resultando em nove mortos e danos significativos em infra-estruturas. O governo declarou estado de calamidade e prometeu apoio às vítimas, incluindo realojamento e reconstrução, com ajuda internacional. Em Moçambique, continuam os ataques terroristas em Cabo Delgado, obrigando populações a fugir. Foi também reconhecido oficialmente o novo partido político de Venâncio Mondlane, Aliança Nacional para um Moçambique Livre e Autónomo -ANAMOLA. Em Angola, dois cidadãos russos e dois angolanos foram detidos, suspeitos de envolvimento em terrorismo e falsificação de documentos. Além disso, arrancou em Luanda o Afrobasket 2025, evento marcante no ano em que o país celebra os 50 anos de independência.

DW em Português para África | Deutsche Welle
13 de Agosto de 2024 – Jornal da Noite

DW em Português para África | Deutsche Welle

Play Episode Listen Later Aug 13, 2025 20:00


Angola: Ano parlamentar termina sem que o pacote legislativo autárquico tivesse sido concluído. Advogado de defesa Man Genas, que está a ser julgado em Luanda, depois de ter acusado a chefia da polícia de envolvimento no tráfico de drogas, critica a justiça. Moçambique: Encerramento da Rádio comunitária em Mocímboa da Praia é contestado pelo FORCOM, Fórum Nacional das Rádios Comunitárias.

A História do Dia
Clima de tensão em Angola. Luanda pode rebentar?

A História do Dia

Play Episode Listen Later Aug 12, 2025 16:13


Os tumultos do fim de julho vieram expor o descontentamento com o regime. Há notícia de fome, prisões e violência. A pressão está a aumentar? Dulce Neto, jornalista do Observador, é a convidada.See omnystudio.com/listener for privacy information.

DW em Português para África | Deutsche Welle
11 de Agosto de 2024 – Jornal da Noite

DW em Português para África | Deutsche Welle

Play Episode Listen Later Aug 11, 2025 20:00


Angola: Luanda amanheceu hoje sob forte presença policial, no dia em que o Conselho da República avaliou a segurança nacional. Guiné-Bissau: Foram empossados os membros do novo executivo. Portugal: Polícia diz desconhecer o suposto desaparecimento de mais 50 cidadãos angolanos em Portugal, denunciado por André Ventura.

Ponta de Lança Podcasts
África em Pauta #106- Manifestações em Angola

Ponta de Lança Podcasts

Play Episode Listen Later Aug 11, 2025 246:11


Os protestos em Luanda, capital de Angola. Situação preocupante na Costa do Marfim. Sudão vs Emirados Árabes. E o Giro completo por África.APOIE O PDL no PIX: contatopontadelanca@gmail.comApresentação: Marcus Carvalho e Luis Fernando FilhoParticipações: JUREMA (Angola), Márcio Paulo e Cesar Augusto ChidozieQuadro: Márcio PauloEdição: Luis Fernando FilhoASSINE nossos planos no APOIA-SE (cartão ou boleto):⁠ ⁠https://apoia.se/pontalancapdl⁠⁠#Angola #Africa #Geopolitica

Semana em África
Angola: Cidadãos exigem “destituição imediata” do Presidente da República

Semana em África

Play Episode Listen Later Aug 9, 2025 8:49


Neste programa, voltamos aos temas que marcaram a semana na África Lusófona. Em Angola,um grupo de cidadãos angolanos exige, em petição pública, a “destituição imediata” do Presidente da República, João Lourenço. Na Guiné-Bissau, o Presidente Umaro Sissoco Embaló, nomeou o empresário Braima Camará para o cargo de primeiro-ministro, Em Moçambique, a Direcção Provincial de Educação e Cultura de Cabo Delgado anunciou que pelo menos 87 escolas estão encerradas na sequência de ataques dos terroristas. Em Angola, um grupo de cidadãos exige, em petição pública, a “destituição imediata” do Presidente da República, João Lourenço. Acusam o chefe de Estado de “repressão, autoritarismo, violações sistemáticas dos direitos humanos e execuções sumárias”. A iniciativa é coordenada pelo Movimento Cívico Mudei e visa exigir a destituição imediata do Presidente angolano, justificando a exigência com os princípios constitucionais que asseguram o direito à vida, dignidade da pessoa, liberdade de manifestação, reunião, expressão, informação e protecção contra a tortura e tratamentos cruéis, desumanos ou degradantes. De acordo com o relatório policial, pelo menos 30 pessoas morreram, incluindo um agente da polícia, mais de 200 ficaram feridas e mais de 1.200 foram detidas, na sequência dos últimos tumultos. Num apelo da Ordem dos Advogados, mais de 500 advogados mobilizaram-se para defender os cidadãos detidos na sequência dos tumultos e actos de vandalismo registados em Luanda e no interior do país entre 28 e 30 de Julho passado, depois da greve convocada por taxistas contra o aumento do preço dos combustíveis no país. Durante os tumultos, várias empresas foram alvo de pilhagens e vandalismo, levando o Governo a anunciar  uma linha de crédito no valor de 50 milhões euros destinados a 162 empresas. Segundo o executivo, os fundos devem servir para restaurar infra-estruturas, repor stocks, garantir o pagamento de três meses de salários e preservar os postos de trabalho nas empresas afectadas. Em Moçambique, a Direcção Provincial de Educação e Cultura de Cabo Delgado, no norte do país, anunciou que pelo menos 87 escolas estão encerradas na sequência de ataques dos terroristas ao distrito de Chiúre. Na Guiné-Bissau, o Presidente guineense, Umaro Sissoco Embaló, nomeou o empresário Braima Camará para o cargo de primeiro-ministro, em substituição de Rui Duarte de Barros, segundo um decreto presidencial. O empresário e político guineense afirmou que a principal prioridade é organizar eleições legislativas e presidenciais no dia 23 de Novembro Em Cabo Verde, os três municípios da ilha do Fogo e o da Brava estão a debater a criação de uma empresa intermunicipal de transporte marítimo para melhorar a conectividade regional e impulsionar o desenvolvimento económico local.

DW em Português para África | Deutsche Welle
6 de Agosto de 2025 - Jornal da Manhã

DW em Português para África | Deutsche Welle

Play Episode Listen Later Aug 6, 2025 20:00


Governo angolano vai conceder uma linha de crédito para apoiar as empresas vandalizadas nos protestos da semana passada. Retoma hoje, em Luanda, o julgamento dos generais Kopelipa e Dino. A Nigéria enfrenta uma grave crise de fome - o alerta é da ONU.

DW em Português para África | Deutsche Welle
5 de Agosto de 2025 - Jornal da Noite

DW em Português para África | Deutsche Welle

Play Episode Listen Later Aug 5, 2025 20:00


Em Angola, organizações da sociedade civil exigem uma investigação independente às mortes ocorridas durante os protestos. As ONG querem que o PR seja incluído na lista de pessoas a investigar.A escassez e a especulação estão a fazer disparar os preços do gás de cozinha em várias zonas de Angola, denuncia o ativista Edson Neto.Em Moçambique, os trabalhadores exigem um aumento do salário mínimo.

DW em Português para África | Deutsche Welle
4 de Agosto de 2025 - Jornal da Manhã

DW em Português para África | Deutsche Welle

Play Episode Listen Later Aug 4, 2025 20:00


Depois do caos vivido na semana passada, comerciantes angolanos fazem contas à vida. Sudão à beira de ter dois governos paralelos. Radionovela Learning by Ear - Aprender de Ouvido.

Semana em África
Pelo menos 30 mortos nos tumultos em Angola

Semana em África

Play Episode Listen Later Aug 1, 2025 12:44


Neste programa, voltamos aos temas que marcaram a semana na África Lusófona. Em Angola, os tumultos provocaram pelo menos 30 vítimas mortais e quase 300 feridos e mais de 1500 detenções. Em Moçambique, a nova vaga de violência em Cabo Delgado teria feito cerca de 47 mil deslocados, de acordo com uma ONG. Na Guiné-Bissau, a Liga Guineense dos Direitos Humanos denunciou “uma escalada intolerável de violência institucionalizada” no país. Em Angola, os tumultos em várias províncias provocaram, pelo menos, 30 vítimas mortais e quase 300 feridos. Até quinta-feira, tinham sido detidas mais de 1500 pessoas. Os incidentes começaram na sequência de uma paralisação dos serviços de táxis, em protesto contra a subida do preço dos combustíveis e das tarifas de transportes públicos. O vice-presidente da Associação da Nova Aliança dos Taxistas (ANATA) de Angola, Rodrigues Catimba, foi detido, esta quinta-feira, em Benguela, de acordo com a irmã mais velha do activista, Mariaque Catimba. O Gabinete dos Direitos Humanos da ONU reclamou às autoridades angolanas “investigações rápidas, exaustivas e independentes sobre as mortes de, pelo menos, 22 pessoas, bem como sobre as violações dos direitos humanos associadas” durante os protestos em Luanda. Por outro lado, a Associação Justiça Paz e Democracia, pela voz do seu presidente Serra Bango, denunciou casos de “execuções sumárias” e pediu a responsabilização do Estado por não garantir a segurança dos cidadãos. A nova vaga de violência em Cabo Delgado, no norte de Moçambique, fez cerca de 47 mil deslocados, de acordo com a ONG Instituto de Psicologia Paz de Moçambique. Um número muito superior ao adiantado pelo ministro moçambicano da Defesa, Cristóvão Chume, que disse que os últimos ataques causaram entre 11 mil e 12 mil deslocados. Esta quinta-feira, Cristóvão Chume mostrou-se preocupado com a onda de novos ataques em Cabo Delgado. Entretanto, esta sexta-feira, elementos associados ao grupo extremista Estado Islâmico reivindicaram o ataque de 24 de Julho em Chiúre e a morte de 18 paramilitares ‘naparamas'. Esta semana, a UNICEF, Fundo das Nações Unidas para Infância, estimou que cerca de 3,4 milhões de crianças precisam de assistência humanitária em Moçambique. Em causa, a insegurança armada no norte do país e o surto de cólera que afecta, principalmente, a província de Nampula. Na região centro de Moçambique, sete distritos da província de Sofala enfrentam uma seca severa devido a factores combinados como a falta de chuva e as pragas. A situação deixou 50 mil famílias com necessidade de ajuda alimentar urgente, revela o delegado do Instituto Nacional de Gestão e Redução do Risco de Desastres em Sofala, Aristides Armando. Moçambique registava, no início da semana, 17 casos positivos da Mpox. Todos os casos foram notificados no Niassa, província que faz fronteira com a República do Malawi. O porta-voz do governo, Inocêncio Impissa, garante que o país está a implementar acções para travar a propagação da doença. Na Guiné-Bissau, a Liga Guineense dos Direitos Humanos denunciou esta segunda-feira o que descreveu como “uma escalada intolerável de violência institucionalizada” no país, marcada por perseguições sistemáticas, detenções arbitrárias, tortura, agressões a jornalistas e, mais recentemente, a alegada execução sumária de Mamadu Tanu Bari, agente de segurança afecto à Presidência da República. Já o Presidente guineense, Umaro Sissoco Embaló, afirmou estar “com reserva” em admitir a morte do seu segurança, que a família disse ter sido assassinado e o corpo atirado ao rio Mansoa. Em declarações aos jornalistas, à saída da reunião semanal do Conselho de Ministros, Sissoco Embaló afirmou que não pretendia falar do assunto por se encontrar sob investigação da Polícia Judiciária e da Inteligência Militar. Em Cabo Verde, o Estado foi condenado pelo Tribunal Arbitral a pagar cerca de 40 milhões de euros à CV Interilhas por violação de contrato, mas o governo rejeita a decisão e garante que vai até ao limite para proteger o interesse público. Odair Santos Em São Tomé e Príncipe, na segunda-feira, a ministra da Justiça, Vera Cravid, admitiu que uma em cada três mulheres no arquipélago “já foi vítima de violência física”, disse que isso é o reflexo de “normas culturais enraizadas” e que o governo as quer travar com um novo mecanismo de apoio às vítimas.

Africa Today
What is fuelling Angola's fuel protests?

Africa Today

Play Episode Listen Later Jul 31, 2025 31:17


What began as a three-day strike by taxi drivers against rising petrol prices in Angola, has escalated into one of the most widespread and disruptive waves of protest the country has seen in recent years. What has life been like in the capital Luanda, against the background of the unrest?Why do fewer than a quarter of South Africans trust their police service? A new survey shows only 22% of South Africans have any confidence in the institution.And we meet the Nigerian film maker, Joel Kachi Benson, who won an Emmy for a film he made about the young boy dancing in the rain who thrilled the world in a viral video a few years ago.Presenter: Audrey Brown Producers: Blessing Aderogba in Lagos. Tom Kavanagh and Nyasha Michelle in London Technical Producer: Jonathan Greer Senior Producers: Patricia Whitehorne and Karnie Sharp Editors: Andre Lombard and Alice Muthengi

Africa Daily
Focus on Africa: What is fuelling Angola's fuel protests?

Africa Daily

Play Episode Listen Later Jul 31, 2025 31:17


What began as a three-day strike by taxi drivers against rising petrol prices in Angola, has escalated into one of the most widespread and disruptive waves of protest the country has seen in recent years. What has life been like in the capital Luanda, against the background of the unrest?Why do fewer than a quarter of South Africans trust their police service? A new survey shows only 22% of South Africans have any confidence in the institution.And we meet the Nigerian filmmaker, Joel Kachi Benson, who won an Emmy for a film he made about the young boy dancing in the rain who thrilled the world in a viral video a few years ago.Presenter: Audrey Brown Producers: Blessing Aderogba in Lagos. Tom Kavanagh and Nyasha Michelle in London Technical Producer: Jonathan Greer Senior Producers: Patricia Whitehorne and Karnie Sharp Editors: Andre Lombard and Alice Muthengi

Revue de presse Afrique
À la Une: l'embrasement en Angola

Revue de presse Afrique

Play Episode Listen Later Jul 31, 2025 3:59


« Luanda en flammes, l'estomac en colère, s'exclame le site d'information angolais Folha 8. La capitale a brûlé ces derniers jours. Pas seulement sous les flammes des pneus et des conteneurs, mais aussi sous l'effet de l'indignation et du désespoir. Le chaos qui s'est propagé à Luanda n'est pas né de nulle part. Ce n'était que la surface qui se fissurait sous la pression d'un vieux volcan : la faim. » Depuis lundi, la capitale angolaise et d'autres villes en régions se sont embrasées. Dernier bilan : 22 morts, près de 2 000 blessés et plus de 1 200 arrestations. Ce qui a mis le feu aux poudres, raconte Folha 8, c'est « la hausse du prix du carburant, annoncée le 4 juillet. La grève des taxis, prévue ces trois derniers jours, a propagé l'étincelle. Mais le feu s'est propagé avant même la grève. Les événements de lundi ont été la réponse brutale d'un peuple excédé par les promesses creuses et les politiques qui écrasent ceux d'en bas pour assurer le confort de ceux d'en haut ». Pour le militant et journaliste angolais Rafael Marques qui s'exprime sur le site Angonoticias : « l'Angola est un pays où il n'y a pas de dialogue entre le gouvernement et la société civile, et où la population nourrit de plus en plus un antagonisme, un antagonisme non dissimulé, contre la belligérance du président, contre son cœur de pierre. Ces manifestations ne peuvent qu'en être la conséquence ». Et l'activiste de s'en prendre directement au président João Lourenço : « il utilise et gère les ressources de l'État comme si elles provenaient de son compte en banque personnel. (…) Il ne sait pas gouverner. (…) Il est temps de commencer à réfléchir et à discuter de la transition post-Lourenço ». À lire aussiAngola: violentes émeutes à Luanda sur fond de contestation de la hausse des prix du carburant Un pays pauvre, pourtant riche en pétrole Il faut dire que « l'ironie est amère, constate Afrik.com : l'Angola est le deuxième producteur de pétrole d'Afrique subsaharienne, derrière le Nigeria. Pourtant, la richesse tirée de l'or noir ne se traduit que très peu dans la vie quotidienne de la majorité des Angolais. La fin progressive des subventions sur le carburant, entrée en 2023 dans un contexte de réformes économiques dictées en partie par le Fonds monétaire international, a eu un effet domino : hausse des transports, augmentation du coût de la vie et frustration généralisée. Ces subventions, relève encore Afrik.com, représentaient une aide indirecte essentielle pour des millions d'Angolais vivants sous le seuil de pauvreté. Leur suppression, même partielle, a un impact direct et brutal sur les classes populaires. Pour ces dernières, se déplacer, travailler, ou même faire leurs courses deviennent de plus en plus difficiles.  » Fracture et situation économique désastreuse La situation économique est en effet désastreuse. Le Monde Afrique précise : « Dans ce pays lusophone d'une trentaine de millions d'habitants, l'inflation est très élevée et a approché les 20 % en juin, tandis que le taux de chômage a atteint près de 30 %, selon les statistiques officielles. "Nous sommes fatigués. Ils doivent annoncer quelque chose pour que les choses changent (…), pour que nous puissions vivre dans de meilleures conditions", a déclaré mercredi un manifestant à la chaîne télé Nzinga. "Pourquoi nous faites-vous souffrir ainsi ? Comment nourrirons-nous nos enfants ? Les prix doivent baisser", a insisté une femme, en s'adressant directement au président João Lourenço. » À lire aussiDes milliers d'angolais manifestent à Luanda contre la vie chère Ledjely en Guinée résume ainsi la situation : cette vague de contestation en Angola « met en lumière l'ampleur du malaise social et la frustration d'une jeunesse confrontée à la pauvreté et au chômage. Elle illustre aussi une fracture critique entre les autorités recluses au sommet de la pyramide et accaparant la rente pétrolière et le quotidien rude des citoyens ordinaires. (…) Une contradiction héritée de la gouvernance du défunt président José Eduardo dos Santos, et que son successeur n'a manifestement pas su corriger. (…) João Lourenço, dès le début de son mandat, avait affiché une volonté de rupture, pointe encore Ledjely. Mais sur le terrain, les résultats peinent à se faire sentir. Pire encore, son administration semble aujourd'hui reproduire les travers de l'ancien régime. »

Conversas à quinta - Observador
A História do Dia. Mortes e pilhagens, o que se passa em Luanda?

Conversas à quinta - Observador

Play Episode Listen Later Jul 30, 2025 15:48


O anúncio de uma greve de taxistas motivou uma onda de tumultos na capital angolana. Será uma ameaça ao regime? Dulce Neto, editora executiva do Observador, é a nossa convidada.See omnystudio.com/listener for privacy information.

A História do Dia
Mortes e pilhagens, o que se passa em Luanda?

A História do Dia

Play Episode Listen Later Jul 30, 2025 15:48


O anúncio de uma greve de taxistas motivou uma onda de tumultos na capital angolana. Será uma ameaça ao regime? Dulce Neto, editora executiva do Observador, é a nossa convidada.See omnystudio.com/listener for privacy information.

Radio Bullets
30 luglio 2025 - Notiziario Mondo

Radio Bullets

Play Episode Listen Later Jul 30, 2025 20:40


Due Ong israeliane accusano Israele di genocidio. L'Olanda dichiara i ministri Ben-Gvir e Smotrich personae non gratae. Il Regno Unito e Malta riconosceranno la Palestina a settembre se Israele non accetta il cessate il fuoco.Venezuela: sale a 25 milioni di dollari la taglia USA su Nicolás Maduro.Angola: quattro morti nelle proteste a Luanda contro il caro carburante.Cina: villaggi intrappolati dalla pioggia, decine di morti.Addio a Joan Anderson, la donna dietro l'invenzione dimenticata dell'hula hoopIntroduzione al notiziario: Quando tutto è geopolitica, nulla lo è davveroQuesto e molto altro nel notiziario di Radio Bullets a cura di Barbara Schiavulli

DW em Português para África | Deutsche Welle
29 de Julho de 2025 - Jornal da Manhã

DW em Português para África | Deutsche Welle

Play Episode Listen Later Jul 29, 2025 20:00


Após dia de caos em Luanda, taxistas demarcam-se de atos de vandalismo. CPLP continua a ser alvo de críticas, depois da sua cimeira em Bissau. Novos ataques na República Democrática do Congo ameaçam trégua duradoura. Cresce tráfico de droga e de pessoas no Sahel.

Fastmarkets’ Fast Forward podcast
Corridors of power: Africa's strategic rise

Fastmarkets’ Fast Forward podcast

Play Episode Listen Later Jul 29, 2025 50:01


Experience Angola like never before. In this on-the-ground episode, Andrea Hotter takes listeners to Angola, where the Lobito Corridor is emerging as a symbol of Africa's economic transformation. From the bustling US-Africa Business Summit to the corridors of power, discover how this ambitious project is redefining trade, critical minerals and global partnerships in a rapidly evolving geopolitical landscape. In the first of this two-part special, Andrea takes you to the heart of Luanda, uncovering the continent's pivotal role in the critical minerals race and the tug-of-war between global powers. Fastmarkets is your source of critical minerals and battery raw materials market analysis, forecasting and price data, keeping you ahead of the competition. To discover more about our products visit https://www.fastmarkets.com/podcast/ 

DW em Português para África | Deutsche Welle
28 de Julho de 2025 - Jornal da Noite

DW em Português para África | Deutsche Welle

Play Episode Listen Later Jul 28, 2025 20:00


Angola: Vandalismo e roubo marcam greve dos taxistas em Luanda. Guiné-Bissau: Silêncio do Governo face a assassinatos e violência indigna sociedade civil. Moçambique: Mexidas nas Forças de Defesa podem significar desligamento paulatino do Presidente com a anterior governação.

Noticiário Nacional
22h Luanda. Governo aconselha portugueses a não sair à rua

Noticiário Nacional

Play Episode Listen Later Jul 28, 2025 11:32


Semana em África
Presidente angolano em visita oficial a Portugal

Semana em África

Play Episode Listen Later Jul 25, 2025 10:28


Neste programa, retomamos alguns dos assuntos africanos que abordámos nos nossos noticiários, como a visita do Presidente de Angola a Portugal, a promessa de cessar-fogo na RDC e as acusações do Ministério Público contra o líder da oposição moçambicana Venâncio Mondlane. O ministro do Interior da República Democrática do Congo disse que o país está "perto" da paz, em referência ao acordo assinado, no sábado passado, com o grupo armado M23. Sérgio Calundungo, coordenador do Observatório Político e Social de Angola, olha com prudência para o texto assinado em Doha, no Qatar. O Presidente angolano, João Lourenço, está em visita oficial dias a Portugal. A viagem coincide com o debate à volta da recente aprovação no parlamento português de novas disposições da lei de estrangeiros e João Lourenço admitiu que existe “algum incómodo”. Porém, esta sexta-feira, em Lisboa, João Lourenço disse que as relações entre Angola e Portugal nunca estiveram a um nível tão alto e que o objectivo é melhorar. Entretanto, o Tribunal de Comarca de Luanda decretou a prisão preventiva para Osvaldo Caholo, co-organizador das manifestações contra o aumento dos combustíveis. O activista foi detido há uma semana, em casa. Em Moçambique, na terça-feira, o Ministério Público acusou o ex-candidato presidencial Venâncio Mondlane de cinco crimes, incluindo o de "incitação ao terrorismo", no âmbito dos protestos que marcaram o país depois das eleições gerais de 9 de Outubro. O Governo garantiu que não há ingerência do poder executivo nos tribunais, mas para o activista moçambicano Wilker Dias "o mais provável que tentem retirar Venâncio Mondlane de cena". Em Cabo Delgado, no norte do país, em resposta a novos ataques, o governador Valige Tauabo anunciou a reintrodução de escoltas militares ao longo da Estrada Nacional Número 380. No centro de Moçambique, a cidade de Mocuba, na província da Zambézia, vai acolher a futura sede do parlamento. A decisão foi anunciada pelo Presidente da República, Daniel Chapo, para quem a intenção responde à visão de descentralização das instituições governamentais. Também no centro de Moçambique, desde Janeiro foram registados 46 mil casos de turberculose, com enfoque para as províncias da Zambézia, Sofala e Tete. Os dados foram revelados pela directora do programa nacional de combate à tuberculose, Benedita José.  Na Guiné-Bissau, para reivindicar 18 meses de salários em atraso e melhoria de condições laborais, os técnicos do sector da saúde estiveram esta semana em greve. Em Cabo Verde, com a nova Maternidade e Pediatria, a ilha de São Vicente passa a contar com a unidade hospitalar mais moderna do país. O empreendimento da saúde, avaliado em 1,2 milhões de contos, cerca de 11 milhões de euros, é financiado e construído pela República Popular da China. Na cultura, Cabo Verde perdeu o artista Kiki Lima. O pintor e compositor, de 72 anos, morreu na madrugada de domingo e foi um dos mais aclamados pintores do país. Em Abril de 2022, Kiki Lima contou à RFI que “sempre” retratou o povo de Cabo Verde.

DW em Português para África | Deutsche Welle
18 de Julho de 2025 - Jornal da Noite

DW em Português para África | Deutsche Welle

Play Episode Listen Later Jul 18, 2025 20:00


A Guiné-Bissau assume a presidência rotativa da CPLP.Em Angola, cresce o descontentamento popular. Está agendada uma segunda ronda de manifestações contra o aumento do custo de vida. O RADAR DW desta sexta-feira aprofundou este tema, com análise ao enredo económico que está a apertar o bolso dos cidadãos angolanos. Vamos acompanhar o essencial do programa.

DW em Português para África | Deutsche Welle
17 de Julho de 2025 - Jornal da Manhã

DW em Português para África | Deutsche Welle

Play Episode Listen Later Jul 17, 2025 20:00


Em Angola, ex-dirigente sindical na empresa de Transporte Coletivo Urbano de Luanda critica o cancelamento da greve. Em Moçambique, a desnutrição crónica está a flagelar as crianças da província de Nampula. Especialista aponta as razões. Analisamos ainda como os mais jovens estão a sofrer na pele e na mente, as consequências de manifestações violentas no Quénia.

DW em Português para África | Deutsche Welle
15 de Julho de 2025 - Jornal da Noite

DW em Português para África | Deutsche Welle

Play Episode Listen Later Jul 15, 2025 20:00


Polícia angolana faz balanço positivo da operação em Luanda e responsabiliza manifestantes pela violência. Jornalista moçambicano enfrenta processo judicial após denúncia de atropelamento. E Donald Trump continua a pressionar a Rússia com armas e sanções.

DW em Português para África | Deutsche Welle
14 de Julho de 2025 - Jornal da Manhã

DW em Português para África | Deutsche Welle

Play Episode Listen Later Jul 14, 2025 20:00


Angola saiu no sábado às ruas da capital, Luanda, para protestar contra o aumento do preço dos combustíveis e do táxi. À DW, promotores da manifestação fazem um balanço preocupante. Neste jornal, analisamos ainda o receio de uma nova guerra no Tigray. No futebol, o Chelsea é o novo campeão do mundo. E não perca mais um episódio da sua radionovela, Learning By Ear - Aprender de ouvido

DW em Português para África | Deutsche Welle
11 de Julho de 2025 - Jornal da Manhã

DW em Português para África | Deutsche Welle

Play Episode Listen Later Jul 11, 2025 20:00


Angola prepara-se para manifestação contra o aumento dos preços dos combustíveis e táxis. Jurista deixa um desafio às autoridades. Em Moçambique, extensionistas do Sustenta denunciam atrasos no pagamento dos salários e ausência de direitos laborais. Analisamos ainda como o futebol na República Democrática do Congo pode ajudar a unir o país.

Revue de presse Afrique
À la Une: le président américain Donald Trump se tourne vers l'Afrique

Revue de presse Afrique

Play Episode Listen Later Jul 9, 2025 4:04


« Qui l'eût cru ? Donald Trump qui s'intéresse subitement aux intérêts africains ! ». Ce cri de surprise feinte, voire ironique, c'est celui du Pays aujourd'hui, alors que le chef d'État s'apprête à accueillir cinq homologues du continent pour parler économie et commerce : le Sénégalais Bassirou Diomaye Faye, le Gabonais Brice Oligui Nguema, le Bissau-guinéen Umaro Sissoco Embalo, le Mauritanien Mohamed Ould Ghazouani et le Libérien Joseph Boakaï. Dernière étape en date d'une séquence décidément très africaine pour les États-Unis, puisque le journal burkinabè rappelle que, fin juin, « l'administration Trump avait réuni plusieurs chefs d'État et de gouvernement à Luanda en Angola » et qu' « il se dit également qu'un sommet plus large est prévu pour se tenir en septembre ».  Au Gabon, l'Union, se félicite de cette réunion, véritable témoignage, selon le quotidien proche du pouvoir, « de la volonté de l'administration Trump d'institutionnaliser des partenariats gagnant-gagnant, (…) loin de toute forme d'aide ou d'assistance ». Une coopération équilibrée, vraiment ? Le Pays n'y croit pas trop… et Aujourd'hui au Faso non plus, avec cette interrogation : « pourquoi le choix de ces cinq pays, lesquels ont sans doute un partenariat avec l'oncle Sam, mais pas gigantesque au point d'être préférés par exemple à la RDC, au Rwanda ou au Kenya ? ». Pour Le Pays, si le président américain se met à courtiser ces États « qu'il a royalement ignorés au cours de son premier mandat », c'est que « quelque chose a changé » … tout simplement, juge le journal, Donald Trump a compris qu'il « pouvait faire de bonnes affaires avec l'Afrique ».  Contrebalancer la montée en puissance des Brics Brics qui se sont, eux aussi, réunis cette semaine. Or, rappelle Aujourd'hui au Faso, ce regroupement informel est « l'alternative au mastodonte du système occidental et américain, » qui « essaie de se frayer un chemin »… Particulièrement face à un chef d'État « qui rythme la géopolitique mondiale » entre autres grâce à des « sanctions douanières punitives sur l'acier, les métaux [ou] le numérique ». Sanctions qui visent tout particulièrement l'Afrique du Sud… Et pour Jeune Afrique, il ne faut pas s'y tromper : cet « acharnement » pourrait bien, justement, « s'expliquer par l'appartenance [de Pretoria] au groupe des Brics », qui organisait son sommet juste avant que le couperet ne tombe. Le quotidien sud-africain Mail & Guardian met toutefois en garde contre toute position de victime : « la faute ne peut pas être placée uniquement sur les États-Unis ; les pays des Brics devraient aussi se regarder dans le miroir, et évaluer comment approfondir leurs interactions commerciales », actuellement limitées, juge le journal, « par les droits de douane prohibitifs qu'ils s'imposent les uns aux autres ». Qu'ils le veuillent ou non, ils n'ont pas le choix : « la posture ferme adoptée par les autorités américaines nécessite cette approche, qui est (…) vitale pour la durabilité à long terme des Brics ».  Et Aujourd'hui au Faso ne dit pas autre chose : « c'est bien, ces grandes entités pour contrer le diktat des pays puissants, mais le continent devrait d'abord muscler des organisations telles l'Union africaine » pour faire valoir ses propres intérêts, face aux intérêts individuels des uns et des autres, car « le tout n'est pas égal à la somme des parties ».  De nouvelles relations au détriment d'un partenaire historique  L'Europe qui semble reléguée au second plan… D'où cette question de Jeune Afrique : le vieux continent « a-t-il encore un rôle à jouer » sur le sol africain ? À force d'« annonces peu concrètes », de « mauvaises cartes », et de refuser de reconnaître les parties les plus sombres de son histoire, le continent « perd du terrain », analyse l'hebdomadaire. D'autant que, sans chef d'orchestre et sans partition, l'Europe joue des « polyphonies inaudibles » et « donne l'impression d'hésiter » en n'étant plus ni « puissance militaire assumée, ni modèle politique envié, et sans soft power unifié ». Bref, l'Europe « prétend encore jouer le rôle de partenaire principal », alors même qu'elle risque, assène enfin l'hebdomadaire, « de sortir de l'histoire qui s'écrit », en se contentant de « "vendre" sa proximité historique ou ses valeurs ». En tout cas, conclut JA, « l'Afrique, elle, n'attend plus : elle choisit, refoule, renégocie ». 

Misterios
Informe Enigma 10 X 31: Desaparecidos y Liberados

Misterios

Play Episode Listen Later Jun 30, 2025 109:32


Sumario Informe Enigma Dirige y Presenta: Jorge Ríos Escúchanos cada viernes de 23:00h a 01:00h en directo en Radio Platja d'Aro. Síguenos a través de nuestras redes sociales o contacta con nosotros en el siguiente correo electrónico: informeenigmapodcast@gmail.com Contacto Yolanda Martínez: 647552954 En este episodio, exploramos dos historias que desbordan misterio, indignación y preguntas sin respuesta. El 25 de mayo de 2003, un Boeing 727 de la aerolínea Air Dream despegó sin autorización del aeropuerto de Luanda, Angola, y desapareció en el cielo africano. A bordo, un técnico estadounidense y un mecánico congoleño. Hasta hoy, ni el avión, ni sus ocupantes, ni una sola pista clara han sido encontrados. ¿Quién se llevó el avión y por qué? ¿Es posible que una aeronave de ese tamaño desaparezca sin dejar rastro? Y mientras el misterio del 727 sigue sin resolverse, en España, otro escándalo conmueve a la opinión pública. Ximo Ferrándiz, un asesino en serie condenado por crímenes atroces cometidos entre los años 80 y 90, ha quedado en libertad tras cumplir su condena. ¿Cómo es posible que un hombre con ese historial vuelva a caminar entre nosotros? ¿Estamos preparados como sociedad para perdonar… o simplemente olvidar? Dos historias distintas, pero unidas por una misma sensación: la de que algo, en algún punto, falló. Acompáñanos a descubrir los detalles, las hipótesis y las preguntas que aún nadie ha podido responder. Y, para finalizar, junto a Yolanda Martínez hablamos de: Mas vale encender una vela que maldecir la oscuridad ¿Quieres anunciarte en este podcast? Hazlo con advoices.com/podcast/ivoox/277207

Semana em África
Moçambique celebrou 50 anos de independência

Semana em África

Play Episode Listen Later Jun 27, 2025 8:41


Moçambique celebrou 50 anos de independência, destacando a luta contra o colonialismo. O Presidente moçambicano, Daniel Chapo, saudou o homólogo português como “irmão”. Oscar Monteiro, da Frelimo, falou do impacto regional da independência e o investigador João Feijó alertou para a centralização do poder. Em Luanda, decorreu esta semana a 17.ª cimeira África–EUA. Na Guiné-Bissau, iniciou-se uma greve geral. Moçambique celebrou esta quarta-feira os 50 anos de independência com foco na vitória contra o colonialismo, reforçando a amizade com Portugal. O Presidente Daniel Chapo agradeceu a presença de Marcelo Rebelo de Sousa, chamando-o de “irmão”, numa cerimónia simbólica no agora renomeado Estádio da Independência. Oscar Monteiro, da Frelimo, destacou o impacto da independência na África Austral, embora reconheça o persistente regionalismo. Já o investigador João Feijó alertou para uma nova centralização do poder no país. Em paralelo, decorreu em Luanda a 17.ª cimeira África–Estados Unidos, marcada pelo regresso de Donald Trump à Casa Branca e o debate sobre o futuro das relações comerciais entre os blocos. Na Guiné-Bissau, a Frente Social iniciou uma greve geral de dez dias nos sectores da saúde e educação, exigindo o cumprimento de acordos salariais desde 2007. O sindicato denuncia repressão e promete endurecer o protesto se não houver diálogo. Por fim, Ruanda e a RDC assinaram em Washington um acordo de paz histórico, com mediação dos EUA e Catar, visando encerrar décadas de conflito no leste congolês, agravado pelos rebeldes M23.

Nuus
Minder belasting goed vir beleggings, maar meer kan gedoen word

Nuus

Play Episode Listen Later Jun 26, 2025 0:39


Beleggings in Namibië het spesiale aandag gekry by die onlangse VSA-Afrika Sakeberaad in Luanda. President Netumbo Nandi Ndaitwah het by ‘n sessie met die titel "Belê in Namibië", die vermindering in korporatiewe belasting aangekondig. Kosmos 94.1 Nuus het reaksie gekry van Danny Meyer van SME Compete wat sê dis 'n goeie strategie, maar moet met ander aansporings gekombineer word vir groter sukses.

DW em Português para África | Deutsche Welle
25 de Junho de 2025 - Jornal da Manhã

DW em Português para África | Deutsche Welle

Play Episode Listen Later Jun 25, 2025 20:00


Moçambique acorda esta manhã para os 50 anos de independência, vivendo num periodo de instabilidade político-social e económica. A cimeria EUA-África termina hoje em Luanda. Analista angolano afirma que disputas entre a China e os EUA em África são evidentes. Em Nampula, a FRELIMO acusa a RENAMO de ter atribuido ilegalmente licenças de espaços da edilidade.

DW em Português para África | Deutsche Welle
25 de Junho de 2024 - Jornal da Noite

DW em Português para África | Deutsche Welle

Play Episode Listen Later Jun 25, 2025 20:00


Protestos voltam a abalar o Quénia, um ano após o assalto ao Parlamento. Em Moçambique: celebração dos 50 anos de independência com promessas renovadas e críticas persistentes. E Cimeira de Negócios EUA-África terminou hoje, em Luanda.

Nuus
Belê in Namibië, hoor VSA-Afrika Sakeberaad

Nuus

Play Episode Listen Later Jun 24, 2025 0:32


Beleggings het onder die loep gekom by die VSA-Afrika Sakeberaad, wat in Luanda, Angola, plaasvind met ‘n sessie, "Belê in Namibië". President Netumbo Nandi Ndaitwah, het die hoofrede gelewer en die vermindering in korporatiewe belasting aangekondig wat op 1 April 2025 van krag gekom het.

Radio Platja d'aro, Informe Enigma
T10 X 21 "Desaparecidos y Liberados"

Radio Platja d'aro, Informe Enigma

Play Episode Listen Later Jun 23, 2025 109:32


Sumario Informe Enigma Dirige y Presenta: Jorge Ríos Escúchanos cada viernes de 23:00h a 01:00h en directo en Radio Platja d'Aro. Síguenos a través de nuestras redes sociales o contacta con nosotros en el siguiente correo electrónico: informeenigmapodcast@gmail.com Contacto Yolanda Martínez: 647552954 En este episodio, exploramos dos historias que desbordan misterio, indignación y preguntas sin respuesta. El 25 de mayo de 2003, un Boeing 727 de la aerolínea Air Dream despegó sin autorización del aeropuerto de Luanda, Angola, y desapareció en el cielo africano. A bordo, un técnico estadounidense y un mecánico congoleño. Hasta hoy, ni el avión, ni sus ocupantes, ni una sola pista clara han sido encontrados. ¿Quién se llevó el avión y por qué? ¿Es posible que una aeronave de ese tamaño desaparezca sin dejar rastro? Y mientras el misterio del 727 sigue sin resolverse, en España, otro escándalo conmueve a la opinión pública. Ximo Ferrándiz, un asesino en serie condenado por crímenes atroces cometidos entre los años 80 y 90, ha quedado en libertad tras cumplir su condena. ¿Cómo es posible que un hombre con ese historial vuelva a caminar entre nosotros? ¿Estamos preparados como sociedad para perdonar… o simplemente olvidar? Dos historias distintas, pero unidas por una misma sensación: la de que algo, en algún punto, falló. Acompáñanos a descubrir los detalles, las hipótesis y las preguntas que aún nadie ha podido responder. Y, para finalizar, junto a Yolanda Martínez hablamos de: Mas vale encender una vela que maldecir la oscuridad

Radio Platja d'aro, Informe Enigma
Despegó y Nunca Volvió: El Avión Robado que Nadie ha Podido Encontrar

Radio Platja d'aro, Informe Enigma

Play Episode Listen Later Jun 23, 2025 41:42


l 25 de mayo de 2003, en un caluroso anochecer en Luanda, Angola, un Boeing 727 de la compañía Air Dream desapareció del mapa. Sin autorización, sin plan de vuelo, sin transpondedor. El avión despegó, cruzó el cielo africano… y nunca más se supo de él. Ni señales de radar. Ni restos. Ni respuestas. En la cabina, un técnico estadounidense y un mecánico congoleño. ¿Fueron cómplices? ¿Víctimas? ¿Quién organizó el robo? ¿Y por qué? Hoy, más de dos décadas después, el misterio sigue abierto. En este episodio, Iván Castro Palacios nos lleva al corazón de una historia tan desconcertante como real. Con su estilo agudo y su mirada crítica, nos guía a través de documentos, testimonios y teorías que buscan dar sentido a lo imposible: ¿Cómo desaparece un Boeing 727 sin dejar ni una sombra? Prepárate para una investigación fascinante, llena de giros, silencios incómodos… y preguntas que aún hoy nadie ha podido responder.

DW em Português para África | Deutsche Welle
23 de Junho de 2025 - Jornal da Manhã

DW em Português para África | Deutsche Welle

Play Episode Listen Later Jun 23, 2025 20:00


Arrancou em Luanda a 17ª edição da Cimeira EUA-África. Economista angolano alerta que muitas promessas de investimento falham devido à falta de condições dadas pelos lideres africanos. Os EUA entraram à força no conflito entre Irão e Israel. Trump aconselha o Irão a não retaliar ataques de sábado. E um novo episódio da sua radionovela, Learning By Ear- Aprender de ouvido.

DW em Português para África | Deutsche Welle
23 de Junho de 2024 - Jornal da Noite

DW em Português para África | Deutsche Welle

Play Episode Listen Later Jun 23, 2025 20:00


Irão ataca base dos EUA no Qatar com mísseis — em resposta ao bombardeamento de instalações nucleares no seu território. Cimeira EUA-África arranca em Luanda com promessa de investimento de 300 mil empresas norte-americanas. E em Moçambique: Ex-guerrilheiros da RENAMO dão ultimato à liderança.

DW em Português para África | Deutsche Welle
20 de Junho de 2025 - Jornal da Manhã

DW em Português para África | Deutsche Welle

Play Episode Listen Later Jun 20, 2025 20:00


Em Moçambique, Fórum de Monitoria e Orçamento questiona que ativos o Estado já recuperou no caso dívidas ocultas. Na província angolana de Cabinda, cidadãos contestam fim dos subsídios à tarifa área na rota Luanda-Cabinda. Neste jornal registamos ainda o dia mundial do refugiado, com foco na África Ocidental e Austral. E no futebol, houve surpresas no Mundial de Clubes FIFA.

DW em Português para África | Deutsche Welle
17 de Junho de 2025 - Jornal da Manhã

DW em Português para África | Deutsche Welle

Play Episode Listen Later Jun 17, 2025 20:00


Irão e Israel entraram no quinto dia de conflito. Em Angola, analista afirma que a criação recente de vários partidos políticos, a 2 anos das eleições gerais, trata-se de um "negócio". Analisamos ainda a situação política na Tanzânia que está a gerar tensões, sobretudo com os países vizinhos como o Quénia. No futebol, jogou-se mais um dia do Mundial de Clubes FIFA nos EUA.

Invité Afrique
Dans l'est de la RDC, «la pléthore d'initiatives (pour la paix) qui se succèdent peut créer une image de confusion»

Invité Afrique

Play Episode Listen Later May 29, 2025 12:16


Un jour après la tenue à Kampala en Ouganda d'un sommet des chefs d'États du Mécanisme de suivi de l'accord-cadre pour la paix, la sécurité et la coopération pour la RDC et la région, qui a vu Yoweri Museveni prendre la tête de cette initiative, retour sur le bilan d'un énième mécanisme instauré pour tenter de ramener la paix dans l'Est du Congo, en proie à l'instabilité depuis des décennies. Un empilement qui peut semer la confusion auprès des populations victimes, selon Christoph Vogel. Il est le grand invité Afrique de Esdras Ndikumana.  RFI : Nous sommes au lendemain d'un sommet des chefs d'État du mécanisme de suivi de L'accord-cadre pour la paix, la sécurité et la coopération pour la RDC et la région. Certaines voix critiques parlent d'un énième mécanisme qui n'est pratiquement d'aucune utilité. Qu'en pensez-vous ? Christoph Vogel : L'accord-cadre, ça fait longtemps qu'il a été créé. C'est un accord qui est sur le papier pas mauvais parce que justement, il est assez détaillé, il est assez compréhensif. Par contre, le souci avec cet accord se pose beaucoup plus sur le point de l'implémentation, parce qu'il y a de nombreuses provisions de cet accord qui n'ont pas été implémentées.Mais concrètement, est-ce qu'il y a certains éléments qui étaient prévus, qui ont été mis en œuvre ? Il y a pas mal d'aspects qui ont été mis en œuvre de manière embryonnaire, notamment lorsque cet accord était encore frais et jeune. Et c'est aujourd'hui que cet accord revient sur la table, mais il est accompagné aujourd'hui aussi de nombreuses autres initiatives de paix. Ce qui peut créer une friction, évidemment, entre des processus qui ont lieu en parallèle.Depuis la reprise de la guerre à l'est de la RDC en 2022, les initiatives de paix se succèdent, d'abord africaine avec le processus de Nairobi et celui de Luanda. Puis ces deux processus ont fusionné. Deux nouveaux processus sont apparus avec Doha et Washington, qui semblent plus prometteurs. Comment l'expliquez-vous ? C'est assez compliqué parce qu'évidemment, on ne sait pas tout de ce qui se dit derrière les coulisses. Ce qu'on sait, c'est que pour le cas de Doha, le Qatar a été derrière les coulisses, assez impliqué, aussi dans une optique de la politique étrangère qatarie pour le cadre des efforts américains. Évidemment, c'est fortement lié à cette envie du nouveau gouvernement américain de revendiquer sa place en tant que puissance globale qui cherche à maintenir ses intérêts dans différentes parties du monde, inclus la région des Grands Lacs.Est-ce que vous pensez que l'implication de la première puissance mondiale avec Trump, cette fois-ci, ça peut être la bonne ? Alors, c'est un couteau à double tranchant. D'un côté, le poids et la puissance américaine peut évidemment se traduire dans une force capable de rassembler les différentes parties au conflit actuel. De l'autre côté, il y a aussi certains observateurs qui se demandent justement quels sont les intérêts stratégiques américains qui vont au-delà de cette volonté de juste essayer de contribuer à une voie pour la paix.Depuis des décennies, on constate que lorsqu'une initiative ne marche pas dans la recherche de la paix à l'est de la RDC, la réponse est apparemment de créer une autre initiative tout en gardant la première. Est-ce que tout cela ne conduit pas à une certaine confusion et une certaine cacophonie ? Évidemment, cette pléthore d'initiatives et de tentatives qui se succèdent et qui d'ailleurs coexistent peut créer justement cette image de confusion. Il faut voir que si, par exemple, une initiative particulière n'aboutit pas, évidemment, dans ce cas-là, ça serait bien d'un côté de fusionner et harmoniser ces processus ou formellement mettre fin à certaines initiatives pour permettre plus de place à des processus alternatifs et ainsi, de diminuer ce sentiment de confusion qui peut évidemment être créé parmi les populations concernées. Entre temps, il y a une nouvelle donne qui vient d'apparaître à l'est de la RDC, l'ancien président Joseph Kabila. Est-ce que son entrée en jeu au grand jour est de nature à changer la nature du conflit auquel on assiste ? Alors, évidemment, le président Kabila, qui a été à la tête de la RDC pendant 17 ans, reste une figure de poids sur la scène politique, non seulement en RDC, mais aussi à travers toute la région. Et c'est ainsi que son entrée dans le jeu visible et tangible suite à quand même aussi plusieurs mois de rumeurs qui ont déjà un peu annoncé cela depuis peut être un élément qui réorganise certains processus et certaines coalitions entre les autres acteurs. Par contre, en l'absence d'une déclaration à Goma, ce n'est pas encore tout à fait clair, ni de savoir à quel niveau cela va changer les différentes initiatives qui sont déjà en cours, ni non plus comment sera le positionnement final du président Kabila ?À lire aussiEst de la RDC: «Faites taire les armes», lance le chef de l'ONU

From Our Own Correspondent Podcast
Turkey's chance for peace

From Our Own Correspondent Podcast

Play Episode Listen Later May 24, 2025 28:50


Kate Adie presents stories from Turkey, the South China Sea, Ukraine, the US and Angola.Outlawed Kurdish group the PKK, which has waged a 40-year insurgency against Turkey, has announced it's disbanding. More than 40,000 people were killed during its fight for an independent Kurdish state - now the group says the Kurdish issue 'can be resolved through democratic politics'. Orla Guerin reports from Diyarbakir, in the Kurdish heartland.In the South China Sea, the tiny island of Pagasa is at the centre of a dispute between the Philippines and China. For the past 10 years, China has been expanding its presence in the region - but the Philippines is one of the few southeast Asian countries to stand its ground. Jonathan Head gained rare access to the island.Over the last decade, the Ukrainian Orthodox church gradually distanced itself from the Moscow Patriarchate, until it formally severed ties in 2022. But some priests and parishioners are reluctant to give up the traditions that were so familiar to them. Nick Sturdee reports from Western Ukraine.In Arizona, we meet the Native American 'knowledge keepers', who are now willing to share some of their secrets, as part of a cultural project which is uniting some of the major tribes, including the Navajo, the Hopi and the Apache nations. Stephanie Theobald went to find out more about their vision.Angolan president, João Lourenço, has made it his mission to claw back millions of dollars stolen by corrupt past leaders. At the National Currency Museum in the capital Luanda, Rob Crossan reflects on the meaning of money - asking where has it all gone?Series Producer: Serena Tarling Production Coordinators: Sophie Hill & Katie Morrison Editor: Richard Fenton-Smith

Conversas à quinta - Observador
Os Herdeiros. Francisco Alegre: “Gosto muito de servir em Luanda"

Conversas à quinta - Observador

Play Episode Listen Later May 20, 2025 39:03


O pai, Manuel Alegre, fez política antes e depois de 1974. Ele é diplomata e foi adjunto de dois ex-primeiros-ministros, Guterres e Costa. Hoje é embaixador em Luanda.See omnystudio.com/listener for privacy information.