French photographer and painter
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“Regarde !”150 ans de livres de photographies pour les enfantsà la Maison de la Photographie Robert Doisneau, Gentillydu 1er mars au 31 mai 2024Interview de Laurence Le Guen, autrice du livre « 150 ans de photolittérature pour les enfants » publié aux éditions MeMo et commissaire de l'exposition,par Anne-Frédérique Fer, à Gentilly, le 26 février 2024, durée 25'07,© FranceFineArt.https://francefineart.com/2024/02/29/3519_regarde_maison-de-la-photographie-robert-doisneau/Communiqué de presseCommissariat : Laurence Le Guen, autrice d'une thèse sur les ouvrages photographiques pour enfants, chercheuse associée au laboratoire du Cellam à l'université Rennes 2, membre de l'Afreloce et professeure de lettres.L'exposition est composée de prêts issus de collections publiques (Fonds patrimonial Heure Joyeuse – Médiathèque Françoise Sagan) et de prêts issus de collections particulières Née au XIXème siècle, la photographie investit très tôt le livre, afin de pouvoir être diffusée efficacement au plus grand nombre. Loin de réserver ce canal de diffusion aux adultes, les photographes voient là une possibilité de conquérir un nouveau public : les enfants. Collaborant avec des écrivains, ils s'essaient avec entrain à la création d'ouvrages pour la jeunesse, et font preuve d'une très grande inventivité pour créer autour de leurs images des fictions, des livres d'apprentissage ou des albums novateurs.Ces créations dites photolittéraires sont le reflet de leur époque, témoignent de la variété des courants pédagogiques, esthétiques et politiques, mais aussi des avancées techniques qui accompagnent le développement de la photographie.Longtemps la photographie fut la mal aimée des livres pour enfants. Aujourd'hui encore, la photographie reste marginale en littérature jeunesse et le livre photo-illustré souffre toujours d'un manque de reconnaissance. Pourtant, depuis quelques années, on redécouvre l'importance et la variété de cette abondante production. On se rend compte que bon nombre de grands photographes ont contribué activement à son histoire : Ansel Adams, Laure Albin-Guillot, Claude Cahun, Edward Curtis, Dominique Darbois, Robert Doisneau, Hannah Höch, Frank Horvat, André Kertész, François Kollar, Ergy Landau, Jacques-Henri Lartigue, Thérèse Le Prat, Duane Michals, Annette Messager, Sarah Moon, Marc Riboud, Alexander Rodtchenko, Cindy Sherman, Emmanuel Sougez, Edward Steichen, William Wegman, pour lesquels ces livres font pleinement partie de leurs oeuvres.Bien plus, des titres signés des maîtres de la photographie sont réédités et figurent désormais dans les rayonnages des bibliothèques enfantines. Ainsi, les assemblages d'objets hétéroclites de la photographe surréaliste Claude Cahun (1894-1954) pour le Coeur de Pic sont de nouveau accessibles. La fourrure des oursons de la photographe animalière Ylla (1911-1955) est plus soyeuse que jamais. Et les jeunes lecteurs peuvent désormais admirer la profondeur du noir et blanc des images du photographe japonais Eiköh Hosoe (né en 1933) dans Taka-Chan et moi.La Maison de la Photographie Robert Doisneau invite aujourd'hui le public à redécouvrir l'histoire de cette production rarement présentée au public par les institutions.[...]Laurence Le Guen, Commissaire de l'exposition Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
“Et nos morts ?”La photographie post mortem aujourd'hui en Europeà la Maison de la Photographie Robert Doisneau, Gentillydu 22 septembre 2023 au 18 février 2024Interview de Camille Lebossé, collaboratrice de Michaël Houlette, directeur de la Maison Doisneau et commissaire de l'exposition,par Anne-Frédérique Fer, à Gentilly, le 21 septembre 2023, durée 11'50,© FranceFineArt.https://francefineart.com/2023/09/24/3479_et-nos-morts_maison-de-la-photographie-robert-doisneau/Communiqué de presseCommissariat :Michaël Houlette, Directeur de la Maison Doisneau / Lavoir Numérique assisté de Camille LebosséPourquoi un tel projet ? – Edito par Michaël Houlette – Directeur de la Maison Doisneau / Lavoir NumériqueL'initiative de ce projet visant à montrer des photographies de corps morts puise ses origines dans le cahier des charges de la Maison Doisneau consacré à la photographie dite « humaniste » dont le projet est de questionner l'Homme, son histoire moderne et contemporaine mais aussi les conditions de son existence. Il était donc temps, plus de vingt années après son inauguration, que la Maison Doisneau aborde enfin un chapitre consacré aux morts.L'objet ici n'est pas la mort dans un absolu. Il n'est pas question de s'interroger sur les diverses façons dont la photographie peut, de manière plus ou moins réaliste ou métaphorique, s'emparer de la mort en tant que notion ou abstraction. Car ce sont bien les morts eux-mêmes et l'image de leurs dépouilles en Europe (en France en particulier) qui font l'objet de notre réflexion.Les morts et la photographie partagent de longue date un espace visuel commun, à la fois intime, institutionnel et médiatique : dans les ateliers de portraits jusqu'au milieu du 20ème siècle mais aussi dans la presse, les archives familiales ou encore les archives scientifiques ou médico-légales. Le portrait post mortem réalisé par des auteurs ou autrices a longtemps répondu à des contraintes techniques (éclairage, angle de prise de vue d'un corps le plus souvent allongé ou semi couché) et des codes funéraires immuables. On ne distingue que peu de variantes dans les portraits et les mises en scènes et aucune autre finalité que la présentation du corps à un entourage plus ou moins proche. Il faut donc attendre les années 1970, lorsque la photographie fait clairement reconnaître sa qualité de medium artistique, pour voir apparaître quelques oeuvres revendiquées comme telles s'intéressant aux visages et aux corps des morts.Afin de dresser notre panorama de la photographie post mortem aujourd'hui en Europe, nous avons privilégié des oeuvres récentes et, pour la plupart, peu connues, en les introduisant toutefois par une sélection d'images réalisées au milieu du 20ème siècle (Jacques Henri Lartigue, Laure Albin Guillot, Robert Doisneau, Raymond Voinquel). Ces oeuvres et images sont celles d'autrices et d'auteurs : reporters, illustratrices et illustrateurs, plasticiennes et plasticiens. Ainsi nous observons le cadre programmatique de la Maison Doisneau qui est essentiellement dédiée aux photographes utilisant le médium dans une volonté d'expression ou de création. En rassemblant des démarches relativement homogènes nous facilitons par ailleurs les comparaisons et les analyses : bien que résultantes d'intentions précises, ces oeuvres traduisent aussi des comportements vis-à-vis des morts propres à des époques et des contextes. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Denis Curti"Jacques Henri Lartigue. L'invenzione della felicità"Fondazione Ferrero, Alba (Cuneo)https://fondazioneferrero.itLa Fondazione Ferrero di Alba presenta fino a giovedì 30 marzo 2023 un nuovo progetto espositivo, dedicato al grande fotografo Jacques Henri Lartigue (1894 - 1986): “L'invenzione della felicità” - The Invention of Happiness.Dopo il grande successo veneziano alla “Casa dei Tre Oci” e la successiva tournée presso alcune delle più prestigiose sedi espositive italiane, come il Museo Diocesano di Milano e il WeGil di Roma, la più grande retrospettiva mai dedicata in Italia all'opera del geniale fotografo della Belle Époque approda ad Alba nel cuore delle Langhe, con uno speciale display pensato appositamente per gli spazi della Fondazione Ferrero che include un nucleo fotografico inedito dedicata alle frequentazioni piemontesi del fotografo e di sua moglie Florette Ormea, concesso in esclusiva per questa mostra dalla Donation Jacques Henri Lartigue di Parigi.Il percorso espositivo presenta 120 immagini, tra album di famiglia e scatti iconici che Lartigue ha collezionato nel corso della sua esistenza, e abbraccia un arco temporale che va dagli inizi amatoriali, fino alla consacrazione artistica avvenuta nel 1963, quando quasi settantenne il MOMA di New York decide di dedicargli un'importante personale, curata da John Szarkowski.Alle origini del concepimento di questo progetto espositivo si trova il preciso intento di raccontare per la prima volta il legame tra l'autore francese e il territorio piemontese, offrendo così un punto di vista più intimo e familiare sulla sua produzione. Proprio alla famiglia e all'amore per la terza moglie e musa Florette Ormea Lartigue (1921 – 2000), di origini italiane ma francese d'adozione, si deve la costruzione di questa relazione profonda con le Langhe e la nascita di un insieme di scatti ambientati a Piozzo che vengono presentati finalmente al pubblico in questo contesto.Lartigue e Florette risiedevano tra la Costa Azzurra e l'Italia e hanno trascorso diverse estati a Piozzo, un piccolo borgo situato nella valle del fiume Tanaro, città natale della stessa Florette. Negli interminabili soggiorni vacanzieri presso la Casa del Suffragio di Piozzo, Lartigue, ormai fotografo affermato, scrive, respira la realtà di paese, si dedica alla pittura e all'ampliamento del suo corpus lavorativo con fotogrammi cittadini e amorevoli immagini del figlio Dany.Denis Curti è direttore e fondatore di STILL, galleria fotografica di base a Milano, direttore artistico della Casa dei TRE OCI di Venezia, del Festival di Fotografia di Capri, del Festival di fotografia a Montefano: Premio Ghergo e direttore della testata on line Black Camera www.blackcamera.it. Denis Curti è course leader del Master in Photography in Raffles School, consulente della Fondazione di Venezia per la gestione del patrimonio fotografico. Negli anni 2002-2003 curatore delle prime aste fotografiche di Sotheby's a Milano. Dal 1995 al 2002 direttore della Fondazione Italiana per la Fotografia. Dal 2005 al 2014 Curti è il direttore di Contrasto – Milano e vicepresidente della Fondazione Forma a Milano, è inoltre direttore artistico di progetti corporate per: Altagamma, Ambrosi, Polli, F2i, Ernst & Young, A2A, American Express, DHL, Tiffany, Alcantara. Ha curato diverse mostre, tra cui le personali di Elliott Erwitt, Gianni Berengo Gardin, Franco Fontana, Maurizio Galimberti, Fulvio Roiter, Andrè Kertesz, Robert Capa, Werner Bishof, Sebastiao Salgado, Helmut Newton, Henri Cartier Bresson, Giovanni Gastel, David Lachapelle, Jacques Henri Lartigue, la mostra dedicata a Magnum America – “A due Minuti dal mondo” (con magnum Photos) e le mostre itineranti Capri Trend. Tra gli '90 e 2000 direttore artistico della Biennale Internazionale di Fotografia di Torino. Per oltre 15 anni Denis Curti ha lavorato come giornalista e critico fotografico per le pagine di Vivimilano e Corriere della Sera. Esperto del mercato del collezionismo legato alla fotografia, Denis Curti è autore di diversi libri sulla fotografia, come “Collezionare fotografia”, 2010 (con nuova edizione del 2013) per le edizioni Contrasto e “Capire la fotografia contemporanea. Guida pratica all'arte del futuro”, Marsilio Editori, 2020, “Il mosaico del Mondo. La vita messa a fuoco. La biografia di Maurizio Galimberti” Marsilio Editori, 2022.IL POSTO DELLE PAROLEascoltare fa pensarehttps://ilpostodelleparole.itQuesto show fa parte del network Spreaker Prime. Se sei interessato a fare pubblicità in questo podcast, contattaci su https://www.spreaker.com/show/1487855/advertisement
Dans notre épisode de rentrée, nous rencontrons Michaël Houlette, directeur de deux structures à Gentilly : la Maison de la Photographie Robert Doisneau et le Lavoir Numérique. Historien de formation, il revient sur ses différentes expériences professionnelles auprès des fonds Nadar et Jacques Henri Lartigue, puis au Jeu de Paume pendant 9 ans. Il nous explique que les deux thèmes de la Maison de la Photographie Robert Doisneau et du Lavoir Numérique sont la photographie humaniste et l'audiovisuel et nous dévoile que plus de la moitié de leurs activités sont liées à des projets pédagogiques. Dans cet épisode vous apprendrait comment il conçoit une programmation ainsi que des conseils pour des photographes qui souhaiteraient faire une exposition. Bonne écoute !01'09 – Qui est Michael Houlette ?01'40 – Sa rencontre avec la photographie et sa formation universitaire auprès de Michel Frizot.Ses expériences aux archives de Nadar et Jacques henri Lartigue, puis directeur artistique du Patrimoine photographique. Il devient coordinateur et commissaire d'exposition au Jeu de Paume. L'institution est créée suite à un plan de sauvegarde de l'emploi.18'30 – Il a postulé au poste de directeur de la Maison de la photographie Robert Doisneau, car il rêvait de faire se propre programmation.21'50 – Qu'est-ce que la Maison de la Photographie Robert Doisneau ? Et qu'est-ce que la photographie humaniste ?27'55 – La création du Lavoir Numérique. Le lavoir numérique = lieu dédié à l'audiovisuel (photo, cinéma/vidéo et les arts sonores). La pédagogique représente 60% de l'activité avec trois entrées : qu'est-ce que la création ? Qu'est-ce que la diffusion ? Qu'est-ce que la réception ?45'55 – Il travaille avec deux administrations, le territoire Grand Orly Seine Bièvre et la ville de Gentilly qui lui permettent de rentrer en contact avec d'autres structures de la ville et du territoire. Un de ses enjeux est de transformer un programme politique en un programme culturel.51' – Les évolutions passées et futures dans le milieu de la photo et les conseils pour les photographes.Comment conçoit on une programmation ? Il défend un cahier des charges avec un budget et une équipe. Position d'historien avec une certaine vision. Ce ne sont pas des coups de cœur.Les évolutions : les parts données à la communication et à la médiation ont été amplifiées aussi. Sur une équipe de 13, 5 personnes sont dédiées à la médiation. La médiation est vraiment ce vers quoi on s'oriente. On peut se demander la place des structures culturelles dans le futur de la médiation?Les conseils pour des photographes : se former à réaliser des ateliers avec Diagonal et si on veut faire une exposition il faut absolument connaître comment fonctionne les structures (connaître les spécialités des structures, les budgets approximatifs et avoir un projet d'édition est un gros plus).Le LinkedIn de Michaël Houlette : https://www.linkedin.com/in/michael-houlette-3b418a231/Le site de la Maison de la Photographie Robert Doisneau : https://maisondoisneau.grandorlyseinebievre.fr/Le site du Lavoir Numérique : https://lavoirnumerique.grandorlyseinebievre.fr/Le podcast du Lavoir Numérique : https://lavoirnumerique.grandorlyseinebievre.fr/informations-transversales/en-coulisses/rencontres-du-lavoir-le-podcast-4841Pour suivre l'actualité du podcast vous pouvez vous inscrire à la newsletter ici : https://beacons.ai/lesvoixdelaphoto et retrouvez le podcast sur Instagram, Facebook et LinkedIn @lesvoixdelaph Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
On this episode of Showcase, watch: Issey Miyake 00:02 Guest: Dana Thomas, Fashion Writer and Author Susan Mujawa Ananda's TV channel 10:02 Shortcuts 12:13 Judi Jackson 14:11 Edinburgh Fringe Festival 15:56 Jacques Henri Lartigue- Photographic Diary of a Century 18:32 Moroccan Animation 21:17
Due to all the tumult of Thanksgiving and work, Antonio and Ward are taking a small break and presenting this rerun of their popular episode called "Lost in Lartigue." Here are the show notes from the original 2019 broadcast: In this episode, I'm joined by my buddy Ward Rosin and we do a deep dive into the photographer Jacques-Henri Lartigue. Ward and I touch on many aspects of Lartigue's work including his love of speed and his use of one of the first color photography processes called "Autochrome." We make some interesting discoveries during our chat and I'm sure you will too as you listen to us both talk about a photographer we've admired for a long time. This is the first of what will be a regular feature on Street Shots. The idea of talking about interesting and exceptional photographers with a buddy has been something I've wanted to do on the show for a while now. Any feedback is appreciated. Show Links: Ward Rosin's Website, Instagram feed and Facebook page. Ted Forbes “TheArt of Photography” - "The Color Photography of Jacques-Henri Lartigue" Ted Forbes “TheArt of Photography” - "Lartigue" Autochrome Process Explanation of the distortion in the racing image. Guardian article on Lartigue Boyhood photos of J.H. Lartigue Book - Lartigue: Life in Color
“Les Photaumnales“ 18e éditionC'est la fête à Beauvais & Picardie, Hauts-de-Francedu 18 septembre 2021 au 2 janvier 2022Interview de Fred Boucher, co-directeur de Diaphane et commissaire général de la 18ème édition des Photaumnales,par Anne-Frédérique Fer, à Clermont de l'Oise, le 30 août 2021, durée 44'07.© FranceFineArt.Communiqué de presseCommissariat du festival :Fred Boucher, direction artistique et programmation, co-directeur de DiaphaneLes Photaumnales sont organisées par Diaphane. http://www.diaphane.orgDepuis le début de la pandémie et ses restrictions sanitaires, nous rêvons de retrouvailles et de fêtes. Il nous a semblé nécessaire de consacrer cette 18e édition des Photaumnales à une échappée festive. Que ce soit à travers les pratiques familiales et privées dans la banalité du quotidien, les fêtes traditionnelles et religieuses ou les fêtes commerciales et exutoires de la nuit, la programmation propose un large panorama des représentations liées à cette réalité sociale. La fête est également un moment pour des retrouvailles ; nous avons invité des amis à venir partager leur vision de ce sujet. The Anonymous Project nous fait vivre l'expérience de la fête familiale à travers sa collection de photographies couleurs d'amateurs des années 50 et 60. La Médiathèque de l'architecture et du patrimoine revisite ses fonds photographiques à la lumière de cette thématique et à travers des grands noms de l'histoire de la photographie. Ailleurs dans le monde, des fêtes traditionnelles rythment la vie sociale. Nous les découvrons dans les expositions de festivals partenaires : Photolux festival en Italie, Kaunas photo festival en Lituanie et les Rencontres internationales de la photographie en Gaspésie au Québec.Forte de son envie de découverte, la programmation met à l'honneur la photographie thaïlandaise et propose un regard à la fois historique et contemporain sur des artistes majeurs de ce pays.La fête, c'est également le temps des surprises, qui se révèlent à travers trois expositions issues des résidences de création artistique que Diaphane met en place sur les territoires de la région. C'est une autre idée de la fête et du vivre ensemble que nous donnent à voir ces séries. Nous retrouverons également à Amiens les expositions autour du thème de la jeunesse, qui avaient été annulées l'an passé du fait du confinement. Présentées dans des lieux culturels associés et dans des lycées de la ville d'Amiens, ces représentations de la jeunesse font écho à la crise qu'elle traverse.Cette année encore, la programmation prend sa place au Quadrilatère – Centre d'art de Beauvais ou au Mudo – Musée de l'Oise à Beauvais, mais également dans l'ensemble des lieux partenaires répartis sur l'ancienne région Picardie. Le festival affirme ainsi sa volonté d'être présent partout à l'échelle du territoire et dans les communes rurales pour y déployer une offre culturelle proche des habitants, avec une permanence d'éducation à l'image par la photographie.Fred BoucherFranceFineArt.com est partenaire média de la 18e édition des Photaumnales.Le programme des expositions#Le Quadrilatère – Centre d'art de Beauvais – du 16 octobre 2021 au 2 janvier 2022C'est la fête – thématiqueLes fêtes Historiques de Beauvais – Fonds photographiques conservés aux Archives départementales de l'Oise. Fernand Watteeuw, Charles Commessy, Paul Finot et Marcel Gatelet. Commissariat : Francis DubucLe carnaval – Invitation du Château Coquelle de Dunkerque sur le carnaval (1993)DAHOU et Jean-Marc ZAORSKI Regards sur le Carnaval dunkerquoisPascale SEQUER Bateau ivreMyriam BOULOS NightshiftMaciej DAKOWICZ Cardiff After DarkOlivier DEGORCE Plastic dreamsLaurent GUENEAU Blue HawaïNick HANNES Night GameTom JANSSEN ParadeCyril PORCHET ReinaFrançois PROST After PartyGintarė RAKICKAITE-KLIMIENEThree Quarter (vidéo)Nick WAPLINGTON weddings, Parties, AnythingsLa fête avec The Anonymous Project – Exposition de photographies anonymes Kodachrome des années 50 et 60 sur le thème de la fête.Couper le son et arrêter le mouvement – Collection de la Médiathèque de l'architecture et du patrimoine ( MAP) – commissariat : Matthieu RivallinJohn BATHO , Marcel BOVIS, François KOLLAR, Jacques-Henri LARTIGUE, François LE DIASCORN, Dolorès MARAT, Émile MULLER, Bruno REQUILLART, Willy RONIS et Frères SEEBERGERDans l'eau il y a des poissons, dans les champs il y a du riz – Thaïlande, une rétrospectiveCommissariat : Stéphane Damant en partenariat avec La Kathmandu Photo Gallery à BangkokI/ The Old MastersChitt CHONGMANKHONGSaengjun LIMLOHAKULPornsak SAKDAENPRAIII/L'ArtivisteManit SRIWANICHPOOMIII/ La thaïlande telle quelleViriya CHOTPANYAVISUT In State of fluxLek KIATSIRIKAJORN Flowing Through The Wreckage of DespairMiti RUANGKRITYA A convenient Sunset I A convenient HoldupHarit SRIKHAO Mt MeruPrateep SUTHATHONGTHAI Holly ProductionKawita VATANAJYANKURThe Scale II#Panorama sur le territoireLe Musée de l'Oise, MUDO – Beauvais – du 6 novembre 2021 au 23 janvier 2022Place au cirque ! Commissariat : Marie-Bénédicte Dumarteau. L'exposition réunit des oeuvres du musée et des photographies historiques et contemporaines pour nous faire revivre la magie du cirque à travers le regard de quelques-uns de ses meilleurs ambassadeurs. Avec Rhona BITNER, Marcel BOVIS, Paul DE CORDON , Robert DOISNEAU, André KERTESZ, Tina MERANDON, Gaston PARIS, Roger PARRY, René-Jacques (René Giton dit), Frères SEEBERGER, François TUEFFERD et André ZUCCAEspace Séraphine Louis – Clermont – du 18 septembre au 7 novembre 2021Carte blanche aux festivals partenaires Photolux festival – Lucca (Italie) / Kaunas Photo festival (Lituanie) / Rencontres internationales de la photographie en Gaspésie (Québec)Antonio d'AMBROSIO Infiorata del Corpus Domini (Photolux Festial)Romualdas POZERSKIS Lithuanian Pilgrimages (Kaunas Photo festival)Serge-Olivier RONDEAU Grand National (Rencontres Internationnales de la Photographie en Gaspésie)Maison Diaphane – Salon des émergents – Clermont – du 18 septembre 2021 au 2 janvier 2022Matthieu CAUCHY Silence Pétanque ClubEspace Matisse – Creil – du 5 novembre au 17 décembre 2021Tomas van HOUTRYVE Lines and lineageGalerie du Chevalet – Noyon – du 6 octobre 2021 au 2 janvier 2022Arne PIEPKE Faith, Custom, HomeEspace Culturel – Thourotte – du 28 septembre au 27 novembre 2021Laurent GUENEAU Blue HawaïPlace de la Mairie – Bailleul-sur-Thérain – du 16 octobre 2021 au 2 janvier 2022Série de photographies des auteurs invités dans la programmation#Les résidences de créationParc de la Foulerie – Chaumont-en-Vexin – du 18 septembre au 8 novembre 2021Romain CAVALLIN Vexin Vie – Résidence de création dans le cadre des contrats « culture-ruralité »Parking de l'intermarché – Saint-Erme – du 18 septembre au 8 novembre 2021Stéphanie LACOMBE Hyper life – Résidence de création dans le cadre des contrats « culture-ruralité »Musée archéologique de l'Oise – Vendeuil-Caply – du 18 septembre au 5 décembre 2021Martin BECKA Sur les terres de l'Oise Picarde – Résidence de création dans le cadre des contrats « culture-ruralité »Église – Rémécourt – du 23 octobre au 3 décembre 2021Cédric MARTIGNY Le Commun – Commande pour les 60 ans du Pays du Clermontois#Regards sur la jeunesseMaison de la Culture – Amiens – du 9 novembre 2021 au 20 février 2022Lycéen t'es qui ? portraits de lycéens en région Picardie réalisés entre 2008 et 2018 par 15 photographes accueillis en résidence de création au sein de lycées de la région, avec Marie-Noëlle OUTIN, Luc CHOQUER, Olivier CULMANN, Denis DARZACQ, Dominique DELPOUX, Claudine DOURY, Philippe GUIONIE, Awen JONES, Yannick LABROUSSE, Stéphanie LACOMBE, Xavier LAMBOURS, Vincent LEROUX, Cédric MARTIGNY, Tina MERANDON et Ambroise TEZENASLe Safran – Amiens – du 26 octobre 2021 au 12 janvier 2022Rêves d'en France, rêves d'enfance – Cette exposition rassemble des photographies, du graphismeet des textes créés dans le cadre d'ateliers artistiques menés en collaboration avec des jeunes des Apprentis d'Auteuil. Ce projet a été encadré par : Annabelle MUNOZ RIO et Sophie ZÉNON (photographes), Elsa ABDERHAMANI et le studio Les Canailles (graphistes), Arno BERTINA et Cédric BONFILS (écrivains)UFR des Arts – Amiens – du 15 novembre au 13 décembre 2021Nina MEDIONI Campus Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.
IL MAXXI sbarca a L'AQUILA ... quattro giorni di visite gratuite e gran festa per il forte segno di rinascita..all'insegna della cultura..- YARA PIRAS ... Fondazione Adolfo Pini premia i giovani artisti di talento come ci racconta ADRIAN PACI..grande artista e presidente della Fondazione..- L'INVENZIONE DELLA FELICITA'..le fotografie di Jacques Henri Lartigue..- Giorni di fermento a Ivrea .... nella GRANDE INVASIONE ci fermiamo a parlare con Elisa Seitzinger della..sua passione per Cavalieri, papesse e streghe..- Firenze riparte con AMERICAN ART , una grande mostra a Palazzo Strozzi..- L'AMOR CHE MOVE IL SOLE E L'ALTRE STELLE..L' arte contemporanea omaggia Dante a CITYLIFE..- ADI DESIGN MUSEUM .. Milano ha un altro Museo del Design dedicato al COMPASSO D'ORO
“Histoires de photographies” Collections du Musée des Arts Décoratifsau MAD, musée des Arts Décoratifs, Parisdu 19 mai au 12 décembre 2021Interview de Sébastien Quéquet, attaché de conservation en charge des collections photographiques, département des Arts graphiques et commissaire de l'exposition,par Anne-Frédérique Fer, à Paris, le 19 mai 2021, durée 27'22, © FranceFineArt.Extrait du communiqué de presse :CommissariatSébastien Quéquet, attaché de conservation en charge des collections photographiques, département des Arts graphiquesAvec la collaboration de :Sonia Aubès, documentalisteMax Bonhomme, docteur en histoire de l'artIris Cartron, élève de l'École normale supérieureBéatrice Krikorian, chargée de missionLe Musée des Arts Décoratifs présente une exposition de ses collections de photographies, révélées pour la première fois au public. Ce fonds patrimonial exceptionnel, riche de plus de 350 000 phototypes, rassemble des photographies de mode, d'architecture, de paysage, de décor, mais aussi publicitaires, allant des années 1840 aux créations les plus récentes.« Histoires de photographies » retrace, à travers 400 tirages originaux et négatifs, un siècle et demi d'histoires photographiques immortalisées par de grands noms tels Eugène Atget, Laure Albin-Guillot, Dora Kallmus, plus connue sous le nom de Madame d'Ora, Man Ray, Cecil Beaton, Robert Doisneau, Bettina Rheims, David Seidner… Chronologique et thématique, l'exposition dévoile la diversité des usages de la photo — politique, économique, juridique, artistique ou documentaire — et met en lumière les croisements, sensibles ou inattendus, avec les arts décoratifs. Elle offre ainsi un regard neuf sur le rôle de premier plan que le Musée des Arts Décoratifs a joué dans la reconnaissance de la photographie sur la scène artistique française.Dès son origine en 1864, l'Union centrale des beaux-arts appliqués à l'industrie – aujourd'hui Les Arts Décoratifs – envisage la photographie comme un « art appliqué à l'enseignement et à la vulgarisation ». Elle est alors considérée comme l'un des vecteurs les plus efficaces pour inspirer les ouvriers et artisans en plein contexte d'émulation artistique et économique. Au temps des premières expositions d'arts industriels, l'institution produit ses propres photographies grâce au laboratoire qu'elle met en place en 1883 et appelle les photographes à rejoindre ses rangs afin de fournir des modèles, en vue de former le regard et d'éduquer par l'image. Au fil du temps, le musée et sa bibliothèque acquièrent des milliers de clichés ayant pour vocation de documenter les collections que les créateurs ont pu donner par ailleurs, à l'instar de la maison Fouquet ou Louis Sognot.Au-delà des collections, c'est toute une politique d'expositions que la photographie nourrit tout au long du XXe siècle comme l'« Exposition des photographies de guerre » en 1916 ou l'« Exposition internationale de la photographie contemporaine » en 1936. La programmation propose et accueille les premières rétrospectives françaises consacrées à Henri Cartier-Bresson (1955) ou à Jacques Henri Lartigue (1975). En 2021, le musée rend un nouvel hommage à la photographie mais cette fois à travers le prisme de sa propre collection. Six sections permettent d'en saisir la profusion et la variété : la quête des modèles, les vues de pays comme objet d'étude et d'inspiration, la photographie au service du patrimoine, l'utilité commerciale de la photographie exploitée par la presse et la publicité, la reconnaissance de la photographie et la photographie de mode.Le parcours débute au commencement de l'histoire de la photographie dans le sillon des premières associations et institutions : la Société française de photographie voit le jour en 1854 et la Chambre syndicale de la photographie en 1862. Cette partie introduit le visiteur dans les premières images de ce milieu du XIXe siècle en rappelant leur vocation pédagogique pour les artistes et les artisans. L'acquisition de modèles photographiques – natures mortes mais aussi ornements ou figures – est alors au coeur des impératifs des institutions.Le XIXe siècle est aussi une époque d'échanges et de mouvements. Les expositions universelles, plus particulièrement à partir de 1867, invitent à découvrir le monde, cet « ailleurs » que l'on méconnait alors, et la photographie participe à ce phénomène. Les clichés pris à l'étranger ont nourri l'imaginaire des artistes et des décorateurs, autant que celui des collectionneurs. De l'Amérique du Sud à l'Asie en passant par l'Europe et la Méditerranée, les photographies témoignent de différents points de vue : colonial, touristique, ethnographique ou personnel. La photographie est également l'une des ressources les plus convoquées à l'heure où s'organise la protection des monuments. En apportant un témoignage visuel de leur état et de leur transformation, elle joue un rôle essentiel à l'égard du patrimoine et de l'architecture à travers l'objectif d'Henri Le Secq ou de Charles Marville.L'exposition entraîne le visiteur dans les années 1920-1930, qui voient l'apparition progressive de la photographie publicitaire. Cette partie dévoile comment l'essor du modernisme photographique doit autant aux photographes eux-mêmes qu'aux graphistes, éditeurs et décorateurs, qui font entrer l'image dans les domaines de la vie quotidienne. L'Exposition internationale des arts décoratifs et industriels modernes, qui se tient à Paris en 1925, est fondamentale pour le marché de la photographie et de l'édition. Certaines revues comme Art et Décoration ou L'Architecture d'Aujourd'hui, et Connaissance des arts ensuite, accordent une place croissante à l'illustration photographique. Publiées dans ces revues, les clichés de Thérèse Bonney, Dora Kallmus ou Jean Collas jouent également un rôle de diffusion de modèles, contribuant au renouveau de la création et à l'évolution des goûts.C'est également l'ambition de l'Union française des arts du costume (UFAC), créée en 1948, sous l'impulsion de François Boucher, qui rassemble un ensemble prestigieux de pièces de mode, textiles et de tirages dont la gestion est alors confiée au musée. L'alliance de ces deux collections, dont l'accord est scellé en 1981, devient le socle de la mode du Musée des Arts Décoratifs. Le corpus photographique apporte un témoignage artistique et intime sur les figures les plus marquantes de la haute couture parisienne : Charles Frederick Worth, Madeleine Vionnet, Paul Poiret… Créateurs que les toutes récentes expositions « Harpers Bazaar. Premier magazine de mode » et « Le dessin sans réserve » ont mis en lumière.« Histoires de photographies » s'inscrit dans une programmation initiée en 2020 avec « Le dessin sans réserve », à la suite de « Faire le mur. Quatre siècles de papiers peints » en 2016, qui s'attache à faire découvrir au public toute la richesse de fonds restés longtemps dans l'ombre. L'exposition révèle les contours d'un médium à part entière, ses personnalités fondatrices et ses expressions les plus surprenantes.Un catalogue éponyme est disponible aux éditions MAD. Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.
Pour sa quatrième et dernière carte blanche, notre invitée de la semaine, Brigitte Patient a choisi de nous parler de deux coups de cœur. Celui de l'exposition "La Valise dans le placard" avec les œuvres d'Irène Jonas présentée à la galerie Thierry Bigaignon jusqu'en janvier dernier d'une part, et le 66ème album de la collection Reporters sans frontières consacré à Jacques-Henri Lartigue d'autre part. L'album est disponible en kiosque dès aujourd'hui, vendredi 4 mars !
durée : 00:47:09 - Remède à la mélancolie - par : Eva Bester - "Histoire de ma vie" de Casanova, l'Italie, les Lumières, Nietzsche, Sade, Watteau, Ingrid Caven et Brigitte Fontaine, Jacques-Henri Lartigue et le tennis... Retrouvez tous les remèdes de notre invitée !
Peti tőzsdecápa lett, bejelentették az új iPhone-okat, amiket megvizsgálunk fotós szemmel. Megjelent a Nikon Z6II és Z7II, amikről elmondjuk az első benyomásainkat a specifikációk alapján. Benedek fényképezőgépet vált? Gábor elmeséli mi a legnagyobb probléma a Godox pro szériájával, és kétségbeesetten keresi a megoldást. Végül beszámolunk az aktuális könyv rendeléseinkről. Az adás linkje: https://tripodcast.hu/34 Műsorvezetők: Láng Péter, Lénárt Gábor, Varga Benedek Csatlakozz a Tripodcast Community Facebook csoporthoz! http://tripodcast.hu/community Küldj nekünk hangüzenetben kérdést! http://tripodcast.hu/messages Az adást a Tripont, a Nikon, és a Manfrotto támogatta! Egyéni oktatásról az alábbi linken kaphattok információt: https://tripodcast.hu/oktatas Támogass minket Patreonon: https://tripodcast.hu/patreon Az adásban elhangzott témák és termékek: - Nikon Z6II: https://tripodcast.hu/Z6II - Nikon Z7II: https://tripodcast.hu/Z7II - Cikk a Godox AD400 Pro hibájáról: https://petapixel.com/2020/09/29/how-to-fix-the-biggest-flaw-in-the-godox-ad600-ad400-pro/ - Godox problémáról videó: https://youtu.be/Ae0zdR7ElVU - Nanlite parabola softbox: https://tripodcast.hu/nlite_150 - Broncolor Para reflector: https://tripodcast.hu/5tt - Karl Taylor - Why parabolic lighting: https://youtu.be/femBzU9-hXI - Alex Webb - The Suffering of Light: https://tripodcast.hu/gpa - Matt Stuart - All that life can afford: http://www.mattstuart.com/book/all-that-life-can-afford - Matt Day - Friend of Mine: https://www.mattdayphoto.com - Peter Lindbergh - On Fashion Photography: https://tripodcast.hu/ten - Peter Lindbergh - Images of Women II: https://tripodcast.hu/f140d - Vincent Peters - Selected works: https://tripodcast.hu/rqh - Todd Hido on Landscapes, Interiors, and the Nude: https://tripodcast.hu/1qb - Jacques Henri Lartigue: https://tripodcast.hu/5ba17 - Photographs Not Taken : A Collection of Photographers' Essays: https://tripodcast.hu/1c793 - Mert Alas and Marcus Piggot: https://tripodcast.hu/8aff9
Pagina3 con Silvia Bencivelli
durée : 00:59:29 - Une vie, une oeuvre - par : Virginie Bloch-Lainé - Quelle célébrité Richard Avedon n’a-t-il pas photographiée ? Mort la même année qu’Henri Cartier-Bresson et Helmut Newton, celui qui ne cherchait pas la beauté du modèle mais la "guerre civile" que chacun livre à soi-même, reste le grand portraitiste du siècle dernier. - réalisation : Clotilde Pivin - invités : Jean-Paul Goude illustrateur, photographe et réalisateur français.; Loïc Prigent journaliste et documentariste spécialisé dans la mode.; Marianne Le Galliard spécialiste de Jacques Henri Lartigue, commissaire de l’exposition La France d’Avedon - Vieux monde, new look.; Laurent Abadjian directeur du service photos de Télérama; Vahram Muratyan illustrateur.
Richard Porritt and Steve Anglesey return to shine a light on another week in British politics.The pair discuss what we've learned after four years of Brexit, Richard Desmond's Dockside debacle, Matt Hancock's faltering attempts to contact Apple and Steve's idea for a new prime-time detective drama - Test, Track and Trace.Matt Withers talks to Florence Hallett about the life of the photographer Jacques Henri Lartigue.And, of course, another Brexiteer of the Week is crowned.
Another busy freelance week means I'm rebroadcasting a show from last April, with me and Ward Rosin doing a deep dive on Jacques-Henri Lartigue. Also, a quick update on some future plans and shiny objects that are distracting me. Bryan Minear's X-T4 Preview Here are the notes from Episode 96 regarding Lartigue: In this episode, I'm joined by my buddy Ward Rosin and we do a deep dive into the photographer Jacques-Henri Lartigue. Ward and I touch on many aspects of Lartigue's work including his love of speed and his use of one of the first color photography processes called "Autochrome." We make some interesting discoveries during our chat and I'm sure you will too as you listen to us both talk about a photographer we've admired for a long time. This is the first of what will be a regular feature on Street Shots. The idea of talking about interesting and exceptional photographers with a buddy has been something I've wanted to do on the show for a while now. Any feedback is appreciated. Show Links: Ward Rosin's Website, Instagram feed and Facebook page. Ted Forbes “TheArt of Photography” - "The Color Photography of Jacques-Henri Lartigue" Ted Forbes “TheArt of Photography” - "Lartigue" Autochrome Process Explanation of the distortion in the racing image. Guardian article on Lartigue Boyhood photos of J.H. Lartigue Book - Lartigue: Life in Color
In this episode, I'm joined by my buddy Ward Rosin and we do a deep dive into the photographer Jacques-Henri Lartigue. Ward and I touch on many aspects of Lartigue's work including his love of speed and his use of one of the first color photography processes called "Autochrome." We make some interesting discoveries during our chat and I'm sure you will too as you listen to us both talk about a photographer we've admired for a long time. This is the first of what will be a regular feature on Street Shots. The idea of talking about interesting and exceptional photographers with a buddy has been something I've wanted to do on the show for a while now. Any feedback is appreciated. Show Links: Ward Rosin's Website, Instagram feed and Facebook page. Ted Forbes “TheArt of Photography” - "The Color Photography of Jacques-Henri Lartigue" Ted Forbes “TheArt of Photography” - "Lartigue" Autochrome Process Explanation of the distortion in the racing image. Guardian article on Lartigue Boyhood photos of J.H. Lartigue Book - Lartigue: Life in Color
Meryl Meisler was born 1951 in the South Bronx and raised in North Massapequa, Long Island, NY. Inspired by Diane Arbus and Jacques Henri Lartigue, Meryl began photographing herself, family, and friends while enrolled in a photography class taught by Cavalliere Ketchum at The University of Wisconsin, Madison. In 1975, Meryl returned to New York City and studied with Lisette Model, continuing to photograph her hometown and the city around her. After working as a freelance illustrator by day, Meryl frequented and photographed the infamous New York Discos. As a 1978 CETA Artist grant recipient, Meryl created a portfolio of photographs which explored her Jewish Identity for the American Jewish Congress. After CETA, Meryl began a 31-year career as an NYC Public School Art Teacher. Upon retiring from the NYC public school system in 2010, Meisler began releasing large bodies of previously unseen work. Meryl’s first monograph A Tale of Two Cities: Disco Era Bushwick (Bizarre, 2014), received international acclaim. The book juxtaposes her zenith of disco photos with images of the burned out yet beautiful neighborhood of Bushwick, Brooklyn in the 1980s. Her second book, Purgatory & Paradise SASSY ‘70s Suburbia & The City (Bizarre, 2015), contrasts intimate images of home life on Long Island alongside NYC street and nightlife. She is currently working on two more books in her series about the 1970s & ’80s. Meryl lives and works in New York City, continuing the photographic memoir she began in 1973 – a uniquely American story, sweet and sassy with a pinch of mystery. Resources: Download the free Candid Frame app for your favorite smart device. Click here to download for . Click here to download Support the work we do at The Candid Frame with contributing to our Patreon effort. You can do this by visiting or visiting the website and clicking on the Patreon button. You can also provide a one-time donation via . You can follow Ibarionex on and .
Segunda entrega de la sección “Efecto óptico”, una sección para hablar de historia de la fotografía, a través de imágenes icónicas de grandísimos fotógrafos. Más información y ejemplos en el Blog: https://www.theimagen.com/el-beso En el primer episodio de la sección fue el 103 donde te comenté una fotografía de Jacques Henri-Lartigue. En este episodio hablaré de “El […] La entrada 115. Efecto óptico: El beso de Robert Doisneau se publicó primero en the imagen.
Hoy estrenamos sección en el Blog y en el Podcast, con la que a través de las fotografías de grandes fotógrafos, quiero dar un repaso por la historia de la fotografía. Más información en el Blog: https://www.theimagen.com/efecto-optico-auto-deformado-jacques-henri-lartigue/ La idea es presentar una fotografía y repasar la vida de ese fotógrafo, el contexto en el que […] La entrada 103. Efecto óptico: coche deformado de Jacques-Henri Lartigue se publicó primero en the imagen.
Jacques Henri Lartigue is one of the great photographers of the 20th century – known for his whimsical, action based black and white work. Many people are not as familiar with his color photography. Beautiful and engaging, it is very different than the Lartigue we’re familiar with. Book: Lartigue, Life In Color – http://amzn.to/2d4yFej Lartigue’s color photography was done during 2 different periods. The first was his use of Autochrome plates from 1911-1926. Autochrome had a specific look used by photographers such as Heinrich Kuen. Lartigue went back to color a second time in the mid 1950’s with film as by this time he was shooting 35mm with his Leica’s and 120 format with his Rolleiflex. The work from this period is absolutely wonderful and rivals many of his contemporaries doing color work at the mid-century such as Saul Leiter.
JACQUES HENRI LARTIGUE raccontato da Alessandra Mauro
Jacques Henri Lartigue was largely unknown as a photographer until the age of 70. Born in Courbevoie to a wealthy family, he took up photography about the age of 7. Some of his most famous photographs were made as a teenager. His subjects ranged from auto-racing to aviation. Lartigue's use of action in his photographs set him apart from many photographers of the time. After the family money started running out in the 1930's, Lartigue spent the next 30 years making a meager salary off of his paintings. He had a few photographs published in the 1950's, but it wasn't until the 1960's that his work was shown to John Szarkowski at MoMA in New York and he became known as one of the great photographers of the 20th Century. Lartigue was near 70 by the time this happened. Book shown in this video: Jacques Henri Lartigue http://amzn.to/289mCRy Also recommended: Lartigue: Life in Color http://amzn.to/289nfL4
Davin Lavikka - The Alternative Processes Davin is a Fine Art and Commercial Photographer based in Scottsdale Arizona. You may know Davin from his YouTube channel filled with instructional videos on all things photography. From understanding gear to learning on how to be better prepared on your next shoot. Davin Lavikka is a photographer and artist in Scottsdale Arizona. Photography is his primary tool and has been for the last fifteen years. He is known for his architectural and commercial work but has become known for his fine art photography first. He is influenced by early masters like Eugene Atget, W. Eugene Smith, Diane Arbus, Walker Evens, Ansel Adams, Albert Renger-Patzsch, Horst P. Horst, Ernst Haas, Herbert Bayer, Jacques Henri Lartigue and Edward Weston. From the very beginning Davin has been a visionary translating his ideas into a physical form through drawing, painting, illustrating and photography. Davin's ultimate goal is to fully explore the artistic side of photography through alternative processes and ideas. He is fascinated with visual composition and how we react to it. "You can look at a master painter's work like Marcus Pierson, Philip Curtis or Van Gogh, see a painting they did and automatically know it was them. It's harder to do that with photography but that's the goal, to see identify me without knowing the work." Happy Shooting! W: http://www.lavikkaphotography.com/ http://www.dxomark.com/ http://www.photozone.de/ http://www.method-wedding-photography.com/ Blog: http://www.lavikkaphotography.com/blog Get your FREE business coaching call with Rob! Sign up for one of the last few spots here! 2015 © Take&TalkPics
This week, we discuss an article from the Atlantic on the changing role of the artist and the rise of “creative entrepreneurs.” Have you ever thought about taking a year off? We talk about Stefan Sagmeister's creative sabbaticals. Also, get ready for Mad Max Fury Road in black and white. Jacques Henri Lartigue is our Photographer of the Week.
This week, we discuss an article from the Atlantic on the changing role of the artist and the rise of “creative entrepreneurs.” Have you ever thought about taking a year off? We talk about Stefan Sagmeister’s creative sabbaticals. Also, get ready for Mad Max Fury Road in black and white. Jacques Henri Lartigue is our Photographer of the Week.
James Angus’s sculptures usually find their subject in things that already exist in the world. His works can be divided into two main spheres, natural creatures and man-made, often architectural structures or manufactured forms. Living things are realised in versions that emphasise their sculptural nature, and inanimate objects are shifted through a series of propositions about physics, gravity and geometry. In ‘Manta Ray’ 2002, the horizontal mass and undulating curves of the creature are eerily still and perfectly hydrodynamic. In ‘Seagram Building’ 2000, a slightly arching version of the modernist icon lies displaced on the floor. Its curving profile is a subtle distortion that is mathematically correct, but physically improbable and visually disorienting. For ‘Bugatti Type 35’ Angus has taken one of the most iconic racing cars of the 20th century, replicated it, but also distorted it through a gravitational shift 30 degrees to the right. While Angus’s art is not minimal, it shares minimalism’s interest in primary structures and physical presence, and suggests that their source may be found in much earlier developments in modernist architecture and design such as the use of serial repeated forms, manufactured units, structuring grids and highly finished surfaces. The physical and perceptual disorientation of the sculptures, achieved through a mathematically correct displacement of rational geometry, bends our experience of these familiar iconic objects. This immaculate car from the 1920s designed for speed, an ultimate symbol of the modern age and mechanical progress, can no longer support itself upright and tips over, strangely drawn out, its circular wheels becoming ellipses. It seems the real manifestation of the famous early 20th century image by French photographer Jacques Henri Lartigue of a car speeding past, the limitations of photography’s technology seemingly making its wheels stretch. Bugatti’s car was exceptional because of the visionary solutions he devised for engineering problems. In part the originality of Bugatti’s vision can be attributed to his art school training and artistic talent before he entered into car design. Angus retrieves this immaculately engineered machine and returns it to being art, through both replication and intervention. Angus proposes alternate perceptual models that are inherent in geometry’s rigorous spatial logic and mathematical precision, suggesting other ways, at least in sculptural form, in which we may view the world.
Isabel Fuentes nos habla de Caixa Forum y las actividades que tiene programadas como la exposición del fotógrafo Jacques Henri Lartigue toda una exaltación de la alegría de vivir.
Hola, ya estamos un nuevo mes con vosotros. Parece que ya hemos conseguido estabilizar la frecuencia de publicación a la perioricidad mensual que pretendíamos inicialmente. Antes de pasar al sumario, adelantaros que en este programa vamos a contar con la presencia del Stefan M Grueso, Guionista, director y productor del documental Copiad malditos, ¡Copiad, malditos! es un documental sobre propiedad intelectual. Es el primer contenido bajo licencia Creative Commons que se emite en Televisión Española y que puede descargarse libremente a través de RTVE.es. En el documental descubrimos a los personajes que están ahora en el centro del debate sobre los nuevos retos éticos y morales que plantea la revolución digital, como el abogado David Bravo o el escritor Lorenzo Silva. El documental ha sido coproducido por RTVE y afronta cuestiones sobre el derecho a copia, las licencias Creative Commons y las entidades de gestion de derechos de autor que tanto ruido han hecho en el ciberespacio en los últimos tiempos. Stefan ha accedido muy amablemente a ser entrevistadpo por RFL y creo que el resultado va a ser de mucho interés porque aclara algunas polémicas que se han desatado tras su estreno y argumenta otras que siempre han estado en la red. Espero que sea de vuestro interés. Comprobareis que otra vez nos hemos vuelto a extralimitar en la duración, pero es que en esta ocasión no esperábamos que fuera tan fácil concretar la entrevista con Stephan y nos hemos alargado por lo menos sus 50' inesperadamente, creo que para bien. En cualquier caso, como solemos decir, los podcasts duran lo que deben, y la gran ventaja que tenemos sobre la radio es que se puede parar de escucharlos cuando queramos y continuar un poco más tarde. Vamos ya con el sumario del undécimo episodio de la primera temporada de Radio FotoLibre: Sumario (2h 46' 26") 00h 04' 30” En Destinos fotográficos Mirug nos invita a conocer hoy: Atenas. 00h 07' 40” Descubiremos a un maestro de la fotografía en “Detrás de la cámara”, en este caso elpecoso nos habla de: Jacques Henri Lartigue 00h 14' 20” Entrevistaremos a Stephan M.Grueso, director del polémico documental “Copiad, malditos”, recientemente estrenado en TVE 01h 03' 10” Analizaremos la encuesta del mes sobre la posibilidad de ganar dinero mediante o apesar de la publicación de fotografías con licencias libres 01h 04' 50” En la tertulia fotera nos acompañaran Medyr y Tomás Senabre para comentar los resultados de la encuesta y algún tema más. 01h 39' 30” Conoceremos a otro de los oyentes a través del Cuestionario Fotolibrero. Hoy, Kallh 01h 49' 20” En el juego fotográfico del Tema del mes conducido por Manolo disfrutaremos del podium del mes de marzo. 02h 06' 10” Y en el Oyente Hablador daremos cuenta de los comentarios que nos haceis en todas nuestras plataformas: el foro de fotolibre, el blog, ivoox, y el correo electronico Enlaces del contenido: - Detrás de la cámara: “Jacques Henri Lartigue” http://www.google.es/search?q=jacques+henri+lartigue&hl=es&prmd=ivnso&tbm=isch&tbo=u&source=univ&sa=X&ei=S8a-TeauBIq08QPZmszJBQ&sqi=2&ved=0CCUQsAQ&biw=1280&bih=658 - Blog del documental “Copiad malditos”: http://www.copiadmalditos.net - Encuesta del mes (abril): http://comunidad.fotolibre.net/index.php/topic,6613.0.html - Proyecto “Un año de fotografía”: http://comunidad.fotolibre.net/index.php/topic,6604.0.html - Resultados del Juego del mes de Marzo: http://comunidad.fotolibre.net/index.php/topic,6598.0.html Oyentes: Créditos Coordinación y realización: Pablo Moratinos, tat Han colaborado: elpecoso, Mirug, Manuel Pancorbo, Tomás Senabre, Medyr y Kallh. Gracias a Mendaur00 por su melodiosa voz. Los créditos de las musicas y sintonías podéis consultarlos en el entrada correspondiente al capítulo en radio.fotolibre.net. Se publica y con licencia Creative Commons Reconocimiento Compartir Igual. Más información sobre el podcast en: radio.fotolibre.net Sugerencias, peticiones y quejas por correo electrónico a podcast'arroba'fotolibre.net Créditos musicales: - Sintonía del programa: Doctor Kananga - Riot in Wonderland - “Wonderland III - The Pinguin new evil plan” - Editorial: Alexander Blu - “Drop” - Sumario: Riot in Wonderland - “Wonderland VI - The Spring Song” - Encuesta: Alexander Blu - “Electricity” - Cuestionario Fotolibrero: ZamalSka “Catching the sun” - El Oyente hablador: ZamalSka “Demo” - Detras de la cámara: Alexander Blu - “Concert”, Edith Piaf “La vie en rose”, “Non, je ne regrette rien” (ambas en Dominio público) - Juego del tema del mes: Etiket Zero, álbum HiStOrY tHrEe, "untitled_04". - Fondos sobre los premios: Adragante, álbum Les cordes de l'âme. Temas: 3er puesto, "Kerridwen"; 2º puesto, "Les cordes de l'âme"; 1er puesto: "Passagé du vent". - Destinos fotográficos: Borea “Single raid 1”, Josh Woodward “Adventures of the Deaf Dreamer” - Despedida: Zero-Project “High hopes” - Perla musical final: Julia Ecklar y Bob Kanefsky “Eternal Flame” http://www.gnu.org/fun/jokes/eternal-flame.html
James Angus’s sculptures usually find their subject in things that already exist in the world. His works can be divided into two main spheres, natural creatures and man-made, often architectural structures or manufactured forms. Living things are realised in versions that emphasise their sculptural nature, and inanimate objects are shifted through a series of propositions about physics, gravity and geometry. In ‘Manta Ray’ 2002, the horizontal mass and undulating curves of the creature are eerily still and perfectly hydrodynamic. In ‘Seagram Building’ 2000, a slightly arching version of the modernist icon lies displaced on the floor. Its curving profile is a subtle distortion that is mathematically correct, but physically improbable and visually disorienting. For ‘Bugatti Type 35’ Angus has taken one of the most iconic racing cars of the 20th century, replicated it, but also distorted it through a gravitational shift 30 degrees to the right. While Angus’s art is not minimal, it shares minimalism’s interest in primary structures and physical presence, and suggests that their source may be found in much earlier developments in modernist architecture and design such as the use of serial repeated forms, manufactured units, structuring grids and highly finished surfaces. The physical and perceptual disorientation of the sculptures, achieved through a mathematically correct displacement of rational geometry, bends our experience of these familiar iconic objects. This immaculate car from the 1920s designed for speed, an ultimate symbol of the modern age and mechanical progress, can no longer support itself upright and tips over, strangely drawn out, its circular wheels becoming ellipses. It seems the real manifestation of the famous early 20th century image by French photographer Jacques Henri Lartigue of a car speeding past, the limitations of photography’s technology seemingly making its wheels stretch. Bugatti’s car was exceptional because of the visionary solutions he devised for engineering problems. In part the originality of Bugatti’s vision can be attributed to his art school training and artistic talent before he entered into car design. Angus retrieves this immaculately engineered machine and returns it to being art, through both replication and intervention. Angus proposes alternate perceptual models that are inherent in geometry’s rigorous spatial logic and mathematical precision, suggesting other ways, at least in sculptural form, in which we may view the world.
Summer’s lazy days put me in the mind of childhood and a recent encounter with some ideas by Pablo Picasso and some photographs by French photographer Jacques Henri Lartigue (1894-1986) made me think about how important a childlike sense of wonder is to photographers. Picasso said: “All children are artists. The problem is how to … Continue reading Camera Position 54 : Photograph like a Child →