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On jase avec l'historien musical Erik Flynn part 2!
On jase avec l'historien musical Erik Flynn!
Partons pour un grand tour du monde grâce à Ian Borthwick, journaliste pour nombreuses publications partout dans le monde depuis plus de 30 ans. Ce néo-zélandais, parti jeune de sa petite île, s'est retrouvé à Paris pour devenir traducteur et, plus tard, le tout 1er attaché de presse du XV de France. Son positionnement proche des joueurs et son ouverture d'esprit lui ont permis de tisser des liens à travers le monde de rugby, en tant que grand reporter à l'Equipe, éditeur en chef et consultant TV/radio. Auteur de plusieurs livres, Ian a un vrai don pour raconter une histoire et cet épisode est rempli de pépites d'or de l'histoire de notre sport ! Crédit photo : Ian Borthwick
Entrevue avec Martin Pâquet, professeur d'histoire à l'Université Laval : suite à la tragique découverte de 215 corps d'enfants autochtones en Colombie-Britannique, plusieurs se demandent quoi faire avec les statues d'un des architectes des pensionnats, John A. Macdonald. Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
La prise de conscience engendrée par la découverte des restes de 215 enfants sur le site d'un ancien pensionnat autochtone en Colombie-Britannique, puis les réactions d'une province à l'autre au pays; les recommandations de la famille de Joyce Echaquan aux audiences publiques visant à faire la lumière sur sa mort; le point sur l'interchangeabilité des vaccins; la fin prochaine des zones rouges au Québec; les primes pour les têtes dirigeantes d'Air Canada; l'interruption de la vente des cartes annuelles de la Sépaq; la popularité des vélos en temps de pandémie; la libération de l'ex-mafieux Brusca; les évictions à Jérusalem-Est; le dépôt du rapport du commissaire des langues officielles; et le décès de l'historien Jacques Lacoursière.
Au menu du journal des médias d'Antoine Genton ce vendredi : l'arrivée dans les kiosques du nouveau magazine “L’envers des affaires”, l'ouverture d’une information judiciaire dans l’affaire de la journaliste Morgan Large et la mort de l'historien Marc Ferro, une figure de la chaîne Arte, à 96 ans.
Dans le best-seller Le rêve de Champlain, paru en anglais en 2008, l'historien états-unien David Hackett Fischer propose un portrait romancé de celui qui est considéré comme le père de la Nouvelle-France. Sa vision d'un explorateur humaniste et apôtre de la tolérance a depuis été instrumentalisée par plusieurs politiciens voyant en lui un fondateur avant la lettre du Canada multiculturel. Cette conception ne résiste toutefois guère à l'épreuve des faits, comme nous l'a bien montré l'historien Michel De Waele entrevue à 3600 secondes d'histoire. Première diffusion le 28 août 2019 sur les ondes de CHYZ 94,3 (Université Laval)
Pendant que le gouvernement resserre les vis, un vent de liberté souffle sur Limoges / La Licra, pas assez “anti-raciste” pour un syndicat de Sciences-Po Lyon / L'historien Bernard Lugan, auteur de "Pour répondre aux décoloniaux, aux islamogauchistes et aux terroristes de la repentance" aux éditions de l'Afrique réelle
Les officiers européens qui débarquent en Amérique septentrionale à l'occasion de la guerre de Sept Ans sont fortement marqués par une culture militaire faisant la part belle à la guerre de siège, une méthode perfectionnée par des siècles de batailles en sol européen et arrivée à son apogée avec les travaux de l'ingénieur Vauban à la fin du XVIIe siècle. Les militaires français et britanniques furent cependant confrontés à de nombreuses contraintes - une géographie particulière et la présence d'acteurs rompus à d'autres types de tactiques - qui les ont obligés à adapter leurs méthodes. L'historien Michel Thévenin est venu discuter de cette tension entre guerre "à la canadienne" et guerre "à l'européenne". Première diffusion le 11 octobre 2018 sur les ondes de CHYZ 94,3 (Université Laval)
On présente parfois la Révolution tranquille comme le moment où la classe ouvrière au Québec se serait « réveillée ». Pourtant, dès les années 1880, les ouvriers et ouvrières défilent dans les rues de Montréal et de Québec au sein de leur syndicat le premier lundi de septembre. Le mouvement prend une ampleur telle que des dizaines de milliers de travailleurs finissent par défiler, devant une foule pouvant rassembler jusqu'à 200 000, voir 300 000 spectateurs. Force est d'admettre que le mouvement ouvrier est alors bien vivant et organisé! Vous voulez-vous en connaître plus sur cette grande fête de la classe ouvrière? Pourquoi existe-t-il deux fêtes et pourquoi les syndicats défilent aujourd'hui le premier mai plutôt qu'en septembre, comme c'était le cas de la plus spectaculaire des manières pendant la première moitié du XXe siècle? Première diffusion le 2 mai 2018 sur les ondes de CHYZ 94,3 (Université Laval)
Entrevue avec Éric Bédard, historien : Comment s’est déroulé le changement de nom de l’aéroport de Dorval pour l’aéroport Pierre-Elliot Trudeau? Pour de l’information concernant l’utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
durée : 00:02:47 - Pourquoi ? Comment ? FB Picardie - par : Annick Bonhomme
L'historien du Baseball Marcel Dugas explique ce que représente la nouvelle de la semaine dernière a effet que le Baseball majeur reconnaisse les statistiques des ligues des noirs sur les ondes de Danradiosport.com visitez le site au www.Danradiosport.com
durée : 00:22:21 - Le Réveil culturel - par : Tewfik Hakem - Rencontre avec l'historien Pierre Singaravélou, à propos des " Mondes numériques d'Orsay : une histoire connectée des collections ", à découvrir en ligne sur les réseaux sociaux et le site du Musée d’Orsay - réalisation : Vincent Abouchar - invités : Pierre Singaravélou Professeur d'histoire contemporaine à l'Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne.
durée : 00:22:21 - Le Réveil culturel - par : Tewfik Hakem - Rencontre avec l'historien Pierre Singaravélou, à propos des " Mondes numériques d'Orsay : une histoire connectée des collections ", à découvrir en ligne sur les réseaux sociaux et le site du Musée d’Orsay - réalisation : Vincent Abouchar - invités : Pierre Singaravélou Professeur d'histoire contemporaine à l'Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne.
Comprendre les ressorts et les moteurs du pouvoir de Vladimir Poutine : c’est ce que propose le dernier ouvrage de Serguei Medvedev, « Les quatre guerres de Poutine, ce que la Russie nous prépare », paru en français aux éditions Buchet Chastel. Historien spécialiste de la période post-soviétique, Sergueï Medvedev livre son analyse. RFI : Sergueï Medvedev, vous faites ce constat : la Russie du XXIe siècle mène plusieurs combats, quatre précisément. Selon vous, Vladimir Poutine a lancé une guerre territoriale, une guerre pour les symboles, mais aussi pour le corps et pour la mémoire. Revenons tout d’abord sur la guerre territoriale. Par quoi cela se traduit-il ? Sergueï Medvedev : Le pouvoir russe continue de voir la Russie comme un empire et n’arrive pas à prendre conscience que le temps des empires est révolu. Le XXIe siècle est en quelque sorte, pour la Russie, une époque de ressentiment post-impérial. De là découle la guerre avec l’Ukraine, l’annexion de la Crimée, l’occupation du Donbass, les projets de développement de l’Arctique, les guerres russes dans des lieux reculés comme la Syrie ou la Libye ou les tentatives de contrôle de l’espace post-soviétique, qui, il faut le dire, s’avèrent de plus en plus délicates. C’est le cas chez le voisin biélorusse traversé par un mouvement de contestation sans précédent. Comment analyser la position de Moscou ? La Russie attend et observe. Elle ne se mêle pas directement, mais elle pèse de tout son poids. Elle ne veut pas qu’une révolution de type Maïdan ukrainien éclate en Biélorussie, mais en même temps, elle veut affaiblir le plus possible Alexandre Loukachenko, pour pouvoir, à l’issue de ce mouvement de contestation, le destituer discrètement. Son but est de retrouver une Biélorussie obéissante, qui fera quasiment partie de cet empire russe. La deuxième guerre dont vous parlez est celle des symboles… La Russie a toujours été une sorte de village Potemkine. Les symboles de la puissance de l’empire soviétique sont importants pour Vladimir Poutine. Le symbole le plus grand pour lui, c’est la victoire de la Seconde Guerre mondiale et le contrôle de l’URSS sur la moitié de l’Europe qui en a découlé. On peut dire que le symbolisme du 9 mai, de la victoire dans la Seconde Guerre mondiale, définit sa vision du monde. Parallèlement, il mène une politique de contrôle des sphères culturelles et sociales : il veut contrôler la presse, les universités, la liberté de penser, la liberté de parole. Le pouvoir russe va même au-delà, puisqu’il veut aussi contrôler les corps, écrivez-vous. Vladimir Poutine veut que la souveraineté s’applique aussi aux corps des citoyens. Il faut comprendre que le pouvoir russe est très patriarcal, qu’il se fonde sur des mécanismes très anciens, archaïques, tels que le pouvoir exercé par l’homme sur la femme, la domination du modèle familial traditionnel. C’est pourquoi ce pouvoir très conservateur se bat contre les LGBT, se bat pour la démographie avec des mesures pour augmenter la natalité, pour lutter contre les avortements, etc. Ce sont des combats qui sont aussi menés ailleurs, mais en Russie, le Kremlin est à la tête de ce combat. Enfin, vous évoquez la guerre autour de la mémoire. Peut-on aujourd’hui parler facilement des traumatismes du passé en Russie ? On peut, mais ça n’est pas très recommandé. Le pouvoir s’efforce de créer un mythe historique selon lequel la Russie a toujours été dans le camp des vainqueurs et selon lequel l’État a toujours été plus important que l’individu. On estime qu’il ne faut pas parler des pertes, des victimes, des drames du colonialisme russe. Cela concerne surtout l’histoire du XXe siècle, les côtés sombres de la révolution et le stalinisme. Aujourd’hui, il devient très délicat de parler des crimes du stalinisme en Russie. On crée des lois pour cela. Il est difficile de parler des crimes de la police politique du NKVD et de ceux commis par l’Union soviétique pendant la Seconde Guerre mondiale. Bientôt, comparer l’URSS à l’Allemagne hitlérienne sera passible de peines de prison. Le pouvoir sent bien qu’il y a là une partie de l’histoire qui n’est pas très agréable et c’est pour ça qu’elle emploie tous les moyens pour censurer toute discussion historique sur ce thème.
Entrevue avec Frédéric Bastien, historien et ex-candidat dans la course à la chefferie du Parti québécois : Il signe le texte suivant à l’attention de l’Université d’Ottawa. Pour de l’information concernant l’utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Dans le cadre de nos émissions « Pourquoi tant d’histoires », retour sur l’art délicat de l’écriture de cette science. La revue Ecrire l’histoire (n°19) propose de réfléchir sur « la double dimension du rapport de l’historien aux langues, pensées à la fois comme outils et comme objets ». Cette science de l’histoire a de profondes racines en littérature. Chaque peuple, chaque civilisation revendique son récit de la création, son mythe fondateur comme départ de son histoire. L’histoire n’est-elle alors que littérature ? Peut-on réfléchir sur l’histoire de ce récit, sur la langue de ce récit ? Peut-on définir des concepts linguistiques qui déterminent l’histoire ? Le langage peut-il alors être un terrain d’investigation ? Mari-Gwenn Carichon reçoit Fabien Simon. L'invité: Fabien Simon est maître de conférences en histoire moderne (Université Paris-Diderot) spécialiste d’histoire des représentations et des savoirs. Il a travaillé sur les langues universelles avec un thèse de doctorat portant sur le thème suivant : Sortir de Babel. Une République des Langues en quête d’une « langue universelle » à la Renaissance et à l’Age classique ? Fabien Simon qui a coordonnée l’écriture du numéro 19 de la revue Ecrire l'histoire: L'historien et les langues, avec Paule Petitier et Claude Millet (novembre 2019, CNRS éditions, 284 pages, 25,00€)
durée : 00:51:11 - Le Cours de l'histoire - par : Xavier Mauduit, Maïwenn Guiziou - Dominique Kalifa, historien des imaginaires sociaux des XIXe et XXe siècles, spécialiste du crime et de la presse nous a quittés le 12 septembre 2020. Ce matin, nous évoquons ses travaux, ses champs de recherches, ses apports et l'empreinte toute personnelle qu'il laisse à la discipline. - réalisation : Milena Aellig, Eric Lancien - invités : Michelle Perrot historienne, professeure émérite d’histoire contemporaine à l'université Paris-Diderot.; Myriam Tsikounas Professeure d’Histoire et Communication, Université Paris I; Sylvain Venayre Historien, professeur d’histoire contemporaine à l’université Grenoble-Alpes; Anne-Emmanuelle Demartini maître de conférences en histoire contemporaine à l’université Paris-VII-Denis Diderot, spécialiste d’histoire des représentations et de l’imaginaire social. Ses travaux portent plus spécifiquement sur l’histoire du crime et de ses
durée : 00:04:08 - L'invité France Bleu Picardie Matin
durée : 00:02:11 - L'Humeur du matin par Guillaume Erner - par : Guillaume Erner - Ce professeur à l'université Paris 1 Panthéon-Sorbonne était l'un des invités réguliers de France Culture, où sa gentillesse, son érudition, et son sens de la pédagogie faisaient merveille.
durée : 00:01:46 - Les 80" de... - Sur Twitter, il avait écrit un mystérieux et inquiétant « au revoir ». Ses collègues historiens ont annoncé avec stupeur, hier, sa disparition.
durée : 00:20:59 - Les Nuits de France Culture - par : Philippe Garbit, Albane Penaranda, Mathilde Wagman - Dans l’émission "Un certain terrain vague : L'Ile Saint Louis". L'historien René Héron de Villefosse, spécialiste de l'histoire de la capitale et de l'Île-de-France racontait l'histoire de l'Île Saint Louis, d'Henri IV à l'époque contemporaine, (1ère diffusion : 25/05/1958 Paris Inter). - réalisation : Virginie Mourthé
durée : 00:02:36 - franceinfo: junior livre - Le coup de coeur de Marie-Amélie pour une BD historique : "Le Général Leclerc". Son scénariste, l'historien Jean-Yves Le Naour, est venu en parler avec les enfants des livres.
Le 18 septembre 1663, les membres du conseil souverain se réunissaient pour une première fois et donnaient, par le fait même, le coup d'envoi à cette institution particulièrement importante de la Nouvelle-France qui rendit la justice jusqu'à la Conquête. Cette semaine, à l'occasion des 350 ans de la création du conseil souverain, l'équipe de 3 600 secondes d'histoire a le plaisir de recevoir l'historien Christian Blais pour connaître les rouages de cette institution et mieux cerner son rôle dans l'histoire de la Nouvelle-France. Enregistré sur les ondes de CHYZ 94.3 le 25 septembre 2013. Image : Charles Huot, Le Conseil Souverain, 1926-1931, huile sur toile marouflée sur le mur, environ 3,9 x 8,7 m.
L'émission Pourquoi tant d'Histoire s'arrête aujourd'hui sur l'oeuvre d'un homme qui se qualifiait lui-même d'historien du dimanche: Philippe Ariès. Spécialiste de l'histoire des mentalités, originaire d'un milieu maurrassien, il s'impose pourtant dans le milieu universitaire comme une référence pour ses travaux sur la mort et l'enfance. Guillaume Gros, spécialiste de son oeuvre, a sélectionné une série de ses principaux articles parue aux Editions du Cerf. Cette édition inédite se divise en deux parties. La première, « Rajeunir l’histoire », rassemble des textes de Philippe Ariès à propos des civilisations, où il évoque les religions depuis l’Antiquité jusqu’à la Révolution, la Méditerranée, Byzance, l’Afrique du Nord, l’histoire des Parisiens au xixe siècle ou encore le syndicalisme français. L’occasion pour l’historien de dessiner des portraits savoureux de Charlemagne, Charles Quint, Machiavel, Louis XIII et même Marc Bloch. La seconde partie, « Cheminements », permet de comprendre les origines de ses théories en redécouvrant trois thèmes essentiels de ses travaux : l’égo-histoire, où il revient sur sa vocation, la place de l’enfant dans la famille, et enfin le rapport de nos sociétés à la mort. Interrogé par Christophe Dickès, Guillaume Gros présente ici sa vie et son oeuvre.
Le combat d'un historien Les titres de ses ouvrages en disent long sur le combat que mène Dimitri Casali. "Ce que nos enfants n'apprenent plus au collège" (éd. Perrin, 2011) ; "L'histoire de France interdite - Pourquoi ne sommes-nous plus fiers de notre histoire ?" (éd. JC Lattès, 2012) ; "L'histoire de France - L'histoire que les Français n'apprennent plus (éd. Flammarion, 2014) ; "Désintégration française - Pourquoi notre pays renie son histoire et nos enfants perdent leurs repères" (éd. JC Lattès, 2016) ; "Notre histoire - Ce que nos enfants devraient apprendre à l'école" (éd. de la Martinière, 2016)... Dimitri Casali fait figure d'original dans le monde des historiens. "Je suis un électron libre", dit celui qui compose des opéras rock. "On ne peut pas me considérer uniquement comme un réactionnaire conservateur nationaliste, ce que je rejette totalement." Pour lui, le "problème" est "pédagogique". "Je prône un récit national fédérateur et équilibré." transmettre l'histoire de France Aujourd'hui Dimitri Casali poursuit son combat sur l'enseignement de l'histoire, il vient de publier "Le grand procès de l'histoire de France "(éd. Robert Laffont). Sans détours, il y fustige la tentation de juger le passé avec les mentalités d'aujourd'hui et dénonce le multiculturalisme et les leaders communautaristes, qu'il qualifie pour certains de "décoloniaux" et d'"islamo-gauchistes", voire de "déconstructivistes culturels" qui font la promotion d'une histoire à ses yeux symbole de désunion nationale. Dimitri Casali s'oppose à une histoire où on parle plus du monde que de la France, des structures que des figures historiques et de la longue durée que des dates essentielles. "L'universalisme, qui est une des valeurs cardinales de la République française, n'est plus du tout défendu face à cette montée du communautarisme et ce multiculturalisme qui gangènent l'enseignement de l'histoire." Pourquoi tant de virulence dans son combat ? "Ma virulence est due à cette indifférence des Français pour leur histoire, pour leur patrimoine, pour leur valeur ancestrale", répond Dimitri Casali, qui dénonce "une certaine lâcheté de nos élites de ne pas se battre pour leurs valeurs". Indifférence ou amnésie ? L'historien pointe du doigt l'indifférence d'une société consumériste. Mais aussi "l'idéologie" : "La France est gangrénée par son idéologie." Emission d'archive diffusée en septembre 2019
durée : 00:58:49 - Les Cours du Collège de France - par : Merryl Moneghetti - Pourquoi interroger les moments clés de la rupture moderne? Quelle relation entretient le totalitarisme avec la démocratie? Quel rôle a joué l’anti-totalitarisme dans l’essoufflement intellectuel? demande Pierre Rosanvallon. L'historien revient sur les dangers qui menacent la vie intellectuelle. - réalisation : Anne Sécheret - invités : Pierre Rosanvallon historien, titulaire de la chaire d'Histoire moderne et contemporaine du politique au Collège de France
durée : 00:19:40 - Journal de 18h - La plus haute autorité administrative a donné raison au chercheur François Graner, à l'origine du recours. L'historien travaille sur le rôle de la France dans le génocide rwandais de 1994.
durée : 00:19:40 - Journal de 18h - La plus haute autorité administrative a donné raison au chercheur François Graner, à l'origine du recours. L'historien travaille sur le rôle de la France dans le génocide rwandais de 1994.
durée : 00:58:51 - Les Cours du Collège de France - par : Merryl Moneghetti - Pourquoi revenir sur la rupture de 1968? Comment redéfinir les termes de notre émancipation dans le monde d’aujourd’hui, tenté par les "régressions" et marqué par "l’effritement démocratique"? L'historien du politique, Pierre Rosanvallon questionne la nature du changement à l’œuvre. - réalisation : Anne Sécheret - invités : Pierre Rosanvallon historien, titulaire de la chaire d'Histoire moderne et contemporaine du politique au Collège de France
durée : 00:09:22 - Les P'tits Bateaux - par : Noëlle Bréham - Pourquoi a-t-on l'impression que la Joconde nous regarde toujours même si on se déplace ? demande Celesta. Illusion ou prouesse artistique ? "Les yeux se suivent toujours" explique l'Historien de l'Art, Pascal Torres...
Dans "les indispensables", Bernard Poirette recommande la lecture du livre "Le monstre de la Mémoire" de l'auteur israélien Yishaï Sarid. Ce livre de seulement 160 pages est en fait une lettre d'un historien israélien qui écrit au président de Yad Vashem, le mémorial de l'Holocauste à Jérusalem. L'historien raconte qu'il est devenu guide dans les camps de concentration en Pologne et explique ce qu'il en retient...
L'historien et chercheur Guillaume Lasconjarias vient aujourd'hui présenter un film de snipers souvent mal considéré, bien que très intéressant, nous plongeant au cœur de la bataille de Stalingrad en 1942.
Dans le cadre de l'émission hebdomadaire "histoire", chaîne Inter reçoit l'historien Khalid BENSGHIR pour parler de HESPERIS Tamuda. SNRT Radio Chaine Inter - Société Nationale de Radiodiffusion et de Télévision. --- Send in a voice message: https://anchor.fm/aziz-mustaphi/message
L’histoire des épidémies pour comprendre le Coronavirus ? L'action à Hong Kong, mais aussi la réflexion de l'historien Guillaume Lachenal et vrai ou faux sur le Covid-19.Au Lever du Soleil - L'info en Brief - sur assistants vocaux et podcast. Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.
L'historien et journaliste Denis Angers.
L'historien et chroniqueur Denis Angers est de passage dans Maurais Live!
durée : 00:08:03 - L'invité de 7h50 - par : Léa Salamé - La mort du général algérien Gaïd Salah "ne changera pas grand chose au fonctionnement interne du pouvoir algérien", juge l'historien Benjamin Stora et professeur à l’Université Paris 13, invité de France Inter, mardi 24 décembre.
durée : 00:26:45 - Le Réveil culturel - par : Tewfik Hakem - Rencontre avec l’historien, Michel Pierre, pour la parution de son essai "L’impossible innocence, histoire de l’affaire Seznec" - réalisation : Vincent Abouchar - invités : Michel Pierre historien et auteur
durée : 00:26:45 - Le Réveil culturel - par : Tewfik Hakem - Rencontre avec l’historien, Michel Pierre, pour la parution de son essai "L’impossible innocence, histoire de l’affaire Seznec" - réalisation : Vincent Abouchar - invités : Michel Pierre historien et auteur
durée : 00:18:01 - L'invité du Week End - par : Eric Delvaux - A l'occasion des trente ans de la chute du Mur, Eric Delvaux et Patricia Martin reçoivent l'historien et politologue allemand au centre Marc Bloch de Berlin, Peter-Klaus Sick. L'historien a vécu la première partie de sa vie à l’Ouest, sa seconde à l’Est.
durée : 00:23:14 - L'invité de 8h20 : le grand entretien - par : Nicolas Demorand, Léa Salamé - Pourquoi sommes-nous autant fascinés par l'histoire des dictateurs ? L'historien et écrivain Olivier Guez a dirigé "Le siècle des dictateurs", un nouvel ouvrage qui rassemble les portraits de vingt-deux d'entre eux, célèbres ou méconnus. Il est l'invité du grand entretien du 6/9, au micro de Pierre Weill.
durée : 00:08:26 - L'invité de 7h50 - par : Léa Salamé - Traînes royales, dossards de sport, robes qui se zippent et se dézippent, hauts à dos nus... Que racontent nos vêtements lorsqu'on les observe de derrière ? Le conservateur Alexandre Samson s'est penché sur le sujet pour l'exposition parisienne "Back Side/Dos à la mode". Il est l'invité de Pierre Weill à 7h50.
durée : 00:21:00 - Les Nuits de France Culture - par : Philippe Garbit, Albane Penaranda, Mathilde Wagman - Dans l’émission "Un certain terrain vague : L'Ile Saint Louis". L'historien René Héron de Villefosse, spécialiste de l'histoire de la capitale et de l'Île-de-France racontait l'histoire de l'Île Saint Louis, d'Henri IV à l'époque contemporaine, (1ère diffusion : 25/05/1958 Paris Inter). - réalisé par : Viginie Mourthé
L'historien et conteur Franck Ferrand, avec l'hebdomadaire Le Pèlerin, vous entraîne dans les pas de grands marcheurs en quête de sens : de Charles de Foulcauld à Sylvain Tesson, en passant par Alexandra David-Néel, George Sand ou Jean-Christophe Rufin... cheminez à nos côtés dans le sillage de ces grands personnages. Rendez-vous le 11 avril pour découvrir le 1e épisode ! puis chaque jeudi Sur les plateformes de podcast et sur notre site www.lepelerin.com CREDITS Un podcast interprété par Franck Ferrand. Auteur : Christophe Dard. Direction éditoriale et voix : Catherine Lalanne. Prise de son : Emmanuel Viau, Nolwenn Thivault. Création sonore, montage et mixage : Gabriel Fadavi. Production : Laurence Szabason. Création visuelle : Marc Guillon. Edition : Cécile Picco et Anne-Lyne Cabarrou. Musique : « the Moldau DG » - Composé par Bedrich Smetana -(p) & © Chappell recorded Music Library Ltd - Avec l’aimable autorisation d’Universal Production Music France Un podcast Le Pèlerin - 2019.
Chronique avec Denis Angers, historien: Les Îles de la madeleine et l'aide des Premières nations apportés aux colons autrefois.
L'historien médiéviste français a publié un beau livre illustré dans lequel il nous raconte une passionnante histoire culturelle du loup.
« L'historien le plus méconnu de la Révolution française... » C'est ainsi que François Furet, salue Augustin Cochin dans son ouvrage mémorable : Penser la Révolution française. De son côté, Patrice Gueniffey écrit: « Si un historien fut longtemps ignoré, et pour de mauvaises raisons, c’est bien Augustin Cochin. On peut même dire que l’homme et l’oeuvre seraient tombés dans un oubli complet si François Furet ne les avait tirés du sépulcre où l’historiographie révolutionnaire de la Révolution les avait ensevelis. À l’heure où l’on se gargarise de mots, [...] le retour aux grandes œuvres, originales et puissantes, est toujours comme un bain de Jouvence. » Augustin Cochin, né en 1876, est originaire d'une des plus illustres familles parisiennes de son temps. Considéré comme un historien- sociologue, voire un philosophe, on le connaît surtout, pour sa lecture conceptuelle originale de la Révolution française. Ancien élève de l’École des Chartes il a cherché à comprendre et mettre en lumière, le rôle des sociétés de pensée dans le mécanisme de la Révolution française. Il adopte une démarche historique originale, et soutient une thèse singulière, se distinguant de la pensée universitaire républicaine de son temps et des thèses complotistes chères aux milieux contre-révolutionnaires. Mort en héros à 39 ans, ses écrits, inachevés pour la plupart, n'ont été que peu publiés et étudiés. Mari-Gwenn Carrichon vous propose de redécouvrir ce grand penseur en interrogeant Denis Sureau qui vient de diriger la publication de ses œuvres aux éditions Tallandier. Elles sont préfacées par l'historien Patrice Gueniffey. L'invité : Denis Sureau est théologien, essayiste, journaliste, éditeur. Il dirige la lettre d'informations Chrétiens dans la Cité et a écrit plusieurs ouvrages spirituels, théologiques et philosophiques. Il vient de diriger la publication des travaux d'Augustin Cochin aux éditions Tallandier : La machine révolutionnaire, œuvres, Augustin Cochin (688 pages, 29,90 euros) xxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxx - Retrouvez nous sur www.storiavoce.com/ - Notre compte Twitter: twitter.com/Storiavoce - Notre page Facebook: www.facebook.com/storiavoce/
Louis-Hippolyte Lafontaine se fait d'abord connaître comme un farouche nationaliste avant de s'éloigner graduellement du mouvement des Patriotes pour se transformer en défenseur de l'union du Haut et du Bas-Canada. L'historien Éric Bédard nous raconte le parcours de ce politicien marquant du 19e siècle.
L'historien-chercheur Manuel Charpy (CNRS, Université Lille 3) raconte une aventure de mode : la longue histoire de la Sape, de la colonisation aux migrations (XIXe-XXe siècles). A Brazzaville, Kinshasa et à Paris, la SAPE (Societé des Ambianceurs et des Personnes Elégantes), plus largement désignée sous le nom de « sapologie », est un mouvement d’identité vestimentaire qui détourne et réinvente depuis plus de 100 ans les codes de la mode parisienne. Contrairement à la plupart des « subcultures », il ne s’agit pas d’un mouvement spontané et éphémère. Très consciente de sa longue histoire, la sapologie est une forme revendiquée du dandysme. La transgression des codes vestimentaires européens, notamment au Congo, a commencé dès la fin du XIXe siècle. « Sortir ses griffes » est une expression courante de la « sapologie » . Il s'agit donc aussi d'une forme d'insoumission. Dans les années 1920, les autorités coloniales belges ou françaises ont pu effectuer des contrôles policiers sur les accoutrements vestimentaires… Dans le contexte post-colonial, les « sapeurs » immigrés en Europe aiment ne pas se « faire discrets » (ce que les sociétés occidentales leur demandent). Les sapeurs consacrent des sommes très importantes à leurs dépenses de mode. Ils ont une connaissance pointue du vêtement et en parlent beaucoup (la sapologie est aussi une culture langagière très riche, avec des déclinaisons musicales sans fin). JMWeston, Capo Bianco, Daniel Hechter, mais aussi Balenciaga, YSL, Yamamoto... sont parmi leurs marques préférées. Aujourd’hui, des petits labels se créent à Paris, et des marques comme Paul Smith se saisissent de la sapologie pour en faire une référence de mode. .. Plus de conférences : podcast.ifm-paris.com/
Roger Chartien Collège de France Écrit et cultures dans l'Europe moderne L'historien du livre face aux bouleversements du numérique
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Henry Laurens Collège de France Histoire contemporaine du monde arabe Monde arabe : L'historien face à la réalité
Henry Laurens Collège de France Histoire contemporaine du monde arabe Monde arabe : L'historien face à la réalité
L'historien, le politicien, l'éditeur, l'homme de culture, Denis Vaugeois discute passionnément avec Michel Lacombe.
L'historien de l'art, Frédéric Sorbier, explique comment la Troisième République a fait des Gaulois des héros et de la Gaule le berceau de la nation française. Les découvertes archéologiques permettent de connaître un peu mieux ces Celtes qui maîtrisaient la métallurgie du fer, le tissage, la construction de maisons en bois et en pierres, cultivaient les céréales et les légumes et élevaient du bétail. Dans le parc archéologique de Samara, près d'Amiens, une reconstitution de leur habitat et de leurs activités permet de comprendre leur vie quotidienne. Sur le site de Ribemont-sur-Ancre, en Picardie, des archéologues ont découvert un vaste sanctuaire gaulois qui remet en cause la représentation des druides pratiquant des cérémonies religieuses dans les forêts. L'image très idéalisée de « nos ancêtres » guerriers et barbares se transforme ainsi profondément. Extrait de « Nos ancêtres les Gaulois », série Imagerie d'histoire,@ CNDP-La Cinquième, 2000 - TDC n° 1025 Les gaulois - décembre 2011
Les amazones ont réellement existé, elles furent très actives en Afrique de l’Ouest et notamment au Bénin où leurs dernières représentantes ont affronté les troupes coloniales françaises.
Pour l'historien Félix Iroko, le commerce des esclaves est un crime contre l'humanité dont la responsabilité est partagée entre Africains et Européens.