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durée : 00:11:43 - Les Enjeux internationaux - par : Guillaume Erner - C'est une conjoncture très particulière qui affecte le commerce mondial en ce moment : les canaux de Suez et de Panama - les deux principaux points de passages maritimes intercontinentaux - font l'objet de graves crises. - invités : Paul Tourret directeur de l'ISEMAR, l'Institut Supérieur d'Économie Maritime
durée : 00:57:49 - Cultures Monde - par : Julie Gacon, Mélanie Chalandon - Dans le cadre de la guerre en Ukraine, un embargo occidental tend à limiter les recettes des exportations d'hydrocarbures russes depuis un an. Mais Moscou parvient à contourner ces sanctions via une flotte fantôme de navires internationaux non enregistrés en Occident. - invités : Paul Tourret directeur de l'ISEMAR, l'Institut Supérieur d'Économie Maritime; Julien Vercueil professeur d'économie à l'INALCO et spécialiste des économies post-soviétiques et de la Russie; Thierry Coville Chercheur à l'IRIS, spécialiste de l'Iran
Crise sociale, chômage, inflation. L'année 2024 s'ouvre et avec elle de nombreux défis auquel notre pays s'apprête à faire face. Où en est la situation socio-économique de la France ? Bernard Vivier, directeur de l'Institut Supérieur du Travail et expert des questions sociales et syndicales fait le point sur ce contexte et sur les enjeux à venir.
La République démocratique du Congo, ce vaste pays au cœur de l'Afrique est parmi les pays les plus riches en ressources minières et naturelles. L'or, l'argent, le cuivre, le coltan, et d'autres minerais précieux pullulent dans son sous-sol. Ce pays continent, deuxième en Afrique de par sa superficie, regorge de nombreuses sources d'eau, sans compter sa diversité de la faune et de la flore.En outre, la RDC émerge, en son sein, une grande richesse culturelle et linguistique. Par exemple, plus de 35 millions de personnes à travers le monde parlent une ou plusieurs de quelque 500 langues de la famille bantoue dont le Kikongo, le Kiswahili, et le tshiluba, le kinyarwanda et le kirundi.Ces langues se sont propagées à travers le monde par les mouvements migratoires, qui ont commencé en Afrique de l'Ouest depuis 5000 ans. C'est ce que révèle une étude interdisciplinaire récente publiée dans la prestigieuse revue Nature, à laquelle ont participé Igor Matonda Sakala, docteur en histoire de l'art et archéologie de l'Université Libre de Bruxelles (ULB) et chef de département des sciences historiques, gestion du patrimoine et développement à l'Université de Kinshasa (UNIKIN), Joseph Koni de l'Institut supérieur pédagogique de Kikwit et Jean Pierre Donzo de l'Institut Supérieur Pédagogique de la Gombe (ISP) à Kinshasa, pour le compte de la RDC. Selon cette étude, la RDC a joué un rôle prépondérant dans la migration et l'établissement des communautés linguistiques bantoues plusieurs années avant Jésus-Christ. La plus-value de cette étude est qu'elle est effectuée sur base des données biologiques et génétiques modernes et anciennes, remontant même de l'âge de fer, pour établir le lien entre les communautés linguistiques grâce à des mouvements de migration.Que retenir en gros de cette étude ? Comment les données issues de cette étude peuvent elles être utiles dans d'autres domaines, notamment la lutte contre les maladies génétiques comme la drépanocytose ?Suivez les réponses à ces questions avec Igor Matonda Sakala, Docteur en histoire de l'art et archéologie de l'Université Libre de Bruxelles, dans ce Podcast réalisé par Bruno Nsaka.
Après la Drôme, virée plus au nord entre Lyon et Dijon, à Tramayes, Petite ville de demain d'un peu plus de 1000 habitant·es où la collectivité s'interroge sur la meilleure manière de produire et de consommer l'énergie alors que la sobriété devient prioritaire. Michel Maya, le Maire de Tramayes nous sert de guide au travers de la ville qui se rêve en commune énergétiquement autonome. Il nous raconte le projet de production d'énergie renouvelable, le réseau de chaleur alimenté par le bois déchiqueté dans la commune d'à côté, la réhabilitation des bâtiments et la rationalisation de consommation d'électricité. Au micro dans cet épisode : Michel Maya, Maire. Daniel Florentin, maître-assistant en environnement et études urbaines à l'Institut Supérieur d'Ingénierie et de Gestion de l'Environnement (ISIGE, Mines Paris Tech). Julien Toutant de la scierie Toutant & fils à Saint-Point. Guillaume Morel, cofondateur de l'Institut de Tramayes. Cécile Fourneron, architecte, assistance à maîtrise d'ouvrage.Dans la France des petites villes est un hors-série Programme B d'Eve Minault et Camille Juza réalisé par Antonin Léger, en partenariat avec l'Agence nationale de la cohésion des territoires et POPSU Territoires. Coordination : Jean-Baptiste Marie, Hélène Milet, Pacôme Bertrant, Emmanuelle Le Bris et Julie Ragot . Production : Camille Khodor et Soraya Kerchaoui-Matignon. Édition : Camille Khodor. Identité graphique : Charlotte Baix. Direction des programmes : Joël Ronez. Direction de la rédaction : David Carzon. Direction générale : Gabrielle Boeri-Charles. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Découvrez DarkBERT, cette IA spécialisée développée par des chercheurs de l'Institut Supérieur Coréen des Sciences et Technologies et de S2W. Grâce à un entraînement exclusif sur le Dark Web, DarkBERT maîtrise le langage clandestin et analyse les activités criminelles qui s'y cachent. Une avancée majeure dans la lutte contre les menaces en ligne. Vous pouvez également lire la version écrire de ce billet dans mon infolettre : https://moncarnet.kessel.media
Le père Luc Forestier est prêtre de l'Oratoire. Il est aussi directeur de l'Institut Supérieur d'Etudes Œcuméniques (ISEO).
RETRAITES : VERS « UNE FRANCE A L'ARRÊT » ? - 11/02/23 EXPERTS Pascal PERRINEAU Politologue - Professeur des universités à Sciences Po - Auteur de « Le populisme » Nathalie SAINT-CRICQ Éditorialiste politique - « France Télévisions » Astrid DE VILLAINES Cheffe du service politique - « Huffington Post » - Auteure de « Les 7 péchés capitaux de la gauche » Bernard VIVIER Directeur de l'Institut Supérieur du Travail - Spécialiste du dialogue social
EXPERTS Pascal PERRINEAU Politologue - Professeur des universités à Sciences Po - Auteur de « Le populisme » Nathalie SAINT-CRICQ Éditorialiste politique - « France Télévisions » Astrid DE VILLAINES Cheffe du service politique - « Huffington Post » - Auteure de « Les 7 péchés capitaux de la gauche » Bernard VIVIER Directeur de l'Institut Supérieur du Travail - Spécialiste du dialogue social Après trois grandes journées de grève contre la réforme des retraites, les syndicats ont fait le choix d'organiser une manifestation ce samedi sans appeler à la grève. L'objectif est double : permettre que les personnes souhaitant se mobiliser puissent facilement rejoindre le cortège, mais également offrir la possibilité aux gens pour qui la grève coûterait trop cher de participer, eux aussi, à cette mobilisation dans la rue. Les trois premières journées d'action ont réuni entre 757 000 et 1,27 million de personnes selon les autorités, entre « près de deux millions » et « plus de 2,5 millions » selon l'intersyndicale. Pour l'heure, cela n'a pas infléchi le choix de l'exécutif, qui tient sur la mesure clé de la réforme, le recul de l'âge légal de départ à 64 ans. La bataille autour de cette réforme a également lieu à l'Assemblée nationale, où l'examen du projet de loi se poursuit. Le premier article, qui prévoit la suppression des régimes spéciaux, a été adopté jeudi. Les débats sont houleux. Il ne se passe pas un jour sans son lot de polémiques et d'invectives. Hier, le député LFI-Nupes Thomas Portes a été exclu pour 15 jours après un tweet litigieux le présentant le pied sur un ballon à l'effigie d'Olivier Dussopt, ministre en charge de la réforme. La France Insoumise explique y voir une manœuvre visant à priver d'une voix supplémentaire l'opposition. Au sein de l'opposition politique à l'Assemblée, c'est le groupe LR qui semble plus que jamais avoir en main le destin de la réforme. Le nouveau président du parti, Eric Ciotti, a assuré le gouvernement de son appui lors du vote à la Chambre. Ce soutien des Républicains est indispensable pour l'exécutif afin d'éviter d'avoir à recourir à l'article 49-3 pour faire adopter son texte. Seulement, plusieurs députés LR expliquent qu'en l'état ils ne voteront pas le texte. Plusieurs points justifient selon eux ce refus. La question des carrières longues, tout d'abord. Ce dispositif est censé permettre à ceux qui ont commencé à travailler avant 21 ans de partir plus tôt. Le député du Lot Aurélien Pradié a affirmé qu'il ne soutiendra la réforme qu'à la condition de réduire de 5 à 1 le nombre de trimestres nécessaires pour y être éligible. Mais la question de la pénibilité au travail est également au cœur des débats. Car si le gouvernement assure que son projet permettra d'« améliorer la prise en compte de la pénibilité », les syndicats estiment qu'elle est encore loin d'être reconnue, et même que les dispositifs existants ont été affaiblis depuis l'arrivée au pouvoir d'Emmanuel Macron en 2017. Dans la rue, les cortèges d'opposants à la réforme sont fournis, et pas uniquement dans les grandes métropoles. Le mouvement social est en effet marqué par une forte mobilisation dans les petites et moyennes communes. C'est même l'un de ses grands succès. À Alès, dans le Gard, malgré une moindre mobilisation mardi dernier, on comptait quand même 4 500 participants. C'est important pour une commune d'un peu plus de 40 000 habitants. Dans cette France des sous-préfectures, frappée par la désindustrialisation, beaucoup manifestent pour la première fois. Si tous sont préoccupés par la réforme des retraites, le climat économique ambiant, marqué par la forte inflation, est également dans tous les esprits. Qui du mouvement social ou de l'exécutif est le mieux armé pour remporter ce bras de fer ? Le gouvernement peut-il éviter le recours au 49-3 pour faire adopter sa réforme ? La mobilisation des petites et moyennes communes est-elle la clé du succès pour le mouvement social ? DIFFUSION : du lundi au samedi à 17h45 FORMAT : 65 minutes PRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40 RÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son, Benoît Lemoine PRODUCTION : France Télévisions / Maximal Productions Retrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux : INTERNET : francetv.fr FACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5 TWITTER : https://twitter.com/cdanslair INSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/
MANIFS, SONDAGES : BORNE FACE AU MUR DU NON – 31/01/23 EXPERTS BERNARD VIVIER Directeur de l'Institut Supérieur du Travail Spécialiste du dialogue social FANNY GUINOCHET Éditorialiste - « France Info » et « La Tribune » Spécialiste des questions économiques et sociales SOAZIG QUÉMÉNER Rédactrice en chef du service politique - « Marianne » BRUNO JEUDY Éditorialiste politique
EXPERTS BERNARD VIVIER Directeur de l'Institut Supérieur du Travail Spécialiste du dialogue social FANNY GUINOCHET Éditorialiste - « France Info » et « La Tribune » Spécialiste des questions économiques et sociales SOAZIG QUÉMÉNER Rédactrice en chef du service politique - « Marianne » BRUNO JEUDY Éditorialiste politique Bis repetita. Après un mouvement très suivi le 19 janvier, les organisations syndicales organisent aujourd'hui une nouvelle journée de mobilisation et de grève contre la réforme des retraites. Le patron de la CGT Phillipe Martinez espérait ce matin "autant de monde, si ce n'est plus" dans la rue. Il y a dix jours, pas moins de 1,12 million de manifestants selon les autorités (plus de 2 millions selon les syndicats) s'étaient retrouvés pour faire plier le gouvernement sur son projet phare. Cette deuxième journée de mobilisation apparait donc comme un test pour le mouvement social. Face aux manifestants, le gouvernement a changé de ton ces derniers jours. Fini la carte de la "pédagogie" et du "dialogue", place à la fermeté. À l'image de la Première ministre Elisabeth Borne, qui déclarait dimanche dans une interview à France Info que le report de l'âge de départ à la retraite de 62 à 64 ans prévu par la réforme n'était "plus négociable". Une posture inflexible reprise par plusieurs poids lourds de l'exécutif, très présents dans l'espace médiatique ces derniers jours. Dans ce bras de fer, le nombre de gréviste semble en baisse aujourd'hui. Selon les syndicats, ils sont 36,5% à la SNCF, contre 46,3% le 19 janvier. Selon la direction d'EDF, il y a 40,3% de grévistes dans l'entreprise, contre 44,5% le 19 janvier. La mobilisation serait également en baisse dans la fonction publique d'Etat, avec 19,4% de grévistes contre 28% le 19 janvier, selon le ministère de la Fonction publique. Si on observe donc un recul de la grève dans plusieurs secteurs, les manifestations semblent, en revanche, accueillir plus de monde. À la mi-journée, le constat est encourageant pour le mouvement social. "Tout ce qui nous remonte partout en France ce sont de très très gros chiffres, largement aussi bien voire mieux que le 19 janvier dernier", a déclaré le chef de file de la CFDT Laurent Berger, tandis que son homologue de la CGT a annoncé qu'il fallait durcir le ton. "C'est bien nous sommes plus nombreux que le 19 janvier dernier", a assuré Philippe Martinez depuis la place d'Italie, peu avant le départ du cortège parisien. "Il y aura une suite et même des suites, si le gouvernement ne change pas et n'écoute pas", avait-il lancé ce matin sur RMC-BFMTV. Le constat est clair, le mouvement est massif. Et face à un gouvernement qui joue désormais la fermeté, le conflit pourrait être amené à durer. Dans cette hypothèse, les syndicats conserveront-ils le contrôle de l'action ? Ou se retrouveront-ils débordées par leur base et par des mouvements mouvements extérieurs, comme celui observé à Noël à la SNCF ? L'automne dernier, un collectif composé de plusieurs centaines de contrôleurs s'était en effet organisé sur Facebook, en dehors de tout cadre syndical. Ils avaient entamé leur mouvement début décembre, en déposant un préavis de grève pour le week-end de Noël. Ces salariés n'étaient pas les représentants des organisations habituellement en première ligne au moment des blocages. Ces quelque 3500 membres du "collectif national ASCT" rejetaient même toute accointance avec les syndicats, bien que ces derniers aient fini par les soutenir. En parallèle de l'actuelle mobilisation, ce scénario pourrait se reproduire. À côté du conflit, un sujet demeure sous les radars. Celui de la retraite progressive. Et pour cause, moins de 25 000 salariés bénéficient aujourd'hui de ce dispositif. Il permet, notamment, d'amoindrir le choc psychologique du passage d'une activité salariale très chronophage à l'absence totale d'obligation professionnelle que confère une retraite pleine et entière. Un salarié proche de l'âge auquel il est en droit de mettre un terme à sa carrière peut ainsi demander à son employeur de ne plus travailler à temps complet, par exemple s'il souhaite disposer toute l'année d'un week-end de quatre jours ou de toutes ses après-midis, tout en commençant à percevoir une partie de sa pension de retraite. Syndicats, gouvernement, qui va remporter la deuxième manche de cette bataille des retraites ? Les syndicats peuvent-ils être débordés par leur base si le mouvement de contestation s'inscrit dans la durée ? La retraite progressive pourrait-elle se généraliser dans les années à venir ? DIFFUSION : du lundi au samedi à 17h45 FORMAT : 65 minutes PRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40 RÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son, Benoît Lemoine PRODUCTION : France Télévisions / Maximal Productions Retrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux : INTERNET : francetv.fr FACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5 TWITTER : https://twitter.com/cdanslair INSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/
En toute franchise, interview politique de Christophe Barbier
Christophe Barbier reçoit Bernard Vivier, directeur de l'Institut supérieur du Travail
durée : 00:44:42 - Le 13/14 - par : Bruno DUVIC, Sara GHIBAUDO - Face à la réforme des retraites, la grève de ce jeudi s'annonce très suivie. Par qui ? Et pour combien de temps ? Pour analyser cette première journée de mobilisation, menée par les 8 principaux syndicats, l'économiste Bernard Vivier expert des questions sociales est notre invité. - invités : Bernard VIVIER - Bernard Vivier : Directeur de l'Institut Supérieur du Travail
RETRAITES, JOUR 1 : LA GRANDE MOBILISATION EXPERTS BERNARD VIVIER Directeur de l'Institut Supérieur du Travail Spécialiste du dialogue social NATHALIE SAINT-CRICQ Éditorialiste politique - « France Télévisions » SOPHIE FAY Journaliste - « Le Monde » Spécialiste des questions de transports BERNARD SANANÈS Politologue – Président de l'Institut de sondage Elabe
EXPERTS BERNARD VIVIER Directeur de l'Institut Supérieur du Travail Spécialiste du dialogue social NATHALIE SAINT-CRICQ Éditorialiste politique - « France Télévisions » SOPHIE FAY Journaliste - « Le Monde » Spécialiste des questions de transports BERNARD SANANÈS Politologue – Président de l'Institut de sondage Elabe « Le million sera dépassé ». Le secrétaire général de la CGT, Philippe Martinez, s'est montré satisfait aujourd'hui dans le cortège parisien contre la réforme des retraites voulue par Emmanuel Macron. Les images d'une place de la République noire de monde a fait le tour des médias, marquant ainsi l'acte un de la grande mobilisation sociale qui s'annonce. Des manifestants en nombre, dans la capitale comme en province, des grèves et des perturbations à l'école comme dans les transports : les syndicats unis promettent de faire reculer le gouvernement sur ce texte. « Le gouvernement a perdu la première bataille » en a conclu Jean-Luc Mélenchon, alors que certains salariés du privé ont participé au mouvement. Mais de son côté, l'exécutif ne s'estime pas vaincu, bien au contraire, assurant qu'il fera passer ce texte de loi « nécessaire » quel que soit l'ampleur de la contestation dans la rue. « Cette réforme sera adoptée », a affirmé la présidente du groupe Renaissance à l'Assemblée, Aurore Bergé. Celle-ci assure toutefois que le gouvernement « continuera à tendre la main, négocier et concerter » avec les contestataires. Mais les membres de la majorité s'élèvent contre la mobilisation qui commence : « un droit de grève n'est pas un droit de blocage », estiment-ils. Cette situation rappelle en tout cas celle de 1995. À l'époque, le gouvernement d'Alain Juppé avait dû retirer son texte de réforme des retraites. Celui-ci prévoyait un allongement de la durée de cotisation pour les fonctionnaires, les salariés d'EDF, de la SNCF, de la RATP ou encore de la Poste. Les manifestations avaient alors atteint des sommets dans la rue, jusqu'à deux millions de Français avaient défilé à l'unisson. Une équipe de C dans l'air est allé retrouver les acteurs majeurs de ce conflit alors que la gauche et les syndicats de 2023 espèrent le même scénario. La réforme voulue par le gouvernement d'Elisabeth Borne contient en réalité plusieurs points de crispations comme la fin des régimes spéciaux et le report de l'âge de départ à la retraite à 64 ans. Si les retraités aux petites retraites pourraient en sortir gagnants avec une pension minimum élevée à 1200 euros bruts, les perdants seraient surtout les jeunes travailleurs qui devront cotiser 44 ans au lieu de 43. Alors, la mobilisation sociale peut-elle faire céder le gouvernement ? Quelles avaient été les ingrédients de 1995 pour que la rue gagne face à Juppé ? Qui seraient les vrais gagnants et les vrais de cette nouvelle réforme ? DIFFUSION : du lundi au samedi à 17h45 FORMAT : 65 minutes PRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40 RÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son, Benoît Lemoine PRODUCTION : France Télévisions / Maximal Productions Retrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux : INTERNET : francetv.fr FACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5 TWITTER : https://twitter.com/cdanslair INSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/
RÉFORME : RETRAITES, ACTIFS… QUI PERD ? QUI GAGNE ? – 11/01/23 EXPERTS NATHALIE SAINT-CRICQ Éditorialiste politique - « France Télévisions » FANNY GUINOCHET Éditorialiste - « France Info » et « La Tribune » Spécialiste des questions économiques et sociales BERNARD VIVIER Directeur de l'Institut Supérieur du Travail Spécialiste du dialogue social MICHAËL ZEMMOUR Maître de conférences en économie - Université Paris 1
EXPERTS NATHALIE SAINT-CRICQ Éditorialiste politique - « France Télévisions » FANNY GUINOCHET Éditorialiste - « France Info » et « La Tribune » Spécialiste des questions économiques et sociales BERNARD VIVIER Directeur de l'Institut Supérieur du Travail Spécialiste du dialogue social MICHAËL ZEMMOUR Maître de conférences en économie - Université Paris 1 Tous leaders syndicaux alignés dans la grande salle de la Bourse du travail. Quelques heures après la présentation par la Première ministre de la réforme des retraites, dont la mesure phare est le recul de l'âge légal de départ de 62 à 64 ans, les huit principaux syndicats étaient réunis hier soir pour organiser la riposte. Et c'est Laurent Berger, le patron de la CFDT, qui a lu leur déclaration commune et a annoncé une première journée de mobilisation le 19 janvier prochain. « Cette réforme va frapper de plein fouet l'ensemble des travailleurs et travailleuses, et plus particulièrement celles et ceux qui ont commencé à travailler tôt, les plus précaires, dont l'espérance de vie est inférieure au reste de la population, et celles et ceux dont la pénibilité des métiers n'est pas reconnue. Le système de retraites par répartition n'est pas en danger, rien ne justifie une réforme aussi brutale », estiment-ils dans le communiqué commun. Un front syndical inédit depuis douze ans dont la solidité sera l'une des clés de la bataille qui s'annonce, a relevé le secrétaire général de la CGT, Philippe Martinez. Elle « constitue un élément de confiance pour les salariés » et « incite les salariés et les agents à se mobiliser massivement », a-t-il fait valoir. Mais jusqu'à quand durera-t-elle ? Alors que certains s'interrogent déjà sur ce point, Laurent Berger a voulu couper court aux spéculations sur l'attitude de la CFDT, dans Le Parisien : « Il faut que ce soit clair, même avec des mesures positives sur les carrières longues ou la pénibilité, on reste opposé à la réforme avec une mesure d'âge. Il n'y aura pas de deal avec la CFDT », a-t-il martelé. Et ce matin sur France inter, il a enfoncé le clou : « Cette réforme des retraites c'est davantage une réforme des finances publiques, d'équilibre financier sur le seul dos des travailleurs ». Certes « il y a des mesures d'amortissement », mais elles « ne remettent pas en cause le fait que les travailleurs et travailleuses de ce pays vont devoir travailler à terme deux ans de plus. Depuis toujours, la CFDT est opposée au report de l'âge légal de départ en retraite, car c'est la mesure la plus injuste ». La CFDT « appelle massivement les salariés à se réunir dans la rue [le 19 janvier] et à manifester pour dire qu'ils sont contre ». La bataille de la rue va commencer, soutenue par les troupes venues de la gauche. Lors d'un meeting à Paris hier soir, la Nupes a ainsi voulu montrer un front uni contre les mesures de l'exécutif et promis un combat dans la rue comme qu'au Parlement. L'« Assemblée nationale cela va être la ZAD » (zone à défendre) a notamment lancé la nouvelle patronne des Verts Marine Tondelier. La coalition de gauche a d'autre part appelé à participer à la première journée de contestation, le seul moyen de bloquer la réforme pour le leader du PCF Fabien Roussel. « C'est ce jour-là qu'il faudra faire péter les jauges. Soyons un million dans la rue et après on parlera ! ». Du côté des Républicains, en revanche, on se dit prêt à « voter une réforme juste » des retraites. « Réforme que nous proposons au Sénat depuis plusieurs années » a insisté Bruno Retailleau ce matin sur France Inter et qui comprend : « départ à 64 ans, accélération de la réforme Touraine, une attention pour les petites retraites et pour les femmes.» Le président du groupe LR au Sénat a par ailleurs indiqué que si « une très grande majorité » des élus LR se prononcera en faveur de la réforme des retraites, certains « pourraient ne pas le voter ». « Peut-être une douzaine ou une quinzaine » à l'Assemblée nationale a-t-il précisé. Age de départ, carrières longues, pénibilité, durée de cotisation... Quelle est l'architecture de cette réforme des retraites ? Qui est concerné ? Qui perd ? Qui gagne ? Enfin alors que le modèle Allemand qui a déjà emprunté cette voie du report de l'âge de départ à la retraite est souvent évoqué dans les débats. Quelle est la situation outre-Rhin ? DIFFUSION : du lundi au samedi à 17h45 FORMAT : 65 minutes PRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40 RÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son, Benoît Lemoine PRODUCTION : France Télévisions / Maximal Productions Retrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux : INTERNET : francetv.fr FACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5 TWITTER : https://twitter.com/cdanslair INSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/
UNE RENTRÉE POLITIQUE SOUS TENSION 02/01/23 EXPERTS YVES THRÉARD Éditorialiste, directeur adjoint de la rédaction au Figaro SOAZIG QUÉMÉNER Rédactrice en chef du service politique - « Marianne » BERNARD VIVIER Directeur de l'Institut Supérieur du Travail Spécialiste du dialogue social BRICE TEINTURIER Directeur général délégué - Institut de sondages Ipsos
EXPERTS YVES THRÉARD Éditorialiste, directeur adjoint de la rédaction au Figaro SOAZIG QUÉMÉNER Rédactrice en chef du service politique - « Marianne » BERNARD VIVIER Directeur de l'Institut Supérieur du Travail Spécialiste du dialogue social BRICE TEINTURIER Directeur général délégué – Institut de sondages IPSOS « L'année 2023 sera celle d'une réforme des retraites ». Emmanuel Macron n'a pas évité les conflits à venir en présentant samedi soir ses vœux aux Français. Les hostilités sur cette réforme vont débuter le 10 janvier lorsque Elisabeth Borne annoncera l'architecture du projet. L'opposition est déjà dans les starting-blocks pour contrer ce texte, tout comme les syndicats, sur le qui-vive avec l'intention ferme de mobiliser les travailleurs. Des préavis de grève ont été déposés pour les semaines à venir, faisant craindre à l'exécutif un blocage du pays. Le chef de l'Etat a insisté par ailleurs sur la nécessité de « travailler davantage » pour faire face aux crises. Dix-sept fois, le président de la République a utilisé le terme « travail » dans son discours, notamment pour se féliciter de sa réforme de l'assurance-chômage. Selon l'Elysée, la réussite de ce second quinquennat sera déterminée par la question du travail. L'objectif est de créer un lien entre les différentes réformes à venir avec une ambition : le plein-emploi, soit moins de 5% de chômage. De son côté, l'inflation continue en tout cas de miner le portefeuille des Français. Dans les cantines scolaires, les désinscriptions des élèves se multiplient. Ces restaurants ont lancé un appel à l'aide, réclamant aux collectivités des hausse de contrats pour pouvoir continuer à servir 3,2 millions de repas par jour et pour faire face aux hausses des prix de l'énergie. Une situation difficile pour les maires et élus locaux qui veulent éviter une addition trop salée. Pendant ce temps, loin de surfer sur les colères du moment, la France insoumise s'embourbe dans les polémiques et querelles internes, sur fond d'affaire Quatennens interminable et de dissension autour de la nouvelle gouvernance. Celle-ci s'incarne aujourd'hui par Manuel Bompard et le cercle proche de Jean-Luc Mélenchon. Les voix dissonantes du mouvement ont surtout été écartées, celle de Clémentine Autain ou de François Ruffin par exemple, ce qui a suscité de vives critiques. Alors, 2023 sera-t-elle en France une année de turbulences politiques ? Comment les collectivités locales peuvent-elles aider leurs habitants face à l'inflation ? La France insoumise peut-elle se relever de la crise qu'elle traverse ? DIFFUSION : du lundi au samedi à 17h45FORMAT : 65 minutes PRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40 RÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son, Benoît Lemoine PRODUCTION : France Télévisions / Maximal Productions Retrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux : INTERNET : francetv.fr FACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5 TWITTER : https://twitter.com/cdanslair INSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/
durée : 00:29:24 - Solaé, le rendez-vous protestant - par : Jean-Luc Gadreau - Bible en main 7 - invités : Timothée Minard Professeur à l'Institut Supérieur de Théologie Évangélique à Tananarive
Ce mardi 16 août, Stéphane Pedrazzi a reçu Côme Rousset, directeur France de Leon Cycle, Daniel Ducrocq, directeur du service distribution Europe de NielsenIQ, et Paul Tourret, directeur de l'Institut Supérieur d'Economie Maritime (ISEMAR), dans l'émission Good Morning Business sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
Paul Tourret, directeur de l'Institut Supérieur d'Economie Maritime (ISEMAR), était l'invité de Stéphane Pedrazzi dans Good Morning Business, ce mardi 16 août. Ils sont revenus sur les conséquences de la sécheresse sur la navigation sur le Rhin et l'impact économique qu'elles engendrent, sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
Travail : "la Grande démission" LES INVITÉ.ES : - Bernard VIVIER - Directeur de l'Institut Supérieur du Travail, spécialiste du dialogue social - Monique DAGNAUD - Sociologue, directrice de recherche au CNRS - Sandra HOIBIAN - Directrice générale au CREDOC - Isabelle RAYMOND - Cheffe du service économie et social à « Franceinfo » 42%. C'est le nombre, selon une étude Indeed/OpinionWay, de salariés français de moins de 35 ans envisageant de démissionner. Un chiffre révélateur des nouvelles priorités dans l'emploi. Entre le besoin d'espace, la nécessité de déconnecter et l'attachement à certaines valeurs, de plus en plus de Français semblent aller voir si le travail n'est pas plus épanouissant ailleurs. Ce phénomène de Grande démission frappe déjà les Etats-Unis, où 20 millions de personnes ont quitté leur emploi rien qu'au premier semestre 2022. Beaucoup de ces démissionnaires ont profité du rebond de l'économie américaine pour exiger de meilleurs salaires (+6% en moyenne). Si l'ampleur n'est pas la même en France, cela commence tout de même à inquiéter. Aides à domicile, serveurs, maçons ou encore infirmiers... plusieurs secteurs peinent à recruter. Au premier trimestre 2022, plus d'un million d'offres d'emploi étaient recensées sur le site de Pôle emploi. Bruno Le Maire a affirmé que le gouvernement souhaitait s'attaquer« dès la rentrée »à ce problème, « la deuxième urgence »après le pouvoir d'achat. « Il n'y a rien de plus révoltant que d'avoir encore autant de chômage et autant d'entreprises qui cherchent des salariés". Pour pallier ce manque, certaines entreprises rivalisent d'inventivité pour attirer les candidatures. Outre l'amélioration des salaires, la préservation la vie de famille et l'amélioration du quotidien est aussi au cœur du sujet. Semaines de 4 jours payées 5, télétravail à volonté ou vacances supplémentaires, les changements se multiplient dans certaines start-ups. Le salaire enfin, s'il ne suffit plus pour séduire, reste le problème majeur dans plusieurs secteurs en tension, tout comme celui des horaires. Dans la restauration notamment, le salaire médian n'est qu'à 107% du Smic. Chez nos voisins européens aussi, la revalorisation du travail est une préoccupation. En Espagne, une récente réforme du travail a permis la création en masse de CDI, qui représentent à présent 45% des nouveaux contrats signés, contre 10% il y a encore quelques mois. La difficulté à embaucher pousse certains patrons à réclamer la régularisation des sans-papiers pour leur faire des contrats de travail. C'est le cas dans l'hôtellerie-restauration, où le désintérêt des Français pour ces métiers ne cesse de croitre. 200.000 postes seraient actuellement à pourvoir en pleine saison estivale, obligeant de nombreux établissements à fermer certains jours de la semaine. Alors, comment analyser ce phénomène croissant de démissions en France ? Quelles moyens l'Etat a-t-il pour y faire face ? Comment les entreprises peuvent-elles attirer à nouveau ? La régularisation des sans-papiers peut-elle être une solution dans les secteurs en tension ? DIFFUSION : du lundi au samedi à 17h45 FORMAT : 65 minutes PRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40 RÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son PRODUCTION : France Télévisions / Maximal Productions Retrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux : INTERNET : francetv.fr FACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5 TWITTER : https://twitter.com/cdanslair INSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/
durée : 00:15:09 - Journal de 12h30 - Polémique autour du stade de France : la finale de la Ligue des champions a été entachée par de nombreux incidents samedi soir. Le monde du sport britannique dénonce la réaction disproportionnée des forces de l'ordre françaises.. - invités : Bernard Vivier Directeur de l'Institut Supérieur du Travail
durée : 00:15:09 - Journal de 12h30 - Polémique autour du stade de France : la finale de la Ligue des champions a été entachée par de nombreux incidents samedi soir. Le monde du sport britannique dénonce la réaction disproportionnée des forces de l'ordre françaises.. - invités : Bernard Vivier Directeur de l'Institut Supérieur du Travail
Tel est le thème du prochain colloque organisé à Paris par l'Institut Supérieur d'Études Œcuméniques que l'on pourra suivre à Orléans à la Maison Saint Vincent 51 boulevard Aristide BriandAnne-Laure Danet, Responsable à la Fédération Protestante de France du Service des Relations avec les Églises chrétiennes présente ce Colloque, ce thème d'actualité sera décliné sous divers aspectset lors d'une conférence le jeudi 10 mars 18h30-19h30 : « Pour la Réconciliation et la paix en Europe » Avec Christian Krieger président de la Conférence des Églises Européennes
Can't wait to share this chat with Pierre Josselin with you! Today, Kelsey interviews Pierre Josselin. Pierre Josselin, is a Studio Leader at Jeffrey Beers International and has over 20 years of experience in luxury hospitality and residential design. Pierre graduated with a degree in Interior Design from L'Institut Supérieur des Arts Appliqués in Paris and lived in London for 8 years before moving to the USA. During his decade-long tenure with HBA as Associate, and as Senior Designer with Wimberly Interiors, he collaborated on many high-profile projects including Fairmont Washington D.C., The Ritz‐Carlton Panama, and the Fairmont Flame Towers in Baku, Azerbaijan. Pierre is currently working on the extensive renovation of multiple Fairmont properties, Four Seasons properties in Vail Colorado and Dallas Texas, and a private residence in the Middle East. Today on Studio.chats: ➕ Insight into hospitality design ➕ Mindset shifts if you are struggling with feedback ➕ Life as a studio leader at a large firm Connect with Pierre: Instagram: @jeffreybeersinternational LinkedIn: Pierre Josselin (Studio Leader at Jeffrey Beers International) Connect with Kelsey: Instagram: @studio.chats hellostudio.chats@gmail.com Pump Up Jam: Clara Luciani - Le reste Design Crush: Everyone who is working in design and manages to finish the project. Thank you for being here! Thank you for committing to your growth as a designer, architect and human
EHPAD : LES DÉRIVES D'UN SYSTÈME, LA COLÈRE DES FAMILLES - 08/02/22 LES INVITÉ.ES : - Dr. Patrick PELLOUX - Médecin urgentiste au SAMU de Paris - Président de l'AMUF - Samuel LAURENT - Journaliste – Le Monde - Bernard VIVIER - Directeur de l'Institut Supérieur du Travail - Valentine TREPIED - Sociologue spécialiste du vieillissement Deux semaines après la sortie du livre-enquête Les fossoyeurs, une vague de témoignages submerge la plateforme de lutte contre la maltraitance des personnes âgées et handicapées. Dans le sillage des révélations sur les groupes Orpea et désormais Korian, des proches de résidents en Ehpad et des soignants se décident à appeler le 3977, pour des faits qui remontent parfois à plusieurs années. Le phénomène est d'ampleur inédite et il gagne le terrain judiciaire alors que chaque jour apporte un nouveau scandale. Ainsi selon France Info, deux aides-soignantes ont porté plainte contre le leader mondial des Ehpad et cliniques privés pour « faux et usage de faux». Elles accusent le groupe Orpea d'avoir utilisé leurs noms pour recruter de multiples CDD abusifs. Concrètement, Orpea aurait indiqué que les plaignantes étaient en CDI et avaient besoin d'être remplacées par des CDD, alors qu'elles ne travaillent même pas au sein de l'entreprise. Selon Sylvia Lasfargeas, l'avocate des deux plaignantes, une troisième aide-soignante doit se joindre à cette plainte. Parallèlement, ce mardi, une enquête du Monde relate comment Clinea serait aussi une « cash machine » du groupe Orpea. Cette autre branche, spécialisée dans les soins de suite et la psychiatrie, est accusée des mêmes dérives que dans les Ehpad de la société : maltraitance des patients, coûts des soins démesurés, violences managériales… Dans la tourmente, le groupe Orpea est déjà visé par une double enquête, administrative et financière, diligentée par le gouvernement pour faire la lumière sur la situation dans ses établissements. Les conclusions de cette mission devraient faire l'objet d'un « rapport définitif » le 14 mars prochain. Deux actions collectives doivent être également prochainement lancées à l'encontre des groupes Orpea et Korian. Elles seront menées par l'avocate parisienne Sarah Saldmann, qui collecte actuellement les plaintes des familles. Par ailleurs la CGT, la CFDT et FO ont indiqué qu'elles comptaient aussi porter plainte contre Orpea, qu'elles accusent de « discrimination syndicale » et de s'être appuyé sur un syndicat « maison » à ses ordres. « Nous avions depuis longtemps des soupçons sur des agissements inacceptables de la direction, mais les témoignages et les preuves apportés par le livre de Victor Castanet vont nous permettre d'agir en justice », a expliqué à l'AFP Guillaume Gobet, responsable CGT et ancien cuisinier à Orpea. Et l'affaire, qui éclabousse d'ores et déjà l'ensemble du secteur, semble loin d'être close. Des enquêtes sont en cours et le magazine de France 2, Cash Investigation, qui prépare une émission, depuis plus d'un an, annonce de nouvelles révélations prochainement. De son côté le gouvernement a d'ores et déjà affirmé qu'il comptait revoir les procédures d'accréditation des Ehpad privés pour les rendre plus strictes. Le Premier ministre, Jean Castex, a également indiqué « des plans de contrôle plus nombreux, plus performants », quand candidats à l'élection présidentielle et élus s'emparent de la question du grand âge, les regards tournés pour certains vers nos voisins européens, notamment les Pays-Bas. Alors jusqu'où ira le grand déballage ? Que dit cette affaire du modèle des Ehpad privés ? Comment les séniors sont-ils choyés aux Pays-Bas ? DIFFUSION : du lundi au samedi à 17h45 FORMAT : 65 minutes PRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40 RÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard PRODUCTION : France Télévisions / Maximal Productions Retrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux : INTERNET : francetv.fr FACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5 TWITTER : https://twitter.com/cdanslair INSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/
Mon invité de jour est un artisan de l'excellence relationnelle, je le considère d'ailleurs comme le pape de la formation dans le luxe et cela fait plus de 20 ans qu'il transmet sa passion. J'en ai la voix qui tremble à l'idée de l'interviewer, mais je vous promets de me contrôler. C'est avec joie que j'accueille Eric Perey ! Notes et références : Alain Dominique Perrin - CEO de Cartier Michel Guten - fondateur de l'Institut Supérieur du Marketing du Luxe Lionel Meyer - Co-fondateur de Luxury Attitude Antoine Lair - Directeur des Petits-déjeuners à l'Hôtel Plaza Athénée Jérôme Montanteme - Directeur général hôtel Fauchon Paris Association Make A Wish Jérôme et Alice Tourbier - fondateurs des Sources de Caudalie François Delahaye - Directeur général hôtel Plaza Athénée Yannick Alléno - Chef français multi-étoilé NPS : Net Promotor Score Kyūodō - art martial japonais Teddy Riner - Judoka français, champion du monde Le Dalaï-lama Livres : Pouvoir illimité - Anthony Robbins Une terre promise - Barack Obama Contacter Erik : Linkedin : Erik Perey Youtube : E Comme Si cet épisode vous a autant passionné que moi, rejoignez-moi sur : la newsletter d'Hospitality Insiders, chaque dimanche ; mon profil Linkedin, pour poursuivre la discussion ; ou sur Instagram, pour découvrir les coulisses des enregistrements. Merci pour votre fidélité et à bientôt !
Ce jeudi 30 décembre, Sandra Gandoin et Guillaume Paul ont reçu Frédéric Granotier, président et fondateur de Lili for Life, Paul Tourret, directeur de l'Institut Supérieur d'Économie Maritime (ISEMAR), Milovan Stankov-Pugès, PDG de NG Biotech, et Pascal Saint-Amans, directeur du Centre de politique et d'administration fiscales de l'OCDE, dans l'émission Good Morning Business sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
Paul Tourret, directeur de l'Institut Supérieur d'Économie Maritime, était l'invité de Sandra Gandoin et Guillaume Paul dans Good Morning Business, ce jeudi 30 décembre. Ils sont revenus sur la forte croissance du transport maritime mondial, à tel point qu'elle provoque des dysfonctionnements, sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
durée : 00:24:39 - Journal de 12h30 - L'accélération de l'épidémie rend urgente aujourd'hui la réponse de l'exécutif, étant entendu que cette cinquième vague va évidemment déferler sur un hôpital déjà en situation de crise. - invités : Naomi Murdoch chercheuse à l'Institut Supérieur de l'Aéronautique et de l'Espace (ISAE-SUPAERO), spécialiste des missions de science planétaire
durée : 00:24:39 - Journal de 12h30 - L'accélération de l'épidémie rend urgente aujourd'hui la réponse de l'exécutif, étant entendu que cette cinquième vague va évidemment déferler sur un hôpital déjà en situation de crise. - invités : Naomi Murdoch chercheuse à l'Institut Supérieur de l'Aéronautique et de l'Espace (ISAE-SUPAERO), spécialiste des missions de science planétaire
« A part manger, se vêtir fait partie des besoins primaires de l'homme. Une fois satisfait, le reste peut être considéré comme des auxiliaires. Même certains fous dans leur folie savent que qu'ils doivent s'habiller » Né à Kananga, grandi au Sud-Kivu, Arthur Ikole Longangi est technicien en art vestimentaire œuvrant dans la capitale congolaise où il est arrivé en 2018 après avoir appris la broderie arabe au Burundi. Il est vainqueur du concours de création de modèle vestimentaire de la deuxième édition du festival Kinshasa Mboka Ya Masano. Déjà 12 ans depuis qu'il a débuté le griffonnement dans la couture. Ayant grandi dans un milieu où la machine à coudre était l'objet de distraction, il s'y est donné parallèlement à ses études en Math-Physique. Porté par la passion, amoureux de la perfection, il poursuit ses études à l'Institut Supérieur des Arts et Métiers à Kinshasa dans la filière de mode vestimentaire. Il est actuellement en année terminale. Arthur s'entretient avec Emmanuel Kuzamba, il explique la mode, l'originalité de l'œuvre vestimentaire, l'identité vestimentaire congolaise, la dépravation vestimentaire chez certains jeunes, la conscientisation à travers le vêtement ou encore le retour à l'authenticité.
Pass sanitaire obligatoire dans les entreprises et fin du télétravail, le monde du travail est sous le feu des projecteurs en cette rentrée. Éclairage avec Bernard Vivier, Directeur de l'Institut Supérieur du Travail.
Pambu Ntima Dieudonné alias Doukoula est chef des travaux chargé du cours de littérature congolaise à l'Institut Supérieur de Mbanza-Ngungu. Il est parmi ceux qui se sont battus pour que ce cours soit accepté comme cours d'enseignement au niveau universitaire. Il a été à la tête de plusieurs ministères dans la province du Kongo-Central dont le ministère provincial de la justice, droit humain, information et presse, et le ministère de l'infrastructure, travaux publics et éducation. En littérature, il a publié le livre ‘‘Doukoulogie'', tiré du mot Kikongo ‘‘Doukoula''. Il a fait sa scolarité dans la province du Kongo-Central, à Mbanza-Ngungu puis à Matadi où, au niveau du secondaire, il a écrit son premier texte de poésie en 1965. Dans le cadre de l'enseignement supérieur, il a circulé dans toute la RDC, ce qui lui a permis de maitriser les 4 langues nationales. Il est ancien secrétaire général administratif de l'Institut Supérieur de Bunia et l'Institut Supérieur de Mbanza-Ngungu. Il est en préparation de sa thèse sur la ‘‘Doukologie'' pour devenir Professeur. Ecoutez cet entretien avec Emmanuel Kuzamba.
Grand Angle avec Pascal GOFFAUX - L’expo « Les orages » présentée à l'ISELP, l'Institut Supérieur pour l'Etude du Langage Plastique, à Bruxelles
Retrouvez tous nos podcasts et autres contenus sur https://www.plansb.info/version-podcast/ Partie 1 d'un échange avec Arthur Keller, Alexandre Boisson, Laurent Aillet, et Stéphane Linou sur leur action de formation des élus à la sécurité préventive, l'anticipation des risques, et la résilience. 1. Présentations des intervenants 2. En quoi consiste leur formation « Anticiper les risques majeurs » ? Pourquoi avoir choisi de s'adresser aux collectivités locales ? Principaux risques systémiques : climat, énergie, Grande Accélération L'impératif de résilience Impréparation en termes de résilience alimentaire Visualiser les futurs possibles Amorcer une réflexion sur les stratégies aptes à assurer la sécurité des habitants de leur territoire #arthurkeller #stephanelinou #alexandreboisson #laurentaillet #resilience #resiliencealimentaire #DICRIM #effondrement #collapsologie #collectiviteslocales #maire Lien vers la partie 2 sur podcast : https://anchor.fm/plansb/episodes/Former-les-lus--la-prvention-des-risques-Partie-2---A--Keller--A--Boisson--L--Aillet--S--Linou-e1066f8 Lien vers la partie 1 sur YouTube : https://youtu.be/jLGnGkMoFOs Lien vers la partie 2 sur YouTube : https://youtu.be/FWZkiDhrF7Y Pour en savoir plus sur les intervenants : www.alexandreboisson.fr http://resilience-et-adaptation.fr/ https://adrastia.org/ https://fr.wikipedia.org/wiki/Arthur_Keller https://stephanelinou.fr/ Arthur Keller dans la série Next : https://www.youtube.com/watch?v=kLzNPEjHHb8 TedX de Stéphane Linou : https://youtu.be/lwDdH10umxA Entretien avec Alexandre Boisson : https://youtu.be/Julqt7RYIgw Série Collapsus de Laurent Aillet (épisode avec Frédéric Denhez et Pierre-Henri Gouyon sur la biodiversité et les sols) : https://youtu.be/uMiu24AzttM Le site de l'Institut Supérieur des élus : http://www.formations-des-elus.fr/ Le rapport du Sénat sur l'Adaptation au changement climatique : https://www.senat.fr/notice-rapport/2018/r18-511-notice.html Document d'Information distribué aux Suédois sur les précautions à prendre en cas de guerre : https://www.dinsakerhet.se/siteassets/dinsakerhet.se/broschyren-om-krisen-eller-kriget-kommer/om-krisen-eller-kriget-kommer---engelska.pdf
Retrouvez tous nos podcasts et autres contenus sur https://www.plansb.info/version-podcast/ Partie 2 d'un échange avec Arthur Keller, Alexandre Boisson, Laurent Aillet, et Stéphane Linou sur leur action de formation des élus à la sécurité préventive, l'anticipation des risques, et la résilience. 1. Dans quels types de territoires ils sont intervenus, comment ils sont reçus, comment réagit le public ? 2. Que peuvent faire concrètement les collectivités pour gagner en résilience ? Les responsabilités du maire Gouvernance de la gestion de crise Aménagement du territoire, utilisation des sols (résilience alimentaire, préservation des écosystèmes, résilience des sols face aux événements climatiques extrêmes…) Lien social Mobilisation des citoyens : avoir « en stock » la capacité de réaction et les compétences nécessaires face aux crises Formaliser un Plan Communal de Sauvegarde (PCS) et un Document d'Information Communal sur les Risques Majeurs (DICRIM) Lien vers la partie 1 sur podcast : https://anchor.fm/plansb/episodes/Former-les-lus--la-prvention-des-risques-Partie-1---A--Keller--A--Boisson--L--Aillet--S--Linou-e106698 Lien vers la partie 1 sur YouTube : https://youtu.be/jLGnGkMoFOs Lien vers la partie 2 sur YouTube : https://youtu.be/FWZkiDhrF7Y #arthurkeller #stephanelinou #alexandreboisson #laurentaillet #resilience #resiliencealimentaire #DICRIM #effondrement #collapsologie #collectiviteslocales #maire Pour en savoir plus sur les intervenants : www.alexandreboisson.fr http://resilience-et-adaptation.fr/ https://adrastia.org/ https://fr.wikipedia.org/wiki/Arthur_Keller https://stephanelinou.fr/ Arthur Keller dans la série Next : https://www.youtube.com/watch?v=kLzNPEjHHb8 TedX de Stéphane Linou : https://youtu.be/lwDdH10umxA Entretien avec Alexandre Boisson : https://youtu.be/Julqt7RYIgw Série Collapsus de Laurent Aillet (épisode avec Frédéric Denhez et Pierre-Henri Gouyon sur la biodiversité et les sols) : https://youtu.be/uMiu24AzttM Le site de l'Institut Supérieur des élus : http://www.formations-des-elus.fr/ Le rapport du Sénat sur l'Adaptation au changement climatique : https://www.senat.fr/notice-rapport/2018/r18-511-notice.html Document d'Information distribué aux Suédois sur les précautions à prendre en cas de guerre : https://www.dinsakerhet.se/siteassets/dinsakerhet.se/broschyren-om-krisen-eller-kriget-kommer/om-krisen-eller-kriget-kommer---engelska.pdf
la Ville de Bourgoin-Jallieu a tenu à célébrer le 8 mars, journée de sensibilisation pour les droits des femmes et l'égalité entre les filles et les garçons en installant une exposition itinérante, intitulée Tous les métiers sont mixtes, jusqu'au 16 avril. À travers des portraits de femmes exerçant des métiers dits “masculins” et vice versa, cette exposition, réalisée par l'association Femmes d'ici et d'ailleurs, met en avant des professions non mixtes offrant des débouchés actuels et futurs. L'occasion pour Marie Blanchi, ex cheffe du restaurant L'étang gourmand, Sophie Conte, directrice de l'Institut Supérieur du Commerce et de la Logistique (ISCL) de Bourgoin-Jallieu, et Julien Mercier, danseur à l'affiche de Tutu, programmé au Théâtre Jean-Vilar, de nous livrer leur témoignage.
Si le Carême est un moment privilégié pour se laisser toucher par Dieu, pour revenir à lui, alors on comprend mieux pourquoi la prière est l'un des piliers centraux de cette période qui conduit les chrétiens vers Pâques. Comment prier, avec quelle attitude intérieure, avec quels mots ? Pour Isabelle Morel, directrice de l'Institut Supérieur de Pastorale Catéchétique (ISPC), il s'agit avant tout de prendre conscience que l'on s'adresse bien à quelqu'un, qui nous écoute et nous parle. Elle le dit au micro d'Elise Chardonnet. Musique : Rue des cascades, Yann Tiersen
Jacques Ducamp, professeur de philosophie, nous parle de l'ISSR (Institut Supérieur de Sciences Religieuses) du Collège des Bernardins. Émission du 17 juin 2016