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Rond 1730 ontvlucht een hoogzwangere zwarte vrouw de plantage. Ze brengt in het Surinaamse moeras haar zoon Boni ter wereld, en hij groeit uit tot leider van de Marrons en verzet zich op legendarische wijze tegen het koloniale bewind. Tessa Leuwsha schreef een nieuw boek en ging op zoek naar het leven en het denken van Boni zelf. Wat voor een kijk op de vroege opstandelingen levert dat op? En kijken we daardoor anders naar hen en hun leider? Schrijver en documentairemaker Tessa Leuwsha woont en werkt in Paramaribo maar schuift voor de gelegenheid aan bij OVT met haar nieuwe boek Boni.
[REDIFF] Tu veux que je te raconte l'histoire de la triche au championnat du monde de marrons? Ok mais par contre moi, je ne raconte mes histoires qu'aux enfants qui se lavent les dents. Donc attrape ta brosse à dents, ton dentifrice, et tu frottes, jusqu'à ce que l'histoire soit terminée!
Revenons aujourd'hui sur le projet Stargate, cette co-entreprise d'IA annoncée la semaine dernière par Donald Trump.Ce projet est une coentreprise entre OpenAI, SoftBank, Oracle et le fonds souverain MGX d'Abou Dhabi. Son objectif est d'investir jusqu'à 500 milliards de dollars sur plusieurs années pour développer des centres de données dédiés à l'IA aux États-Unis.Mais cette initiative soulève de nombreuses questions, notamment sur son financement et son impact sur l'écosystème technologique.La transparence financière du projet en questionSelon l'analyste Brad Zelnick de la Deutsche Bank, l'un des enjeux majeurs concerne la propriété de Stargate, sa structure financière et les sources de financement.Qui met quoi sur la table, et à hauteur de combien ? L'objectif affiché est d'investir massivement dans des centres de données pour soutenir le développement de l'IA, mais tout n'est pas encore très clair sur les modalités de financement.Un doute qui a fait réagir Elon Musk sur X, qui a simplement tweeté : "Ils n'ont pas l'argent". Réponse immédiate de Sam Altman, le patron d'OpenAI : "Faux, comme vous le savez certainement".Quel objectif pour les nouveaux centres de donnéesUne question cruciale est de savoir quelle part de leur puissance sera consacrée à l'entraînement des modèles d'IA et quelle part servira à l'inférence, c'est-à-dire l'exploitation de ces IA.C'est une distinction clé, car l'entraînement nécessite des ressources massives, tandis que l'inférence génère plus directement du revenu.De plus, cela pourrait influencer la stratégie d'investissement de Microsoft dans OpenAI et redéfinir la part des bénéfices reversés à l'entreprise de Redmond.Une victoire stratégique pour OracleBrad Zelnick souligne que cette coentreprise est une excellente nouvelle pour Oracle, qui renforce ainsi la position de son offre cloud, OCI, dans la course à l'IA face à des acteurs comme AWS et Google Cloud.En effet, plus on avance dans le développement de l'IA, plus les exigences de performance et d'échelle deviennent complexes.Oracle s'affirme donc comme un acteur incontournable dans cette évolution.Le ZD Tech est sur toutes les plateformes de podcast ! Abonnez-vous !Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Tu veux que je te raconte l'histoire de la triche au championnat du monde de marrons? Ok mais par contre moi, je ne raconte mes histoires qu'aux enfants qui se lavent les dents. Donc attrape ta brosse à dents, ton dentifrice, et tu frottes, jusqu'à ce que l'histoire soit terminée!
durée : 00:04:43 - La main verte - par : Alain Baraton - .
La princesse des "Grosses Têtes" a pour la première fois de sa vie, mangé des marrons glacés. Elle partage son expérience gustative ! Même en vacances, les "Grosses Têtes" sont avec vous ! Retrouvez tous les jours, une archive de l'émission sur les fêtes de fin d'années !
(01:14) Het zal niemand ontgaan zijn, komende week kiezen de Verenigde Staten een nieuwe president. Uiteindelijk bepaalt het kiescollege wie de winnaar is. Maar hoe is dit vreemde systeem ontstaan? Te gast is Kenneth Manusama. (12:20) Al eeuwenlang verbouwen de Marrons rijst in Suriname. Onderzoek heeft aangetoond dat de rijst afkomstig is uit Afrika en Azië. Wat vertelt dat over de koloniale geschiedenis van Suriname? Etnobotanicus Nicholaas Pinas werkte aan het onderzoek en is te gast. (21:49) Deze week is de column van Sana Valiulina. (26:39) Per toeval vond een promovendus een enorme Maya-stad. Het complex was honderden jaren onder de jungle verdwenen, maar is nu dankzij technologie gevonden. Hoe kan dat, en wat weten we over deze stad? Alex Geurds vertelt over deze jaloersmakende ontdekking. (39:07) Het pamflet 'Aan het volk' leverde kritiek op de politieke cultuur. Het was de start van de strijd tussen de patriotten en de prinsgezinden. Pas een eeuw later bleek Joan Derk van der Capellen de schrijver. Luc Panhuysen schreef zijn biografie en is te gast. Meer info: https://www.vpro.nl/programmas/ovt/luister/afleveringen/2024/03-11-2024.html# (https://www.vpro.nl/programmas/ovt/luister/afleveringen/2024/03-11-2024.html)
Wat vertellen rijstkorrels over de koloniale geschiedenis van Suriname? Veel, bleek uit een onderzoek van de Universiteit Wageningen en Naturalis dat deze week werd gepubliceerd. Al eeuwenlang verbouwen de Marrons, afstammelingen van Afrikanen die de slavernij ontvluchtten, rijst in Suriname. Nieuw DNA-onderzoek heeft aangetoond dat deze rijstvariëteiten oorspronkelijk afkomstig zijn uit West-Afrika en voormalig Nederlands-Indië. Nicholaas Pinas, etnobotanicus en zelf afkomstig uit de Marrongemeenschap, werkte mee aan het onderzoek en is te gast.
Pendant l'esclavage, les résistances et les visages du marronnage en Guyane française ont été multiples. Celui des Bushinengué, descendants de marrons réfugiés en forêt et venus du Suriname voisin, interpelle par la force de leur destin et la vitalité de leur culture, si singulière. Voyage entre l'Ouest guyanais et le littoral, entre passé et présent à la rencontre d'une histoire vivante. En route sur les traces du marronnage dans ce qui est aujourd'hui un département français grand de 83 000 km2, situé entre le Suriname et le Brésil et recouvert à plus de 95% par la forêt amazonienne, on comprend très vite à quel point cette géographie de montagnes et de marécages, de fleuves tumultueux et de forêts denses, a pu constituer un refuge -hostile mais possible- pour ces fugitifs, ces marrons au temps de l'esclavage qui a duré en Guyane près de 200 ans. Marronner, c'est résister à l'oppression esclavagiste. C'est à la fois user de ruse à l'intérieur du système mais aussi fuir l'habitation pour constituer, parfois, des sociétés parallèles, marronnes, en marge. Une marge entre le littoral et l'intérieur des terres, immense en Guyane, où s'enfuyaient les marrons mais aussi les Amérindiens qui trouvaient ici refuge loin du joug colonial esclavagiste. Une marge aussi entre la Guyane et le Suriname voisin, où se sont établis le long du fleuve Maroni des communautés marronnes venues du Suriname. Et c'est justement dans cette marge, passée mais aussi présente, que nous allons naviguer. Guidés par des associations culturelles marronnes, des militants et artistes de la tradition Tembé mais aussi des historiens guyanais qui s'attachent à mettre en lumière toutes les résistances à l'esclavage, et pas seulement le grand marronnage des Bushinengué. Il faut dire qu'en Guyane française, si les marrons des habitations situées sur la bande côtière ont jadis lutté, fui, pillé, constitués en bandes emmenées par les chefs Simon, Linval, Gabriel ou encore Pompée..., tôt ou tard, ils ont été rattrapés par les milices esclavagistes lancées à leurs trousses. Par contre, dans le cas du Suriname voisin, les Bushinengué littéralement « noirs de la forêt » ont eux, réussi à maintenir des sociétés originales, autonomes ; certains signant des traités de paix avec les autorités néerlandaises, d'autres comme les Bonis fuyant de l'autre côté du fleuve Maroni pour s'installer durablement sur les rives françaises. Aujourd'hui, les Bushinengué, ces descendants de marrons venus du Suriname, vivent encore majoritairement le long du Maroni, dans les fiefs historiques de Papaïchton, Maripasoula, Grand Santi ou encore Apatou situé bien plus bas sur le fleuve. De plus en plus, ce peuple fier, qui a su maintenir ses traditions dans l'isolement et la relégation, rejoint les villes et la côte. Aussi, il continue d'enjamber le fleuve Maroni du Suriname vers la Guyane, comme il l'a toujours fait à travers le temps. Ce qui vient poser des questions de reconnaissance et de papiers de ce peuple décidément transfrontalier. Au XXIème siècle, dans une société guyanaise métissée, mais souvent divisée entre les Créoles, les Bushinengué et les Amérindiens, les « Bushi » sortent du bois et revendiquent fièrement leur histoire, leurs cultures ou leur art Tembé, cet art de la fuite qui, jadis, servait de langage codé pour s'échapper et communiquer dans les grands bois. Aujourd'hui, cette tradition, sculptée au départ et désormais peinte, fascine le monde avec ses entrelacs colorés et magnétiques. Et comme les Autochtones, longtemps marginalisés avec les Bushinengué dans la zone dite tribale, ils revendiquent désormais leurs droits. Les Bushinengué représentent de nos jours près d'un ⅓ de la population guyanaise.Une série en 2 épisodes de Céline Develay-Mazurelle et Laure Allary initialement diffusée en décembre 2023. En savoir plus :- Sur le marronnage en Guyane. Un document pédagogique illustré et synthétique. En PDF- Sur les différentes résistances à l'esclavage en Guyane. L'ouvrage édité par le Jeune Historien Guyanais aux Éditions Ibis Rouge- « Maroons in Guyane, Past, Present, Future », l'ouvrage de référence des historiens Richard et Sally Price. Il a été réédité dans une version actualisée en 2022 aux Éditions « University of Georgia Press »- Le centre culturel « Mama Bobi » œuvre depuis des décennies pour la connaissance et le partage des cultures des gens du fleuve, des Bushinengué- Sur l'Ouest guyanais, ses peuples et ses enjeux, actuels comme passés : le blog « Un témoin en Guyane » animé par Joël Roy, militant associatif et ancien enseignant installé en Guyane.- Sur l'art Tembe et les marrons de Guyane : deux expositions s'étaient tenues en 2022 et 2023 à Paris. À la Maison de l'Amérique Latine et à la Galerie Dominique Fiat- Sur le travail de l'artiste Tembe Franky Amete. Un article récent sur son travail et sa trajectoire- Sur l'odyssée des Boni, un groupe Bushinengué venu du Surinam jusqu'en Guyane française : le livre de référence : « Le Monde des Marrons du Maroni en Guyane (1772-1860). La naissance d'un peuple : les Boni », paru aux Éditions Ibis Rouge, 2004. Par l'historien Jean Moomou- Les Bushinengue, en images. À travers le travail du photographe italien Nicola Lo Calzo.
Pendant l'esclavage, les résistances et les visages du marronnage en Guyane française ont été multiples. Celui des Bushinengué, descendants de marrons réfugiés en forêt et venus du Suriname voisin, interpelle par la force de leur destin et la vitalité de leur culture, si singulière. Voyage entre l'Ouest guyanais et le littoral, entre passé et présent à la rencontre d'une histoire vivante. En route sur les traces du marronnage dans ce qui est aujourd'hui un département français grand de 83 000 km2, situé entre le Suriname et le Brésil et recouvert à plus de 95% par la forêt amazonienne, on comprend très vite à quel point cette géographie de montagnes et de marécages, de fleuves tumultueux et de forêts denses, a pu constituer un refuge -hostile mais possible- pour ces fugitifs, ces marrons au temps de l'esclavage qui a duré en Guyane près de 200 ans. Marronner, c'est résister à l'oppression esclavagiste. C'est à la fois user de ruse à l'intérieur du système mais aussi fuir l'habitation pour constituer, parfois, des sociétés parallèles, marronnes, en marge. Une marge entre le littoral et l'intérieur des terres, immense en Guyane, où s'enfuyaient les marrons mais aussi les Amérindiens qui trouvaient ici refuge loin du joug colonial esclavagiste. Une marge aussi entre la Guyane et le Suriname voisin, où se sont établis le long du fleuve Maroni des communautés marronnes venues du Suriname. Et c'est justement dans cette marge, passée mais aussi présente, que nous allons naviguer. Guidés par des associations culturelles marronnes, des militants et artistes de la tradition Tembé mais aussi des historiens guyanais qui s'attachent à mettre en lumière toutes les résistances à l'esclavage, et pas seulement le grand marronnage des Bushinengué. Il faut dire qu'en Guyane française, si les marrons des habitations situées sur la bande côtière ont jadis lutté, fui, pillé, constitués en bandes emmenées par les chefs Simon, Linval, Gabriel ou encore Pompée..., tôt ou tard, ils ont été rattrapés par les milices esclavagistes lancées à leurs trousses. Par contre, dans le cas du Suriname voisin, les Bushinengué littéralement « noirs de la forêt » ont eux, réussi à maintenir des sociétés originales, autonomes ; certains signant des traités de paix avec les autorités néerlandaises, d'autres comme les Bonis fuyant de l'autre côté du fleuve Maroni pour s'installer durablement sur les rives françaises. Aujourd'hui, les Bushinengué, ces descendants de marrons venus du Suriname, vivent encore majoritairement le long du Maroni, dans les fiefs historiques de Papaïchton, Maripasoula, Grand Santi ou encore Apatou situé bien plus bas sur le fleuve. De plus en plus, ce peuple fier, qui a su maintenir ses traditions dans l'isolement et la relégation, rejoint les villes et la côte. Aussi, il continue d'enjamber le fleuve Maroni du Suriname vers la Guyane, comme il l'a toujours fait à travers le temps. Ce qui vient poser des questions de reconnaissance et de papiers de ce peuple décidément transfrontalier. Au XXIème siècle, dans une société guyanaise métissée, mais souvent divisée entre les Créoles, les Bushinengué et les Amérindiens, les « Bushi » sortent du bois et revendiquent fièrement leur histoire, leurs cultures ou leur art Tembé, cet art de la fuite qui, jadis, servait de langage codé pour s'échapper et communiquer dans les grands bois. Aujourd'hui, cette tradition, sculptée au départ et désormais peinte, fascine le monde avec ses entrelacs colorés et magnétiques. Et comme les Autochtones, longtemps marginalisés avec les Bushinengué dans la zone dite tribale, ils revendiquent désormais leurs droits. Les Bushinengué représentent de nos jours près d'un ⅓ de la population guyanaise.Une série en 2 épisodes de Céline Develay-Mazurelle et Laure Allary initialement diffusée en décembre 2023. En savoir plus :- Sur le marronnage en Guyane. Un document pédagogique illustré et synthétique. En PDF- Sur les différentes résistances à l'esclavage en Guyane. L'ouvrage édité par le Jeune Historien Guyanais aux Éditions Ibis Rouge- « Maroons in Guyane, Past, Present, Future », l'ouvrage de référence des historiens Richard et Sally Price. Il a été réédité dans une version actualisée en 2022 aux Éditions « University of Georgia Press »- Le centre culturel « Mama Bobi » œuvre depuis des décennies pour la connaissance et le partage des cultures des gens du fleuve, des Bushinengué- Sur l'Ouest guyanais, ses peuples et ses enjeux, actuels comme passés : le blog « Un témoin en Guyane » animé par Joël Roy, militant associatif et ancien enseignant installé en Guyane.- Sur l'art Tembe et les marrons de Guyane : deux expositions s'étaient tenues en 2022 et 2023 à Paris. À la Maison de l'Amérique Latine et à la Galerie Dominique Fiat- Sur le travail de l'artiste Tembe Franky Amete. Un article récent sur son travail et sa trajectoire- Sur l'odyssée des Boni, un groupe Bushinengué venu du Surinam jusqu'en Guyane française : le livre de référence : « Le Monde des Marrons du Maroni en Guyane (1772-1860). La naissance d'un peuple : les Boni », paru aux Éditions Ibis Rouge, 2004. Par l'historien Jean Moomou- Les Bushinengue, en images. À travers le travail du photographe italien Nicola Lo Calzo.
Pendant l'esclavage, les résistances et les visages du marronnage en Guyane française ont été multiples. Celui des Bushinengué, descendants de marrons réfugiés en forêt et venus du Suriname voisin, interpelle par la force de leur destin et la vitalité de leur culture, si singulière. Voyage entre l'Ouest guyanais et le littoral, entre passé et présent à la rencontre d'une histoire vivante. En route sur les traces du marronnage dans ce qui est aujourd'hui un département français grand de 83 000 km2, situé entre le Suriname et le Brésil et recouvert à plus de 95% par la forêt amazonienne, on comprend très vite à quel point cette géographie de montagnes et de marécages, de fleuves tumultueux et de forêts denses, a pu constituer un refuge -hostile mais possible- pour ces fugitifs, ces marrons au temps de l'esclavage qui a duré en Guyane près de 200 ans. Marronner, c'est résister à l'oppression esclavagiste. C'est à la fois user de ruse à l'intérieur du système mais aussi fuir l'habitation pour constituer, parfois, des sociétés parallèles, marronnes, en marge. Une marge entre le littoral et l'intérieur des terres, immense en Guyane, où s'enfuyaient les marrons mais aussi les Amérindiens qui trouvaient ici refuge loin du joug colonial esclavagiste. Une marge aussi entre la Guyane et le Suriname voisin, où se sont établis le long du fleuve Maroni des communautés marronnes venues du Suriname. Et c'est justement dans cette marge, passée mais aussi présente, que nous allons naviguer. Guidés par des associations culturelles marronnes, des militants et artistes de la tradition Tembé mais aussi des historiens guyanais qui s'attachent à mettre en lumière toutes les résistances à l'esclavage, et pas seulement le grand marronnage des Bushinengué. Il faut dire qu'en Guyane française, si les marrons des habitations situées sur la bande côtière ont jadis lutté, fui, pillé, constitués en bandes emmenées par les chefs Simon, Linval, Gabriel ou encore Pompée..., tôt ou tard, ils ont été rattrapés par les milices esclavagistes lancées à leurs trousses. Par contre, dans le cas du Suriname voisin, les Bushinengué littéralement « noirs de la forêt » ont eux, réussi à maintenir des sociétés originales, autonomes ; certains signant des traités de paix avec les autorités néerlandaises, d'autres comme les Bonis fuyant de l'autre côté du fleuve Maroni pour s'installer durablement sur les rives françaises. Aujourd'hui, les Bushinengué, ces descendants de marrons venus du Suriname, vivent encore majoritairement le long du Maroni, dans les fiefs historiques de Papaïchton, Maripasoula, Grand Santi ou encore Apatou situé bien plus bas sur le fleuve. De plus en plus, ce peuple fier, qui a su maintenir ses traditions dans l'isolement et la relégation, rejoint les villes et la côte. Aussi, il continue d'enjamber le fleuve Maroni du Suriname vers la Guyane, comme il l'a toujours fait à travers le temps. Ce qui vient poser des questions de reconnaissance et de papiers de ce peuple décidément transfrontalier. Au XXIème siècle, dans une société guyanaise métissée, mais souvent divisée entre les Créoles, les Bushinengué et les Amérindiens, les « Bushi » sortent du bois et revendiquent fièrement leur histoire, leurs cultures ou leur art Tembé, cet art de la fuite qui, jadis, servait de langage codé pour s'échapper et communiquer dans les grands bois. Aujourd'hui, cette tradition, sculptée au départ et désormais peinte, fascine le monde avec ses entrelacs colorés et magnétiques. Et comme les Autochtones, longtemps marginalisés avec les Bushinengué dans la zone dite tribale, ils revendiquent désormais leurs droits. Les Bushinengué représentent de nos jours près d'un ⅓ de la population guyanaise.Une série en 2 épisodes de Céline Develay-Mazurelle et Laure Allary initialement diffusée en décembre 2023.En savoir plus :- Sur le marronnage en Guyane. Un document pédagogique illustré et synthétique. En PDF- Sur les différentes résistances à l'esclavage en Guyane. L'ouvrage édité par le Jeune Historien Guyanais aux Éditions Ibis Rouge- « Maroons in Guyane, Past, Present, Future », l'ouvrage de référence des historiens Richard et Sally Price. Il a été réédité dans une version actualisée en 2022 aux Éditions « University of Georgia Press »- Le centre culturel « Mama Bobi » œuvre depuis des décennies pour la connaissance et le partage des cultures des gens du fleuve, des Bushinengué- Sur l'Ouest guyanais, ses peuples et ses enjeux, actuels comme passés : le blog « Un témoin en Guyane » animé par Joël Roy, militant associatif et ancien enseignant installé en Guyane.- Sur l'art Tembe et les marrons de Guyane : deux expositions s'étaient tenues en 2022 et 2023 à Paris. À la Maison de l'Amérique Latine et à la Galerie Dominique Fiat- Sur le travail de l'artiste Tembe Franky Amete. Un article récent sur son travail et sa trajectoire- Sur l'odyssée des Boni, un groupe Bushinengué venu du Surinam jusqu'en Guyane française : le livre de référence : « Le Monde des Marrons du Maroni en Guyane (1772-1860). La naissance d'un peuple : les Boni », paru aux Éditions Ibis Rouge, 2004. Par l'historien Jean Moomou- Les Bushinengue, en images. À travers le travail du photographe italien Nicola Lo Calzo.
Pendant l'esclavage, les résistances et les visages du marronnage en Guyane française ont été multiples. Celui des Bushinengué, descendants de marrons réfugiés en forêt et venus du Suriname voisin, interpelle par la force de leur destin et la vitalité de leur culture, si singulière. Voyage entre l'Ouest guyanais et le littoral, entre passé et présent à la rencontre d'une histoire vivante. En route sur les traces du marronnage dans ce qui est aujourd'hui un département français grand de 83 000 km2, situé entre le Suriname et le Brésil et recouvert à plus de 95% par la forêt amazonienne, on comprend très vite à quel point cette géographie de montagnes et de marécages, de fleuves tumultueux et de forêts denses, a pu constituer un refuge -hostile mais possible- pour ces fugitifs, ces marrons au temps de l'esclavage qui a duré en Guyane près de 200 ans. Marronner, c'est résister à l'oppression esclavagiste. C'est à la fois user de ruse à l'intérieur du système mais aussi fuir l'habitation pour constituer, parfois, des sociétés parallèles, marronnes, en marge. Une marge entre le littoral et l'intérieur des terres, immense en Guyane, où s'enfuyaient les marrons mais aussi les Amérindiens qui trouvaient ici refuge loin du joug colonial esclavagiste. Une marge aussi entre la Guyane et le Suriname voisin, où se sont établis le long du fleuve Maroni des communautés marronnes venues du Suriname. Et c'est justement dans cette marge, passée mais aussi présente, que nous allons naviguer. Guidés par des associations culturelles marronnes, des militants et artistes de la tradition Tembé mais aussi des historiens guyanais qui s'attachent à mettre en lumière toutes les résistances à l'esclavage, et pas seulement le grand marronnage des Bushinengué. Il faut dire qu'en Guyane française, si les marrons des habitations situées sur la bande côtière ont jadis lutté, fui, pillé, constitués en bandes emmenées par les chefs Simon, Linval, Gabriel ou encore Pompée..., tôt ou tard, ils ont été rattrapés par les milices esclavagistes lancées à leurs trousses. Par contre, dans le cas du Suriname voisin, les Bushinengué littéralement « noirs de la forêt » ont eux, réussi à maintenir des sociétés originales, autonomes ; certains signant des traités de paix avec les autorités néerlandaises, d'autres comme les Bonis fuyant de l'autre côté du fleuve Maroni pour s'installer durablement sur les rives françaises. Aujourd'hui, les Bushinengué, ces descendants de marrons venus du Suriname, vivent encore majoritairement le long du Maroni, dans les fiefs historiques de Papaïchton, Maripasoula, Grand Santi ou encore Apatou situé bien plus bas sur le fleuve. De plus en plus, ce peuple fier, qui a su maintenir ses traditions dans l'isolement et la relégation, rejoint les villes et la côte. Aussi, il continue d'enjamber le fleuve Maroni du Suriname vers la Guyane, comme il l'a toujours fait à travers le temps. Ce qui vient poser des questions de reconnaissance et de papiers de ce peuple décidément transfrontalier. Au XXIème siècle, dans une société guyanaise métissée, mais souvent divisée entre les Créoles, les Bushinengué et les Amérindiens, les « Bushi » sortent du bois et revendiquent fièrement leur histoire, leurs cultures ou leur art Tembé, cet art de la fuite qui, jadis, servait de langage codé pour s'échapper et communiquer dans les grands bois. Aujourd'hui, cette tradition, sculptée au départ et désormais peinte, fascine le monde avec ses entrelacs colorés et magnétiques. Et comme les Autochtones, longtemps marginalisés avec les Bushinengué dans la zone dite tribale, ils revendiquent désormais leurs droits. Les Bushinengué représentent de nos jours près d'un ⅓ de la population guyanaise.Une série en 2 épisodes de Céline Develay-Mazurelle et Laure Allary initialement diffusée en décembre 2023.En savoir plus :- Sur le marronnage en Guyane. Un document pédagogique illustré et synthétique. En PDF- Sur les différentes résistances à l'esclavage en Guyane. L'ouvrage édité par le Jeune Historien Guyanais aux Éditions Ibis Rouge- « Maroons in Guyane, Past, Present, Future », l'ouvrage de référence des historiens Richard et Sally Price. Il a été réédité dans une version actualisée en 2022 aux Éditions « University of Georgia Press »- Le centre culturel « Mama Bobi » œuvre depuis des décennies pour la connaissance et le partage des cultures des gens du fleuve, des Bushinengué- Sur l'Ouest guyanais, ses peuples et ses enjeux, actuels comme passés : le blog « Un témoin en Guyane » animé par Joël Roy, militant associatif et ancien enseignant installé en Guyane.- Sur l'art Tembe et les marrons de Guyane : deux expositions s'étaient tenues en 2022 et 2023 à Paris. À la Maison de l'Amérique Latine et à la Galerie Dominique Fiat- Sur le travail de l'artiste Tembe Franky Amete. Un article récent sur son travail et sa trajectoire- Sur l'odyssée des Boni, un groupe Bushinengué venu du Surinam jusqu'en Guyane française : le livre de référence : « Le Monde des Marrons du Maroni en Guyane (1772-1860). La naissance d'un peuple : les Boni », paru aux Éditions Ibis Rouge, 2004. Par l'historien Jean Moomou- Les Bushinengue, en images. À travers le travail du photographe italien Nicola Lo Calzo.
Tous les matins à 7h50 sur Chérie FM, Dimitri pose 3 questions sur l'actualité insolite ou légère des dernières 24 heures !
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Caroline Ithurbide nous raconte l'histoire surprenante de David Jenkins, un homme de 82 ans soupçonné d'avoir triché lors du prestigieux championnat du monde de marrons.Imaginez-vous, un championnat du monde de marrons ! Oui, vous avez bien entendu. Il s'agit d'un jeu britannique qui consiste à faire tourner un marron au bout d'une ficelle, le but étant de briser celui de son adversaire. David Jenkins, un passionné du jeu, y participe depuis 1977 sans jamais avoir remporté le titre. Jusqu'à cette année, où il décide de passer à l'action.Lors de la finale, son adversaire remarque que son marron s'est désintégré d'un coup, ce qui est extrêmement rare. Les juges mènent alors une enquête et découvrent une réplique de marron en métal dans la poche de David. La tricherie est avérée, et le pauvre David est destitué de son titre tant convoité.
Tous les matins à 7h10, Alex nous fait faire le tour du monde avec des histoires incroyables et vraies !
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C'est l'une des périodes les plus sombres et marquantes de l'histoire économique mondiale : le commerce triangulaire.Une histoire de richesses immenses, de traversées océaniques périlleuses, mais surtout de souffrances humaines. Elle a façonné les relations entre l'Europe, l'Afrique et les Amériques entre les XVIIe et XVIIIe siècles, basé principalement sur le commerce des esclaves, la traite atlantique. Ce commerce tire son nom de la forme géométrique créée par les routes empruntées par les navires négriers, comme on appelait ceux transportant les esclaves africains : un triangle donc entre ces trois régions du globe.Comment fonctionnait-il et pourquoi est-il resté gravé dans l'histoire comme l'une des plus grandes tragédies humaines ?#4ème #2nde***T'as qui en Histoire ? * : le podcast qui te fait aimer l'Histoire !Pour rafraîchir ses connaissances, réviser le brevet, le bac, ses leçons en général, apprendre et découvrir des sujets d'Histoire (collège, lycée, université)***✉️ Contact: tasquienhistoire@gmail.com*** Sur les réseaux sociaux ***Facebook : https://www.facebook.com/TasQuiEnHistoireTwitter : @AsHistoire Instagram : @tasquienhistoireTiktok : @tasquienhistoire *** Crédits sonores ***Freesoundon a wooden ship at sea 02.wav by LXX.70 -- https://freesound.org/s/91072/ -- License: Attribution 4.0 Sad_Drama_Romantic_Stinger.mp3 by SoundFlakes -- https://freesound.org/s/413732/ -- License: Attribution 4.0YoutubeKounta Kinte sur le pont du navire négrier / @Thierry Agostinihttps://www.youtube.com/watch?v=quQ9yOkeUhU Des statues d'esclavagistes déboulonnées / @France TV Londres - 10 juin 2020https://www.youtube.com/watch?v=7QpQPkq6D8E NI CHAÎNES NI MAÎTRES – Bande-annonce Officielle (2024)https://www.youtube.com/watch?v=Rr3QFNoLXuo Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
En vrai c'est Jäde et Grünt ! Talkings Heads - Warning Sign Pa Salieu - Belly Tinashe - Nasty (match My Chic Remix) Floating Points - Fast Forward Neg' Marrons & Frankie Paul - Le bilan Jäde - Diabolo Grenadine Diams - Jeune demoiselle Lil Wayne - Lillopop (feat. Static Major) TIF - Hinata Hologram Lo' & Huntrill - le biff et moi Adele - Someone Like you PNL - Je vis je visser The Weekend - Repeat after me Jolagreen23 - Maybach FLOZinée - Mezzel (feat. chilly gonzales) Pink Pantheress - Turn it up Wallace Cleaver - xénon First Choice - Dr. Love George Delerue - Radioscopie
durée : 00:02:20 - Pourquoi les branches des Tuyas deviennent marrons ? Quel remède ?
Si votre sœur a les yeux bleus et que vous avez les yeux marron, comment écrivez-vous bleu et marron ? Avec ou sans S ? Et bien, figurez-vous que votre sœur a les yeux bleus avec un S à bleus, tandis que vous, vous avez les yeux marron sans S. Pourquoi cette injustice orthographique, qui s'ajoute à celle des lois de la génétique ? Ce podcast est extrait du livre de Muriel Gilbert, "Les 99 fautes que tout le monde fait... sauf vous, maintenant !" (édité chez Vuibert).
Many of the buildings in the UK are classified legally as ‘listed' – which means they're legally protected due to their historic or architectural significance. Managing, preserving and improving these listed buildings requires adherence to strict regulations surrounding something called LBC (Listed Building Consent). Thomas Blake, Partner at Fisher German, is joined by Scott O'Dell, Associate Partner at Fisher German and guest Hannah Hamilton-Rutter, Heritage Director at Marrons, to explore the unique set of challenges and complexities that listed buildings can present for owners, sellers and developers. Hannah and Scott discuss the importance of talking with local authorities before applying for planning permission to handle challenges better and build good relationships with conservation officers. How do government policies and economic factors affect listed buildings? Where should property owners go to get the best advice? What's the best use of a heritage property to ensure its long-term maintenance and preservation? Listen to find out.
durée : 00:01:54 - Pourquoi nos jeunes palmiers ont les feuilles marrons en ce début du printemps ?
Scott Sattler and Jason Matthews discuss the big league stories of the week as Payne Haas goes down at Broncos training | Cowboys assistant coach James Maloney is loving his new role and working closely with Tom Dearden | Who will be the Marrons next captain? | How will the Panthers spend their spare $850k from Luai? | Where do the Bulldogs finish this season? | Michael Kasprowicz touches on Shamar Joseph dream Test debut | Chris Nelson from Racing Queensland has all the oil for the weekend in racing Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Direction l'Auvergne et plus exactement la commune du Cendre dans le Puy-de-Dôme pour un plat de fête qui sent bon Noël : le fameux bœuf Rossini accompagné de butternut et de marrons tout juste poêlé dans du beurre. Cette poésie gastronomique, Guillaume Frixon est allé la chercher chez le chef Kevin Le Mouroux, qui vient toujours juste d'intégrer les Toques d'Auvergne et son restaurant a le nom d'une promesse : Le Terroir des Bons Vivants. Ecoutez La spécialité du vendredi du 22 décembre 2023 avec Guillaume Frixon.
Pendant l'esclavage, les résistances et les visages du marronnage en Guyane française ont été multiples. Celui des Bushinengué, descendants de marrons réfugiés en forêt et venus du Suriname voisin, interpelle par la force de leur destin et la vitalité de leur culture, si singulière. Voyage entre l'Ouest guyanais et le littoral, entre passé et présent à la rencontre d'une histoire vivante. En route sur les traces du marronnage dans ce qui est aujourd'hui un département français grand de 83 000 km2, situé entre le Suriname et le Brésil et recouvert à plus de 95% par la forêt amazonienne, on comprend très vite à quel point cette géographie de montagnes et de marécages, de fleuves tumultueux et de forêts denses, a pu constituer un refuge -hostile mais possible- pour ces fugitifs, ces marrons au temps de l'esclavage qui a duré en Guyane près de 200 ans. Marronner, c'est résister à l'oppression esclavagiste. C'est à la fois user de ruse à l'intérieur du système mais aussi fuir l'habitation pour constituer, parfois, des sociétés parallèles, marronnes, en marge. Une marge entre le littoral et l'intérieur des terres, immense en Guyane, où s'enfuyaient les marrons mais aussi les Amérindiens qui trouvaient ici refuge loin du joug colonial esclavagiste. Une marge aussi entre la Guyane et le Suriname voisin, où se sont établis le long du fleuve Maroni des communautés marronnes venues du Suriname. Et c'est justement dans cette marge, passée mais aussi présente, que nous allons naviguer. Guidés par des associations culturelles marronnes, des militants et artistes de la tradition Tembé mais aussi des historiens guyanais qui s'attachent à mettre en lumière toutes les résistances à l'esclavage, et pas seulement le grand marronnage des Bushinengué. Il faut dire qu'en Guyane française, si les marrons des habitations situées sur la bande côtière ont jadis lutté, fui, pillé, constitués en bandes emmenées par les chefs Simon, Linval, Gabriel ou encore Pompée..., tôt ou tard, ils ont été rattrapés par les milices esclavagistes lancées à leurs trousses. Par contre, dans le cas du Suriname voisin, les Bushinengué littéralement « noirs de la forêt » ont eux, réussi à maintenir des sociétés originales, autonomes ; certains signant des traités de paix avec les autorités néerlandaises, d'autres comme les Bonis fuyant de l'autre côté du fleuve Maroni pour s'installer durablement sur les rives françaises. Aujourd'hui, les Bushinengué, ces descendants de marrons venus du Suriname, vivent encore majoritairement le long du Maroni, dans les fiefs historiques de Papaïchton, Maripasoula, Grand Santi ou encore Apatou situé bien plus bas sur le fleuve. De plus en plus, ce peuple fier, qui a su maintenir ses traditions dans l'isolement et la relégation, rejoint les villes et la côte. Aussi, il continue d'enjamber le fleuve Maroni du Suriname vers la Guyane, comme il l'a toujours fait à travers le temps. Ce qui vient poser des questions de reconnaissance et de papiers de ce peuple décidément transfrontalier. Au XXIème siècle, dans une société guyanaise métissée, mais souvent divisée entre les Créoles, les Bushinengué et les Amérindiens, les « Bushi » sortent du bois et revendiquent fièrement leur histoire, leurs cultures ou leur art Tembé, cet art de la fuite qui, jadis, servait de langage codé pour s'échapper et communiquer dans les grands bois. Aujourd'hui, cette tradition, sculptée au départ et désormais peinte, fascine le monde avec ses entrelacs colorés et magnétiques. Et comme les Autochtones, longtemps marginalisés avec les Bushinengué dans la zone dite tribale, ils revendiquent désormais leurs droits. Les Bushinengué représentent de nos jours près d'un ⅓ de la population guyanaise.Une série en 2 épisodes de Céline Develay-Mazurelle et Laure Allary. En savoir plus :- Sur le marronnage en Guyane. Un document pédagogique illustré et synthétique. En PDF- Sur les différentes résistances à l'esclavage en Guyane. L'ouvrage édité par le Jeune Historien Guyanais aux Éditions Ibis Rouge- « Maroons in Guyane, Past, Present, Future », l'ouvrage de référence des historiens Richard et Sally Price. Il a été réédité dans une version actualisée en 2022 aux Éditions « University of Georgia Press »- Le centre culturel « Mama Bobi » œuvre depuis des décennies pour la connaissance et le partage des cultures des gens du fleuve, des Bushinengué- Sur l'Ouest guyanais, ses peuples et ses enjeux, actuels comme passés : le blog « Un témoin en Guyane » animé par Joël Roy, militant associatif et ancien enseignant installé en Guyane.- Sur l'art Tembe et les marrons de Guyane : deux expositions s'étaient tenues en 2022 et 2023 à Paris. À la Maison de l'Amérique Latine et à la Galerie Dominique Fiat- Sur le travail de l'artiste Tembe Franky Amete. Un article récent sur son travail et sa trajectoire- Sur l'odyssée des Boni, un groupe Bushinengué venu du Surinam jusqu'en Guyane française : le livre de référence : « Le Monde des Marrons du Maroni en Guyane (1772-1860). La naissance d'un peuple : les Boni », paru aux Éditions Ibis Rouge, 2004. Par l'historien Jean Moomou- Les Bushinengue, en images. À travers le travail du photographe italien Nicola Lo Calzo.
Pendant l'esclavage, les résistances et les visages du marronnage en Guyane française ont été multiples. Celui des Bushinengué, descendants de marrons réfugiés en forêt et venus du Suriname voisin, interpelle par la force de leur destin et la vitalité de leur culture, si singulière. Voyage entre l'Ouest guyanais et le littoral, entre passé et présent à la rencontre d'une histoire vivante. En route sur les traces du marronnage dans ce qui est aujourd'hui un département français grand de 83 000 km2, situé entre le Suriname et le Brésil et recouvert à plus de 95% par la forêt amazonienne, on comprend très vite à quel point cette géographie de montagnes et de marécages, de fleuves tumultueux et de forêts denses, a pu constituer un refuge -hostile mais possible- pour ces fugitifs, ces marrons au temps de l'esclavage qui a duré en Guyane près de 200 ans. Marronner, c'est résister à l'oppression esclavagiste. C'est à la fois user de ruse à l'intérieur du système mais aussi fuir l'habitation pour constituer, parfois, des sociétés parallèles, marronnes, en marge. Une marge entre le littoral et l'intérieur des terres, immense en Guyane, où s'enfuyaient les marrons mais aussi les Amérindiens qui trouvaient ici refuge loin du joug colonial esclavagiste. Une marge aussi entre la Guyane et le Suriname voisin, où se sont établis le long du fleuve Maroni des communautés marronnes venues du Suriname. Et c'est justement dans cette marge, passée mais aussi présente, que nous allons naviguer. Guidés par des associations culturelles marronnes, des militants et artistes de la tradition Tembé mais aussi des historiens guyanais qui s'attachent à mettre en lumière toutes les résistances à l'esclavage, et pas seulement le grand marronnage des Bushinengué. Il faut dire qu'en Guyane française, si les marrons des habitations situées sur la bande côtière ont jadis lutté, fui, pillé, constitués en bandes emmenées par les chefs Simon, Linval, Gabriel ou encore Pompée..., tôt ou tard, ils ont été rattrapés par les milices esclavagistes lancées à leurs trousses. Par contre, dans le cas du Suriname voisin, les Bushinengué littéralement « noirs de la forêt » ont eux, réussi à maintenir des sociétés originales, autonomes ; certains signant des traités de paix avec les autorités néerlandaises, d'autres comme les Bonis fuyant de l'autre côté du fleuve Maroni pour s'installer durablement sur les rives françaises. Aujourd'hui, les Bushinengué, ces descendants de marrons venus du Suriname, vivent encore majoritairement le long du Maroni, dans les fiefs historiques de Papaïchton, Maripasoula, Grand Santi ou encore Apatou situé bien plus bas sur le fleuve. De plus en plus, ce peuple fier, qui a su maintenir ses traditions dans l'isolement et la relégation, rejoint les villes et la côte. Aussi, il continue d'enjamber le fleuve Maroni du Suriname vers la Guyane, comme il l'a toujours fait à travers le temps. Ce qui vient poser des questions de reconnaissance et de papiers de ce peuple décidément transfrontalier. Au XXIème siècle, dans une société guyanaise métissée, mais souvent divisée entre les Créoles, les Bushinengué et les Amérindiens, les « Bushi » sortent du bois et revendiquent fièrement leur histoire, leurs cultures ou leur art Tembé, cet art de la fuite qui, jadis, servait de langage codé pour s'échapper et communiquer dans les grands bois. Aujourd'hui, cette tradition, sculptée au départ et désormais peinte, fascine le monde avec ses entrelacs colorés et magnétiques. Et comme les Autochtones, longtemps marginalisés avec les Bushinengué dans la zone dite tribale, ils revendiquent désormais leurs droits. Les Bushinengué représentent de nos jours près d'un ⅓ de la population guyanaise.Une série en 2 épisodes de Céline Develay-Mazurelle et Laure Allary. En savoir plus :- Sur le marronnage en Guyane. Un document pédagogique illustré et synthétique. En PDF- Sur les différentes résistances à l'esclavage en Guyane. L'ouvrage édité par le Jeune Historien Guyanais aux Éditions Ibis Rouge- « Maroons in Guyane, Past, Present, Future », l'ouvrage de référence des historiens Richard et Sally Price. Il a été réédité dans une version actualisée en 2022 aux Éditions « University of Georgia Press »- Le centre culturel « Mama Bobi » œuvre depuis des décennies pour la connaissance et le partage des cultures des gens du fleuve, des Bushinengué- Sur l'Ouest guyanais, ses peuples et ses enjeux, actuels comme passés : le blog « Un témoin en Guyane » animé par Joël Roy, militant associatif et ancien enseignant installé en Guyane.- Sur l'art Tembe et les marrons de Guyane : deux expositions s'étaient tenues en 2022 et 2023 à Paris. À la Maison de l'Amérique Latine et à la Galerie Dominique Fiat- Sur le travail de l'artiste Tembe Franky Amete. Un article récent sur son travail et sa trajectoire- Sur l'odyssée des Boni, un groupe Bushinengué venu du Surinam jusqu'en Guyane française : le livre de référence : « Le Monde des Marrons du Maroni en Guyane (1772-1860). La naissance d'un peuple : les Boni », paru aux Éditions Ibis Rouge, 2004. Par l'historien Jean Moomou- Les Bushinengue, en images. À travers le travail du photographe italien Nicola Lo Calzo.
Entrez dans la fabrique de Marrons Glacés. L'objectif du jour ? Découvrir toutes les coulisses de la fabrication de ces petites douceurs de Noël. Et pour cela, qui de mieux qu'Alexandre Corsiglia qui incarne la 6ème génération à la tête de la maison Corsiglia ? Depuis 1896, Corsiglia fait raisonner son expertise dans le monde entier et peaufine son savoir faire pour vous offrir des marrons glacés absolument délicieux. Alors dans cet épisode, Alexandre nous explique :
Pendant l'esclavage, les résistances et les visages du marronnage en Guyane française ont été multiples. Celui des Bushinengué, descendants de marrons réfugiés en forêt et venus du Suriname voisin, interpelle par la force de leur destin et la vitalité de leur culture, si singulière. Voyage entre l'Ouest guyanais et le littoral, entre passé et présent à la rencontre d'une histoire vivante. En route sur les traces du marronnage dans ce qui est aujourd'hui un département français grand de 83 000 km2, situé entre le Suriname et le Brésil et recouvert à plus de 95% par la forêt amazonienne, on comprend très vite à quel point cette géographie de montagnes et de marécages, de fleuves tumultueux et de forêts denses, a pu constituer un refuge -hostile mais possible- pour ces fugitifs, ces marrons au temps de l'esclavage qui a duré en Guyane près de 200 ans. Marronner, c'est résister à l'oppression esclavagiste. C'est à la fois user de ruse à l'intérieur du système mais aussi fuir l'habitation pour constituer, parfois, des sociétés parallèles, marronnes, en marge. Une marge entre le littoral et l'intérieur des terres, immense en Guyane, où s'enfuyaient les marrons mais aussi les Amérindiens qui trouvaient ici refuge loin du joug colonial esclavagiste. Une marge aussi entre la Guyane et le Suriname voisin, où se sont établis le long du fleuve Maroni des communautés marronnes venues du Suriname. Et c'est justement dans cette marge, passée mais aussi présente, que nous allons naviguer. Guidés par des associations culturelles marronnes, des militants et artistes de la tradition Tembé mais aussi des historiens guyanais qui s'attachent à mettre en lumière toutes les résistances à l'esclavage, et pas seulement le grand marronnage des Bushinengué. Il faut dire qu'en Guyane française, si les marrons des habitations situées sur la bande côtière ont jadis lutté, fui, pillé, constitués en bandes emmenées par les chefs Simon, Linval, Gabriel ou encore Pompée..., tôt ou tard, ils ont été rattrapés par les milices esclavagistes lancées à leurs trousses. Par contre, dans le cas du Suriname voisin, les Bushinengué littéralement « noirs de la forêt » ont eux, réussi à maintenir des sociétés originales, autonomes ; certains signant des traités de paix avec les autorités néerlandaises, d'autres comme les Bonis fuyant de l'autre côté du fleuve Maroni pour s'installer durablement sur les rives françaises. Aujourd'hui, les Bushinengué, ces descendants de marrons venus du Suriname, vivent encore majoritairement le long du Maroni, dans les fiefs historiques de Papaïchton, Maripasoula, Grand Santi ou encore Apatou situé bien plus bas sur le fleuve. De plus en plus, ce peuple fier, qui a su maintenir ses traditions dans l'isolement et la relégation, rejoint les villes et la côte. Aussi, il continue d'enjamber le fleuve Maroni du Suriname vers la Guyane, comme il l'a toujours fait à travers le temps. Ce qui vient poser des questions de reconnaissance et de papiers de ce peuple décidément transfrontalier. Au XXIème siècle, dans une société guyanaise métissée, mais souvent divisée entre les Créoles, les Bushinengué et les Amérindiens, les « Bushi » sortent du bois et revendiquent fièrement leur histoire, leurs cultures ou leur art Tembé, cet art de la fuite qui, jadis, servait de langage codé pour s'échapper et communiquer dans les grands bois. Aujourd'hui, cette tradition, sculptée au départ et désormais peinte, fascine le monde avec ses entrelacs colorés et magnétiques. Et comme les Autochtones, longtemps marginalisés avec les Bushinengué dans la zone dite tribale, ils revendiquent désormais leurs droits. Les Bushinengué représentent de nos jours près d'un ⅓ de la population guyanaise.Une série en 2 épisodes de Céline Develay-Mazurelle et Laure Allary. En savoir plus :- Sur le marronnage en Guyane. Un document pédagogique illustré et synthétique. En PDF- Sur les différentes résistances à l'esclavage en Guyane. L'ouvrage édité par le Jeune Historien Guyanais aux Éditions Ibis Rouge- « Maroons in Guyane, Past, Present, Future », l'ouvrage de référence des historiens Richard et Sally Price. 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À travers le travail du photographe italien Nicola Lo Calzo.
Pendant l'esclavage, les résistances et les visages du marronnage en Guyane française ont été multiples. Celui des Bushinengué, descendants de marrons réfugiés en forêt et venus du Suriname voisin, interpelle par la force de leur destin et la vitalité de leur culture, si singulière. Voyage entre l'Ouest guyanais et le littoral, entre passé et présent à la rencontre d'une histoire vivante. En route sur les traces du marronnage dans ce qui est aujourd'hui un département français grand de 83 000 km2, situé entre le Suriname et le Brésil et recouvert à plus de 95% par la forêt amazonienne, on comprend très vite à quel point cette géographie de montagnes et de marécages, de fleuves tumultueux et de forêts denses, a pu constituer un refuge -hostile mais possible- pour ces fugitifs, ces marrons au temps de l'esclavage qui a duré en Guyane près de 200 ans. Marronner, c'est résister à l'oppression esclavagiste. 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Tous les soirs, retrouvez la question pas si bête par l'édition du soir de Ouest-France. Crédit musique : Universalmusicproductions Photo d'illustration : Marina07 /Istock
durée : 00:02:43 - L'Alsace de JPP - Le procès du conseiller régional Jacques Cattin pour faits de violences sur un de ses collègues a inspiré Jean-Philippe Pierre qui déclare ainsi ouverte la saison des marrons et des châtaignes...
Ce dimanche, Mac Lesggy vous dit tout ce qu'il faut savoir sur les châtaignes et marrons, incontournables fruits d'automne, qui ne doivent pas être confondus.
이마트24가 ‘크렘드마롱(Creme de Marrons)'을 소재로 한 디저트 3종을 순차적으로 출시하고 있습니다. 상세 내용과 함께 이 사실이 말하는 트렌드를 정리해봅니다. 강연 및 마케팅 컨설팅 문의 : nohy@naver.com 유튜브 : https://www.youtube.com/@trendwhy
Tous les matins à 8h50, les Chérie Kids répondent aux questions.
Au Suriname, petit pays d'Amérique du Sud, vivent plusieurs peuples marrons. Leurs ancêtres ont fui l'esclavage des plantations coloniales pour se réfugier en forêt et y créer des sociétés libres. Ils étaient alors désignés par le terme de « marron » -, désignant les fugitifs. Trois siècles après leur fuite, les sociétés noires-marronnes du Suriname continuent de se battre pour leurs droits. Longtemps discriminés, les Marrons affirment aujourd'hui leur place au sein de la société surinamaise. «Les Marrons du Suriname, des peuples en lutte», un Grand reportage d'Hélène Ferrarini. (Rediffusion)
Si votre sœur a les yeux bleus et que vous avez les yeux marron, comment écrivez-vous bleu et marron ? Avec ou sans S ? Et bien, figurez-vous que votre sœur a les yeux bleus avec un S à bleus, tandis que vous, vous avez les yeux marron sans S. Pourquoi cette injustice orthographique, qui s'ajoute à celle des lois de la génétique ? Ce podcast est extrait du livre de Muriel Gilbert, "Les 99 fautes que tout le monde fait... sauf vous, maintenant !" (édité chez Vuibert).
54 nouveaux panneaux marrons vont vous guider vers des lieux à ne pas manquer aux abord des axes autoroutiers ! Ces nouveautés concernent l'A4 et l'A26 entre l'Aine, l'Aube et la Champagne ! Visite avec Laurine Desfargeas !
Vous les croisez régulièrement le long de l'autoroute ! Ils vous indiquent des lieux remarquables ou historiques, et vous incitent à partir à la découverte de nos belles régions ! Saviez-vous que certains d'entre eux s'étaient offert une nouvelle jeunesse dans le Grand-Est ? Stéfanie Fontana
Origin special featuring Queenslander Brent Tate, Blues enforcer Greg Bird, Marrons legend Steve ‘Boxhead' Walters and NSW great Brett ‘Noddy' Kimmorely Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Au Suriname, petit pays d'Amérique du Sud, vivent plusieurs peuples marrons. Leurs ancêtres ont fui l'esclavage des plantations coloniales pour se réfugier en forêt et y créer des sociétés libres. Ils étaient alors désignés par le terme de « marron » -, désignant les fugitifs. Trois siècles après leur fuite, les sociétés noires-marronnes du Suriname continuent de se battre pour leurs droits. Longtemps discriminés, les Marrons affirment aujourd'hui leur place au sein de la société surinamaise. Rediffusion du 3 octobre 2022 «Les Marrons du Suriname, des peuples en lutte», un Grand reportage d'Hélène Ferrarini.
Garges-Sarcelles, la rencontre avec le hip-hop, la formation du groupe, les influences musicales, les 1eres scènes, la B.O du film Raï et le classique "La Monnaie", Kenzy et le Secteur Ä, le 1er album "Rue Cas Nègres", l'aventure Bisso Na Bisso pour Ben-J, l'aventure "Couvre Feu" sur Skyrock pour Jacky, le label "Première Classe" monté avec Patou, Stéphane et Pit Baccardi, le 2ème album "Le Bilan", le clash Jacky Vs Lord Kossity, le projet "Noyau Dur", l'album "Héritage" avec la participation de Mr Vegas, "Les Liens Sacrés", le groupe La Mc Malcriado, la passion pour la scène et le live. Parce que l'heure du bilan n'est pas encore venue...
Ecoutez L'oeil de Philippe Caverivière avec Philippe Caverivière du 17 novembre 2022
durée : 00:04:24 - Le monde d'après - par : Jean Marc FOUR - Le parti républicain part grand favori des élections de mi-mandat demain aux États-Unis. Il pourrait reprendre le contrôle des deux Chambres. Ce serait un sérieux revers pour Joe Biden et les démocrates. Et un vrai succès pour Donald Trump. Pourtant le retour de l'ancien président n'est pas assuré.
durée : 00:04:24 - Le monde d'après - par : Jean Marc FOUR - Le parti républicain part grand favori des élections de mi-mandat demain aux États-Unis. Il pourrait reprendre le contrôle des deux Chambres. Ce serait un sérieux revers pour Joe Biden et les démocrates. Et un vrai succès pour Donald Trump. Pourtant le retour de l'ancien président n'est pas assuré.
Au Suriname, petit pays d'Amérique du Sud, vivent plusieurs peuples marrons. Leurs ancêtres ont fui l'esclavage des plantations coloniales pour se réfugier en forêt et y créer des sociétés libres. Ils étaient alors désignés par le terme de « marron » -, désignant les fugitifs. Trois siècles après leur fuite, les sociétés noires-marronnes du Suriname continuent de se battre pour leurs droits. Longtemps discriminés, les Marrons affirment aujourd'hui leur place au sein de la société surinamaise. «Les Marrons du Suriname, des peuples en lutte», un Grand reportage d'Hélène Ferrarini.
J'emprunte les mots de la chanson des Nèg' Marrons pour faire le point. J'ai lancé Single Jungle en janvier 2020, il y a 2 ans et 9 mois, il était temps, non ? C'est un épisode interactif, je vous pose des questions, hâte d'avoir vos réponses (via les réseaux sociaux). Bonne écoute et merci de votre fidélité ! Références citées dans l'épisode (ou en bonus)Podcasts Single Suspect, de Julia Faure, collectif Transmission https://podcast.ausha.co/transmission/single-suspect Sologamie, de Marie Albert https://anchor.fm/sologamie Célibataire, de Isis Latorre https://open.spotify.com/show/6fRm6J5u4DukosbE5AaAhW Un podcast à soi, de Charlotte Bienaimé (Arte Radio), épisode "trouble dans le couple" https://www.arteradio.com/son/61673642/trouble_dans_le_couple Vivons heureux avant la fin du monde, de Delphine Saltel (Arte Radio), épisode "Qu'est-ce qui pourrait sauver le couple ?" https://www.arteradio.com/son/61664867/qu_est_ce_qui_pourrait_sauver_le_couple Comment tu dates ? de Marie de Brauer (studio Trois jours de marche, avec le soutien du CNC) https://open.spotify.com/show/3p4s3zc4zbJVBhlVS8yZbJ?si=QGwLZL2ZSpGTucAcFNjTSw&nd=1 "Le célibat, pourquoi pas ?" sur France Inter, avec Marianne James, Marie Kock, autrice du livre "Vieille fille" (éd. La Découverte) https://www.radiofrance.fr/franceinter/podcasts/l-ete-comme-jamais/l-ete-comme-jamais-du-mardi-23-aout-2022-6117352 ép.34 de Single Jungle avec Lucile Quillet, autrice du livre "Le prix à payer, ce que le couple hétéro coûte aux femmes" (éd. Les liens qui libèrent). Je vous recommande aussi la newsletter et le compte Instagram "Plan cash" de Léa Lejeune et Morgane Dion https://www.instagram.com/plancash_media/ Episodes de Single Jungle cités (sans spoiler/divulgacher/déflorer l'ordre du classement Top 10) :Episodes avec des invitées femmes ép 25, Rosa Bursztein, comédienne, créatrice du podcast "Les mecs que je veux ken". Et bientôt sur Téva, dans sa propre émission "Orgasmiq". ép 29, Lydie, bisexuelle
The countdown to an epic State Of Origin decider continues as Marrons selections get way too much attention & MG can't see a thing after a horror night battling Sydney's airport chaos. Triple M Breakfast Headlines: A look at the front and back page with everything happening in Sydney. See omnystudio.com/listener for privacy information.