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Podcast de Philippe Rahm pour webSYNradio : LA DISSOCIATION DU REEL - Gerard Grisey, Partiels - Tristan Murail, Desintegration - Giacinto Scelsi, Ohoi - Anton Webern, Cinq pièces Op. 10 - Iannis Xenakis, Metastasis - György Ligeti, Atmosphères - Hugues Dufourt, Le Déluge - http://synradio.fr/philippe-rahm-2/
How can architecture help us to address the escalating climate emergency? There are many ways it can do so: from ensuring that new buildings are designed to radically reduce carbon emissions during construction, to doing the same in terms of how they will function..The Swiss architect, Philippe Rahm, is at the forefront of this process through his experiments with what he calls climatic architecture, the theme – and title - of his latest book. In this episode of Design Emergency, Philippe tells our cofounder Alice Rawsthorn how he developed the concept of climatic architecture and is putting it into practice..Born in Switzerland, Philippe studied architecture there and in France, where he runs Philippe Rahm Architectes, which he founded ten years ago in Paris. His mission is to enable buildings to become more ecologically responsible by aligning them with their locations and climates to make the most of the light, humidity and other natural phenomena in order to minimise the use of fossil fuels in heating or cooling them..Philippe tells Alice how these principles have been applied to completed and ongoing projects including: Central Park in the Taiwanese city of Taichung, the entrance to Maison de la Radio et de la Musique in Paris, and, working in collaboration with OMA, the Scalo Farini project to redevelop two disused railway yards in Milan..We hope you'll enjoy this episode. You can find images of Philippe and his work on our Instagram @design.emergency. Please join us for future episodes of Design Emergency when we will hear from other inspiring global design leaders who are forging positive change..Design Emergency is supported by a grant from the Graham Foundation for Advanced Studies in the Fine Arts. Hosted on Acast. See acast.com/privacy for more information.
The BEDROOM SESSIONS explore sleep as a socio-economic construct, navigating the tensions between the private and public spheres and the material and immaterial properties of the room.Find accompanying images here: https://koozarch.com/interviews/prada-frames-being-home-conversations-from-the-bedroomRead the interview with the curators and the co-hosts of the symposium here: https://koozarch.com/interviews/before-being-home-doing-domesticity-at-prada-frames-podcast The podcast "Prada Frames: Being Home" is a project produced by KoozArch in partnership with Prada, and curated by FormaFantasma for Prada. The episode is presented by KoozArch's chief editor Shumi Bose.
1️⃣ Présentation de l'invité : Diplômé depuis 2017, Thomas Hostache a fondé, son associé Bertrand Chaput, le studio Hoch. Implantée entre Paris et Aix-en-Provence, cette agence d'architecture s'occupe de projets hôteliers d'envergure, orientés vers le développement durable. Avec une troisième branche dédiée à l'architecture d'intérieur, Thomas et son équipe sont capables de mener des projets de A à Z, se spécialisant notamment dans la rénovation plutôt que dans la construction neuve, une démarche qui s'est transformée en conviction pour préserver l'environnement et valoriser le patrimoine. Nous plongeons avec lui dans l'univers de l'architecture hôtelière et restauration, où Thomas explique les défis spécifiques de ces projets, de la conception à la réalisation. Il aborde l'importance de la réversibilité des bâtiments, la réutilisation de matériaux et la création d'espaces qui servent aussi bien les clients que le personnel. L'approche de Thomas est une véritable leçon sur l'importance de l'architecture dans l'expérience hôtelière, montrant que la beauté d'un lieu est indissociable de sa fonctionnalité et de son impact environnemental. 2️⃣ Notes et références : Le studio archi Hoch Edgar Suites Le Grand Mazarin Canal Architecture Épisode 56 - Créer Okko Hotels, avec Solenne Ojea-Devys Épisode 69 - Projets FF&E et OS&E, avec Sébastien Romiszvili Épisode 42 - Transformer une grange en lieu d'accueil, avec Edouard Daehn, fondateur du Barn Hotel Le livre Le Style Anthropocène de Philippe Rahm 3️⃣ Pour contacter l'invité : par mail : thomas@hoch-studio.com ou via l'Instagram de @Hoch surtout pas sur linkedin ! 4️⃣ Le partenaire de l'épisode : Influence Society Influence Society Prendre un rendez-vous avec le fondateur Sébastien Felix En venant de la part d'Hospitality Insiders, vous bénéficiez de 45 minutes en tête-à-tête avec Sébastien Felix pour repenser votre stratégie digitale et parler d'Intelligence Artificielle. Chapitrage : 00:00:00 - Introduction 00:04:42 - Thomas Hostache 00:07:57 - Spécialisation en rénovation 00:10:00 - Les projets hôteliers 00:21:36 - Mise en œuvre d'un projet 00:27:59 - Rénovation vs. construction neuve 00:33:45 - Bilan carbone 00:39:00 - Les besoins des collaborateurs 00:42:25 - L'idée de bâtiments réversibles 00:47:45 - Questions signatures Si cet épisode vous a passionné, rejoignez-moi sur : La newsletter d'Hospitality Insiders, pour ne rien rater Linkedin, pour poursuivre la discussion Instagram, pour découvrir les coulisses Merci de votre fidélité et à bientôt !
Apparu au début du XXème siècle aux États-Unis, pour préserver les marchandises, l'air conditionné a depuis conquis la planète pour le confort humain. Alors que 60 millions de personnes, à travers le monde, sont déjà exposées à des températures dangereuses (supérieures ou égales à 29°C en moyenne annuelle), le besoin de fraîcheur est indéniable et ne devrait pas diminuer. Dans les villes où la densité de population est déjà forte et les sols bétonnés, l'impact des températures élevées est d'autant plus important. Mettre la clim devient un réflexe permettant de limiter les effets sanitaires des canicules mais le geste n'est pas anodin. Voraces en électricité, les climatiseurs sont aussi susceptibles de réchauffer davantage l'air extérieur.Froid dedans, chaud dehors, devra-t-on vivre qu'en intérieur ? À quel moment brancher sa clim ? Et quelles solutions pour rafraîchir les villes sans polluer ? Avec : Philippe Rahm, architecte, auteur de « Histoire naturelle de l'architecture - Comment le climat, les épidémies et l'énergie ont façonné la ville et les bâtiments », disponible en version poche à l'automne 2023 (Éditions Points/Seuil) Doudou Deme, ingénieur, fondateur de ElemenTerre, une entreprise de construction spécialisée dans les systèmes constructifs en terre, basée à Dakar au Sénégal. Entretien sur les habitudes américaines en matière de climatisation avec David Thomson, correspondant de RFI à Miami en Floride où la climatisation gagne même les abris de jardin. Avec Sébastien Farcis, correspondant de RFI à New Delhi en Inde, où la climatisation devient indispensable une grande partie de l'année mais accentue le problème de chaleur surtout pour les plus pauvres qui n'en ont pas. Programmation musicale :► Temperature - Sean Paul► Nwayi - Ckay.
Quel avenir pour Venise? Programmée par la Rmn-Grand Palais, une discussion sur l'avenir de Venise, son histoire, sa situation et les actions mises en place pour sa préservation. Avec Isabelle Autissier, présidente du WWF France, auteur de « Le Naufrage de Venise », aux éditions Stock, Elisabeth Crouzet-Pavan, historienne, professeur à Sorbonne Université, Philippe Rahm, architecte, et Ernesto Ottone Ramirez, sous-directeur général pour la Culture à l'Unesco. Modération : Olivier Tosseri, écrivain et journaliste, correspondant pour la presse française à Rome Isabelle Autissier est la première femme à avoir accompli un tour du monde à la voile en solitaire. Elle est l'auteur de romans, de contes et d'essais. Elle préside la fondation WWF France. Après Soudain, seuls (2015) et Oublier Klara (2019) chez Stock, Le Naufrage de Venise est son cinquième roman. Élisabeth Crouzet-Pavan est professeur d'histoire à Sorbonne Université. Elle est l'auteur de nombreux livres consacrés à l'histoire de l'Italie des derniers siècles du Moyen Âge et de la première Renaissance. Son dernier ouvrage Venise XVe - XXIe a reçu le Prix du Livre d'Histoire de l'Europe 2022. Philippe Rahm est architecte, diplômé de l'École polytechnique fédérale de Lausanne et docteur en architecture de l'université Paris-Saclay. Il dirige le bureau Philippe Rahm architectes à Paris, actif dans les champs de l'architecture, de l'urbanisme et du paysage. Il est l'auteur du Jardin météorologique (B2, 2019), de l'Histoire naturelle de l'architecture : comment le climat, les épidémies et l'énergie ont façonné la ville et les bâtiments (Pavillon de l'Arsenal, 2020) et des Écrits climatiques (B2, 2020). Ernesto Ottone Ramirez est sous-directeur général pour la culture de l'UNESCO. Ernesto Ottone Ramirez a été ministre de la culture, des arts et du patrimoine du Chili de 2015 à 2018. Il a notamment créé un département des premiers peuples, une unité des migrants et a renforcé les lois sur les droits d'auteur et les protections du patrimoine.
durée : 01:01:00 - Les Nuits de France Culture - Architecte, romancier, dramaturge, Max Frisch était tout cela. Dans l'émission "Une vie, une ouvre", en 1998, Isabelle Rabineau dresse un portrait kaléidoscopique de l'écrivain suisse, dont l'ouvre est l'une des plus importantes de la littérature de langue allemande de l'après-guerre. Comment attraper dans un même geste l'architecte, le romancier, l'essayiste, le dramaturge, l'auteur d'un important journal et celui qui ne pouvait se résoudre à ce que son pays, la Suisse, persiste à être la Suisse ? "Est-ce qu'un pays qui n'a pas de projet peut avoir une histoire ?" se demandait Max Frisch. Comment réaliser un portrait radiophonique fidèle de Max Frisch, écrivain du doute et des identités incertaines, dans toutes ses contradictions ? En 1998, dans l'introduction de ce documentaire réalisé pour l'émission "Une vie, une ouvre", Isabelle Rabineau dit comment elle en a tissé le montage pour tenter de saisir l'insaisissable Frisch. Elle évoque également la parution récente du premier volume de la biographie de Max Frisch par Urs Bircher qui mettait le doigt sur certains aspects peu flatteurs des années de jeunesse de l'écrivain durant l'entre-deux guerres et notamment sur ses errements idéologiques. Ceux-ci révélaient l'emprise sur lui des préjugés, du conformisme de son milieu social et du nationalisme de son époque dont il mit du temps à s'affranchir. Le documentaire a pris pour titre celui du roman de Max Frisch, J'adore ce qui me brûle. Il propose une image kaléidoscopique du visage de Max Frisch par la combinaison de lectures de ses textes et de témoignages de familiers de son ouvre, notamment celui du documentariste suisse Richard Dindo, auteur en 1981 d'un film sur Max Frisch. Le documentaire donne la parole à Lionel Richard (professeur honoraire des universités), Philippe Rahm (architecte), Richard Dindo (documentariste) et Philippe Wellnitz, (Docteur en études germaniques, professeur à l'ENA), il propose également des extraits du film Max Frisch, Journal I-III de Richard Dindo. Lionel Richard : "Moi ce qui m'intéresse dans Max Frisch, c'est que c'est une littérature du Moi, une littérature de l'identité. C'est le journal, l'art de Max Frisch c'est de mêler les notes les plus quotidiennes à des problèmes philosophiques. Ainsi son roman "Stiller"." Philippe Rahm : "Toute l'ouvre est autobiographique. Toute la première partie de son ouvre est construite sous un angle littéraire, que ce soit le roman, le théâtre, après il y a une littérature beaucoup plus intime, mais on retrouve strictement les mêmes préoccupations, finalement c'est l'être, le mal-être qui préoccupe Max Frisch, essentiellement". Présentation Isabelle Rabineau Réalisation : Ghislaine David Une vie, une oeuvre - Max Frisch (1911-1991) : J'adore ce qui me brûle (1ère diffusion : 12/02/1998) Indexation web : Documentation sonore de Radio France Archive Ina-Radio France Retrouver l'ensemble des archives de la Nuit : Max Frisch, écrivain des identités incertaines
Philippe Rahm présente son livre Histoire Naturelle de l'Architecture, paru aux éditions du Pavillon de l'Arsenal.
Le changement climatique, la croissance démographique et l’urbanisation représentent un défi majeur, notamment pour les villes africaines. Les villes africaines devraient accueillir 950 millions d’habitants d’ici 2050, selon l’OCDE, et seront davantage exposées aux températures extrêmes. Pour lutter contre le phénomène d'îlots de chaleur, les grandes métropoles ont déjà commencé à végétaliser les espaces, mais ces techniques de rafraîchissement sont encore sous-exploitées. Peut-on diminuer la chaleur urbaine grâce aux arbres ? Où les planter et quelles essences choisir ? Avec : Philippe Rahm, architecte, auteur de Histoire naturelle de l’architecture - Comment le climat, les épidémies et l'énergie ont façonné la ville et les bâtiments Philippe Niez, jardinier-paysagiste concepteur, directeur de l’agence de création paysagère Niez Studios Scarlett Zongo, conseillère technique environnement et développement durable auprès du maire de Ouagadougou au Burkina Faso. Et un échange avec Nicolas Rocca, correspondant de RFI à Séoul. La ville de Séoul en Corée du Sud vient de lancer un projet de forêt urbaine pour faire baisser la température de la ville. Rediffusion.
Lʹimage infrarouge colle à notre époque: inquiétante, étrange, hyper-technologique. Lʹarchitecte Philippe Rahm utilise la caméra thermique dans sa pratique et photographie les gens qui l'entourent avec cet appareil. Des portraits exposés jusqu'au 29 août 2021 au Musée de l'appareil photographique. Interview de son directeur Luc Debraine et de l'artiste, au micro de Florence Grivel. Extrait de l'émission "Vertigo", diffusée sur La 1ère le lundi 12 avril 2021.
As previsões dos climatologistas não deixam dúvida: na melhor das hipóteses, o planeta deverá suportar um aumento de cerca de 2°C da temperatura global, até o fim do século. Isso significa não apenas que deveremos adicionar essa alta às marcações atuais dos termômetros, como teremos de aguentar mais eventos climáticos extremos, como as ondas de calor. Nos grandes centros urbanos, o concreto e o asfalto acentuam o problema: escuros, eles armazenam o calor. Já os imóveis impedem o ar de circular – juntos, os dois fatores transformam as cidades em fornos. Para combater um transtorno que a ciência antecipa como certo, prefeituras como as de Paris, Milão ou Seul colocam as árvores no foco do planejamento urbano do futuro. A simples presença delas já traz um alívio quando, sob o sol, a sensação térmica ultrapassa os 40°C. O paisagista Philippe Niez atua em grandes projetos urbanísticos em diversos países, inclusive na África. Ele explica que, além da sombra, o fenômeno da evapotranspiração resulta em mais frescor quando estamos próximos às árvores. "É porque elas transpiram, e ao transpirar, elas liberam pequenas partículas de água, que capturam o calor”, afirma. "Lembro que, uma vez, quando eu passeava em Dacar, peguei uma ruazinha que acabava na praia e passei sob uma acácia do Senegal, e a diferença de temperatura entre estar no sol e embaixo desta árvore era entre 3 a 4 graus. É uma árvore que deveria ser mais utilizada em uma cidade como Dacar”, comenta. O arquiteto Philippe Rahm lembra o quanto, ao longo da história, a arquitetura buscou combater as altas temperaturas em países quentes e áridos como os mediterrâneos. Na Espanha ou no Marrocos, as ruas são mais estreitas e as praças têm sempre uma fonte ou um chafariz para acentuar esse efeito de frescor que as árvores também proporcionam. 270 árvores por pessoa Autor de Histoire naturelle de l’architecture: Comment le climat, les épidémies et l'énergie ont façonné la ville et les bâtiments (“História natural da arquitetura: Como o clima, as epidemias e a energia moldaram a cidade e os prédios”, em tradução livre), Rahm observa que as árvores desempenham um papel importante contra a poluição, que reprime o calor dentro das cidades, ao gerar o famoso efeito estufa. "Temos que ter em mente que é preciso 270 árvores para absorver o CO2 que cada um de nós gera por dia. Ou seja, precisamos de muitas árvores. Se plantamos 10 no nosso jardim, elas sequer cobrem o nosso consumo de CO2”, salienta. "É por isso que as grandes florestas são importantes, a Amazônica, ou todo o plâncton nos mares, que são imensas quantidades de plantas para absorver o CO2.” Philippe Niez frisa ainda a importância de serem escolhidas árvores adaptadas ao clima de cada região – Paris, por exemplo, é repleta de castanheiras que, no auge do verão, em agosto, já começam a perder as folhas. "As plantas são verdadeiros ares-condicionados, embora eu ache esse termo um pouco bobo”, diz o paisagista. "Foram elas que criaram a atmosfera na qual estamos, durante milhões e milhões de anos, e estamos destruindo isso. As florestas primárias hoje só representam 7% da superfície da Terra.” Corredores para circulação do ar Neste aspecto, os dois especialistas destacam o quanto a Ásia tem a ensinar para o Ocidente – primeiro, por preservar mais as florestas, mas também por integrar melhor a vegetação no urbanismo. Singapura, onde verdadeiras árvores de 40 metros são plantadas dentro dos prédios, é considerada referência mundial de vegetalização urbana. A capital sul-coreana lançou, em 2020, um plano de US$ 15 milhões para não apenas arborizar mais a cidade, como utilizar as árvores para melhorar a circulação do ar e, assim, atenuar o calor. “A ideia de criar corredores de vento é que eles podem acontecer graças a diferenças de temperaturas interligadas. Por exemplo: plantamos bastante árvores em um lugar e criamos um arranjo, conectado a um outro lugar da cidade. Esse tipo de solução é uma das que mais dão resultado para refrescar as cidades”, indica Philippe Rahm. "A Ásia está na ponta desse tipo de projeto, mas todas as grandes cidades do mundo estão refletindo sobre isso, porque as mudanças climáticas estão tornando-as mais quentes.” Os especialistas destacam ainda que para ser eficaz, o projeto urbanístico precisa contar com árvores de grande porte – as jardineiras embelezam uma cidade, mas não contribuem para atenuar o calor. Em Paris, onde diversos projetos prometem tornar a capital francesa mais verde, a prefeitura quer acabar com estacionamentos subterrâneos na área central para dar espaço às raízes profundas das árvores na superfície. É o que deve acontecer em áreas como em frente à Ópera ou da própria prefeitura, em pleno coração da Cidade Luz.
Le changement climatique, la croissance démographique et l’urbanisation représentent un défi majeur, notamment pour les villes africaines. Les villes africaines devraient accueillir 950 millions d’habitants d’ici 2050 selon l’OCDE et seront davantage exposées aux températures extrêmes. Pour lutter contre le phénomène d'îlots de chaleur, les grandes métropoles ont déjà commencé à végétaliser les espaces mais ces techniques de rafraîchissement sont encore sous-exploitées. Peut-on diminuer la chaleur urbaine grâce aux arbres ? Où les planter et quelles essences choisir ? Avec : Philippe Rahm, architecte, auteur de Histoire naturelle de l’architecture - Comment le climat, les épidémies et l'énergie ont façonné la ville et les bâtiments. Philippe Niez, jardinier-paysagiste concepteur, directeur de l’agence de création paysagère Niez Studios. Scarlett Zongo, conseillère technique environnement et développement durable auprès du maire de Ouagadougou au Burkina Faso Et un échange avec Nicolas Rocca, correspondant de RFI à Séoul. La ville de Séoul en Corée du Sud vient de lancer un projet de forêt urbaine pour faire baisser la température de la ville.
À la notion de lieu, qui semble fondamentale en architecture comme le rappellent la plupart des manuels et des livres d'histoire, tend à s'opposer désormais celle de mi-lieu. Elle renvoie à un espace libéré de la question de la représentation, un espace neutre ou "blanc" qui retrouve, sous la question culturelle de l'habiter, celle plus fondamentale du vivre, du respirer ... Cet espace trouve son expression emblématique dans les logements réalisés par Lacaton & Vassal, dans les substances spatiales colorées de James Turrel, comme dans les dispositifs conçus par Philippe Rahm qui cherchent à jouer directement sur le métabolisme sans agir sur la conscience. Le Milieu est le dernier acte de l'Université Populaire de 2012 consacrée à l'avenir de l'architecture. Cette Université revient sur 4 des nombreux principes esthétiques qui semblent gouverner la production architecturale. Quatre principes qui ne convergent pas -comme les cinq points de Le Corbusier- mais mènent bien "vers une architecture". Les cours sont animés par Richard Scoffier, architecte, philosophe et professeur des Écoles nationales Supérieures d'architecture.
Marie-Laure Josselin s'intéresse au recul économique des femmes dû à la pandémie; l'architecte et urbaniste Philippe Rahm explique comment la crise sanitaire transformera nos modes de vie urbains; Julie-Anne Lamoureux parle des effets de la COVID-19 sur le cyclisme à Toronto; la journaliste et guide Valérie Pivon nous fait visiter la ville de Jakarta; Janic Tremblay rencontre des producteurs agricoles qui ont décidé de changer leurs modes de production et d'abattage; Karim Émile Bitar, directeur de l'Institut des sciences politiques de l'Université Saint-Joseph de Beyrouth, explique la situation actuelle au Liban; et les comédiens Louise Turcot et Gilles Renaud parlent de leur confinement.
durée : 00:01:28 - Les 80" de... - par : Nicolas Demorand - Sur la crise du coronavirus et la crise climatique, c’est un article qui vous prend à revers. Quatre-vingts secondes ce matin sur la réflexion de l’architecte Philippe Rahm qui, en s’appuyant sur Umberto Eco, avance l’idée que nous ne vivons pas deux moments exceptionnels mais, bien au contraire, un retour à la normale
Il a été question de confronter des regards sensibles, artistiques et théoriques sur le besoin urgent de nouvelles représentations collectives. Des grands spécialistes de cette thématique ont présenté leurs visions, les singularités disciplinaires qu’elles comportent et les passerelles qui peuvent être bâties vers d’autres approches.Le panel d’intervenants rassemble aussi bien des philosophes, à l’instar de Jean-Pierre Dupuy, Santiago Espinosa, Pierre-Damien Huyghe et Virginie Maris, les scientifiques Philippe Bihouix et Laurent Ponson, l’architecte Philippe Rahm ainsi que Frédérique Aït-Touati (spécialiste de littérature comparée et d’histoire des sciences), Cyril Dion (réalisateur et militant), Agnès Sinaï (journaliste, Co-fondatrice de l’Institut Momentum) et Pierre Wat (historien de l’art)."Dérèglement climatique, acidification des océans, sixième extinction massive, dégradation des sols, épuisement des énergies fossiles, explosion démographique… Le temps du constat est derrière nous, l’Anthropocène n’est pas la fin des temps mais un temps de la fin. Nous n’arrivons pas à croire ce que nous savons et nous assistons à l’effondrement, hébétés et impuissants. Pourquoi alors le souci du monde et notre capacité à imaginer la fin – inquiétudes légitimes – ne sont-ils pas des leviers suffisants pour une mobilisation générale ?"Mettant en commun philosophes et scientifiques, militants et artistes, ce chantier fut l’occasion d’échanger sur les stratégies à adopter pour inventer d’autres représentations, récits et pratiques : reconstruire le regard.
Il a été question de confronter des regards sensibles, artistiques et théoriques sur le besoin urgent de nouvelles représentations collectives. Des grands spécialistes de cette thématique ont présenté leurs visions, les singularités disciplinaires qu’elles comportent et les passerelles qui peuvent être bâties vers d’autres approches.Le panel d’intervenants rassemble aussi bien des philosophes, à l’instar de Jean-Pierre Dupuy, Santiago Espinosa, Pierre-Damien Huyghe et Virginie Maris, les scientifiques Philippe Bihouix et Laurent Ponson, l’architecte Philippe Rahm ainsi que Frédérique Aït-Touati (spécialiste de littérature comparée et d’histoire des sciences), Cyril Dion (réalisateur et militant), Agnès Sinaï (journaliste, Co-fondatrice de l’Institut Momentum) et Pierre Wat (historien de l’art)."Dérèglement climatique, acidification des océans, sixième extinction massive, dégradation des sols, épuisement des énergies fossiles, explosion démographique… Le temps du constat est derrière nous, l’Anthropocène n’est pas la fin des temps mais un temps de la fin. Nous n’arrivons pas à croire ce que nous savons et nous assistons à l’effondrement, hébétés et impuissants. Pourquoi alors le souci du monde et notre capacité à imaginer la fin – inquiétudes légitimes – ne sont-ils pas des leviers suffisants pour une mobilisation générale ?"Mettant en commun philosophes et scientifiques, militants et artistes, ce chantier fut l’occasion d’échanger sur les stratégies à adopter pour inventer d’autres représentations, récits et pratiques : reconstruire le regard.
Il a été question de confronter des regards sensibles, artistiques et théoriques sur le besoin urgent de nouvelles représentations collectives. Des grands spécialistes de cette thématique ont présenté leurs visions, les singularités disciplinaires qu’elles comportent et les passerelles qui peuvent être bâties vers d’autres approches.Le panel d’intervenants rassemble aussi bien des philosophes, à l’instar de Jean-Pierre Dupuy, Santiago Espinosa, Pierre-Damien Huyghe et Virginie Maris, les scientifiques Philippe Bihouix et Laurent Ponson, l’architecte Philippe Rahm ainsi que Frédérique Aït-Touati (spécialiste de littérature comparée et d’histoire des sciences), Cyril Dion (réalisateur et militant), Agnès Sinaï (journaliste, Co-fondatrice de l’Institut Momentum) et Pierre Wat (historien de l’art)."Dérèglement climatique, acidification des océans, sixième extinction massive, dégradation des sols, épuisement des énergies fossiles, explosion démographique… Le temps du constat est derrière nous, l’Anthropocène n’est pas la fin des temps mais un temps de la fin. Nous n’arrivons pas à croire ce que nous savons et nous assistons à l’effondrement, hébétés et impuissants. Pourquoi alors le souci du monde et notre capacité à imaginer la fin – inquiétudes légitimes – ne sont-ils pas des leviers suffisants pour une mobilisation générale ?"Mettant en commun philosophes et scientifiques, militants et artistes, ce chantier fut l’occasion d’échanger sur les stratégies à adopter pour inventer d’autres représentations, récits et pratiques : reconstruire le regard.
Philippe Rahm is a Swiss architect, principal in the office of Philippe Rahm architectes, based in Paris, France. His work, which extends the field of architecture from the physiological to the meteorological, has received an international audience in the context of sustainability.
By divvying space into its constituent parts and highlighting the "wavelengths, humidity rate, light intensity, and heat transfer coefficient" used to measure it, the recent work of architect Philippe Rahm explores microclimates and the environmental thresholds at which architecture vaporizes. #wood11911
Programme Philippe Rahm pour webSYNradio : LA DISSOCIATION DU REEL - Gerard Grisey, Partiels - Tristan Murail, Desintegration - Giacinto Scelsi, Ohoi
Habitar es un recorrido por nuevos escenarios urbanos emergentes, un catálogo de propuestas e imágenes que muestran, en el trabajo de artistas, estudios de diseño y arquitectura y centros de investigación híbrida, cómo se desarrolla un nuevo repertorio de herramientas, soluciones y lenguajes para negociar la vida en el día a día en esta nueva condición urbana. (27.05.2010-08.11.2010) Artistas: Timo Arnall, Julian Bleecker, Ángel Borrego - Office for Strategic Spaces, Nerea Calvillo, Citilab-Cornellà, Pedro Miguel Cruz, Dan Hill, IaaC - Instituto de Arquitectura Avanzada de Cataluña, kawamura-ganjavian + Maki Portilla Kawamura + Tanadori Yamaguchi, Aaron Koblin, Philippe Rahm architectes, Marina Rocarols, Enrique Soriano, Pep Tornabell, Theodore Molloy, Semiconductor, SENSEable City Lab, Mark Shepard
Philippe Rahm, born in 1967 studied at the Federal Polytechnic Schools of Lausanne and Zurich. He obtained his architectural degree in 1993. He works currently in Paris (France) and Lausanne (Switzerland). In 2002, he was chosen to represent Switzerland at the 8th Architecture Biennale in Venice and is one of the 20 manifesto’s architects of the Aaron Betsky’s 2008 Architectural Venice Biennale. He is nominee in 2009 for the Ordos Prize in China and was in 2008 in the top ten ranking of the International Chernikov prize in Moscow. In 2007, he had a personal exhibition at the Canadian Centre for Architecture in Montreal. He has participated in a number of exhibitions worldwide (Archilab 2000, SF-MoMA 2001, CCA Kitakyushu 2004, Frac Centre, Orléans, Centre Pompidou, Beaubourg 2003-2006 and 2007, Manifesta 7, 2008, Louisiana museum, Denmark, 2009). Philippe Rahm was a resident at the Villa Medici in Rome (2000). He was Head-Master of Diploma Unit 13 at the AA School in London in 2005-2006, Visiting professor in Mendrisio Academy of Architecture in Switzerland in 2004 and 2005, at the ETH Lausanne in 2006 and 2007 and he is currently guest professor at the Royal School of Architecture of Copenhaguen. He is working on several private and public projects in France, Poland, England, Italy and Germany. He has lectured widely, including at Cooper Union NY, Harvard School of Design, UCLA and Princeton. Matthias Böttger, born 1974, studied architecture and urban planning in Karlsruhe and London. He heads the Berlin-based think-tank “raumtaktik — spatial intelligence and intervention”. 2007/2008 he was Visiting Professor for Art and Public Space at the Academy of Fine Arts in Nuremburg. In 2008 he was commissioner and curator for the German contribution “Updating Germany— Projects for a Better Future” to the 11th International Architecture Exhibition in Venice. 2009 was a fellow at the Akademie Schloss Solitude in Stuttgart. Currently he teaches „Art + Architecture“ at the ETH Zürich and 2010 he runs the exhibition space aut - Architektur und Tirol - in Innsbruck and curates the series aut.raumproduktion.