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Sami Kanaan s'apprête à quitter le Conseil administratif de la Ville de Genève, après 14 ans à la tête de la culture. Il était invité de Béatrice Rul, à 7h30, sur Radio Lac.14 ans à la tête de la culture à Genève. Il y a forcément plus qu'un passement au cœur de se dire que dans un mois, c'est terminé…"Oui, je me réjouis et en même temps je sais que dès le 1er juin, plein de choses vont me manquer, à commencer, les gens, l'équipe, les partenaires, mais c'est aussi bien de tourner une page. 14 ans c'est pas mal"14 ans avec des succès et des revers. Côté revers, il y a l'extension du MAH ou encore la Cité de la Musique. Les Genevois ont estimé que c'était trop. Trop grand, trop gros, trop cher. Le regret d'avoir trop voulu…"La Cité de la musique ce n'est pas mon histoire, je le dis clairement, c'est un projet privé soutenu par le canton. J'aurais bien aimé que ça se fasse mais on avait des malentendus donc ça je ne mets pas dans la catégorie des revers. Pour le MAH, j'ai hérité d'un projet ficelé, ficelé à tel point que je n'avais aucun choix pour renoncer à Jean Nouvel ou à Jean-Claude Gandur. j'ai essayé de le passer, c'était des contrats, vous savez que vous ne pouvez pas résilier, ça c'est pas mal, merci aux prédécesseurs. Le projet Nouvel était porté par Rémy Pagani, c'était plutôt à lui d'estimer s'il pouvait sauver la mise. Moi j'ai adoré le projet d'origine. Aujourd'hui, vous auriez un restaurant d'altitude et une très belle feuille de verre. C'est du passé, c'est la démocratie, mais disons la convention avec la fondation Gandur était non résiliable par la Ville et puis même si l'intention n'était certainement pas mal honnête, les gens ont cru que la fondation prenait le pouvoir"Côté réussite: Genève s'est aussi dotée d'une Nouvelle Comédie, un MEG rénové. Une certaine fierté d'avoir réussi, aussi, à faire avancer ces dossiers là… "La Comédie estune très grande réussite, le MEG aussi, c'est impressionnant, il y a aussi la l'Alhambra, le pavillon de la danse le muséum est en chantier, il va rouvrir plus tard"Quand rouvre exactement le Muséum d'histoire naturelle?"C'est un bâtiment ancien, des années 60 et l'on a réalisé qu'il y avait d'autres choses à faire. Il y a des normes: normes sécurité, énergétiques! C'est une institution qui accueille 300'000 personnes par année et qui avait besoin d'un sérieux lifting. On a essayé de ne pas tout faire mais l'on se rend compte que l'on ne peut pas. Dès qu'on commence, il faut tout assainir. Le Muséum d'Histoire Naturelle restera fermé jusqu'à l'automne 2026"Est-ce qu'il n'y a pas un regret de ne pas avoir fait avancer autant le sport que la culture ?"Je pense que les choses ont bien avancé à l'époque, et je suis très heureux que ma collègue Marie Barbey-Chapuis ait pris le relais avec beaucoup d'enthousiasme et d'énergie. Il y a notamment le plan directeur des infrastructures sportives, qu'on a vraiment lancé à l'époque, qui se déploie maintenant avec le nouveau centre de tennis au Bois des frères, la Queue d'Arve en partie refaite, le crédit pour le Bout du monde... On a aussi beaucoup travaillé sur la violence dans le sport, qui est malheureusement quelque chose qui existe, et la lutte contre le harcèlement.Et la suite, pour vous, Sami Kanaan?"D'abord une vraie pause, après 14 ans quasiment non-stop, parce que quand vous avez ce genre de fonction, je l'ai choisi, j'ai adoré, mais même les vacances, vous n'êtes jamais totalement tranquille. Donc une vraie pause pendant quelques mois, ça tombe bien, c'est l'été, l'été à Genève c'est quand même sympa et puis après plein de projets. Je ne resterai pas dans la culture. Je n'aimerais pas être dans les pattes de ma succession, ce serait un peu gênant. Je suis en charge du numérique depuis 2020, et j'adore ce sujet, il est plein de défis".
Les objets volants non identifiés, ou OVNIs, sont souvent associés à l'ère moderne et aux observations rapportées depuis le XXe siècle. Pourtant, les témoignages d'apparitions mystérieuses dans le ciel existent depuis l'Antiquité. De nombreux textes anciens décrivent des phénomènes lumineux et étranges, souvent interprétés comme des signes divins ou des présages. Des témoignages antiques fascinants L'un des premiers récits détaillés remonte à l'Empire romain. Pline l'Ancien, célèbre naturaliste du Ier siècle, rapporte dans son ouvrage Histoire Naturelle l'observation de « boucliers ardents » et d'objets célestes qui semblaient se heurter dans le ciel. Ces descriptions rappellent les phénomènes modernes d'OVNIs, souvent décrits comme des objets lumineux en mouvement erratique. Julius Obsequens, un écrivain du IVe siècle, compile également des événements mystérieux survenus à Rome. Dans son livre Prodigiorum Liber, il mentionne un « globe de feu » qui descend du ciel, touche le sol, puis repart immédiatement. Si ces récits ne prouvent pas l'existence d'engins extraterrestres, ils montrent que des phénomènes aériens inexpliqués intriguent l'humanité depuis des millénaires. OVNIs et textes religieux La Bible contient aussi plusieurs passages pouvant être interprétés comme des observations d'OVNIs. L'un des plus célèbres est la vision d'Ézéchiel, un prophète de l'Ancien Testament. Il décrit un char céleste composé de roues lumineuses qui tournoient dans le ciel, accompagnées d'un grand bruit et d'une lumière intense. Certains ufologues voient dans ce passage une description possible d'un vaisseau inconnu. Dans d'autres récits religieux, des anges ou des divinités sont associés à des phénomènes lumineux dans le ciel, parfois comparés à des colonnes de feu ou des nuages brillants. Bien que ces descriptions aient été interprétées à travers un prisme spirituel, elles peuvent aussi être comparées aux observations modernes d'OVNIs. Des témoignages au Moyen Âge et à la Renaissance Les récits de phénomènes aériens mystérieux ne s'arrêtent pas à l'Antiquité. Le 14 avril 1561, les habitants de Nuremberg, en Allemagne, assistent à un spectacle fascinant. Selon une gravure et un témoignage du chroniqueur Hans Glaser, des formes étranges—croix, sphères, cylindres et objets en forme de disques—semblent s'affronter dans le ciel, émettant des lumières et des traînées de fumée. À l'époque, cela est interprété comme un présage apocalyptique. Aujourd'hui, certains chercheurs pensent qu'il s'agissait d'un phénomène optique rare, comme un parhélie (halo solaire), ou d'une pluie de météores. D'autres y voient un récit similaire aux observations modernes d'OVNIs. À la Renaissance, certaines œuvres d'art semblent également témoigner de la présence de phénomènes aériens inexpliqués. Dans la peinture La Madone avec Saint Jean Baptiste et Saint Joseph, attribuée à Domenico Ghirlandaio (ou à un peintre de son cercle), on distingue en arrière-plan un objet étrange flottant dans le ciel. Un homme et son chien semblent intrigués par cet élément. Certains historiens de l'art y voient une simple représentation symbolique de la présence divine, tandis que d'autres passionnés d'ufologie suggèrent qu'il s'agit d'une représentation artistique d'un phénomène aérien mystérieux. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Les objets volants non identifiés, ou OVNIs, sont souvent associés à l'ère moderne et aux observations rapportées depuis le XXe siècle. Pourtant, les témoignages d'apparitions mystérieuses dans le ciel existent depuis l'Antiquité. De nombreux textes anciens décrivent des phénomènes lumineux et étranges, souvent interprétés comme des signes divins ou des présages. Des témoignages antiques fascinants L'un des premiers récits détaillés remonte à l'Empire romain. Pline l'Ancien, célèbre naturaliste du Ier siècle, rapporte dans son ouvrage Histoire Naturelle l'observation de « boucliers ardents » et d'objets célestes qui semblaient se heurter dans le ciel. Ces descriptions rappellent les phénomènes modernes d'OVNIs, souvent décrits comme des objets lumineux en mouvement erratique. Julius Obsequens, un écrivain du IVe siècle, compile également des événements mystérieux survenus à Rome. Dans son livre Prodigiorum Liber, il mentionne un « globe de feu » qui descend du ciel, touche le sol, puis repart immédiatement. Si ces récits ne prouvent pas l'existence d'engins extraterrestres, ils montrent que des phénomènes aériens inexpliqués intriguent l'humanité depuis des millénaires. OVNIs et textes religieux La Bible contient aussi plusieurs passages pouvant être interprétés comme des observations d'OVNIs. L'un des plus célèbres est la vision d'Ézéchiel, un prophète de l'Ancien Testament. Il décrit un char céleste composé de roues lumineuses qui tournoient dans le ciel, accompagnées d'un grand bruit et d'une lumière intense. Certains ufologues voient dans ce passage une description possible d'un vaisseau inconnu. Dans d'autres récits religieux, des anges ou des divinités sont associés à des phénomènes lumineux dans le ciel, parfois comparés à des colonnes de feu ou des nuages brillants. Bien que ces descriptions aient été interprétées à travers un prisme spirituel, elles peuvent aussi être comparées aux observations modernes d'OVNIs. Des témoignages au Moyen Âge et à la Renaissance Les récits de phénomènes aériens mystérieux ne s'arrêtent pas à l'Antiquité. Le 14 avril 1561, les habitants de Nuremberg, en Allemagne, assistent à un spectacle fascinant. Selon une gravure et un témoignage du chroniqueur Hans Glaser, des formes étranges—croix, sphères, cylindres et objets en forme de disques—semblent s'affronter dans le ciel, émettant des lumières et des traînées de fumée. À l'époque, cela est interprété comme un présage apocalyptique. Aujourd'hui, certains chercheurs pensent qu'il s'agissait d'un phénomène optique rare, comme un parhélie (halo solaire), ou d'une pluie de météores. D'autres y voient un récit similaire aux observations modernes d'OVNIs. À la Renaissance, certaines œuvres d'art semblent également témoigner de la présence de phénomènes aériens inexpliqués. Dans la peinture La Madone avec Saint Jean Baptiste et Saint Joseph, attribuée à Domenico Ghirlandaio (ou à un peintre de son cercle), on distingue en arrière-plan un objet étrange flottant dans le ciel. Un homme et son chien semblent intrigués par cet élément. Certains historiens de l'art y voient une simple représentation symbolique de la présence divine, tandis que d'autres passionnés d'ufologie suggèrent qu'il s'agit d'une représentation artistique d'un phénomène aérien mystérieux. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Les sauts naturels de CO2 liés à lʹinclinaison de la Terre Les brèves du jour L'histoire naturelle du silence Quoi de nʹœuf, Dino ? 1/6 - Sortir du Muséum
Pascal Praud revient pendant deux heures, sans concession, sur tous les sujets qui font l'actualité. Aujourd'hui 02/10/2024, il revient sur la découverte d'un squelette de dinosaure en Charente avec Eric Mickeler, Expert en Histoire Naturelle et des dinosaures.Vous voulez réagir ? Appelez-le 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou rendez-vous sur les réseaux sociaux d'Europe 1 pour livrer votre opinion et débattre sur les grandes thématiques développées dans l'émission du jour.
Pascal Praud revient pendant deux heures, sans concession, sur tous les sujets qui font l'actualité. Aujourd'hui 03/10/2024, il revient sur la revalorisation des retraités qui sera reporter de six mois et reçoit Eric Mickeler, expert en Histoire Naturelle et des dinosaures. Spécialiste des ventes d'Histoire Naturelle. Curateur du Dinosauria Museum Praha.Vous voulez réagir ? Appelez-le 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou rendez-vous sur les réseaux sociaux d'Europe 1 pour livrer votre opinion et débattre sur grandes thématiques développées dans l'émission du jour.
Quel âge a la terre ? Cette question vertigineuse intriguait Buffon, un célèbre naturaliste du 18ème siècle. Il a mis au point une expérience pour tenter d'y répondre. Elle a été reproduite par Emeric Falize, notre invité. Il est docteur en astronomie et en astrophysique de l'observatoire de Paris et directeur de recherche au commissariat à l'énergie atomique et aux énergies alternatives. Georges-Louis Leclerc, comte de Buffon, étudiait les phénomènes de la nature avec une curiosité presque amoureuse. Les 36 volumes de son Histoire Naturelle en témoignent, tout comme ses gracieux dessins d'oiseaux. Pour lui, la terre était peut-être un morceau de soleil arraché par la collision d'une comète. Et si, pour déterminer son âge, il chauffait des boulets de différentes tailles ? Il étudierait ensuite leur refroidissement pour enfin savoir quand est née notre planète ? Emeric Falize se passionne pour l'œuvre et la personnalité de Buffon. Il s'intéresse aussi à l'origine de son domaine de prédilection, l'astrophysique de laboratoire. Voilà qui l'a poussé à reproduire cette expérience. Il puise à de nombreuses sources d'inspiration pour irriguer ses recherches, jusqu'à la littérature, et notamment l'univers de son ami Daniel Pennac. Une séquence réalisée par Axelle Thiry Sujets traités : Buffon,Georges-Louis Leclerc, naturaliste, expérience, terre, soleil, planète, univers, littérature Merci pour votre écoute Un Jour dans l'Histoire, c'est également en direct tous les jours de la semaine de 13h15 à 14h30 sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez tous les épisodes d'Un Jour dans l'Histoire sur notre plateforme Auvio.be : https://auvio.rtbf.be/emission/5936 Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement.
durée : 00:55:44 - La Terre au carré - par : Daniel FIEVET - Comment le climat, les épidémies et l'énergie ont-ils façonné la ville et les bâtiments ? - réalisé par : Valérie AYESTARAY
durée : 00:55:44 - La Terre au carré - par : Daniel FIEVET - Comment le climat, les épidémies et l'énergie ont-ils façonné la ville et les bâtiments ? - réalisé par : Valérie AYESTARAY
durée : 00:29:34 - Carbone 14, le magazine de l'archéologie - par : Vincent Charpentier - Les données récentes montrent que l'Europe de l'Ouest est peuplée vers 1,4-1,2 millions d'années, puis, vers 700 000 ans. Pourquoi l'Est, en direction de la Chine a-t-il été privilégié, par ces communautés humaines, au profit de l'occident ? - invités : Marie-Hélène Moncel Directrice de recherche au CNRS, laboratoire "Histoire Naturelle de l'Homme Préhistorique" au Museum National d'Histoire Naturelle.
18. yüzyılın doğa bilimcilerinden Georges-Louis Leclerc, Comte de Buffon'u konuşuyoruz. Doğa tarihi, biyoloji, jeoloji ve diğer bilim dallarına dair Histoire Naturelle kitabındaki fikirleri, Lamarck'ı da ve Darwin'i de etkilemişti.
Le Muséum d'Histoire Naturelle est donc fermé depuis le 1er janvier et pendant un an. D'importants travaux avec la construction d'un nouveau bâtiment, qui ne sera pas accessible au grand public mais à destination des chercheurs. L'espace d'accueil du public sera, lui, réorganisé et de nouveaux espaces d'exposition temporaire seront créés. Arnaud Maeder, le directeur du Muséum d'histoire naturelle, était invité de Béatrice Rul, à 7h30, sur Radio Lac.Des travaux longs mais qui étaient indispensables:"Nous sommes dans une phase de travaux, incompatibles avec la présence de visiteurs. Nous sommes en chantier depuis fin janvier 2023 pour la construction d'un nouveau bâtiment. Cette extension hébergera nos collections, notamment alcool et étendra la surface pour accueillir les collections. Nous sommes responsables de 15 millions de spécimen, ce qui nous place dans les dix plus grandes collections d'Europe. Une petite partie des collections est exposée au public mais la plus grande partie n'est accessible qu'aux chercheurs. Les galeries sont totalement inaccessibles au public".Une fermeture qui ne signifie pas, non plus, des vacances, pour les collaborateurs:"Notre équipe de recherche travaillent sur le déménagement de nos collections dans ce nouveau bâtiment. C'est aussi l'occasion de nous redéfinir, de travailler sur nos contenus et nos futurs concepts. C'est aussi l'opportunité, pour nos scientifiques, de partir en mission pour décrire les nouvelles espèces. Ceci est notre mission principale: nous décrivons entre 50 et 90 espèces nouvelles, par année. Plus de 12'000 espèces ont été décrites par notre institution. Si l'on prend l'ensemble des espèces du règne animal qui porte un nom grâce à un scientifique, 1% de ces espèces sont dues à un scientifique du Muséum d'histoire naturelle".Des nouvelles de Janus, la tortue à deux têtes?"Elle vient de fêter ses 25 ans et on a voulu la mettre à l'abri des travaux et des vibrations. Elle a déménagé au Bioparc. Tout un espace a été construit, pour lui. On a hâte de le récupérer au sein de l'institution"
Actualités Locales : - Avancée du chantier de l'ex-décharge de Dollemard abordée au conseil de quartier de Dollemard- Pose de la première pierre du chantier du nouveau centre de maintenance de la SNCF- Le temps d'une visite le Muséum d'Histoire Naturelle en chantier a ouvert ses portes- François Guillotte militant du rapprochement entre l'amont et l'aval de la Seine, expose à la Halle aux Poissons- Nouvelle exposition de l'artiste havrais Mascarade visible à sa galerieOn parle avec Anne Gorny de son film "Parcours d'une vie" diffusé en avant-première au HavreBonne écoute !
Stéphanie Targui, chargée de mission innovation numérique et audiovisuelle Museum national d'Histoire naturelle, et Fabien Barati, CEO d'Emissive, était les invités de François Sorel dans Tech & Co, la quotidienne, ce mardi 10 octobre. Ils ont abordé le concept du projet Mondes disparus, qui est une expérience immersive exceptionnelle, sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au jeudi et réécoutez la en podcast.
La série audio des Enfants de la Goutte d'Or ! Pendant plusieurs semaines, Fatoumata, Mamadou, Mourad, Nour, Samira et Yacine ont élaboré une carte sonore de Paris. Dans cette promenade audio à travers quatre lieux parisiens, les participant·e·s de l'atelier deviennent vos yeux et vous leurs oreilles. Cette fois-ci, direction le Jardin des Plantes dans le 6ème arrondissement. Comme dans l'épisode 1, il sera question d'animaux, ou plutôt de leurs squelettes ! En route pour ce deuxième épisode à la galerie de Paléontologie du Muséum National d'Histoire Naturelle ! Nous visitons Paris est une série audio réalisée lors d'un cycle d'ateliers d'initiation à la radio animé par Radio Campus Paris et en partenariat avec l'association les Enfants de la Goutte d'Or. Ce projet a bénéficié du soutien de la DRAC Île-de-France et de la Mairie du 18ème. Et pour découvrir les autres épisodes de la série : épisode 1 : la ferme pédagogique du jardin d'Éole épisode 3 | au sommet de la tour Eiffel épisode 4 : le local des Enfants de la Goutte d'Or Générique : Calm Down, Rema ; Riders, onimanxd Musique : Rhapsody in Green, Mort Garson
durée : 00:02:52 - Circuits Courts en Gascogne - A Pey, dans les landes, La Bohème Infusion cultive des plantes aromatiques et médicinales, une référence incontournable pour les amateurs de tisanes et d'infusions.
durée : 01:00:32 - Les Cours du Collège de France - par : Merryl Moneghetti - Quand l'olivier a-t-il été "domestiqué" par les hommes, demande l'archéologue Jean-Pierre Brun? Comment est-il un symbole ancien d'éternité? Comment sa culture s'est-elle répandue dans tout le Bassin Méditerranéen pendant l'Antiquité? Comment naît la fameuse "triade céréales, vignes et oliviers"?
Hello Interactors,Today is part one of a two-part exploration. I was curious as to why conventional economics continues to rely so heavily on deterministic mathematical models that assume perfect conditions even though they know such inert situations don't exist in nature. It may tie back to the Enlightenment and the popular beliefs of Newton and Descartes who merged Christian beliefs with mathematic certainty – despite viable alternative theories they helped squelch. As interactors, you're special individuals self-selected to be a part of an evolutionary journey. You're also members of an attentive community so I welcome your participation.Please leave your comments below or email me directly.Now let's go…THE SPERMISTSIsaac Newton and René Descartes were spermists. They believed they entered this world through preformation. This theory states every future organism is wrapped up in a seed or sperm as a preformed miniature version of itself. This was the dominant belief among Europe's most respected Enlightenment thinkers. They believed not only did a Christian god create all the plants and animals, including humans, but all the future ones too. Intercourse, they surmised, is a magical act that initiates the growth of microscopic animacules which then grow until they are fully formed. It's easy to brush this off as a point in time lack of knowledge and excuse these brilliant minds. We might say, “They just didn't know any better.” But it turns out there were other brilliant minds at the time who thought they were crazy.But powerful people are not easily persuaded. They, along with the church, continued to push the idea that preformation is as elementary to evolution as mathematical axioms are to theorems. A mathematical certainty that one day seduced many scientists, and later economists, into similar deterministic expressions.One of the early preformation influencers was the Dutch philosopher, mathematician, and theologian, Bernard Nieuwentyt (1654-1718). Three years before his death, he published a soon to be popular book, The Religious Philosopher: Or, The Right Use of Contemplating the Works of the Creator. In it he writes,“This however is sure enough…that all living Creatures whatever proceed from a Stamin or Principle, in which the Limbs and Members of the Body are folded and wound as it were in a Ball of Thread; which by the Operation of adventitious Matter and Humours are filled up and unfolded, till the Structure of all the Parts have the Magnitude of a full grown Body.”His book was translated into English in 1724 and its influence spread. In 1802, the English clergyman and philosopher, William Paley (1743-1805), expanded on the ‘Ball of Thread' analogy with his infamous watchmaker analogy. Using examples of mechanistic functions of the human body like joints and muscles, he expanded the popular notion that this is the work of a supreme designer – their Christian god. He writes, “Contemplating an animal body in its collective capacity, we cannot forget to notice, what a number of instruments are brought together, and often within how small a compass. It is a cluster of contrivances.”But Paley wasn't alone, nor was he the first. Both Descartes and Newton had already remarked as much. Newton once wrote, “like a watchmaker, God was forced to intervene in the universe and tinker with the mechanism from time to time to ensure that it continued operating in good working order."The confidence of spermists was buoyed when spermatozoa was discovered by the Dutch microscopist Antoine van Leeuwenhoek in 1677. But the seed of the idea dates all the way back to Pythagoras. He believed male semen is fluid that collects and stores different elements from the body like the bone and brain. He said, “semen is a drop of the brain.” The woman provided a host and nourishment so the male semen could unfold inside her body.Another Greek philosopher, Empedocles, refuted the Pythagorean claim 100 years later noting offspring often inherit characteristics of the mother. He proposed there was a blending of male and female root reproductive elements in plants and animals that has the potential to produce blended varieties as their offspring. Empedocles was on to something, but his theory was overshadowed by a more popular theory and powerful name, Aristotle.THE OVISTSAristotle believed both men and women provided different forms of reproductive purified blood in the form of semen and menstrual fluids. Because semen appeared more pure than menstrual fluids, he surmised it must have the advantage. Therefore, the male provided the instructions, design, or blueprint for formation and the woman provided the material. The ‘blood' metaphor is alive today despite our knowledge of genetics. J.K Rowling did her part in her Harry Potter series to perpetuate and popularize the blood metaphor with ‘pure-bloods' and ‘half-bloods' or the derogatory ‘mud-bloods'.Aristotle's ideas were brought to life in the 17th and 18th century by the spermists nemesis, the ovists. Ovists were rallying behind the discoveries of William Harvey (1578-1657) and Antonie van Leeuwenhoek (1632-1723) of female eggs in female bodies, the union of the sperm and egg, and the formation of an embryo which in turn unleashed the production of various parts of the body. Harvey called this cellular formation of individual parts in plants and animals epigenesis. An idea Aristotle also suggested.But one Dutch spermist, Jan Swammerdam (1637-1680), used this to further the preformation theory, but with a twist. Evidence of the union of egg and sperm, he suggested, must mean the future organism is embedded inside the head of the sperm in miniature form waiting to become whole with the help of the egg. A century later, this prompted a Swiss scientist, Charles Bonnet (1720-1793), to offer a counter ovist preformation theory. He suggested a Christian god planted future generations not inside the sperm, but inside the egg – like nested eggs within eggs.Meanwhile, a group of naturalist scientists opposed these Cartesian and Pythagorean, mechanistic preformation theories. The French naturalist, mathematician, and philosopher, Pierre Louise Maupertuis (1698-1759), further rejected theological explanations and believed both the male and female possess particles that come together to form unique characteristics in their offspring. He is credited with being the first to observe evolutionary hereditarian changes in organisms over time suggesting some characteristics are dominant while others are recessive.The German physiologist Caspar Friedrich Wolff (1733-1794) expanded on this work and revived Harvey's theory of epigenesis. By observing chick embryos, he discovered a supernatural action occurs once the sperm is implanted in the egg. This sparks what he called a vital action “vis essentialis” that culminates over the period of gestation creating a fully formed body. This is the origins of what we now call embryology.Those in the mechanistic and theological Cartesian camp weren't having it. They, like the church, rejected talk of indescribable, supernatural, and immaterial ‘vital actions.' It was not only heretical, but suggested science was going backwards to embrace medieval miracles of the occult. Either way, if there were forces at work on matter, the preformation mechanists believed it too would have been preordained by a Christian god. The co-inventor of differential calculus, German polymath and theologian, Gottfried Wilhelm Leibniz (1646-1716), reasoned like this, “But if in truth an intelligible explanation is to be sought in the nature of the thing it will come from what is clearly apprehended in the thing…for the success of the whole system is due to divine preformation.”THE NATURALISTSToward the middle of the 18th century the French naturalist and mathematician, Comte de Buffon (1707-1788), began publishing his work on natural history, Histoire Naturelle – an opus that amassed 36 volumes that continued to be amended even after his death. By looking at the history and evolution of the natural world, Buffon was the first to articulate patterns of ecological succession – the successive structural change of species over time. He rejected Christian Creationism and theories of the preordained mechanistic unfolding of nature and provided vivid and expertly rendered illustrations to the contrary.He took elements of Aristotle's blood theories, qualitative approaches to inquiry, and aspects of both spermists and ovists to merge them with empirical evidence and compelling writing to make convincing arguments for unexplainable actions vital to the creation and evolution of the natural world.As the late professor of history and Director of Seventeenth and Eighteenth Century Studies at UCLA, Peter Hanns Reill, wrote, Buffon “emphasized the primacy of living over inanimate matter, asserted the existence of inner, active forces as central agents in nature, envisioned a world of new creation and leaps in nature, and proclaimed the ineffable quality of individuality and the manifold variety of nature.”Through “comparison”, “resemblance”, “affinity”, and “analogical reasoning” he “revitalized and historicized nature without denying the existence of a comprehensible order.” This provided a path for science to embrace qualitative reasoning without foregoing the rigor, language, and quantitative aspects of mathematics embraced by mechanists like Newton and Descartes.It wasn't only ecological communities that could be explained this way. Society and politics could too. This admission further worried mechanists and theologians. They feared any acknowledgement that mysterious random events, be it at a particle or societal level, that could lead to a ‘vital action' creating unforeseen mutations accuses the Christian god of not understanding his own creations. It would reject both ‘divine preformation' and ‘God's will'.This came at a time of social revolutions, debates, and contestations over human rights, freedoms of religion, and ‘we the people.' Mechanists married the certainty of mathematics with the certainty of their Christian god to explain the world. If nature and society lacked the linear precession of clocks, compasses, and mathematical calculations, they feared such uncertainty would unravel societal order and unleash chaos.Naturalists continued to point to ‘internal' vital forces that created perceptible ‘external' microscopic and macroscopic evolutions that countered the dominant inert, deterministic, and mechanical philosophies and beliefs. But the seduction of certainty remains with us to this day, even when we know it not to be true.The Scottish philosopher and historian, Adam Ferguson (1723-1816), suggested as much writing, “Our notion of order in civil society is frequently false: it is taken from the analogy of subjects inanimate and dead; we consider commotion and action as contrary to its nature; we think it consistent only with obedience, secrecy, and the silent passing of affairs through the hands of a few.”Ferguson goes on to use a brick wall as an analogy. He continues,“The good order of stones in a wall, is their being properly fixed in places for which they are hewn; were they to stir the building must fall: but the order of men in society, is their being placed where they are properly qualified to act. The first is a fabric made of dead and inanimate parts, the second is made of living and active members. When we seek in society for the order of mere inaction and tranquility, we forget the nature of our subject, and find the order of slaves, not of free men.” Buffon's new modes of inquiry transformed fields formally beholden to mechanistic dogma like medicine, physiology, and chemistry. But it seems economics remain seduced by the determinism of linear, mechanistic, mathematical approaches despite it being a branch of the social sciences. While it may have dropped religion, it has yet to fully embrace the “notion of order in civil society is frequently false.” It's time conventional economics acknowledge there are mysterious ‘vital forces' internal to nature and society resulting in external perturbations that propagate indeterminant permutations. Tune in next week as I explore what that might look like.Thank you for reading Interplace. This post is public so feel free to share it. This is a public episode. If you would like to discuss this with other subscribers or get access to bonus episodes, visit interplace.io
Depuis le 11 juin et jusqu'au 2 octobre prochain, venez découvrir l'espace et les météorites au Muséum d'Histoire Naturelle du Havre. Vous pourrez admirez des météorites, toucher des morceaux de Lune et de Mars, sentir l'odeur d'une météorite qui vient de s'écraser sur Terre... En bref un programme riche et très intéressant qui s'adresse aussi bien aux petits curieux qu'aux grands curieux.
Actualités Locales : - Gaz. Élisabeth Borne entérine la création d'un terminal méthanier au Havre- Un des plus puissants remorqueurs d'assistance et de sauvetage au monde inauguré au Havre- Près de Goderville, un projet de quatre éoliennes en suspens depuis 2011- « La réserve en Seine » : des croisières insolites s'apprêtent à partir au départ du Havre- Le 8e Vélotour du Havre fera la part belle à la ville basse et au centre-villeOn parle aussi de l'exposition Météorites au Muséum d'Histoire Naturelle, du COVID-19 et de la reprise épidémique en Europe.Bonne écoute !
Philippe Rahm présente son livre Histoire Naturelle de l'Architecture, paru aux éditions du Pavillon de l'Arsenal.
Le sol que nous piétinons n'est rien de moins que l'origine du monde. Il est une explosion de vie et sans doute la plus riche construction du monde vivant. Il héberge la plus grande fraction de la biodiversité et avec elle, souterraine aussi, se trouve la plus forte diversité des mécanismes qui permettent le fonctionnement des écosystèmes. Professeur du Muséum national d'Histoire naturelle, Marc-André Selosse enseigne dans plusieurs universités en France et à l'étranger. Ses recherches portent sur les associations à bénéfices mutuels (les symbioses) impliquant des champignons, et ses enseignements, sur les microbes, l'écologie et l'évolution. Dans ce podcast Rustica, il nous emmène à l'origine du monde.
Le nouvel épisode du Siècle des ampoules: L'Origine du Monde, une histoire naturelle du sol à l'intention de ceux qui le piétinent avec Marc-André Selosse, Professeur du Muséum national d'Histoire naturelle de Paris.
Des tentacules, des yeux globuleux, une peau qui change de couleurs et de texture... les pieuvres, seiches et autres mollusques n'en finissent pas de fasciner. Ces animaux de nos océans, si proches et pourtant si mystérieux, sont devenus les “cobayes des mers” des neuroscientifiques du siècle dernier. Ils apprennent, mémorisent, résolvent des problèmes... des caractéristiques associées à l'intelligence. Mais ces créatures sont également sensibles... ou plutôt doués de sentience. Ludovic Dickel, éthologue, professeur de biologie des comportements à l'université de Caen, étudie ces étranges animaux depuis plus de 25 ans. Il est également responsable de l'équipe Neuro-Ethologie Cognitive des Céphalopodes, et côtoie régulièrement dans son laboratoire de petites seiches... qu'il essaye de faire rire. Une émission réalisée par Sophie Podevin, avec le Muséum d'Histoire Naturelle de Nantes.
"Il y a un mouton à l'horizon, apparu quand le vent s'est levé. Pas un ours brun, ni un porc-épic : un-gros-mouton-noir. Qu'est-ce qui le rend si attachant pour l'enfant ? Qu'il soit gros ? Qu'il soit noir ? Qu'il soit mouton ?" Albin Michel Jeunesse, en partenariat avec RTL, ouvre sa grande bibliothèque. Dans cet épisode, nous vous proposons "Mon-gros-mouton-noir" de Corinne Lovera Vitali, avec des illustrations de Juliette Barbanègre. L'histoire est lue par Stéphanie Demasse Pottier, bibliothécaire à la médiathèque de Bagnolet. "Lis-moi une histoire" est un podcast quotidien présenté par Laurent Marsick. Chaque épisode, vous propose une histoire passionnante, fascinante, instructive, lue par un ou une bibliothécaire. Tous les contes sélectionnés dans ce podcast sont publiés aux éditions Albin Michel Jeunesse.
Actualités Locales : - Le Groupe Hospitalier Havrais déclenche le plan blanc- Un voilier en difficulté à l'entrée du port du Havre- Un étudiant havrais souhaite mettre au point une gellule pour détecter le GHB- Rdv à la Colombe ce dimanche pour tous les afficionados de l'art urbain- La nouvelle exposition du Muséum d'Histoire Naturelle du Havre met à l'honneur les fossilesOn parlera aussi de l'épicerie vrac Epi'Boujou et de Steve Bronski, leader du Bronski Beat décédé à lâge de 61 ans.Bonne écoute !
Dans le cadre des Conférences éton’Nantes du Muséum d'Histoire Naturelle de Nantes, Yaël Nazé est venue en juin dernier donner une conférence sur les couleurs du ciel. En préambule à cette conférence, nous avons eu la chance de pouvoir lui poser quelques questions sur son parcours et sa vision des sciences, avant de parler de son sujet de recherche : les étoiles massives et comment leur présence donne ces fameuses couleurs à l'univers au dessus de nos têtes. Une émission enregistrée au Muséum d’Histoire Naturelle de Nantes, préparée et réalisée par Dounia Saez avec un chronique de Sophie Podevin.
Dans le cadre des Conférences éton'Nantes du Muséum d'Histoire Naturelle de Nantes, Yaël Nazé est venue en juin dernier donner une conférence sur les couleurs du ciel. En préambule à cette conférence, nous avons eu la chance de pouvoir lui poser quelques questions sur son parcours et sa vision des sciences, avant de parler de son sujet de recherche : les étoiles massives et comment leur présence donne ces fameuses couleurs à l'univers au dessus de nos têtes. Une émission enregistrée au Muséum d'Histoire Naturelle de Nantes, préparée et réalisée par Dounia Saez avec un chronique de Sophie Podevin.
Le livre France ce dimanche est intitulé « L'Origine du monde. Une histoire naturelle du sol à l'intention de ceux qui le piétinent » publié chez Actes Sud. Un plaidoyer plein d'humour en faveur du sol... de ses innombrables apports pour l'humanité et son rôle méconnu pour l'équilibre de la nature. Jeanne Richard a rencontré son auteur Marc-André Selosse, biologiste et professeur au Muséum national d'Histoire naturelle en France.
durée : 00:54:19 - La Terre au carré - par : Mathieu Vidard - La Terre au Carré propose la rediffusion de l'émission Histoire naturelle du plaisir et de l'orgasme chez les animaux,
Rubrique:histoire Auteur: buffon Lecture: Daniel LuttringerDurée: 20min Fichier: 14 Mo Résumé du livre audio: Le Lion - Le zèbre - De la description des animaux - Le cheval - L'Homme - Les origines de la vie - Preuves de la théorie de la Terre - De la manière d'étudier et de traiter l'Histoire Naturelle Cet enregistrement est mis à disposition sous la Licence art libre. Cet enregistrement est mis à disposition sous un contrat Creative Commons.
Conférence et séance d'écoute avec Romain Bertrand, Rodolphe Alexis, Cédric Yvinec. Audiographie sensible de la multitude – est un projet de recherche-création de l'artiste et preneur de son Rodolphe Alexis en collaboration avec le peuple Paiter Surui et son territoire en amazonie brésilienne. À la friction des cosmologies et des déterminismes, cette expérience interroge la potentialité du sonore et de l'écoute, comme tentative poétique de dialogue et d'exploration de liens interhumains et interespèces. La présentation de ce projet, articulée avec les interventions de l'historien Romain Bertrand et de l'anthropologue Cédric Yvinec, s'est déroulée le 15 juin au Lieu Multiple / Espace Mendès France, Poitiers. Réalisation sonore : Julien Lefevre
Parce que chaque semaine qui commence est un nouveau départ, j'avais envie de vous lire une histoire. Alors je vous propose le bijou comme un bisou du dimanche soir. Il était une fois les légendes de l'émeraude Le vert est ambigüe c'est la couleur du dollar et des fous mais c'est aussi depuis la Rome antique la couleur de Vénus et à ce titre celle de la beauté et de l'amour. Aussi est-ce cette image que je vais retenir. Surtout que le vert des émeraudes est très particulier c'est un mélange de vert pur avec des traces de bleu qui donne une profondeur et une densité très particulière et qui a, de plus, la propriété de conserver sa vigueur, quelque soit ses nuances y compris sous la lumière électrique. L'émeraude est traditionnellement associée au mois de mai et aux natifs du signe des gémeaux. Nous sommes bien au mois de mai et pour être tout à fait honnête avec vous, c'est à la fois mon mois de naissance et mon signe du zodiaque. J'ai donc une affection toute particulière pour cette pierre précieuse. Et d'ailleurs si vous souhaitez me couvrir d'émeraudes pour mon anniversaire le 31 mai, que ce soit en gemme, en bijou, en photo ou en message, surtout n'hésitez pas ! Et pour compléter ce chapitre de l'anniversaire, si vous fêter la 20e ou la 40e année de votre mariage, c'est aussi la pierre précieuse dédiée. D'après le Littré, le nom de l'émeraude provient du sanskrit « açmagarbha » qui veut dire « cœur de pierre ». Et ce cœur de pierre s'énonce « smaragdus » en latin pour désigner cette pierre précieuse à l'aura unique. Je vous emmène dans le temps et bien sûr comme presque toujours en Egypte antique. Près de la mer rouge les mines de Djebel Zabarah produisaient des émeraudes. On les a longtemps appelé mines de Cléopâtre car on sait qu'elle adorait cette gemme qu'elle portait en bijoux, faisait graver et offrait à ses dignitaires. Il faut dire que l'émeraude était associée à l'immortalité. Ces mines seront retrouvées en 1816 par l'explorateur français Frédéric Cailliaud, mais elles sont aujourd'hui épuisées. Les émeraudes servent aussi de monnaie d'échange au IIe millénaire avant Jésus-Christ à Babylone. Quand la tradition de l'Egypte antique se fond dans la culture grecque, Thot, le dieu de l'écriture et le scribe des dieux au savoir illimité, devient Hermès Trismégiste. Il aurait écrit 42 livres de philosophie comme de médecine. Cet ensemble de textes s'appelle Hermetica lequel comprend le célèbre « Corpus Hermeticum » et surtout « La Table d'émeraude » censée renfermer le secret de la création des êtres. Les Alchimistes et les Hermétiques du Moyen Age s'appuieront sur ces textes et dédieront l'émeraude à Hermès en la nommant « Rose de mai ». L'émeraude devient ainsi le symbole de l'Alchimie. Chez les Phéniciens, l'émeraude est la pierre d'Astarté et permet de garder les amants fidèles. Dans son Histoire Naturelle, Pline l'Ancien donne une hiérarchie des matériaux précieux. En premier il place le diamant, en second les perles et le 3e rang revient à l'émeraude. Il écrit : « Il n'est point de couleur plus agréable à l'œil ; car, bien que la vue se fixe avidement sur le vert des herbes et du feuillage, on goûte infiniment plus de plaisir à contempler des émeraudes, aucune nuance verte n'étant verte si on la compare à cette pierre ». Il promet que l'on « se récrée la vue en la portant sur une émeraude ». Il affirme que les émeraudes plates « renvoient les images à la façon des miroirs » pour preuve « L'empereur Néron regardait avec une émeraude les combats des gladiateurs ». Bon, il définit aussi 12 sortes d'émeraudes et il « raconte que dans l'île de Chypre, sur le tombeau d'un petit roi nommé Hernias, auprès des pêcheries, était un lion de marbre avec des yeux en émeraude. L'éclat qui en sortait pénétrait si avant dans la mer, que les thons épouvantés s'enfuyaient. Les pêcheurs s'étonnèrent longtemps de cette fuite nouvelle du poisson; à la fin ils mirent au lion d'autres yeux. » Il rapporte également que dans « les livres égyptiens se raconte qu'un roi de Babylone envoya au roi d'Égypte, en présent, une émeraude longue de quatre coudées, et large de trois. Le même auteur dit qu'en Égypte, dans un temple de Jupiter, était un obélisque fait de quatre émeraudes, lequel avait quarante coudées de hauteur, et de largeur quatre coudées à une extrémité et deux de l'autre; et qu'au moment où il écrit il y a à Tyr, dans le temple d'Hercule, une grosse colonne d'une seule émeraude, Par ailleurs, Apion, surnommé Plistonicès, rapporte qu'il y avait, encore de son temps, dans le labyrinthe d'Égypte, un Sérapis colossal fait d'une émeraude haute de neuf coudées. » On comprend donc que l'émeraude fascine depuis très longtemps et avait la réputation d'immenses propriétés à la fois spirituelles et même médicales. Alors il n'est pas étonnant que Jules césar les ait collectionnées pour leurs vertus curatives. Plus tard, la légende dira que l'émeraude était l'une des quatre pierres précieuses données par Dieu au roi Salomon. Ces quatre pierres auraient doté le roi de pouvoirs sur toute la création. Encore quelque années et l'émeraude devient la pierre de Satan. Elle se serait détachée du front de l'Archange déchu Lucifer au moment de sa chute sur Terre. Et bizarrement, pour la chrétienté, l'émeraude devient par la suite la pierre du Pape. Au Moyen Age à la fin du XIIIe, Jacques de Voragine affirme dans sa Chronique de Gênes que lors de la Cène, Jésus et ses disciples mangèrent dans un plat d'or et d'émeraude. Puis les légendes arthuriennes rapportent que Nicodème l'un des premiers disciples de Jésus, aurait recueilli lors de sa crucifixion, le sang du Christ dans un vase d'émeraude appelé Sangraal. A partir de là, le Graal est réputé être taillé dans une extraordinaire émeraude que seuls les Chevaliers de la Table Ronde au cœur particulièrement pur pouvaient apercevoir. Ce qui de façon surprenante rejoint la légende celte du chaudron de Dagda. Pour faire bonne mesure, Hildegarde de Bingen, aurait déclaré : « Tout le vert de la nature est concentré dans l'émeraude. » qui s'associe à l'espoir, au renouveau et à l'amour. Outre-mer l'émeraude obtient la même fascination. Dans une légende indienne Sesha, le roi des serpents, avala la bile du démon Vala. Quand il fut attaqué par Garura, le roi des oiseaux, il la recracha sur lui, les gouttes qui tombèrent sur le sol créèrent les émeraudes. L'émeraude honore aussi Annapurna, la déesse hindoue de la nourriture, des cuisines et des cuisiniers A Bangkok, l'icône la plus sacrée de Thaïlande s'appelle le Bouddha Émeraude. En fait elle est en jade, mais on ne va pas chipoter les légendes ! Chez les Incas, l'émeraude était un signe de souveraineté, elle était offerte comme tribu par les vassaux à leur souverain qui, seul, pouvait le porter. Chez les Aztèques aussi l'émeraude était célébrée, ils l'appelaient "Quetzalizli", comme l'oiseau de paradis qui symbolise le renouveau des saisons, la fertilité de la terre et la vie. Le souverain Moctezuma offrit en 1519 à Cortès un énorme bloc de calcaire couvert de cristaux d'émeraudes qui devient plus tard la propriété de Charles Quint. Celui-ci en aurait distribué quelques-unes pour rallier de puissants personnages à sa cause. Dans ce XVIe siècle, les conquistadors espagnols trouvent en Colombie, les gisements de Chivors en 1545 et de Muzo en 1594. A partir de là, cette pierre précieuse est rapportée en Europe où toutes les cours vont bientôt enchâsser ces gemmes dans de splendides joyaux. À la fin du XVIIe siècle, on découvre l'émeraude du grand Moghol, une gemme de 217,80 carats, gravées d'inscriptions religieuses. Bien avant que les Maharaja débarquent place Vendôme avec leur coffre rempli de pierres précieuses et leurs inimitables émeraudes. Les déversant à pleine mains sous les yeux médusés des joailliers qu'ils chargeront de remonter en bijoux somptueux comme vous avez peut être pu le voir notamment dans l'exposition « des Grands Mogols au Maharaja » de la collection Al Thani. Mais si leurs joyaux sont légendaires, leurs émeraudes sont parfaitement véritables ! Ce qui me fascine aussi dans l'émeraude ce sont ses mystères. La constitution même de l'émeraude présente souvent des inclusions, qui attestent de son origine. Pour toutes autres pierres ce serait un défaut pour l'émeraude on les appelle poétiquement des « jardins ». Cette perfection des imperfections la rend d'autant plus chère à mon cœur. L'émeraude a aussi sa propre taille. La taille émeraude vient de la taille « en table » apparue vers 1400. On y a ajoutée une culasse, quelques facettes et puis les fameux coins biseautés dont l'objectif était de diminuer les risques d'ébrèchement car la gemme est fragile ! Cette taille s'est standardisée vers 1900. Il y a bien sûr des émeraudes célèbres comme celle qui ornait la couronne de Saint Louis et qui est maintenant au Muséum National d'Histoire Naturelle. Mais je vais plutôt vous raconter la charmante histoire du Collier de la liberté. Une comtesse polonaise avait de doux sentiments pour un galant homme polonais, bien connu de la cour de Louis XVI surtout pour son succès auprès des femmes. Il se rend à Philadelphie, malheureusement au moment où la ville est prise d'assaut. Car évidemment les Etats unis sont en pleine guerre d'indépendance. Très inquiète, la jolie comtesse va donc trouver à Paris, l'ambassadeur des Etats Unis, Benjamin Franklin qui, en gentilhomme, la rassure sur le sort du monsieur de son cœur. Très reconnaissance, la comtesse retire son splendide collier et le donne à Benjamin Franklin en lui disant : « Il y a treize émeraudes carrées et treize émeraudes en poire, une pour chacune des treize colonies. Je vous en supplie, acceptez ces bijoux au nom de la Liberté. ». Ce collier s'appellera donc par la suite « le collier de la liberté », sa vente aurait permis d'acheter l'artillerie qui aurait changé le cours de l'histoire. Il disparait à la révolution française, reparait vers 1885, puis sera acheté vers 1925 par Van Cleef & Arpels et appartiendrait toujours à leur collection patrimoniale. Ainsi se termine cette histoire des légendes de l'émeraude Je suis Anne Desmarest de Jotemps et je donne une voix aux bijoux. Chaque dimanche j'émets en alternance sur un podcast différent. Et justement la semaine prochaine je vous donne RDV sur Brillante le podcast des femmes de la joaillerie pour écouter Sonia Esther Soltani, la rédactrice en chef du Rappaport en Israël. Le dimanche suivant ce sera notre RDV avec le podcast « Il était une fois le bijou », dans cette 4e saison consacrée aux joailliers du rap, ce 2e épisode est un peu spécial car il aborde le côté dark de ce monde. Pour ne manquez aucun de nos rendez-vous du dimanche autour du bijou, abonnez à chacun de ces 3 podcasts « Il était une fois le bijou », « le bijou comme un bisou » et « Brillante » sur votre plate-forme d'écoute préférée et encouragez-moi en partageant l'épisode sur vos réseaux sociaux. Si vous êtes sur Apple podcast ou sur You tube mettez de jolis commentaires, c'est ce qui permet de référencer les podcasts ! Et si vous aussi, vous avez envie de donner une voix à vos bijoux contactez moi, je me ferai un plaisir de vous accompagner pour créer votre histoire joaillière en podcast. A dimanche pour votre prochaine histoire de bijou ! Site Twitter Facebook Instagram LinkedIn Musique : Allan Deschamp, 0 le Sign, Kevin MacLeod : Crossing the divide, Virtutes Instrumenti, Odessy Cambodgienne
durée : 00:04:39 - Les Savanturiers - par : Fabienne Chauvière - Il y a sur terre des milliers de tonnes de poussières extra-terrestres et on sait désormais combien il en arrive chaque année. Explications avec Jean Duprat, cosmo chimiste. Ce chercheur CNRS travaille dans une équipe au Muséum National d’Histoire Naturelle.
--------Un troisième épisode enregistré depuis le Muséum d’Histoire Naturelle de Paris avec Christine Rollard ------- ◾️Qui ne s’est jamais crispé en entendant un bourdonnement de guêpe s’approcher de son visage ? Ou éprouvé quelques frissons en sentant des pâtes se déplacer sur sa peau ? Peut-être même avez-vous déjà fait des cauchemars où vous êtes envahis par des insectes qui grouillent ? On a beau aimer ou du moins respecter les bêtes, leurs étrangeté et leur mauvaise connaissance a déjà pu nous surprendre ou nous troubler. Ça s’apprivoise et ça se surmonte mais ça peut aussi devenir handicapant et source d’angoisse. Les insectes font partie de notre quotidien alors nous avons tout intérêt à apprendre à cohabiter avec eux pour ne pas se sentir pris au dépourvu les jour où un volatile s’introduit par votre fenêtre ou ceux où une sauterelle prend votre bras pour perchoir. ◾️ Christine Rollard a étudié les mécanismes de la peut des arthropodes avec des psychologues et accompagne des personnes qui souhaitent surmonter leur peur. Elle va donc nous expliquer comment on peut avoir peur de ce petites bêtes de quelques centimètres. Si cette peur est innée ou acquise. Quels facteurs dans notre société peuvent entretenir cette peut et comment, en douceur, pas à pas, réussir à contrôler ce sentiment pour vivre plus sereinement. ◾️Que vous soyez entomophobique ou simplement déstabilisés ponctuellement par les insectes, ce podcast pourra vous apporter des clefs éclairantes. Christine sait trouver les mots pour rassurer, dédramatiser et surtout, déconstruire, alors n’hésitez pas à partager cet épisode à des personnes que ça pourrait aider. Les actualités de Mandibules sont diffusées sur Instagram : https://www.instagram.com/mandibules.podcast Crédit musique : Titre: Cherry Picking Auteur: Erothyme Source: https://erothyme.bandcamp.com Licence: https://creativecommons.org/licenses/by/3.0/deed.fr Téléchargement (8MB): https://auboutdufil.com/?id=576
Did you know that microbes live in some surprising places like hot springs, inside of salt, and at the bottom of the ocean?These organisms that love extreme environments are called extremophiles. Dr. Adrienne Kish is an Associate Professor of Microbiology at the National Museum of Natural History (Muséum National d'Histoire Naturelle) in Paris, France. As an extremophile microbiologist, she studies how certain organisms on our planet can live in environments that we humans can't. And really, we usually assume there is no life in those places. I'm thrilled to share my interview with her on the Joyful Microbe podcast.In this episode, you will learn all about extremophiles:What extremophiles areSubgroups of organisms that live in extreme environmentsAdaptations of extremophilesTypes of microbes that are extremophilesHow extremophiles help in the search for life on other planetsHands-on activity to grow extremophiles from pink rock salt and extract their DNAResources to further explore extremophilesJOYFUL MICROBE SHOW NOTES: https://joyfulmicrobe.com/extremophiles-adrienne-kish/JOYFUL MICROBE TWITTER: https://twitter.com/joyfulmicrobe/JOYFUL MICROBE INSTAGRAM: https://www.instagram.com/justineldees/
On vous emmène au Muséum d’Histoire Naturelle, dans l’équipe Interactions et Evolution Végétale et Fongique que dirige notre invité : le chercheur Marc-André Selosse (MAS pour les intimes). Dans son labo on étudie les mycorhizes, cette symbiose entre les plantes et les champignons. Dit comme ça, ça ne vous envoie peut-être pas du kiff mais...
Avez-vous entendu parlé de la "junk food du néolithique", d'apprivoiser votre microbiote ou de l'humus à l'origine du monde ? Bienvenue à ce podcast hors les murs et hors normes avec Marc-André Selosse, botaniste, professeur du Muséum National d’Histoire Naturelle de Paris, des universités de Gdansk (Pologne) et Kunming (Chine), membre de l’Académie d’agriculture de France, chroniqueur sur France Inter et auteur de 2 ouvrages : Jamais seul, Les goûts et les couleurs du Monde. Dans cet interview passionnante, Marc-André Selosse, présent à la conférence "Une seule santé en pratique" à VetAgro Sup, nous invite à considérer les microbiotes non plus comme un problème de santé mais comme une solution et bien plus encore. Il fait le pari qu'une génération ayant apprivoisé ses microbiotes, pris soin du sol, appris à penser le monde en écosystème grâce à une approche One Health/ Eco Health enseigné à tous, pourra en tant que vétérinaire, médecin, agriculteur, décideur, changer notre vision des enjeux et agir pour un avenir heureux. --- Send in a voice message: https://anchor.fm/vetagrolive/message
Avec l’aide de Sabrina Krief, primatologue et professeur au Musée National d’Histoire Naturelle, nous évoquons la manière dont l’étude des animaux peut nous aider à résoudre des problématiques de santé humaine. Ces nouvelles clés de lecture pourront t’aider à alimenter tes copies de Culture Générale en abordant l’Animal sous un angle d’actualité : la santé.
durée : 01:28:40 - Bruno David, directeur du Muséum national d'Histoire naturelle - par : Priscille Lafitte - Naturaliste, président du Muséum national d’Histoire naturelle à Paris, auteur du livre « A l’aube d’une 6e extinction » (Grasset), Bruno David esquisse pour « Musique émoi » un parallèle entre l’histoire de notre rapport à l’environnement et à l’écologie, et ses goûts musicaux de Vivaldi à Bartok. - réalisé par : Philippe Petit
durée : 00:02:12 - Actualités Rhénanes sur le Net FB Elsass - La chronique de Pierre vous permet de commencer la semaine sereinement avec l'aquarium en live-stream du musée d’histoire naturelle de Karlsruhe, le Staatliches Museum für Naturkunde Karlsruhe.
Dans cette 3e saison, du podcast Il était une fois le bijou je vous invite à plonger au cœur du diamant. Il est selon l'inoubliable Marylin, « The girl best friend », mais également, suivant les légendes le fruit des étoiles, et donc naturellement, une amulette ou un talisman. Pour tous les amoureux du diamant, c'est un miracle de la nature et depuis les anciens textes bouddhistes il est considéré comme la vérité, éternel. Pour les scientifiques, c'est également un matériau d'exception, dont l'extraordinaire dureté avec l'indice maximal de 10 sur l'échelle de Mohs, n'est qu'une des propriétés essentielles à la recherche de demain. Pour les gemmologues c'est une perpétuelle source d'étonnement avec ses couleurs et ses feux tout aussi exceptionnels que rarissimes. Le diamant, c'est aussi un symbole, une icône reconnue dans le monde entier. Mais avant tout, le diamant appartient à notre histoire, celle de notre terre, celle de notre savoir-faire. Et justement François Farges, le professeur au Museum National d'Histoire Naturelle a ressuscité les diamants de louis XIV rapporté d'Inde par Jean-Baptiste Tavernier à la cour du roi Soleil Alors je lui ai posé cette question toute simple et dont la réponse est pourtant complexe : pourquoi recréer ces diamants ? Je suis Anne Desmarest de Jotemps, amoureuse des mots et passionnée du bijou. Comme vous le savez, je donne une voix aux bijoux chaque dimanche en alternance sur un de mes 3 podcasts. Lors du prochain épisode, le 14 février, de cette thématique sur le Diamant Forever je vous propose d'écouter Alix Gicquel , qui crée des diamants dans son laboratoire en Ile de France appelé Diam concept. Le 21 février, je vous donne rendez-vous sur « Brillante » et la joaillière, actrice, ex James Bond Girl, Caterina Murino nous parlera de sa passion des bijoux Sardes et aussi des diamants. Mais avant cela c'est sur le podcast « le bijou comme un bisou » que je vous retrouverais la semaine prochaine, le 7 février, pour parler des lions de la sérénissimes, symbole de Venise qui ont inspiré la nouvelle collection de Chanel, avec des diamants bien sûr. Pour ne pas manquez notre rendez-vous du dimanche autour du bijou, abonnez à chacun de ces 3 podcasts sur votre plate-forme d'écoute préférée ou sur youTube et encouragez- moi en mettant des commentaires, c'est ce qui permet de référencer les podcasts ! Si vous êtes sur Apple podcast mettez plein d'étoiles et partagez, sans modération. ! Vos encouragements brilleront pour moi comme des joyaux ! A dimanche pour votre prochaine histoire de bijou ! Site Twitter Facebook Instagram LinkedIn Musique : Allan Deschamp, 0 le Sign
durée : 00:28:12 - Carbone 14, le magazine de l'archéologie - par : Vincent Charpentier - Et si l’Asie du sud-est avait, durant sa Préhistoire, privilégié le végétal au détriment de la pierre ? Désormais totalement invisible, un « âge du bambou » peut-il supplanter celui de la pierre ? Avec Hubert Forestier, professeur au Muséum National d’Histoire Naturelle. - réalisation : Vanessa Nadjar - invités : Hubert Forestier Archéologue et professeur au Muséum National d’Histoire Naturelle
Du 28 décembre au 1er janvier, Sarah Dirren vous propose une série thématique autour du son. Comment fait-on pour définir le paysage sonore urbain? Qu'est-ce que le design sonore? Immersion au cœur de la forêt du Risoux dans le Jura pour entendre toute sa biodiversité. Avec Jérôme Sueur, éco-acousticien et maître de conférence au Muséum National d'Histoire Naturelle de Paris, Frédéric Sèbe, bio-acousticien et professeur au Laboratoire de Neuro-Ethologie Sensorielle de lʹUniversité de Lyon/St-Etienne, Julien Barlet, chargé de mission des Milieux naturels au Parc du Haut Jura et Sylvain Haupert Ingénieur de recherche en instrumentation au Centre national de recherche scientifique (CNRS).
durée : 00:58:11 - Cultures Monde - par : Florian Delorme, Mélanie Chalandon, Antoine Dhulster - Des éleveurs de rennes Samis en Laponie, aux Inuits du Groenland, il leur faut apprendre à vivre avec les nouvelles contraintes liées au réchauffement climatique. Comment préserver une culture autochtone tout en s’adaptant aux contraintes de la mondialisation et du réchauffement climatique ? - réalisation : Vincent Abouchar, Benjamin Hû - invités : Jean-Michel Huctin Enseignant-chercheur en anthropologie au laboratoire CEARC (Cultures, Environnements, Arctique, Représentations, Climat) de l'Université de Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines / Université Paris-Saclay et Co-fondateur de l'Uummannaq Polar Institut au Gro; Marie Roué Directrice de Recherches Emérite d’éco anthropologie, CNRS/Muséum national d’Histoire Naturelle.; Marine Duc Doctorante en géographie à l’université Bordeaux Montaigne et rattachée au laboratoire Passages
La nouvelle exposition temporaire du Museum dʹHistoire Naturelle de Neuchâtel, questionne la notion complexe du "sauvage ", et de la place que les sociétés humaines lui accordent encore. Prévue à partir du 8 novembre 2020, il faudra encore attendre lʹautorisation dʹouverture des musées par le canton pour la visiter, mais Lucile Solari nous la fait découvrir en avant-première.
Allô la terre! Chronique: La Chevêche d'Athéna Dossier: Sauvage - Une exposition du Museum d’Histoire Naturelle de Neuchâtel
Actualités Muséales avec : – la nouvelle exposition du Musée Barbier Müller – Les propositions actuelles (expos temporaires et permanentes) du : – musée de la Réforme – du musée du CICR et croissant rouge – du muséum d'histoire naturelle de Genève
– Retour sur la journée nationale des collections d'Histoire Naturelle. Extrait au Museum d'histoire naturelle de Genève. – Présentation de la bibliothèque pour « l'après demain » ou le Overmorrow's Library du Centre d'art contemporain – L'aide d'urgence de SuisseCulture est prolongé auprès des acteurs culturels en détresse financière. Nous vous donnons des infos pratiques. – Le palmarès de la 9ème édition du Webstory 2020 (concours littéraire sur le net).
Interview de Loïc Costeur, conservateur au musée d’histoire naturelle de Bâle.
Où placer les humains dans les centaines de millions d'années de la vie sur Terre ? Anne-Cécile Genre fouille dans le passé avec Damien Germain, paléontologue au Muséum National d’Histoire Naturelle. Avec lui, la roche raconte des histoires et les rangées de cailloux du Museum deviennent autant de bestiaires, où on croise les dinosaures et leurs ancêtres. De quoi se demander quelle genre de trace laisseront les humains, après leur passage sur Terre... Un moment privilégié avec les orangs-outans de la Ménagerie voisine permet quelques réflexions sur l'anthropocène. CRÉDITS : 100 000 ans est un podcast Binge Audio en partenariat avec l'ANDRA, écrit et animé par Anne-Cécile Genre et réalisé par Adel Ittel El Madani. Musique : Alexandre Delmaere. Identité graphique : Upian. Direction de projet : Soraya Kerchaoui-Matignon. Production : Albane Fily. Édition : Dimitri Mayeur. Direction des programmes : Joël Ronez. Direction de la rédaction : David Carzon. Direction générale : Gabrielle Boeri-Charles. Coordination ANDRA : Anne Brodu. See acast.com/privacy for privacy and opt-out information.
A lʹoccasion de ses 200 ans, le Muséum dʹHistoire Naturelle de Genève met à lʹhonneur la nature en accueillant 3 expositions de George Nuku, plasticien activiste néo-zélandais qui mêle à la fois futurisme et univers aquatique. Le Muséum a également mis sur pied un cycle de conférences centré sur les grands défis environnementaux contemporains, la biodiversité et le climat. Sarah Dirren a visité les trésors de ce temple de la conservation en compagnie dʹAlice Cibo, ornithologue et chargée de recherche au Muséum de Genève, et de Bernard Landry, chargé de recherche et de collections.
Dernier podcast : Lundi 28 septembre 2020 Au programme : Cette semaine dans l’Agenda de QFDM focus sur l’exposition ” Pierres Précieuses au Musée d’Histoire Naturelle ” , dans la rubrique cinéma coup de projecteur sur ” Petit Ours Brun – Le spectacle au cinéma “, côté littérature je vous présente ma sélection livre de la semaine : ” Colère et boule de gomme” , ” Qui veut un petit frère ? “, ” Une rentrée trop classe ! “, Et ” Un Noël Croustillant “aux éditons Fleurus, Mon papi grognon chez Glénat jeunesse et Mon cours de yoga en famille aux éditions Eyrolles Je reçois Marlène Jobert, pour l’opération ” Des contes de Marlène Jobert offerts aux enfants hospitalisés ” nous parlons aussi de son nouveau conte qui paraîtra le 4 novembre prochain chez Glénat jeunesse ” La Belle et la Bête “. Danuta Pieter, déléguée Générale de la Fondation des Hôpitaux de Paris Hôpitaux de France Cécile Cormier, consultante en parentalité, maman de deux enfants et à l’initiative de ” Mère veilleuse “. Abonnez-vous au podcast sur quefairedesmomes.fr et les plateformes d’écoute : Appel podcast, Spotify, Deezer, Google podcasts, Soundcloud, Youtube etc…
Un porc-épic à la braise, de petits oiseaux, du gibier chassé dans la forêt par les hommes qui y vivent, et connaissent aussi bien les animaux qu'eux-mêmes. De la viande de brousse consommée depuis toujours dans les forêts d’Afrique centrale, d’Amazonie ou d’Asie. Une viande devenue source de revenus, et objet d’un trafic commercial mondialisé. Comment préserver, sans créer de pénurie alimentaire ? Avec Serge Bahuchet, ethno-écologue au Muséum National d’Histoire Naturelle, auteur de plusieurs livres dont « Les jardiniers de la nature » en 2017, aux éditions Odile Jacob, et de l’article : Hommes et animaux dans la forêt d’Afrique centrale : l’importance de la chasse ordinaire dans « Nous et les animaux », paru en février 2020, aux éditions Les petits matins, sous la direction de la sénatrice écologiste française Esther Benbassa. Romain Duda, éco-anthropologue, chercheur post doctorant à l’Institut Pasteur à Paris au sein de l’Unité de recherche : « Anthropologie et écologie de l’émergence des maladies ». Il est l’auteur des différentes vidéos de cette page. Pour une nouvelle écoute : Où il est question de viande de brousse, de ce que cette expression veut dire (2’00), des animaux concernés, des mammifères vertébrés de l’antilope au rat au porc-épic à l’éléphant. De l’histoire et de l’importance de la chasse, du gibier comme source de nourriture, source de protéines notamment. De l’évolution des régimes alimentaires. (4’48) Où il est question des forêts tropicales, équatoriales, où l’élevage peut difficilement être pratiqué, (5’23) la viande de brousse représente 70 % des apports protéiques journaliers, depuis des milliers d’années. Quand il y a pression pour accéder à l’espace forestier, là il y a problème alimentaire. (9’03), des effets du développement durable appliqué à l’Afrique centrale. Chasseurs cueilleurs se retrouvent dans des espaces, privés de l’accès aux ressources forestières (12’15). De l’apprentissage pour les enfants qui partent à la chasse et complètent ainsi en grappillant quelques souris, leurs repas de la journée. Ou l’on suit une fratrie de pygmées Baka en train de chasser un porc-épic. Où il est question des origines de « la crise de la viande de brousse » : de la surchasse engendrée par l’accroissement fulgurant des zones urbaines (15’16), et de la difficulté de nourrir les habitants des villes. « Si on ne veut pas que l’on ponctionne des animaux sauvages, il faut donner de la viande d’élevage », qui ne peut rivaliser avec les poulets venus d’Europe ou du Brésil. « Qui pour approvisionner les villes ? ». Du développement des exploitations forestières et du développement des infrastructures routières au coeur des forêts (17’00). Où il est question De la nécessité de protéger la faune tout en évitant une pénurie alimentaire. (22’05) Où il est question – évidemment – de l’importance de préserver la faune, du commerce d’ivoire, des savoirs et des connaissances éthologiques des populations vivant dans les forêts, utilisées par les braconniers. De l’arrivée des armes et des fusils au cœur des forêts (22’04). Des conflits d’intérêts, de l’absence de concertation avec les populations locales des politiques de conservations de la faune, de la crainte des écogardes (25’00), de l’exemple réussi de la protection « communautaires » des singes bonobos en RDC (26’35). De l’amalgame du braconnage d’éléphants et de la chasse quotidienne qui n’a rien à voir avec la chasse de gros mammifères. Du goût pour la viande de brousse et de la valorisation de la chasse. De son importance (32’03), activité ordinaire, traditionnelle, sociale, structurante. La viande, c’est la distribution, le partage : ce qui permet une cohésion sociale autour du repas. Des traditions ancestrales et des rites qui se perdent (37’07) de la faim de viande, du mot pour nommer cette plainte et cette souffrance. Du partage de la nourriture et de l’apprentissage encore autour de la marmite. (39’10) des raccourcis concernant la transmission des épidémies par la viande sauvage. Et de la stigmatisation des populations forestières. La mondialisation des échanges accroît les contacts entre espèces et donc les risques. Du cercle vicieux et des moyens d’en sortir. D’un équilibre monétaire économique à trouver, d’alternatives solides, et de préjugés à rompre. Des ingrédients et des ustensiles Romain Duda : (44’40) Les chenilles, appréciées pour leur goût et leur « timing » pour apaiser la faim de viande et la machette.Serge Bahuchet : une spatule de bois ovale dont se servent les pygmées Bakas qui sert à touiller les ragouts dans la marmite, qui sert aussi de planche à découper et le poivre sauvage des forêts d’Afrique. Les chants – Tibola (l’appel au gibier) et Yeli - ont été enregistrés par Romain Duda avec les pygmées Bakas au Cameroun. Il est également l’auteur des vidéos suivantes. D’autres travaux et vidéos sont disponibles sur le site de canal-u ici. - La chasse du porc-épic - La cuisson du porc-épic
Aujourd'hui pour sa chronique Salomé est partie a la rencontre de Alice Michonnet responsable du secteur développement des publics au Muséum d'Histoire Naturelle. Cet été et ce jusqu'a janvier 2021, le muséum vous propose de partir à la découverte des explorations scientifiques avec deux expositions ! Alice Michonnet nous raconte tout au micro de Ouest Track Radio.
« Sous les écailles », l’émission qui décortique les sciences sur Pangolin FM, préparée par les élèves de la promotion 2020 du Diplôme Universitaire Médiation scientifique innovante, et enregistrée à distance le 29 avril 2020. Le grand entretien accueille Lisa Quetel, chargée de médiation scientifique à la Cité des sciences et de l'industrie à Paris, et Laure Danilo, conservatrice et responsable du Muséum d’Histoire Naturelle d’Orléans. Vous pouvez aussi retrouver les trois chroniques habituelles de l’émission : l’anniversaire scientifique de la semaine, une chronique et des ailes, et la chronique de la nuit. Une revue de presse percutante et un agenda 100% numérique, circonstances obligent, complètent ce panorama scientifique ! Pangolin FM ne diffuse pas sur vos ondes et " Sous les écailles » sera, sauf surprise, une émission unique. Vous pouvez par contre retrouver d’autres créations de la promo du Déhu Médiation scientifique innovante ici et sur le compte Twitter @etait1fois2020. Les pangolins qui ont créé cette émission sont :Pangolins chroniqueurs : Luz, Charlotte et LéoPangolins intervieweurs : Alice, Anna-Line et YanoukPangolins de la revue de presse : Nawel, Stéphanie et MaxencePangolins de l’agenda : Odile, Krissima et MarinePangolins animateurs : Octave et AdrienPangolins techniciens: Anne-Lise, Andrea et HazelEt le pangolin en chef : Jean-Marc
durée : 00:08:22 - Les P'tits Bateaux - par : Noëlle Bréham - Louis voudrait bien savoir ce qui arrive au fil des araignées. Lorsqu'elles le remontent, il semble se raccourcir. Que devient-il ? Les araignées fabriquent les fils de soie de leurs toiles... Christine Rollard, "Madame Araignée", l'aranéologue du Muséum d’Histoire Naturelle, remonte le fil de l'histoire.
Alors que le monde vit une période très particulière, LanDestini Podcast vous propose de vous évader en partant à la découverte de la biodiversité marine qui peuple nos océans. A quoi sert la corail ? A quelles menaces liées à l'action humaine fait-il face avec le reste de la faune et la flore marine ? Comment les protéger ? Pour répondre à toutes ces questions, nous sommes ravis d'accueillir dans LanDestini Podcast une invité exceptionnelle : Pascale Joannot, directrice des expéditions au Museum Nationale d'Histoire Naturelle, spécialiste des coraux. Diane Vaschalde longtemps en charge d'Aires Marines Protégées (AMP) à l'Office Français de la Biodiversité nous a également accordé une interview. L'émission est animée par Dorine Buchot, chargée de production audioviduelle chez Landestini. Fanny Agostini et Henri Landes, nos co-fondateurs, nous font le plaisir d'intervenir en fin d'émission. Pour tout connaitre des enjeux de biodiversité marine actuels, mettez vos écouteurs et play !Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:29:01 - Carbone 14, le magazine de l'archéologie - par : Vincent Charpentier - Qui de mieux que, Denis Vialou, préhistorien, spécialiste de l'art préhistorique et professeur au Muséum National d'Histoire Naturelle, pouvait se lancer dans un tour d’horizon des dernières découvertes, un état de l’art préhistorique… - réalisation : Vanessa Nadjar - invités : Denis Vialou Préhistorien, spécialiste de l'art préhistorique et professeur au Muséum National d’Histoire Naturelle
durée : 00:25:00 - Fictions / Le Feuilleton - La nature ne connaît pas d’équilibre, mais enchaîne à l’aveuglette les expériences brutes, et comme un bricoleur insensé démantèle ce qu’elle vient à peine de créer.
durée : 00:25:00 - Fictions / Le Feuilleton - La nature ne connaît pas d’équilibre, mais enchaîne à l’aveuglette les expériences brutes, et comme un bricoleur insensé démantèle ce qu’elle vient à peine de créer.
Today we celebrate a diary entry made by Columbus as well as the man who introduced the potato to England. We'll learn about the Botanical Painter, who served botanists and French Royalty and the garden writer who inspired many with his Lancashire garden diary. We'll hear some amusing garden prose. We Grow That Garden Library with a book that helps you make your vegetable gardens more beautiful by strategically adding cut flowers. I'll talk about the kind of coal gardeners will want in their stockings this Christmas, and then we'll wrap things up with some thoughts on flowers by the Impressionist painter we lost 100 years ago today. But first, let's catch up on a few recent events. Grounding in the Garden: Fall Gardening Tips | LearningHerbs @learningherbs Great post from @learningherbs with five herbs that are great to start from seed or cuttings for your winter apothecary: rosemary, horehound, mullein, ground cherries, and common sage. The Grateful Tree – A Thanksgiving story | @wwediting Ya’ll need to stop and read this. There are still some sacred parts of nature that remain untouched by us - this is a story about that. Thanks for writing it @wwediting. It's a lovely read. The Grateful Tree – A Thanksgiving story A Visit to Jupiterartland | @EllenMaryGarden Ellen Mary tweeted "Today I visited @jupiterartland in Edinburgh for a private tour of which I’m super thankful I’ve never been to a garden that has floored me quite like it! A mix of awe & terror, inspiration & confusion...the artwork & sculptures are quite something#art #landscape #garden https://pic.twitter.com/kE0rs2ARSY" I replied: "Now THAT's a garden visit. It will be interesting to hear what your thoughts are about this place over time. It's always fascinating to me how a garden speaks to us long after a visit. Sometimes first impressions are shadows of a more profound understanding that comes later." Now, if you'd like to check out these curated items for yourself, you're in luck - because I share all of it with the Listener Community in the Free Facebook Group - The Daily Gardener Community. There’s no need to take notes or search for links - the next time you're on Facebook, just search for Daily Gardener Community and request to join. I'd love to meet you in the group. Brevities #OTD On this day in 1492, Christopher Columbus notes in his diary: "I climbed a mountain and came to level ground, which was sown with many different crops and with gourds." The gourds Columbus was referring to were squashes that were used for more than food. After the skin had been cleaned and dried, the skins were used as utensils. #OTD On this Day in 1586, Sir Thomas Herriot introduced Colombian potatoes to England. Over fifty years earlier, the Spanish had been the first to discover potatoes - but Herriot's potatoes were the first to reach England. Harriot had spent time in Sir Walter Raleigh’s English colony on Roanoke Island in modern-day North Carolina. There, he studied not only wildlife but also potatoes from Columbia. Herriot was also an astronomer. In July of 1609, he created a drawing of the moon through a telescope over four months before Galileo. #OTD Today is the anniversary of the death of the French botanical painter for King Louis the XIV and XV, Claude Aubriet, who died on this day in 1742. When Aubriet was appointed "Painter to the King" after the death of his master Jean Joubert in 1707, he technically didn't have the right credentials because he didn't belong to the Academy of painting and sculpture. But, the King approved Aubriet's appointment anyway, and he lived at the Royal Garden until he died. Aubriet was sponsored by the French botanist Joseph Pitton de Tournefort to create over a thousand illustrations for his acclaimed book - Elements of Botany. Other botanists, including Sebastien Vaillant and Antoine Jussieu also hired Aubriet to do their illustrations. During his time at court, Aubriet painted twenty-four miniatures a year for 35 years resulting in nearly 600 vellums for the royal collection. Today, they are preserved at the Museum national d’Histoire Naturelle of Paris. What distinguishes Aubriet’s work was his desire to paint all the known species in both the animal and plant kingdoms. Aubriet painted fish and insects and birds and mammals - in addition to plants. In 1722, Aubriet changed his will. His most prized possession was a cabinet he had inherited from his former master Jean Joubert. Aubriet left the cabinet to his friend, the botanist Bernard Jussieu. The cabinet was described this way: “In a wood veneer, exquisite paintings of parrots... ornamented the panels ... with their golden border.” As you might have already suspected, the genus Aubrieta (“Aubreesha”) was named for Claude Aubriet by the French Botanist Michel Adanson. Aubrieta is an ornamental plant, and it grows well in rock gardens. The leaves resemble succulents, and after flowering, a light clip will encourage new shoots. #OTD On this day in 1873, the gardener and writer Henry Arthur Bright began a diary, which would become known as the book "A Year in a Lancashire Garden" - one of the most beloved garden biographies of the nineteenth century. Bright's book would inspire future garden writers like Eleanor Vere Gorden Boyle, Henry Nicholson Ellacombe, Maria Theresa Earle, and Elizabeth Lawrence. Here are some excerpts from Bright's journal entry for this day in 1873. At the very end, he talks about making a potent tincture with petals from a Madonna Lily: "These notes are written for those who love gardens as I do... and they are written ... to convey to others some little of the delight, which grows (more certainly than any bud or flower) from the possession and management of a garden. Lancashire is not the best possible place for a garden, and to be within five miles of a large town is certainly no advantage. We get smoke on one side, and salt breezes on another, and, worst of all, there comes down upon us every now and then a blast, laden with heavy chemical odors, which is more deadly than either smoke or salt. Still, we are tolerably open, and in the country. These are certainly what the American poet Bryant calls “the melancholy days, the saddest in the year.” The late autumn flowers are over; —the early spring ones are still buried under the soil. I could only find this morning a single blighted monthly Rose, a Wallflower or two, an uneasy-looking Polyanthus, and some yellow Jasmine against the house—and that was all. Two days of early frost had killed the rest. Lastly, the Chrysanthemums are in flower. The Chrysanthemum has three merits above almost every flower. It comes in the shortest and darkest days; it blooms abundantly in the smoke of the largest cities; it lasts longer than any flower when cut and put into water. If flowers have virtues, the virtue of the Chrysanthemum is its unselfish kindliness. In the hybrid beds, I shall plant a number of roots of the Lilium candidum—the dear old white Lily of cottage gardens. And as I write I am told of a recipe [using] the firm white petals. You must gather them while still fresh, place them unbroken in a wide-necked bottle, packed closely and firmly together, and then pour in what brandy there is room for. In case of cut or bruise, no remedy is more efficacious and certainly none more simple." Unearthed Words “There are many in this old world of ours who hold that things break about even for all of us. I have observed, for example, that we all get the same amount of ice. The rich get it in the summertime, and the poor get it in the winter.” - Bat Masterson - who had a Daylily named in his honor "An onion can make people cry, but there's never been a vegetable that can make people laugh." - Will Rogers It's Time to Grow That Garden Library with Today's Book: Vegetables Love Flowers by Lisa Mason Ziegler The subtitle for this book is Companion Planting for Beauty and Bounty. As the description of this book reminds us, "Planting vegetables and flowers together is one of the oldest ways to create a healthy, bountiful garden, but there's more to the method than you might think. Vegetables Love Flowers will walk you through the ins and outs of companion planting, from how it works to which plants go together and how to grow the best garden for your climate." Lisa provides excellent guidance on how to incorporate flowers into a vegetable garden. She offers helpful tips and ideas for stunning vegetable gardens that are full of color - btw, the images in this book are beautiful. If you've ever wondered how you can enjoy a year of beauty in your garden - growing both healthy veggies and gorgeous flowers to boot, this book will be an Inspiration. Today's Recommended Holiday Gift for Gardeners: Hoffman 17502 Charcoal Soil Conditioner, 24-Ounce $5.99 Charcoal soil conditioner Improves drainage and absorbs impurities Horticultural charcoal is an additional item recommended by garden writers for custom mixing potting Will not burn releases nitrogen slowly, feeding plants over a long period, pelletized for easy application This is the kind of coal a gardener would love to find in their stocking. Something Sweet Reviving the little botanic spark in your heart Today is the 100th anniversary of the death of the impressionist painter Pierre-Auguste Renoir who died on this day in 1919. There's a little-known story about Renoir. For many years, he hung a sign on his garden gate which read, "No Renoirs sold here. Beware the dog." Pierre-Auguste Renoir said, when he was painting flowers, he was able to paint “freely and boldly without the mental effort he made with a model.” He said “If you paint the leaf on a tree without using a model, your imagination will only supply you with a few leaves,” he said. “But Nature offers you millions, all on the same tree. … The artist who paints only what is in his mind must very soon repeat himself.” It was Renoir who said, “The pain passes but the beauty remains.” “What seems most significant to me about our movement [Impressionism] is that we have freed painting from the importance of the subject. I am at liberty to paint flowers and call them flowers, without their needing to tell a story.” Thanks for listening to the daily gardener, and remember: "For a happy, healthy life, garden every day."
Diplômée d’un doctorat en ethnologie au Muséum National d’Histoire Naturelle sur la conservation des orangs-outans à Bornéo, Emmanuelle Grundmann est primatologue, conférencière, autrice et travaille régulièrement comme conseillère scientifique bénévole à travers diverses ONG. Au cours de cette conversation, elle nous parle des atouts de l’huile de palme pour les industriels, de conflits d’intérêts, d’orangs-outans, de déforestation et d’une recette magique pour un nutella maison. Suivez les actualités d'Emmanuelle Sur Facebook Les adresses coups de coeur d'Emmanuelle - La maison du mochi, une pâtisserie traditionnelle japonaise, 39 rue du Cherche-Midi (Paris VI): "Pour ma part, je ne vais pas sur place mais les commande à Mathilda qui a su mettre tout le Japon dans ses créations et à chaque bouchée, c’est un voyage dans ce pays que j’aime." - Indonesia, un restaurantau 12 rue de Vaugirard (Paris VI): "Un endroit chargé de souvenirs pour moi et de précieuses rencontres." Ont été mentionnés dans l'épisode - Magazine La hulotte - Sunlight Soap - Cléa Cuisine - Greenpeace Abonnez-vous à MYLK sur iTunes Stitcher Spotify Deezer Podcast Addict Google Podcast Retrouvez MYLK sur Instagram et Facebook @mylkpodcast Découvrez les épisodes et encore plus sur https://www.mylkpodcast.com N'hésitez pas à donner 5 étoiles au podcast sur l'appli que vous utilisez pour le faire connaître et à vous y abonner pour ne manquer aucun épisode! Musique de générique: https://soundcloud.com/cybersdf/dolling
durée : 00:10:43 - Escale verte - par : Aurélie Luneau - Escale verte avec Catherine Vadon, océanographe, Maître de Conférences au Muséum national d’Histoire naturelle et adepte de la plongée - invités : Catherine Vadon biologiste, océanographe, et maître de conférence au Museum d’Histoire Naturelle
durée : 00:57:42 - De cause à effets, le magazine de l'environnement - par : Aurélie Luneau - #SauverLePrésent | De la 5G aux compteurs Linky, doit-on avoir peur ? - réalisation : Alexandra Malka - invités : Arnaud Durand, avocat au barreau de Paris Avocat au barreau de Paris; René De Sèze Directeur de recherche et médecin spécialiste des effets des champs électromagnétiques à l’Ineris, Institut national de l’environnement industriel et des risques; Annie Sasco Médecin épidémiologiste, ayant travaillé au Centre International de Recherche sur le Cancer (CIRC); Catherine Vadon biologiste, océanographe, et maître de conférence au Museum d’Histoire Naturelle
Spécialement dédiée aux abeilles, cette nouvelle exposition est imaginée autour du travail photographique d’Éric Tourneret. Entre approches scientifiques et culturelles, laissez-vous transporter dans le monde extraordinairement riche et fascinant de ces pollinisateurs
Cette année la BU propose encore une fois un programme riche et varié pour sa rentrée culturelle avec des partenariats divers, Le Studio, Le Muséum d'Histoire Naturelle, Le Conservatoire Arthur Honnegger, et Le Phare entre autres. Alice Séqué-Weil revient pour Ouest Track Radio sur cette saison et ce qu'elle nous réserve ! Plus d'infos sur le site de la Bibliothéque Universitaire : https://bu.univ-lehavre.fr/expositions-rencontres/agenda-2019-2020/article/programme-culturel
durée : 00:58:45 - Les Cours du Collège de France - Quand l’olivier a-t-il été "domestiqué" par les hommes, demande l’archéologue Jean-Pierre Brun? Comment est-il un symbole ancien d’éternité? Comment sa culture s’est-elle répandue dans tout le Bassin Méditerranéen pendant l'Antiquité? Comment naît la fameuse "triade céréales, vignes et oliviers"? - réalisation : Anne Sécheret - invités : Jean-Pierre Brun Archéologue, Professeur au Collège de France, titulaire de la chaire Techniques et économies de la Méditerranée antique.
L’Homme influence l’évolution d’une biodiversité dont il dépend pour se nourrir. De la sélection paysanne aux biotechnologies, quelles initiatives permettront de produire les graines qui garantiront l’alimentation de demain ?Face aux changements climatiques et à la nécessité écologique de réduire l’utilisation de produits chimiques dans les champs, la création de nouvelles variétés de plantes cultivées doit surmonter d’importants défis. En trame de fond, ce film pose la question fondamentale du rapport de l’homme à la nature.Tandis que Pierre-Henri Gouyon, évolutionniste au Muséum d’Histoire Naturelle de Paris, et Christophe Bonneuil, historien au Centre National de la Recherche Scientifique, apportent leur éclairage scientifique, Guy Kastler du Réseau Semences Paysannes et François Burgaud du Groupement National de l’Interprofession des Semences nous livrent leurs visions opposées de l’avenir, synthèse de leurs vies professionnelles dévouées aux semences. Avec la participation d’agriculteurs producteurs de semences et plants, et de nombreux chercheurs de l’Institut National de la Recherche Agronomique et de l’International Center for Agriculture in Dry Areas (ICARDA, Syrie).Bonus DVD :Qui parle de Breveter le Vivant ?36 minutes pour comprendre les enjeux marchands des semences modifées (Honorine Perino, 2003).Le DVD comporte des sous-titres anglais
• • L’oeil du scénographe • • Cette semaine je vous propose un épisode avec le scénographe Gilles Taschet. En écoutant cette conversation vous comprendrez mieux ce qu’était le métier de scénographe. Diplômé de l’École Nationale Supérieure des Arts Décoratifs à Paris, Gilles travaille sur des processus bien particuliers pour mettre en scène le « beau » et pour que le public soit touché et captivé – que ce soit au théâtre, à l'opéra mais aussi dans les musées et même dans l’espace commercial. C’est Gilles Taschet qui a par exemple coordonné toute la mise en place des Collections de la Grande Galerie de l’Evolution du Muséum National d’Histoire Naturelle à Paris, ainsi que celle des Salles chronologiques des Antiquités Egyptiennes du Musée du Louvre. Dans cet épisode, Gilles nous partage son parcours depuis sa sortie des Arts Décoratifs et nous explique, à travers ses différentes expériences et de nombreuses anecdotes, sa vision de la scénographie et nous explique aussi en quoi l’espace de vente gagne à s'inspirer de la scénographie. Il nous fait également entrer dans le processus de la scénographie qu’il a créé pour la pièce du grand dramaturge suédois Lars Norèn qui s’intitule Pur. Puis, on parle de l’espace, du récit, de l’imaginaire, du vide, mais aussi de sa passion pour laphotographie, les objets, le design et l’art contemporain. Vous verrez cet épisode est passionnant ! Très bonne écoute
Qui ne sʹest émerveillé en découvrant un nid dʹoiseaux avec des œufs. Aujourdʹhui, ramasser des oeufs est strictement interdit, mais il existe dʹanciennes collections qui sont riches dʹenseignements. Qui de lʹœuf...? C'est dans Chouette! Nancy Ypsilantis reçoit Laurent Vallotton, biologiste et adj. scientifique au Musée dʹhistoire naturelle de Genève.
Emmanuelle Pouydebat nous invite au pays des merveilles animales avec 35 rencontres étonnantes, emblématiques, inimaginables et forcément poétiques. Nancy Ypsilantis reçoit Emmanuelle Pouydebat, éthologue, dir. de recherche au CNRS et au Muséum National d'Histoire Naturelle de Paris.
durée : 00:57:47 - Les Savanturiers - par : Fabienne Chauvière - Depuis plus de 20 ans Sabrina Krief, vétérinaire et professeure au Muséum National d’Histoire Naturelle, observe les chimpanzés en Ouganda. Ces grands singes, victimes des activités humaines, trouvent en forêt les plantes et les écorces pour tuer des vers ou lutter contre la toux. Ils pratiquent l’automédication.
Emmanuelle Pouydebat nous invite au pays des merveilles animales avec 35 rencontres étonnantes, emblématiques, inimaginables et forcément poétiques. Nancy Ypsilantis reçoit Emmanuelle Pouydebat, éthologue, dir. de recherche au CNRS et au Muséum National d'Histoire Naturelle de Paris.
durée : 00:59:42 - Les Petits matins - Eric Tourneret vous parle de l'exposition "Abeilles, une histoire naturelle", et Valérie Niquet des relations diplomatiques entre les Etats-Unis et le Japon. Les chroniques s'intéressent à la question de la technique et
En librairie le 10 mai et sur https://www.lesbelleslettres.com/livre/3983-histoire-naturelle-de-la-traduction. Qu’est-ce que la traduction ? À cette question fondamentale, Charles Le Blanc répond : son histoire. Et pour nous « raconter » la traduction telle qu’elle s’est incarnée au fil des âges, il fait ici appel à cinq contes et récits bien connus.
Happy May Day! Today, the tradition in France is to give a sprig of Lily of the Valley to loved ones. Originally from Japan, Lily of the Valley has long been considered lucky. It's sweet scent, belies it's high toxicity. Other names for Lily of the Valley include May Bells, Our Lady's Tears, and Mary's Tears. The French name, muguet, is a diminutive form mugue or muguete and means “musk”. Brevities #OTD Today we celebrate the May 1st birthday of French BotanistAimee Antoinette Camus ("kah-MEW") in 1879. In terms of ranking among female scientists, Camus is second in authoring land plants - with a total of 677 species. It's especially impressive given that only 3% of land plants are authored by women! Best known for her study of orchids, Camus was the daughter of botanist and pharmacist Edmond Gustave Camus. Together, Camus and her father collected more than 50,000 specimens for their family herbarium. Her father sparked her passion for orchids and plant anatomy. More than that, he offered connections with some of the best French botanists of her day. She gave the name of Neohouzeaua ("Neo-who-zoh-ah")to a genus of seven tropical bamboo, in honor of the lifelong work that Jean Houzeau de Lehaie ("Who-zoh-do-lou-ay")had devoted to the understanding of the botany and propagation of bamboo in Europe and Africa. Camus also authored horticulture books to appeal to the masses and she was always forecasting the latest in botany. When plants arrived from the French colonies, she would attempt to calculate the economic value of the plants. She spent her entire professional career at the Museum d’Histoire Naturelle in Paris. To this day, Camus's monumental work remains the most comprehensive classification of the oak genus Quercus ("Qirkus"). Her book is simply called, The Oaks, and Camus wrote this in her introduction, “The oak forest that enabled our ancestors to fight against hunger, cold, darkness, that gave them shelter, weapons, construction materials, furniture, boats, means of transport, is today in part free from these obligations. Coal, iron, cement, concrete are all replacing wood; but the Oak with its qualities remains of great usefulness to man and its protection is of the utmost importance. Further, while industrial expansion has brought ugliness to so many places, is not the forest one of the last havens of beauty?” #OTD On this day in 1893, The Chicago World's Fair opened and drew in more than 27 million visitors. Frederick Law Olmsted, of Central Park fame, designed the Exposition’s landscape. The vision for Chicago was to have it live up to its founding motto, “urbs in horto,” or “City in a Garden”. Flower Painter Augusta Dohlmann's work was displayed at the Fair. The Fair itself was a display of flora the likes of which the world had never seen. Designed by the inventor of the skyscraper, William LeBaron Jenney, the Horticultural building covered more than 4 acres of the fair grounds. There were eight different greenhouses at the Fair to help coordinate the elaborate schedule of flowers to be displayed over the Fair's six-month run. The various state buildings brought their own native flowers and fruits. The Midwest exhibit had a building made from corn-on-the-cob and Missouri created a St. Louis Bridge made entirely out of sugar cane. In the Agricultural Building, the Japanese exhibit included a garden. Denise Otis wrote in her book Grounds for Pleasure: “After Americans saw the Japanese garden ..., they became prized features on the estates of those who collected gardens in different styles.” #OTD On this day in 1943, botanist Arthur Galston realizes that excessive use of a plant growth hormone causes catastrophic defoliation. Galston recognized that the effects of using the hormone could be harmful to humans and the environment. Nonetheless, the Army moved forward, using Galston's work to develop herbicides during war to destroy enemy crops and it would be shipped in steel drums marked with an orange stripe; inspiring in the common term for the herbicidal weapon: Agent Orange. Galstondecried the use of his early research saying:“I thought it was a misuse of science. Science is meant to improve the lot of mankind, not diminish it - and its use as a military weapon I thought was ill-advised.” #OTD It's the birthday of Wolcott Andrews, a New York City landscape architect who lived in Wiscasset ("Wis-cass-it"), Maine. Andrews received a master's degree in landscape architecture from the Harvard School of Design in 1930. Andrews started out working with New York City's Parks Department. That experience afforded him the chance to partner with Frederick Law Olmsted Jr. in designing and constructing Fort Tryon Park in upper Manhattan, the site of the Cloisters. Andrews eventually became the senior landscape architect for the New York City Housing Authority for more than 20 years, retiring in 1966. A noted NYC landscape architect, Andrews was president of the New York chapter of the American Society of Landscape Architects and of the American Federation of Fine Arts of New York City. He was also a trustee of the Municipal Arts Society. Back home in Wiscasset, Maine's prettiest town , Andrews left his mark. He teamed up with fellow Wiscasset resident Marguerite Spilsbury Rafter; a direct lineal descendant of José Maria Castro Madriz, the first president of Costa Rica. Together, they accomplished their proudest achievement in 1977, registering Wiscasset in the National Register and creating the Wiscasset Historic District. Today - The Buffalo Cherry Blossom Festival in Buffalo, New York kicks off. The festival runs May 1st - 5th. Unearthed Words Today is the birthday of the poet Phoebe Hinsdale Brown, poet, was born at Canaan, New York in 1783, of New England parentage. A religious woman, she was the first notable American female hymn-writer. The story of how she came to composethe lines, " I love to steal awhile away from every cumbering care," will pierce your gardener's heart. She'd developed a ritual of going to the edge of neighbor's garden for meditation and prayer. When her well-worn path along her neighbor's garden was discovered, she was ridiculed.In tears later that evening, Brown wrote "Twilight Hymn" and she recalled, "After my children were all in bed, except my baby, I sat down in the kitchen, with my daughter in my arms, when the grief of my heart burst forth in a flood of tears. I took pen and paper, and gave vent to my oppressed heart... In the original the first stanza was: 'I love to steal awhile away from little ones and care.' This was strictly true. I had four little children; a small, unfinished house; a sick sister in the only finished room; and there was not a place, above or below, where I could retire for devotion, without [being] interrupted... But there was no dwelling between our house and the one where that lady lived. Her garden extended down a good way below her house, which stood on a beautiful eminence,... I used to steal away... going out of our gate, [strolling] along under the elms that were planted for shade on each side of the road. And, as there was seldom any one passing that way after dark, I felt quite retired and alone with God. I often walked quite up to that beautiful garden, and sniffed the fragrance of the peach, the grape, and the ripening apple, if not the flowers. I never saw any one in the garden, and felt that I could have the privilege of that walk and those few moments of uninterrupted communion with God without encroaching upon any one; but, after once knowing that my steps were watched and made the subject of remark and censure, I never could enjoy it as I had done. I have often thought Satan had tried his best to prevent me from prayer, by depriving me of a place to pray." Here is the original version of her poem. Yes, when the toilsome day is gone, And night, with banners gray, Steals silently the glade along In twilight's soft array, I love to steal awhile away From little ones and care, And spend the hours of setting day In gratitude and prayer. I love to feast on Nature's scenes When falls the evening dew, And dwell upon her silent themes. Forever rich and new. I love in solitude to shed The penitential tear, And all God's promises to plead Where none can see or hear. I love to think on mercies past. And future ones implore, And all my cares and sorrows cast On Him whom I adore. I love to meditate on death! When shall his message come With friendly smiles to steal my breath And take an exile home? Today's book recommendation Straight from the Des Moines Botanic Garden - hosting their first-ever Botanical Book Club today on May 1st, they will discuss “The Orchid Thief: A True Story of Beauty and Obsession” by Susan Orlean. It's a fascinating story - why would someone steal orchids?The Orchid Thief is based on Orlean's investigation of the 1994 arrest of John Laroche ("La Rōsh") and a group of Seminoles in south Florida for poaching rare orchids in the Fakahatchee Strand State Preserve. The book is based on an article that Orlean wrote for The New Yorker, published in the magazine's January 23, 1995 issue. Plant dealer Laroche was determined to find and clone the rare ghost orchid for profit. Today's Garden Chore Learn to plant bare root roses. There's a first time for everything and once you get comfortable with planting bare root stock, you'll wonder why you didn't do it sooner. Chris Van Cleve over at The Redneck Rosarian has a nice step by step guide.And, I love this piece of advice he shares - a good general reminder for us all: When you are working with bare root stock, "Notice the large and then small fibrous type roots. The fibrous roots are feeder roots. Do not remove them, they are essential for taking in nutrients to the plant." Something Sweet Reviving the little botanic spark in your heart While I was researching the 1893 Chicago World's Fair, I learned that it was the origin for the concept of the state flower. At the Fair, each state was asked to chose an emblematic flower for a national garland. Remember, this was the floweriest Fair the world had ever seen. After the Fair, states began adopting floral emblems. Some states acting quickly, others taking their time. Some picking flowers that other states had already adopted. Others insisting on something unique. Seldom were the selections made without some controversy. May 1st has seen the adoption of State Flowers for two states: Illinois and Massachusetts. On this day in 1908, Illinois adopted the Purple Violet as the State Flower. On this day in 1918 Massachusetts adopted the Mayflower (Epigaea repens) also commonly known as trailing arbutus or ground laurel, as the flower or floral emblem of the Commonwealth. And, here's a quick final thought about the trailing arbutus. It is often mentioned as a sweet harbinger of spring. Longfellow referred to the arbute in his lines "To a Child," from 1846. He tells how an Indian peasant made a discovery of silver, when he fell and accidentally grabbed the trailing arbutus to break his fall: In falling, clutched the frail arbute, The fibres of whose shallow root, Uplifted from the soil, betrayed The silver veins beneath it laid, Thanks for listening to the daily gardener, and remember: "For a happy, healthy life, garden every day."
Nouvelle expo au Muséum : Abeilles, une histoire naturellepar Alice MichonnetExposition du 6 avril au 10 novembre 2019Imaginée et conçue autour du travail d’Eric Tourneret et des scientifiques experts avec qui il a travaillé en France et à l’étranger, l’objectif de cette exposition est de donner à voir les toutes dernières découvertes scientifiques sur les abeilles (communication, intelligence, organisation de la colonie, etc.) mais aussi de raconter la relation de l’Homme et de l’abeille autour de la quête du miel.Vous saurez tout sur les abeilles à travers des photographies (dont de nombreuses inédites), des vidéos (interviews de chercheurs, reportages aux quatre coins du monde), une immersion sonore, les collections du Muséum du Havre, et des dispositifs pédagogiques : maquette, ruches pédagogiques, ruche vitrée (installée depuis 1985 au Muséum du Havre), parcours quiz, tactile, jeux et carnets de découverte (support d’accompagnement à la visite). Le jeune public ne sera pas en reste puisqu'un parcours lui sera dédié dans toutes les salles d’exposition, un espace de 100m² lui sera entièrement conçu au sein du parcours, et il pourra bénéficier d'une offre d’ateliers et de rendez-vous de médiation. Programme des vacances de Printemps :Du 6 au 21 Avril...MARDI10 h 30 : atelier 5-6 ans « Le monde de Maya »16 h : quart d’heure des curieux « Le génie des abeilles »MERCREDI10 h 30 : atelier 7-10 ans « Les secrets des abeilles »16 h : quart d’heure des curieux « les phasmes »JEUDI16 h : quart d’heure des curieux « Le génie des abeilles »VENDREDI10 h 30 : atelier 5-6 ans « Le monde de Maya »16 h : quart d’heure des curieux « les phasmes »SAMEDI 16 h : visite guidée de l’expositionDIMANCHE10 h 30 : atelier 2-5 ans « Se déplacer comme les animaux »16 h : quart d’heure des curieux « Le génie des abeilles » Ateliers : 3 € par enfant, sans réservation (attention, pendant les vacances, pensez à venir un peu en avance !)Quart d’heure des curieux : sans réservation, compris dans le billet d’entrée ÉVÉNEMENTS en AVRIL SCIENCES SUR CANOPÉE ! RETROUVEZ LE MUSÉUM SUR OUEST TRACK Embarquez avec nous pour de passionnants échanges ! Nous vous emmènerons à la rencontre des chercheurs, photographes et passionnés qui œuvrent pour la protection des espèces et de leur milieu.Interviews diffusées sur Ouest Track Radio et en podcast sur www.ouest-track.comAteliers, conférences, débats, visites insolites, contes, projections, nocturnes : le Muséum vous propose un large éventail de possibilités pour se plonger au cœur des collections et se passionner pour les thématiques scientifiques… http://www.museum-lehavre.fr/fr/expositions/abeilles-une-histoire-naturelle#detail
•• L’oeil du scénographe •• Cette semaine je reçois le scénographe Gilles Taschet. J’ai voulu inviter Gilles sur ce podcast pour mieux comprendre ce qu’était le métier de scénographe. Diplômé de l’École Nationale Supérieure des Arts Décoratifs à Paris, Gilles travaille sur des processus bien particuliers pour mettre en scène le « beau » et pour que le public soit touché et captivé – que ce soit au théâtre, à l'opéra mais aussi dans les musées et même dans l’espace commercial. C’est Gilles Taschet qui a par exemple coordonné toute la mise en place des Collections de la Grande Galerie de l’Evolution du Muséum National d’Histoire Naturelle à Paris, ainsi que celle des Salles chronologiques des Antiquités Egyptiennes du Musée du Louvre. Dans cet épisode, Gilles nous partage son parcours depuis sa sortie des Arts Décoratifs et nous explique, à travers ses différentes expériences et de nombreuses anecdotes, sa vision de la scénographie et nous explique aussi en quoi l’espace de vente gagne à s'inspirer de la scénographie. Il nous fait également entrer dans le processus de la scénographie qu’il a créé pour la pièce du grand dramaturge suédois Lars Norèn qui s’intitule Pur. Puis, on parle de l’espace, du récit, de l’imaginaire, du vide, mais aussi de sa passion pour laphotographie, les objets, le design et l’art contemporain. Vous verrez cet épisode est passionnant ! Très bonne écoute
Le programme des activités du Muséum d'Histoire Naturelle du Havre durant les vacances de la Toussaint par Alice Michonet>>> http://www.museum-lehavre.fr/
Présentation de Diyar Mehrovi, musicien Kurde domicilé au Havre qui ce produira le 20 juin au Conservatoire Arthur Honneger, le 21 juin à 12h30 dans le Hall de l'Hotel de Ville, à 15h45 au Musem d'Histoire Naturelle et à 17h00 à La Fabrique des Quartiers Sud.>>> https://www.facebook.com/DIYARy7376/
Si l’épistémologie étudie la production des connaissances, l’agnotologie s’intéresse à la production des ignorances. Partant de cette idée, la conférence de Richard-Emmanuel Eastes proposera quelques réflexions sur la connaissance, la science et la vérité en explorant systématiquement leurs contraires, interrogeant notamment leurs articulations et influences réciproques. L’ignorance est-elle l’exact contraire de la connaissance ? La science produit-elle des vérités et, réciproquement, la vérité ne peut-elle être établie que scientifiquement ? Autant de questions qui nous conduiront progressivement à interroger la place de la science dans le monde actuel et les raisons qui nous poussent à rechercher des réponses existentielles dans les parasciences, ésotérismes, créationnismes et autres conspirationismes. Agrégé de chimie, docteur en sciences de l’éducation et en philosophie, Richard-Emmanuel Eastes est chercheur associé au Muséum d’Histoire Naturelle de Neuchâtel, conseiller académique de la société Creaholic (Bienne), conférencier, formateur, chroniqueur, essayiste et consultant en communication publique de la science et en ingénierie cognitive auprès de la société SEGALLIS (Porrentruy). Il dirige également le centre de soutien à l’enseignement (SADAP) de la HES-SO. http://www.richard-emmanuel.eastes.eu Cette conférence a été enregistrée au Club 44 le 12 juin 2018.
Durant cette Nuit des Musées Européennes, Corentin et Matthieu ont silloné la ville pour découvrir les animations proposées par les différents musées de la Ville du Havre avec un dispositif de studio mobile encore jamais testé sur Ouest Track Radio.Rencontre avec la Maison du patrimoine, le Muma et le Muséum d'Histoire Naturelle.Après un échec cuisant devant l'Hotel Dubocage de Bléville, ils finiront leur périple au quartier Saint François où se déroulait la Fest Yves.
Soutenez nous sur Patreon.com/PodcastScience // Retrouvez nous sur PodcastScience.fm // Twitter: Twitter.com/PodcastScience // Facebook: Facebook.com/PodcastScience // Cette semaine nous recevons quelqu’un de vraiment extraordinaire. Certes, il est professeur au Museum National d’Histoire Naturelle, mais après tout ce n’est pas le premier et il y en aura d’autres. Certes, il a écrit un livre dont le titre est digne des meilleurs ouvrages de thérapie de groupe: “Jamais seul”. Ou un autre qu’on peut utiliser en thérapie de couple peut-être: “la symbiose”. Mais nan, ce qui est remarquable avec Mr le Professeur Sélosse, c’est qu’il aime se balader en costume-cravate rose pour se faire prendre en photo avec un dinosaure en train de plonger dans des fougères arborescentes (voir notre page web!). Notre spécimen d’Homo sapiens aujourd’hui présent semble beaucoup aimer se saper. Si si, regardez toutes les entrées sur google quand vous tapez son nom, et vous verrez… Mais arrêtons de lui chercher la petit bête, Marc-André va nous parler aujourd’hui de microbes et il va nous montrer combien on a toujours besoin d’un plus petit que soi… Vous êtes avec nous pour l’émission 306 de PodcastScience, le 3 juillet de l’an 2017, et bienvenue! Images et notes : http://www.podcastscience.fm/emission/2017/08/16/podcast-science-306-jamais-seul-les-microbes-avec-le-professeur-selosse
Du 31 mars 2017 au 8 janvier 2018
L’éthologue autrichien Karl von Frisch fut le premier à comprendre en quoi consistait le langage des abeilles, une découverte qui lui valut le prix Nobel en 1973. L’abeille est capable de transmettre à ses congénères des messages destinés à leur indiquer une source de nourriture par une danse à l’intérieur de la ruche. Notre experte Science Marie-Odile Monchicourt parle de cette information avec Pierre-Henri Gouyon, Professeur au Muséum National d’Histoire Naturelle, à l’AgroParisTech et à Sciences Po. Et en parlant de transmission, savez-vous ce que sont les "mèmes" ? Retrouvez nous sur Facebook : http://www.facebook.com/neoplanete Twitter : http://twitter.com/neoplanete ou sur notre site internet : http://www.neoplanete.fr
Sanat Hayat: 29 Eylül 2015 29 Eylül programında Tayfun Serttaş'la devam etmekte olan sergisi "Le Musée d'Histoire Naturelle de Constantinople" üzerine konuşuyoruz. Sergi 13 Kasım'a kadar Studio-X İstanbul'da ziyaret edilebilir, serginin finali ise yine aynı mekanda kitap lansmanı ile yapılacaktır.
This lecture is in French. Second lecture of the Sade, l'inconnu? Nouvelles approaches critiques conference.
Pierre-Henri GOUYON, professeur au Muséum National d’Histoire Naturelle, à l’AgroparisTech, à Sciences Po (Paris), à l’ENS Paris, France
La religion et la religiosité des Gaulois sont longtemps demeurées objets de mystère et de fantasme. En l’absence de méthode d’étude scientifique, jusqu’au XXe siècle, les historiens se sont fondés sur quelques textes antiques (La Guerre des Gaules de César, un passage de l’Histoire Naturelle de Pline et un autre de La Pharsale du poète Lucain) pour imaginer cette religion, plus qu’ils n’ont cherché à la reconstituer. Du Moyen Âge à la Révolution Française, les Gaulois ont eu mauvaise presse ; on les considérait comme des barbares et on leur préférait les Francs. Leurs rites et leurs croyances étaient donc censés refléter l’absence de civilisation qu’on leur reprochait. On a pensé jusque dans les années 1960, qu’ils ne possédaient pas de lieu de culte propre, qu’ils procédaient à des sacrifices d’humains ou d’animaux sauvages en pleine forêt, que leurs dieux n’étaient que des forces naturelles personnifiées. La découverte du premier sanctuaire gaulois à Gournay-sur-Aronde a bouleversé cette vision misérabiliste de la religiosité des habitants de la Gaule. Elle a invité les historiens à reprendre la lecture de la littérature antique avec une autre grille d’analyse et à interroger des auteurs, longtemps oubliés, notamment Diodore de Sicile et Strabon. Ces deux sciences, l’archéologie et la philologie ont depuis quarante ans fait accomplir des progrès considérables à la connaissance de la spiritualité gauloise. Conférence de Jean-Louis Brunaux, archéologue, directeur de recherche au CNRS, laboratoire d'Archéologie de l'École normale supérieure (ENS)
Titre : Histoire naturelle des deux éléphans, mâle et femelle, du Muséum de Paris, venus de Hollande en France en l'an VI,... par J.-P.-L.-L. Houel,... Auteur : Houel, Jean-Pierre-Louis-Laurent (1735-1813) Éditeur : l'auteur (Paris) Date d'édition : 1803 Sujet : Elephant Sujet : Paris, Museum d'histoire naturelle, 1803 Format : In-fol., 122 p., pl. Source : Bibliothèque nationale de France, département Réserve des livres rares, S-1440
By: Sicard, Guillaume, 1829-1886Publication Details: Paris, C. Delagrave, 1883Contributed By: New York Botanical Garden, LuEsther T. Mertz Library
2008_2009 Archeorient : Les matières périssables au Proche-Orient
De la momie au parasite: la nécropole de Kerma (Soudan) entre 2500 et 1700 avant J.-C: un site exceptionnel de préservation des matières organiques