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Vistazo Podcast
Microvistazo | Conaie anuncia el cese del paro y ordena despejar las vías

Vistazo Podcast

Play Episode Listen Later Oct 23, 2025 4:15


- Conaie anuncia el cese del paro y ordena despejar las vías tras un mes de manifestaciones- Daniel Noboa anuncia reducción gradual de precio del diésel hasta USD 2.70- Allanan la ATM de Guayaquil por presunta asociación ilícita ligada a los Chone Killers: hay seis detenidos- Directora provincial de la Judicatura en Orellana sufrió un ataque armado, pero salió ilesa- Gustavo Petro afirma que el 'Cartel de los Soles' es otro que opera desde Ecuador con 'mafiosos' de Bogotá

Noticias El Heraldo de México
Intentan envenenar al presidente ecuatoriano Daniel Noboa

Noticias El Heraldo de México

Play Episode Listen Later Oct 22, 2025 2:07


Hosted on Acast. See acast.com/privacy for more information.

Noticias El Heraldo de México
Intentan envenenar al presidente ecuatoriano Daniel Noboa

Noticias El Heraldo de México

Play Episode Listen Later Oct 22, 2025 2:07


Hosted on Acast. See acast.com/privacy for more information.

Entérese con EL COMERCIO
Información al día: Conaie impulsa el ‘No' en Imbabura; Caen corruptos en la ATM; Noboa pide adelantar décimo sueldo; Ecuador despide a Paulina Tamayo; ‘Chito' Vera baja en la UFC.

Entérese con EL COMERCIO

Play Episode Listen Later Oct 22, 2025 5:00


Información al día de EL COMERCIO, Platinum y Radio Quito este miércoles 22 de octubre de 2025La Conaie traslada el peso del paro a Imbabura y centra su estrategia en la campaña por el ‘No'; Autoridades anuncian desarticulación de red de corrupción en la ATM de Guayaquil; Daniel Noboa pide a la banca sumarse al pago anticipado del décimo tercer sueldo;Ecuador despide a Paulina Tamayo, 'La Grande del Ecuador', en el Teatro Nacional de la Casa de la Cultura Ecuatoriana; Marlon ‘Chito' Vera descendió en el ranking de peso gallo de la UFCGracias por escuchar este podcast, un producto de Grupo EL COMERCIO

Vistazo Podcast
Microvistazo | Falleció Paulina Tamayo, leyenda de la música ecuatoriana, a los 60 años

Vistazo Podcast

Play Episode Listen Later Oct 22, 2025 3:50


- Falleció Paulina Tamayo, leyenda de la música ecuatoriana, a los 60 años- Daniel Noboa habría sido víctima de intento de envenenamiento tras recibir un obsequio- Aquiles Alvarez exige respuesta al Gobierno por el Porsche en casa de sospechoso del atentado en la Bahía- Protestas en Ecuador cumplen un mes sin acercamiento ni diálogo entre Gobierno e indígenas- Álvaro Uribe es declarado inocente de todos los cargos en su contra por la Justicia de Colombia

Pandemia Digital
REPRESIÓN CON MUERTOS EN PERÚ Y ECUADOR

Pandemia Digital

Play Episode Listen Later Oct 19, 2025 25:13


Analizamos la represión brutal en Perú y Ecuador, donde los gobiernos de ultraderecha responden con sangre a las protestas populares. En Perú, tras el golpe contra Pedro Castillo, el nuevo presidente José Gerí —acusado de corrupción y abusos sexuales— enfrenta manifestaciones con balas y un muerto confirmado. En Ecuador, Daniel Noboa reprime al movimiento indígena que protesta contra la eliminación del subsidio al diésel, dejando víctimas y heridos. Denunciamos la complicidad mediática e internacional, y el silencio cómplice de figuras como Isabel Díaz Ayuso ante estos crímenes de Estado. Mas vídeos de Pandemia Digital: https://www.youtube.com/c/PandemiaDigital1 Si quieres comprar buen aceite de primera prensada, sin intermediarios y ayudar de esa forma a los agricultores con salarios justos tenemos un código de promoción para ti: https://12coop.com/cupon/pandemiadigital/ Este video puede contener temas sensibles, así como discursos de odi*, ac*so, o discr*minación. El objetivo de abordar estos temas es exclusivamente informativo y busca concienciar a la audiencia sobre estos acontecimientos, y denunciar y señalar el origen de los mismos para crear consciencia y evitar su propagación. Si consideras que el contenido puede afectarte, te recomendamos proceder con precaución o evitar su visualización. ----------------------------------------------------------------------------------------------- Únete a nuestra comunidad de YouTube https://www.youtube.com/channel/UCFOwGZY-NTnctghtlHkj8BA/join Se mecenas de Patreon https://www.patreon.com/PandemiaDigital ----------------------------------------------------------------------------------------------- Súmate a la comunidad en Twitch - En vivo de Lunes a Jueves: https://www.twitch.tv/pandemiadigital Sigue nuestro Canal de Telegram: https://t.me/PandemiaDigital Suscríbete en nuestra web: https://PandemiaDigital.net Sigue nuestras redes: Twitter: https://twitter.com/PandemiaDigitaI Facebook: https://www.facebook.com/PandemiaDigitalObservatorio Instagram: https://www.instagram.com/pandemia_digital_twitch TikTok: https://www.tiktok.com/@pandemiadigital #PandemiaDigital

Journal d'Haïti et des Amériques
En Équateur, une trêve fragile après 24 jours de grève indigène

Journal d'Haïti et des Amériques

Play Episode Listen Later Oct 16, 2025 30:00


Alors qu'un deuxième indigène est mort mercredi (15 octobre 2025) après avoir été blessé par balles lors d'une manifestation, la situation s'est paradoxalement calmée dans la province d'Imbabura, épicentre de la grève depuis 24 jours. Un accord a été trouvé entre le gouvernement et des responsables indigènes, sans que la base ne soit forcément d'accord. Chronique d'une fin de grève avec notre correspondant Éric Samson. L'accord prévoit la libération de 43 manifestants, le retrait de l'armée des territoires indigènes et l'ouverture d'une table de travail pour examiner la hausse du prix du diesel, principale cause du conflit. Si le ministre de l'Intérieur John Reimberg a salué un «retour à la normalité», les divisions demeurent : plusieurs militants accusent leurs dirigeants de trahison et refusent de reconnaître l'accord. À Quito, des manifestations sporadiques ont encore eu lieu. Le calme retrouvé dans le Nord contraste avec la violence persistante dans le Sud, où une voiture piégée a explosé à Guayaquil et deux ponts ont été détruits dans des attentats attribués par le président Daniel Noboa aux mafias liées à l'exploitation minière illégale. La société équatorienne reste fracturée, et le racisme envers les populations indigènes s'est renforcé, selon un politologue interrogé sur place.   L'Uruguay légalise l'euthanasie, une première en Amérique latine Le Parlement uruguayen a adopté à une large majorité une loi historique légalisant l'euthanasie, une première dans la région. Le pays rejoint la Colombie et l'Équateur, où le suicide assisté est déjà dépénalisé par décision de justice, mais devient le premier à le permettre par voie législative. Le quotidien El País précise que la procédure sera réservée aux majeurs mentalement aptes, atteints d'une maladie incurable ou provoquant des souffrances insupportables, sur avis concordant de deux médecins. Si plus de 60% des Uruguayens soutiennent la loi, l'Église catholique y reste farouchement opposée, prônant le développement des soins palliatifs.   États-Unis : la future réforme de l'accueil des réfugiés jugée discriminatoire Selon le New York Times, l'administration Trump prépare une refonte radicale du système d'accueil des réfugiés, donnant la priorité à des candidats «blancs, anglophones et culturellement compatibles» avec les États-Unis. Les documents internes consultés par le quotidien évoquent une préférence pour des Européens conservateurs ou des Afrikaners d'Afrique du Sud, au nom d'une prétendue persécution. Cette orientation, fondée sur une vision identitaire, repose sur l'idée que «l'augmentation de la diversité» aurait affaibli la cohésion sociale américaine.   Brésil : le crime organisé gagne du terrain Les milices et factions criminelles contrôlent désormais des quartiers où vivent près de 19% des Brésiliens, soit environ 28 millions de personnes, selon une étude du Forum brésilien de la sécurité publique reprise par la Folha de São Paulo. Le phénomène touche toutes les classes sociales, mais se concentre dans les grandes villes et le Nord-Est. Les personnes noires sont plus exposées que les personnes blanches, souligne le journal. Cette emprise croissante s'accompagne de la multiplication de cimetières clandestins et de zones de consommation de drogue. Pour Renato Sérgio de Lima, président du Forum, il devient urgent de mieux coordonner les politiques de sécurité à l'échelle nationale.   Haïti : MSF annonce la fermeture du centre d'urgence à Turgeau Selon Le Nouvelliste, la fermeture annoncée du centre d'urgences de Médecins Sans Frontières (MSF) à Turgeau, prévue pour le 1er novembre 2025, en raison de l'insécurité grandissante, continue de susciter l'inquiétude. Nous en parlons avec Frantz Duval, rédacteur en chef du journal haïtien. Les conseillers présidentiels Fritz Alphonse Jean et Frinel Joseph ont rencontré une délégation de MSF pour évoquer les solutions possibles. L'organisation humanitaire est considérée comme un pilier de la réponse médicale à Port-au-Prince. Elle envisage des missions d'évaluation afin de «planifier une reprise des activités dans une zone aussi proche que possible du centre-ville», souligne la Présidence. Avec Frantz Duval, nous abordons aussi l'hommage rendu par Le Nouvelliste, à Robert «Bobby» Denis, figure qualifiée de «monument du son» en Haïti. Ingénieur de renom, formé à Radio Haïti avant de fonder le studio Audiotek, il a marqué plusieurs générations d'artistes par sa maîtrise du son et son exigence technique, explique Frantz Duval. Journal de la 1re Le ramassage de déchets en Martinique.

Il Mondo
Il piano di pace di Trump somiglia a una richiesta di resa. La protesta degli indigeni blocca l'Ecuador.

Il Mondo

Play Episode Listen Later Oct 10, 2025 22:06


Il 9 ottobre il presidente degli Stati Uniti Donald Trump ha annunciato che Israele e Hamas hanno raggiunto un accordo sulla prima fase di un piano di cessate il fuoco a Gaza. Con Lorenzo Trombetta, giornalistaIl 7 ottobre il veicolo su cui viaggiava il presidente dell'Ecuador, Daniel Noboa, è stato colpito da una fitta sassaiola mentre attraversava la provincia di Cañar, nell'Ecuador meridionale. Con Camilla Desideri, editor di America Latina di Internazionale. Oggi parliamo anche di:Film • La ragazza del coro di Urska DjukicCi piacerebbe sapere cosa pensi di questo episodio. Scrivici a podcast@internazionale.it Se ascolti questo podcast e ti piace, abbonati a Internazionale. È un modo concreto per sostenerci e per aiutarci a garantire ogni giorno un'informazione di qualità. Vai su internazionale.it/abbonatiConsulenza editoriale di Chiara NielsenProduzione di Claudio Balboni e Vincenzo De SimoneMusiche di Tommaso Colliva e Raffaele ScognaDirezione creativa di Jonathan ZentiCi piacerebbe sapere cosa pensi di questo episodio. Scrivici a podcast@internazionale.it Se ascolti questo podcast e ti piace, abbonati a Internazionale. È un modo concreto per sostenerci e per aiutarci a garantire ogni giorno un'informazione di qualità. Vai su internazionale.it/abbonatiConsulenza editoriale di Chiara NielsenProduzione di Claudio Balboni e Vincenzo De SimoneMusiche di Tommaso Colliva e Raffaele ScognaDirezione creativa di Jonathan Zenti

The John Batchelor Show
HEADLINE: The Attack on Ecuador's President Daniel Noboa and the Backstory of Indigenous Protest GUEST NAME: Evan Ellis SUMMARY: John Batchelor speaks with Evan Ellis about the attack on Ecuador's President Daniel Noboa by indigenous protesters. The uns

The John Batchelor Show

Play Episode Listen Later Oct 9, 2025 2:14


HEADLINE: The Attack on Ecuador's President Daniel Noboa and the Backstory of Indigenous Protest GUEST NAME: Evan Ellis SUMMARY: John Batchelor speaks with Evan Ellis about the attack on Ecuador's President Daniel Noboa by indigenous protesters. The unstable country faces violence and narcoterrorism. Protests, led by CONAIE, intensified after Noboa eliminated a costly diesel fuel subsidy. The radicalized community threw stones at his motorcade, which a minister called an assassination attempt.

Noticiero Univision
Nuevos detalles de la denuncia a exfutbolista por abuso sexual

Noticiero Univision

Play Episode Listen Later Oct 8, 2025 19:32


Habla abogado de la presunta víctima de abuso sexual por parte del exfutbolista Omar Bravo.Residentes de Portland afirman que la ciudad no está sumida en el caos.DHS desmiente las supuestas condiciones insalubres del centro de detención East Montana.Guardia Nacional llega a Elwood, suburbio de Chicago, pero una demanda estatal impide su despliegue.En Los Ángeles un hispano escapa de ICE y se esconde en su casa.Cierre del gobierno afecta supervisión de centros de detención de inmigrantes.Maxima alerta y estado de excepción por ataque al presidente de Ecuador Daniel Noboa.Trump cuestiona elección de Bad Bunny para el Super Bowl.Escucha de lunes a viernes el ‘Noticiero Univision Edición Nocturna' con Elián Zidán. 

Daybreak en Español
Oro supera los US$4.000 la onza; distensión entre Lula y Trump

Daybreak en Español

Play Episode Listen Later Oct 8, 2025 7:06 Transcription Available


El oro superó por primera vez los US$4.000 la onza, en un récord histórico; sigue el entusiasmo en el mercado por la inteligencia artificial; México arriesga nuevo arancel a camiones; atacan caravana de Daniel Noboa en Ecuador; y Jimena Zúñiga de Bloomberg Economics comenta la distensión en las relaciones entre EE.UU. y Brasil. Newsletter Cinco cosas: bloom.bg/42Gu4pGLinkedin: https://www.linkedin.com/company/bloomberg-en-espanol/Youtube: https://www.youtube.com/BloombergEspanolWhatsApp: https://whatsapp.com/channel/0029VaFVFoWKAwEg9Fdhml1lTikTok: https://www.tiktok.com/@bloombergenespanolX: https://twitter.com/BBGenEspanolProducción: Eduardo ThomsonSee omnystudio.com/listener for privacy information.

JORNAL DA RECORD
JORNAL DA RECORD | 07/10/2025

JORNAL DA RECORD

Play Episode Listen Later Oct 8, 2025 48:07


Confira na edição do Jornal da Record desta terça (7): Motorista fica presa debaixo de carreta com serragem que tombou em Porto Alegre (RS). Criminosos invadem prédio comercial, fazem funcionários reféns e roubam mais de R$ 2 milhões de construtora em São Paulo. Comissão mista do Congresso aprova medida provisória que substitui o aumento do IOF. A partir de novembro, nova regra limitará em até R$ 500 o saque-aniversário do FGTS. Presidente do Equador é alvo de atentado. Integrantes do governo dizem que Daniel Noboa escapou sem ferimentos. Em Israel, homenagens marcam os dois anos da invasão terrorista do Hamas que deixou mais de 1200 mortos.

Resumão Diário
JN: Antecipação do saque-aniversário do FGTS tem novos limites; medida que substitui parte do aumento do IOF avança no Congresso

Resumão Diário

Play Episode Listen Later Oct 8, 2025 5:29


A antecipação do saque-aniversário do FGTS tem novos limites. Avançou no Congresso a medida provisória que substituiu parte do aumento do IOF. O preço do ouro bateu recorde histórico no mercado internacional. O governo do Equador disse que o presidente Daniel Noboa sofreu uma tentativa de assassinato. Homenagens marcaram os dois anos dos atentados do Hamas que mataram mais de 1.200 pessoas em Israel. Três cientistas que aplicaram a física quântica em tecnologias do dia a dia ganharam o Prêmio Nobel. Uma área de proteção ambiental em Minas está em chamas entre São João del Rei e Tiradentes. Faltam 35 dias para a COP30, e uma série especial de reportagens apresenta inovações que diminuem o impacto ambiental da produção de carne.

Entérese con EL COMERCIO
Información al día: Intento de asesinato a Noboa; Ecuador lucha por inversión; Caso Loma Larga presiona; Derrumbe en Madrid mata 4; 12 de octubre: qué se recuerda; Luna Martinetti vs leyendas UFC

Entérese con EL COMERCIO

Play Episode Listen Later Oct 8, 2025 4:13


Información al día de EL COMERCIO, Platinum y Radio Quito este miércoles 8 de octubre de 2025Gian Carlo Loffredo ratifica que el nivel de agresión a la caravana de Daniel Noboa denota ‘un intento de asesinato'; Ecuador sigue batallando por la inversión extranjera directa; caso Loma Larga pone presión; Derrumbe en Madrid deja cuatro fallecidos, entre ellos un ecuatoriano; ¿Qué se recuerda el 12 de octubre?; Adrián Luna Martinetti puede enfrentarse a leyendas del peso gallo de la UFC.Gracias por escuchar este podcast, un producto de Grupo EL COMERCIO

JORNAL DA RECORD NEWS
Quadrilha rouba mais de R$ 2 milhões de construtora em São Paulo / Presidente do Equador é alvo de atentado a tiros

JORNAL DA RECORD NEWS

Play Episode Listen Later Oct 8, 2025 49:32


Confira na edição do Jornal da Record News desta terça-feira (7): quadrilha rouba mais de R$ 2 milhões de construtora em São Paulo. Daniel Noboa, presidente do Equador, é alvo de atentado a tiros. E mais: Israel realiza cerimônia em homenagem às vítimas dos terroristas do Hamas dois anos após atentado.

Noticias de América
Ecuador: Expulsión de un periodista español en medio de protestas por el precio del diésel

Noticias de América

Play Episode Listen Later Oct 7, 2025 2:37


El Gobierno de Ecuador expulsó a un periodista español que cubría las protestas de grupos indígenas contra la subida del precio del diésel. Las autoridades argumentan que el periodista era una "amenaza" para la seguridad del país, mientras que varias organizaciones denuncian la situación como una violación más de los derechos humanos. Bernat-Lautaro Bidegain es un periodista español que, hasta esta semana, cubría las violentas manifestaciones que están teniendo lugar en el norte de Ecuador, especialmente en la región de Imbabura, para el medio digital Globalat. Pero este domingo, las autoridades lo detuvieron y lo expulsaron a Colombia para más tarde ser trasladado a España, acusándolo de ser "una amenaza" para la seguridad. Una situación irregular Para Ingrid García, directora ejecutiva de la Fundación Regional de Asesoría en Derechos Humanos (INREDH), se trata de una detención arbitraria sin fundamento legal: “Es una situación un poco irregular. Fue abordado por miembros de la policía que en principio dijeron que estaba siendo investigado por una denuncia. Luego dijeron que era un control migratorio de rutina y fue llevado a una oficina de migración. Después de seis horas fue deportado”, cuenta. “No esperaron a que llegue ni el consulado español ni la embajada y tampoco escucharon los argumentos de su abogado. Aludían a un informe de inteligencia, pero no pudo hacer una contrarréplica de lo que decía ese informe, al menos”, subraya. La directora ejecutiva de INREDH cuenta que esta no es la única violación al ejercicio de la libertad de prensa. Además, señala que también se está produciendo una persecución contra líderes: “Ha habido una persecución a líderes sociales que se les ha tachado de terroristas, que se les ha culpado de enriquecimiento ilícito. Muchas organizaciones y líderes amanecen con sus cuentas bloqueadas. Muchas de esas cuentas tienen cero dólares y aun así están siendo acusados de enriquecimiento ilícito. Entonces, es un poco paradójico”, indica García. Hacia una exacerbación de las protestas y su represión La detención de Bidegain coincide con la imposición del presidente Daniel Noboa de un estado de excepción en 10 de las 24 provincias del país. Algo que promete agravar la violencia de estas manifestaciones y dificultar las negociaciones, según García. “Los estados de excepción que ha emitido bajo decreto el gobierno actual están prohibiendo literalmente el hecho de que las organizaciones y grupos sociales puedan movilizarse y exigir derechos. Están violando justamente la Constitución”, explica. “Evidentemente, la fuerza que van a emitir tanto las Fuerzas Armadas como la Policía Nacional y todos los grupos que están en las calles reprimiendo, va a hacer que se eleve sus niveles de violencia y se exacerbe también las movilizaciones sociales”; concluye la directora ejecutiva de INREDH. La eliminación del subsidio al diésel es una medida que afecta gravemente a la población indígena y que generó violentas protestas en 2019 y 2022. Esta vez, los enfrentamientos entre manifestantes y miembros de las Fuerzas Armadas han dejado hasta la fecha un fallecido, 150 heridos y más de 100 detenidos.

Noticias de América
Ecuador: Expulsión de un periodista español en medio de protestas por el precio del diésel

Noticias de América

Play Episode Listen Later Oct 7, 2025 2:37


El Gobierno de Ecuador expulsó a un periodista español que cubría las protestas de grupos indígenas contra la subida del precio del diésel. Las autoridades argumentan que el periodista era una "amenaza" para la seguridad del país, mientras que varias organizaciones denuncian la situación como una violación más de los derechos humanos. Bernat-Lautaro Bidegain es un periodista español que, hasta esta semana, cubría las violentas manifestaciones que están teniendo lugar en el norte de Ecuador, especialmente en la región de Imbabura, para el medio digital Globalat. Pero este domingo, las autoridades lo detuvieron y lo expulsaron a Colombia para más tarde ser trasladado a España, acusándolo de ser "una amenaza" para la seguridad. Una situación irregular Para Ingrid García, directora ejecutiva de la Fundación Regional de Asesoría en Derechos Humanos (INREDH), se trata de una detención arbitraria sin fundamento legal: “Es una situación un poco irregular. Fue abordado por miembros de la policía que en principio dijeron que estaba siendo investigado por una denuncia. Luego dijeron que era un control migratorio de rutina y fue llevado a una oficina de migración. Después de seis horas fue deportado”, cuenta. “No esperaron a que llegue ni el consulado español ni la embajada y tampoco escucharon los argumentos de su abogado. Aludían a un informe de inteligencia, pero no pudo hacer una contrarréplica de lo que decía ese informe, al menos”, subraya. La directora ejecutiva de INREDH cuenta que esta no es la única violación al ejercicio de la libertad de prensa. Además, señala que también se está produciendo una persecución contra líderes: “Ha habido una persecución a líderes sociales que se les ha tachado de terroristas, que se les ha culpado de enriquecimiento ilícito. Muchas organizaciones y líderes amanecen con sus cuentas bloqueadas. Muchas de esas cuentas tienen cero dólares y aun así están siendo acusados de enriquecimiento ilícito. Entonces, es un poco paradójico”, indica García. Hacia una exacerbación de las protestas y su represión La detención de Bidegain coincide con la imposición del presidente Daniel Noboa de un estado de excepción en 10 de las 24 provincias del país. Algo que promete agravar la violencia de estas manifestaciones y dificultar las negociaciones, según García. “Los estados de excepción que ha emitido bajo decreto el gobierno actual están prohibiendo literalmente el hecho de que las organizaciones y grupos sociales puedan movilizarse y exigir derechos. Están violando justamente la Constitución”, explica. “Evidentemente, la fuerza que van a emitir tanto las Fuerzas Armadas como la Policía Nacional y todos los grupos que están en las calles reprimiendo, va a hacer que se eleve sus niveles de violencia y se exacerbe también las movilizaciones sociales”; concluye la directora ejecutiva de INREDH. La eliminación del subsidio al diésel es una medida que afecta gravemente a la población indígena y que generó violentas protestas en 2019 y 2022. Esta vez, los enfrentamientos entre manifestantes y miembros de las Fuerzas Armadas han dejado hasta la fecha un fallecido, 150 heridos y más de 100 detenidos.

The Real News Podcast
Ecuador's Indigenous movement launches ‘indefinite national strike'

The Real News Podcast

Play Episode Listen Later Oct 3, 2025 6:29


In Ecuador, the country's largest Indigenous movement has been leading mass protests in the streets for nearly two weeks against President Daniel Noboa's lifting of diesel subsidies. Gas prices have spiked. They say it will impact the price of food.They're calling their protests an “indefinite national strike.” The country is now on fire. They have faced repression. But they have vowed to continue in the streets, demanding justice. Demanding their rights. Standing in defense of their communities, their lives, and their future. This is Stories of Resistance—a podcast produced by The Real News. Each week, we'll bring you stories of resistance like this. Inspiration for dark times. Please keep an eye out for Michael's latest article about the Ecuador protests. It'll be online with Truthout. You can visit www.Truthout.org for more.  If you like what you hear, please subscribe, like, share, comment, or leave a review. And please consider signing up for the Stories of Resistance podcast feed, either in Spotify, Apple Podcasts, Spreaker, or wherever you listen.Written and produced by Michael Fox. Resources:“Ecuador's President Emulates El Salvador's Bukele as He Builds Ties With Trump,” Truthout“‘It's political persecution': How the US is helping Ecuador's right-wing government persecute political opponents,” The Real News NetworkBecome a member and join the Stories of Resistance Supporters Club today!Follow Stories of Resistance on Spotify or Apple PodcastsSign up for our newsletterFollow us on:Bluesky: @therealnews.comFacebook: The Real News NetworkTwitter: @TheRealNewsYouTube: @therealnewsInstagram: @therealnewsnetworkWE'RE FINALISTS FOR THE PRESTIGIOUS SIGNAL AWARDS. HELP US WIN!Click here to vote!:https://vote.signalaward.com/PublicVoting#/2025/shows/genre/historyMichael Fox is also a finalist in the History Podcast category for his truly unique, rich, and inspirational weekly series Stories of Resistance------------Click here to vote for Marc Steiner!: https://vote.signalaward.com/PublicVoting#/2025/individual-episodes/cMarc Steiner is a finalist for Best Host of an Individual Episode 

Accents du monde
Allemagne: l'aéroport de Munich fermé temporairement suite à un survol de drones

Accents du monde

Play Episode Listen Later Oct 3, 2025 19:30


Ce qui fait la Une de l'actualité, c'est l'Europe dont la sécurité est testée avec des survols de drones comme ça a été le cas, hier soir, le jeudi 2 octobre 2025, dans le sud de l'Allemagne. D'ailleurs, les dirigeants de l'Union européenne se sont réunis à Copenhague pour discuter du renforcement de leur défense face à la menace russe. La Première ministre danoise y a déclaré que l'Ukraine n'est pas seulement un pays en guerre, elle est devenue «la première ligne de défense» pour toute l'Europe.  Avec Kseniya Zhornokley de la rédaction ukrainienne à propos du viol comme arme de guerre en Ukraine, dont sont victimes des femmes mais aussi des hommes Ubaldo Bravo pour la rédaction en espagnol à propos des protestations en Equateur contre le président Daniel Noboa, suite à la suppression des subventions au diesel Sory Ibrahim de la rédaction en mandenkan pour nous expliquer pourquoi l'Algérie et le Mali sont à couteaux tirés.

Accents du monde
Allemagne: l'aéroport de Munich fermé temporairement suite à un survol de drones

Accents du monde

Play Episode Listen Later Oct 3, 2025 19:30


Ce qui fait la Une de l'actualité, c'est l'Europe dont la sécurité est testée avec des survols de drones comme ça a été le cas, hier soir, le jeudi 2 octobre 2025, dans le sud de l'Allemagne. D'ailleurs, les dirigeants de l'Union européenne se sont réunis à Copenhague pour discuter du renforcement de leur défense face à la menace russe. La Première ministre danoise y a déclaré que l'Ukraine n'est pas seulement un pays en guerre, elle est devenue «la première ligne de défense» pour toute l'Europe.  Avec Kseniya Zhornokley de la rédaction ukrainienne à propos du viol comme arme de guerre en Ukraine, dont sont victimes des femmes mais aussi des hommes Ubaldo Bravo pour la rédaction en espagnol à propos des protestations en Equateur contre le président Daniel Noboa, suite à la suppression des subventions au diesel Sory Ibrahim de la rédaction en mandenkan pour nous expliquer pourquoi l'Algérie et le Mali sont à couteaux tirés.

Escala en París
Pesticidas y violaciones de Derechos Humanos: el precio de la banana ecuatoriana

Escala en París

Play Episode Listen Later Oct 3, 2025 13:45


Ecuador es el primer exportador mundial de bananos: representa un 30% del mercado mundial. Si esos bananos llegan a las mesas europeas es porque unas 250.000 personas se aseguran de que la fruta sea plantada, cultivada, empacada y exportada. Pero, lo hacen en condiciones deplorables. Es lo que denuncia la Asociación Sindical de Trabajadores Agrícolas y Campesinos (ASTAC).

Entérese con EL COMERCIO
Información al día: Noboa cambia paro; Seis bandas trafican combustibles; Gobierno da $51 millones al transporte; Mujer preguntó a ChatGPT para ganar lotería; Gonzalo Valle, primer ecuatoriano en Equipo de la Semana

Entérese con EL COMERCIO

Play Episode Listen Later Oct 2, 2025 4:20


Información al día de EL COMERCIO, Platinum y Radio Quito este jueves 2 de octubre de 2025El paro en Ecuador cambió de dinámica con la estrategia aplicada por Daniel Noboa; Seis bandas lideran el tráfico de combustibles, ‘tercera amenaza de seguridad en Ecuador'; El Gobierno de Ecuador anunció una compensación temporal de tres meses para el transporte comercial, con un costo de 51 millones de dólares, tras la eliminación del subsidio al diésel.; Lo que una mujer le preguntó a ChatGPT para ganar la lotería de EE. UU. ; Gonzalo Valle, el primer ecuatoriano en el ‘Equipo de la Semana' del EA Sports FC 26Gracias por escuchar este podcast, un producto de Grupo EL COMERCIO

Vistazo Podcast
Microvistazo | CONAIE llama a un Consejo Ampliado en Quito para tomar nuevas acciones

Vistazo Podcast

Play Episode Listen Later Oct 2, 2025 4:49


- Daniel Noboa envía nueva ley económica urgente para donaciones a las FF.AA. y la Policía- Conaie llama a un Consejo Ampliado en Quito para tomar nuevas acciones en el marco del paro nacional- Reimberg cuestiona video sobre militares en muerte de comunero Efraín Fuerez durante paro nacional- Alias Sianca, coautor del asesinato de Jorge Gabela, estaría vinculado al crimen de Fernando Villavicencio- Consejo de la Judicatura destituye a funcionario de Fiscalía, juez y defensor por faltas graves y acoso sexual

SBS Spanish - SBS en español
Pueblos indígenas de Ecuador mantienen paro nacional contra gobierno de Daniel Noboa

SBS Spanish - SBS en español

Play Episode Listen Later Oct 1, 2025 5:28


La tensión social en Ecuador se ha recrudecido tras una semana de protestas indígenas contra el Decreto Ejecutivo 126, mediante el cual el presidente Daniel Noboa eliminó el subsidio al diésel.

Entérese con EL COMERCIO
Información al día: Kichwa anuncian tregua; Noboa envía ley sobre donaciones; Liberan a militares retenidos; Muere actor de ‘Vecinos'; Horario PSG vs. Barcelona.

Entérese con EL COMERCIO

Play Episode Listen Later Oct 1, 2025 3:39


Información al día de EL COMERCIO, Platinum y Radio Quito este miércoles 1 de octubre de 2025 Los Pueblos Kichwa de la Sierra Norte anuncian tregua temporal en el paro y llaman al diálogo;Daniel Noboa remitió proyecto de ley a la Asamblea para donaciones a las fuerzas del orden;Liberan a militares retenidos durante el paro en Ecuador, uno perdió el oído;Muere recordado actor de la serie ‘Vecinos' y ‘La Rosa de Guadalupe';¿A qué hora juega el PSG vs. el FC Barcelona por la Champions League?Gracias por escuchar este podcast, un producto de Grupo EL COMERCIO

Escala en París
Pesticidas y violaciones de derechos humanos: el precio de la banana ecuatoriana

Escala en París

Play Episode Listen Later Oct 1, 2025 12:59


Ecuador es el primer exportador mundial de bananos: representa un 30% del mercado mundial. El país comercializa cada año entre 6 y 7 millones de toneladas, lo que equivale al consumo anual de los 27 países europeos y el Reino Unido. Si esos bananos llegan a las mesas europeas es porque unas 250 000 personas se aseguran de que la fruta sea plantada, cultivada, empacada y exportada. Y lo hacen en condiciones deplorables que ponen en riesgo su salud y el medioambiente.  Es lo que denuncia la Asociación Sindical de Trabajadores Agrícolas y Campesinos de Ecuador.   En el 2017, Ecuador, Colombia y Perú firmaron un acuerdo comercial con la Unión Europea que favoreció las exportaciones de esos países hacia la UE, comprometiéndose a garantizar y promover las normas fundamentales en los ámbitos laborales, de derechos humanos y del medio ambiente. Es basándose en ese acuerdo que la Asociación Sindical de Trabajadores Agrícolas y Campesinos de Ecuador acaba de presentar una demanda ante la Comisión europea con el objetivo de que el ente investigue el impacto de las violaciones de derechos humanos y de reglas medioambientales. Se trata también de denunciar la persecución del sindicalismo en el sector bananero. Si bien el sindicalismo está reconocido, las organizaciones como la Asociación Sindical de Trabajadores Agrícolas y Campesinos tienen las manos atadas puesto que "no tenemos la reglamentación que para nosotros es importante porque es una forma de seguir ciertos lineamientos para poder celebrar contrataciones colectivas a nombre de los trabajadores", denuncia Diana Montoya Ramos, sindicalista y coordinadora de proyectos  de lucha contra la discriminación sexista y sexual en el trabajo. No solamente se trata de contrataciones sino de persecución de la actividad sindical: "En el año 2023 sufrimos amenazas de muerte. Nos decían que era por estar defendiendo a los trabajadores bananeros y nos decían que dejáramos en paz a las empresas. Es una forma de reprimir el derecho sindical." Trabajadores expuestos a substancias cancerígenas Además de denunciar este acoso, la Astac alerta sobre los efectos del Mancozeb, uno de los pesticidas más utilizados y prohibido en la UE. "Como sindicato hemos trabajado en una investigación en donde, de la mano con la Universidad Andina del Ecuador, una de las más prestigiosas de la región, hemos podido evidenciar que los trabajadores están siendo afectados. Se tomó muestras de orina en donde salen resultados alarmantes", explica Montoya Ramos. En esos análisis, los investigadores encontraron residuos de esta substancia. Lo que a la larga puede producir cáncer porque se fumiga mientras que los trabajadores están en la plantación en vez de respetar las recomendaciones: "En el mejor de los casos sí salen de las plantaciones, pero dos horas después reingresan nuevamente cuando la ley estipula que deberían reingresar después de 24 horas." Un día común para un trabajador de una plantación bananera en Ecuador está sembrado de violaciones a sus derechos y si son trabajadoras aún más. Las mujeres, según denuncia la ASTAC, hacen la misma jornada que los hombres recibiendo menos paga. Pero además "las mujeres hacen tareas de limpieza sin ser remuneradas". El imperio bananero Noboa En Ecuador, unas dos millones de personas dependen indirectamente del sector bananero liderado por tres empresas: Ubesa, primera en exportaciones, Reybanpac y la Noboa Trading, actor histórico del sector bananero, el imperio económico de la familia del presidente Daniel Noboa.  "Dentro de las investigaciones que hemos hecho este año, hemos establecido un sistema de calificación a las cinco más grandes exportadoras y productoras de banano, donde precisamente están estas fincas. Para poner un ejemplo, en temas de violaciones de derechos laborales, esta calificación se pone en tres ejes importantes: equidad de género, problemas ambientales y violación de derechos laborales como tal. Entonces, dentro de este sistema de calificación, increíblemente la empresa del señor presidente del Ecuador tiene una calificación del 33% de un de una calificación del 100. Si el señor presidente no respeta los derechos de los trabajadores probablemente muchas otras empresas tampoco lo hacen", subraya Diana Montoya. Las principales exportadoras sacan calificaciones mediocres, pero a la banana bio u orgánica no le va mejor. Para la sindicalista ecuatoriana no existe una banana producida de manera 100% ética: "Hay certificadoras que en realidad tienen unos mejores estándares, como es el caso de Fairtrade. Pero hay que decir la verdad, en Ecuador, fincas certificadas por Fairtrade todavía están con condiciones laborales igual o que las tradicionales." Otra consecuencia de las condiciones dudosas laborales y ambientales de producción del banano es la propagación de enfermedades como el Fusarium. "Es un llamado de atención. Estas enfermedades surgen por la sobreexplotación y el no cuidado a la tierra", explica Diana Montoya. La Asociación Sindical de Trabajadores Agrícolas y Campesinos de Ecuador espera que esta demanda tenga más efecto que las quejas presentadas en Ecuador en varias ocasiones para mejorar las condiciones de unos 250 000 trabajadores: "Lo único que nos queda son estos mecanismos internacionales para que se cumpla con convenios que están establecidos incluso hasta en la Organización Internacional del Trabajo". #EscalaenParís también está en redes sociales Un programa coordinado por Julia Courtois, realizado por David Brockway y Robin Cussenot.

Escala en París
Pesticidas y violaciones de derechos humanos: el precio de la banana ecuatoriana

Escala en París

Play Episode Listen Later Oct 1, 2025 12:59


Ecuador es el primer exportador mundial de bananos: representa un 30% del mercado mundial. El país comercializa cada año entre 6 y 7 millones de toneladas, lo que equivale al consumo anual de los 27 países europeos y el Reino Unido. Si esos bananos llegan a las mesas europeas es porque unas 250 000 personas se aseguran de que la fruta sea plantada, cultivada, empacada y exportada. Y lo hacen en condiciones deplorables que ponen en riesgo su salud y el medioambiente.  Es lo que denuncia la Asociación Sindical de Trabajadores Agrícolas y Campesinos de Ecuador.   En el 2017, Ecuador, Colombia y Perú firmaron un acuerdo comercial con la Unión Europea que favoreció las exportaciones de esos países hacia la UE, comprometiéndose a garantizar y promover las normas fundamentales en los ámbitos laborales, de derechos humanos y del medio ambiente. Es basándose en ese acuerdo que la Asociación Sindical de Trabajadores Agrícolas y Campesinos de Ecuador acaba de presentar una demanda ante la Comisión europea con el objetivo de que el ente investigue el impacto de las violaciones de derechos humanos y de reglas medioambientales. Se trata también de denunciar la persecución del sindicalismo en el sector bananero. Si bien el sindicalismo está reconocido, las organizaciones como la Asociación Sindical de Trabajadores Agrícolas y Campesinos tienen las manos atadas puesto que "no tenemos la reglamentación que para nosotros es importante porque es una forma de seguir ciertos lineamientos para poder celebrar contrataciones colectivas a nombre de los trabajadores", denuncia Diana Montoya Ramos, sindicalista y coordinadora de proyectos  de lucha contra la discriminación sexista y sexual en el trabajo. No solamente se trata de contrataciones sino de persecución de la actividad sindical: "En el año 2023 sufrimos amenazas de muerte. Nos decían que era por estar defendiendo a los trabajadores bananeros y nos decían que dejáramos en paz a las empresas. Es una forma de reprimir el derecho sindical." Trabajadores expuestos a substancias cancerígenas Además de denunciar este acoso, la Astac alerta sobre los efectos del Mancozeb, uno de los pesticidas más utilizados y prohibido en la UE. "Como sindicato hemos trabajado en una investigación en donde, de la mano con la Universidad Andina del Ecuador, una de las más prestigiosas de la región, hemos podido evidenciar que los trabajadores están siendo afectados. Se tomó muestras de orina en donde salen resultados alarmantes", explica Montoya Ramos. En esos análisis, los investigadores encontraron residuos de esta substancia. Lo que a la larga puede producir cáncer porque se fumiga mientras que los trabajadores están en la plantación en vez de respetar las recomendaciones: "En el mejor de los casos sí salen de las plantaciones, pero dos horas después reingresan nuevamente cuando la ley estipula que deberían reingresar después de 24 horas." Un día común para un trabajador de una plantación bananera en Ecuador está sembrado de violaciones a sus derechos y si son trabajadoras aún más. Las mujeres, según denuncia la ASTAC, hacen la misma jornada que los hombres recibiendo menos paga. Pero además "las mujeres hacen tareas de limpieza sin ser remuneradas". El imperio bananero Noboa En Ecuador, unas dos millones de personas dependen indirectamente del sector bananero liderado por tres empresas: Ubesa, primera en exportaciones, Reybanpac y la Noboa Trading, actor histórico del sector bananero, el imperio económico de la familia del presidente Daniel Noboa.  "Dentro de las investigaciones que hemos hecho este año, hemos establecido un sistema de calificación a las cinco más grandes exportadoras y productoras de banano, donde precisamente están estas fincas. Para poner un ejemplo, en temas de violaciones de derechos laborales, esta calificación se pone en tres ejes importantes: equidad de género, problemas ambientales y violación de derechos laborales como tal. Entonces, dentro de este sistema de calificación, increíblemente la empresa del señor presidente del Ecuador tiene una calificación del 33% de un de una calificación del 100. Si el señor presidente no respeta los derechos de los trabajadores probablemente muchas otras empresas tampoco lo hacen", subraya Diana Montoya. Las principales exportadoras sacan calificaciones mediocres, pero a la banana bio u orgánica no le va mejor. Para la sindicalista ecuatoriana no existe una banana producida de manera 100% ética: "Hay certificadoras que en realidad tienen unos mejores estándares, como es el caso de Fairtrade. Pero hay que decir la verdad, en Ecuador, fincas certificadas por Fairtrade todavía están con condiciones laborales igual o que las tradicionales." Otra consecuencia de las condiciones dudosas laborales y ambientales de producción del banano es la propagación de enfermedades como el Fusarium. "Es un llamado de atención. Estas enfermedades surgen por la sobreexplotación y el no cuidado a la tierra", explica Diana Montoya. La Asociación Sindical de Trabajadores Agrícolas y Campesinos de Ecuador espera que esta demanda tenga más efecto que las quejas presentadas en Ecuador en varias ocasiones para mejorar las condiciones de unos 250 000 trabajadores: "Lo único que nos queda son estos mecanismos internacionales para que se cumpla con convenios que están establecidos incluso hasta en la Organización Internacional del Trabajo". #EscalaenParís también está en redes sociales Un programa coordinado por Julia Courtois, realizado por David Brockway y Robin Cussenot.

Global News Podcast
Hamas studying Trump-Netanyahu peace plan

Global News Podcast

Play Episode Listen Later Sep 30, 2025 30:26


President Trump has declared that peace in the Middle East is "beyond very close" as he presented a new plan alongside the Israeli prime minister, with both men saying Hamas must agree to it or Israel will finish its offensive in Gaza. The Palestinian group is studying the 20 point proposal. Afghanistan is hit by an internet blackout, as the Taliban enforces what it sees as a "morality" crackdown. A federal budget stand-off is threatening to shut down the US government for the first time in almost 7 years. A trade deal that's been the cornerstone of US-Africa economic relations for 25 years expires later today. UN investigators say they've found clear evidence that the Burmese army has replaced the Rohingya villages and homes it destroyed inside Myanmar with military infrastructure. Ukraine and Russia increasingly turn to convicts, as they struggle to recruit more soliders for the war in Ukraine. A convoy including Ecuador's president Daniel Noboa is attacked by protestors angry over a cut in fuel subsidies. Plus, the so-called Bitcoin Queen, accused of stealing more than five billion dollars worth of the cryptocurrency from investors, pleads guilty to charges in London.The Global News Podcast brings you the breaking news you need to hear, as it happens. Listen for the latest headlines and current affairs from around the world. Politics, economics, climate, business, technology, health – we cover it all with expert analysis and insight. Get the news that matters, delivered twice a day on weekdays and daily at weekends, plus special bonus episodes reacting to urgent breaking stories. Follow or subscribe now and never miss a moment. Get in touch: globalpodcast@bbc.co.uk

Noticias de América
La muerte de un manifestante en las protestas en Ecuador eleva al máximo la tensión entre Gobierno y organizaciones

Noticias de América

Play Episode Listen Later Sep 30, 2025 2:49


Desde hace más de una semana, la violencia inunda las noches en el norte de Ecuador. El Gobierno del presidente Daniel Noboa eliminó el subsidio al diésel, desencadenando protestas que se han saldado con decenas de heridos y un centenar de detenidos. Pero la primera muerte de un manifestante en la provincia de Imbabura, presuntamente a manos del ejército, ha elevado la tensión entre el Gobierno Nacional y Conaie, la mayor organización indígena del país, a su punto máximo. “Creo que siempre hay espacio para negociar (…) pero ahora mismo no veo las condiciones para que se dé y temo mucho que suba la escalada de violencia, es importantísimo que alguien le haga entrar en razón al Gobierno nacional, porque ni a nosotros las autoridades locales nos escuchan”, declara a RFI Paulina Verkoutere, viceprefecta de Imbabura. Varias organizaciones del país denuncian violaciones de los derechos humanos a manos de los militares durante las protestas. Además, la oposición rechaza las acusaciones de terrorismo o corrupción, acusando al Gobierno de llevar a cabo una persecución contra los pueblos indígenas a través de un discurso racista. “Nos han bloqueado nuestras cuentas, nos han retenido, estamos en cero (…) además, me he enterado de que, junto a varios líderes del movimiento indígena nacional, defensores de la naturaleza y algunas autoridades, como es mi caso y la del prefecto, estamos en una lista de una presunta investigación por enriquecimiento ilícito. Esto es muy grave (...) es una clara muestra para acallarnos”, denuncia la viceprefecta. La administración de Daniel Noboa afirma que los manifestantes mantienen retenidos a 17 militares. Además, argumenta que la eliminación del subsidio ya está dando beneficios y ayudando a miles de familias en todo el país. Verkoutere, sin embargo, asegura que la calidad de vida de los ecuatorianos ha disminuido.   “El Gobierno tiene desacreditada su palabra (…) ¿cómo le vamos a creer a un gobierno que utiliza la política de los bonos y de las dádivas desarticuladas, sin hacer una real política pública? Dijo que no va a subir los combustibles y ahora está diciendo que va a dar bonos, la gente ya no le cree", explica.  La dirigente asegura que los efectos negativos de la eliminación del subsidio no sólo ya son visibles en la economía, sino que plantea un gran revés para la población indígena, la más afectada por las desigualdades laborales y educativas.

Journal d'Haïti et des Amériques
Le Venezuela prêt à riposter en cas d'attaque américaine

Journal d'Haïti et des Amériques

Play Episode Listen Later Sep 30, 2025 30:00


Le président vénézuélien, Nicolas Maduro, est sur le point de décréter «l'état de commotion extérieure», c'est-à-dire l'état d'urgence. Le décret entrera en vigueur si le pays «est agressé militairement par l'empire américain», a-t-il expliqué ce lundi, à la télévision publique. Les États-Unis ont déployé des navires de guerre dans les Caraïbes et ont bombardé plusieurs bateaux qui transportaient de la drogue, selon eux. Si l'état d'urgence est instauré, Nicolas Maduro aurait des pouvoirs spéciaux, ce qui suscite des inquiétudes au Venezuela. El Nacional se fait l'écho des craintes de juristes et de membres de l'opposition pour qui ce décret «pourrait servir à restreindre les libertés publiques, augmenter la censure des médias et justifier un rôle plus important de l'armée dans la vie politique et sociale.» L'état d'urgence d'une durée de 90 jours renouvelables, permet de concentrer le pouvoir entre les mains de l'exécutif et «de limiter les contre-pouvoirs institutionnels au nom de la protection de la nation», explique le journal. Au-delà des conséquences concrètes dans la vie des Vénézuéliens, ce décret aura des implications géopolitiques, analyse El Nacional. Il pourrait «augmenter les tensions avec Washington et aboutir à de nouvelles sanctions» tandis qu'il «renforcerait l'alliance entre Caracas et (...) la Russie, la Chine et l'Iran.»   Les États-Unis veulent faire tomber Nicolas Maduro C'est qu'affirme le New York Times  qui cite des responsables américains. Une «stratégie plus agressive», une «vaste campagne qui intensifierait la pression militaire pour tenter de le forcer à partir» est en préparation, affirment ces sources anonymes. «L'armée américaine a planifié des opérations militaires potentielles ciblant des suspects de trafic de drogue au Venezuela même, comme prochaine phase, bien que la Maison Blanche n'ait pas encore approuvé une telle mesure», détaille le New York Times. Le journal fait également état de discussions entre l'administration Trump et «deux figures majeures de l'opposition» qui préparent l'après-Maduro. Aux manettes de cette offensive, il y a Marco Rubio, soutenu notamment par le directeur de la CIA. Marco Rubio, fils d'immigrés cubains, «estime que le départ de Nicolas Maduro affaiblirait le gouvernement communiste de Cuba, l'un des proches alliés du Venezuela». L'ancien sénateur de Floride lorgne aussi sur les électeurs d'origine cubaine et vénézuélienne dans cet État.   Un mort dans des manifestations en Équateur En Équateur aussi, l'état d'urgence a été décrété dans 8 provinces alors que les manifestations contre la hausse du prix du diesel se poursuivent. Des manifestations qui se déroulent dans la violence. Un artisan de 46 ans, père de deux enfants, est mort dimanche (28 septembre 2025). Il a été tué par balles par l'armée à Cotacachi, à 100 km au nord de Quito, selon l'Alliance pour les droits de l'homme en Équateur. Les négociations avec le gouvernement sont au point mort. Chacun campe sur ses positions, relève La Hora. «Comment peut-on dialoguer après un assassinat ?», interroge le leader de la Confédération des nationalités indigènes d'Équateur qui voit dans le mort de cet homme de 46 ans un «crime d'État» et menace de mener un mouvement aussi dur qu'en 2019 et 2022. À l'époque, les gouvernements avaient dû faire marche arrière. Pas question, répète Daniel Noboa. «Je préfère mourir plutôt que de céder», a affirmé le président équatorien, souligne le journal. Hier, alors que le véhicule dans lequel il se rendait à Imbabura a été bloqué par des manifestants, il a redit qu'il ne lâcherait pas.   Comment sortir de la crise ? Pour La Hora, la seule solution, c'est l'intervention d'une tierce partie neutre. Dans les colonnes du journal, l'avocate Mildred Molineros, spécialiste de la gestion des conflits, estime que cela pourrait être un organisme international ou l'Église catholique. Et que cette tierce personne doit offrir ses services et ne pas attendre d'être sollicitée par le gouvernement ou les représentants des populations indigènes. À partir du moment où il y a déjà eu un mort, il y a urgence, insiste l'avocate. Un avis partagé par Ruth Hidalgo, responsable de l'ONG Corporation et Participation citoyenne qui explique à La Hora que le risque désormais, c'est «une escalade dans le conflit avec une radicalisation des [manifestants], un ralentissement de l'économie, une pénurie d'aliments et l'augmentation progressive du recours à la force» de la part des policiers et des militaires.   Haïti : un nouvelle force anti-gangs ? Le Conseil de sécurité de l'ONU doit se prononcer ce mardi soir (30 septembre 2025) sur la transformation de la mission multinationale de soutien à la police haïtienne en une force anti-gangs plus robuste pour tenter de brider la violence qui ravage le pays. En Haïti, cela suscite du scepticisme dans certains secteurs de la population, explique Gotson Pierre, directeur de l'agence Alterpresse. «Certains pensent qu'il faut surtout renforcer les forces de l'ordre en leur donnant davantage d'effectifs et d'équipements. C'est la seule manière que le résultat soit durable», détaille le journaliste.   Des inondations dans la moitié du pays «Depuis jeudi, de fortes pluies provoquent des inondations dans 30 communes d'Haïti», raconte Gotson Pierre. «Plus de la moitié du pays est touchée». À certains endroits, la situation est catastrophique. Une personne est morte. Les habitants appellent au secours le gouvernement, mais «l'acheminement de l'aide va être compliqué car de nombreuses routes sont coupées par les gangs», explique le directeur d'Alterpresse.   Rencontre avec Atxu Marimã, membre du peuple Hi-Merimã Atxu Marima appartient au peuple amérindien Hi-Marimã et lui qui enfant, vivait isolé dans la forêt amazonienne, raconte son histoire dans un livre : comment il a dû s'adapter à la civilisation et comment depuis, il lutte pour la protection des peuples autochtones du Brésil qui continuent de vivre volontairement loin de tout et de tous, sans aucun contact avec le monde extérieur. Achim Lippold l'a rencontré lors de son passage à Paris.   Le journal de la 1ère L'avenir de la compagnie aérienne de Saint Martin, Air Antilles, en suspens. Sa licence d'exploitation s'arrête ce lundi et il lui manque 10 millions d'euros.

Noticias de América
La muerte de un manifestante en las protestas en Ecuador eleva al máximo la tensión entre Gobierno y organizaciones

Noticias de América

Play Episode Listen Later Sep 30, 2025 2:49


Desde hace más de una semana, la violencia inunda las noches en el norte de Ecuador. El Gobierno del presidente Daniel Noboa eliminó el subsidio al diésel, desencadenando protestas que se han saldado con decenas de heridos y un centenar de detenidos. Pero la primera muerte de un manifestante en la provincia de Imbabura, presuntamente a manos del ejército, ha elevado la tensión entre el Gobierno Nacional y Conaie, la mayor organización indígena del país, a su punto máximo. “Creo que siempre hay espacio para negociar (…) pero ahora mismo no veo las condiciones para que se dé y temo mucho que suba la escalada de violencia, es importantísimo que alguien le haga entrar en razón al Gobierno nacional, porque ni a nosotros las autoridades locales nos escuchan”, declara a RFI Paulina Verkoutere, viceprefecta de Imbabura. Varias organizaciones del país denuncian violaciones de los derechos humanos a manos de los militares durante las protestas. Además, la oposición rechaza las acusaciones de terrorismo o corrupción, acusando al Gobierno de llevar a cabo una persecución contra los pueblos indígenas a través de un discurso racista. “Nos han bloqueado nuestras cuentas, nos han retenido, estamos en cero (…) además, me he enterado de que, junto a varios líderes del movimiento indígena nacional, defensores de la naturaleza y algunas autoridades, como es mi caso y la del prefecto, estamos en una lista de una presunta investigación por enriquecimiento ilícito. Esto es muy grave (...) es una clara muestra para acallarnos”, denuncia la viceprefecta. La administración de Daniel Noboa afirma que los manifestantes mantienen retenidos a 17 militares. Además, argumenta que la eliminación del subsidio ya está dando beneficios y ayudando a miles de familias en todo el país. Verkoutere, sin embargo, asegura que la calidad de vida de los ecuatorianos ha disminuido.   “El Gobierno tiene desacreditada su palabra (…) ¿cómo le vamos a creer a un gobierno que utiliza la política de los bonos y de las dádivas desarticuladas, sin hacer una real política pública? Dijo que no va a subir los combustibles y ahora está diciendo que va a dar bonos, la gente ya no le cree", explica.  La dirigente asegura que los efectos negativos de la eliminación del subsidio no sólo ya son visibles en la economía, sino que plantea un gran revés para la población indígena, la más afectada por las desigualdades laborales y educativas.

Entérese con EL COMERCIO
Información al día: Conaie sostiene paro y exige a Noboa; Gobierno defiende fin del subsidio al diésel; Don Omar busca nuevo comienzo; Kiara Rodríguez gana oro mundial; España bloquea armas de EE.UU. hacia Israel

Entérese con EL COMERCIO

Play Episode Listen Later Sep 29, 2025 3:34


Información al día de EL COMERCIO, Platinum y Radio Quito este lunes 29 de septiembre de 2025Conaie llama a sostener el paro en las calles y hace nueve exigencias a Daniel Noboa; Carolina Jaramillo, vocera de Ecuador, afirmó que, a 18 días de la eliminación del subsidio al diésel en Ecuador; Don Omar puede estar al filo de un nuevo comienzo; Kiara Rodríguez es la más veloz del mundo y logra oro para Ecuador en el Mundial de Paraatletismo 2025; España prohíbe tránsito de armas de EE.UU. hacia Israel por Rota y Morón Gracias por escuchar este podcast, un producto de Grupo EL COMERCIO

Noticias de América
“Noboa encontró un nuevo chivo expiatorio en la Constitución actual”, observa un sociólogo

Noticias de América

Play Episode Listen Later Sep 26, 2025 4:08


En Ecuador, los electores decidirán si quieren que se instale o no una asamblea constituyente para redactar una nueva Constitución. El presidente Daniel Noboa busca dejar atrás la Constitución de 2008 impulsada por el partido del expresidente Rafael Correa, y quiere una nueva norma para, dice, enfrentar mejor los cárteles de la droga. Pero este no sería el único motivo que mueve a Noboa para impulsar una nueva Carta Magna. En Ecuador, el presidente Daniel Noboa quiere una nueva Constitución. Con su partido, el mandatario considera que es un paso indispensable para luchar contra el narcotráfico que siembra el terror en el país. “Asegurar la total concentración de poder” Pero según Franklin Ramírez, profesor de Sociología Política en FLACSO Ecuador, reformar la Carta Magna no es necesario para enfrentar a las bandas criminales: “2025 está cerrando como el año más violento en toda la historia del país. Y frente a ese fracaso, Noboa está construyendo un enemigo. Y como el discurso contra el correísmo se agota, encontró un nuevo chivo expiatorio en la Constitución de Montecristi”, explica. “Pero la asamblea constituyente abre un año electoral, permite un espacio para recomponer las promesas del Gobierno, para seguir jugando con las expectativas de este presidente joven que se desmarca de la clase política tradicional. Yo creo que la apuesta fundamental es a asegurar la total concentración de poder”, prosigue. La actual Constitución, de 2008, garantiza numerosos derechos a las comunidades indígenas. Garantiza también el derecho a la consulta previa en caso de proyectos de inversión, como de minería, y protege los derechos de la naturaleza. Tres razones principales Daniel Noboa estima por su parte que el país está "secuestrado institucionalmente" por las normas, según sus palabras. Franklin Ramírez considera sin embargo que hay tres razones que mueven al mandatario en su cruzada para una nueva Carta Magna. “La primera es debilitar a la Corte Constitucional. El Estado ecuatoriano ahora es un Estado que tiene en la pirámide interpretativa, por encima de toda la Corte Constitucional, a nueve jueces. Para Noboa y su régimen, claramente ahí hay un exceso de poder”, indica. “Después hay algo en lo que el Gobierno podría tener razón, que es el Consejo de Participación Ciudadana. Es un órgano que está compuesto de cinco vocales, que se encarga de organizar los concursos a partir de los cuales se conforman las autoridades de múltiples órganos de control, autoridades electorales, entre otras. Entonces es una instancia que por esta segunda función genera muchos apetitos políticos y que básicamente todos los gobiernos, desde Correa en adelante, han logrado manipular y controlar para que los nombramientos de los funcionarios sean alineados al Poder Ejecutivo. Pero ciertamente ahí hay un problema de fracaso institucional. Pero para eso no hacía falta una asamblea constituyente, sino una reforma puntual al Consejo”, detalla luego el sociólogo. Disputa por el extractivismo Por fin, señala Ramírez, “un tercer lugar me parece que tiene que ver con todo lo que es el Estado plurinacional. No reconoce, no entiende y lo molesta toda la configuración plurinacional del Ecuador, la centralidad de los pueblos y nacionalidades, alguna serie de instituciones asociadas a la justicia indígena y sobre todo a esta lógica de la autonomía de los pueblos y nacionalidades en determinados territorios, porque eso va conectado con la disputa por el extractivismo”. “La Constitución también garantiza derechos de la naturaleza. Estas dos figuras del Estado plurinacional y los derechos de la naturaleza van de la mano. Para el modelo de acumulación extractivista que está repotenciando Noboa, sobre todo en torno a la minería, me parece que ahí hay una constelación de instituciones y derechos que combinan la plurinacionalidad y los derechos de la naturaleza, que van a ser avasallados desde una perspectiva de derechas neoliberales ortodoxas”, agrega. “Esta Constitución obliga a determinados niveles de gasto público, a respetar determinados derechos sociales, tiene un enfoque de paridad de género, de etnicidad, plurinacionalidad... Es una Constitución que dejó muy pocos derechos por fuera”, concluye el sociólogo. La consulta popular ocurrirá el 16 de noviembre. Este mismo día, los electores se pronunciarán sobre dos otras preguntas: la presencia o no de bases militares extranjeras y el financiamiento público de los partidos políticos.

Noticias de América
“Noboa encontró un nuevo chivo expiatorio en la Constitución actual”, observa un sociólogo

Noticias de América

Play Episode Listen Later Sep 26, 2025 4:08


En Ecuador, los electores decidirán si quieren que se instale o no una asamblea constituyente para redactar una nueva Constitución. El presidente Daniel Noboa busca dejar atrás la Constitución de 2008 impulsada por el partido del expresidente Rafael Correa, y quiere una nueva norma para, dice, enfrentar mejor los cárteles de la droga. Pero este no sería el único motivo que mueve a Noboa para impulsar una nueva Carta Magna. En Ecuador, el presidente Daniel Noboa quiere una nueva Constitución. Con su partido, el mandatario considera que es un paso indispensable para luchar contra el narcotráfico que siembra el terror en el país. “Asegurar la total concentración de poder” Pero según Franklin Ramírez, profesor de Sociología Política en FLACSO Ecuador, reformar la Carta Magna no es necesario para enfrentar a las bandas criminales: “2025 está cerrando como el año más violento en toda la historia del país. Y frente a ese fracaso, Noboa está construyendo un enemigo. Y como el discurso contra el correísmo se agota, encontró un nuevo chivo expiatorio en la Constitución de Montecristi”, explica. “Pero la asamblea constituyente abre un año electoral, permite un espacio para recomponer las promesas del Gobierno, para seguir jugando con las expectativas de este presidente joven que se desmarca de la clase política tradicional. Yo creo que la apuesta fundamental es a asegurar la total concentración de poder”, prosigue. La actual Constitución, de 2008, garantiza numerosos derechos a las comunidades indígenas. Garantiza también el derecho a la consulta previa en caso de proyectos de inversión, como de minería, y protege los derechos de la naturaleza. Tres razones principales Daniel Noboa estima por su parte que el país está "secuestrado institucionalmente" por las normas, según sus palabras. Franklin Ramírez considera sin embargo que hay tres razones que mueven al mandatario en su cruzada para una nueva Carta Magna. “La primera es debilitar a la Corte Constitucional. El Estado ecuatoriano ahora es un Estado que tiene en la pirámide interpretativa, por encima de toda la Corte Constitucional, a nueve jueces. Para Noboa y su régimen, claramente ahí hay un exceso de poder”, indica. “Después hay algo en lo que el Gobierno podría tener razón, que es el Consejo de Participación Ciudadana. Es un órgano que está compuesto de cinco vocales, que se encarga de organizar los concursos a partir de los cuales se conforman las autoridades de múltiples órganos de control, autoridades electorales, entre otras. Entonces es una instancia que por esta segunda función genera muchos apetitos políticos y que básicamente todos los gobiernos, desde Correa en adelante, han logrado manipular y controlar para que los nombramientos de los funcionarios sean alineados al Poder Ejecutivo. Pero ciertamente ahí hay un problema de fracaso institucional. Pero para eso no hacía falta una asamblea constituyente, sino una reforma puntual al Consejo”, detalla luego el sociólogo. Disputa por el extractivismo Por fin, señala Ramírez, “un tercer lugar me parece que tiene que ver con todo lo que es el Estado plurinacional. No reconoce, no entiende y lo molesta toda la configuración plurinacional del Ecuador, la centralidad de los pueblos y nacionalidades, alguna serie de instituciones asociadas a la justicia indígena y sobre todo a esta lógica de la autonomía de los pueblos y nacionalidades en determinados territorios, porque eso va conectado con la disputa por el extractivismo”. “La Constitución también garantiza derechos de la naturaleza. Estas dos figuras del Estado plurinacional y los derechos de la naturaleza van de la mano. Para el modelo de acumulación extractivista que está repotenciando Noboa, sobre todo en torno a la minería, me parece que ahí hay una constelación de instituciones y derechos que combinan la plurinacionalidad y los derechos de la naturaleza, que van a ser avasallados desde una perspectiva de derechas neoliberales ortodoxas”, agrega. “Esta Constitución obliga a determinados niveles de gasto público, a respetar determinados derechos sociales, tiene un enfoque de paridad de género, de etnicidad, plurinacionalidad... Es una Constitución que dejó muy pocos derechos por fuera”, concluye el sociólogo. La consulta popular ocurrirá el 16 de noviembre. Este mismo día, los electores se pronunciarán sobre dos otras preguntas: la presencia o no de bases militares extranjeras y el financiamiento público de los partidos políticos.

El Debate
¿Por qué quiere Daniel Noboa cambiar la Constitución de Ecuador?

El Debate

Play Episode Listen Later Sep 25, 2025 35:58


La Corte Constitucional de Ecuador abrió la puerta a un proceso de fondo: avaló la convocatoria de un referendo para que los ciudadanos decidan si quieren una nueva Carta Magna. Impulsada por el presidente Daniel Noboa en plena “guerra” contra las bandas —con Ecuador entre los países con mayores tasas de homicidios de la región— y en medio de protestas contra el Gobierno, el dictamen permitirá que los ecuatorianos voten, además, si autorizan la presencia de bases militares extranjeras. ¿Qué viene ahora? ¿Por qué Noboa se empeña en una Asamblea Constituyente? Lo analizamos en El Debate.

Journal d'Haïti et des Amériques
Haïti : l'avenir de la Mission multinationale au coeur de discussions aux Nations unies

Journal d'Haïti et des Amériques

Play Episode Listen Later Sep 23, 2025 30:00


Il a été question d'Haïti hier, (22 septembre 2025) aux Nations unies, lors d'une réunion en marge de l'Assemblée générale. Le président du Conseil présidentiel de transition a pris la parole et a lancé un nouvel appel à l'aide, rapporte Gotson Pierre, directeur de l'agence Alterpresse. L'arrêt de la Mission multinationale emmenée par le Kenya, prévu le 2 octobre 2025, serait «fatal pour le pays», a averti Laurent Saint-Cyr qui réclame «une force plus robuste pour briser l'emprise des gangs». Le président kényan, lui aussi, s'est exprimé. Il a expliqué que la mission multinationale censée lutter contre les gangs a fonctionné à 40% seulement, par rapport à ce qui était prévu. Manque d'effectifs, de moyens... William Ruto a raconté que les véhicules fournis par les États-Unis étaient usagés et sont, donc, souvent tombés en panne. Le chef de l'État kényan tout comme les États-Unis ont plaidé pour une transformation de la mission en Haïti. «Washington demande une force de répression des gangs de 5.500 membres mandatés par l'ONU», explique Gotson Pierre. Au cours de cette réunion, les États-Unis ont également annoncé qu'ils avaient décidé d'imposer des sanctions à l'ancien sénateur du département de l'Ouest, Antonio Chéramy, et à l'ex-député de la circonscription de Delmas/Tabarre, Arnel Bélizaire, pour corruption et déstabilisation des institutions démocratiques. Ils n'ont plus le droit de se rendre aux États-Unis   Le calvaire des femmes en Haïti «Dans les abris de déplacés, survivre est un combat quotidien», surtout pour les femmes, raconte Gotson Pierre. «Les rares distributions d'aide finissent souvent dans la violence», explique le journaliste. Alterpresse a recueilli le témoignage de Marie, veuve de 69 ans, qui vit dans une école et a été agressée en allant chercher de la nourriture pour les siens.   Une relation ancienne entre les États-Unis et Israël Donald Trump doit s'exprimer cet après-midi à la tribune des Nations unies. Il devrait réagir à la reconnaissance de la Palestine par une dizaine de pays occidentaux hier et avant-hier, et réaffirmer le lien indéfectible entre les États-Unis et Israël. Un lien très ancien «qui remonte à la création d'Israël, qui s'est amplifié pendant la Guerre froide et qui a pris des proportions absolument colossales : entre 1946 et 2024, 300 milliards de dollars d'aide américaine ont été versés à l'État d'Israël», explique notre correspondant aux États-Unis, Vincent Souriau. Il faut dire qu'Israël sert de rempart à la Maison Blanche au Proche-Orient «contre l'influence soviétique dans le passé et aujourd'hui, dans la lutte contre le terrorisme, la stabilité des cours du pétrole, la préservation de ressources stratégiques et la mise au ban du régime iranien», détaille Vincent Souriau. Il y a également une dimension militaire dans cette relation puisqu'on dit souvent que les Israéliens sont les premiers «testeurs» du matériel américain. Et enfin, une dimension sentimentale. «Aux États-Unis, il y a un attachement sentimental à Israël qui est perçu par toute une génération comme la victoire d'un peuple persécuté qui est parvenu à créer un État démocratique», analyse le journaliste de RFI. «Cette perception diminue ces dernières années, notamment depuis le 7 octobre, surtout au sein des jeunes générations. Mais il reste chez les baby-boomers qui dominent encore la scène politique, l'image d'Israël en quelque sorte comme celle d'un miroir de l'idéal démocratique américain.»   D. Trump établit un lien entre l'autisme et le paracétamol, malgré les avis scientifiques Le président américain reconnaît qu'il n'est «pas médecin» mais il recommande pourtant aux femmes enceintes de ne pas prendre de paracétamol et de ne pas en donner aux bébés, car selon lui, ce médicament augmente les risques d'autisme. Une affirmation infondée, soulignent les médias américains. Ses conseils médicaux ne reposent sur rien, explique le New York Times qui rappelle que pendant des années, les scientifiques ont mené des études sur un lien éventuel entre le paracétamol et l'autisme et que leurs résultats ne sont pas concluants. Il n'y a pas de lien non plus entre les vaccins et l'autisme, contrairement à ce qu'a aussi affirmé Donald Trump hier. Une idée qui a été débunkée - démystifiée en bon français - depuis longtemps, souligne encore le journal. Enfin, le président américain a autorisé la prise d'acide folinique pour lutter contre l'autisme. «Les premiers essais menés auprès de petits groupes d'enfants ont montré des progrès encourageants en matière de langage. Mais les chercheurs insistent sur le fait qu'il faut mener des études à plus grande échelle», explique le Washington Post. Ceux que le New York Times a interrogés confirment qu'il est encore trop tôt pour parler d'un traitement de l'autisme et estiment qu'alors que les fonds alloués à la recherche sont limités, il y a d'autres sujets bien plus prioritaires.   Les États-Unis au secours de l'Argentine Donald Trump doit s'entretenir avec le président argentin Javier Milei ce mardi (23 septembre 2025) en marge de l'AG des Nations unies. Hier, le Trésor américain s'est dit « prêt à faire le nécessaire » pour soutenir l'économie argentine et la sortir de la tourmente financière qui l'agite ces dernières semaines. Après l'annonce américaine, les marchés se sont calmés, relève le Wall Street Journal. Mais cela ne va pas durer. Et Donald Trump ne compte sans doute pas «utiliser l'argent du contribuable américain pour financer la sortie du peso des investisseurs lors d'une attaque spéculative.» La balle est, donc, dans le camp de l'Argentine à en croire le Wall Street Journal. «Les Argentins ont des milliards de dollars cachés sous leurs matelas ou dans des boîtes de café (...) Un plan crédible de Milei pour faire du dollar la monnaie légale leur permettrait de mettre ces billets verts au travail dans l'économie argentine», poursuit le quotidien qui incite le président argentin à dollariser l'économie en échange de l'aide américaine.   Grève nationale en Équateur En Équateur, une grève nationale a débuté hier. Le détonateur est la fin des subventions sur le diesel et par conséquent, la hausse du prix du carburant. Deux fois déjà, en 2019 et en 2022, le pouvoir en place avait tenté de faire passer cette mesure. Mais la rue l'avait fait reculer. Cette fois-ci, les choses devraient être différentes, analyse El Comercio. Car malgré cette décision impopulaire, Daniel Noboa conserve un fort capital politique. Il reste légitime aux yeux d'une grande partie du peuple et ses soutiens ont toujours du poids au Parlement, détaille le journal. En outre, le mouvement indigène, à l'origine de cette grève, est divisé. Enfin, poursuit El Comercio, Daniel Noboa a été malin : il a promis des aides à certains secteurs, comme l'agriculture et les transports. Surtout, pour éviter que Quito ne devienne l'épicentre de la contestation, comme en 2019 et en 2022, le président a déménagé le pouvoir exécutif à Latacunga, à environ 100 km au sud de la capitale, en plein territoire indigène. Une manière de dire aux manifestants que lui, ne cèdera pas, estime le quotidien.   Le journal de la 1ère Dans l'affaire du chlordécone, la cour d'Appel de Paris rendra sa décision le 23 mars 2026.

FM Mundo
NotiMundo Estelar - Ismael Quintana y Pablo Játiva, Daniel Noboa convoca a consulta popular sobre instalación de una Asamblea Constituyente, ¿y la Corte Constitucional?

FM Mundo

Play Episode Listen Later Sep 20, 2025 27:46


NotiMundo Estelar - Ismael Quintana y Pablo Játiva, Daniel Noboa convoca a consulta popular sobre instalación de una Asamblea Constituyente, ¿y la Corte Constitucional? by FM Mundo 98.1

SBS Spanish - SBS en español
"Sube todo": protestas multitudinarias en Ecuador contra el alza del precio de la gasolina

SBS Spanish - SBS en español

Play Episode Listen Later Sep 19, 2025 5:11


Cientos de manistestantes se reunieron en Quito este jueves contra el alza del precio de la gasolina, ordenada por el presidente de Ecuador, Daniel Noboa, en su afán por reducir los millonarios subsidios a los combustibles.

Noticias de América
Eliminación del diésel en Ecuador, una medida explosiva

Noticias de América

Play Episode Listen Later Sep 18, 2025 4:30


El presidente de Ecuador Daniel Noboa decidió eliminar el subsidio al diésel que pasó de 1,80 dólares a 2,80. La medida sorpresa, sin convocar a mesas de diálogo ni concertar con los sectores más dependientes del combustible, ha generado la protesta social y gremial. RFI consultó la opinión de Leónidas Iza Salazar, líder indígena y excandidato presidencial. El presidente Noboa decretó el estado de excepción en seis provincias y llamó al diálogo en un país donde el combustible no solo es un bien económico sino un símbolo político. Dos gobiernos ecuatorianos han estado a punto de arder por intentar eliminar el subsidio al diésel. En 2019, la revuelta social obligó al presidente Lenín Moreno a derogar las impopulares reformas económicas que incluían un alza importante en el precio de los combustibles. Tres años después, durante el mandato del ultraconservador Guillermo Lasso, el movimiento indígena también logró bloquear el incremento del precio del combustible y forzar al gobierno a comprometerse a mantener congelados los precios del diésel y del gas licuado de petróleo. Los enfrentamientos dejaron muertos, heridos y una gran fractura social. Leónidas Iza Salazar presidía entonces la Confederación de Nacionalidades Indígenas del Ecuador (CONAIE), emblema nacional por la defensa del subsidio al diésel. "El tema de los subsidios a los combustibles está anclado en más de 30 años de política pública. Según una ley de 2005, los siguientes gobiernos deben construir una política de compensación social y productiva para que vayamos dejando el diésel poco a poco y que no sea una decisión agresiva, letal, como ha intentado cada gobierno de turno", dijo a Radio Francia Internacional el líder indígena y excandidato presidencial. El presidente ecuatoriano Daniel Noboa decidió el viernes pasado eliminar de forma sorpresiva el subsidio al diésel. Su medida silenciosa generó, de inmediato, las protestas de transportistas, agricultores y pequeños productores, temerosos de una cadena de aumentos que golpee directamente el costo de la vida. "Al ser el combustible un factor de producción, el incremento de su precio está ligado a toda la economía ecuatoriana", firma Iza Salazar. Y explica que la subida del diésel genera dos efectos inmediatos: "El incremento en el precio de los productos de primera necesidad, sobre todo los industrializados, no los productos de los campesinos. Un segundo efecto inmediato es la especulación, porque las unidades de producción y los vehículos del transporte recuperan el costo de inversión por el incremento en el precio del combustible. Pero, además, en el mercado, por estar en cadena con todo el sistema de producción, lógicamente se desata la especulación", precisa. La protesta se ha extendido a otros sectores sociales y gremiales. El presidente Noboa decretó el estado de emergencia aduciendo grave conmoción interna y, de esta forma, frenó el paro nacional convocado para este lunes. El mandatario también autorizó a fuerzas policiales y militares a desarticular reuniones en espacios públicos que amenacen la seguridad, dijo. "El cambio de sede del gobierno es una provocación" El presidente Noboa también trasladó el poder Ejecutivo a la ciudad de Latacunga, en la provincia de Cotopaxi, donde se concentran las comunidades indígenas más organizadas y combativas. Para el líder indígena, que encabezó en el pasado la batalla contra la eliminación del subsidio al diésel, el traslado del gobierno de Noboa a esta provincia es una provocación. "Venir a una de las provincias que se ha manifestado cada vez que ha habido una decisión de este nivel es un mensaje de provocación. Y a partir de ahí, capaz que intenta controlar la provincia y la sierra centro donde estamos ubicados", sostiene. En opinión de Iza, el gobierno "sale a provocar, pero se esconde con mil policías armados, mil miembros de las fuerzas armadas, del ejército, con tanquetas de guerra, con drones, se encierra en una ciudad. Entonces, creo que hay una planificación militar política alrededor de la decisión de venir a Latacunga". Finalmente, el líder indígena Leónidas Iza denuncia que la medida de supresión del subsidio al diésel adoptada por Noboa se origina en los compromisos de su gobierno con el Fondo Monetario Internacional (FMI). "Lamentablemente quiero decir que no es una decisión del presidente de la República, Daniel Noboa. El 15 de mayo de 2024, el gobierno de Noboa firmó 43 acuerdos con el Fondo Monetario Internacional y en este momento está agachando la cabeza y acatando la imposición del Fondo Monetario Internacional". El gobierno ecuatoriano intenta cumplir con el FMI y, al mismo tiempo, frenar las protestas con bonos compensatorios selectivos y temporales. Pero en Ecuador el combustible no solo es un bien económico, sino un símbolo político. Tocarlo sin consenso es una medida explosiva.

Noticias de América
Eliminación del diésel en Ecuador, una medida explosiva

Noticias de América

Play Episode Listen Later Sep 18, 2025 4:30


El presidente de Ecuador Daniel Noboa decidió eliminar el subsidio al diésel que pasó de 1,80 dólares a 2,80. La medida sorpresa, sin convocar a mesas de diálogo ni concertar con los sectores más dependientes del combustible, ha generado la protesta social y gremial. RFI consultó la opinión de Leónidas Iza Salazar, líder indígena y excandidato presidencial. El presidente Noboa decretó el estado de excepción en seis provincias y llamó al diálogo en un país donde el combustible no solo es un bien económico sino un símbolo político. Dos gobiernos ecuatorianos han estado a punto de arder por intentar eliminar el subsidio al diésel. En 2019, la revuelta social obligó al presidente Lenín Moreno a derogar las impopulares reformas económicas que incluían un alza importante en el precio de los combustibles. Tres años después, durante el mandato del ultraconservador Guillermo Lasso, el movimiento indígena también logró bloquear el incremento del precio del combustible y forzar al gobierno a comprometerse a mantener congelados los precios del diésel y del gas licuado de petróleo. Los enfrentamientos dejaron muertos, heridos y una gran fractura social. Leónidas Iza Salazar presidía entonces la Confederación de Nacionalidades Indígenas del Ecuador (CONAIE), emblema nacional por la defensa del subsidio al diésel. "El tema de los subsidios a los combustibles está anclado en más de 30 años de política pública. Según una ley de 2005, los siguientes gobiernos deben construir una política de compensación social y productiva para que vayamos dejando el diésel poco a poco y que no sea una decisión agresiva, letal, como ha intentado cada gobierno de turno", dijo a Radio Francia Internacional el líder indígena y excandidato presidencial. El presidente ecuatoriano Daniel Noboa decidió el viernes pasado eliminar de forma sorpresiva el subsidio al diésel. Su medida silenciosa generó, de inmediato, las protestas de transportistas, agricultores y pequeños productores, temerosos de una cadena de aumentos que golpee directamente el costo de la vida. "Al ser el combustible un factor de producción, el incremento de su precio está ligado a toda la economía ecuatoriana", firma Iza Salazar. Y explica que la subida del diésel genera dos efectos inmediatos: "El incremento en el precio de los productos de primera necesidad, sobre todo los industrializados, no los productos de los campesinos. Un segundo efecto inmediato es la especulación, porque las unidades de producción y los vehículos del transporte recuperan el costo de inversión por el incremento en el precio del combustible. Pero, además, en el mercado, por estar en cadena con todo el sistema de producción, lógicamente se desata la especulación", precisa. La protesta se ha extendido a otros sectores sociales y gremiales. El presidente Noboa decretó el estado de emergencia aduciendo grave conmoción interna y, de esta forma, frenó el paro nacional convocado para este lunes. El mandatario también autorizó a fuerzas policiales y militares a desarticular reuniones en espacios públicos que amenacen la seguridad, dijo. "El cambio de sede del gobierno es una provocación" El presidente Noboa también trasladó el poder Ejecutivo a la ciudad de Latacunga, en la provincia de Cotopaxi, donde se concentran las comunidades indígenas más organizadas y combativas. Para el líder indígena, que encabezó en el pasado la batalla contra la eliminación del subsidio al diésel, el traslado del gobierno de Noboa a esta provincia es una provocación. "Venir a una de las provincias que se ha manifestado cada vez que ha habido una decisión de este nivel es un mensaje de provocación. Y a partir de ahí, capaz que intenta controlar la provincia y la sierra centro donde estamos ubicados", sostiene. En opinión de Iza, el gobierno "sale a provocar, pero se esconde con mil policías armados, mil miembros de las fuerzas armadas, del ejército, con tanquetas de guerra, con drones, se encierra en una ciudad. Entonces, creo que hay una planificación militar política alrededor de la decisión de venir a Latacunga". Finalmente, el líder indígena Leónidas Iza denuncia que la medida de supresión del subsidio al diésel adoptada por Noboa se origina en los compromisos de su gobierno con el Fondo Monetario Internacional (FMI). "Lamentablemente quiero decir que no es una decisión del presidente de la República, Daniel Noboa. El 15 de mayo de 2024, el gobierno de Noboa firmó 43 acuerdos con el Fondo Monetario Internacional y en este momento está agachando la cabeza y acatando la imposición del Fondo Monetario Internacional". El gobierno ecuatoriano intenta cumplir con el FMI y, al mismo tiempo, frenar las protestas con bonos compensatorios selectivos y temporales. Pero en Ecuador el combustible no solo es un bien económico, sino un símbolo político. Tocarlo sin consenso es una medida explosiva.

Entérese con EL COMERCIO
Información al día: Noboa plantea Asamblea Constituyente en consulta; Alvarez alerta posibles sorpresas sobre explosiones; Aprueban compra de Movistar por Tigo; Quito exonera agua a moradores del sur

Entérese con EL COMERCIO

Play Episode Listen Later Sep 18, 2025 2:55


Información al día de EL COMERCIO, Platinum y Radio Quito este jueves 18 de septiembre de 2025.Daniel Noboa busca impulsar una asamblea constituyente; El Presidente anunció que contemplará la pregunta en consulta popular y referendo; Aquiles Alvarez informa que ‘es posible que haya sorpresas graves' sobre explosiones en Guayaquil; Súper de Competencia autoriza la compra de Movistar a Millicom Spain (Tigo); Concejo Metropolitano exonera pago de planillas de agua para moradores del sur de Quito.Gracias por escuchar este podcast, un producto de Grupo EL COMERCIO.

Entérese con EL COMERCIO
Información al día: Subsidio al diésel costó millones al Estado; Venezuela anuncia su propia IA; Noboa eligió Latacunga como sede; Muere Robert Redford a los 89 años; Sanciones tras el Clásico del Astillero

Entérese con EL COMERCIO

Play Episode Listen Later Sep 16, 2025 3:14


Información al día de EL COMERCIO, Platinum y Radio Quito este martes 16 de septiembre de 2025.Más del 50% del subsidio al diésel en Ecuador representó un costo millonario para el Estado; Venezuela creará su propia inteligencia artificial que se enseñará en escuelas según Maduro; Analistas explican por qué Daniel Noboa eligió Latacunga como sede presidencial; Muere el actor Robert Redford a los 89 años en Estados Unidos; Sanciones a Emelec y Barcelona SC tras el Clásico del Astillero Gracias por escuchar este podcast, un producto de Grupo EL COMERCIO.

Max Blumenthal

With the US military assembling a naval strike force off the coast of Venezuela, and the Trump administration leveling dubious charges of "narco-terror" at Caracus, The Grayzone's Max Blumenthal interviews journalist Diego Sequera of Venezuela's Mision Verdad. We also will speak Oscar Leon of The Grayzone about Ecuador, the real base of narco-trafficking in the region, a country ruled by Trump loyalist and Miami-born billionaire Daniel Noboa, whose family stands accused of directing the drug trade under cover its international produce business.

Noticiero Univision
Demócratas y republicanos acorralan a Robert F. Kennedy

Noticiero Univision

Play Episode Listen Later Sep 4, 2025 21:02


Senadores de ambos partidos cuestionaron fuertemente al secretario de Salud Robert F Kennedy Jr. en el capitolio. Temas como el coas en los centros de prevención de enfermedades, su postura frente a las vacunas y el futuro de la salud de los estadounidenses caldearon los ánimos.En otras noticias: En Chicago se anunció que fueron postergadas las celebraciones por la independencia de México debido a la posibilidad de operativos migratorios y el despliegue de la guardia nacional.Una corte federal de apelaciones ordena que permanezca abierto el centro de detención de inmigrantes 'Alcatraz de los caimanes'Miles de familias venezolanas permanecen en incertidumbre tras la decisión del gobierno Trump de revocar el TPS.Se conocen nuevos detalles del ataque militar estadounidense contra una embarcación en el Caribe procedente de Venezuela.

Noticias de América
La ola de violencia en Ecuador permanece a pesar de las políticas de mano dura

Noticias de América

Play Episode Listen Later Sep 3, 2025 2:35


El secretario de Estado estadounidense Marc Rubio visita Ecuador para hablar de seguridad, migración y narcotráfico en la región. Según la ONG InSight Crime, Ecuador fue el país más peligroso de América Latina en 2024, con 39 homicidios por cada 100.000 habitantes. Ante una expansión de la actividad criminal y del narcotráfico, las organizaciones que trabajan con víctimas de la violencia señalan las dificultades de su actividad y critican un "deterioro institucional".  Con más de 5.200 homicidios desde el inicio de este año 2025, Ecuador vive una importante ola de violencia a pesar de la política de "mano dura" declarada por el presidente Daniel Noboa. Verónica Supliguicha es directora de proyectos en la Fundación Alas de Colibrí, una entidad ecuatoriana que trabaja en la asistencia humanitaria con víctimas del crimen organizado. "Alas de Colibrí lleva 14 años atendiendo a víctimas de trata. Tenemos una casa de acogida. En los dos o tres últimos años, los niveles de violencia con los que las víctimas son tratadas son muchísimo más graves que hace tiempo. Ahora encuentras que son procesos extremadamente cruentos y violentos de sometimiento. Eso indiscutiblemente genera unos niveles de afectación mucho más graves en su salud física y psíquica", explica. "En este momento tenemos niñas y adolescentes que están saliendo todos los días del sistema educativo por miedo, por amenazas, porque no quieren ser reclutadas, no quieren ser víctimas de trata y las familias no tienen las posibilidades de cambiarlas a otro lugar", continúa Verónica Supliguicha. En los últimos años, el país se ha posicionado como parte de una de las rutas más importantes para el narcotráfico. Los Choneros -que fueron durante años la principal banda criminal de Ecuador- se consideran una estructura debilitada tras la extradición a Estados Unidos de su líder, alias Fito. Sin embargo, otras organizaciones que trafican con armas, droga y minerales ganan terreno. Esto, sumado a un deterioro de la institucionalidad, explica el nivel de violencia actual, según Supliguicha: "Hay una falta de capacidad de respuesta y una falta de una estructura institucional que dé respuestas que sean mucho más sostenidas a largo plazo. Las redes criminales han permeado toda la región. Ya no son redes criminales que se dediquen a un solo delito y ni están en un solo país o un solo sector. Este tipo de políticas que se plantean como de mano dura son discursos vanos que no han solucionado nada". El gobierno de Noboa declaró en 2024 la existencia de un "conflicto armado interno" y ha mantenido un pulso con la Corte Constitucional de Ecuador, que suspendió algunas leyes promovidas por el presidente, acusadas de vulnerar los derechos humanos. Noboa prevé celebrar en diciembre un referéndum que permita que los jueces de la Corte Constitucional puedan ser sujetos de juicio político. Un paso más del mandatario para tratar de tirar adelante su agenda legislativa de mano dura contra el crimen organizado.

Journal d'Haïti et des Amériques
À Cuba, la pire crise sociale depuis la chute de l'URSS

Journal d'Haïti et des Amériques

Play Episode Listen Later Aug 28, 2025 30:00


D'après les économistes, 40% des 10 millions d'habitants de l'île vivent dans une situation de pauvreté et l'inflation a bondi de 30%.  L'embargo américain, en place depuis 60 ans, reste le premier frein à l'économie cubaine. Donald Trump l'a renforcé en limitant fortement l'envoi d'argent de la diaspora vers l'île. S'ajoutent à cela une dette colossale, une baisse dramatique des activités touristiques et agricoles, et une pénurie de carburant. La fin de l'année ne promet pas d'être meilleure. Les Cubains vivent au jour le jour. Un dossier d'Orianne Gendreau. En Haïti, une nouvelle feuille de route pour la « stabilité et la paix » Entretien avec Frantz Duval, rédacteur en chef du Nouvelliste. Le journal a interrogé Albert Ramdin, le secrétaire général de l'OEA, l'Organisation des États américains. L'organisation travaille sur une feuille de route pour Haïti, avec des membres de l'ONU et la Caricom, la Communauté des Caraïbes, mais les financements et les appuis manquent. La ville de Minneapolis en deuil après une nouvelle tuerie  Ce mercredi, une femme a tiré sur des enfants dans une église catholique, avant de se donner la mort sur place. Le bilan fait état de deux morts et 17 blessés. « Minneapolis, traumatisée, fait face à une nouvelle tragédie », titre le New-York Times. Le quotidien déplore que « les images de fusillades dans les écoles américaines (soient) devenues monnaie courante », monnaie courante, surtout dans cette « grande ville habituée à la violence armée ». Le journal rappelle que pas plus tard que mardi, une autre fusillade a fait un mort et six blessés à Minneapolis, et que ces derniers mois, une élue de l'État et son mari ont été assassinés, un sénateur démocrate et son épouse blessés, et puis bien sûr, en 2020, c'est là que George Floyd a été tué par la police.  Ce nouveau drame secoue donc l'Amérique et relance le débat sur les armes à feu Dans une tribune à charge, le Black Wall Street Times s'agace des prières et des condoléances exprimées par les Républicains suite à la fusillade de ce mercredi, Donald Trump en tête. Le journal afro-américain de l'Oklahoma défend une « réforme des armes à feu qui soit fondée sur le bon sens ». Il appelle à ce que les antécédents des acheteurs d'armes soient vérifiés, l'immunité juridique des fabricants d'armes levée et, enfin, que la prévention et les ressources en santé mentale soient renforcées. Javier Milei ciblé par des projectiles, en Argentine Le président est indemne, mais il a été exfiltré, alors qu'il était en déplacement pour les prochaines législatives, en périphérie de Buenos Aires. Au moment où sa sœur est visée par des accusations de corruption, la campagne du clan Milei se complique. Reportage de Théo Conscience. Javier Milei et son entourage sont directement touchés par un scandale de corruption. Dans un enregistrement qui a filtré dans la presse le 19 août dernier, l'ex-directeur de l'Agence nationale du handicap accuse la sœur du président et d'autres de ses proches de toucher des pots-de-vin de la part d'une société pharmaceutique.  Milei a beau répéter que « tout est mensonge », le journal Clarin réclame que « toute la vérité soit connue ». Suite à la diffusion de ces enregistrements, une enquête a été ouverte, mais la crédibilité du président argentin est déjà entamée, lui qui s'est toujours présenté comme un grand pourfendeur de la corruption. Le quotidien La Nacion braque la lumière sur la sœur du président, Karina, vers qui toutes ces plaintes et suspicions de corruption convergent. Dans un article d'opinion, le quotidien national de droite semble déjà avoir jugé Milei et ses proches coupables. Il affirme qu'« il est évident qu'il y avait une intention de dissimuler ces mouvements d'argent » et regrette que « le gouvernement ne propose pas d'explication convaincante ».  À lire aussiLégislatives en Argentine : la campagne électorale de Javier Milei commence sous les jets de pierre Colombie : condamnation du meurtrier de 15 ans de Miguel Uribe Le mineur de 15 ans, auteur de l'assassinat du sénateur et candidat à la présidence Miguel Uribe Turbay, mort le 11 août dernier, a été condamné à sept ans de détention dans un centre de soins spécialisés. Cela alimente la controverse sur les réductions de peine pour les mineurs. « Pourquoi le jeune tueur à gages qui a assassiné Miguel Uribe n'a-t-il pas été condamné à la peine maximale ? », c'est la question que se pose El Tiempo. L'adolescent délinquant aurait pu écoper d'une année supplémentaire. Le quotidien colombien explique qu'il aurait négocié sa peine et coopéré avec la justice. Alias ​​Tianz a reconnu les accusations de tentative de meurtre et de possession illégale d'arme, il n'a pas été inculpé d'homicide aggravé, contrairement aux cinq autres personnes impliquées dans l'affaire. Cité dans les colonnes d'El Tiempo, le représentant de la famille de Miguel Uribe a estimé que « la loi actuelle encourage l'utilisation de mineurs comme auteurs de crimes sans sanction réelle et efficace ». « Cela ouvre aux organisations criminelles un marché de tueurs à gages », renchérit l'ancien procureur Francisco Barbosa. La défense a décidé de faire appel de cette décision de justice.  En Équateur, le consortium de journalistes sud-américain Connectas est allé enquêter sur les exactions militaires Dans cette enquête interactive, les journalistes ont recueilli les témoignages de huit militaires. Ils révèlent que le gouvernement de Daniel Noboa leur a fixé des objectifs ambitieux dans la lutte contre la criminalité « sans encadrement ni formation adéquats ». Les militaires interrogés reconnaissent le recours à la torture pour obtenir des informations auprès des criminels, dans les prisons également. Début 2024, Daniel Noboa a qualifié d'organisations terroristes 22 bandes criminelles et a chargé les forces armées de les « neutraliser ». « Cette transformation opérationnelle a ouvert la porte à davantage d'abus militaires dans les rues », analyse le consortium. Connectas constate ainsi que les signalements d'abus commis par l'armée, la police et d'autres agents de l'État et les exécutions extrajudiciaires ont parfois quadruplé.  Journal la 1re À quelques jours de son départ, le préfet de la Guadeloupe s'exprime sans langue de bois sur la « crise de l'eau » dans le département et pointe des responsabilités. 

FM Mundo
NotiMundo Estelar - Aldrin Gómez, Daniel Noboa envía preguntas de consulta popular a la Corte Constitucional

FM Mundo

Play Episode Listen Later Aug 15, 2025 19:42


NotiMundo Estelar - Aldrin Gómez, Daniel Noboa envía preguntas de consulta popular a la Corte Constitucional by FM Mundo 98.1

La Hora de la Verdad
Al Oído julio 29 de 2025

La Hora de la Verdad

Play Episode Listen Later Jul 29, 2025 13:10


El mensaje de Maria Corinal Machado ¿Qué significa? Daniel Noboa le responde a Gustavo Petro

Economist Podcasts
Going gang-buster: we meet Ecuador's president

Economist Podcasts

Play Episode Listen Later Jun 27, 2025 25:48


Yesterday's arrest of a notorious gang leader is a win for Daniel Noboa. He assures our journalists he can beat back rampant transnational gangs without trampling democracy. The torrent of big geopolitical news has, perhaps surprisingly, not much moved the markets; we ask why. And the next instalment of our “Archive 1945” project revisits the founding of the United Nations.Get a world of insights by subscribing to Economist Podcasts+. For more information about how to access Economist Podcasts+, please visit our FAQs page or watch our video explaining how to link your account. Hosted on Acast. See acast.com/privacy for more information.

The Intelligence
Going gang-buster: we meet Ecuador's president

The Intelligence

Play Episode Listen Later Jun 27, 2025 25:48


Yesterday's arrest of a notorious gang leader is a win for Daniel Noboa. He assures our journalists he can beat back rampant transnational gangs without trampling democracy. The torrent of big geopolitical news has, perhaps surprisingly, not much moved the markets; we ask why. And the next instalment of our “Archive 1945” project revisits the founding of the United Nations.Get a world of insights by subscribing to Economist Podcasts+. For more information about how to access Economist Podcasts+, please visit our FAQs page or watch our video explaining how to link your account.