POPULARITY
durée : 00:05:31 - Dans la playlist de France Inter - Produit par DJ Lewis, collaborateur de Drake, le nouveau titre de Lala &ce a des airs de bailé funk brésilien. Auquel s'ajoute des sons de moteur récurrents. La moto qui semble être partout ces derniers temps.
Je ne sais plus qui a écrit : il n'y a que deux types d'histoires, un homme tombe amoureux d'une femme et un type arrive en ville. Et c'est vrai que des deux, celle qui émeut le plus, c'est la Love Story. Et qu'il y en a eu des légendaires dans l'histoire du showbizness, voulues et entretenues dans les médias, ou pas. Regardez John Lennon, rien que prononcer son nom, vous pensez déjà à Yoko Ono. Et pourtant, il a connu une sacrée histoire d'amour avant, et une belle. Je vous raconte ?Nous sommes à Liverpool en 1957. Quinze ans après avoir été ravagée par les bombardements, il y règne enfin une nouvelle joie de vivre avec la fin de la reconstruction. Surtout pour les adolescents. Bien que le quotidien soit difficile pour le monde ouvrier, c'est le règne de la débrouille comme chez les Powell. Cynthia, 17 ans, orpheline de père depuis peu, ne doit d'être inscrite à la grande école d'art de Liverpool qu'au fait que sa mère loue une partie de leur petite maison à quatre ouvriers.Les mois passent, Cynthia change, se laisse pousser les cheveux et ne porte ses lunettes à grosses montures que pour lire au tableau. Bon, elle ne descend pas toujours au bon arrêt de bus mais elle est plus avenante comme ça. D'ailleurs ce matin, le cours va débuter quand un jeune gars coiffé comme Elvis Presley déboule dans la classe, les mains dans les poches et le regard animal. Il se dirige vers le banc libre, juste derrière Cynthia et, après l'avoir frôlée, il s'effondre sur la chaise, puis lui tape sur l'épaule en disant, Salut, moi, c'est John ! Auquel elle répond par un Cynthia, en souriant, mais très vite car le prof qui a commencé son cours lui jette un regard en sourcillant.John emprunte du matériel de Cynthia dont il se sert à peine, il fait plus marrer la classe que travailler. En clair, il a atterri dans cette classe car les autres profs ne veulent plus de lui. Il est en fait tout ce qu'elle n'est pas, il se fout des cours, est effronté comme pas permis et ne pense qu'à attirer l'attention sur lui. Mais quand il vient avec sa guitare et chante entre les cours, ce n'est plus le même gars, il a une lueur dans le regard quand elle le croise qui la fait craquer. Ce n'est vraiment pas un type pour toi, lui dit sa meilleure amie. Et c'est vrai qu'il ne la calcule pas, il faut dire que leurs univers sont si différents. M'enfin, elle apprend qu'il est aussi orphelin depuis peu, comme elle, et qu'ils sont myopes tous les deux, et le cachent !Alors quand Cynthia se rend à une fête de fin d'année, devenue blonde et coiffée comme Brigitte Bardot, car elle a entendu John dire qu'il en était sot, toute de noire vêtue, comme lui, la jeune fille timide n'en revient pas de le voir arriver au pub. Mais la soirée se passe sans qu'il ne vienne vers elle, très occupé à amuser la galerie. Tu viens, Cynthia, on y va, on va rater le 72. Et alors que Cynthia met la main sur la poignée de porte, on la retient. C'est John qui lui demande de rester. Cynthia regarde son amie qui lui dit non du regard, mais elle reste, esquissant un sourire en guise d'excuse. Deux verres passent, de nombreuses phrases s'échangent puis John propose d'y aller. Où ? La chambre d'étudiant d'un copain. En sortant, la tranquillité de la rue tranche avec la cohue dans le pub, John en profite pour donner un long, passionné et irrésistible baiser à celle qui dans six ans sera connue dans le monde entier sous le nom de Cynthia Lennon, la maman de Julian.
"C'est la libre-antenne du dimanche midi ! Attablez-vous et venez débattre avec la joyeuse bande de Stephen Brun tous les dimanche entre 13h et 15h. Autour de la table : Benoït Boutron, Pierre-Ambroise Bosse, nos invités et vous bien sûr ! Les 3 sujets de débat Sport qui animent le week-end, la semaine écoulée ou la semaine à venir. "
Chaque jour, écoutez le Best-of de l'Afterfoot, sur RMC la radio du Sport ! L'After foot, c'est LE show d'après-match et surtout la référence des fans de football depuis 19 ans ! Les rencontres se prolongent tous les soirs avec Gilbert Brisbois, Daniel Riolo et Florent Gautreau avec les réactions des joueurs et entraîneurs, les conférences de presse d'après-match et les débats animés entre supporters, experts de l'After et auditeurs RMC.
Céline Géraud, accompagnée de la rédaction d'Europe 1, propose chaque midi un point complet sur l'actualité suivi de débats entre invités et auditeurs.
Marguerite Stern, ex femen, a longtemps fait partie d'une opposition dite de gauche, ouvertement opposée à la droite, représentante du patriarcat. Aujourd'hui elle aborde son virage conservateur et souhaite publiquement présenté ses excuses à l'Église catholiques et aux croyants. Soutenez-nous sur frontieresmedia.fr et frontieresmedia.fr !
durée : 00:53:04 - Questions politiques - par : Carine BECARD, Fabienne Le Moal - Budget, retraites, politique agricole... Marc Fesneau, député du Loir-et-Cher et président du groupe Les Démocrates (MoDem) à l'Assemblée nationale, est l'invité de Questions politiques ce dimanche 3 novembre. - invités : Marc Fesneau - Marc Fesneau : Ministre de l'Agriculture et de la souveraineté alimentaire
durée : 00:53:04 - Questions politiques - par : Carine BECARD, Fabienne Le Moal - Budget, retraites, politique agricole... Marc Fesneau, député du Loir-et-Cher et président du groupe Les Démocrates (MoDem) à l'Assemblée nationale, est l'invité de Questions politiques ce dimanche 3 novembre. - invités : Marc Fesneau - Marc Fesneau : Ministre de l'Agriculture et de la souveraineté alimentaire
Manuel Bompard, coordinateur de LFI, répond aux questions de Florian Tardif au sujet de la décision d'Emmanuel Macron de ne pas miser sur un gouvernement NFP, de la procédure de destitution mise sur la table et de l'appel à manifester le 7 septembre.
Débat Biden-Trump: le pire cauchemar des démocrates s'est produit. La rencontre politique américaine avec Luc Laliberté, spécialiste en politique américaine.Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Après le second tour des législatives, Emmanuel Macron devra sans doute nommer un nouveau Premier ministre, normalement issu du bloc qui l'aura emporté. Mais si aucune majorité ne se dégage, il pourrait avoir recours à un gouvernement technique. Qu'est-ce que cela veut dire ? Avec quelles personnalités ? Que peut-il faire ? Eclairage signé Marie-Bénédicte Allaire pour RTL. Ecoutez RTL vous explique avec Marie-Bénédicte Allaire du 27 juin 2024.
En entrevue, Bruno Marchand, le maire de la Ville de Québec.
A moins d'un mois des Européennes, la liste de Jordan Bardella caracole toujours en tête des intentions de vote, autour de 30 %, loin devant les autres listes. La popularité du jeune patron du Rassemblement national aussi est au plus haut. Jordan Bardella est notamment à la deuxième place dans le classement des personnalités politiques du baromètre Elabe pour « Les Echos », paru il y a 10 jours. Alors, Marine Le Pen devrait-elle s'inquiéter de la popularité de son poulain? Elle le répète à longueur d'interview. La patronne des députés du RN a un objectif : entrer à l'Elysée. Triple candidate à la présidentielle, elle se voit déjà rempiler et se considère comme la candidate naturelle de son camp pour 2027. Mais que se passera-t-il si Jordan Bardella est mieux placé qu'elle dans les sondages, quelques mois avant le scrutin?À lire aussiMarine Le Pen à Mayotte: «L'AfD ferait mieux de s'occuper des problèmes de l'Allemagne»Pour l'instant, ce n'est pas le cas. « Mais on se prépare à une inversion des courbes », avoue un proche de Marine Le Pen. Autrement dit que l'élève finisse par dépasser les intentions de votes de son maître pour la présidentielle. Mais le scénario ne changerait pas pour autant : Marine Le Pen à l'Elysée, Jordan Bardella à Matignon. « Jordan peut très bien être mieux placé que Marine dans les sondages mais tant qu'il n'est pas candidat, ça ne change rien », évacue un député mariniste.Et sur ce point, tout le monde est d'accord au RN : le jeune Bardella ne grillera pas la priorité de celle qui l'a placé au sommet. À plus forte raison dans un parti qui a connu plusieurs trahisons notoires dans le passé. Et puis, personne ne suivrait le patron du parti, à en croire un membre de l'exécutif du RN. « Jordan Bardella n'a pas d'entourage, pas de cadres prêts à le suivre dans une aventure aussi risquée, selon un habitué des réunions stratégiques. Et puis ce n'est pas son moment. L'intérêt de Jordan, c'est le temps long ! »« Il faut qu'elle continue à exister dans les médias et sur le terrain »Néanmoins, l'entourage de la leader (pour le moment) incontestée du parti se méfie. « Il faut continuer à exister dans les médias, sur le terrain aussi », lui auraient récemment conseillé au moins deux de ses proches, selon nos informations. Faut-il y voir un lien ? Marine Le Pen, très discrète ces derniers mois, était partout la semaine dernière. Sur BFMTV lundi matin, dans sa circonscription le 8 mai, dans l'Aube le lendemain. Elle a même fait une apparition surprise à un meeting de Jordan Bardella, en Moselle, mardi soir. Mais son bras droit à l'Assemblée, le secrétaire général du groupe RN, Renaud Labaye, tempère : « Cette implication accrue de Marine dans la campagne est stratégique, elle est là pour appeler à la mobilisation. Cette accélération était prévue de longue date. »À l'heure actuelle, la candidature de Marine Le Pen en 2027 n'est donc pas remise en cause dans le parti à la flamme. Sauf si elle se retrouvait empêchée. L'ex-députée européenne sera jugée à l'automne dans l'affaire des emplois présumés fictifs à Strasbourg. Et elle risque notamment une peine d'inéligibilité : être interdite de se présenter à une élection. Auquel cas, tout deviendra possible pour Jordan Bardella.À lire aussiÉlections européennes: en France, le RN confirme son avance et la poussée nationaliste en Europe
ON(WARD) FASHION, le podcast des solutions business pour une mode durable, reçoit Nelly Rodi fondatrice de l'agence éponyme pour parler de la prévision de tendances, de l'évolution du métier et ses enjeux en 2024. #EXPERT NellyRodi, Peut-on encore prédire la mode avec quelques saisons d'avance ? Lire l'avenir dans le présent.Pas une diseuse de bonaventure ni de prophéties auto-réalisatrices.Nelly Rodi est un être hypersensible qui a réussi l'exercice brillant non seulement d'en faire un métier mais d'imposer son entreprise au monde entier, aujourd'hui leader dans la prévision de tendances pour l'industrie au global ou des clients en particulier, qui attendent les cahiers de tendance, osons le dire, comme le messie.Si Nelly Rodi et ses collaborateurs collectionnent et ordonnent les indices qui feront peut-être le futur de nos dressings, cette grande dame de l'habillement, de la décoration, de la cosmétique, ou encore de l'art de vivre, puise également ses inspirations dans la variété grandiose de ses souvenirs. Dans le livre qui sort cette année, intitulé « Quelques saisons d'avance » aux éditions Bouquins, on se plonge avec délice dans les détails parcimonieux d'une vie foisonnante de rencontres et d'expériences humaines et créatives extraordinaires.C'est pourtant bien, les pieds sur terre que l'on revient - à l'aune des affres du climat - avec des questions cartésiennes et une certaine jalousie quant à l'insouciance que le monde d'avant a seul pu connaître.Qu'est-ce qu'une tendance à l'heure du tout digital et des collections hebdomadaires, des marques de fast fashion ?Si les cabinets de tendances sont des guides pour les marques de mode, est-il possible d'utiliser leurs pouvoirs en faveur d'une transformation sociétale, vers un développement durable ?Et peut-être plus sérieux entre encore : peut-on diluer la créativité dans l'overdose ? Auquel cas, la mode dessert-elle son propre propos ?Puisqu'à n'en pas douter, vous resterez comme moi sur votre faim après cet épisode, foncez vous procurer une copie du livre de Nelly Rodi, « Quelques saisons d'avance » en ligne ou dans toute bonne librairie, et d'ici là, bonne écoute !Bonne écoute ! The Good Goods : https://thegoodgoods.fr/Instagram : https://www.instagram.com/thegoodgoods.fr/NellyRodi l'agence : https://nellyrodi.com/agence/ Le livre de Nelly Rodi, quelques saisons d'avance : Trame indicative de l'épisodeA propos de Nelly Rodi avant NellyRodiLes grandes tendancesVotre radarCahier de tendances, produit phare de NRScaler la méthodeLe futur des prévisionnistes de tendanceLe futur de la modeOuverture Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Chaque matin, à 8h35 sur Chérie FM, avec Alexandre Devoise, Tiffany Bonvoisin et Dimitri, on discute ensemble ! On partage nos souvenirs, nos avis, nos expériences ! Bref, on est tous pareil ! Et surtout, on se dit tout !
Chaque matin, à 8h35 sur Chérie FM, avec Alexandre Devoise, Tiffany Bonvoisin et Dimitri, on discute ensemble ! On partage nos souvenirs, nos avis, nos expériences ! Bref, on est tous pareil ! Et surtout, on se dit tout !
REDIFF - En 2016, le médecin généraliste Jean-Marc Aydin reçoit dans son cabinet un de ses patients qu'il connait bien, qu'il suit pour des problèmes bénins. L'homme, un père de famille d'une trentaine d'années, consulte cette fois pour des douleurs lombaires, une pathologie très fréquente. Mais là, quelque chose interpelle le docteur Aydin. Si le patient se plaint de douleurs intenses qui vont jusqu'à le réveiller la nuit, sur le plan clinique, rien ne lui permet de confirmer une lombalgie ou toute autre pathologie liée au dos. Et pendant plusieurs semaines, il va tenter de comprendre de quoi souffre réellement son patient.
REDIFF - En 2016, le médecin généraliste Jean-Marc Aydin reçoit dans son cabinet un de ses patients qu'il connait bien, qu'il suit pour des problèmes bénins. L'homme, un père de famille d'une trentaine d'années, consulte cette fois pour des douleurs lombaires, une pathologie très fréquente. Mais là, quelque chose interpelle le docteur Aydin. Si le patient se plaint de douleurs intenses qui vont jusqu'à le réveiller la nuit, sur le plan clinique, rien ne lui permet de confirmer une lombalgie ou toute autre pathologie liée au dos. Et pendant plusieurs semaines, il va tenter de comprendre de quoi souffre réellement son patient.
Stéphane Didier, professeur d'histoire géographie et éducation civique dans un établissement du secondaire dans le Sud-Ouest, répond aux questions de Dimitri Pavlenko.
durée : 00:02:08 - Esprit sport - Le Paris Saint-Germain et son jeune prodige Warren Zaïre-Emery affrontent la Real Sociedad en match aller des 8e de finale de la ligue des champions. Zizek Belkebla a participé à la formation du jeune parisien à Aubervilliers. Il a rapidement senti que ce serait un futur grand joueur.
Si le Sénat a approuvé le nouveau plan d'aide à l'Ukraine de 61 milliards de dollars, en revanche la Chambre des représentants, largement acquise à Trump fait blocage. La presse européenne s'indigne.« Inconcevable », s'exclame Le Soir à Bruxelles. Certes, « le vote au Sénat d'un projet de loi bipartisan qui rouvrirait le robinet de l'aide américaine à Kiev est une timide victoire pour l'administration Biden et les rares Républicains traditionalistes. Mais, déplore le quotidien belge, l'obstacle de la Chambre des représentants, acquise à Trump et sa stratégie du chaos, paraît en l'état infranchissable, douchant les espoirs d'un réapprovisionnement rapide de l'Ukraine en armes et en munitions. »En fait, analyse Le Temps à Genève, « ce blocage à la Chambre des représentants illustre les profondes divisions du Parti républicain entre une aile traditionnelle, attachée au rôle international des États-Unis, et une majorité isolationniste rangée derrière Donald Trump. En position de force pour être le candidat du parti à la présidentielle de novembre, l'ancien président veut mettre fin à la guerre en Ukraine en "vingt-quatre heures" et considère que le soutien américain prolonge le conflit. »Carte blanche au Kremlin« À Washington, le salut de l'Ukraine suspendu aux guerres intestines de la droite américaine », regrette Libération à Paris. Libération cite les propos du sénateur républicain modéré Chuck Schumer : « Si la droite dure tue ce projet de loi, ce serait un énorme cadeau fait à Poutine. »D'autant, souligne Libération, qu'il y a quelques jours, « Donald Trump a laissé entendre en meeting qu'il pourrait "encourager" le Kremlin à "faire tout ce qu'il veut" à des pays membres de l'Otan. "Mon Dieu, que c'est idiot, honteux, dangereux et anti-américain !", s'est emporté Joe Biden dans une allocution télévisée hier après-midi. Avant de rajouter, "aucun autre président dans notre histoire ne s'est ainsi incliné devant un dictateur russe" ».Inquiétudes en EuropeLa Croix, autre quotidien français s'inquiète : « Le refus de la Chambre des représentants américaine de voter une aide militaire à l'Ukraine n'est guère en mesure de rassurer les Européens. Tout comme la provocation de Donald Trump affirmant qu'il "encouragerait" la Russie à s'en prendre aux pays de l'Otan si ceux-ci ne payaient pas leur part. (…) Le risque, en cas de victoire de Donald Trump, poursuit La Croix, est sans doute moins qu'il quitte l'Otan qu'il ne signe avec la Russie une paix provisoire, permettant à cette dernière de conserver les territoires qu'elle a envahis. Auquel cas l'Ukraine serait la grande perdante. Et, derrière elle, toute l'Europe. »Le spectre de l'isolationnismeLa presse quotidienne américaine ne ménage pas non plus ses critiques envers Donald Trump et l'aile dure des Républicains.« Le Grand old party isolationniste, encore et toujours, s'emporte le New York Times. Aider l'Ukraine à se défendre contre son ennemi despotique – tout comme défendre Israël, Taïwan ou les membres de l'Otan, riches ou pauvres – n'est pas de l'altruisme mais est dans notre propre intérêt. Le fait que le parti républicain ne comprenne pas cela est autant une honte pour lui qu'un désastre potentiel pour nous tous. »En fait, analyse le Washington Post, « tant que Donald Trump occupera le devant de la scène, il est peu probable que le parti Républicain parvienne à un équilibre durable. (…) Il restera vulnérable à des personnalités opportunistes comme lui ».« Qu'est-ce qu'il se passe avec le parti républicain ? »Le Wall Street Journal cible directement le président (pro-Trump) de la Chambre des représentants, Mike Johnson : « S'il bloque le vote de l'aide à Kiev, lui et les Républicains porteront la responsabilité de ce qui se passera ensuite en Ukraine et ailleurs. Le monde retiendra la leçon que les États-Unis ne sont pas prêts à fournir des armes à des alliés désireux de se battre pour leur propre défense contre un dictateur, comme les Ukrainiens l'ont fait avec courage et à grands frais. »« Oh mon Dieu, qu'est-ce qui se passe avec le parti républicain ?, ironise le Boston Globe. Si Mike Johnson est l'orateur choisi par Dieu, le Seigneur travaille certainement de manière mystérieuse. » Le Boston Globe fait ainsi référence aux récents propos du président de la Chambre des représentants comme quoi il trouvait des réponses aux questions internationales en lisant la Bible.
‘’ Brendan Gignac doit s’inspirer de Phillip Danault.’’ - Dany Dubé ‘’ Juraj Slafkovsky a tout un coffre à outils.‘’ - Maxime Lapierre ‘’ Il y a une grande différence entre les défenseurs des Canadiens et Sergachev. ’’ - André Tourigny ‘’ J. J. Watt a parlé de Cole Caufield et de la poutine. ‘’ - Éric Leblanc Voir https://www.cogecomedia.com/vie-privee/fr/ pour notre politique de vie privée
Chaque matin, à 8h35 sur Chérie FM, avec Alexandre Devoise, Tiffany Bonvoisin et Dimitri, on discute ensemble ! On partage nos souvenirs, nos avis, nos expériences ! Bref, on est tous pareil ! Et surtout, on se dit tout !
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La revue de presse internationale - Les correspondants d'Europe 1
Tous les jours de la semaine, Europe 1 décrypte trois articles de la presse du jour.
Tous les jours de la semaine, Europe 1 décrypte trois articles de la presse du jour.
Tous les matins, 6h50 sur Chérie FM, vous répondez avec Alexandre Devoise et Tiffany Bonvoisin au Dilemme de Dimitri !
C'est un État du centre des États-Unis, désertique qui va peut-être bien avoir la peau de l'ancien président. La Cour suprême du Colorado a pris hier une décision quasi unanimement qualifiée d' « historique », du Washington Post à Die Welt en passant par le Guardian : d'après les juges, l'ancien président ne peut pas participer à des primaires dans l'État.Et pour cause, explique le New York Times : « Il est impliqué dans une insurrection qui a mené la prise d'assaut du Capitole en janvier 2020. » Concrètement, les juges se sont servis du 14ᵉ amendement de la Constitution, au départ conçu, rappelle le Washington Post, pour écarter de certains postes « ceux qui se sont rangés avec les Confédérés pendant la Guerre de Sécession ». Et le texte, estime le Boston Globe, « peut s'appliquer à Donald Trump, après sa tentative de renverser l'élection présidentielle de 2020 et son implication dans l'invasion du Capitole ». Une décision qui pourrait inspirer d'autres juges, dans d'autres États, saisis de la même affaire… Auquel cas, cela pourrait bloquer la candidature de l'ancien chef d'État à la présidentielle.Décision historique, mais pas définitive D'abord, car comme le souligne le Guardian, « les juges ont suspendu la prise d'effet de leur décision jusqu'au 4 janvier, pour permettre de faire appel ». Et si jamais la Cour suprême est saisie de l'affaire – ce qui arrivera, selon le New York Times « de manière quasi certaine », alors, « la suspension restera en vigueur jusqu'à ce que le dossier soit clos ». Or ce dossier pourrait prendre des mois et n'être réglé qu'après l'élection présidentielle.Et puis, les failles et les interrogations sont nombreuses. Pour un nombre « grandissant » d'experts et de juristes, raconte le Boston Globe, il est probable que « le président soit exempté de la clause » héritée de la guerre de Sécession. Et de toute façon, note le Washington Post, ce texte « empêche certaines personnes d'occuper un poste de pouvoir, mais ne dit rien au sujet d'une simple candidature ». Pour les soutiens de Donald Trump, rien n'interdit donc à ce dernier de se présenter.Bref, pour le Boston Globe, les recours juridiques contre Donald Trump sont, « au mieux, obscurs ». En revanche, assène le journal, « il y a une manière certaine » de garder Donald Trump à l'extérieur de la Maison-Blanche, et ça se passe « dans l'isoloir ».L'immigration à la Une en France Mardi, le Parlement a validé « le texte le plus ferme jamais adopté » en France sur l'immigration, écrit La Croix : une loi qui raccourcit les délais de recours en cas de refus de titre de séjour, qui allonge les délais en revanche pour obtenir des allocations, un texte aussi qui restreint les protections dont bénéficiaient, par exemple, les migrants mineurs. Un texte, aussi, qui instaure une préférence nationale qui ne dit pas son nom. Le Figaro se félicite de ce « formidable chamboule-tout politique » plutôt un « texte de la honte » pour L'Humanité, désespéré par cette loi « d'une France qui trahit ses valeurs » : « Marianne peut se cacher le visage. »Et le pays n'est pas le seul à se trahir : le gouvernement aussi, car, estime El Pais, « les mesures les plus répressives […] remettent en cause certains principes que, depuis des années, le centriste Macron défend fermement ». En témoignent la démission du ministre de la Santé, Aurélien Rousseau, et les menaces de deux autres membres de l'exécutif.La majorité plus fracturée que jamaisIncapable d'obtenir une majorité sur le texte – trop à gauche pour l'extrême-droite du RN, trop à droite pour la gauche – l'exécutif a tendu la main au parti de Marine le Pen – Le Soir parle en fait de « capitulation du camp présidentiel ». « Le texte a reçu un soutien, rare, de l'extrême-droite, et cela a causé une crise dans le parti », pose le New York Times, une « pilule dure à avaler » pour l'aile gauche du macronisme, grimace Le Soir. Conclusion, termine Le Figaro : « Elisabeth Borne est exsangue, Gérald Darmanin exténué, la majorité en charpie. »En revanche, le Rassemblement national est plus en forme que jamais : le parti s'est empressé de « proclamer avec joie qu'il avait gagné la bataille des idées », raconte le New York Times, avant d'offrir « le baiser qui tue » à Emmanuel Macron en votant son texte. Dans un effort désespéré pour « tenter de stopper l'ascension vertigineuse d'une extrême droite à qui tout semble profiter », le gouvernement lui a fait le plus beau des cadeaux : lui rendre une forme d'hommage politique.
durée : 00:01:52 - Les 80'' - par : Nicolas Demorand - Comme tous les ans à cette saison, place à mes quatre-vingts petites secondes de Noël.
Métrique et astuces Bookmakers #27 - L'auteur du mois : André MarkowiczNé à Prague en 1960, André Markowicz a traduit « tout » Dostoïevski, c'est-à-dire les romans et nouvelles en quarante-cinq volumes de l'auteur des « Frères Karamazov » (Actes Sud). Il est aussi, avec l'aide inestimable de Françoise Morvan, le traducteur du théâtre complet d'Anton Tchekhov ou de Nicolas Gogol. Ou encore l'oreille précieuse qui mit près de vingt-cinq ans à restituer les 6500 vers d'« Eugène Onéguine » d'Alexandre Pouchkine. Tout ceci, parmi plus de 150 ouvrages depuis 1981, traduits du russe, de l'anglais, du latin ou du breton, aux éditions Mesures, Inculte ou José Corti. Il vit et travaille à Rennes. André Markowicz (3/3)Un traducteur est un auteur. André Markowicz le prouve chaque jour depuis quarante ans, d'un pays à l'autre, d'une forme à l'autre – y compris quand il s'échine à chercher le ton juste d'un personnage… dans une simple blague juive. Parmi les cent cinquante livres que compte sa bibliographie, on lui doit 14 pièces de Shakespeare aux éditions Les Solitaires Intempestifs, 401 poèmes chinois du VIIIe siècle (dans son chantier le plus fou : « Ombres de Chine », aux éditions Inculte) ou encore une nouvelle version du chef-d'œuvre de Mikhail Boulgakov, « Le Maître et Marguerite », traduit avec Françoise Morvan, toujours aux éditions Inculte – ce qu'il décrit parfois comme « l'aboutissement de tout son travail de traducteur de la littérature russe ». Mais ces ouvrages, composés avec la même fièvre de partage, ne doivent pas occulter les milliers de pages signées par Markowicz en solo. Ce maître en métrique est l'auteur de quatre recueils de poèmes quasi confidentiels (« Figures », « Herem »), d'un récit autobiographique en vers et sans point, à lire d'un seul souffle, sur l'appartement de sa grand-mère (« L'Appartement », Inculte). D'un sidérant journal public tenu depuis dix ans sur Facebook, à raison d'une chronique tous les deux jours, matière première des épais volumes de sa série « Partages » qui paraît maintenant chez Mesures, maison d'édition indépendante qu'il a créée avec Françoise Morvan. Ou récemment d'un tout petit essai géopolitique et littéraire, intitulé « Et si l'Ukraine libérait la Russie ? » (Le Seuil), vendu à dix mille exemplaires. Tels sont certains des sujets évoqués dans la toundra de ce troisième et dernier épisode, en compagnie d'un homme qui s'est longtemps senti « gêné, comme empêché d'écrire ». Un créateur qui ne traduit que des morts. Et qui, étrangement, ne semble pas plus inquiet que ça face à l'invasion des intelligences artificielles. Auquel on ne peut que souhaiter, en citant sa traduction du tout dernier poème de Vladimir Maïakovski, qu'il n'ait jamais « la honte de devenir raisonnable ». Enregistrement : octobre 2023 - Entretien, découpage : Richard Gaitet - Prise de son, montage : Mathilde Guermonprez - Réalisation, mixage : Charlie Marcelet - Musiques originales : Samuel Hirsch - Lectures : Sabine Zovighian, Perrine Kervran, Mina Souchon - Illustration : Sylvain Cabot - Production : ARTE Radio - Samuel Hirsch
Après avoir fait preuve de patience, il va falloir… faire preuve de patience. Censé se prononcer hier sur la réintégration d'Ousmane Sonko sur les listes électorales, le tribunal de Dakar a mis la décision en délibéré jusqu'à demain. Démarrée en février 2021, cette saga commence à « s'étire[r] en longueur » souffle Jeune Afrique, et ce n'est peut-être pas terminé : « en cas de décision défavorable, (…) les avocats de l'opposant auront la possibilité de faire appel ». Auquel cas, « l semble peu probable que l'affaire puisse être jugée devant la Cour suprême avant le 26 décembre ». La saga pourrait donc recommencer pour une saison supplémentaire.Dakar Matin veut voir dans cet interminable marathon le signe du « courage » et de la « résilience » d'Ousmane Sonko, qui incarne même, selon le journal, « le vent du changement longtemps attendu » face à « des années d'injustice ».Pour la défense d'Ousmane Sonko, une tentative de l'empêcherDe fait, rappelle JA, la décision « conditionne l'éligibilité de l'opposant à la présidentielle de février », et les délais sont serrés : le verdict tombera « moins de deux semaines avant la date de fin de dépôt des candidatures », là encore, en admettant qu'il n'y ait pas d'appel. Et cette élection, insiste Dakar Matin, « représente un moment crucial, où chaque coup porté contre [Ousmane Sonko] résonne comme un affront à la démocratie. »D'où la crainte de nouvelles échauffourées en cas de décision défavorable. Pour Aujourd'hui au Faso, à ce stade, « tout le monde retient son souffle et espère un dénouement sans encombre », après les violences provoquées par la condamnation de l'opposant à deux ans de prison pour corruption de la jeunesse au mois de juin. « Va-t-on, poursuit le titre burkinabè, de nouveau assister à des scènes de guérillas urbaines dans les rues de Dakar et d'autres villes du Sénégal ? »À lire aussiSénégal: le tribunal reporte sa décision sur la légitimité ou non de la radiation de Sonko des listesDans tous les cas, estime Dakar Matin encore, cette affaire met en lumière la nécessité de restaurer le contrat social entre le peuple et la justice : cette dernière « est censée être l'instrument qui garantit l'équité et l'application égale des droits ». Et lorsque cet instrument est perçu comme inéquitable, « marqué par des "deux poids deux mesures" », c'est toute la paix sociale qui est remise en cause, avance le journal. Une lourde responsabilité pèse donc sur le tribunal, prévient Dakar Matin : « l'institution judiciaire est cruciale pour restaurer la confiance, et maintenir l'intégrité de notre nation. »Au Burkina Faso, les 25 ans de la mort de Norbert ZongoEt il s'agit là aussi, accuse L'Observateur Paalga, d'un « interminable feuilleton politico-judiciaire ». Vingt-cinq ans donc que le journaliste burkinabè, directeur de publication de L'Indépendant, a été retrouvé mort, alors qu'il enquêtait sur la mort du chauffeur de François Compaoré, le frère de l'ancien président Blaise Compaoré. Un quart de siècle plus tard, la « longue quête de justice (…) n'a pas abouti », ce qui fait dire à Wakat Séra que cela fait « 25 ans que Norbert Zongo ne repose pas en paix. »Pourtant, retrace L'Observateur Paalga, les moyens étaient là : « face à l'onde de choc créée » par la mort du journaliste, « le pouvoir fut obligé de consentir la mise en place d'une Commission d'enquête indépendante » qui a accouché d'un rapport pointant vers six suspects. Mais cela ne suffit pas à rendre justice, et, accuse Wakat Séra, « de parodies de procès en non-lieu », la vérité « totale » sur ce qui s'est déroulé ce 13 décembre 1998 reste inconnue.Le rôle potentiel de la France pointé par les journauxEt pour cause : la justice française n'a, jusqu'à présent, pas permis l'extradition de François Compaoré, principal suspect dans l'affaire. Sauf que, rappelle Aujourd'hui au Faso, « si à un moment (…) on a eu l'impression que c'est la France qui bloquait ce dossier, (…) tout cela semble être derrière nous car le 3 mars 2020 [Paris] a décidé qu'il était extradable ». C'est à présent du côté de la Cour européenne des droits de l'homme que cela coince, puisque L'Observateur Paalga rappelle que d'après la CEDH, l'extradition de François Compaoré « entraînerait des conséquences d'une gravité exceptionnelle sur sa sécurité et son intégrité. »Et pour cause : depuis les deux coups d'État vécus par le pays, « les assurances données sous Roch Marc Christian Kaboré se sont effondrées ». Il n'empêche : pour le journal, dans un contexte où « de nombreux nuages sont en train de s'amonceler au-dessus de la liberté de la presse pour laquelle Norbert Zongo » s'est battu, mettre un point final au feuilleton judiciaire renfermerait tout un symbole.À lire aussiBurkina Faso: 25 ans après la mort de Norbert Zongo, une volonté de justice intacte
Après avoir fait preuve de patience, il va falloir… faire preuve de patience. Censé se prononcer hier sur la réintégration d'Ousmane Sonko sur les listes électorales, le tribunal de Dakar a mis la décision en délibéré jusqu'à demain. Démarrée en février 2021, cette saga commence à « s'étire[r] en longueur » souffle Jeune Afrique, et ce n'est peut-être pas terminé : « en cas de décision défavorable, (…) les avocats de l'opposant auront la possibilité de faire appel ». Auquel cas, « l semble peu probable que l'affaire puisse être jugée devant la Cour suprême avant le 26 décembre ». La saga pourrait donc recommencer pour une saison supplémentaire.Dakar Matin veut voir dans cet interminable marathon le signe du « courage » et de la « résilience » d'Ousmane Sonko, qui incarne même, selon le journal, « le vent du changement longtemps attendu » face à « des années d'injustice ».Pour la défense d'Ousmane Sonko, une tentative de l'empêcherDe fait, rappelle JA, la décision « conditionne l'éligibilité de l'opposant à la présidentielle de février », et les délais sont serrés : le verdict tombera « moins de deux semaines avant la date de fin de dépôt des candidatures », là encore, en admettant qu'il n'y ait pas d'appel. Et cette élection, insiste Dakar Matin, « représente un moment crucial, où chaque coup porté contre [Ousmane Sonko] résonne comme un affront à la démocratie. »D'où la crainte de nouvelles échauffourées en cas de décision défavorable. Pour Aujourd'hui au Faso, à ce stade, « tout le monde retient son souffle et espère un dénouement sans encombre », après les violences provoquées par la condamnation de l'opposant à deux ans de prison pour corruption de la jeunesse au mois de juin. « Va-t-on, poursuit le titre burkinabè, de nouveau assister à des scènes de guérillas urbaines dans les rues de Dakar et d'autres villes du Sénégal ? »À lire aussiSénégal: le tribunal reporte sa décision sur la légitimité ou non de la radiation de Sonko des listesDans tous les cas, estime Dakar Matin encore, cette affaire met en lumière la nécessité de restaurer le contrat social entre le peuple et la justice : cette dernière « est censée être l'instrument qui garantit l'équité et l'application égale des droits ». Et lorsque cet instrument est perçu comme inéquitable, « marqué par des "deux poids deux mesures" », c'est toute la paix sociale qui est remise en cause, avance le journal. Une lourde responsabilité pèse donc sur le tribunal, prévient Dakar Matin : « l'institution judiciaire est cruciale pour restaurer la confiance, et maintenir l'intégrité de notre nation. »Au Burkina Faso, les 25 ans de la mort de Norbert ZongoEt il s'agit là aussi, accuse L'Observateur Paalga, d'un « interminable feuilleton politico-judiciaire ». Vingt-cinq ans donc que le journaliste burkinabè, directeur de publication de L'Indépendant, a été retrouvé mort, alors qu'il enquêtait sur la mort du chauffeur de François Compaoré, le frère de l'ancien président Blaise Compaoré. Un quart de siècle plus tard, la « longue quête de justice (…) n'a pas abouti », ce qui fait dire à Wakat Séra que cela fait « 25 ans que Norbert Zongo ne repose pas en paix. »Pourtant, retrace L'Observateur Paalga, les moyens étaient là : « face à l'onde de choc créée » par la mort du journaliste, « le pouvoir fut obligé de consentir la mise en place d'une Commission d'enquête indépendante » qui a accouché d'un rapport pointant vers six suspects. Mais cela ne suffit pas à rendre justice, et, accuse Wakat Séra, « de parodies de procès en non-lieu », la vérité « totale » sur ce qui s'est déroulé ce 13 décembre 1998 reste inconnue.Le rôle potentiel de la France pointé par les journauxEt pour cause : la justice française n'a, jusqu'à présent, pas permis l'extradition de François Compaoré, principal suspect dans l'affaire. Sauf que, rappelle Aujourd'hui au Faso, « si à un moment (…) on a eu l'impression que c'est la France qui bloquait ce dossier, (…) tout cela semble être derrière nous car le 3 mars 2020 [Paris] a décidé qu'il était extradable ». C'est à présent du côté de la Cour européenne des droits de l'homme que cela coince, puisque L'Observateur Paalga rappelle que d'après la CEDH, l'extradition de François Compaoré « entraînerait des conséquences d'une gravité exceptionnelle sur sa sécurité et son intégrité. »Et pour cause : depuis les deux coups d'État vécus par le pays, « les assurances données sous Roch Marc Christian Kaboré se sont effondrées ». Il n'empêche : pour le journal, dans un contexte où « de nombreux nuages sont en train de s'amonceler au-dessus de la liberté de la presse pour laquelle Norbert Zongo » s'est battu, mettre un point final au feuilleton judiciaire renfermerait tout un symbole.À lire aussiBurkina Faso: 25 ans après la mort de Norbert Zongo, une volonté de justice intacte
Dans cette vidéo : Chris & Brian reviennent à chaud sur la très belle performance de Jalin Turner face à Bobby Green. Il se présente comme un potentiel adversaire à BSD pour leur prochain combat, et on ne ferme pas cette porte ! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Les autorités israéliennes ont annoncé que l'accord conclu avec le groupe armé palestinien n'entrerait pas en application avant vendredi – un jour plus tard que prévu donc, au minimum. Un retard qui, selon El Pais, « révèle les fragilités de l'accord entre Israël et le Hamas », soupire le journal espagnol.Et ce qui, précisément, affaiblit ce texte, c'est « le manque de mécanismes d'exécution » ainsi que « l'absence d'observateurs indépendants sur le terrain, » qui risque de laisser libre cours aux craintes des uns et des autres. « Typiquement, ce qui se produit, explique un ancien cadre militaire cité par Ha'aretz, c'est que les affrontements s'arrêtent pendant un temps, mais ils reprennent assez vite, car l'un des deux camps se sent menacé. »Et après l'accord ? La trêve n'est censée durer que 4 jours. Et ensuite ? « Israël agira-t-il avec la même intensité à l'issue de la période d'accalmie ? Le Hamas pourra-t-il en sortir renforcé ? » s'interroge L'Orient-Le Jour au Liban, qui croit savoir que, « sur le plan militaire, la situation devrait donner lieu (…) à une guerre de moindre intensité, » « pour conserver le soutien de son précieux allié américain et de ses partenaires occidentaux. »Mais le Guardian n'y croit pas vraiment et reprend les propos d'une source proche du Qatar, médiateur de l'accord : « Tout ceci est probablement irréaliste. (…) Tous ceux à qui nous parlons pensent qu'après cette pause, ce sera bien pire. »Et puis, l'accord ne prévoit la libération que d'une partie des otages détenus par le Hamas. Or, prévient Le Soir, en Belgique, « il n'est pas du tout garanti que l'éventuelle réussite de l'échange programmé serait suivie par d'autres accords semblables. » En clair : ce n'est pas parce que l'accord est couronné de succès que les autres prisonniers du Hamas bénéficieront de la même opportunité. Auquel cas, s'inquiète Ha'aretz, « les familles d'otages seront divisées entre ceux dont les proches sont rentrés […] et ceux dont les proches sont restés sur place : un autre coup insupportable. »L'extrême-droite en tête aux Pays-BasSes cheveux blond platine tirés en arrière, sa traditionnelle cravate rouge autour du cou, il explose de joie : au Pays-Bas, l'extrême-droite de Geert Wilders a gagné les législatives, et de loin, d'après les sondages à la sortie des urnes. « Une victoire à laquelle lui-même ne croyait pas » titre le Süddeutsche Zeitung qui se mord les joues : « il se pourrait – et ce n'est pas facile à écrire – […] qu'il devienne effectivement le nouveau chef du gouvernement du pays voisin de l'Allemagne. »Pourquoi le quotidien allemand se pince-t-il si fort le nez ? Eh bien, car décrit El Pais, Geert Wilders est « xénophobe, » « virulent contre l'islam », tellement « belliqueux » que ses positionnements lui ont valu d'être « l'homme politique le plus protégé du pays, » entouré de gardes du corps. Le Sueddeutsche va encore plus loin, et fustige ce « nationaliste coriace qui veut sortir de l'UE et de l'Otan, xénophobe pur et simple qui veut réduire le nombre de demandeurs d'asile ‘à zéro immédiatement'. »Véritable séisme électoral« Une victoire à laquelle lui-même ne croyait pas » titre le Süddeutsche Zeitung qui considère ces élections comme « parmi les plus surprenantes de l'histoire européenne récente. » De fait, souligne Die Welt, si les spécialistes « ont pu constater que le populiste de droite était récemment en pleine ascension, (…) personne n'avait prédit que son ‘Parti pour la Liberté' finirait aussi loin. »Comment expliquer cette surprise ? Pour El Pais, ce résultat est le signe que « l'immigration et l'asile semblent avoir pris le pas sur les problèmes de logement, de sécurité sociale et de coût de la vie. » Mais il a surtout mis de l'eau dans son vin, selon Die Welt, qui souligne que le politicien a « adopté ces dernières semaines une approche politique et stylistique beaucoup plus douce », moment qui correspond d'ailleurs au moment où les intentions de vote pour son parti ont grimpé.Quelles que soient les raisons de cette élection, qui seront analysées dans les jours à venir, le résultat fait en tout cas craindre au Times « une réaction négative de l'Union européenne face à la crise migratoire, avant les élections qui se tiendront au printemps dans toute l'Europe. »
Au croisement de la poésie et de l'art de la scène, le slam s'est imposé en Côte d'Ivoire comme un genre artistique incontournable, à la popularité solide. Pour comprendre ce succès, RFI a tendu son micro aux slameurs d'Abidjan, sur scène et en dehors. De notre correspondante à Abidjan,Le public du slam est un public fidèle. Il donne la réplique aux artistes, connaît leurs gimmicks et leurs mélodies. Car le slam, c'est de la poésie, mais pas seulement : des interactions avec le public, de l'improvisation parfois, des textes murmurés, scandés ou rapés, une mise en scène, de la musique…Le slam connaît à Abidjan un succès jamais démenti depuis le début des années 2000, et s'est progressivement professionnalisé. « Ça évolue bien ! Nous, on a commencé avec deux spectateurs, et aujourd'hui, on arrive à faire 600 places, 800 places, 1500 places, fait valoir le doyen Bee Joe, slameur depuis 1990 et président de la Fédération ivoirienne de slam. Et quand on va en compétition internationale, on se classe parmi les meilleurs. On a été 3ᵉ au niveau mondial, demi-finalistes cette année. Je pense que c'est dû à notre diversité. D'un slameur à un autre, le champ est large. Ici, il y a du rythme, de l'impact, de la percussion. »À lire aussiAutorité orale: le slam de microMega« Ça slame du tonnerre ! »Le secret de son succès ? Parvenir à se réinventer sans cesse. Ainsi, ce milieu très masculin a vu naître ces dernières années une nouvelle étoile, une jeune femme, Amee, qui porte sur scène des textes politiques et féministes. « C'était rare à l'époque de voir une femme prendre la parole sur cet angle. Et puis, le fait que j'ai des textes très engagés, qui parlent de la condition de la femme, c'est juste le reflet de ce que j'ai vécu, de ce à quoi j'ai assisté au quotidien. C'est assez masculin, mais étrangement, c'est l'un des milieux où les femmes sont le plus respectées, le plus à leur aise », explique-t-elle.Le collectif Au Nom du Slam, présidé par Amee, organise tous les ans le festival Babi Slam, qui attire des artistes internationaux. Cette année, pour la 7ᵉ édition, une jeune Française, Chloé M, était invitée à participer au jury : « À partir du moment où on m'a dit “Tu vas aller slamer en Côte d'Ivoire”, j'ai dit oui dans la seconde ! Je trouve ça génial, parce qu'en France, le slam n'est pas forcément très développé, tout le monde ne connait pas encore. Je me disais déjà qu'il fallait faire connaître le slam en France, et je ne me rendais pas compte que dans plein d'autres pays, il y avait des slameurs ! Notamment les pays d'Afrique, ça slame du tonnerre en fait ! »La scène en Côte d'Ivoire compte près de 200 artistes répertoriés par la Fédération. Auquel s'ajoutent des centaines de slameurs amateurs et de passionnés.À lire aussiRFI Musique: Les reflets intimes de Grand Corps Malade
Ce mercredi 27 septembre sort le 50e film de Woody Allen, "Coup de chance", un long-métrage tourné à Paris. Une journée idéale pour évoquer l'obsession du cinéaste... Pas pour les femmes, mais pour le jazz ! Auquel il a été beaucoup plus fidèle. Les Grosses Têtes vous proposent de découvrir ou redécouvrir le podcast de Florian Gazan. Dans "Ah Ouais ?", Florian Gazan répond en une minute chrono à toutes les questions essentielles, existentielles, parfois complètement absurdes, qui vous traversent la tête. Un podcast RTL Originals.
Ce mercredi 27 septembre sort le 50e film de Woody Allen, "Coup de chance", un long-métrage tourné à Paris. Une journée idéale pour évoquer l'obsession du cinéaste... Pas pour les femmes, mais pour le jazz ! Auquel il a été beaucoup plus fidèle. Dans "Ah Ouais ?", Florian Gazan répond en une minute chrono à toutes les questions essentielles, existentielles, parfois complètement absurdes, qui vous traversent la tête. Un podcast RTL Originals.
Bienvenue dans un nouvel épisode de Pop News ! Au programme des brèves :
" Le jeûne auquel je prends plaisir " (Ésaïe 58:2-9) by Je cherche Dieu
*** La newsletter reprend dès cette semaine ! Pour ne rien rater, cliquer ICIMerci et à très vite In Chaa Allah ! ❤***Qui ne s'est jamais dit : j'aimerais tant ressentir le Coran et non le lire comme un roman ?Qui n'a jamais ressenti une culpabilité à scroller plus aisément vers l'infini et l'au-delà plutôt que de se diriger vers la parole d'Allah ?Cela nous est tous arrivé au moins une fois n'est-ce pas ?Aujourd'hui, je reçois un frère en Allah, qui a traversé un océan, changé de continent pour parfaire son rapport au Coran. Dans la première partie de notre conversation, Abdel Karim, fondateur du projet "vivre le Coran" nous partage ce qu'il a appris durant ses années d'études, et pourquoi il en est ressorti peu grandit. Son expérience est très belle, car elle est aussi singulière qu'universelle. À n'en pas douter, vous vous retrouverez dans certaines de ces émotions, dans ses décisions, mais également peut-être, ses déceptions.Vous pourriez me demander ? Mais Madina, qu'est-ce que cela à avoir avec le mariage ? Avec l'amour ?Auquel cas je vous répondrais… tout. Ou du moins, beaucoup.Le Coran soigne notre cœur. Et le cœur est versatile. Sans guidance, il s'apparente à un bateau à la merci de bourrasques déchaînées. Lorsque notre cœur n'est pas en connexion avec la parole de notre Créateur, il est dirigé par des émotions mal maitrisées et un égo surdimensionné. Et nous ne le savons que trop bien, un égo non éduqué peut faire bien des dégâts dans toutes les relations, mais particulièrement au sein des unions.Ressentir le Coran, ça s'apprend. Pour découvrir comment notre frère Abdel Karim y est arrivé, je vous laisse en sa compagnie et cela sans plus tarder
La volonté ? Elle n'est point un concept, mais un nom, un mot primaire comme Dieu, le signe d'une chose dont nous avons intérieurement une conscience immédiate, sans jamais pouvoir la décrire. -- Oswald Spengler, Le déclin de l'Occident La volonté paraît supérieure : car le bien et la fin sont les objets de la volonté. Or la fin est la première et la plus élevée des causes. La volonté est donc la première et la plus élevée des puissances. --Saint Thomas d'Aquin, La somme théologique Qui arrive en premier entre l'intelligence, le désir et la volonté dans l'univers ? Il n'est pas impossible que l'univers soit une énorme structure dissipative. Le plus grand système auquel appartiennent tous les sous-systèmes. Auquel cas, il se pourrait qu'il dispose de sa propre volonté, son propre désir, son propre intellect et que tout cela soit au service d'une connaissance globale qui s'enrichit constamment. Si l'information est fondamentale et la première chose dans l'univers à apparaître, alors c'est l'intelligence qui est primordiale comme l'a proposé Anaxagore, puisque nous associons l'information à l'intellect sur notre schéma. RAGE Site : rage-culture.com/ Tipeee: fr.tipeee.com/rage Twitter : twitter.com/RageCultureMag Discord : discord.gg/GXeSJ7XuNS Instagram : www.instagram.com/rage_cult/?hl=fr Telegram : t.me/rage_culture Facebook : www.facebook.com/RageCultureMag
Aujourd'hui, je vous propose la rediffusion de mon épisode avec Catherine Testa, la fondatrice du média L'Optimisme, conférencière et auteure. Avec Catherine, nous avons parlé de sa prise de risque pour s'engager dans le développement durable en 2006, époque à laquelle il n'était pas coutume d'en parler et de sa prise de risque pour créer son média sur l'Optimisme auquel personne ne croyait. 3 leçons à retenir de cet épisode : 1- Donner naissance à son projet si on y croit vraiment sans donner trop d'importance aux dires de son entourage2- Accepter que l'on est imparfait3- Réaliser que l'entreprenariat est un marathon et non un sprint. Belle écoute ! Catherine Testa sur Instagram : https://www.instagram.com/etsionsouriait/Pour retrouver les coulisses du podcast : https://www.instagram.com/lalea.podcast/Pour découvrir ma vie de maman entrepreneuse : https://www.instagram.com/laufromparis/ Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
En 2016, le médecin généraliste Jean-Marc Aydin reçoit dans son cabinet un de ses patients qu'il connait bien, qu'il suit pour des problèmes bénins. L'homme, un père de famille d'une trentaine d'années, consulte cette fois pour des douleurs lombaires, une pathologie très fréquente. Mais là, quelque chose interpelle le docteur Aydin. Si le patient se plaint de douleurs intenses qui vont jusqu'à le réveiller la nuit, sur le plan clinique, rien ne lui permet de confirmer une lombalgie ou toute autre pathologie liée au dos. Et pendant plusieurs semaines, il va tenter de comprendre de quoi souffre réellement son patient. Découvrez "Symptômes", le nouveau podcast natif RTL qui vous emmène dans le cabinet d'un médecin confronté un jour à un cas mystérieux, à des symptômes parfois jamais vus ailleurs.
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Si je vous dit « charge mentale », à quoi pensez-vous en premier ? Vaisselle, linge, enfant, organisation, rendez-vous médicaux… Moi il y a beaucoup de sujets qui me viennent à l'esprit ! Mais il y en existe un, plus discret et silencieux que les autres. Auquel on ne pense pas automatiquement : la contraception. Encore trop une affaire de femmes. D'un côté, ça se comprend : ce sont les femmes qui tombent enceintes en cas de grossesse non désirées, ce sont elles qui mènent cette grossesse à terme ou l'interrompent. Mais est-ce vraiment une raison pour s'en dédouaner ? À ce que je sache, c'est un sujet important qui implique pourtant deux personnes ! Pour vous donner un ordre d'idée, en France, 72 % des femmes sont concernées par la contraception. Pilule, multiples grossesse non désirée, apprentissage de la symptothermie, congélation des ovocytes… Aujourd'hui, Margaux a accepter de nous raconter son histoire avec la contraception. Ses aventures mais aussi ses mésaventures. Et surtout ses questionnements autour de ce sujet si sensible et tabou, qu'on laisse entre les mains des femmes pour ne pas avoir à s'en soucier. Comment trouver la contraception juste pour nous ? Comment faire face à une grossesse non désirée, et ce plusieurs fois ? Quelle posture adopter dans un couple face à cette question de la gestion de la contraction ? Je laisse Margaux vous raconter son histoire et je vous souhaite une très bonne écoute.
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En 2016, le médecin généraliste Jean-Marc Aydin reçoit dans son cabinet un de ses patients qu'il connait bien, qu'il suit pour des problèmes bénins. L'homme, un père de famille d'une trentaine d'années, consulte cette fois pour des douleurs lombaires, une pathologie très fréquente. Mais là, quelque chose interpelle le docteur Aydin. Si le patient se plaint de douleurs intenses qui vont jusqu'à le réveiller la nuit, sur le plan clinique, rien ne lui permet de confirmer une lombalgie ou toute autre pathologie liée au dos. Et pendant plusieurs semaines, il va tenter de comprendre de quoi souffre réellement son patient. Découvrez "Symptômes", le nouveau podcast natif RTL qui vous emmène dans le cabinet d'un médecin confronté un jour à un cas mystérieux, à des symptômes parfois jamais vus ailleurs.