landlocked French and Mossi speaking country in West Africa
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Canadian journalist Nora Loreto reads the latest headlines for Wednesday, July 30, 2025.TRNN has partnered with Loreto to syndicate and share her daily news digest with our audience. Tune in every morning to the TRNN podcast feed to hear the latest important news stories from Canada and worldwide.Find more headlines from Nora at Sandy & Nora Talk Politics podcast feed.Help us continue producing radically independent news and in-depth analysis by following us and becoming a monthly sustainer.Follow us on:Bluesky: @therealnews.comFacebook: The Real News NetworkTwitter: @TheRealNewsYouTube: @therealnewsInstagram: @therealnewsnetworkBecome a member and join the Supporters Club for The Real News Podcast today!
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Consternation et colère des autorités à Ouaga après la mort en Côte d'Ivoire de l'activiste burkinabè Alain Traoré, alias Alino Faso. L'influenceur, âgé de 44 ans, était détenu à Abidjan pour intelligence avec des agents d'un État étranger. Il a été retrouvé pendu jeudi dernier. Les autorités ivoiriennes n'ont annoncé sa mort qu'avant-hier dimanche. Fraternité Matin à Abidjan rapporte la version officielle : « Alino Faso a été découvert dans sa chambre à 7 h 30 du matin. Le rapport médical a conclu à un suicide par pendaison. Le détenu se serait pendu à l'aide de son drap de lit, après avoir tenté en vain de s'ouvrir les veines du poignet. Des enquêtes sont en cours pour déterminer les motifs et les circonstances de ce suicide ». « Alino Faso, rappelle Le Monde Afrique, avait été interpellé le 10 janvier dernier à Abidjan. Il était suspecté d'avoir des liens étroits avec les BIR-C, les Bataillons d'intervention rapide de la communication, un groupe de cyberactivistes burkinabés très influents sur les réseaux sociaux. Les BIR-C relaient la propagande de la junte burkinabé et menacent ou invectivent régulièrement toute voix critique sur la conduite des affaires au Burkina ». « Figure controversée, précise Afrik.com, Alino Faso avait été arrêté en Côte d'Ivoire après avoir été dénationalisé par les autorités ivoiriennes pour des propos jugés séditieux et des activités militantes jugées déstabilisatrices. Il s'était longtemps présenté comme un opposant en exil, critique à la fois du pouvoir ivoirien et burkinabè ». Défiance et suspicion… Les autorités burkinabé ont donc donné de la voix… Les ministres des Affaires étrangères et de la Communication, pointe le site Lefaso.net, « rejettent la thèse du suicide avancée par les autorités judiciaires ivoiriennes et parlent de déni de justice. Le gouvernement burkinabè dit rester engagé dans le suivi de ce dossier jusqu'à la manifestation totale de la vérité et salue la mémoire d'un homme de bonne volonté qui a vécu utile pour son prochain et qui a trouvé dans l'altruisme toute sa raison de vivre ». « Le Burkina exige la vérité et le rapatriement du corps et déclare que sa mort ne restera pas impunie », s'exclame pour sa part Sidwaya, autre site burkinabè. Commentaire de Ledjely en Guinée : « c'est un décès qui ne contribuera pas à apaiser les relations déjà tendues entre les autorités ivoiriennes et burkinabè. La mort, dans des circonstances pour le moins troubles, d'Alino Faso embarrasse logiquement la Côte d'Ivoire. D'autant que du côté de la junte du capitaine Ibrahim Traoré, la disparition de cet influenceur, considéré comme un relais de la propagande pro-Ouagadougou, est perçue comme une énième preuve des manœuvres souvent imputées au pouvoir d'Alassane Ouattara. Les discours se durcissent, les menaces fusent. La condamnation est énergique. L'exigence de vérité sur les causes et les circonstances du décès est tout aussi vigoureuse ». Côté ivoirien, poursuit le site guinéen, « main sur le cœur, on affirme qu'Alino Faso s'est suicidé dans sa cellule, se pendant à l'aide de son drap de lit. Mais cette version est tout simplement inaudible à Ouagadougou, où la défiance et les suspicions envers Abidjan sont installées depuis l'arrivée au pouvoir d'Ibrahim Traoré, en septembre 2022 ». Stratégie de diversion ? Reste, tempère Ledjely, que « cette exigence de vérité ne saurait justifier l'instrumentalisation politique à laquelle se livrent le capitaine Ibrahim Traoré et son entourage. La mort d'Alino Faso est certes dramatique et condamnable. Mais elle ne saurait en aucun cas exonérer les autorités burkinabè de leurs propres responsabilités, à commencer par celle de restaurer la sécurité sur l'ensemble du territoire, mais aussi de garantir le respect des droits humains et des libertés fondamentales. Elle ne doit servir ni de prétexte à la surenchère, ni de fuite en avant, dans une stratégie de diversion bien rodée ». Enfin, on revient à Afrik.com qui relève que « si la Côte d'Ivoire n'a pas encore officiellement réagi (après les protestations des autorités burkinabè), les prochains jours s'annoncent cruciaux. La gestion du dossier pourrait influer durablement sur les relations entre Abidjan et Ouagadougou, déjà affectées par les débats récurrents sur les questions migratoires, sécuritaires et politiques ».
Consternation et colère des autorités à Ouaga après la mort en Côte d'Ivoire de l'activiste burkinabè Alain Traoré, alias Alino Faso. L'influenceur, âgé de 44 ans, était détenu à Abidjan pour intelligence avec des agents d'un État étranger. Il a été retrouvé pendu jeudi dernier. Les autorités ivoiriennes n'ont annoncé sa mort qu'avant-hier dimanche. Fraternité Matin à Abidjan rapporte la version officielle : « Alino Faso a été découvert dans sa chambre à 7 h 30 du matin. Le rapport médical a conclu à un suicide par pendaison. Le détenu se serait pendu à l'aide de son drap de lit, après avoir tenté en vain de s'ouvrir les veines du poignet. Des enquêtes sont en cours pour déterminer les motifs et les circonstances de ce suicide ». « Alino Faso, rappelle Le Monde Afrique, avait été interpellé le 10 janvier dernier à Abidjan. Il était suspecté d'avoir des liens étroits avec les BIR-C, les Bataillons d'intervention rapide de la communication, un groupe de cyberactivistes burkinabés très influents sur les réseaux sociaux. Les BIR-C relaient la propagande de la junte burkinabé et menacent ou invectivent régulièrement toute voix critique sur la conduite des affaires au Burkina ». « Figure controversée, précise Afrik.com, Alino Faso avait été arrêté en Côte d'Ivoire après avoir été dénationalisé par les autorités ivoiriennes pour des propos jugés séditieux et des activités militantes jugées déstabilisatrices. Il s'était longtemps présenté comme un opposant en exil, critique à la fois du pouvoir ivoirien et burkinabè ». Défiance et suspicion… Les autorités burkinabé ont donc donné de la voix… Les ministres des Affaires étrangères et de la Communication, pointe le site Lefaso.net, « rejettent la thèse du suicide avancée par les autorités judiciaires ivoiriennes et parlent de déni de justice. Le gouvernement burkinabè dit rester engagé dans le suivi de ce dossier jusqu'à la manifestation totale de la vérité et salue la mémoire d'un homme de bonne volonté qui a vécu utile pour son prochain et qui a trouvé dans l'altruisme toute sa raison de vivre ». « Le Burkina exige la vérité et le rapatriement du corps et déclare que sa mort ne restera pas impunie », s'exclame pour sa part Sidwaya, autre site burkinabè. Commentaire de Ledjely en Guinée : « c'est un décès qui ne contribuera pas à apaiser les relations déjà tendues entre les autorités ivoiriennes et burkinabè. La mort, dans des circonstances pour le moins troubles, d'Alino Faso embarrasse logiquement la Côte d'Ivoire. D'autant que du côté de la junte du capitaine Ibrahim Traoré, la disparition de cet influenceur, considéré comme un relais de la propagande pro-Ouagadougou, est perçue comme une énième preuve des manœuvres souvent imputées au pouvoir d'Alassane Ouattara. Les discours se durcissent, les menaces fusent. La condamnation est énergique. L'exigence de vérité sur les causes et les circonstances du décès est tout aussi vigoureuse ». Côté ivoirien, poursuit le site guinéen, « main sur le cœur, on affirme qu'Alino Faso s'est suicidé dans sa cellule, se pendant à l'aide de son drap de lit. Mais cette version est tout simplement inaudible à Ouagadougou, où la défiance et les suspicions envers Abidjan sont installées depuis l'arrivée au pouvoir d'Ibrahim Traoré, en septembre 2022 ». Stratégie de diversion ? Reste, tempère Ledjely, que « cette exigence de vérité ne saurait justifier l'instrumentalisation politique à laquelle se livrent le capitaine Ibrahim Traoré et son entourage. La mort d'Alino Faso est certes dramatique et condamnable. Mais elle ne saurait en aucun cas exonérer les autorités burkinabè de leurs propres responsabilités, à commencer par celle de restaurer la sécurité sur l'ensemble du territoire, mais aussi de garantir le respect des droits humains et des libertés fondamentales. Elle ne doit servir ni de prétexte à la surenchère, ni de fuite en avant, dans une stratégie de diversion bien rodée ». Enfin, on revient à Afrik.com qui relève que « si la Côte d'Ivoire n'a pas encore officiellement réagi (après les protestations des autorités burkinabè), les prochains jours s'annoncent cruciaux. La gestion du dossier pourrait influer durablement sur les relations entre Abidjan et Ouagadougou, déjà affectées par les débats récurrents sur les questions migratoires, sécuritaires et politiques ».
Un « dialogue franc et direct » : voilà comment L'Essor, quotidien proche du gouvernement, qualifie la visite du secrétaire d'État américain pour l'Afrique de l'Ouest William Stevens, présent à Bamako mardi 22 juillet. Au menu des échanges : la sécurité bien sûr, avec « une nouvelle vision et posture », à la fois « constructive et pragmatique », pour lutter contre les groupes armés, salue encore L'Essor. Et Aujourd'hui au Faso détaille : « concrètement, les États-Unis sont prêts à tarir les sources de financement du terrorisme, en bloquant les filières, et les comptes de ceux qui alimentent ces pratiques criminelles ». Washington pourrait même, espère le titre burkinabè, « mettre son Big Brother au service du Mali, pour étoffer son renseignement et le rendre plus percutant ». À lire aussiMali: les États-Unis réaffirment leur engagement dans les domaines sécuritaires et économiques Des menaces sécuritaires de plus en plus diverses Le Mali fait face à une « guerre hybride », pointe Le Matin, qui implique une approche « multidimensionnelle » dont, estime le journal, « une meilleure coordination entre les forces armées, les services de renseignement, et la police » ainsi que l'utilisation de technologies de pointe, et la mise sur pied d'« unités spécialisées en cyberdéfense et en guerre informationnelle ». Parmi les nouvelles menaces, il y a aussi, pointe Le Monde Afrique, les drones, dont l'utilisation « prend une ampleur sans précédent » au Mali et au Burkina Faso. Une « récente expertise » qui, signale le quotidien, permet « d'armer des appareils à bas coût ». D'après l'enquête du journal, les groupes terroristes « utilise[nt] des drones commerciaux (…) vendus entre 300 et 500 euros sur Internet et dans les magasins à Bamako et Ouagadougou ». Des « drones civils, utilisés, par exemple, par des photographes ou par le grand public ». Et un chercheur interrogé par le journal poursuit : « on y attache des grenades artisanales, c'est-à-dire des explosifs improvisés. Pour les déclencher, il suffit d'utiliser un téléphone portable connecté » et d'activer le mécanisme. Et cette méthode relativement récente est déjà prisée des groupes terroristes : Le Monde explique ainsi que d'après un récent rapport, « plus de 30 attaques confirmées impliquant des drones » ont été recensées depuis septembre 2023, dont 24 rien qu'entre mars et juin 2025. Dans ce contexte, les propositions américaines sont « alléchantes », reconnaît Aujourd'hui au Faso, et ont reçu une « oreille attentive », notamment de la part du ministre malien des Affaires étrangères Abdoulaye Diop, « qui a ainsi parlé de partenariat gagnant-gagnant », pointe le quotidien. À lire aussiMali: attaques jihadistes près de Bamako, Mahou et Tessit, frappes de drone de l'armée près de Kidal L'enjeu des intérêts américains L'Essor le dit lui-même : cette relation relancée devrait permettre le « souci [du] respect et [de l']intérêt mutuel ». Washington oublie rarement de tirer son épingle du jeu, rappelle Aujourd'hui au Faso, selon qui « avec Trump, tout part et finit en business : les intérêts de la grande Amérique ne sont pas loin ». Or, depuis la perte de leur base au Niger, Washington a perdu ses yeux dans la région… d'où ces négociations « pour obtenir de nouveau un tel observatoire sécuritaire ». Et puis, il y a le volet économique, surtout connaissant « le sous-sol très riche » du Mali. L'Essor en a d'ailleurs conscience, lui qui parle de « l'aubaine » que représenterait, pour les États-Unis, une telle collaboration. Mieux vaut donc rester sur ses gardes : « il faudra lire entre les lignes, ausculter, jauger, (…) ce que le Sahel gagne à travers toutes ces affaires, avant leur concrétisation », prévient Aujourd'hui au Faso. D'autant que les domaines concernés restent encore flous : l'Essor se contente de mentionner « une variété de secteurs » dont le journal espère qu'elle « impactera directement l'investissement et le développement au Mali », sans plus de précisions. Alors Le Matin appelle, lui aussi, à la prudence : même si les accords économiques et le soutien sécuritaire promis par les États-Unis sont tentants, « une indépendance économique relative [est] nécessaire pour éviter les pressions extérieures » et « limiter la dépendance aux puissances étrangères ».
Un « dialogue franc et direct » : voilà comment L'Essor, quotidien proche du gouvernement, qualifie la visite du secrétaire d'État américain pour l'Afrique de l'Ouest William Stevens, présent à Bamako mardi 22 juillet. Au menu des échanges : la sécurité bien sûr, avec « une nouvelle vision et posture », à la fois « constructive et pragmatique », pour lutter contre les groupes armés, salue encore L'Essor. Et Aujourd'hui au Faso détaille : « concrètement, les États-Unis sont prêts à tarir les sources de financement du terrorisme, en bloquant les filières, et les comptes de ceux qui alimentent ces pratiques criminelles ». Washington pourrait même, espère le titre burkinabè, « mettre son Big Brother au service du Mali, pour étoffer son renseignement et le rendre plus percutant ». À lire aussiMali: les États-Unis réaffirment leur engagement dans les domaines sécuritaires et économiques Des menaces sécuritaires de plus en plus diverses Le Mali fait face à une « guerre hybride », pointe Le Matin, qui implique une approche « multidimensionnelle » dont, estime le journal, « une meilleure coordination entre les forces armées, les services de renseignement, et la police » ainsi que l'utilisation de technologies de pointe, et la mise sur pied d'« unités spécialisées en cyberdéfense et en guerre informationnelle ». Parmi les nouvelles menaces, il y a aussi, pointe Le Monde Afrique, les drones, dont l'utilisation « prend une ampleur sans précédent » au Mali et au Burkina Faso. Une « récente expertise » qui, signale le quotidien, permet « d'armer des appareils à bas coût ». D'après l'enquête du journal, les groupes terroristes « utilise[nt] des drones commerciaux (…) vendus entre 300 et 500 euros sur Internet et dans les magasins à Bamako et Ouagadougou ». Des « drones civils, utilisés, par exemple, par des photographes ou par le grand public ». Et un chercheur interrogé par le journal poursuit : « on y attache des grenades artisanales, c'est-à-dire des explosifs improvisés. Pour les déclencher, il suffit d'utiliser un téléphone portable connecté » et d'activer le mécanisme. Et cette méthode relativement récente est déjà prisée des groupes terroristes : Le Monde explique ainsi que d'après un récent rapport, « plus de 30 attaques confirmées impliquant des drones » ont été recensées depuis septembre 2023, dont 24 rien qu'entre mars et juin 2025. Dans ce contexte, les propositions américaines sont « alléchantes », reconnaît Aujourd'hui au Faso, et ont reçu une « oreille attentive », notamment de la part du ministre malien des Affaires étrangères Abdoulaye Diop, « qui a ainsi parlé de partenariat gagnant-gagnant », pointe le quotidien. À lire aussiMali: attaques jihadistes près de Bamako, Mahou et Tessit, frappes de drone de l'armée près de Kidal L'enjeu des intérêts américains L'Essor le dit lui-même : cette relation relancée devrait permettre le « souci [du] respect et [de l']intérêt mutuel ». Washington oublie rarement de tirer son épingle du jeu, rappelle Aujourd'hui au Faso, selon qui « avec Trump, tout part et finit en business : les intérêts de la grande Amérique ne sont pas loin ». Or, depuis la perte de leur base au Niger, Washington a perdu ses yeux dans la région… d'où ces négociations « pour obtenir de nouveau un tel observatoire sécuritaire ». Et puis, il y a le volet économique, surtout connaissant « le sous-sol très riche » du Mali. L'Essor en a d'ailleurs conscience, lui qui parle de « l'aubaine » que représenterait, pour les États-Unis, une telle collaboration. Mieux vaut donc rester sur ses gardes : « il faudra lire entre les lignes, ausculter, jauger, (…) ce que le Sahel gagne à travers toutes ces affaires, avant leur concrétisation », prévient Aujourd'hui au Faso. D'autant que les domaines concernés restent encore flous : l'Essor se contente de mentionner « une variété de secteurs » dont le journal espère qu'elle « impactera directement l'investissement et le développement au Mali », sans plus de précisions. Alors Le Matin appelle, lui aussi, à la prudence : même si les accords économiques et le soutien sécuritaire promis par les États-Unis sont tentants, « une indépendance économique relative [est] nécessaire pour éviter les pressions extérieures » et « limiter la dépendance aux puissances étrangères ».
Join our next BoldBrush LIVE! Webinar by signing up here:https://register.boldbrush.com/live-guestOrder your exclusive da Vinci BoldBrush paintbrush set!https://brushoffer.com/collections/boldbrushLearn the magic of marketing with us here at BoldBrush!https://www.boldbrushshow.com/Get over 50% off your first year on your artist website with FASO:https://www.FASO.com/podcast/---On today's episode, we sat down with Mark Shasha, a vibrant, passionate artist whose life embodies the true spirit of creative pursuit, weaving together illustration, painting, and storytelling with an infectious joy and unwavering commitment to artistic truth. Mark shares insights from his artistic journey, emphasizing the importance of pursuing passion and staying true to oneself as an artist. He offers valuable advice about the creative process, highlighting the need for artists to be critical of their own work and continuously seek personal growth and connection. Mark emphasizes how creativity is not just about technical skill, but about capturing the essence of life through his Bohemian philosophy of pursuing truth, beauty, freedom, and love. Throughout the conversation, Mark shares his experiences of navigating the art world, from being a starving artist to becoming a successful painter and illustrator, demonstrating that persistence and genuine passion are key to artistic success. His approach encourages artists to focus on connecting with others through their work, viewing art as a means of expressing deeper truths and human experiences. Finally, Mark tells us about his upcoming participation in the Cape Ann Plein Air event in October and his plans for studio work in the summer and fall.Mark's FASO site:https://www.markshasha.com/Mark's Social Media:https://www.instagram.com/mark_shasha_arts/Mark's Book "Night of the Moonjellies":https://www.markshasha.com/book/3026/night-of-the-moonjellies
Pas moins de 81 candidatures enregistrées pour la présidentielle d'octobre : une « inflation record », pour Jeune Afrique, une « pluie de candidatures », selon Cameroon Tribune, ou une « augmentation inédite », chez le Journal du Cameroun. Quel que soit le terme choisi, tous s'accordent à le dire : un nombre particulièrement élevé de personnalités se verraient bien sûr le fauteuil présidentiel. Et des vocations se sont révélées jusqu'à la dernière minute ou presque : Cameroon Tribune raconte ainsi comment la direction générale des élections a vibré toute la journée de lundi au rythme des dépôts, dans « une véritable ambiance de ruche », alors que « pas moins d'une vingtaine de personnalités, candidats et mandataires de candidats, ont pris d'assaut les lieux ». Face à ce nombre qu'il juge carrément « exorbitant », Aujourd'hui au Faso s'interroge : « Faut-il en rire, ou se lamenter ? ». Et surtout, « tous sont-ils vraiment présidentiables ? ». À cette question, JA a une réponse toute trouvée, puisque pour le magazine, il y a « une certitude : très peu [de dossiers] seront validés ». Et le Journal du Cameroun rappelle ainsi qu'en 2018, sur « 28 candidatures déposées à l'étape initiale, (…) neuf ont été » approuvées. Or, cette année, le couperet pourrait être encore plus tranchant : « le législateur camerounais a multiplié les mesures visant à faire disparaître les candidatures fantaisistes », rappelle ainsi JA, grâce notamment à de strictes conditions financières. À lire aussiCameroun: le nombre record de candidatures à la présidentielle fait débat Des profils extrêmement variés « Ancien chef de gouvernement, ex-ministres, hommes ou femmes d'affaires, pour certains de jeunes loups de la politique, d'autre des dinosaures bien installés », comme Paul Biya, Maurice Kamto ou Cabral Libii, énumère Jeune Afrique, c'est bien simple : « jamais, au Cameroun, pareille diversité n'avait été observée dans les dossiers de candidature déposés devant les instances électorales » pour la présidentielle. Une seule constante relie l'immense majorité de ces personnalités : ce sont quasiment tous des hommes, puisque, note le Journal du Cameroun, « les candidatures masculines dominent, avec 74 figures au compteur » pour seulement sept femmes, dont six tentent leur chance pour la première fois. Comment analyser cette flambée ? Le titre camerounais estime qu'on pourrait y voir « l'impatience de certains citoyens à voir enfin une alternance au sommet de l'État », après plus de quatre décennies sous la houlette d'un Paul Biya allant sur son 93ème anniversaire. Mais cette explosion indique surtout « l'instabilité et les fissures de la démocratie camerounaise », juge le journal. D'autant qu'on observe de multiples candidatures au sein de plusieurs partis, qui « dévoilent leurs discordances ». Voilà, ironise Aujourd'hui au Faso, « une opposition en désordre de bataille ». Mais qui pourrait rentrer dans les rangs après le passage au « tamis » de l'Elecam : rendez-vous le 2 août pour connaître la liste provisoire des candidatures officiellement reconnues. À lire aussiPrésidentielle au Cameroun: près de 80 dossiers de candidatures ont été déposés Nouveau retrait d'une instance internationale pour les États-Unis Du Donald « Trump tout craché » soupire Le Pays : Washington se retire de l'Unesco, comme elle l'avait déjà fait en 2018, lors du précédent mandat du magnat. Pourquoi ? En raison d'un « prétendu parti pris contre Israël » et d'une « orientation idéologique jugée incompatible avec [la] politique étrangère » américaine, dénonce Actu Cameroun. « Tout le monde est donc prévenu », s'agace Le Pays : l'administration Trump « ne cautionne pas toute mesure ou décision qui va à l'encontre de [son] chouchou Israël, (…) et tous ceux qui l'ont osé en ont pris pour leur grade ». C'est aussi une attaque de plus contre les instances internationales, après le démantèlement en début d'année de l'USAID et ses conséquences dramatiques. Le Monde Afrique se penche mercredi matin sur le cas de Madagascar où, dans l'ouest, écrit le quotidien, « un millier de paysans » ont été « abandonnés, après le retrait de l'aide américaine ». Une décision politique, administrative, mais bien concrète pour la population, comme ce paysan qui, raconte le journal, « ignore qui est Donald Trump, mais sait qu'au mois de février, tout, pour lui, s'est arrêté : la promesse d'une maison en dur, des semences pour cinq ans, des engrais, du matériel agricole » mais aussi « le centre de santé et l'école pour ses enfants ». Des promesses qui l'ont attiré, lui et des centaines d'autres paysans, dans cette province malgache. Le deal était simple : quitter l'aire protégée où il était installé, grâce à une opération de relocalisation financée par USAID, pour mettre fin à la déforestation. Les déménagements ont eu lieu, la sensibilisation aussi, puis plus rien, conclut, amer, ce paysan : « ils nous ont annoncé la coupure des financements. Et ils ont disparu ». À lire aussiLes États-Unis annoncent leur retrait de l'Unesco, une décision «regrettable» pour l'organisation
Pas moins de 81 candidatures enregistrées pour la présidentielle d'octobre : une « inflation record », pour Jeune Afrique, une « pluie de candidatures », selon Cameroon Tribune, ou une « augmentation inédite », chez le Journal du Cameroun. Quel que soit le terme choisi, tous s'accordent à le dire : un nombre particulièrement élevé de personnalités se verraient bien sûr le fauteuil présidentiel. Et des vocations se sont révélées jusqu'à la dernière minute ou presque : Cameroon Tribune raconte ainsi comment la direction générale des élections a vibré toute la journée de lundi au rythme des dépôts, dans « une véritable ambiance de ruche », alors que « pas moins d'une vingtaine de personnalités, candidats et mandataires de candidats, ont pris d'assaut les lieux ». Face à ce nombre qu'il juge carrément « exorbitant », Aujourd'hui au Faso s'interroge : « Faut-il en rire, ou se lamenter ? ». Et surtout, « tous sont-ils vraiment présidentiables ? ». À cette question, JA a une réponse toute trouvée, puisque pour le magazine, il y a « une certitude : très peu [de dossiers] seront validés ». Et le Journal du Cameroun rappelle ainsi qu'en 2018, sur « 28 candidatures déposées à l'étape initiale, (…) neuf ont été » approuvées. Or, cette année, le couperet pourrait être encore plus tranchant : « le législateur camerounais a multiplié les mesures visant à faire disparaître les candidatures fantaisistes », rappelle ainsi JA, grâce notamment à de strictes conditions financières. À lire aussiCameroun: le nombre record de candidatures à la présidentielle fait débat Des profils extrêmement variés « Ancien chef de gouvernement, ex-ministres, hommes ou femmes d'affaires, pour certains de jeunes loups de la politique, d'autre des dinosaures bien installés », comme Paul Biya, Maurice Kamto ou Cabral Libii, énumère Jeune Afrique, c'est bien simple : « jamais, au Cameroun, pareille diversité n'avait été observée dans les dossiers de candidature déposés devant les instances électorales » pour la présidentielle. Une seule constante relie l'immense majorité de ces personnalités : ce sont quasiment tous des hommes, puisque, note le Journal du Cameroun, « les candidatures masculines dominent, avec 74 figures au compteur » pour seulement sept femmes, dont six tentent leur chance pour la première fois. Comment analyser cette flambée ? Le titre camerounais estime qu'on pourrait y voir « l'impatience de certains citoyens à voir enfin une alternance au sommet de l'État », après plus de quatre décennies sous la houlette d'un Paul Biya allant sur son 93ème anniversaire. Mais cette explosion indique surtout « l'instabilité et les fissures de la démocratie camerounaise », juge le journal. D'autant qu'on observe de multiples candidatures au sein de plusieurs partis, qui « dévoilent leurs discordances ». Voilà, ironise Aujourd'hui au Faso, « une opposition en désordre de bataille ». Mais qui pourrait rentrer dans les rangs après le passage au « tamis » de l'Elecam : rendez-vous le 2 août pour connaître la liste provisoire des candidatures officiellement reconnues. À lire aussiPrésidentielle au Cameroun: près de 80 dossiers de candidatures ont été déposés Nouveau retrait d'une instance internationale pour les États-Unis Du Donald « Trump tout craché » soupire Le Pays : Washington se retire de l'Unesco, comme elle l'avait déjà fait en 2018, lors du précédent mandat du magnat. Pourquoi ? En raison d'un « prétendu parti pris contre Israël » et d'une « orientation idéologique jugée incompatible avec [la] politique étrangère » américaine, dénonce Actu Cameroun. « Tout le monde est donc prévenu », s'agace Le Pays : l'administration Trump « ne cautionne pas toute mesure ou décision qui va à l'encontre de [son] chouchou Israël, (…) et tous ceux qui l'ont osé en ont pris pour leur grade ». C'est aussi une attaque de plus contre les instances internationales, après le démantèlement en début d'année de l'USAID et ses conséquences dramatiques. Le Monde Afrique se penche mercredi matin sur le cas de Madagascar où, dans l'ouest, écrit le quotidien, « un millier de paysans » ont été « abandonnés, après le retrait de l'aide américaine ». Une décision politique, administrative, mais bien concrète pour la population, comme ce paysan qui, raconte le journal, « ignore qui est Donald Trump, mais sait qu'au mois de février, tout, pour lui, s'est arrêté : la promesse d'une maison en dur, des semences pour cinq ans, des engrais, du matériel agricole » mais aussi « le centre de santé et l'école pour ses enfants ». Des promesses qui l'ont attiré, lui et des centaines d'autres paysans, dans cette province malgache. Le deal était simple : quitter l'aire protégée où il était installé, grâce à une opération de relocalisation financée par USAID, pour mettre fin à la déforestation. Les déménagements ont eu lieu, la sensibilisation aussi, puis plus rien, conclut, amer, ce paysan : « ils nous ont annoncé la coupure des financements. Et ils ont disparu ». À lire aussiLes États-Unis annoncent leur retrait de l'Unesco, une décision «regrettable» pour l'organisation
« Jour de vote sous haute surveillance dans un climat calme, mais tendu », titre Ici Lomé. « Le pays ayant connu en juin une vague de manifestations réclamant le départ de Faure Gnassingbé, dont la famille règne depuis près de soixante ans sur le pays », poursuit le journal. Les Togolais étaient appelés aux urnes pour élire 1527 conseillers municipaux dans 117 communes. Jeudi, dans les rues, « les boutiques étaient ouvertes, les marchés animés (…), les activités économiques ne semblaient pas perturbées par le scrutin ». Aucune tension non plus dans les « anciens bastions de l'opposition », le calme ambiant contrastait avec « les appels à la mobilisation lancée par le Mouvement du 6 juin », rapporte toujours Ici Lomé. « Une ambiance sereine relevée aussi bien par les acteurs politiques que par les observateurs », note également Republic of Togo. « À Lomé comme dans d'autres centres urbains, la participation est restée timide », constate de son côté Togo Breaking News. Ce qui témoigne selon le titre d'un « désintérêt relatif ou d'un engouement discret malgré les enjeux liés à la gouvernance locale ». « La qualité d'une élection ne se mesure pas uniquement à son taux de participation, écrit Republic of Togo, mais aussi à sa transparence, sa régularité et sa capacité à refléter la volonté populaire ». Les résultats provisoires sont attendus dans les jours à venir. Au Sénégal, une page historique s'est tournée « L'armée française quitte officiellement le Sénégal », écrit Dakaractu. L'escale aéronautique militaire, située à l'aéroport et le camp Geille, ont été restitués aux autorités sénégalaises. « Le transfert de ce camp, haut lieu de la coopération franco-sénégalaise marque la fin de la dernière base militaire permanente dans le pays ». Un événement « chargé de symboles », poursuit le titre. Mais « derrière les discours protocolaires transparait une vérité amère : la France quitte l'Afrique de l'Ouest sous pression, contrainte d'admettre que sa présence militaire n'est plus la bienvenue », poursuit Dakaractu. « Ce retrait est bien plus qu'une simple reconfiguration militaire, analyse Afrik.com, il scelle la fin d'une époque où la France conservait un ancrage stratégique au cœur de l'Afrique de l'Ouest... Pour les autorités sénégalaises, c'est un acte de souveraineté retrouvé ; pour Paris, une volonté affichée de faire évoluer son rôle sur le continent ». « Il ne s'agit pas d'une rupture à l'image de celle intervenue dans l'espace de l'Alliance des États du Sahel » avec le Mali, le Burkina Faso et le Niger, pointe Aujourd'hui au Faso mais « ce départ voulu par les nouveaux dirigeants sénégalais va ouvrir la voie à un nouveau paradigme dans la coopération entre l'ancienne puissance coloniale et ses ex-colonies bien qu'il s'agisse d'un "partenariat rénové" comme l'a souhaité Diomaye Faye ». C'est aussi ce que retient à Paris Le Monde Afrique, « contrairement aux retraits français dans les autres pays du Sahel, ce départ se fait sans rupture entre les deux États ». Les ministres des Finances du G20 en Afrique du Sud « Les pays du Sud global plaident pour une réduction des inégalités », titre Africanews. « Les nations africaines appellent au changement. Les coûts d'emprunt élevés continuent de décourager les investissements et d'étouffer les dépenses publiques dans les domaines de la santé, de l'éducation et des programmes d'infrastructures », rapporte le site internet. « L'Afrique du Sud, qui préside le G20 cette année, a mis l'accent sur la nécessité d'aborder les causes profondes des inégalités économiques mondiales », note Afrik.com. Mais le pays doit composer avec un « contexte tendu, aggravé par les tensions avec les États-Unis », pointe Africaradio. Le secrétaire américain au Trésor, « Scott Bessent était absent, tout comme Marco Rubio, secrétaire d'État, lors des précédentes réunions (…) ce qui fragilise la coordination multilatérale à quelques mois du sommet des chefs d'État prévu à Johannesburg les 22 et 23 novembre.
« Jour de vote sous haute surveillance dans un climat calme, mais tendu », titre Ici Lomé. « Le pays ayant connu en juin une vague de manifestations réclamant le départ de Faure Gnassingbé, dont la famille règne depuis près de soixante ans sur le pays », poursuit le journal. Les Togolais étaient appelés aux urnes pour élire 1527 conseillers municipaux dans 117 communes. Jeudi, dans les rues, « les boutiques étaient ouvertes, les marchés animés (…), les activités économiques ne semblaient pas perturbées par le scrutin ». Aucune tension non plus dans les « anciens bastions de l'opposition », le calme ambiant contrastait avec « les appels à la mobilisation lancée par le Mouvement du 6 juin », rapporte toujours Ici Lomé. « Une ambiance sereine relevée aussi bien par les acteurs politiques que par les observateurs », note également Republic of Togo. « À Lomé comme dans d'autres centres urbains, la participation est restée timide », constate de son côté Togo Breaking News. Ce qui témoigne selon le titre d'un « désintérêt relatif ou d'un engouement discret malgré les enjeux liés à la gouvernance locale ». « La qualité d'une élection ne se mesure pas uniquement à son taux de participation, écrit Republic of Togo, mais aussi à sa transparence, sa régularité et sa capacité à refléter la volonté populaire ». Les résultats provisoires sont attendus dans les jours à venir. Au Sénégal, une page historique s'est tournée « L'armée française quitte officiellement le Sénégal », écrit Dakaractu. L'escale aéronautique militaire, située à l'aéroport et le camp Geille, ont été restitués aux autorités sénégalaises. « Le transfert de ce camp, haut lieu de la coopération franco-sénégalaise marque la fin de la dernière base militaire permanente dans le pays ». Un événement « chargé de symboles », poursuit le titre. Mais « derrière les discours protocolaires transparait une vérité amère : la France quitte l'Afrique de l'Ouest sous pression, contrainte d'admettre que sa présence militaire n'est plus la bienvenue », poursuit Dakaractu. « Ce retrait est bien plus qu'une simple reconfiguration militaire, analyse Afrik.com, il scelle la fin d'une époque où la France conservait un ancrage stratégique au cœur de l'Afrique de l'Ouest... Pour les autorités sénégalaises, c'est un acte de souveraineté retrouvé ; pour Paris, une volonté affichée de faire évoluer son rôle sur le continent ». « Il ne s'agit pas d'une rupture à l'image de celle intervenue dans l'espace de l'Alliance des États du Sahel » avec le Mali, le Burkina Faso et le Niger, pointe Aujourd'hui au Faso mais « ce départ voulu par les nouveaux dirigeants sénégalais va ouvrir la voie à un nouveau paradigme dans la coopération entre l'ancienne puissance coloniale et ses ex-colonies bien qu'il s'agisse d'un "partenariat rénové" comme l'a souhaité Diomaye Faye ». C'est aussi ce que retient à Paris Le Monde Afrique, « contrairement aux retraits français dans les autres pays du Sahel, ce départ se fait sans rupture entre les deux États ». Les ministres des Finances du G20 en Afrique du Sud « Les pays du Sud global plaident pour une réduction des inégalités », titre Africanews. « Les nations africaines appellent au changement. Les coûts d'emprunt élevés continuent de décourager les investissements et d'étouffer les dépenses publiques dans les domaines de la santé, de l'éducation et des programmes d'infrastructures », rapporte le site internet. « L'Afrique du Sud, qui préside le G20 cette année, a mis l'accent sur la nécessité d'aborder les causes profondes des inégalités économiques mondiales », note Afrik.com. Mais le pays doit composer avec un « contexte tendu, aggravé par les tensions avec les États-Unis », pointe Africaradio. Le secrétaire américain au Trésor, « Scott Bessent était absent, tout comme Marco Rubio, secrétaire d'État, lors des précédentes réunions (…) ce qui fragilise la coordination multilatérale à quelques mois du sommet des chefs d'État prévu à Johannesburg les 22 et 23 novembre.
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« Qui l'eût cru ? Donald Trump qui s'intéresse subitement aux intérêts africains ! ». Ce cri de surprise feinte, voire ironique, c'est celui du Pays aujourd'hui, alors que le chef d'État s'apprête à accueillir cinq homologues du continent pour parler économie et commerce : le Sénégalais Bassirou Diomaye Faye, le Gabonais Brice Oligui Nguema, le Bissau-guinéen Umaro Sissoco Embalo, le Mauritanien Mohamed Ould Ghazouani et le Libérien Joseph Boakaï. Dernière étape en date d'une séquence décidément très africaine pour les États-Unis, puisque le journal burkinabè rappelle que, fin juin, « l'administration Trump avait réuni plusieurs chefs d'État et de gouvernement à Luanda en Angola » et qu' « il se dit également qu'un sommet plus large est prévu pour se tenir en septembre ». Au Gabon, l'Union, se félicite de cette réunion, véritable témoignage, selon le quotidien proche du pouvoir, « de la volonté de l'administration Trump d'institutionnaliser des partenariats gagnant-gagnant, (…) loin de toute forme d'aide ou d'assistance ». Une coopération équilibrée, vraiment ? Le Pays n'y croit pas trop… et Aujourd'hui au Faso non plus, avec cette interrogation : « pourquoi le choix de ces cinq pays, lesquels ont sans doute un partenariat avec l'oncle Sam, mais pas gigantesque au point d'être préférés par exemple à la RDC, au Rwanda ou au Kenya ? ». Pour Le Pays, si le président américain se met à courtiser ces États « qu'il a royalement ignorés au cours de son premier mandat », c'est que « quelque chose a changé » … tout simplement, juge le journal, Donald Trump a compris qu'il « pouvait faire de bonnes affaires avec l'Afrique ». Contrebalancer la montée en puissance des Brics Brics qui se sont, eux aussi, réunis cette semaine. Or, rappelle Aujourd'hui au Faso, ce regroupement informel est « l'alternative au mastodonte du système occidental et américain, » qui « essaie de se frayer un chemin »… Particulièrement face à un chef d'État « qui rythme la géopolitique mondiale » entre autres grâce à des « sanctions douanières punitives sur l'acier, les métaux [ou] le numérique ». Sanctions qui visent tout particulièrement l'Afrique du Sud… Et pour Jeune Afrique, il ne faut pas s'y tromper : cet « acharnement » pourrait bien, justement, « s'expliquer par l'appartenance [de Pretoria] au groupe des Brics », qui organisait son sommet juste avant que le couperet ne tombe. Le quotidien sud-africain Mail & Guardian met toutefois en garde contre toute position de victime : « la faute ne peut pas être placée uniquement sur les États-Unis ; les pays des Brics devraient aussi se regarder dans le miroir, et évaluer comment approfondir leurs interactions commerciales », actuellement limitées, juge le journal, « par les droits de douane prohibitifs qu'ils s'imposent les uns aux autres ». Qu'ils le veuillent ou non, ils n'ont pas le choix : « la posture ferme adoptée par les autorités américaines nécessite cette approche, qui est (…) vitale pour la durabilité à long terme des Brics ». Et Aujourd'hui au Faso ne dit pas autre chose : « c'est bien, ces grandes entités pour contrer le diktat des pays puissants, mais le continent devrait d'abord muscler des organisations telles l'Union africaine » pour faire valoir ses propres intérêts, face aux intérêts individuels des uns et des autres, car « le tout n'est pas égal à la somme des parties ». De nouvelles relations au détriment d'un partenaire historique L'Europe qui semble reléguée au second plan… D'où cette question de Jeune Afrique : le vieux continent « a-t-il encore un rôle à jouer » sur le sol africain ? À force d'« annonces peu concrètes », de « mauvaises cartes », et de refuser de reconnaître les parties les plus sombres de son histoire, le continent « perd du terrain », analyse l'hebdomadaire. D'autant que, sans chef d'orchestre et sans partition, l'Europe joue des « polyphonies inaudibles » et « donne l'impression d'hésiter » en n'étant plus ni « puissance militaire assumée, ni modèle politique envié, et sans soft power unifié ». Bref, l'Europe « prétend encore jouer le rôle de partenaire principal », alors même qu'elle risque, assène enfin l'hebdomadaire, « de sortir de l'histoire qui s'écrit », en se contentant de « "vendre" sa proximité historique ou ses valeurs ». En tout cas, conclut JA, « l'Afrique, elle, n'attend plus : elle choisit, refoule, renégocie ».
« Qui l'eût cru ? Donald Trump qui s'intéresse subitement aux intérêts africains ! ». Ce cri de surprise feinte, voire ironique, c'est celui du Pays aujourd'hui, alors que le chef d'État s'apprête à accueillir cinq homologues du continent pour parler économie et commerce : le Sénégalais Bassirou Diomaye Faye, le Gabonais Brice Oligui Nguema, le Bissau-guinéen Umaro Sissoco Embalo, le Mauritanien Mohamed Ould Ghazouani et le Libérien Joseph Boakaï. Dernière étape en date d'une séquence décidément très africaine pour les États-Unis, puisque le journal burkinabè rappelle que, fin juin, « l'administration Trump avait réuni plusieurs chefs d'État et de gouvernement à Luanda en Angola » et qu' « il se dit également qu'un sommet plus large est prévu pour se tenir en septembre ». Au Gabon, l'Union, se félicite de cette réunion, véritable témoignage, selon le quotidien proche du pouvoir, « de la volonté de l'administration Trump d'institutionnaliser des partenariats gagnant-gagnant, (…) loin de toute forme d'aide ou d'assistance ». Une coopération équilibrée, vraiment ? Le Pays n'y croit pas trop… et Aujourd'hui au Faso non plus, avec cette interrogation : « pourquoi le choix de ces cinq pays, lesquels ont sans doute un partenariat avec l'oncle Sam, mais pas gigantesque au point d'être préférés par exemple à la RDC, au Rwanda ou au Kenya ? ». Pour Le Pays, si le président américain se met à courtiser ces États « qu'il a royalement ignorés au cours de son premier mandat », c'est que « quelque chose a changé » … tout simplement, juge le journal, Donald Trump a compris qu'il « pouvait faire de bonnes affaires avec l'Afrique ». Contrebalancer la montée en puissance des Brics Brics qui se sont, eux aussi, réunis cette semaine. Or, rappelle Aujourd'hui au Faso, ce regroupement informel est « l'alternative au mastodonte du système occidental et américain, » qui « essaie de se frayer un chemin »… Particulièrement face à un chef d'État « qui rythme la géopolitique mondiale » entre autres grâce à des « sanctions douanières punitives sur l'acier, les métaux [ou] le numérique ». Sanctions qui visent tout particulièrement l'Afrique du Sud… Et pour Jeune Afrique, il ne faut pas s'y tromper : cet « acharnement » pourrait bien, justement, « s'expliquer par l'appartenance [de Pretoria] au groupe des Brics », qui organisait son sommet juste avant que le couperet ne tombe. Le quotidien sud-africain Mail & Guardian met toutefois en garde contre toute position de victime : « la faute ne peut pas être placée uniquement sur les États-Unis ; les pays des Brics devraient aussi se regarder dans le miroir, et évaluer comment approfondir leurs interactions commerciales », actuellement limitées, juge le journal, « par les droits de douane prohibitifs qu'ils s'imposent les uns aux autres ». Qu'ils le veuillent ou non, ils n'ont pas le choix : « la posture ferme adoptée par les autorités américaines nécessite cette approche, qui est (…) vitale pour la durabilité à long terme des Brics ». Et Aujourd'hui au Faso ne dit pas autre chose : « c'est bien, ces grandes entités pour contrer le diktat des pays puissants, mais le continent devrait d'abord muscler des organisations telles l'Union africaine » pour faire valoir ses propres intérêts, face aux intérêts individuels des uns et des autres, car « le tout n'est pas égal à la somme des parties ». De nouvelles relations au détriment d'un partenaire historique L'Europe qui semble reléguée au second plan… D'où cette question de Jeune Afrique : le vieux continent « a-t-il encore un rôle à jouer » sur le sol africain ? À force d'« annonces peu concrètes », de « mauvaises cartes », et de refuser de reconnaître les parties les plus sombres de son histoire, le continent « perd du terrain », analyse l'hebdomadaire. D'autant que, sans chef d'orchestre et sans partition, l'Europe joue des « polyphonies inaudibles » et « donne l'impression d'hésiter » en n'étant plus ni « puissance militaire assumée, ni modèle politique envié, et sans soft power unifié ». Bref, l'Europe « prétend encore jouer le rôle de partenaire principal », alors même qu'elle risque, assène enfin l'hebdomadaire, « de sortir de l'histoire qui s'écrit », en se contentant de « "vendre" sa proximité historique ou ses valeurs ». En tout cas, conclut JA, « l'Afrique, elle, n'attend plus : elle choisit, refoule, renégocie ».
Cela fait 35 ans que, tous les 7 juillet, le pays commémore ce jour de 1990, durant lequel une foule immense s'est réunie contre le président Daniel Arap Moï. Plus de trois décennies plus tard, « l'esprit intrépide et sans tribu de Saba Saba a été ravivé chez les jeunes » écrit The Standard, et ce, malgré les tentatives des policiers « qui ont utilisé tout ce sur quoi ils ont pu mettre les mains – fil barbelé, herses, ruban de scène de crime – pour (…) paralyser le mouvement dans la capitale ». Il faut dire que cette année, la date anniversaire intervenait dans un contexte particulier, voire « brûlant et violent, » estime Aujourd'hui au Faso, marqué « depuis un mois » par l'agacement grandissant de « manifestants qui sont vent debout contre le pouvoir (…) qui a imposé des taxes drastiques, et dont les sécurocrates ont multiplié (…) les brutalités contre la population ». Pour le Daily Nation, c'est simple : ce Saba Saba aura été « un rappel brutal du niveau de régression sous la férule de William Ruto ». Le journal kényan s'insurge particulièrement de l'alliance, selon lui « très visible » entre l'appareil de sécurité nationale et « des gangs criminels embauchés » par le pouvoir, une « incursion inquiétante, pointe le quotidien, dans le règne de la terreur et de l'anarchie, antithétiques de la démocratie et du respect des droits de l'Homme ». Accusées, aussi, par la commission kényane des droits humains, les autorités nient fermement d'avoir eu recours à des bandes armées. Le fossé se creuse entre pouvoir et population C'est l'avis du Pays qui pointe que « les manifestations récurrentes » depuis un an, et la mise en place de nouvelles taxes, « sont le signe de la rupture de confiance » entre le peuple et ses dirigeants ; et le Standard renchérit : « la confiance entre les citoyens kényans et les policiers a été totalement épuisée par les récents événements, qui ont attiré la honte sur le pays au niveau international ». Car chaque manifestation, y compris le Saba Saba d'hier, est endeuillée par des dizaines de victimes… Dix morts au moins hier lundi… 19 fin juin… or, tance Le Pays, « la violence aveugle n'a jamais arrêté un peuple déterminé, bien au contraire ». Plutôt que de s'épuiser en dispositifs sécuritaires sophistiqués et en répressions meurtrières, le pouvoir ferait mieux de changer de stratégie et de « trouver des réponses adéquates aux préoccupations » de la population. Et le Daily Nation enfonce le clou : « un jour, ceux dont les mains sont tachées de sang apprendront que le crime ne paie pas ». Des évolutions pour le football féminin sur le continent C'est un article du Monde Afrique qui s'intéresse à cette discipline, à l'occasion de la CAN féminine au Maroc ! « Pas homogène sur l'ensemble du continent », le foot féminin connaît néanmoins « un essor spectaculaire, » s'enthousiasme le quotidien. Et, principal témoignage de cet essor, le nerf de la guerre : l'argent… avec des primes qui ont, raconte le Monde, « augmenté de manière substantielle » puisque l'équipe gagnante « empochera un million de dollars, soit le double de ce qu'avait perçu l'Afrique du Sud » lors de la précédente édition, en 2022. On reste tout de même encore loin des chiffres côté masculin : pour 12 équipes féminines, la CAF distribuera près de trois millions et demi de dollars ; chez les hommes, pour 24 sélections, ce sont 21 millions de dollars distribués. À cela, il faut ajouter un autre problème, pointe le quotidien : « en Afrique, de nombreuses fédérations dépendent plus ou moins, économiquement, des États » - en clair, « le développement du football féminin (…) repose en partie sur les aides publiques ». Or, dans certains pays de culture patriarcale, « il n'est pas rare que (…) la pratique du football par les femmes ne soit pas toujours bien acceptée ». Il n'empêche : le mouvement est enclenché, « sur les 54 fédérations affiliées à la CAF, 47 ont aujourd'hui une sélection nationale 'A' féminine ». La balle est désormais dans le camp des États.
Cela fait 35 ans que, tous les 7 juillet, le pays commémore ce jour de 1990, durant lequel une foule immense s'est réunie contre le président Daniel Arap Moï. Plus de trois décennies plus tard, « l'esprit intrépide et sans tribu de Saba Saba a été ravivé chez les jeunes » écrit The Standard, et ce, malgré les tentatives des policiers « qui ont utilisé tout ce sur quoi ils ont pu mettre les mains – fil barbelé, herses, ruban de scène de crime – pour (…) paralyser le mouvement dans la capitale ». Il faut dire que cette année, la date anniversaire intervenait dans un contexte particulier, voire « brûlant et violent, » estime Aujourd'hui au Faso, marqué « depuis un mois » par l'agacement grandissant de « manifestants qui sont vent debout contre le pouvoir (…) qui a imposé des taxes drastiques, et dont les sécurocrates ont multiplié (…) les brutalités contre la population ». Pour le Daily Nation, c'est simple : ce Saba Saba aura été « un rappel brutal du niveau de régression sous la férule de William Ruto ». Le journal kényan s'insurge particulièrement de l'alliance, selon lui « très visible » entre l'appareil de sécurité nationale et « des gangs criminels embauchés » par le pouvoir, une « incursion inquiétante, pointe le quotidien, dans le règne de la terreur et de l'anarchie, antithétiques de la démocratie et du respect des droits de l'Homme ». Accusées, aussi, par la commission kényane des droits humains, les autorités nient fermement d'avoir eu recours à des bandes armées. Le fossé se creuse entre pouvoir et population C'est l'avis du Pays qui pointe que « les manifestations récurrentes » depuis un an, et la mise en place de nouvelles taxes, « sont le signe de la rupture de confiance » entre le peuple et ses dirigeants ; et le Standard renchérit : « la confiance entre les citoyens kényans et les policiers a été totalement épuisée par les récents événements, qui ont attiré la honte sur le pays au niveau international ». Car chaque manifestation, y compris le Saba Saba d'hier, est endeuillée par des dizaines de victimes… Dix morts au moins hier lundi… 19 fin juin… or, tance Le Pays, « la violence aveugle n'a jamais arrêté un peuple déterminé, bien au contraire ». Plutôt que de s'épuiser en dispositifs sécuritaires sophistiqués et en répressions meurtrières, le pouvoir ferait mieux de changer de stratégie et de « trouver des réponses adéquates aux préoccupations » de la population. Et le Daily Nation enfonce le clou : « un jour, ceux dont les mains sont tachées de sang apprendront que le crime ne paie pas ». Des évolutions pour le football féminin sur le continent C'est un article du Monde Afrique qui s'intéresse à cette discipline, à l'occasion de la CAN féminine au Maroc ! « Pas homogène sur l'ensemble du continent », le foot féminin connaît néanmoins « un essor spectaculaire, » s'enthousiasme le quotidien. Et, principal témoignage de cet essor, le nerf de la guerre : l'argent… avec des primes qui ont, raconte le Monde, « augmenté de manière substantielle » puisque l'équipe gagnante « empochera un million de dollars, soit le double de ce qu'avait perçu l'Afrique du Sud » lors de la précédente édition, en 2022. On reste tout de même encore loin des chiffres côté masculin : pour 12 équipes féminines, la CAF distribuera près de trois millions et demi de dollars ; chez les hommes, pour 24 sélections, ce sont 21 millions de dollars distribués. À cela, il faut ajouter un autre problème, pointe le quotidien : « en Afrique, de nombreuses fédérations dépendent plus ou moins, économiquement, des États » - en clair, « le développement du football féminin (…) repose en partie sur les aides publiques ». Or, dans certains pays de culture patriarcale, « il n'est pas rare que (…) la pratique du football par les femmes ne soit pas toujours bien acceptée ». Il n'empêche : le mouvement est enclenché, « sur les 54 fédérations affiliées à la CAF, 47 ont aujourd'hui une sélection nationale 'A' féminine ». La balle est désormais dans le camp des États.
« Le flou entourant les conditions d'éligibilité à la présidence de la République de Guinée se dissipe, peu à peu », écrit Guinéenews. Le mandat présidentiel sera fixé à sept ans, renouvelable une seule fois. Une « avancée majeure », selon Oyé Béavogui, ancien secrétaire général par intérim du Parti démocratique de Guinée – Rassemblement démocratique africain (PDG-RDA), proche du pouvoir. Selon lui, cet allongement du mandat présidentiel « offre aux dirigeants le temps nécessaire pour se consacrer aux vraies priorités du pays », rapporte Guinéematin. « Un mandat de cinq ans ne sert pas à grand-chose », renchérit Alhoussein Maganera Kaké, le coordinateur général de la Synergie GDM 2025, lui aussi proche du pouvoir. « Vous avez deux ans de campagne, puis, une fois élu, un an pour identifier les cadres et les nommer. Il vous reste à peine deux ans pour travailler. Et en deux ans, on ne peut rien faire », précise-t-il dans le Djely. Africaguinée retient, de son côté, que l'un des aspects cruciaux de ces dispositions réside « dans l'immunité civile et pénale accordée aux anciens présidents pour les actes commis durant l'exercice régulier de leurs fonctions ». Mamadi Doumbouya, candidat ? Il s'était engagé à ne pas se représenter, mais la perspective inquiète Ibrahima Diallo, membre du Front national pour la défense de la Constitution. Elle remettrait « en cause la crédibilité et la légitimité de tout le processus, quelle que soit la qualité du texte proposé. Notre énergie collective doit désormais être dirigée vers un seul objectif : empêcher la candidature » du président de la transition, explique-t-il dans un entretien à Guinée7. Dans son éditorial, le site d'informations burkinabè Wakat Sera ironise : « Ainsi donc, sauf tsunami, Mamadi Doumbouya se présentera à la prochaine élection présidentielle », tout en rappelant que le président de la transition s'est engagé à ne pas se présenter. Jeune Afrique se montre tout aussi dubitatif sur la position qu'adoptera le général, « ce mandat allongé servira-t-il à Mamadi Doumbouya, très probable candidat », s'interroge le magazine. Inquiétude après la disparition de l'USAID « Le désengagement américain fait craindre une résurgence des épidémies » au Libéria. Reportage dans le Point dans ce pays qui détient « désormais le titre de pays africain le plus touché par ces coupes budgétaires liées à la disparition de l'Agence américaine pour le développement. Tous financements confondus, elles représentaient 3% du revenu national brut, « les professionnels de santé redoutent en l'état une détérioration de la situation épidémique ». Et le VIH est « loin de constituer le seul objet de préoccupation », précise le Point, le Mpox est « en arrière-plan ». « Bien que le centre épidémique de la variole du singe demeure en Afrique centrale, la transmission du virus s'est récemment accélérée au Liberia, où les autorités publiques ont recensé près de 900 cas suspectés depuis janvier 2025. » « Les Africains sommés d'être des grands garçons responsables », titre Aujourd'hui au Faso dans son éditorial. L'avenir de l'aide humanitaire en Afrique s'écrit en pointillé, selon Le Pays qui met en exergue cette citation de Cicéron qui « a traversé les âges depuis la Rome antique » : « L'argent est le nerf de la guerre. » Le site rappelle que faute d'argent, le Programme alimentaire mondial « menace de fermer des camps de réfugiés au Soudan où l'organisation onusienne est très active en raison du conflit armé qui déchire le pays depuis plus de deux ans ». Mais le Pays appelle « l'Afrique à prendre ses responsabilités en travaillant à éviter les situations de conflit qui contribuent à retarder le développement du continent, en plus de plonger les populations dans la précarité et la tourmente », conclut le site burkinabè.
« Le flou entourant les conditions d'éligibilité à la présidence de la République de Guinée se dissipe, peu à peu », écrit Guinéenews. Le mandat présidentiel sera fixé à sept ans, renouvelable une seule fois. Une « avancée majeure », selon Oyé Béavogui, ancien secrétaire général par intérim du Parti démocratique de Guinée – Rassemblement démocratique africain (PDG-RDA), proche du pouvoir. Selon lui, cet allongement du mandat présidentiel « offre aux dirigeants le temps nécessaire pour se consacrer aux vraies priorités du pays », rapporte Guinéematin. « Un mandat de cinq ans ne sert pas à grand-chose », renchérit Alhoussein Maganera Kaké, le coordinateur général de la Synergie GDM 2025, lui aussi proche du pouvoir. « Vous avez deux ans de campagne, puis, une fois élu, un an pour identifier les cadres et les nommer. Il vous reste à peine deux ans pour travailler. Et en deux ans, on ne peut rien faire », précise-t-il dans le Djely. Africaguinée retient, de son côté, que l'un des aspects cruciaux de ces dispositions réside « dans l'immunité civile et pénale accordée aux anciens présidents pour les actes commis durant l'exercice régulier de leurs fonctions ». Mamadi Doumbouya, candidat ? Il s'était engagé à ne pas se représenter, mais la perspective inquiète Ibrahima Diallo, membre du Front national pour la défense de la Constitution. Elle remettrait « en cause la crédibilité et la légitimité de tout le processus, quelle que soit la qualité du texte proposé. Notre énergie collective doit désormais être dirigée vers un seul objectif : empêcher la candidature » du président de la transition, explique-t-il dans un entretien à Guinée7. Dans son éditorial, le site d'informations burkinabè Wakat Sera ironise : « Ainsi donc, sauf tsunami, Mamadi Doumbouya se présentera à la prochaine élection présidentielle », tout en rappelant que le président de la transition s'est engagé à ne pas se présenter. Jeune Afrique se montre tout aussi dubitatif sur la position qu'adoptera le général, « ce mandat allongé servira-t-il à Mamadi Doumbouya, très probable candidat », s'interroge le magazine. Inquiétude après la disparition de l'USAID « Le désengagement américain fait craindre une résurgence des épidémies » au Libéria. Reportage dans le Point dans ce pays qui détient « désormais le titre de pays africain le plus touché par ces coupes budgétaires liées à la disparition de l'Agence américaine pour le développement. Tous financements confondus, elles représentaient 3% du revenu national brut, « les professionnels de santé redoutent en l'état une détérioration de la situation épidémique ». Et le VIH est « loin de constituer le seul objet de préoccupation », précise le Point, le Mpox est « en arrière-plan ». « Bien que le centre épidémique de la variole du singe demeure en Afrique centrale, la transmission du virus s'est récemment accélérée au Liberia, où les autorités publiques ont recensé près de 900 cas suspectés depuis janvier 2025. » « Les Africains sommés d'être des grands garçons responsables », titre Aujourd'hui au Faso dans son éditorial. L'avenir de l'aide humanitaire en Afrique s'écrit en pointillé, selon Le Pays qui met en exergue cette citation de Cicéron qui « a traversé les âges depuis la Rome antique » : « L'argent est le nerf de la guerre. » Le site rappelle que faute d'argent, le Programme alimentaire mondial « menace de fermer des camps de réfugiés au Soudan où l'organisation onusienne est très active en raison du conflit armé qui déchire le pays depuis plus de deux ans ». Mais le Pays appelle « l'Afrique à prendre ses responsabilités en travaillant à éviter les situations de conflit qui contribuent à retarder le développement du continent, en plus de plonger les populations dans la précarité et la tourmente », conclut le site burkinabè.
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Si avvicina la data del "Concertozzo", ospite in diretta Faso.
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Die Themen: Idefix ist 60 Jahre alt; Anti-Kriegs-Manifest der SPD-Linken; Verhüllter Reichstag ist Kunstflop des Jahres; Arbeitsbedingungen für Elektroauto-Arbeiter; Burkini-Pflicht an syrischen Stränden; Siegburgerin protestiert für Oben-ohne-Recht im Freibad; Nachruf auf Günther Uecker und Brian Wilson; Klub-WM-Karten werden verramscht und neue Torwart-Regel gegen Zeitspiel. Host der heutigen Folge ist Markus Feldenkirchen (Der SPIEGEL). Du möchtest mehr über unsere Werbepartner erfahren? Hier findest du alle Infos & Rabatte: https://linktr.ee/ApokalypseundFilterkaffee
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Après les affaires intérieures sénégalaises, Ousmane Sonko s'attaque aux questions ouest-africaines. Le 16 mai, le Premier ministre sénégalais est allé au Burkina Faso. Puis vendredi dernier, il s'est rendu en Côte d'Ivoire et en Guinée. Comment Ousmane Sonko compte-t-il « pacifier » la sous-région, comme il dit ? Par ces visites à l'étranger, le Premier ministre n'est-il pas en train de marcher sur les plates-bandes du président Bassirou Diomaye Faye ? Maurice Soudieck Dione est professeur agrégé de sciences politiques à l'université de Saint-Louis du Sénégal. Il répond aux questions de Christophe Boisbouvier. RFI : Quand le Premier ministre sénégalais Ousmane Sonko dit qu'il envisage « toute forme de collaboration » avec le Burkina Faso pour lutter contre les jihadistes. Est-ce que l'on peut imaginer des soldats sénégalais sur le territoire burkinabé ?Maurice Soudieck Dione : Je crois que rien n'est à exclure. Une coopération en termes de partage, de renseignement, en termes de partage de compétences... Cela peut aller jusqu'à un déploiement de Sénégalais pour appuyer le Burkina Faso dans cette lutte contre ce fléau qui est le terrorisme.Dans l'opposition sénégalaise, plusieurs voix se sont émues de voir que le Premier ministre d'un pays démocratique comme le vôtre est allé saluer à Ouagadougou un président putschiste qui fait jeter en prison des avocats et des journalistes. « C'est du populisme, c'est de l'inculture démocratique de la part d'Ousmane Sonko », disent plusieurs opposants. Qu'est-ce que vous en pensez ?Je crois que le Sénégal s'est toujours affirmé comme étant un pays leader en matière de démocratie. Mais les régimes d'exception que sont les régimes militaires ne sont pas des régimes qui sont appelés à perdurer. Ce sont des régimes qui vont forcément entrer dans une phase de normalisation démocratique. Ce ne sont pas des régimes qui vont s'installer ad vitam aeternam. Je crois qu'il est du devoir des États démocratiques de chercher à les tirer vers le haut, notamment pour le retour à la démocratie et le renforcement de l'État de droit.Deux semaines après son voyage au Burkina Faso, Ousmane Sonko s'est rendu en Côte d'Ivoire où il a été reçu par Alassane Ouattara. Or, on sait que les relations sont très tendues entre ces deux pays, le Burkina et la Côte d'Ivoire. Le Premier ministre sénégalais pourrait-il faire médiation entre ces deux pays ?C'est possible parce qu'en réalité le Sénégal a toujours eu cette attitude de compréhension, d'ouverture et de discussion par rapport aux pays de l'AES pour les amener progressivement à trouver des terrains d'entente avec la Cédéao. Dans ce cadre, le Premier ministre Ousmane Sonko peut jouer un rôle important pour rapprocher le Burkina Faso et la Côte d'Ivoire puisqu'il a cette capacité à parler aux deux interlocuteurs.Pendant son séjour à Abidjan, Ousmane Sonko est allé saluer l'opposant Laurent Gbagbo qui est interdit de candidature à la présidentielle d'octobre prochain. Est-ce que c'est un message politique d'Ousmane Sonko à Alassane Ouattara ?Je crois qu'il y a deux choses à distinguer. D'abord, Laurent Gbagbo s'est toujours prévalu du panafricanisme. Il a eu à incarner cette posture. Aujourd'hui également, Ousmane Sonko, peut-être, a aussi en tête toutes ces difficultés qu'il a eu à rencontrer au Sénégal, notamment avec les manœuvres politiciennes qui ont abouti à son éviction, au regard de sa candidature pour la présidentielle de 2024, qui a favorisé l'élection du président Bassirou Diomaye Diakhar Faye. Tout cela doit être pris en compte mais aussi cette nouvelle manière de faire la politique.Peut-on imaginer qu'Ousmane Sonko ait demandé à Alassane Ouattara d'organiser une présidentielle inclusive où tout le monde pourrait se présenter y compris Laurent Gbagbo, Charles Blé Goudé et Tidiane Thiam ?Oui, je crois que l'un des principes essentiels dans les relations internationales est la non-ingérence dans les affaires intérieures d'un pays. Mais je crois que, mis à part cet impératif, on peut tout à fait comprendre que le Premier ministre Ousmane Sonko puisse plaider devant le président de la République Alassane Ouattara pour que la présidentielle soit inclusive, mais de façon tout à fait amicale et diplomatique au regard des relations privilégiées que le Sénégal a toujours entretenues avec la Côte d'Ivoire. Jamais sous le mode de l'injonction.Quand le Pastef est arrivé au pouvoir, on pensait que le président s'occuperait en priorité des Affaires étrangères et le Premier ministre des Affaires intérieures. Mais aujourd'hui, avec tous ces voyages, est-ce qu'Ousmane Sonko n'est pas en train de marcher sur les plates-bandes de Bassirou Diomaye Faye ?Il y a une réalité au pouvoir. C'est que c'est le Premier ministre Ousmane Sonko qui est le chef du parti Pastef et c'est lui qui a fait élire le président Bassirou Diomaye Faye. C'est lui également qui a fait élire les députés du Pastef à hauteur de 130 députés sur 165 députés. Une personnalité de cette nature n'est pas un Premier ministre ordinaire. Compte tenu de la dimension également charismatique d'Ousmane Sonko, c'est un fait, il faut nécessairement composer avec cela et il y a une complémentarité entre les deux. C'est un duo au sommet de l'État. Et je ne pense pas que ce duo puisse se transformer en duel. À lire aussiGuinée: coopération renforcée avec le Sénégal à l'occasion de la visite du Premier ministre Ousmane SonkoÀ lire aussiCédéao: en visite au Faso, le Premier ministre sénégalais évoque les causes du départ des pays de l'AESÀ lire aussiCôte d'Ivoire: le Premier ministre sénégalais Ousmane Sonko en visite pour renforcer les liens économiques
Join our next BoldBrush LIVE! Webinar by signing up here:https://register.boldbrush.com/live-guestOrder your exclusive da Vinci BoldBrush paintbrush set!https://brushoffer.com/collections/boldbrushLearn the magic of marketing with us here at BoldBrush!https://www.boldbrushshow.com/Get over 50% off your first year on your artist website with FASO:https://www.FASO.com/podcast/---In this episode, we created a compilation of our past guests sharing their personal journeys of building sustainable careers in the art world, emphasizing the importance of starting small and being adaptable. They discuss various strategies for supplementing income, including teaching workshops, taking commissions, leveraging social media, and participating in juried competitions. Our guests candidly explore the financial challenges of being a full-time artist, advising newcomers to have a safety net, save money, and be prepared for fluctuating income. Many recommend starting with small projects like pet portraits, entering local shows, and gradually expanding one's network and opportunities. Personal stories highlight the significance of finding one's unique artistic voice and being willing to pivot when necessary. The overarching message is one of resilience, creativity, and the importance of persistence in pursuing an artistic career.Episodes mentioned:40 Susan Lyon61 Nanci France-Vaz65 Tony Pro69 Scott Burdick77 Aaron Westerberg78 Vicki Sullivan88 Nick Eisele92 Blair Atherholt96 Brienne Brown104 Thomas Schaller128 Sarah Yeoman
C'est ce qu'ont annoncé hier les Nations unies après plus de deux ans de guerre civile. Et à ce triste chiffre, il faut en ajouter un autre, rappelle Al Jazeera : « Dix millions et demi de personnes environ sont des déplacés internes ». En deux ans, loin de s'être atténuée, « la violence s'est intensifiée » rappelle encore le titre, particulièrement « dans la région occidentale du Darfour (...) aggravant la faim dans la zone ». Et l'aide humanitaire ne suffit pas – d'autant que les convois sont parfois attaqués, comme lundi sur la route d'El-Fasher. De nombreux autres fléauxDans tous les secteurs, la guerre entraîne son lot de catastrophes… Dans un autre article,Al Jazeera toujours, pointe l'épidémie de choléra qui frappe le pays. Dans la région de Khartoum, « de nombreux 'retournés' ont commencé à tomber malades ». Beaucoup d'entre eux s'étaient installés à Omdourman, en face de la capitale… « la ville est rapidement devenue surpeuplée » se désole Al Jazeera, « ce qui a entraîné une propagation accélérée du choléra » … Au point, raconte un témoin interrogé par le journal « que de nombreux corps se décomposent dans le Nil, ou dans ses environs » … Ce qui en retour aggrave encore la contagion, puisque le choléra se transmet en ingérant de l'eau contaminée. Les malades se précipitent ensuite dans des hôpitaux surchargés, aggravant encore le problème. Dans les médias aussi, « le paysage est sinistre », et c'est cette fois The Sudan Tribune qui le dit. « Autrefois épicentre du journalisme national, la capitale [Khartoum] abrite désormais des bureaux vidés de leur substance et des studios brisés » se désole le quotidien. À l'exception de la radio et de la télévision nationales, tous les médias ont été « réduits à des coquilles vides (…), où résonne l'effondrement de ce qui fut une presse vibrante ». Il y a bien sûr le coût financier des destructions et des pillages – les logiciels, le matériel perdu, les bibliothèques sonores. Mais il y a surtout une chose, inestimable : « notre voix, notre présence » se souvient le directeur d'une radio populaire… « maintenant, il n'y a plus que le silence ». Du mieux entre Martin Fayulu et Félix Tshisekedi, en RDC L'opposant Martin Fayulu a proposé lundi une rencontre avec le président Félix Tshiskedi; ce dernier a dit oui et est même allé plus loin, relate Actualite.cd, puisqu'il a « salué le patriotisme et le sens d'engagement pour la cohésion nationale affichés » par son adversaire. C'est en tout cas, s'étonne Le Potentiel, un changement radical de posture pour un chef politique dont « l'intransigeance (…) envers le pouvoir de Félix Tshisekedi a longtemps été caractéristique ». Il est encore bien « trop tôt » pour parler d' « alliance » analyse de son côté le correspondant de la Deutsche Welle en RDC, mais tout de même : si cette rencontre a bien lieu, elle marquera un « signe de pardon » entre les deux hommes. Ce prélude au rabibochage montre-t-il, comme le pense Le Potentiel, « la volonté de faire des concessions » du président ? Aujourd'hui au Faso semble plutôt pencher pour le bon sens : si Félix Tshiskedi accepte de rencontrer Martin Fayulu, c'est bien que ce dernier « a dit des choses sensées » et « qu'il est sérieux » croit savoir le titre burkinabè… mais aussi, peut-être, qu'il joue sa survie politique « s'il ne saisit pas cette main de Fayulu dont il a besoin de nos jours ». Un perdant dans ce rapprochementUn perdant du nom de Joseph Kabila, qui a refait surface à Goma dans l'est il y a quelques jours. Le Potentiel estime en tout cas qu'il s'agit là d'un « coup dur » pour l'ancien chef d'État et sa « posture belliqueuse » - le journal estime que Fayulu fait, au contraire, preuve d'une « approche constructive ». Aujourd'hui au Faso ne dit pas autre chose lorsqu'il juge que l'opposant « se pose en médiateur » là où, analyse Le Point Afrique, Joseph Kabila « intrigue, inquiète, et divise ».Mais il ne faut pas trop se perdre en conjectures… pour l'heure, au-delà des déclarations politiques, rien n'a été décidé, fixé, organisé… or, conclut la Deutsche Welle, « ce n'est pas la première fois que Martin Fayulu tend la main au président Félix Thisekedi (…). Ce que la coalition attend donc, c'est la concrétisation de ce rendez-vous ».
*Bu bölüm Hiwell hakkında reklam içerir. Teoman'ın Faso Fiso kitabını okumadıysanız dert değil, sizin için okudum. Neleri kendime yakın bulduğum için sevdim ya da tam olarak aynı sebepten kızdım, hepsini bu bölümde anlatıyorum. Hiwell'de ilk seansınız aşağıdaki kodla sadece 299 TL. Kod: merdiven299Hiwell'i daha önce kullandıysanız da seans alımlarınızda geçerli %15 indirim kodu : 15merdiven Hiwell'den faydalanmak için tıklayın:https://hiwell.app/-merdiven-alti-terapi-h
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durée : 00:02:05 - Le vrai ou faux - Des internautes affirment qu'une espionne française se faisant passer pour la cheffe d'une ONG a été arrêtée au Burkina Faso. Il s'agit en réalité d'une fiction qui a été détournée par des internautes, des militants anti-français et des médias pro-russes.
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Pas de commentaire des autorités à ce stade, mais Gabon Review l'affirme : l'épouse de l'ex-président Ali Bongo et son fils « ont été transférés en résidence surveillée dans leur maison de la Sablière» vendredi, raconte le journal, qui précise s'appuyer sur « des sources bien introduites, dignes de foi, et habituellement bien informées ». Après plus d'un an et demi en détention dans des conditions qui restent floues, cette nouvelle a dû arracher un « ouf de soulagement » à la famille, imagine Le Pays au Burkina Faso, qui y voit « une véritable bouffée d'oxygène ». Dans des termes plus modérés, Gabon Review concède que cette nouvelle « marque un tournant juridique important », et témoigne probablement du passage à « une gestion plus équilibrée » de la procédure.Mais il ne faut pas s'y méprendre, prévient Gabon Actu : « la mise en liberté provisoire de Sylvia et Nourredin ne signifie nullement (...) l'annulation des chefs d'accusation qui pèsent sur [eux], portant pêle-mêle sur des délits présumés de détournement de fonds, faux et usage de faux, corruption et détournement, etc ». Une véritable « épée de Damoclès », souligne de son côté Wakat Séra, tandis qu'Aujourd'hui au Faso prédit encore des jours difficiles au fils et à l'épouse d'Ali Bongo, qui « n'en ont pas fini avec la justice ».Un basculement surprenantQuelque chose a dû changer, mais quoi ? C'est précisément la question que se posent plusieurs journaux du continent, qui relèvent, comme Gabon Review, que « ce développement intervient une semaine après l'investiture du président Brice Clotaire Oligui Nguema ». Difficile d'y voir un simple hasard, grimace Le Pays, jugeant la coïncidence tellement « flagrante » qu'elle « incite à établir un lien de cause à effet ».À ce stade, « tout reste encore dans le champ de la spéculation », prévient Wakat Séra. Alors le journal multiplie les hypothèses : s'agit-il d'un « geste de pure humanité » du nouveau président, souhaitant « présenter une image de père de la nation magnanime ? » Faut-il plutôt y voir la main d'un « médiateur » qui aurait « agi dans l'ombre » ? Ou bien, peut-être, un « deal passé avec la famille Bongo ? ». À moins qu'il ne s'agisse, comme le pense Gabon Review, de « l'effet d'un lobbying international soucieux d'un traitement plus humain » dans l'affaire Bongo, qui pousserait le pouvoir, à cette « tentative d'équilibrisme entre l'exigence de justice et les contraintes diplomatiques », poursuit le titre.Dans la presse burkinabè, le Pays va même un peu plus loin, et juge « plausible » que cette évolution « fasse suite à une résolution de l'Union africaine », demandant « la libération de la famille et des membres du gouvernement (...) déchu », en vertu « du respect des droits de l'Homme ». D'autant, insiste le journal, « que l'organisation africaine a levé ses sanctions à l'encontre du Gabon suite au retour à l'ordre constitutionnel dans le pays ». Autant de réflexions en forme de point d'interrogation… ne reste donc qu'à attendre, conclut Gabon Review : « la prochaine étape judiciaire sera décisive pour (...) éclairer l'opinion sur le fond de l'affaire ».La ville de Port-Soudan sous les dronesLa capitale provisoire soudanaise a été la cible d'attaques de drones, toute la semaine dernière. Alors que la localité était jusque-là épargnée, désormais, « plus aucune ville du Soudan n'est à l'abri », constate Le Monde Afrique. Ce « havre que l'armée régulière pensait inviolable », surplombé par un horizon aussi bleu que la mer, décrit le quotidien, n'est plus : « comme partout au Soudan, le ciel est devenu une menace ».Lieux stratégiques visés, explosions en plein centre-ville, risques de pénuries : ces frappes font aussi craindre que « l'acheminement de l'aide dans le pays » soit perturbé, s'inquiète le quotidien. Cela alors que « plus de la moitié des 50 millions d'habitants sont dans une situation proche de la famine ».Sans compter que les défenses antiaériennes de l'armée du général al-Burhan plient sous la force des attaques. L'utilisation de drones au Soudan n'est pas une nouveauté, mais, concède un expert interrogé par le journal, cette opération « est sans précédent par sa sophistication ». Un autre va dans le même sens : « les FSR [du général Hemedti] veulent envoyer un message clair : "nous pouvons (...) vous atteindre partout"». Et Le Monde Afrique de conclure, non sans amertume : « C'est désormais chose faite ».
Join our next BoldBrush LIVE! Webinar by signing up here:https://register.boldbrush.com/live-guestOrder your exclusive da Vinci BoldBrush paintbrush set!https://brushoffer.com/collections/boldbrushLearn the magic of marketing with us here at BoldBrush!https://www.boldbrushshow.com/Get over 50% off your first year on your artist website with FASO:https://www.FASO.com/podcast/---For today's episode we sat down with Todd Casey, a fine artist, author, and teacher who embraces a way of living that values creativity, personal expression and continuous self-improvement. Todd shares his artistic journey from graphic design to atelier training, emphasizing the importance of curiosity as an excellent catalyst for personal growth. He discusses the value of developing both fast and slow painting techniques, and the benefits of exploring different mediums and approaches without being constrained by rigid artistic rules. Throughout the conversation, Todd stresses the significance of creating art for personal passion rather than external validation, highlighting that the joy of the creative process is more important than potential fame or financial success. He advises aspiring artists to remain open to opportunities, take risks, and focus on their own growth and introspection. Finally, Todd tells us about his upcoming live demo at the Guild of Boston Artists on May 17th as well as his Patreon and reminds us to keep up to date by checking out his website and social media!Todd's FASO site:https://toddcasey.faso.com/Watch Todd Paint live on May 17th!https://lp.constantcontactpages.com/ev/reg/77nusbrTodd's Social Media:https://www.instagram.com/toddmcasey/https://www.facebook.com/toddmcaseyartTodd's Books:https://toddcasey.faso.com/books
Join our next BoldBrush LIVE! Webinar by signing up here:https://register.boldbrush.com/live-guestOrder your exclusive da Vinci BoldBrush paintbrush set!https://brushoffer.com/collections/boldbrushLearn the magic of marketing with us here at BoldBrush!https://www.boldbrushshow.com/Get over 50% off your first year on your artist website with FASO:https://www.FASO.com/podcast/---For today's episode, we sat down with Scott Ruthven, a landscape painter from Colorado who transitioned from a high-tech business career to becoming a full-time artist after rediscovering his passion for painting. He emphasizes the importance of painting from life, particularly through plein air work, which helped him develop his observational skills and capture the nuances of light and landscape. Scott's journey involved building his art business gradually, selling directly to collectors, and maintaining a professional approach that includes goal-setting, consistent communication, and nurturing relationships with art enthusiasts. He advises aspiring artists to paint frequently, start small, avoid overwhelming themselves, and focus on creating authentic work that resonates with their personal vision. He also tells us about the power of the "one thing" that artists can be doing daily to get closer to meeting their goals. Finally, Scott tells us about his upcoming workshops and exhibitions, including a plein air event in Redstone, Colorado, and the Colorado Governor's Show at the Loveland Museum.Scott's FASO site:https://www.scottruthven.com/Scott's YouTube Channel:https://www.youtube.com/@ScottRuthvenFineArtScott's Social Media:https://www.instagram.com/scottruthvenfineart/https://www.facebook.com/ScottRuthvenFineArt/
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#SessionLive avec avec le groupe franco-burkinabé Kananayé et le percussionniste français Roscius pour la sortie No Fala B. Nos premiers invités sont le groupe Kananayé pour la sortie de l'album KananayéDans les rues du Burkina Faso, résonne à tout bout de champ « ka nana ye », qui signifie « c'est pas facile », tout en sous-entendant que ça va aller. Avec l'album Kananayé, dont le titre reprend cette philosophie populaire, ça ne peut qu'aller. Son multiculturalisme fondateur, ses paroles conscientes, ses traditions enchevêtrées et son ancrage contemporain sont même des propriétés indispensables par les temps qui courent, alors que l'optimisme est devenu une vertu de survie. C'est pas facile, mais ça va aller. À condition de s'en donner les moyens bien sûr, en enjambant les frontières quand d'autres veulent les fermer. Clotilde Rullaud, Abdoulaye Traore, Achille Nacoulma, Seydou Diabate et Boubacar Djiga, les auteurs de Kananayé, s'y emploient.Kananayé a été enregistré par Peter Soldan aux Dada Studios à Bruxelles, par Kaskade au Studio Hanou à Bobo-Dioulasso, puis mixé et masterisé à New York. Il est formé de sept compositions originales, en plus d'une reprise du traditionnel américain Sea Lion Woman que sublima Nina Simone. De la ballade à la transe, raffinées et lumineuses, ces chansons se projettent dans les musiques actuelles tout en étant profondément enracinées. Le projet tisse les fils de plusieurs traditions et tresse les pratiques rurales séculaires avec les tendances des grandes métropoles modernes. Tantôt vibrant, poignant ou festif, toujours solaire, l'album respire la joie que ses participants éprouvent de jouer ensemble. Mais le groupe est aussi foncièrement militant, puisque ses cinq membres proclament leur multiculturalisme et célèbrent la beauté des métissages. Ils revendiquent aussi la liberté des artistes du monde entier de se déplacer, de se rencontrer et de créer, à une époque où la délivrance des visas est entravée par des politiques nationalistes. Décidément, « ka nana ye » ! C'est pas facile, mais ça va aller.► Titres interprétés dans le grand studio Sea Lion Woman / Were Were Mousso Live RFI Garibou, extrait de l'album Faso de Nous Live RFILine Up : Seydou 'Kanazoe' Diabate (balafon, percussions, voix), Clotilde Rullaud (voix, flûte), Abdoulaye 'Debademba' Traore (guitares), Boubacar Djiga (kunde, percussions) et Achille Nacoulma (batterie, percussions, voix)Son : Mathias Taylor, Benoît Letirant, Camille Roch► Album Kananayé (TZIG'ART - Believe – Socadisc 2024)Bandcamp - YouTubePuis, nous recevons le percussionniste et compositeur Roscius, de son vrai nom William Serfass pour la sortie de No Fala BLe multi-instrumentiste William Serfass sort No Fala B sous le nom de Roscius (son nom quand il compose de la musique instrumentale). No Fala B c'est le titre d'une histoire d'amour. Un deuil s'ensuit souvent d'un coup de cœur, celui-ci, composé à coup de baguettes. Entre palindrome et anagramme, on peut comprendre « ne parlant pas le B » en mi-portugais-brésilien, mi-anglais. No Fala B comme miroir de BALAFON, cette percussion chromatique faite main au Burkina Faso à l'aide de « bois de sang » ou de « bois de cœur ». Instrument au centre de cette pièce musicale d'une heure, divisée en 13 morceaux instrumentaux, percussifs et cinématographiques. B, c'est donc la représentation de ce qui nous est étranger. On ne le comprend pas, on ne sait pas en jouer de manière traditionnelle, mais on en tombe quand même amoureux. On l'écoute, on se l'approprie. « No Fala », comme un coup de gueule, un coup de poing, c'est politiquement engagé, et avec B, on traverse les mondes, les genres, les styles, dans une acoustique vivante, on recherche, on expérimente, parfois, on trouve quelque chose, quelqu'un, c'est dur et fragile, comme la communication sans les mots. À moins que B soit en fait le prénom d'une personne… Dont on ne parle pas la langue…Après une décennie passée entre Londres et des tournées internationales, à collecter des percussions rares et faites à la main ; et ces derniers temps concentré sur la composition de musique de film, séries et documentaires, l'artiste percussionniste non conforme Roscius est de retour, avec un disque instrumental entièrement créé autour d'un balafon chromatique. Un voyage musical mélancolique d'abord, une mélodie tribale, qui invite à la méditation, au mouvement, à la danse, puis envolée rythmique et cinématographique, transcendante, instrumentale, percussive et inspirante.Titres joués : Burial, Grit, Stone Rose et Incelusive► Album No Fala B (Nomadic Recordings 2025) Roscius - YouTube - BandcampRéalisation Hadrien Touraud
#SessionLive avec avec le groupe franco-burkinabé Kananayé et le percussionniste français Roscius pour la sortie No Fala B. Nos premiers invités sont le groupe Kananayé pour la sortie de l'album KananayéDans les rues du Burkina Faso, résonne à tout bout de champ « ka nana ye », qui signifie « c'est pas facile », tout en sous-entendant que ça va aller. Avec l'album Kananayé, dont le titre reprend cette philosophie populaire, ça ne peut qu'aller. Son multiculturalisme fondateur, ses paroles conscientes, ses traditions enchevêtrées et son ancrage contemporain sont même des propriétés indispensables par les temps qui courent, alors que l'optimisme est devenu une vertu de survie. C'est pas facile, mais ça va aller. À condition de s'en donner les moyens bien sûr, en enjambant les frontières quand d'autres veulent les fermer. Clotilde Rullaud, Abdoulaye Traore, Achille Nacoulma, Seydou Diabate et Boubacar Djiga, les auteurs de Kananayé, s'y emploient.Kananayé a été enregistré par Peter Soldan aux Dada Studios à Bruxelles, par Kaskade au Studio Hanou à Bobo-Dioulasso, puis mixé et masterisé à New York. Il est formé de sept compositions originales, en plus d'une reprise du traditionnel américain Sea Lion Woman que sublima Nina Simone. De la ballade à la transe, raffinées et lumineuses, ces chansons se projettent dans les musiques actuelles tout en étant profondément enracinées. Le projet tisse les fils de plusieurs traditions et tresse les pratiques rurales séculaires avec les tendances des grandes métropoles modernes. Tantôt vibrant, poignant ou festif, toujours solaire, l'album respire la joie que ses participants éprouvent de jouer ensemble. Mais le groupe est aussi foncièrement militant, puisque ses cinq membres proclament leur multiculturalisme et célèbrent la beauté des métissages. Ils revendiquent aussi la liberté des artistes du monde entier de se déplacer, de se rencontrer et de créer, à une époque où la délivrance des visas est entravée par des politiques nationalistes. Décidément, « ka nana ye » ! C'est pas facile, mais ça va aller.► Titres interprétés dans le grand studio Sea Lion Woman / Were Were Mousso Live RFI Garibou, extrait de l'album Faso de Nous Live RFILine Up : Seydou 'Kanazoe' Diabate (balafon, percussions, voix), Clotilde Rullaud (voix, flûte), Abdoulaye 'Debademba' Traore (guitares), Boubacar Djiga (kunde, percussions) et Achille Nacoulma (batterie, percussions, voix)Son : Mathias Taylor, Benoît Letirant, Camille Roch► Album Kananayé (TZIG'ART - Believe – Socadisc 2024)Bandcamp - YouTubePuis, nous recevons le percussionniste et compositeur Roscius, de son vrai nom William Serfass pour la sortie de No Fala BLe multi-instrumentiste William Serfass sort No Fala B sous le nom de Roscius (son nom quand il compose de la musique instrumentale). No Fala B c'est le titre d'une histoire d'amour. Un deuil s'ensuit souvent d'un coup de cœur, celui-ci, composé à coup de baguettes. Entre palindrome et anagramme, on peut comprendre « ne parlant pas le B » en mi-portugais-brésilien, mi-anglais. No Fala B comme miroir de BALAFON, cette percussion chromatique faite main au Burkina Faso à l'aide de « bois de sang » ou de « bois de cœur ». Instrument au centre de cette pièce musicale d'une heure, divisée en 13 morceaux instrumentaux, percussifs et cinématographiques. B, c'est donc la représentation de ce qui nous est étranger. On ne le comprend pas, on ne sait pas en jouer de manière traditionnelle, mais on en tombe quand même amoureux. On l'écoute, on se l'approprie. « No Fala », comme un coup de gueule, un coup de poing, c'est politiquement engagé, et avec B, on traverse les mondes, les genres, les styles, dans une acoustique vivante, on recherche, on expérimente, parfois, on trouve quelque chose, quelqu'un, c'est dur et fragile, comme la communication sans les mots. À moins que B soit en fait le prénom d'une personne… Dont on ne parle pas la langue…Après une décennie passée entre Londres et des tournées internationales, à collecter des percussions rares et faites à la main ; et ces derniers temps concentré sur la composition de musique de film, séries et documentaires, l'artiste percussionniste non conforme Roscius est de retour, avec un disque instrumental entièrement créé autour d'un balafon chromatique. Un voyage musical mélancolique d'abord, une mélodie tribale, qui invite à la méditation, au mouvement, à la danse, puis envolée rythmique et cinématographique, transcendante, instrumentale, percussive et inspirante.Titres joués : Burial, Grit, Stone Rose et Incelusive► Album No Fala B (Nomadic Recordings 2025) Roscius - YouTube - BandcampRéalisation Hadrien Touraud
Join our next BoldBrush LIVE! Webinar by signing up here:https://register.boldbrush.com/live-guestOrder your exclusive da Vinci BoldBrush paintbrush set!https://brushoffer.com/collections/boldbrushLearn the magic of marketing with us here at BoldBrush!https://www.boldbrushshow.com/Get over 50% off your first year on your artist website with FASO:https://www.FASO.com/podcast/---For today's episode, we sat down with Sarah Yeoman, a full-time watercolorist and instructor with 45 years of painting experience, who discovered her passion for watercolor after also exploring various artistic mediums like music and sculpture. We discuss her artistic approach which focuses on capturing the essence of subjects through light, shadow, and abstract shapes, particularly evident in her renowned crow and Adirondack series paintings. Sarah emphasizes the importance of consistent practice, encouraging artists to commit to a creative routine and finding their unique visual voice rather than copying others' styles. She tells us about her creative process which involves embracing unpredictability, especially in watercolor, where she uses intentional drips, large brushes, and works on an angle to create dynamic, fluid paintings. For our viewers, Sarah gives us a quick demonstration on how she starts out her crow paintings! Sarah also tells us how she has balanced her art-making with teaching, using workshops and online classes to supplement her income and share her artistic philosophy. Finally, Sarah tell us about her upcoming shows and upcoming workshops including one coming up at the end of this month where she will be teaching how she paints blue poppies!Sarah's FASO site:https://www.sarahyeoman.com/Sarah's upcoming workshops:https://www.sarahyeoman.com/workshopsSarah's social media:https://www.facebook.com/sarahyeomanart/
Order your exclusive da Vinci BoldBrush paintbrush set!https://brushoffer.com/collections/boldbrushLearn the magic of marketing with us here at BoldBrush!https://www.boldbrushshow.com/Get over 50% off your first year on your artist website with FASO:https://www.FASO.com/podcast/---To premiere season 10, we sat down with Jill Basham, an artist from Maryland's eastern shore with a passion for experimentation and an expressive structural way of painting beautiful realistic landscapes and cityscapes. Jill tells us about her transition from urban planning to painting later in life, initially exploring drawing classes after being a stay-at-home mom. Her artistic approach emphasizes experimentation, embracing failure, and avoiding predictable techniques, which she believes is crucial for artistic growth. She recommends emerging artists take drawing classes, work with limited palettes, and focus on embracing the process of creating art rather than fixating on the final product. She also recommends for artists to seek out other artists and build a network in the art world, which can help in terms of career and also technique. Finally, Jill tells us about her upcoming shows, including the American Society of Marine Artists' exhibition in Oregon and the Oil Painters of America National Exhibition in Florida. And she also tells us about her upcoming workshop at the Booth Museum in Georgia!Jill's FASO site:https://www.jillbasham.com/Jill's Social Media:https://www.instagram.com/jilltascherbasham/https://www.facebook.com/jill.t.bashamJill's upcoming workshop:https://www.jillbasham.com/workshop/35322/getting-unstuck-2-day-workshop
Order your exclusive da Vinci BoldBrush paintbrush set!https://brushoffer.com/collections/boldbrushLearn the magic of marketing with us here at BoldBrush!https://www.boldbrushshow.com/Get over 50% off your first year on your artist website with FASO:https://www.FASO.com/podcast/---On today's episode we sat down with Scott Tallman Powers, a fine artist specializing in western scenes who is always looking to capture the connection between humans and their environment. Scott discusses his artistic journey, from studying at the American Academy of Art to transitioning from illustration to becoming a professional painter. He emphasizes the importance of painting from life, understanding abstract foundations, and the balance between realism and narrative storytelling. Scott highlights the challenges of meeting deadlines while maintaining quality, the benefits of plein air painting, and the necessity of diversifying income streams through workshops, commissions, and selling smaller studies, while also maintaining strong relationships with collectors through genuine communication. He also reminds artists to get yourself out there and find a good artist community to motivate and inspire you to continue on your journey. Finally, Scott tells us about his upcoming workshop and exhibitions, including a collaborative landscape and figure workshop with Scott Christensen and his participation in The Briscoe Museum Night of the Artists Show and The Prix de West!Scott's FASO site:https://www.scottpowersfineart.com/Scott's Instagram:https://www.instagram.com/scotttallmanpowers/Scott's upcoming workshop:https://adventureofpainting.thrivecart.com/capturing-nature-and-the-human-spirit/The Briscoe Museum Night of the Artists:https://briscoemuseum.org/noa2025/2025 Prix de West:https://pdw.nationalcowboymuseum.org/
Order your exclusive da Vinci BoldBrush paintbrush set!https://brushoffer.com/collections/boldbrushLearn the magic of marketing with us here at BoldBrush!https://www.boldbrushshow.com/Get over 50% off your first year on your artist website with FASO:https://www.FASO.com/podcast/---On today's episode we sat down with Mary Aslin a full-time professional artist who creates representational paintings inspired by the beauty of nature and light. Mary shares her journey of becoming a professional artist, including overcoming self-doubt, building technical skills, and finding her voice. She tells us about the tips she likes to give her students including the fact that there are no mistakes and to focus on the process over the outcome. She also emphasizes the importance of treating art as a business, using tools like a website and newsletter to connect with collectors. Mary advises aspiring full-time artists to focus on creating their best work, participate in art shows, and consider teaching. Finally, Mary tells us about her mentorship on Mastrius and her upcoming workshop in Crete!Mary's FASO site:https://www.maryaslin.com/Mary's Instagram:https://www.instagram.com/maryaslinfineart/Mary's Mastrius Mentorship:https://www.maryaslin.com/workshop/38775/small-group-mentoring-through-mastrius
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Insieme a Elio, Faso e Civas abbiamo annunciato la nuova edizione del Concertozzo 2025!
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