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Assurances, conso, nouvelles technologies… "On en parle" vous oriente dans tout ce qui fait votre quotidien. 1) Les nouveautés dans le photovoltaïque 2) Bananes, quel bilan environnemental 3) Guichet: Nettoyage de printemps
Les bananes sont une excellente source de nutriments, notamment de potassium, de fibres et de vitamines, mais une consommation excessive peut provoquer divers effets secondaires.1. Déséquilibres nutritionnelsManger trop de bananes peut entraîner un excès de certains nutriments tout en créant des carences. Les bananes sont riches en glucides, notamment en sucres naturels, mais elles manquent de protéines et de lipides. Une alimentation trop riche en bananes au détriment d'autres aliments peut déséquilibrer l'apport en macronutriments et en micronutriments essentiels, conduisant à des déficits en vitamines B12, en fer ou en acides gras essentiels.2. Effets digestifsLes bananes contiennent des fibres solubles qui aident à la digestion, mais en excès, elles peuvent provoquer des ballonnements, des gaz et même de la constipation. Paradoxalement, si elles ne sont pas assez mûres, leur teneur élevée en amidon résistant peut ralentir le transit intestinal. Inversement, des bananes très mûres peuvent avoir un effet laxatif si consommées en grande quantité.3. Hyperkaliémie et risques cardiaquesL'un des principaux risques liés à une surconsommation de bananes est l'excès de potassium, un minéral essentiel au bon fonctionnement du cœur. Une consommation excessive peut entraîner une hyperkaliémie, une condition où les niveaux de potassium dans le sang deviennent trop élevés. Cela peut provoquer des symptômes tels que des palpitations, une faiblesse musculaire, voire, dans les cas extrêmes, des arythmies cardiaques pouvant être dangereuses.Une étude publiée dans le Journal of the American Society of Nephrology (2017) montre que l'hyperkaliémie est particulièrement préoccupante pour les personnes souffrant d'insuffisance rénale. Les reins étant responsables de l'élimination du potassium, leur incapacité à le filtrer efficacement peut rendre la consommation excessive de bananes risquée pour ces individus.4. Excès de sucre et prise de poidsBien que naturelles, les bananes sont riches en glucides, avec environ 14 grammes de sucre par fruit moyen. En consommer trop peut contribuer à une augmentation de la glycémie et, à long terme, favoriser une prise de poids si elles sont consommées en excès sans équilibre avec d'autres nutriments.ConclusionSi les bananes sont un excellent aliment, elles doivent être consommées avec modération. Une alimentation variée et équilibrée reste la clé d'une bonne santé ! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
La banane est partout : au petit-déjeuner des runners, sur les ravitaillements de marathon, et dans les plans nutritionnels des sportifs. On la vante pour son énergie rapide, son apport en minéraux et sa digestion facile. Mais est-elle vraiment l'aliment parfait pour les coureurs ?Dans cet épisode, on décrypte les vrais bienfaits et les limites de la banane en course à pied :✅ Quand et comment bien la consommer ?✅ Banane mûre ou verte : laquelle est la plus efficace ?✅ Peut-elle vraiment prévenir les crampes ?✅ Quelles alternatives si tu la digères mal ?Spoiler : tu risques d'être surpris(e) !Bonne écoute et n'oublie pas de t'abonner pour ne rien manquer des prochains épisodes !
durée : 00:58:39 - Plan large - par : Antoine Guillot - Aujourd'hui nous recevons Emilie Brisavoine et Marie Losier pour leurs films "Maman déchire" et "Peaches Goes Banana", et aussi Charlotte Garson. - réalisation : Anne-Laure Chanel - invités : Emilie Brisavoine Réalisatrice; Marie Losier Réalisatrice, chef monteur, directeur de la photographie; Charlotte Garson Rédactrice en chef adjointe des Cahiers du cinéma
durée : 00:58:39 - Plan large - par : Antoine Guillot - Aujourd'hui nous recevons Emilie Brisavoine et Marie Losier pour leurs films "Maman déchire" et "Peaches Goes Banana", et aussi Charlotte Garson. - réalisation : Anne-Laure Chanel - invités : Emilie Brisavoine Réalisatrice; Marie Losier Réalisatrice, chef monteur, directeur de la photographie; Charlotte Garson Rédactrice en chef adjointe des Cahiers du cinéma
durée : 00:05:00 - Ils sont fous ces bretons
Chaque matin, l'équipe vous parle du con du jour.
Tous les mois à Beeston en Angleterre, une assiette de bananes est posée dans la rue mais qui la pose ?
Dans cet épisode encore "très sympa", on décortique le masking : cette stratégie de survie sociale qui ne sert pas à grand chose sauf à nous épuiser totalement. Entre témoignages personnels et analyse "experte", découvrez comment ce mécanisme de protection devient un piège silencieux pour notre santé mentale. Bonne écoute Bisous
Andréa a grandi à Berlin Est. Elle a 18 ans quand le mur s’effondre. Elle raconte les souvenirs d’une enfant, d’un quotidien toujours pris entre des aventures singulières, drôles et émouvantes et la grande Histoire.
Pendant les fêtes de fin d'année, l'équipe des "Grosses Têtes" vous propose de revivre quelques unes des meilleures séquences de l'année 2024.
La der des der pour les émissions des Bananes Scotchées, retour sur l'année 2024, des jeux, des chroniques et du rire ! Animateur : Antoine Chroniqueurices : Adriano, Cloé, Justin Technicien : Mirco
Rediffusion - Si vous aimez les fruits, vous devez rechercher les bonbons qui en imitent le goût. Bien sûr, ce n'est pas tout à fait le même. En effet, la saveur de ces bonbons, recréée en laboratoire, ne peut se comparer tout à fait à celle des fruits. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Dernier Café Kawa des Bananes Scotchées (eh oui, déjà) ! Au programme de ce vendredi 13 (ouuuh), le journal, une revue de presse sur le recours refusé contre AVS 21, l'Info Campus, l'Agenda, une discussion qui pourrait vous rendre superstitieux et une chronique sur Roy Sulliven, l'homme le plus malchanceux du monde. Bon réveil ! Animation : Justin Chronique : Cloé et Adriano Technique : Antoine
Venez vous réveiller avec le Café Kawa des Bananes Scotchées ! Au programme, une discussion bien sympathique sur les IA et notre utilisation de celles-ci, et deux superbes chroniques. Bonne écoute à tous ! Animateur : Antoine Chroniqueurs : Adriano, Justin et Seokhee Tech : Cloé
Dans ce Micropolis, on va apprendre à mieux se connaître. Pour ça on vous réserve un jeu, une devinette et quizz. On espère que vous allez avoir autant de plaisir à nous écouter qu'on a eu à le faire !
Venez vous réveiller avec le premier Café Kawa des Bananes Scotchées! Au programme, le journal, une revue de presse dont vous risquez de devenir accro, l'Info Campus, l'Agenda et quelques petites recos culture pour le week-end!
Et un sacré scoop, ce matin! Ça concerne des singes. Des machines à écrire et l'oeuvre de shakespear. Le très fameux paradoxe du singe savant qui tombe à l'eau… Toutes les infos avec Nicolas. Merci pour votre écoute N'hésistez pas à vous abonner également aux podcasts des séquences phares de Matin Première: L'Invité Politique : https://audmns.com/LNCogwPL'édito politique « Les Coulisses du Pouvoir » : https://audmns.com/vXWPcqxL'humour de Matin Première : https://audmns.com/tbdbwoQRetrouvez tous les contenus de la RTBF sur notre plateforme Auvio.be Retrouvez également notre offre info ci-dessous : Le Monde en Direct : https://audmns.com/TkxEWMELes Clés : https://audmns.com/DvbCVrHLe Tournant : https://audmns.com/moqIRoC5 Minutes pour Comprendre : https://audmns.com/dHiHssrEt si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement.
durée : 00:02:40 - Bientôt chez vous - Dole Japan a lancé un grand programme de lutte contre le gaspillage qu'il a baptisé Banana Mottainai. Ses chercheurs se sont inspirés de méthodes traditionnelles artisanales qu'on peut retrouver dans certains pays d'Asie du Sud-est ou en Afrique.
Dans l'est de la République démocratique du Congo (RDC), suite aux offensives des rebelles du M23, le prix des denrées alimentaires a grimpé dans la ville de Goma, chef-lieu du Nord-Kivu, qui compte plus d'un million d'habitants. Les aliments les plus consommés, comme les pommes de terre et les haricots, ont vu leur prix doubler sur les marchés de Birere et Kituku, dont dépendent les Gomatraciens. De notre correspondant à Goma,Au marché des produits vivriers de Birere, les commerçants se plaignent du manque de clientèle. Mais aussi des taxes imposées par les groupes armés, qui ont fait grimper les prix en RDC. « Cette qualité de haricots multicolores se vend à 65$ par sac, le haricot rouge à 70$, un sac de pommes de terre se négocie à 95$ ! », observe l'un d'eux, Bahufite Ntihemuka.En raison de la baisse de la production dans les régions de Masisi, Rutshuru et de la fermeture des routes, les produits vivriers sont de plus en plus rares à Goma. Grossiste en pommes de terre sur ce marché de Birere, Neema Ngarukiye a du mal à écouler sa marchandise, trop chère, et a aussi du mal à se la procurer : « Avant la guerre, je déchargeais dix camions par jour. Aujourd'hui, je ne parviens même pas à vendre un camion. »Doublement des prix sur les marchésHaricots, légumes, pommes de terre, les aliments les plus consommés à Goma ont vu leur prix doubler. Cette inflation nuit au pouvoir d'achat des familles. Assise sur une pierre volcanique devant son petit commerce d'habits féminins dans le quartier Ndosho, à l'ouest de Goma, Céline Mbuhu affirme qu'aujourd'hui, elle a des difficultés à nourrir ses enfants :« Nous vivons difficilement à cause de la guerre du M23. Auparavant, même avec mes sept enfants, je pouvais facilement m'approvisionner pour le repas du soir avec 5 000 francs congolais [1,7$]. Aujourd'hui, c'est quasiment impossible. »Bananes et charbon traversent le lac KivuDepuis l'avancée des rebelles du M23 qui ont encerclé la ville de Goma, l'approvisionnement en vivres est devenu un casse-tête. À une dizaine de kilomètres, au bord du lac Kivu, le marché de Kituku est devenu le seul espoir pour la survie de Goma. Les produits alimentaires quittent le territoire de Masisi, Minova et Buzi-Bulenga, dans la province du Sud-Kivu, et ils arrivent en masse chaque lundi et jeudi, jours de marché. Zawadi Emilliane est une commerçante qui traverse le lac Kivu, pour y vendre ses bananes plantains :« J'amène au moins dix régimes de bananes et si je gagne beaucoup, j'obtiens 10 000 francs CFA », se félicite-t-elle. Même le charbon, qui venait de Masisi et Rutshuru, provient désormais de Kalehe. « Il y a beaucoup d'activité au marché de Kituku, observe son président Chance Kanane. Les ventes de charbon de bois peuvent dépasser les 5 000 sacs le lundi et le jeudi, jours de marché. »En attendant la fin de la guerre et la réouverture de la route Goma-Sake-Minova, la voie maritime sur le lac Kivu est devenue capitale pour approvisionner la population de Goma, grossie par les déplacés des alentours.
Bonjour,Bon il faut faire un petit point, ça va pas fort en ce moment... c'est pour cela que le mois dernier, et ben... Silence radio... Aujourd'hui on reprend un peu le taureau par les cornes et on vous livre quand même une émission. Qui a été faite avec plaisir je vous rassure. Ce n'est pas dit que le mois prochain ça sera le cas, on verra comment les choses évoluent. En tout cas les jeux de ce mois ci sont vraiment très chouettes, on espère que vous y trouverez votre bonheur !Monkey PalaceNobody saves the worldLe coin des parents :Maestro,Ranma 1/2Des bisous et à la prochaine !Les animateurs sont Jean NOEL et ArnaudLe générique Great 8 Bit Shit est réalisé par Skulbeatz disponible sur newgrounds.comHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans cet épisode, Mathieu nous raconte avoir été témoin d'une épluchette de bananes à l'épicerie, on parle de la bouffe difficile à manger en conduisant et on a pour vous comme proposition d'activité ce weekend de faire l'amour sur un film de Godard !
Nous sommes le 29 janvier 1912. Dans un article que « La Gazette de Charleroi » consacre à la vie bruxelloise, un chroniqueur s'extasie sur la forte présence, dans la capitale, de … l'orange. Il écrit : « Il existe des maisons de criée remplies de la cave au grenier de ce beau fruit doré… Leurs approvisionnements sont immenses et se vident comme par enchantement. Déambulez de par les rues des faubourgs. Sous la lumière électrique, que d'étals où l'orange domine. Poires, pommes, bananes, sont vaincues par cette rivale heureuse, dont le succès persiste et augmente. D'autres fruits exotiques ont tenté de la détrôner ; ils ont été immédiatement abandonnés. » C'est au tout début du XXe siècle que se développe, lentement, en Belgique le goût pour les produits exotiques. Un goût favorisé par les grandes expositions internationales, le régionalisme culinaire et les améliorations dans les transports frigorifiques. Arrivés par vagues migratoires, Italiens et Chinois vont ouvrir un grand nombre de restaurants, proposant leurs traditions culinaires. Ces nouvelles saveurs, ces nouveaux savoir-faire, les prix bas pratiqués dans ces restos transforment en profondeur les habitudes culinaires des Belges. Mais du dégoût au plébiscite, il aura fallu vaincre beaucoup d'idées préconçue. En route pour un voyage fusionnel ! Avec nous : Pierre Leclercq, historien de l'alimentation, collaborateur scientifique à l'ULG, responsable du Petit Lancelot qui nous propose des repas-conférences où la gastronomie se mêle à la découverte culturelle. Sujets traités ; Exotisme, cuisine Poires, pommes, bananes, fruits, Italie, saveurs, dégout, plébiscite Merci pour votre écoute Un Jour dans l'Histoire, c'est également en direct tous les jours de la semaine de 13h15 à 14h30 sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez tous les épisodes d'Un Jour dans l'Histoire sur notre plateforme Auvio.be :https://auvio.rtbf.be/emission/5936 Intéressés par l'histoire ? Vous pourriez également aimer nos autres podcasts : L'Histoire Continue: https://audmns.com/kSbpELwL'heure H : https://audmns.com/YagLLiKEt sa version à écouter en famille : La Mini Heure H https://audmns.com/YagLLiKAinsi que nos séries historiques :Chili, le Pays de mes Histoires : https://audmns.com/XHbnevhD-Day : https://audmns.com/JWRdPYIJoséphine Baker : https://audmns.com/wCfhoEwLa folle histoire de l'aviation : https://audmns.com/xAWjyWCLes Jeux Olympiques, l'étonnant miroir de notre Histoire : https://audmns.com/ZEIihzZMarguerite, la Voix d'une Résistante : https://audmns.com/zFDehnENapoléon, le crépuscule de l'Aigle : https://audmns.com/DcdnIUnUn Jour dans le Sport : https://audmns.com/xXlkHMHSous le sable des Pyramides : https://audmns.com/rXfVppvN'oubliez pas de vous y abonner pour ne rien manquer.Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement.
Marceau refait l'info, c'est du lundi au vendredi à 7h30, 8h30 et 9h30 dans le Morning du rire avec Bruno Roblès
Marceau refait l'info, c'est du lundi au vendredi à 7h30, 8h30 et 9h30 dans le Morning du rire avec Bruno Roblès
On traumatise Julien en lui montrant Les Bananes En Pyjama et on parle de plein d'autres affaires. Tu ne risques pas d'apprendre grand chose en écoutant cet épisode, mais tu risques de rire. Deux Princes.
L'actu vue par Karine Dubernet - Lundi et vendredi à 7h45 et 9h45 dans le Morning du rire avec Bruno Roblès sur Rire & Chansons
L'actu vue par Karine Dubernet - Lundi et vendredi à 7h45 et 9h45 dans le Morning du rire avec Bruno Roblès sur Rire & Chansons
RediffusionSi vous aimez les fruits, vous devez rechercher les bonbons qui en imitent le goût. Bien sûr, ce n'est pas tout à fait le même. En effet, la saveur de ces bonbons, recréée en laboratoire, ne peut se comparer tout à fait à celle des fruits.C'est le cas des fameux bonbons Haribo à la banane. Ils ont bien un parfum de banane, mais ce n'est pas vraiment celui du fruit acheté sur le marché. Il n'était d'ailleurs pas toujours facile de comparer, car la banane fut longtemps un fruit cher et assez rare. Le bonbon permettait donc de se faire une idée de la saveur du fruit.Il s'agissait pourtant, nous l'avons vu, d'un goût artificiel, les premiers arômes de banane ayant été créés dès la fin du XIXe siècle. Mais si le bonbon diffère du fruit, c'est encore pour une autre raison.Une banane disparueMême s'il a été élaboré en laboratoire, le goût de cette confiserie imitait pourtant de près celui d'une vraie banane. Seulement voilà, vous ne la trouverez pas chez votre fruitier.Et pour cause. La banane "Gros Michel", c'est son nom, a en effet disparu des étals des marchés. On l'en a retirée dans les années 1960. Et pourtant, cette banane, venue de Martinique, et dont les bonbons imitaient le goût, se vendait bien. En effet, sa taille et sa peau épaisse en rendaient l'exportation commode.Quant à sa saveur, elle avait du succès auprès des consommateurs. Cette banane était en effet plus sucrée que la plupart des fruits vendus aujourd'hui. En ce sens, le bonbon Haribo, qui s'en inspire, est le témoin de saveurs disparues.Si vous ne trouvez plus de bananes Gros Michel, c'est qu'elle a été attaquée, dans les années 1950, par des champignons qui ont dévasté les plantations. La banane étant souvent exploitée sous forme de monoculture, les maladies lui causent des ravages irréparables.La Cavendish qui, pour l'essentiel, a remplacé la banane Gros Michel, a d'ailleurs déjà été touchée par des champignons qui ont causé de gros dégâts. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
REDIFF - Le smoothie est vu comme bon pour la santé. Mais est-il vraiment sain ? Selon les fruits qu'il contient, il n'apporte pas les mêmes bénéfices. Une étude vient de montrer qu'on n'a pas intérêt à mettre de la banane dans son smoothie. Explications d'Aline Perraudin.
Tous les matins à 7H10, on vous donne des bonnes nouvelles.
L'auteur et chercheur anglais publie pour la première fois pour le public français sa bible de l'empreinte carbone au quotidien, adapté à la France. Avec un titre provoquant et intriguant : "Peut-on encore manger des bananes ?", aux éditions de l'Arbre qui Marche. De l'e-mail à l'achat d'une maison en passant par la baguette ou encore faire la vaisselle, tout est passé au crible, avec parfois quelques surprises ! Ne pas perdre son temps avec des gestes insignifiants, et se concentrer sur des points essentiels, voilà ce que propose Mike Berners-Lee avec son livre. Objectif : donner une « intuition carbone » aux lecteurs. Tout le monde connaît les prix des objets de notre quotidien, alors tout le monde devrait aussi connaître leur empreinte carbone. Cela passe aussi par le fait de tordre le coup aux idées reçues : les bananes viennent de loin, oui, mais elles sont cultivées au soleil avec peu d'engrais et voyagent en cargo, finalement leur empreinte carbone est faible ! Vous préférez faire la vaisselle en laissant couler l'eau plutôt que d'utiliser le lave-vaisselle ? Mauvaise idée, le lave-vaisselle est plus économe en carbone. Dans un monde en plein réchauffement climatique, l'idée n'est pas de donner des leçons mais de faire sa part et de livrer les bonnes batailles. En vous faisant découvrir l'impact carbone de votre quotidien, Mike Berners-Lee vous propose ceci : un effort minimum pour un impact maximum. Replay : https://www.tf1info.fr/replay-lci/video-impact-positif-du-samedi-16-mars-2024-mike-berners-lee-peut-on-encore-manger-des-bananes-2289742.html
On ne sait jamais ce qui peut s'y trouver… Éditorial de Yasmine AbdelfadelPour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Si certaines affirmations ont toutes les chances de passer à la postérité, c'est qu'elles frappent par leur singularité. C'est bien le cas de l'assertion, souvent entendue, selon laquelle l'homme partagerait la moitié de ses gènes avec les bananes. Certains scientifiques en ont fait état après le décodage, en 2012, du génome complet de la banane. Un résultat acquis au terme de longs travaux. En théorie, il est vrai, l'idée n'a rien d'absurde. En effet, d'après les spécialistes, l'être humain et les plantes auraient un ancêtre commun, qui aurait vécu voilà environ 1,5 milliard d'années. Il est donc normal que nous partagions certains gènes avec les bananes, mais aussi avec d'autres plantes. Mais de là à penser que nous avons 50 % de notre patrimoine génétique en commun avec la banane, il y a un pas que beaucoup d'abstiennent de franchir. Il faut d'abord rappeler, en effet, que le génome de la banane est 6 fois plus petit que celui que l'homme. Ce qui rend déjà difficile un partage de la moitié de nos gènes avec les bananes. Ensuite, il faut savoir de quels gènes on parle. Ceux que nous partagerions avec les bananes, à hauteur de 50 %, sont les gènes codants. Autrement dit ceux qui contiennent l'information nécessaire à la fabrication d'une protéine. L'homme possède environ 20.000 gènes codants et la banane 36.000. Mais ces gènes codants ne représentent que de 2 à 5 % de l'ADN total. Nous aurions donc, en commun avec les bananes, une toute petite partie de nos gènes et, selon les estimations des spécialistes, environ 1 % de notre ADN total. L'affirmation selon laquelle nous partagerions 50 % de nos gènes avec les bananes vient sans doute des récentes recherches menées par des scientifiques américains. En effet, ils ont identifié, non pas des gènes codants identiques, entre l'homme et la banane, mais des gènes homologues, à hauteur de 60 %. Il s'agit donc de gènes (représentant eux-mêmes une très faible proportion de l'ADN) qui contiennent des informations comparables, mais non pas identiques, relatives aux protéines qu'ils permettent de fabriquer. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Si certaines affirmations ont toutes les chances de passer à la postérité, c'est qu'elles frappent par leur singularité. C'est bien le cas de l'assertion, souvent entendue, selon laquelle l'homme partagerait la moitié de ses gènes avec les bananes.Certains scientifiques en ont fait état après le décodage, en 2012, du génome complet de la banane. Un résultat acquis au terme de longs travaux.En théorie, il est vrai, l'idée n'a rien d'absurde. En effet, d'après les spécialistes, l'être humain et les plantes auraient un ancêtre commun, qui aurait vécu voilà environ 1,5 milliard d'années.Il est donc normal que nous partagions certains gènes avec les bananes, mais aussi avec d'autres plantes.Mais de là à penser que nous avons 50 % de notre patrimoine génétique en commun avec la banane, il y a un pas que beaucoup d'abstiennent de franchir.Il faut d'abord rappeler, en effet, que le génome de la banane est 6 fois plus petit que celui que l'homme. Ce qui rend déjà difficile un partage de la moitié de nos gènes avec les bananes.Ensuite, il faut savoir de quels gènes on parle. Ceux que nous partagerions avec les bananes, à hauteur de 50 %, sont les gènes codants. Autrement dit ceux qui contiennent l'information nécessaire à la fabrication d'une protéine.L'homme possède environ 20.000 gènes codants et la banane 36.000. Mais ces gènes codants ne représentent que de 2 à 5 % de l'ADN total. Nous aurions donc, en commun avec les bananes, une toute petite partie de nos gènes et, selon les estimations des spécialistes, environ 1 % de notre ADN total.L'affirmation selon laquelle nous partagerions 50 % de nos gènes avec les bananes vient sans doute des récentes recherches menées par des scientifiques américains. En effet, ils ont identifié, non pas des gènes codants identiques, entre l'homme et la banane, mais des gènes homologues, à hauteur de 60 %.Il s'agit donc de gènes (représentant eux-mêmes une très faible proportion de l'ADN) qui contiennent des informations comparables, mais non pas identiques, relatives aux protéines qu'ils permettent de fabriquer. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
REDIFFUSIONLa radioactivité est avant tout un phénomène naturel. Ainsi de nombreux aliments sont radioactifs, sans que cela représente un danger pour notre santé.Cette radioactivité est associée à certains atomes instables. Le noyau d'un atome stable contient le même nombre de protons et de neutrons. Ce n'est pas le cas du noyau d'un atome instable, où ces particules sont trop nombreuses.Le noyau se débarrasse alors de protons ou de neutrons en surnombre, afin de préserver la stabilité de l'atome. Et cette éjection s'accompagne d'un rayonnement spécifique. C'est ce processus qu'on nomme "radioactivité".Elle peut être également d'origine artificielle, comme dans le cas de l'imagerie médicale.Phénomène naturel, la radioactivité est donc présente dans le monde qui nous environne, et même en nous. Il est donc normal que certains aliments, comme la banane, soient radioactifs.Elle le doit à la présence d'un isotope du potassium 40, c'est-à-dire d'un atome comprenant le même nombre d'électrons et de protons, mais un nombre différent de neutrons.Si vous transportez des bananes dans votre sac, et que vous passez au contrôle de certains aéroports, l'appareil équipant le portique de sécurité peut sonner. Mais cela ne veut pas dire que vous soyez en danger.En effet, les substances radioactives présentes dans ce fruit sont en quantités très minimes. De fait, elles représentent moins de 0,020 % de la banane. En outre, la radioactivité, dans ce cas, se manifeste par des rayonnements que leur nature et leur intensité rendent inoffensifs.De tels rayonnements naturels, dont notre corps s'accommode très bien, n'ont pas une énergie suffisante pour modifier la structure des atomes qui composent notre organisme. Ils ne sont pas "ionisants", comme disent les spécialistes. Nous pouvons donc consommer des aliments radioactifs sans aucune crainte.Car il en existe bien d'autres que la banane. On peut citer, par exemple, les épinards, le lait, les fruits de mer ou encore les champignons. D'autres aliments, comme les haricots rouges ou les pommes de terre sont même un peu plus radioactifs, tout en restant inoffensifs pour le consommateur. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
REDIFFUSION La radioactivité est avant tout un phénomène naturel. Ainsi de nombreux aliments sont radioactifs, sans que cela représente un danger pour notre santé. Cette radioactivité est associée à certains atomes instables. Le noyau d'un atome stable contient le même nombre de protons et de neutrons. Ce n'est pas le cas du noyau d'un atome instable, où ces particules sont trop nombreuses. Le noyau se débarrasse alors de protons ou de neutrons en surnombre, afin de préserver la stabilité de l'atome. Et cette éjection s'accompagne d'un rayonnement spécifique. C'est ce processus qu'on nomme "radioactivité". Elle peut être également d'origine artificielle, comme dans le cas de l'imagerie médicale. Phénomène naturel, la radioactivité est donc présente dans le monde qui nous environne, et même en nous. Il est donc normal que certains aliments, comme la banane, soient radioactifs. Elle le doit à la présence d'un isotope du potassium 40, c'est-à-dire d'un atome comprenant le même nombre d'électrons et de protons, mais un nombre différent de neutrons. Si vous transportez des bananes dans votre sac, et que vous passez au contrôle de certains aéroports, l'appareil équipant le portique de sécurité peut sonner. Mais cela ne veut pas dire que vous soyez en danger. En effet, les substances radioactives présentes dans ce fruit sont en quantités très minimes. De fait, elles représentent moins de 0,020 % de la banane. En outre, la radioactivité, dans ce cas, se manifeste par des rayonnements que leur nature et leur intensité rendent inoffensifs. De tels rayonnements naturels, dont notre corps s'accommode très bien, n'ont pas une énergie suffisante pour modifier la structure des atomes qui composent notre organisme. Ils ne sont pas "ionisants", comme disent les spécialistes. Nous pouvons donc consommer des aliments radioactifs sans aucune crainte. Car il en existe bien d'autres que la banane. On peut citer, par exemple, les épinards, le lait, les fruits de mer ou encore les champignons. D'autres aliments, comme les haricots rouges ou les pommes de terre sont même un peu plus radioactifs, tout en restant inoffensifs pour le consommateur. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
durée : 00:02:48 - Les histoires du monde - par : Anthony BELLANGER - L'Equateur a décidé de revendre son vieux matériel militaire soviétique à Washington contre des équipements tout neufs. Fureur de Moscou qui rétorque en arrêtant d'importer des bananes équatoriennes... Et des fleurs coupées.
durée : 00:02:48 - Les histoires du monde - par : Anthony BELLANGER - L'Equateur a décidé de revendre son vieux matériel militaire soviétique à Washington contre des équipements tout neufs. Fureur de Moscou qui rétorque en arrêtant d'importer des bananes équatoriennes... Et des fleurs coupées.
Si certaines affirmations ont toutes les chances de passer à la postérité, c'est qu'elles frappent par leur singularité. C'est bien le cas de l'assertion, souvent entendue, selon laquelle l'homme partagerait la moitié de ses gènes avec les bananes.Certains scientifiques en ont fait état après le décodage, en 2012, du génome complet de la banane. Un résultat acquis au terme de longs travaux.En théorie, il est vrai, l'idée n'a rien d'absurde. En effet, d'après les spécialistes, l'être humain et les plantes auraient un ancêtre commun, qui aurait vécu voilà environ 1,5 milliard d'années.Il est donc normal que nous partagions certains gènes avec les bananes, mais aussi avec d'autres plantes.Mais de là à penser que nous avons 50 % de notre patrimoine génétique en commun avec la banane, il y a un pas que beaucoup d'abstiennent de franchir.Il faut d'abord rappeler, en effet, que le génome de la banane est 6 fois plus petit que celui que l'homme. Ce qui rend déjà difficile un partage de la moitié de nos gènes avec les bananes.Ensuite, il faut savoir de quels gènes on parle. Ceux que nous partagerions avec les bananes, à hauteur de 50 %, sont les gènes codants. Autrement dit ceux qui contiennent l'information nécessaire à la fabrication d'une protéine.L'homme possède environ 20.000 gènes codants et la banane 36.000. Mais ces gènes codants ne représentent que de 2 à 5 % de l'ADN total. Nous aurions donc, en commun avec les bananes, une toute petite partie de nos gènes et, selon les estimations des spécialistes, environ 1 % de notre ADN total.L'affirmation selon laquelle nous partagerions 50 % de nos gènes avec les bananes vient sans doute des récentes recherches menées par des scientifiques américains. En effet, ils ont identifié, non pas des gènes codants identiques, entre l'homme et la banane, mais des gènes homologues, à hauteur de 60 %.Il s'agit donc de gènes (représentant eux-mêmes une très faible proportion de l'ADN) qui contiennent des informations comparables, mais non pas identiques, relatives aux protéines qu'ils permettent de fabriquer. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Si certaines affirmations ont toutes les chances de passer à la postérité, c'est qu'elles frappent par leur singularité. C'est bien le cas de l'assertion, souvent entendue, selon laquelle l'homme partagerait la moitié de ses gènes avec les bananes. Certains scientifiques en ont fait état après le décodage, en 2012, du génome complet de la banane. Un résultat acquis au terme de longs travaux. En théorie, il est vrai, l'idée n'a rien d'absurde. En effet, d'après les spécialistes, l'être humain et les plantes auraient un ancêtre commun, qui aurait vécu voilà environ 1,5 milliard d'années. Il est donc normal que nous partagions certains gènes avec les bananes, mais aussi avec d'autres plantes. Mais de là à penser que nous avons 50 % de notre patrimoine génétique en commun avec la banane, il y a un pas que beaucoup d'abstiennent de franchir. Il faut d'abord rappeler, en effet, que le génome de la banane est 6 fois plus petit que celui que l'homme. Ce qui rend déjà difficile un partage de la moitié de nos gènes avec les bananes. Ensuite, il faut savoir de quels gènes on parle. Ceux que nous partagerions avec les bananes, à hauteur de 50 %, sont les gènes codants. Autrement dit ceux qui contiennent l'information nécessaire à la fabrication d'une protéine. L'homme possède environ 20.000 gènes codants et la banane 36.000. Mais ces gènes codants ne représentent que de 2 à 5 % de l'ADN total. Nous aurions donc, en commun avec les bananes, une toute petite partie de nos gènes et, selon les estimations des spécialistes, environ 1 % de notre ADN total. L'affirmation selon laquelle nous partagerions 50 % de nos gènes avec les bananes vient sans doute des récentes recherches menées par des scientifiques américains. En effet, ils ont identifié, non pas des gènes codants identiques, entre l'homme et la banane, mais des gènes homologues, à hauteur de 60 %. Il s'agit donc de gènes (représentant eux-mêmes une très faible proportion de l'ADN) qui contiennent des informations comparables, mais non pas identiques, relatives aux protéines qu'ils permettent de fabriquer. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Si vous aimez les fruits, vous devez rechercher les bonbons qui en imitent le goût. Bien sûr, ce n'est pas tout à fait le même. En effet, la saveur de ces bonbons, recréée en laboratoire, ne peut se comparer tout à fait à celle des fruits.C'est le cas des fameux bonbons Haribo à la banane. Ils ont bien un parfum de banane, mais ce n'est pas vraiment celui du fruit acheté sur le marché. Il n'était d'ailleurs pas toujours facile de comparer, car la banane fut longtemps un fruit cher et assez rare. Le bonbon permettait donc de se faire une idée de la saveur du fruit.Il s'agissait pourtant, nous l'avons vu, d'un goût artificiel, les premiers arômes de banane ayant été créés dès la fin du XIXe siècle. Mais si le bonbon diffère du fruit, c'est encore pour une autre raison.Une banane disparueMême s'il a été élaboré en laboratoire, le goût de cette confiserie imitait pourtant de près celui d'une vraie banane. Seulement voilà, vous ne la trouverez pas chez votre fruitier.Et pour cause. La banane "Gros Michel", c'est son nom, a en effet disparu des étals des marchés. On l'en a retirée dans les années 1960. Et pourtant, cette banane, venue de Martinique, et dont les bonbons imitaient le goût, se vendait bien. En effet, sa taille et sa peau épaisse en rendaient l'exportation commode.Quant à sa saveur, elle avait du succès auprès des consommateurs. Cette banane était en effet plus sucrée que la plupart des fruits vendus aujourd'hui. En ce sens, le bonbon Haribo, qui s'en inspire, est le témoin de saveurs disparues.Si vous ne trouvez plus de bananes Gros Michel, c'est qu'elle a été attaquée, dans les années 1950, par des champignons qui ont dévasté les plantations. La banane étant souvent exploitée sous forme de monoculture, les maladies lui causent des ravages irréparables.La Cavendish qui, pour l'essentiel, a remplacé la banane Gros Michel, a d'ailleurs déjà été touchée par des champignons qui ont causé de gros dégâts. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Si vous aimez les fruits, vous devez rechercher les bonbons qui en imitent le goût. Bien sûr, ce n'est pas tout à fait le même. En effet, la saveur de ces bonbons, recréée en laboratoire, ne peut se comparer tout à fait à celle des fruits. C'est le cas des fameux bonbons Haribo à la banane. Ils ont bien un parfum de banane, mais ce n'est pas vraiment celui du fruit acheté sur le marché. Il n'était d'ailleurs pas toujours facile de comparer, car la banane fut longtemps un fruit cher et assez rare. Le bonbon permettait donc de se faire une idée de la saveur du fruit. Il s'agissait pourtant, nous l'avons vu, d'un goût artificiel, les premiers arômes de banane ayant été créés dès la fin du XIXe siècle. Mais si le bonbon diffère du fruit, c'est encore pour une autre raison. Une banane disparue Même s'il a été élaboré en laboratoire, le goût de cette confiserie imitait pourtant de près celui d'une vraie banane. Seulement voilà, vous ne la trouverez pas chez votre fruitier. Et pour cause. La banane "Gros Michel", c'est son nom, a en effet disparu des étals des marchés. On l'en a retirée dans les années 1960. Et pourtant, cette banane, venue de Martinique, et dont les bonbons imitaient le goût, se vendait bien. En effet, sa taille et sa peau épaisse en rendaient l'exportation commode. Quant à sa saveur, elle avait du succès auprès des consommateurs. Cette banane était en effet plus sucrée que la plupart des fruits vendus aujourd'hui. En ce sens, le bonbon Haribo, qui s'en inspire, est le témoin de saveurs disparues. Si vous ne trouvez plus de bananes Gros Michel, c'est qu'elle a été attaquée, dans les années 1950, par des champignons qui ont dévasté les plantations. La banane étant souvent exploitée sous forme de monoculture, les maladies lui causent des ravages irréparables. La Cavendish qui, pour l'essentiel, a remplacé la banane Gros Michel, a d'ailleurs déjà été touchée par des champignons qui ont causé de gros dégâts. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Nouvel épisode de notre podcast consacré à la pop culture, un peu en retard, mais c'est les vacances ! On discute jeux vidéo et blockbusters, bien entendu, en essayant au mieux de ne pas spoiler. Le sujet (0:07:10) : On discute d'un peu tout, à la fraîche, vu que cette nouvelle nouvelle formule semble plaire. Montage effectué un peu à l'arrache en raison de l'absence de notre monteur ! Il y avait beaucoup de lag à recaler lors de l'enregistrement, toutes nos excuses si le son est un peu moins bon que d'habitude. Les recos (0:47:29) : Benji : The First Slam Dunk de Inoue Takehiko, foncez le voir tant qu'il est encore en salles Daniel : Yannick, de Quentin Dupieux, une excellente surprise
durée : 00:54:34 - Affaires sensibles - par : Fabrice Drouelle, Franck COGNARD - Aujourd'hui dans Affaires sensibles, le scandale du pesticide chlordécone en Martinique et en Guadeloupe. - réalisé par : Marion Le Lay, Stéphane COSME
Cet été, je vous fais écouter ou réécouter les meilleurs épisodes de Choses à Savoir. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
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La radioactivité est avant tout un phénomène naturel. Ainsi de nombreux aliments sont radioactifs, sans que cela représente un danger pour notre santé. Cette radioactivité est associée à certains atomes instables. Le noyau d'un atome stable contient le même nombre de protons et de neutrons. Ce n'est pas le cas du noyau d'un atome instable, où ces particules sont trop nombreuses. Le noyau se débarrasse alors de protons ou de neutrons en surnombre, afin de préserver la stabilité de l'atome. Et cette éjection s'accompagne d'un rayonnement spécifique. C'est ce processus qu'on nomme "radioactivité". Elle peut être également d'origine artificielle, comme dans le cas de l'imagerie médicale. Phénomène naturel, la radioactivité est donc présente dans le monde qui nous environne, et même en nous. Il est donc normal que certains aliments, comme la banane, soient radioactifs. Elle le doit à la présence d'un isotope du potassium 40, c'est-à-dire d'un atome comprenant le même nombre d'électrons et de protons, mais un nombre différent de neutrons. Si vous transportez des bananes dans votre sac, et que vous passez au contrôle de certains aéroports, l'appareil équipant le portique de sécurité peut sonner. Mais cela ne veut pas dire que vous soyez en danger. En effet, les substances radioactives présentes dans ce fruit sont en quantités très minimes. De fait, elles représentent moins de 0,020 % de la banane. En outre, la radioactivité, dans ce cas, se manifeste par des rayonnements que leur nature et leur intensité rendent inoffensifs. De tels rayonnements naturels, dont notre corps s'accommode très bien, n'ont pas une énergie suffisante pour modifier la structure des atomes qui composent notre organisme. Ils ne sont pas "ionisants", comme disent les spécialistes. Nous pouvons donc consommer des aliments radioactifs sans aucune crainte. Car il en existe bien d'autres que la banane. On peut citer, par exemple, les épinards, le lait, les fruits de mer ou encore les champignons. D'autres aliments, comme les haricots rouges ou les pommes de terre sont même un peu plus radioactifs, tout en restant inoffensifs pour le consommateur. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
La radioactivité est avant tout un phénomène naturel. Ainsi de nombreux aliments sont radioactifs, sans que cela représente un danger pour notre santé.Cette radioactivité est associée à certains atomes instables. Le noyau d'un atome stable contient le même nombre de protons et de neutrons. Ce n'est pas le cas du noyau d'un atome instable, où ces particules sont trop nombreuses.Le noyau se débarrasse alors de protons ou de neutrons en surnombre, afin de préserver la stabilité de l'atome. Et cette éjection s'accompagne d'un rayonnement spécifique. C'est ce processus qu'on nomme "radioactivité".Elle peut être également d'origine artificielle, comme dans le cas de l'imagerie médicale.Phénomène naturel, la radioactivité est donc présente dans le monde qui nous environne, et même en nous. Il est donc normal que certains aliments, comme la banane, soient radioactifs.Elle le doit à la présence d'un isotope du potassium 40, c'est-à-dire d'un atome comprenant le même nombre d'électrons et de protons, mais un nombre différent de neutrons.Si vous transportez des bananes dans votre sac, et que vous passez au contrôle de certains aéroports, l'appareil équipant le portique de sécurité peut sonner. Mais cela ne veut pas dire que vous soyez en danger.En effet, les substances radioactives présentes dans ce fruit sont en quantités très minimes. De fait, elles représentent moins de 0,020 % de la banane. En outre, la radioactivité, dans ce cas, se manifeste par des rayonnements que leur nature et leur intensité rendent inoffensifs.De tels rayonnements naturels, dont notre corps s'accommode très bien, n'ont pas une énergie suffisante pour modifier la structure des atomes qui composent notre organisme. Ils ne sont pas "ionisants", comme disent les spécialistes. Nous pouvons donc consommer des aliments radioactifs sans aucune crainte.Car il en existe bien d'autres que la banane. On peut citer, par exemple, les épinards, le lait, les fruits de mer ou encore les champignons. D'autres aliments, comme les haricots rouges ou les pommes de terre sont même un peu plus radioactifs, tout en restant inoffensifs pour le consommateur. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 00:54:32 - Affaires sensibles - par : Fabrice Drouelle - Aujourd'hui dans Affaires sensibles, le scandale du pesticide chlordécone en Martinique et en Guadeloupe.