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Avertissements à tous ceux qui doivent prendre le métro dans les prochaines minutes! Ukraine/Russie: la négociation de paix en Turquie commence mal. Pas de budget avant l’automne. Féminicide à Châteauguay. Alicia Moffet en tournée. Réal Béland partagera l’écran avec toute sa famille. Tour de table entre Marianne Bessette, Alexandre Dubé et Mario Dumont. Regardez aussi cette discussion en vidéo via https://www.qub.ca/videos ou en vous abonnant à QUB télé : https://www.tvaplus.ca/qub ou sur la chaîne YouTube QUB https://www.youtube.com/@qub_radioPour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Des responsables iraniens, chinois et russes se sont réunis vendredi 14 mars à Pékin pour parler du programme nucléaire de Téhéran. Que peut obtenir l'Iran de ces interlocuteurs ? Éléments de réponse avec Michel Foucher, géographe, ancien ambassadeur, auteur de Ukraine-Russie : la carte mentale du duel (Tracts Gallimard, 2022).
Ce sont des images qui ont fait le tour du monde. Le 28 février dernier, dans le bureau ovale de la Maison Blanche, le président ukrainien Volodymyr Zelensky a été humilié par le président américain Donald Trump. Une scène filmée et diffusée sur les chaînes du monde entier trois ans après les débuts de l'invasion de l'Ukraine par la Russie. Avons-nous été témoins d'un moment historique ? Et plus largement, l'humiliation est-elle une arme de négociation ? Avec : - Olivier Abel, philosophe, professeur émérite de philosophie et d'éthique à la Faculté de théologie protestante de Montpellier, auteur du livre De l'humiliation - Le nouveau poison de notre société, éditions Les Liens qui Libèrent- Giulio De Ligio, philosophe politique, maître de conférences à l'Université catholique de l'Ouest- Michel Foucher, géographe, essayiste et diplomate, ancien ambassadeur de France en Lettonie, auteur de Ukraine-Russie. La carte mentale du duel, collection Tracts Gallimard
Au programme : Ukraine - Russie : la paix est-elle possible ? / Macron, le monde nous l'envie / Faut-il enseigner la sexualité aux enfants à l'école ?
Depuis trois ans, l'Afrique a tenté d'adopter une « neutralité stratégique » face au conflit russo-ukrainien. Loin d'adopter une position commune, les pays africains composent au cas par cas avec les belligérants, afin de préserver leurs intérêts économiques, politiques ou militaires. Djénabou Cissé, chercheuse au sein de la Fondation pour la recherche stratégique, analyse cette diplomatie africaine plus « transactionnelle » qu'idéologique… et résolument « non alignée ». RFI : Le 2 mars 2022, de nombreux pays africains se sont abstenus de condamner l'agression de la Russie contre l'Ukraine lors d'une Assemblée générale des Nations Unies. Trois ans plus tard, peut-on dire que l'Afrique a su rester neutre face à ce conflit ?Djénabou Cissé : Oui, tout à fait. Le positionnement de l'Afrique vis-à-vis du conflit russo-ukrainien est resté globalement inchangé depuis 2022. Concernant justement ce fameux vote du 2 mars 2022, 28 pays avaient condamné l'agression, mais 17 exactement se sont abstenus. Ce qui à l'époque avait été vue d'un assez mauvais œil par les pays européens et occidentaux, mais qui en réalité reflète davantage une neutralité comme vous l'évoquiez plutôt qu'un soutien idéologique à la Russie. Il faut savoir que depuis au moins les années quatre-vingt-dix, les pays africains sont dans une dynamique de diversification de leurs partenariats. Avec la volonté de pouvoir garder une liberté d'échange avec divers partenaires et donc de ne pas avoir de relations trop antagonistes. Et donc de ne pas choisir entre deux camps. Il y a donc même plutôt un retour à un certain non-alignement qui s'est reflété, à la fois par la crise russo-ukrainienne, mais aussi par le conflit israélo-palestinien.Ne s'agit-il pas aussi tout simplement de pragmatisme économique ?Les pays africains importent au moins 30% de céréales en provenance de la Russie, dont 95 % de blé. Et selon la CNUCED, au moins vingt-cinq pays importent plus du tiers de leur blé auprès de la Russie ou de l'Ukraine. Et quinze pays importent plus de la moitié. Donc, suite à l'invasion russe et suite notamment au blocage des exportations ukrainiennes en mer Noire, il y a eu une forte hausse du prix de la tonne de blé et donc de fortes craintes concernant l'approvisionnement des pays africains en céréales. Mais également concernant l'insécurité alimentaire. Donc Tout ceci explique aussi cette position de neutralité.Est-ce que la Russie a été avantagée par ses relations historiques avec l'Afrique ?Beaucoup des relations avec ces pays remontent à la guerre froide, donc il y a des relations qui ont servi de terreau au développement de coopérations plus récentes et en particulier à partir du milieu des années 2000, sous l'impulsion de Vladimir Poutine.Il y a des accords de coopération militaire qui ont été conclus avec un certain nombre de pays africains. Ces accords se sont notamment accélérés à partir du milieu des années 2010 et en particulier au Sahel. Du point de vue de certains pays africains, sans faire de généralisation, il est difficile de prendre le risque de s'aliéner à la Russie en sachant que c'est un fournisseur de services sécuritaires important. Ici, on a encore une fois une logique transactionnelle plutôt qu'une logique idéologique.Dans ce contexte, quelle a été la stratégie de l'Ukraine sur le continent Africain ?L'Ukraine a décidé d'ouvrir un nouveau front contre la Russie sur ce continent. Et en particulier au Soudan, où l'Ukraine a notamment déployé des forces spéciales pour combattre les troupes de Wagner impliquées dans le conflit au Soudan. Plus Récemment, il y a eu une grosse attaque à Tinzawatène, au Mali, à la frontière avec l'Algérie, qui a causé la mort de plus de 84 mercenaires de Wagner. Et en fait, L'Ukraine avait fourni des drones aux combattants Touaregs qui opposaient donc les troupes maliennes et les troupes de Wagner.Et vous pensez que cette tendance risque encore de se renforcer ?On observe déjà cette ouverture de front par l'Ukraine qui souhaite combattre les troupes de Wagner et les troupes russes partout où elles sont présentes. Mais également une offensive diplomatique, en avril dernier en RDC et en Côte d'Ivoire par exemple. Donc, on a vraiment une implication récente de l'Ukraine, qui est assez offensive et qui gagnera, je pense, à se développer dans les prochaines années, pour contrer l'influence russe principalement.À lire aussiL'Afrique face au conflit Ukraine-Russie: entre neutralité stratégique et réalignement pro-russe du Sahel
Trois ans après le début de la guerre en Ukraine, l'Afrique continue d'être un terrain où des groupes pro-russes relaient le discours de Moscou. À Antananarivo, par exemple, Les Amis de la Russie à Madagascar, une association née en 2021 à l'aube du début de la guerre, est un cercle d'influence reconnu par le Kremlin. De notre correspondante à Antananarivo,Le groupe Les Amis de la Russie à Madagascar compte 1 000 membres dont plusieurs anciens étudiants malgaches formés en ex-URSS. Il se présente comme un vecteur de la culture russe sur l'île. Si les autorités affichent leur neutralité dans le conflit, ce groupe diffuse un soutien politique clair à la Russie.Richard Rakotonirina, président de ce groupe, nous accueille chez lui, un drapeau russe sur la table basse, un autre brodé sur sa chemise, signe de son attachement au pays où il a étudié 10 ans. Un signe qui est aussi politique, affirme-t-il. Comme depuis trois ans, il partage ouvertement le narratif d'un conflit qu'il refuse de qualifier de guerre. « C'est une "opération militaire spéciale" de dénazification, soutient le président des Amis de la Russie. Si des groupes extrémistes se trouvent aux portes de votre pays, qu'allez-vous faire ? Vous allez protéger votre pays, votre peuple, votre souveraineté. La réaction du président Vladimir Poutine est normale. »L'association relaie sa lecture du conflit en ligne ou lors de conférences organisées aux quatre coins de l'île. Le discours imprime auprès d'une partie du monde intellectuel malgache sur fond de rejet d'un narratif occidental. « Les médias occidentaux ne veulent pas comprendre les évènements. Pourtant, la réalité est là : dans cette guerre, l'Ukraine ne différencie pas les objectifs et les cibles, ce qui est tout à fait contraire au président Vladimir Poutine, défend cet ex-étudiant en Russie. Il évite toujours les dégâts collatéraux, c'est-à-dire perdre trop de vies humaines, car il opère dans les zones stratégiques comme les dépôts d'armement, les zones sensibles matérielles. »À lire aussiL'Afrique face au conflit Ukraine-Russie: entre neutralité stratégique et réalignement pro-russe du Sahel« Wagner a été impliquée dans l'élection présidentielle malgache de 2018 »Le 11 mars 2022, aux premières heures de l'offensive russe en Ukraine, une trentaine de manifestants érigent des banderoles de soutien à Moscou devant l'ambassade russe à Madagascar. L'événement est structuré, il n'a rien de spontané. Bien qu'isolé, il laisse deviner l'influence de réseaux activistes russes à l'intérieur du pays. « La neutralité se discute, estime Serge Zafimahova, analyste géopolitique. Il ne faut pas oublier que Wagner a été impliqué dans l'élection présidentielle malgache de 2018, donc c'est une neutralité engagée, je dirais. »Les affinités entre les deux pays ne sont pas une surprise pour ce spécialiste qui y voit l'héritage de liens historiques. « Il y a beaucoup d'anciens de la Russie bien placés au sein de l'administration malgache civile et militaire. Donc, c'est un vecteur qui permet à certaines personnes de dire qu'on peut faire évoluer les relations de Madagascar dans la multipolarité dans laquelle joue la Russie, par exemple, les Brics. »La portée de ces voix pro-russes reste limitée au sein de l'opinion publique malgache. À l'écart des jeux d'influence, cette dernière suit de loin l'évolution d'un conflit dont les conséquences pèsent lourd sur le coût de la vie quotidienne.À lire aussiInfluences russes en Afrique: un système en phase de duplication
durée : 00:06:33 - La Revue de presse internationale - par : Catherine Duthu - En Ukraine, des adolescents étudient dans une école militaire de Kiev : "les cadets tiennent l'avenir du pays entre leurs mains". La Russie endoctrine des jeunes en Crimée annexée. Aux Etats-Unis, on sait plus sur les 6 ingénieurs qui aident Elon Musk à couper dans l'administration fédérale.
Merci à notre commanditaire ProCafetière : https://tinyurl.com/procafetiere-jerrPour obtenir le Café Whats Up :https://procafetiere.ca/collections/cafe-vrac/products/espresso-whats-up-cafe-vracUtilise le code JERR20 pour 20% de rabais sur le sac Whats Up ;)Aujourd'hui, nous avons la chance de recevoir le doctorant en journalisme, chargé de cours à l'Université Laval et également journaliste en zone de guerre : Jordan Proust ! Dans ce podcast de 2 heures, il nous raconte son expérience de 10 jours au front des affrontements Ukraine/Russie : des bombardements d'artillerie toutes les 20 minutes, drones intelligents ciblant les soldats et des militaires épuisés et brûlés par près de trois ans de combats. J'en profite aussi pour lui parler de la couverture médiatique occidentale et si elle est représentative du conflit là-bas. Bref, un podcast absolument captivant !! Enregistré le 17 janvier 2025.Pour suivre Jordan Proust :https://www.instagram.com/passionmilitaria/https://www.facebook.com/PassionMilitaria Pour devenir membre et supporter le Whats Up Podcast : https://www.patreon.com/whatsuppodcast Merci les patreon !!Pour suivre Jerr sur Instagram : https://www.instagram.com/jerr_allain/Pour suivre Jerr sur facebook : https://www.facebook.com/JerrAllainofficielContact : jerr.production@gmail.comPour vous abonner à mon Infolettre : http://eepurl.com/hvpnhj
Au sommaire du Sous-Marin aujourd'hui, Paolo nous présente le contexte politique et économique au Pakistan avec des manifestations violentes contre… The post Ukraine – Russie : un conflit sans fin first appeared on Radio Campus Angers.
La matinale du 26 novembre, avec au menu : 2:30 Une ligue “Anti p*do” s'organise sur Télégram pour tendre des pièges
Aujourd'hui dans "Punchline", Laurence Ferrari et ses invités débattent du conflit Ukraine / Russie qui prend une nouvelle dimension après les derniers évènements qui implique l'utilisation de missiles américains de longue portée.
Donald Trump ne prendra ses fonctions que dans deux mois, le 20 janvier mais il entend déjà peser sur la marche du monde. Mike Walz son futur conseiller à la sécurité a déclaré ce weekend que son équipe veut commencer à travailler avec l'administration de Joe Biden pour parvenir à un « arrangement » entre l'Ukraine et la Russie.
Chaque jour, entre 9h et 9h30, retrouvez Pascal Praud dans L'Heure des Pros en direct sur CNews et Europe 1. Ce vendredi, il revient sur la disparition inquiétante de Boualem Sensal ainsi que sur le tournant dans la guerre Ukraine - Russie qui a pris un "caractère mondial".
durée : 00:37:46 - Cultures Monde - par : Mélanie Chalandon, Julie Gacon - À maintes reprises, Donald Trump a exprimé sa volonté de mettre un terme à la guerre en Ukraine. Alors que sur le terrain les combats se poursuivent, la proximité affichée du futur locataire de la Maison blanche à Poutine pourrait bien rebattre les cartes des alliances. - réalisation : Vivian Lecuivre - invités : Anna Colin Lebedev Maîtresse de conférences à Paris Nanterre, spécialiste de l'Ukraine et de la Russie post-soviétique; Tatiana Kastouéva-Jean Directrice du Centre Russie/Eurasie de l'Ifri; Marc Semo Correspondant diplomatique du Monde
durée : 00:58:03 - Cultures Monde - par : Mélanie Chalandon, Julie Gacon - Comme chaque vendredi, une émission d'actualité en deux parties : retour de terrain avec la journaliste Rachida El Azzouzi, qui rentre du Liban ; suivi d'une table-ronde sur les perspectives ukrainiennes et russes avec le retour de Trump à la Maison blanche. - réalisation : Vivian Lecuivre - invités : Rachida El Azzouzi Journaliste à Mediapart; Anna Colin Lebedev Maîtresse de conférences à Paris Nanterre, spécialiste de l'Ukraine et de la Russie post-soviétique; Tatiana Kastouéva-Jean Directrice du Centre Russie/Eurasie de l'Ifri
Alors que le Moyen-Orient s'embrase, la guerre Ukraine-Russie continue à faire rage. C'est un conflit de longue date qui a débuté en février 2022 et qui se poursuit aujourd'hui encore.
Comment envisage-t-on l'avenir quand on est un jeune russe ou ukrainien ? Plus de deux ans après le début de l'invasion russe, comment vivent-ils leur jeunesse volée ? Et que pensent les jeunes Russes de la guerre en Ukraine ? De Kiev à Moscou : y a-t-il une fracture générationnelle face à cette guerre qui dure ? Qu'incarnent les figures de Poutine et de Zelensky pour les jeunes circonscris obligés de faire leur service militaire ? En quoi les jeunes générations de ces deux pays ennemis élevés dans la haine de l'autre ont encore le pouvoir de dire non et de bâtir un avenir de paix ? Troisième volet de notre série consacrée aux jeunesses du monde. Avec :• Françoise Dauce, sociologue, directrice de recherche à l'EHESS et directrice du Centre d'études des mondes russe, caucasien et centre-européen (CERCEC)• Max Laulom, journaliste et réalisateur du documentaire Kyiv est une fête sorti en mai 2024 et disponible gratuitement sur Youtube. Programmation musicale :► BosorKanya - Alina Pash ► Jump - Tyla feat Gunna feat Skilibeng.
Comment envisage-t-on l'avenir quand on est un jeune russe ou ukrainien ? Plus de deux ans après le début de l'invasion russe, comment vivent-ils leur jeunesse volée ? Et que pensent les jeunes Russes de la guerre en Ukraine ? De Kiev à Moscou : y a-t-il une fracture générationnelle face à cette guerre qui dure ? Qu'incarnent les figures de Poutine et de Zelensky pour les jeunes circonscris obligés de faire leur service militaire ? En quoi les jeunes générations de ces deux pays ennemis élevés dans la haine de l'autre ont encore le pouvoir de dire non et de bâtir un avenir de paix ? Troisième volet de notre série consacrée aux jeunesses du monde. Avec :• Françoise Dauce, sociologue, directrice de recherche à l'EHESS et directrice du Centre d'études des mondes russe, caucasien et centre-européen (CERCEC)• Max Laulom, journaliste et réalisateur du documentaire Kyiv est une fête sorti en mai 2024 et disponible gratuitement sur Youtube. Programmation musicale :► BosorKanya - Alina Pash ► Jump - Tyla feat Gunna feat Skilibeng.
Jacques Baud est un ancien colonel de l'armée Suisse, analyste stratégique et spécialiste du renseignement et du terrorisme. Il a également participé aux missions de l'OTAN en Ukraine de 2014 à 2017.
Tocsin est de retour pour couvrir l'actualité de la seconde partie de l'été ! Aujourd'hui, Valentin Schirmer reçoit le spécialiste du renseignement Éric Denécé pour décrypter cet été sous tension maximale au plan géopolitique.Iran/Israël, Russie/Ukraine, les conflits ne manquent pas et échappent parfois à la maîtrise des acteurs en présence ! Quel est jeu joue Netanyahou ? Quel rôle pour les Américains, aux prises avec leur échéance présidentielle ? Réponse dans cet entretien que vous ne verrez pas ailleurs ! Avec Éric Denécé, spécialiste du renseignement et directeur du CF2R (Centre français de recherche sur le renseignement).Pour retrouver les analyses du CF2R : https://cf2r.org/Pour découvrir toutes nos autres vidéos : https://www.youtube.com/@Tocsin-mediaPour soutenir Tocsin activement : https://www.tocsin-media.fr/message-important-aux-soutiens-de-tocsin/Pour nous faire vos remarques, vos demandes d'invités, vos problèmes etc : podcast.tocsin@gmail.comMerci pour votre soutient !#tocsin #liberte #politique #debat #alternatif #police #climat #justice #dictature #schirmer #denece #iran #israel #conflits #palestine #guerre #ukraine #russie #etatsunis Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 02:00:21 - Les Matins d'été - par : Julie Gacon - .
« Ukraine/Russie : le bras de fer », titre Libération, « après dix jours d'incursion au-delà de leur frontière, les forces armées ukrainiennes confirment leur intention de porter la guerre en Russie », précise le quotidien français, qui voit dans cette initiative un « rééquilibrage », mais qui reste prudent : car « si cette avancée constitue bien une forme d'humiliation pour le Kremlin, et surtout pour les chefs militaires qui n'ont rien vu venir, elle ne signifie pas pour autant que les Russes sont défaits : ceux-ci ne cessent de progresser dans le Donbass ». Quelles sont les intentions de l'Ukraine ? Le Guardian cite un conseiller du président Volodymyr Zelensky, selon lequel l'incursion de Koursk « vise à persuader Moscou d'engager des discussions équitables sur sa guerre en Ukraine ». « Nous devons », ajoute-t-il, « infliger des défaites tactiques importantes à la Russie ». Newsweek, de son côté, a consulté les informations diffusées par les médias d'état russes, selon lesquels ce serait Volodymyr Zelensky, qui « serait tombé, dans un piège tendu par Vladimir Poutine ». Ainsi, nous dit-on, « Ria Novosti a écrit dans une tribune publiée une semaine après le lancement de l'opération de Kiev, que les "forces russes prenaient le contrôle de la situation". (...) La veille, le journal pro-Kremlin Tsargrad avait écrit que les brigades ukrainiennes étaient « tombées dans un piège » et avaient subi de lourdes pertes ».À lire aussiRussie: l'offensive ukrainienne dans la région de Koursk suscite de multiples interrogationsPourquoi ?Autre conflit dont la presse internationale se fait l'écho ce matin : la guerre à Gaza. C'est la Republica, en Italie, qui publie « le témoignage de Rita Baroud », « étudiante à Gaza, déplacée à Deir al-Balah », qui fait le compte de ses amis disparus. Comme Sarah, qui avait peur mais elle l'avait convaincue de la rejoindre dans le sud de la Bande de Gaza. « Je me souviens », dit-elle, « qu'elle était très heureuse. Elle avait acheté un jeu de société pour qu'on joue ensemble à son arrivée et elle avait aussi caché des boissons énergisantes qui me plaisaient. Mais soudain la ligne a été coupée... j'ai appris quelques heures plus tard que son corps avait été retrouvé sous les décombres ». Évoquant ses proches, Rita Baroud, oscille entre désespoir et questionnement : « Leur image reste gravée dans mon esprit, l'écho de leurs voix, leur souvenir qui ne me laissent aucune échappatoire. Je m'en souviens comme faisant partie de ma vie, comme faisant partie de mon âme », explique-t-elle. « Parfois, je me demande : pourquoi nous ? Pourquoi cette terre ? Pourquoi ces gens ? Pourquoi sommes-nous ceux qui devons vivre cette tragédie ? »Virage à gaucheEnfin, Kamala Harris occupe une nouvelle fois une large part de la presse internationale. La vice-présidente américaine a présenté hier son programme économique, celui qu'elle appliquerait si elle devient présidente. Un programme à destination des classes moyennes, elle a déclaré vouloir « réduire les coûts pour les familles américaines », nous dit le Washington Post, qui évoque notamment son « projet de crédit d'impôt de 6000 dollars par enfant pendant la première année de vie du bébé ». Le Wall Street Journal, lui, ne retient pas ses critiques : « Nous avons écrit vendredi que Kamala Harris allait probablement poursuivre en mieux le programme de reconstruction entamé par le président Biden, mais il s'avère que nous étions bien trop optimistes. Les priorités politiques énoncées par la vice-présidente sont bien pires, notamment son plan visant à imposer des contrôles sur le prix des aliments et des produits d'épicerie ». En Allemagne, die Welt n'est guère plus tendre, le quotidien évoque les « fausses promesses de Kamala Harris »... « au lieu de se concentrer sur les opportunités pour les travailleurs et les entrepreneurs qui travaillent dur, le programme de cette femme de 59 ans promet avant tout une chose : des dépenses sociales coûteuses et des interventions dans l'économie ». Enfin, le Monde parle d'un « virage à gauche », et d'une « sorte de rattrapage dans un pays qui fait progressivement de la couverture santé un droit, et augmente lentement la protection sociale ». Le quotidien français estime toutefois que les propositions de Kamala Harris sont faites « hors de tout cadrage budgétaire sérieux, alors que les déficits publics sont hors de contrôle ».À lire aussiPrésidentielle aux Etats-Unis: Kamala Harris présente son programme économique
durée : 01:59:53 - Les Matins d'été - par : Quentin Lafay - .
durée : 00:39:26 - L'Invité(e) des Matins d'été - par : Quentin Lafay - Sur le front de la guerre en Ukraine, l'armée russe avance inexorablement dans le Donbass. À l'arrière, la société civile ukrainienne résiste malgré les bombardements et dans l'attente des livraisons d'armes des Occidentaux. - invités : Elsa Vidal Rédactrice en chef de la rédaction en langue russe de RFI ; Tetyana Ogarkova Journaliste et politiste, responsable du département international à l'Ukraine Crisis Media Center; Alexandra Goujon Maîtresse de conférences à l'Université de Bourgogne, enseignante à Sciences Po Paris et spécialiste de l'Ukraine et de la Biélorussie
L'émission 28 Minutes du 23/07/2024 Écrivain de renom, deuxième Prix Goncourt le plus vendus de l'histoire avec “L'Anomalie”, Hervé Le Tellier a repris sa plume pour célébrer la vie d'un inconnu. Sur les murs de sa maison de campagne, sous un carré de céramique, l'auteur découvre le nom d'un certain André Chaix. Au gré d'allers-retours entre chez lui et la boulangerie du village, il se retrouve de nouveau devant le nom de l'homme, cette fois-ci gravé sur un monument aux morts. Alors que 2024 signe le centenaire de la naissance de ce résistant qu'a priori rien ne distingue des milliers d'autres héros tombés pour la France, Hervé Le Tellier décide de s'atteler à un véritable travail d'archives. De cette rencontre fortuite naît un roman, “Le nom sur le mur”, paru en avril 2024 chez Gallimard. “Je souhaitais d'une certaine façon célébrer un inconnu, m'interroger sur qui il était, repartir sur ses traces.” Hervé Le Tellier est notre Grand témoin.La journaliste et philosophe Anna Bonalume et le correspondant à Paris du quotidien suisse “Blick” Richard Werly, le rejoindront sur le plateau pour revenir sur deux faits d'actualité :Rassemblement national : peut-on tenir à l'écart le parti le plus représenté à l'Assemblée nationale ? Le RN a perdu ses deux vice-présidences et n'a obtenu aucun des 22 postes du bureau dans la nouvelle Assemblée. La cause d'un tel revirement ? Le fameux “cordon sanitaire”, stratégie politique utilisée afin d'empêcher le parti de prendre des positions de pouvoir au sein des institutions parlementaires. Une manœuvre qui soulève des questions sur le pluralisme et la représentation démocratique : les dix millions d'électeurs soutenant le parti d'extrême droite pourraient-ils en tirer la conclusion qu'ils sont des proscrits ?Arrêter la guerre pendant les jeux : un doux rêve ? Le mot est sur toutes les lèvres. La trêve olympique est une tradition originaire de Grèce antique visant à promouvoir la paix pendant les Jeux. Autre concept brandi par Emmanuel Macron cette semaine à quelques jours du coup d'envoi de Paris 2024 : “la trêve politique”, qui semble loin de faire l'unanimité dans le pays. Les syndicats font resurgir le spectre d'une grève en réponse à la non nomination d'un Premier ministre. Quant à la scène internationale, la présence d'athlètes olympiques israéliens, les propos de Gérald Darmanin sur la sécurité de leur délégation ainsi que les tensions Ukraine-Russie ne présagent aucun répit. La Une internationale est celle du magazine américain “Times” qui fait état du remplacement de Joe Biden par la vice-présidente Kamala Harris, qui a obtenu assez de soutiens pour incarner la nouvelle candidate du Parti démocrate.Dans la “Télé des autres”, Fanny Weil nous narre un apprentissage pas comme les autres ! À l'occasion des Jeux olympiques de Paris, les Américains ont décidé d'apprendre à parler le parisien… Décryptage.Retrouvez enfin nos deux chroniqueurs, Justin Morin et Marjorie Adelson ! 28 Minutes est le magazine d'actualité d'ARTE, présenté par Elisabeth Quin du lundi au jeudi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le vendredi et le samedi. Ce podcast est coproduit par KM et ARTE Radio. Enregistrement : 23 juillet 2024 - Présentation : Jean-Mathieu Pernin - Production : KM, ARTE Radio
durée : 02:00:25 - Les Matins d'été - par : Quentin Lafay - .
Le président ukrainien a proposé aux Russes de participer à un prochain sommet sur la paix. Depuis l'échec d'une tentative de pourparlers au début de la guerre, c'est la première fois que Volodymir Zelensky envisage des négociations avec Moscou sans poser de condition préalable. Une invitation qui intervient après le sommet organisé en Suisse au mois de juin 2024, en l'absence de la Russie et qui n'avait donné lieu à aucune avancée. Sur le terrain, les combats restent meurtriers, mais aucun des deux camps ne parvient à effectuer de percée décisive. Avec notre invitée : Christine Dugoin-Clément , analyste en Géopolitique, chercheure pour la Chaire risque de l'IAE Paris-Sorbonne et au CREOGN (Centre de Recherche de l'École des Officiers de la Gendarmerie nationale).
Près de 90 pays sont réunis, depuis hier samedi, autour de la table à l'occasion d'un Sommet pour la paix au Bürgenstock en Suisse, pour tenter de trouver une voie de sortie dans le conflit qui oppose l'Ukraine à la Russie. La cessation des hostilités est-elle possible après une proposition de fin de conflit de Moscou ? Pour en parler, Peer de Jong, est notre invité international. Ancien colonel des troupes de Marine et vice-président de l'Institut de formation Themiis, il est l'auteur de « Agir entre les lignes », aux éditions Mareuil. À lire aussiSommet pour la paix en Ukraine: depuis la Suisse, Volodymyr Zelensky s'affiche confiant
durée : 00:06:10 - Ukraine/Russie : Macron prêt à autoriser les ukrainiens à frapper le sol russe avec les missiles français
En Lituanie, le président sortant est bien parti pour être réélu, lors du second tour le 26 mai 2024. Gitanas Nauseda est arrivé dimanche 12 mai 2024 en tête du premier tour, avec 46% des suffrages. Il sera opposé à sa Première ministre Ingrida Simonyte, qui en a récolté 16%. Sur fond de menace russe, les électeurs semblent avoir choisi la stabilité, dans ce petit État balte situé entre la Biélorussie et l'enclave russe très militarisée de Kaliningrad. Plus globalement, ce sont les trois pays baltes, la Lituanie, la Lettonie et l'Estonie, qui craignent les ingérences russes et font front commun face à Moscou. Comment ces anciennes républiques soviétiques essaient-elles de contrer l'influence russe ? Quelles sont leurs similarités en termes de politique étrangère ? S'ils s'affichent unis, existe-t-il quelques points de désaccord ?Avec notre invité : Michel Foucher, géographe, ancien ambassadeur de France en Lettonie. Auteur de Ukraine-Russie, la carte mentale du duel, aux éditions Gallimard.
Au programme : Ukraine-Russie : quand la presse attaque la presse. / Faut-il envoyer des troupes en Ukraine ? Les "experts" se divisent. / Des propos de Donald Trump ont-ils été sortis de leur contexte ? / Le commissariat de La Courneuve attaqué. / Son bébé est en détresse respiratoire, il est refusé à l'hôpital... / L'Occident déboussolé : explications avec Jean-Loup Bonnamy.
Au programme : Ukraine-Russie : quand la presse attaque la presse. / Faut-il envoyer des troupes en Ukraine ? Les "experts" se divisent. / Des propos de Donald Trump ont-ils été sortis de leur contexte ? / Le commissariat de La Courneuve attaqué. / Son bébé est en détresse respiratoire, il est refusé à l'hôpital... / L'Occident déboussolé : explications avec Jean-Loup Bonnamy.
durée : 00:38:01 - Le Temps du débat - par : Emmanuel Laurentin - Depuis le début de l'invasion russe, des hackers au service de l'Ukraine lancent des attaques informatiques contre des sites russes. De son côté, la Russie a récemment intercepté une conversation de l'armée allemande sur la guerre en Ukraine. Quelle est la place du numérique dans cette guerre ? - invités : Kevin Limonier Maître de conférences à l'Institut Français de Géopolitique (Université Paris 8), directeur adjoint du centre de recherches GEODE et spécialiste du cyberespace russophone; Ranya Stamboliyska Experte en cybersécurité et diplomatie numérique, fondatrice de RS Strategy, société de conseils en Cybersécurité; Julien Nocetti Chercheur associé à l'IFRI, institut français des relations internationales et au centre géopolitique des technologies
durée : 00:11:11 - Les Enjeux internationaux - par : Guillaume Erner - Ce mardi, la stratégie de soutien à l'Ukraine était au cœur des débats parlementaires à l'Assemblée nationale. Des discussions qui résonnent directement sur le front ukrainien, où la question de l'aide militaire de l'Occident est centrale. - invités : Anne Nivat Grande reporter au Point
durée : 00:38:01 - Le Temps du débat - par : Emmanuel Laurentin - Depuis le début de l'invasion russe, des hackers au service de l'Ukraine lancent des attaques informatiques contre des sites russes. De son côté, la Russie a récemment intercepté une conversation de l'armée allemande sur la guerre en Ukraine. Quelle est la place du numérique dans cette guerre ? - invités : Kevin Limonier Maître de conférences à l'Institut Français de Géopolitique (Université Paris 8), directeur adjoint du centre de recherches GEODE et spécialiste du cyberespace russophone; Ranya Stamboliyska Experte en cybersécurité et diplomatie numérique, fondatrice de RS Strategy, société de conseils en Cybersécurité; Julien Nocetti Chercheur associé à l'IFRI, institut français des relations internationales et au centre géopolitique des technologies
Aujourd'hui dans "Punchline", Laurence Ferrari et ses invités débattent de la proposition d'Emmanuel Macron sur l'envoi de troupes armées sur le sol Ukrainien.
durée : 00:38:35 - Le Temps du débat - par : Emmanuel Laurentin - Deux ans après le début de l'invasion lancée par la Russie en Ukraine, l'identité des peuples semble s'être réaffirmée. Leçons patriotiques, intérêts renouvelés pour la langue et l'histoire du pays, comment la guerre relance-t-elle, en Ukraine et en Russie, le sentiment d'appartenance à la nation ? - invités : André Markowicz Traducteur, écrivain et spécialiste de littérature russe ; Sabine Dullin Historienne de la Russie, professeure en histoire contemporaine à Sciences Po Paris; Adrien Nonjon Chercheur à l'INALCO, spécialiste de l'histoire politique et culturelle de l'Ukraine et de l'espace post-soviétique
durée : 00:38:35 - Le Temps du débat - par : Emmanuel Laurentin - Deux ans après le début de l'invasion lancée par la Russie en Ukraine, l'identité des peuples semble s'être réaffirmée. Leçons patriotiques, intérêts renouvelés pour la langue et l'histoire du pays, comment la guerre relance-t-elle, en Ukraine et en Russie, le sentiment d'appartenance à la nation ? - invités : André Markowicz Traducteur, écrivain et spécialiste de littérature russe ; Sabine Dullin Historienne de la Russie, professeure en histoire contemporaine à Sciences Po Paris; Adrien Nonjon Chercheur à l'INALCO, spécialiste de l'histoire politique et culturelle de l'Ukraine et de l'espace post-soviétique
Retrouvez Arhur Meuriot, et ses invités pour revivre ensemble la semaine politique d'Europe 1, en collaboration avec Paris Match et Le JDD.
La parution de chaque tome des mémoires de Nicolas Sarkozy donne lieu à un plan comm' finement orchestré, fait d'entretiens et de bonnes feuilles ça et là. L'occasion pour l'ancien président de dérouler notamment ses vues sur la guerre en Ukraine.Le magazine Marianne est en kiosques et en ligne chaque jeudi."Le goût de la vérité n'empêche pas de prendre parti". Albert CamusMarianne TV : https://tv.marianne.net/Marianne.net : https://www.marianne.net/ Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Les journalistes et experts de RFI répondent également à vos questions sur la présidentielle au Gabon, sur la multiplication des initiatives pour la paix au Soudan et sur la carrière sportive de Benjamin Mendy. Gabon : une opposition unie derrière Alexandre Barro Chambrier ? Selon le Centre gabonais des élections, 27 dossiers ont été déposés pour la présidentielle du 26 août. Parmi eux, celui de l'ancien ministre Alexandre Barro Chambrier. Peut-il faire consensus au sein de l'opposition et s'imposer comme candidat unique ? Quelle stratégie compte-t-il employer pour battre le président sortant Ali Bongo ? Avec Sébastien Németh, journaliste au service Afrique de RFI. Soudan : une agitation diplomatique sans grand résultatAprès une réunion de l'IGAD en Éthiopie, une autre initiative pour favoriser le retour de la paix au Soudan a également eu lieu au Caire. Sur quoi ont débouché ces rencontres diplomatiques ? Avec Houda Ibrahim, journaliste au service Afrique de RFI.Ukraine/Russie : fin de l'accord sur les céréales La Russie a décidé de ne pas prolonger l'accord sur les céréales ukrainiennes. Quelles peuvent être les conséquences sur la sécurité alimentaire mondiale ? À quelles conditions le président russe Vladimir Poutine pourrait-il revenir sur sa décision ? Avec Olia Tayeb Cherif, responsable d'étude à la Fondation FARM, Fondation pour l'Agriculture et la ruralité dans le monde. Football : quel avenir pour Benjamin Mendy ? Le défenseur français Benjamin Mendy a été acquitté des accusations de viol et de tentative de viol qui pesaient contre lui. Quelles conséquences cette procédure longue de deux ans a-t-elle eues sur sa carrière ? Un retour au haut niveau, en club comme en sélection, est-il possible pour l'ancien joueur de Manchester City ? Avec Victor Missistrano, journaliste au service des sports de RFI.
Les journalistes et experts de RFI répondent également à vos questions sur les conséquences politiques de la mort de John Fru Ndi sur le SDF et les raisons pour lesquelles la Turquie refuse toujours l'entrée de la Suède dans l'OTAN. Guerre en Ukraine : les objectifs de la médiation africaineLes présidents Volodymyr Zelensky et Vladimir Poutine ont rejeté les propositions de paix présentées par leurs homologues africains (Cyril Ramaphosa, Macky Sall, Hakainde Hichilema et Azali Assoumani) lors de leur déplacement à Kiev et St-Pétersbourg. Quel intérêt ces chefs d'État avaient-ils à endosser le rôle de médiateur ? Ukraine-Russie : la mission africaine pouvait-elle faire la différence ? Sous le leadership du président sud-africain Cyril Ramaphosa, la médiation africaine composée de quatre chefs d'État (Afrique du Sud, Comores, Sénégal, Zambie) s'est rendue à Kiev et à Saint-Pétersbourg. Quels étaient leurs moyens de pression sur les belligérants ?Ukraine-Russie : pourquoi l'UA se désolidarise de la délégation africaine ?Une source interne à l'Union africaine a déclaré que les quatre chefs d'État sont allés en Ukraine et en Russie « en leurs noms propres. Ce n'est pas une mission de l'UA. Il faut que ce soit clair. » Pourquoi une telle mise au point ?Avec Claire Bargelès, correspondante de RFI à Johannesburg. Cameroun : quel avenir pour le SDF ? John Fru Ndi, « opposant historique » au président Paul Biya et leader du Social Democratic Front, est décédé le 12 juin 2023. Divisé, le SDF peut-il espérer survivre à la mort de son fondateur ? Qui serait en mesure de fédérer ce parti ? Avec le Docteur Aristide Mono, politologue, ancien chercheur en Sciences politiques.
Tous les jours, les journalistes et correspondants de RFI ainsi que des spécialistes répondent à vos questions sur l'actualité. Ce matin : Tunisie : à quand le rapatriement des premiers ressortissants sénégalais ? Par Charlotte Idrac, correspondante permanente de RFI à Dakar. Iran : mystérieux empoisonnements de jeunes filles. Par Nasser Etemadi, journaliste au service en langue persane de RFI. Ukraine-Russie : l'accord sur les céréales va-t-il être renouvelé ? Par Olia Tayeb Cherif, responsable d'étude à la Fondation FARM, Fondation pour l'Agriculture et la ruralité dans le monde. * Par téléphone : de France : 09 693 693 70 de l'étranger : 33 9 693 693 70 * Par WhatsApp : +33 6 89 28 53 64 N'OUBLIEZ PAS DE NOUS COMMUNIQUER VOTRE NUMÉRO DE TÉLÉPHONE (avec l'indicatif pays). Pour nous suivre : * Facebook : Rfi appels sur l'actualité * Twitter : @AppelsActu
INTERVIEW - L'historienne Virginie Girod reçoit le journaliste Charles Villeneuve, spécialiste des questions de défense et "grande voix" d'Europe 1, pour évoquer la guerre en Ukraine. Il y a un an en effet, le 24 février 2022, la Russie de Vladimir Poutine lance une offensive militaire sur le territoire de son voisin ukrainien. Dans la foulée, le président ukrainien Volodymyr Zelensky décrète la mobilisation générale suite à la violation de la souveraineté territoriale de son pays. Une offensive russe qui intervient huit ans après que Moscou ait annexé la Crimée en 2014 et soutenu la prise de contrôle des régions du Donbass par des séparatistes pro-russes. Un an après le début de la guerre en Ukraine, et au regard de l'Histoire, quelles leçons en tirer ? Quelles sont les réelles motivations de Vladimir Poutine ? Cette invasion russe a-t-elle renforcé l'OTAN ? Quelles sont les armes utilisées par les belligérants ? Le conflit peut-il encore durer pendant de long mois, voire des années ? Pour Charles Villeneuve, cette guerre est aussi l'occasion de rappeler que le duopole mondial hérité de la Guerre froide s'est éloigné de la Russie au profit de la Chine. Alors que la guerre se poursuit aux portes de l'Europe, cet expert nous apporte des éléments de compréhension face à un conflit en de nombreux points inédit. "Au Cœur de l'Histoire" est un podcast Europe 1 Studio.Sujets abordés : Guerre en Ukraine - Russie - invasion - OTAN - Vladimir Poutine - Volodymyr Zelensky - offensive militaire - souveraineté territoriale - Guerre froide - Europe - Etats-Unis - URSS - cobelligérant - Crimée
durée : 00:15:36 - Les Enjeux internationaux - par : Baptiste Muckensturm - Le blé est une ressource stratégique et la guerre en Ukraine a poussé la communauté internationale à établir un constat : une majorité de pays est en situation de forte dépendance envers deux géants, la Russie et l'Ukraine. Une guerre silencieuse que cet entretien se donne l'objectif d'analyser... - invités : Sébastien Abis Directeur du club DEMETER et chercheur associé à l'IRIS
Nos leaders mondiaux manquent de leadership, ce qui pourrait prolonger et agraver la guerre Ukraine-Russie, c'est un des sujets de RadioPirateLIVE aujourd'hui avec Jeff, Gerry et MisterWhite. Réjean Tremblay est avec nous pour parler des coupures chez Québecor et Jérome Blanchet-Gravel des québécois qui ont besoin de psychologues pour passer à travers la difficile épreuve de la fin de partage d'un compte... Netflix! Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Tous les jours, les journalistes et correspondants de RFI ainsi que des spécialistes répondent à vos questions sur l'actualité. Ce matin : Minusma : l'Allemagne se retire progressivement du Mali. Par Pascal Thibaut, correspondant de RFI à Berlin. Chine : la colère des salariés de l'usine géante d'iPhone. Par Stéphane Lagarde, correspondant permanent de RFI en Chine. Guerre en Ukraine : la nouvelle stratégie russe. Par Elsa Vidal, cheffe du service en langue russe de RFI. Iran : quel soutien occidental aux manifestants ? Par Firouzeh Nahavandi, professeure émerite à l'université libre de Bruxelles, spécialiste de l'Iran. * Par téléphone : de France : 09 693 693 70 de l'étranger : 33 9 693 693 70 * Par WhatsApp : +33 6 89 28 53 64 N'OUBLIEZ PAS DE NOUS COMMUNIQUER VOTRE NUMÉRO DE TÉLÉPHONE (avec l'indicatif pays). Pour nous suivre : * Facebook : Rfi appels sur l'actualité * Twitter : @AppelsActu
durée : 00:58:56 - Affaires étrangères - par : Christine Ockrent - En exclusivité pour France Culture, la 67e secrétaire d'État sous l'administration Obama a accordé un long entretien à Christine Ockrent. Elle revient sur ce qui bouscule l'actualité internationale. - invités : Bruno Tertrais Politologue spécialiste de l'analyse géopolitique et stratégique, et directeur adjoint de la Fondation pour la recherche stratégique.; Hillary Clinton Femme politique états-unienne