Podcasts about salaires

durée : 00:03:18 - La chronique d'Aymeric Lompret - Comme à son habitude, Aymeric Lompret surfe sur l'actualité pour une chronique pleine d'hilarité. Dans son viseur : Emmanuel Macron et son objectif d'atteindre les 5% de chômage. Selon le chroniqueur farceur, le président n'est pas derrière nous, mais derrière la France. Et il veut qu'elle bosse.

La part des femmes cadres a doublé en 40 ans. D'autres études observent que l'écart des salaires, entre les deux genres, diminue. Pourtant, depuis le 6 novembre à 11 h 25, les Françaises travaillent symboliquement, gratuitement, compte tenu des inégalités de salaire avec les hommes. Bien qu'i y ait eu des avancées notables, est-ce suffisant ? Pour en débattre, Martial You reçoit Dominique Carlac'h, membre du comité exécutif du MEDEF et présidente-fondatrice du réseau "Femmes du Medef" et Rébecca Amsallem, de la newsletter "Les Glorieuses". Du lundi au vendredi, la rédaction de RTL revient sur un fait marquant de l'actualité avec les reporters, les correspondants et les experts de RTL. Et chaque dimanche, dans "Focus Dimanche" Mohamed Bouhafsi donne la parole à ceux qui la font.

Le revenu universel est une somme fixe versée à tous les citoyens appartenant à l'État, et ce, sans s'acquitter de conditions ou de contreparties pour l'obtenir. Si vous préférez, un revenu sans travailler. L'idée, qui n'est pas neuve, revient un peu sur la sellette ces temps-ci, avec l'avènement des intelligences artificielles. D'où vient l'idée du revenu universel et surtout comment risque-t-il de s'imposer comme seule source de revenus une fois le travail éliminé par les machines? Avec Benoît Mercier et Charles Trahan Une production QUB Radio Novembre 2023Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr

La part des femmes cadres a doublé en 40 ans. D'autres études observent que l'écart des salaires, entre les deux genres, diminue. Pourtant, depuis le 6 novembre à 11 h 25, les Françaises travaillent symboliquement, gratuitement, compte tenu des inégalités de salaire avec les hommes. Bien qu'i y ait eu des avancées notables, est-ce suffisant ? Pour en débattre, Martial You reçoit Dominique Carlac'h, membre du comité exécutif du MEDEF et présidente-fondatrice du réseau "Femmes du Medef" et Rébecca Amsallem, de la newsletter "Les Glorieuses". Du lundi au vendredi, la rédaction de RTL revient sur un fait marquant de l'actualité avec les reporters, les correspondants et les experts de RTL. Et chaque dimanche, dans "Focus Dimanche" Mohamed Bouhafsi donne la parole à ceux qui la font.

La part des femmes cadres a doublé en 40 ans. D'autres études observent que l'écart des salaires, entre les deux genres, diminue. Pourtant, depuis le 6 novembre à 11 h 25, les Françaises travaillent symboliquement, gratuitement, compte tenu des inégalités de salaire avec les hommes. Bien qu'i y ait eu des avancées notables, est-ce suffisant ? Pour en débattre, Martial You reçoit Dominique Carlac'h, membre du comité exécutif du MEDEF et présidente-fondatrice du réseau "Femmes du Medef" et Rébecca Amsallem, de la newsletter "Les Glorieuses". Du lundi au vendredi, la rédaction de RTL revient sur un fait marquant de l'actualité avec les reporters, les correspondants et les experts de RTL. Et chaque dimanche, dans "Focus Dimanche" Mohamed Bouhafsi donne la parole à ceux qui la font.

Vendredi 17 novembre, les salaires, notamment leur hausse moyenne en 2024, ont été abordés par Valentine Ainouz, responsable de la stratégie taux chez Amundi Institute, Emmanuel Lechypre, éditorialiste économique à BFMTV, Christian Vito, professeur de finance à l'ESSEC, et Céline Piquemal-Prade, présidente de Piquemal Houghton Investments, reçus par Marc Fiorentino dans l'émission C'est Votre Argent sur BFM Business. Retrouvez l'émission le vendredi et réécoutez-la en podcast.

durée : 00:02:09 - Histoires économiques - Au Bangladesh, des centaines d'usines textile sont fermées sur fond de grève massive dans le secteur. Cela fait maintenant 15 jours que les ouvriers de la confection manifestent pour obtenir un triplement de leur salaire minimum. Il a été porté de 70 à 104 euros la semaine dernière…

Les grandes marques occidentales de la mode à bas coût vont-elles mettre la main au portefeuille pour couvrir la hausse des salaires décidée au Bangladesh ? C'est ce que réclament les patrons de l'industrie textile locale, après avoir accepté une augmentation de 60% du salaire minimum. Officiellement, H&M, Zara, Adidas et consorts sont les meilleurs amis des ouvriers bangladais. Dix-huit marques, pour la plupart américaines, ont écrit le mois dernier à la Première ministre Sheikh Hasina, appelant à « des négociations pacifiques pour fixer un salaire minimum couvrant les besoins fondamentaux des travailleurs ». Des vœux restés sans grand écho à Dacca.Le bras de fer a viré au bain de sang, avec quatre morts parmi les grévistes. Et beaucoup de déception parmi les ouvriers. Ils réclamaient un salaire minimum à 210 dollars par mois. Ils n'auront que la moitié à partir du premier décembre. C'est certes un bond de 60% par rapport au Smic inchangé depuis cinq ans, mais bien loin du compte pour compenser la perte du pouvoir d'achat engendrée par cette stagnation des salaires et surtout par l'inflation.NégociationsAu-delà de la compassion, les grandes marques vont-elles mieux rémunérer leurs fournisseurs pour couvrir la hausse des salaires ? Personne n'y croit vraiment. Les industriels bangladais sont parmi les plus sceptiques. Ils savent par expérience qu'au moment de négocier un contrat, leurs donneurs d'ordre sont les premiers à exiger des ristournes. Surtout dans le contexte actuel de crise rampante du secteur.À lire aussiBangladesh: face aux revendications salariales, les industriels du vêtement ferment les usinesLe mois dernier, les exportations textiles du Bangladesh ont chuté de 14%. Cette hausse des salaires les rend particulièrement fébriles. Ils parlent déjà d'un désastre pour les 4 000 usines du pays et leurs quatre millions d'employés.Salaires décents ?Le modèle économique de la mode à bas coût repose sur les bas salaires des pays du Sud. Mais dans cette partie du monde, l'échelle des bas salaires est relativement ouverte. Au Vietnam ou au Cambodge, les salaires du textile sont deux à trois fois plus élevés qu'au Bangladesh.Pour décrocher son podium de numéro deux mondial du textile, derrière la Chine, le Bangladesh a écrasé les salaires des ouvrières du textile. Ils sont aujourd'hui parmi les plus bas au monde, juste au-dessus de ceux du Pakistan et du Myanmar. Leur revalorisation ne remettra pas en cause le modèle économique de la fast fashion, mais il implique des profits moindres pour les fournisseurs comme pour les donneurs d'ordre.Le labeur des forçats de la mode représente 10% des coûts des industriels bangladais et seulement 1% du prix final en magasin. Les grandes marques sont donc les mieux placées pour contribuer à la hausse des salaires.On voit mal qui peut contraindre ces marques, excepté leurs clients. S'ils se mobilisent en faveur des ouvriers bangladais, elles y seront fortement incitées. Mais contrairement à ce qu'il s'est passé il y a dix ans au moment de l'incendie du Rana Plaza, leur cause du moment n'a pas encore ému les consommateurs occidentaux.

durée : 00:58:56 - Entendez-vous l'éco ? - par : Tiphaine de Rocquigny - Depuis le lundi 6 novembre 2023, les Françaises travaillent gratuitement. Bien que les lois, actions et campagnes de communication se multiplient en France pour les réduire, les inégalités salariales femmes-hommes perdurent. A qui la faute ? Et comment y remédier ? - invités : Alexandra Roulet Économiste et professeure à l'INSEAD Business School; Haude Rivoal Sociologue associée au CNAM-CEET (Centre d'Études sur l'Emploi et le Travail) et au CRESPPA (Centre de Recherches sociologiques et politiques de Paris).; Marion Leturcq Chargée de recherche à l'Institut national des études démographiques (Ined) et chercheuse affiliée à l'Institut des politiques publiques

Ce vendredi 3 novembre, la participation des ouvriers de l'industrie textile à un mouvement de contestation qui secoue le Bangladesh, en Asie du Sud, a été abordée par Laura Cambaud dans sa chronique, dans l'émission Good Morning Business, présentée par Laure Closier et Erwan Morice, sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.

durée : 00:02:57 - Un monde d'avance - Au Bangladesh, plusieurs milliers de salariés de l'industrie textile ont subitement quitté leur poste, le lundi 30 octobre. Deux ouvriers ont par la suite trouvé la mort dans des affrontements avec les forces de l'ordre et une quarantaine d'usines ont été endommagées.

durée : 00:16:40 - Les informés de l'éco - Tous les samedis, deux économistes débattent des sujets qui marquent l'actualité économique et sociale.

Les salaires montent moins que l'inflation, sont-ils pour autant une menace pour le retour à l'objectif de 2% d'inflation ? Comment contribuent-ils à l'engrenage de l'inflation ? Éléments de réponse avec Denis Ferrand, directeur général de l'institut Rexecode. Ecorama du 24 octobre 2023 présenté par Aude Kersulec sur Boursorama.com

Cécile Neven, la nouvelle patronne de l'Union wallonne des entreprises, a choisi Le Brief pour l'une de ses premières sorties médiatiques depuis sa nomination. C'était l'occasion pour elle de poser un jugement sur l'action des gouvernements wallon et fédéral, à la veille d'une période qui s'annonce peut-être un peu léthargique sur le plan politique, avant et surtout après les élections.  Une paralysie des gouvernements serait évidemment inquiétante, selon Cécile Neven. Parce qu'il reste encore du temps pour avancer et faire avancer des dossiers qui en ont besoin, comme celui de l'emploi et de la réforme des systèmes d'accompagnements. Ou celui des infrastructures énergétiques pour assurer la transition à long terme.  Emploi, énergie sont deux préoccupations majeures des entreprises. L'inflation et l'indexation des salaires aussi. Une indexation qui ne doit pas rester un tabou en Belgique. Au contraire. "Elle doit être à l'agenda. Il faut pouvoir en rediscuter. C'est un véritable handicap compétitif pour nos entreprises", affirme la patronne de l'UWE.  Le Brief, le podcast matinal de L'Echo  Ce que vous devez savoir avant de démarrer la journée, on vous le sert au creux de l'oreille, chaque matin, en 7 infos, dès 7h. Le Brief, un podcast éclairant, avec l'essentiel de l'info business, entreprendre, investir et politique. Signé L'Echo. Abonnez-vous sur votre plateforme d'écoute favorite Apple Podcast | Spotify | Podcast Addict l Castbox | Deezer | Google PodcastsSee omnystudio.com/listener for privacy information.

Ecoutez Lenglet-Co du 20 octobre 2023 avec François Lenglet.

La manifestation en soutien à la Palestine, organisée jeudi soir à Paris, a été autorisée à la dernière minute, par la justice après avoir été interdite par la préfecture. Selon Arlette Chabot, tout cela n'est pas souhaitable. Elle dit que préserver l'unité nationale dans les conditions de terrorisme est presque une mission impossible. Le phénomène de smicardisation de la société est de plus en plus inquiétant. D'après Nicolas Bouzou, travailler plus et travailler mieux ne sert plus à grand-chose. Il pense que si on veut revaloriser le travail, il faut aussi donner les moyens aux entreprises de payer correctement les salariés. Le héros dans la famille Nétanyahou est Yoni Nétanyahou, membre de Tsahal. Il a été tué en 1976 lors du détournement du vol Paris-Tel Aviv, détourné sur Ouganda Entebbe. Lors de la prise d'assaut par son unité d'élite, les 100 otages ont été libérés et Yoni a été le seul tué dans l'opération. Le Premier ministre Benyamin Nétanyahou est de plus en plus critiqué. Catherine Jentile se demande si après la guerre, il va toujours garder sa place. Du lundi au vendredi, à partir de 18h, David Pujadas apporte toute son expertise pour analyser l'actualité du jour avec pédagogie.

Parmi les Français les plus ouverts sur le sujet du salaire, 61 % sont des jeunes de 18-34 ans. Pourquoi les jeunes n'ont plus de tabous lorsqu'il s'agit d'évoquer le salaire ? Explications avec Aude Vernuccio et ses invités dans ce nouvel épisode de "Focus". Du lundi au vendredi, la rédaction de RTL revient sur un fait marquant de l'actualité avec les reporters, les correspondants et les experts de RTL. Et chaque dimanche, dans "Focus Dimanche" Mohamed Bouhafsi donne la parole à ceux qui la font.

Inscrivez-vous au webinaire du lancement de la formation Yaniro pour un max de cadeaux exclusifs : Ici (places limitées ! )Bienvenue dans le podcast du HUMAN FACTOR by YANIRO, je m'appelle Alexis Eve et tous les mercredis je vais à la rencontre des Startups les plus véloces pour rentrer en détails dans les bonnes pratiques RH qui leur permet de faire du Facteur Humain un levier de croissance plutôt qu'un risque ! Le Human Factor ce n'est pas qu'un Buzzword, c'est aussi le nom de notre premier livre !Les clés de l'alignement entre associé.e.s, d'une organisation adaptée ou encore de la bonne relation à son travail, The Human Factor c'est 100 pages de retours terrain des plus belles startups et de bonnes pratiques actionnables.Vous pouvez retrouver Manu sur LinkedinSite web de Shine : https://www.shine.fr/Ressources recommandées par Manu : Le livre Thinkertoys : A Handbook of Creative-Thinking Techniques de Michael Michalko Le livre Travailler moins pour vivre mieux - Guide pour une philosophie antiproductiviste de Céline Marty Le podcast SaaStr de Jason Lemkin Outils recommandés par Manu :Figures de Virgile Raingeard

Salaires en hausse, coût de financement au plus haut, rebondissement des prix de l'énergie : de nombreux vents contraires pourraient venir perturber la saison des publications de résultats, des deux côtés de l'Atlantique, et qui vient de démarrer à Wall Street. En conséquence, les perspectives financières pourraient être revues à la baisse. L'analyse de Laurens Lafont, rédacteur en chef de la lettre d'investissement Propos Utiles. Ecorama du 18 octobre 2023, présenté par David Jacquot sur Boursorama.com

Ce mardi, sur Europe 1, Nicolas Bouzou revient sur l'ouverture par la Première ministre de la Conférence sociale sur les bas salaires, le retour du dialogue entre le gouvernement et les syndicats après la séquence de le réforme des retraites. 

durée : 00:04:14 - Le Billet politique - par : Jean Leymarie - La conférence sociale s'est achevée sans résultat majeur. Les syndicats et le gouvernement peuvent-ils s'entendre ? Le débat sur les salaires aura-t-il lieu ?

Ce mardi, sur Europe 1, Nicolas Bouzou revient sur l'ouverture par la Première ministre de la Conférence sociale sur les bas salaires, le retour du dialogue entre le gouvernement et les syndicats après la séquence de le réforme des retraites. 

Ce lundi 16 octobre 2023 démarre la conférence sociale sur les bas salaires. Organisée par le gouvernement avec le patronat et les syndicats, ce rendez-vous a pour objectif de rehausser les grilles de salaire commençant sous le smic. Alors combien de branches sont concernées ? Comment lutter contre le phénomène de la trappe à bas salaires ? Quelles sont les propositions de cette conférence sociale ? Explications de Nérissa Hemani, journaliste au service social et économique de RTL. "Tout savoir sur" est le podcast de la rédaction RTL. Du lundi au vendredi, un journaliste décrypte une actualité marquante de la journée.

Ce lundi 16 octobre 2023 démarre la conférence sociale sur les bas salaires. Organisée par le gouvernement avec le patronat et les syndicats, ce rendez-vous a pour objectif de rehausser les grilles de salaire commençant sous le smic. Alors combien de branches sont concernées ? Comment lutter contre le phénomène de la trappe à bas salaires ? Quelles sont les propositions de cette conférence sociale ? Explications de Nérissa Hemani, journaliste au service social et économique de RTL. "Tout savoir sur" est le podcast de la rédaction RTL. Du lundi au vendredi, un journaliste décrypte une actualité marquante de la journée.

Ecoutez Lenglet-Co du 16 octobre 2023 avec François Lenglet.

Ce lundi 16 octobre, les enjeux de la conférence sociale sur les bas salaires ont été abordés par Nicolas Doze dans sa chronique Doze d'économie dans l'émission Tout pour investir présentée par Lorraine Goumot sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.

Ce vendredi 13 octobre, les principaux problèmes liés à l'augmentation des salaires, de la restauration de la productivité des employés, qui est en baisse, ainsi que le rôle de l'État dans cette hausse, ont été abordés par Jean-Marc Vittori, éditorialiste aux Echos, Camille Landais, président du Conseil d'Analyse Économique, et Denis Payre, président de Nature & People First, dans l'émission Les Experts, présentée par Nicolas Doze sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.

Ce jeudi 12 octobre, les salaires et le pouvoir d'achat qui seraient trop élevés ont été abordés par Patrick Artus, conseiller économique de Natixis, Augustin Landier, professeur à HEC, et Gaël Sliman, président d'Odoxa, dans l'émission Les Experts, présentée par Nicolas Doze sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.

Ce jeudi, sur Europe 1, Nicolas Bouzou revient sur les hausses de salaire et sur le retour du pouvoir d'achat. 

Ce jeudi, sur Europe 1, Nicolas Bouzou revient sur les hausses de salaire et sur le retour du pouvoir d'achat. 

durée : 00:03:26 - Sous les radars - par : Sébastien LAUGENIE - Ils accusent le groupe polonais qui les emploie de ne pas leur verser à temps leurs payes.

durée : 00:03:26 - Sous les radars - par : Sébastien LAUGENIE - Ils accusent le groupe polonais qui les emploie de ne pas leur verser à temps leurs payes.

Ce lundi 25 septembre, Éric Heyer, directeur du département analyse et prévision à l'OFCE, Nathalie Janson, professeur à Neoma Business School, et Christian Parisot, économiste et conseiller auprès d'Aurel BGC, ont parlé du changement de comportements à adopter face à l'inflation, dans l'émission Les Experts, présentée par Nicolas Doze sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.

Vendredi 22 septembre, la hausse des salaires, une bonne nouvelle pour la consommation et l'économie, a été abordée par Sébastien Lalevée, directeur général de la Financière Arbevel, Jean-Marc Daniel, économiste, professeur émérite à ESCP Business School, Anne-Sophie Alsif, cheffe économiste de BDO France, professeure d'économie à la Sorbonne, et Éric Lewin, rédacteur en chef des Publications Agora, reçus par Marc Fiorentino dans l'émission C'est Votre Argent sur BFM Business. Retrouvez l'émission le vendredi et réécoutez-la en podcast.

durée : 00:15:44 - Journal de 8 h - La CGT a déposé un préavis de grève jusqu'au 31 octobre. Le syndicat rejoint les greffiers qui déplorent un manque de reconnaissance.

durée : 00:15:44 - Journal de 8 h - La CGT a déposé un préavis de grève jusqu'au 31 octobre. Le syndicat rejoint les greffiers qui déplorent un manque de reconnaissance.

durée : 00:15:44 - Journal de 8 h - La CGT a déposé un préavis de grève jusqu'au 31 octobre. Le syndicat rejoint les greffiers qui déplorent un manque de reconnaissance.

Journée spéciale sur les salaires en France sur RTL. Martial You a souvent réclamé que les entreprises prennent le relais de l'État et augmentent les salaires en raison de l'inflation. Elles l'ont fait.

durée : 00:04:22 - Le Biais d'Esther Duflo - par : Esther Duflo - Les prix ont augmenté. Mais, les salaires ont aussi augmenté, bien que moins rapidement. Le pouvoir d'achat a, certes, diminué, mais moins que l'inflation. La situation est donc moins catastrophique que la représentation qu'en font certains médias.

Ce jeudi, sur Europe 1, Nicolas Bouzou revient sur l'appel aux dons lancé par les associations caritatives comme les Restos du cœur ou la Croix rouge. 

Ce jeudi, sur Europe 1, Nicolas Bouzou revient sur l'appel aux dons lancé par les associations caritatives comme les Restos du cœur ou la Croix rouge. 

Ce mardi 5 septembre, l'exclusion d'une réindexation des salaires sur l'inflation par Bruno Le Maire au terme de la conférence sociale, au recul de la production de crédit immobilier en un an et à la forte présence des constructeurs chinois ou ceux qui produisent en Chine au Salon de l'automobile de Munich, a été abordée par Gilles Raveaud, maître de conférence à l'Institut d'Etudes Européennes de Paris 8 Saint-Denis, Guillaume Dard, président de Montpensier Finance, et Stéphane Van Huffel, cofondateur de Netinvestissement, dans l'émission Les Experts, présentée par Nicolas Doze sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.

Ce mardi 5 septembre, Nicolas Doze a reçu Gilles Raveaud, maître de conférence à l'Institut d'Études Européennes de Paris 8 Saint-Denis, Guillaume Dard, président de Montpensier Finance, et Stéphane Van Huffel, cofondateur de Netinvestissement, dans l'émission Les Experts sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.

Voici l'épisode 445 de "la quotidienne iWeek" en ce mardi 29 août 2023 ! Abonnez-vous : c'est gratuit ! Apple officialise la keynote du 12 septembre 2023. Présentation : Benjamin VINCENT (@benjaminvincent) + Gilles Dounès (@gdounes). Production : OUATCH Audio. Tags : iPhone 15 et Apple Watch Series 9 : c'est pour dans 14 jours ! ; le périscope fera-t-il passer la pilule ? ; brevet AR dans le monde réel ; Google, plus généreux qu'Apple, avec les jeunes ingénieurs ; cookies Ted Lasso : on a des biscuits ! Bonne découverte de "la quotidienne iWeek" si vous nous écoutez pour la première fois, parlez de nous autour de vous, retweetez-nous (@iweeknews), bonne journée, bonne écoute et à demain ! Benjamin VINCENT et la team #iweekLQI PS1 : rejoignez la communauté iWeek sur patreon.com/iweek et bénéficiez de bonus exclusifs ! PS2 : retrouvez-nous aussi pour "iWeek (la semaine Apple)", notre podcast hebdo, chaque milieu de semaine. PS3 : l'épisode 150 d'iWeek (la semaine Apple), le premier de la saison 4, est disponible. Bonne écoute !

Ce mardi 29 août, une étude concernant les salaires des enseignants français et la situation de l'épargne des ménages en France, ont été abordées par Olivier Babeau, président de l'Institut Sapiens, Philippe Askenazy, économiste au CNRS, et Nicolas Bouzou, fondateur du cabinet d'analyse économique et de conseil Asterès, dans l'émission Les Experts, présentée par Nicolas Doze sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.

À Taïwan, la problématique du prix de l'immobilier s'invite dans la campagne des élections présidentielles de janvier prochain. Elle est la 21ᵉ économie mondiale. Mais, à Taipei, la capitale, le rapport entre les salaires et le prix de l'immobilier est parmi les plus élevés au monde. Sous un soleil de plomb, ils sont des dizaines de milliers réunis devant le palais présidentiel de Taïwan ce dimanche 6 août. « Justice en matière de logement » est le mot d'ordre du mouvement. « À Taïwan, nos salaires sont assez faibles, et tout notre argent part dans l'immobilier. Si tu veux acheter un logement, tu dois t'endetter pour au moins 40 ans ! Je pense que le logement est un droit fondamental. Il ne devrait pas y avoir autant de gens qui spéculent dessus », déclare Jonas, ingénieur de 33 ans.À Taipei, le prix de l'immobilier rivalise avec celui des plus grandes capitales mondiales. Mais à 750 euros par mois, le salaire minimum ne suit pas. Résultat, la moitié des Taïwanais âgés de 25 à 40 ans vivent encore chez leurs parents, comme Abby, 37 ans, consultante en économie : « J'ai voté pour le parti au pouvoir lors des deux dernières élections. Je pense que leur politique en matière de relation internationale est très bien. Mais le problème, c'est que les questions sociales sont négligées. Mon petit frère a acheté un appartement, car il a un enfant, mais il a du mal à joindre les deux bouts. »« Les prix augmentent constamment »Depuis les années 1990, les associations dénoncent le problème, mais l'écart entre les salaires et les prix de l'immobilier a presque triplé et le taux de natalité, lui, est en chute libre. « La principale raison, c'est la fiscalité. La taxe sur la propriété est extrêmement basse, donc les gens investissent beaucoup d'argent dans l'immobilier et les prix augmentent constamment. La conséquence, c'est que les jeunes laissent tomber et habitent avec leurs parents pendant très longtemps et cela veut dire que tu ne peux pas avoir de famille et pas d'enfant », affirme Allen Chan, chercheur au sein du collectif Ours.Élu en 2016, le Parti démocrate progressiste avait promis de s'attaquer au problème. Mais dans les faits, hors de question de modifier les règles du jeu, et notamment la fiscalité. 80% de propriétaires, c'est aussi autant d'électeurs inquiets de voir leurs biens perdre de la valeur. Pour le ministre-adjoint de l'intérieur, Ching-Chun Hua, « certaines ONG voudraient que le gouvernement fasse quelque chose pour réduire les prix de l'immobilier très rapidement. Mais ce n'est pas bon pour l'économie ». Il ajoute  : « Nous voulons que le marché soit stable. Un marché stable, c'est mieux pour les propriétaires et c'est mieux pour l'économie taïwanaise. »Cette inaction pourrait coûter cher au Parti démocrate progressiste lors des élections présidentielles de janvier prochain. Selon de récents sondages, seuls 20% des moins de 30 ans souhaitent voter pour son candidat. À lire aussiLe marché de l'immobilier plombé par la hausse des taux

Cette semaine dans Splash, notre journaliste Robin Lemoine s'intéresse à l'indexation des salaires sur l'inflation. Face à l'augmentation généralisée des prix et à la colère sociale qui en découle, certain·es politiques et économistes défendent l'indexation des salaires sur l'inflation. Suite au choc pétrolier de 1970, cette mesure a été supprimée en France. Elle subsiste cependant en Belgique et certain·es syndicalistes et politiques envient leur modèle. Pour comprendre le fonctionnement de l'indexation et ses limites, Robin s'entretient avec Eric Heyer, économiste à l'Observatoire Français des conjonctures économiques et membre du Haut conseil des finances publiques et Philippe Defeyt, économiste belge à l'institut pour un développement durable. Pourquoi avons-nous arrêté, en France, d'indexer les salaires sur l'inflation ? A quoi ressemble ce mécanisme en Belgique ? Quelles sont les limites de l'indexation des salaires ? Dans un contexte européen, quelles seraient les conséquences d'une telle mesure ? Splash est un podcast produit par Nouvelles Écoutes Écrit et animé par Robin Lemoine Chargée de production : Mathilde Joninavec l'aide de Xavier KamakyPrise de son, montage, et mixage : Adrien Beccaria à l'Arrière Boutique StudioDirectrice des productions : Marion Gourdon

Le Bureau de la concurrence est un organisme d'application de la loi indépendant qui protège et favorise la concurrence au profit des consommateurs et des entreprises canadiennes. La concurrence entraîne une baisse des prix et l'innovation tout en alimentant la croissance économique. Le Bureau de la concurrence s'emploie à soutenir et à protéger les Canadiens en favorisant un marché concurrentiel et innovateur. Pour ce faire, ils utilisent diverses méthodes, notamment le promotion, la sensibilisation, les consultations, les partenariats et l'application de la loi. En juin 2022, le gouvernement du Canada a apporté des modifications à la Loi sur la concurrence, notamment en ajoutant le paragraphe 45(1.1) aux dispositions existantes sur les complots criminels. Ce nouveau paragraphe protège la concurrence sur les marchés du travail en interdisant les accords entre employeurs pour fixer les salaires et restreindre la mobilité professionnelle. À l'instar des accords entre concurrents concernant la fixation des prix, la répartition des marchés et les restrictions de production, les accords de fixation des salaires et de non-débauchage minent la concurrence et l'allocation efficace des ressources. Le maintien et l'encouragement de la concurrence entre les employeurs se traduisent par des salaires et traitements plus élevés, ainsi que par de meilleurs avantages sociaux et opportunités d'emploi pour les employés. Aujourd'hui, nous rencontrons Majid Charania, directeur de la conformité. L'unité est chargée de promouvoir le respect de la Loi sur la concurrence et aujourd'hui, ​nous allons discuter d'une nouvelle disposition législative qui porte sur les accords de fixation des salaires et de non-débauchage. Lignes directrices sur l'application de la loi concernant les accords de fixation des salaires et de non-débauchage: https://ised-isde.canada.ca/site/bureau-concurrence-canada/fr/comment-nous-favorisons-concurrence/education-sensibilisation/lignes-directrices-lapplication-loi-concernant-accords-fixation-salaires-non-debauchage Formulaire de plainte du Bureau de la concurrence: https://www.bureaudelaconcurrence.gc.ca/eic/site/cb-bc.nsf/frm-fra/GH%c3%89T-7TDNA5 Centre d'information du Bureau de la concurrence – demande d'information: https://www.bureaudelaconcurrence.gc.ca/eic/site/cb-bc.nsf/frm-fra/GH %c3%89T-7SEN3J Ressources du Bureau et médias sociaux: https://twitter.com/Burconcurrence https://www.facebook.com/bureaudelaconcurrencecanada https://linktr.ee/bureau_ressources ​    

Ce mercredi 19 juillet, la menace d'une boucle prix-salaires pour ce deuxième semestre, ainsi que les enjeux de l'effort global demandé par le gouvernement aux Français en 2024 pour réduire la dette, ont été abordés par Sylvain Orebi, président d'Orientis et de Kusmi Tea, Mathieu Plane, directeur adjoint du département analyse et prévision de l'OFCE, et Gilbert Cette, professeur d'économie à Neoma Business School, dans l'émission Les Experts, présentée par Nicolas Doze sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.

Le MEDEF a accueilli son nouveau patron. Si les femmes sont de plus en plus représentées au sein des entreprises, elles peinent toujours à s'imposer au niveau salarial mais aussi sur les postes à responsabilité.