Commune in Bourgogne-Franche-Comté, France
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Lumière sur le festival Cluny Danse ! Tout est dans le nom : la ville de Cluny, située en Saône-et-Loire, dansera dans les rues du 16 au 18 mai. Durant ces trois jours, on pourras retrouver des des amateur.rices et des professionnel.elles de la danse. Il y aura aussi des ateliers. Bref de quoi nous mettre en joie et de se laisser aller. Celui qui n'attend que ça, c'est le co-programmateur du festival : Frédéric Cellé.
Avec Bruno et soeur Christiane Gervais
Holy Thursday Saint of the Day: St. Robert of Chaise Dieu; 11th Century Benedictine abbot and founder, born in Auvergne, France; after becoming a priest and canon of St. Julian’s in Brioude, he founded a hospice; he then gave himself over to the spiritual direction of St. Odilo at Cluny, France; after making a pilgrimage to Rome, he was moved to give up his life at Cluny and to settle near Brioude; there he attracted followers and built the abbey of Casa Dei to house the burgeoning community of three hundred monks; St. Robert died in 1067 Office of Readings and Morning Prayer for 4/17/25 Gospel: John 13:1-15
“Berserk & Pyrrhia” Art contemporain et art médiévalLe Plateau Frac Île-de-France, Paris et aux Réserves, Romainvilledu 22 mars au 20 juillet 2025Entretien avec Camille Minh-Lan Gouin, commissaire associée de l'expositionpar Anne-Frédérique Fer, à Paris, le 15 avril 2025, durée 17'23,© FranceFineArt.https://francefineart.com/2025/04/28/3613_berserk-pyrrhia_le-plateau-frac-ile-de-france/Commissaire Céline PoulinCommissaire associée Camille Minh-Lan GouinConseiller scientifique Michel Huynh, conservateur général, musée de Cluny – musée national du Moyen ÂgeL'imagerie d'heroic fantasy moyenâgeuse de la pop culture habite les univers des artistes d'aujourd'hui et le regard décentré de l'humain qui y règne leur ouvre un autre abord du futur. L'exposition Berserk & Pyrrhia, présentée au Plateau et aux Réserves du 22 mars au 20 juillet, rend visible la circulation des images médiévales et leur appropriation postérieure et fait se rencontrer l'art médiéval et l'art contemporain. Cette double exposition s'inscrit dans le cadre du projet territorial du même nom, impliquant plusieurs lieux partenaires en Île-de-France. L'exposition est réalisée en collaboration avec le musée de Cluny – musée national du Moyen Âge.L'image du berserker, guerrier légendaire, a enfanté nombre de rejetons au cinéma, dans les jeux vidéo, les mangas ou le rap. Dans de nombreux mythes, le berserker est connecté à la terre, à l'animalité, avançant sans armure. Dans l'oeuvre de Kentarō Miura, c'est par son armure que Guts devient un berserker. Les dessins magistraux qui animent l'histoire de ce manga sont gorgés de références médiévales européennes, qu'elles soient directes ou inspirées de chefs-d'œuvre du XIXe siècle médiévaliste, aux teintes noires et obscures. Pyrrhia, lui, est un papillon qui a donné son nom à une île imaginaire, décrite dans les livres Les Royaumes de feu (Tui T. Sutherland), où règnent des dragons doués de raison, dépeuplée d'humains, on y croise pourtant de petits êtres marchant sur deux pattes avec une touffe de poils sur la tête, nommés charognards. Plus précisément, ce papillon Pyrrhia umbra est aussi appelé “La Chrysographe”, noms des écrivains réalisant les enluminures dans les grimoires.Cette imagerie d'heroic fantasy moyenâgeuse de la pop culture habite les univers des artistes d'aujourd'hui. Le regard décentré de l'humain qui y règne leur ouvre un autre abord du futur. Dans les oeuvres contemporaines exposées au Plateau et aux Réserves, le retour à la terre, les paraboles magiques ou les cabanes de paille, les animaux et insectes humanisés, enchantés ou maléfiques, apparaissent tour à tour comme des fantasmes ou des craintes dans un monde noyé d'incertitudes. L'apocalypse, motif récurrent de l'art médiéval, et son bestiaire monstrueux ou rêvé ne sont pas en reste. L'amour, l'amitié et les relations sociales s'imprègnent de ces modèles anciens distordus par le regard contemporain. Le plaisir de la récupération et du do it yourself s'impose pour des matériaux moins polluants et plus responsables.[...] Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 00:58:48 - Le Cours de l'histoire - par : Xavier Mauduit, Maïwenn Guiziou - Au Moyen Âge, les livres sont partout dans Notre-Dame de Paris. En quoi les bibliothèques de la cathédrale sont-elles le reflet de son histoire ? Retour sur l'impact des grands événements historiques sur les collections de manuscrits et les imprimés conservées à Notre-Dame de Paris. - réalisation : Thomas Beau, Sam Baquiast - invités : Émilie Cottereau-Gabillet Maîtresse de conférences en histoire médiévale à l'Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne, spécialiste des copistes français aux 14e et 15e siècles; Séverine Lepape Directrice du musée de Cluny - musée national du Moyen Âge; Yann Sordet Conservateur général, directeur des bibliothèques Mazarine et de l'Institut de France
durée : 00:58:12 - Le Cours de l'histoire - par : Xavier Mauduit, Maïwenn Guiziou - En 1163, la première pierre de Notre-Dame de Paris est posée par le pape Alexandre III. Des centaines de tailleurs et de maçons travaillent jour et nuit les blocs de la cathédrale pour lui donner vie. De la voûte aux sculptures, que nous racontent les pierres de Notre-Dame ? - réalisation : Sam Baquiast, Cassandre Puel - invités : Élise Baillieul Maîtresse de conférences en histoire de l'art du Moyen Âge à l'Université de Lille, membre du chantier scientifique pour la restauration de Notre-Dame de Paris; Damien Berné Conservateur en chef, responsable des sculptures au musée de Cluny - musée national du Moyen Âge
“Faire parler les pierres”Sculptures médiévales de Notre-Dameau musée de Cluny, musée national du Moyen Âge, Parisdu 19 novembre 2024 au 16 mars 2025Entretien avec Damien Berné, conservateur en chef au musée de Cluny, responsable des sculptures, et commissaire de l'exposition,par Anne-Frédérique Fer, à Paris, le 18 novembre 2024, durée 11'23,© FranceFineArt.https://francefineart.com/2024/11/19/3574_faire-parler-les-pierres_musee-de-cluny-musee-national-du-moyen-age/Communiqué de presseCommissariat #SculpturesNotreDameDamien Berné, conservateur en chef au musée de Cluny, responsable des sculptures. Du 19 novembre 2024 au 16 mars 2025, le musée de Cluny – musée national du Moyen Âge présente, en partenariat avec l'Inrap, une exposition autour du décor sculpté médiéval de la cathédrale Notre-Dame de Paris. Les sculptures de la cathédrale conservées au musée n'avaient pas fait l'objet d'étude approfondie depuis le début des années 1980. L'exposition « Faire parler les pierres. Sculptures médiévales de Notre-Dame » promet de renouveler la connaissance sur ces collections, en révélant les résultats de l'important programme d'étude et de restauration mené depuis 2022.Depuis sa création, le musée de Cluny est le principal lieu de conservation de sculptures de Notre-Dame de Paris. La « salle Notre-Dame » présente les principaux fragments sculptés de la cathédrale découverts en 1977 sous un hôtel particulier parisien, dont les célèbres têtes de rois, aux côtés des autres pièces provenant du décor de l'édifice déjà conservées dans des musées.Ces sculptures n'avaient pas été étudiées ni restaurées depuis près de 40 ans. Le chantier actuel de restauration de la cathédrale et la forte activité scientifique associée ont créé l'opportunité pour le musée de réinterroger ses propres collections. Il a donc lancé en 2022 un programme d'étude et de restauration d'une sélection de pièces mené en partenariat avec le Centre de recherche et de restauration des musées de France (C2RMF) et le Laboratoire de recherche des monuments historiques (LRMH).L'exposition apporte un nouvel éclairage sur les oeuvres emblématiques de la collection du musée de Cluny. Aux oeuvres habituellement présentées dans la salle des sculptures de Notre-Dame s'ajoutent des pièces encore jamais montrées au public. Une sélection de fragments permet d'évoquer les corps disparus des statues colossales de la galerie des rois. Un dossier consacré à la statue d'Adam, chef-d'oeuvre de la sculpture gothique, déroule son parcours mouvementé jusqu'à nos jours. La scénographie restitue la disposition des fragments restaurés du portail Sainte-Anne et des linteaux du portail du Jugement dernier. Les traces de polychromie retrouvées de ces oeuvres sont également mises en valeur.Cet événement est l'occasion de dévoiler pour la première fois au public une trentaine de fragments du jubé des années 1230 mis au jour lors des recherches archéologiques préventives conduites par l'Inrap (Institut national de recherches archéologiques préventives) depuis le printemps 2022. Grâce au prêt de l'Inrap et au soutien scientifique de la Drac Île-de-France, la présentation inédite de ces fragments est rendue possible grâce aux travaux de stabilisation des éléments fragiles financés par l'établissement public Rebâtir Notre-Dame de Paris, maître d'ouvrage du chantier de restauration. Elle permet d'en apprécier l'iconographie comme la polychromie d'origine remarquablement préservée. Cette sélection est mise en regard des fragments découverts par Viollet-le-Duc au XIXesiècle et prêtés par le musée du Louvre et par la Drac Île-de-France.[...] Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Saints du jour 2024-11-18 Saint Odon de Cluny by Radio Maria France
Tous les 1er dimanches de chaque mois, découvre l'histoire d'une vie, une expérience ou un moment clé d'une femme ou d'un homme. Fais connaissance avec une ou un Passeur de Clés qui te donnera sa vision et son approche. Pars en balade avec nous et profite de ce moment intimiste et confidentiel pour, qui sait, découvrir les clés qui te manquent ! Plus d'infos : www.olivierclerc.com/ LA PARENTHÈSE MUSICALE LES DERNIERS TROUVERES - "Cluny, ville éternelle" Plus d'infos : www.lesdernierstrouveres.com/ COUPS DE CŒUR FILM D'OLIVIER "Le nom de la rose" de Jean-Jacques ANNAUD Plus d'infos : www.youtube.com/watch?v=ENHxR4-_bEY "La légende du pianiste sur l'océan" de Giuseppe TORNATORE Plus d'infos : www.youtube.com/watch?v=Ny6L3IB0ahI COUP DE CŒUR MUSIQUE D'OLIVIER Egberto GISMONTI Plus d'infos : www.youtube.com/watch?v=4WIBr9zeAjw COUP DE COEUR LIVRE D'OLIVIER "SADHANA" de Rabindranath TAGORE Plus d'infos : www.ombres-blanches.fr/product/155716/rabindranath-tagore-sadhana
How Would Lubitsch Do It comes to a close with our grand finale. Tim Brayton returns to discuss Cluny Brown and look back on both Ernst Lubitsch's career and the past five seasons of this show. First, we discuss everything Cluny Brown: the film's generosity and humanism, its commentary on British class society, its relationship with the second world war, its full-throated embrace of absurdism, the title character's magnetism, Adam Belinski's status as a revision on a stock villain, and the film's somewhat autobiographical and wonderfully optimistic ending. Second, we close out the show with a look back: we debate our respective rankings (Tim, Devan) of Lubitsch's filmography, highlight our favourite cast members, crew members and collaborators, discuss subsequent filmmakers who bear distinct marks of Lubitsch's influence, discuss whether or not the show's structure accurately reflects the ebbs and flows and our subject's career, and answer the key questions: why Lubitsch? Why a podcast? Edited by Griffin Sheel. A Thanks I started this quixotic project two years ago with the hope of making something that spoke to me and, if anyone else was interested, so be it. Turns out some other people were interested, and if you're reading this now, that's probably you. My endless and sincere thanks for sticking it through. Thanks to the many guests who lent their time and support throughout the show: Lauren Faulkner Rossi, Fran Hoepfner, Bram Ruiter, Luci Marzola, Jaime Rebenal, Maddie Whittle, Paul Cuff, Kristin Thompson, Stefan Droissler, Molly Rasberry, Sarah Shachat, James Penco, Dave Kehr, Julia Sirmons, David Neary, Patrick Keating, Jennifer Fleeger, Katharine Coldiron, Jonathan Mackris, Will Sloan, Lea Jacobs, Tanya Goldman, Krin Gabbard, Jordan Fish, Ray Tintori, Z Behl, Eric Dienstfrey, Scott Eyman, Imogen Sarah Smith, Chris Cassingham, Olympia Kiriakou, Griffin Newman, Kevin Bahr, Whit Stillman, Adrian Martin, Jose Arroyo, Lance St. Laurent, Tim Brayton, William Paul, Dara Jaffe, Gary Jaffe, Peter Labuza, Willa Ross, Eloise Ross, David Cairns, Noah Isenberg, Matt Severson, Mateusz Pacewicz, and Charlotte Garson. Our editors: Griffin Sheel, Gloria Mercer, Willa Ross, Sophia Yoon, Rylee Cronin, Brennen King, & Eden Cote-Foster Our location sound engineer, Anna Citak-Scott. And others who lent valuable counsel and support: the Margaret Herrick Library, the Museum of Modern Art, the Academy Museum of Motion Pictures and most of all to Ernst Lubitsch, who taught me more than it could possibly take the sixty-eight episodes of this podcast to describe. This entire experience - hundreds of hours of research, recording, and editing - has been among the great pleasures of my life, and everyone's contributions have meant a great deal to me. Onwards to whatever's next!
[Due to our last-minute addition of two episodes, the podcast feed mistakenly had S5E09a queued here for a few hours this morning - it should now be fixed!] How Would Lubitsch Do It comes to a close with a grand finale. Tim Brayton returns to discuss Cluny Brown and look back on both Ernst Lubitsch's career and the past five seasons of this show. First, we discuss everything Cluny Brown: the film's generosity and humanism, its commentary on British class society, its relationship with the second world war, its full-throated embrace of absurdism, the title character's magnetism, Adam Belinski's status as a revision on a stock villain, and the film's somewhat autobiographical and wonderfully optimistic ending. Second, we close out the show with a look back: we debate our respective rankings (Tim, Devan) of Lubitsch's filmography, highlight our favourite cast members, crew members and collaborators, discuss subsequent filmmakers who bear distinct marks of Lubitsch's influence, discuss whether or not the show's structure accurately reflects the ebbs and flows and our subject's career, and answer the key questions: why Lubitsch? Why a podcast? Edited by Griffin Sheel. A Thanks I started this quixotic project two years ago with the hope of making something that spoke to me and, if anyone else was interested, so be it. Turns out some other people were interested, and if you're reading this now, that's probably you. My endless and sincere thanks for sticking it through. Thanks to the many guests who lent their time and support throughout the show: Lauren Faulkner Rossi, Fran Hoepfner, Bram Ruiter, Luci Marzola, Jaime Rebenal, Maddie Whittle, Paul Cuff, Kristin Thompson, Stefan Droissler, Molly Rasberry, Sarah Shachat, James Penco, Dave Kehr, Julia Sirmons, David Neary, Patrick Keating, Jennifer Fleeger, Katharine Coldiron, Jonathan Mackris, Will Sloan, Lea Jacobs, Tanya Goldman, Krin Gabbard, Jordan Fish, Ray Tintori, Z Behl, Eric Dienstfrey, Scott Eyman, Imogen Sarah Smith, Chris Cassingham, Olympia Kiriakou, Griffin Newman, Kevin Bahr, Whit Stillman, Adrian Martin, Jose Arroyo, Lance St. Laurent, Tim Brayton, William Paul, Dara Jaffe, Gary Jaffe, Peter Labuza, Willa Harlow Ross, Eloise Ross, David Cairns, Noah Isenberg, Matt Severson, Mateusz Pacewicz, and Charlotte Garson. Our editors: Griffin Sheel, Gloria Mercer, Willa Harlow Ross, Sophia Yoon, Rylee Cronin, Brennen King, & Eden Cote-Foster Our location sound engineer, Anna Citak-Scott. And others who lent valuable counsel and support: the Margaret Herrick Library, the Museum of Modern Art, the Academy Museum of Motion Pictures and most of all to Ernst Lubitsch, who taught me more than it could possibly take the sixty-eight episodes of this podcast to describe. This entire experience - hundreds of hours of research, recording, and editing - has been among the great pleasures of my life, and everyone's contributions have meant a great deal to me. Onwards to whatever's next!
Armisén confía en que el Seminario Científico Internacional Cluny siente las bases de la candidatura a la Unesco de los Sitios Cluniacenses
I suppose we all remember the house, or houses, we grew up in. Where we learned to walk, or first explore the garden, or climb some stairs. Most houses are quite small. Some are quite big. And then there are houses like Cluny Castle in Abderdeenshire.I was joined on the podcast this week by its owner, Cosmo Linzee Gordon, who grew up there. Cosmo agreed to answer the questions that I imagine I am not alone in wondering: what exactly is it like to grow up in a big castle? What is hide and seek like when you have more than 20 rooms to get lost in? And is it really freezing all year around?Listen to Country Life podcast on Apple PodcastsListen to Country Life podcast on SpotifyListen to Country Life podcast on AudibleNot only did Cosmo grow up at Cluny, he also took over running the house and estate in his early 20s, meaning that he is also well placed to answer another important question — what's it like to keep it going? Because big houses — just like small houses — love nothing more than breaking, and are tremendously expensive to fix. They are more than just homes, they are monuments to architecture and the Arts that need preserving, a task that is easier said than done.For Cosmo, it meant diversifying into a wedding business, that means that people from the UK and abroad can fulfil their fantasy of a fairytale wedding (I mean seriously, look at the pictures of this place: it is the very definition of ‘castle').There's something else too: what's it like to know that there is a certain future set in stone for you? Maybe Cosmo would have wanted to become an astronaut, or a rock star. Sadly, he never really got the choice. I mean, there are worse things in life to be lumped with than a castle and estate in one of the most beautiful parts of the country, but it's not everyone's dream.These are just some of the many questions we discuss in this week's podcast, which basically boils down to ‘the secret stories of growing up and living in a big castle'. We like to ask the important questions here at Country Life. We hope you'll enjoy listening to the important answers.Episode creditsHost: James FisherGuests: Cosmo Linzee GordonEditor and Producer: Toby KeelMusic: JuliusH via Pixabay Hosted on Acast. See acast.com/privacy for more information.
Stéphane Bern raconte l'abbaye de Cluny, la plus grande église de la Chrétienté pendant plusieurs siècles qui a placé la France au coeur de l'Europe et attiré les hommes les plus célèbres de leur époque respective, un monument élevé au Moyen-Âge dont il ne reste hélas quasiment plus rien aujourd'hui… Qui en a décidé la fondation et pour quelles raisons ? Comment cette abbaye bénédictine est-elle devenue un centre chrétien majeur au Moyen-Age ?Comment l'archéologie nous renseigne-t-elle sur les bâtiments médiévaux aujourd'hui disparus ?Pour en parler, Stéphane Bern reçoit Benoît-Henry Papounaud, administrateur de l'Abbaye et Musée d'art et d'archéologie de Cluny.
Stéphane Bern raconte l'abbaye de Cluny, la plus grande église de la Chrétienté pendant plusieurs siècles qui a placé la France au coeur de l'Europe et attiré les hommes les plus célèbres de leur époque respective, un monument élevé au Moyen-Âge dont il ne reste hélas quasiment plus rien aujourd'hui… Qui en a décidé la fondation et pour quelles raisons ? Comment cette abbaye bénédictine est-elle devenue un centre chrétien majeur au Moyen-Age ?Comment l'archéologie nous renseigne-t-elle sur les bâtiments médiévaux aujourd'hui disparus ?Pour en parler, Stéphane Bern reçoit Benoît-Henry Papounaud, administrateur de l'Abbaye et Musée d'art et d'archéologie de Cluny.
Dans son récit, Stéphane Bern nous raconte l'histoire de l'Abbaye de Cluny.
Dans son récit, Stéphane Bern nous raconte l'histoire de l'Abbaye de Cluny.
Paris je te quitte fais son tour
L'invitée de ce hors-série du Passion Médiévistes est Christine Descatoire, conservatrice générale au musée de Cluny et responsable de la collection d'orfèvrerie. Elle vous présente l'exposition « Merveilleux trésor d'Oignies ; éclats du XIIIe siècle » qui a lieu au musée de Cluny jusqu'au 20 octobre 2024 et dont elle est co-commissaire. Pour en savoir plus sur l'exposition : https://www.musee-moyenage.fr/activites/programmation/merveilleux-tresor-d-oignies.html Cet épisode a été enregistré en avril 2024 et réalisé dans le cadre d'un partenariat avec le Musée de Cluny. ▪ Infos sur le podcast Créé et produit par Fanny Cohen Moreau depuis 2017. Préparation, enregistrement, montage et mixage : Fanny Cohen Moreau Générique : Clément Nouguier ➡ Plus d'infos sur cet épisode > https://passionmedievistes.fr/hs-28-tresor-doignies ➡ Soutenir le podcast > https://passionmedievistes.fr/soutenir/ ➡ Instagram > https://www.instagram.com/passionmedievistes/ ➡ Facebook > https://facebook.com/PassionMedievistes ➡ Twitter > https://twitter.com/PMedievistes
durée : 00:52:14 - Le Cours de l'histoire - par : Xavier Mauduit - Réels, imaginaires ou symboliques, l'omniprésence des animaux dans les sources médiévales est à la mesure de la place fondamentale qu'ils occupent dans la vie quotidienne de cette époque. - invités : Christian Heck Ancien conservateur en chef du musée d'Unterlinden à Colmar, membre senior de l'Institut Universitaire de France (Chaire d'iconographie médiévale), et professeur d'histoire de l'art à l'Université de Lille 3.; Élisabeth Taburet-Delahaye Conservateur général du patrimoine, directrice du musée de Cluny (2005-2019), historienne
The Community of St Gregory the Great sing the Gregorian Chant Mass for the Memoria of SS. Odo, Maieul, Odilo, Hugh and Bl. Peter the Venerable, Abbots of Cluny. Recorded live at Southgate House on 11 May 2024.
Le mercredi 27 mars 2024 avait lieu au Musée de Cluny à Paris une “Super Joute” à l'occasion des Nocturnes de l'histoire, une compétition acharnée de personnages médiévaux où c'est le public qui les départagent ! Elle était aussi organisée à l'occasion de l'exposition « Les arts sous Charles VII », présentée au musée jusqu'au 16 juin 2024. Épisode rémunéré par le Musée de Cluny Pour en savoir plus sur l'exposition : https://www.musee-moyenage.fr/activites/expositions/expositions-en-cours-/exposition-charles-vii.html Avec Fanny Cohen Moreau et Florian Besson comme arbitres impartiaux (ou presque), six personnages, incarnés par des jouteurs et jouteuses, s'affrontent dans ce hors-série dans une joute verbale pour convaincre le public du Musée de Cluny de voter pour elles et eux. En effet, nous expliquons au début de l'épisode que l'autrice du Moyen Âge Christine de Pizan nous a chargé de choisir le personnage sur lequel elle doit écrire sa prochaine biographie. Poule 1 : Marie Piccoli-Wentzo : Anastaise Max Parada : Agnès Sorel Nicolas Garnier : Gilles de Rais Poule 2 : Emma Molinier : Bernardin de Sienne Simon Hasdenteufel. : Constantin XI “Dragasès” Paléologue Basileus kai Autokrator tôn Rhomaiôn Yoan Boudes : Ysabeau de Bavière Pour connaître le résultat de ce tournoi il vous faudra écouter l'enregistrement de l'épisode, mais pour vous donner un avant goût, vous pouvez aller voir sur le site des présentations des différents personnages : passionmedievistes.fr/super-joute-special-charles-vii Passion Médiévistes est un podcast sur le Moyen Âge avec des interviews de jeunes chercheurs en masters ou en thèse d'histoire médiévale, ainsi que d'autres formats (Super Joute Royale, Rencontres, Vies de Médiévaux...). Créé et produit par Fanny Cohen Moreau depuis 2017. ➡ Soutenir le podcast > passionmedievistes.fr/soutenir/ ➡ Instagram > instagram.com/passionmedievistes/ ➡ Facebook > facebook.com/PassionMedievistes ➡ Twitter > twitter.com/PMedievistes ➡ Plus d'infos sur cet épisode > passionmedievistes.fr/super-joute-special-charles-vii Enregistrement et mixage : Fanny Cohen Moreau Préparation : Passion Médiévistes et Actuel Moyen Âge Présentateur.ice.s : Fanny Cohen Moreau et Florian Besson Générique composé et réalisé par Simon Vandendyck, du podcast Les Carencés (www.maune.me/) Visuel réalisé par Baptiste Mossiere / Winston twitter.com/winston_z Si vous lisez cette description jusqu'au bout, envoyez moi un message par le canal de votre choix pour me dire quel a été votre personnage préféré !
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En la Edad Media del occidente europeo tiene lugar un fenómeno que marcó buena parte del período y, más aún, que ha quedado grabado en el imaginario popular como una de sus características y acontecimientos principales. Se trata de las Cruzadas, guerras declaradas por el Obispo de Roma cuyo fin era combatir al infiel, al pagano o al hereje; máxima expresión de la guerra santa, cuya participación aportaba al soldado beneficios espirituales como la remisión total de los pecados. Un tipo de guerra que no surgió de un día para otro, ni de las ideas de un único hombre. Por el contrario, estamos ante un largo proceso en el que los cristianos pasarán de aborrecer las armas, de seguir el pacifismo emanado de las palabras de Cristo y la interpretación paulina, a sacralizar la guerra y sus aspectos, considerándola un hecho querido por Dios y que abre las puertas de la salvación. La Historia de las Cruzadas las conocemos todos, no es difícil encontrar información sobre ellas, por eso mismo, hoy no hablaremos de las cruzadas en sí, sino del proceso que lleva a la Iglesia desde las primeras comunidades cristianadas que repudian la violencia al siglo XI con la convocatoria de la I Cruzada de la mano de Urbano II, acontecimiento que culmina el largo camino que llevó a la sacralización de la guerra y la incorporación de los caballeros en la escala de valores de la cristiandad. Si te gusta el contenido podéis dejar un me gusta y un comentario, así ayudáis al crecimiento del programa. También nos podéis apoyar a través de la pestaña «Apoyar» con una suscripción mensual o través de Bizum. ¡Muchísimas gracias! BIZUM: +34 614 23 58 90 Síguenos en: Twitter: https://twitter.com/ElScriptorium TikTok: https://www.tiktok.com/@elscriptorium Facebook: https://www.facebook.com/scriptoriumpodcast Telegram: https://t.me/ElScriptorium Instagram: https://www.instagram.com/elscriptorium/ Contacto: scriptoriumpodcast@protonmail.com Bibliografía: - García Fitz, F. (2003). La Edad Media. Guerra e ideología. Justificaciones religiosas y jurídicas. Sílex. - García-Guijarro Ramos, L. (1995). Papado, cruzadas y órdenes militares. Siglos XI-XIII. Cátedra. - Mitre Fernández, E. (coord.)(2006). Historia del Cristianismo. II El mundo Medieval. Editorial Trotta. - Cabrera Ramos, M.I. (2017). Devastatio Constantinopolitana. La IV Cruzada, expugnación y transformaciones de la ciudad durante la ocupación latina (1204-1261). Universidad de Granada. - De Ayala Martínez, C., Henriet, P. y Palacios Ontalva, J.S. (2016). Orígenes y desarrollo de la Guerra Santa en la Península Ibérica. Palabras e imágenes para una legitimación (siglos X-XIV). Casa de Velázquez. - Riley-Smith, J. (2005). The First Crusade and the Idea of Crusading. . Continuum. - Rodríguez de la Peña, M.A. (2011). «Monacato, caballería y reconquista: Cluny y la narrativa benedictina de la guerra santa». Anales de la Universidad de Alicante, Historia Medieval, 17, pp. 183-223. - Mitre Fernández, E. y Alvira Cabrer, M. (2001). «Ideología y guerra en los reinos de la España medieval». Revista de historia militar, nº extra 1, pp. 291-334. - Flori, J. (2002). Guerra Santa, Yihad, Cruzada. Violencia y religión en el cristianismo y el islam. Editions du Seuil. - De Ayala Martínez, C. (2012). La Cruzadas. Sílex. Música:
This week, Mike Carroll raps poetic about the role a mouse book played in his literary life. We talked about Redwall by Brian Jacques, volume 1 of 22; them mice sure get up to mischief! How does Redwall by Brian Jacques hold up? Co-hosted: Nic Hoffmann and Mike Carroll "One of TIME Magazine's 100 Best Fantasy Books of All Time The book that inspired a legend—the first novel in the beloved, bestselling Redwall saga. Welcome to Mossflower Wood, where the gentle mice have gathered to celebrate a year of peace and abundance. All is well…until a sinister shadow falls across the ancient stone abbey of Redwall. It is rumored that Cluny is coming—Cluny, the terrible one-eyed rat and his savage horde—Cluny, who has vowed to conquer Redwall Abbey! The only hope for the besieged mice lies in the lost sword of the legendary Martin the Warrior. And so begins the epic quest of a bumbling young apprentice—a courageous mouse who would rise up, fight back…and become a legend himself. Perfect for fans of T. A. Barron's Merlin saga, John Flanagan's Ranger's Apprentice series, and J. R. R. Tolkien's Lord of the Rings series. “The medieval world of Redwall Abbey—where gallant mouse warriors triumph over evil invaders—has truly become the stuff of legend.” —Seattle Post-Intelligencer" - From the Firebird Publishing book summary
Découvrez l'abonnement "Au Coeur de l'Histoire +" et accédez à des heures de programmes, des archives inédites, des épisodes en avant-première et une sélection d'épisodes sur des grandes thématiques. Profitez de cette offre sur Apple Podcasts dès aujourd'hui ! Peintre et enlumineur de génie au service de la royauté, Jean Fouquet a fait entrer la Renaissance en France. Virginie Girod vous raconte l'histoire de cette star du XVe siècle, un peu oubliée ! Un récit inédit en partenariat avec le musée de Cluny, à Paris, qui accueille l'exposition Les arts en France sous Charles VII, du 12 mars au 16 juin 2024. Si la France du XVe siècle subit les ravages de la Guerre de Cent Ans, les arts ne sont pas délaissés pour autant. On est en plein dans ce qu'on appellera plus tard le gothique international. Quand Jean Fouquet naît à Tours, l'effervescence artistique vient notamment des peintres "primitifs" flamands. On attribue au peintre Jan Van Eyck la création de la peinture à l'huile au début des années 1430. Parfaitement initié à cette technique, ce n'est cependant pas suffisant pour Jean Fouquet. Il part travailler en Italie où se déroule une autre révolution artistique : la Renaissance Italienne, le Quattrocento ! Le peintre y fréquente l'un des plus grands artistes de son temps, Fra Angelico, surnommé le "peintre des anges". Quand Jean Fouquet rentre en France, il se fait vite un nom d'artiste virtuose. Les commandes affluent, y compris au sommet de l'État. Vers 1450, le roi Charles VII lui commande son portrait. Jean Fouquet innove : personne avant lui n'avait peint un roi de France d'une manière aussi réaliste ! Le tableau servira de modèle pour les artistes après lui. Évidemment, après le roi, les aristocrates veulent aussi se faire peindre par Fouquet. Vous connaissez forcément la Vierge et l'enfant sous les traits d'Agnès Sorel qu'il a réalisé pour le trésorier du roi. Après cette commande, Jean Fouquet est définitivement devenu le peintre de la cour de France. Thèmes abordés : peinture, Renaissance italienne, Charles VII, Guerre de Cent Ans "Au Coeur de l'Histoire" est un podcast Europe 1 Studio- Présentation : Virginie Girod - Production : Caroline Garnier - Réalisation : Nicolas Gaspard- Composition de la musique originale : Julien Tharaud et Sébastien Guidis- Rédaction et Diffusion : Nathan Laporte- Communication : Marie Corpet- Visuel : Sidonie Mangin Ressources en ligne : http://expositions.bnf.fr/fouquet/reperes/chrono/index.htm https://www.persee.fr/doc/bec_0373-6237_1950_num_108_1_461404_t1_0182_0000_000 https://www.beauxarts.com/grand-format/splendeurs-et-mysteres-du-diptyque-de-melun-de-jean-fouquet/#&gid=1&pid=1 Bibliographie : Paul Wescher, Jean Fouquet et son temps, Holbein, 1947. François avril et Marie-Thérèse Gousset (dir.), Jean Fouquet, peintre et enlumineur du XVe siècle, BnF, 2003.
The Mario Lanza Show "Besame Mucho" June 6, 1952 NBC guest star Rosemary Cluny The Mario Lanza Show "The Moon Was Yellow" March 28, 1952 NBC
In Lesson 5 we will learn: -When and how Islam became a significant power - What “iconoclasm” means and why it matters - How the Roman Catholic Church and the Eastern Orthodox Church separated from one another. In Lesson 6 we will learn: - How missionaries and monks modeled holiness in Cluny, Damascus, and Moravia - How mystics affected people's faith in the Middle Ages - How mendicants proclaimed the gospel throughout Europe - How the Scholastics glorified God through their scholarly pursuits
durée : 00:52:33 - Le Cours de l'histoire - par : Xavier Mauduit - En route pour le musée de Cluny qui rouvre ses portes après un long processus de rénovation entamé en 2011. Du frigidarium aux tapisseries de "La Dame à la licorne", partons à la découvertes des trésors du musée national du Moyen Âge en compagnie de ses conservateurs. - invités : Séverine Lepape; Michel Huynh Conservateur en chef au Musée de Cluny, Musée national du Moyen-Âge; Béatrice de Chancel-Bardelot Conservateur du patrimoine
Dans cet épisode, je reçois Aurélie Mounier, ingérieure de recherche au CNRS et Pauline Claisse, doctorante en physique des archéomateriaux. À travers leurs parcours passionnants, ces deux spécialistes de l'étude des matériaux de la couleur nous racontent leur quotidien à la croisée des disciplines entre histoire de l'art, physique et chimie. En laboratoire, elles développent des méthodologies d'identifications sans contact pour analyser des œuvres d'art et identifier leurs couleurs et matériaux. Elles travaillent en étroite collaboration avec des restaurateurices d'art et des artisans, car c'est la combinaison de gestes ancestraux et de technologies de pointes qui permettent de retrouver les nuances des œuvres et de leur donner tout leur sens. Ensemble, nous avons parlé des étapes nécessaires pour analyser les œuvres, de la disparition de la polychromie et de l'importance du travail de valorisation et de transmission. J'espère que vous apprécierez cet épisode, je vous souhaite une très belle écoute ! Cette interview a été réalisée dans le cadre de la thèse de Pauline Claisse intitulée "Les tapisseries de la Dame à la Licorne (XVe siècle). La couleur, l'esprit, le temps. Du métier au musée : cinq siècles d'histoire matérielle d'une icône de la tapisserie" co-dirigée par Aurélie Mounier, Rémy Chapoulie (Archéosciences Bordeaux) et Mohamed Dallel (LRMH). Nous tenons à remercier le CNRS pour le financement du contrat doctoral dont le travail a bénéficié d'une aide de l'État au titre du Programme d'investissements d'avenir (PIA) IdEx Université de Bordeaux / GPR Human Past (projet PALIT, WP5A1)”. Les principaux partenaires sont le musée de Cluny, les universités de Bordeaux Montaigne et Bordeaux, le LRMH et Charlotte Marembert. ✨ Pour être informé.es de la sortie des prochains épisodes, abonnez-vous à la page du podcast sur votre application d'écoute ✨ Si vous avez apprécié cet épisode, vous pouvez laisser des étoiles et un commentaire sur Apple Podcasts. Pour me soutenir, vous pouvez aussi partager autour de vous et m'écrire des mots doux à l'adresse mail : hello@miou-studio.com
Qual è il senso del medioevo? In che cosa gli siamo debitori? Perché studiarlo o insegnarlo? In un breve e densissimo scritto pubblicato dall'editore Donzelli, uno storico insigne come Giuseppe Sergi si è cimentato con le domande più radicali. Il punto di partenza è il «luogo comune medioevo», quella deformazione prospettica che ci porta a leggere tutta una lunga fase storica come un altrove o come una premessa. Nell'altrove negativo ci sono povertà, fame, pestilenze, disordine politico, soperchierie dei latifondisti sui contadini, superstizioni del popolo e corruzione del clero. Nell'altrove positivo ci sono tornei e vita di corte, elfi e fate, cavalieri fedeli e principi magnanimi. Ma è altrettanto discutibile l'idea del medioevo come premessa dei secoli successivi: del capitalismo, dello Stato moderno, della borghesia. A questo medioevo del senso comune si contrappone il medioevo degli storici, che discute di articolazione dei poteri e di intersezione delle gerarchie, di signorie rurali e di egemonie urbane. Giovanni Conti ne parla con lo storico Marco Ferrero del Centro Studi Medievali Ponzio di Cluny.
Mairead Robinson chats to Rhona Kelly who grew up in Killiney, Co. Dublin and went to St Joseph of Cluny school from the age of 3, until she did her leaving cert in 1970. Some years after she left school, she began to think about all the girls who had been in her class, and wondered what they were all doing now. She embarked on a two year search to track everybody down, and began to organize school reunions which have been incredibly popular and she is now an inspiration to many who would like to trace their childhood and teenage friends and see where life has brought them since.
Qui étaient les Comnènes, cette famille qui a régné sur le trône de l'empire byzantin ? Laurine Martin, invitée de cet épisode de Passion Médiévistes, a réalisé 2 mémoires de recherches en histoire à propos des Comnènes lors de masters recherches à l'université Jean Jaurès de Toulouse, sous la direction de Benoit Joudiou. Nous abordons avec elle la dynastie des Comnènes, qui est resté plus de 100 ans sur le trône de l'empire byzantin au Moyen Âge. Nous évoquons notamment quelques unes des plus importantes personnalités de l'époque et les idéologies de leurs discours. Épisode sponsorisé par le Musée de Cluny à Paris, contribuez vous aussi pour la nouvelle vitrine de la corne de licorne : https://soutenir.musee-moyenage.fr/ La liste des prochains événements et enregistrements de podcasts en public : https://passionmedievistes.fr/a-propos/evenements/ ▪ Infos sur le podcast Créé et produit par Fanny Cohen Moreau depuis 2017. ➡ Soutenir le podcast > https://passionmedievistes.fr/soutenir/ ➡ Instagram > https://instagram.com/passionmedievistes/ ➡ Facebook > https://facebook.com/PassionMedievistes ➡ BlueSky > https://bsky.app/profile/passionmedievistes.bsky.social ➡ Twitter > https://twitter.com/PMedievistes ➡ Plus d'info sur cet épisode > https://passionmedievistes.fr/ep-90-laurine-comnenes Préparation, enregistrement, montage et mixage : Fanny Cohen Moreau Montage et mixage du générique : Moustaclem Illustration : Garance Petit Si vous avez lu jusqu'ici, envoyez moi les mots "coeur doré" par le canal de communication de votre choix :D (et merci pour celles et ceux qui le font déjà
This episode we discuss Redwall by Brian Jacques! Matthias is a small but mighty mouse at the Redwall Abbey. Even though the abbey is peaceful, the rat Cluny, and his rat army want to take over. When faced with the evil rat, Cluny, will Matthias be able to save his friends?
Saint du jour 2023-11-18 Saint Odon de Cluny by Radio Maria France
Qual è il senso del medioevo? In che cosa gli siamo debitori? Perché studiarlo o insegnarlo? In un breve e densissimo scritto pubblicato dall'editore Donzelli, uno storico insigne come Giuseppe Sergi prova a cimentarsi con le domande più radicali. Il punto di partenza è il “luogo comune medioevo”, quella deformazione prospettica che ci porta a leggere tutta una lunga fase storica come un altrove o come una premessa. Nell'altrove negativo ci sono povertà, fame, pestilenze, disordine politico, soperchierie dei latifondisti sui contadini, superstizioni del popolo e corruzione del clero. Nell'altrove positivo ci sono tornei e vita di corte, elfi e fate, cavalieri fedeli e principi magnanimi. Ma è altrettanto discutibile l'idea del medioevo come premessa dei secoli successivi: del capitalismo, dello Stato moderno, della borghesia. A questo medioevo del senso comune si contrappone il medioevo degli storici, che discute di articolazione dei poteri e di intersezione delle gerarchie, di signorie rurali e di egemonie urbane. Giovanni Conti ne parla con lo storico Marco Ferrero del Centro Studi Medievali Ponzio di Cluny.
Full Text of ReadingsThe Commemoration of All the Faithful Departed (All Souls) Lectionary: 668The Saint of the day is Commemoration of All the Faithful DepartedThe Story of the Commemoration of All the Faithful Departed The Church has encouraged prayer for the dead from the earliest times as an act of Christian charity. “If we had no care for the dead,” Augustine noted, “we would not be in the habit of praying for them.” Yet pre-Christian rites for the deceased retained such a strong hold on the superstitious imagination that a liturgical commemoration was not observed until the early Middle Ages, when monastic communities began to mark an annual day of prayer for the departed members. In the middle of the 11th century, Saint Odilo, abbot of Cluny, France, decreed that all Cluniac monasteries offer special prayers and sing the Office for the Dead on November 2, the day after the feast of All Saints. The custom spread from Cluny and was finally adopted throughout the Roman Church. The theological underpinning of the feast is the acknowledgment of human frailty. Since few people achieve perfection in this life but, rather, go to the grave still scarred with traces of sinfulness, some period of purification seems necessary before a soul comes face-to-face with God. The Council of Trent affirmed this purgatory state and insisted that the prayers of the living can speed the process of purification. Superstition easily clung to the observance. Medieval popular belief held that the souls in purgatory could appear on this day in the form of witches, toads or will-o'-the-wisps. Graveside food offerings supposedly eased the rest of the dead. Observances of a more religious nature have survived. These include public processions or private visits to cemeteries and decorating graves with flowers and lights. This feast is observed with great fervor in Mexico. Reflection Whether or not one should pray for the dead is one of the great arguments which divide Christians. Appalled by the abuse of indulgences in the Church of his day, Martin Luther rejected the concept of purgatory. Yet prayer for a loved one is, for the believer, a way of erasing any distance, even death. In prayer we stand in God's presence in the company of someone we love, even if that person has gone before us into death. Read this friar’s reflection on death and dying. Saint of the Day, Copyright Franciscan Media
Merci à HelloFresh de soutenir Timeline ! Profitez de réductions allant jusqu'à 100€ sur vos 5 premières commandes, soit le prix du repas à partir de 2,50€, avec le code Timeline ou en cliquant sur ce lien : http://www.hellofresh.fr/timeline Alors que l'hiver approche, partout dans le monde les cimetières fleurissent. Dans les traditions chrétiennes, celtiques et même vaudous, le début du mois de novembre est consacré aux morts. Au cœur de cette série nous explorons la multitude de traditions à travers lesquelles l'humanité rend hommage à ses défunts partout dans le monde. Du Japon au Mexique en passant par l'île de Madagascar, nous vous invitons à découvrir la poésie de ces rituels qui permettent à chaque culture de transcender sa peur de la mort. Ecriture: Iona Bermon pour Timeline
durée : 00:13:10 - Le jeu des 1000 € - par : Nicolas Stoufflet - Et à demain samedi à 17h25 à la TV sur France 3 !
durée : 00:13:10 - Le jeu des 1000 € - par : Nicolas Stoufflet - N'hésitez pas à vous abonner au podcast du jeu !
durée : 00:13:07 - Le jeu des 1000 € - par : Nicolas Stoufflet - N'hésitez pas à vous abonner au podcast du jeu !
durée : 00:13:02 - Le jeu des 1000 € - par : Nicolas Stoufflet - N'hésitez pas à vous abonner au podcast du jeu !
durée : 00:13:10 - Le jeu des 1000 € - par : Nicolas Stoufflet - N'hésitez pas à vous abonner au podcast du jeu !
durée : 00:59:06 - Le Cours de l'histoire - par : Xavier Mauduit - Et si la porcelaine n'était pas le seul trésor de Limoges ? Les émaux, qui ont fait sa réputation, sont les témoins de l'intense activité d'orfèvrerie de la ville au Moyen Âge. Comment l'incomparable production des émaux de Limoges s'est-elle développée ? - invités : Christine Descatoire Conservatrice en chef du patrimoine, chargée des collections d'orfèvrerie et des textiles occidentaux au musée de Cluny-musée national du Moyen Âge, chercheuse associée à l'IRHIS ; Frédéric Tixier Maître de conférences d'histoire de l'art médiéval à l'Université de Lorraine, directeur du département Histoire de l'art et Archéologie
El título de este episodio 65 es Escolasticismo_________________________________________________Una de las cuestiones más importantes a las que se han enfrentado filósofos y teólogos a lo largo de los siglos ha sido la interacción entre la Fe y la Razón. ¿Son enemigas o aliadas? ¿La fe cristiana es razonable o un salto ciego hacia una oscuridad irracional? Un gran avance en la respuesta a esto se produjo con la aparición de un grupo de teólogos medievales conocidos como los Escolásticos. Entre ellos destacan Anselmo de Canterbury en el siglo XI y Tomás de Aquino en el XIII.En su novela Los Pilares de la Tierra, el autor Ken Follett teje una intrigante historia sobre la construcción de una catedral en Inglaterra. Aunque la catedral y la ciudad son ficticias, Follett hace un trabajo magistral al captar la mentalidad y la visión de la arquitectura medieval.He tenido el privilegio de visitar varias veces la catedral de Colonia, en Alemania, y me fascina lo que allí se encuentra. Mientras que a algunos evangélicos estadounidenses modernos que critican la tradición puede que les eche para atrás toda la elaborada decoración y el simbolismo religioso de las catedrales Góticas de Europa, la mayoría las encuentran fascinantes estudios de arte, arquitectura y, con un poco de investigación, interesantes expresiones de pensamiento teológico. Verás, la catedral Gótica no era sólo un edificio; era un intento de encarnar los pensamientos de la época sobre Dios y el hombre. Como dice Bruce Shelly: "Los maestros medievales del estilo gótico intentaron representar en piedra y cristal la búsqueda religiosa central del hombre. Querían representar una tensión. Por un lado estaba el hombre que aspiraba a alcanzar las alturas del cielo; por otro, estaba Dios que condescendería a dirigirse al más pequeño de los hombres".Las columnas, los arcos y los campanarios apuntan hacia arriba como dedos hacia el cielo. Pero hacia abajo llega la luz a través de las vidrieras que iluminan la Tierra y, más concretamente, a quienes se han reunido en su interior para buscar a Dios. Es la versión del arquitecto de la razón humana y la revelación divina.Las escuelas que albergaban estas catedrales dieron origen a las universidades de la Edad Media posterior. Su tarea consistía en comprender y explicar la Creación a la luz de la Palabra y los Caminos revelados de Dios. Al igual que las Cruzadas fueron un intento de extender la autoridad de Dios sobre el Medio Oriente, las universidades esperaban extender la comprensión de Dios y Su creación sobre el reino de la mente.Pero, ¿cómo se sometía el mundo de las ideas al gobierno de Dios? ¿Cómo iba a convertirse la razón en sierva de la fe? Esta época del pensamiento cristiano se denomina "Escolástica" porque surgieron métodos distintivos de erudición y surgió una teología única. El objetivo de los escolásticos era doble: conciliar la doctrina cristiana con la razón humana y ordenar las enseñanzas de la Iglesia en un sistema ordenado.Pero, es importante que señalemos desde el principio que una búsqueda libre de la verdad no estaba en el horizonte de los escolásticos. Las doctrinas de la fe cristiana ya estaban fijadas. El propósito de los escolásticos era mostrar la razonabilidad de esas doctrinas y explicarlas.Las primeras universidades estaban íntimamente ligadas a la Iglesia. Solían tener su sede en las catedrales. Un académico medieval era, la mayoría de las veces, un sacerdote o un monje. Esto comenzó siglos antes, cuando Benito de Nursia insistió en que los monjes estudiaran como medio para su desarrollo espiritual. En el siglo VIII, Carlomagno, mientras soñaba con un imperio cristiano, amplió las oportunidades de estudio mediante un decreto por el que cada monasterio debía tener una escuela para enseñar a los capaces de aprender. El propio emperador dio ejemplo con una escuela en el palacio para sus hijos y la corte.Aunque las escuelas de las catedrales se crearon principalmente para formar al clero, no pasó mucho tiempo antes de que los laicos fueran invitados a asistir también.El plan de estudios se limitaba a gramática, retórica, lógica, aritmética, geometría, música y astronomía -las 7 artes liberales, llamadas así porque en la antigua Roma su estudio se había reservado a los liberi = hombres libres-. Los pocos textos disponibles eran escritos de un puñado de eruditos de la Alta Edad Media. Los estudiantes aprendían de Casiodoro, Boecio, Agustín, el Papa Gregorio Magno y un puñado de Padres de la Iglesia que el estudiante medieval no se atrevía a cuestionar.Podemos rastrear el nacimiento de las grandes universidades medievales a la influencia de varios maestros destacados. Fue su habilidad en la enseñanza y su entusiasmo por el aprendizaje lo que atrajo a los estudiantes.Entre los primeros de esta nueva raza de eruditos se encontraba Gerberto, maestro de la escuela catedralicia de Reims [reems] en la segunda mitad del siglo X. Aunque procedía de una familia de campesinos, Gerberto se convirtió en el papa Silvestre II. Su genio fue reconocido muy pronto, por lo que fue enviado a estudiar matemáticas a España. Allí conoció la cultura tolerante de los musulmanes. Ésta fue la primera de varias contribuciones significativas de los musulmanes al despertar intelectual cristiano de la Edad Media.Gerberto regresó a Reims muy impresionado por el espíritu investigador e inquisitivo de los eruditos musulmanes. Cuando empezó a enseñar, anunció que las citas de las llamadas autoridades ya no iban a ser aceptadas como la última palabra. A partir de entonces, exigió a sus alumnos que estudiaran los clásicos en su lengua original. Empezó a coleccionar manuscritos donde podía y construyó una importante biblioteca. No era poca cosa si recordamos que un manuscrito podía tardar un año en copiarse y costaba una fortuna.La figura más notable de este primer periodo del escolasticismo fue Pedro Abelardo. Hijo mayor de un noble menor del noroeste de Francia, Pedro cedió sus derechos de herencia a sus hermanos menores para poder vagar por Francia y aprender de los grandes maestros. Pero hizo algo más que escuchar. Desafiaba a aquellos a los que sorprendía en un error factual o filosófico. No tardó en establecerse como profesor en París, donde atrajo a multitud de estudiantes.También empezó a escribir. En un tratado titulado Sí y No, planteó más de cien preguntas sobre la enseñanza cristiana, a las que respondió con citas contradictorias de las Escrituras, los Padres de la Iglesia e incluso los clásicos paganos. Su argumento era que aún quedaban muchos frentes de debate e investigación por resolver. Abelardo dijo: "La primera clave de la sabiduría es el cuestionamiento asiduo y frecuente.... Porque dudando llegamos a la indagación, y por la indagación llegamos a la verdad". Esta idea de utilizar la duda para alimentar la búsqueda del conocimiento era algo habitual para los antiguos griegos, pero un terreno peligroso para los europeos medievales. Abelardo tenía unos cuantos admiradores, pero muchos más detractores, alarmados por su audaz cuestionamiento de lo que se consideraban autoridades intachables. Después de haber agitado demasiadas ollas y picado demasiadas colmenas, decidió esconderse durante un tiempo en un monasterio.Un año después se fue a vivir a un área abierta al sureste de París. Sus seguidores le construyeron un refugio, labraron su tierra y le rogaron que volviera a enseñar. Así que, reanudando su búsqueda de la razón, Abelardo volvió a enfrentarse a los conservadores religiosos. Fue entonces cuando Abelardo entró en conflicto con Bernardo de Claraval, el famoso predicador de la II Cruzada y el eclesiástico más influyente de la cristiandad. De Abelardo, Bernardo dijo: "La fe del justo cree, no discute". Bernardo consiguió que Abelardo fuera tachado de hereje y excomulgado. Abelardo se retiró a la abadía de Cluny, donde su abad, Pedro el Venerable, persuadió a Bernardo para que se reconciliara con Abelardo. La excomunión fue levantada. Abelardo pasó sus dos últimos años en el monasterio de Cluny, donde fue considerado un gran erudito y un sabio consejero.Dejaré de lado el matrimonio de Abelardo con Heloísa, una de las más notables escenas de amor de la historia.Nadie pudo detener el crecimiento de las semillas que plantó Abelardo. Surgieron escuelas por toda Europa. Menos de cien años después de su muerte, florecieron universidades en París, Orleans y Montpellier en Francia; al otro lado del Canal de la Mancha, en Oxford y Cambridge; y en Bolonia y Padua en Italia, todas ellas encendidas con las ideas que Abelardo despertó.Los estudiantes y sus maestros formaron gremios. Al igual que habían hecho los artesanos desde el Imperio Romano, los eruditos se agruparon para proteger y promover sus intereses. Se llamaban a sí mismos universitas, el nombre medieval de cualquier grupo corporativo.En Italia, la mayoría de los estudiantes eran hombres adultos que cursaban estudios avanzados de derecho y medicina. Sus gremios ejercían un enorme poder. Los estudiantes pagaban a los profesores, determinaban los cursos que debían impartirse y multaban a cualquier profesor que se saltara un capítulo en la exposición de su materia. Sin duda, un giro con respecto a las escuelas actuales.En las universidades Inglesas y Francesas, donde los estudiantes eran más jóvenes, los gremios de eruditos tenían la última palabra. Prohibían los juramentos y el juego, multaban a los estudiantes por saltarse el toque de queda y establecían los modales en la mesa.Las universidades medievales no eran los edificios con paredes de marfil y céspedes que conocemos hoy. Al principio, en Oxford y Cambridge las clases se impartían en chozas y cobertizos junto a los caminos. Se reunían en salas laterales de la catedral en París, en plazas abiertas en Italia. Cuando el prestigio y los ingresos de un profesor aumentaban, podía alquilar una habitación para sus alumnos, donde se sentaban en suelos cubiertos de paja. Al carecer de propiedad fija, podían trasladarse cuando se enfrentaban a las autoridades locales.Junto con las clases, los maestros utilizaban lo que se llamaban disputas. Dos o más maestros debatían un texto utilizando el método de preguntas y respuestas de Abelardo. Así se desarrolló la Escolástica. Surgió del laborioso proceso de llegar a conclusiones lógicas mediante preguntas, exámenes y la organización de los detalles en un sistema lógico. Las disputas escolásticas provocaban a menudo enfrentamientos acalorados y sentimientos amargos. Las guerras de lógica se prolongaron durante años entre diferentes eruditos, y los partidarios de cada uno vitoreaban a su héroe con fuertes silbidos y pisotones. La cuestión era que los estudiantes aprendían a pensar. La aceptación incuestionable de las autoridades tradicionales ya no estaba asegurada. Ahora, las conclusiones tenían que cuadrar con la doctrina cristiana.El escolasticismo era menos una filosofía o una teología que un método de aprendizaje. Se hacía hincapié en armonizar la fe y la razón. Los escolásticos utilizaron la antigua práctica griega de cuestionar implacablemente la autoridad tradicional. La verdad ya no se aceptaría sólo porque lo dijeran los que tenían autoridad. La verdad debía analizarse rigurosamente y llevarse al terreno de la razón. Después de todo, ¿no decía la Biblia que debemos amar a Dios con toda nuestra mente?Los escolásticos eran conocidos por su cuidadoso trazado de distinciones. En las aulas y en los libros, los temas se debatían enérgicamente, y una de las partes del debate ni siquiera se creía realmente, sino que se proponía como forma de comprobar el valor de la parte que se afirmaba.Los escolásticos querían armonizar la teología cristiana con la filosofía de la época clásica, especialmente la de Aristóteles y los neoplatónicos.Algunos escolásticos destacados son Alejandro de Hales, Alberto Magno, Duns Escoto, Guillermo de Ockham y Buenaventura. Dos de los más grandes fueron Anselmo de Canterbury y Tomás de Aquino. La obra maestra de Tomás de Aquino, la Suma Teológica, se considera la obra cumbre de los escolásticos.Anselmo nació en una de las muchas casas nobles de Europa a principios del siglo XI. Como no tenía muchas posibilidades de destacar en el ámbito político, se hizo monje benedictino. Sus estudios le señalaron rápidamente como un hombre de aguda inteligencia y profunda reflexión filosófica. Fue nombrado Arzobispo de Canterbury durante los últimos 17 años de su vida.A menudo se llama a Anselmo el fundador del Escolasticismo, y ejerció una gran influencia en la teología europea. Es más famoso por ser el creador del Argumento Ontológico de la existencia de Dios y de la Teoría de la Satisfacción de la Expiación, según la cual la muerte de Jesús satisfizo las justas exigencias de la justicia de Dios.Anselmo dedicó la mayor parte de su tiempo a elaborar argumentos razonables para las proposiciones teológicas que ya aceptaba como verdaderas por la fe. Su objetivo no era justificar la fe mediante la razón. Quería comprender mejor lo que creía. Consideraba que la razón era la sierva de la fe, y no al revés. La fe era lo primero y guiaba a la razón. Escribió: "Creo para comprender". Pensaba que las cosas espirituales debían ser objeto de experiencia antes de que pudieran ser comprendidas por el intelecto. Dijo: "El que no cree no ha sentido, y el que no ha sentido, no comprende". Sostenía que Cristo debía llegar al intelecto por la vía de la fe y no a la fe por el intelecto. Se declaró en contra de la creencia ciega, y calificó de pecado de negligencia que quien tiene fe no se esfuerce por conocer.Anselmo dio pruebas razonables de la existencia de Dios y razones convincentes de que Dios es una deidad autoexistente, inmaterial, todopoderosa, compasiva, justa y misericordiosa. En su libro ¿Por qué el Dios-Hombre? Anselmo demostró la relación entre la encarnación y la expiación. Su argumento de que la expiación de Cristo satisfacía a Dios tuvo un poderoso impacto tanto en Lutero como en Calvino siglos más tarde. Escribió sobre la naturaleza de la Trinidad, el pecado original, el libre albedrío, la armonía de la presciencia y la preordenación, y por qué cayó Satanás.Las dos fuentes de conocimiento de Anselmo eran la Biblia y la enseñanza de la Iglesia que, según él, estaban en total acuerdo entre sí y con toda la filosofía verdadera. Sentía la más profunda admiración por Agustín, y su concordancia con él le valió a Anselmo los títulos de "2º Agustín" y "Lengua de Agustín". Además de ser un hombre de auténtica piedad y devoción a Dios, el historiador de la Iglesia Philip Schaff afirma que Anselmo fue probablemente el pensador más original desde Agustín.Quiero compartir la interesante historia de los conflictos de Anselmo con dos reyes de Inglaterra. La mejor forma de hacerlo es contar la historia como hace Schaff en el Vol 5 de su serie Historia de la Iglesia.Guillermo II, llamado Guillermo Rufo o el Rojo por el color de su pelo, tercer hijo de Guillermo el Conquistador, gobernó de 1087 a 1100. Probablemente lo único bueno que hizo en todo su reinado fue nombrar a Anselmo arzobispo de Canterbury. Guillermo heredó todos los vicios y ninguna de las virtudes de su padre. Despreciaba al clero. Se decía que "temía poco a Dios y nada a los hombres". No era tan escéptico como profano y blasfemo. Creía en Dios è y lo odiaba. No estaba casado, pero se entregaba a una inmoralidad flagrante. La gente decía que cada mañana se levantaba peor y cada noche se acostaba peor.Saqueó la Iglesia y oprimió al clero. Despojó a las iglesias y monasterios de sus ingresos dejándolos vacíos o vendiéndolos al mejor postor. En cuatro años transformó treinta cementerios en parques reales para satisfacer su pasión por la caza, lo que al final le costó la vida.Cuando murió el arzobispo de Canterbury, Guillermo mantuvo la sede vacante durante cuatro años. Bajo la influencia de una grave enfermedad, cedió finalmente a la presión para elegir a Anselmo, que se encontraba entonces en Inglaterra y era conocido como un profundo teólogo de carácter piadoso. Difícilmente puede imaginarse un mayor contraste de hombres. Anselmo no quería ser arzobispo. Quería volver a la vida de monje tranquilo en su abadía del norte de Italia. Pero sintió la llamada de Dios, aunque si aceptaba se enfrentaría a una batalla interminable con el rey inglés.Fue nombrado en su sede con gran celebración el 2º domingo de Adviento de 1093 e inmediatamente se dispuso a reavivar la disciplina que había decaído durante los años anteriores.Era la época del Gran Cisma Papal y el rey Guillermo apoyaba al papa francés Clemente III, mientras que Anselmo debía lealtad a Urbano II. El rey insistió en que Anselmo recibiera de Clemente el palio arzobispal, su vestidura, y luego exigió que fuera ÉL quien le confiriera la autoridad de Anselmo. Por supuesto, Anselmo se negó y tomó el palio del agente de Urbano, que había llevado la vestidura a Inglaterra en un estuche especial.Cuando el arzobispo se negó a satisfacer las cada vez mayores exigencias financieras de Guillermo, el rey lo llevó a los tribunales. Anselmo se negó a comparecer; un tribunal civil no tenía jurisdicción en asuntos eclesiásticos. Era la vieja cuestión de si un funcionario eclesiástico, en su calidad de clérigo, debía lealtad al papa o a la corona.Anselmo consiguió el permiso del rey en 1097 para ir a Roma. Pero Guillermo envió tropas tras él y lo alcanzó en Dover. Registraron el equipaje de Anselmo y se apoderaron de las ofrendas que llevaba a Roma. El viaje de Anselmo terminó como un exilio.Anselmo fue recibido calurosamente por el papa, que amenazó a Guillermo con la excomunión y pronunció una maldición sobre cualquier laico que pensara, como Guillermo, que podía investir a un obispo con autoridad espiritual. La maldición papal iba más allá, a cualquiera que aceptara tal falsa investidura.A principios de agosto de 1100, mientras cazaba en el Bosque Nuevo, el Rey Rojo fue asesinado por una flecha. Nadie sabe si se la disparó un cazador o un asesino. Hubo poco luto por un rey que casi todos esperaban que cayera muerto. No les habría sorprendido que lo hubiera matado un rayo.Pero éste no es el final de los problemas de Anselmo con los monarcas. Cuando Guillermo II murió, su hermano menor, Enrique I, subió al trono. Enrique fue en general un buen rey que hizo mucho por erradicar lo peor de la corrupción de la corte. Reconcilió al clero sacando a Anselmo del exilio, pero renovó la controversia sobre la investidura. Nombró obispos y abades, y exigió a Anselmo que los consagrara. Anselmo se negó una y otra vez. Así pues, fue enviado a un segundo exilio. La reina sentía una extraordinaria devoción por Anselmo e intentó mediar entre él y su marido. Instó a Anselmo a que regresara, aunque tuviera que transigir un poco y conceder a Enrique cierto poder para intervenir en el nombramiento del clero. Recordó a Anselmo que el apóstol Pablo circuncidó a Timoteo como medida de compromiso.Siguiendo el ejemplo de Urbano, el papa Pascual II excomulgó a los obispos que aceptaron los nombramientos de Enrique. Pero Enrique quiso reconciliarse con Anselmo. Se reunieron en Normandía y acordaron hacer un llamamiento conjunto al Papa. Éste confirmó las investiduras anteriores del rey con la condición de que renunciara al derecho a futuros nombramientos. Esta decisión fue ratificada en agosto de 1106. El rey prometió restituir a Anselmo las rentas de Canterbury durante su ausencia, dejar de reclamar las rentas de los obispados y abadías vacantes, y devolver todas las multas del clero. Y aunque cumplió su promesa de no nombrar nuevos clérigos, envió a las sedes vacantes los nombres de los candidatos que le gustaría que las ocuparan.Anselmo regresó triunfante a Inglaterra, y fue recibido por la reina a la cabeza de los monjes y del clero. En un concilio celebrado en Westminster en 1107, el rey renunció formalmente al privilegio de la investidura. Durante los últimos años de su vida, Anselmo gozó de la amistad y el respeto del rey, y durante la ausencia de Enrique en el continente en 1108, se le confió la regencia y el cuidado de la familia real.Murió en 1109. Su impacto en el Arzobispado fue tan grande que la sede no se ocupó durante cinco años.La próxima vez echaremos un vistazo al verdadero hombre importante entre los escolásticos: Tomás de Aquino.
Early last year, Rev. Avende and Rev. Dangler discussed the process of planning a trip in the not-too-distant future to Greece to tour some sacred sites. During the chat, they also talked about other trips they've taken, and upcoming trips that are on the horizon. Some items that come up during the discussion that are worth linking include: The Nautes Pillar MJD saw in Paris' Musée de Cluny [video link] An upcoming trip for MJD and his wife up the Rhine [commercial link] A little Mercury Prayer written after an encounter at the Museum of the Siene [Tumblr link] The view of Cape Sounion [image link] The book "Pagan Holiday: On the Trail of Ancient Roman Tourists" [Amazon link] Stuttard's "Greek Mythology" and "Roman Mythology" books [Amazon links] Next week, we'll be out of our car, but we'll see how that trip Rev. Dangler planned with his wife panned out. Find us on Facebook, check out ThreeCranes.Org for more about us, and ADF.org for more about Druidry.
En el siglo X se creó la abadía de Cluny, en Francia, para reformar la Iglesia medieval. En este episodio de 5 Minutos en la Historia de la Iglesia, Stephen Nichols analiza varios de los movimientos e ideas que dejaron su huella durante este periodo. Lee la transcripción: https://es.ligonier.org/podcasts/5-minutos-en-la-historia-de-la-iglesia-con-stephen-nichols/tendencia-en-el-siglo-X
And we're back to Lost Legends of Redwall, Act 1, to see how the first act finishes. Will we see our big bad Cluny, or is he taking a sabbatical? Join Pete, Braden and KD as we discuss it! Intro/Outro Music is by: Cory Gray. Medieval Tension 30s. Song is licensed under an Attribution-NonCommercial 3.0 International License.
An exploration of the life-changing power of forgiving• Discusses 15 perceived obstacles to forgiveness and how to overcome them• Details four different methods of forgiveness: the Hawaiian practice of Ho'oponopono, Colin Tipping's Radical Forgiveness, Fred Luskin's Nine Steps to Forgiveness, and the author's own Gift of Forgiveness• Shares inspiring testimonies and stories from around the world, revealing how forgiveness helps stop a spiral of destruction, cleanses the heart, and leads to relief, freedom, and inner peaceCan Everything Be Forgiven? Forgiveness allows our hearts to heal and love to be revived. Forgiving the small and average sufferings experienced throughout life is one thing. But what about bigger transgressions, like infidelity, abuse, or even large-scale offenses such as genocide?Olivier Clerc identifies 15 obstacles to forgiveness--prejudices, confusions, misunderstandings--and discusses from where these perceptions originate and how they might keep us from taking the path to healing. Drawing from his years of forgiveness work as well as from the Forgiveness Project, he details four practical methods for forgiveness, each with a unique approach: the Hawaiian practice of Ho‘oponopono, Colin Tipping's Radical Forgiveness, Fred Luskin's Nine Steps to Forgiveness, and the author's own Gift of Forgiveness, inspired by his work with don Miguel Ruiz. Inspiring testimonies and examples from both victims and perpetrators who have rebuilt their lives after trauma show that even when faced with the unspeakable we can heal. Choosing to engage in a conscious process of forgiving helps stop a spiral of destruction, cleanses the heart, and leads to relief, freedom, and inner peace.Olivier Clerc is a writer, translator, editorial consultant, and workshop leader. He is the founder of the international program Circles of Forgiveness, based on his life-changing experiences in Mexico with don Miguel Ruiz. With his wife, he created a yearly conference on forgiveness and founded the Association Pardon International (API). The author of The Gift of Forgiveness, he lives in Cluny, France.
Lauds, Morning Prayer for the 32nd Friday of Ordinary Time, November 11th, 2022, Memorial of St. Martin of Tours. Thanks for praying with us, for inquiries, requests, feedback, please email singthehours@gmail.com. Check out our website at singthehours.org! To support this work, please visit: https://www.patreon.com/singthehours. Domine, Labia Mea Aperies – "Lord, Open my lips" Invitatory Psalm 95 (Gregorian tone 2, antiphon from the Liber Hymnarius, Solesmes, 1983, pg.465, adapted for English by Sing the Hours) Hymn: "Martine, pro apostolis," St. Odo of Cluny, (9th century) Liber Hymnarius, Solesmes, 1983 pg.466. English translation by St. Cecilia's Abbey, Ryde, UK, as set in the Hymnal for the Hours, Weber, #464. Psalm 63v2-9 (Gregorian tone 7, Antiphon adapted from the official Latin proper by Sing the Hours, 2022) Canticle: Daniel 3v57-88, 56 (Sing the Hours arrangement, mode VIII, antiphon adapted from the official Latin proper by Sing the Hours, 2022) Psalm 149 (Gregorian tone II, psalm simple tone, antiphon adapted from the official Latin proper by Sing the Hours, 2022) Reading: Hebrews 13v7-9a Antiphon: On your walls, Jerusalem, I have set my watchmen to guard you. Benedictus (English, Tone 8, Luke 1v68-79) Intercessions: "Enlighten your people, Lord." The Lord's Prayer Concluding Prayers Ora Pro Nobis Sancta Dei Genetrix – "Pray for us O Holy Mother of God" The Liturgy of the Hours (Four Volumes), ©1974, International Commission on English in the Liturgy Corporation. All rights reserved. Readings and Old and New Testament Canticles (except the Gospel Canticles) are from the New American Bible © 1970 Confraternity of Christian Doctrine, Washington, D.C.