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Sam Sauvage est notre invité pour son EP éponyme. Ses chansons sont influencées par l'héritage rock 80's de Bashung, le décalage New Wave des Talking Heads et la poésie brute de Stromae et oscillent entre profondeur introspective, ironie décalée et mélodies imparables. Merci pour votre écoute Entrez sans Frapper c'est également en direct tous les jours de la semaine de 16h à 17h30 sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez l'ensemble des épisodes et les émission en version intégrale (avec la musique donc) de Entrez sans Frapper sur notre plateforme Auvio.be : https://auvio.rtbf.be/emission/8521 Abonnez-vous également à la partie "Bagarre dans la discothèque" en suivant ce lien: https://audmns.com/HSfAmLDEt si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Vous pourriez également apprécier ces autres podcasts issus de notre large catalogue: Le voyage du Stradivarius Feuermann : https://audmns.com/rxPHqEENoir Jaune Rouge - Belgian Crime Story : https://feeds.audiomeans.fr/feed/6e3f3e0e-6d9e-4da7-99d5-f8c0833912c5.xmlLes Petits Papiers : https://audmns.com/tHQpfAm Des rencontres inspirantes avec des artistes de tous horizons. Galaxie BD: https://audmns.com/nyJXESu Notre podcast hebdomadaire autour du 9ème art.Nom: Van Hamme, Profession: Scénariste : https://audmns.com/ZAoAJZF Notre série à propos du créateur de XII et Thorgal. Franquin par Franquin : https://audmns.com/NjMxxMg Ecoutez la voix du créateur de Gaston (et de tant d'autres...) Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Génération 80 Special Français avec Art Mengo, France Gall, Michel Beger, Philippe Cataldo, Vivien Savage, Bernard Lavilliers & Nicoletta, Axel Bauer, Niagara, Herbert Leonard, Gerard Blanc, Felix Gray, Rose Laurent, Desireless, Jeanne Mas, Daniel Balavoine, Bashung, Alain Chamfort.
Découvrez l'histoire fascinante derrière le dernier album d'Alain Bachung, « Bleu Pétrole ». Cet opus, sorti en 2008, marque un tournant dans la carrière du chanteur, qui décède seulement 14 jours après sa sortie.
Le chanteur malade d'un cancer décède à l'âge de 61 ans. Quelques semaines plus tôt, il apparaissait très affaibli aux Victoires de la Musique. Ecoutez Les pépites RTL avec Jérôme Florin du 14 mars 2025.
Extrait : « … Mark Hollis s'est éteint en 2019, à 64 ans, laissant derrière lui un héritage musical très particulier, autant acclamé par les médias que boudé par le public. Il a influencé directement de nombreux artistes comme Radiohead, et fut source de fascination de chanteurs français comme Jean-Louis Murat et Bashung. En 1988, avec Spirit of Eden, Talk Talk avait définitivement largué les amarres de la musique pop pour des paysages plus abstraits et diaphanes, dessinés à partir d'improvisations instrumentales apportées par un éventail de musiciens extérieurs, et inspirées par le jazz et par des compositeurs de musique classique contemporaine … »Pour commenter les épisodes, tu peux le faire sur ton appli de podcasts habituelle, c'est toujours bon pour l'audience. Mais également sur le site web dédié, il y a une section Le Bar, ouverte 24/24, pour causer du podcast ou de musique en général, je t'y attends avec impatience. Enfin, si tu souhaites me soumettre une chanson, c'est aussi sur le site web que ça se passe. Pour soutenir Good Morning Music et Gros Naze :1. Abonne-toi2. Laisse-moi un avis et 5 étoiles sur Apple Podcasts, ou Spotify et Podcast Addict3. Partage ton épisode préféré à 3 personnes autour de toi. Ou 3.000 si tu connais plein de monde.Good Morning Music Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
La chanteuse française Santa est l'une des nouvelles têtes d'affiche de la variété française. Il y a un peu moins d'une semaine, lors de la 40e édition des Victoires de la Musique (le 14 février) elle était donnée favorite, car nommée dans quatre catégories. Elle a finalement remporté la Victoire du Meilleur album pour son premier disque Recommence-moi, sorti juste avant l'été 2024. RFI : Y aura-t-il un avant et un après « Victoires de la Musique 2025 » pour vous ? Santa : Le futur décidera pour moi, mais en tout cas, dans mon cœur, oui. Et cette Victoire marque le tournant d'un joli recommencement.Cette Victoire de l'Album de l'année, c'est celle que vous espériez le plus, qui était la plus importante pour vous ? Oui, parce qu'elle salue un album, Recommence-moi. C'est un album qui m'est si cher. Et puis, on ne peut pas faire deux fois un premier album. Il ne fallait pas que je passe à côté de cette Victoire.Vous êtes apparue lors des Victoires, suspendue dans les airs, la tête en bas. Vous aimez bien ces performances spectaculaires, depuis toujours, quasiment ? Oui, j'aime le spectacle. J'aime aussi le don de soi, que ce soit corporel, dans le chant, dans l'envie de traverser les cœurs, dans des grandes mises en scène. Et dans mes chansons aussi. Mais j'aime les habiller parce qu'elles sont pudiques. Et on se souvient de Bruxelles notamment. Suspendue dans les airs. Ça a été toute une entreprise à mettre en place, je suppose…Oui, mais comme tout. Je m'aperçois que tout est entreprise quand on veut faire des pas de côté et proposer du spectacle. Mais oui, ça a commencé effectivement par un concert à Bruxelles, suspendue à 40 mètres de haut par une grue avec mon piano à queue. Et puis depuis lors, je ne cesse d'essayer d'égayer les gens et de me raconter en chanson et aussi en « Waouh » ! J'adore justement créer l'événement et faire briller un petit peu les yeux des enfants, mais aussi les yeux des enfants qu'il y a en nous.Et ce « Waouh » comme vous dites, c'est lui qui provoque ce bouche-à-oreille qui est à l'origine du succès ?Alors ça a commencé par « Popcorn salé » qui s'est partagé de bibliothèque en bibliothèque, de messages en messages. Et c'est ce qui a été la plus grande réjouissance pour moi, c'est de voir que petit à petit, cette chanson grandissait dans le cœur des gens.Parce qu'au départ, cette chanson, vous l'aviez écrite toute seule dans votre chambre. Vous étiez à 1000 lieues de la proposer. On vous a encouragé à la sortir. Comment ça s'est passé exactement ? Ce sont mes amis qui m'ont dit : « Il faut absolument que tu sortes cette chanson. Elle va faire du bien aux gens ». Et je pense que c'est cette phrase qui a percuté mon cœur et qui depuis lors, le fait battre à la chamade. C'est une rencontre que de voir des enfants chanter en concert avec leurs parents, leurs grands-parents cette chanson, la reprendre en chœur. C'est le début de cette histoire, de cette carrière, je l'espère.Les enfants, leurs parents, leurs grands-parents, c'est votre public justement, Il est intergénérationnel et ça aussi, ça fait partie un petit peu de ce qui fait votre marque de fabrique ? Alors ça, on ne peut pas le calculer. Mais cependant, c'est la plus grande joie que je peux souhaiter à n'importe quelle chanteuse ou chanteur, c'est de ne pas chanter pour une génération, mais justement pour un état d'esprit. Et cet état d'esprit qui est celui des émotions, de l'amour, je le souhaite à toutes les générations.Vous avez dédié cette Victoire à vos parents, décédés tous les deux. Vous ont-ils beaucoup encouragé dans cette voie ? Dans ma voie … et dans une voie qui est celle de la liberté, de l'expression, du panache, du verbe et de l'amour. On y revient. Mais toutes ces chansons ont ce lien là que de chanter l'amour. Alors qu'il soit fraternel ou propre, je le souhaite à tout le monde. C'est la quête d'une vie de s'aimer. Mais je pense que c'est le but de ma vie que d'égayer la vôtre.Et parmi ces chansons qui chantent l'amour, il y a la dernière-née, « La différence » qui compte beaucoup pour vous. C'est une sorte d'hymne de résistance ?Oui, on peut le dire comme ça, parce que je le scande dans la chanson « Résiste ». Je pense qu'il faut preuve de courage pour rester ancré dans cette différence et pas se diluer dans les travers que l'on peut avoir, parfois cruels du regard de l'autre et de jouir de ce privilège. Maintenant, je le dis parce que le temps a fait son œuvre et que j'ai serré le poing et que j'ai réussi à le lever haut. Mais c'est cette différence qui fait que l'on est beau. Et d'accueillir cette beauté avec réjouissance et pas culpabilité.Ce poing serré, vous le levez plusieurs fois pendant les spectacles, presque à tous les titres, C'est une résistance permanente ? Alors ça, je n'ai pas le recul sur moi, je me regarde très rarement et quand je chante, je le fais de manière tellement instinctive, j'essaie tellement de véhiculer de manière sincère ce que j'ai en moi que je ne me regarde pas. Alors peut être qu'effectivement, je le serre souvent, mais c'est pour mieux pouvoir le lever.Vous parliez de cette différence. Elle vous a suivie très tôt, cette différence. Vous étiez en avance sur votre âge. L'École, vous ne l'avez pas faite comme tout le monde. Ça a marqué tout votre parcours ? Disons que ça m'a appris à devoir apprendre ce que ce qu'était le monde. Les sentiments, parfois la violence, souvent même la violence du monde. Et on n'est pas toujours armé pour faire face à cette violence qui est émotionnelle mais aussi factuelle. On se le dit parfois, on s'ancre dans des vertiges qui peuvent être violents dans l'enfance. Alors moi, ma réponse, elle a été en musique et je pense qu'il est là, le panache. C'est de transformer ces chaos en feux de joie et de les transformer aussi en harmonie. Je pense que ce qui est joli en chanson, c'est de pouvoir battre le temps. Moi j'ai battu le temps pour que mon enfance se fasse et qu'une revanche se fasse aussi.Alors ces chansons, vous les écrivez depuis que vous êtes en solo, en français, contrairement à ce que vous faisiez avec votre groupe Hyphen Hyphen avec qui vous aviez eu une Victoire de la musique il y a quelques années. Comment s'est faite la bascule vers le français ? Elle s'est faite inconsciemment quand j'étais derrière le piano et que ces chansons me sont venues droit au cœur. Je les ai saisies, puis je les ai écrites dans un instant de vie, presque automatique. Donc il n'a pas été conscient, ce changement. Par contre, dans la réécriture, je l'ai bien conscientisé parce que c'est une langue qui exige énormément de discipline, qui est magnifique quand on arrive à la faire sonner. Je me le souhaite humblement.Parce que les artistes français que vous admirez, vous les avez un petit peu découverts sur le tard… C'est vrai que ce que j'appelle la grande variété française, Berger, Véronique Sanson, plus récemment Goldman, Mylène Farmer, ce sont des artistes que j'ai découverts ensuite. A la maison, on écoutait beaucoup de musique américaine et anglaise. Moins de chanson française, à part quelques morceaux de Bashung et de Gainsbourg. Donc c'était assez restreint. Et depuis, je pense que Berger a façonné, et Sanson aussi, beaucoup de mes harmonies et mon envie de raconter le monde avec douceur.Quand vous parlez de vos fans, de vos admirateurs, vous dites « pirates ». Pourquoi cette expression ? Je m'appelle aussi « pirate ». On forme une belle équipe, une fine équipe. C'est à dire qu'au début, avec « Popcorn Salé », ce sont des petits actes de piraterie qui ont fait que cette chanson est passée petit à petit en radio. Je me rappelle les premières télés, c'étaient vraiment des actes de piraterie parce qu'il a fallu les arracher et c'est grâce à eux, grâce à leur bouche à oreille, grâce à leurs stickers qu'ils mettaient dans les supermarchés sur les boîtes de popcorn, ou l'affichage, ou le fait d'en parler avec le cœur à leur famille, à leurs amis. Ça, pour moi, c'était un acte de partage et de piraterie. Et c'est grâce à eux que je suis là.Parce qu'au début, ce n'était pas évident. Il y avait l'intro qui était trop longue. Il y avait toujours des contraintes auxquelles on ne s'attend pas…On parlait de faire la différence. (…) On parle beaucoup de pop, on parle beaucoup de rap, mais la variété française, les chansons, les piano-voix, c'était il y a deux ans et demi, on n'en parlait pas du tout. Et du reste, c'est encore une petite bataille, mais c'est une bataille que j'ai portée fièrement parce que j'avais la conviction que l'émotion n'avait pas de format.Votre force, c'est bien sûr l'écriture, la voix. Une voix, qu'on reconnaît tout de suite. Et aussi la scène, évidemment. Et votre ambition, c'est de faire des scènes immenses. Ça va se préciser bientôt…Oui, c'est mon ambition. Alors, c'est une prétention, mais ce n'est pas de l'arrogance. C'est une volonté de faire de grands spectacles. C'est du reste ce que j'ai voulu montrer aux Victoires de la Musique avec cette introduction un petit peu spectaculaire et périlleuse que de chanter à l'envers. Mais il y a un retournement qui fait que ça devient poétique et pas juste un acte de spectaculaire pour spectaculaire, c'est mettre en scène des émotions et bientôt, je vais pouvoir les mettre en scène de manière grandiose dans tous les Zénith de France. La tournée est immense et je ne peux pas en dire trop. Mais ce que je peux dire, c'est que ça sera immense.Il y aura les Zénith puisqu'il y a plusieurs dates et ensuite, encore plus grand… Bercy, mon tout premier Bercy. J'ai un peu du mal à le dire parce que j'ai du mal un peu à réaliser qu'il va falloir être à la hauteur de ce grand rendez-vous. Je prépare vraiment cette scène comme un grand spectacle. J'ai vraiment envie que ce soit un moment où les gens s'oublient, mais cultivent la jouissance de l'instant et qu'ils passent le meilleur moment de tous les temps.Est-ce que vous aviez des rituels avant de monter sur scène ? Ah oui, ils sont trop nombreux, Mais on n'a pas le temps de tous les dire. Je ne suis que rituel. Mettre mes deux bagues, taper sept fois les mains de toute l'équipe. Alors elle devient très grande. Ça me prend quand même vraiment beaucoup de temps et j'ai commencé à le faire et chaque fois que je le faisais, les concerts étaient bons. Maintenant, c'est une liste de rituels. J'enchaîne.Santa Recommence-moi (Parlophone/Warner Music) 2024Facebook / Instagram / YouTube
La chanteuse française Santa est l'une des nouvelles têtes d'affiche de la variété française. Il y a un peu moins d'une semaine, lors de la 40e édition des Victoires de la Musique (le 14 février) elle était donnée favorite, car nommée dans quatre catégories. Elle a finalement remporté la Victoire du Meilleur album pour son premier disque Recommence-moi, sorti juste avant l'été 2024. RFI : Y aura-t-il un avant et un après « Victoires de la Musique 2025 » pour vous ? Santa : Le futur décidera pour moi, mais en tout cas, dans mon cœur, oui. Et cette Victoire marque le tournant d'un joli recommencement.Cette Victoire de l'Album de l'année, c'est celle que vous espériez le plus, qui était la plus importante pour vous ? Oui, parce qu'elle salue un album, Recommence-moi. C'est un album qui m'est si cher. Et puis, on ne peut pas faire deux fois un premier album. Il ne fallait pas que je passe à côté de cette Victoire.Vous êtes apparue lors des Victoires, suspendue dans les airs, la tête en bas. Vous aimez bien ces performances spectaculaires, depuis toujours, quasiment ? Oui, j'aime le spectacle. J'aime aussi le don de soi, que ce soit corporel, dans le chant, dans l'envie de traverser les cœurs, dans des grandes mises en scène. Et dans mes chansons aussi. Mais j'aime les habiller parce qu'elles sont pudiques. Et on se souvient de Bruxelles notamment. Suspendue dans les airs. Ça a été toute une entreprise à mettre en place, je suppose…Oui, mais comme tout. Je m'aperçois que tout est entreprise quand on veut faire des pas de côté et proposer du spectacle. Mais oui, ça a commencé effectivement par un concert à Bruxelles, suspendue à 40 mètres de haut par une grue avec mon piano à queue. Et puis depuis lors, je ne cesse d'essayer d'égayer les gens et de me raconter en chanson et aussi en « Waouh » ! J'adore justement créer l'événement et faire briller un petit peu les yeux des enfants, mais aussi les yeux des enfants qu'il y a en nous.Et ce « Waouh » comme vous dites, c'est lui qui provoque ce bouche-à-oreille qui est à l'origine du succès ?Alors ça a commencé par « Popcorn salé » qui s'est partagé de bibliothèque en bibliothèque, de messages en messages. Et c'est ce qui a été la plus grande réjouissance pour moi, c'est de voir que petit à petit, cette chanson grandissait dans le cœur des gens.Parce qu'au départ, cette chanson, vous l'aviez écrite toute seule dans votre chambre. Vous étiez à 1000 lieues de la proposer. On vous a encouragé à la sortir. Comment ça s'est passé exactement ? Ce sont mes amis qui m'ont dit : « Il faut absolument que tu sortes cette chanson. Elle va faire du bien aux gens ». Et je pense que c'est cette phrase qui a percuté mon cœur et qui depuis lors, le fait battre à la chamade. C'est une rencontre que de voir des enfants chanter en concert avec leurs parents, leurs grands-parents cette chanson, la reprendre en chœur. C'est le début de cette histoire, de cette carrière, je l'espère.Les enfants, leurs parents, leurs grands-parents, c'est votre public justement, Il est intergénérationnel et ça aussi, ça fait partie un petit peu de ce qui fait votre marque de fabrique ? Alors ça, on ne peut pas le calculer. Mais cependant, c'est la plus grande joie que je peux souhaiter à n'importe quelle chanteuse ou chanteur, c'est de ne pas chanter pour une génération, mais justement pour un état d'esprit. Et cet état d'esprit qui est celui des émotions, de l'amour, je le souhaite à toutes les générations.Vous avez dédié cette Victoire à vos parents, décédés tous les deux. Vous ont-ils beaucoup encouragé dans cette voie ? Dans ma voie … et dans une voie qui est celle de la liberté, de l'expression, du panache, du verbe et de l'amour. On y revient. Mais toutes ces chansons ont ce lien là que de chanter l'amour. Alors qu'il soit fraternel ou propre, je le souhaite à tout le monde. C'est la quête d'une vie de s'aimer. Mais je pense que c'est le but de ma vie que d'égayer la vôtre.Et parmi ces chansons qui chantent l'amour, il y a la dernière-née, « La différence » qui compte beaucoup pour vous. C'est une sorte d'hymne de résistance ?Oui, on peut le dire comme ça, parce que je le scande dans la chanson « Résiste ». Je pense qu'il faut preuve de courage pour rester ancré dans cette différence et pas se diluer dans les travers que l'on peut avoir, parfois cruels du regard de l'autre et de jouir de ce privilège. Maintenant, je le dis parce que le temps a fait son œuvre et que j'ai serré le poing et que j'ai réussi à le lever haut. Mais c'est cette différence qui fait que l'on est beau. Et d'accueillir cette beauté avec réjouissance et pas culpabilité.Ce poing serré, vous le levez plusieurs fois pendant les spectacles, presque à tous les titres, C'est une résistance permanente ? Alors ça, je n'ai pas le recul sur moi, je me regarde très rarement et quand je chante, je le fais de manière tellement instinctive, j'essaie tellement de véhiculer de manière sincère ce que j'ai en moi que je ne me regarde pas. Alors peut être qu'effectivement, je le serre souvent, mais c'est pour mieux pouvoir le lever.Vous parliez de cette différence. Elle vous a suivie très tôt, cette différence. Vous étiez en avance sur votre âge. L'École, vous ne l'avez pas faite comme tout le monde. Ça a marqué tout votre parcours ? Disons que ça m'a appris à devoir apprendre ce que ce qu'était le monde. Les sentiments, parfois la violence, souvent même la violence du monde. Et on n'est pas toujours armé pour faire face à cette violence qui est émotionnelle mais aussi factuelle. On se le dit parfois, on s'ancre dans des vertiges qui peuvent être violents dans l'enfance. Alors moi, ma réponse, elle a été en musique et je pense qu'il est là, le panache. C'est de transformer ces chaos en feux de joie et de les transformer aussi en harmonie. Je pense que ce qui est joli en chanson, c'est de pouvoir battre le temps. Moi j'ai battu le temps pour que mon enfance se fasse et qu'une revanche se fasse aussi.Alors ces chansons, vous les écrivez depuis que vous êtes en solo, en français, contrairement à ce que vous faisiez avec votre groupe Hyphen Hyphen avec qui vous aviez eu une Victoire de la musique il y a quelques années. Comment s'est faite la bascule vers le français ? Elle s'est faite inconsciemment quand j'étais derrière le piano et que ces chansons me sont venues droit au cœur. Je les ai saisies, puis je les ai écrites dans un instant de vie, presque automatique. Donc il n'a pas été conscient, ce changement. Par contre, dans la réécriture, je l'ai bien conscientisé parce que c'est une langue qui exige énormément de discipline, qui est magnifique quand on arrive à la faire sonner. Je me le souhaite humblement.Parce que les artistes français que vous admirez, vous les avez un petit peu découverts sur le tard… C'est vrai que ce que j'appelle la grande variété française, Berger, Véronique Sanson, plus récemment Goldman, Mylène Farmer, ce sont des artistes que j'ai découverts ensuite. A la maison, on écoutait beaucoup de musique américaine et anglaise. Moins de chanson française, à part quelques morceaux de Bashung et de Gainsbourg. Donc c'était assez restreint. Et depuis, je pense que Berger a façonné, et Sanson aussi, beaucoup de mes harmonies et mon envie de raconter le monde avec douceur.Quand vous parlez de vos fans, de vos admirateurs, vous dites « pirates ». Pourquoi cette expression ? Je m'appelle aussi « pirate ». On forme une belle équipe, une fine équipe. C'est à dire qu'au début, avec « Popcorn Salé », ce sont des petits actes de piraterie qui ont fait que cette chanson est passée petit à petit en radio. Je me rappelle les premières télés, c'étaient vraiment des actes de piraterie parce qu'il a fallu les arracher et c'est grâce à eux, grâce à leur bouche à oreille, grâce à leurs stickers qu'ils mettaient dans les supermarchés sur les boîtes de popcorn, ou l'affichage, ou le fait d'en parler avec le cœur à leur famille, à leurs amis. Ça, pour moi, c'était un acte de partage et de piraterie. Et c'est grâce à eux que je suis là.Parce qu'au début, ce n'était pas évident. Il y avait l'intro qui était trop longue. Il y avait toujours des contraintes auxquelles on ne s'attend pas…On parlait de faire la différence. (…) On parle beaucoup de pop, on parle beaucoup de rap, mais la variété française, les chansons, les piano-voix, c'était il y a deux ans et demi, on n'en parlait pas du tout. Et du reste, c'est encore une petite bataille, mais c'est une bataille que j'ai portée fièrement parce que j'avais la conviction que l'émotion n'avait pas de format.Votre force, c'est bien sûr l'écriture, la voix. Une voix, qu'on reconnaît tout de suite. Et aussi la scène, évidemment. Et votre ambition, c'est de faire des scènes immenses. Ça va se préciser bientôt…Oui, c'est mon ambition. Alors, c'est une prétention, mais ce n'est pas de l'arrogance. C'est une volonté de faire de grands spectacles. C'est du reste ce que j'ai voulu montrer aux Victoires de la Musique avec cette introduction un petit peu spectaculaire et périlleuse que de chanter à l'envers. Mais il y a un retournement qui fait que ça devient poétique et pas juste un acte de spectaculaire pour spectaculaire, c'est mettre en scène des émotions et bientôt, je vais pouvoir les mettre en scène de manière grandiose dans tous les Zénith de France. La tournée est immense et je ne peux pas en dire trop. Mais ce que je peux dire, c'est que ça sera immense.Il y aura les Zénith puisqu'il y a plusieurs dates et ensuite, encore plus grand… Bercy, mon tout premier Bercy. J'ai un peu du mal à le dire parce que j'ai du mal un peu à réaliser qu'il va falloir être à la hauteur de ce grand rendez-vous. Je prépare vraiment cette scène comme un grand spectacle. J'ai vraiment envie que ce soit un moment où les gens s'oublient, mais cultivent la jouissance de l'instant et qu'ils passent le meilleur moment de tous les temps.Est-ce que vous aviez des rituels avant de monter sur scène ? Ah oui, ils sont trop nombreux, Mais on n'a pas le temps de tous les dire. Je ne suis que rituel. Mettre mes deux bagues, taper sept fois les mains de toute l'équipe. Alors elle devient très grande. Ça me prend quand même vraiment beaucoup de temps et j'ai commencé à le faire et chaque fois que je le faisais, les concerts étaient bons. Maintenant, c'est une liste de rituels. J'enchaîne.Santa Recommence-moi (Parlophone/Warner Music) 2024Facebook / Instagram / YouTube
Au milieu des années 80, Edith Fambuena crée les Max Valentins avec son ami Jean-Louis Piérot, le groupe deviendra ensuite Les Valentins et sortira 4 albums entre 1990 et 2001. Leur premier album est produit par Etienne Daho. Dans la foulée, Daho les emmène à New York où ensemble, ils travailleront sur son propre disque « Paris Ailleurs ». Edith Fambuena apparait d'ailleurs avec sa guitare dans le clip « Des Attractions Désastre » Mais si le devant de la scène a fait partie de sa vie, voilà des années qu'elle excelle dans son terrain de jeu préféré, le studio où elle a produit, réalisé, collaboré, composé pour de nombreux artistes parmi lesquels Brigitte Fontaine, Cali, Olivia Ruiz, Françoise Hardy, Marianne Faithfull, Jacques Higelin, Miossec, Thiefaine, la Grande Sophie, Julien Doré, Stephan Eicher, Jane Birkin, Pauline Croze, Etienne Daho, Zazie et Alain Bashung sur « Fantaisie Militaire ». Edith Fambuena raconte son parcours et son métier à travers les mots des petits papiers. Un entretien qui passionnera les amateurs de musique et donne un éclairage intéressant sur ce métier de l'ombre. Merci pour votre écoute Les petits Papiers c'est également en direct tous les dimanches de 17h à 18h sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez tous les épisodes des petits Papiers sur notre plateforme Auvio.be : https://auvio.rtbf.be/emission/2332 Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement.
durée : 00:05:32 - C'est une chanson - par : Frédéric Pommier - Elle est à l'affiche du théâtre Montparnasse dans la pièce "Les Collectionnistes" de François Barluet. Au micro de Frédéric Pommier, Christelle Reboul évoque "Suzanne" de Léonard Cohen dans la version d'Alain Bashung, une chanson qui reste liée pour elle à la naissance de sa fille Suzanne en 2013.
Je me souviens à la rentrée 1978 quand on chantait dans les couloirs du collège Le chanteur de Daniel Balavoine, on croyait du haut de nos 16 ans que c'était un génial nouveau venu, encore un ! Pourtant, comme son camarade Alain Bashung, on l'avait vu pas mal de fois ces dernières années dans des émissions de télé. Mais allez savoir pourquoi, pas son heure, sans doute, on ne l'avait pas imprimé. Bon, son premier 45 Tours solo, en 1973, on l'a pas vu passer, normal, il s'est vendu à 50 exemplaires. Ça vous dit d'en entendre un bout? … Ben oui, vous pensez bien, c'est pas du Balavoine, ils ont beau croire en lui chez Vogue, le directeur artistique lui a imposé des arrangements qui ne lui vont pas du tout. Daniel va finir par claquer la porte mais avant ça, il est choriste dans une comédie musicale, ça s'appelle La révolution française, une grosse production qui fait le tour de toutes les télés, radios, avec un double album, paru chez Vogue, bien entendu. Mais si la musique est signée Claude-Michel Schönberg, ce n'est pas encore Les Misérables, ce spectacle n'est pas un gros succès. Le métier français n'est encore nulle part, c'est pas demain qu'on fera un Hair ou Jesus Christ Superstar à Paris, entend-on dire. Mais Daniel n'y croit pas. Il est au contraire convaincu qu'on peut faire, à tout le moins des albums concept comme les British. Et il trouve, grâce à sa collaboration avec Patrick Juvet, une oreille attentive chez Eddie Barclay, voilà un producteur qui laisse la direction musicale aux artistes et il a bien raison. C'est vrai que les albums que Balavoine sort chez lui sont formidables pour l'époque. Le premier en 1975 se vend à 10.000 exemplaires, sans quasiment passer à la radio. Joli mais pas de quoi en vivre.Le suivant qui sort deux ans plus tard, moins variété, plus rock progressif, Les aventures de Simon et Gunther, récolte un petit succès, de très bonnes critiques et surtout pas mal de passages télés qui lui valent de retenir l'attention d'un téléspectateur pas comme les autres. En effet, en 1977, un certain Michel Berger, l'homme qui a ressuscité contre toute attente la carrière de France Gall est en train d'écrire non pas une comédie musicale mais un opéra rock. Et il se dit que Balavoine incarnerait bien son personnage de loubard, Johnny Rockfort. La similitude entre la pochette de Starmania et de l'album de Balavoine est d'ailleurs frappante. Mais Eddie Barclay trouve que 20.000 exemplaires, c'est peu par rapport à l'argent investi. Le disque a coûté cher et il a donc perdu de l'argent. Daniel serait-il maudit comme son pote Bashung sur l'album duquel il a tenu les chœurs ? Encore un beau disque qui ne s'est pas vendu. Si vous ajoutez à ça, le groupe que Daniel a monté et qui a sorti deux singles qui n'ont pas marché, ça commence à faire beaucoup d'échecs pour un chanteur.
durée : 00:11:01 - L'Avant-scène - par : Aurélie Charon - Sébastien Vion met en scène le spectacle cabaret "Madame Ose Bashung" au Théâtre du Rond-Point, une déclaration d'amour à Bashung par trois créatures travestis : Corine, Patachtouille et Brenda Mour. - réalisation : Alexandre Fougeron - invités : Sébastien Vion Performeur, chanteur, metteur en scène
durée : 00:11:01 - L'Avant-scène - par : Aurélie Charon - Sébastien Vion met en scène le spectacle cabaret "Madame Ose Bashung" au Théâtre du Rond-Point, une déclaration d'amour à Bashung par trois créatures travestis : Corine, Patachtouille et Brenda Mour. - réalisation : Alexandre Fougeron - invités : Sébastien Vion Performeur, chanteur, metteur en scène
Extrait : « … Jamais départi de sa belgitude, inspiré par le spleen du quotidien, tiraillé entre Bruxelles la cosmopolite et un monde qui se replie, jonglant entre la poésie brute et les accords rageurs, il jouait avec les langues en Européen convaincu qu'il était, craignant pour la survie de cette belle idée. À son décès, la Belgique a pleuré son chanteur préféré, comme l'avait fait la France pour Bashung, deux artistes d'un autre temps, où the sky was the limit … »Pour commenter les épisodes, tu peux le faire sur ton appli de podcasts habituelle, c'est toujours bon pour l'audience. Mais également sur le site web dédié, il y a une section Le Bar, ouverte 24/24, pour causer du podcast ou de musique en général, je t'y attends avec impatience. Enfin, si tu souhaites me soumettre une chanson, c'est aussi sur le site web que ça se passe. Pour soutenir Good Morning Music et Gros Naze :1. Abonne-toi2. Laisse-moi un avis et 5 étoiles sur Apple Podcasts, ou Spotify et Podcast Addict3. Partage ton épisode préféré à 3 personnes autour de toi. Ou 3.000 si tu connais plein de monde.Good Morning Music Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 00:05:15 - C'est une chanson - par : Frédéric Pommier - Auteur, comédien, performeur, DJ, metteur en scène et chanteur de cabaret sous les traits de son personnage Corrine, il reprend jusqu'au 28 décembre son spectacle "Madame ose Bashung" au théâtre du Rond-Point. Au micro de Frédéric Pommier, Sébastien Vion évoque le titre "Montevideo" d'Alain Bashung.
Cette quinzaine on vous parle d'un des monuments du rock français ! Pas facile de balayer une oeuvre aussi dense que celle d'Alain Bashung, qui, sur près de 5 décennies a su développer un style qui n'appartient qu'à lui. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
mélange azimut pour public épicurien....
"Paroles, Paroles" de Sébastien Ministru : « Aucun express » d'Alain Bashung. Merci pour votre écoute Entrez sans Frapper c'est également en direct tous les jours de la semaine de 16h à 17h30 sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez l'ensemble des épisodes et les émission en version intégrale (avec la musique donc) de Entrez sans Frapper sur notre plateforme Auvio.be : https://auvio.rtbf.be/emission/8521 Abonnez-vous également à la partie "Bagarre dans la discothèque" en suivant ce lien: https://audmns.com/HSfAmLDEt si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Vous pourriez également apprécier ces autres podcasts issus de notre large catalogue: Le voyage du Stradivarius Feuermann : https://audmns.com/rxPHqEENoir Jaune Rouge - Belgian Crime Story : https://feeds.audiomeans.fr/feed/6e3f3e0e-6d9e-4da7-99d5-f8c0833912c5.xmlLes Petits Papiers : https://audmns.com/tHQpfAm Des rencontres inspirantes avec des artistes de tous horizons. Galaxie BD: https://audmns.com/nyJXESu Notre podcast hebdomadaire autour du 9ème art.Nom: Van Hamme, Profession: Scénariste : https://audmns.com/ZAoAJZF Notre série à propos du créateur de XII et Thorgal. Franquin par Franquin : https://audmns.com/NjMxxMg Ecoutez la voix du créateur de Gaston (et de tant d'autres...)
12 août 1967, il ne fait pas très beau à Bruxelles, une température minable de 18 degrés mais consolation, elle baisse à peine le soir. Etv c'est tant mieux pour Yves Simon et Alain Bashung qui sont là, côte à côte, à dormir sur un banc de la Gare du Midi, en attendant un improbable train dans lequel ils comptent monter comme des pirates pour rentrer chez eux, à Paris. L'histoire avait pourtant bien commencé avec leur arrivée à Bruxelles une semaine plus tôt pour un concert qui devait être suivi par une tournée de 17 dates.Bashung en a bien besoin, aucun des 45 Tours qu'il vient de sortir chez Philips n'a marché. Tout y était pourtant : d'excellents titres produits par un petit génie un peu allumé qui se prend pour le Phil Spector français, Bashung avait même obtenu le soutien de Juliette Gréco, comme elle l'avait fait pour Jacques Brel, quinze ans plus tôt, et puis Serge Gainsbourg. L'horizon semble donc bouché, la situation désespérée pour Bashung, alors cette tournée à l'étranger tombe à pic. Mais voilà, en sortant de scène, l'impresario leur dit qu'il y a un problème, la tournée ne commencera que dans une semaine. D'ici là, il logera chez l'habitant, à bouffer des tartines, chez des gens charmants, là n'est pas la question, mais après huit jours, il est clair que le producteur est un charlot.C'est toute l'histoire de Bashung, ça. Mal né, avec des parents, mais où ? Mal grandi chez des grands-parents d'un autre siècle, à la frontière allemande, loin de Paris, avec le rock'n'roll qui passe à la radio et une furieuse envie d'en être. Et puis voilà, Johnny, Eddy, des Chats sauvages, Cloclo qui occupent tout l'espace. Ce n'est pas son univers, la musique qu'il entend dans sa tête ; Bashung n'arrive pas à se faire une place parmi les yéyés, Salut les copains ne veut pas de lui, ou plutôt son public, les Français ne sont pas prêts à le suivre tel Jack Kerouac sur la route, enfin des chemins perdus d'Angleterre et d'Amérique. Bashung est maudit et va le rester durant toutes les années 60 et 70, un parcours incroyablement long de perdant, une éternité de loose pavée d'espoirs déçus.
durée : 00:59:12 - LES_DUOS_DE_FRANCOISE_HARDY_3_3_LES_ANNEES_2000_A_2010. - « Tour de chant » célèbre les 80 ans de Françoise Hardy en présentant la qualité et la diversité des duos qui ont émaillé sa carrière, toutes générations confondues, sur disque ou bien à la télévision. Trois émissions pleines de surprises !
Un musicien belge dans les Petits Papiers qui mène une carrière internationale. C'est en voyant son père faire de la musique de chambre dans leur salon avec quelques amis qu'il tombe en pamoison devant un violoncelle. Il a 6 ans et commence alors une formation classique et fait immédiatement corps avec cet instrument particulier. A l'adolescence, les sirènes du rock viennent lui chatouiller les oreilles. Difficile d'intégrer un groupe rock à cet âge avec un violoncelle, il va donc s'initier à la basse électrique. En parrallèle, le violoncelle continue à faire partie de sa vie et le mélange des genres prend forme doucement. En 2000, il a 25 ans, un ami lui propose de rejoindre l'ensemble de cordes qui accompagnent William Sheller. De fil en aiguille, il accompagnera sur scène Yann Tiersen, Miossec, Alain Bashung, Daniel Darc, Christophe, Daan, Hubert-Félix Thiéfaine et Eric Cantona entre autres. Merci pour votre écoute Les petits Papiers c'est également en direct tous les dimanches de 17h à 18h sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez tous les épisodes des petits Papiers sur notre plateforme Auvio.be : https://auvio.rtbf.be/emission/2332 Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement.
Gaëtan Roussel, chanteur, compositeur, auteur et réalisateur raconte son histoire, ses joies, ses doutes, ses méthodes de travail dans les Petits Papiers. Un chemin jalonné de succès avec Louise Attaque, Tarmac ou ses projets en solo. Et une vie de rencontres avec d'autres artistes pour faire de la musique ou réaliser des albums comme « Bleu Pétrole » d'Alain Bashung. Dans cet épisode des Petits Papiers, Gaëtan Roussel sourit et se confie avec douceur et sérénité sur un parcours hors du commun et la passion qui l'habite depuis toujours, la musique. Merci pour votre écoute Les petits Papiers c'est également en direct tous les dimanches de 17h à 18h sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez tous les épisodes des petits Papiers sur notre plateforme Auvio.be : https://auvio.rtbf.be/emission/2332 Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement.
durée : 00:19:31 - Gainsbourg dans l'œil du photographe Pierre Terrasson - Pierre Terrasson a photographié les visages du rock dans les années 70/80 (Mick Jagger, Les Rita Mitsouko, Bashung...) et Serge Gainsbourg. A travers son regard, ses souvenirs de la rue de Verneuil et des séances photos décalées, il nous fait entrer dans l'univers de l'artiste et son intimité.
durée : 00:05:43 - La chronique de Djubaka - par : Julien Deflisque - Il y a des moments où on est désabusés des promesses politiques, des gus qui retournent leurs vestes au moindre coup de vent. On l'aime, mais elle nous fatigue, la République. C'est ce que raconte cette chanson d'Alain Bashung, Alsacien d'origine, comme nous l'explique Djubaka dans sa chronique.
durée : 00:03:32 - Le karaoké de Thomas Croisière - "Aujourd'hui c'est vendredi et j'voudrais bien qu'on m'aime" chantait Bashung. Un texte de Boris Bergman que Yann Chouquet, le directeur des programmes de France Inter, voulait karaoker pour son départ. L'occasion de chanter aussi Dalida, Schmoll, Demis et… Michel...
Chaque jour, deux chroniqueurs présentent les infos indispensables à connaître en matière de culture : les dernières actus musique, les sorties littéraires ou cinéma, les nouvelles pièces de théâtre et les séries à ne pas manquer… C'est ici !
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À l'occasion de sa tournée "D'Amériques et de France" et de son album "Les chevaux du plaisir : Isabelle Boulay chante Bashung", Isabelle interprète le titre "La nuit je mens" en live dans Culture médias.
Il a trois groupes différents. Chante aussi en solo. Et s'offre cette fois seize duos. Auteur compositeur interprète, peut-être le plus discret de tous, assurément un des plus productifs, et toujours bien entouré. Gaëtan Roussel a toujours adoré les duos. Sur ses disques. Sur ceux des autres. Il a eu l'idée d'en compiler dix enregistrés ces dernières années. Et d'en ajouter six inédits. Nom du projet ? "Eclect!que". Et le casting est dingue : Alain Souchon, Isabelle Adjani, Vanessa Paradis, M, Daniel Auteuil, Soprano, Hoshi, Louane,... Un disque entre passé et présent. Entre différentes générations. L'occasion de parler avec Gaëtan Roussel de son amour du collectif, ses débuts en groupe, comment Alain Bahsung lui a donné des ailes, sa place singulière dans la chanson reconnu mais pas très connu, comment il créé et son premier rôle au cinéma. Le film de Daniel Auteuil dans lequel il joue s'appellera "Le fil". Sortie prévue le 4 septembre 2024.
Jazz, Blues et Rock N' Roll= plus le Sud vu par Bashung
durée : 00:19:31 - Le photographe Pierre Terrasson nous fait entrer chez Gainsbourg - Pierre Terrasson a photographié les visages du rock dans les années 70/80 (Mick Jagger, Les Rita Mitsouko, Bashung...) et Serge Gainsbourg. A travers son regard, ses souvenirs de la rue de Verneuil et des séances photos décalées, il nous fait entrer dans l'univers de l'artiste et son intimité.
Depuis 2018, le journaliste Thomas Rozec anime le podcast d'actualité de Binge Audio, Programme B . C'est pour parler de ce programme que notre critique podcast, Matilde Meslin, l'avait reçu dans l'épisode 59 de Sans Algo. Lors de son passage, le journaliste a eu la gentillesse de recommander un de ses podcasts préférés: Bashung, de l'aube à l'aube, une série documentaire et musicale signée par la Radio Télévision Suisse (RTS).Ce podcast est un récit choral sur la vie et l'œuvre d'Alain Bashung, célèbre auteur, compositeur et interprète français, décédé en mars 2009. Selon notre invité, les points positifs sont le grand nombre d'archives, notamment le témoignage des proches de l'artiste, mais aussi des voix d'experts et, surtout, de très belles musiques. Thomas Rozec recommande particulièrement le septième épisode qui retrace l'enregistrement de l'album L'Imprudence, sorti en octobre 2002.Matilde Meslin est responsable de Slate Audio et journaliste spécialiste des podcasts. Elle écoute des dizaines d'heures de podcasts par mois. Et comme elle est sympa, elle a eu envie de partager avec vous ses coups de cœur podcastiques, pour vous donner des idées de trucs à écouter pendant le week-end. Une sélection garantie sans algorithme!Sans Algo est un podcast de Matilde Meslin produit par Slate PodcastsDirection éditoriale: Christophe CarronProduction éditoriale: Nina ParejaMontage et réalisation: Mona DelahaisMusique: «Puffer», Rondo BrothersPour nous écrire: podcast@slate.fr
100 % Musique Française. Playlist: 1/ Marc Lavoine « Les Yeux Révolver » (Yann Muller Remix) 2/ Bon Entendeur feat Emma Peters « Le Coup d'Soleil » 3/ Vivien Savage& Funky French League « La p'tite Lady » (Monsieur Willy Extended Tribute mix) 4/ Lockhart « C'est La Ouate » 5/ Jeane Manson « Avant de nous dire Adieu » (Ced ReWork) 6/ Axel Bauer « Cargo de Nuit » (Le General Remix) 7/ Michel Berger « Les Princes des Villes » (BDBF edit) 8/ Veronique Sanson & Funky French League « Chanson sur ma drôle de Vie » (Funky French League remix ) 9/ France Gall « Débranche » (Absolut Bibiche Remix) 10/ Michel Delpech « Le Chasseur » (Ced ReWork) 11/ Tina Arena « Aimer Jusqu'a l'Impossible » (Yammix remix) 12/ Alain Souchon « Foule Sentimentale » (Discodena Remix) 13/ Bashung »Vertige de L'amour » (Discodena Remix) 14/ Jeanne Mas « Toute Première Fois » (Pablo Bozzi Remix) 15/ Mylene Farmer « Désenchantée » (Upsilone Remix) 16/ Niagara « Je Dosi m'en Aller » (Le gout Du Son edit) 17/ Patrick Coutin « J'aime regarder les Filles » (Manu Falcon Extended Remix) 18/ Daniel Balavoine « L'Aziza » (Luke Delite remix)
Brassens/Le Forestier, Bashung, Johnny, Eddy, Charles Aznavour, Michel legrand,Gil bert Becaud, Nougaro, Brel,Barbara, Lavilliers, Francis Lemarque/Michel Korb et Dutronc et Dutronc
On va mettre les points sur les i dans ce Podcast 80 (en fait le 120 ou 125ème vous le savez, mais avec tous ces Bis, Ter, etc..) car j'en ai marre que l'on vous prenne pour des imbéciles, je ne supporte pas qu'on fasse passer des hippos pour des girafes à mes Bravettes et mes Braves, ça m'est insupportable !!! Donc on va tout vous expliquer, et surtout appeler 1 chat 1 chat.. et ça tombe bien puisqu'il il y en aura 2, de chats, dans ce Podcast, et chaque fois dans la ville éternelle.. étonnant non ? il va aussi être question de Bruce Lee, d'une dizaine de Rolex (bien avant 50 ans puisque j'en avais 22..), d'Anita, de Marcelooooo.. une douceur de vie mais, un combat d'une violence boudiouuuuu.. et ces craquements de phalanges mamamia.. et puis de la musique bien sûr, du Bashung, du Ennio, et même sur la fin, avant une intervention très remarquée du Général, notre Mireille Mathieu nationale hihi.. oui je sais, je suis déroutant.. Alors venez me rejoindre dans le délire de ce football, son actualité et sa grande Histoire..
De quelle artiste américaine la cinéaste Laura Poitras dresse-t-elle le portrait dans ce film primé qui sort mercredi ? Parmi les enfants de Bono, à côté de Eve l'actrice, qui s'impose aujourd'hui sur la scène rock ? Après la prison, comment vivre ? Et comment le film belge « Temps mort » explore-t-il ce thème ? A quoi s'attendre avec le deuxième album d'Aimé Simone, musicien français basé à Berlin ? Comment Sean Lennon devient-il producteur avec le groupe Temples ? La franchise de films d'horreur « Evil dead » parvient-elle à se renouveler avec « Evil dead rise » ? Isabelle Boulay qui chante Bashung, est-ce vraiment une bonne idée ? Et le groupe Sir Chloë doit-il beaucoup à Wet Leg ? Toutes les réponses à ces questions sont dans « La semaine des 5 heures » de ce lundi 17 avril
Ces plus grands tubes, ses reprises et extrait de son ultime concert en 2008
60 minutes de tubes et de reprises
Dutronc et Dutronc, Beverly Jo Scott, Bashung, ......
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De Diana Krall Its is Snow à Elvis White Christmas, en passant par Johny et el symphonic London Orchestra, Bashung sur Suzane, Paul Mc Crtney My Valentine.....
Loo du fleuve Bookmakers #21 - L'autrice du mois : Loo Hui PhangNée en 1974 au Laos, Loo Hui Phang est l'une des scénaristes les plus respectées de la bande dessinée franco-belge. Ses histoires dessinées par Frederik Peeters (« L'Odeur des garçons affamés ») ou Philippe Dupuy (« Les enfants pâles », « Nuages et pluie ») sont hantées par les thèmes de l'identité, du désir et de l'étrangeté. Lauréate en 2021 du prix Goscinny du scénario pour « Black-out » (dessiné par Hughes Micol, sur un acteur métis de l'âge d'or hollywoodien), elle a imaginé et coordonné en janvier 2022 une exposition exceptionnelle au festival international de la BD d'Angoulême : « Écrire est un métier », sur la profession de scénariste de BD. Également metteuse en scène, dramaturge et romancière, Loo Hui Phang vit et travaille à Bruxelles. Loo du fleuve (1/3)Ses histoires sont peuplées de fantômes ou de personnages moralement ou sexuellement « ambigus », capables à tout moment de faire dévier le cours du récit – et nous emporter tel un fleuve en furie. Née sur les bords du Mékong en 1974, fuyant les khmers rouges avec sa famille, Loo Hui Phang étudia d'abord les lettres et le cinéma en Normandie. Bouleversée par une biographie de François Truffaut, formée à l'art du scénario par l'une des plus proches collaboratrices de celui-ci, et sommée de venir à Paris par Jean-Pierre Léaud en personne, celle qui aimerait être « hermaphrodite : un mélange d'Arthur Rimbaud et de Marguerite Duras » arrive à la bande dessinée « par accident », en 1999. Depuis « La minute de bonheur », illustrée par Jean-Pierre Duffour aux éditions L'Association, on guette avec fougue, oui, les albums de Loo Hui Phang, qu'on peine à faire rentrer dans une case. Car quand elle n'écrit pas pour le 9e art, cette artiste du « frottement entre les genres », qui adore quand la BD « s'accouple » avec d'autres formes d'expression, met en scène des spectacles avec Bertrand Belin ou Rodolphe Burger, tourne un clip pour Moriarty, revisite son passé dans un bref premier roman sensuel nommé « L'Imprudence » (en clin d'œil à Bashung), adapte Houellebecq en court-métrage avec Melvil Poupaud et Kad & Olivier, ou part en Arizona filmer les drag-queens mexicaines. « Changer de territoire, interroger les limites... émanent de l'exil qui a fait bifurquer ma vie », dit-elle. Dans ce premier épisode, promenons-nous avec Loo dans les sillons fertiles de ses bifurcations. Enregistrement : octobre 22 - Texte, voix, entretien, découpage : Richard Gaitet - Prise de son, montage : Sara Monimart - Réalisation, mixage, musiques originales : Samuel Hirsch - Lectures : Emma Bouvier, Stella Defeyder, Samuel Hirsch, Charlie Marcelet - Illustration : Sylvain Cabot - Remerciements : Pierre Christin, Clarisse Le Gardien - Production : ARTE Radio - Samuel Hirsch
durée : 00:05:14 - Derrière nos voix - par : Bertrand DICALE - Tout l'été dans "Derrière nos voix", nous rencontrons huit artistes majeurs de la chanson française qui, chez eux et leur instrument en main, nous dévoilent les secrets de leurs créations. Jeudi 4 août, Gaëtan Roussel, la guitare en main, nous raconte sa rencontre avec l'immense interprète de l'album "Bleu pétrole".
Tout l'été, retrouvez les best of des meilleures imitations de Laurent Gerra en podcast. Ce 18 juillet, Michel Sardou, Alain Bashung, Bourvil, Dany Brillant et Johnny Hallyday sont au programme au cœur d'une "Compil Zemmour"...
Les jeux sont faits, ne votez plus Macron ou Le Pen ? Fraise ou chocolat ? Soirée électorale à la télé ou manif sauvage ? Déprime ou dance floor ? Arno ou Bashung ? Ukraine ou Ukraine ? Beaucoup de dilemmes cette semaine et autant de non-choix. Livo sonde la rue et répond tout en sons... "Dépêche", le podcast des choix, est à retrouver chaque mercredi sur ARTE Radio. Abonnez-vous sur notre site, Apple Podcasts, Spotify, SoundCloud ou Deezer. Enregistrements : 19, 23, 24, 25, 26 avril 22 - Texte, voix, réalisation : Olivier Minot - Mix : Charlie Marcelet - Production : ARTE Radio
Rhoda Scott Trio, Elvis, Bashung, Lavilliers, Higelin, Boby Troup, Big Boy Cudrup, Nigel Kennedy, Carlos Santana....