French artist
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L'exposition Instants données est à retrouver au musée Maillol, à Paris, une exposition touchante et exhaustive, réalisée en collaboration avec ses deux filles de Robert Doisneau, Annette et Francine, et la société belge Tempora. Au fil de 400 clichés, on redécouvre la capitale française à travers le regard du photographe, comme un souffle d'humanité en noir et blanc. « Le baiser de l'Hôtel de Ville »: deux amoureux s'embrassent devant une terrasse de café, à deux pas de l'Hôtel de Ville de Paris. C'est probablement cette photo qui vous vient en tête lorsque vous entendez le nom de Robert Doisneau, l'un des photographes les plus emblématiques du XXème siècle et du courant humaniste.Pendant plus de 50 ans, Robert Doisneau a arpenté les rues de Paris à la façon de celui qu'il aimait décrire comme « le patient passant » : celui qui attend des heures pour immortaliser ces instants de vie qui laissent les autres indifférents, jusqu'à ce que son appareil photo les rende éternels.Francine Deroudille, l'une des deux filles du photographe – qui a fondé avec sa sœur l'atelier Robert Doisneau , où sont conservées toutes ses photos – est aujourd'hui l'une des commissaires de cette exposition : « On a voulu montrer toute une séquence qui s'appelle "Gravité", où on voit les photos des gens à qui la vie n'a pas fait de cadeaux, explique-t-elle. Que ce soit les prostituées des halles ou des mineurs à Lens qui vivent dans des conditions épouvantables. Robert Doisneau a fait des photos qui peuvent être très dures, mais le regard qu'il porte sur les gens n'est jamais dur. »La solidarité : une valeur chère au cœur de Robert Doisneau. Une solidarité sans distinction, sans hiérarchie. C'est ce que l'on ressent en se baladant dans les allées du musée Maillol. Une exposition de plus de 400 photos, en noir et blanc la plupart du temps, qui représentent des enfants qui jouent dans les rues ou au pied de la tour Eiffel, des amoureux qui dansent un soir de 14 juillet, mais aussi les banlieues parisiennes. Des banlieues dans lesquelles il aimait passer son temps libre, il fut d'ailleurs l'un des premiers à les photographier : Les gens de la banlieue, peut-être parce que le décor sert de repoussoir, je les trouve très attendrissants. La jeunesse en banlieue prend une valeur, un caractère ... « De nos jours, les banlieues sont très photographiées, retrace Francine Deroudille. Au moment où il le faisait, ce n'était pas du tout [le cas]. Tous les objectifs s'étaient détournés de cette photographie sociale. Il va montrer des photographies qui vont pouvoir étayer un propos de révolte sociale. »Connu pour son côté provocateur, Robert Doisneau était aussi un grand conteur. Il n'aimait pas qu'on le réduise à un simple témoin du réel. Et pourtant, Doisneau c'est une histoire de rencontres et de récits de vie. Lorsqu'il rentrait chaque soir, ses filles se souviennent qu'il aimait leur raconter ses aventures parisiennes. Des histoires qui se rejoignent toutes en un point : un regard profondément bienveillant. Un regard qui serait précieux aujourd'hui, comme le souligne sa fille : « Je pense qu'en ce moment où la société est rude et où les rapports des gens sont violents, il aurait été content de représenter la liberté, la fraternité et l'égalité. Ce n'est pas un homme qui cherchait à représenter un message en particulier, mais il y a quand même un message de paix dans son travail. »La désobéissance, c'est la lutte contre l'autorité. Quand des gens représentant l'autorité, la force publique, vous disent 'circulez, il n'y a rien à voir', c'est là qu'il faut impérativement s'arrêter et regarder. C'est là qu'il se passe des choses. ► Une exposition à découvrir jusqu'au 12 octobre 2025 au musée Maillol. À lire aussiLe photographe franco-brésilien Sebastião Salgado est mort à l'âge de 81 ans
L'exposition Instants données est à retrouver au musée Maillol, à Paris, une exposition touchante et exhaustive, réalisée en collaboration avec ses deux filles de Robert Doisneau, Annette et Francine, et la société belge Tempora. Au fil de 400 clichés, on redécouvre la capitale française à travers le regard du photographe, comme un souffle d'humanité en noir et blanc. « Le baiser de l'Hôtel de Ville »: deux amoureux s'embrassent devant une terrasse de café, à deux pas de l'Hôtel de Ville de Paris. C'est probablement cette photo qui vous vient en tête lorsque vous entendez le nom de Robert Doisneau, l'un des photographes les plus emblématiques du XXème siècle et du courant humaniste.Pendant plus de 50 ans, Robert Doisneau a arpenté les rues de Paris à la façon de celui qu'il aimait décrire comme « le patient passant » : celui qui attend des heures pour immortaliser ces instants de vie qui laissent les autres indifférents, jusqu'à ce que son appareil photo les rende éternels.Francine Deroudille, l'une des deux filles du photographe – qui a fondé avec sa sœur l'atelier Robert Doisneau , où sont conservées toutes ses photos – est aujourd'hui l'une des commissaires de cette exposition : « On a voulu montrer toute une séquence qui s'appelle "Gravité", où on voit les photos des gens à qui la vie n'a pas fait de cadeaux, explique-t-elle. Que ce soit les prostituées des halles ou des mineurs à Lens qui vivent dans des conditions épouvantables. Robert Doisneau a fait des photos qui peuvent être très dures, mais le regard qu'il porte sur les gens n'est jamais dur. »La solidarité : une valeur chère au cœur de Robert Doisneau. Une solidarité sans distinction, sans hiérarchie. C'est ce que l'on ressent en se baladant dans les allées du musée Maillol. Une exposition de plus de 400 photos, en noir et blanc la plupart du temps, qui représentent des enfants qui jouent dans les rues ou au pied de la tour Eiffel, des amoureux qui dansent un soir de 14 juillet, mais aussi les banlieues parisiennes. Des banlieues dans lesquelles il aimait passer son temps libre, il fut d'ailleurs l'un des premiers à les photographier : Les gens de la banlieue, peut-être parce que le décor sert de repoussoir, je les trouve très attendrissants. La jeunesse en banlieue prend une valeur, un caractère ... « De nos jours, les banlieues sont très photographiées, retrace Francine Deroudille. Au moment où il le faisait, ce n'était pas du tout [le cas]. Tous les objectifs s'étaient détournés de cette photographie sociale. Il va montrer des photographies qui vont pouvoir étayer un propos de révolte sociale. »Connu pour son côté provocateur, Robert Doisneau était aussi un grand conteur. Il n'aimait pas qu'on le réduise à un simple témoin du réel. Et pourtant, Doisneau c'est une histoire de rencontres et de récits de vie. Lorsqu'il rentrait chaque soir, ses filles se souviennent qu'il aimait leur raconter ses aventures parisiennes. Des histoires qui se rejoignent toutes en un point : un regard profondément bienveillant. Un regard qui serait précieux aujourd'hui, comme le souligne sa fille : « Je pense qu'en ce moment où la société est rude et où les rapports des gens sont violents, il aurait été content de représenter la liberté, la fraternité et l'égalité. Ce n'est pas un homme qui cherchait à représenter un message en particulier, mais il y a quand même un message de paix dans son travail. »La désobéissance, c'est la lutte contre l'autorité. Quand des gens représentant l'autorité, la force publique, vous disent 'circulez, il n'y a rien à voir', c'est là qu'il faut impérativement s'arrêter et regarder. C'est là qu'il se passe des choses. ► Une exposition à découvrir jusqu'au 12 octobre 2025 au musée Maillol. À lire aussiLe photographe franco-brésilien Sebastião Salgado est mort à l'âge de 81 ans
durée : 00:15:41 - Les Midis de Culture - par : Marie Labory - À travers un choix de près de 400 photographies, le musée Maillol propose de (re)découvrir le photographe Robert Doisneau qui, à travers ses clichés du quotidien, livre un regard unique sur Paris et sur le monde. - réalisation : Laurence Malonda - invités : Joseph Ghosn Directeur adjoint de la rédaction de Madame Figaro; Philippe Azoury Journaliste, critique et auteur
durée : 00:27:07 - Les Midis de Culture - par : Marie Labory - Au programme du débat critique, deux expositions : "Robert Doisneau, instants donnés" au musée Maillol et "Le Paris d'Agnès Varda, de-ci de-là" au musée Carnavalet. - réalisation : Laurence Malonda - invités : Philippe Azoury Journaliste, critique et auteur; Joseph Ghosn Directeur adjoint de la rédaction de Madame Figaro
Tunisie : l'inquiétante dérive autoritaire du président Saïed Entre tristesse et frustration, l'Argentine pleure son pape Le succès mondial d'un chocolat déstabilise le marché de la pistache Attractivité économique : les investisseurs boudent la France Le photographe Robert Doisneau mis à l'honneur au Musée Maillol
Le musée Maillol à Paris accueille une rétrospective exceptionnelle de Robert Doisneau, dévoilant plus de 350 clichés du célèbre photographe. Intitulée "Robert Doisneau. Instants Donnés", l'exposition explore 50 ans de l'œuvre de Doisneau, mettant en lumière sa capacité unique à capturer l'extraordinaire dans le quotidien. Ecoutez Laissez-vous tenter - Première avec Laurent Marsick du 18 avril 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
1. Le Vatican souhaite canoniser lʹarchitecte catalan Antoni Gaudi. 2. Plus de 350 photographies de Robert Doisneau exposées au musée Maillol. 3. Le dernier film du réalisateur Laurent Cantet, décédé en 2024, fera l'ouverture de la Quinzaine des cinéastes lors du 78e Festival de Cannes.
durée : 00:26:54 - Les Midis de Culture - par : Marie Labory - Au menu du débat critique, des expositions : "Nadia Léger, une femme d'avant-garde" au musée Maillol et "Lê Phô, Mai-Thu, Vu Cao Dam Pionniers de l'art moderne vietnamien en France" au musée Cernuschi. - réalisation : Laurence Malonda - invités : Corinne Rondeau Maître de conférences en esthétique et sciences de l'art à l'Université de Nîmes et critique d'art; Stéphane Corréard Editorialiste au Journal des Arts; Carole Boinet Journaliste, directrice de la redaction des Inrockuptibles
Rediffusion : C'est au musée Maillol que Golshifteh Farahani donne rendez-vous à Pierre Lescure, pour évoquer son exceptionnel début de carrière en Iran, sa quête de liberté, ses projets internationaux avec entre autres Ridley Scott et Jim Jarmusch, et sa passion de l'art et de la création. Elle mettra son talent flamboyant au service du personnage de Roqya, bientôt à l'affiche.
Fins al 17 de novembre, el Museu Maillol de Banyuls de la Marenda presenta l'exposició: "Mykola Tolmachev, le désir du dessin". Una retrospectiva de més de 60 obres, realitzades entre 2014 i 2023, del jove artista ucraïnès Mykola Tolmachev (nascut en 1993). Tolmachev, un aquarel·lista d'una gran poesia i d'una gran delicadesa, que utilitza una tècnica digna dels grans mestres del Renaixement al servei d'una reflexió sobre l'actualitat i sobre les paradoxes del nostre món contemporani.
L'exposition ‘Hyperréalisme. Ceci n'est pas un corps' qui s'est tenue à Paris au Musée Maillol, de fin 2022 à mars 2023, n'a pas manqué de perturber et d'interpeller ses visiteurs. Après un passage en Belgique, en Australie et aux Pays-Bas, l'exposition s'est arrêtée en France pour faire découvrir aux parisiens 40 œuvres frappantes de réalisme. Les corps à taille réelle ont séduit plusieurs milliers de visiteurs. Mais qu'est-ce que l'hyperréalisme ? Quel artiste en est à l'origine ? Et quel est le message derrière ce courant artistique ? Ecoutez la suite de cet épisode de "Maintenant Vous Savez - Culture". Un podcast Bababam Originals, écrit et réalisé par Carole Beaudouin. Première diffusion : 23 septembre 2023 À écouter aussi : Quels sont les pires scandales écologiques causés par des tournages de films ? Sylvester Stallone, Fabrice Luchini, Cameron Diaz... qui sont ces célébrités passées par le porno ? Qu'est-ce que le toying, cette pratique mal considérée dans le graffiti ? Retrouvez tous les épisodes de "Maintenant vous savez - Culture". Suivez Bababam sur Instagram. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Les sorties BD de Xavier Vanbuggenhout : - « Jesse Owens : Des miles et des miles » de Gradimir Smudja (Futuropolis) - « Les nourritures extraterrestres » de Stephen Vuillemin (Denoël Graphic) - « Il était une fois le jeu vidéo » de Jean Zeid et Emilie Rouge (Les Arènes BD) La rétrospective consacrée au célèbre photographe franco-américain Elliott Erwitt ouvre sur la Grand-Place de Bruxelles ce vendredi 7 juin jusqu'au 5 janvier 2025. On en parle avec la commissaire Isabelle Benoit. Après Paris (Musée Maillol) et Lyon (la Sucrière), l'exposition Elliott Erwitt ouvre à la Grand-Place de Bruxelles. Avec plus de 215 photographies, cette exposition est une rétrospective de l'œuvre d'Elliott Erwitt, la plus exhaustive à ce jour et la dernière conçue avec le photographe décédé fin 2023. L'exposition tente d'en présenter les nombreuses facettes et d'en dégager les traits distinctifs : l'humour, l'ironie teinte de tendresse, la curiosité toujours en éveil, l'accent mis sur l'émotion, que cet homme pourtant cultivé privilégie au détriment d'une approche sèchement intellectuelle. L'humanisme surtout, qui imprègne l'ensemble de son œuvre. Il l'a affirmé lui-même : « En réalité, dire qu'il y a de l'humanité dans mes photos est le plus grand compliment qu'on ne m'ait jamais adressé. Si mes photos permettent aux gens de voir le monde d'une certaine façon, c'est certainement d'y voir les choses sérieuses de manière non sérieuse. » Son affaire, dit-il, c'est « la condition humaine. » C'est aussi la nôtre. L'artiste belgo-congolaise Reinel Bakole pour son premier album "Healing Exhaustion", sorti le 2 février dernier. Elle sera en concert le 13/07 au Gent Jazz Festival et le 19/07 au Dour Festival. La chronique de Josef Schovanec : Le peintre allemand de la Renaissance Albrecht Dürer. Le talk-show culturel de Jérôme Colin. Avec, dès 11h30, La Bagarre dans la Discothèque, un jeu musical complétement décalé où la créativité et la mauvaise foi font loi. À partir de midi, avec une belle bande de chroniqueurs, ils explorent ensemble tous les pans de la culture belge et internationale sans sacralisation, pour découvrir avec simplicité, passion et humour. Merci pour votre écoute Entrez sans Frapper c'est également en direct tous les jours de la semaine de 11h30 à 13h sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez tous les épisodes de Entrez sans Frapper sur notre plateforme Auvio.be : https://auvio.rtbf.be/emission/8521 Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement.
Wann welches Thema besprochen wird03:00 Wie ist es, an einem solchen Ort zu arbeiten04:53 Die drei Steinskulpturen von Aristide Maillol09:05 Wieso diese Ausstellung?11:50 Werke ausleihen, das war früher nicht erlaubt13:05 Welche Werke sind besonders beliebt bei anderen Museen?14:15 Hat Katja Baumhoff ein Lieblingsgemälde?15:20 Die Skulpturen kamen mit Kränen in den Saal17:20 Oskar Reinhart lebte hier, was sieht man davon noch?18:30 Wieso Reinhart Kunst sammelte19:58 Was macht das Römerholz so besonders?21:00 Was macht ein Meisterwerk zu einem Meisterwerk?24:20 Die Werke von Renée Sintenis werden wiederentdeckt27:25 Das Fohlen aus dem Ruhrgebiet, das geklaut, zersägt und angefahren wurde30:40 Sintenis und Maillol zusammen mit Albert Einstein33:05 Sintenis schuf den Berliner Bär34:30 Maillol und seine Kriegsdenkmäler mit der trauernden Frau38:12 “Eine Sensation”: Renoir-Gemälde mit Maillol-Figur zusammengeführt40:15 Viele Leihgesuche waren erfolgreich41:20 Wie Baumhoff zum Job im “Römerholz” kam42:50 Wie ihre tägliche Arbeit aussieht45:45 Provenienzforschung im Römerholz49:10 Die Erben Reinharts wollen den Bund beschenken, wieso dauert die Entscheidung so lange?52:50 2025 ist das Römerholz für ein Jahr geschlossen
His images have been celebrated, vandalised and even discussed in Congress. Andres Serrano's art tackles religion, sex, death and above all, America: its idiosyncrasies and the questions of politics, religion, class and ethnicity, which divide its citizens. He discusses this body of work as the show "Portraits of America" opens at Paris's Musée Maillol, with an eye on the symbols that reveal so much about his fellow Americans. Serrano talks about photographing Donald Trump two decades ago and discusses how the former US president has continued to feature in his work. He also tells us why, when dealing with hot-button issues like race and religion, his work is so often misunderstood.
durée : 00:58:03 - Affaires culturelles - par : Arnaud Laporte - Alors que s'ouvre au Musée Maillol une exposition monographique qui lui est consacrée, le photographe américain Andres Serrano fait escale dans notre studio pour nous parler de sa pratique, qui a tant de fois suscité des polémiques, allant jusqu'à des actes de vandalisme. - invités : Andrès Serrano
C'est au musée Maillol que Golshifteh Farahani donne rendez-vous à Pierre Lescure, pour évoquer son exceptionnel début de carrière en Iran, sa quête de liberté, ses projets internationaux avec entre autres Ridley Scott et Jim Jarmusch, et sa passion de l'art et de la création. Elle mettra son talent flamboyant au service du personnage de Roqya, bientôt à l'affiche.
Cette semaine, le Paris des Arts est entièrement consacré à des artistes africains. Tout d'abord Imane Ayissi, le premier styliste du continent à avoir intégré le club très fermé de la haute couture parisienne. Il nous raconte ses débuts de danseur au Cameroun, puis ses premiers pas de mannequin à Paris. Avec lui, nous découvrons le travail du peintre Chéri Samba, exposé en ce moment au Musée Maillol pour une grande rétrospective, avec notamment ses chroniques picturales de la vie quotidienne congolaise. Puis, un autre peintre nous ouvre les portes de sa création : Alioune Diagne dévoile à Paris une sélection de huit tableaux sur le thème de la migration clandestine en mer. C'est à découvrir à la galerie Templon, à Paris.
Eve Jackson takes a look at the week's culture news, from "Barbie" director Greta Gerwig being named head of the Cannes Film Festival jury to exhibitions from one of Europe's most expensive painters, Scottish artist Peter Doig, at Paris's Musée d'Orsay and the most famous contemporary African painter of his generation, Congolese artist Cheri Samba, at Paris's Musée Maillol. We also discover Japan's modern-day hermits, the hikikomori, thanks to French photographer Pierre-Elie de Pibrac.
durée : 00:37:14 - Le 18/20 · Un jour dans le monde - Le musée Maillol propose une rétrospective du peintre Chéri Samba. Des années 70 à aujourd'hui, on y retrouve les toiles colorées d'un des plus grands noms de la peinture contemporaine.
durée : 00:14:24 - L'invité d'un jour dans le monde - Le musée Maillol propose une rétrospective du peintre Chéri Samba. Des années 70 à aujourd'hui, on y retrouve les toiles colorées d'un des plus grands noms de la peinture contemporaine.
durée : 00:37:14 - Le 18/20 · Un jour dans le monde - Le musée Maillol propose une rétrospective du peintre Chéri Samba. Des années 70 à aujourd'hui, on y retrouve les toiles colorées d'un des plus grands noms de la peinture contemporaine.
Il est l'un des plus grands peintres vivants, et sans conteste l'emblème de la peinture populaire congolaise... Chéri Samba est à l'honneur au musée Maillol de Paris jusqu'en avril prochain. Une cinquantaine de tableaux issus de la célèbre collection de Jean Pigozzi. L'occasion de revisiter une oeuvre, tour à tour surréaliste, engagée et pleine d'humour. Le peintre congolais a fait le déplacement à Paris pour le lancement de cette exposition. Lunettes noires et sourire aux lèvres, Chéri Samba arpenteles salles du musée Maillol, le cœur plein de souvenirs. « C'est seulement un sentiment de joie que j'ai de retrouver tous mes enfants. Parce que mes œuvres, je les considère comme étant des enfants. »Et il redécouvre ses œuvres figurant dans la collection Pigozzi et qu'il n'a plus vues depuis des années, comme ce tryptique intitulé Quel avenir pour notre art, réalisé en 1997 ou encore ce tableau devenu iconique J'aime la couleur, peint en 2003 et dont le surréalisme joyeux saute littéralement aux yeux.Mais Chéri Samba, c'est aussi une peinture engagée qui dénonce les travers de la société. « Mon travail, c'est exactement comme ce que vous faites les journalistes. Et moi, je me suis toujours considéré comme un peintre-journaliste, ou comme un journaliste peintre », dit l'artiste.À lire aussiRétrospective du peintre congolais Chéri Samba: «Quand je peins, j'ai trois soucis»Textes sur toilesLe peintre-journaliste n'hésite pas à écrire directement sur ses toiles. De courts textes pour informer, expliquer, dénoncer. C'est ce qu'il appelle, La griffe sambaïenne. Une griffe très acérée quand il s'agit d'évoquer la guerre et les armes. « Les guerres m'inquiètent, et je ne comprends pas les gens qui fabriquent des armes. Jusqu'à présent, je continue à m'interroger. Cette intelligence-là, au profit du mal... Franchement, je ne comprends rien, et c'est ce qui m'inquiète dans ce monde. »Ce va-et-vient permanent entre une peinture souvent joyeuse, toujours très colorée, et une constante interpellation, c'est ce qui a séduit le collectionneur Jean Pigozzi qui depuis 35 ans amasse les tableaux du maitre kinois.« C'est une peinture extrêmement forte et qui véhicule de nombreux messages », explique Elisabeth Whitelaw, responsable de la collection Pigozzi. « Ce qu'il revendique absolument parce que pour lui, c'est essentiel à la peinture. Le plan formel ne l'intéresse pas tant que cela s'il n'y a pas aussi un message à faire passer dans la peinture. D'où l'introduction de texte et c'est comme cela qu'il s'est démarqué des autres peintres populaires. »À lire aussiChéri Samba peint le monde aux couleurs africainesAu-delà de KinshasaChéri Samba qui a commencé il y a demi-siècle en peignant des enseignes publicitaires a toujours voulu être un peintre aimé et reconnu. Son travail, d'abord très ancré à Kinshasa, s'est peu à peu étendu à l'ensemble du globe.« Au départ, c'était la chronique du quotidien, comme beaucoup de ses confrères peintres populaires, et évidemment il a élargi, c'est un peintre mondial maintenant », souligne Elisabeth Whitelaw. « Il peut faire un tableau sur l'élection de Barack Obama, dénoncer le 11 septembre dans un tableau d'histoire magnifique. Des thèmes globaux qui dépassent largement le cadre de l'Afrique, mais il n'oublie jamais l'Afrique. »Maitre incontesté du courant de la peinture populaire. L'autodidacte Chéri Samba a inspiré des générations d'artistes, mais aussi de contrefacteurs dont les œuvres pullulent sur le web, au grand désespoir de Chéri Samba.
A exposição "Chéri Samba - na colecção de Jean Pigozzi" reúne mais de cinquenta obras em grande formato e é anunciada como a primeira retrospectiva do pintor congolês. A exposição ocupa os dois pisos do museu Maillol, em Paris, e aborda cinco temáticas: Auto-retratos, A mulher, Kinshasa, Congo e África, Geopolítica, História da arte revista e corrigida. "Estou feliz por voltar a ver todos os meus filhos. Considero todas as minhas obras como filhos e voltar a vê-las traz-me uma grande alegria", reage Chéri Samba à retrospectiva que lhe é dedicada desde terça-feira, 17 de Outubro, no museu Maillol, em Paris.Durante o século XX, Chéri Samba tornou-se num dos pintos mais celebres, uma das figuras incontornáveis da arte popular congolesa e da arte urbana dos anos 70. Chéri Samba assume-se como pintor-jornalista, "faço o mesmo trabalho que vocês jornalistas. Sempre me vi como um pintor-jornalista ou um jornalista-pintor", conta.Chéri Samba descobre cedo a sua vocação pelo desenho, deixa a escola aos 16 anos para se instalar em Kinshasa, onde começa a trabalhar na área da publicidade e cria as suas primeiras bandas desenhadas. Em 1975, abre o seu atelier e dá os primeiros passos na pintura figurativa e narrativa, sempre coloridas, incorporando textos em lingala, em kikongo e em francês.A obra de Chéri Samba alimenta-se da actualidade, que interpela, denuncia, caricatura e provoca, sempre com recurso ao humor. "Gosto de explorar a actualidade, mas não qualquer marco da actualidade. O que me interessa é interpelar consciências", conta-nos o pintor, que retrata há mais de quarenta anos o dia-a-dia, expondo conflitos sociais, morais e políticos."Preciso que a minha obra seja fiel ao que quero retratar porque preciso que a minha obra transmita a verdade. À imagem acrescento textos porque até mergulhar nesta aventura da arte não via obras com textos. As pessoas diziam-me: 'nunca vimos obras de arte com texto'. A minha ideia sempre foi a de criar uma nova corrente, que chamo de 'a garra sambaiana'. Por fim, tenho uma terceira preocupação que é a presença de humor. Podemos conquistar a atenção das pessoas através do humor. Podemos chocar as pessoas sem que elas percebam e todos sorriem e riem-se. É isso de que gosto", acresenta Chéri Samba.A obra do pintor congolês vive uma reviravolta em 1989 com a exposição "Mágicos da terra" no Centro Pompidou, que apresenta pela primeira vez artistas dos cinco continentes. Passadas vários anos, é aqui em Paris, no museu Maillol, que Chéri Samba se volta a encontrar com mais de 50 das suas obras, "as minhas crianças", como diz. "Nunca pensei que as minhas obras tinham desaparecido, antes pelo contrário, sei que as minhas crianças estão em boas mão. Se as tivesse guardado em casa teria feito um mau trabalho porque é preciso que as obras circulem, para que sejam vistas por todos", conta.As guerras preocupam Chéri Samba, ele que diz não perceber que haja "pessoas com a inteligência de construir armas para matar homens. Não estamos a falar de estupidez, estamos a falar de inteligência em favor da maldade. Não percebo isto e é o que mais me preocupa hoje", admite o artista congolês.O artista plástico guineense, Nú Barreto, descreve Chéri Samba como "um dos raros artistas africanos a ser coleccionado no MoMA, em Nova Iorque, ou no Centro Pompidou, em Paris. São raros os artistas que conseguem chegar a este patamar. É dos maiores artistas críticos que arrasta preocupações sobre a sociedade, a política, a economia e o quotidiano", acrescentando que "Chéri Samba continua a ser uma referência, com um lugar de destaque no mundo".No celebre tríptico "que futuro para a arte", obra "manifesto" apresentada em 1997, Chéri Samba critica a falta de representação de artistas africanos nos museus ocidentais. De forma provocadora, o artista congolês questiona se esta indiferença das instituições não revela uma forma de racismo. À pergunta colocada em 97 "Que futuro para a arte?" - Chéri Samba diz já ter encontrado a resposta. "Na altura, havia artistas que não eram reconhecidos como artistas por serem africanos. A única justificação que nos davam era o facto de não existirem museus e galerias em África. Nada disto fazia sentido", concluiu.Quando Chéri Samba evoca no seu trabalho "esta lacuna imensa", a ausência da arte africana em país ocidentais, ele força países a desenvolverem-se como foi o caso "do Benim, da Nigéria ou do Gana, que têm mostrado preocupações culturais. O Congo também está a fazer um trabalho de fundo. Está a desenvolver-se e isso é primordial", acrescenta Nú Barreto.A exposição "Chéri Samba - na colecção de Jean Pigozzi" pode ser vista no museu Maillol até 7 de Abril do próximo ano.
durée : 00:58:11 - Affaires culturelles - par : Arnaud Laporte - Le musée Maillol présente une rétrospective de l'œuvre du peintre Chéri Samba. Figure essentielle du mouvement de la "peinture populaire" congolaise, le plasticien nous ouvre les portes de son atelier mental. - invités : Chéri Samba Artiste peintre
L'exposition ‘Hyperréalisme. Ceci n'est pas un corps' qui s'est tenue à Paris au Musée Maillol, de fin 2022 à mars 2023, n'a pas manqué de perturber et d'interpeller ses visiteurs. Après un passage en Belgique, en Australie et aux Pays-Bas, l'exposition s'est arrêtée en France pour faire découvrir aux parisiens 40 œuvres frappantes de réalisme. Les corps à taille réelle ont séduit plusieurs milliers de visiteurs. Mais qu'est-ce que l'hyperréalisme ? Quel artiste en est à l'origine ? Et quel est le message derrière ce courant artistique ? Ecoutez la suite de cet épisode de "Maintenant Vous Savez - Culture". Un podcast Bababam Originals, écrit et réalisé par Carole Beaudouin. A écouter aussi : Qui se cache derrière l'Homme de Vitruve ? Connaissez-vous l'histoire de l'Atlantide français ? Quels sont les plus gros scandales sexuels de l'industrie du cinéma ? Retrouvez tous les épisodes de "Maintenant vous savez - Culture". Suivez Bababam sur Instagram. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Programa inusual con Nex a los mandos, Xivito presentando y con nuestro querido Edu de vuelta por unos días. Repasamos la actualidad de las últimas dos semanas con nuestros temas favoritos: lefa, vacas voladoras, saltos BASE o Juancar. Andrés nos manda su probablemente último Mundo Spiritual y terminamos con la visita de Zerf, Joan Fontes y Arístides Maillol para presentar su nuevo programa Bar Canaletas. Alineación: Edu, Xivito, Nex, Andrew, Zerf, Joan Fontes y Aristides Maillol Programa 383: Lefárboles y vacas voladoras desde el Bar Canaletas
Dans le FLASH ACTU présenté par PHOX.FR, nous parlons du nouveau zoom Samyang AF 35-150 mm f/2-2,8 ; de l'arrivée du TT Artisan AF 27 mm f/2,8 en monture Sony E et Nikon Z ; et de la grande exposition rétrospective au musée Maillol de Paris consacrée au photographe Elliott Erwitt. Ce FLASH ACTU est issu de l'épisode " S605 - Observer la nature avec des jumelles " diffusé le 13 avril 2023. Aux micros de cette émission : Arthur Azoulay, Benjamin Favier, Jean-Luc Dauvergne et Hicham Bou-oulaoum, Bruno Bubrac, Adrien Coquelle, Guilhem Lesaffre, Bruno Fouillat.
Dans l'épisode S605 du podcast Faut Pas Pousser les ISO, nous recevons le journaliste Jean-Luc Dauvergne, spécialisé dans les dispositifs d'observation pour une émission dédiée à l'observation de la nature avec des jumelles. Pour enrichir la discussion, nous avons également le plaisir d'écouter les témoignages de Hicham Bou-oulaoum, de Nikon France ; de Bruno Dubrac, journaliste, photographe, naturaliste et ornithologue ; d'Adrien Coquelle, photographe et formateur pour Pose Nature et de Guilhem Lesaffre, ornithologue et administrateur de la LPO. Nous nous entretenons également au téléphone avec Bruno Fouillat de la boutique IPLN.fr. Cette émission est présentée par Nikon : Explorez la nature avec une clarté exceptionnelle grâce aux jumelles Monarch de Nikon. L'expertise Nikon pour des aventures inoubliables. Dans le FLASH ACTU présenté par PHOX.FR, nous parlons du nouveau zoom Samyang AF 35-150 mm f/2-2,8 ; de l'arrivée du TT Artisan AF 27 mm f/2,8 en monture Sony E et Nikon Z ; et de la grande exposition rétrospective au musée Maillol de Paris consacrée au photographe Elliott Erwitt. Dans la STORY présentée par Photographes du Monde, l'agence spécialiste du voyage photo, Benjamin nous parle du témoignage d'un audio-naturaliste, Marc Namblard, sur sa profession. Découvrez également le DÉBRIEF, présenté par IPLN.FR : le spécialiste photo & vidéo et le QUIZ qui fait la part belle aux questions des auditeurs. Aux micros de cette émission : Arthur Azoulay, Benjamin Favier, Jean-Luc Dauvergne et Hicham Bou-oulaoum, Bruno Bubrac, Adrien Coquelle, Guilhem Lesaffre, Bruno Fouillat.
No son buenos tiempos en Arístides Maillol. Tras el desastroso comienzo de Lluis Miró en el club blaugrana, la directiva tomó la decisión de traer a un viejo conocido de nuestro ya conocido culébron como es Kubala. ¿Será capaz de acabar la temporada en un puesto respetable para el FC Barcelona? Guión y locutor: Josep Vives Colaborador invitado: Jesús Núñez Contexto histórico: David Dacosta Edición: Sagrario Pérez Recuerda que nos ayuda muchísimo a crecer y a que este video se pueda compartir en más plataformas, si das a ‘me gusta’, compartes o nos dejas un comentario. Nuestras redes sociales: E-mail: golstalgia@gmail.com Twitter: @golstalgia Youtube: https://m.youtube.com/c/GolstalgiaCanal Ivoox: https://www.ivoox.com/podcast-golstal... Tik tok: https://www.tiktok.com/@golstalgia?la...
Tras la fatídica final de los palos de Berna, el FC Barcelona se encuentra en un punto de inflexión. Es hora de hacer cambios. Recuerda que nos ayuda muchísimo a crecer y a que este video se pueda compartir en más plataformas, si das a ‘me gusta’, compartes o nos dejas un comentario. Nuestras redes sociales: E-mail: golstalgia@gmail.com Twitter: @golstalgia Youtube: https://m.youtube.com/c/GolstalgiaCanal Ivoox: https://www.ivoox.com/podcast-golstal... Tik tok: https://www.tiktok.com/@golstalgia?la... Instagram: https://www.instagram.com/golstalgia/... ¿Quieres anunciarte en este podcast? Hazlo con advoices.com/podcast/ivoox/287524
C'est une question que vous pouvez désormais vous poser. La pratique du naturisme est devenue courante : dans son jardin, à la plage, en rando, et maintenant au musée ! Si vous aimez l'art et les courants d'air à l'entrejambe, le musée Maillol de Paris a pensé à vous. Après tout, les gens sculptés ou peints dans les tableaux sont souvent un peu nus aussi. Les 10, 11 et 17 novembre 2022, avec la collaboration de l'Association des Naturistes de Paris et de l'agence Tempora, le musée Maillol organise trois visites nocturnes un peu particulières à l'occasion de son exposition “Hyperréalisme, ceci n'est pas un corps”. L'expérience a déjà eu lieu à Liège puis à Lyon avec un succès à la clé. Qu'est-ce que c'est que cette histoire ? Mais pourquoi venir nu à cette exposition ? Est-ce que ça pourrait devenir une tendance de se déshabiller au musée ? Écoutez la suite dans cet épisode de "Maintenant vous savez - Culture". Un podcast Bababam Originals, écrit et réalisé par Jonathan Aupart. À écouter aussi : Pourquoi François Ozon est-il l'un des meilleurs réalisateurs français ? Comment la saga Black Panther a-t-elle survécu à la mort de son acteur principal ? Prix Goncourt : comment est désigné le lauréat ? Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
C'est pour le moins troublant, parfois dérangeant.... À Paris le musée Maillol présente « Hyperréalisme », une exposition itinérante consacrée à un courant de la sculpture apparu dans les années 1960 aux États-Unis qui vise à imiter de façon quasi parfaite la texture et les moindres détails du corps humain.
"Hyperréalisme. Ceci n'est pas un corps", l'exposition au musée Maillol à Paris présente une quarantaine de sculptures autour du corps humain. Visite guidée en compagnie de Monique Younès. Coups de coeur, coups de gueule, reportages, interviews, et des invités prestigieux : "Laissez-Vous Tenter" dresse un panorama de l'actualité Musique, Cinéma, Littérature, Médias, People. Ecoutez Laissez-vous tenter - Première avec Le Service Culture du 15 septembre 2022
Memòria 503 Juny 2021 - Memòria al Mas d'en Parrota, al Domini Berta-Maillol de Banyuls de la Marenda amb Ivon Berta Maillol, un indret que porta la memoria de l'escultor Aristide Maillol, que era el seu rebesoncle, el germa de la seua besàvia. Tenia 7 anys el 1944 quan l'artistava va morir a Banyuls.
“Aristide Maillol (1861-1944)“La quête de l'harmonieau Musée d'Orsay, Parisdu 12 avril au 21 août 2022Interview de Ophélie Ferlier-Bouat, Directrice du musée Bourdelle et conservatrice du patrimoine,et de Antoinette Le Normand-Romain, Directrice générale de l'INHA honoraire et conservatrice générale du patrimoine honoraire, et commissaires de l'exposition,par Anne-Frédérique Fer, à Paris, le 11 avril 2022, durée 21'59.© FranceFineArt.Communiqué de presse Commissariat : Ophélie Ferlier-Bouat, Directrice du musée Bourdelle et conservatrice du patrimoine Antoinette Le Normand-Romain, Directrice générale de l'INHA honoraire et conservatrice générale du patrimoine honoraireDepuis l'Hommage à Maillol organisé pour le centenaire de sa naissance au musée national d'art moderne en 1961, Aristide Maillol n'a pas bénéficié de véritable monographie dans un musée parisien. Souvent opposé à Rodin, Maillol l'intemporel a pourtant joué un rôle crucial dans la naissance de la modernité au début du XXe siècle. Le musée d'Orsay lui consacre enfin une rétrospective, qui met l'accent sur la période féconde et méconnue de l'avant-première guerre mondiale : le grand public connaît essentiellement les sculptures du jardin du Carrousel du Louvre, pour la plupart tardives. L'exposition bénéficie d'un partenariat avec la Fondation Dina Vierny – Musée Maillol, lieu incontournable pour toute étude de l'artiste. Des dessins et carnets de croquis inédits offrent ainsi une vision nouvelle de son processus créatif. Un autre partenariat exceptionnel avec la Fondation Oskar Reinhart de Winterthur permet de présenter pour la première fois hors de l'institution suisse, et à l'étape parisienne uniquement, quatre sculptures majeures de Maillol, dont la mythique Méditerranée réalisée pour le comte Kessler.L'exposition contient plus de 200 oeuvres : environ 90 sculptures, mais également dessins, gravures, peintures et arts décoratifs. Elles sont présentées en dialogue avec quelques oeuvres de contemporains de Maillol, mettant ainsi en évidence les échanges fructueux noués avec ses amis et relations – Maurice Denis, Auguste Rodin, Pierre Bonnard, Edouard Vuillard, Auguste Renoir notamment. Des oeuvres monumentales, placées dès la nef des sculptures, voisinent avec les dessins et esquisses préparatoires, afin de comprendre les étapes de travail d'un artiste obnubilé par les possibilités plastiques du corps féminin. À partir de 1905, il décline un répertoire de formes limité, poursuivant une quête de synthèse libérée de toute anecdote. [...] Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.
Es confirma la baixada dels indicadors de la Covid a Catalunya Nord. La taxa d'incidència segueix baixant, se situa ara als 747 casos per 100.000 habitants, per sota de la mitjana estatal francesa. Una obra d'Arístides Maillol, un quadre anomenat “Vista d'un mas” ha estat adquirida en subhasta per l'ajuntament de Perpinyà al preu de 35 000 euros. Aquest diumenge la territorial nord-catalana de l'Assemblea Nacional Catalana organitza la seua Ollada Republicana a Millars. Hi participaran els exconsellers Jordi Turull i Lluís Puig a més del Jordi Puig que va recorre el conjunt dels països Catalans en cadires de rodes sota el lema “rodant per la República”. El golf de Roses seria "un dels pitjors llocs del Mediterrani" per fer-hi un parc eòlic, segons un estudi publicat per nou científics de les universitats de Girona i Barcelona, i també de l'Institut de Ciències del Mar (ICM-CSIC). Rugbi 13 - Ahir els Dracs Catalans van aconseguir la primera victòria a l'exterior de la Temporada. A Leeds van imposar-se per 4 a 10 amb assajos de Yaha i Chan. Rugbi 15 - Demà a les 5 i quart de la tarda l'USAP juga al camp del Clermont. Els catalans es troben actualment a la penúltima plaça del Top 14 i cada partit serà important per intentar mantenir-se a la màxima categoria per la temporada vinent.
Il rêvait d'être le “Walt Disney” français. Lorsqu'Albert Uderzo disparaît en mars 2020 à l'âge de 92 ans, il laisse derrière lui des planches dessinées mythiques, un personnage connu de tous, une quinzaine d'adaptations au cinéma et même un parc d'attractions. Son œuvre fait l'objet d'une exposition “Uderzo, comme une potion magique”, à partir du 27 mai au musée Maillol à Paris. C'est en 1959 qu'Astérix et son village d'irréductibles gaulois germent dans l'esprit du dessinateur et de son ami René Goscinny. Album après album, la saga devient un phénomène de société. Avec plus de 380 millions d'exemplaires écoulés, c'est aujourd'hui l'une des BD les plus vendues à travers la planète. Christophe Levent, spécialiste BD au Parisien, retrace le parcours d'Albert Uderzo dans Code source. Vous pouvez retrouver un numéro hors-série du Parisien consacré à Albert Uderzo, disponible chez tous les marchands de journaux. Direction de la rédaction : Pierre Chausse - Rédacteur en chef : Jules Lavie - Production : Thibault Lambert, Salomé Robles, Ambre Rosala et Clara Garnier-Amouroux - Réalisation et mixage : Julien Montcouquiol - Musiques : François Clos, Audio Network - Identité graphique : Upian - Archives : INA, “Astérix le Gaulois” (1967). Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.
Beaucoup d'entre vous connaissent sans doute l'un de ses clichés les plus célèbres : celui d'une jeune fille afghane aux yeux verts, immortalisée il y a plus de 30 ans en couverture de la revue National Geographic. Au Musée Maillol, l'exposition « Le Monde de Steve McCurry » présente plus de 150 de ses photos imprimées en grand format. Entretien avec l'un des plus grands photographes de notre époque. L'exposition débute par une sélection de photos en noir et blanc, qui datent de la fin des années 1970. Elles ont été prises en Afghanistan à l'époque de l'occupation soviétique. Steve McCurry était entré dans le pays clandestinement, à la demande de réfugiés afghans, alors qu'il n'avait pas au départ l'intention de réaliser ce reportage : « En 1979, j'ai rencontré des réfugiés afghans dans un petit hôtel du Pakistan. Ils m'ont supplié de me rendre dans leur pays en m'expliquant que personne dans le monde ne s'intéresse à ce qui passe chez eux. Ils avaient besoin d'un témoin. Je n'avais jamais couvert un conflit de ce type. Ce que j'ai vu là-bas, c'était un véritable désastre humanitaire. J'ai pris conscience qu'il fallait retourner régulièrement dans ce pays pour témoigner de cette situation. » C'est aussi pendant ce conflit afghan qu'il photographiera en 1984 la petite fille afghane aux yeux verts, son cliché le plus connu. En 2016, la presse lui a reproché de retoucher certaines de ses photos. Lui s'en défend, affirmant que les rares retouches ne concernaient que des œuvres personnelles. Steve McCurry manie en tout cas les couleurs et les contrastes en toute situation, et plus question pour lui de travailler en noir et blanc : « J'ai commencé la photographie en noir et blanc par commodité car il était facile de développer les pellicules. Je suis passé à la couleur ensuite parce que c'est la meilleure manière de montrer les choses dans leur réalité. Mais il ne faut pas tomber dans la facilité. Un excès d'information en couleur peut aussi perturber la lecture d'une image. Cela impose une rigueur de cadrage et du propos. Passer à la couleur a été une décision logique. » « La dignité de l'être humain et ses sentiments sont les mêmes partout dans le monde » Sur les 150 clichés proposés ici, il y a bien sûr les instants tragiques comme l'effondrement des tours jumelles à New York, mais aussi d'autres plus légers. Comme par exemple la photo d'un enfant thaïlandais en train de lire, adossé à un éléphant. Quant au visiteur, il peut choisir librement son parcours. Aucun classement chronologique ou thématique n'est suggéré. « Le visiteur peut s'arrêter où il veut, revenir sur ses pas, parce que justement tout est mélangé, explique Biba Giachetti, la commissaire de l'exposition. Et pourquoi ? Parce que Steve a l'idée que l'être humain, la dignité de l'être humain et ses sentiments sont les mêmes partout dans le monde, à toutes les latitudes, même dans des situations très difficiles. » Le monde de Steve McCurry nous emmène de l'Afghanistan à l'Asie du Sud-Est et de l'Afrique à l'Amérique latine. Un répertoire d'images qui conserve toujours l'Humain comme élément principal. ► « Le monde de Steve McCurry », une exposition du 9 décembre 2021 au 29 mai 2022 au musée Maillol à Paris
His images capture the universality of the human experience, in expressive portraits, breathtaking landscapes or arresting scenes of photojournalism. Steve McCurry's image of a young Afghan girl made the cover of National Geographic in the 1980s, catapulted him to fame and brought the plight of the country's refugees to the world's attention. As his body of work is brought together for a retrospective at the Musée Maillol in Paris, the photojournalist gives us his take on the current situation in Afghanistan, why children are naturally photogenic and how he finds inspiration in the people he photographs.
durée : 00:28:11 - La Grande Table culture - par : Olivia Gesbert - Mondialement connu pour ses images capturées aux quatre coins du monde, le photographe Steve Mc Curry est notre invité aujourd'hui à l'occasion de la grande rétrospective que lui consacre le Musée Maillol. - invités : Steve McCurry
durée : 00:28:11 - La Grande Table culture - par : Olivia Gesbert - Mondialement connu pour ses images capturées aux quatre coins du monde, le photographe Steve Mc Curry est notre invité aujourd'hui à l'occasion de la grande rétrospective que lui consacre le Musée Maillol. - invités : Steve McCurry
durée : 00:28:11 - La Grande Table culture - par : Olivia Gesbert - Mondialement connu pour ses images capturées aux quatre coins du monde, le photographe Steve Mc Curry est notre invité aujourd'hui à l'occasion de la grande rétrospective que lui consacre le Musée Maillol. - invités : Steve McCurry
2 malalts de Covid-19 van morir ahir a l'hospital de Perpinyà. La taxa d'incidència és ara de 329,4 casos positius per 100.000 habitants a Catalunya Nord, i de 292 a tot l'estat francès. Els laboratoris privats de biologia mèdica van realitzar prop de 12.000 test durant la setmana passada,1.168 proves van donar positiu. Mentrestant la campanya de vaccinació per la 3a dosi ha reprès a bon ritme. El passat cap de setmana 3.402 persones van rebre la 3a injecció en els diferents centres de vaccinació de Catalunya Nord. L'augment de casos de covid-19 es confirma també a les escoles. 86 classes estan tancades després de la detecció d'almenys 1 cas positiu. Una escola ha decidit tancar completament durant tota la setmana, és l'escola Arístides Maillol de Banyuls de la Marenda que comptava 14 casos confirmats. La Cambra de Comerç dels Pirineus Orientals té un nou president. Ahir va ser elegit Laurent Gauze que conduirà un mandat de 5 anys. El Teatre de l'Arxipèlag canviarà de direcció. Ahir el consell d'administració del Teatre va decidir no renovar el contracte de Borja Sitjà que dirigia l'establiment cultural des del 2016. Sitjà mantenia una ala relació amb la nova municipalitat de Perpinyà, i més especialment amb el regidor de cultura André Bonet. El Comitè de sosteniment als sensepapers convoca una concentració davant la Prefectura, aquesta tarda a les 18h. El president de la Generalitat, Pere Aragonès, ha defensat que el "procés de negociació" entre els governs català i espanyol ha de continuar fins a "fer possible que el que es fa a Escòcia sigui possible a Catalunya". Per primer cop un català aixeca la pilota d'Or. Es tracta de la jugadora Alexia Putellas del F.C Barcelona.
El Coll de Banyuls torna a ser obert a la circulació. Ahir un grup de nord-catalans i d'empordanesos van desplaçar els rocs que barraven el pas. La situació sanitària de Catalunya Nord empitjorada cada dia un poc més. La taxa d'incidència és avui de 296 casos per 100.000 habitants, molt per sobre de la mitjana estatal que es situa a 271. A Banyuls l'escola primària Arístides Maillol tanca avui a causa d'un nombre elevat de casos de Covid-19. El català perd parlants cada dia i els primers a abandonar la llengua són els joves. Aquesta és la constatació alarmant que fa la Plataforma per la llengua en el seu estudi, l'InformeCat 2021. Lluís Llach torna als escenaris. Avui es posen a la venda les entrades pel concert del 18 de desembre al Palau Sant Jordi. Un concert en el qual Llach serà acompanyat de 14 artistes més. L'USAP va guanyar dissabte contra Clermont en un matx que vau poder seguir en directe per Ràdio Arrels. Va ser un partit boig, els catalans van vèncer per 26 a 24 gràcies a un assaig als instants finals del partit.
10 gossips 10 desde los mentideros azulgranas. Lo que escucharán a continuación es una recopilación de habladurías, chismes y chimentos que en su mayoría van a encontrar en los próximos meses diseminados por sus medios de cabecera. Si quieren saber lo que se comenta en los aledaños del Camp Nou y lo que se cuece en las dependencias de Arístides Maillol sin número sólo les robaré cinco minutos.
Dans le 105e épisode du podcast Le bulleur, on vous présente Les enfants des autres, premier tome de la série Contrapaso que l'on doit à Teresa Valero, édité chez Dupuis. Cette semaine aussi, on vous entraine sur les routes de France pour vous faire découvrir des lieux consacrés à la bande dessinée : – L'exposition consacrée à Albert Uderzo et intitulée Uderzo, comme une potion magique au musée Maillol à Paris – L'exposition à la cité de l'économie de Paris autour du personnage de Largo Winch
- Benjamin Lavernhe est l'invité en direct de Stéphane Boudsocq et d'Yves Calvi à l'occasion de la sortie demain mercredi du film de Laurent Tirard "Le discours" avec RTL. - Monique Younès nous emmène visiter l'exposition "Uderzo, comme une potion magique" au musée Maillol, qui retrace la vie et l'œuvre du créateur d'Astérix. - Les programmes télé de ce mardi soir avec Isabelle Morini Bosc. Ecoutez Laissez-vous tenter avec Yves Calvi et Le Service Culture du 08 juin 2021
C’est le grand titre de La Croix, avec cette photo d’Emmanuel Macron, de dos, et de Paul Kagamé, de face, en train de se donner l’accolade. Photo prise en 2019, lors du G7 à Biarritz. Le président français est donc au Rwanda ce jeudi pour une visite historique. Et il prendra la parole tout à l’heure. Il va s’adresser aux victimes et aux rescapés du génocide perpétré contre les Tutsis en 1994, qui a fait environ un million de morts. « Un discours très attendu à Kigali, note La Croix, où l’on s’interroge sur les mots que choisira Emmanuel Macron, sa manière de les dire, ce qu’il admettra du rôle et de la responsabilité de la France dans l’apocalypse rwandaise. Mais surtout, présentera-t-il des excuses ? Bien du monde le souhaite, sans grande illusion toutefois, pointe le quotidien catholique. "Nous n’avons rien demandé à la France. Il y a pourtant de quoi nous les présenter, c’est clair, explique une source rwandaise proche du pouvoir. Mais ce que nous souhaitons encore plus, c’est établir une collaboration durable avec elle". Parmi ceux qui vont écouter attentivement Emmanuel Macron, relate encore La Croix, Olivier Mazimpaka, président du Groupe des anciens étudiants rescapés du génocide et directeur général d’un centre d’affaires à Kigali : "Tout va compter, dit-il : les mots, le ton, les gestes. Bien sûr, j’aimerais qu’il présente des excuses pour ce que nous ont fait les dirigeants français de l’époque". Ces mots "nous feraient du bien", affirme encore cet homme qui incarne le dynamisme économique du Rwanda. » Que va dire Macron ? « Macron au Rwanda : l’histoire en face », titre pour sa part Libération à Paris. « Le Président l’a annoncé dans un long entretien à la revue Zadig, publié à la veille de son départ pour Kigali : "Je pense d’abord, a-t-il dit, que les Français ont besoin de porter sur leur passé un regard lucide et décomplexé". La lucidité demande qu’un devoir de mémoire se mette en place, estime Libération, comme le Président l’a encouragé dès son arrivée à l’Élysée. C’est la seule façon de nouer une relation digne avec les futures générations en Afrique, mais aussi d’éviter tout prochain génocide. (…) La France se doit de répondre, et de regarder sa responsabilité en face. » Alors, s’interroge Libération, « que va dire Emmanuel Macron ? Le chef de l’État a déjà indiqué, à plusieurs reprises, qu’il ne voulait être "ni dans la repentance ni dans le déni". Il préfère revendiquer la "voie médiane" d’une "politique de la reconnaissance" dont il assure qu’elle devrait "rendre notre nation plus forte". (…) Et en parlant de "politique de la reconnaissance", il espère désamorcer les inévitables controverses sur les excuses, jugées indispensables par les uns, insupportables par les autres. » Covid-19 : une bataille sur le point d’être gagnée mais pas la guerre… À la Une également cette question : « L’épidémie de Covid-19 est-elle enfin derrière nous ? » Question posée par Le Figaro. On peut s’attendre à un répit… « Nouveaux cas, hospitalisations, décès… Tout semble montrer que la décrue est réelle et la météo comme le rythme des vaccinations ajoutent à l’espoir de voir bientôt se dissiper la crise sanitaire. Mais il est trop tôt pour baisser la garde, prévient le journal. D’abord parce que la France peine encore à suivre efficacement les variants. Mais aussi parce que, pour être gagnée, la bataille devra l’être dans le monde entier. » Et puis plusieurs questions restent en suspens, pointe encore Le Figaro : « Faudra-t-il une troisième dose de vaccin ? Les enfants devront-ils être vaccinés ? La vaccination devra-t-elle devenir obligatoire ? Autant de sujets délicats sur lesquels les autorités vont devoir trancher. » En tout cas, conclut, lyrique, Le Figaro, « il nous faut vite renouer avec le goût des autres et l’appétit du monde, retrouver le sens de la fête et avec lui celui de la conquête… Pour que le brûlant désir de vivre supplante l’espoir vain de ne jamais mourir… » Astérix au musée ! Enfin, pour se changer les idées et s’aérer les méninges, pourquoi ne pas aller voir Astérix ? Non pas au cinéma, ce sera à l’automne prochain, mais au… musée. Et c’est la Une du Parisien. Astérix entre en effet au musée. « La première rétrospective consacrée au dessinateur du fameux Gaulois, Albert Uderzo, disparu en 2020, s’ouvre ce jeudi au musée Maillol à Paris. Plus de soixante ans après sa naissance, son personnage phare créé avec René Goscinny continue de vivre et de séduire. » Astérix, souligne Le Parisien, « une fierté nationale qui transcende les générations, les origines et les frontières. »
Au programme de C à Vous : JEAN HATZFELD Journaliste & écrivain NICOLAS POINCARÉ Journaliste RMC & ancien grand reporter à France Info Rwanda : E. Macron reconnaît les responsabilités de la France Emmanuel Macron au Rwanda, 27 ans après le génocide E. Macron veut écrire une nouvelle page avec le Rwanda SYVLIE UDERZO Commissaire de l'exposition « Uderzo, comme une potion magique » PIERRE GAGNAIRE Chef étoilé Le génie d'Uderzo s'expose enfin dans un musée Astérix, l'antidote à la morosité Le musée Maillol à Paris expose Uderzo Astérix : histoire d'un mythe français Pierre Gagnaire, le nouveau Panoramix Astérix et Obléix : rois du cinéma PIERRE-ANTOINE DAMECOUR Humoriste Euro 2021 : des nouvelles de Clairefontaine « Welcome Benzeback ! », histoire d'un canular COLONEL BRICE MANGOU Commandant de gendarmerie départementale des Vosges Le gendarme des Vosges qui fait rire Twitter Diffusion : tous les jours de la semaine à 19h Format : 50 minutes Présentation : Anne-Élisabeth Lemoine, Patrick Cohen, Pierre Lescure, Marion Ruggieri, Émilie Tran Nguyen Réalisation : Corentin Son Productions : France Télévisions / Troisième Oeil Productions
Il rêvait d'être le “Walt Disney” français. Lorsqu'Albert Uderzo disparaît en mars 2020 à l'âge de 92 ans, il laisse derrière lui des planches dessinées mythiques, un personnage connu de tous, une quinzaine d'adaptations au cinéma et même un parc d'attractions. Son œuvre fait l'objet d'une exposition “Uderzo, comme une potion magique”, à partir du 27 mai au musée Maillol à Paris. C'est en 1959 qu'Astérix et son village d'irréductibles gaulois germent dans l'esprit du dessinateur et de son ami René Goscinny. Album après album, la saga devient un phénomène de société. Avec plus de 380 millions d'exemplaires écoulés, c'est aujourd'hui l'une des BD les plus vendues à travers la planète. Christophe Levent, spécialiste BD au Parisien, retrace le parcours d'Albert Uderzo dans Code source. Vous pouvez retrouver un numéro hors-série du Parisien consacré à Albert Uderzo, disponible chez tous les marchands de journaux. Direction de la rédaction : Pierre Chausse - Rédacteur en chef : Jules Lavie - Production : Thibault Lambert, Salomé Robles et Ambre Rosala - Réalisation et mixage : Julien Montcouquiol - Musiques : François Clos, Audio Network - Identité graphique : Upian - Archives : INA, “Astérix le Gaulois” (1967). Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.
Visitem el museu Aristides Maillol a Banyuls de la Marenda Aristides Maillol va néixer el 1861 a Banyuls de la Marenda, fou un dels grans artistes del seu temps: gravador, pintor i conegut com un escultor de talent excepcional. El seu taller a la Costa Vermella era situat a la vall de la Roma a uns quilòmetres de la vila. Allà s’ha instal·lat un museu on respira la seva ànima. El visitem amb un membre de la família de l’artiste Yvon Berta-Maillol
Visitem el museu Aristides Maillol a Banyuls de la Marenda Aristides Maillol va néixer el 1861 a Banyuls de la Marenda, fou un dels grans artistes del seu temps: gravador, pintor i conegut com un escultor de talent excepcional. El seu taller a la Costa Vermella era situat a la vall de la Roma a uns quilòmetres de la vila. Allà s’ha instal·lat un museu on respira la seva ànima. El visitem amb un membre de la família de l’artiste Yvon Berta-Maillol
Visitem el museu Aristides Maillol a Banyuls de la Marenda Aristides Maillol va néixer el 1861 a Banyuls de la Marenda, fou un dels grans artistes del seu temps: gravador, pintor i conegut com un escultor de talent excepcional. El seu taller a la Costa Vermella era situat a la vall de la Roma a uns quilòmetres de la vila. Allà s’ha instal·lat un museu on respira la seva ànima. El visitem amb un membre de la família de l’artiste Yvon Berta-Maillol
Visitem el museu Aristides Maillol a Banyuls de la Marenda Aristides Maillol va nèixer el 1861 a Banyuls de la Marenda, fou un dels grans artistes del seus temps: gravador, pintor i conegut com un esculptor de talent excepcional. El seu taller a la Costa Vermella era situat a la vall de la Roma a uns quilòmetres de la vila. Allà s’ha instal·lat un museu on respira la seva ànima. El visitem amb un membre de la família de l’artiste Yvon Berta-Maillol
Visitem el museu Aristides Maillol a Banyuls de la Marenda Aristides Maillol va nèixer el 1861 a Banyuls de la Marenda, fou un dels grans artistes del seus temps: gravador, pintor i conegut com un esculptor de talent excepcional. El seu taller a la Costa Vermella era situat a la vall de la Roma a uns quilòmetres de la vila. Allà s’ha instal·lat un museu on respira la seva ànima. El visitem amb un membre de la família de l’artiste Yvon Berta-Maillol
Vigésima entrega del Dongcast con 45 minutos de barcelonismo en vena. Con Àlex Delmàs, Sergio González, Zerf Barbut, La Resistencia del Palau, Arnau Blanch, Arístides Maillol, Guillem Cintas y Joan Fontes. El saludo especial para Albert Valor, Edu Bohorquez y Juan Carlos Cedeño.
Nueva entrega del Dongcast con info sobre las elecciones del domingo 7 de Marzo en Can Barça. Con Sergio González, Zerf Barbut, Arnau Blanch y el insigne socio azulgrana Arístides Maillol. 35 minutos de Barça en vena. Si eres del Barça este es tu lugar. Gracias a Juan Carlos Cedeño, Edu Bohorquez y Daniela Fontes. Sed muy bienvenidos al Dongcast.
“Édition Limitée”Vollard, Petiet et l'estampe de maîtresau Petit Palais, Parisdu 26 janvier au 23 mai 2021Extrait du communiqué de presse :Commissariat :Clara Roca, conservatrice des arts graphiques et photographies des XIXe et XXe siècles au Petit PalaisLe Petit Palais explore avec cette exposition inédite l'activité d'éditeur d'estampes et de livres illustrés de l'emblématique marchand d'art Ambroise Vollard. Vollard travailla avec les plus grands artistes de son temps : Picasso, Bonnard, Cassatt, Chagall, Maillol, Redon, Rouault et tant d'autres. Passionné par l'édition, il y a investi l'essentiel de sa fortune tirée de la vente des toiles des maîtres modernes et hissa cette activité à un niveau d'exigence jamais vu jusqu'alors. Bénéficiaire de nombreux dons et legs de Vollard lui‑même et de ses héritiers, le Petit Palais a choisi de mettre en valeur cet ensemble exceptionnel d'estampes, livres illustrés et objets d'édition (bronzes et céramiques), enrichi de nombreux prêts d'autres institutions et collections.L'exposition sera l'occasion d'évoquer également la personnalité d'Henri Marie Petiet, successeur de Vollard et figure majeure du commerce de l'estampe d'après-guerre. L'exposition rend donc un double hommage au rôle de ces deux marchands et éditeurs d'art.La carrière de marchand d'Ambroise Vollard (1866-1939) le situe comme une figure essentielle du commerce de l'art au tournant des XIXe et XXe siècles, entre Paul Durand-Ruel et Daniel-Henry Kahnweiler. C'est lui qui promeut Cézanne, Gauguin et qui ouvre sa galerie au jeune Picasso.En plus de ses activités de marchand de tableaux, il se lance avec passion dans l'édition d'estampes dès 1894 en rééditant la Suite Volpini de Gauguin. Mais l'aventure débute réellement lorsqu'il réalise les deux fameux Album des peintres-graveurs (1896 et 1897), qui réunissent les planches de maîtres comme Fantin-Latour, Puvis de Chavannes, ou de jeunes artistes qui incarnent une nouvelle modernité comme les Nabis, dans le sillage de Redon. Vollard diffuse les oeuvres de Mary Cassatt mais édite aussi la fameuse suite des Saltimbanques de Picasso ainsi que des albums individuels de Bonnard, Vuillard et Denis en misant sur le même principe de l'édition d'estampes d'artistes à tirage limité. En parallèle, il développe une activité d'éditeur de livres d'artiste. Il s'y investit entièrement, tant financièrement que personnellement. Il lui faut pourtant attendre les années 1920 et surtout 1930 pour voir les ventes se multiplier et un engouement se créer autour de ses éditions. Son perfectionnisme le conduit à sélectionner et à commander lui-même les papiers et les caractères d'imprimerie. Vollard prend ainsi un rôle de créateur à part entière, en coordonnant tous les acteurs d'une aventure éditoriale titanesque.Dès ses premières éditions, notamment son magistral Parallèlement de Verlaine illustré par Bonnard (1900), Vollard choque les bibliophiles par ses partis pris, et surtout par son affection pour la lithographie en couleurs. Sa réputation est faite. Suivront de nombreuses réalisations d'envergure, comme Le Jardin des supplices (illustrations de Rodin, 1902), Sagesse (Maurice Denis, 1911), Les Fleurs du mal (Émile Bernard, 1916), Le Chef-d'oeuvre inconnu (Picasso, 1931) ou encore Passion (Rouault, 1939). Son influence auprès des artistes est telle qu'il encourage les peintres à s'intéresser parfois durablement à l'estampe bien sûr, mais aussi à s'essayer à la peinture sur céramique ou encore à la sculpture, comme c'est le cas pour Maillol.En 1939, il décède brutalement dans un accident de voiture. Henri Marie Petiet (1894-1980), qui se fourni auprès de Vollard depuis les années 20, rachète l'essentiel de son stock d'estampes, dont la fameuse Suite Vollard de Picasso, dont il va assurer la diffusion. Il s'impose d'emblée comme son successeur en tant que marchand d'estampes, mais aussi comme passeur de la modernité française à l'étranger et notamment aux États-Unis. Petiet édite lui-même certains créateurs qui ont travaillé avec Vollard, comme Maillol ou Derain, et se lance à son tour dans l'édition d'un livre d'artiste, Les Contrerimes de Toulet illustré par Jean-Émile Laboureur, son graveur fétiche. Enfin, il soutient de nouveaux artistes comme Marie Laurencin, Marcel Gromaire ou encore Edouard Goerg qui le présente comme le « plus Vollard des marchands ».La médiation de l'exposition permettra de mieux comprendre les techniques de l'estampe et de l'imprimerie avec notamment la présentation d'outils et d'une presse taille-douce prêtée par l'Imprimerie nationale et activée lors de démonstrations. Enfin, un parcours dédié à l'exposition sera disponible en téléchargeant l'application de visite du Petit Palais lancée au même moment que l'exposition. L'application, dont le contenu sera également disponible sur le visioguide du musée, offrira une visite guidée très vivante de l'exposition à travers quelques oeuvres clés et grâce aux propres anecdotes de Vollard et de Petiet, dont les personnalités atypiques et attachantes seront ainsi mises en valeur. Il y aura en outre un mini-site ludique permettant de composer une page d'édition avec des typographies et des motifs ornementaux.Catalogue de l'exposition aux Éditions Paris MuséesFigure hors norme du marché de l'art au tournant du siècle, Ambroise Vollard (1866-1939) se distingue par son audace qui le fit soutenir des artistes modernes comme Cézanne, Gauguin ou encore le jeune Picasso et Rouault. Caractère difficile et énigmatique, il se passionne également pour l'édition d'estampes et le livre illustré, déployant beaucoup de son énergie et de ses moyens pour solliciter inlassablement créateurs et collectionneurs. À la fin de la guerre, Henri Petiet (1894-1980) rachète le fonds de la galerie Vollard, dont il était client, s'approvisionnant régulièrement en planches de Bonnard ou Picasso (il fera notamment signer par Picasso la fameuse « Suite Vollard »). Superbement illustré, cet ouvrage met en lumière le rôle capital de ces deux marchands dans le domaine spécifique de l'édition d'estampes et de livres d'artiste. Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.
Vuelve el Dongcast más Dongcast que nunca. Con Àlex Delmàs, ZerfBarbut, Sergio González, La Resistència del Palau, Arnau Blanch, Arístides Maillol y Joan Fontes. Otra historia, Los Grijis, Haciendo amigos, Corrientes 438... y la participación de Jaume Rius.
INFORMATIU: Divendres 18 de desembre del 2020 Diverses manifestacions són anunciades per demà a Perpinyà. A les 14h una mobilització contra la llei de Seguretat Global ha estat convocada a la rambla Maillol. Mitja hora més tard seran els actors del món de la cultura qui manifestaran per expressar llur descontentament pel tancament d’espais culturals. I demà a les 16h és el col·lectiu de solidaritat amb els sense papers qui convoca un acte amb motiu de la diada internacional dels migrants. Una vintena de col·lectius, sindicats i associacions convoquen la mobilització al bulevard Jean Bourat, al costat del monument als morts. El Consell Municipal de Perpinyà va estudiar ahir la primera fase de remodelació de les entrades al centre vila. La municipalitat vol crear més pàrquings i espais verds i millorar el trànsit. Els elegits de la vila de Perpinyà també van decidir posar fi al contracte amb la companyia Indigo que s’encarrega de la gestió dels aparcaments de pagament al centre vila. La municipalitat estudia gestionar ella mateixa l’aparcament de superfície de la vila. Amazon podria implantar-se als afores de Perpinyà. La comunitat urbana de Perpinyà ha anunciat la instal·lació d’una «empresa de logística» a Ribesaltes amb la creació d’un centenar de llocs de treball. Bona notícia pels assalariats de Medicoop66 que no pagava els seus treballadors d’ençà d’un mes i mig. Els salaris ja s’han començat a pagar per als prop de 600 treballadors del medicosocial que per fi podran cobrar. Catalunya Sud fa un pas enrere i torna a prendre mesures de confinament més estrictes. Aquestes mesures seran anunciades durant el matí. El País Valencià endureix les mesures contra el coronavirus. Esquerra Republicana s’allunya del Consell per la república i no assistirà a l'acte fundacional de l'Assemblea de Representants d'aquest dissabte al Palau de la Generalitat. El Tribunal Superior de Justícia de Catalunya, ha decidit que un mínim del 25% de les classes s'han de fer en castellà a Catalunya. El president espanyol Pedro Sánchez i el rei Felipe VI visitaran Catalunya la setmana vinent. Tenen previst visitar dilluns la fàbrica de Seat a Martorell. Rugbi a 15: l’USAP jugarà avui a Aimé Giral contra Oyonnax a partir de 20h45. Perpinyà espera sumar una nova victòria per consolidar la seua plaça de líder del campionat.
Le dessinateur et caricaturiste Jacques-Armand Cardon publie, aux éditions Le Monte en l'air et Super Loto, un livre intitulé «Cathédrale Cardon». On connaît d’abord Jacques-Armand Cardon pour ses caricatures, ses dessins de presse, notamment ceux publiés dans l’hebdomadaire satirique français Le Canard Enchaîné, dont il est devenu l’un des piliers. Ses personnages, il aime les dessiner de dos, souvent de trois-quarts de dos, étrange façon de nous faire regarder le monde en face. «Vus de dos» était d’ailleurs le titre de l’un de ses recueils. Mais, c’est aussi un dessinateur d’art, dont les grands formats se sont affichés dans plusieurs revues, comme « Les cahiers dessinés ». À travers ses dessins muets, ténébreux et glacés, cet ancien ouvrier des arsenaux de Lorient nous livre un regard sans complaisance sur la cruauté du monde et le cynisme des puissants. Le voici de retour avec un projet colossal, dont nous allons explorer avec lui les fondations. Jacques-Armand Cardon présente son ouvrage «Cathédrale Cardon», publié dans une coédition Le Monte En l’Air/Super Loto Éditions. Reportage : Fanny Bleichner a visité l'exposition «Esprit es-tu là ?» qui se tient en ce moment à Paris, au musée Maillol. Elle s'intéresse aux peintres spirites..
Explica quina és la situació un mes després de l'inici del curs i de com s'han adaptat a les mesures sanitàries
DE L'ART ET DE LA MODE, lundi et jeudi à 9h10 et 12h10. Actualités des expositions et des manifestations culturelles. Cette semaine, Alizée est allée, masquée, découvrir l'exposition "Esprit es-tu là ?" présentée jusqu'au 1er novembre au musée Maillol et qui met à l'honneur trois artistes du courant spirite, Augustin Lesage, Victor Simon et Fleury-Joseph Crépin. Ils ont entendu des voix, se consacrant à l'art corps et âme toute leur vie. "Les oeuvres d'Augustin Lesage apparaissent comme des mystères à percer, une sorte de chasse au trésor pour les yeux...La dimension spirituelle est omniprésente dans leurs oeuvres, se faisant les ambassadeurs de messages de paix". Alizée Ternisien pour Art District Radio
« Esprit es-tu là ? », c'est l'étrange exposition qui vient de s'ouvrir au musée Maillol à Paris. Des artistes spirites guidés par des voix, comme ils disent, ont consacré des vies entières à dessiner et peindre, empreints d'une mission de paix souvent. C'est le LaM de Villeneuve d'Ascq, le musée d'art moderne et contemporain de la banlieue de Lille qui détient la plus grande collection d'art spirite au monde qui est à l'origine de l'exposition. ►« Esprit es-tu là ? », c'est au musée Maillol jusqu'au 1er novembre. Ne pas oublier de réserver sa visite obligatoirement en ligne.
Partage“Esprit es-tu là ?” Les peintres et les voix de l'au-delàau musée Maillol, Parisdu 10 juin au 1er novembre 2020Musée Maillol Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.
Esperant la confirmació ministerial, els professors són convocats el dimarts 2 de juny als liceus mentre que els alumnes tornarien el dijous 4
Aquest dissabte hi ha un acte polític en presència dels 3 eurodiputats a l'exili: Carles Puigdemont, Toni Comín i Clara Ponsatí. Paral·lelament el Comité de Solidaritat s'encarrega d'organitzar una Fira de Cultura i Entitats a la passejada Maillol anomenada "Sem Catalunya Nord"
At the beginning of the 20th-century Paris wasn’t only the city of leading painters but also the city of great sculptors. Rodin, Maillol, Medardo Rosso.
Am Anfang des 20. Jahrhunderts war Paris nicht nur die Stadt der führenden Maler, sondern auch der grossen Bildhauer. Rodin, Maillol, Medardo Rosso.
durée : 00:04:35 - Mômes trotteurs - par : Ingrid Pohu - Banyuls-sur-Mer est située sur la partie la plus orientale de la chaîne pyrénéenne, où le massif des Albères se jette dans la Méditerranée. Aux pieds de vignes en terrasses, la cité portuaire est limitrophe avec l'Espagne.
Paris's Maillol Museum was founded in 1995 by Dina Vierny, a model and close associate for 19th and 20th-century sculptor Aristide Maillol. It is currently showing the works of Swiss artist Alberto Giacometti, along with several works by artists such as Maillol, Aguste Rodin and Germaine Richier. Interesting to compare. To listen to Rosslyn Hyams's radio report click on the arrow in the top right hand of the photo. Alberto Giacometti spent a lot of time in Paris, in his studio in Montparnasse, and his works have been more or less fashionable over the years since his death in 1966. Today he is considered as one of the most important sculptors of his generation. The exhibition at the Musée Maillol in association with the Giacometti Foundation, is laid out to enable an exploration of Giacometti's sculptures and drawing. In bright white spaces, the delicate heads in glass cubes look all the more vulnerable. How thin can a person be? Giacometti saw the human figure as frail, even cast in a solid metal like bronze. His rough-edged shapes contrast with the roundness and fullness of Maillol's works. Although Giacometti himself went through a period of more classical creation before formulating the style he is best-known for.. The Giacometti Foundation has picked pieces for this exhibition which show how Giacometti played with ancient art from North Africa, particularly Egypt, and Africa south of the Sahara, which corresponded to his times and remains strikingly adapted to tastes today. The exhibition runs till March 2019.
Paris's Maillol Museum was founded in 1995 by Dina Vierny, a model and close associate for 19th and 20th-century sculptor Aristide Maillol. It is currently showing the works of Swiss artist Alberto Giacometti, along with several works by artists such as Maillol, Aguste Rodin and Germaine Richier. Interesting to compare. To listen to Rosslyn Hyams's radio report click on the arrow in the top right hand of the photo. Alberto Giacometti spent a lot of time in Paris, in his studio in Montparnasse, and his works have been more or less fashionable over the years since his death in 1966. Today he is considered as one of the most important sculptors of his generation. The exhibition at the Musée Maillol in association with the Giacometti Foundation, is laid out to enable an exploration of Giacometti's sculptures and drawing. In bright white spaces, the delicate heads in glass cubes look all the more vulnerable. How thin can a person be? Giacometti saw the human figure as frail, even cast in a solid metal like bronze. His rough-edged shapes contrast with the roundness and fullness of Maillol's works. Although Giacometti himself went through a period of more classical creation before formulating the style he is best-known for.. The Giacometti Foundation has picked pieces for this exhibition which show how Giacometti played with ancient art from North Africa, particularly Egypt, and Africa south of the Sahara, which corresponded to his times and remains strikingly adapted to tastes today. The exhibition runs till March 2019.
Chaque mois, je partage avec vous une expo coup de cœur. Pour le premier épisode de la série, je vous parle d'une expo qui m'a littéralement enthousiasmée : l'expo Giacometti au musée Maillol. Retrouvez les notes de cet épisode ici : https://www.amusee.fr/episode5-expo-giacometti.html
Du 7 mars au 15 juillet 2018, le Musée Maillol à Paris, présente une exposition consacrée à l’artiste japonais, naturalisé français, Léonard Tsuguharu Foujita. Plus d’une centaine d’oeuvres majeures, issues de collections publiques et privées, retracent le caractère exceptionnel des années folles de Foujita à Montparnasse, entouré de ses amis Modigliani, Zadkine, Soutine, Indenbaum, Kisling ou Pascin. L’exposition se concentre sur la première période parisienne de l’artiste, très productif entre 1913 et 1931. L’exposition retrace l’histoire d’un destin unique, celui d’un artiste évoluant entre deux cultures. De ses prémices au Japon, en passant par son ascension et la révélation de son oeuvre, son parcours le mènera jusqu’à la création de ce personnage si singulier dans le contexte parisien des années folles. Ses thèmes récurrents – femmes, chats, natures mortes, enfants et autoportraits – sont spécifiques du foisonnement de sa production artistique. Foujita traverse les grands courants modernistes sans dévier de son schéma de recherche, respectueux de ses racines japonaises et du classicisme des grands maîtres occidentaux. Ses oeuvres en appellent d’autres, celles de ses voisins d’atelier, ses amis, admirateurs et inspirateurs, pour un dialogue enrichissant permettant de mesurer l’originalité et la complémentarité des artistes regroupés sous l’appellation « École de Paris ». Les oeuvres majeures en provenance d’institutions et de musées remarquables et une centaine d’oeuvres rares de quelques 45 collections privées en provenance du Japon, des États-Unis et d’Europe, concourent à souligner à la fois l’extraordinaire génie créateur de Foujita et à inviter le visiteur à découvrir l’intimité d’un artiste surprenant. Les deux diptyques monumentaux, Combats I et II et Compositions au lion et au chien datés de 1928, prêts du Conseil Départemental de l’Essonne, coeur des Années Folles et de l’exposition, démontrent la puissance virtuose de Foujita et l’impact qu’il eut sur son époque. Ces grands formats, confiés par Foujita à sa femme Youki, étaient considérées par l’artiste comme ses tableaux les plus aboutis. L’exposition démontre le talent de l’artiste fou de dessin qui, après son illustre prédécesseur Hokusai, maniait le pinceau avec brio. Le trait de Foujita se révèle d’une sureté infaillible et ses lignes d’une finesse calligraphique exemplaire avec l’utilisation du sumi (encre nore japonaise) autant sur le papier que pour ses huiles. Il laisse à la couleur un rôle secondaire mais si décisif qu’elle en sublime le trait. La délicatesse de la gouache et de l’aquarelle emplit les formes par aplat, pour des transparences subtiles lorsqu’il s’agit de peinture à l’huile. Ses fonds d’or renforcent quant à eux l’impression de préciosité et de raffinement. Cinquante ans après la mort de Foujita en 1968, le musée Maillol met à l’honneur l’oeuvre lumineuse et rare du plus oriental des peintres de Montparnasse.
Wim Noordhoek doet verslag van de Maillol-tentoonstelling in de Rotterdamse Kunsthal. Aristide Maillol (1861-1944) is vooral bekend om zijn monumentale vrouwenfiguren. ‘Ik werk in een dierenwinkel. We verkopen vissen, knaagdieren en vogels. Met honden en katten zijn we gestopt. Die markt ligt veel te veel open. Als dierenwinkel kun je niet concurreren met de prijzen [...]
http://citygardenstl.org/podcast/702_Maillol.mp3 Mon, 29 Jun 2009 11:20:04 -0500 Visual Arts
http://citygardenstl.org/podcast/701_Maillol.mp3 Mon, 29 Jun 2009 11:20:18 -0500 Visual Arts