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L'exposition Instants données est à retrouver au musée Maillol, à Paris, une exposition touchante et exhaustive, réalisée en collaboration avec ses deux filles de Robert Doisneau, Annette et Francine, et la société belge Tempora. Au fil de 400 clichés, on redécouvre la capitale française à travers le regard du photographe, comme un souffle d'humanité en noir et blanc. « Le baiser de l'Hôtel de Ville »: deux amoureux s'embrassent devant une terrasse de café, à deux pas de l'Hôtel de Ville de Paris. C'est probablement cette photo qui vous vient en tête lorsque vous entendez le nom de Robert Doisneau, l'un des photographes les plus emblématiques du XXème siècle et du courant humaniste.Pendant plus de 50 ans, Robert Doisneau a arpenté les rues de Paris à la façon de celui qu'il aimait décrire comme « le patient passant » : celui qui attend des heures pour immortaliser ces instants de vie qui laissent les autres indifférents, jusqu'à ce que son appareil photo les rende éternels.Francine Deroudille, l'une des deux filles du photographe – qui a fondé avec sa sœur l'atelier Robert Doisneau , où sont conservées toutes ses photos – est aujourd'hui l'une des commissaires de cette exposition : « On a voulu montrer toute une séquence qui s'appelle "Gravité", où on voit les photos des gens à qui la vie n'a pas fait de cadeaux, explique-t-elle. Que ce soit les prostituées des halles ou des mineurs à Lens qui vivent dans des conditions épouvantables. Robert Doisneau a fait des photos qui peuvent être très dures, mais le regard qu'il porte sur les gens n'est jamais dur. »La solidarité : une valeur chère au cœur de Robert Doisneau. Une solidarité sans distinction, sans hiérarchie. C'est ce que l'on ressent en se baladant dans les allées du musée Maillol. Une exposition de plus de 400 photos, en noir et blanc la plupart du temps, qui représentent des enfants qui jouent dans les rues ou au pied de la tour Eiffel, des amoureux qui dansent un soir de 14 juillet, mais aussi les banlieues parisiennes. Des banlieues dans lesquelles il aimait passer son temps libre, il fut d'ailleurs l'un des premiers à les photographier : Les gens de la banlieue, peut-être parce que le décor sert de repoussoir, je les trouve très attendrissants. La jeunesse en banlieue prend une valeur, un caractère ... « De nos jours, les banlieues sont très photographiées, retrace Francine Deroudille. Au moment où il le faisait, ce n'était pas du tout [le cas]. Tous les objectifs s'étaient détournés de cette photographie sociale. Il va montrer des photographies qui vont pouvoir étayer un propos de révolte sociale. »Connu pour son côté provocateur, Robert Doisneau était aussi un grand conteur. Il n'aimait pas qu'on le réduise à un simple témoin du réel. Et pourtant, Doisneau c'est une histoire de rencontres et de récits de vie. Lorsqu'il rentrait chaque soir, ses filles se souviennent qu'il aimait leur raconter ses aventures parisiennes. Des histoires qui se rejoignent toutes en un point : un regard profondément bienveillant. Un regard qui serait précieux aujourd'hui, comme le souligne sa fille : « Je pense qu'en ce moment où la société est rude et où les rapports des gens sont violents, il aurait été content de représenter la liberté, la fraternité et l'égalité. Ce n'est pas un homme qui cherchait à représenter un message en particulier, mais il y a quand même un message de paix dans son travail. »La désobéissance, c'est la lutte contre l'autorité. Quand des gens représentant l'autorité, la force publique, vous disent 'circulez, il n'y a rien à voir', c'est là qu'il faut impérativement s'arrêter et regarder. C'est là qu'il se passe des choses. ► Une exposition à découvrir jusqu'au 12 octobre 2025 au musée Maillol. À lire aussiLe photographe franco-brésilien Sebastião Salgado est mort à l'âge de 81 ans
L'exposition Instants données est à retrouver au musée Maillol, à Paris, une exposition touchante et exhaustive, réalisée en collaboration avec ses deux filles de Robert Doisneau, Annette et Francine, et la société belge Tempora. Au fil de 400 clichés, on redécouvre la capitale française à travers le regard du photographe, comme un souffle d'humanité en noir et blanc. « Le baiser de l'Hôtel de Ville »: deux amoureux s'embrassent devant une terrasse de café, à deux pas de l'Hôtel de Ville de Paris. C'est probablement cette photo qui vous vient en tête lorsque vous entendez le nom de Robert Doisneau, l'un des photographes les plus emblématiques du XXème siècle et du courant humaniste.Pendant plus de 50 ans, Robert Doisneau a arpenté les rues de Paris à la façon de celui qu'il aimait décrire comme « le patient passant » : celui qui attend des heures pour immortaliser ces instants de vie qui laissent les autres indifférents, jusqu'à ce que son appareil photo les rende éternels.Francine Deroudille, l'une des deux filles du photographe – qui a fondé avec sa sœur l'atelier Robert Doisneau , où sont conservées toutes ses photos – est aujourd'hui l'une des commissaires de cette exposition : « On a voulu montrer toute une séquence qui s'appelle "Gravité", où on voit les photos des gens à qui la vie n'a pas fait de cadeaux, explique-t-elle. Que ce soit les prostituées des halles ou des mineurs à Lens qui vivent dans des conditions épouvantables. Robert Doisneau a fait des photos qui peuvent être très dures, mais le regard qu'il porte sur les gens n'est jamais dur. »La solidarité : une valeur chère au cœur de Robert Doisneau. Une solidarité sans distinction, sans hiérarchie. C'est ce que l'on ressent en se baladant dans les allées du musée Maillol. Une exposition de plus de 400 photos, en noir et blanc la plupart du temps, qui représentent des enfants qui jouent dans les rues ou au pied de la tour Eiffel, des amoureux qui dansent un soir de 14 juillet, mais aussi les banlieues parisiennes. Des banlieues dans lesquelles il aimait passer son temps libre, il fut d'ailleurs l'un des premiers à les photographier : Les gens de la banlieue, peut-être parce que le décor sert de repoussoir, je les trouve très attendrissants. La jeunesse en banlieue prend une valeur, un caractère ... « De nos jours, les banlieues sont très photographiées, retrace Francine Deroudille. Au moment où il le faisait, ce n'était pas du tout [le cas]. Tous les objectifs s'étaient détournés de cette photographie sociale. Il va montrer des photographies qui vont pouvoir étayer un propos de révolte sociale. »Connu pour son côté provocateur, Robert Doisneau était aussi un grand conteur. Il n'aimait pas qu'on le réduise à un simple témoin du réel. Et pourtant, Doisneau c'est une histoire de rencontres et de récits de vie. Lorsqu'il rentrait chaque soir, ses filles se souviennent qu'il aimait leur raconter ses aventures parisiennes. Des histoires qui se rejoignent toutes en un point : un regard profondément bienveillant. Un regard qui serait précieux aujourd'hui, comme le souligne sa fille : « Je pense qu'en ce moment où la société est rude et où les rapports des gens sont violents, il aurait été content de représenter la liberté, la fraternité et l'égalité. Ce n'est pas un homme qui cherchait à représenter un message en particulier, mais il y a quand même un message de paix dans son travail. »La désobéissance, c'est la lutte contre l'autorité. Quand des gens représentant l'autorité, la force publique, vous disent 'circulez, il n'y a rien à voir', c'est là qu'il faut impérativement s'arrêter et regarder. C'est là qu'il se passe des choses. ► Une exposition à découvrir jusqu'au 12 octobre 2025 au musée Maillol. À lire aussiLe photographe franco-brésilien Sebastião Salgado est mort à l'âge de 81 ans
durée : 00:29:55 - Les Nuits de France Culture - par : Albane Penaranda - Dans "Agora", Robert Doisneau évoquait son premier appareil, ses années aux usines Renault. Il parlait du mouvement et de l'immobilité, du hasard, de l'attente, de la bonne distance du photographe, du noir et blanc, de la couleur... Il parlait de la photographie comme d'un art funéraire. - réalisation : Virginie Mourthé - invités : Robert Doisneau Photographe
durée : 00:15:41 - Les Midis de Culture - par : Marie Labory - À travers un choix de près de 400 photographies, le musée Maillol propose de (re)découvrir le photographe Robert Doisneau qui, à travers ses clichés du quotidien, livre un regard unique sur Paris et sur le monde. - réalisation : Laurence Malonda - invités : Joseph Ghosn Directeur adjoint de la rédaction de Madame Figaro; Philippe Azoury Journaliste, critique et auteur
durée : 00:27:07 - Les Midis de Culture - par : Marie Labory - Au programme du débat critique, deux expositions : "Robert Doisneau, instants donnés" au musée Maillol et "Le Paris d'Agnès Varda, de-ci de-là" au musée Carnavalet. - réalisation : Laurence Malonda - invités : Philippe Azoury Journaliste, critique et auteur; Joseph Ghosn Directeur adjoint de la rédaction de Madame Figaro
Robert Doisneau nunca – ao longo de 62 anos a fotografar (dos 20 aos 82) deitou fora uma película. Guardou tudo numa parte da moradia que comprou em Montrouge, nos arredores de Paris. E esse tudo são mais de 450 mil fotografias. 400 delas estão agora em exposição no Museu Maillol, em Paris.
Le musée Maillol à Paris accueille une rétrospective exceptionnelle de Robert Doisneau, dévoilant plus de 350 clichés du célèbre photographe. Intitulée "Robert Doisneau. Instants Donnés", l'exposition explore 50 ans de l'œuvre de Doisneau, mettant en lumière sa capacité unique à capturer l'extraordinaire dans le quotidien. Ecoutez Laissez-vous tenter - Première avec Laurent Marsick du 18 avril 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Jean-Jacques Farré, auprès des photos à Libération et Télérama, partage son parcours, depuis ses débuts à l'AFP jusqu'au lancement de la revue LIKE en 2020. Il nous parle des évolutions technologiques qui ont rendu la création de revues plus accessible, les relations entre photographes et rédactions, et partage ses conseils pour publier ou créer une revue. Bonne écoute !1'18 – Né dans la banlieue de Grenoble, issu d'une famille ouvrière immigrée espagnole. Marqué par des profs militants qui cherchaient à enseigner à tout le monde.3'00 – Sa découverte de la presse : un voisin postier de nuit lui ramenait des journaux. Il découpait les photos et les colonnes pour recréer des pages.5'00 – Reçoit un appareil photo comme cadeau de communion. Poussé par un camarade, il passe et réussit le concours des Beaux-Arts de Saint Etienne.7'13 – Écrit au rédacteur en chef du journal Le Progrès de Saint-Étienne pour accompagner les photographes. Commence un travail au labo photo le week-end, gagnant plus que son père.11'30 – Participe à des mouvements sociaux à Saint-Étienne, écrit des articles et remplace des correspondants.15'50 – Comprend qu'il veut devenir journaliste. Monte à Paris avec une lettre de recommandation du Progrès et entre à l'AFP.16'30 – À l'AFP, travaille au labo photo et découvre le monde des photographes de l'agence.23'00 – Arrivée au journal Libération : met de l'ordre dans les archives photo et participe à la création de maquettes avec les directeurs artistiques du journal.24'30 – Joie de collaborer avec des photographes comme Gilles Favier, Depardon, Doisneau, Salgado. Confiance totale entre les différentes équipes : photographes, maquettistes et rédacteurs.31'45 – Intègre Télérama en 1996, monte un service photo dans les règles de l'art, puis revient en freelance, travaillant sur des projets variés.40'00 – Lancement de la revue LIKE en 2020, un projet personnel qui rassemble ses apprentissages et met en avant les récits des photographes.46'40 – Grâce aux avancées technologiques, produire une revue est plus accessible. Partenariat avec son imprimeur, Shira, pour assurer qualité et coûts raisonnables.50'40 – Gestion du modèle économique de la revue LIKE : boutique en ligne, incitations aux abonnements, et communication quotidienne avec les abonnés.55'45 – Découvre l'importance des tables de vente dans les salons pour promouvoir la revue, devenant un moteur principal de son développement.1'00'00 – Conseils pour les photographes : proposer tous les genres et restituer les images de façon claire. Mention spéciale pour Alice Pallot et Marine Lagnier.1'06'30 – Protocole pour être publié : se baser sur les sorties de livres photos et offrir un panorama large des pratiques photographiques.1'08'15 – Conseils pour créer une revue : s'appuyer sur ses compétences, ne pas hésiter à copier pour apprendre, et se perfectionner au fil du temps.1'11'10 – Accessibilité des techniques actuelles : être curieux et généreux. Le retour immédiat des lecteurs permet de progresser rapidement.1'15'10 – Le prochain numéro de LIKE (n°19) sort en janvier, accompagné d'un hors-série.Le site de la LIKE : https://www.touslesjourscurieux.fr/Abonnez-vous à ma Newsletter-> Newsletter les Voix de la PhotoPour devenir partenaire du podcast : https://bit.ly/sponsoriserLVDLPPour vous inscrire à la newsletter du podcast : https://bit.ly/lesvoixdelaphotonewsletterLe site du podcast : https://lesvoixdelaphoto.fr/Et vous pouvez retrouvez le podcast sur Instagram, Facebook et LinkedIn @lesvoixdelaphotoLes Voix de la Photo est un podcast produit et réalisé par Marine Lefort. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Gabriel Bauret"Robert Doisneau. Trame di vita"Mostra fotografica al Filatoio di Caraglio (Cuneo)Fino al 23 febbraio 2025Fondazione Arteawww.fondazioneartea.orgLa traduzione della conversazione è a cura di Manuela Vico - Alliance Française.La mostra Robert Doisneau. Trame di vita ripercorre l'opera di colui che è considerato, insieme a Cartier-Bresson, il padre fondatore della fotografia umanista francese e del fotogiornalismo di strada: oltre 100 immagini provenienti dalla collezione dell'Atelier Robert Doisneau esplorano mezzo secolo della sua ricchissima produzione, in un percorso che coniuga perfettamente la visione di un mondo quotidiano con l'espressione del meraviglioso.Ribelle, poetico, anticonformista, Doisneau nei suoi scatti racconta la Parigi della Liberazione e del Dopoguerra, le banlieue, i giochi dei bambini, i bistrot, ma anche la dura e complessa realtà del lavoro all'interno delle fabbriche. In perfetto dialogo con l'anima e con gli spazi dell'antico setificio che la ospitano, la mostra presenta, per la prima volta, alcuni scatti tratti dal reportage del 1945 sulla celebre manifattura di Aubusson che documentano il lavoro degli artigiani e le varie fasi della catena di produzione degli arazzi.Tra i capolavori esposti, anche Le baiser de l'Hôtel de Ville del 1950, il ritratto iconico di una giovane coppia intenta a baciarsi davanti al municipio di Parigi incurante della gente e del traffico che li circonda.Particolarmente significativa, in virtù dell'edificio che lo ospita – il Filatoio è uno dei più antichi setifici d'Europa, mirabile esempio di protoindustria – è una serie inedita di fotografie tratte dal reportage realizzato nel 1945 nella manifattura tessile di Aubusson, parte dell'area tematica dedicata al progetto con cui Doisneau documentò l'evoluzione del mondo produttivo nella sua Francia del Secondo Dopoguerra, testimoniando l'attività nelle fabbriche e le condizioni lavorative di quegli anni. L'itinerario di visita, aperto dal primo scatto realizzato a soli diciassette anni nel 1929, svelerà inoltre ai visitatori volti e luoghi delle periferie parigine, conducendo in quella dimensione a lui, residente nella banlieue di Montrouge, particolarmente cara: frammenti di vita quotidiana e gente di strada furono infatti il suo soggetto preferito, come in mostra evidenziano le foto nei bistrot, quelle di bambini che giocano o le scene dei momenti di festa e di innamorati, fra cui il celeberrimo scatto Baiser de l'hotel de ville.“Robert Doisneau. Trame di vita” è un progetto della Fondazione Artea, realizzato in collaborazione con l'Atelier Robert Doisneau il Comune di Caraglio, con la curatela di Gabriel Bauret e Chantal Bauret, è visitabile giovedì e venerdì dalle ore 15 alle 19, sabato, domenica e festivi, dalle ore 10 alle 19.Gabriel Bauret"Robert Doisneau. Il mondo del lavoro / Le monde du travail"Dario Cimorelli Editorewww.dariocimorellieditore.itSe c'è una parte dell'opera di Robert Doisneau (1912-1994) che non è quasi più necessario presentare, ce n'è un'altra meno conosciuta: quella degli anni prima e subito dopo la guerra, durante i quali Doisneau fu dapprima un dipendente della Renault prima di diventare indipendente e rispondere agli ordini di riviste politicamente impegnate. Il volume presenta in maniera accurata tre aspetti del mondo del lavoro grazie a tre reportage...IL POSTO DELLE PAROLEascoltare fa pensarewww.ilpostodelleparole.itDiventa un supporter di questo podcast: https://www.spreaker.com/podcast/il-posto-delle-parole--1487855/support.
Auf seinen Bildern hielt Doisneau kleine Geschichten und große Geschichte fest. Ein neuer Bildband zeigt sein vielfältiges Werk.
durée : 00:29:55 - Les Nuits de France Culture - par : Albane Penaranda - Dans "Agora", Robert Doisneau évoquait son premier appareil, ses années aux usines Renault. Il parlait du mouvement et de l'immobilité, du hasard, de l'attente, de la bonne distance du photographe, du noir et blanc, de la couleur... Il parlait de la photographie comme d'un art funéraire. - réalisation : Virginie Mourthé - invités : Robert Doisneau Photographe
durée : 00:29:59 - Les Nuits de France Culture - Dans "Agora", Robert Doisneau évoquait son premier appareil, ses années aux usines Renault. Il parlait du mouvement et de l'immobilité, du hasard, de l'attente, de la bonne distance du photographe, du noir et blanc, de la couleur... Il parlait de la photographie comme d'un art funéraire. - invités : Robert Doisneau Photographe
Rencontres en rattrapage cette semaine : Raymond Poirier rencontre Orbie pour Le tiroir des bas tout seuls (Les 400 coups) et Cyril Doisneau, pour Les Fusibles (Dupuis).
Êtes-vous addict à Radio Campus Angers ? Mickaël Doisneau, chef de service de l'Association ligérienne d'addictologie et Maxime Rousseau, infirmier… The post L'anniversaire du Garage first appeared on Radio Campus Angers.
Aujourd'hui, je vais vous parler du baiser de l'hôtel de ville. Crédit image : Doisneau, Le Baiser de l'Hotel de Ville, 1950 Texte : Isa B. Voix : Odile Dussaucy Production, réalisation : MesSortiesCulture Le texte de cet épisode, avec son visuel est sur TartinesDeCulture, ici. Abonnez-vous à nos podcasts, ici. A bientôt pour un nouvel épisode! Retrouvez nos #mardidevinette et #enigmeduvendredi sur Facebook et Instagram. Trouvez vos visites guidées sur MesSortiesCulture. Nourrissez votre curiosité avec TartinesDeCulture. Enchantez vos collaborateurs et vos clients avec MSCulture. Recevez votre Newsletter personnalisée.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Quartier d'affaires - le podcast dédié au monde de l'entreprise
Le nom Traphot ne vous dit peut-être pas grand chose et pourtant il y a fort à parier que votre regard s'est au moins une fois attardé sur l'une de leur réalisation.
Un livre, mais aussi une ancienne gare de village transformée en lieu d'exposition : en Dordogne, les souvenirs de vacances du photographe mondialement connu se font l'écho d'une époque révolue. Une facette méconnue de son travail, rendue notamment possible grâce aux archives dévoilées par ses filles et le travail de la ville de Carlux.Sonia Moumen, rédactrice en chef de notre média partenaire Champs Libres, est au micro de Gabriel Taïeb. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Evènement Francophone de la semaine avec Brigitte Giraud Lauréate du Prix Goncourt 2022 Cloé Korman pour "Les Presque Sœurs" aux éditions du Seuil Tiken Jah Fakoly en avant-première pour son album "Braquage de pouvoir" chez Wagram Patrice Leconte pour "Les vélos de Doisneau" aux éditions Glénat Martin Panchaud pour "La couleur des choses" aux éditions Ça et la
La puntata di oggi: quanto conta la formazione in fotografia?Oggi puntata più discorsiva... si parla dell'importante della formazione in fotografia. Studiare è davvero indispensabile? Quanto è necessario farlo? Una parte del budget va riservata alla formazione?Cercherò di rispondere a queste domande prendendo spunto da una storia che mi è successa... pochi giorni fa.Inoltre, c'è la rubrica Quei Bravi Fotografi… alla fine di ogni puntata, vi presento un fotografo degno di nota!Oggi vi parlo di Robert Doisneau, considerato - a ragione - il secondo miglior fotografo francese della corrente umanista, la cui carriera appartiene alla seconda metà del secolo scorso. Domani andrò a vedere la mostra a lui dedicata al Museo dell'Ara Pacis, qui a Roma. Aspetto le vostre domande e i vostri feedback. Buona luce a tutti!*******************************************I MIEI LINK:Cliccate qui per sostenere con un piccolo contributo volontario le spese del podcast:https://www.patreon.com/user?u=15429568Email: andreageymet@gmail.com (da usare anche per contributo PayPal)Adobe Portfolio: https://andreageymet.myportfolio.comInstagram del podcast: https://www.instagram.com/passione_fotografia_podcast/I miei ritratti: https://www.instagram.com/andreageymet_ph/Le mie foto dei viaggi: https://www.instagram.com/the_solo_nomad/*******************************************IL SITO DOVE LEGGERE LE RECENSIONI DELL'ATTREZZATURA:https://www.juzaphoto.com*******************************************Alcuni ottimi manuali di tecnica fotografica:https://www.amazon.it/dp/8854033324/ref=cm_sw_em_r_mt_dp_VVXYYYG1HPMS2V4P4YBB https://www.amazon.it/dp/885403889X/ref=cm_sw_em_r_mt_dp_AW9DHA5K6M2XWDVM3G35https://www.amazon.it/dp/8865209143/ref=cm_sw_em_r_mt_dp_WEZGBWY2DK0Z87S1RBSK *******************************************QUEI BRAVI FOTOGRAFIRobert Doisneauhttps://it.wikipedia.org/wiki/Robert_Doisneauhttps://www.arapacis.it/it/mostra-evento/robert-doisneauhttps://www.grandi-fotografi.com/robert-doisneau
Enzia Verduchi es editora, periodista y poeta. Nació en Italia, pero cuando tenía sólo cuatro años su familia se mudó a México. Y se siente, lo dijo en varias entrevistas, una escritora mexicana. Sus poemas fueron traducidos al inglés, francés, hindi y polaco, entre otras lenguas. Uno de sus libros se llama “Cartas de usurpación”, que pese al nombre no es un libro epistolar sino un bellísimo poemario. Para el episodio de hoy elegimos, por supuesto, una carta. Aquí Enzia deja la poesía, el género que mejor maneja, para escribir, simplemente, una carta de amor. Para acercarse a la maravilla del beso, el silencio, los abrazos cruciales y escribir las formas en las que, punto a punto, se va tejiendo la complicidad entre dos. Lee la actriz María Merlino. *** Urbi: Esta mañana regué las plantas de la casa, observé cómo en algunas macetas han brotado hojitas minúsculas que alegre y desesperadamente buscan la luz. Como un milagro, las violetas florecen en invierno. Luego, a sorbitos, empecé a tomar el café y recordé que me esperaban cuartillas por corregir. Tomé el plumín rojo. Mi intención era retomar la cotidianidad, ser la persona de hace un mes, inútil. Soy como las violetas en medio del frío, tras la ventana, los botones asoman lentamente a través de los días y despuntan en tonalidades cárdenas, rosas y granas. Con el plumín en una mano y un cigarro en la otra, empecé a leer, a revisar las trescientas y tantas planas… ¿Sabías que el cuerpo humano aproximadamente tiene 650 músculos?, ¿y en un beso se utilizan sólo 34? Por supuesto me refiero a esos besos con los que te sube la presión sanguínea y el pulso se acelera a 150 pulsaciones, eso es lo que indica el libro de fisiología que estoy revisando. El músculo orbicularis oris es el más importante para besar. Pienso en el póster de “El beso” de Robert Doisneau que tenemos colgado en la habitación. Doisneau retrató la perfecta utilización de 34 músculos, inmortalizó el orbicularis oris. Hace unos años me enteré que fue una puesta en escena del fotógrafo para la revista America's Life, esa imagen es tan bella que qué importa. Deberíamos tener esa imagen en nuestras casas, en la oficina o llevarla en la cartera. Con el tiempo las parejas se besan menos y, sin embargo, gente que apenas conoces te orilla instintivamente para que la beses en la mejilla. Es una convención social que no entiendo. El beso es el inicio de todo, el principio de la intimidad y el deseo, cuando buscas con apremio rozar los labios y la piel del otro. El beso lleva a la caricia. ¿Te besé en la mejilla cuando nos conocimos? Estoy casi segura que no. Sabemos que la capacidad de la memoria es relativa, que tus cien mil millones de neuronas y cien billones de interconexiones pueden disentir o conciliar con las mías sobre un momento preciso, una misma experiencia compartida. La certeza es que hemos sido amigos de tantas maneras, hemos reído, guardado silencio y abrazado en momentos cruciales. Es extraño pero la vida nos une en momentos decisivos, con naturalidad volvemos a una conversación donde la última frase se verbalizó unos años antes, volvemos, quizá con distinta madurez, bordando nuestra complicidad. Quisiera recordar todo tal cual sucedió-sucede, Urbi, persistir en la premura del primer beso, la suavidad de la primera caricia. El olor de tu nuca en la funda de la almohada, el modo de tomar la taza del café, las maneras de acomodarte en el sillón cuando lees, esa forma peculiar de decirme: “Ven…”. Mientras escribo esta carta, me percato nuevamente de que las violetas han floreado en invierno sin evocar la alegoría de la primavera y no por ello el color de sus pétalos son menos intensos y su forma perfecta. Mientras escribo, escucho tu llave girar en la cerradura, me percato que amo al que conocí, amo al que estoy conociendo y entra en la casa. Enzia
durée : 01:47:29 - Le grand atelier - par : Vincent Josse - Elle se défendait d'être une star or elle en était une. Une étoile éclaire et de sa beauté, de sa sensualité, de ses fragilités, elle a éclairé le cinéma. Alors à l'occasion des 40 ans de sa disparition, bienvenue dans le Grand Atelier Fantôme de Romy Schneider. On se souvient de l'annonce brutale de sa mort, au printemps 1982, elle avait 43 ans et une longue carrière. A 15 ans, la caméra la découvre et ne la quitte pas, de Sissi à La Passante du Sans-Souci. Combien de vies, combien de femmes incarne-t-elle sur un plateau, pendant près de trente ans ? Le temps de tisser des liens forts avec des acteurs, Delon, Piccoli et plusieurs cinéastes. Que serait le cinéma de Claude Sautet sans Romy Schneider et même celui de Visconti ? Une petite fille chérie de l'Allemagne devenue une femme française, une figure incontournable du cinéma des années 1960 - 1970, une beauté, une photogénie parfaite, des rôles de femmes qui choisissent leur destin, leurs amours, c'est la vie de Romy Schneider à qui nous consacrons ce Grand Atelier fantôme. ? En première heure, Vincent Josse dialogue avec la commissaire de l'exposition et rétrospective, dédiée à Romy Schneider, à la Cinémathèque, Clémentine Deroudille, qui avait précédemment été commissaire pour des expositions sur Doisneau, Barbara... et qui est la commissaire du musée Louis de Funès de Saint-Raphaël. Un entretien ponctué d'un reportage réalisé chez Sylviane Pommier, dont l'immense collection personnelle dédiée à Romy Schneider a aidé l'exposition. ? En deuxième heure, Clémentine Deroudille est rejoint par le journaliste de cinéma Jean-Pierre Lavoignat, commissaire d'une précédente exposition dédiée à Romy Schneider qui a eu lieu en 2012 à Boulogne-Billancourt, et qui prépare un livre sur la relation entretenue entre Romy Schneider et Claude Sautet, qui sortira cet automne. Une discussion à deux, entrecoupées de deux entretiens hors les murs : Vincent Josse est allé à la rencontre du réalisateur et cinéaste Costa-Gavras, président de la Cinémathèque et qui a fait tourner Romy Schneider dans Clair de femme, en 1979 ; puis il s'est entretenu avec Sarah Biasini, comédienne, écrivaine et fille de Romy Schneider, qui avait quatre ans lorsque sa mère a disparu, auteure du livre La Beauté du ciel, sur sa mère (2021, éditions Stock). L'exposition et rétrospective dédiée à Romy Schneider, organisée pour les 40 ans de sa disparition, se tient jusqu'au 31 juillet 2022 à la Cinémathèque Française, 51 Rue de Bercy, 75012 Paris. Archives et extraits Archive de Romy Schneider sur ses parents - documentaire Conversation avec Romy Schneider, de Patrick Jeudy (ARTE) Extrait du film Sissi impératrice, d'Ernst Marischka, 1956 Archive d'Alain Delon sur Romy Schneider - Les Etoiles du cinéma, France Inter, 1995 Archive d'Alain Cavalier sur Romy Schneider - A Voix Nue, France Culture, 2005 Archive de Luchino Visconti sur la pièce Dommage qu'elle soit une putain - Journal de Paris, RTF, 1961 Archive d'Alain Delon accueillant Romy Schneider à l'aéroport de Nice - Inter Actualités, France Inter, 1968 Extrait du film La Piscine, de Jacques Deray, 1969 Archive de Claude Sautet sur Romy Schneider, suivi de Romy Schneider sur le film Les Choses de la vie - 1978 Extrait du film Les Choses de la vie, de Claude Sautet, 1970 Extrait du film Max et les Ferrailleurs, de Claude Sautet, 1971 Archive de Michel Piccoli sur Romy Schneider - Inter activ', Le 7/9, France Inter, 2013 Extrait du film Une Histoire simple, de Claude Sautet, 1978 Extrait du film Claire de femme, de Costa-Gavras, 1979 Archive de Romy Schneider au micro de Jacques Chancel - Radioscopie, France Inter, 1970 Extrait du film L'Important c'est d'aimer, d'Andrzej Zulawski, 1975 Extrait du film César et Rosalie, de Claude Sautet, 1972 Programmation musicale Medley de BO de films avec Romy Schneider (Sissi, César et Rosalie, Les Choses de la vie, La Piscine, Le Vieux Fusil et L'Important c'est d'aimer) La plus triste des chansons, d'Arthur H Concerto brande
durée : 00:20:00 - Les Nuits de France Culture - Par François-Régis Barbry - Avec Robert Doisneau - Réalisation Monique Bailly
Une bonne année 2022 ! On se retrouve avec des nouveaux sujets comme les nouveaux smartphones 2022, des tables futuriste pour nos photographies et la triste news du décès de Sabine Weiss.Chaîne Twitch : http://twich.tv/artstudio_516
Movementtalks had the chance to be in conversation with Cullberg managing director Stina Dahlström and choreographer Jérôme Bel. Here they share their opinion and goals concerning the emission of CO2 in the atmosphere and the contemporary world of performance. Stina Dahlström was born in 1982 in Kiruna. She has an education in literature, dance, theatre, economics and project management at the University of Stockholm. Stina Dahlström has worked as a freelance producer, and as head of production at MDT, an international co-producing and presenting plattform for contemporary dance in Stockholm. As of 2016, Stina Dahlström is managing director of Cullberg, the national and international repertoire contemporary dance company in Sweden. Jérôme Bel lives in Paris and works worldwide. nom donné par l'auteur (1994) is a choreography of objects. Jérôme Bel (1995) is based on the total nudity of the performers. Shirtology (1997) presents an actor wearing many T-shirts. The last performance (1998) quotes a solo by the choreographer Susanne Linke, as well as Hamlet and André Agassi. Xavier Le Roy (2000) was claimed by Jérôme Bel as his own, but was actually choreographed by Xavier Le Roy. The show must go on (2001) brings toghether twenty performers, nineteen pop songs and one DJ. Véronique Doisneau (2004) is a solo on the work of the dancer Véronique Doisneau, from the Paris Opera. Isabel Torres (2005), for the ballet of the Teatro Municipal of Rio de Janeiro, is its Brazilian version. Pichet Klunchun and myself (2005) was created in Bangkok with the Thai traditional dancer Pichet Klunchun. Follows Cédric Andrieux (2009), dancer of Merce Cunningham. 3Abschied (2010) is a collaboration between Anne Teresa De Keersmaeker and Jérôme Bel based on The Song of the Earth by Gustav Malher. Disabled Theater (2012) is a piece with a Zurich-based company, Theater Hora, consisting of professional actors with learning disabilities. Cour d'honneur (2013) stages fourteen spectators of the Cour d'honneur of the Palais des Papes in Avignon. In Gala (2015), the choreographer stages together professional people from the dance field and amateurs coming from different backgrounds. In Tombe (2016), performance created at the invitation of Opéra National de Paris, Jérôme Bel proposed to some dancers of the ballet to invite, for a duet, the person with who they would never share the stage. Posé arabesque, temps lié en arrière, marche, marche (2017) is a piece for all the dancers of the Ballet de l'Opéra de Lyon based on the famous “Entrance of the shadows” of the ballet La Bayadère. Dancing as if nobody is watching (2018) and the reading of the Lecture on nothing by John Cage call for a contemplative aesthetic attitude. With Retrospective, Jérôme Bel goes back through his video archives and makes a cross section within his corpus, to better bring out the linkage between dance and politics. Isadora Duncan (2019) paints a picture of this choreographer. In 2013 Emails 2009-2010, written with the French choreographer Boris Charmatz, is edited (Les Presses du Réel). This book is published on line and in English, still by Les Presses du Réel, in 2016. This interview was recorded with no CO2 emission. Interviewees: Stina Dahlström and Jérôme Bel Concept: Giacomo Della Marina Camera: Erica Espling and Oskar Hökerberg (Stina Dahlström) Show less
In quest diciannovesima puntata del podcast racconteremo la storia di Robert Doisneau, fotografo francese famoso per le sue istantanee scattate tra le strade di Parigi, immagini che raccontano con il suo inconfondibile approccio umanistico la vita dei parigini del 900.
Copyright Photo : Lily FRANEY / Getty Images Toute sa vie Robert Doisneau a "photographié la musique, toutes les musiques". Des musiciens de rues aux Rita Mitsouko en passant par Boulez, Dutilleux ou encore Django Reinhardt et Bill Coleman. Axelle Thiry vous propose un voyage à travers l'objectif de l'un des plus grands photographes du XXe siècle. "Dans mon école idéale de photographie, il y aurait un professeur de bouquet et un professeur de musique. On ne formerait pas des virtuoses du violon, mais on expliquerait le rôle de la musique qui donne une lumière sur les civilisations passées, formation complémentaire très nécessaire." Robert Doisneau Rolleiflex en bandoulière, Robert Doisneau a arpenté pendant des années les banlieues de Paris. Dans ces clichés "la musique est partout présente et participe surtout du regard humaniste du photographe". Car l'amour pour la musique naît souvent chez Doisneau d'un amour pour les gens…
Copyright Photo : Lily FRANEY / Getty Images Toute sa vie Robert Doisneau a "photographié la musique, toutes les musiques". Des musiciens de rues aux Rita Mitsouko en passant par Boulez, Dutilleux ou encore Django Reinhardt et Bill Coleman. Axelle Thiry vous propose un voyage à travers l'objectif de l'un des plus grands photographes du XXe siècle. "Dans mon école idéale de photographie, il y aurait un professeur de bouquet et un professeur de musique. On ne formerait pas des virtuoses du violon, mais on expliquerait le rôle de la musique qui donne une lumière sur les civilisations passées, formation complémentaire très nécessaire." Robert Doisneau Rolleiflex en bandoulière, Robert Doisneau a arpenté pendant des années les banlieues de Paris. Dans ces clichés "la musique est partout présente et participe surtout du regard humaniste du photographe". Car l’amour pour la musique naît souvent chez Doisneau d’un amour pour les gens…
durée : 00:03:54 - Si on sortait France Bleu Orléans
durée : 00:05:13 - L'invité du soir - France Bleu La Rochelle
Il Bacio all'Hotel de Ville di Robert Doisneau è una delle più celebri fotografie mai scattate. Nella 7° puntata di "Le Forme della Luce" cercheremo di comprendere cosa voleva davvero comunicarci il fotografo con questo scatto, divenuto ormai una vera e propria icona della società contemporanea.Trovi la puntata su Spotify, Apple Podcast, Spreaker. Oppure qui:http://www.valeriocappabianca.com/podcast
Today Florence and I talk about how a life coach can help you if you have circumstances, or issues that are holding you back from realizing the success in life that you deserve. If you don't know how to get started on where you want to go, or you are already on your path and have gotten stuck, Florence can help you break those barriers down and set yourself up to win at life! Florence Doisneau is a certified life coach, and the owner of Realize Unlimited, LLC. She assists clients in successfully defining and achieving their goals by supplying them with the tools and techniques they need to overcome the obstacles in their daily lives. Florence received her Life Coaching certification in 2014 from Coach U, and graduated from their Advanced Training Program in 2016. She is also a certified practitioner of Neuro-linguistic Programming (NLP) through the Tad James Company, a certified Yoga teacher, and she has her Masters Degree in Management and Bodyworks from Ecole Peyrefitte. She found her way to the vocation of Life Coaching through her own long and challenging journey during which she fought depression, anxiety, and social awkwardness in her own life. The tools she acquired along the way provided her with a much clearer perspective and a stronger resolve to create the fulfilling and joyous life she has always desired. This process inspired her to dedicate herself to helping other people overcome similar struggles. Florence originally considered taking up the practice of psychology, but after some study found coaching to be the field which would better serve her clients. Coaching, she explains, offers tools and opportunities to enhance communication, and create more authentic connections with people. She agrees with the philosophy that psychology and Twelve-Step programs have their usefulness in understanding the prison of the mind, but Life Coaching provides the key which unlocks that prison cell so that her clients can truly live a free and successful life. “Coaching,” she explains “is about understanding YOU. It is a process of building your future. Through Life Coaching you get to design and REALIZE the life you want.” Florence originally hails from Bordeaux, France. After living and interning in various other countries including Japan, England, and Spain, in 2013 she made the United States her permanent home. She currently serves her community through a local health and wellness center wherein she coaches clients on improving their lives through modifications in lifestyle, as well as by coaching through her own organization, Realize Unlimited. Book References Sydney Banks: sybanks.com to stream lectures and find more book references. Second Chance In Quest of the Pearl George Pransky The Relationship Handbook: A Simple Guide to Satisfying Relationships Michael Neill The Inside Out Revolution Contact Info Website: https://realizeunlimited.com/ Email: realizewithflo@gmail.com Phone: +1 (954) 826 9172
On connaît quelques photos mythiques qui traversent le temps et l’espace : celle du baiser des amoureux parisiens de Doisneau, celle du Che qui figure encore sur des millions de T-shirts, drapeaux et posters, également celle de la toute petite fille, nue et en pleurs, sur une route vietnamienne en plein bombardement au napalm américain, et […]
On connaît quelques photos mythiques qui traversent le temps et l’espace : celle du baiser des amoureux parisiens de Doisneau, celle du Che qui figure encore sur des millions de T-shirts, drapeaux et posters, également celle de la toute petite fille, nue et en pleurs, sur une route vietnamienne en plein bombardement au napalm américain, et que dire du cliché de la réunion historique du trio Brel-Ferré-Brassens qui est encore abondamment publiée, tout comme, en ces moments difficiles, de la jeune militante pacifiste plaçant une fleur dans le canon d’un soldat en guise de symbole de paix… Je viens d’en découvrir une autre qui ne déparerait pas dans ce très subjectif et non exhaustif relevé. Je vous la décris, et, bien entendu, vous pourrez la voir sur notre site www.frequenceterre.com Nous sommes dans les années 1940, en pleine seconde Guerre mondiale et sur un trottoir de la capitale. À l’avant-plan, une jeune femme d’une vingtaine d’années, assez jolie malgré un visage relativement fermé et un regard qui fixe l’objectif avec, semble-t-il, sévérité. Habillée sobrement, portant une sacoche et un petit sac, elle avance d’un pas décidé. Se rend-elle à l’école où elle est surveillante et institutrice, à l’église car elle est croyante, faire la file pour le ravitaillement de produits alimentaires ? Derrière elle, à deux ou trois mètres, un gradé allemand en uniforme portant képi avec le sigle de l’aigle et de la croix gammée la suit. Il baisse légèrement la tête sur le côté tout en la scrutant, comme s’il analysait méticuleusement la démarche et les gestes de la piétonne. Celle-ci est Andrée Geulen qui, aujourd’hui, approche les cent ans et dont Mathilde de Jamblinne, auteure de l’essai Femmes dans la Résistance (Éditions Jourdan), retrace l’histoire émouvante, le courage et l’inflexible détermination dans son objectif : « La désobéissance comme devoir », soit un véritable modèle de comportement humaniste. Face aux rafles de la Gestapo, à l’étoile jaune portée par certains de ses écoliers, à l’imposition du STO, service du travail obligatoire dévolu à la machine d’extermination concoctée par le nazisme et le fascisme, Andrée Geulen devint membre active d’un groupe qui tentera de sauver un maximum d’enfants juifs menacés de déportation vers Dachau, Buchenwald et autres lieux infernaux imaginés par Hitler, ses sbires et la complicité de collaborateurs. « Je n’ai fait que mon simple devoir », dit-elle encore. Et elle ajoute : « Désobéir aux lois de l’époque était la chose normale à faire. » Par ce type d’engagement, elle sauva trois cents enfants et son réseau de 3 000 à 4 000 futures victimes de l’Holocauste. Le livre de Mathilde de Jamblinne est une évidente piqure de rappel à l’égard de tous ceux qui se complaisent dans le révisionnisme et la propagation de l’idéologie de la peste brune qui envahit à nouveau nos régions.
durée : 00:54:16 - Le Grand Atelier - par : Vincent Josse - Elle est moins connue que Doisneau, et pourtant, son regard sur les autres est le même, curieux, plein d'empathie. Sabine Weiss ouvre les portes de son atelier.
Découverte de l'exposition qui croisent photos de paysages de Lyon, photographiés par Doisneau et peints par Couty, ainsi que des portraits de peintres.
Les minutes photographiques, le podcast qui vous fait voyager dans l’objectif des grands photographes, des amoureux de la photo, des clichés qui ont marqué l’Histoire ou la marqueront peut-être un jour, y compris les vôtres. Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.
durée : 00:20:00 - Les Nuits de France Culture - par : Philippe Garbit, Albane Penaranda, Mathilde Wagman - Par François-Régis Barbry - Avec Robert Doisneau - Réalisation Monique Bailly - réalisation : Virginie Mourthé
Partage“Festival du Regard“les métiers du patrimoine, épisode n°13Festival de photographie – Agglomération de Cergy-PontoiseFestival du regardPODCAST – Interview de Sylvie Hugues, directrice artistique du Festival du Regard,par Anne-Frédérique Fer, à Paris, le 6 mai 2020, durée 47'35. © FranceFineArt.(de gauche à droite, Mathilde Terraube et Sylvie Hugues chez Doisneau – détail, crédit © Francine Deroudille)son à insérer (click sur remplacer et changer à partir d'un url)Portrait de Sylvie Hugues et de Mathilde Terraube, directrices artistiques du Festival du Regard avec Sabine Weiss (dans l'atelier de Sabine Weiss), crédit © Laure AugustinsAffiche – 1ère édition du Festival du Regard – 2015En cette période étrange de crise sanitaire liée au Covid 19 où le monde de la culture et de l'art est en sommeil, Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.
Édouard BOUBAT Paris, 1923-1999 Lella, Bretagne, 1948 Tirage gélatino-argentique réalisé en 1992 40,5 x 30,5 cm © Édouard Boubat. Don de l’auteur en 1992 Juste après la guerre, Édouard Boubat rencontre Lella qui deviendra sa femme et sa muse. Ils sont jeunes, amoureux et curieux de tout. Édouard vient d’acheter un Rolleicord. La Petite Fille aux feuilles mortes réalisée au jardin du Luxembourg un soir d’automne est sa première photographie. Son travail sera très vite remarqué. Trois ans plus tard, il est publié dans la revue Camera, expose à la librairie La Hune aux côtés de Brassaï, de Doisneau, d’Izis, puis il est présenté en 1951 au MoMA de New York dans l’exposition “Five French Photographers”. Il rentre la même année au magazine Réalités et débute un voyage ininterrompu sur les cinq continents. De ces trois photographies émane une conception de l’humanité pleine de ferveur. Son œuvre propose une vision contemplative empreinte d’un sentiment de plénitude, un parti pris qu’il revendique quand il confie que “photographier, c’est exprimer une gratitude”. Pascal Hoël La MEP conserve 189 tirages de l’auteur, dont 30 tirages d’époque offerts en 2004 par son fils, Bernard Boubat.
What's the first image that comes to mind when you hear the words “Paris” and “photography”? Is it a famous photo, perhaps an Atget, Brassai, or Doisneau? In her new book, Paris and the Cliché of History: The City in Photographs, 1860-1970 (Oxford UP, 2018), Catherine Clark explores the history of how and why photographic images have been central to understanding and imagining the city's present and past, figuring profoundly in the representation and documentation of change over time in the French capital. In this beautifully illustrated and fascinating book, Clark recounts and analyzes the story of the collection, mobilization, and recollection of photographs as historical documents, a visual archive of urban transformation and memory. From the inauguration of the city's first photo archives at the Musée Carnavalet, to the illustrated “photohistory” books that used images as documentary evidence, to the photographic museum exhibits, commemoration, and even a citywide contest, in which past and pictures were imbricated, the book looks at how photographs work, and takes seriously their biographies long after moments of capture. Moving beyond the work of key photographers, Clark examines how publishers, historians, public servants, and a range of other actors all participated in making Paris the quintessential capital of photography from the nineteenth century up to the 1970s. The book will be of great interest to anyone interested in the history of the city, of photography, of how the past is conceived and made in a field at once visual, technological, material, and affective. Roxanne Panchasi is an Associate Professor of History at Simon Fraser University in Vancouver, Canada who specializes in twentieth and twenty-first century France and its empire. She is the author of Future Tense: The Culture of Anticipation in France Between the Wars (2009). Her current research focuses on the history of French nuclear weapons and testing since 1945. Her most recent article, '"No Hiroshima in Africa": The Algerian War and the Question of French Nuclear Tests in the Sahara' appeared in the Spring 2019 issue of History of the Present. She lives and reads in Vancouver, Canada. If you have a recent title to suggest for the podcast, please send her an email (panchasi@sfu.ca).
durée : 00:04:34 - Chroniques littorales - par : Jose Manuel Lamarque - Allons voir la mer avec Doisneau est une promenade en bord de mer, de plages en ports et jusque sous l’eau, en compagnie de marins pêcheurs, de baigneurs, de dockers, de plongeurs, de moussaillons d’un jour et de scaphandriers. C’est aussi une immersion dans la vie d’un photographe-illustrateur.
durée : 00:50:08 - Regardez voir : photos mythiques - par : Brigitte Patient - Ce baiser est le plus célèbre de l'histoire de la photographie. Comment une image acquiert un tel statut ? - invités : Katel Koven, Fabienne Pavia - Katel KOVEN Fabienne PAVIA
durée : 00:50:08 - Regardez voir : photos mythiques - par : Brigitte Patient - Ce baiser est le plus célèbre de l'histoire de la photographie. Comment une image acquiert un tel statut ? - invités : Katel Koven, Fabienne Pavia - Katel KOVEN Fabienne PAVIA
durée : 00:02:05 - Histoires du Poitou avec Patrick Sitaud - Le photographe Robert Doisneau a régulièrement séjourné à Saint-Sauvant, dans la Vienne, à partir des années 30.
Il miliziano morente di Capa ed il bacio di Doisneau sono esempi del rapporto tra fotografia e verità. Parlo di questo attraverso le parole di Roberto Cotroneo
In dieser Ausgabe meines Monochrom-Cast geht es um das Photolabor als zweite Stufe in der Bearbeitung. Wer nur photographiert und alles weitere in andere Hände gibt, erreicht allenfalls zufällig das erstrebte Bild. In dieser Ausgabe geht es um Ansel Adams und Voja Mitrovic, den Laboranten, der die Bilder Cartier-Bressons zu Papier brachte, aber auch für Koudelka, Salgado, Doisneau und viele andere. Das Labor eben keine "black box".
Il bacio di Doisneau raccontato da Alessandra Mauro
Photo Kibitz | Chatting about Photography, Photographers and their Images
From the pages of Elle Magazine, the Streets of Tokyo and world leaders in Ottawa, Frédéric Dekkal was inspired by the documentary style of street photographers Henri Cartier-Bresson, Doisneau and others from his native France. Frédéric and I chat about how he got started in photography, his training at the Verdier Centre, doing street photography in Paris, and his current personal work shot in Tokyo.
Introduced by the Eastman Kodak Company in 1901, 120 film became a big hit from kids using cardboard box cameras to professionals shooting magazine covers and everyone else in between. Despite being overshadowed by digital, 120 film and cameras are still being made as they provide certain advantages to photographers. The Tank Crew looks at the various cameras including Rolleiflex, Hasselblad, Kiev, Mamiya, and many more. They discuss a few of the many photographers who used 120 film such as Robert Doisneau, Robert Capa, Richard Avedon, Vivian Maier, Diane Arbus, and Robert Mapplethorpe. Plus movie reviews, mailbag and more!