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At the same time Russia is ramping up its attacks on Ukraine, the Kremlin claims it's ready with a peace plan for ceasefire talks in Turkey next week. But President Zelensky says they have not seen any draft plan. Meantime, President Trump is said to have given Putin a two-week window to show a genuine intention to end the war. Fiona Hill was President Trump's most senior Russia advisor during his first term and has been in the room with President Putin himself. She joins Christiane to discuss this all. Also on today's show: Iranian filmmaker Sepideh Farsi; April Hernandez Castillo, survivor and advocate for intimate partner violence; NCAA President Charlie Baker Learn more about your ad choices. Visit podcastchoices.com/adchoices
Pendant une année, la réalisatrice Sepideh Farsi a filmé des conversations vidéo avec une jeune photojournaliste palestinienne à Gaza, jusquʹau 16 avril dernier. Ce jour-là, Fatem et sa famille sont tués dans une frappe israélienne. Quelques heures plus tôt, elle venait dʹapprendre que le documentaire était sélectionné pour le Festival de Cannes. De plus en plus de voix sʹélèvent pour dénoncer la catastrophe humanitaire. Une marche internationale vers Gaza est prévue le 15 juin pour demander un cessez-le-feu et lʹouverture des frontières à lʹaide humanitaire. Parmi les participants : la députée vaudoise Mathilde Marendaz, qui fera le trajet depuis lʹÉgypte. Sepideh Farsi est lʹinvitée de Karine Vasarino.
L'émission 28 minutes du 21/05/2025 Le témoignage posthume de Fatma Hassona sur l'enfer de GazaCinéaste iranienne engagée, Sepideh Farsi s'est exilée en France à l'âge de 17 ans après avoir été emprisonnée en Iran pour avoir hébergé une camarade manifestante. Après l'obtention d'un diplôme de mathématiques, l'enseignement lui permet de financer la réalisation de ses premiers films. Son dernier documentaire, intitulé “Put your soul on your hand and walk” a été présenté au Festival de Cannes dans la sélection parallèle de l'Acid le 15 mai, et sortira en salles le 24 septembre. On y fait la connaissance de Fatma Hassona, jeune photojournaliste vivant à Gaza. Pendant près d'un an, du 24 avril 2024 au 15 avril 2025, les deux femmes dialoguent via des conversations téléphoniques et vidéos, malgré des connexions difficiles faute de réseau internet stable. Sepideh Farsi filme ces échanges, témoignages d'une vie au milieu de l'horreur. Le 15 avril, la réalisatrice annonce la sélection du film à Cannes à Fatma. Le lendemain, la photojournaliste palestinienne est assassinée avec sept membres de sa famille par un missile israélien à Gaza, créant l'émoi au-delà des frontières. Investissements étrangers : la France est-elle toujours aussi attractive ? La 8e édition du sommet “Choose France”, destiné à attirer les investisseurs étrangers en France, s'est tenue sous les ors du château de Versailles ce lundi 19 mai. Cet événement annuel semble prouver que la France attire toujours les entreprises : 20 milliards d'euros d'investissements ont été annoncés, tandis que 17 autres milliards d'euros, préalablement décidés au Sommet pour l'action sur l'intelligence artificielle qui s'est tenu en février à Paris, ont été confirmés. Mais si ces chiffres sont une excellente nouvelle pour la santé économique de la France, des parts d'ombre subsistent : l'Hexagone n'est qu'en 9e position du classement sur le ratio d'emplois créés par projets investis. Une enquête du magazine économique “L'Usine Nouvelle” montre que la majeure partie des investissements ne sont pas des créations d'usines mais des réinvestissements sur des sites existants. Sans compter les crises actuelles subies par les PME et la concurrence américaine, où les investissements étrangers ont augmenté de 20 % en 2024. La France est-elle aussi performante que ce sommet le laisse entendre ?Xavier Mauduit revient sur l'annonce du cancer de la prostate de Joe Biden, et nous raconte l'histoire du président Woodrow Wilson, ou comment un AVC devint l'une des plus grandes crises de succession présidentielle. Marie Bonnisseau nous raconte comment un couple britannique, exaspéré par le flot de ballons tombant dans leur jardin depuis une école voisine, a obtenu gain de cause en justice.28 minutes est le magazine d'actualité d'ARTE, présenté par Élisabeth Quin du lundi au jeudi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le vendredi et le samedi. Ce podcast est coproduit par KM et ARTE Radio. Enregistrement 21 mai 2025 Présentation Élisabeth Quin Production KM, ARTE Radio
durée : 00:09:16 - L'invité de 7h50 - par : Sonia Devillers - Sepideh Farsi, réalisatrice iranienne du film “Put your soul on your hand and walk”, documentaire sur la photojournaliste gazaouie Fatma Hassouna, était l'invitée de France Inter ce jeudi. Le film est projeté à Cannes dans la sélection ACID à 20h et sortira en salles en septembre. - invités : Sepideh FARSI - Sepideh Farsi : Cinéaste
durée : 02:57:59 - Le 7/10 - par : Nicolas Demorand, Léa Salamé, Sonia Devillers, Anne-Laure Sugier - Ce matin dans le 7/10 : Sepideh Farsi / Jean-Christophe Rufin / Thomas Legrand / Robert De Niro et Solal Bouloudnine
durée : 00:09:16 - L'invité de 7h50 - par : Sonia Devillers - Sepideh Farsi, réalisatrice iranienne du film “Put your soul on your hand and walk”, documentaire sur la photojournaliste gazaouie Fatma Hassouna, était l'invitée de France Inter ce jeudi. Le film est projeté à Cannes dans la sélection ACID à 20h et sortira en salles en septembre. - invités : Sepideh FARSI - Sepideh Farsi : Cinéaste
El Festival de Cannes abrió recordando a Fatem Hassona, fotógrafa palestina y heroína de un documental que se estrenó este el jueves sobre la situación catastrófica en Gaza. Fatem sin embargo no estará en Cannes. Murió junto a otros miembros de su familia en un bombardeo israelí. RFI conversó con la directora de la cinta. Durante un año la directora de cine franco-iraní Sepideh Farsi pudo comunicar por video llamada con una joven fotógrafa en Gaza, Fatem Hassona, quien quería documentar con sus fotos la situación en el enclave palestino y denunciar la situación humanitaria de los gazatíes.De estas conversaciones, a veces alegres, a veces desesperadas, nació el documental “Pon tu alma en la mano y camina”, presentada en la sección Acid del Festival de Cannes.Poco después del anuncio de la selección en Cannes, una bomba israelí acabó con la vida de Fatem y otros 10 miembros de su familia.A pesar de esto, Sepideh Farsi está en Cannes para mostrar el testimonio que dejó Fatem. "Luego de los ataques del 7 de octubre, de la guerra que se desató en Gaza y de las imágenes horribles que nos llegaban de civiles y niños muertos o heridos, y que comenzaban a invadir el paisaje mediático, me percaté de que nunca escuchábamos la voz de los propios palestinos. El relato siempre era de los medios internacionales, de Israel, de los países europeos, pero nunca de los habitantes de Gaza", dijo a RFI la cineasta.Creencias distintas, lenguaje comúnLas conversaciones entre Sepideh y Fatem son un testimonio en primera persona del horror en Gaza.Fatem cuenta los bombardeos, las muertes a su alrededor, la hambruna y el dolor de los gazatíes, pero también su fe y su esperanza.Las dos mujeres tienen creencias y vidas diametralmente opuestas, y sin embargo, se comprenden y respetan."Siempre hablamos con calma. Creo que eso es precisamente lo que nos hace falta hoy en día. No solo en lo que respecta al conflicto israelo-palestino y el genocidio del pueblo palestino, sino en todo. Es como una herida que se infecta. Tendriamos que aprender a dialogar, incluso aquí en Europa", aseguró Farsi.Put your soul in your hand and walk (Pon tu alma en la mano y camina) se estrenó este jueves en un homenaje en Cannes, sin Fatem.
An Iranian filmmaker who has been documenting the life of a woman in Gaza for her film that has been accepted for the Cannes Film Festival has told FRANCE 24 how she continues to send her messages, even though she knows she was killed in an Israeli air strike. Sepideh Farsi had been following the life of Fatma Hassona, but a week and a half ago, the day after they heard the film had been selected for Cannes, Hassona was killed, along with nine members of her family. The director of "Put Your Soul on Your Hand and Walk" spoke to us in Perspective.
Elle s'appelait Fatma Hassouna, avait 25 ans, était photoreporter et a été tuée chez elle à Gaza dans une frappe israélienne, le 16 avril. Elle est l'héroïne d'un film documentaire racontant sa vie et qui sera présenté au Festival de Cannes dans un mois. Sa mort a bouleversé ceux qui la connaissaient et celle qui la filmait depuis des mois. Elle est venue s'ajouter à la longue liste des reporters palestiniens tués à Gaza – presque 200, selon RSF – depuis le 8 octobre 2023.
" Une leçon de résilience iranienne ", cʹest ainsi que la réalisatrice iranienne Sepideh Farsi présente son premier film dʹanimation. " La Sirène " raconte le siège dʹAbadan lors de la guerre Iran-Irak en 1980. Une histoire peu documentée mais vécue à hauteur dʹenfant, un adolescent de 14 ans, Omid. La ville dʹAbadan a été presque entièrement détruite pendant la guerre. Et aujourdʹhui elle est à nouveau habitée. De quoi donner de lʹespoir. Mais la répression du régime islamique se poursuit en Iran, hors des radars médiatiques. Quʹen est-il de la révolution et les troubles qui ont éclaté il y a près de deux ans ? Karine Vasarino a rencontré à Genève une étudiante iranienne de 22 ans et activiste qui poursuit le combat pour la démocratie et la liberté dans son pays.
Le bombardement de la ville dʹAbadan, dans le sud de lʹIran, par lʹarmée irakienne en 1980 est au cœur de " La sirène ", magnifique film dʹanimation signé Sepideh Farsi et mis en musique par Erik Truffaz. La réalisatrice dʹorigine iranienne, exilée depuis 1984 à Paris après avoir été emprisonnée pendant 8 mois par le régime de son pays natal, est au micro de Rafael Wolf
C'est un film qui retrace le siège d'Abadan par l'armée irakienne en 1980/81. Pendant huit mois, les habitants du plus grand port iranien sur le golfe Persique vont résister à tous les assauts, tous les bombardements. La ville et sa raffinerie de pétrole seront quasiment détruites, mais resteront iraniennes. Dans ce film d'animation plein de poésie de Sepideh Farsi, on suit les aventures d'Omid, en adolescent dont le père a disparu en mer et le frère aîné a été tué au combat. Grâce à lui, on prend conscience de la diversité des populations, qui se retrouvera sur un bateau, allégorie de l'arche de Noé que les Irakiens n'oseront pas couler.
C'est un film qui retrace le siège d'Abadan par l'armée irakienne en 1980/81. Pendant huit mois, les habitants du plus grand port iranien sur le golfe Persique vont résister à tous les assauts, tous les bombardements. La ville et sa raffinerie de pétrole seront quasiment détruites, mais resteront iraniennes. Dans ce film d'animation plein de poésie de Sepideh Farsi, on suit les aventures d'Omid, en adolescent dont le père a disparu en mer et le frère aîné a été tué au combat. Grâce à lui, on prend conscience de la diversité des populations, qui se retrouvera sur un bateau, allégorie de l'arche de Noé que les Irakiens n'oseront pas couler.
Drei Kinostarts haben unsere volle Aufmerksamkeit: Die zehnte Folge der Horror-Kultreihe "Saw", der Disney-Geburtstagsfilm "Wish" und der iranische Anti-Kriegs-Animationsfilm "Die Sirene" von Sepideh Farsi. Sie erzählt vom Iran-Irak-Krieg 1980.**********Den Artikel zum Stück findet ihr hier.**********Ihr könnt uns auch auf diesen Kanälen folgen: Tiktok und Instagram.
Il y a un an, le 16 septembre 2022, Mahsa Jina Amini, jeune étudiante iranienne d'origine kurde, décédait à l'hôpital, trois jours après avoir été arrêtée par la police des mœurs pour port de vêtements inappropriés. Cette arrestation et ce décès ont déclenché une vague de manifestations et de protestations. La répression violente de ces manifestations a causé la mort de plusieurs centaines de personnes. Un an après les faits, on s'est entretenu avec la cinéaste franco-iranienne Sepideh Farsi. Pour elle, aucun doute, quelque chose a changé en Iran. Pourquoi une voiture électrique serait-elle moins nocive pour l'environnement qu'une thermique ? Et pourquoi l'Europe pousse-t-elle à ce point l'interdiction des voitures à moteur thermique ? Les abonnés du Soir ont envoyé plus de 1000 questions à la rédaction en deux semaines. Des questions sans tabou, sans thème imposé. Des questions pertinentes et impertinentes. Plusieurs dizaines d'entre elles concernent la mobilité, et notamment la voiture électrique. C'est le responsable du pôle Planète, Gil Durand, qui vous répond.« À propos », c'est notre sélection de l'actualité, du lundi au vendredi dès 5 heures sur Le Soir et votre plateforme de podcasts préférée. Retrouvez tous les podcasts du journal « Le Soir » sur https://podcasts.lesoir.be
Il y a un an, le 16 septembre 2022, Mahsa Jina Amini, jeune étudiante iranienne d'origine kurde, décédait à l'hôpital, trois jours après avoir été arrêtée par la police des mœurs pour port de vêtements inappropriés. Cette arrestation et ce décès ont déclenché une vague de manifestations et de protestations. La répression violente de ces manifestations a causé la mort de plusieurs centaines de personnes. Un an après les faits, on s'est entretenu avec la cinéaste franco-iranienne Sepideh Farsi. Pour elle, aucun doute, quelque chose a changé en Iran.
A renowned Iranian filmmaker who's now based in France says it's very important for her to make films that tell the truth about her childhood and life inside Iran. Sepideh Farsi says she is able to give an independent view as to what happens in the country, unlike filmmakers who still live there. She spoke to us on Perspective about her latest film "La Sirène", or "The Siren". The animated feature tells the story of a teenage boy named Omid at the start of the 1980s Iran-Iraq war, during the siege of the city of Abadan. Farsi herself was a teenager the same age as Omid at the time.
La réalisatrice iranienne Sepideh Farsi est notre invitée. Son film d'animation "La Sirène" nous emmène au cœur du siège de la ville d'Abadan au début des années 1980, quand l'Irak a envahi l'Iran. Elle nous explique que le récit est une ode à la résistance et revient sur le mouvement de contestation qui saisit le pays depuis l'automne après la mort de Mahsa Amini.
C'est un film qui retrace le siège d'Abadan par l'armée irakienne en 1980/81. Pendant huit mois, les habitants du plus grand port iranien sur le golfe Persique vont résister à tous les assauts, tous les bombardements. La ville et sa raffinerie de pétrole seront quasiment détruites, mais resteront iraniennes. Dans ce film d'animation plein de poésie de Sepideh Farsi, on suit les aventures d'Omid, en adolescent dont le père a disparu en mer et le frère aîné a été tué au combat. Grâce à lui, on prend conscience de la diversité des populations, qui se retrouvera sur un bateau, allégorie de l'arche de Noé que les Irakiens n'oseront pas couler.
Une sortie cinéma ce jeudi dans notre rendez-vous culture. Le film intitulé La Sirène, qui est sorti en salles en France après avoir été montré au festival de Berlin puis à celui d'Annecy, revient sur un épisode marquant de la guerre Iran-Irak. La cinéaste dissidente, Sepideh Farsi, a choisi le medium de l'animation pour ce récit centré sur la résistance civile d'un adolescent de 14 ans.
Une sortie cinéma ce jeudi dans notre rendez-vous culture. Le film intitulé La Sirène, qui est sorti en salles en France après avoir été montré au festival de Berlin puis à celui d'Annecy, revient sur un épisode marquant de la guerre Iran-Irak. La cinéaste dissidente, Sepideh Farsi, a choisi le medium de l'animation pour ce récit centré sur la résistance civile d'un adolescent de 14 ans.
La Belle et la bête transposée dans l'Orient des Mille et une nuits : c'est ce que propose l'opéra-ballet poétique et comique Zémire et Azor, joué pour la première fois en 1771 devant la Cour de France et qu'on peut découvrir jusqu'au 1er juillet 2023 sur la scène de l'Opéra Comique à Paris. Vous connaissez très certainement l'histoire de La Belle et la Bête, popularisé au XVIIIème siècle par Mme Leprince de Beaumont, et reprise ensuite dans les livres, sur scène et sur les écrans du monde entier. Eh bien voici la même intrigue transposée dans l'Orient des Mille et Une Nuits par le librettiste Jean-François Marmontel et le compositeur André-Ernest-Modeste Gretry. Une comédie-ballet en 4 actes créée en 1771 au Château de Fontainebleau, près de Paris, que dirige aujourd'hui avec alacrité le maestro Louis Langrée, avec l'orchestre Les Ambassadeurs-La Grande Écurie. La Bête est devenue Azor. La Belle est devenue Zémire : c'est la soprano Julie Roset qui lui offre son jeu et sa voix. À la mise en scène, une fée à la fois magicienne et maléfique nommée Michel Fau. Et c'est Hubert Barrère, de la prestigieuse maison Lesage, qui signe les décors et les costumes. Ils sont tous trois nos invités.Zémire et Azor, est à l'affiche de l'Opéra Comique jusqu'au samedi 1er juillet 2023.Reportage : Marion Cazanove a rencontré la réalisatrice iranienne Sepideh Farsi, à l'occasion de la sortie de son film d'animation La Sirène.
durée : 00:58:52 - Plan large - par : Antoine Guillot - Ce samedi dans Plan Large, nous recevons les cinéastes Sepideh Farsi pour "La Sirène" et Marusya Syroechkovskaya pour "How To Save A Dead Friend", et aussi Sandra Onana. - invités : Sepideh Farsi Cinéaste; Marusya Syroechkovskaya Cinéaste; Sandra Onana Critique de cinéma, journaliste à Libération
durée : 00:58:52 - Plan large - par : Antoine Guillot - Ce samedi dans Plan Large, nous recevons les cinéastes Sepideh Farsi pour "La Sirène" et Marusya Syroechkovskaya pour "How To Save A Dead Friend", et aussi Sandra Onana. - invités : Sepideh Farsi Cinéaste; Marusya Syroechkovskaya Cinéaste; Sandra Onana Critique de cinéma, journaliste à Libération
L'émission 28 Minutes du 22/06/2023 Née à Téhéran, la cinéaste Sepideh Farsi, dissidente iranienne, a toujours tenu à documenter et dénoncer les conflits successifs qui étouffent son pays. À 16 ans, elle est arrêtée et passe huit mois en prison pour avoir pris des photos de manifestations dans la rue. Bannie de l'université, elle n'abandonne néanmoins pas sa passion pour le cinéma. “J'avais suivi des cours en Iran durant l'été 1980. On nous racontait les films mais on ne nous les montrait pas”. En France, la réalisatrice pratique un cinéma du concret, tressant la fiction à la réalité : tournages au téléphone en zones interdites — “Téhéran sans autorisations” —, avec des acteurs qui ont réellement vécus les difficultés qu'ils rejouent devant la caméra — “Demain je traverse” — tout en brisant les tabous du cinéma iranien — “Red Rose”. Malgré l'éloignement géographique, l'important pour elle reste de montrer que “les Iraniens ont toujours été créatifs”. “La Sirène”, premier film d'animation de Sepideh Farsi, revient sur la guerre entre l'Iran et l'Irak et sortira en salles le 28 juin. Elle est notre invitée. Le gouvernement vient d'officialiser ce mercredi, en conseil des ministres, la dissolution par décret du collectif écologiste “Les soulèvements de la Terre”. Formé sur la ZAD de Notre-Dame-des-Landes en 2021, ce mouvement agrège un grand nombre d'organisations qui luttent contre la catastrophe climatique. Il revendique la désobéissance civile, affirmant “ne rien attendre des États, qui n'agiront pas sans y être acculés”. Les méthodes du collectif — comme les violences à Sainte-Soline en octobre 2022 contre le projet de “méga-bassine” — sont mises en avant pour justifier leur dissolution. À gauche, les nombreux soutiens du groupe dénoncent une dérive “autoritaire et inquiétante” du gouvernement. Pour Mélenchon, “les militants de SLT doivent être écoutés, pas réprimés comme des terroristes qu'ils ne sont pas”. Pour Darmanin, à l'inverse, les modes d'actions du groupe ne sont pas acceptables et compatibles avec la loi. Alors faut-il dissoudre les Soulèvements de la Terre ? La cause écologique justifie-t-elle tous les modes d'action ? Nos invités en débattent. Enfin, retrouvez également les chroniques de Xavier Mauduit et Alix Van Pée ! 28 Minutes est le magazine d'actualité d'ARTE, présenté par Elisabeth Quin du lundi au jeudi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le vendredi et le samedi. Ce podcast est coproduit par KM et ARTE Radio Enregistrement : 22 juin 2023 - Présentation : Élisabeth Quin - Production : KM, ARTE Radio
durée : 00:51:40 - C'est encore nous - par : Charline Vanhoenacker, Juliette ARNAUD - Bonjour la France Inter ! Aujourd'hui, Charline Vanhoenacker et Juliette Arnaud reçoivent la réalisatrice iranienne Sepideh Farsi dans le cadre du festival d'animation d'Annecy ! - invités : Sepideh FARSI - Sepideh Farsi : réalisatrice du film Téhéran sans autorisation, un film tourné avec un téléphone portable en 2009. - réalisé par : François AUDOIN
durée : 00:04:19 - La chronique de Frederick Sigrist - par : Frédérick Sigrist - Aujourd'hui, Frédérick Sigrist nous parle du film de l'invité La Sirène de Sepideh Farsi.
Wir konnten mit Regisseurin Sepideh Farsi über ihren Animationsfilm The Siren sprechen, der innerhalb der Berlinale in der Sektion Panorama seine Premiere feierte.
Sepideh Farsi berichtet aus dem französischen Exil über ihre Heimat Iran. Mit Bildern aus Handys umgeht die Filmemacherin die Zensur und dokumentiert die Proteste gegen das Regime. Das Signal des Protests des Fußball-Nationalteams sei ein Anfang. Sepideh Farsi im Gespräch mit Eckhard Roelckewww.deutschlandfunkkultur.de, FazitDirekter Link zur Audiodatei
durée : 00:58:32 - Plan large - par : Antoine Guillot - Aujourd'hui dans Plan large nous recevons les cinéastes Karole Rocher et Barbara Biancardini pour leur film "Fratè" ainsi que Sepideh Farsi pour son nouveau long-métrage "Demain, je traverse". Ou quand le cinéma raconte les espaces insulaires.
durée : 00:58:32 - Plan large - par : Antoine Guillot - Aujourd'hui dans Plan large nous recevons les cinéastes Karole Rocher et Barbara Biancardini pour leur film "Fratè" ainsi que Sepideh Farsi pour son nouveau long-métrage "Demain, je traverse". Ou quand le cinéma raconte les espaces insulaires.
Faut-il organiser une primaire à gauche comme pour les dernières présidentielles ? La question qui interroge la légitimité du pouvoir. Pour en parler, la Matinale reçoit en plateau Loïc Blondiaux, professeur de science politique de la Sorbonne, afin de nous expliquer ce que cela peut changer et quelles alternatives peuvent être trouvées à celle-ci. En plein débat sur cette manière de désigner un leader de parti, Loïc Blondiaux, explique que "la primaire de la gauche ne semble pas un système de bouleversement majeur du système politique". Surtout qu'un unique candidat semble un peu irréaliste, étant donné "les divergences idéologiques entre Mélanchon et Hollande". "L'extension de la campagne permet une politisation des citoyens et de susciter la discussion ce qui est plutôt une bonne chose dans une démocratie"En deuxième partie d'émission, Sepideh Farsi, réalisatrice iranienne vient parler des journées cinématographiques dionysiennes, un festival de cinéma s'intéressant aux différentes censures. Son film "Red Rose", un film politique tourné en 2009 et sorti en septembre dernier, est projeté dans la catégorie "Focus sur le cinéma iranien contemporain". En effet, son film est interdit de diffusion en Iran, "mais il se trouve sur une plateforme internet donc il reste accessible pour certains iraniens".Le film est un "va et vient entre le documentaire et la fiction, car la fiction se nourrit toujours du réel, et vice-versa". Comme de la caméra a forcément attiré la surveillance des autorités iraniennes, Sepideh Farsi a tourné à Athènes, mais également en Iran, en utilisant son téléphone portable. "En Iran, ça va très mal, de plus en plus d'activistes retournent en prison. Donc la collaboration avec le pays contre Daech est une bonne chose, mais il ne faut pas oublier ce qui se passe à l'intérieur du pays."Côté chroniques, Clara vient parler cinéma, "Carol", le dernier film de Todd Haynes une histoire d'amour entre deux femmes dans l'Amérique des années 50, qui sort des conventions. De son côté, Fanny vous sort les "relents du web", les infos les plus insolites et forcément indispensables. Saviez-vous qu'un igloo était disponible sur AirBnB ? Présentation : Loïc Gazar / Réalisation : Tiffany Battistel /Co-interview : Bastien Landier et Jules Brussel / Chroniques : Clara Lacombe et Fanny Malek / Coordination : Camille Regache et Elsa Landard / Web : Anna Péan
Faut-il organiser une primaire à gauche comme pour les dernières présidentielles ? La question qui interroge la légitimité du pouvoir. Pour en parler, la Matinale reçoit en plateau Loïc Blondiaux, professeur de science politique de la Sorbonne, afin de nous expliquer ce que cela peut changer et quelles alternatives peuvent être trouvées à celle-ci. En plein débat sur cette manière de désigner un leader de parti, Loïc Blondiaux, explique que "la primaire de la gauche ne semble pas un système de bouleversement majeur du système politique". Surtout qu'un unique candidat semble un peu irréaliste, étant donné "les divergences idéologiques entre Mélanchon et Hollande". "L'extension de la campagne permet une politisation des citoyens et de susciter la discussion ce qui est plutôt une bonne chose dans une démocratie" En deuxième partie d'émission, Sepideh Farsi, réalisatrice iranienne vient parler des journées cinématographiques dionysiennes, un festival de cinéma s'intéressant aux différentes censures. Son film "Red Rose", un film politique tourné en 2009 et sorti en septembre dernier, est projeté dans la catégorie "Focus sur le cinéma iranien contemporain". En effet, son film est interdit de diffusion en Iran, "mais il se trouve sur une plateforme internet donc il reste accessible pour certains iraniens". Le film est un "va et vient entre le documentaire et la fiction, car la fiction se nourrit toujours du réel, et vice-versa". Comme de la caméra a forcément attiré la surveillance des autorités iraniennes, Sepideh Farsi a tourné à Athènes, mais également en Iran, en utilisant son téléphone portable. "En Iran, ça va très mal, de plus en plus d'activistes retournent en prison. Donc la collaboration avec le pays contre Daech est une bonne chose, mais il ne faut pas oublier ce qui se passe à l'intérieur du pays." Côté chroniques, Clara vient parler cinéma, "Carol", le dernier film de Todd Haynes une histoire d'amour entre deux femmes dans l'Amérique des années 50, qui sort des conventions. De son côté, Fanny vous sort les "relents du web", les infos les plus insolites et forcément indispensables. Saviez-vous qu'un igloo était disponible sur AirBnB ? Présentation : Loïc Gazar / Réalisation : Tiffany Battistel /Co-interview : Bastien Landier & Jules Brussel / Chroniques : Clara Lacombe & Fanny Malek / Coordination : Camille Regache & Elsa Landard / Web : Anna Péan
The development of a relationship between a middle-aged man and an inspired young activist during Iran's 2009 Green Revolution. The post Sepideh Farsi – Red Rose #SydFilmFest appeared first on Fred Film Radio.
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