Podcast appearances and mentions of mac val

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Beaux-Arts de Paris
Penser le Présent avec Sara Favriau

Beaux-Arts de Paris

Play Episode Listen Later Mar 21, 2025 52:02


Sara Favriau est avant tout sculpteuse : une cabane, une pirogue, un arc, un arbre… sont des éléments qui font partie de son vocabulaire formel et conceptuel, et portent leur propre dramaturgie.L'artiste interroge à la fois l'œuvre et son écosystème ; sa circularité comme un arbre-pirogue qui traverse une mer, pour retrouver une forêt. Elle convoque des formes, des symboles et des procédés de nature populaire pour les transposer. Le bois est l'un de ses matériaux de prédilection, qu'il soit envisagé à une macro ou micro-échelle. Sara Favriau est diplômée des Beaux-Arts de Paris (atelier Penone) en 2007. Elle est représentée par la Galerie Maubert où elle présente actuellement l'exposition L'aveu musclé.Conversation avec Audrey IllouzLauréate du Prix des Amis du Palais de Tokyo 2015, Sara Favriau y présente en 2016 l'exposition La redite en somme, ne s'amuse pas de sa répétition singulière. En 2017, elle expose au Château de Chaumont, à Independent Brussels et effectue une résidence en partenariat avec le ministère de la Culture et le CNEAI. En 2018, elle participe à la première Biennale de Bangkok Beyond Bliss en tant qu'invitée d'honneur. En 2019, elle effectue la résidence French Los Angeles Exchange (FLAX) et participe à la première Biennale de Rabat. En 2020 commence une collaboration sur le temps long avec l'INRAe et des biologistes de l'Unité des Forêts Méditerranéenne. Elle est invitée à la Villa Noailles pour le Festival International de la Mode où elle expose une installation d'arbres sculptés issus d'une parcelle de forêt à côté de Marseille étudiée par l'INRAe . En 2021, un arbre-pirogue traverse la mer Méditerranée, depuis les salins des Pesquiers à Hyères, vers la Fondation Carmignac sur l'Ile de Porquerolles. En 2021/2022, elle effectue une résidence de la Royal Commission RCU and French Agency Afalula, opérée par Manifesto, à AlUla en Arabie Saoudite.Son travail est présent dans de nombreuses collections publiques : FMAC (collection de la ville de Paris), FDAC Essonne, FRAC Normandie Caen, FRAC Centre, MAC VAL (installation pérenne), BAB (Bangkok Art Biennale).Amphithéâtre des LogesJeudi 6 février 2025Crédit photo : © Anaïs Veignant

Culture en direct
Critique expos : "Chaque vie est une histoire", une série de témoignages d'utilité publique au Palais de la Porte Dorée

Culture en direct

Play Episode Listen Later Jan 16, 2025 27:32


durée : 00:27:32 - Les Midis de Culture - par : Marie Labory - Au programme du débat critique, des expositions : "Chaque vie est une histoire" au Palais de la Porte Dorée et "Faits divers - Une hypothèse en 26 lettres, 5 équations et aucune réponse" au Mac-Val de Vitry-sur-Seine. - réalisation : Laurence Malonda - invités : Sarah Ihler-Meyer Critique d'art et commissaire d'exposition ; Sally Bonn Maître de conférence en esthétique à l'Université Picardie Jules Verne, auteure, critique d'art et commissaire d'exposition.

FranceFineArt

“Humain Autonome : Déroutes”au MAC VAL, musée d'art contemporain du Val-de-Marne, Vitry-sur-Seinedu 26 avril au 22 septembre 2024Entretien avec Marianne Derrien, co-commissaire de l'exposition,par Anne-Frédérique Fer, à Vitry-sur-Seine, le 24 juin 2024, durée 22'25,© FranceFineArt.https://francefineart.com/2024/06/26/3548_humain-autonome_mac-val/Communiqué de presseCommissariat général : Nicolas SurlapierreCommissariat de l'exposition : Marianne Derrien, Sarah Ihler-Meyer et Salim Santa LuciaCommissariat associé : Frank LamyProspective et tournée vers l'avenir, la programmation des expositions temporaires se poursuit autour des processus de constructions des identités, des corps contemporains, tente de réfléchir le réel et, à terme, proposer de nouveaux scénarios, de nouvelles manières d'habiter le monde. C'est dans ce contexte que le MAC VAL accueille le 4e volet du projet itinérant « Humain Autonome » dont le commissariat est assuré par Marianne Derrien, Sarah Ihler-Meyer et Salim Santa Lucia. Voiture, caisse, auto, char, tacot, bagnole, tire… L'automobile est un objet paradoxal. Si d'aucuns l'adorent, d'autres la vouent aux gémonies. Elle est, à tout le moins, un symbole ambigu, cause et symptôme de bien des crises que nous traversons (économique, sociétale, climatique, philosophique…). Facilitant le déplacement des corps et des marchandises, l'exploration mais aussi la conquête, à la fois instrument de liberté et de contrôle, son utilisation a façonné les paysages, les corps et les esprits. Concentrant de nombreux enjeux économiques, l'auto est un non-lieu, mi privé mi public, une machine à fantasmes et un objet de fétichisme, personnifiée parfois. Ses chaînes de production, ses systèmes d'exploitation, le lien avec les énergies fossiles, ses mythes, ses impensés sont ici analysés, déconstruits, repris et retournés par les artistes de l'exposition. Pour autant, il ne s'agit pas de rejeter en bloc. Mais au contraire de faire prendre conscience, de pointer certaines apories de notre monde contemporain. Cette exposition réunit une cinquantaine d'artistes de générations différentes et est accompagnée d'une publication retraçant le projet dans son ensemble.Depuis 2020, le cycle d'expositions « Humain Autonome » a donné lieu à plusieurs occurrences mêlant expositions, projections, ateliers, performances au Frac Normandie à Caen (« À 2000 tours minutes » et « Joyridin' ») à La Condition Publique à Roubaix (« Fossiles mécaniques ») dans le cadre de la Triennale Art et Industrie en collaboration avec le Centre Pompidou et le CNAP-Centre national des arts plastiques et aux Ateliers Le Wonder (« Prélude ») à Clichy (92) pour la Nuit Blanche. « Déroutes » est donc aujourd'hui au MAC VAL, le quatrième opus du projet « Humain Autonome »[...]En écho à l'exposition « Humain Autonome : Accrochage »En résonance avec l'exposition « Humain Autonome : Déroutes », le MAC VAL présente une sélection d'oeuvres de sa collection. Avec Carole Benzaken, Élisabeth Ballet, Éric Dubuc, Éric Hattan, ERRÓ, Étienne Bossut, Jean Dewasne, Michel de Broin, NØNE FUTBOL CLUB, Peter Klasen, Peter Stämpfli, Pierre Ardouvin, Pierre Buraglio, Raymond Hains et Véronique Boudier. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

Cable a Tierra
19 Recogimiento, con Carlos Amorales

Cable a Tierra

Play Episode Listen Later May 27, 2024 54:12


En su trabajo, Carlos Amorales se interesa principalmente por el lenguaje y la imposibilidad-posibilidad de comunicar por medio de formas irreconocibles o no codificables: sonidos, gestos y símbolos. Amorales experimenta en los límites entre la imagen y el signo con una variedad de medios: animación, video, cine, dibujo, instalación, performance y sonido. Su práctica se basa en diferentes formas de traducción: instrumentos que se transforman en personajes de sus filmes, letras que se vuelven formas y narrativas que devienen lenguaje corporal. Las obras de Amorales existen en un mundo alterno, paralelo al nuestro, que se rige por sus propias reglas y donde evolucionan constantemente, al igual que el proceso de su producción. Carlos Amorales estudió en Ámsterdam en la Gerrit Rietveld Academie (1996–97) y Rijksakademie van beeldende kunsten (1992-95). Ha realizado residencias artísticas en el Atelier Calder en Saché (2012) y MAC/VAL en Vitry-sur-Seine (2011) en Francia, y en Estados Unidos como parte del programa Smithsonian Artist Research Fellowship en Washington (2010). Sus exposiciones más representativas incluyen The Factory en el Stedelijk Museum (2019) en Ámsterdam, Axiomas para la Acción en MUAC de la Ciudad de México (2018), The Man Who Did All Things Forbidden en el Philadelphia Museum of Art en Filadelfia (2014), Germinal en el Museo Tamayo de la Ciudad de México (2013), entre otras. Ha representado a México en las Bienales de Venecia, Shanghai, Berlin y Emiratos Árabes. Luis Miguel Carlos Aguirre Morales vive y trabaja en la Ciudad de México. Hosted on Acast. See acast.com/privacy for more information.

Culture en direct
Tania Mouraud : "J'improvise parce que je veux être surprise comme le public"

Culture en direct

Play Episode Listen Later Mar 28, 2024 58:01


durée : 00:58:01 - Affaires culturelles - par : Arnaud Laporte - Exposée chez Ceysson & Bénetière à Saint-Etienne et à Fluctuart à Paris, avant le MAC VAL dans quelques jours, Tania Mouraud, pionnière de l'art urbain, utilisant photographie, vidéos, musiques ou performances, revient avec nous sur les origines de sa vocation, et sur ses méthodes de travail. - invités : Tania Mouraud Artiste plasticienne

FranceFineArt

“L'ŒIL VÉRITÉ” Le musée au second degréUne histoire de l'art contemporain en France avec les œuvres de la collection du MAC VAL, 1950-1990 et un peu au-delàau MAC VAL, musée d'art contemporain du Val-de-Marne, Vitry-sur-Seinedu 24 juin 2023 au 22 septembre 2024Interview de Nicolas Surlapierre, directeur du MAC VAL,par Anne-Frédérique Fer, à Vitry-sur-Seine, le 19 juillet 2023, durée 27'40,© FranceFineArt.https://francefineart.com/2023/07/20/3470_l-oeil-verite_mac-val/Communiqué de presseCommissariat général :Nicolas Surlapierre, directeur du MAC VAL, musée d'Art contemporain du Val-de-MarneAssisté de Florence Cosson, Anaïs Linares et Margaut SeguiLe MAC VAL – Musée d'art contemporain du Val-de-Marne est le seul musée à être exclusivement consacré à la scène artistique en France depuis les années 1950. Le projet du musée se développe depuis une quinzaine d'années, suite à la création en 1982, du Fonds Départemental d'Art Contemporain. En 1998, la collection est agréée par le conseil artistique des musées et le Projet Scientifique et Culturel est validé par la Direction des Musées de France.Ce projet est né de la conviction du Département du Val-de-Marne, qu'un soutien à la création artistique, tourné résolument vers le public, concourt au rayonnement du territoire. 2500 oeuvres de près de 400 artistes composent la collection. Parmi elles, des œuvres d'artistes incontournables de la scène artistique mais aussi des oeuvres d'artistes émergents affirmant la volonté du MAC VAL d'être au plus proche de la création contemporaine.En résonance avec les accrochages de la collection, deux expositions temporaires sont présentées annuellement. Monographiques ou collectives, elles prennent la forme d'une invitation, naissent de la rencontre entre l'artiste et le musée. Construites comme un prolongement de la collection, les expositions offrent la possibilité d'aller plus loin dans la découverte de l'art contemporain.L'équipe du MAC VAL met son imagination au service du public en proposant des actions innovantes et sensibles pour rendre accessible à tous la découverte de l'art contemporain en France depuis son émergence jusqu'à la création artistique la plus contemporaine.Pour accompagner l'exposition de la collections permanente, un catalogue “L'oeil vérité. Le musée au second degré” est publié par le MAC VAL. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

Nova Hors-Série
Une fête au musée : l'open air Radio Nova au MAC VAL

Nova Hors-Série

Play Episode Listen Later May 27, 2023 201:46


Parmi les vieux arbres, les pâquerettes et les 2500 oeuvres de ce musée de Vitry-sur-Seine (Val-de-Marne), Jeanne Lacaille et Reza Pounewatchy ont installé leur plateau radio pour des interviews entre les concerts, avec les talentueux artistes invités à jouer à l'occasion de cette soirée spéciale. Après une présentation des collections du musée par Joana Idieder, la responsable de la communication du lieu, c'est Sheldon qui a ouvert le bal sur la scène de l'open air Nova au MAC VAL. Co-fondateur et rappeur emblématique de la 75e session, Sheldon a présenté son nouvel EP « Îlot » sorti en avril devant un public transi, qui comme de vrais fans qui se respectent, connaissaient déjà tous les morceaux par coeur.Le duo explosif Uzi Freyja lui a emboité le pas. Composé de Stuntman5 aux productions et Kelly Rose au micro, qui crache un flow venimeux, revendicatif et galvanisant, cette créature rap-hardcore-punk-féministe a transformé tout le monde en « bad bitches ». Miel de Montagne (alias du talentueux Milan Kanche), sa robe à fleur et sa pop fraîche, colorée et groovy ont clôturé avec douceur cette belle soirée. Entendu pendant longtemps sur Nova avec son morceau "Trop Vite" et vu il y a un an dans la Chambre Noire, le musicien a prouvé que lorsque l'ordi fait des siennes en plein concert, rien de mieux qu'une bonne jam session pour mettre tout le monde d'accord ! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

FranceFineArt

“Histoires vraies” au MAC VAL, musée d'art contemporain du Val-de-Marne, Vitry-sur-Seinedu 4 février au 17 septembre 2023Interview de Frank Lamy, commissaire de l'exposition,par Anne-Frédérique Fer, à Paris, le 2 février 2023, durée 11'17.© FranceFineArt.https://francefineart.com/2023/02/03/3377_histoires-vraies_-mac-val/Communiqué de presse Commissariat général : Nicolas SurlapierreCommissariat de l'exposition : Frank Lamy, assisté de Julien BlanpiedEn ces temps de redéfinition constante des paradigmes de la représentation de soi, des frontières mouvantes et fragiles entre réel et fiction, le MAC VAL inaugure en février 2023 une nouvelle exposition collective, « Histoires vraies ». Si le storytelling n'est pas une question nouvelle, celui-ci est pourtant le coeur de l'actualité mondiale, ici abordé par le biais d'un regard particulier sur les différentes réalités qui existent dans cet espace flottant entre l'art et la vie. Le réel n'existe pas en dehors de ses narrations. La quarantaine d'artistes réunis dans l'exposition met en scène des fictions et autant d'histoires (vraies ?).Introduction par Frank LamyCette nouvelle exposition collective réunit les œuvres d'une quarantaine d'artistes de différentes générations. Poursuivant les recherches autour de la construction du Sujet, développées dans les expositions temporaires depuis 2005, « Histoires vraies » s'inscrit dans la continuité de l'exposition collective « Lignes de vies – une exposition de légendes » (2019) qui explorait les passages poreux entre art et autobiographie, entre réel et fiction. Ce nouveau volet prolonge cette idée que tout est fiction, le réel étant superposition, feuilletage tissé d'histoires diverses et variées en s'attachant cette fois moins aux effets d'aller-retour entre l'art et le monde, mais en proposant des approches parallèles des réalités.Les artistes de cette exposition ont en commun le recours à des stratégies et postures fictionnelles qui s'ancrent néanmoins, dans des tentatives de description du monde, teintées, entre autres, de narration spéculative voire de documentaire. Ça invente, ça raconte, ça imagine. Elles et ils effeuillent les couches des apparences pour mettre à jour d'autres narrations, pour faire émerger d'autres récits.pour faire émerger d'autres récits. (Se) raconter des histoires : ce besoin immémorial de storytelling, pour comprendre, articuler, réfléchir le monde résonne tout particulièrement à l'heure de la post vérité et autres avatars peuplant le métavers. Les réseaux sont emplis de ce qui s'appelle symptomatiquement : Réels, Stories… Décidément, tout est histoires. Histoires vraies… Un titre pour le moins paradoxal. Qu'en est-il de la vérité ? De la véracité ? Doit-on croire ce que les artistes nous racontent ? Le réel existe-t-il en dehors de sa formulation ?De la fiction pour mettre en crise, en questions, déconstruire, faire apparaitre ; de la fiction pour conjurer, éloigner ; de la fiction pour réparer, raconter autrement ; aider, accompagner, transmettre ; mais aussi creuser les apparences, interroger les faits, leur véracité, les modes de narrations mêmes ; de la fiction pour proposer des alternatives aux « grands récits » enfermants, de la fiction pour le simple et joyeux plaisir de fabuler. Pour paraphraser Sarah Ihler-Meyer dans une des notices du catalogue, l'exposition propose « Autant de tragi-comédies minimalistes et de microrécits aux multiples niveaux de lectures. Chaque regardereuse est invité.e à composer sa propre narration, entre cauchemar et rêve. »Frank Lamy, commissaire de l'exposition Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

Beaux-Arts de Paris
Table ronde – Photographier aujourd'hui

Beaux-Arts de Paris

Play Episode Listen Later Nov 21, 2022 52:33


À l'occasion de PhotoSaintGermain, les Beaux-Arts de Paris reçoivent les artistes Pierre-Olivier Arnaud, Elsa et Johanna et Agnès Geoffray pour dialoguer sur la présence de la photographie dans l'art contemporain. Table ronde modérée par Alain Berland. Plutôt que photographe, Pierre-Olivier Arnaud se décrit comme un artiste qui réfléchit par le moyen de la photographie. Ses œuvres questionnent inlassablement la nature de l'image, ses modes de production, de diffusion et de consommation à l'époque contemporaine. Les photographies qu'il propose sur des supports variés, mais le plus souvent modestes (posters, journaux), se présentent à rebours de tout effet spectaculaire et prolongent une réflexion sur la perte de l'aura de l'œuvre reproductible. Prélevées dans l'espace urbain ou publicitaire, ces images d'images sont sujettes à de multiples manipulations autant qu'à la perspective de leur propre disparition. Pierre-Olivier Arnaud (1972) est diplômé de l'École Régionale des Beaux-Arts de Saint-Étienne. Son travail a été montré au Mamco (Genève, 2009), à l'Institut d'Art Contemporain (Villeurbanne, 2015), au Confort Moderne (Poitiers, 2015), au Plateau (Paris, 2017), en 2021 il a été accueilli en résidence à la Secession, Vienne. Tombolo Presses lui consacre une monographie qui paraîtra à l'automne. Son travail est représenté par les galeries Art : Concept, Paris et Skopia, Genève. Elsa & Johanna forment un duo d'artistes plasticiennes, photographes et réalisatrices. Elles se rencontrent à la School of Visual Arts de New York en 2014, où elles suivent un cursus en parallèle de leurs études respectives. Elsa est alors étudiante à l'École nationale supérieure des Arts Décoratifs, tandis que Johanna étudie aux Beaux-Arts de Paris, dans l'atelier d'Eric Poitevin. En 2015, elles se font connaître avec la série d'autoportraits A Couple of Them, dans laquelle elles incarnent des personnages fictifs, occupant à la fois le rôle de modèle, de styliste, de scénographe et de photographe. L'œuvre entre dans la collection du Fonds d'acquisition d'art contemporain de la ville de Paris, en 2018. La mise en scène de soi devient un thème récurrent de leur travail personnel. Elles sont Invitées au Salon de Montrouge, en 2016, et sont finalistes du Prix HSBC pour la photographie puis remportent le Prix Picto de la Mode, en 2017. Elles sont représentées par la Galerie La Forest Divonne la même année et exposent depuis au MAC VAL, à Art Paris et Paris Photo, remportent le Prix du public du Festival de Hyères dans la section photographie en 2019 et ont été dernièrement finalistes du prix du Festival de Photographie d'Arles Louis Rœderer. Elles ouvrent leur première exposition rétrospective en 2021 jusqu'à mars 2022 à la Stadtische Galerie de Karlsruhe en Allemagne où plus d'une centaine d'œuvres du binôme est exposée. L'artiste Agnès Geoffray a été en résidence à la Rijksakademie à Amsterdam (2002-2004), et pensionnaire à la Villa Médicis à Rome (2010). Des expositions personnelles au Frac Auvergne, au Point du Jour, au Centre Photographique d'Île-de-France ont accompagné des expositions collectives au Centre Pompidou Paris, aux Rencontres photographiques d'Arles, au Jeu de Paume, au Mac Val. Elle a exposé à l'étranger entre autres à la Kunsthalle de Vienne, au Kunsthaus de Zurich, au Centre de la photographie à Genève, au Musée de l'Élysée à Lausanne. Elle est représentée par la Galerie Maubert à Paris, et éditée par La Lettre volée à Bruxelles. Quatre ouvrages monographiques ont été publiés aux éditions La Lettre volée : Ultieme Hallucinatie, Profond silence, Les Captives et Before the eye lid's laid. Penser le Présent est réalisé avec le soutien de Société Générale. Amphithéâtre des Loges Mercredi 9 novembre 2022

Interviews by Brainard Carey

Portrait of Gaby Sahhar Page presents Gaby Sahhar, the New York debut of the London-based artist. Released explores alternative forms of knowledge-making through queer shapeshifting. Soaked in a kaleidoscopic palette of India and alcohol ink, Sahhar's new works draw on processes of articulation within LGBTQI+ communities that resist academic domination. Such tools of thought migrate across borders, slipping into the pores of the public sphere, shifting into a collective body. Gaby Sahhar (b. 1992, London, UK) lives and works in London, UK. Sahhar received a BA from Goldsmiths, London in 2015. Solo exhibitions include MAC VAL, Paris / The Kooples Art Prize (2023); PAGE (NYC), New York (2022); and Sweetwater, Berlin (2019). Group exhibitions include Fragment Gallery, New York (2022); Sadie Coles HQ, London (2022); and Museum of Moscow, Russia (2020). Installation view, Gaby Sahhar, Released, PAGE (NYC), 2022. Gaby Sahhar, Released, 2022, India and alcohol ink on synthetic paper, 80 x 156 inches. Gaby Sahhar, Shadow of the Other, 2022, Oil on canvas, 35.5 x 23.75 inches      

FranceFineArt

“Faut-il voyager pour être heureux ?“ à l'Espace Fondation EDF, Parisdu 20 mai 2022 au 29 janvier 2023Interview de Alexia Fabre, directrice des Beaux Arts de Paris,ancienne directrice du MAC VAL – Musée d'Art Contemporain du Val-de-Marne, et co-commissaire de l'exposition,par Anne-Frédérique Fer, à Paris, le 19 mai 2022, durée 17'32.© FranceFineArt.Communiqué de presse Commissariat collectif :Nathalie Bazoche, Fondation groupe EDFRodolphe Christin, SociologueAlexia Fabre avec Julien Blanpied et Florence Cosson, MAC VAL – Musée d'Art Contemporain du Val-de-Marne« Cette exposition est matière à penser et à ressentir. Laissons la trentaine d'artistes invités nous inspirer sans dessiner de solution prête à l'emploi. Leurs récits, leurs fantaisies, leurs représentations nous invitent à réétalonner les nôtres pour composer notre Voyage. » Laurence Lamy, Déléguée générale de la Fondation groupe EDFDu 20 mai 2022 au 29 janvier 2023, la Fondation groupe EDF présente « Faut-il voyager pour être heureux ? » une exposition inédite en France sur la thématique du voyage, illustrée par les oeuvres de 32 artistes contemporains, français et internationaux.Invitant les visiteurs à se questionner sur le voyage aujourd'hui, l'exposition aborde des sujets d'actualité, comme la mobilité repensée à la suite de la crise sanitaire, les enjeux environnementaux de la préservation des écosystèmes et du changement climatique, ou encore les migrations contraintes et l'exil. C'est aussi une invitation au plaisir et à l'émotion pour découvrir d'un autre oeil l'univers du voyage. Près d'une cinquantaine d'oeuvres – installations, peintures, vidéos ou encore photographies – évoquent ces questions majeures.Née d'un commissariat collectif réunissant Nathalie Bazoche de la Fondation groupe EDF, Alexia Fabre anciennement directrice du MAC VAL et Rodolphe Christin sociologue, cette exposition a pour ambition de faire réfléchir sur notre conception du voyage souvent identifiée comme un incontournable ingrédient du bien-être. Les récentes mesures prises par les différents gouvernements pour lutter contre la Covid-19 ont souligné notre dépendance au mouvement et révélé à quel point notre envie de mobilité pouvait être contrariée.C'est avec l'art contemporain et toute sa créativité que s'éclaire le réel. Les artistes et leurs oeuvres bousculent ainsi l'enchantement spontané du voyage, perçu comme un vecteur de connaissance, de dialogue et de développement, pour le confronter aux grands enjeux de notre époque : quelle est l'empreinte écologique des voyages et de leurs infrastructures ? Comment le tourisme transforme les ailleurs en espaces de consommation ? Quel regard peut-on porter sur les populations qui migrent par nécessité alors que d'autres se déplacent par plaisir ? Et enfin, parce que le rêve reste une dimension fondamentale du voyage, quels sont les nouveaux imaginaires pour les voyageurs d'aujourd'hui et de demain ?Pour accompagner l'exposition « Faut-il voyager pour être heureux ?”, un catalogue avec les textes de Julien Blanpied, Rodolphe Christin et jeanne Slagmulder, publié aux éditions La Muette est disponible. Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.

FranceFineArt

“Modern Lovers“Karina Bisch et Nicolas Chardonau MAC VAL, musée d'art contemporain du Val-de-Marne, Vitry-sur-Seinedu 12 mars au 28 août 2022Interview de Frank Lamy, commissaire de l'exposition,par Anne-Frédérique Fer, à Paris, le 15 mars 2022, durée 21'05.© FranceFineArt. Communiqué de presse Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.

FranceFineArt

“À mains nues“Exposition de la collection 2022-2023au MAC VAL, musée d'art contemporain du Val-de-Marne, Vitry-sur-Seineà partir 9 janvier 2022, pour toute l'année 2022 et jusqu'à la fin de 2023Interview de Alexia Fabre, directrice du MAC VAL,par Anne-Frédérique Fer, à Vitry-sur-Seine, le 20 janvier 2022, durée 15'37.© FranceFineArt.Communiqué de presse Commissariat : Alexia Fabre, directrice du MAC VALPour entamer 2022 sous les meilleurs auspices, le musée départemental du Val-de-Marne invite ses visiteurs à partir de début janvier et pendant toute l'année, à une plongée vivifiante dans l'art le plus actuel. Sous l'intitulé de « À mains nues », la nouvelle exposition de la collection du MAC VAL poursuit l'exploration de l'humain en rassemblant des œuvres récentes ou plus anciennes d'artistes illustrant la vivacité de la création contemporaine autour du fil conducteur du corps, de son langage, de son pouvoir et de sa puissance de réinvention. Toutes les œuvres présentées évoquent la réinvention de soi, le futur qu'il appartient à chacun de créer, à mains nues. Après l'expérience partagée de la pandémie, d'empêchement de l'autre, de son contact, du violent constat de la fragilité corporelle et du statut de corps vivant, pour cette nouvelle proposition le MAC VAL a souhaité cette fois se projeter dans le futur en l'envisageant avec désir, élan et espoir.Les œuvres ici réunies racontent d'une part la corporéité et son langage, les fluides vitaux, les membres, dont les mains, qui incarnent la question de la réinvention de soi contre la réalité, la fatalité ou les déterminismes sociaux. La fiction, le récit, la mise en scène, le travestissement sont autant de stratégies mises en œuvre par les artistes pour engager cette réinvention, douce, déterminée ou plus guerrière. L'adresse à l'autre, à son regard comme à son corps est au cœur des œuvres, à travers la fabrication de sa propre image, portraits ou autoportraits qui résonnent ainsi avec les phénomènes historiques et contemporains de l'invention de soi.Point saillant de l'exposition, l'artiste Gaëlle Choisne, invitée par Alexia Fabre pendant toute cette année 2022, introduit le vivant dans les salles du musée : elle accueille le corps des visiteurs comme sujet même du projet et met en œuvre le principe d'hospitalité, colonne vertébrale de la programmation du musée, afin de l'envisager et d'en prendre soin.Avec les artistes : Boris Achour, Pierre Ardouvin, Bianca Argimón, Kader Attia, Élisabeth Ballet, Jean-Luc Blanc, Éric Baudart, Nina Childress, Gaëlle Choisne, Clément Cogitore, Mathilde Denize, Angela Detanico et Rafael Lain, Edi Dubien, Mario D'Souza, Mimosa Echard, Éléonore False, Sylvie Fanchon, Valérie Favre, Esther Ferrer, Nicolas Floc'h, Mark Geffriaud, Shilpa Gupta, Kapwani Kiwanga, Thierry Kuntzel, Emmanuel Lagarrigue, Ange Leccia, Natacha Lesueur, Annette Messager, Marlène Mocquet, Charlotte Moth, Frédéric Nauczyciel, Romina de Novellis, Melik Ohanian, Bruno Perramant, Françoise Pétrovitch, Abraham Poincheval, Laure Prouvost, Judit Reigl, Jean-Luc Verna, Catherine Viollet, We Are The Painters… Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.

Programme B
Grand Paris Express : le grand tour | Épisode 2 | Hors-série

Programme B

Play Episode Listen Later Dec 13, 2021 22:49


[Ce podcast a été produit avec la participation de la Société du Grand Paris]Entre pavillons et grands ensembles, la gare Vitry Centre.Au sud de Paris, à mi-chemin entre le périphérique et l'A86, Vitry-sur-Seine est depuis 100 ans, une sorte de laboratoire de la banlieue populaire. Au milieu des petits pavillons ouvriers qui ont proliféré entre les deux guerres, des immenses barres, héritages des 30 glorieuses, jalonnent la ville comme de grands totems. A deux pas du centre d'art le Mac Val où nous accueille la conservatrice Alexia Fabre, la gare du Grand Paris Express arrive avec l'ambition de faire du patrimoine urbain si typique une des clés de l'identité du Grand Paris, notamment par une politique de réhabilitation du logement. Le sociologue Renaud Epstein et l'urbaniste Laetitia Pieri nous éclairent sur cette histoire urbaine tourmentée. --CRÉDITSUn hors-série Programme B par Camille Juza, réalisé par Thomas Plé. Avec la participation de la Société du Grand Paris. Production : Albane Fily et Camille Khodor. Coordinatrice de production : Lorraine Besse. Identité graphique : Upian. Direction des programmes : Joël Ronez. Direction de la rédaction : David Carzon. Direction générale : Gabrielle Boeri-Charles. Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.

Bulle d'Art
[n°76] "Gardien Party", une pièce dans la tête des gardiens de musée, par Valérie Mréjen et Mohamed El Khatib

Bulle d'Art

Play Episode Listen Later Sep 24, 2021 10:20


Dans ce nouvel épisode de Bulle d'Art, je ne vous parle pas d'une exposition ou d'une oeuvre, mais d'une pièce de théâtre ! Dans Gardien Party, Valérie Mréjen et Mohamed El Khatib sont allés à la rencontre de (vrais) gardiens et gardiennes de musée pour collecter leur témoignage... et ce témoignage, ils en ont fait une pièce, jouée... par ces mêmes gardiens, dans des vraies salles d'un musée ! On y découvre le quotidien des gardiens, ce qu'ils entendent dans les salles de musée, le mépris de classe et leur amour pour l'art.  C'est à voir jusqu'au 26 septembre au Centre Pompidou avec le Théâtre de la Ville de Paris, puis du 28 septembre au 2 octobre au Musée des Beaux-Arts de Rennes, et enfin au Mac-Val de Vitry-sur-Seine du 3 au 5 décembre.

Culture en direct
Taysir Batniji : "Cette expérience d'aller-retour entre la France et la Palestine est devenue une source d'inspiration"

Culture en direct

Play Episode Listen Later May 21, 2021 42:17


durée : 00:42:17 - Par les temps qui courent - par : Romain de Becdelievre, Jeanne Aléos - ​L'artiste plasticien Taysir Batniji clôturera la semaine en évoquant avec nous la première exposition monographique qui lui est consacrée au MAC VAL à partir du 19 mai. - réalisation : Jean-Christophe Francis, Lise-Marie Barré, Félicie Faugère - invités : Taysir Batniji artiste palestinien

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Par les temps qui courent
Taysir Batniji : "Cette expérience d'aller-retour entre la France et la Palestine est devenue une source d'inspiration"

Par les temps qui courent

Play Episode Listen Later May 21, 2021 42:17


durée : 00:42:17 - Par les temps qui courent - par : Romain de Becdelievre, Jeanne Aléos - ​L'artiste plasticien Taysir Batniji clôturera la semaine en évoquant avec nous la première exposition monographique qui lui est consacrée au MAC VAL à partir du 19 mai. - réalisation : Jean-Christophe Francis, Lise-Marie Barré, Félicie Faugère - invités : Taysir Batniji artiste palestinien

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Multiple Os
Type-casting yourself with artist Harold Offeh

Multiple Os

Play Episode Play 60 sec Highlight Listen Later May 11, 2021 82:21 Transcription Available


Oriana speaks with the artist Harold Offeh whose practice engages with identity politics via an ambivalent and humorous self-casting within the pop-cultural material he admires (and in some cases, finds problematic).  He pre-empts his own type-casting by pointedly living within certain racialised stereotypes including the Mammy, an Afro-Brazilian manual labourer and a toilet attendant. The discussion touches upon a range of topics such as cultural appropriation; national identity and belonging; decolonising the curriculum; and the undervaluing of the formal qualities of feminist and anti-racist art. Dr Oriana Fox is a London-based, New York-born artist with a PhD in self-disclosure. She puts her expertise to work as the host of the talk show performance piece The O Show .Harold Offeh is an artist working in a range of media including performance, video, photography, learning and social arts practice. Offeh is interested in the space created by the inhabiting or embodying of histories. He employs humour as a means to confront the viewer with historical narratives and contemporary culture. He has exhibited widely in the UK and internationally including Tate Britain and Tate Modern, South London Gallery, Turf Projects, London, Kettle's Yard, Cambridge, Wysing Art Centre, Studio Museum Harlem, New York, MAC VAL, France. He lives in Cambridge and works in London and Leeds, UK where he is currently a Reader in Fine Art at Leeds Beckett University.Additional Artists Mentioned: Hattie McDaniel, Adrian Piper, Marlon Riggs, Sondra Perry, David Hammons, VALIE EXPORT, Mierle Laderman UkelesCredits:Hosted, edited and produced by Oriana FoxPost-production mixing by Stacey HarveyThemesong written and performed by Paulette HumanbeingSpecial thanks to Katie Beeson, Janak Patel, Sven Olivier Van Damme and the Foxes and Hayeses.

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“Taysir Batniji”Quelques bribes arrachées au vide qui se creuseau MAC VAL, musée d'art contemporain du Val-de-Marne, Vitry-sur-Seinedu 6 mars au 22 août 2021extrait du communiqué de presse :Commissaires :Commissariat : Julien Blanpied et Frank LamyLe MAC VAL propose la première exposition monographique muséale de Taysir Batniji réunissant une sélection de plus de cinquante oeuvres produites ces vingt-cinq dernières années. Cette rétrospective met en lumière les résonnances entre chaque pièce, pensées dans un dialogue permanent avec l'histoire de l'art, la réalité historique, géographique et politique, depuis le point de vue singulier et intime de l'artiste.Après un diplôme obtenu à l'université nationale An-Najah de Naplouse, un passage aux Beaux-Arts de Bourges (1995-1997), la pratique picturale des débuts de Taysir Batniji évolue rapidement vers des objets plus conceptuels, la photographie et la vidéo s'imposent doucement. Ne privilégiant aucun support, son travail tisse des liens entre l'espace intime et public. Il mène une réflexion sur les questions d'identité, de déplacement, de souvenir, d'attachement, de disparition, d'absence, de frontière, d'exil, de trace…Son histoire personnelle, croisée avec l'actualité, éclaire les situations d'entre-deux culturel et géographique. Si son oeuvre donne souvent à voir une perception poétique de la réalité, Taysir Batniji, avec subtilité et humilité, n'a de cesse de pointer la difficulté de construire son identité autour d'une fêlure, aussi intime qu'universelle…Un catalogue publié par le MAC VAL musée d'art contemporain du Val-de-Marne, accompagne l'exposition.« Écrire : essayer méticuleusement de retenir quelque chose, de faire survivre quelque chose : arracher quelques bribes précises au vide qui se creuse, laisser, quelque part, un sillon, une trace, une marque ou quelques signes ».Georges Perec,Espèces d'espaces, Paris, Galilée, 1974Le MAC VAL organise la première exposition monographique muséale de Taysir Batniji. Parcourant près de 25 ans de créations, cette exposition propose de réunir quelques bribes de cet oeuvre foisonnant et d'en dérouler les fils multiples. Plus connu pour son activité photographique, Taysir Batniji pratique un art protéiforme humble et à échelle humaine.Taysir Batniji fait évoluer rapidement sa pratique picturale des débuts vers des objets plus conceptuels, la photographie et la vidéo. Des objets conceptuels et néanmoins intimes s'imposent doucement.Ne privilégiant aucun support, il rend sensible l'entre-deux culturel et géographique dont il a hérité, naviguant entre Moyen-Orient et Occident, sphère intime et espace public, zone poétique et territoire politique.Chacune de ses pierres assemblées permet à Taysir Batniji une définition en mouvement de sa propre identité, l'affirmation de son existence au monde envers et contre tout. Comme si la meilleure manière d'évoquer les désastres du monde ne pouvait se faire qu'à l'aune de soi, de sa propre situation. Comme si, il (se) donnait en permanence des preuves de son existence. Pour mieux résister.L'oeuvre de Taysir Batniji se focalise sur la trace, la mémoire d'une forme, un geste, le souvenir d'une traversée, l'absence d'un être cher, l'arrachement à une terre, la disparition d'une image… En dialogue permanent avec l'histoire de l'art, situées, ses oeuvres se reprennent et se répondent à travers le temps.L'exposition assemble peintures, dessins, photographies, vidéos, installations, performances (de 1997 à 2021) en un vaste autoportrait. Elle propose une réflexion en acte autour de l'identité. Paraphrasant Georges Perec, le titre de l'exposition nous entraîne dans un espace mélancolique où l'arrachement et le déplacement sont moteurs.Julien Blanpied et Frank Lamy Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.

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Partage“Brognon Rollin“L'avant-dernière version de la réalité au MAC VAL, musée d'art contemporain du Val-de-Marne, Vitry-sur-Seinedu 7 mars au 30 août 2020 (prolongée jusqu'au 31 janvier 2021)MacVal.frPour la réouverture complète de ses espaces, le 17 juin 2020, le MAC VAL offre pendant tout l'été la gratuité d'accès à tous les publics.PODCAST – Interview de Stéphanie Rollin et de David Brognon, pour le duo Brognon Rollin,par Anne-Frédérique Fer, à Vitry-sur-Seine, le 5 mars 2020, durée 20'45. © FranceFineArt. Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.

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Partage“Le vent se lève” Exposition de la collection 2020-2021au MAC VAL, musée d'art contemporain du Val-de-Marne, Vitry-sur-Seineà partir du 7 mars 2020 (prolongée jusqu'en octobre 2021)MAC-VAL.comPour la réouverture complète de ses espaces, le 17 juin 2020, le MAC VAL offre pendant tout l'été la gratuité d'accès à tous les publics.PODCAST – Interview de Anne-Laure Flacelière, Chargée de l'étude et du développement de la collection du MAC VAL,et de Ingrid Jurzak, Chargée de l'étude et de la gestion de la collection du MAC VAL,par Anne-Frédérique Fer, à Vitry-sur-Seine, le 5 mars 2020, durée 19'35. Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.

Bulle d'Art
[n°47] On a joué avec l'art, en public au Tank Media !

Bulle d'Art

Play Episode Listen Later Jan 28, 2020 24:37


A l'occasion de la première soirée d'enregistrements live de Micro Stockholm à Paris, nous avons ouvert la soirée avec un jeu inspiré vaguement d'une émission de télé à succès, tourné entièrement autour de l'art.  Jouez avec nos deux équipes sur des questions sur Joseph Beuys, Yayoi Kusama ou Sophie Calle (mais en vrai, c'est pas si compliqué).  Merci à nos partenaires pour cette émission : la Monnaie de Paris, le Musée d'art moderne de Paris, la Fondation Louis Vuitton, le Mac/Val, le Musée Picasso et l'Institut Giacometti Retrouvez les autres émissions de cette soirée live :  C'est qui le plus fort Stockholm Sardou, Les Rois du Monde est Stone etc.

Culture en direct
Nil Yalter :"Mes oeuvres et moi avons beaucoup transhumé"

Culture en direct

Play Episode Listen Later Oct 11, 2019 60:13


durée : 01:00:13 - Par les temps qui courent - par : Marie Richeux - Nous recevons l'artiste pour nous parler de son travail, dont une grande partie fait l'objet de la rétrospective «TRANS/HUMANCE » que lui consacre le MAC VAL, jusqu’au 9 février 2020. - réalisation : Lise-Marie Barré, Charlotte Roux - invités : Nil Yalter artiste

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Par les temps qui courent
Nil Yalter :"Mes oeuvres et moi avons beaucoup transhumé"

Par les temps qui courent

Play Episode Listen Later Oct 11, 2019 60:13


durée : 01:00:13 - Par les temps qui courent - par : Marie Richeux - Nous recevons l'artiste pour nous parler de son travail, dont une grande partie fait l'objet de la rétrospective «TRANS/HUMANCE » que lui consacre le MAC VAL, jusqu’au 9 février 2020. - réalisation : Lise-Marie Barré, Charlotte Roux - invités : Nil Yalter artiste

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Personnages en personne
La Lune ou la ronde Ambigüe

Personnages en personne

Play Episode Listen Later May 26, 2019 29:29


durée : 00:29:29 - Personnages en personne - par : Charles Dantzig - Duelle, ambivalente par essence, voire ambiguë, la Lune est devenue un personnage à part entière, par les artistes dans toute l'Histoire de l'Art, de la poésie et de la musique. Charles Dantzig retrace l'histoire de sa représentation au fil du temps avec la commissaire d'exposition Alexia Fabre. - invités : Alexia FABRE - Alexia Fabre : conservatrice en chef du MAC/VAL - réalisé par : Clotilde PIVIN

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Resound Podcast
Relationships: Interview with Mac & Val, Mike & Sarah

Resound Podcast

Play Episode Listen Later Apr 15, 2019 32:56


For this second part of our mini-series on Relationships, Mike Waine interviews Mac & Val, and Mike & Sarah in a broad discussion on everything from relationship to God, to marriage and church.

En Pleines Formes
En Pleines Formes 14/04/2019 : Le Mac Val dans tous ses états

En Pleines Formes

Play Episode Listen Later Apr 15, 2019 58:12


Depuis quelques jours, deux expositions ont débuté au Mac-Val : d’une part un nouvel accrochage des collections permanentes intitulées « Persona Grata », et d’autre part l’exposition temporaire « Lignes de vie, une exposition de légende », présentée jusqu'au 25 août 2019. Nous recevons son commissaire, Franck Lamy Le couple d'artiste formé par David Brognon et Stéphanie Rolin, dont les oeuvres sont présentées d'une part et d'autres de cette programmation, nous font également l'honneur de leur présence [caption id="attachment_83042" align="aligncenter" width="899"] David Brognon et Stéphanie Rollin, "Fate Will Tear Us Appart", 2011[/caption]   Au travers de pièces que l’on pourrait qualifier de conceptuelles, le duo matérialise des rencontres et des parcours de vie. L’observation, l’écoute et l’échange sont au coeur de la pratique de Stéphanie Rollin et David Brognon qui travaillent avec des personnes très différentes selon les hasards et les invitations. On pourrait à leur sujet parler d’un travail de médiation dans le sens le plus noble du terme et citer la rencontre avec les ouvriers de Caterpillar ou avec les élèves de l’école Pierre Burdin à la Goutte d’Or, celle des étudiants du Metropolitan Continuation High School à Los Angeles Dowtown ou encore avec un médecin belge spécialiste de l’euthanasie et un start-uper américain qui a le premier décidé de monnayer le temps d’attente. Le projet se construit avec les participants ; c’est une règle simple qui leur permet d’atteindre la justesse. C’est une règle dont le bienfondé se perçoit notamment à la lecture de la performance d’Anthony van den Bosche . Dans ce récit de leur voyage à Jérusalem, on découvre comment un projet pensée à l’avance, une idée aussi belle soit-elle sur le papier ne peut pas résister à la réalité ; on apprend comment un projet vit et se redéfinit sans cesse au gré des discussions et des personnes rencontrés, on comprend aussi ce qu’un art qui repose sur la rencontre comporte de prises de risque, de doutes et d’épuisements.   Animation et interview : Henri Guette, Flore Di Sciullo Réalisation: Lorna Bihi  

Paris Positif France Bleu Paris
Les visites mensuelles parents-bébé du Mac Val

Paris Positif France Bleu Paris

Play Episode Listen Later Apr 3, 2019 3:18


durée : 00:03:18 - Paris Positif France Bleu Paris -

USMARADIO
Carlos Amorales and Gabi Scardi in conversation with Roberto Paci Dalò

USMARADIO

Play Episode Listen Later Apr 1, 2019 14:54


From April 2nd to July 8th, 2019, on the occasion of Miart 2019, Fondazione Adolfo Pini will present the exhibition THE ACCURSED HOUR, by Carlos Amorales, curated by Gabi Scardi. Carlos Amorales is interested in language, images and their transformation. More generally, he takes an interest in communication systems, their constant renewal, their potentialities and pitfalls; as well as the mechanisms that allow particular narratives to emerge at the expense of others; and, by extension, the issue of dominant representation, the manipulation of communication and thought. In his work visual art, music, animation and poetry converge, all interpreted, with great formal rigor, through a deep awareness of the present time and its tensions. For Fondazione Adolfo Pini, Amorales has conceived the exhibition THE ACCURSED HOUR, which focuses on his life-size installation Black Cloud and on various elements from the project Life in the folds. The exhibition will also include silhouettes and other works by the artist, in a continuous shift between images and signs. With Black Cloud, a swarm of thousands of black butterflies will invade the premises of the Foundation starting from the staircase at the very entrance. 15,000 butterflies will populate the new and the already existing spaces of the Foundation. With Life in the folds, the artist will scene the theme of human violence against other human beings. A kind of violence that lies deep within and that can explode in unjustified ways. The project also includes an animation video that tells a dramatic story while at the same time showing the hands of a puppeteer moving the characters' threads: a metaphor of the mystification to which history and our own actions are subjected, both whether we are aware of it or not. And origins of our ghosts, to recognize their scope, matrix, and ideological value. After presenting the five site-specific projects The Missing Link by Michele Gabriele, Materia prima by Lucia Leuci, Memory as Resistance by Nasan Tur, Labyrinth by Jimmie Durham and SUMMERISNOTOVER by Šejla Kamerić, with this new exhibition Fondazione Adolfo Pini continues its journey into contemporary art, under the guidance of Adrian Paci. Carlos Amorales Carlos Amorales lives and works in Mexico City. He studied in Amsterdam at the Gerrit Rietveld Academie (1996–97) and Rijksakademie van beeldende kunsten (1992–95). He has participated in artistic residencies at the Atelier Calder in Saché (2012) and MAC/VAL, Vitry-sur-Seine in France (2011), and as part of the Smithsonian Artist Research Fellowship program in Washington, D.C. (2010). His works have been shown in numerous solo and group exhibitions. Carlos Amorales represented Mexico at the 57th Venice Biennial with the project Life in the Folds (2017). Gabi Scardi Curator and contemporary art critic. Her research focuses on the latest artistic trends and the relationship between the arts and other close branches of knowledge. She worked with numerous museums and institutions in Italy and abroad, including: the Province of Milan; Pac Museum in Milan; Museo del Novecento in Milan; Pirelli Hangar Bicocca in Milan; MAXXI Museum in Rome; Venice Biennale; Royal Academy of London; Louisiana Museum in Copenhagen. For Fondazione Adolfo Pini she curated the exhibitions Memory as Resistance by Nasan Tur (2017) and Labyrinth by Jimmie Durham (2018).

Bulle d'Art
[n°35] Courez voir l'exposition de Mélanie Manchot au MAC VAL !

Bulle d'Art

Play Episode Listen Later Feb 13, 2019 13:31


Cette semaine, je vous recommande d'aller voir l'exposition Open Ended Now de l'artiste Mélanie Manchot au MAC VAL de Vitry, avant qu'elle se termine... dans dix jours !

En Pleines Formes
En Pleines Formes : danse, performance, musée // 28.02.16

En Pleines Formes

Play Episode Listen Later Mar 3, 2016 59:23


Le 28 février dans En Pleines Formes, nous recevions Tatiana Julien, chorégraphe, et Smaranda Olcèse-Trifan, artiste et critique pour les revues Inferno et À Bras le Corps. C'est au détour des années 1960 que les genres de la danse et de la performance commencent à se confronter. Progressivement, les artistes en sont venus à expérimenter les hybridations entre danse et performance, ainsi que les spécificités respectives de ces deux médiums. Qu'est-ce qui fait "œuvre" dans la performance? Et comment distingue-t-on la danse de la performance, hormis le lieu où l'oeuvre est justement performée? Qu'est que le déplacement de la danse dans l'espace muséal peut impliquer pour le spectateur?Au cœur de ces interrogations se situe Dancing Museum, un partenariat mené entre cinq centres chorégraphiques et huit musées dans cinq pays européens : France Italie, Pays-Bas, Autriche et Grande-Bretagne. Entre juin 2015 et mai 2017, interviendront cinq artistes du monde de la danse : Tatiana Julien, Juan Dante Murillo, Fabio Novembrini, Connor Schumacher et Lucy Suggate.[caption id="attachment_31752" align="alignnone" width="872"] © Dancing Museum, © Briqueterie[/caption]En France, c'est Tatiana Julien qui mène la danse pour résidence à la Briqueterie, un "spectacle/oeuvre" au musée du Louvre le 18 mars, et le 19 mars au Mac/Val. Animation : Florian Gaîté et Flore Di SciulloChroniques : Jeanne Laurent (interview de Pascale Weber, du duo Hantu), et Pierre-Henri Foublon (promenade dans les galeries de Belleville)Réalisation : Étienne Bertin   

En Pleines Formes
Economies de l’art

En Pleines Formes

Play Episode Listen Later Jan 31, 2016


Pour parler des économies de l'art contemporain, nous avons reçu Tristan Trémeau (enseignant, critique d'art et commissaire d'exposition) et Jérôme Gregory (artiste, et membre du collectif économie solidaire de l'art). [caption id="attachment_29290" align="aligncenter" width="640"] © hors-serie.net[/caption]Dans le contexte actuel, comment les artistes font-ils pour vivre de leur art? Quelles sont les conflits et les ententes entre les logiques économiques et esthétiques? Et comment les réseaux s'organisent-ils pour remédier à la préconisation grandissante des artistes? Et en prime, un entretien avec l'artiste Julie Legrand (galerie Céline Moine) et de ses installations depuis son atelier!Quelques rendez-vous artistiques pour le mois de février : - l'exposition de l' espace Khiasma : http://www.khiasma.net/exposition/staring-at-you-staring-at-me/-la projection du film "La collection qui n'existait pas" sur Joachim Olender au Centre Pompidou : https://www.centrepompidou.fr/id/ceXknko/r7yenX/fr - l'évènement Dancing Museums au MAC VAL : http://www.macval.fr/francais/evenements-4/article/dancing-museums - qui seront avec nous pour la prochaine émission! Animation : Flore Di SciulloChroniques : Florence Dauly, Lily Berthou, Hugo GarrosRéalisation : Etienne Bertin