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This week we speak with Christine Doublet from French food guide ‘Le Fooding’. Plus two new magazines, ‘Footnote’ by Alex Hunting and ‘Wonderwhy’ by Hana Irena. See omnystudio.com/listener for privacy information.
Cette semaine, je reçois Alexandre Coing, Directeur Général du média Fooding (dont le nom vient de néologisme “food” et “feeling”). Dans cet épisode, vous en apprendrez plus sur : # La création du Fooding par Alexandre Cammas, créé “en réaction” aux guides culinaires de l'époque, avec une volonté de faire entrer la gastronomie et la restauration dans la pop culture. Le Fooding agrège aujourd'hui un site, une application, un guide papier, des événements et enfin une agence. # Le business modèle du média est gratuit (pas de programmatique ou de display) et dépend à 100% du brand content via des opérations spéciales et sponsorisées. En 2020, Michelin est devenu majoritaire au capital du Fooding. # L'organisation avec 25-30 personnes qui composent l'équipe permanente du Fooding entre la France et la Belgique. Auxquelles il faut ajouter 80-100 personnes indépendantes appelées enquêteur•ices, qui testent les adresses. # Les audiences du Fooding rassemblent 2-3 millions de personnes par mois, dont 400-500 000 personnes sur le site et l'application. Ce public mélange des professionnels de la restauration et du grand public. # Le réseau d'enquêteurs est en permanence sur le terrain. La visite des tables se fait toujours de manière anonyme. Les équipes du Fooding ne répondent à aucune invitation du restaurant ou chef•fe et ne cherchent pas à nouer de relations avec eux pour garantir la plus grande neutralité. A côté de ça, la ligne éditoriale ne propose pas de critiques négatives. Toutes les adresses référencées et citées ont été sélectionnées pour être recommandées. # Après le COVID, le Fooding a exporté son modèle en Belgique et d'autres pays sont aussi prévus dans les années futures. De nouvelles verticales, comme FoodingKids, ont fait leur apparition. # L'enjeu tech chez le Fooding : la première application du Fooding voit le jour en 2010, la deuxième en 2017 puis une PWA (Progressive Web App) en 2019-2020. Depuis, il y a eu refonte de l'app pensée autour d'une expérience de recherche et de curation des recommandations. # L'application et le site assument un tournant “serviciel”. Ils permettent désormais aux utilisateurs de réserver des restaurants (en partenariat avec Zenchef), hôtels et aussi de se renseigner sur l'accessibilité des lieux. D'autres services à l'étude comme le développement et l'animation de communautés de chef•fes. Pour aller plus loin : # Sa recommandation : Le livre d'Ilanna Weizman - Les Juifs des Blancs comme les autres ? Rejoignez la communauté WhatsApp juste ici. Abonnez-vous à la chaîne YouTube ici. Pour découvrir tout ça, c'est par ici si vous préférez Apple Podcast, par là si vous préférez Deezer ou encore là si vous préférez Spotify. Et n'oubliez pas de laisser 5 étoiles et un commentaire sympa sur Apple Podcast si l'épisode vous a plu. Mediarama est un podcast du label Orso Media produit par CosaVostra. Retrouvez Mediarama sur : Apple Podcasts | Spotify |Deezer
A vos papilles, prêts, savourez ! Des néo-boulangeries qui envoient des miches de compétition avec Elisabeth Debourse du Guide Le Fooding. Merci pour votre écoute Bientôt à table, c'est également en direct tous les samedi de 11h à 12h sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez bien plus de contenus de Bientôt à table sur notre plateforme Auvio.be : https://auvio.rtbf.be/emission/23648 Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement.
Many of us are travel looking for food experiences and we often want to eat something that is authentically of that place. So we seek out the local delicacy which hopefully reflects the local landscape, history and people. However many of the foods we think of as quintessential ‘destination' foods are elevated in the 20th century with the rise of easier travel and more and more tourism. On the other hand, it's easier than ever to access to ‘global' food in the towns and cities we live in. Sheila Dillon explores what travelling to eat looking for authentic experiences means in an increasingly globalised world.We start the programme hearing the story of Nashville Hot Chicken from journalist Zach Stafford. In recent history, Hot Chicken went from an obscure speciality of a specific community in North Nashville, Tennessee to one if it's most iconic symbols. Zach tells the story of how Hot Chicken became part of the ‘Disnification' of Nashville as it has become a popular tourist destination. But like so much of American culture the story is racialised with new white owned businesses making money from a food created by a black community.Sheila then travels to Brussels to become a food tourist herself. Guided by Elisabeth Debourse, Editor-in-Chief at Le Fooding she explores whether the search for the elusive ‘authentic' local food is helpful in trying to get a good meal. She visits Rue des Bouchers and restaurant Les Brigittines.Someone who's thought a lot about food and place is food writer Anya von Bremzen. It's something she explores in her latest book is National Dish. She talks about how many iconic foods linked to place are much more modern than we might think.The Food Programme is based in Bristol and although the city has a distinct culture, it doesn't have an iconic ‘destination food.' Sheila talks to is an actor, born and bred Bristolian and the new presenter of ‘A Proper Bristol Breakfast,' the Radio Bristol morning show about Bristol's eclectic food identity.Produced by Sam Grist for BBC Audio in Bristol
A vos papilles, prêts, savourez ! Découverte de 3 adresses du mois avec Elisabeth Debourse, rédatrice en chef du guide du "Fooding" Merci pour votre écoute Bientôt à table, c'est également en direct tous les samedi de 11h à 12h sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez bien plus de contenus de Bientôt à table sur notre plateforme Auvio.be : https://auvio.rtbf.be/emission/23648 Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement.
Pour ce nouveau numéro de Game Changer, on accueillie Elisabeth Debourse, la rédactrice en chef du guide Le Fooding depuis 2021. Autrement dit, si vous vous intéressez un tant soit peu au bien boire et au bien manger, elle est un phare précieux dans la jungle des bonnes adresses en France, et depuis peu en Belgique. Si ce podcast nous permet de revenir sur ce qu'incarne Le Fooding, et sur son incursion récente sur les terres belges, il est aussi l'occasion de se pencher dans le détail sur le deuxième album du folkeux américain Elliott Smith, et d'essayer de comprendre pourquoi ce magnifique disque sorti en 1993 a joué un rôle important dans la vie de cette Bruxelloise plus pétillante qu'une bonne Gueuze. Bonne écoute les goûteurs. Animation : Jeff Lemaire & Alex Tabankia Visuel : Gwen Pitseys Habillage : Nico Grombeer Enregistrement et mix : Tommy Desmedt Goûte Mes Disques : facebook / twitter / instagram
Bientôt à Table! La cuisine coréenne a le vent en poupe! Les hachis sans chichis. Le guide "Fooding" à la sauce noire, jaune, rouge.
If you're interested in the world of cocktails, mixology and the paris cocktail scene in general then you absolutely know of our guest today, Margot Lecarpentier. And if you don't know, you should because she's someone who has been able to rise to the top of her game with grace and tenacity in what is a very male dominated industry. She's the owner of Combat, a cocktail bar in Belleville, located in the 19th as well as Petit Combat, it's outpost bar in the 14th. Combat has been recently awarded as Most Sustainable Bar by Time Out Paris, been recognized by Le Fooding and Margot herself has become known online for her very approachable booze tutorials.MARGOT'S FOOD AND DRINK GUIDE:-Tea & TY, 19-Billili, 10-Le Mary Celeste, 3-Kilogramme, 19-Liquiderie Cave, 11-Le Dauphin, 11-Chateaubriand, 11
Dans cet extrait, Christine Doublet (DGA du Fooding) et Elisabeth Debourse (Rédactrice en chef du fooding) nous explique comment les restaurants du guide sont choisis et chroniqués. Cet épisode est un extrait de [#73 - Dans les coulisses du Fooding]. N'hésitez pas à l'écouter en entier et à laisser votre avis sur votre plateforme d'écoute préférée. *** Pour nous soutenir: - Abonnez-vous à notre podcast; - Donner votre avis via des étoiles et des commentaires sur votre plateforme d'écoute préférée; - Parler d'Ecotable et de son podcast autour de vous; - Aller manger dans nos restaurants vertueux et délicieux ! *** Ecotable est une entreprise dont la mission est d'accompagner les acteurs du secteur de la restauration dans leur transition écologique. Elle propose aux restaurateurs une palette d'outils sur la plateforme https://impact.ecotable.fr/. Écotable possède également un label qui identifie les restaurants écoresponsables dans toute la France sur le site https://ecotable.fr/fr.
« Le client est roi », entend-on souvent, lorsqu'on évoque les métiers de service. S'il est impossible d'attribuer cette locution à une personne en particulier, il semblerait en revanche que cet état d'esprit entrepreneurial soit né au début du 20e siècle, à une époque où l'une des stratégies marketing les plus en vogue consistait à considérer la satisfaction du client comme un point central de l'évolution d'une entreprise. Mais cet adage n'est-il pas un brin exagéré ? Dans le secteur de la restauration, on ne connaît que trop bien cette clientèle qui tire sur la corde. Ce sont ces personnes qui ronchonnent à voix haute devant le menu, demandent à changer complètement la composition des assiettes, se plaignent quand le plat n'arrive pas dans les 5 minutes, trainent très longuement à table alors que le personnel encore en service ne demande qu'à fermer les stores et rentrer à la maison…Disons-le : pour être un lieu agréable, le resto de demain doit aussi pouvoir compter sur une clientèle respectueuse et agréable. Pour en discuter, Émilie Laystary tend le micro dans cet épisode à Marion Goëttlé, cheffe au Café Mirabelle (Paris), Camille Guillaud, qui est à la tête du restaurant Candide (Paris) et Elisabeth Debourse, rédactrice en chef du magazine Le Fooding.Vous pouvez consulter notre politique de confidentialité sur https://art19.com/privacy ainsi que la notice de confidentialité de la Californie sur https://art19.com/privacy#do-not-sell-my-info.
En cette période estivale, et avant de vous retrouver à la rentrée, l'équipe de Bouffons vous propose de (ré)écouter cet épisode fort de cette dernière saison. Passez un bel été, et bonne écoute ! Ce soir, vous devez rejoindre vos proches pour aller manger un bout quelque part — mais vous ne savez pas encore où. Il y a quelques années, la décision se serait limitée au style de nourriture servie : un resto italien ? Une cantine vietnamienne ? Le bistro auvergnat d'en bas ? Aujourd'hui, un nouveau critère s'est invité à la table des négociations et il concerne cette fois la structure du repas : un plat chacun ou des « assiettes à partager » ?Depuis quelques temps, les menus façon « assiettes à partager » se généralisent. Synonyme de convivialité, ce principe permet de casser la croûte en buvant un coup et donne la possibilité de goûter à plein de choses différentes au cours d'un repas. Mais les caves à manger et les restos ne parviennent pas toujours à offrir ce sentiment de satisfaction. Parfois, on en sort avec une note très salée et la désagréable impression d'avoir surtout dû se ruer sur la corbeille à pain entre chaque « tapassiette » (expression propulsée par le guide des restaurants Le Fooding depuis 2018). Alors, pour ou contre les assiettes à partager ? Pour savoir d'où vient cette mode et où elle va, comprendre ce qu'elle change à l'expérience du resto et analyser la créativité qu'elle offre ou qu'elle enlève en cuisine aux chef.fes, Émilie Laystary réunit dans cet épisode plusieurs voix : Christine Doublet (directrice générale adjointe du Fooding), Laurène Petit (journaliste alimentation durable et chroniqueuse de restaurants), Bernard Boutboul (fondateur de Gira, cabinet de conseil dans le secteur de la restauration), Manon Fleury (cheffe volante installée à Paris) et Noémie Lebocey (cheffe aux Eaux de Mars, restaurant situé à Marseille).Et le moins qu'on puisse dire, c'est que la question des « assiettes à partager »… divise.Bouffons est un podcast de Nouvelles Écoutes que j'anime avec l'aide en coulisses de Cassandra de Carvalho, et de Mathilde Jonin.Montage et mixage par Laurie Galligani Générique réalisé par Aurore MahieuVous pouvez consulter notre politique de confidentialité sur https://art19.com/privacy ainsi que la notice de confidentialité de la Californie sur https://art19.com/privacy#do-not-sell-my-info.
Algunos la llaman “diplomacia gastronómica” y otros “soft power culinario”. Son términos que comienzan a ser manejados en el mundo de las relaciones internacionales. Se trata de potenciar la cocina patria en el extranjero pero también usar los placeres gastronómicos para abrir puertas a contratos millonarios o a mejorar la imagen de la marca-país. ¿Cómo influye en la imagen de un país la gastronomía que exporta? ¿Qué entendemos como diplomacia gastronómica?¿Qué poderes tiene la gastronomía como soft power?¿Se trata de un campo que está siendo explorado / desarrollado desde hace poco, esto es algo reciente o lleva siendo estudiado más de lo que creemos en apariencia? Analizamos en esta edición del programa cómo los distintos países se han ido acercando a la diplomacia gastronómica con nuestros invitados en el estudio: +Caroline Champion, “exploradora de sabores” como se autodefine, especialista de gastronomia +Leonardo Martinelli, corresponsal del diario italiano La Stampa +Aitor Alfonso, cronista en la publicación Le Fooding. #EnPrimeraPlana también en las redes sociales de RFI Un programa coordinado por Florencia Valdés, realizado por Yann Bourdelas, Fabien Mugneret y Vanessa Loiseau
Ce soir, vous devez rejoindre vos proches pour aller manger un bout quelque part — mais vous ne savez pas encore où. Il y a quelques années, la décision se serait limitée au style de nourriture servie : un resto italien ? Une cantine vietnamienne ? Le bistro auvergnat d'en bas ? Aujourd'hui, un nouveau critère s'est invité à la table des négociations et il concerne cette fois la structure du repas : un plat chacun ou des « assiettes à partager » ?Depuis quelques temps, les menus façon « assiettes à partager » se généralisent. Synonyme de convivialité, ce principe permet de casser la croûte en buvant un coup et donne la possibilité de goûter à plein de choses différentes au cours d'un repas. Mais les caves à manger et les restos ne parviennent pas toujours à offrir ce sentiment de satisfaction. Parfois, on en sort avec une note très salée et la désagréable impression d'avoir surtout dû se ruer sur la corbeille à pain entre chaque « tapassiette » (expression propulsée par le guide des restaurants Le Fooding depuis 2018). Alors, pour ou contre les assiettes à partager ? Pour savoir d'où vient cette mode et où elle va, comprendre ce qu'elle change à l'expérience du resto et analyser la créativité qu'elle offre ou qu'elle enlève en cuisine aux chef.fes, Émilie Laystary réunit dans cet épisode plusieurs voix : Christine Doublet (directrice générale adjointe du Fooding), Laurène Petit (journaliste alimentation durable et chroniqueuse de restaurants), Bernard Boutboul (fondateur de Gira, cabinet de conseil dans le secteur de la restauration), Manon Fleury (cheffe volante installée à Paris) et Noémie Lebocey (cheffe aux Eaux de Mars, restaurant situé à Marseille).Et le moins qu'on puisse dire, c'est que la question des « assiettes à partager »… divise.Bouffons est un podcast de Nouvelles Écoutes que j'anime avec l'aide en coulisses de Cassandra de Carvalho, et de Mathilde Jonin.Montage et mixage par Laurie Galligani Générique réalisé par Aurore Meyer MahieuSee Privacy Policy at https://art19.com/privacy and California Privacy Notice at https://art19.com/privacy#do-not-sell-my-info.
Algunos la llaman “diplomacia gastronómica” y otros “soft power culinario”. Son términos que comienzan a ser manejados en el mundo de las relaciones internacionales. Se trata de potenciar la cocina patria en el extranjero pero también usar los placeres gastronómicos para abrir puertas a contratos millonarios o a mejorar la imagen de la marca-país. ¿Cómo influye en la imagen de un país la gastronomía que exporta? ¿Qué entendemos como diplomacia gastronómica?¿Qué poderes tiene la gastronomía como soft power?¿Se trata de un campo que está siendo explorado / desarrollado desde hace poco, esto es algo reciente o lleva siendo estudiado más de lo que creemos en apariencia? Analizamos en esta edición del programa cómo los distintos países se han ido acercando a la diplomacia gastronómica con nuestros invitados en el estudio: +Caroline Champion, “exploradora de sabores” como se autodefine, especialista de gastronomia +Leonardo Martinelli, corresponsal del diario italiano La Stampa +Aitor Alfonso, cronista en la publicación Le Fooding. #EnPrimeraPlana también en las redes sociales de RFI Un programa coordinado por Florencia Valdés, realizado por Yann Bourdelas, Fabien Mugneret y Vanessa Loiseau
durée : 00:29:28 - Les Bonnes Choses - par : Caroline Broué - Comment le restaurant s'est-il réinventé en cette période de pandémie et à quoi ressemblera la restauration d'après ? Ce dimanche dans Les Bonnes choses, un dispositif exceptionnel en partenariat avec Le Fooding.
durée : 00:29:28 - Les Bonnes Choses - par : Caroline Broué - Comment le restaurant s'est-il réinventé en cette période de pandémie et à quoi ressemblera la restauration d'après ? Ce dimanche dans Les Bonnes choses, un dispositif exceptionnel en partenariat avec Le Fooding.
durée : 00:29:28 - Les Bonnes Choses - par : Caroline Broué - Comment le restaurant s'est-il réinventé en cette période de pandémie et à quoi ressemblera la restauration d'après ? Ce dimanche dans Les Bonnes choses, un dispositif exceptionnel en partenariat avec Le Fooding.
You don't just set the table for the French Sunday meal – you endimancher it! Here to discuss this word as it refers to that oh-so sacred weekly ritual of the family meal is French culinary journalist and co-founder of Le Fooding, Emmanuel Rubin. Rubin has graciously agreed to converse with Emily in English, but if you need help following, a transcript is provided!Find Us OnlineWebsite: https://www.parisundergroundradio.com/navigatingthefrenchFacebook: https://www.facebook.com/parisundergroundradioInstagram: https://www.instagram.com/parisundergroundradio/Credits- Host: Emily Monaco. @Emily_in_France; Website: http://www.tomatokumato.com and http://www.emilymmonaco.comProducer: Jennifer Geraghty. @jennyphoria; Website: http://jennyphoria.comMusic CreditsÉdith Piaf - La Vie en Rose (DeliFB Lofi Remix)
Alors qu'il commençait à s'ennuyer un peu lors d'une conférence, Thomas a eu l'idée de cet épisode. On remercie donc San Pelegrino et Le Fooding, car sans eux, eh bien on serait encore en train de chercher un thème. Dans cet épisode, nous parlons de verres qui servent à rien, de tonne d'aluminium, de concours de culture générale sur le service public, de friture molle montrée sur une chaîne de télévision privée, de la nouvelle soupière de Bertrand, de Leonardo di Caprio, de vexillologie, de céramique chinoise du XVIe siècle, de grand-oncle et de vins natures à la tireuse. La Grosse Bouffe est un podcast dédié au manger et au boire.Les nouveaux épisodes sortent tous les 21 du mois. Retrouvez La Grosse Bouffe sur Ausha, Apple Podcast et toutes les autres plateformes de téléchargement de podcasts. Vous pouvez également nous suivre et glisser en DM sur Twitter à @la_grossebouffe, et nous écrire à lagrossebouffepodcast@gmail.com
La rencontre avec Alexandre Cammas, fondateur du FoodingAujourd'hui, Alexandre Cammas, fondateur du guide d'hôtellerie-restauration et média événementiel, prescripteur du « goût de l'époque », Le Fooding, est avec Daniel Coutinho, Raphaële Marchal et Léo Corcelli. Ensemble, c'est 20 ans d'histoire que nous parcourons.Comme bon nombre de ses homologues auvergnats de Paris et membres de sa famille, Alexandre Cammas intègre une école hôtelière après le bac, sans grande conviction. Elle lui donne cependant l'envie de devenir un gentil rebelle, trublion et agitateur de la cuisine française. Mais ce qui anime réellement le jeune homme, c'est la pop culture à la sauce Nova Mag et Radio, co-fondés par son mentor, Jean-François Bizot. Au début des années 1990, il écume cuisines et salles de cafés pour appréhender le métier. Mais l'évidence lui apparaît rapidement : il ne se destine pas à une carrière de cafetiers. « A cette époque-là, dans les années 90, tous les grands arts et même les plus petits arts, ont fait leur révolution, sauf la bouffe. » En parallèle de ses services, il publie des chroniques dans Gault et Millau, Libération, Le Journal du Dimanche, où il affirme son style et sa liberté. Mais il découvre aussi un microcosme qu'il juge poussiéreux, dans lequel les critiques manquent de déontologie, ne règlent pas leurs additions et où les grands chefs ont pignon sur rue et occupent toute la scène. Il finit par se consacrer au journalisme, ce qui l'amène à voyager à Londres à la fin des années 1990 pour découvrir la New British Food, une cuisine sexy, jeune, créative, goûtue, branchée et vivante qui n'existe pas encore à Paris. À une époque où tous les arts font leur révolution, la bouffe doit s'y mettre aussi. De retour à Paris, il s'attèle à dépeindre et valoriser des restaurants et chefs originaux comme Frédérik Grasser Hermé qui propose du poulet au coca, Paul Pairet et son Café Mosaic ou Alain Ducasse et le Spoon dans les pages restaurants de Nova Mag. La naissance du Fooding avec Emmanuel Rubin et Julie AndrieuAlexandre Cammas revient dans cet épisode sur la naissance du Fooding. Lors d'un bouclage du supplément Nova Mag il trouve une rime pour décrire ces nouveaux lieux incarnés par ces chefs : « Plus fort que le Clubbing, le Fooding ». Après la publication, des échos de ce nouveau mot se font entendre, il tient quelque chose. Le Fooding commence à prendre forme. Il contacte les journalistes Emmanuel Rubin, Julie Andrieu, Jean-Christophe Napias, pour leur exposer le projet. Ils adhèrent. Les réunions mensuelles puis hebdomadaires s'enchainent et se succèdent.Entre éthique et surprise, le Fooding met un point d'honneur à régler toutes ses additions. Le critère ultime d'appréciation d'une table étant : ai-je envie de revenir m'attabler dans ce restaurant ? Ils se font aussi et surtout connaître avec leurs évènements, très remarqués et décalés. Les évènements de Marine BidaudLa partie événementiel est principalement tenue par Marine Bidaud, associée d'Alexandre, recrutée pour un stage de 2 mois qui est finalement restée et devenue associé rapidement. Entre bataille de Fontainebleau, dégustation de macarons sur des Japonaises nues, chefs de palaces qui cuisinent de la street-food, invités stars – Philippe Katerine, Ariel Wizman, Edouard Baer, Joey Starr – les évènements Fooding attirent et attisent les foules. Grâce à la force de leur media événementiel, ils rencontrent leur partenaire de toujours, San Pellegrino, avec lesquels ils collaborent depuis plus de 20 ans, toujours avec la même envie. « Subitement, désacraliser la gastronomie, c'était pas du tout anodin et ça reste un combat. » Après une première décennie florissante, la fin des années 2000 rime avec téléphone mobile. Site internet et application se développent. Comme le reste, l'application est disruptive, elle est développée en format horizontal et payante. Mais ça fonctionne, les 30 000 téléchargements sont atteints. Le temps de l'indépendance est aussi venu, avec le succès de la première publication du guide à compte d'auteur qui affirme le style Fooding, du goût de l'époque. Malgré des difficultés juridiques rencontrées avec Fleury Michon et des changements internes au Fooding, Alexandre Cammas et Marine Bidaud, se battent et parviennent à asseoir le succès et la crédibilité de leur guide. Ils se placent en opposition à la gastronomie traditionnelle française, obnubilée par les étoiles Michelin. Les catégories des prix Foodings sont amenées à changer chaque année. Il ne s'agit pas de faire rentrer des restaurants dans des cases, mais de savoir si l'on a envie de revenir, et pourquoi. Le Fooding à New York puis les Etats-UnisForts de ces réussites, ils s'exportent à New York en 2009 et organisent un événement au MOMA PS1, succursale du célèbre musée. Le succès est tel que le New Yorker consacre un article au Fooding qui annonce que le mouvement est à la bouffe ce qu'est la nouvelle vague au 7ème art. Les succès en Europe et aux Etats-Unis s'enchainent, le Fooding organise des évènements qui font toujours plus de bruit comme Les Grands Foodings d'été, food market avant l'heure, ou les pop-up restaurants ouverts non-stop pendant 72 heures. Le Fooding s'intéresse avant tout à la modernité de l'époque et à ses sujets de société et plus d'une fois, avant les autres : évoquer et réagir aux questions du genre, des violences en cuisine, de l'écriture inclusive, des attentats, est naturel. Le rachat du Fooding par MichelinAlexandre Cammas évoque aussi les raisons du rachat du guide par Michelin à partir de 2017 ainsi que son départ l'an passé, et nous révèle ses projets post-Fooding. Il revient également sur sa vision du paysage gastronomique contemporain : entre digital, influence et conséquences du Covid. Il envisage les prochains grands défis auxquels le Fooding et la bouffe devront se confronter. « Je pense que le guide Fooding ne peut pas se développer tant que le guide Michelin n'est pas clair sur son positionnement. » Le Fooding d'Alexandre Cammas aura eu son lot de critiques, il a pu être imité, mais jamais égalé. Va-t-il garder son ADN unique au sein de groupe Michelin ? L'avenir nous le dira, et en attendant, rendez-vous le 10 juillet prochain au festival « Bon esprit de clocher » pour déguster les produits et paysages de l'Aubrac d'Alexandre Cammas, qui propose les pizzas récompensées par le Fooding en 2020, des cocktails pensés et exécutés par Amaury Guyot, un concert piano solo de Bachar Mar-Khalifé et un DJ set d'Aurèle Pour participer à l'évènement d'Alexandre Cammas dans l'Aubrac :Bon esprit de clocher - Cassuéjouls, le Jardin de l'Aubrac Plus d'informations sur le Fooding :Restaurants, hôtels et bars à Paris et partout en France - Le Fooding® Pour découvrir les épisodes Business of Bouffe :https://businessofbouffe.com/le-podcast-food-business
***** Cet épisode est sponsorisé par https://www.koro-shop.fr/ (KoRo) **** KoRo est une startup basée à Berlin, spécialisée dans la vente en ligne de fruits secs, de noix, d'épices, de snacks, de super aliments, de pâtes, de riz, de sauces et de purées d'oléagineux. Profitez de 5% de réduction https://www.koro-shop.fr/ (sur le eshop) avec le code FOODTHERAPIE ***** Il y a quelques années, j'ai pris conscience du rôle de l'alimentation dans notre place à nous les femmes, dans la société. Parce que manger gras et trop, c'est permis, mais en cachette, comme Bridget. Et avec chéri, la salade, c'est tellement plus chouette. Cliché vous me direz ? Oui et non. Si vous observez un peu la pub, encore aujourd'hui, ou les produits alimentaires du quotidien, vous remarquerez qu'on continue de genrer - et de surtaxer - les produits dits “pour femme”. Et que tout un ecosystème se met en place autour de cela: les magazines qu on achete, les courses que l'on fait, nos comportements relationnels avec le sexe opposé….et le pire, c'est qu'on est les premières - premiers à suivre ces normes, sans même s'en rendre compte. L'alimentation est-elle genrée ? Mieux: est-elle sexiste ? Et si oui, depuis quand et pourquoi ? Pour trancher, mon invitée est Nora Bouazzouni. Elle est autrice et journaliste (elle a collaboré avec France TV, Ciné+, Libération, Slate, Le Fooding, Marie Claire...). Elle a également participé à la création du podcast « Plan culinaire » que j'aime beaucoup, et du programme court « Fine bouche » un de mes kiffs instagram. Féministe passionnée par le contenu de nos assiettes, elle sort son deuxieme ouvrage Steaksisme, après Faiminisme paru en 2017.
Mon Panier Bleu met à l'honneur le fooding local. Cette entreprise fondée par Olivier Roubin en 2017 vous propose de faire vos course en 2.0 grâce à sa plateforme qui recense des artisans, producteurs et commercaux locaux, entre les Alpes-Maritimes et Monaco. La mission d'Olivier Roubin : offirir une consommation plus écoresponsable, de qualité tout en favorisant le circuit-court et la proximité. Cette marketpmlace alimentaire permet aussi d'accompagner le commerce de proximité dans sa transition numérique. Mon Panier Bleu 7, rue Jean-Haddad-Simon. Cannes. Tél. 04.89.68.84.90.
Le couscous a beau être « le plat préféré des Français », les préjugés racistes ne manquent pas lorsqu’on parle de nourriture. De la perception stéréotypée de la femme noire en « Mama » nourricière aux présupposés dégradants sur la propreté des restaurants asiatiques, le thème de la cuisine reflète l’omniprésence des questions raciales dans la vie quotidienne des personnes non-blanches, mais pas seulement. Le thé, le café, le chocolat ou encore le sucre rappellent que les traces de l’exploitation coloniale séculaire sont dans toutes nos assiettes.Rokhaya Diallo et Grace Ly discutent de la nourriture de leur enfance et reçoivent Déb’bo, cuisinière et poétesse. Fondatrice de Papilles et Papiers, l’invitée vous mettra l’eau à la bouche en proposant un menu et un poème pour un dîner spectacle autour de Kiffe ta race.Cet épisode a été enregistré en public à Rennes, pour Dangereuses lectrices, un festival de littérature féministe qui promeut les écrits et les paroles de femmes en revendiquant l’outil intersectionnel pour mieux combattre les différentes formes d’oppression. Merci à HF Bretagne pour cette invitation : cette association militante féministe lutte pour l’égalité femmes-hommes dans les milieux culturels.RÉFÉRENCES CITÉES DANS L’ÉPISODEMarine Bachelot Nguyen, dans l’épisode n°8 de Kiffe ta race , « Décoloniser les arts de la scène » ; La petite banane, blog de Grace Ly ; Papilles & Papiers une entreprise de cuisine et de poésie créée par Déb’bo ; Edouard Glissant : écrivain, philosophe et poète martiniquais ; Maboula Soumahoro dans l’épisode n°23 de Kiffe ta race : « Appropriation culturelle : le racisme l’air de rien » ; Le Fooding site parisien sur les restaurants branchés ; Épisode n°32 de Kiffe ta race « Guide de survie aux fêtes de famille »en crossover avec Les Couilles sur la table et Camille ; Eva Doumbia, metteuse en scène ; Entretien avec l’historien Jean-Baptiste Noé dans « United Colors of French Cuisine », un article de Rokhaya Diallo paru dans D’ailleurs et d’ici ! (ouvrage collectif sous la direction de Marc Cheb Sun) ; Histoire du Sucre, Histoire du Monde, James Walvin CRÉDITS Kiffe ta race est un podcast de Binge Audio animé par Rokhaya Diallo et Grace Ly. Prise de son : Jennifer Gouix. Réalisation : Adel Ittel El Madani. Générique : Shkyd. Production : Camille Regache. Édition : Naomi Titti. Identité graphique : Manon Louvard (Upian). Direction des programmes : Joël Ronez. Direction de la rédaction : David Carzon. Direction générale : Gabrielle Boeri-Charles. See acast.com/privacy for privacy and opt-out information.
Pour ce replay, nous sommes aujourd’hui avec Emmanuel Rubin, journaliste gastronomique du Figaro, co-fondateur du Fooding, éditeur délégué aux éditions Jalou et chroniqueur sur BFM Business. C'était un plaisir d'échanger avec ce critique à la grille de lecture plus instinctive que rationnelle, passionné par les restaurants et la gastronomie.Dans cet épisode, nous revenons sur le parcours d'Emmanuel Rubin. Critique gastronomique réputé du Figaro, à la plume mordante mais respectée, il nous fait part de sa vision du métier de journaliste gastronomique et de l'évolution de la restauration en France ces 20 dernières années. Nous revenons également sur la création du Fooding (dont il a été co-fondateur) et le rapprochement récent du Fooding avec le guide Michelin.
On Episode 251 of All in the Industry®, Shari Bayer is joined by Anna Polonsky, Founder of Polonsky & Friends, a strategy and design consultancy for those who use food as a beacon for community and change; supporting mission-driven, food-related projects initiated by some of today’s most interesting chefs, activists, and brands. Anna has worked in hospitality her entire career, and has earned accolades from numerous organizations, including Forbes Magazine's 30under30 and the James Beard Foundation. For 7 years, she was a partner and US director of Le Fooding, a disruptive restaurant guide and event company recently acquired by Michelin. Her roster of consulting clients included LVMH, MasterCard, Pernod-Ricard, Nestlé Waters, and others. In 2014, she co-founded The MP Shift, the first 360° creative agency in hospitality, providing concept, graphics, and interior design services to an international clientele. In 2019, encouraged by a chaotic political context, Anna took a new turn. With Polonsky & Friends, she applies her strategic and creative skills to clients who are working daily towards inclusivity, sustainability, craftsmanship and wellness. Anna’s recent initiative, #AskChefsAnything, which she launched with Gaeleen Quinn, is raising awareness and funds for the immigrant workforce of US restaurants through online auctions. Today's show also features Shari's PR tip; Industry News discussion on COVID-19 and its impact on our industry; and Solo Dining/Takeout experience from Dominique Ansel Bakery in SoHo, NYC. Listen at Heritage Radio Network; subscribe/rate/review our show at iTunes, Stitcher or Spotify. Follow us @allindustry. Thanks for being a part of All in the Industry®. Stay safe and well. Image courtesy of Ali Cherkis.All in the Industry is powered by Simplecast.
Victoire Loup, c’est un petit peu le couteau suisse de la gastronomie comme elle aime à la dire. Celle qui se destinait à reprendre le flambeau familial dans le parfum est devenue une figure incontournable de la gastronomie. Que j’aime ces parcours qui dévient… Après ses études en Grande-Bretagne et en France, Victoire intègre le Bureau du Fooding, à New York et Paris, et gravit les échelons jusqu’à prendre la direction de la communication du célèbre guide. Elle travaille aujourd’hui à Los Angeles où elle chronique toujours, s’apprête à ouvrir un resto et conseille les chefs les plus incroyables. Victoire a eu la gentillesse de me recevoir dans son appartement de West Hollywood à quelques jours de son mariage avec son amoureux comédien. Oui oui, ses journées sont copieusement garnies. Dans cet épisode, vous en apprendrez plus sur le métier de critique gastronomique ; Victoire nous raconte son ex quotidien fait de cinq repas par jour. Sans oublier sa fiche de paie qui était proportionnelle à son poids. Elle s’est aussi confiée sur son dégoût pour le thon en conserve, et sur des sujets bien plus fondamentaux encore comme l’endométriose, et comment vivre avec lorsque l’on travaille dans la food. Comme d’habitude, si l’épisode vous a plu, ce serait plus que chouette de me le dire en commentaire et en me laissant une note 5 étoiles sur Apple Podcasts. Si c’est déjà fait ou que vous n’êtes pas sur Apple, parlez-en autour de vous, partagez, c’est le meilleur moyen de m’aider. Moi je ne peux pas vous laissez de commentaire, alors je vous le dis ici et maintenant : cela me donne une joie sans limite de vous retrouver.
Nous sommes aujourd’hui avec Emmanuel Rubin, critique gastronomique du Figaro, co-fondateur du Fooding, éditeur délégué aux éditions Jalou et chroniqueur sur BFM Business. La rencontre avec Emmanuel Rubin :Philibert connait Emmanuel Rubin depuis plusieurs années. Emmanuel avait fait une chronique très enthousiaste sur la « Maison de Savoie », l'épicerie direct producteurs créée par Philibert en 2015. Nous nous sommes retrouvés tous les trois chez Emmanuel dans le centre de Paris.Dans cet épisode, nous revenons sur le parcours d'Emmanuel Rubin. Critique gastronomique réputé du Figaro, à la plume mordante mais respectée, il nous fait part de sa vision du métier de journaliste gastronomique et de l'évolution de la restauration en France ces 20 dernières années. Nous revenons également sur la création du Fooding (dont il a été co-fondateur) et le rapprochement récent du Fooding avec le guide Michelin. Pourquoi la bouffe ?Emmanuel est un « enfant de la casserole ». Ses parents étaient restaurateurs. Il a d'ailleurs longtemps voulu embrasser ce métier jusqu'à ce qu'un professeur l'en détourne et l'oriente vers une formation littéraire. Mais, il n'oubliera jamais sa passion pour la gastronomie.« Si je peux travailler et cumuler ma passion pour le journalisme et pour la chose gastronomique, cela serait très bien. Et j’ai eu la chance de le faire ! »Devenir critique gastronomique est une affaire compliquée : à la fin des années 80, il n’y avait que très peu des places. Selon Emmanuel, les critiques gastronomiques étaient « les ringards de la presse ». Emmanuel a eu la chance de rentrer très tôt au Figaro, notamment au Figaroscope, créé par l'illustre journaliste François Simon. Grâce à sa connaissance de la gastronomie scandinave notamment, il séduit le rédacteur en chef et trouve sa place dans l'équipe. Mais la critique gastronomique commencera un peu plus tard...« J’ai mis trois ans à écrire ma première critique. »https://youtu.be/awm8c0cREs4 Parlons Business !Emmanuel Rubin a une passion pour les restaurants, plus que pour la gastronomie. Selon lui, les critiques gastronomiques en France s’intéressent plus à l’assiette qu’au restaurant. Et cela lui pose un problème. Il pense, qu’avant tout, la critique gastronomique doit parler du restaurant.« Le restaurant est une micro-société, c’est un petit théâtre. »Emmanuel Rubin a une grille de lecture pour juger un restaurant, mais elle est plus instinctive que rationnelle. Son jugement ne s’arrête pas à l’assiette et il observe tout ce qui l'entoure. Emmanuel visite 6 restaurants par semaine, toujours accompagné, et paye systématiquement ses additions.« Il faut se mettre dans la peau du client. »Nous avons aussi évoqué Le Fooding, « un bureau » dédié à la gastronomie, créé par Emmanuel Rubin et Alexandre Cammas. Dans les années 90, les 2 amis observaient avec curiosité l’évolution de la gastronomie, et notaient l'absence d'un média dédié à la « nouvelle cuisine ». Ainsi, en parallèle de leurs activités principales, ils ont décidé en 2000 de créer Le Fooding (l’origine du nom provient de la fusion : food + feeling), avec une forte dimension évènementielle.« Le Fooding a bousculé les codes de la gastronomie. »Même s’il en était très attaché, Emmanuel finit par quitter Le Fooding. Il est resté actionnaire et a pu bénéficier en 2017 de la vente du Fooding au guide Michelin. Il reconnait cependant que, dans le milieu de la bouffe, l’argent n’est pas toujours au rendez-vous.« Si j’avais voulu gagner plus d’argent, j’aurais choisi banquier. »La critique gastronomique ne représente que 20% de son activité : il consacre l'essentiel de son temps aux éditions Jalou. Cependant, nous lui faisons remarquer qu'il porte de nombreuses casquettes : journaliste, éditeur, animateur radio et TV, consultant, entrepreneur. Nous le qualifions de « slasher », mais il n’est pas d’accord :« Je ne suis pas un slasheur, je suis journaliste ! »Au-delà du journalisme, il s’est récemment lancé dans le conseil, avec la création de la société Achab Conseil, en association avec Xavier Barbagelata, professionnel de la publicité et de la photographie. Il nous confirme d'ailleurs que cette activité n'entrera jamais en conflit avec son métier de journaliste car il s’interdit d’écrire sur l'un de ses clients. Les activités d'Emmanuel Rubin :Critique gastronomique au FigaroscopeCo-fondateur du FoodingEditeur délégué aux Editions JalouChroniqueur sur BFM BusinessCofondateur de ACHAB conseil Les enjeux pour la suite ?Selon Emmanuel, on arrive à la fin d’un cycle dans la gastronomie. Il faut lui redonner du sens. Il nous confie aimer particulièrement les tables en résidence, une approche qui ressemble au spectacle et au théâtre. En ce qui concerne la morale dans la gastronomie, Emmanuel est de l’avis d’éviter les extrémismes.« Je suis d’accord pour manger moins de viande, mais je ne suis pas contre l’idée de manger de la viande. »Emmanuel juge qu’il n’a pas accordé assez de temps à la gastronomie, même si sa notoriété vient de là. Il envisage de corriger cela :« J’ai envie de rendre à la gastronomie ce qu’elle m’a donné ! » Les bons plans d'Emmanuel Rubin :Les pains de Jean-Luc Poujauran : 18 Rue Jean Nicot, 75007 ParisTontine : 14 Rue Crespin du Gast, 75011 ParisLa Scène : 32 Avenue Matignon, 75008 Paris Pour contacter Emmanuel Rubin :https://www.instagram.com/emmanuel_rubin.pro Les critiques d'Emmanuel Rubin au Figaroscope :http://plus.lefigaro.fr/page/emmanuel-rubin
Today’s episode is a little different - we’re going to be talking about a new international food awards programme. A collaboration between Le Fooding and Mastercard, Priceless Cities Best New Bistro launched earlier this year and they’re doing things a little differently to the likes of Michelin and Worlds 50 Best. The PCBNB awards shine a light on a new generation of chefs and restaurateurs, recognising the cool innovative new places that have opened in the last 12 to 18 months, that don’t require you to book a year in advance or mortgage your house to dine there. By recognising these recently opened independent places, this awards programme is current, accessible to a lot more diners, and it’s up to date on where the interesting stuff is happening in food today. For this first year they’re starting with four cities - Paris, London, New York and Mexico City. The shortlist for London (out of around 25 places selected) includes Bright, Mao Chow and Tayer + Elementary (with the brilliant TATA Eatery in charge of the food offering). So why am I talking about this food award? In the upcoming episodes I’ll be interviewing the three shortlisted spots for London so as a prelude I wanted to find out more about this new awards programme, why it’s different and why us diners should care. My guest today is the lovely Christine Doublet, the head of editorial at Le Fooding in Paris, and the lady in charge of this new awards programme. Christine has such a great knowledge of the global dining scene, so it was great to pick her brain and talk all things food. We cover what the new awards programme is all about and go into some of the shortlisted restaurants, a bit on Le Fooding and what they do, what trends are happening on the international food scene, and Christine shares a bit of her background in food, and how she came to have this dreamy job flying around the world to dine out at the coolest new spots. She also lets us in on her personal list of favourite places to eat at in 2019… Winners are being announced across all four cities this Monday 25th November. You can see the full list for each city at bestnewbistro.com. Recommendations from Christine - places mentioned in Paris: Café Pimpin Les Arlots Billili Places mentioned on the French Basque coast: L’Antre (Bidart) Maitenia (Ciboure) Elements (Bidart)
L'invitée de ce 25ème épisode du podcast est Julie Zwingelstein, journaliste lifestyle, spécialiste du brand content et du social media management. Elle a notamment noué de très belles collaborations avec Do it in Paris ainsi que Le Fooding, Pariscope ou encore Version Femina. Cette amoureuse de la capitale partage au quotidien ses découvertes et recommandations sur son Instagram. Petits pépites de restaurants, incontournables de la culture parisienne, tendances beauté et mode… rien n'échappe à son sens affûté de la « bonne adresse » :-)Pourtant, Julie a 32 ans et elle est originaire de Mulhouse. Or, l'essor des réseaux sociaux et métiers en lien reste récent ; autant dire que le parcours d'orientation menant au social media management était loin d'être tout tracé ! D'autant que Julie est… avocate, de formation ! Julie revient donc sur son cheminement, de la fac de droit, en passant par le CAPA (diplôme des avocats), à Sup de Luxe, qui lui ouvrira les portes d'un stage chez Do it in Paris. 7 années plus tard, Julie s'ouvre à de nouvelles perspectives en rédaction, brand content et social media. Si cet épisode vous a plu, RDV sur Apple Podcast pour lui remettre vos 5 étoiles, un petit billet doux ou le suivre à la trace… en vous abonnant. Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.
Origin Story Le Fooding deep dive The guide Priceless cities Best New Bistro 2019 Looking ahead Guest contact details: https://lefooding.com/en https://www.instagram.com/lefooding/ https://www.facebook.com/LeFooding Get involved with Priceless Cities Best New Bistro 2019: www.priceless.com https://www.bestnewbistro.com/ Intro and outro musicThe New Investorshttp://newinvestors.dk/Contact: glenn@velournet.dk Guest: Christine Doublet, Le Fooding Date: 5 September 2019 Listen, download or stream www.interpretingwine.com/listen Contact: hello@interpretingwine.com Podcast: www.interpretingwine.com/listen Facebook: www.interpretingwine.com/facebook Instagram: www.interpretingwine.com/instagram Twitter: www.interpretingwine.com/twitter TikTok: www.interpretingwine.com/TikTok
Que peut bien manger au quotidien une journaliste culinaire ? Comment vit-on son rapport à la nourriture quand elle est si présente dans son existence ? Comment se sentir légitime lorsque l’on juge la cuisine des autres ? C’est ces questions que j’ai tenté d’éclaircir en recevant Julie Gerbet pour ce douzième épisode de Patate. Si Julie est en effet chroniqueuse gastronomique pour la publication qui fait référence en la matière, le Fooding, ou encore Grazia, j’aime avant tout écouter les captivantes interviews qu’elle réalise pour le podcast À Poêle. Elle y interroge les chefs qui font la scène gastronomique d’aujourd’hui et ouvre un espace intimiste pour qu’ils partagent leur histoire. Si l’épisode ou le programme dans son ensemble vous plaît, je vous serais très reconnaissante de bien vouloir lui attribuer un avis cinq étoiles. C’est quelques secondes pour vous, mais beaucoup pour moi, car cela fait vivre Patate et me donne accès à des invités de qualité. Allez, j’arrête. Et comme dirait Julie, bonne écoute.
Co-founder of MPShift, Anna Polonsky launched one of the hottest branding, concept and design studio in the hospitality industry. She and her partner Amy Morris are credited with creating the defining look of the all day cafe with NYC's Gilda and De Maria and recently completed the logo for Danny Meyer's Tacocina. Polonsky grew up in a food-focused family in Paris and got to know the OG chefs like Paul Bocuse. At the beginning of her career, she took a subversive turn by joining the team at Le Fooding, the France-based renegade food guide. On this episode of Speaking Broadly, Polonsky shares her thoughts on overthrowing culinary convention and embracing simplicity. Listen in to hear this trendsetter's predictions about the future of restaurants, chefs, design, travel and style. Speaking Broadly is powered by Simplecast
Food Talk with Mike Colameco is brought to you by the following generous underwriters: This week on Food Talk, Mike has a full house. His first guest, Ellen Gustafson is a food activist and author of the new book, We the Eaters. Mike talks to Ellen about the politics behind why it is difficult to find and eat nutritious food. The two go back and forth regarding possible solutions to the problem, starting with a single item on your dinner plate. Next up, Mike brings in Patrick Martins, Founder and Chairman of Heritage Radio Network as well as the host of The Main Course, to talk about his new book The Carnivore’s Manifesto: Eating Well, Eating Responsibly, and Eating Meat. In the book, Patrick highlights fifty ways to be an enlightened carnivore, while taking better care of our planet and ourselves. For the remainder of the program, Mike welcomes Anna Polonsky, US Director of Le Fooding, to share details on the Le Fooding events happening in NYC this summer, including their Beach Club party going down at Rockaway Beach July 11, 12, and 13. Tune in for a packed program! “We have this dual problem both related to how we nourish ourselves… American eaters have incredible power in the food system. We have dictated what the world eats. Our diet has spread around the world.” [7:34] —Ellen Gustafson on Food Talk “Should we be eating less meat? Yes, probably. We should be eating less commodity meats.” [40:03] —Patrick Martins on Food Talk “Le Fooding, in the meantime, never wanted to put stars or grades, because our interests are more about telling stories.” [56:41] —Anna Polonsky on Food Talk
Le Fooding is back in NYC and taking on the foodie movement! This week on Snacky Tunes, Anna Polonsky of Le Fooding joins Darin Bresnitz in the studio to talk about Le Fooding’s recent gastronomical adventures in Los Angeles. Hear about their upcoming event in New York City that summarizes the food trends of the past several decades – fusion, molecular gastronomy, and farm-to-table. Find out what restaurants Anna is frequenting in NYC this season! Later, XNY stop by the studio to play some of their songs. Find out why the band hates Boston so much, and how they built their friendship off of stolen Internet. This program has been brought to you by Tekserve. “The relationship with food in Paris is much more natural. There’s no celebrity chefs or food gossip. People just like to eat and that’s about it.” [8:15] — Anna Polonsky on Snacky Tunes
We’ve got a packed house on this week’s episode of Snacky Tunes. Greg and Darin Bresnitz are crammed into the shipping container with a few different food guests. Alessia Rizzetto from Le Fooding stops by to talk about their upcoming vegan Le Grand Fooding New York 2012 food event. Hear about the growing number of vegans, and whether or not they are neglected in food circles. Also in the studio is Greg Boustead, writer and journalist for publications like SEED Magazine, VICE, and Scientific American. Greg talks about the Et Cetera 2012 Festival‘s beer event, “How Beer Changed Everything”, presented by Dogfish Head. Hear about how the Dogfish Head team has employed scientists to recreate ancient alcoholic beverages! Sinkane joins Finger On the Pulse in the studio for some live jams. Hear about how touring the world has taught the members of Sinkane about the music world. Hear about some of the band’s upcoming shows, as well as what to eat and drink at Brooklyn Bowl. This episode has been sponsored by Fairway Market. “Dr. McGovern uses tools from the field of biomolecular archeology to find fingerprint compounds in ancient drinking vessels.” — Greg Boustead on Snacky Tunes
This week on Snacky Tunes, Finger on the Pulse are joined by Emilie Papatheodorou of Le Fooding who previews some of their upcoming events. Later in the show, Brooklyn-based synth duo Light Asylum performs three songs and explains how they joined to start this project. This episode was sponsored by Roberta’s
This week on Snacky Tunes Finger on the Pulse have a chat with the ladies of Le Fooding, the New York chapter of a French culinary society that began long ago in France and continues here in New York City. They discuss their upcoming Le Grand Fooding, a culinary showdown inspired by “fightin’ woids” uttered by David Chang about San Francisco, who now must (along with other superstar NYC chefs) back up his smack talk against a group of star chefs from San Francisco. This episode also finds the biggest and most intense live performance ever to grace Snacky Tunes, as the 9-piece Midnight Magic performs live and discusses what its like to be Finger on the Pulse’s new favorite band. This episode was sponsored by Fairway: like no other market. Photo 1: Le Fooding event in France, Photo 2: Midnight Magic