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Invités : - Eliott Mamane, chroniqueur politique. - Victor Eyraud, journaliste politique à Valeurs Actuelles. - Antoine Fenech, journaliste et chroniqueur. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans cet épisode d'OVNIs, Matthieu Stefani reçoit Jules Veyrat, co-fondateur de Stoïk, l'assureur-cyber dédié aux PME. Il explique un modèle qui combine assurance et outils de cybersécurité maison, distribués via des courtiers, pour couvrir l'assistance 24/7, les pertes d'exploitation (y compris rançon au cas par cas), la responsabilité envers les tiers et la cyber-fraude—avec un objectif clair : remettre l'entreprise en route le plus vite possible.Veyrat partage des retours de terrain (ransomwares, phishing dopé à l'IA, négociations pour gagner du temps) et la traction de Stoïk : ~10 000 assurés, forte rétention et expansion en Europe (France, DACH, Espagne, Belgique, Luxembourg), avant d'étendre la gamme produits (surveillance des postes et des boîtes mail, tests de pénétration automatisés). Cap affiché : dominer le segment PME en Europe continentale et atteindre la rentabilité à moyen terme.[00:00:00] Introduction – Cyber, armée et rencontre avec Jules Veyrat[00:02:00] Naissance de Stoïk : protéger les PME contre les cyberattaques[00:05:00] L'assurance cyber : un modèle qui aligne les intérêts[00:09:00] Les PME, maillon faible du risque numérique[00:12:00] Les 4 piliers de la couverture cyber : assistance, pertes, responsabilité, fraude[00:17:00] Rançons et négociations : comment Stoïk gère les crises[00:22:00] L'impact de l'intelligence artificielle sur les attaques[00:28:00] Les chiffres : 10 000 assurés, 50 M€ levés, 13 M€ de revenus[00:33:00] Expansion européenne : France, Allemagne, Espagne, Belgique, Luxembourg[00:38:00] Le partenariat inattendu avec Marc-André ter Stegen[00:42:00] L'avenir de Stoïk : nouvelles offres, IA et cybersécurité défensive[00:46:00] Philosophie entrepreneuriale et croissance maîtrisée[00:52:00] Vie perso, sport et équilibre de l'entrepreneur[00:55:00] Conclusion – « Le risque, c'est aussi d'arrêter d'avancer »Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Invités : - Jean-Philippe Cartier, entrepreneur. - Sarah Saldmann, avocate au barreau de Paris. - Jules Torres, journaliste politique au JDD. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Le Parti québécois propose de mettre fin au bar ouvert en matière de subvention aux entreprises s’il prend le pouvoir. Entrevue avec Catherine Gentilcore, député du Parti québécois dans Terrebonne. Regardez aussi cette discussion en vidéo via https://www.qub.ca/videos ou en vous abonnant à QUB télé : https://www.tvaplus.ca/qub ou sur la chaîne YouTube QUB https://www.youtube.com/@qub_radio Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
durée : 00:02:25 - Le brief éco - Les retards de paiement entre entreprises explosent en France : 86 % des sociétés en souffrent, avec une moyenne de 50 jours, un record en Europe, selon une enquête du groupe Coface. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Parce que… c'est l'épisode 0x637! Shameless plug 12 au 17 octobre 2025 - Objective by the sea v8 14 et 15 octobre 2025 - ATT&CKcon 6.0 14 et 15 octobre 2025 - Forum inCyber Canada Code rabais de 30% - CA25KDUX92 4 et 5 novembre 2025 - FAIRCON 2025 8 et 9 novembre 2025 - DEATHcon 17 au 20 novembre 2025 - European Cyber Week 25 et 26 février 2026 - SéQCure 2026 Description Ce troisième épisode d'une série consacrée aux PME prend la forme d'un quiz interactif entre Nicolas-Loïc Fortin et son invité Claude. L'objectif est d'aborder des questions fréquemment posées sur la cybersécurité et la protection des données, couvrant ainsi les angles qui n'ont peut-être pas été suffisamment explorés dans les épisodes précédents. Le retour sur investissement en cybersécurité La question du retour sur investissement en cybersécurité pour les PME n'appelle pas de réponse simple par oui ou non. La difficulté réside dans la mesure de ce retour, qui doit être proportionnel aux actifs à protéger. Les PME font face à des contraintes budgétaires importantes et doivent évaluer la menace réelle qui pèse sur elles. L'intervenant illustre cette problématique par une anecdote d'une compagnie de transport qui devait protéger ses remorques contre les vols utilisant de l'azote liquide pour briser les cadenas. De la même façon, en informatique, les attaquants cherchent à « faire éclater le cadenas » pour voler le contenu. Actuellement, la plus grande menace pour les PME provient des rançongiciels, qui visent toutes les organisations, du cabinet dentaire aux entreprises de toutes tailles. La stratégie de protection doit s'adapter au niveau d'information sensible détenue. Pour les entreprises sans données sensibles, de bonnes sauvegardes suffisent pour redémarrer après une attaque. Pour celles qui manipulent des informations personnelles, des mesures plus sophistiquées s'imposent. Heureusement, des solutions peu coûteuses existent, fournies par des spécialistes en PME. L'important est d'éviter les consultants de grande entreprise qui proposent des solutions disproportionnées et effrayantes, décourageant ainsi l'investissement en cybersécurité. Solutions à petit budget Contrairement aux idées reçues, la cybersécurité à petit budget est non seulement possible, mais peut être très efficace si elle est bien choisie. L'open source offre des solutions simples et accessibles. Avec l'accompagnement d'un expert, les PME peuvent trouver des solutions gratuites ou peu coûteuses adaptées à leurs besoins réels. La clé consiste à définir ce qui est précieux pour l'entreprise, que cette valeur soit intrinsèque ou imposée par la loi. Les informations personnelles doivent être protégées par obligation légale, tout comme les numéros de cartes de crédit pour les commerçants, en vertu d'obligations contractuelles. De nombreuses solutions de qualité professionnelle peuvent être déployées par des passionnés de cybersécurité qui connaissent bien les besoins des PME. Loi 25 versus cybersécurité La question de la priorité entre la conformité à la Loi 25 et la cybersécurité suscite des débats. L'intervenant privilégie la conformité légale, car les obligations contractuelles et réglementaires ont préséance dans tous les cas. Cependant, se conformer à la Loi 25 apporte des bénéfices directs pour la cybersécurité, notamment l'obligation de créer un inventaire des données, qui constitue un avantage considérable pour la protection des informations. L'ingénierie sociale : le maillon faible Concernant les attaques par ingénierie sociale, le contexte représente un facteur plus déterminant que l'humain lui-même. Tous les humains peuvent être victimes d'hameçonnage, indépendamment de leur niveau de compétence. Lorsque le contexte nous prédispose à répondre automatiquement, nos défenses naturelles s'abaissent et nous agissons comme des « zombies », suivant le processus attendu sans questionnement. L'intervenant partage son expérience personnelle d'avoir cliqué sur un lien d'hameçonnage de son propre employeur, soulignant l'importance du timing et du contexte. Des recherches montrent que les gens sont plus susceptibles de cliquer sur des liens malveillants en fin de journée. La vigilance doit être maintenue même dans des situations apparemment normales, bien que la fragilité humaine face au contexte rende cette tâche difficile. L'authentification multifacteur : un minimum évolutif L'authentification multifacteur (MFA) constitue désormais un standard minimum, popularisé par le télétravail pendant le confinement. Cependant, cette barrière de sécurité est déjà en train d'être dépassée par des attaquants créatifs. Le MFA par SMS, qui représentait un minimum viable pendant le confinement, n'est plus suffisant aujourd'hui. Le MFA par application ou par clé physique représente maintenant le minimum requis pour tous les services, particulièrement ceux liés à l'argent. L'intervenant raconte comment, pendant son jogging matinal, il a reçu une alerte de sa banque concernant une tentative d'accès. Bien que le SMS ne soit pas la meilleure forme de MFA, cette deuxième barrière l'a alerté que son mot de passe avait été compromis. Il a immédiatement changé ses identifiants et activé une clé physique pour renforcer la sécurité. Cette expérience souligne l'importance d'activer le MFA sur tous les services critiques : courriel, systèmes comptables comme Quickbooks, et tous les systèmes au cœur du fonctionnement de l'entreprise. Gestionnaires de mots de passe La question des voûtes de mots de passe suscite beaucoup d'émotions dans la communauté cybersécurité. Les puristes recommandent les gestionnaires de mots de passe, mais une analyse pragmatique s'impose. Un carnet de mots de passe dans le tiroir du bureau vaut mieux qu'une absence de protection ou qu'une voûte mal configurée que personne n'utilisera. L'important reste d'avoir des mots de passe différents partout et d'activer le MFA, car le mot de passe seul ne constitue plus une barrière suffisante. Les voûtes modernes facilitent grandement la gestion des mots de passe et intègrent les nouvelles tendances comme l'authentification sans mot de passe. Le modèle de menace doit être considéré : si les attaquants sont en Chine ou en Russie, le carnet dans le tiroir est relativement sûr. Si la menace provient d'employés internes, d'autres solutions s'imposent. Un mot de passe simple comme « soleil123 », même avec MFA, reste problématique car la première barrière est trop facilement franchissable. Antivirus et protection moderne Les antivirus classiques ne suffisent plus à protéger adéquatement contre les cyberattaques. Les solutions modernes, appelées antivirus de nouvelle génération ou EDR (détection et réponse sur les points terminaux), offrent des protections supplémentaires en détectant les comportements suspects plutôt que simplement les signatures de fichiers. Pour les PME, des solutions intégrées comme Microsoft Defender for Endpoint constituent un bon compromis. Il faut éviter les antivirus gratuits, mais utiliser plutôt les outils de sécurité inclus dans les licences existantes de Microsoft 365 ou Google Workspace. WiFi public : l'évolution de la sécurité La sécurité des réseaux WiFi publics a considérablement évolué. Contrairement aux anciennes pratiques, utiliser un WiFi public n'est plus dangereux pour la majorité des utilisateurs. Depuis environ cinq ans, Google n'indexe plus les sites sans chiffrement de base, forçant les entreprises à améliorer leur sécurité. Les services modernes comme Microsoft 365, Outlook et les banques chiffrent toutes les communications. Tant que l'appareil est à jour et qu'aucun message d'avertissement de certificat invalide n'apparaît, il n'y a aucun danger à utiliser un WiFi public pour des usages standard avec des services légitimes de grandes compagnies. Infections par simple visite de site Il est possible de s'infecter en visitant un site web sans cliquer sur quoi que ce soit. Les attaquants, qui travaillent sur ces méthodes à temps plein, sont très imaginatifs. La meilleure protection consiste à maintenir son navigateur constamment à jour. Les navigateurs comme Chrome, Edge et Brave se mettent à jour automatiquement à chaque redémarrage. Les attaquants ont évolué au-delà des sites louches en infectant des publicités sur des sites légitimes. Les antivirus de nouvelle génération peuvent bloquer certaines de ces menaces, mais la mise à jour régulière du navigateur reste la meilleure défense. Le rôle des dirigeants Les dirigeants de PME portent la responsabilité ultime de la protection des renseignements personnels selon la loi. Dans toute organisation, les décisions de cybersécurité doivent venir du sommet. Sans l'engagement du plus haut dirigeant, aucune énergie réelle ne sera investie dans la cybersécurité. Les dirigeants doivent porter le message de cybersécurité, allouer les ressources financières et humaines nécessaires, et favoriser une culture de protection des informations. Ils sont les seuls capables d'identifier ce qui est précieux dans l'entreprise : liste de clients, procédés de fabrication, propriété intellectuelle, ou tout autre avantage concurrentiel. Cette responsabilité s'étend au-delà des obligations légales pour protéger ce qui fait vraiment la différence de l'entreprise. Conclusion Ce podcast souligne l'importance de sensibiliser les PME à la cybersécurité, car elles constituent le tissu économique du Québec, du Canada et du monde entier. Chaque PME qui tombe sous une cyberattaque affecte l'ensemble de l'écosystème économique et social. La cybersécurité pour les PME doit être accessible, pragmatique et adaptée aux réalités budgétaires de ces organisations. Collaborateurs Nicolas-Loïc Fortin Claude Mercier Crédits Montage par Intrasecure inc Locaux réels par Intrasecure inc
La rencontre Mulroney-Dutrizac avec Ben Mulroney, animateur du Ben Mulroney show. Regardez aussi cette discussion en vidéo via https://www.qub.ca/videos ou en vous abonnant à QUB télé : https://www.tvaplus.ca/qub ou sur la chaîne YouTube QUB https://www.youtube.com/@qub_radio Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Les PME réalisant un chiffre d'affaires supérieur à Rs 3 millions ont jusqu'au 30 septembre pour s'enregistrer auprès de la MRA by TOPFM MAURITIUS
Invités : - Jérôme Giacomoni, président du Groupe AÉROPHILE - Diane Roubert, fondatrice Twyd - Jim Pasquet, cofondateur Le Pavé - Alain Joly, président & cofondateur du groupe Doudou & Compagnie Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Parce que… c'est l'épisode 0x618! Préambule Shameless plug 10 et 11 septembre 2025 - GoSec 2025 Code rabais de 15% - GSPOL25 13 septembre 2025 - BSides Montreal 2025 12 au 17 octobre 2025 - Objective by the sea v8 14 et 15 octobre 2025 - Forum inCyber Canada Code rabais de 30% - CA25KDUX92 10 au 12 novembre 2025 - IAQ - Le Rendez-vous IA Québec 17 au 20 novembre 2025 - European Cyber Week 25 et 26 février 2026 - SéQCure 2026 Description Introduction et contexte Charlotte Trudelle, consultante en gouvernance, risque et conformité chez Cyblex Consulting, présente la directive européenne NIS 2, qui constitue la suite de NIS 1. Cette réglementation vise à protéger les entités critiques européennes dans un contexte d'augmentation des cyberattaques et d'omniprésence des systèmes d'information. Contrairement au RGPD qui a des applications extraterritoriales, NIS 2 se concentre principalement sur le territoire européen, mais suivra un modèle de transposition similaire dans chaque pays membre. Objectifs et philosophie de NIS 2 L'objectif principal n'est pas d'atteindre une sécurité absolue, mais d'améliorer la résilience et la capacité de réaction aux incidents. La directive vise à “effacer le bruit ambiant” et empêcher les attaques opportunistes, particulièrement les ransomwares facilement déployables. Il s'agit d'établir une hygiène de base en cybersécurité plutôt que de se prémunir contre des attaques étatiques sophistiquées. La directive prône une approche par les risques, reconnaissant que les 18 secteurs d'activité couverts ont des profils de risque variables. L'Europe souhaite également créer un écosystème résilient global, incluant le partage des menaces et vulnérabilités, ainsi que la mise en place du UVD (pendant européen des bases CVE) par l'agence ENISA. Périmètre d'application considérablement élargi NIS 2 couvre 18 secteurs d'activité, répartis entre entités essentielles et entités importantes. Les entités essentielles incluent l'énergie, le transport, l'eau potable (déjà dans NIS 1), auxquels s'ajoutent les eaux usées, la santé, l'espace et les administrations publiques. Le secteur bancaire bénéficie d'un traitement spécial avec le référentiel DORA. Les entités importantes comprennent les services postaux, la gestion des déchets, et la fabrication alimentaire. L'impact est considérable : en France, on passe de 300 entités concernées par NIS 1 à potentiellement 15 000 avec NIS 2, avec des seuils démarrant à 50 employés. Effet de cascade et impact sur les tiers Une différence majeure avec le RGPD réside dans l'effet de cascade sur les fournisseurs et prestataires. Toutes les entreprises travaillant avec les entités régulées devront également se conformer à NIS 2, même si elles n'atteignent pas les seuils de taille requis. Cette approche vise à sécuriser l'ensemble de la chaîne d'approvisionnement, reconnue comme un vecteur d'attaque privilégié. Mesures et exigences techniques Les mesures s'appuient largement sur la norme ISO 27001, évitant de “réinventer la roue”. Les exigences incluent : Inventaire des actifs (retour aux fondamentaux) Gestion des ressources humaines (approche transverse) Gestion des tiers et prestataires Gestion des incidents avec critères précis de déclaration Supervision et revues régulières La directive fixe des critères quantitatifs précis pour les incidents, éliminant l'interprétation subjective. Contrairement à NIS 1 qui ne réglementait que les systèmes critiques, NIS 2 s'applique à l'ensemble du système d'information, sauf isolation prouvée des systèmes critiques. Sanctions et modèle de contrôle Les sanctions suivent le modèle RGPD : 10 millions d'euros ou 2% du chiffre d'affaires mondial pour les entités essentielles, 7 millions ou 1,4% pour les entités importantes. Le modèle de contrôle ressemble également au RGPD, avec des autorités nationales (ANSSI en France) effectuant des audits et contrôles, sans certification obligatoire prévue. Défis de transposition et accompagnement La transposition française accuse du retard, adoptée par le Sénat en mars et en cours d'examen à l'Assemblée nationale. Le projet “Résilience” transpose simultanément NIS 2, DORA et CER (Critical Entities Resilience), créant une complexité réglementaire supplémentaire. L'ANSSI privilégie l'accompagnement à la sanction, reconnaissant que de nombreuses entités découvrent la réglementation cyber. Des outils d'auto-évaluation et de suivi sont déjà disponibles pour faciliter la transition. Impact sur les différents types d'organisations Pour les grandes entreprises internationales, déjà familières avec l'ISO 27001, l'adaptation devrait être relativement aisée. La principale préoccupation concerne le “millefeuille réglementaire” et la conformité administrative. Les PME et administrations publiques, notamment les collectivités et hôpitaux, font face à des défis plus importants : manque de personnel spécialisé, budgets contraints, et cybersécurité éloignée du cœur de métier. Des initiatives de mutualisation émergent dans certains secteurs. Perspective et enjeux futurs NIS 2 représente un changement culturel majeur, intégrant la cyberattaque dans la gestion de crise standard. La philosophie du directeur de l'ANSSI résume bien l'approche : “ce n'est pas si vous allez être attaqué, mais quand”. L'objectif est la résilience - continuer à fonctionner malgré l'incident. Cette réglementation s'inscrit dans la volonté européenne d'uniformiser le marché, créant une prévisibilité similaire à celle du marché américain. Bien que la période d'adaptation puisse être inconfortable, elle devrait considérablement renforcer la résilience collective face aux cybermenaces. La réussite de NIS 2 dépendra de sa capacité à éviter la “conformité pour la conformité” et à véritablement améliorer la maturité cybersécuritaire de l'écosystème européen. Collaborateurs Nicolas-Loïc Fortin Charlotte Trudelle Crédits Montage par Intrasecure inc Locaux virtuels par Riverside.fm
Écoutez l’analyse de notre chroniqueur François Gagnon à l’émission de Jean-Sébastien Hammal, jeudi matin.Voir https://www.cogecomedia.com/vie-privee pour notre politique de vie privée
Pour l'épisode de cette semaine, je reçois Alexandre Barroux, CEO et cofondateur de Bonx.Bonx, c'est un ERP industriel nouvelle génération, pensé pour les PME, qui se déploie en 5 à 6 semaines seulement, et qui permet une personnalisation en profondeur des processus industriels grâce à une approche no-code et des fonctionnalités avancées d'IA.Avec Alexandre, on revient sur son parcours : ses débuts chez OSS Ventures où il travaillait sur le product et le go-to-market de startups industrielles, jusqu'à la création de Bonx avec son associé Rémi. Il nous explique comment ils ont identifié une opportunité sur le marché des ERP, historiquement dominé par des mastodontes comme SAP ou Dynamics, peu adaptés aux PME modernes.On a parlé produit : de leur positionnement volontairement focalisé sur l'opérationnel (production, supply chain, stock) sans gérer la compta ni le CRM, de leur approche “opinionated” et modulaire, de leur V2 lancée récemment, mais aussi de leur vision IA pour automatiser des tâches comme l'ordonnancement de production ou la lecture automatique de commandes.On a aussi beaucoup parlé Go-To-Market : comment ils ciblent des PME industrielles ambitieuses, pourquoi ils ont choisi une stratégie commerciale directe, comment ils gèrent l'expansion géographique (France, Italie, Espagne) et leur ambition d'ouvrir les US en 2026. On a aussi parlé de leur levée de fonds récente auprès du fonds anglo-américain 9900.Vous pouvez suivre Alexandre sur LinkedIn.Bonne écoute !Mentionnés pendant l'épisode :OSS VenturesCognixPennyLaneHubSpotPodcast Revenue BuildersStart to Scale de Thibault Renouf (mentionné indirectement)Pour soutenir SaaS Connection en 1 minute⏱ (et 2 secondes) :Abonnez-vous à SaaS Connection sur votre plateforme préférée pour ne rater aucun épisode
Accurafy et Rémy Thannberger lancent un fonds Pre-IPO de 100 millions d'euros dédié aux PME françaises et européennes en forte croissance, dans des secteurs clés comme l'aéronautique, la défense ou la cybersécurité. L'objectif : accompagner leur développement, préparer leur introduction en bourse et renforcer la souveraineté européenne tout en préservant le contrôle des entreprises.-----------------------------------------------------------------------SMART TECH - Le magazine quotidien de l'innovationDans SMART TECH, l'actu du numérique et de l'innovation prend tout son sens. Chaque jour, des spécialistes décryptent les actualités, les tendances, et les enjeux soulevés par l'adoption des nouvelles technologies.
Une sélection des actualités du jour qui ont un impact direct ou indirect sur vos finances personnelles. Avec : Benjamin Wattinne, cofondateur et CEO de Sowefund, et Julie Cohen-Heurton, journaliste BFM Business.
Ce mercredi 18 juin, l'utilisation de l'intelligence artificielle dans les PME, l'industrie pharmaceutique qui est de moins en moins séduite par le marché français, les points d'achoppement sur la réforme des retraites, et le débat autour de la taxe Zucman, ont été abordés par Nicolas Bouzou, fondateur du cabinet d'analyse économique et de conseil Asterès, Sylvain Orebi, président d'Orientis, et Christian Poyau, PDG de Micropole, dans l'émission Les Experts, présentée par Nicolas Doze sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
durée : 00:02:37 - C'est mon boulot - Seule une minorité de dirigeants de PME et d'entreprises de taille intermédiaire ont pris le train de l'IA. Mais ils sont de plus en plus nombreux à se presser sur le quai, d'après la dernière enquête du Lab de BPI France, la banque publique d'investissement.
Budget 2025-26 : l'industrie et les PME au cœur des priorités, attentes concernant la mise en œuvre des mesures énoncées by TOPFM MAURITIUS
Chaque mois, le coach Didier Acouetey, président d'AfricSearch, conseille un jeune entrepreneur sur ses difficultés. En deuxième partie, débat avec des patrons de PME du continent. Cette semaine, les PME face au manque de données sur les marchés. Partie 1 : conseils à un jeune entrepreneur- Didier Acouetey, président du cabinet AfricSearch- Raymond, fondateur et dirigeant de Jokosun Energies, entreprise de services d'accès à l'électrification de pirogues ou de bateaux à Dakar, Sénégal. Partie 2 : les PME face au manque de données sur les marchés- Serigne Barro, directeur général de P_i group qui regroupe trois entreprises spécialisées dans la digitalisation : People input (fournisseur d'innovation), Voice Africa (agence de communication) et dentsu (agence média). - Hadiatou Barry, présidente du groupe Akiba Finance, une banque digitale, Conakry, Guinée- Didier Acouetey, président du cabinet AfricSearch. Programmation musicale : ► Domebi - Santrofi► Après Minuit - Wizkid & Tiakola.
Chaque mois, le coach Didier Acouetey, président d'AfricSearch, conseille un jeune entrepreneur sur ses difficultés. En deuxième partie, débat avec des patrons de PME du continent. Cette semaine, les PME face au manque de données sur les marchés. Partie 1 : conseils à un jeune entrepreneur- Didier Acouetey, président du cabinet AfricSearch- Raymond, fondateur et dirigeant de Jokosun Energies, entreprise de services d'accès à l'électrification de pirogues ou de bateaux à Dakar, Sénégal. Partie 2 : les PME face au manque de données sur les marchés- Serigne Barro, directeur général de P_i group qui regroupe trois entreprises spécialisées dans la digitalisation : People input (fournisseur d'innovation), Voice Africa (agence de communication) et dentsu (agence média). - Hadiatou Barry, présidente du groupe Akiba Finance, une banque digitale, Conakry, Guinée- Didier Acouetey, président du cabinet AfricSearch. Programmation musicale : ► Domebi - Santrofi► Après Minuit - Wizkid & Tiakola.
Le gouvernement Legault veut qu’on soit compétitifs… mais il coupe. Un autre coup de hache dans l'aide aux PME. Affaires et société avec Philippe Richard Bertrand, expert en commercialisation et en technologies et co animateur du balado Prends pas ça pour du cash à QUB. Regardez aussi cette discussion en vidéo via https://www.qub.ca/videos ou en vous abonnant à QUB télé : https://www.tvaplus.ca/qub ou sur la chaîne YouTube QUB https://www.youtube.com/@qub_radio Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Le chiffre des défaillances de petites entreprises est impressionnant : après une année 2024 marquée par un nombre record, 2025 pourrait être encore pire. Les PME, notamment dans l'immobilier et la promotion, sont particulièrement touchées, avec des prévisions à 68.000 défaillances sur cette année. Ecoutez l'analyse de Eric Heyer, économiste, spécialiste du marché du travail est l'invité de RTL soir au micro d'Yves Calvi et Albane Leprince. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aujourd'hui, Fatima Aït-Bounoua, Antoine Diers et Didier Giraud débattent de l'actualité autour d'Olivier Truchot.
Chaque mois, le coach Didier Acouetey, président d'AfricSearch, conseille un jeune entrepreneur sur ses difficultés. En deuxième partie, débat avec des patrons de PME du continent. Les PME dans l'agroalimentaire en Afrique : trop petites pour survivre ? Cette émission est une rediffusion du 11 septembre 2024. Partie 1 : conseils à un jeune entrepreneur- Didier Acouetey, président du cabinet AfricSearch- Ousmanou Sheou, fondateur de l'Établissement Ousmashe, entreprise de transformation et commercialisation de céréales et tubercules en farines, Garoua, Cameroun. Partie 2 : Les PME agroalimentaires en Afrique : trop petites pour survivre ? Face à des marchés et des besoins immenses, comment augmenter les volumes, créer des alliances et fabriquer des géants ?- Ayité Ajavon, directeur de Ahoenou, start-up agroalimentaire togolaise qui produit et commercialise des bouillons culinaires 100% naturels sous la marque Africube, Libreville, Gabon- Riantsoa Mialiranindra, 30 ans, ingénieur chimiste et co-fondatrice et présidente de Sakafo entreprise de transformation de fruits et légumes à Antananarivo, Madagascar- Didier Acouetey, président du cabinet AfricSearch. Programmation musicale : ► Ghanaian Stallion – Finish Line (ft. Patrice)► Abou Tall – Bats toi (playlist).
Chaque mois, le coach Didier Acouetey, président d'AfricSearch, conseille un jeune entrepreneur sur ses difficultés. En deuxième partie, débat avec des patrons de PME du continent. Les PME dans l'agroalimentaire en Afrique : trop petites pour survivre ? Cette émission est une rediffusion du 11 septembre 2024 Partie 1 : conseils à un jeune entrepreneur- Didier Acouetey, président du cabinet AfricSearch- Ousmanou Sheou, fondateur de l'Établissement Ousmashe, entreprise de transformation et commercialisation de céréales et tubercules en farines, Garoua, Cameroun Partie 2 : Les PME agroalimentaires en Afrique : trop petites pour survivre ? Face à des marchés et des besoins immenses, comment augmenter les volumes, créer des alliances et fabriquer des géants ?- Ayité Ajavon, directeur de Ahoenou, start-up agroalimentaire togolaise qui produit et commercialise des bouillons culinaires 100% naturels sous la marque Africube, Libreville, Gabon- Riantsoa Mialiranindra, 30 ans, ingénieur chimiste et co-fondatrice et présidente de Sakafo entreprise de transformation de fruits et légumes à Antananarivo, Madagascar- Didier Acouetey, président du cabinet AfricSearch Programmation musicale : ► Ghanaian Stallion – Finish Line (ft. Patrice)► Abou Tall – Bats toi (playlist)
Ce samedi 12 avril, les PME devrait faire face à de nouvelles mesures envers leurs réductions d'impôts. Le gouvernement veut mettre en place une nouvelle réforme pour les encadrer. Les éditeurs et auteurs s'indignent face aux images générées par ChatGPT qui imitent des créations originales. Amid Faljaoui vient donner son analyse sur les accusations de délit d'initié envers Donald Trump. Du côté des bourses, Nicolas Deltour vient analyser les cours du marché actuel et les stratégies à suivre pour les primo investisseur.
Ep.212 - En compagnie de Matthew Cowen, nous explorons les enjeux actuels de l'intelligence artificielle, des plateformes sociales et de la protection des données en 2025.Cette conversation explore les modèles d'affaires des IA génératives et en particulier l'IA chinoise DeepSeek. Elle aborde également les défis de la modération sur les réseaux sociaux, le modèle économique de Meta et les effets des algorithmes de YouTube sur les utilisateurs. Enfin, Matthew Cowen partage son expertise sur l'adoption du modèle Zero Trust en cybersécurité et les menaces grandissantes du social engineering et des deepfakes. Il discute aussi de l'impact de l'aide internationale sur le développement technologique dans la Caraïbe, les difficultés des PME face au virage numérique et les opportunités d'investissement dans les technologies de batterie.À retenirL'IA chinoise DeepSeek pourrait révolutionner les marchés financiers.La commoditisation des LLM change le paysage technologique.Les réseaux sociaux font face à des défis de modération croissants.Meta se concentre sur le profit au détriment des utilisateurs.Les algorithmes de YouTube favorisent les contenus extrêmes.La sécurité informatique évolue vers le modèle Zero Trust.Le social engineering devient une menace majeure.Les utilisateurs sont souvent manipulés par des deep fakes.Les émotions fortes sont exploitées par les plateformes.Les PME ont du mal à exploiter efficacement leurs données.Les technologies de batterie pourraient transformer de nombreux secteurs.Matthew CowenMatthew a plus de 20 ans d'expérience dans les technologies de l'information et de la communication. Il a fondé Dgtlfutures en Martinique en 2018, où il est basé depuis plus d'une décennie, pour aider ses clients à décortiquer la transformation numérique et à développer et à mettre en œuvre leur stratégie numérique. Matthew est également l'auteur de la lettre d'information The Future is Digital, une excellente lecture qui parle du numérique avec une perspective d'affaires, de management et de stratégie. Il a aussi récemment publié un rapport exhaustif sur l'état des infrastructures numériques dans la Caraïbe et évangélise régulièrement sur les questions de cybersécurité et de gouvernance d'internet.Autres épisodes pertinentsÉpisode 161: Survol des technologies émergentes avec Matthew CowenÉpisode 187: Promesses et réalités de l'IA avec Matthew CowenAccédez aux notes ici: https://www.intelliaconsulting.com/podcastSuivez-nous: Développez votre impact stratégique - Abonnez-vous à notre lettre hebdomadaire Visitez notre page LinkedIn Visitez notre page YouTube
Ce mardi 1er avril, Arnaud Petit, directeur de Sage Europe du Sud, est revenu sur les 90 % des PME qui constatent des gains de productivité grâce à l'IA, dans l'émission Tech&Co Business présentée par Frédéric Simottel. Tech&Co Business est à voir ou écouter le mardi sur BFM Business.
Tous les matins à 7h50, Matthieu Belliard prend le temps d'expliquer simplement un phénomène d'actualité complexe. Un rendez-vous pédagogique indispensable pour trouver les réponses aux questions soulevées par l'actualité du jour.
À l'heure où l'aide publique au développement décroît et où les taux d'intérêt sur les marchés sont élevés, l'accès aux financements pour développer les entreprises africaines est capital. À la clé, la création d'emplois, de richesses et de développement… Dans ce domaine, des fonds privés à impact cherchent à développer leurs fonds et n'hésitent pas à allier financements publics et privés. Il y a 15 ans, Sidi Khalifou reprend l'entreprise familiale CDS spécialisée dans l'eau et l'énergie en Mauritanie. Elle est alors composée d'une poignée de salariés et fait un chiffre d'affaires d'environ 100 000 euros. « J'avais une vision claire sur son développement », explique l'entrepreneur. Cependant, l'ambition ne suffit pas. « Premier frein, il n'y a pas de fonds et le capital est réduit, les banques ne donnent pas de crédits de façon suffisante. Et on n'avait pas suffisamment d'expérience aussi, explique-t-il. [Le fonds d'investissement] I & P avait cette valeur ajoutée d'avoir les deux, d'avoir de l'accompagnement et du financement. Et donc je peux dire qu'ils nous ont accompagnés de très très bas pour se structurer, pour lancer nos premières commandes, pour recruter nos premières ressources humaines, les former. Et ça, c'est fondamental dans la croissance d'une entreprise. »L'entreprise compte désormais une cinquantaine d'employés et porte un chiffre d'affaires d'environ 3 millions d'euros. Dès le début, Investisseurs et Partenaires, I & P, soutient l'entreprise de Sidi Khalifou. I & P est un fonds d'investissement à un impact dédié au financement et à l'accompagnement des start-ups et PME en Afrique subsaharienne. « Ce sont des pays dans lesquels il y a une dynamique entrepreneuriale extrêmement forte. Beaucoup d'opportunités. Ce qui manque, c'est la capacité à financer ces entrepreneurs. Et donc nous, on pense qu'en apportant des fonds et en choisissant des entrepreneurs qui ont cette capacité à créer des emplois, à générer des impacts, nous pouvons aussi générer de la valeur économique et financière pour nos investisseurs », affirme Sébastien Boyer, le co-directeur d'I & P.À écouter dans 8 milliards de voisinsQue recherchent les investisseurs dans les PME africaines ?Partenariats public-privéUn pari qui fonctionne malgré la perception du risque accru qui entoure l'investissement sur le continent. Des acteurs publics, comme la Banque européenne d'investissement, soutiennent ces choix. La BEI vient de signer un nouvel engagement de 15 millions d'euros. « L'une des actions qu'on a, c'est de financer des fonds d'investissement qui eux-mêmes vont financer des actions qui nous semblent prioritaires. », souligne Ambroise Fayolle, vice-président de la BEI.« Ce qui nous semble plus important, ce n'est pas la nature publique ou privée du promoteur d'un projet, c'est plutôt ce qu'il veut faire de l'argent qu'on va lui donner. Et en l'occurrence, ce que veut faire cet investisseur, c'est de développer des actions qui sont particulièrement importantes pour nous, dans des secteurs aussi charnières que l'atténuation et l'adaptation du changement climatique et les problématiques de l'égalité hommes-femmes », insiste-t-il.Grâce à cette levée de fonds, I & P prévoit de soutenir une quinzaine d'entreprises sur le continent, avec à la clé la création de 4 000 emplois. Sidi Khalifou poursuit son expansion et souhaite poursuivre le développement de son entreprise dans plusieurs pays d'Afrique de l'Ouest.À lire aussiComment aider les petites et moyennes entreprises africaines à se financer?
Chaque mois, le coach Didier Acouetey, président d'AfricSearch, conseille un jeune entrepreneur sur ses difficultés. En deuxième partie, débat avec des patrons de PME du continent. Cette semaine, Quand les diplômés africains ne rentrent pas au pays, un gâchis pour les PME ? Partie 1 : conseils à un jeune entrepreneur- Didier Acouetey, président du cabinet AfricSearch- Baba Alimou Barry, 35 ans créateur de Fellah immobilier, entreprise de gestion, d'achat et de ventes immobilières à Conakry, Guinée. Partie 2 : Les PME agroalimentaires en Afrique : quand les diplômés africains ne rentrent pas au pays, un gâchis pour les PME ? - Régis Facia, président du groupe Top Chrono, Bénin - Didier Acouetey, président du cabinet AfricSearch.et des témoignages de jeunes diplômés. Programmation musicale : ► Toma Toma - Ruger & Tiwa Savage► Kampé - Joé Dwèt Filé.
Chaque mois, le coach Didier Acouetey, président d'AfricSearch, conseille un jeune entrepreneur sur ses difficultés. En deuxième partie, débat avec des patrons de PME du continent. Cette semaine, Quand les diplômés africains ne rentrent pas au pays, un gâchis pour les PME ? Partie 1 : conseils à un jeune entrepreneur- Didier Acouetey, président du cabinet AfricSearch- Baba Alimou Barry, 35 ans créateur de Fellah immobilier, entreprise de gestion, d'achat et de ventes immobilières à Conakry, Guinée. Partie 2 : Les PME agroalimentaires en Afrique : quand les diplômés africains ne rentrent pas au pays, un gâchis pour les PME ? - Régis Facia, président du groupe Top Chrono, Bénin - Didier Acouetey, président du cabinet AfricSearch.et des témoignages de jeunes diplômés. Programmation musicale : ► Toma Toma - Ruger & Tiwa Savage► Kampé - Joé Dwèt Filé.
Pour l'épisode de cette semaine, je reçois Martin Pannier, le cofondateur et CEO de Primo.Primo, c'est une plateforme SaaS qui ambitionne de révolutionner la gestion IT pour les PME. L'objectif est clair : simplifier et moderniser un secteur souvent critiqué pour ses processus archaïques, grâce à une approche intégrée alliant gestion de parc informatique, sécurité et logistique.Au cours de cet épisode, nous revenons sur le parcours de Martin, de ses débuts à San Francisco chez Gusto, où il a été inspiré par les défis de l'onboarding IT, jusqu'à la création de Primo en France. Nous avons discuté des étapes clés de la construction de leur produit : le choix entre construire ou intégrer des solutions existantes, la levée de fonds précieuse pour accélérer le développement, et les défis rencontrés pour offrir une expérience utilisateur optimale.Nous abordons également des sujets stratégiques passionnants, comme leur vision d'une marketplace IT, leur stratégie de go-to-market axée sur l'outbound et les perspectives de collaboration avec les infogérants, piliers historiques du marché IT des PME.Vous pouvez suivre Martin sur LinkedIn.Bonne écoute !Mentionnés pendant l'épisode :FleetDM (MDM open source)Gusto (SaaS RH, inspiration pour Primo)Rippling (Marketplace IT aux USA)ElevenLabs (SDR automatisé par IA)PayFit, Personio, HiBob (SIRH modernes intégrés avec Primo)Pour soutenir SaaS Connection en 1 minute ⏱ (et 2 secondes) :Abonnez-vous à SaaS Connection sur votre plateforme préférée pour ne rater aucun épisode
"Adopter l'intelligence artificielle ne doit plus être un défi réservé aux grandes entreprises”. C'est avec cette idée en tête que Jean-François Deldon décide avec son co-auteur de se lancer dans l'écriture d'un guide de l'IA en entreprise pour les PME. À travers des outils concrets, des guides pratiques et des témoignages, l'ouvrage accompagne les dirigeants de PME pour maîtriser le potentiel de l'IA.-----------------------------------------------------------------------SMART TECH - Le magazine quotidien de l'innovationDans SMART TECH, l'actu du numérique et de l'innovation prend tout son sens. Chaque jour, des spécialistes décryptent les actualités, les tendances, et les enjeux soulevés par l'adoption des nouvelles technologies.
Chaque mois, le coach Didier Acouetey, président d'AfricSearch, conseille un jeune entrepreneur sur ses difficultés. En deuxième partie, débat avec des patrons de PME du continent. Cette semaine, conquérir des marchés à l'exportation. Partie 1 : conseils à un jeune entrepreneur- Didier Acouetey, président du cabinet AfricSearch- Arsène Akuzwe Barhebane, créateur de Bukavu Poultry Shine, entreprise d'élevage de poulets de chair. Partie 2 : Les PME agroalimentaires en Afrique : conquérir des marchés à l'exportation- Serge Massamba Ndombele, membre du Comité de direction et chargé de la stratégie du groupe COFINA, institution financière panafricaine dédiée à la mésofinance à Abidjan en Côte d'Ivoire- Frédérique Gueï, fondatrice de Sost et co-fondatrice Sost nuts, entreprise de transformation et commercialisation de céréales et d'oléagineux naturellement sans gluten disponibles en Afrique subsaharienne, Abidjan, Côte d'Ivoire- Didier Acouetey, président du cabinet AfricSearch. Programmation musicale : ► Dekonekte - The Bongo Hop► Light Again - Lil Nas X.
Chaque mois, le coach Didier Acouetey, président d'AfricSearch, conseille un jeune entrepreneur sur ses difficultés. En deuxième partie, débat avec des patrons de PME du continent. Cette semaine, conquérir des marchés à l'exportation. Partie 1 : conseils à un jeune entrepreneur- Didier Acouetey, président du cabinet AfricSearch- Arsène Akuzwe Barhebane, créateur de Bukavu Poultry Shine, entreprise d'élevage de poulets de chair. Partie 2 : Les PME agroalimentaires en Afrique : conquérir des marchés à l'exportation- Serge Massamba Ndombele, membre du Comité de direction et chargé de la stratégie du groupe COFINA, institution financière panafricaine dédiée à la mésofinance à Abidjan en Côte d'Ivoire- Frédérique Gueï, fondatrice de Sost et co-fondatrice Sost nuts, entreprise de transformation et commercialisation de céréales et d'oléagineux naturellement sans gluten disponibles en Afrique subsaharienne, Abidjan, Côte d'Ivoire- Didier Acouetey, président du cabinet AfricSearch. Programmation musicale : ► Dekonekte - The Bongo Hop► Light Again - Lil Nas X.
Toutes les informations pour souscrire à l'introduction en bourse : Lien de l'espace investisseurs d'Odyssée Technologies : https://www.odyssee-technologies.com/ipo/pages/ Code ISIN : FR001400U4P9 Mnémonique : ALODY-- Résumé de l'épisode Les occasions de participer directement à l'économie réelle sont rares. Les grandes sociétés cotées partagent des informations sur leurs activités, mais il est souvent difficile de se projeter sur l'impact concret que nos investissements peuvent avoir sur leurs actions.Les PME régionales, qui forment le cœur du tissu économique, ne sont généralement pas cotées et restent inaccessibles aux investisseurs particuliers. Mais certaines, comme Odyssée Technologies, un sous-traitant de la mécanique de précision spécialisé dans l'aéronautique, franchissent le pas. Cette semaine, Odyssée s'introduit en bourse, et nous allons découvrir son histoire en compagnie de Christian Mary, son dirigeant.Au fil de la conversation, vous apprendrez :Pourquoi Christian a quitté, à 50 ans, un poste confortable pour reprendre une PME industrielle,Les erreurs qu'il a commises et les défis qu'il a surmontés pour pérenniser et développer l'entreprise,Le rôle des acquisitions dans sa stratégie de croissance,La gestion du besoin en fonds de roulement et de la trésorerie, un point crucial face à de grands donneurs d'ordres,Et les raisons derrière l'introduction en bourse d'une PME de 20 millions d'euros de CA, avec un plan ambitieux pour les cinq prochaines années.Cet épisode, réalisé en collaboration avec Odyssée Technologies, vous aidera à mieux comprendre le fonctionnement de la société et à évaluer l'opportunité de souscrire à son IPO. Il offre aussi des clés pour analyser une entreprise similaire. J'ai d'ailleurs mobilisé mon expérience d'analyste financier pour construire cette conversation.Je vous invite, en complément, à consulter les documents relatifs à l'introduction en bourse disponibles dans l'espace investisseur sur le site de la société (odysee-technologies.com/ipo). Attention, la souscription se clôture le 9 décembre !J'aimerais beaucoup avoir vos retours sur ce type d'épisode découverte. Si cela vous a plu et que vous souhaitez en voir d'autres, faites-le-moi savoir via Insta, LinkedIn ou par email : paco@investisseurs40.com.Notes et références sur investisseurs40.com/219 -- Aller plus loin Inscris-toi à la newsletter hebdo et ne loupe aucun apprentissage sur le podcast Pose moi une question et j'y répondrai sans fauteSuis-moi sur Instagram, YouTube ou LinkedIn -- Soutenir le podcast Laisse un commentaire 5 étoiles inspiré sur Apple podcast ou Spotify - ça m'aide beaucoup à le faire connaître ;)
Malgré son riche sous-sol, les investissements dans l'industrie extractive en Afrique restent encore modestes : entre 2018 et 2022, moins de 14 % des investissements directs étrangers mondiaux dans le secteur minier étaient à destination du continent. Les PME ivoiriennes des industries extractives — mines et hydrocarbures — souffrent d'un accès difficile aux financements, alors que le pays ambitionne de devenir un « grand exportateur » de produits miniers et pétroliers d'ici à 2030. De notre correspondante à Abidjan, 10 000 milliards de FCFA : c'est la somme investie dans le secteur minier et pétrolier en Côte d'Ivoire ces 10 dernières années. Une manne à laquelle les petites et moyennes entreprises peinent à avoir accès, face à la frilosité des investisseurs traditionnels, comme les banques nationales. Une problématique sur laquelle se sont penchés des professionnels du secteur réunis au Salon international des ressources extractives et énergétiques (Sirexe), qui s'est tenu à Abidjan du 27 novembre au 2 décembre.« Le fait de mettre les financements dans un panel au Sirexe, c'est déjà reconnaître qu'il y a un problème sur les financements, et je pense que c'est déjà un très bon début, met en avant Kamel Koné, président du groupement des Entreprises de services pétroliers et gaziers de Côte d'Ivoire et directeur général de la société Hydrodrill. Il manque encore une grande collaboration entre les établissements financiers et les acteurs du secteur que nous sommes. Il y a encore un gros travail à faire, parce que l'accès au financement reste, pour nous, une limite et peut même mettre en difficulté le contenu local dans notre pays. » Il regrette que les banques ivoiriennes ne prennent pas suffisamment de risques.« Si je prends notre groupement, par exemple, qui a 20 entreprises, il n'y en a que deux qui ont pu avoir accès à un financement, donc vous pouvez faire le calcul, ce n'est pas beaucoup. Il y a une chose que les banques ne prennent pas en compte, c'est la durée. Pour avoir un financement, on peut mettre trois, quatre mois, alors que notre industrie demande d'être réactif », détaille Kamel Koné. Besoin d'être rassuréCertains ont donc recours aux banques internationales, plus enclines à prendre des risques, et plus aptes à débloquer rapidement des liquidités. Jessica Bleu-Lainé est responsable du secteur de l'industrie minière et énergétique à la Société Générale Côte d'Ivoire : « Très souvent, ce sont des premiers marchés, deuxièmes marchés. On cherche quand même aussi à avoir un historique de la compétence, de la technicité, parce que c'est quand même un secteur qui est très technique, donc ça peut être aussi un frein. Quand on fait un financement, on cherche à se couvrir par rapport à ce financement. Est-ce que le paiement final est sûr ? Qui est-ce qui va venir payer ? Donc pour ça, on va regarder l'historique de l'entreprise. » Jessica Bleu-Lainé souligne que dans le domaine, les montants sont énormes : « C'est ça aussi qui peut expliquer un peu la réticence des banques. Une entreprise qui n'a pas réalisé ce type de marché, ou qui n'a pas d'historique, pour un premier marché, peut se retrouver avec 500 millions. Donc une entreprise qui n'a pas trop d'historique sur le secteur, ou qui débute à peine, lui prêter 500 millions à vue… Bon. »Un fonds pour soutenir le contenu localLes opérateurs ivoiriens s'efforcent de diversifier leurs sources de financement, en se tournant par exemple vers les bailleurs internationaux ou les fonds de pension. Un fonds d'investissement minier a d'ailleurs été officiellement lancé en marge du Sirexe pour financer les sous-traitants et fournisseurs de services du secteur. Une première en Afrique de l'Ouest, qui ouvre des perspectives prometteuses, se réjouit Seydou Coulibaly, le directeur des mines de Côte d'Ivoire. « On a réfléchi avec toutes les parties prenantes, les employés, les sociétés minières, les sous-traitants. Pourquoi ne pas mettre un fonds en place ? Et ce fonds mis en place, c'est la contribution au niveau des salariés, c'est la contribution au niveau des sociétés, c'est la contribution de tous ceux qui sont employés », explique le directeur.« Ce fonds qui sera mis en place va permettre de soutenir surtout le contenu local. En amont, au niveau de l'exploration minière, vu les montants très élevés, il n'est pas aisé pour les petites compagnies d'aller dans l'exploitation minière. Mais ce fonds peut aider pour la sous-traitance minière, les services et, à long terme, si ça a bien fonctionné, on pourra faire une mise à jour pour faire des applications en vue de vendre des permis », espère Seydou Coulibaly. Ce fonds permettra aussi aux salariés du secteur minier de placer une partie de leur retraite complémentaire. Leur nombre est estimé entre 12 000 et 15 000 employés en Côte d'Ivoire.À lire aussiIndustries extractives en Côte d'Ivoire: le pays veut s'imposer dans la sous-région
Vous connaissez certainement les PME. On en entend souvent parler. Ce sont les fameuses Petites et Moyennes Entreprises. Mais pour les TPE, c'est peut-être un peu plus vague…Pour en savoir plus sur l'élection syndicale des salariés des très petites entreprises et des employés à domicile : Accueil | ÉLECTION SYNDICALE TPE 2024Cet épisode a été réalisé en partenariat avec le Gouvernement. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Conseils Marketing - Des conseils concrets pour prospecter et fidéliser !
Quel kit de survie pour les PME face aux changements socio-écologiques de 2030 ? ✔️Y a-t'il déjà eu dans l'histoire passée une situation similaire où les entreprises ont dû faire face à des défis écologiques, économiques et sociétaux ? ✔️Si la nouvelle religion c'est la science, est ce que cette confiance dans le "dieu atome" ou la fée électricité ne pourrait pas nous mener vers une mauvaise voie ? ✔️A quelles contraintes allons nous faire face et comment pouvons nous les anticiper ? ✔️De manière concrète, que doit contenir le Kit de Survie d'une PME face aux contraintes et défis socio-écologiques ? Avec les vôtres, ce sont les questions que Loic Simon posera à Laurent Testot, Vincent Mignerot et Frédéric Canevet dans ce nouveau webinaire #AlterNativesForum
Les attaques informatiques sont de plus en plus fréquentes, tant pour le secteur public que privé. Les PME sont obligées de s'adapter et se retrouvent face à de nouvelles responsabilités. On en parle avec Axel LEGAY, professeur à l'UCLouvain et spécialiste en cybersécurité. Merci pour votre écoute N'hésistez pas à vous abonner également aux podcasts des séquences phares de Matin Première: L'Invité Politique : https://audmns.com/LNCogwPL'édito politique « Les Coulisses du Pouvoir » : https://audmns.com/vXWPcqxL'humour de Matin Première : https://audmns.com/tbdbwoQRetrouvez tous les contenus de la RTBF sur notre plateforme Auvio.be Retrouvez également notre offre info ci-dessous : Le Monde en Direct : https://audmns.com/TkxEWMELes Clés : https://audmns.com/DvbCVrHLe Tournant : https://audmns.com/moqIRoC5 Minutes pour Comprendre : https://audmns.com/dHiHssrEt si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement.
Cinéma, séries, musique, artisanat, mode, .... La créativité du continent africain n'est plus à démontrer. Elle pourrait aussi devenir un secteur-clé pour le développement et la création d'emplois. Nollywood, l'industrie cinématographique nigériane, est sans doute l'exemple le plus parlant du potentiel économique des industries créatives et culturelles africaines. Pour multiplier les «Nollywood» africains, la route est encore longue pour les PME. Écosystèmes balbutiants, investisseurs frileux devant le manque de chiffres sur les secteurs, manque de compétences, financements publics faibles... Les enjeux sont nombreux pour que les PME de la création puissent exprimer tout leur potentiel. Selon le groupe de réflexion, G20 Insights, les industries culturelles et créatives, ne représentent que 1% du PIB à l'échelle du continent. Comment accélérer leur développement ? Quels sont les secteurs les plus porteurs et comment convaincre décideurs publics et investisseurs de l'apport de la créativité à la croissance ? Émission délocalisée à l'occasion de l'Africa SME champions forum qui se déroule du 10 au 11 octobre 2024 à Abidjan. Avec :• Didier Acouetey, président du Cabinet AfricSearch, organisateur de l'Africa SME champions forum qui se déroule du 10 au 11 octobre 2024 à Abidjan • Fabrice Sawegnon, publicitaire, entrepreneur et directeur général de Voodoo Group, Groupe de communication d'Afrique de l'Ouest francophone. Président de plusieurs médias, notamment de Life TV, Life Radio et Elle.ci • Sidick Bayakoko, fondateur et CEO de Paradise Game, start-up ivoirienne qui évolue dans le secteur du jeu vidéo • Maryse Mbonyumutwa, co-fondatrice de l'entreprise textile Pink Mango, dont une unité de production est basée au Rwanda. Créatrice de la marque Asantii qui réunit différents designers sur le continent. Programmation musicale :► Bruises - Mortimer et Kabaka Pyramid et Lila iké► C'est ton jour - DIDI B.
Cinéma, séries, musique, artisanat, mode, .... La créativité du continent africain n'est plus à démontrer. Elle pourrait aussi devenir un secteur-clé pour le développement et la création d'emplois. Nollywood, l'industrie cinématographique nigériane, est sans doute l'exemple le plus parlant du potentiel économique des industries créatives et culturelles africaines. Pour multiplier les «Nollywood» africains, la route est encore longue pour les PME. Écosystèmes balbutiants, investisseurs frileux devant le manque de chiffres sur les secteurs, manque de compétences, financements publics faibles... Les enjeux sont nombreux pour que les PME de la création puissent exprimer tout leur potentiel. Selon le groupe de réflexion, G20 Insights, les industries culturelles et créatives, ne représentent que 1% du PIB à l'échelle du continent. Comment accélérer leur développement ? Quels sont les secteurs les plus porteurs et comment convaincre décideurs publics et investisseurs de l'apport de la créativité à la croissance ? Émission délocalisée à l'occasion de l'Africa SME champions forum qui se déroule du 10 au 11 octobre 2024 à Abidjan. Avec :• Didier Acouetey, président du Cabinet AfricSearch, organisateur de l'Africa SME champions forum qui se déroule du 10 au 11 octobre 2024 à Abidjan • Fabrice Sawegnon, publicitaire, entrepreneur et directeur général de Voodoo Group, Groupe de communication d'Afrique de l'Ouest francophone. Président de plusieurs médias, notamment de Life TV, Life Radio et Elle.ci • Sidick Bayakoko, fondateur et CEO de Paradise Game, start-up ivoirienne qui évolue dans le secteur du jeu vidéo • Maryse Mbonyumutwa, co-fondatrice de l'entreprise textile Pink Mango, dont une unité de production est basée au Rwanda. Créatrice de la marque Asantii qui réunit différents designers sur le continent. Programmation musicale :► Bruises - Mortimer et Kabaka Pyramid et Lila iké► C'est ton jour - DIDI B.
Selon la Banque mondiale, les PME représentent 90% des entreprises en Afrique subsaharienne et près de 40% du PIB de la sous-région. Malgré leur rôle indiscutable au sein du tissu économique africain, seules 20% des PME ont accès à des financements. Un manque estimé à plus de 300 milliards d'euros, qui les empêchent de changer d'échelle, de développer leurs activités voire de les maintenir. Difficultés de gestion, manque de compétences et de personnels formés, absence de garanties physiques... Les freins à l'accès au financement sont nombreux et souvent cités pour expliquer la frilosité des banques. Si le dynamisme des PME n'est plus à démontrer, sur quels critères se basent les investisseurs pour débloquer des fonds ? Et quand les banques ne suivent pas, vers qui se tourner ?Business Angels et fonds d'investissement sont-ils l'avenir du financement des PME africaines ? Émission délocalisée à l'occasion de l'Africa SME champions forum qui se déroule du 10 au 11 octobre 2024 à Abidjan. Avec :• Jean-Marc Savi De Tové, co-fondateur de Adiwale Partners, fonds de capital-investissement panafricain • Habib Koné, directeur général de la Banque Atlantique Cote d'Ivoire (BACI), présente dans les huit pays de l'Union économique et monétaire ouest-africaine (UEMOA)• Lamine Kone, directeur général de l'entreprise MCT SA (Maintenance, Climatisation et Technique) basée à Abidjan en Côte d'Ivoire, président du Groupement ivoirien du Bâtiment et des Travaux publics (GIBTP) et vice-président de la Confédération Générale des Entreprises de Côte d'Ivoire (CGECI). Programmation musicale : ► Waye - Theodort et Ckay►Traumatisé - Ayanne et Josey.
Selon la Banque mondiale, les PME représentent 90% des entreprises en Afrique subsaharienne et près de 40% du PIB de la sous-région. Malgré leur rôle indiscutable au sein du tissu économique africain, seules 20% des PME ont accès à des financements. Un manque estimé à plus de 300 milliards d'euros, qui les empêchent de changer d'échelle, de développer leurs activités voire de les maintenir. Difficultés de gestion, manque de compétences et de personnels formés, absence de garanties physiques... Les freins à l'accès au financement sont nombreux et souvent cités pour expliquer la frilosité des banques. Si le dynamisme des PME n'est plus à démontrer, sur quels critères se basent les investisseurs pour débloquer des fonds ? Et quand les banques ne suivent pas, vers qui se tourner ?Business Angels et fonds d'investissement sont-ils l'avenir du financement des PME africaines ? Émission délocalisée à l'occasion de l'Africa SME champions forum qui se déroule du 10 au 11 octobre 2024 à Abidjan. Avec :• Jean-Marc Savi De Tové, co-fondateur de Adiwale Partners, fonds de capital-investissement panafricain • Habib Koné, directeur général de la Banque Atlantique Cote d'Ivoire (BACI), présente dans les huit pays de l'Union économique et monétaire ouest-africaine (UEMOA)• Lamine Kone, directeur général de l'entreprise MCT SA (Maintenance, Climatisation et Technique) basée à Abidjan en Côte d'Ivoire, président du Groupement ivoirien du Bâtiment et des Travaux publics (GIBTP) et vice-président de la Confédération Générale des Entreprises de Côte d'Ivoire (CGECI). Programmation musicale : ► Waye - Theodort et Ckay►Traumatisé - Ayanne et Josey.
Avec : Michel Picon, président de l'U2P. - Tous les matins à 8h10, le parti pris argumenté d'un invité sur un sujet d'actualité, avec les témoignages et les réactions des auditeurs de RMC en direct au 3216.
Chaque mois, le coach Didier Acouetey, président d'AfricSearch, conseille un jeune entrepreneur sur ses difficultés. En deuxième partie, débat avec des patrons de PME du continent. Les PME dans l'agroalimentaire en Afrique : trop petites pour survivre ? Partie 1 : conseils à un jeune entrepreneur- Didier Acouetey, président du cabinet AfricSearch- Ousmanou Sheou, fondateur de l'Établissement Ousmashe, entreprise de transformation et commercialisation de céréales et tubercules en farines, Garoua, Cameroun Partie 2 : Les PME agroalimentaires en Afrique : trop petites pour survivre ? Face à des marchés et des besoins immenses, comment augmenter les volumes, créer des alliances et fabriquer des géants ?- Ayité Ajavon, directeur de Ahoenou, start-up agroalimentaire togolaise qui produit et commercialise des bouillons culinaires 100% naturels sous la marque Africube, Libreville, Gabon- Riantsoa Mialiranindra, 30 ans, ingénieur chimiste et co-fondatrice et présidente de Sakafo entreprise de transformation de fruits et légumes à Antananarivo, Madagascar- Didier Acouetey, président du cabinet AfricSearch Programmation musicale : ► Ghanaian Stallion – Finish Line (ft. Patrice)► Abou Tall – Bats toi (playlist)
Chaque mois, le coach Didier Acouetey, président d'AfricSearch, conseille un jeune entrepreneur sur ses difficultés. En deuxième partie, débat avec des patrons de PME du continent. Les PME dans l'agroalimentaire en Afrique : trop petites pour survivre ? Partie 1 : conseils à un jeune entrepreneur- Didier Acouetey, président du cabinet AfricSearch- Ousmanou Sheou, fondateur de l'Établissement Ousmashe, entreprise de transformation et commercialisation de céréales et tubercules en farines, Garoua, Cameroun Partie 2 : Les PME agroalimentaires en Afrique : trop petites pour survivre ? Face à des marchés et des besoins immenses, comment augmenter les volumes, créer des alliances et fabriquer des géants ?- Ayité Ajavon, directeur de Ahoenou, start-up agroalimentaire togolaise qui produit et commercialise des bouillons culinaires 100% naturels sous la marque Africube, Libreville, Gabon- Riantsoa Mialiranindra, 30 ans, ingénieur chimiste et co-fondatrice et présidente de Sakafo entreprise de transformation de fruits et légumes à Antananarivo, Madagascar- Didier Acouetey, président du cabinet AfricSearch Programmation musicale : ► Ghanaian Stallion – Finish Line (ft. Patrice)► Abou Tall – Bats toi (playlist)
durée : 00:59:43 - Le 13/14 - par : Bruno Duvic - Nous recevons aujourd'hui Caroline Arnould, Directrice Générale de CAFPI (courtier en prêt immobilier et rachat de crédits) et Jean-François Labbé de l'APIA (Administrateurs Professionnels Indépendants et Associés) pour décrypter les incertitudes que les Législatives font peser sur notre économie.
Aujourd'hui nous partons a la rencontre de Alex Chupin, Fondateur de Tech My PME, entreprise qui offre aux PME des applications métier sur-mesure qui permettent de centraliser tous les outils dont elles ont besoin pour piloter efficacement leurs activités (facturation, projets, CRM, tâches, documents, ticketing, etc.).Dans cet épisode Alex nous partage son parcours et comment il a eu l'idée de lancer sa société en Janvier 2023. Bonne écoute!
Ce mardi 21 novembre, le projet ETIncelles, un programme d'Emmanuel Macron pour aider les PME à débloquer les verrous administratifs des PME et à exporter, ainsi que le recyclage de l'Allemagne de sa monnaie après la suppression de 60 milliards de dollars de crédit, ont été abordés par Jean-Marc Daniel, professeur émerite à l'ESCP, Roland Gillet, professeur d'économie financière à l'Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne et à l'Université Libre de Bruxelles Solvay, et André Loesekrug-Piétri, président de Jedi et fondateur du fonds ACapital, dans l'émission Les Experts, présentée par Nicolas Doze sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.