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In this week's episode of then & now, guest host Professor Fernando Pérez-Montesinos is joined by Carlos Pérez Ricart, Assistant Professor in International Relations at the Center for Economic Research and Teaching (CIDE) in Mexico City, to discuss Mexico's Dirty War—an internal conflict from the 1960s to the 1980s between the Institutional Revolutionary Party (PRI)-ruled government and left-wing student and guerrilla groups. As one of the four members of Mexico's truth commission from 2021 to 2024, Carlos draws on the findings of this initiative to examine the country's systematic use of violence and repression, as well as the most significant revelations from the commission's comprehensive reports.Carlos situates Mexico's experience within the broader context of Latin America's wave of repressive military regimes during the Cold War, which implemented widespread crackdowns on real and perceived political dissidents. While countries across the region began confronting these legacies in the late 1980s and early 1990s, the Mexican government remained largely unresponsive to calls for a truth commission, despite persistent demands from activists and human rights organizations. In 2021, the administration of President Andrés Manuel López Obrador (AMLO) finally initiated a formal process to address past abuses, creating a truth commission tasked with conducting interviews and scouring archives for evidence of past violence. This conversation considers the complexities of uncovering evidence implicating powers behind the formation of the truth commission itself and provides critical insights into the mechanisms of state violence, the politics of memory, and the challenges of transitional justice in contemporary Mexico.Carlos Pérez Ricart is an assistant professor in International Relations at the Center for Research and Teaching in Economics (CIDE) in Mexico City. Prior to joining CIDE, he was a postdoctoral fellow at the University of Oxford, where he worked at both the History Faculty and the Latin American Centre, St. Antony's College. His research and teaching interests include the relationship between Mexico and the United States, security and organized crime, arms trafficking, drug policies. He is co-editor of the book "Gun Trafficking and Violence: From The Global Network to The Local Security Challenge" (Palgrave, St. Antony's College 2021). Fernando Pérez-Montesinos is an associate professor in the Department of History at UCLA. His research focuses on the history of modern Mexico with a focus on the nineteenth century and the Mexican Revolution. His book, "Landscaping Indigenous Mexico: The Liberal State and Capitalism in the Purépecha Highlands" (UT Press, 2025), focuses on the Purépecha people of Michoacán, Mexico, and examines why and how long-standing patterns of communal landholding changed in response to liberal policies, railroad expansion, and the rise of the timber industry in Mexico.Further Reading:Fifty Years of Silence: Mexico Faces the Legacy of its Dirty War, GWU National Security ArchiveInquiry into Mexico's ‘dirty war' obstructed by military and other agencies, board says, the Guardian
Is Mexico Banning Open Pit Mining Now That Claudia Scheinbaum Has Taken Over? Former Mexican President Andrés Manuel López Obrador (AMLO) took a hard line on the mining sector, including pushing for a ban on open pit mining. Now that Claudia Sheinbaum has taken over, where does that leave the mining industry? Steve Cope of Silver Viper Minerals, who has an active project in the pro-mining state of Sonora gives an update on the latest changes to the Mexican mining laws. - Get access to Arcadia's Daily Gold and Silver updates here: https://goldandsilverdaily.substack.com/ - Follow Arcadia Economics on twitter at: https://x.com/ArcadiaEconomic - To get on the waiting list for your very own ´Silver Chopper Ben´ .999 fine silver statue click here: https://arcadiaeconomics.com/get-a-chopper-ben/ - To get your paperback or audio copy of The Big Silver Short go to: https://arcadiaeconomics.com/thebigsilvershort/ - Listen to Arcadia Economics on your favorite Podcast platforms: Spotify - https://open.spotify.com/show/75OH2PpgUpriBA5mYf5kyY Apple - https://podcasts.apple.com/us/podcast/arcadia-economics/id1505398976 - #silver #silverprice And remember to get outside and have some fun every once in a while!:) (URL0VD) This video was sponsored by Silver Viper Minerals, and Arcadia Economics does receive compensation. For our full disclaimer go to: https://arcadiaeconomics.com/disclaimer-silver-viper-minerals/Subscribe to Arcadia Economics on Soundwise
This video was originally released on Patreon 1 week ago. If you want to see the videos as soon as they come out, join the Patreon here: https://www.patreon.com/PeterZeihan Mexico's newly elected president, Claudia Sheinbaum, is settling into her new digs. Despite her qualifications and experience, will her leadership actually look all that different from former President Andrés Manuel López Obrador (AMLO)? Full Newsletter: https://mailchi.mp/zeihan/if-you-think-mexicos-new-government-is-a-problem-wait-until-you-see-its-solutions
En su colaboración para MVS Noticias con Luis Cárdenas, el periodista Ezra Shabot reflexionó sobre el último día del sexenio del presidente Andrés Manuel López Obrador (AMLO), destacando la peculiaridad de este momento en la política mexicana.See omnystudio.com/listener for privacy information.
En entrevista para MVS Noticias con Luis Cárdenas, Luis Estrada, socio director de Spin, compartió su análisis sobre la última conferencia matutina del presidente Andrés Manuel López Obrador (AMLO), destacando el fin de un proyecto que ha tenido una profunda repercusión en el ámbito político y mediático del país.See omnystudio.com/listener for privacy information.
Le 1ᵉʳ octobre, la première présidente élue dans l'histoire du Mexique, Claudia Sheinbaum, accédera au pouvoir. Elle prend la succession du très populaire Andrés Manuel López Obrador (AMLO). Claudia Sheinbaum est le personnage clé du nouveau livre d'Hélène Combes, directrice de recherche au CNRS. Dans son ouvrage De la rue à la présidence. Foyers contestataires à Mexico, publié aux éditions du CNRS, la spécialiste du Mexique étudie la naissance du mouvement de gauche Morena, de la première grande mobilisation jusqu'à la victoire du président AMLO en 2018. RFI : Dans votre livre, vous vous penchez sur la mobilisation des militants de gauche à Mexico. Une mobilisation qui débouche en 2018 sur l'élection de Andrés Manuel López Obrador (AMLO) à la présidence mexicaine. Vous étiez en immersion au sein du mouvement qui a porté AMLO au pouvoir. Quelle est la clé de son succès ?Hélène Combes : Ce que je montre dans mon livre, c'est l'histoire d'une victoire. Mais une victoire qui a pris du temps, en fait, douze ans.Dans mon ouvrage, je suis huit personnages, quatre cadres politiques, dont une écrivaine et quatre militants de quartiers populaires sur toute cette période. Et je montre comment c'est un long travail d'organisation qui a été fait à l'échelle de quartiers populaires, la création d'un journal qui va devenir un organe d'éducation populaire et qui va permettre de réactiver des réseaux militants qui étaient parfois anciens, qui étaient liés notamment aux mobilisations urbaines en particulier, qui ont été très intenses après le tremblement de terre de 1985 et entre 2006 et 2018. López Obrador, mais aussi les gens qui l'entourent, notamment ces cadres politiques que je suis, vont faire tout un travail territorial dans les quartiers de Mexico.Ce que je montre aussi, c'est que ce travail est variable en fonction des quartiers de cette ville, Mexico, qui est une ville immense, une des plus grandes villes du monde, où il y a des histoires urbaines très contrastées. Et donc on ne peut comprendre finalement le succès de ces mobilisations, puis de la transformation en parti, puis de la victoire à l'élection présidentielle — qui s'appuie en grande partie sur Mexico, qui concentre une partie de l'électorat — sans revenir à une histoire très spécifique et différente des quartiers. Il y a des quartiers du centre historique de Mexico, plutôt coloniaux, ou des quartiers d'autoconstruction à flanc de volcan, des terrains qui ont été occupés par des migrants ruraux dans les années 1970 autour de réseaux amicaux, familiaux, villageois et qui ont impliqué des formes de sociabilités populaires très spécifiques, qui sont reprises dans les mobilisations.À écouter aussiLe Chiapas, un État mexicain qui s'enfonce dans la violenceEst-ce que cette mobilisation est un phénomène urbain ou est-ce qu'on observe cette même ferveur un peu partout dans le pays ?Ce qui est très intéressant dans le contexte du Mexique, c'est qu'il y a des poches de très fortes politisations, aussi bien en milieu urbain qu'en milieu rural. J'avais travaillé sur ces questions-là précédemment dans un autre ouvrage intitulé Trajectoires de gauche au Mexique et où je montrais que des dirigeants de mouvements sociaux, dans des zones rurales notamment, par exemple dans l'État du Guerrero, avaient aussi très fortement contribué à la création d'un parti de gauche, sous une forme qui est assez classique en Amérique latine. Cette forme de parti, j'ai commencé à l'étudier à la fin des années 1990, elle est maintenant considérée comme classique, c'est celle du « parti-mouvement », donc avec une très forte articulation entre le tissu associatif, des mobilisations, des mouvements sociaux et des appareils partisans. Et donc là, dans cet ouvrage De la rue à la présidence. Foyers contestataires à Mexico, je me centre plus particulièrement sur le contexte urbain.Vous avez commencé votre enquête en 2006. Dix-huit ans plus tard, est-ce que vous diriez que la ferveur de la mobilisation pro-Morena (le parti d'AMLO et de Claudia Sheinbaum) reste intacte ou il y a quelque chose qui a changé ?Déjà, [le parti] Morena a remporté l'élection présidentielle du 2 juin avec presque 60 % des voix et a vu accéder au poste suprême au Mexique une femme, Claudia Sheinbaum, qui est l'un de mes personnages. J'ai commencé à suivre Claudia Sheinbaum dès 2006. Je l'ai rencontrée à plusieurs reprises. J'ai suivi des mobilisations dont elle a été la principale artisane, notamment ce qu'on appelait la « mobilisation des adelitas », qui est une mobilisation qui a été organisée contre la privatisation de la compagnie Pemex et dont elle était à la tête. C'étaient des brigades de femmes qui ont d'abord empêché le vote de la loi vue comme une privatisation. Ensuite, elles ont réalisé tout un travail territorial. Et donc Claudia Sheinbaum était la figure de proue de cette mobilisation. Donc, il y a quand même une très forte continuité de mon point de vue.Cette mobilisation tient beaucoup au charisme, en tout cas au début, mais peut-être encore aujourd'hui, du président sortant AMLO, qui reste donc très populaire à la fin de son mandat qui s'achève dans quelques jours. Comment peut-on expliquer ce charisme ?Alors moi, justement, je prends complètement le contrepied de ça dans mon ouvrage.Vous dites que ce n'est pas que le charisme.C'est quelque chose qui est construit — ce qui est complètement invisibilisé, parce que les médias ne regardent que les conférences de López Obrador. J'ai suivi pendant des années le travail d'organisation qui a été fait par López Obrador de manière extrêmement incertaine. Il y a des moments où ce n'était plus du tout couvert par les médias. Je suis partie en tournée avec lui, il n'y avait quasiment plus de journalistes qui suivaient son action. Et moi, ce que je voyais, c'était quelque chose de très différent du charisme, c'était un travail très systématique, un travail de quadrillage territorial. Il a sillonné plusieurs fois le pays en allant dans chacune des municipalités du pays, il a construit des bases de soutien... Et donc, ce que j'essaye de montrer, c'est qu'on ne peut pas comprendre la construction d'un nouveau parti, Morena, la place qu'a occupée López Obrador, sans ce travail qui était en fait très besogneux. Il a été très présent dans des médias alternatifs. Ce sont ses conférences, tous les matins, qui ont contribué à ce qu'il donne le ton sur l'agenda politique. Et il a été suivi en ça d'une certaine manière par les journalistes, même ceux qui étaient ses détracteurs. C'est lui qui a toujours dicté l'agenda et donc ça a aussi sans doute joué dans le maintien de sa popularité. Mais surtout, pendant son mandat, la pauvreté a diminué de 8 %. Je pense qu'il faut plutôt regarder de ce côté-là que de son soi-disant charisme qui, de mon point de vue, est vraiment à relativiser.Alors un charisme à relativiser et un dévouement quand même des militants, un certain culte de sa personne, de ce que j'ai pu voir moi-même en ayant couvert les élections au Mexique en juin dernier. Ça fait un peu penser à Lula au Brésil. Est-ce qu'il y a des parallèles entre le succès de Morena et celui du Parti des travailleurs au Brésil ?C'est en partie une histoire parallèle. C'est la même génération de militants, ce sont ces militants qui se sont formés dans les années 1970 pour beaucoup. Il y a eu d'autres générations qui sont venues renforcer les rangs de la gauche. Donc, ça, c'est un premier point de parallèle. Ce sont des histoires partisanes aussi qui ont des points de similitude. Le Parti des travailleurs s'est beaucoup appuyé également sur les réseaux associatifs et sur les mouvements sociaux. Donc, là, il y a aussi un parallèle important. Et malgré l'histoire houleuse de Lula ces dernières années, il y a cette image aussi de figure morale, on va dire, de la gauche, de probité, de présidents qui sont proches des milieux populaires. Dans la pratique, Lula en est issu. López Obrador est plutôt issu des classes moyennes de province, mais il a un parler qui est très populaire, il n'a jamais gommé son accent régional. Il y a des parallèles, en effet.À lire aussi Claudia Sheinbaum, une scientifique de gauche à la tête du MexiqueVous avez parlé de Claudia Sheinbaum, que vous avez suivie pendant des années. C'est effectivement une personne clé de votre livre. Elle succédera à AMLO dans quelques jours, le 1ᵉʳ octobre. Est-ce que vous pourriez nous décrire un peu sa personnalité ?Dans les moments où je l'ai fréquentée — j'imagine que les derniers événements l'ont sans doute transformée —, c'était quelqu'un d'extrêmement concis, précis. Elle est docteure, spécialisée dans les questions d'énergie. Et puis elle a beaucoup travaillé sur le climat. C'est une universitaire, donc qui est plutôt issue, elle, des classes moyennes intellectuelles de Mexico. Et ce qui est intéressant, c'est qu'elle a été beaucoup, de mon point de vue, transformée par ces mobilisations auxquelles elle a participé depuis 2006. Elle avait déjà participé à des mobilisations antérieures. Elle avait participé à une mobilisation très importante en 1988 de l'Université nationale autonome comme étudiante. Mais en fait, toutes les mobilisations qui ont succédé après 2006 lui ont donné un ancrage dans les quartiers populaires et lui ont appris aussi finalement à créer ce lien plus personnalisé. Donc, par exemple, en avril 2023, je l'ai suivie dans la visite de centres communautaires qu'elle a créés, 300 centres communautaires à l'échelle de Mexico et où elle allait rencontrer les usagers, donc très à l'écoute. Le responsable du programme me disait : c'est très intéressant parce qu'elle ne vient pas pour faire des discours, ce qui est un peu le style de López Obrador, elle vient pour écouter les gens. J'ai passé l'après-midi avec elle, et durant cet après-midi, elle a parlé avec des jeunes qui avaient été déscolarisés, des mères de famille, des jeunes enfants, avec cette attitude finalement d'écoute, de comprendre la situation de ses administrés. Donc, un style quand même très différent de López Obrador.Et à l'époque, aviez-vous pensé que, éventuellement, elle pourrait devenir un jour présidente ?À l'époque de la « mobilisation des adelitas », pas du tout, et d'ailleurs, les journalistes non plus. Parce que quand j'ai cherché une photo pour la couverture de mon ouvrage, j'ai voulu une photo d'elle dans la « mobilisation des adelitas » et il n'y en avait aucune. Donc, elle était complètement invisible aussi pour la presse, même pour la presse mexicaine.
En entrevista para MVS Noticias con Luis Cárdenas, Guillermo Valdés, exdirector del Centro de Investigación y Seguridad Nacional (CISEN), ofreció un análisis crítico sobre la violencia durante el gobierno de Andrés Manuel López Obrador (AMLO).See omnystudio.com/listener for privacy information.
En entrevista para MVS Noticias con Luis Cárdenas, Guillermo Valdés, exdirector del Centro de Investigación y Seguridad Nacional (CISEN), ofreció un análisis crítico sobre la violencia durante el gobierno de Andrés Manuel López Obrador (AMLO). En su colaboración para MVS Noticias con Luis Cárdenas, el periodista Óscar Balmen compartió su perspectiva sobre la situación del crimen organizado durante el gobierno de AMLO. En entrevista para MVS Noticias con Luis Cárdenas, Leyre Batalla, coordinadora de seguimiento y análisis de las conferencias mañaneras de AMLO para este espacio informativo, compartió detalles sobre su labor diaria al monitorear la comunicación del presidente y lo que ha encontrado en los últimos seis años. En entrevista para MVS Noticias con Luis Cárdenas, Sebastián Grundberger, politólogo alemán y autor del libro ‘La Galaxia Rosa', discutió los desafíos que enfrenta la democracia en América Latina. En su colaboración para MVS Noticias con Luis Cárdenas, la académica Dalila Carreño, de la Universidad Anáhuac, compartió un análisis sobre el uso de herramientas tecnológicas en México y su comparación con otros países. See omnystudio.com/listener for privacy information.
En su colaboración en MVS Noticias con Luis Cárdenas, la analista de temas internacionales, Brenda Estefan, ofreció un análisis crítico del gobierno de Andrés Manuel López Obrador (AMLO) en materia internacional y abordó el reciente conflicto entre México y España, provocado por la decisión de la presidenta electa de no invitar al rey Felipe VI a su toma de posesión.See omnystudio.com/listener for privacy information.
En su colaboración para MVS Noticias con Luis Cárdenas, el periodista Ezra Shabot analizó el futuro de Rogelio Ramírez de la O, actual Secretario de Hacienda, y su continuidad en el mismo cargo bajo el mandato de la presidenta electa, Claudia Sheinbaum.En su colaboración en MVS Noticias con Luis Cárdenas, la analista de temas internacionales, Brenda Estefan, ofreció un análisis crítico del gobierno de Andrés Manuel López Obrador (AMLO) en materia internacional y abordó el reciente conflicto entre México y España, provocado por la decisión de la presidenta electa de no invitar al rey Felipe VI a su toma de posesión.En entrevista para MVS Noticias con Luis Cárdenas, Fernando Garza, Chief Risk Officer de Engen Capital, analizó los retos y oportunidades que enfrenta el país en el contexto del nearshoring, subrayando la importancia de la optimización de las cadenas de suministro y la necesidad de inversiones tanto públicas como privadas.En entrevista para MVS Noticias con Luis Cárdenas, Luis Antonio Merino, presidente de la Asociación Mexicana de Usuarios de Armas, expresó su preocupación por los posibles efectos de la reforma en materia de armas de fuego.En las últimas semanas, Culiacán, Sinaloa, ha sido el epicentro de una violenta confrontación entre dos facciones del Cártel de Sinaloa: Los Chapitos y los seguidores de Ismael "El Mayo" Zambada.En el marco del Día Mundial del Alzheimer, el Dr. Raúl Medina Rioja, neurólogo destacado, compartió sus conocimientos sobre esta enfermedad en una entrevista para MVS Noticias con Luis Cárdenas.See omnystudio.com/listener for privacy information.
En entrevista para MVS Noticias con Luis Cárdenas, el consultor en política de salud pública, Xavier Tello, ofreció un análisis contundente sobre el estado actual de la salud en México bajo la administración de Andrés Manuel López Obrador (AMLO). En mesa de debate para MVS Noticias con Luis Cárdenas, los analistas Hernán Gómez y Juan Ignacio Zavala discutieron la polémica generada por la carta de la presidenta electa Claudia Sheinbaum en respuesta a la ausencia del Rey Felipe VI en su toma de posesión. See omnystudio.com/listener for privacy information.
En entrevista para MVS Noticias con Luis Cárdenas, el consultor en política de salud pública, Xavier Tello, ofreció un análisis contundente sobre el estado actual de la salud en México bajo la administración de Andrés Manuel López Obrador (AMLO).See omnystudio.com/listener for privacy information.
Mexican President Andrés Manuel López Obrador (AMLO) recently called on former security chief Genaro García Luna to present concrete evidence backing his allegations that AMLO has ties to drug cartels. This comes after García Luna, who is awaiting sentencing for accepting bribes from cartels, claimed in a letter that he has proof, including videos and audios, of López Obrador's connections to organized crime, specifically the Sinaloa Cartel.In response, AMLO challenged García Luna to release this alleged evidence, sarcastically suggesting that García Luna could ask his "friends at the DEA" for help in making the materials public. García Luna's accusations also extend to the claim that the Mexican government provided false information to the U.S. about his case, which adds a layer of international tension as U.S. authorities are also involved in the investigation.The timing of these allegations is particularly significant, as García Luna is set to be sentenced in October 2024, and AMLO's term as president is nearing its end.(commercial at 7:24)to contact me:bobbycapucci@protonmail.comsource:Mexican president calls on ex-security secretary to show proof of alleged cartel ties | AP News
Mexican President Andrés Manuel López Obrador (AMLO) recently called on former security chief Genaro García Luna to present concrete evidence backing his allegations that AMLO has ties to drug cartels. This comes after García Luna, who is awaiting sentencing for accepting bribes from cartels, claimed in a letter that he has proof, including videos and audios, of López Obrador's connections to organized crime, specifically the Sinaloa Cartel.In response, AMLO challenged García Luna to release this alleged evidence, sarcastically suggesting that García Luna could ask his "friends at the DEA" for help in making the materials public. García Luna's accusations also extend to the claim that the Mexican government provided false information to the U.S. about his case, which adds a layer of international tension as U.S. authorities are also involved in the investigation.The timing of these allegations is particularly significant, as García Luna is set to be sentenced in October 2024, and AMLO's term as president is nearing its end.(commercial at 7:24)to contact me:bobbycapucci@protonmail.comsource:Mexican president calls on ex-security secretary to show proof of alleged cartel ties | AP NewsBecome a supporter of this podcast: https://www.spreaker.com/podcast/the-epstein-chronicles--5003294/support.
Mexican President Andrés Manuel López Obrador (AMLO) recently called on former security chief Genaro García Luna to present concrete evidence backing his allegations that AMLO has ties to drug cartels. This comes after García Luna, who is awaiting sentencing for accepting bribes from cartels, claimed in a letter that he has proof, including videos and audios, of López Obrador's connections to organized crime, specifically the Sinaloa Cartel.In response, AMLO challenged García Luna to release this alleged evidence, sarcastically suggesting that García Luna could ask his "friends at the DEA" for help in making the materials public. García Luna's accusations also extend to the claim that the Mexican government provided false information to the U.S. about his case, which adds a layer of international tension as U.S. authorities are also involved in the investigation.The timing of these allegations is particularly significant, as García Luna is set to be sentenced in October 2024, and AMLO's term as president is nearing its end.(commercial at 7:24)to contact me:bobbycapucci@protonmail.comsource:Mexican president calls on ex-security secretary to show proof of alleged cartel ties | AP News
Con su permiso, en este episodio hacemos un balance sobre el estado que guarda la seguridad en México al final del sexenio del Presidente Andrés Manuel López Obrador (AMLO) y de la estrategia “abrazos, no balazos”. Carlos Elizondo, Beata Wojna y Sandra Ley, miembro Faculty of Excellence del Tecnológico de Monterrey, analizan el enorme peso del Ejército en las labores de seguridad pública y señalan que la llamada estrategia de “abrazos, no balazos” nunca existió como tal. Además, profundizan sobre el abandono de las policías locales y la influencia del crimen organizado en los procesos electores que hubo este sexenio. Por último la doctora Sandra Ley hace un pronóstico de qué se avecina para el sexenio de Claudia Sheinbaum en materia de seguridad.
Con su permiso, en este episodio hacemos un balance sobre el estado que guarda la seguridad en México al final del sexenio del Presidente Andrés Manuel López Obrador (AMLO) y de la estrategia “abrazos, no balazos”. Carlos Elizondo, Beata Wojna y Sandra Ley, miembro Faculty of Excellence del Tecnológico de Monterrey, analizan el enorme peso del Ejército en las labores de seguridad pública y señalan que la llamada estrategia de “abrazos, no balazos” nunca existió como tal. Además, profundizan sobre el abandono de las policías locales y la influencia del crimen organizado en los procesos electores que hubo este sexenio. Por último la doctora Sandra Ley hace un pronóstico de qué se avecina para el sexenio de Claudia Sheinbaum en materia de seguridad.
En mesa de debate de MVS Noticias con Luis Cárdenas, los analistas políticos Hernán Gómez y Juan Ignacio Zavala discutieron la reciente reforma al Poder Judicial y su impacto en el sexenio de Andrés Manuel López Obrador (AMLO) y el futuro de Claudia Sheinbaum, próxima presidenta de México.See omnystudio.com/listener for privacy information.
En su colaboración para MVS Noticias con Luis Cárdenas, el periodista Ezra Shabot abordó la "obsesión" del presidente Andrés Manuel López Obrador (AMLO) con el Poder Judicial, el cual ha sido un tema central en la agenda de su gobierno en los últimos meses.See omnystudio.com/listener for privacy information.
Con el pretexto de un 'mejor acceso a la justicia', la reforma judicial que promueve el presidente Andrés Manuel López Obrador (AMLO) tiene como objetivo la 'concentración del poder', sostiene José Andrés Sumano Rodríguez, profesor del Colegio de la Frontera Norte de México. Los jueces tendran que hacer campaña, lo cual comporta ciertos riesgos, explica Sumano. Miles de estudiantes en México se manifestaron el fin de semana en rechazo a la reforma judicial propuesta por el gobierno, argumentando que podría comprometer la independencia del poder judicial. La iniciativa plantea que jueces y magistrados sean elegidos mediante voto popular, con la posibilidad de ratificación cada nueve años.Si bien el sistema judicial mexicano tiene fallas, José Andrés Sumano Rodríguez, profesor del Colegio de la Frontera Norte de México, se muestra escéptico sobre las soluciones que plantea la reforma judicial que impulsa AMLO."Sí, el sistema de justicia tiene fallas. Es un sistema lento. No es eficiente. Existen casos de corrupción, en particular en lo que corresponde a las fiscalías. Sin embargo, la propuesta de reforma judicial del presidente López Obrador busca, bajo el paraguas de democratizar el sistema de justicia, la elección de jueces y ministros. Es decir, mandar a todos los jueces y magistrados a buscar el voto. Todos ellos tendrán que hacer campaña bajo la premisa de que, supuestamente, si son electos popularmente, serán más eficientes y menos corruptos. Esto, por supuesto, no es cierto. No hay evidencia de ello", dice a RFI José Andrés Sumano Rodríguez, profesor del Colegio de la Frontera Norte de México.Narcos podrían hacer elegir jueces afines¿Existe un riesgo de que narcotraficantes puedan participar también en estas campañas para hacer elegir jueces a su medida?"Sí, claro que hay un riesgo. Al final de cuentas, quien quiera aspirar a un puesto de elección popular tendrá que hacer campaña. Las campañas cuestan dinero y requieren de movilización de personas. En México, algunas de las estructuras con mayor capacidad económica y amplio dominio territorial son los grupos criminales. Esos grupos criminales, en el marco de las nuevas reglas que se están proponiendo, seguramente financiarán la elección de jueces y ministros afines a ellos", sostiene el profesor Sumano.Según él, de hecho, esta práctica ya existe y da como ejemplo el caso del cártel de Sinaloa, que "operó abiertamente en el proceso electoral. Los narcotraficantes podrían hacerlo en el caso de los jueces. Pero también podrían hacerlo grandes empresas", opina."Esta propuesta que plantea el presidente López Obrador favorece a varios grupos de poder. En cambio, si hay algo que está muy alejado de su objetivo, es que sirva para mejorar el acceso a la justicia", concluye Sumano.
En su colaboración para MVS Noticias con Luis Cárdenas, el consultor en economía Pedro Tello Villagrán ofreció un análisis crítico del Sexto Informe de Gobierno del presidente Andrés Manuel López Obrador (AMLO).See omnystudio.com/listener for privacy information.
En su colaboración para MVS Noticias con Luis Cárdenas, el analista político Ezra Shabot reflexionó sobre el impacto del Sexto Informe de Gobierno de Andrés Manuel López Obrador (AMLO) y las protestas en contra de la reforma al Poder Judicial, describiendo este momento como un punto de inflexión en la historia política del país.See omnystudio.com/listener for privacy information.
En entrevista para MVS Noticias con Luis Cárdenas, Gerónimo Gutiérrez, ex embajador de México en Estados Unidos, ofreció una reflexión profunda sobre el anuncio del presidente Andrés Manuel López Obrador (AMLO) de "poner en pausa" la relación con la Embajada de Estados Unidos.See omnystudio.com/listener for privacy information.
En entrevista para MVS Noticias con Manuel López San Martín, Luciana Wainer, colaboradora de MVS Noticias, habló sobre que, la droga en México registra un aumento de consumo. Wainer señaló que, según un informe de la Comisión Nacional de Salud Mental y Adicciones, el consumo de metanfetaminas ha experimentado un alarmante aumento del 400 por ciento en los últimos diez años. "El informe revela que las metanfetaminas han crecido de manera exponencial. Asimismo, los casos de fentanilo han pasado de una decena en 2019 a más de 400 en 2023”, destacó Wainer. ¿Qué camino ha tomado la política de drogas en el país? En respuesta a esta crisis, se aprobó recientemente una reforma que eleva a rango constitucional las prohibiciones en el ámbito de drogas sintéticas. "Este panorama plantea la pregunta de qué medidas concretas se están tomando para enfrentar el problema", añadió. Adriana Muro, Directora Ejecutiva de "Elementa," aportó una perspectiva crítica sobre los cambios en la política de drogas. Muro recordó que al inicio de la administración de Andrés Manuel López Obrador (AMLO) se prometió una reforma en la política de drogas, pero observó que, en realidad, se ha fortalecido el enfoque bélico. "En el plan C, del que tanto se habla, se ha pasado por alto una importante cuestión: la elevación a nivel constitucional de la prohibición del fentanilo", dijo Muro. ¿Cuál es una de las principales problemáticas en el país respecto a las drogas? Uno de los mayores retos identificados es el aumento de las sobredosis, especialmente debido al fentanilo. Alfonso Chávez del Programa de Reducción de Daños en Tijuana, destacó la falta de recursos necesarios para combatir este problema. "El fentanilo ha llevado a un incremento en las sobredosis, y la falta de naloxona, un medicamento crucial para revertir estas sobredosis, es una gran preocupación”, explicó Chávez. Elementa ha desarrollado una radiografía general sobre el tema, proporcionando información valiosa para entender la complejidad del problema. "Hay tantos ángulos cuando hablamos de drogas. La situación del fentanilo, por ejemplo, tiene implicaciones internacionales, especialmente con Estados Unidos. Este problema no solo afecta la salud y la criminalización, sino también aspectos de género e ingresos", concluyó Wainer.See omnystudio.com/listener for privacy information.
En entrevista para MVS Noticias con Luis Cárdenas, María Amparo Casar, presidenta de Mexicanos Contra la Corrupción y la Impunidad (MCCI), habló con Sheila Amador sobre las recientes acusaciones del presidente Andrés Manuel López Obrador (AMLO).See omnystudio.com/listener for privacy information.
En entrevista para MVS Noticias con Juan Manuel Jiménez en ausencia de Manuel López San Martín, Ezra Shabot, colaborador de MVS Noticias, habló sobre que, el presidente insiste que EU no da información sobre el caso Zambada. Shabot comentó que la insistencia del presidente Andrés Manuel López Obrador (AMLO) en que Estados Unidos no está proporcionando información sobre el caso Zambada refleja una situación desconcertante. "AMLO está haciendo maromas, está desconcertado bajo el principio de que probablemente los norteamericanos ya no participan directamente en la lucha contra el narco en México", señaló Shabot. Este cambio de dinámica podría marcar "una especie de vuelta de tuerca en las relaciones México-EU". ¿Hay una versión oficial por el caso de El Mayo Zambada? El colaborador de MVS Noticias también cuestionó la falta de claridad en torno al involucramiento de las agencias estadounidenses. "No dan información, hay muchas versiones, y no se puede asumir oficialmente lo sucedido", afirmó. Shabot hizo hincapié en que la presencia de agentes estadounidenses que se llevaron a Zambada y el acuerdo hecho sin la participación de la DEA es incierta. "La prensa norteamericana dice que esta vez fue el FBI y no la DEA", añadió. ¿La cooperación en seguridad México-EU ha cambiado? En el pasado, la colaboración entre México y Estados Unidos en la lucha contra el narcotráfico se había percibido como un esfuerzo conjunto. "En otro momento, lo que decía el presidente sobre subordinación era colaboración entre las partes, un juego de dos", explicó Shabot. Sin embargo, la percepción de soberanía ha cambiado a medida que los cárteles han crecido y complicaron la cooperación bilateral. Shabot también abordó las recientes críticas del presidente sobre la soberanía y la colaboración. "Parece que, en el concepto de soberanía, misma que se ha visto afectada por el crecimiento de los cárteles, el presidente está inmerso en esa temática". A pesar de la especulación y los análisis en torno al tema, Shabot opinó que "lo que sí es cierto es que el gobierno de Estados Unidos está armando una estrategia de control de daño".See omnystudio.com/listener for privacy information.
En entrevista para MVS Noticias con Juan Manuel Jiménez en ausencia de Manuel López San Martín, Ana Lilia Moreno, coordinadora del programa de regulación y competencia de México Evalúa, habló sobre la desaparición de organismos autónomos. Moreno subrayó que los organismos autónomos juegan un papel crucial en una economía de la magnitud de México. "Son importantes en el contexto de una economía como la mexicana, estamos en el lugar 15, somos una economía potente, requiere instituciones imparciales y profesionales para resolver problemas complejos, como el combate a monopolios o de transparencia", afirmó. Según Moreno, la existencia de estos órganos es esencial para mantener la equidad y la competencia en el mercado. ¿El INAI es importante para los mexicanos? En el marco de una democracia, la transparencia es fundamental. "Vivimos en una democracia donde toda información debe ser pública, excepto la de Seguridad Nacional o que ponga en peligro la vida de terceros. El tener un órgano garante de esa información es muy relevante", destacó Moreno, subrayando el papel crucial que juegan instituciones como el Instituto Nacional de Transparencia, Acceso a la Información y Protección de Datos Personales (INAI). Moreno también analizó el impacto de la percepción pública sobre el gasto en estos organismos. Comentó que el presidente Andrés Manuel López Obrador (AMLO) ha logrado conectar con la población a través de su enfoque en las necesidades y el poder adquisitivo de las familias. AMLO conecta con el pueblo, pero ¿para bien? "AMLO tiene un don para conectar con el pueblo, con la necesidad de las familias y el poder adquisitivo de las familias y eso genera un vínculo indudable que vimos en las votaciones de junio", explicó Moreno. Sin embargo, advirtió que la comparación de gastos es a menudo exagerada. "Pone en perspectiva una beca o pensión el gasto de estos órganos y lo exagera, apenas con 4 mil mdp, no son 100 mil. Comparado con 9 billones, es el 0.05 por ciento", detalló. ¿Qué hace el INAI? La coordinadora de México Evalúa elogió la labor del INAI, destacando su impacto en la lucha contra la corrupción. "El INAI atiende a la población en diversos niveles, es ejemplo de cómo examina esa solicitud, ha sido fuente de apoyo a periodistas que han indagado temas de corrupción como SEGALMEX", afirmó. “Pongo atención en frases de legisladores cuando se pronuncian, lo que he visto es un poco de matiz porque de parte de Morena ha habido expresiones que quizá esta reforma no es tan importante, tan prioritario en estos momentos, como empezando una gradualidad para las votaciones", concluyó.See omnystudio.com/listener for privacy information.
En su colaboración para MVS Noticias con Luis Cárdenas, el analista político Ezra Shabot analizó la lealtad de Claudia Sheinbaum a Andrés Manuel López Obrador (AMLO) y los riesgos de un gobierno de continuidad absoluta.See omnystudio.com/listener for privacy information.
En entrevista para MVS Noticias con Luis Cárdenas, la Dra. Yuriria Rodríguez Castro, especialista en estudios de seguridad nacional e internacional, abordó la posible implicación de la DEA en la captura de Ismael 'El Mayo' Zambada y las consecuencias que esto podría tener para el presidente Andrés Manuel López Obrador (AMLO).See omnystudio.com/listener for privacy information.
En su colaboración para MVS Noticias con Luis Cárdenas, el analista político Ezra Shabot abordó la reciente detención de Ismael 'El Mayo' Zambada y Joaquín Guzmán López, y el mensaje que esta acción lanza desde los Estados Unidos.En entrevista para MVS Noticias con Luis Cárdenas, Gerardo Acevedo, asesor de asuntos internacionales de la Cámara Nacional de Comercio en Matamoros, expresó su profunda indignación y preocupación tras el asesinato del presidente de la Canaco en Tamaulipas, Julio César Almanza.En entrevista para MVS Noticias con Luis Cárdenas, la Dra. Yuriria Rodríguez Castro, especialista en estudios de seguridad nacional e internacional, abordó la posible implicación de la DEA en la captura de Ismael 'El Mayo' Zambada y las consecuencias que esto podría tener para el presidente Andrés Manuel López Obrador (AMLO).En su colaboración para MVS Noticias con Luis Cárdenas, Brenda Estefan, analista de temas internacionales, abordó las recientes elecciones en Venezuela, las controversias que las rodean, así como el futuro de la nación.En su colaboración para MVS Noticias con Luis Cárdenas, la psicóloga Arantza habló sobre la autoestima, proporcionando una explicación detallada y ejemplos prácticos para comprender este concepto vital para el bienestar emocional.En su colaboración para MVS Noticias con Luis Cárdenas, la jefa de información de ese espacio, Diana Alcaraz, explicó los antecedentes de las elecciones en Venezuela.See omnystudio.com/listener for privacy information.
El presidente de México, Andrés Manuel López Obrador (AMLO), envió una carta al candidato Donald Trump abordando varios temas de interés bilateral sobre la cooperación entre México y Estados Unidos.
En su colaboración para MVS Noticias con Luis Cárdenas, el analista político Ezra Shabot discutió la intervención del presidente Andrés Manuel López Obrador (AMLO) en la designación del gabinete de su sucesora, Claudia Sheinbaum.See omnystudio.com/listener for privacy information.
En su colaboración para MVS Noticias con Luis Cárdenas, el analista político Ezra Shabot discutió la intervención del presidente Andrés Manuel López Obrador (AMLO) en la designación del gabinete de su sucesora, Claudia Sheinbaum.En su colaboración para MVS Noticias con Luis Cárdenas, el consultor Pedro Tello Villagrán abordó un tema preocupante relacionado con el mercado laboral mexicano: el aumento récord en los retiros de desempleo de las Afores durante los primeros seis meses de 2024.En entrevista para MVS Noticias con Luis Cárdenas, Norma Julieta del Río, comisionada del Instituto Nacional de Transparencia, Acceso a la Información y Protección de Datos Personales (INAI), habló sobre la importancia del organismo y las implicaciones de la reforma constitucional que pretende su desaparición.En entrevista para MVS Noticias con Luis Cárdenas, Francisco Moreno, director de Medicina Interna del ABC, abordó el tema del reciente aumento de casos de COVID-19 en México.En entrevista para MVS Noticias con Luis Cárdenas, Isaac Said Martínez, estudiante de la Prepa 6 de la UNAM, compartió la buena noticia de que él y sus compañeros de la Olimpiada Mexicana de Física han logrado recaudar los fondos necesarios para competir en Irán.En su colaboración para MVS Noticias con Luis Cárdenas, Susana Moscatel, periodista de espectáculos, habló sobre el atentado contra Donald Trump y la cultura del entretenimiento alrededor de este evento.See omnystudio.com/listener for privacy information.
En su colaboración para MVS Noticias con Luis Cárdenas, el analista político Ezra Shabot discutió sobre las recientes resoluciones del Tribunal Electoral del Poder Judicial de la Federación (TEPJF) respecto a la validación de las elecciones de junio y la intervención del presidente Andrés Manuel López Obrador (AMLO) en el proceso electoral, así como la sobrerrepresentación en el Congreso.See omnystudio.com/listener for privacy information.
En su colaboración para MVS Noticias con Luis Cárdenas, el analista político Ezra Shabot compartió su perspectiva sobre los últimos tres meses de Andrés Manuel López Obrador (AMLO) como presidente en funciones.See omnystudio.com/listener for privacy information.
En su colaboración para MVS Noticias con Luis Cárdenas, el columnista Mario Maldonado describió los proyectos pendientes de Andrés Manuel López Obrador (AMLO) y el legado que dejará a la próxima administración de Claudia Sheinbaum.See omnystudio.com/listener for privacy information.
En entrevista para MVS Noticias con Luis Cárdenas, el actor Juan Frese habló sobre su nueva obra de teatro, “La última mañanera”, una comedia política que ofrece una recapitulación humorística de los eventos ocurridos durante el actual gobierno del presidente Andrés Manuel López Obrador (AMLO).See omnystudio.com/listener for privacy information.
En su colaboración para MVS Noticias con Luis Cárdenas, el analista político Ezra Shabot analizó el futuro del presidente Andrés Manuel López Obrador (AMLO) y su posible permanencia simbólica en el poder con Claudia Sheinbaum.See omnystudio.com/listener for privacy information.
The Mexican electorate made history on 2 June by electing the country's first woman president in Claudia Sheinbaum, former Mexico City mayor, scientist, academic and protege of outgoing president Andrés Manuel López Obrador (AMLO). Much has been reported about Sheinbaum's possible difficulty in distancing herself from AMLO's influence, but ironically, rather than giving her some freedom to pursue her own policies, her supermajority in Congress will mean that she is almost obliged to continue her predecessor's reform agenda. On the LatinNews podcast this week, we discuss the relevance of the election results and what these mean for the country's short and medium-term outlooks. We ask Mónica Serrano, PhD in International Relations from Oxford University, Professor of International Studies at the Colegio de México, and Member of the Board of the United Nations University, about President-elect Sheinbaum and her policies regarding security, health, education and economic opportunities in the country.
En entrevista para MVS Noticias con Luis Cárdenas, Everardo Moreno, abogado y experto en derecho, abordó la reforma judicial implementada por Ernesto Zedillo que redujo el número de ministros en la Suprema Corte de Justicia de la Nación (SCJN) y analizó la nueva iniciativa del presidente Andrés Manuel López Obrador (AMLO).See omnystudio.com/listener for privacy information.
En entrevista para MVS Noticias con Luis Cárdenas, Alfredo Ramírez Bedolla, gobernador de Michoacán, anunció la reactivación de la exportación de aguacate a Estados Unidos tras una semana de intensas gestiones y acuerdos.En su colaboración para MVS Noticias con Luis Cárdenas, Jorge Andrés Castañeda, fundador de Kairós Consultores, habló sobre la reciente reanudación de las inspecciones de Estados Unidos al aguacate de Michoacán, las cuales se habían detenido tras una agresión a inspectores de la Embajada estadounidense.En entrevista para MVS Noticias con Luis Cárdenas, Everardo Moreno, abogado y experto en derecho, abordó la reforma judicial implementada por Ernesto Zedillo que redujo el número de ministros en la Suprema Corte de Justicia de la Nación (SCJN) y analizó la nueva iniciativa del presidente Andrés Manuel López Obrador (AMLO).En entrevista para MVS Noticias con Luis Cárdenas, el periodista Jesús Esquivel abordó el caso de Julian Assange, quien recientemente salió de prisión tras llegar a un acuerdo con el gobierno de Estados Unidos.See omnystudio.com/listener for privacy information.
En mesa de debate para MVS Noticias con Luis Cárdenas, los analistas políticos Hernán Gómez y Juan Ignacio Zavala discutieron la reforma al poder judicial propuesta por el presidente Andrés Manuel López Obrador (AMLO), respaldada por su sucesora Claudia Sheinbaum.See omnystudio.com/listener for privacy information.
En su colaboración para MVS Noticias con Luis Cárdenas, Pedro Tello Villagrán, consultor en economía, comentó sobre la reciente decisión de Estados Unidos de suspender las inspecciones al mango michoacano. Esta medida podría expandirse a otros productos.En su colaboración para MVS Noticias con Luis Cárdenas, el periodista Óscar Balmen informó sobre la sorprendente relación entre los huracanes y el crimen organizado.En mesa de debate para MVS Noticias con Luis Cárdenas, los analistas políticos Hernán Gómez y Juan Ignacio Zavala discutieron la reforma al poder judicial propuesta por el presidente Andrés Manuel López Obrador (AMLO), respaldada por su sucesora Claudia Sheinbaum.En su colaboración para MVS Noticias con Luis Cárdenas, la periodista especializada en libros, Dalila Carreño, recomendó dos obras enfocadas en la educación infantil y el respeto a la diversidad: “Nos tratamos bien” de Lucía Serrano y “Cuentos para educar sin estereotipos” de María Gijón Sánchez.See omnystudio.com/listener for privacy information.
On June 2, Mexico held one of the largest elections in its history, and the electorate voted in the country's first woman, and Jewish, president, Claudia Sheinbaum. Sheinbaum was endorsed by outgoing President Andrés Manuel López Obrador (AMLO), who critics charge as pushing a series of anti-democratic policies including a substantial judicial overhaul. To discuss this historic election and what President-elect Claudia Sheinbaum may do in office, Lawfare Associate Editor for Communications Anna Hickey sat down with former United States Ambassador Roberta Jacobson. They discussed the issues voters were concerned about, political violence by cartels plaguing the country, and whether Sheinbaum will follow AMLO's trajectory as a populist or chart her own path. To receive ad-free podcasts, become a Lawfare Material Supporter at www.patreon.com/lawfare. You can also support Lawfare by making a one-time donation at https://givebutter.com/c/trumptrials.Support this show http://supporter.acast.com/lawfare. Hosted on Acast. See acast.com/privacy for more information.
En su colaboración para MVS Noticias con Luis Cárdenas, el analista político Ezra Shabot discutió los riesgos asociados con la mayoría calificada para Claudia Sheinbaum y Morena en el Congreso, así como la revocación de mandato y cómo el presidente Andrés Manuel López Obrador (AMLO) la podría usar a su favor.See omnystudio.com/listener for privacy information.
Arturo Fontaine y Noam Titelman analizaron lo que se viene a la primera presidenta de ese país, quien se encargará de asumir el cargo, que actualmente tiene Andrés Manuel López Obrador (AMLO), en octubre de este año.
México vivió este domingo un hecho político histórico. Claudia Sheinbaum fue electa como la primera mujer presidente de ese país, fuertemente machista. No solo eso: también será la primera persona de origen judío que accede a la Presidencia en una nación muy católica. Y además protagonizará otro hito: la primera vez que al frente del gobierno está un miembro destacado de la comunidad científica. Claudia Sheinbaum se impuso cómodamente, con entre el 58 y el 60% de los votos, según el conteo rápido difundido en la noche del domingo por el Instituto Nacional Electoral. Lo hizo liderando la coalición de izquierda Sigamos Haciendo Historia, compuesta por el Partido del Trabajo, el Partido Verde Ecologista de México, y sobre todo por MORENA (Movimiento de Regeneración Nacional), que es la fuerza política del actual presidente, Andrés Manuel López Obrador (AMLO). El volumen de la victoria le dio a Morena le dio dos tercios de las bancas en el Congreso, o sea la mayoría necesaria para reformar la Constitución, y posiblemente logrará lo mismo en el Senado, según las proyecciones del conteo rápido. Además, MORENA retuvo el poder en seis de las nueve gobernaciones en disputa, y en Ciudad de México (CDMX). Así, se consolida como el principal partido del país, a solo 10 años de su creación. "Me voy a retirar con muchísima satisfacción, voy a poder decir cuando le entregue la banda a Claudia, 'misión cumplida', y jubilarme", dijo López Obrador, el mandatario de 70 años, cuya popularidad de más de 60% fue clave en el triunfo de Sheinbaum, según analistas. Luego de que se confirmara su triunfo, Sheinbaum dio un discurso en el Zócalo, la principal plaza del país, hablando ante miles de sus seguidores. Allí reiteró su compromiso de que “primero los pobres”, y enfatizó: "No les voy a fallar". Gracias hoy al pueblo de México, este es tu triunfo, este 2 de junio, nuevamente hicimos historia. ¡Viva la cuarta transformación! ¡Viva el Presidente López Obrador! ¡Viva México! ¡Viva México! ¡Viva México! ¡Y que viva Claudia Sheinbaum! Esta licenciada en Física y doctora en Ingeniería en Energía, que anteriormente fue alcaldesa de Ciudad México, gobernará hasta 2030 la 12ª economía del mundo, con 129 millones de habitantes. Y deberá enfrentará varios desafíos complejos, en particular en el plano de la violencia, que fue notoria en una campaña electoral que dejó más de treinta políticos asesinados. Profundizamos En Perspectiva en este hecho político singular con la periodista mexicana Angélica Ferrer.
Claudia Sheinbaum Pardo es la primera mujer electa presidenta de México. Capitaneando el acorazado Movimiento de Regeneración Nacional (Morena), partido político del actual mandatario Andrés Manuel López Obrador (AMLO), tiene una larga carrera en la función pública. Científica de formación, le gusta tomar decisiones a partir de los datos. Los aportados por el Instituto Nacional Electoral (INE), mediante el Programa de Resultados Preliminares (PREP) le dieron el triunfo con un 60% de los votos, en un proceso que convocó a 98 millones de votantes. Una elección signada por la violencia, con el asesinato de 30 personas que aspiraban a alguno de los 20 mil puestos en una elección en la que se dispusieron 170 mil mesas electorales. Los comicios fueron un espejo de la trágica realidad de la crueldad con la que grupos del crimen organizado imponen su dominio en varios territorios. A este flagelo, que de acuerdo con datos de una consultora independiente afecta a 108 millones de personas (el Cártel Jalisco Nueva Generación tiene presencia en 28 estados y el Cártel de Sinaloa en 24), se debe agregar el dramático resultado del Consejo Nacional de Evaluación de la Política de Desarrollo Social (Coneval), que determinó que para el año 2023, 50 millones de mexicanos no tenían acceso a servicios de salud. Además de estos enormes desafíos, la nueva gobernante deberá demostrar que es capaz de marcar su propia impronta, para desprenderse del peso que implica la figura del presidente saliente. Para hacer una primera aproximación al triunfo de Sheinbaum Pardo conversaremos con la relacionista internacional y estudiante de posgrado del Tecnológico de Monterrey, Ericka Cerdas.
Andrés Manuel López Obrador (AMLO), the President of Mexico, launched the "Hugs Not Bullets" campaign as part of his broader strategy to address the root causes of violence and crime in Mexico. The campaign, initiated in 2018, seeks to prioritize social programs and economic development over militarized approaches to combating crime.The core idea behind the campaign is to tackle the underlying issues that drive individuals, especially youth, into criminal activities. Rather than solely relying on punitive measures such as increased law enforcement and military presence, AMLO's administration emphasizes social welfare programs, education, and employment opportunities as crucial elements in reducing crime rates.The "Hugs Not Bullets" approach emphasizes empathy and community engagement. It advocates for investing in marginalized communities, providing support to at-risk youth, and promoting social inclusion. By addressing socio-economic inequalities and offering alternatives to crime, the campaign aims to create a more peaceful and prosperous society.However, while the campaign's intentions are noble, it lacks concrete strategies and resources to effectively combat entrenched criminal organizations and violence. This is highlighted by the need for comprehensive security reforms and stronger law enforcement measures alongside social programs.In this episode we take another trip down south of the border and get a look at how the strategy has worked out for the people of Mexico and what might be coming next.(commercial at 10:34)to contact me:bobbycapucci@protonmail.comsource:Mexico's ‘hugs, not bullets' crime policy spreads grief | | elpasoinc.com
Andrés Manuel López Obrador (AMLO), the President of Mexico, launched the "Hugs Not Bullets" campaign as part of his broader strategy to address the root causes of violence and crime in Mexico. The campaign, initiated in 2018, seeks to prioritize social programs and economic development over militarized approaches to combating crime.The core idea behind the campaign is to tackle the underlying issues that drive individuals, especially youth, into criminal activities. Rather than solely relying on punitive measures such as increased law enforcement and military presence, AMLO's administration emphasizes social welfare programs, education, and employment opportunities as crucial elements in reducing crime rates.The "Hugs Not Bullets" approach emphasizes empathy and community engagement. It advocates for investing in marginalized communities, providing support to at-risk youth, and promoting social inclusion. By addressing socio-economic inequalities and offering alternatives to crime, the campaign aims to create a more peaceful and prosperous society.However, while the campaign's intentions are noble, it lacks concrete strategies and resources to effectively combat entrenched criminal organizations and violence. This is highlighted by the need for comprehensive security reforms and stronger law enforcement measures alongside social programs.In this episode we take another trip down south of the border and get a look at how the strategy has worked out for the people of Mexico and what might be coming next.(commercial at 10:34)to contact me:bobbycapucci@protonmail.comsource:Mexico's ‘hugs, not bullets' crime policy spreads grief | | elpasoinc.comBecome a supporter of this podcast:https://www.spreaker.com/podcast/the-epstein-chronicles--5003294/support.