Podcasts about Sautet

Mit Romy Schneider, Yves Montand und Sami Frey in den Hauptrollen zeigt Claude Sautet eine ungewöhnliche Dreiecksbeziehung. Sautet ist ein äußerst feinfühliger Regisseur, der mit seinen charakterzentrierten Filmen intime Konflikte mit großer Präzision und Empathie darzustellen vermag. So auch hier: Bildsprachlich elegant, mit dialogischem Witz und einer Nüchternheit, die von Dramatik immer wieder durchbrochen wird, hat Sautet mit „César und Rosalie“ einen unvergleichlich schönen Film gedreht. Mehr dazu von Wolfgang M. Schmitt im Filmkompass!   „César und Rosalie“ auf Blu-ray, Amazon Affiliate-Link: https://amzn.to/3EawHaR Das Best-Of von DIE FILMANALYSE als Buch. Mit einem Vorwort von Dominik Graf. Affiliate-Link: https://amzn.to/3NCkVHB Unser Kinderbuch „Die kleinen Holzdiebe und das Rätsel des Juggernaut“ ist erschienen! Affiliate-Link: https://amzn.to/47h1LQI Die Anthologie SELBST SCHULD! ist jetzt erschienen. Affiliate-Link: https://amzn.to/47qau3a   Sie können DIE FILMANALYSE finanziell unterstützen – vielen Dank! Wolfgang M. Schmitt Betreff: DIE FILMANALYSE IBAN: DE29 5745 0120 0130 7858 43 BIC: MALADE51NWD PayPal: http://www.paypal.me/filmanalyse Patreon: https://www.patreon.com/wolfgangmschmitt Wolfgang M. Schmitt auf Twitter: https://twitter.com/SchmittJunior Wolfgang M. Schmitt auf Facebook: https://www.facebook.com/wolfgangm.schmittjun/ Wolfgang M. Schmitt auf Instagram: https://www.instagram.com/wolfgangmschmitt/ Produziert von FatboyFilm: https://www.fatboyfilm.de/ https://www.facebook.com/fatboyfilm/ https://www.instagram.com/fatboyfilm/

Marc Sautet's Nietzsche For Beginners

durée : 00:04:46 - Voyage en comédie - par : Thomas CROISIERE - La première réalisation d'Agnès Jaoui aurait pu s'intituler "Castella, Clara, Bruno et les autres", mais les "Jabac", couple d'auteurs quatre fois césarisé réunissant Jaoui et Bacri eut le goût d'un autre titre.

durée : 00:58:35 - Samedi fiction - Après une rupture amoureuse, Lucie part seule dans la maison familiale : là-bas, en regardant les films de Claude Sautet, leurs histoires et leurs personnages, Lucie va se retrouver.

durée : 00:58:35 - Samedi fiction - Après une rupture amoureuse, Lucie part seule dans la maison familiale : là-bas, en regardant les films de Claude Sautet, leurs histoires et leurs personnages, Lucie va se retrouver.

La obsesión nunca es buena, y menos si uno es agente de la ley y pretende configurar los hechos a su manera. Actuar como un dios inflexible y cruel, manipulador, Max, excelente Michel Piccoli, fuma como si se le fuera la vida en cada calada, lívido y mortuorio, no quiere fracasar más. El antiguo juez de instrucción, ahora policía, se ha propuesto atrapar a los criminales en delito flagrante, aunque para eso tenga que inducir al crimen a unos malhechores de poca monta, unos chatarreros que se sacan cuatro perras con chanchullos varios. A diferencia de la road movie anterior dirigida por Sautet, A todo riesgo, con el icónico Lino Ventura, Max y los chatarreros se conduce con un tono claustrofóbico, un polizonte perverso juega a demiurgo con unos pobres diablos. A lo largo del film van apareciendo personajes que aportan sustancia, impagable el encuentro entre Caín y Abel, o Max y Abel – Bernard Fresson- , el hombre del sombrero engaña al viejo conocido, mientras degustan el segundo Pernod en una cafetería parisina. Y a los 30 minutos más o menos surge la deidad, la prostituta reina de Nanterre y confidente del policía. Romy Scheider y Michel Piccoli están espléndidos .la simbiosis y el misterio de su relación llevan este policiaco a una dimensión diferente. Max quiere utilizar a esa mujer para su objetivo, y ahí entrará otra obsesión que quizá el agente del orden no esperaba, a partir de ahí el monstruo se humaniza, la bestia se enamorará. Sautet delinea en su cine un acercamiento especial a los seres humanos, Daniel Auteil y Emmanuelle Beart cruzaban miradas al final de la magnífica Un CorazOn en invierno, del mismo modo Lily y Max quedarán en otro momento para culminar su affaire, quizá en otra vida. Esta noche admiramos a la señora de rojo sobre fondo rojo… Zacarías Cotán, Raúl Gallego y Salvador Limón

Lʹhistoire de Max, un solitaire, juge et partie, un flic, un homme obsédé par lʹinjustice qui rêve dʹattraper des bandits pris en flagrant délit. Il est prêt à tout pour y arriver, se consacre à son obsession, manipule une bande de loubards et sʹéprend dʹune prostituée. Pour cette histoire, tirée dʹun roman de Claude Néron, sur un scénario de Jean-Loup Dabadie, Claude Sautet convoque Michel Piccoli dans le rôle de Max, inspecteur manipulateur et dégueulasse, et Romy Schneider dans le rôle de Lily, la prostituée. Sautet quitte lʹunivers des bourgeois pour des loulous de banlieue.

Le Mépris in 1963 brought fame to Michel Piccoli. Jean-Luc Godard's new wave film was based on an Italian novel about a love triangle and power dynamics involving a playwright asked to work on a film script. Piccoli (1925-2020) went on to work with many other directors, including Buñuel, Chabrol, Varda, Rivette, Demy and Sautet in roles which run from a weak priest to a confused pope, with a host of rebels, cynics, lovers and losers mixed in. Matthew Sweet is joined by Geoff Andrew, Muriel Zagha, Phuong Le and Adam Scovell to look at this remarkable career that spanned seven decades. Producer: Torquil MacLeod Michel Piccoli: A Fearless Talent, is running at BFI Southbank from 1-29 June You can find a series of discussions about film stars and key films available as Arts & Ideas podcasts and on BBC Sounds including Marlene Dietrich, Jacques Tati, Audrey Hepburn, Jean-Paul Belmondo, Sidney Poitier, Laurel and Hardy's The Music Box, Charlie Chaplin's City Lights. Each Saturday on Radio 3 Matthew Sweet presents Sound of Cinema looking at film music relating to the week's new film releases - all the episodes are on BBC Sounds.

Laurence Sautet, écuyer du Cadre noir de Saumur, ayant une grande expérience des présentations de haute école aux longues rênes académiques vous fait part de son expérience sur ce travail.   Elle abordera entre autres, les objectifs et l'intérêt du travail aux longues rênes, le matériel à utiliser (surfaix, longues rênes, ...), la tenue des longues rênes ainsi que la place du longeur dans les différents mouvements. Quelles précautions sont à prendre pour effectuer ce travail ? Quels repères avoir (attitude, locomotion, aides du cavalier) ? Comment progresser et faire progresser son cheval dans ce travail ? On vous en dit plus dans cet épisode. ___________  Pour aller plus loin :  Webconférence - Travail aux longues rênes transitions simples - Laurence Sautet  L'Eperon - En pratique avec Laurence Sautet | Longues rênes académiques au Cadre noir  Webconférence - Du travail aux longues rênes au travail monté - Olivier Puls Ouvrage - L'emploi des longues rênes - Philippe Carl ___________ Si vous souhaitez en savoir plus sur le sujet, rendez-vous sur notre site internet equipedia.ifce.fr où vous trouverez tous les travaux de nos experts. Vous pouvez aussi nous rejoindre sur notre groupe Facebook équipédia, sciences et innovations équines pour plus de contenus. Pour ne manquer aucun épisode, abonnez-vous, partagez, commentez et n'hésitez pas à laisser 5 étoiles sur Apple Podcasts et Spotify. 

Nouvelle diffusion de la chanson de Pompon : "La pieuvre" de Colette Magny. Le Festival Noël au Théâtre prend ses quartiers à Bruxelles du 26 au 30 décembre 2022 et en Wallonie du 23 décembre au 8 janvier. On en parle avec Ariane Bubhinder, membre du CA du CTEJ (la Chambre des Théâtres pour l'enfance et la jeunesse) et également metteuse en scène pour l'Anneau Théâtre et Clément Thirion, le metteur en scène de "Norman : c'est comme normal, à une lettre près", à voir ce lundi 26 décembre au Zeppelin à Lille et ce mardi 29 décembre au Rideau de Bruxelles. Nouvelle diffusion de "J'entends des voix" de Laurence Bibot : On ferme les yeux si on a envie… Le journaliste français de cinéma Jean-Pierre Lavoignat pour le livre "Romy Schneider et Claude Sautet : Un coup de foudre créatif" (Ed. de La Martinière). Cinquante ans après la sortie de César et Rosalie, et quarante ans après la disparition de Romy Schneider, son aura et l'affection que lui voue le public demeurent intactes, tout comme le regard de Claude Sautet, d'une justesse émouvante. Cet ouvrage est consacré à l'incroyable tandem actrice-cinéaste et aux cinq films culte qu'ils ont faits ensemble entre 1970 et 1978 : Les Choses de la vie, Max et les ferrailleurs, César et Rosalie, Mado et Une histoire simple. Lorsqu'ils se rencontrent, ni Romy Schneider ni Claude Sautet ne se doutent que chacun vient de découvrir son alter ego. Le metteur en scène a trouvé sa muse, l'actrice son pygmalion. Chacun va magnifier le talent de l'autre. « Cette rencontre, dira Sautet, nous a illuminés tous les deux. » Les témoignages de proches et de collaborateurs (Philippe Sarde, Alain Sarde, Jean-Louis Livi, Isabelle Huppert, Daniel Biasini et Nathalie Baye), comme de personnalités contemporaines qui les admirent (Pedro Almodóvar, Jean Dujardin, Sandrine Kiberlain, Nicolas Mathieu et François Ozon) sont accompagnés de superbes photographies et documents personnels notamment issus des archives d'Yves Sautet. Ce livre est un hommage, une déclaration d'amour à un duo qui a bouleversé le cinéma français et ne cesse, aujourd'hui encore, de nous émerveiller. Feuilleton "Héros de fiction" de Gorian Delpâture . Vous les avez lus, vous les avez vus, ils vous ont fait rêver. Ce sont les héros de fiction ! Gorian Delpâture vous propose un feuilleton consacré aux plus grandes figures héroïques de la littérature, du cinéma ou de la bande dessinée… Épisode 11 : Lara Croft, héroïne de jeu vidéo Tomb Raider, une aristocrate anglaise qui explore d'anciennes tombes partout dans le monde…

Cinquante ans après la sortie de César et Rosalie, et quarante ans après la disparition de Romy Schneider, son aura et l'affection que lui voue le public demeurent intactes, tout comme le regard de Claude Sautet, d'une justesse émouvante. Cet ouvrage est consacré à l'incroyable tandem actrice-cinéaste et aux cinq films culte qu'ils ont faits ensemble entre 1970 et 1978 : Les Choses de la vie, Max et les ferrailleurs, César et Rosalie, Mado et Une histoire simple. Lorsqu'ils se rencontrent, ni Romy Schneider ni Claude Sautet ne se doutent que chacun vient de découvrir son alter ego. Le metteur en scène a trouvé sa muse, l'actrice son pygmalion. Chacun va magnifier le talent de l'autre. « Cette rencontre, dira Sautet, nous a illuminés tous les deux. » Les témoignages de proches et de collaborateurs (Philippe Sarde, Alain Sarde, Jean-Louis Livi, Isabelle Huppert, Daniel Biasini et Nathalie Baye), comme de personnalités contemporaines qui les admirent (Pedro Almodóvar, Jean Dujardin, Sandrine Kiberlain, Nicolas Mathieu et François Ozon) sont accompagnés de superbes photographies et documents personnels notamment issus des archives d'Yves Sautet. Ce livre est un hommage, une déclaration d'amour à un duo qui a bouleversé le cinéma français et ne cesse, aujourd'hui encore, de nous émerveiller. On en parle le journaliste français de cinéma Jean-Pierre Lavoignat

durée : 00:15:00 - Les Nuits de France Culture - par : Philippe Garbit - Claude Sautet et Michel Piccoli étaient au micro de Roger Régent dans "Cinéma vérité" en mars 1970, à l'occasion de la sortie du film "Les Choses de la vie". Un double entretien avec le cinéaste et le comédien qui évoquaient le thème et la genèse du film. - invités : Claude Sautet Réalisateur; Michel Piccoli acteur et réalisateur (1925-2020)

C'est l'une des figures les plus iconiques du cinéma français, l'une des plus chics aussi. Actrice, Nicole GARCIA a joué pour Tavernier, Resnais, Sautet ou Rivette. Réalisatrice et scénariste, elle a tourné des films inoubliables comme "Place Vendôme" ou "Le fils préféré ». Son dernier film, Amants, est sorti en salles en 2021.Dans cet épisode riche et touchant, Nicole GARCIA raconte un cheminement stylistique. Elle évoque ses erreurs de jeunesse, son apprentissage vestimentaire auprès d'un acteur et son chagrin incontrôlable après la perte d'un simple bonnet. Elle tente surtout de comprendre pourquoi, à son grand étonnement, on la trouve si chic... Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.

durée : 00:06:53 - L'ami.e du vendredi - par : Guillemette Odicino - Retour sur l'héroïne féminine du film "César et Rosalie" (1972), qui réussit l'impossible en imposant une liberté salutaire et féministe pour l'époque car c'est elle qui transforme les deux personnages masculins qui l'entourent, en deux hommes qui doutent !

durée : 00:42:00 - Les Nuits de France Culture - En 1994, Claude Sautet avait 70 ans, il tournait "Nelly et Monsieur Arnaud" avec Michel Serrault et Emmanuelle Béart. Dans "Projection privée" il effectuait un retour rétrospectif sur sa carrière à l'occasion de la parution d'un livre d'entretiens avec Michel Boujut. Michel Ciment s'entretient avec le cinéaste Claude Sautet dans "Projection privée" en 1994, à l'occasion de la sortie de son livre d'entretiens avec Michel Boujut, réalisé pour l'Institut Lumière et Actes Sud. Claude Sautet avait alors 70 ans, il tournait Nelly et Monsieur Arnaud, qui sera son dernier film. * Dans cet entretien Claude Sautet détaille sur sa vision du cinéma. A propos de la réception de ses films, il est heureux de constater que certains d'entre eux, comme Mado (1976), touchent un public plus jeune, des années après leur sortie, "on pense que les films sont éphémères, mais c'est touchant de voir comment de jeunes spectateurs réagissent".  Il se souvient de l'enthousiasme de Bertrand Tavernier, alors critique de cinéma, pour son premier film Classe tous risques (1960) : Il a été la première personne qui m'a demandé un entretien. Ce qui me frappe chez Bertrand Tavernier c'est son enthousiasme inépuisable.  Au départ, il ne voulait pas se prêter à un exercice d'introspection pour ce livre, en raison de la difficulté qu'il ressent à tenir un discours après-coup sur ses films, "j'ai toujours peur de mentir".  Il évoque sa passion pour le jazz et les passerelles qu'il tisse entre cette musique et le cinéma.  Le jazz c'est souvent un thème assez simple avec des bases sur lesquelles les musiciens peuvent varier à l'infini, avec une histoire qui peut se développer dans tous les sens et le thème qui revient à la fin. Il y a une relation avec un film qui démarre avec une anecdote assez simple mais qui donne des possibilités infinies. Sur sa relation de fidélité avec des comédiens, comme Michel Piccoli ou Daniel Auteuil, il explique que "derrière la technique du comédien, ce sont des êtres humains, le film en est une sorte de portrait, qui n'est jamais achevé". Claude Sautet se revendique comme banlieusard. Né à Montrouge il garde le souvenir d'une banlieue vivante et chaleureuse : "les banlieusards ne sont pas dupes, ils ont un jugement plus coupant".  J'ai tout de suite été fasciné par la banlieue et ses cafés, ses bistrots, ce monde de mélanges sociaux que je voyais dans mon enfance. Par Michel Ciment  Réalisation : Régine Barjou Indexation web : Sandrine England, Documentation Sonore de Radio France Projection privée - Entretien avec Claude Sautet (1ère diffusion : 24/07/1994) Archive Ina-Radio France

durée : 00:15:00 - Les Nuits de France Culture - par : Philippe Garbit - Claude Sautet et Michel Piccoli étaient au micro de Roger Régent dans "Cinéma vérité" en mars 1970, à l'occasion de la sortie du film "Les Choses de la vie". Un double entretien avec le cinéaste et le comédien qui évoquaient le thème et la genèse du film. Dans les années 70 Claude Sautet a filmé Michel Piccoli dans Les Choses de la vie, Max et les Ferrailleurs, Vincent, François, Paul et les autres et Mado. Des films, Michel Piccoli en aura tourné environ deux centaines, et pas des moindres mais, pour beaucoup, c'est au cinéma de Claude Sautet qu'est associé son nom.  * En quatre films, cinq si l'on ajoute César et Rosalie où la voix du narrateur était celle de Piccoli, il faut croire que ce réalisateur aura su saisir, grâce à ce comédien, quelque chose des failles, des fragilités, de l'homme de la France pompidolienne à l'approche de la cinquantaine. "Quelque chose". mais quoi et chez quel genre d'homme ? C'était peut-être ce qu'il y avait à entendre entre les paroles de Claude Sautet et celles de Michel Piccoli qui étaient invités à présenter Les Choses de la vie dans "Cinéma vérité", lors de sa sortie en 1970.   Claude Sautet aborde dans cet entretien la genèse de son film Les Choses de la vie, dont la distribution comprend, outre Michel Piccoli, Romy Schneider et Lea Massari. Selon lui, ce qu'il y a de plus important dans un film, "c'est comment véhiculer l'émotion".  Je pense que quand j'avais 34 ans, je ne pouvais pas faire "Les Choses de la vie", parce que le personnage a 44 ans. Je ne savais pas ce que peut être un homme de 44 ans, qui a une vie normale et qui a un accident.  Il évoque ensuite le choix des acteurs et explique sa prédilection pour les grands comédiens : J'ai très longtemps été gêné par la façon dont les comédiens jouaient dans les films en France, je les sentais trop influencés par le théâtre. Michel Piccoli évoque son rôle dans Les Choses de la vie, et la manière dont ce personnage revoit sa vie dans les quelques heures qui séparent son accident de sa mort. C'est un personnage d'une telle simplicité, d'une telle clarté [.] Tout moment présent, toute action d'un individu, est complètement conditionnée par son passé, par ses souvenirs, par ses actions. Par Roger Régent  Extrait : Cinéma vérité - Claude Sautet et Michel Piccoli à propos des "Choses de la vie" (1ère diffusion : 10/03/1970) Indexation web : Etienne Rouch, Documentation Sonore de Radio France Archive Ina-Radio France

durée : 00:32:58 - Boomerang - par : Pierre Martinerie, Augustin Trapenard - Aussi bien au cinéma chez Sautet, Zidi, Blier ou Corneau, qu'au théâtre sous la direction de Planchon, Grumberg ou Chéreau, elle a su imposer son inimitable gouaille et sa présence à la fois fragile et puissante. Myriam Boyer est l'invitée d'Augustin Trapenard. - invités : Myriam Boyer - Myriam Boyer : Comédienne, productrice, réalisatrice et scénariste - réalisé par : Lola COSTANTINI

durée : 00:16:10 - Le monde d'Elodie - par : Elodie SUIGO - Tous les jours, une personnalité s'invite dans le monde d'Élodie Suigo. Aujourd'hui, le compositeur de musique de film Philippe Sarde.

Avant de reprendre le rôle de « Mademoiselle Julie » au festival d'Avignon, la fille de Romy Schneider nous incite à porter des lunettes extra-sensorielles, les « Véri-Verres », qui révéleront instantanément les émotions de notre entourage, telle une « réalité augmentée adaptée aux relations sociales ». Vu ?Elle a joué Feydeau, Sweig, Shakespeare. Du 7 au 30 juillet au festival d'Avignon, Sarah Biasini reprendra le rôle de Mademoiselle Julie, tragédie en cuisine du Suédois August Strinberg (1889) sur la lutte des classes et les jeux de pouvoir et de séduction entre trois personnages à la veille de la nuit de la Saint-Jean, mise en scène par Christophe Lidon avec Déborah Grall et Yannis Baraban. À 42 ans, cette native de Ramatuelle a fait ses preuves en tant que comédienne, mais les gens ne lui parlent que de sa mère (y compris à la maternité, en devenant mère à son tour, pendant l'accouchement, entre deux contractions), à laquelle elle ressemble certes beaucoup et qu'elle évoqua, en tout début d'année, dans un livre : La Beauté du ciel, aux éditions Stock. « Si j'écrivais ici le nom de ma mère, j'aurais l'impression de parler de quelqu'un d'autre, d'une étrangère. Son nom d'actrice, de travail, ne lui appartient presque plus et j'ai l'impression qu'à moi, il n'a jamais appartenu (…) L'appeler ma mère, il n'y rien de plus beau. Personne à part moi ne peut le faire. Je ne vais pas m'en priver (…) Personne ne veut oublier ma mère, à part moi. Tout le monde veut y penser, sauf moi. Personne ne pleurera autant que moi si je me mets à y penser. »Dans l'impressionnante filmographie de Romy Schneider, Sarah Biasini voit et revoit, « entre peur, gêne et fascination », La Piscine (Jacques Deray, 1969), César et Rosalie (Sautet, 1972), Le vieux fusil (Robert Enrico, 1975) ou Une histoire simple (Sautet, 1978). Elle adore aussi son sens du tempo dans la comédie d'espionnage What's New Pussycat ? (Clive Donner, 1965). Et dans Les Choses de la vie (Claude Sautet, 1970), une scène apparemment anodine retient son attention. Romy interprète Hélène qui, devant sa machine à écrire, au petit matin, ne sait plus comment traduire de l'allemand le mot « mentir ou, non, pas mentir ; tu sais, quand on invente des histoires ? » Et Michel Piccoli, en peignoir, clope au bec, répond : « Affabuler. »C'est peut-être de là, de ce bref moment d'intimité de l'Histoire du cinéma, qu'est venue à Sarah l'idée des « Véri-Verres », des lunettes spéciales, « bioniques, extra-sensorielles », qui révèlent instantanément les émotions authentiques de notre entourage. « Une petite machine sensible, intelligente, qui nous aiderait à VOIR les gens AUTREMENT. La réalité augmentée adaptée aux relations sociales. Pour que la vérité nous saute aux yeux. »Réalisation : Mathieu Boudon.Mademoiselle Julie, du 7 au 30 juillet au Théâtre des Halles, chaque jour à 16h30, 4 rue Noël Biret, Avignon.Image : Invasion Los Angeles, de John Carpenter (1988). See acast.com/privacy for privacy and opt-out information.

durée : 00:16:44 - On Cuisine Ensemble en Corrèze

durée : 00:19:15 - On Cuisine Ensemble en Corrèze

Cinéaste de bande, il se plaisait à filmer les bars et les cafés bondés, les maisons de vacances et les terrains boueux. Peintre de la France des années Pompidou et Giscard, il se fera l'observateur attentif de la fin des 30 glorieuses, celle d'une bourgeoisie déphasée et d'une classe moyenne appauvrie. On lui doit la rencontre de Romy Schneider et de Michel Piccoli ou encore la découverte de Philippe Sarde.    Claude Sautet aura œuvré pour le cinéma pendant près de 4 décennies. Conversations secrètes revient aujourd'hui sur ce réalisateur singulier en s'attardant sur 3 films caractéristiques de sa filmographie. 

durée : 00:42:00 - Les Nuits de France Culture - par : Philippe Garbit, Albane Penaranda, Mathilde Wagman - En 1994, Claude Sautet avait 70 ans, il tournait "Nelly et Monsieur Arnaud" avec Michel Serrault et Emmanuelle Béart. Dans "Projection privée" il effectuait un retour rétrospectif sur sa carrière à l'occasion de la parution d'un livre d'entretiens avec Michel Boujut. - réalisation : Virginie Mourthé - invités : Claude Sautet Réalisateur

durée : 00:03:58 - Capture d'écrans - par : Dorothée Barba - Arte diffuse, au cours d'une soirée Claude Sautet, l'un des plus beaux films de ce réalisateur. Un triangle amoureux sur un air de Ravel. Emmanuelle Béart est désarmante de sensualité et d'incompréhension face à Daniel Auteuil, qui semble ne pas ressentir d'émotions.

D'un côté, le docu "Claude Sautet : Le calme et la dissonance" d'Amine Mestari. De l'autre, la BD "L'immortalité : L'épopée du transhumanisme" de Benoist Simmat, l'histoire méconnue de ceux qui ont cherché à transcender la nature humaine... Dès 11h30, retrouvez la « Bagarre dans la Discothèque » avec Laurent Mathieu et Laurence Bibot. Et dès midi : "J'entends des voix" de Laurence Bibot : la voix des parents. Amine Mestari pour son docu. "Claude Sautet : Le calme et la dissonance", à voir le mercredi 3 mars à 22h40 sur Arte. Puisant son matériau dans des archives parfois inédites, ce film donne la parole à Sautet et ses proches : Lino Ventura, Romy Schneider, Michel Piccoli... L'évocation de ses longs métrages permet de retracer les grands moments de sa vie, César et Rosalie renvoyant à ses dilemmes amoureux, le héros manipulateur de Max et les ferrailleurs fustigeant les "théoriciens" qui conduisirent Sautet à rompre avec le communisme. Ce documentaire se nourrit aussi d'enregistrements inédits de sa voix au charme bourru, de vidéos de lui en tournage, préoccupé, la clope au bec, d'interviews où il se livre avec l'authenticité des timides, et de cette conférence de presse cannoise où, bougon, il lance aux journalistes : "Moins vous poserez de questions, mieux ce sera pour moi." Portrait touchant d'un cinéaste réservé et bouillonnant, qui a usé du cinéma pour "garder le calme devant la dissonance", selon la formule qu'il a choisie pour épitaphe. Benoist Simmat pour la BD "L'immortalité : L'épopée du transhumanisme" (Les Arènes BD). Cette quête du Graal a une histoire millénaire : les sectes gnostiques, les alchimistes, les scientistes et même les eugénistes ont été les premiers à tenter d'accéder à l'immortalité. Ils ont entrepris des expériences visant à augmenter les capacités biologiques des êtres humains. Au XXe siècle, les révolutions technologiques, informatiques et numériques ont décuplé les possibilités de faire un jour advenir un « transhumain ». Vaincre la maladie, la vieillesse, la mort, n'est plus une chimère. De Léonard de Vinci à Google en passant par Paracelse, Teilhard de Chardin ou l'homme nouveau soviétique, cette BD document nous raconte l'histoire méconnue de ceux qui, inlassablement, ont cherché à transcender la nature humaine. "Machins, Machines" d'Hélène Maquet : l'histoire du premier morceau de musique joué automatiquement par un ordinateur, il y a tout juste 70 ans.

Amine Mestari pour son docu. "Claude Sautet : Le calme et la dissonance", à voir le mercredi 3 mars à 22h40 sur Arte. Puisant son matériau dans des archives parfois inédites, ce film donne la parole à Sautet et ses proches : Lino Ventura, Romy Schneider, Michel Piccoli... L'évocation de ses longs métrages permet de retracer les grands moments de sa vie, César et Rosalie renvoyant à ses dilemmes amoureux, le héros manipulateur de Max et les ferrailleurs fustigeant les "théoriciens" qui conduisirent Sautet à rompre avec le communisme. Ce documentaire se nourrit aussi d'enregistrements inédits de sa voix au charme bourru, de vidéos de lui en tournage, préoccupé, la clope au bec, d'interviews où il se livre avec l'authenticité des timides, et de cette conférence de presse cannoise où, bougon, il lance aux journalistes : "Moins vous poserez de questions, mieux ce sera pour moi." Portrait touchant d'un cinéaste réservé et bouillonnant, qui a usé du cinéma pour "garder le calme devant la dissonance", selon la formule qu'il a choisie pour épitaphe.

"J'entends des voix" de Laurence Bibot : la voix des parents. Amine Mestari pour son docu. "Claude Sautet : Le calme et la dissonance", à voir le mercredi 3 mars à 22h40 sur Arte. Puisant son matériau dans des archives parfois inédites, ce film donne la parole à Sautet et ses proches : Lino Ventura, Romy Schneider, Michel Piccoli... L'évocation de ses longs métrages permet de retracer les grands moments de sa vie, César et Rosalie renvoyant à ses dilemmes amoureux, le héros manipulateur de Max et les ferrailleurs fustigeant les "théoriciens" qui conduisirent Sautet à rompre avec le communisme. Ce documentaire se nourrit aussi d'enregistrements inédits de sa voix au charme bourru, de vidéos de lui en tournage, préoccupé, la clope au bec, d'interviews où il se livre avec l'authenticité des timides, et de cette conférence de presse cannoise où, bougon, il lance aux journalistes : "Moins vous poserez de questions, mieux ce sera pour moi." Portrait touchant d'un cinéaste réservé et bouillonnant, qui a usé du cinéma pour "garder le calme devant la dissonance", selon la formule qu'il a choisie pour épitaphe. Benoist Simmat pour la BD "L'immortalité : L'épopée du transhumanisme" (Les Arènes BD). Cette quête du Graal a une histoire millénaire : les sectes gnostiques, les alchimistes, les scientistes et même les eugénistes ont été les premiers à tenter d'accéder à l'immortalité. Ils ont entrepris des expériences visant à augmenter les capacités biologiques des êtres humains. Au XXe siècle, les révolutions technologiques, informatiques et numériques ont décuplé les possibilités de faire un jour advenir un « transhumain ». Vaincre la maladie, la vieillesse, la mort, n'est plus une chimère. De Léonard de Vinci à Google en passant par Paracelse, Teilhard de Chardin ou l'homme nouveau soviétique, cette BD document nous raconte l'histoire méconnue de ceux qui, inlassablement, ont cherché à transcender la nature humaine. "Machins, Machines" d'Hélène Maquet : l'histoire du premier morceau de musique joué automatiquement par un ordinateur, il y a tout juste 70 ans.

durée : 00:15:00 - Les Nuits de France Culture - par : Philippe Garbit, Albane Penaranda, Mathilde Wagman - Claude Sautet et Michel Piccoli étaient au micro de Roger Régent dans "Cinéma vérité" en mars 1970, à l’occasion de la sortie du film "Les Choses de la vie". Un double entretien avec le cinéaste et le comédien qui évoquaient le thème et la genèse du film. - réalisation : Virginie Mourthé - invités : Claude Sautet Réalisateur; Michel Piccoli acteur et réalisateur (1925-2020)

durée : 00:53:59 - Le Masque et la Plume - par : Jérôme Garcin - Faut-il revoir "Nelly et monsieur Arnaud" de Claude Sautet, "Diva" de Jean-Jacques Beineix, "Le Professeur" de Valerio Zurlini, "Un soir, un train" d'André Delvaux, "Forfaiture" de Marcel L'Herbier, "Judo" de Johnnie To et "Emmanuelle" de Just Jaeckin ?

Lʹhistoire de Max, un solitaire, juge et partie, un flic, un homme obsédé par lʹinjustice qui rêve dʹattraper des bandits pris en flagrant délit. Il est prêt à tout pour y arriver, se consacre à son obsession, manipule une bande de loubards et sʹéprend dʹune prostituée. Pour cette histoire, tirée dʹun roman de Claude Néron, sur un scénario de Jean-Loup Dabadie, Claude Sautet convoque Michel Piccoli dans le rôle de Max, inspecteur manipulateur et dégueulasse, et Romy Schneider dans le rôle de Lily, la prostituée. Sautet quitte lʹunivers des bourgeois pour des loulous de banlieue.

durée : 01:43:56 - Le Grand Atelier - par : Vincent Josse - Mort à 76 ans, en 2000, Claude Sautet a consacré sa vie au cinéma. Discret, pudique, cet ancien enfant timide observait ses contemporains. Au café, souvent, dans les brasseries, des scènes et des personnages naissaient sous ses yeux. Quand il ne tournait pas, Sautet aidait ses confrères à finaliser leurs projets. - invités : Claude Sautet - Claude SAUTET

durée : 00:59:08 - Les Chemins de la philosophie - par : Adèle Van Reeth, Géraldine Mosna-Savoye - Le 13 mars 1970 sort au cinéma "Les choses de la vie" de Claude Sautet, qui filme au travers du couple incarné par Romy Schneider et Michel Piccoli les infinies subtilités qui composent le sentiment amoureux. Le flux intérieur de Pierre (Piccoli), fait d’hésitations, conduit la narration du film... - réalisation : Nicolas Berger, Thomas Beau - invités : N.T. Binh Journaliste, critique, enseignant de cinéma (Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne)

This week Ben talks to Dr. Frederic Sautet about entrepreneurship and how it may help solve our current economic crisis.  Dr. Sautet is a professor of Economics, Management, and Entrepreneurship at The Catholic University of America.Don't forget to use promocode: SAFETRAVELS to get 15% off your orderVisit http://juanitas.etsy.com/ and get your map print today!

Après des semaines d’atermoiements et de polémiques, la France et l’Allemagne se sont finalement mises d’accord hier en faveur de la création d’un fonds de relance européen doté de 500 milliards d’euros et destiné à aider les régions, les secteurs et les pays les plus durement touchés par la crise du coronavirus. Un véritable « bond en avant », s'exclame Libération. « Sous l’égide de ce "couple franco-allemand" - dont on disait qu’il n’existait pas -, l’Union réaffirme sa volonté d’agir en commun contre la crise et, surtout, elle donne à cette volonté réitérée sa base sonnante et trébuchante. (…) Au-delà des modalités techniques, cette proposition est une date dans l’histoire de l’Union, se réjouit encore Libération : pour la première fois, il s’agit d’un transfert massif de ressources des économies les plus fortes en faveur des régions ou des pays les plus touchés. Certes, tempère le journal, il faut encore surmonter les réticences de certains pays du Nord. Certes, il faudra vérifier que tout cela profite bien, comme il est annoncé, à une relance au contenu écologique. Mais enfin, c’est le contraire de l’inaction, lance Libération. C’est surtout un bond en avant dans l’intégration qu’on jugeait totalement impossible il y a trois mois. » Merkel a sauté le pas Pour La Croix, « cet accord marque une rupture par rapport à la position traditionnelle de l’Allemagne. Celle-ci faisait valoir que l’UE n’avait pas été conçue comme une union de transfert – une entité politique où les États les plus riches compensent les insuffisances budgétaires des moins fortunés. Angela Merkel était restée catégorique durant la crise grecque. Cette fois, la chancelière a sauté le pas, pointe La Croix, devant le risque vertigineux d’un délitement de l’Union sous les effets de la pandémie et du choc économique créé par le confinement. (…) L’avancée est importante. La Commission européenne y est déjà prête. Il faudra obtenir l’unanimité des Vingt-Sept lors de négociations qui seront difficiles à Bruxelles et à ­Berlin. Le moteur franco-allemand, en tout cas, conclut La Croix, a retrouvé sa raison d’être. » Macron requinqué ? Pour Le Figaro, il s'agit là « d'un succès européen utile au président français » : « avec cet accord franco-allemand sur la possibilité d’une dette commune de l’Union européenne, Emmanuel Macron a fait d’un cauchemar économique le levier de son rêve européen. (…) Le retour du vieux couple franco-allemand, fût-ce pour un mariage de raison, est un gage de crédibilité, estime le journal, tant il a toujours été le préalable à toute avancée européenne. Leur accord ne rend pas tout possible, mais, sans leur entente, rien ne le serait. Pour Macron, un succès européen peut aussi, pointe encore Le Figaro, être un préalable à tout espoir de reconquête nationale. » Piccoli :  la carrière la plus impressionnante du cinéma français L'autre grand sujet du jour, c'est la disparition de Michel Piccoli... « Au revoir M. Piccoli », lance Le Parisien en première page. « Michel Piccoli s’est éteint le 12 mai dans les bras de sa femme Ludivine et de ses jeunes enfants Inord et Missia, des suites d’un accident cérébral », a sobrement indiqué sa famille hier. « Avec lui s’en va sans doute la carrière la plus impressionnante du cinéma hexagonal, lui qui a prêté sa silhouette majestueuse, ses sourcils broussailleux, son large front et sa voix envoûtante aux films de Jean-Luc Godard, Raoul Ruiz, Nanni Moretti, Jean-Pierre Melville, Alain Resnais, Jean Renoir, Luis Buñuel, Leos Carax, Claude Sautet, Jacques Demy et même Alfred Hitchcock dans L’Etau, tourné en anglais en 1969. (…) Michel Piccoli laisse derrière lui pas moins de 176 films et 49 pièces de théâtre... » « Rien ne l’ennuyait comme la facilité » Libération consacre tout son dossier d'ouverture, pas moins de 8 pages, à ce monstre sacré du cinéma français. « Il avait la normalité d’un bon oncle des familles et un charisme de prince calculateur, écrit Libération, aussi génial dans la désinvolture que dans l’élan amoureux, incarnation des affres bourgeoises chez Sautet et dynamiteur des bonnes mœurs chez Ferreri, à l’aise, à saut et gambade, enchaînant Mauvais Sang de Leos Carax et la Rumba de Roger Hanin, l’élixir et le navet. "Les réalisateurs me délèguent leurs secrets", aimait-il à dire en une belle formule où le comédien est à la fois boîte noire et machine à décrypter (…). » « Rien de ce qui peut se jouer ne semblait étranger à Piccoli, pointe pour sa part Le Figaro, peut-être parce que rien ne l’étonnait, dans l’homme, et qu’il avait définitivement accepté sa bizarrerie infinie en devenant comédien. (…) Et rien ne l’ennuyait comme la facilité. Exploiter le filon qui marche, non. "Dès que je voyais qu’une recette plaisait, ça me donnait envie d’en changer", disait-il. La curiosité l’a toujours mené. Elle a donné à sa vie un mélange de fantaisie et d’exigence qui ne manque pas de panache. » Enfin, la réaction de celle qui fut sa partenaire dans Le Mépris de Godard, Brigitte Bardot : « Il avait du talent, de l'humour, et il aimait mes fesses. Les derniers embruns de la Nouvelle vague l'ont emporté me laissant seule sur la plage abandonnée. »

durée : 00:20:46 - Le Journal de 19h - Il aime les fesses de Bardot chez Godard. Il meurt d'aérophagie chez Ferreri. Il engueule tout le monde chez Sautet. Il refuse d'être pape chez Moretti

durée : 00:58:35 - L'Atelier fiction - Après une rupture amoureuse, Lucie part seule dans la maison familiale : là-bas, en regardant les films de Claude Sautet, leurs histoires et leurs personnages, Lucie va se retrouver. - réalisation : Pascal Deux

durée : 00:04:09 - Pop N' Co - par : Rebecca Manzoni - Le duo Claude Sautet - Philippe Sarde est à l’affiche de "Pop N co". En 69, Claude Sautet a 45 ans et il se dit que le cinéma, c’est fini pour lui. Son dernier film est un échec. En 69, Philippe Sarde a 20 ans et il se dit que le cinéma est fait pour lui.

durée : 00:58:35 - L'Atelier fiction - Après une rupture amoureuse, Lucie part seule dans la maison familiale : là-bas, en regardant les films de Claude Sautet, leurs histoires et leurs personnages, Lucie va se retrouver. - réalisation : Pascal Deux

Actrice populaire, elle impose, depuis les années 1970, son énergie impétueuse sur le petit et le grand écran, inspirant les cinéastes les plus importants, de Tavernier à Lelouch, en passant par Resnais, Sautet, Deville ou Miller. En 1990, elle passe derrière la caméra avec succès et réalise une dizaine de films qui auscultent avec acuité la complexité des rapports humains, offrant plusieurs très beaux portraits de personnages aussi forts que fragiles. Animée par Michel Ciment Retrouvez #ArrasFilm sur Facebook, Twitter, Instagram.

“Le costume c’est un vrai fil, physique et texturé, pour raconter une histoire” Dans ce troisième épisode de Profession : costumière, le micro est tendu à Alice Cambournac, à qui l’on doit les costumes de DIVINES, COMMENT C’EST LOIN, LA PRIÈRE, FÊTE DE FAMILLE, mais aussi LES SAUVAGES, la série de Rebecca Zlotowski. Retrouvez Profession : costumière sur Instagram : @professioncostumiere  Un podcast signé Céleste Durante. La conversation en détails :  Alice Cambournac nous raconte comment elle est devenue créatrice de costumes de manière totalement autodidacte (00:40), comment son désir de devenir comédienne (3:00) s’est mu en vocation de costumière (3:24). Elle nous parle de sa rencontre fondatrice avec Bernadette Villard (4:15) qu’elle a assisté pour le théâtre puis le cinéma notamment pour LE GRAND MEAULNES. Alice Cambournac nous confie ce qui lui plaît le plus dans son métier : la recherche (8:05). Elle explique en quoi consiste l’AFCCA, l’Association Française des Costumiers du Cinéma et de l’Audiovisuel (12:44), de l’importance de défendre son savoir faire, de transmettre (14:00) et du projet d’une association européenne (14:40). Elle nous explique ensuite ce qui oppose en son sens radicalement la mode et le costume du cinéma (16:30). Alice Cambournac nous parle ensuite de quelques unes de ses réalisations les plus réussies : DIVINES (19:16), LA PRIÈRE (24:06) ou HISTOIRE DE JUDAS (29:10). Elle compare le travail sur des films d’époque et du contemporain (19:38). Elle nous parle des costumes qui lui ont donné envie de faire ce métier quand elle était petite (25:32) : AUTANT EN EMPORTE LE VENT, ANGÉLIQUE MARQ UISE DES ANGES puis plus grande BARRY LINDON, ELIZABETH, les films de Sautet, LE GRAND BLOND, LA BANQUIÈRE.  Alice Cambournac nous raconte ensuite sa rencontre avec Cédric Kahn (30:24), comment l’expérience de monteur de ce dernier influence son rapport à la couleur (32:10). Elle nous raconte comment elle a travaillé en symbiose avec les décors pour FÊTE DE FAMILLE (32:10), comment on lui a parlé des personnages du film (37:16) et notamment son travail sur celui d’Emmanuelle Bercot (37:36). Alice Cambournac nous parle ensuite de la conception de costumes pour Catherine Deneuve (41:55). Elle évoque ensuite le rapport entre le costume, le décor, la lumière, comment elle travaille en étroite collaboration avec les chefs de postes (44:50). Alice Cambournac évoque enfin LES SAUVAGES (49:00), de la spécificité de travailler sur une série de cette ambition, du personnage de Marina Foïs (55:55) pensé avec la réalisatrice et la comédienne comme un cowboy des temps moderne (58:00). Elle conclut l’entretien en parlant des types de projets qu’elle a envie de travailler prochainement (1:05:00)

Il y a des jours où les planètes s’alignent, et en ce mois de février 2019, l’équipe de Good Morning a eu la chance de réunir trois grands protagonistes de notre Mouvement.Yves ETIENNE, hydrogéologue et spécialiste en santé publique, ancien responsable de l’Assistance au Comité International de la Croix-Rouge et coordinateur du cours HELP,Richard GENS, Délégué pendant plus de quinze années à la Fédération Internationale des Sociétés de la Croix-Rouge et du Croissant-Rouge, ancien président territorial et Délégué en Mission International pour la Croix-Rouge française,Normand LESSARD, psychologue clinicien, responsable de la gestion du Stress au Comité International de la Croix-Rouge, ancien délégué de ce même comité et volontaire au sein de la Croix-Rouge Canadienne.Bref, on ne pouvait pas laisser passer cette occasion en or… On a donc installé 3 micros… et on a parlé de nos principes, d’Henry… Bref de notre Mouvement.Et parce que notre Mouvement, c’est une vraie famille, On a appelé cette émission, Henry, Gustave et les autres… En hommage au film presque éponyme de Sautet et d’Abadie.Henry, Gustave et les autresSur une idée originale de Maxime Thiebaut,A la technique Nadia ANWARUne émission enregistrée au Centre National de l’Albaron à Modane et réalisée par l’équipe de Good Morning Croix-RougeYves Etienne, vous êtes la voix de la sagesse et du Comité Internationale de la Croix-Rouge, bonjour,Trois mots pour définir votre voisin : terrain, Fédération et aussi de la Croix-Rouge française, Bonjour Richard GENS,Et enfin notre avis psy qui du Comité Internationale de la Croix-Rouge et mais aussi de la Croix-Rouge Canadienne, bonjour Normand LESSARDCette émission a été enregistrée au Centre National de l’Albaron à Modane en février 2019.A la technique Nadia ANWARL’équipe de Good Morning remercie chaleureusement Yves Etienne, Richard Gens et Normand Lessard pour leur participation à cette émission.Ce podcast vous a été proposé par Good Morning Croix-Rouge, l’émission de la Croix-Rouge faite par la Croix-Rouge. Retrouvez-nous sur vos plateformes de podcast préférées et abonnez-vous ! A bientôt ! Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.

CinéMaRadio aime l'ouvrage Danielle Darrieux Stradivarius de l’écran sorti en Octobre 2018 aux Éditions Un Autre Reg’Art. Le mercredi 14 Novembre, nous aurons la chance d'etre par téléphone avec l'auteur de ce formidable livre, Jean-Noël Grando, pour une émission spéciale Danielle Darrieux. L'ouvrage Danielle Darrieux, Stradivarius de l'écran est paru un an tout juste après la disparition de l'actrice. Le stradivarius de l'écran était son surnom donné dès le début de sa carrière par un journaliste. Et en 1982 alors que Danielle Darrieux précisait : « Je suis un instrument, il faut savoir jouer de moi, alors on sait en jouer ou on ne sait pas. », le réalisateur Jacques Demy rétorquait « Un instrument, oui, mais un Stradivarius ». Danielle Darrieux possède une imposante filmographie qui fourmille de pépites, elle tourna à Hollywood aux côtés du grand James Mason dans "L'affaire Ciceron" ou dans le superbe "Landru", signé Claude Chabrol. De nombreux chefs-d’œuvre ont marqué des générations de spectateurs pour au total quasiment 80 ans de cinéma, 103 films, une cinquantaine de pièces de théâtre, des dizaines de chansons.... Dans cet ouvrage on retrouvera de nombreux repères biographiques et on (re)découvrira les réalisateurs importants qui ont jalonné sa carrière : Ophüls, Autan-Lara, Decoin, Duvivier, Wilder, Siodmak, Mankiewicz, Demy, Sautet, Ozon... La préface du livre est signée de la main de l'écrivain, scénariste, conteur, acteur et réalisateur Jean-Claude Carrière qui a travaillé avec les plus grands (Jacques Tati, Luis Buñuel, Jeanne Moreau, Jacques Deray, etc) et Danielle Darrieux. Retrouve un podcast spécial “Danielle Darrieux” avec l'interview de l'auteur Jean-Noël Grando à partir du mercredi 14 novembre et gagne cet ouvrage “Danielle Darrieux Stradivarius de l’écran”, paru aux Éditions Un Autre Reg’Art, en écoutant la webradio du cinéma CinéMaRadio. Dès que résonne la mention “CinéMaRadio Aime le Cinéma de Danielle Darrieux” suivie d'une chanson chantée par Danielle Darrieux, envoie un petit mail sur contact@lafabrikaudio.com et repars peut-être avec un exemplaire du livre. Bonne chance !