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Les demandes de crédits hypothécaires en plein boom depuis le début de l'année. Merci pour votre écoute N'hésistez pas à vous abonner également aux podcasts des séquences phares de Matin Première: L'Invité Politique : https://audmns.com/LNCogwPL'édito politique « Les Coulisses du Pouvoir » : https://audmns.com/vXWPcqxL'humour de Matin Première : https://audmns.com/tbdbwoQRetrouvez tous les contenus de la RTBF sur notre plateforme Auvio.be Retrouvez également notre offre info ci-dessous : Le Monde en Direct : https://audmns.com/TkxEWMELes Clés : https://audmns.com/DvbCVrHLe Tournant : https://audmns.com/moqIRoC5 Minutes pour Comprendre : https://audmns.com/dHiHssrEt si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Nesse episódio, Gabriel Carvalho recebe Rômulo Caires para falar sobre a história do movimento sanitarista, as teorias críticas a respeito das políticas de saúde, a apresentação dessa problemática na literatura brasileira e sua continuidade nas políticas contemporâneas de saúde no Brasil.
Le Barreau des arts fête ses cinq ans. Cette association française fondée par de jeunes avocats apporte une aide bénévole aux artistes précaires et notamment aux artistes étrangers. Droit d'auteur, droit à l'image, droits voisins, les artistes sont souvent démunis face aux acteurs de l'industrie culturelle. Le Barreau des arts leur offre des analyses et des conseils gratuitement. Avijit Gosh est un peintre indien. Il vit dans un petit studio du 13e arrondissement de Paris. L'an dernier, il a fait appel aux avocats du Barreau des arts, alors qu'un imprimeur prétendait avoir des droits sur ses peintures. « Pour moi, c'est vraiment une bonne expérience. Quelqu'un, une société, une organisation m'a écouté », se réjouit-il.Les avocats du Barreau des arts ont étudié son dossier, puis ont adressé une lettre à l'imprimeur qui a abandonné ses demandes infondées. L'association gère ainsi une centaine de dossiers par an. Musiciens, plasticiens, comédiens, écrivains, tous les domaines artistiques sont concernés. « Nous allons prendre en compte deux critères : le fait que ce soit du droit d'auteur, et que cela réponde aux critères de l'aide juridictionnelle, puisque l'on va aider des artistes en situation de précarité. Ensuite, on va transmettre le dossier à un étudiant bénévole qui va travailler dessus, appeler l'artiste, réunir des pièces complémentaires. Puis, à un avocat qui va prendre le temps de conseiller de manière personnalisée l'artiste sur sa problématique », détaille Corentin Schimel, juriste et photographe, l'un des cofondateurs de l'association. Être en position de négocier pour l'artiste Le Barreau des arts intervient sur les questions de droits d'auteurs uniquement, les contrats, leurs déséquilibres possibles, les questions de plagiat et de contrefaçon. « Je pense que ce que l'on fait, c'est donner des outils pour que l'artiste se sente en mesure de négocier face, parfois, à une institution ou un partenaire plus fort entre guillemets ou qui est accompagné juridiquement. Et donc d'être dans une position pour négocier », estime Lucie Tréguier, cofondatrice et présidente du Barreau des arts. L'idée générale est d'éviter d'aller jusqu'au procès. La plupart des cas se résolvent par la négociation. « Ce sera du règlement amiable du dossier, donc on va aiguiller la personne en lui disant : "Voilà, on te conseille de faire valoir tes droits de telle manière, de revendiquer tel fondement", et puis d'aller discuter avec la personne pour essayer de s'arranger. Surtout dans le domaine de la musique qui s'y prête beaucoup », constate Aurélie Leroy, avocate.Soixante-quinze avocats collaborent avec le Barreau des arts. Tous le font pro bono, c'est-à-dire bénévolement. « Je pense que c'est une bonne balance avec notre métier d'avocat. Ce que l'on propose dans le cadre du barreau des arts, c'est vraiment d'aider les plus précaires qui n'auraient pas accès au droit. Et dans ma vision du métier, c'est quelque chose qui est important », confie Lucie Tréguier. Dans les rares cas où l'artiste est obligé de faire appel aux tribunaux pour trancher un litige, le Barreau des arts peut faire jouer le droit de suite et obtenir une prise en charge des frais d'avocat de leur bénéficiaire.À lire aussiFrance: rapport accablant d'une commission d'enquête sur les violences dans le milieu artistique
Le Barreau des arts fête ses cinq ans. Cette association française fondée par de jeunes avocats apporte une aide bénévole aux artistes précaires et notamment aux artistes étrangers. Droit d'auteur, droit à l'image, droits voisins, les artistes sont souvent démunis face aux acteurs de l'industrie culturelle. Le Barreau des arts leur offre des analyses et des conseils gratuitement. Avijit Gosh est un peintre indien. Il vit dans un petit studio du 13e arrondissement de Paris. L'an dernier, il a fait appel aux avocats du Barreau des arts, alors qu'un imprimeur prétendait avoir des droits sur ses peintures. « Pour moi, c'est vraiment une bonne expérience. Quelqu'un, une société, une organisation m'a écouté », se réjouit-il.Les avocats du Barreau des arts ont étudié son dossier, puis ont adressé une lettre à l'imprimeur qui a abandonné ses demandes infondées. L'association gère ainsi une centaine de dossiers par an. Musiciens, plasticiens, comédiens, écrivains, tous les domaines artistiques sont concernés. « Nous allons prendre en compte deux critères : le fait que ce soit du droit d'auteur, et que cela réponde aux critères de l'aide juridictionnelle, puisque l'on va aider des artistes en situation de précarité. Ensuite, on va transmettre le dossier à un étudiant bénévole qui va travailler dessus, appeler l'artiste, réunir des pièces complémentaires. Puis, à un avocat qui va prendre le temps de conseiller de manière personnalisée l'artiste sur sa problématique », détaille Corentin Schimel, juriste et photographe, l'un des cofondateurs de l'association. Être en position de négocier pour l'artiste Le Barreau des arts intervient sur les questions de droits d'auteurs uniquement, les contrats, leurs déséquilibres possibles, les questions de plagiat et de contrefaçon. « Je pense que ce que l'on fait, c'est donner des outils pour que l'artiste se sente en mesure de négocier face, parfois, à une institution ou un partenaire plus fort entre guillemets ou qui est accompagné juridiquement. Et donc d'être dans une position pour négocier », estime Lucie Tréguier, cofondatrice et présidente du Barreau des arts. L'idée générale est d'éviter d'aller jusqu'au procès. La plupart des cas se résolvent par la négociation. « Ce sera du règlement amiable du dossier, donc on va aiguiller la personne en lui disant : "Voilà, on te conseille de faire valoir tes droits de telle manière, de revendiquer tel fondement", et puis d'aller discuter avec la personne pour essayer de s'arranger. Surtout dans le domaine de la musique qui s'y prête beaucoup », constate Aurélie Leroy, avocate.Soixante-quinze avocats collaborent avec le Barreau des arts. Tous le font pro bono, c'est-à-dire bénévolement. « Je pense que c'est une bonne balance avec notre métier d'avocat. Ce que l'on propose dans le cadre du barreau des arts, c'est vraiment d'aider les plus précaires qui n'auraient pas accès au droit. Et dans ma vision du métier, c'est quelque chose qui est important », confie Lucie Tréguier. Dans les rares cas où l'artiste est obligé de faire appel aux tribunaux pour trancher un litige, le Barreau des arts peut faire jouer le droit de suite et obtenir une prise en charge des frais d'avocat de leur bénéficiaire.À lire aussiFrance: rapport accablant d'une commission d'enquête sur les violences dans le milieu artistique
In this episode of the ASIAL Security Insider podcast, we dive into the newly released ASIAL Security Industry Licensing Report 2025—a data-packed snapshot of where Australia's private security sector stands today. The numbers are up, the stakes are high, and one thing's clear: the role of private security in national safety is bigger than ever. But is the industry ready for what's next? To help us with our discussion, we are joined by Bryan de Caires, Chief Executive Officer of ASIAL (The Australian Security Industry Association Limited) and Tony Keane, Head of Integrity and Security at the Australian Football League.
Si vous aimez "Dans les yeux d'Olivier", le podcast qui donne la parole à ceux qui ne l'ont jamais, laissez des étoiles et des commentaires sur votre plateforme d'écoute préférée ![REDIFFUSION] Olivier Delacroix part à la rencontre de Max-Antoine, étudiant en master d'histoire. Ce jeune étudiant a été contraint d'abandonner ses études par manque de moyens. Max-Antoine perçoit une bourse à hauteur de 4.000 euros par an mais avec son logement à payer, l'étudiant ne parvient pas à joindre les deux bouts et n'a d'autres choix que de sauter des repas. L'année suivante, il doit absolument trouver un job étudiant pour subvenir à ses besoins car ses aides sont de moins en moins importantes. Mais les offres se font rares, d'autant plus que la crise du covid vient tout juste de passer par là… Le jeune homme se voit dans l'obligation d'accepter un emploi à temps plein à l'usine et d'abandonner ses études… Max-Antoine a accepté de confier son histoire dans cet épisode du podcast "Dans les yeux d'Olivier" produit par Europe 1.
Si vous aimez "Dans les yeux d'Olivier", le podcast qui donne la parole à ceux qui ne l'ont jamais, laissez des étoiles et des commentaires sur votre plateforme d'écoute préférée ![REDIFFUSION] Olivier Delacroix part à la rencontre de Déborah. À 24 ans, cette étudiante a du mal à boucler les fins de mois malgré son emploi étudiant. La jeune fille grandit dans un quartier populaire de Marseille. Élève brillante, elle est admise à la prestigieuse université de la Sorbonne à Paris en double cursus de sociologie et philosophie. Mais la jeune femme est vite rattrapée par le coût de la vie dans la capitale. L'aide au logement et sa bourse lui permettent tout juste de payer son appartement. À côté, Déborah travaille donc en tant que bibliothécaire. Un revenu qui lui permet tout juste de payer sa nourriture. Pour boucler les fins de mois, Déborah a trouvé refuge auprès de l'association "Cop1" qui offre des denrées aux personnes dans le besoin. Néanmoins, cette précarité a un grand impact sur ses résultats scolaires et sur sa santé… Déborah a accepté de confier son histoire dans cet épisode du podcast "Dans les yeux d'Olivier" produit par Europe 1.
Si vous aimez "Dans les yeux d'Olivier", le podcast qui donne la parole à ceux qui ne l'ont jamais, laissez des étoiles et des commentaires sur votre plateforme d'écoute préférée ![REDIFFUSION] Olivier Delacroix part à la rencontre de Perlina. Depuis son enfance, la jeune étudiante en école d'infirmière vit dans la précarité. Depuis le divorce de ses parents quand elle avait sept ans, elle vit dans la crainte du manque d'argent. Les difficultés financières de sa famille ont entraîné un isolement social et une dépression à l'adolescence. Malgré ces épreuves, la jeune fille a trouvé sa voie dans le secteur médical et est entrée en école d'infirmière. Pour financer ses études, elle enchaîne les petits boulots, mais découvre rapidement qu'elle est atteinte d'un cancer. L'étudiante doit alors faire face à la maladie tout en poursuivant ses études et en travaillant. Perlina a accepté de confier son histoire dans cet épisode du podcast "Dans les yeux d'Olivier" produit par Europe 1.
In August 2020, the Queensland Security Industry Workforce Development Plan was released, which identified significant challenges and opportunities from emerging technologies, evolving licensing requirements, changing workforce demographics and adjustments to training packages.Coupled with the increasing complexity of the profession and the significant role that the industry plays in keeping Queenslanders safe, the security industry faces the momentous task of maintaining day-to-day operations while scaling up in preparation for the 2032 Olympic Games.In this episode of the ASIAL Security Insider podcast, we speak with Bernie Hogan and Bryan de Caires about how the security industry can plan for what we know is coming, be ready to adapt along the way, and how can you get involved?” Mr Bernie Hogan, Jobs Queensland Board Member and Chief executive of the Queensland Hotels Association, the peak industry body representing the hotels, hospitality and tourism accommodation sector in Queensland.Bernie has enjoyed a career in advocacy, media and government, working his way up from his start behind the bar. He is passionate about his industry, the people within it, and associated industries like the security industry. Bryan de Caires is the Chief Executive Office of ASIAL (Australian Security Industry Limited), the peak body for security professionals.People interested in registering their interest in the free Grow Your Own program can visit: usc.edu.au/sesp For more information, visit www.asial.com.au
Il y a un mois, le cyclone Chido dévastait Mayotte et faisait au moins 39 morts et plus de 5 000 blessés, selon le dernier bilan. D'abord coupé du monde, l'archipel panse maintenant ses plaies. Le gouvernement assure que 70% des foyers ont retrouvé l'électricité, mais dans les faits, les conditions de vie restent très difficiles. Entre débrouille et frustration, Raphaël Delvolvé a recueilli quelques impressions de Mahorais rencontrés sur place. Depuis Chido, deux sons raisonnent plus que les autres à Mayotte : celui de la taule et celui des tronçonneuses. Les opérations de déblayage continuent dans l'archipel, où aucun endroit ne semble épargné. « Cette fois-ci, ça a vraiment frappé l'île en plein fouet. Vous voyez les dégâts », relève Aramadi Salim, un chauffeur. Il conduit des camions le matin et l'après-midi un taxi à Mamoudzou, la préfecture.Dans ces décors de végétation détruite et de routes jonchées de débris et de déchet, Aramadi Salim voit une très légère amélioration : « Ça commence à changer. On a fait une semaine dans le noir et sans eau. On se débrouillait par-ci et par là pour trouver de l'eau. Depuis que l'électricité est revenue, ça va. » Il a repris son travail avec beaucoup de contraintes : « Rien que pour avoir le carburant, il faut faire la queue comme pas possible. »Ce semblant de retour à la normale n'existe qu'à Mamoudzou. Au nord de l'archipel, touché par l'œil du cyclone, les choses sont bien plus compliquées. « Le bateau, c'est mon outil de travail. Si je n'ai pas de bateau, je ne peux pas travailler », confie un pêcheur, devant une baie ou la plupart des bateaux sont retournés. Cet homme venu de la ville d'Hamjago se sent abandonné : « On est un petit peu exclu de la zone Mamoudzou, même au niveau des informations. » À lire aussiCyclone Chido à Mayotte: «Le bilan officiel se stabilise peu à peu»L'immigration clandestine pèse dans la reconstructionL'information est sans doute ce qu'il y a de plus précieux après l'eau et la nourriture à Mayotte. Les contacts avec les autorités et les assurances demeurent par endroit impossible. Et les doutes se renforcent. « Pourquoi ils cachent la vérité ? La moitié de la population d'Hamjago n'a pas l'électricité », s'agace Faoulati, mère de famille. Dans sa tenue traditionnelle, elle laisse exploser sa colère : « C'est inhumain. Les aides qui sont arrivées, on ne les voit pas ici, au nord. Tout est concentré sur les bidonvilles qui regroupent des personnes rentrées illégalement sur le territoire. Et nous, on compte pour rien. »Les bidonvilles, appelés ici bangas, sont le symbole d'un autre problème de Mayotte : l'immigration clandestine venue en grande partie des Comores. Le sentiment de surpeuplement des quelques 374 km² du territoire et de saturation des services publics s'est renforcé après le cyclone dans les zones les plus reculées.Mari Atibou, qui habite le sud de Mayotte, lâche : « C'est un grand problème qu'il y a Mayotte en ce moment. Quand on regarde, tous les bangas sont déjà montés. C'est le moment de régler tout ça. » Lors de sa venue il y a deux semaines, le Premier ministre François Bayrou a promis outre de s'attaquer à la question migratoire, mais aussi de reconstruire Mayotte en deux ans.À lire aussiMoins d'un mois après le cyclone Chido, Mayotte affronte la tempête tropicale Dikeledi
durée : 00:03:03 - Pau Charity prend soin des plus précaires en ce début d'année 2025
durée : 00:02:50 - Le grand format - Emmanuel Macron a promis de mettre fin aux bidonvilles de Mayotte, après que l'île a été dévastée par le cyclone Chido. Mais beaucoup d'habitants ont déjà commencé à reconstruire leurs habitations de fortune.
Des mamans africaines et leurs bébés aux Restos du Cœur. Environ 10 % des bénéficiaires des Restos du Cœur sont des bébés et 128 000 enfants de moins de 3 ans ont passé les portes des Restos en 2023-2024. Devant une hausse préoccupante des demandes, les Restos du Cœur élargissent leur accompagnement des familles précaires, notamment des plus petits, et lancent leur 40ème campagne nationale. L'association Resto Bébé du cœur située au centre de Paris, à deux pas de l'église saint Roch, est unique en son genre, car elle reçoit les bénéficiaires – essentiellement des mamans étrangères sans ressources – sur inscription, toute l'année. Avec une permanence le mardi et le jeudi. La structure compte 120 familles inscrites et reçoit environ 35 mamans par semaine. ► Opération Restos Bébés du CoeurÀ écouter aussiFrance : les pouvoirs publics ont-ils abandonné les classes populaires ?
Ecoutez Le journal RTL avec Olivier Boy du 19 novembre 2024.
Dans ce nouvel épisode, Jessica Lavoie accueille en studio Charles Brant, directeur de l'analyse de marché à l'APCIQ. Ensemble, ils discutent de l'impact de l'allongement de l'amortissement des hypothèques assurables dans un contexte de baisse des taux d'intérêt et des implications pour les acheteurs potentiels, les propriétaires actuels et le marché immobilier en général.
L'impact de la guerre au Moyen-Orient sur le prix du baril de pétrole brut. Qu'est-ce qui détermine les taux variables et les taux fixes offerts par les banques? Est-il possible que le taux fixe et le taux variable évolue dans une direction inverse? Devenez un insider de la firme Traders 360: https://traders360.ca/product/infolettre-analyse-360 En savoir plus sur l'investissement en bourse: https://traders360.ca/product/initiation-au-trading/ Suivez-moi sur Instagram & TikTok IG: alextraders360 TikTok: alexdemers360
Écoutez Michèle Boisvert commenter l'actualité économique au micro de Philippe Cantin.Voir https://www.cogecomedia.com/vie-privee pour notre politique de vie privée
Conseils et suggestions // Pour la saison 3 des Enquêtes de la Fabrique du français, les inspectrices : Avouarre FROAS-DANLDEAUX, Avwarhune PEURBLEUX et Omon DILLEUX ainsi que les inspecteurs : Bland KAUMINLINGE, Avouard DAIFRYSON et Alla VAHACHE ont résolu le mystère du Musée Henri Pollès en menant l'enquête à tous les étages de la Bibliothèque des Champs Libres.
Quand le patron de la première banque du pays se plaint, j'ai tendance à tendre l'oreille. Et de quoi se plaint le patron de BNP Paribas Fortis ? Eh bien, du fait que les prêts hypothécaires ne sont plus rentables pour lui, ou en tout cas pour sa banque. Il l'a dit il y a quelques jours, en marge de la présentation de ses résultats, il a constaté un repli de 70% des marges réalisées sur ses crédits hypothécaires. Et il n'est pas le seul à se plaindre. Les autres banques ne se sont pas exprimées formellement sur le thème, mais toutes reconnaissent qu'il y a une concurrence féroce sur les crédits hypothécaires et qu'en gros, tout le secteur belge y perd sa culotte. Dis comme ça, ça semble étonnant pour le commun des mortels, vu que les résultats des banques belges sont excellents et qu'elles ont réalisé plusieurs milliards d'euros de bénéfices. Mais il n'empêche, les banques belges se plaignent donc de cette concurrence exacerbée sur le marché hypothécaire. Et qui est encore plus exacerbée, car pour récupérer les 22 milliards d'euros qui étaient partis l'an dernier vers le bon d'Etat, toutes les banques se sont mises à séduire ou à draguer les clients en leur offrant une hausse de la rémunération des produits d'épargne. Et ce qui rend donc la rentabilité des crédits hypothécaires encore plus problématique, c'est que par le passé, lorsque les taux d'intérêt étaient bas, les banques belges ont octroyé une majorité de crédits à taux fixe à un taux moyen de 2,2%. Maintenant qu'elles peuvent enfin augmenter le taux moyen demandé, ces mêmes banques nous disent qu'elles se retrouvent coincées par la concurrence féroce du secteur sur le marché des crédits hypothécaires. En résumé, si on comprend bien nos banquiers, le prêt hypothécaire est passé en quelques années du statut enviable de produit rentable au statut de produit d'appel. Un produit d'appel pour nous coincer essentiellement, pour nous fidéliser puisqu'une fois qu'un client a souscrit un prêt hypothécaire, il est fidélisé. Mais est-ce à dire que les banquiers perdent de l'argent ? Mots-Clés : salaire, domicilié, forme, inertie, naturelle, marges intéressantes, multiples commissions, frais prélevés, responsable, communication, message, bons d'Etat, citoyen, profits plantureux, constat, service bancaire, agences, exceptions, prétexte, Covid, distributeurs, cash, surréalisme, belge, gouvernement, loi interdisant, commerçant, refuser, paiement, cash, liquide, sportif, drame du siècle, entreprises, service client, centre, réalité, réalité, secteur, humain, e-mail, possible, mécontent, Talleyrand, pauvres. --- La chronique économique d'Amid Faljaoui, tous les jours à 8h30 et à 17h30. Merci pour votre écoute Pour écouter Classic 21 à tout moment i: https://www.rtbf.be/radio/liveradio/classic21 ou sur l'app Radioplayer Belgique Retrouvez tous les épisodes de La chronique économique sur notre plateforme Auvio.be :https://auvio.rtbf.be/emission/802 Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Découvrez nos autres podcasts : Le journal du Rock : https://audmns.com/VCRYfsPComic Street (BD) https://audmns.com/oIcpwibLa chronique économique : https://audmns.com/NXWNCrAHey Teacher : https://audmns.com/CIeSInQHistoires sombres du rock : https://audmns.com/ebcGgvkCollection 21 : https://audmns.com/AUdgDqHMystères et Rock'n Roll : https://audmns.com/pCrZihuLa mauvaise oreille de Freddy Tougaux : https://audmns.com/PlXQOEJRock&Sciences : https://audmns.com/lQLdKWRCook as You Are: https://audmns.com/MrmqALPNobody Knows : https://audmns.com/pnuJUlDPlein Ecran : https://audmns.com/gEmXiKzRadio Caroline : https://audmns.com/WccemSkAinsi que nos séries :Rock Icons : https://audmns.com/pcmKXZHRock'n Roll Heroes: https://audmns.com/bXtHJucFever (Erotique) : https://audmns.com/MEWEOLpEt découvrez nos animateurs dans cette série Close to You : https://audmns.com/QfFankx
Amid Faljaoui nous dévoile les coulisses des entreprises et passe en revue les grands événements de l'actualité économique. Merci pour votre écoute Vous pouvez nous écouter à tout moment sur www.rtbf.be/musiq3 Retrouvez tous les contenus de la RTBF sur notre plateforme Auvio.be : Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement.
L'inflation ralentit à 2,0% au Canada. Le projet de loi 72 du gouvernement du Québec pour aider les consommateurs. Le gouvernement Trudeau permet l'amortissement sur 30 ans pour tous les premiers acheteurs ainsi que pour tous ceux qui achètent une maison neuve. Devenez un insider de la firme Traders 360: https://traders360.ca/product/infolettre-analyse-360 Suivez-moi sur Instagram & TikTok IG: alextraders360 TikTok: alexdemers360
Olá olá! Hoje trouxemos mais um episódio pra série Vida no Exterior. Dessa vez, bem emocionante, a mãe da Steph veio falar como foi a experiência dela quando a filha mudou de país. Ouçam e fiquem atentos a segunda parte, quando a mãe da Yas vem também pra contar a perspectiva dela.
Au Japon, le gouvernement vient d'annoncer qu'il allait élaborer, en procédure dite « d'extrême urgence », un grand plan de lutte contre la pauvreté infantile. Car dans la quatrième économie mondiale, qui est aussi un des pays les plus riches d'Asie, beaucoup d'enfants ne mangent plus à leur faim depuis le début des grandes vacances. Les écoles étant fermées, ils ne bénéficient plus du repas de midi qui leur est servi à la cantine tout au long de l'année. L'archipel affiche un taux de pauvreté nettement plus élevé que la moyenne des pays industrialisés. Et cette précarisation s'aggrave en raison de l'inflation : de l'envolée du prix des produits alimentaires, en particulier. De notre correspondant à Tokyo,Au Japon, dans plus d'une famille démunie sur trois (34%), on ne fait plus que deux repas par jour depuis le début des vacances scolaires. Le plus souvent, faute de moyens, on fait l'impasse sur le déjeuner. Quitte à dîner dès 17h30, car en fin d'après-midi, les enfants sont affamés.Ces deux mamans viennent de faire une heure de queue sous un soleil de plomb afin de bénéficier de la distribution gratuite de cinq kilos de riz aux familles défavorisées. « Je culpabilise énormément, se désole l'une d'elles, car, même si mes enfants sont adorables, donc veillent à ne pas se plaindre, je vois bien qu'ils ne mangent pas assez. C'est terrible. Je me sens vraiment une mauvaise mère. Mais je n'ai pas le choix. Je ne vais tout de même pas aller voler dans les magasins... » Quant à l'autre mère de famille, elle se résigne à ne pouvoir faire que de son mieux : « J'essaie de donner assez à manger à mon petit garçon, mais bon, les repas équilibrés, ça, ce n'est plus du tout dans mes moyens. Les fruits et légumes, par exemple, sont devenus hors de prix. »Les banques alimentaires sans stockCet été à Tokyo, on a beaucoup vu, à l'entrée des supermarchés, des bénévoles travaillant pour des banques alimentaires implorer les clients venus faire leurs courses d'acheter puis de leur faire don de pâtes, de riz ou de nouilles.Car les stocks de ces banques ont fondu comme neige au soleil, comme l'explique ce responsable : « Notre entrepôt se vide à vue d'œil. Si ça continue, on va devoir fermer boutique. C'est dû à deux choses. D'abord, on n'a jamais été autant sollicités : on croule sous les demandes d'aides. Et puis, on reçoit beaucoup moins de dons qu'avant. Les particuliers sont moins généreux depuis l'envolée des prix des produits alimentaires... »À lire aussiLe Japon s'attaque aux méfaits du tourisme de masse malgré ses besoins économiquesCe qui sauve beaucoup de ménages défavorisés, ce sont les « kodomo shokudô », à savoir les réfectoires tenus par des associations et où, deux ou trois fois par semaine, les enfants peuvent se restaurer à prix modique : 3 à 400 yens (2 à 3 euros) le repas complet.Ces écoliers s'y rendent très régulièrement, comme ce garçonnet : « Papa est au chômage depuis un an donc, à la maison, on se serre la ceinture... ». Une fillette se réjouit d'une donation : « J'ai reçu des bonbons et une glace ! Cela faisait des semaines que je n'en avais plus mangé. »« Cette flambée des prix qui affame »Cet assistant social est particulièrement inquiet : « Au Japon, 40% des salariés n'ont qu'un emploi précaire et un ménage sur six peine à joindre les deux bouts. Ces gens qui sont sur la corde raide en temps normal sont susceptibles de basculer dans la précarité quand survient un accident. C'est ce qu'on vit pendant la pandémie : des jeunes qui avaient perdu leur emploi et ne pouvaient plus payer leur loyer en ont été réduits à dormir dans des cybercafés. Et c'est ce qu'on voit maintenant avec cette flambée des prix qui affame les plus défavorisés... »À en croire un récent sondage, 60% des familles japonaises les plus démunies souhaiteraient que les grandes vacances soient réduites au minimum – une ou deux semaines, pas plus. Car ces congés scolaires aussi longs nuisent à la santé nutritionnelle de leurs enfants.À lire aussiJapon: un typhon «très fort» touche la région de Tokyo, le réseau électrique et l'aviation touchés
Au Japon, le gouvernement vient d'annoncer qu'il allait élaborer, en procédure dite « d'extrême urgence », un grand plan de lutte contre la pauvreté infantile. Car dans la quatrième économie mondiale, qui est aussi un des pays les plus riches d'Asie, beaucoup d'enfants ne mangent plus à leur faim depuis le début des grandes vacances. Les écoles étant fermées, ils ne bénéficient plus du repas de midi qui leur est servi à la cantine tout au long de l'année. L'archipel affiche un taux de pauvreté nettement plus élevé que la moyenne des pays industrialisés. Et cette précarisation s'aggrave en raison de l'inflation : de l'envolée du prix des produits alimentaires, en particulier. De notre correspondant à Tokyo,Au Japon, dans plus d'une famille démunie sur trois (34%), on ne fait plus que deux repas par jour depuis le début des vacances scolaires. Le plus souvent, faute de moyens, on fait l'impasse sur le déjeuner. Quitte à dîner dès 17h30, car en fin d'après-midi, les enfants sont affamés.Ces deux mamans viennent de faire une heure de queue sous un soleil de plomb afin de bénéficier de la distribution gratuite de cinq kilos de riz aux familles défavorisées. « Je culpabilise énormément, se désole l'une d'elles, car, même si mes enfants sont adorables, donc veillent à ne pas se plaindre, je vois bien qu'ils ne mangent pas assez. C'est terrible. Je me sens vraiment une mauvaise mère. Mais je n'ai pas le choix. Je ne vais tout de même pas aller voler dans les magasins... » Quant à l'autre mère de famille, elle se résigne à ne pouvoir faire que de son mieux : « J'essaie de donner assez à manger à mon petit garçon, mais bon, les repas équilibrés, ça, ce n'est plus du tout dans mes moyens. Les fruits et légumes, par exemple, sont devenus hors de prix. »Les banques alimentaires sans stockCet été à Tokyo, on a beaucoup vu, à l'entrée des supermarchés, des bénévoles travaillant pour des banques alimentaires implorer les clients venus faire leurs courses d'acheter puis de leur faire don de pâtes, de riz ou de nouilles.Car les stocks de ces banques ont fondu comme neige au soleil, comme l'explique ce responsable : « Notre entrepôt se vide à vue d'œil. Si ça continue, on va devoir fermer boutique. C'est dû à deux choses. D'abord, on n'a jamais été autant sollicités : on croule sous les demandes d'aides. Et puis, on reçoit beaucoup moins de dons qu'avant. Les particuliers sont moins généreux depuis l'envolée des prix des produits alimentaires... »À lire aussiLe Japon s'attaque aux méfaits du tourisme de masse malgré ses besoins économiquesCe qui sauve beaucoup de ménages défavorisés, ce sont les « kodomo shokudô », à savoir les réfectoires tenus par des associations et où, deux ou trois fois par semaine, les enfants peuvent se restaurer à prix modique : 3 à 400 yens (2 à 3 euros) le repas complet.Ces écoliers s'y rendent très régulièrement, comme ce garçonnet : « Papa est au chômage depuis un an donc, à la maison, on se serre la ceinture... ». Une fillette se réjouit d'une donation : « J'ai reçu des bonbons et une glace ! Cela faisait des semaines que je n'en avais plus mangé. »« Cette flambée des prix qui affame »Cet assistant social est particulièrement inquiet : « Au Japon, 40% des salariés n'ont qu'un emploi précaire et un ménage sur six peine à joindre les deux bouts. Ces gens qui sont sur la corde raide en temps normal sont susceptibles de basculer dans la précarité quand survient un accident. C'est ce qu'on vit pendant la pandémie : des jeunes qui avaient perdu leur emploi et ne pouvaient plus payer leur loyer en ont été réduits à dormir dans des cybercafés. Et c'est ce qu'on voit maintenant avec cette flambée des prix qui affame les plus défavorisés... »À en croire un récent sondage, 60% des familles japonaises les plus démunies souhaiteraient que les grandes vacances soient réduites au minimum – une ou deux semaines, pas plus. Car ces congés scolaires aussi longs nuisent à la santé nutritionnelle de leurs enfants.À lire aussiJapon: un typhon «très fort» touche la région de Tokyo, le réseau électrique et l'aviation touchés
Participer aux Jeux olympiques constitue probablement le rêve de tout athlète. Mais pour certains sportifs cela représente aussi une porte vers l'exil. Comme pour cette judokate cubaine qui aurait profité des JO de Paris pour rester en France. Mais cet épisode n'a rien d'un cas isolé et Cuba fait face depuis plusieurs années à une véritable défection de ses athlètes qui se servent des compétitions internationales pour abandonner leur pays. L'année dernière, lors des Jeux Panaméricains de Santiago, onze sportifs cubains ont déserté leur délégation pour rester au Chili. Yunerki Ortega est un sportif dans l'âme. Assis à la terrasse d'un café, il raconte avoir commencé enfant avec le karaté. Mais après un accident à l'âge de 15 ans, il perd la vue, se tourne alors vers la natation et devient nageur paralympique. « J'ai intégré la sélection nationale de Cuba à 16 ans, soit un an et six mois après avoir perdu la vue. C'est alors qu'a commencé une longue carrière de plus de 10 ans en sélection nationale », dit-il. Une carrière durant laquelle il remporte plusieurs titres panaméricains, il est même finaliste sur plusieurs courses aux JO de Londres et de Rio. « Je n'oublierais jamais cette première impression des Jeux paralympiques à Londres en 2012. C'est gravé dans mon cœur, comme quelque chose de grandiose pour moi », raconte-t-il.Mais il se souvient aussi des conditions d'entrainement très difficiles à Cuba. « L'alimentation était très mauvaise par rapport à nos niveaux d'entrainement. Très souvent, c'était un peu de riz et un œuf… Des fois après l'entrainement, ou même pendant, je m'évanouissais. Mais on se forçait pour être à niveau, car on nous disait : "Si tu ne fais pas ce que l'on attend de toi, tu es viré de la sélection". Cette menace planait sur moi en permanence ».La décision de déserterAlors comme de nombreux athlètes cubains avant lui, Yunerki prend la décision difficile de déserter sa délégation. Ce sera lors des Jeux panaméricains de Santiago, fin 2023. « Un athlète mexicain m'a aidé à m'échapper. On a attendu que le gardien de sécurité s'en aille et vers 4-5 heures du matin, on a pu sortir. On a pris le premier bus d'athlètes qui allait vers la piscine et une fois arrivés là-bas je suis monté dans un taxi. J'ai demandé au chauffeur qu'il m'emmène le plus loin possible et pendant deux heures, nous avons parcouru toute la ville de Santiago », explique-t-il.La peur de se faire attraper et l'angoisse d'être dans un pays totalement inconnu ne l'ont pas arrêté pour autant, malgré des débuts compliqués. « J'ai dormi dans la rue plusieurs jours. Tout ça pour moi, c'est comme renaître à nouveau. Je dois apprendre énormément de nouvelles choses. Mon cerveau doit analyser chaque espace et chaque nouveau lieu où je vais. À un moment, je me suis sincèrement demandé si j'y arriverais ».La renaissance au ChiliMais Yunerki n'a rien lâché et grâce à des mains tendues et quelques contacts, il a réussi à trouver du travail et même a intégré la sélection nationale de natation avec qui il s'entraine aujourd'hui. Son prochain objectif : nager pour le Chili aux JO de Los Angeles. « Ce serait le rêve que je souhaiterais accomplir, celui de représenter ce pays qui m'a ouvert ses portes. Que mes efforts soient reconnus pour ne plus me sentir comme un esclave ».Mais avant de représenter le Chili, Yunerki va devoir demander la nationalité chilienne et cela prend du temps, mais ce n'est pas impossible… Deux autres athlètes cubains ont réussi à l'obtenir et concourent désormais sous le drapeau chilien.À lire aussiLes déserteurs des JO ► Suivez toute l'actualité des JO 2024 sur RFI et rfi.fr► Retrouvez le programme complet (calendrier, résultats,...) sur rfi.fr
Chaque jour, en coulisse des Jeux olympiques, plusieurs acteurs se rendent sur les sites pour collecter les denrées alimentaires : des sandwichs, des chips, des salades et autres produits invendus ou non consommés par les équipes techniques. Plutôt que de tout mettre à la poubelle, l'association Le Chaînon manquant les livrent à celles et ceux qui préparent des repas à destination de personnes en situation de précarité. Une action anti-gaspillage, mais surtout solidaire. Reportage à la cantine des volontaires, à l'hippodrome d'Auteuil, près de Paris. Site de l'association Le Chaînon manquantÀ lire aussiRésultats des Jeux olympiques
Si vous aimez "Dans les yeux d'Olivier", le podcast qui donne la parole à ceux qui ne l'ont jamais, laissez des étoiles et des commentaires sur votre plateforme d'écoute préférée !Olivier Delacroix part à la rencontre d'Alix et de Matthis. À 22 ans, ces deux jeunes ont tous deux perdu leur emploi pendant la crise du covid. Ils ont accepté de confier leur histoire dans cet épisode du podcast "Dans les yeux d'Olivier" produit par Europe 1 Studio. Alix et Matthis sont en couple depuis plusieurs mois lorsque le confinement de mars 2020 est annoncé. À cette époque, Matthis est musicien professionnel. Mais avec la fermeture des salles de concert, le couple doit désormais vivre sur un seul salaire, celui d'Alix. Mais très vite, la jeune femme apprend qu'elle est enceinte. Désormais, le couple vit avec un revenu largement inférieur au seuil de pauvreté et Matthis peine à retrouver un emploi… CréditsDans les yeux d'Olivier est une production Europe 1 studioPrésentateur : Olivier DelacroixProduction : Lisa SosterRéalisation : Christophe DaviaudGraphisme : Cosa VostraPromotion : Marie Corpet
—————————— Ernani Caires no Instagram: @caires_art —————————— Emerson Ferrandini no Instagram: @emersonferrandini —————————— Conheça o Arte Academia: arteacademia.com.br —————————— APOIE o Podcast aqui: https://apoia.se/arteacademiapodcast --- Support this podcast: https://podcasters.spotify.com/pod/show/arte-academia/support
Si vous aimez "Dans les yeux d'Olivier", le podcast qui donne la parole à ceux qui ne l'ont jamais, laissez des étoiles et des commentaires sur votre plateforme d'écoute préférée !Olivier Delacroix part à la rencontre de Perlina. Depuis son enfance, la jeune étudiante en école d'infirmière vit dans la précarité. Elle a accepté de confier son histoire dans cet épisode du podcast "Dans les yeux d'Olivier" produit par Europe 1 Studio. Alors que Perlina a sept ans, ses parents divorcent. Suite à cet événement, sa mère doit quitter son emploi, les huissiers se succèdent et la petite fille vit désormais dans la crainte du manque d'argent. À l'adolescence, Perlina se renferme de plus en plus sur elle-même. La jeune fille se sent comme un poids au sein de son foyer et les problèmes d'argent de sa famille créent une différence avec ses camarades. À 15 ans, Perlina tombe dans la dépression. Mais ses trois ans de thérapie lui permettent de trouver sa voie dans le secteur médical : Perlina entre en école d'infirmière. Pour financer ses études et subvenir à ses besoins, elle enchaîne les petits boulots le week-end. Mais très vite, elle découvre qu'elle souffre d'un cancer et n'a d'autres choix que de continuer à travailler… CréditsDans les yeux d'Olivier est une production Europe 1 studioPrésentateur : Olivier DelacroixProduction : Lisa SosterRéalisation : Christophe DaviaudGraphisme : Cosa VostraPromotion : Marie Corpet
Si vous aimez "Dans les yeux d'Olivier", le podcast qui donne la parole à ceux qui ne l'ont jamais, laissez des étoiles et des commentaires sur votre plateforme d'écoute préférée !Olivier Delacroix part à la rencontre de Déborah. À 24 ans, cette jeune étudiante a du mal à boucler les fins de mois malgré son emploi étudiant. Elle a accepté de confier son histoire dans cet épisode du podcast "Dans les yeux d'Olivier" produit par Europe 1 Studio. Déborah grandit dans un quartier populaire de Marseille. Élève brillante, elle est admise à la prestigieuse université de la Sorbonne à Paris en double cursus de sociologie et philosophie. Mais la jeune femme est vite rattrapée par le coût de la vie dans la capitale. L'aide au logement et sa bourse lui permettent tout juste de payer son appartement. À côté, Déborah travaille donc en tant que bibliothécaire. Un revenu qui lui permet tout juste de payer sa nourriture. Pour boucler les fins de mois, Déborah a trouvé refuge auprès de l'association "Cop1" qui offre des denrées aux personnes dans le besoin. Néanmoins, cette précarité a un grand impact sur ses résultats scolaires et sur sa santé… CréditsDans les yeux d'Olivier est une production Europe 1 studioPrésentateur : Olivier DelacroixProduction : Lisa SosterRéalisation : Christophe DaviaudGraphisme : Cosa VostraPromotion : Marie Corpet
Si vous aimez "Dans les yeux d'Olivier", le podcast qui donne la parole à ceux qui ne l'ont jamais, laissez des étoiles et des commentaires sur votre plateforme d'écoute préférée !Olivier Delacroix part à la rencontre de Max-Antoine. Ce jeune étudiant a été contraint d'abandonner ses études par manque de moyens. Il a accepté de confier son histoire dans cet épisode du podcast "Dans les yeux d'Olivier" produit par Europe 1 Studio. Max-Antoine est étudiant en master d'histoire. Il perçoit une bourse à hauteur de 4.000 euros par an mais avec son logement à payer, l'étudiant ne parvient pas à joindre les deux bouts et n'a d'autres choix que de sauter des repas. L'année suivante, Max-Antoine doit absolument trouver un job étudiant pour subvenir à ses besoins car ses aides sont de moins en moins importantes. Mais les offres d'emploi se font rares, d'autant plus que la crise du covid vient tout juste de passer par là… Le jeune homme se voit dans l'obligation d'accepter un poste à temps plein à l'usine et d'abandonner ses études… CréditsDans les yeux d'Olivier est une production Europe 1 studioPrésentateur : Olivier DelacroixProduction : Lisa SosterRéalisation : Christophe DaviaudGraphisme : Cosa VostraPromotion : Marie Corpet
Hoy tenemos el honor de contar con Mary “De” Caires, autora de "Desafíos Femeninos: Una Guía para la Transformación Integral". Con más de 20 años de experiencia, Mary es una experta en liderazgo, Programación Neurolingüística e hipnoterapia.
durée : 00:06:35 - La Revue de presse internationale - par : Catherine Duthu - Lundi, l'incendie d'une usine de batteries au lithium en Corée du Sud a fait 23 morts dont 18 travailleurs étrangers. La presse dénonce le manque de formation aux risques dispensée aux intérimaires immigrés essentiels pour l'économie. Les livreurs de repas demandent de meilleurs statut et salaires.
Le constat est général : les études de bibliothécaire ne sont plus à la page ces dernières années. Et les conséquences risquent de se faire sentir. Maïté WARLAND a poussé les portes de la bibliothèque Langlois, à Charleroi, qui a décidé de réduire ses horaires faute de personnel. Merci pour votre écoute Matin Première, c'est également en direct tous les jours de la semaine de 6h à 9h sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez tous les épisodes de Matin Première sur notre plateforme Auvio.be : https://auvio.rtbf.be/emission/60 Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement.
Au cœur de la nuit, les auditeurs se livrent en toute liberté aux oreilles attentives et bienveillantes de Olivier Delacroix. Pas de jugements ni de tabous, une conversation franche, mais aussi des réponses aux questions que les auditeurs se posent. Un moment d'échange et de partage propice à la confidence pour repartir le cœur plus léger.
Au cœur de la nuit, les auditeurs se livrent en toute liberté aux oreilles attentives et bienveillantes de Olivier Delacroix. Pas de jugements ni de tabous, une conversation franche, mais aussi des réponses aux questions que les auditeurs se posent. Un moment d'échange et de partage propice à la confidence pour repartir le cœur plus léger.
durée : 00:38:20 - Le Temps du débat - par : Emmanuel Laurentin - Selon le 29e rapport de la Fondation Abbé Pierre, plus de 4 millions de personnes sont touchées par le mal-logement en France. Ces difficultés engendrent pour certains une "assignation à résidence". Comment la crise du logement touche les plus précaires ? - invités : Annaïg Le Meur Députée Renaissance du Finistère ; Gaspard Lion Sociologue et maître de conférences à l'Université Sorbonne Paris Nord; Nicolas Glière Directeur de l'Habitat à Nantes Métropole ; Manuel Domergue Directeur des études de la Fondation Abbé Pierre
durée : 00:38:20 - Le Temps du débat - par : Emmanuel Laurentin - Selon le 29e rapport de la Fondation Abbé Pierre, plus de 4 millions de personnes sont touchées par le mal-logement en France. Ces difficultés engendrent pour certains une "assignation à résidence". Comment la crise du logement touche les plus précaires ? - invités : Annaïg Le Meur Députée Renaissance du Finistère ; Gaspard Lion Sociologue et maître de conférences à l'Université Sorbonne Paris Nord; Nicolas Glière Directeur de l'Habitat à Nantes Métropole ; Manuel Domergue Directeur des études de la Fondation Abbé Pierre
durée : 00:05:48 - Le Journal de l'éco - par : Anne-Laure Chouin, Catherine Petillon - Ils sont près des deux tiers des 1,3 million de travailleurs du monde agricole. Leur part ne cesse d'augmenter, mais les salariés agricoles ont dans leur grande majorité des contrats précaires. À l'heure où l'agriculture manque de bras, le salariat pourrait pourtant être un facteur d'attractivité. - invités : Nicolas Roux Sociologue à l'Université de Reims Champagne-Ardenne, chercheur au Centre d'études de l'emploi et du travail (CEET)
Rachel CRIVELLARO fait le point sur les crédits hypothécaires avant l'ouverture du salon Batibouw ce samedi. Merci pour votre écoute Matin Première, c'est également en direct tous les jours de la semaine de 6h à 9h sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez tous les épisodes de Matin Première sur notre plateforme Auvio.be : https://auvio.rtbf.be/emission/60 Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement.
durée : 00:04:12 - Le Biais d'Esther Duflo - par : Esther Duflo - Pendant que le gouvernement simplifie les règles pour les agriculteurs, les familles les plus précaires sont toujours victimes des algorithmes de la CAF, alimentés par des règles complexes et opaques reflétant une idéologie anti-pauvre, nourrie de préjugés.
Assurances, conso, nouvelles technologies… "On en parle" vous oriente dans tout ce qui fait votre quotidien. Au programme aujourd'hui: 1. Applications météo: comment choisir? 2. Au secours, mon enfant fume des puffs 3. Guichet: les crédits hypothécaires
This week on our Vino Lingo segment we feature Brett Caires, Owner & Winemaker, BoaVentura de Caires Winery, Livermore Valley, defining the term “Crushing”. Learn more by visiting www.boaventuravineyard.com
Brett Caires is a hard working guy. Well, all winemakers are hard working but shaking Brett’s hand really tells the story. The whole family works the winery and takes pride in the final product. Wines that get your attention. Whites and Reds. Not to mention some pretty interesting family history. This winery is about as [...]
Le Belge a de la chance : ses prêts hypothécaires variables sont protégés du pire. Ce qui n'est pas le cas dans d'autres pays voisins. La France est un paradis peuplé de gens qui se croient en enfer. Alors cette phrase remarquable de l'écrivain Sylvain Tesson pourrait sans problème s'appliquer aux Belges. Encore une fois, je ne dis pas qu'il n'y a pas de souffrance, pas de difficultés, mais à force de regarder le trou dans le pantalon, on en oublierait presque qu'il y a un pantalon. Alors la preuve ? Pas plus tard que cette semaine, des millions de Britanniques découvrent qu'eux vivent vraiment en enfer. Alors à cause de qui ? Ou à cause de quoi ? Mais de l'inflation, elle ne retombe pas. Elle reste trop élevée en Grande Bretagne. Et donc la Banque centrale d'Angleterre a durci cette semaine pour la 13ᵉ fois d'affilée ses taux d'intérêt. Résultat le coût du crédit hypothécaire est au plus haut depuis quinze ans. Et alors ? En Belgique, c'est à peu près la même chose, non ? Pas du tout, car en Grande-Bretagne, comme dans d'autres pays comme l'Espagne, la Suède, l'Italie ou encore la Grèce, des pays où on va aller cet été, la majorité des ménages empruntent à taux variable. Et quand les taux augmentent, comme c'est le cas actuellement, régulièrement et vite, la hausse de la mensualité, elle fait mal, elle fait très mal. En Grande-Bretagne, 1,4 million de foyers britanniques risquent de perdre 20% de leur pouvoir d'achat à cause de la seule hausse du coût des crédits immobiliers. Et comme le montrent plusieurs enquêtes sur place, les citoyens britanniques, en tout cas la classe moyenne, rognent sur toutes les dépenses discrétionnaires. Pire encore, pas mal de ménages doivent recourir au crédit à la consommation pour faire face à la hausse de leurs mensualités. Et c'est là où j'en reviens à mon histoire d'enfer en Belgique. Notre pays, comme la France d'ailleurs, protège mieux ses citoyens. D'abord, nous avons la chance d'avoir l'indexation automatique des salaires qui, à défaut de compenser la totalité de la hausse des coûts, sert au moins d'amortisseur social. Et puis la législation belge fait que le Belge qui emprunte à taux variable est nettement mieux protégé que, par exemple en Grande-Bretagne. Mots-Clés : banque, obligation, simulation, scénario, pire, candidat, acheteur, Belgique, surprise, pays, mécanisme, impose, taux variable, doubler, taux initial, protection, enfer, mécanismes, protection, résultat, hausse, saisies, immobilier, Grèce, ménages, difficulté, Espagne, mensualités, Grande Bretagne, accès, population, état, classe moyenne, saigner, veines, la Manche, Belge, diminuer, mensualité, allonger, durée, prix, hypothécaire, constat, monde, normal, rembourser, peine, prison, réflexion, marché, logement, logique, mariage, divorces, formule, Figaro, endetter, discussion, week-end. --- La chronique économique d'Amid Faljaoui, tous les jours à 8h30 et à 17h30 sur Classic 21, la radio Rock'n'Pop.
Dans le dernier rapport de notre Banque nationale sur la stabilité financière de notre pays, il préconise et incite même les banques belges à ne plus se montrer timides et donc ne pas hésiter à proposer des crédits hypothécaires d'une durée de plus de 20 ans. Alors la demande est évidente. Comme les taux d'intérêt sont plus élevés aujourd'hui qu'hier et que les prix de l'immobilier restent encore trop élevés, de nombreux ménages, surtout les plus jeunes et surtout ceux et celles qui n'ont pas de parents assez fortunés pour leur donner un petit coup de pouce. Toute une frange de la jeunesse se retrouve aujourd'hui interdite d'accès à la propriété immobilière. La Banque nationale, jusqu'à présent, ne poussait pas à ce que les banques belges prêtent au-delà de 20 ans, car les taux d'intérêt étaient très bas. Mais aujourd'hui, vous le savez, ce n'est plus le cas. D'où ce changement de discours pour inciter les banques commerciales à en quelque sorte jouer un rôle social, vu qu'en allongeant la durée des prêts hypothécaires, on diminue du même coup la mensualité à payer par ces jeunes ménages en désir d'achat immobilier. Alors c'est vrai, a priori, dit comme ça, on ne peut qu'applaudir. En réalité, c'est mon côté piquant qui ressort. Je me pose quand même plusieurs questions. Mots-Clés : couples, acheter, question, taux, durée, prêt hypothécaire, Suisse, banquiers, réalité, Belgique, divorce, Europe, philosophique, penseur, tort, raison, esclavagisme, salariat, embouteillages, remboursement, garant, société, paix sociale, personnes, endetté, révolution, vision, politique, âge, jeune, révolutionnaire, Jean-Claude Brazil, Exit, social, brique, aveu, constat, échec, logement, abordable, vert, mensualité, solution, pyramide, spécialiste, villes, intelligence, pollution, édiles communaux, permis de bâtir, bombe, social, économistes, hommes d'affaires, COVID, Ukraine, entreprise, Robin Ries, gains, pouvoir d'achat, loyers, prix.--- La chronique économique d'Amid Faljaoui, tous les jours à 8h30 et à 17h30 sur Classic 21, la radio Rock'n'Pop.
durée : 00:01:49 - Le vrai du faux - La députée La France insoumise s'appuie sur un sondage publié en mars 2023. L'Insee constate également que les Français ont modifié leurs habitudes face à la hausse des prix.
durée : 00:04:10 - Le journal de presque 17h17 - Grève chez Total Energies : « 150 personnes prennent les Français en otage », selon le patron du Medef, Marlène Schiappa annonce un “Tour de France du bénévolat”, et des neurones cultivés en laboratoire capables de jouer à un jeu vidéo, c'est l'actu du jour !
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