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Le Groenland a rendez-vous avec sa population, le 11 mars 2025, dans le cadre d'élections générales anticipées afin de remanier le Parlement du pays, à un moment où les relations avec le Danemark, l'Europe et Washington se trouvent à un point critique. La nation inuite est sous haute surveillance depuis que le président américain Donald Trump a renouvelé ses revendications sur l'île arctique, refusant d'exclure le recours à la force militaire pour s'en emparer. Pays semi-autonome dépendant du Danemark politiquement et financièrement, le Groenland reçoit de Copenhague une subvention globale de 500 millions d'euros par an. La question de l'indépendance totale est un sujet de débat. Des sondages récents ont montré que si la grande majorité des Groenlandais sont favorables à l'indépendance, peu d'entre eux sont prêts à compromettre leur niveau de vie pour y parvenir. Quatre fois plus grande que la France, l'île arctique est un enjeu géopolitique pour les États-Unis. Et fait l'objet de convoitises également de la part de la Chine et de la Russie. Avec plus de deux millions de kilomètres carrés, situé au nord-est du Canada dont il est séparé par 26 kms de détroit de Davis, le Groenland et ses 56.000 habitants sont positionnés géographiquement en Amérique du Nord, mais font partie de la sphère économique et juridique de l'Europe en raison de leur appartenance au Danemark, État membre de l'Union européenne. Regard sur ce territoire trop méconnu des grandes nations européennes.Invités : Damien Degeorges, consultant basé à Reykjavik en Islande et docteur en Sciences Politiques, spécialiste du Groenland. Auteur de « Terres rares : enjeu géopolitique du XXIè siècle », Éd. L'Harmattan Florian Vidal, chercheur à l'Université de Tromso, l'Université de l'Arctique de Norvège Emmanuel Hache, adjoint scientifique et économiste-prospectiviste à IFP Énergies nouvelles, directeur de recherche à l'IRIS et chercheur associé à Economix.
L'Ukraine a accepté les termes d'un accord sur ses terres rares avec les États-Unis. Volodymyr Zelensky pourrait signer ce traité vendredi au cours d'une visite à Washington. On en parle avec Emmanuel Hache, adjoint scientifique et économiste-prospectiviste à IFP Énergies nouvelles et directeur de recherche à l'IRIS Merci pour votre écoute N'hésistez pas à vous abonner également aux podcasts des séquences phares de Matin Première: L'Invité Politique : https://audmns.com/LNCogwPL'édito politique « Les Coulisses du Pouvoir » : https://audmns.com/vXWPcqxL'humour de Matin Première : https://audmns.com/tbdbwoQRetrouvez tous les contenus de la RTBF sur notre plateforme Auvio.be Retrouvez également notre offre info ci-dessous : Le Monde en Direct : https://audmns.com/TkxEWMELes Clés : https://audmns.com/DvbCVrHLe Tournant : https://audmns.com/moqIRoC5 Minutes pour Comprendre : https://audmns.com/dHiHssrEt si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement.
Les matières premières jouent toujours un rôle-clé dans les dynamiques économiques et commerciales ainsi que dans les relations entre États. Qu'il s'agisse de matières premières agricoles, d'énergie ou de métaux. Concernant ces derniers, un siècle minier s'ouvre et la question qui se pose est de savoir où trouver tous les métaux dont nous allons avoir besoin. Que ce soit pour la transition énergétique ou numérique. La production mondiale actuelle est largement insuffisante. Selon la CNUCED, Conférence des Nations Unies pour le commerce et le développement, la somme des projets miniers prévus d'ici à 2030 est au minimum dix fois moins élevée que les besoins. De plus, alors qu'une ruée sur les métaux s'amorce, le monde réalise l'emprise établie de la Chine, qui exploite des mines sur son sol et à l'étranger, importe et raffine les minerais en métal avant de fabriquer une multitude d'équipements. Selon l'Institut de Géologie des États-Unis, la Chine contrôlerait une trentaine sur la cinquantaine de métaux critiques. Un tiers environ des réserves mondiales pour l'ensemble des métaux serait concentré en Afrique. L'Afrique dont certains affirment qu'elle va diriger le monde en termes d'industrie minière. Édition en partenariat avec la Revue Internationale et Stratégique - Matières premières : rareté, rivalités, dépassement. Emmanuel Hache, adjoint scientifique et économiste-prospectiviste à IFP Énergies nouvelles, directeur de recherche à l'IRIS et chercheur associé à Economix. Romane Lucq, chargée de mission à l'IRIS. Émilie Normand, ingénieure économiste à IFP Énergies nouvelles.
Le mot d'aujourd'hui pour la lettre G est Géopolitique des Ressources.Pour revenir sur un point discuté lors de la lettre F, nous nous rendons compte que la majorité des villes, territoires et pays doivent importer une grande partie de leurs flux pour satisfaire des besoins essentiels (et superflus). Des métaux, des produits finis, des carburants, des flux alimentaires et de construction tout un tas de flux venant proche ou de loin. De manière générale, les flux qui pèsent lourds comme l'eau, les matériaux de construction et en moindre mesure les flux alimentaires, viennent souvent de pas très loin, de quelques dizaines de kms. Mais pour des flux où la ressource se fait rare on peut vite venir importer de milliers de kms plus loin. En effet, nous n'avons pas ou plus des teneurs importantes en métaux, des forêts denses ou des aliments exotiques proche de nous. Ceci n'est pas nouveau. Même dans l'Antiquité, une fois qu'on avait puisé nos ressources locales on faisait du commerce voire la guerre avec d'autres pays ou empires pour en récupérer.Ce qui est différent aujourd'hui est que nous avons tous besoin des mêmes ressources (par exemple des métaux pour la transition énergétique) mais ces ressources sont concentrés dans quelques pays tels que le Chili, la Bolivie ou l'Australie. Par ailleurs, avoir des ressources, ne veut pas dire qu'elles seront automatiquement utilisées. Il faut que leur exploitation soit économiquement viable et socialement acceptable. En effet, le taux de pollution lié à l'extraction de certaines ressources peut conduire à la fermeture de certaines mines. D'un autre côté, il existe certaines ressources telles que le pétrole, le gaz naturel et le charbon qu'il serait urgent d'arrêter d'utiliser mais malheureusement elles sont encore largement disponibles (dans le cas du charbon pendant plus d'un siècle).Dans un cas comme dans un autre, nous avons un problème de gouvernance et de géopolitique de ressources. Nous avons soit trop peu de ressources que nous devons partager, soit trop de ressources que nous devons arrêter d'utiliser. Alors que faire ? Comment distribuer justement ? Comment forcer des pays riches en ressources d'arrêter leurs exploitations ? Et bin franchement, je n'ai pas beaucoup d'idées. Par un rachat et une nationalisation de ces ressources et assumer la perte financière ? Par un traité de non prolifération au niveau de l'ONU un peu comme le nucléaire ? Une charte, comme le protocole de Montréal pour l'élimination de molécules nocives ? Un quota par pays fixé par l'ONU et les besoins à satisfaire tenant en compte les émissions et les consommations passées ? Voilà certaines idées en vrac et il existe certainement plein de recherches sur la question (je suis preneur), mais il me semble qu'il s'agit d'un des enjeux les plus essentiels à traiter afin d'assurer une justice sociale et maintenir un maximum la paix au niveau mondial. Comme d'habitude, sobriété, renouvelable, circularité et relocalisation sont les 4 piliers sur lesquels nous pouvons nous reposer. Pour plus d'informations sur cette question de géopolitique de l'énergie je vous renvoie vers l'épisode avec Emmanuel Hache.Allez à demain pour la lettre H,✌️ Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 00:58:53 - De cause à effets, le magazine de l'environnement - par : Aurélie Luneau - Ouverture de la COP29, à Bakou, en Azerbaïdjan : des pays à la peine sur les négociations en matière de financements et de plans climat. - réalisation : Sam Baquiast - invités : Lola Vallejo Directrice du programme climat de l'Institut du développement durable et des relations internationales (IDDRI); Jean Jouzel Climatologue, ancien vice-président du GIEC; Emmanuel Hache adjoint scientifique et responsable matériaux critiques à l'IFP Energies nouvelles et directeur de recherche à l'IRIS
durée : 00:58:48 - Entendez-vous l'éco ? - par : Tiphaine de Rocquigny, Aliette Hovine - Après une discussion avec Cédric Durand sur les principes de la planification écologique, nous nous demanderons à quels défis la production française de métaux est confrontée. Comment expliquer les réticences des populations locales aux projets miniers ? - invités : Cédric Durand Économiste, Maître de Conférences à l'université Paris 13.; Caroline Granier docteure en sciences économiques et cheffe de projet à La Fabrique de l'industrie; Emmanuel Hache adjoint scientifique et responsable matériaux critiques à l'IFP Energies nouvelles et directeur de recherche à l'IRIS
⚡ Hausse des prix de l'énergie, Guerre en Ukraine, résistance civile contre des mines en charbon en Allemagne, ouverture de mines de lithium en France, tensions entre les États-Unis et la Chine, tant d'événements qui soulignent des tensions énergétiques. Comment faire face à cette complexité géopolitique grandissante, assurer une sécurité énergétique, tout en diminuant nos émissions de gaz à effet de serre ?
Les sujets relatifs à l'évolution des modes de consommation, au rapport de l'humain à la technologie ou à la modération des usages sont longtemps restés du ressort des experts ou des chercheurs, jusqu'à l'invasion de l'Ukraine, le 24 février 2022. C'est alors qu'a surgi tout un ensemble d'interrogations sur la dépendance énergétique, et ont été portées sur le devant de la scène les questions relatives à la sobriété énergétique. En avril 2022, le GIEC mettait en exergue la nécessaire sobriété à venir dans la lutte contre le changement climatique. La sobriété fait progressivement son apparition dans nos sociétés, dans les agendas politiques des gouvernements, en réaction aux désordres qui surgissent davantage peut-être qu'en prévention. La sobriété comme vecteur de puissance ? Invités : Noémie Rebière, chargée de mission au sein de la division Énergie opérationnelle à l'État major des armées. Maxence Cordiez, ingénieur au Commissariat à l'Énergie atomique et aux énergies alternatives du CEA. « Énergies », éditions Tana. Emmanuel Hache, directeur de Recherche à l'IRIS et directeur du numéro de la Revue Internationale et Stratégique intitulé Géopolitique de la sobriété.
Métaux et transition énergétique, domination de la Chine, terres rares… Comprendre ce qui se joue sur le sujet clé des ressources minières. On l'oublie trop souvent mais notre civilisation toute entière repose sur l'extraction de matière, c'est ce qu'on appelle l'extractivisme. Concrètement pour faire du béton il faut du sable, pour faire de l'acier il faut du fer et bien-sûr il y a les énergies fossiles. Dans cet épisode je parle à Emmanuel Hache pour me faire une idée des enjeux autour des mines sachant qu'il va falloir sortir une très grande quantité de minerais pour pouvoir faire cette fameuse transition énergétique et aussi continuer de construire des infrastructures en tout genre. A l'heure où l'on ouvre à nouveau des mines en Europe, se pose la question de la souveraineté énergétique et de son coût économique, géopolitique et bien-sûr environnemental et social. Emmanuel Hache est Docteur en Sciences économiques, également diplômé en Géopolitique, prospectiviste et spécialiste des énergies renouvelables et des matières premières.NB : épisode en 2 partiesInterview enregistrée le 7 décembre 2022De quoi parle-t-on ? 00:00 : introduction01:30 : présentation d'Emmanuel Hache03:10 : définitions de la transition énergétique et de l'ambition08:10 : le lien entre les minerais, les métaux, et la transition énergétique13:00 : quelle quantité de matière utilise-t-on aujourd'hui et quelles sont les projections ?19:00 :a-t-on suffisamment de matière pour faire la transition énergétique (et la voiture électrique) ? 24:00 : les contraintes liés à l'extraction (investissements insuffisants)27:00 : la question des terres rares et des métaux rares32:00 : les enjeux stratégiques autour des minerais et la domination de la Chine39:00 : le cas Tesla40:30 : comment les prix sont-ils fixés ?43:30 : le problème de la souveraineté (fin de la partie 1)----Sismique est un podcast indépendant créé et animé par Julien Devaureix.
Cet épisode est la 2e partie de ma conversation avec Emmanuel Hache sur les questions de transition énergétique et de minerais.Dans la suite nous parlons de souveraineté, des stratégies européenneset américaines, de la commission d'enquête de l'assemblée nationale sur l'indépendance énergétique de la France, de prospective et de planification, d'impact écologique, et de quoi faire face à ces tensions actuelles et à venir. Emmanuel Hache est Docteur en Sciences économiques, également diplômé en Géopolitique, prospectiviste et spécialiste des énergies renouvelables et des matières premières.De quoi parle-t-on ? 00:00 - Introduction00:30 - Définition de la souveraineté énergétique, minérale et des ressources naturelles03:30 - Comment les Etats-Unis gèrent cet enjeu de souveraineté ?11:35 - Qui s'occupe du sujet de la souveraineté au niveau de l'Europe ?17:40 - La prise de conscience concernant la souveraineté énergétique en France24:00 - La stratégie de la France concernant la souveraineté énergétique 27:20 - L'impact des mines au niveau écologique ? 33:40 - L'exploitation minière des fonds marins et sur la lune 36:50 - A quel type de scénario faut-il s'attendre ?45:00 - Les préconisations d' Emmanuel Hache 46:40 - Livres recommandés----Sismique est un podcast indépendant créé et animé par Julien Devaureix.
En 2035, dans l'Union Européenne, nos véhicules neufs devront être électriques. Alors pour décarboner nos économies et sauver la planète, cette énergie est souvent présentée comme la voie royale. Pourtant, les batteries et leurs composants ne sont pas neutres en carbone. Prenons l'exemple du lithium. Ce métal équipe beaucoup de batteries des véhicules électriques. Mais son extraction est énergivore et nécessite de grandes quantités d'eau. Il est surnommé “le pétrole du 21e siècle”. Le lithium est-il un mirage écologique ? Pour y répondre, direction l'Amérique du Sud, où se situe une bonne partie des réserves de lithium dans le monde, puis décryptage avec Emmanuel Hache, économiste prospectiviste au centre de recherche IFP Energies nouvelles. Interview : Antoine Boyer Sur le terrain : Martin Silva Sur le Fil est le podcast quotidien de l'AFP. Vous avez des commentaires ? Ecrivez-nous à podcast@afp.com ou sur notre compte Instagram. Vous pouvez aussi nous envoyer une note vocale par Whatsapp au + 33 6 79 77 38 45. Si vous aimez, abonnez-vous, parlez de nous autour de vous et laissez-nous plein d'étoiles sur votre plateforme de podcasts préférée pour mieux faire connaître notre programme !
Le Parlement européen a voté en juin 2022 la fin de la vente de véhicules thermiques en 2035 avec une priorité : le développement du véhicule électrique pour faire baisser les émissions de gaz à effet de serre du transport. En France, la voiture individuelle représente pour 16 % de nos émissions, un poids considérable.Est ce que la voiture électrique est une solution miracle pour sortir de notre dépendance au pétrole ? Est ce qu'à l'inverse elle est plus polluante que la voiture à essence ? Quelle place occupe la question de métaux et des terres rares dans les batteries ? Est-ce-que cela peut mettre en péril la transition énergétique, pour les voitures électriques mais aussi pour les énergies renouvelables ?Emmanuel Hache est économiste à l'IFP Energies nouvelles et il est également directeur de recherche et professeur à l'IRIS. Il est l'auteur de Géopolitique des énergies (Editions Eyrolles, 2022).Un épisode produit par Adèle Ponticelli avec l'aide d'Esther Michon, réalisé par Amandine Robillard. Musique originale : Amandine Robillard « Chaleur humaine » est un podcast hebdomadaire de réflexion et de débat sur les manières de faire face au défi climatique. Ecoutez gratuitement chaque mardi un nouvel épisode, sur Le Monde.fr, Apple Podcast, Acast ou Spotify. Retrouvez ici tous les épisodes.Chaleur Humaine est aussi une newsletter. Inscrivez-vous pour recevoir chaque mardi à midi notre sélection d'articles : https://www.lemonde.fr/newsletters/chaleur-humaine/Vous pouvez m'écrire pour me faire part de vos avis, idées, et de vos critiques à l'adresse chaleurhumaine@lemonde.fr Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
La guerre en Ukraine bouleverse le marché énergétique mondial et d'autant plus du fait de son inscription dans la durée. En Europe, le conflit a mis en lumière la dépendance énergétique de certains pays, notamment l'Allemagne, vis-à-vis de Moscou. Ainsi, en juillet dernier, la Commission européenne décidait de réduire sa consommation de gaz de 15% d'ici le printemps 2023 et de réduire, voire d'arrêter ses importations de gaz russe afin de se libérer de cette dépendance. Outre Atlantique, Washington semble bénéficier de la mise à l'arrêt de Nord Stream 2 et profite de la crise énergétique qui frappe l'Europe pour augmenter ses prix à l'export. Quant à la Chine, qui importe en grande quantité du gaz naturel liquéfié russe, elle voit sa croissance affectée par la hausse du prix des matières premières, notamment énergétiques. Quel est le coût de l'augmentation du prix de l'énergie pour les pays européens ? L'accroissement des prix doit-il être considéré comme la principale cause de l'inflation dans le monde occidental ? Qu'en est-il des répercussions de la guerre en Ukraine sur les marchés énergétiques américains et chinois ? Combien de temps cette crise énergétique est-elle susceptible de durer ? Dans ce podcast, Francis Perrin, directeur de recherche à l'IRIS, revient sur cette crise énergétique mondiale et les enjeux géopolitiques qu'elle sous-tend. Pour aller plus loin :
Cuộc chiến xâm lược Ukraina do Nga phát động làm lộ rõ thế bất an năng lượng của Liên Hiệp Châu Âu khi lệ thuộc vào Nga đến 40% nguồn cung khí đốt và 30% dầu hỏa. Cuộc xung đột này cũng được xem như là một cơ hội để Liên Âu thúc đẩy nhanh hơn nữa tiến trình chuyển đổi năng lượng. Nhưng liệu việc phát triển các nguồn năng lượng tái tạo, có làm gia tăng nguy cơ « chồng chất » sự phụ thuộc hay không ? Xung đột tại Ukraina đẩy Liên Hiệp Châu Âu (EU) rơi vào một cuộc khủng hoảng năng lượng chưa từng có. Trước xung đột, mỗi năm EU chi trả 200 tỷ euro để mua khí đốt của Nga. Chiến sự bùng nổ, giá dầu hỏa và khí ga tăng vọt. Không những các lệnh trừng phạt không làm cho cỗ máy chiến tranh Nga ngừng hoạt động mà xuất khẩu khí đốt của Nga, nguồn thu tài chính quan trọng, còn tăng thêm 70%. Trước việc Nga dùng năng lượng như là một vũ khí để chống lại các đòn trừng phạt cũng như là răn đe Liên Âu hậu thuẫn Ukraina, khối 27 nước thành viên đã nhanh chóng chuyển hướng tìm kiếm các thị trường cung cấp nhiên liệu khác, tập trung chủ yếu ở ba khu vực : Trung Đông, Đông Địa Trung Hải và Bắc Mỹ, cụ thể là Hoa Kỳ. Tại Hội thảo Địa Chính Trị, do Viện Nghiên Cứu Quốc Tế (IRIS) và đài RFI đồng tổ chức ở Nantes (phía tây nước Pháp) ngày 23/09/2022, nhiều chuyên gia về năng lượng cảnh báo, những thị trường này khó thể thay thế trong « một sớm một chiều » 30% nhu cầu dầu hỏa và 40% khí đốt của Nga cho Liên Âu. Trung Đông, Địa Trung Hải, Bắc Mỹ : Những thị trường tiềm năng và các rủi ro Một mặt, khi chuyển sang tìm kiếm nguồn cung ứng từ nhiều thị trường khác, nhất là tại Trung Đông, châu Âu vô hình chung lao vào một cuộc cạnh tranh với nhiều nước châu Á như Trung Quốc, Ấn Độ hay Nhật Bản – những quốc gia « ngốn » nhiều dầu khí nhập khẩu từ bên ngoài. Riêng với Trung Quốc, một phần tư lượng dầu hỏa nhập khẩu là đến từ Ả Rập Xê Út. Nếu nhìn một cách tổng quát hơn, Liên Hiệp Châu Âu cộng thêm Thổ Nhĩ Kỳ có lượng nhập khẩu dầu hỏa ngang ngửa với Trung Quốc : Từ 11 đến 12 triệu tấn dầu mỗi ngày. Tuy nhiên, Emmanuel Hache, giám đốc nghiên cứu của IRIS, kinh tế gia thuộc IFP chuyên về Năng lượng Tái tạo, tại hội thảo Nantes, lưu ý thêm, ẩn sau vấn đề nhập khẩu dầu hỏa và khí đốt, là một cuộc chiến tiền tệ đang phát triển. « Trung Quốc hiện đang đàm phán thanh toán các hợp đồng bằng đồng nhân dân tệ với Ả Rập Xê Út. Người ta còn thấy Nga và Trung Quốc thương thảo các hợp đồng bằng đồng rúp, đồng nhân dân tệ. Do vậy, đằng sau vấn đề dầu hỏa, còn có việc giành thế ưu việt đồng tiền quốc tế. Chúng ta thấy là Bắc Kinh, thông qua vấn đề dầu hỏa có những nỗ lực quốc tế hóa đồng tiền của mình. Đây chính là những gì Trung Quốc đang làm với Những Con Đường Tơ Lụa Mới. » Mặt khác, tại Đông Địa Trung Hải, trong những năm gần đây, có thêm nhiều mỏ dầu khí trữ lượng lớn đã được phát hiện, nhưng đây lại là một khu vực có nhiều xung đột địa chính trị do những tranh chấp lãnh thổ để tiếp cận các nguồn tài nguyên, như căng thẳng giữa Thổ Nhĩ Kỳ và Hy Lạp, nhất là với Cộng hòa Chypre. Chuyên gia về những thách thức năng lượng trong lĩnh vực quốc phòng và an ninh, bà Noemie Rebière, hiện công tác tại bộ Quân Lực Pháp, trong hội thảo về Địa Chính Trị Năng Lượng ở Nantes, nhấn mạnh, khí đốt tại vùng Địa Trung Hải, ngoài những vấn đề địa chính trị và những căng thẳng giữa các nước trong khu vực, trước hết sẽ được dành cho tiêu thụ tại các nước trong vùng. « Ai Cập với hơn 100 triệu dân, là một nước đông dân có nhu cầu năng lượng rất cao, do vậy khí đốt khai thác được sẽ dành cho tiêu thụ trong nước trước tiên. Tương tự, Israel, vốn có một chính sách an ninh năng lượng khá nghiêm ngặt, cũng sẽ ưu tiên dành cho tiêu thụ nội địa rồi mới tính đến xuất khẩu. Rồi người ta cũng thấy Thổ Nhĩ Kỳ, tuy có những hiềm khích với những nước này, giờ đang tìm cách xích lại gần. Nhiều cuộc đàm phán đã được khởi động giữa Tel Aviv và Ankara để xây dựng các cơ sở hạ tầng, cụ thể là một đường ống dẫn khí đốt từ Israel đến Thổ Nhĩ Kỳ, vốn cũng là một thị trường tiêu thụ tiềm tàng với hơn 85 triệu dân. » Riêng về thị trường khí hóa lỏng GNL, đây còn là một thách thức lớn khác. Liên Hiệp Châu Âu ngày càng trông cậy nhiều vào Mỹ và trong một chừng mực nào đó là Canada. Theo giảng viên Maria-Eugenia Sanin Vazquez, chuyên nghiên cứu về Kinh tế Năng lượng và Môi trường, đại học Paris Saclay, thì Liên Âu dường như đang chất thêm một phụ thuộc mới. « Thứ nhất, đối với thị trường GNL, chúng ta sẽ bị cạnh tranh nếu nhu cầu tăng lên. Chúng ta lao vào một cuộc cạnh tranh với Trung Quốc, với một khối các nước khác có nhu cầu, do vậy, đây chưa là một giải pháp. Điều này sẽ không làm giảm giá cả trên thị trường và chúng ta sẽ lại rơi vào một tình trạng lệ thuộc khác. Điểm quan trọng thứ hai chính là để nhập khẩu khí đốt, kể cả các nguồn nhiên liệu ngoài khu vực, cần phải đầu tư ồ ạt vào các cơ sở hạ tầng chế biến khí hóa lỏng. Nhưng nếu chúng ta nhất quán với chính mình và tôn trọng các cam kết về khí hậu, thì đây là những đầu tư khó hoàn vốn, vì tuổi thọ của những kiểu cơ sở hạ tầng này phải kéo dài đến 30 năm. » Năng lượng xanh : Thoát khí ga của Nga để phụ thuộc kim loại Trung Quốc ? Trục thứ hai mà Liên Âu nhắm đến để bảo đảm an ninh năng lượng là thúc đẩy nhanh hơn nữa quá trình chuyển đổi năng lượng xanh khi cho phát triển nhiều nguồn cung cấp năng lượng tái tạo như điện gió, năng lượng mặt trời… Trên nguyên tắc, đây sẽ là những nguồn năng lượng « hòa bình », « không xung đột » và « an toàn », do việc chúng cho phép hạn chế nhập khẩu khí đốt. Thế nhưng, đối với ông Emmanuel Hache, ý nghĩ này là một sai lầm. Xung đột Ukraina sẽ làm tăng tốc hơn nữa tiến trình phát triển năng lượng xanh, đẩy châu Âu và thế giới lao vào một cuộc đua địa-kinh tế, cạnh tranh công nghệ mỗi lúc một khốc liệt giữa các nước. « Điều thú vị đáng quan sát ở đây chính là, người ta thường hay nói về cạnh tranh Mỹ - Trung trên nhiều bình diện, nghĩa là cạnh tranh thế mạnh giữa hai ông khổng lồ trên thế giới. Nhưng đàng sau cuộc cạnh tranh này, còn có cả một vấn đề địa chính trị về sở hữu bằng sáng chế các kỹ nghệ phát thải ít khí các-bon. Tại sao ư ? Đơn giản bởi vì nếu người ta muốn khẳng định thế mạnh trong nhiều thập niên tới, tuyệt đối phải có nhiều bằng sáng chế, nghĩa là phải có cách tân, rồi sản xuất những công nghệ phát thải khí các-bon thấp đó. Ở đây, quý vị thật sự có vấn đề về cạnh tranh địa-kinh tế trong chính lĩnh vực công nghệ. » Nhưng những công nghệ này lại đòi hỏi một nguồn cung nhiều loại đất hiếm, kim loại quan trọng. Đơn cử như chất lithium để sản xuất bình ắc quy cho xe ô tô điện, mà châu Âu dự trù phát triển rộng rãi từ đây đến năm 2035. Nhu cầu lithium – một loại « vàng trắng » theo như cách gọi của giới chuyên gia – vốn đã tăng gấp ba lần từ năm 2015, để đạt mức sản lượng là 100 ngàn tấn/năm trong năm 2021. Nếu như nghiên cứu của đại học Louvain, Bỉ (25/04/2022), dự báo tại châu Âu, đến năm 2050, nhu cầu về lithium sẽ tăng gấp 35 lần so với hiện nay, thì bà Maria-Eugenia Sanin Vazquez, đại học Paris Saclay cảnh báo, nguồn cung lithium lại rất hạn hẹp. « Hiện trên thế giới chỉ có 6 điểm khai thác chất lithium cho bộ bình điện xe ô tô điện, trong số này có hai điểm tại Trung Quốc và phần lớn chất lithium khai thác tại Úc cũng được xuất sang Trung Quốc, quốc gia sản xuất và cung cấp đến 70% bộ bình điện cho châu Âu ». Theo quan sát của nhà địa chất học Olivier Vidal, giám đốc nghiên cứu Trung Tâm Nghiên Cứu Khoa Học Quốc Gia – CNRS, được France 24 trích dẫn, thì trong bối cảnh tất cả các nước đang bắt đầu chuyển sang năng lượng sạch gần như cùng một lúc, nhu cầu nhiều thứ kim loại quan trọng sẽ tăng vọt và « điều đó chắc chắn sẽ gây ra nhiều căng thẳng địa chính trị trong những năm sắp tới, cùng với việc phải dự trù chi phí tăng cao và khả năng gặp khó khăn về nguồn cung. » Nhìn từ góc độ này, sau một thế kỷ căng thẳng địa chính trị về dầu khí, giờ Liên Hiệp Châu Âu có nguy cơ lại rơi vào thế phụ thuộc mới vào các nước sản xuất các loại kim loại quan trọng cho việc phát triển các công nghệ phát thải ít khí CO2. Theo ông Emmanuel Hache, thì rõ ràng châu Âu cũng như là Pháp không phải đang thay đổi sự phụ thuộc mà là đang nạp thêm các mối lệ thuộc. « Người ta vẫn sẽ tiếp tục tiêu thụ dầu khí và than đá, và họ sẽ thêm vào trong gói hỗn hợp năng lượng thế giới những công nghệ ít phát khí CO2 như năng lượng mặt trời, phong điện… Điều đó có nghĩa là địa chính trị hóa thạch mà chúng ta biết đến hiện nay, giờ sẽ có thêm lĩnh vực mới : những nguồn năng lượng tái tạo. Đó là điểm thứ nhất. Điều thứ hai phải bổ sung chính là, càng đi sâu vào chuyển đổi năng lượng, châu Âu (cũng như là Mỹ) càng phụ thuộc vào Trung Quốc. Vì sao ư ? Đơn giản chỉ vì Trung Quốc trong vấn đề nguyên vật liệu, tuy chưa hẳn là nhà sản xuất lớn nhất trên thế giới, nhưng lại quốc gia tinh chế hàng đầu. Chính Trung Quốc sẽ tinh chế các loại khoáng sản, những loại khoáng sản cần thiết cho các kỹ nghệ phát thải ít khí các-bon ». Điều độ năng lượng hay điều độ sử dụng các khoáng sản ? Cũng theo vị giám đốc nghiên cứu tại IRIS này, người ta nói nhiều đến đất hiếm, về lithium, cobalt nhưng lại bỏ qua các vấn đề có liên quan đến các thứ kim loại thông thường khác như đồng, bauxit, nickel…, vốn dĩ cũng rất cần thiết cho cuộc sống thường nhật và đóng một vai trò không nhỏ cho quá trình phi các-bon hóa các nguồn năng lượng. Mỗi một thứ kim loại, gắn liền với một vấn đề, có thể là địa kinh tế, nhưng cũng có thể là môi trường hay địa chính trị. Việc chuyển sang nền năng lượng xanh sẽ còn làm gia tăng thêm các áp lực cho các nguồn cung các thứ kim loại thông thường, vốn dĩ cũng đang chịu nhiều sức ép trên thị trường quốc tế. Do vậy, theo quan điểm của chuyên gia về kinh tế này, Liên Âu nói riêng và thế giới nói chung đang đối mặt với một ma trận các vấn đề địa chính trị về năng lượng. « Khi chúng ta nói về địa chính trị các nguồn năng lượng, chúng ta có nguy cơ có một sự pha lẫn giữa địa chính trị các kim loại và địa chính trị năng lượng để rồi tạo ra một thứ hỗn hợp địa chính trị to lớn. Nhưng điều đó không muốn nói là chúng ta không nên phi các-bon hóa, nên phải đi theo hướng này, nhưng phải cân nhắc mọi rủi ro có thể có, không nên nhắm mắt mà đi trước ngần ấy mối quan hệ phụ thuộc, nhất là tại châu Âu. » Trong bối cảnh này, Liên Âu cho rằng còn có một giải pháp thứ ba : Sử dụng năng lượng « điều độ ». Hầu hết giới chuyên gia tại Pháp đều cho rằng « điều độ » năng lượng không chỉ trong cách tiêu thụ năng lượng mà cả trong việc sử dụng các loại nguyên vật liệu. Trong hướng đi này, Liên Hiệp Châu Âu còn đề xuất giải pháp tái chế, tái sử dụng các nguồn nguyên nhiên liệu quý hiếm, nhằm giảm bớt sự phụ thuộc vào các nguồn cung từ bên ngoài hay hạn chế tác động môi trường nếu khai thác ngay trên lãnh thổ. Chỉ có điều, ông Matthieu Auzanneau, giám đốc văn phòng cố vấn chuyển đổi năng lượng Shift Project, một lần nữa gióng chuông báo động : Châu Âu, đặc biệt là Pháp không còn ngành luyện kim để mà tái chế hay sản xuất các bộ bình điện lithium !
En 2035, dans l'Union Européenne, nos véhicules neufs devront être électriques. Alors pour décarboner nos économies et sauver la planète, cette énergie est souvent présentée comme la voie royale. Pourtant, les batteries et leurs composants ne sont pas neutres en carbone. Prenons l'exemple du lithium. Ce métal équipe beaucoup de batteries des véhicules électriques. Mais son extraction est énergivore et nécessite de grandes quantités d'eau. Il est surnommé “le pétrole du 21e siècle”. Le lithium est-il un mirage écologique ? Pour y répondre, direction l'Amérique du Sud, où se situe une bonne partie des réserves de lithium dans le monde, puis décryptage avec Emmanuel Hache, économiste prospectiviste au centre de recherche IFP Energies nouvelles. Interview : Antoine Boyer Sur le terrain : Martin Silva Ce jeudi 3 novembre, à 21h30 heure de Paris, vous pouvez nous retrouver en direct pour un Twitter Space consacré aux élections de mi-mandat aux Etats-Unis , avec l'experte Célia Belin et nos correspondantes à la Maison Blanche et au Congrès américain Aurélia End et Camille Camdessus. Sur le Fil est le podcast quotidien de l'AFP. Vous avez des commentaires ? Ecrivez-nous à podcast@afp.com ou sur notre compte Instagram. Vous pouvez aussi nous envoyer une note vocale par Whatsapp au + 33 6 79 77 38 45. Sur le Fil est présenté par les journalistes Antoine Boyer et Michaëla Cancela-Kieffer Si vous aimez, abonnez-vous, parlez de nous autour de vous et laissez-nous plein d'étoiles sur votre plateforme de podcasts préférée pour mieux faire connaître notre programme !
Le gaz constitue une arme économique et un enjeu géopolitique conséquent dans la guerre qui oppose Moscou et Kiev. La montée des tensions entre les deux pays a en effet déclenché une crise mondiale du gaz depuis quelques mois. À l'échelle européenne, la divergence des points de vue quant à la question de l'approvisionnement des États membres en gaz russe a fragilisé la stratégie énergétique de l'Union européenne. De nombreuses économies (allemande, italienne etc.) se retrouvent à ce jour durement affecté du fait de la dépendance qu'ils ont accumulé à l'égard de Moscou en matière d'importation de gaz. Quelle place occupe la question du gaz dans la guerre russo-ukrainienne ? L'entreprise Total est-elle amenée à maintenir sa présence en Russie ? Sera-t-il plus difficile pour les Européens de diversifier leurs approvisionnements ou pour les Russes de diversifier leur clientèle ? Qui sera davantage perdant dans cette guerre ? Autant d'enjeux qu'aborde Marc Endeweld, journaliste d'investigation, dans ce podcast. Pour aller plus loin :
Cuivre, cobalt, lithium ou terres rares : la transition énergétique a un besoin frénétique de ressources stratégiques. D'où cette question : va-t-on bientôt manquer de métaux ? Pour y répondre nous recevons Emmanuel Hache économiste-prospectiviste, spécialiste des matières premières, chercheur à IFP Énergies nouvelles où il travaille sur la question des métaux dans la transition énergétique, et directeur de recherche à l'Institut des Relations Internationales et Stratégiques *** Suivre le Greenletter Club :
durée : 00:10:19 - Les Enjeux internationaux - par : Julie Gacon - Pour les 30 ans de l'Institut de recherches internationales et stratégiques, la revue RIS dont nous sommes partenaires publie un dossier complet sur le duel Chine/Etats-Unis. Au coeur de ce duel, la diplomatie des ressources, d'après le chercheur Emmanuel Hache. - réalisation : Vivien Demeyère - invités : Emmanuel Hache Economiste à l'IFP EN (Energies Renouvelables), directeur de recherche à l’IRIS, spécialiste de l’Asie du Sud-Est
Élections américaines, évolution de la relation transatlantique, autonomie stratégique européenne, dialogue avec Moscou, renouveau européen, Brexit, situation en Syrie, défi chinois, gaullisme et puissance française, et bien-sûr héritage chiraquien... L'ancien Premier ministre et ancien ministre des Affaires étrangères Alain Juppé nous donne son analyse de l'actualité internationale et des grands défis géopolitiques. Pour aller plus loin : Articles : • Entre souveraineté européenne et patriotisme britannique, où va le Brexit ? : https://bit.ly/33Y0zCw • Les Occidentaux sont aujourd’hui hors-jeu en Syrie : https://bit.ly/3jZ4Xac Ouvrages : • Requiem pour le monde occidental, relever le défi Trump - Pascal Boniface : https://bit.ly/3jXkEOZ • Géopolitique illustréeLes relations internationales depuis 1945 - Pascal Boniface : https://bit.ly/34QYTdu Podcasts : • CLM S3#6 - Jon Henley - "Brexit or not Brexit ?" : https://bit.ly/2SVhzDn • CLM S1#9 - Arnaud Dubien - "Russie : menace majeure ou puissance mineure?" : https://bit.ly/3drrSZa Vidéos : • Trump et l’Europe : amis ou ennemis ? – Je réponds à vos questions - Pascal Boniface : https://bit.ly/34TeYzu • Les Nouvelles routes de la soie - Emmanuel Hache : https://vimeo.com/297969092 • L'Europe doit-elle choisir entre Washington et Pékin ? Pascal Boniface : https://bit.ly/3iU7bX7 • [Chroniques GéoÉco #4] UE : vers un plan de relance économique efficace ? : https://youtu.be/QOTZy6QkH3A • L’OTAN, sortie du coma ? - Pascal Boniface : https://youtu.be/vMlI1mnCcGo Disponible sur Soundcloud, Spotify, Deezer, l'app Podcast, I-Tunes, Youtube, le site internet de l'IRIS, Mediapart et le blog de Pascal Boniface.
Dernier podcast de la saison 3 de "Comprendre le monde" avec Pascal Boniface. Il reçoit aujourd'hui Emmanuel Hache, directeur de recherche à l'IRIS. Le thème abordé cette semaine : "Le Covid-19 a-t-il tué le pétrole ?" L'émission est disponible sur Soundcloud, Spotify, l'app Podcast, I-Tunes, Youtube, le site internet de l'IRIS, Mediapart et le blog de Pascal Boniface.
durée : 00:59:36 - Les Petits matins - Antoine de Baecque vous parle de son récit "Ma Transhumance. Carnets de routo", et Emmanuel Hache de l'enjeu stratégique des terres rares en Chine. Les chroniques s'intéressent - réalisé par : Mydia Portis-Guérin
Nouveau numéro de la saison 2 du Podcast "Comprendre le monde" avec Pascal Boniface. Il reçoit aujourd'hui Emmanuel Hache, ingénieur économiste et prospectiviste à l’IFP Énergies nouvelles (IFPEN)et directeur de recherche à l'IRIS. Le thème abordé cette semaine : "Géopolitique de la transition énergétique" L'émission est disponible sur Soundcloud, l'application Podcast, I-Tunes, Youtube, le site internet de l'IRIS, Mediapart et le blog de Pascal Boniface.
Emmanuel Hache et Vincent MignerotLes théories de l'effondrement ont le vent en poupes. Télévision, presse, médias en tout genre, consacrent de plus en plus de sujets à "l'effondrement". Mais l'effondrement de quoi, d'abord ? Dans leur ouvrage “Comment tout peut s’effondrer” (2015), Pablo Servigne et Raphaël Stevens documentent l'hypothèse selon laquelle notre civilisation pourrait "s'effondrer" dans les années ou décennies à venir. Depuis lors, la question de l'effondrement est fortement associée à la "collapsologie", néologisme fondé sur le terme anglais "collapse" (effondrement), qui serait l'étude transdisciplinaire des systèmes complexes en effondrement. Les théories de l'effondrement sont-elles crédibles ? Qu'apporte la collapsologie ? Quelle importance accorder aux récits collectifs sur notre civilisation, et sur son effondrement possible ? Emmanuel Hache est chercheur associé à l’IRIS, et porteur du projet GENERATE (Géopolitique des Energies Renouvelables et Analyse Prospective de la Transition énergétique). Vincent Mignerot est écrivain, chercheur indépendant, fondateur et président d’honneur de l'association Adrastia.
De gauche à droite : Philippe Grandcolas, Pascal Garret, Emmanuel Hache et Didier Pourquery en studio. Où en sommes-nous des ressources naturelles de la planète ? Faut-il s’inquiéter de leur épuisement ? Existe-t-il des solutions pour les gérer durablement ? Trois parties dans cette émission : « Où en sommes-nous des ressources énergétiques ? » avec Emmanuel Hache (IFPEN) « Comment transformer les déchets et les rebuts en ressources » avec Pascal Garret « Ressources et biodiversité » avec Philippe Grandcolas (CNRS/MNHN) Animation : Yves Bongarçon (Moustic the Audio Agency) et Didier Pourquery (The Conversation) Réalisation : Joseph Carabalona (Moustic the Audio Agency) Emmanuel Hache est directeur de recherche et professeur à l’Institut de relations internationales et stratégiques (IRIS).Sociologue de formation, Pascal Garret travaille comme photographe indépendant, avec le groupe de recherche « Sociétés urbaines et déchets ».Philippe Grandcolas ne travaille pas, ne conseille pas, ne possède pas de parts, ne reçoit pas de fonds d'une organisation qui pourrait tirer profit de cet article, et n'a déclaré aucune autre affiliation que son poste universitaire.