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Ce lundi 10 novembre, Antoine Larigaudrie a reçu Michel Delobel, gérant de portefeuille sous mandat MW Gestion, dans l'émission Tout pour investir sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
Pendant plus d'un siècle, l'automobile a incarné la liberté, le progrès. Aujourd'hui, elle est indispensable à nos déplacements, omniprésente dans nos vies, mais symbolise aussi notre dépendance aux énergies fossiles. Si la voiture électrique est souvent présentée comme la solution, elle soulève aussi des questions en termes de coûts, d'empreinte environnementale et de ressources critiques pour sa fabrication. Peut-on imaginer des véhicules électriques sobres, accessibles, pensés dès leur conception pour minimiser leur impact écologique ? Alors que le secteur des transports représente 34 % des émissions nationales de CO₂ en France, et que seulement 3 % du parc automobile est électrique, la transition vers une mobilité décarbonée s'impose comme un enjeu majeur.Dans cet épisode d'Écoutons le Futur, quatre experts décryptent les paradoxes de la voiture électrique et partagent des pistes concrètes pour accélérer la transition : le concept de voiture légère adaptée aux trajets quotidiens, les leviers réglementaires comme la fin des ventes de véhicules thermiques prévue en 2035, et le passeport numérique des batteries pour garantir traçabilité, recyclage et transparence. Face aux défis industriels et environnementaux, cet échange interroge sur les conditions d'une mobilité plus sobre et mieux adaptée aux usages.Présents sur notre plateau :- Bruno Bourdon, Directeur contenu et impact chez Movin'On- Virginie Sauvet-Goichon, Directrice Stratégie Climat chez Renault Group- Jacques Portalier, Chef de projet Industrie Automobile au Shift Project- Emmanuelle Bischoff-Cluzel, Directrice du Développement durable pour l'Industrie automobile chez CapgeminiUne émission animée par Valère Corréard
Parmi les plus mystérieux trésors archéologiques découverts au XXᵉ siècle figure un objet singulier : le Rouleau de cuivre. Il fait partie des célèbres manuscrits de la mer Morte, retrouvés entre 1947 et 1956 dans les grottes de Qumrân, au bord de la mer Morte, en Israël. Mais contrairement aux centaines d'autres rouleaux faits de cuir ou de parchemin, celui-ci a été gravé… dans du cuivre pur. Et son contenu n'a rien de religieux : c'est une carte au trésor.Découvert en 1952 dans la grotte n°3, ce rouleau se présentait sous la forme de deux cylindres verdâtres, corrodés par les siècles. Trop fragiles pour être déroulés, ils furent découpés en bandes à l'aide d'une scie fine à l'université de Manchester. Ce n'est qu'alors que les archéologues purent lire les inscriptions gravées en hébreu ancien sur le métal. À la différence des autres manuscrits de Qumrân, composés de textes bibliques, le Rouleau de cuivre énumérait… des lieux et des quantités d'or et d'argent.Le texte, long d'environ 60 colonnes, répertorie 64 caches de trésors : lingots, pièces, vases sacrés, objets précieux, pour un total estimé à plusieurs tonnes de métaux précieux. Certaines cachettes seraient dissimulées sous des marches de temples, d'autres dans des grottes ou des citernes, aux alentours de Jérusalem et du désert de Judée. Si ces chiffres étaient authentiques, le trésor aurait une valeur inestimable.Mais à qui appartenait-il ? Les hypothèses se multiplient depuis plus de soixante-dix ans. Pour certains chercheurs, il s'agirait des richesses du Temple de Jérusalem, dissimulées juste avant sa destruction par les Romains en l'an 70. Pour d'autres, le texte aurait été rédigé par la communauté des Esséniens de Qumrân, qui aurait voulu protéger ses biens religieux. D'autres encore pensent à un document symbolique ou à une liste fictive, destinée à nourrir un enseignement spirituel.Aucune des caches décrites n'a jamais été retrouvée. Les indications géographiques sont trop vagues, les paysages ont changé, et il est possible que le trésor ait été pillé ou détruit depuis des siècles. Pourtant, le mystère demeure. Le Rouleau de cuivre, avec son allure de plan codé, fascine archéologues et aventuriers. C'est un texte unique au monde, entre mythe et archéologie, qui témoigne d'une époque troublée où les fidèles tentaient de sauver ce qu'ils avaient de plus précieux — leurs richesses, mais aussi leur foi. Et peut-être, quelque part sous les sables de Judée, dorment encore les trésors qu'il évoque. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
La production de cuivre en plein essor en Afrique. Si la République démocratique du Congo est le premier producteur du continent, la Zambie, le numéro 2, devrait connaître une production record cette année. Le pays n'occupe aujourd'hui que la 9e place au niveau mondial, mais c'est un des rares où la production est en hausse. La production zambienne est plus que prometteuse et cela s'illustre par la présence des grands noms du secteur minier tels que Barrick Mining et First Quantum Minerals pour la partie production. D'autres opérateurs ont lancé des activités de prospection, parmi eux Ivanohe, Anglo American ou encore Rio Tinto. Selon les calculs de l'agence Bloomberg, les miniers présents dans le secteur ont au total investi 10 milliards de dollars pour accroître la production qui était l'année dernière d'un peu plus de 820 000 tonnes. L'ambition du président zambien est d'atteindre 3 millions de tonnes, au début de la prochaine décennie, mais pour y arriver, il faudra des investissements encore plus conséquents. À écouter aussiAnglo American et Teck Ressources, un mariage taillé pour le marché du cuivre Une manne pour l'économie nationale ? La hausse des cours, de plus de 20% cette année, est une bonne nouvelle pour tous ceux qui ont investi dans la production sur le continent. Barrick Mining a prévu de récupérer ses derniers investissements en moins de deux ans si les niveaux actuels du marché se maintiennent, selon Bloomberg. Pour la Zambie, qui sort d'une longue période de renégociation de sa dette, c'est la perspective de nouvelles recettes pour soutenir le redressement économique du pays. Il y a moins d'un an, selon une note du cabinet Global Sovereign Advisory, le gouvernement zambien a conclu un accord avec le groupe de négoce suisse Mercuria pour que son cuivre soit mieux valorisé sur les marchés internationaux. À lire aussiLa Zambie souhaite augmenter ses revenus issus de ses mines de cuivre Mines historiques en déclin L'augmentation de la production de cuivre en Zambie ne permettra cependant pas de compenser le ralentissement des mines historiques, notamment celles du Chili, numéro un mondial dans le secteur. Les volumes extraits ne sont pas comparables, la Zambie a produit moins de 4% du cuivre mondial l'année dernière, mais sa production peut donner une bouffée d'air au marché. Selon l'Agence internationale de l'énergie, d'ici 2050, 60 à 90% des ressources qui sont identifiées aujourd'hui pourraient être épuisées d'ici 2050. En parallèle, les besoins vont bondir, car le cuivre est indispensable à la transition énergétique. Hausse des prix inévitable Dans un secteur où les découvertes minières sont rares, la montée en puissance d'un acteur comme la Zambie participera à modérer la hausse des prix, inévitable à moyen terme. À court terme, les prévisions ne plaident pas pour une flambée durable des cours, précise GSA. La hausse progressive des prix de ces derniers mois est essentiellement liée à la multiplication des perturbations et des imprévus de production chez les leaders du secteur – inondation d'une mine en RDC, effondrement minier meurtrier au Chili, et révision de la production de Teck Resources –, hausse contrebalancée par une demande atone en Chine, et le développement du recyclage selon la note du cabinet d'analyse.
En fusionnant leurs activités, les deux géants miniers vont créer le cinquième producteur mondial de cuivre. L'extraction de ce qu'on surnomme le minerai de la transition représentera alors 70% de leur production. Ces dernières années, les deux miniers avaient dû résister aux assauts de rivaux qui voulaient les avaler. Le Canadien Teck avait déjoué l'offensive du trader suisse Glencore, le britannique Anglo American, repoussé les offres successives de l'Australien BHP. Avec ce mariage, les deux groupes sortent de la catégorie des proies et regagnent des marges de manœuvre. « Ils vont être en mesure d'investir et d'optimiser leurs coûts sur le marché du cuivre où seuls les très gros acteurs tirent leur épingle de jeu », explique Yves Jégourel, professeur titulaire de la chaire Économie des matières premières et transitions durables, au Conservatoire National des Arts et Métiers. Un marché très volatil Malgré la demande en hausse, le marché du cuivre reste difficile. C'est tout le paradoxe de cette matière première. Si son prix a bien grimpé depuis dix ans, il ne s'envole pas encore, et ce, alors que la teneur en minerai des gisements a tendance à diminuer. « Les cours restent en plus soumis à une forte volatilité », confirme Yves Jégourel. Le marché va par exemple tenir compte du niveau de l'activité chinoise et si cette dernière ralentit, le prix du cuivre risque de baisser. Cela créé de l'incertitude pour les actionnaires et, in fine, freine l'investissement, explique le chercheur en guise d'illustration. Pourtant, les ressources en cuivre vont être de plus en plus exploitées dans les années à venir. Les besoins auront doublé en 2040. Une voiture électrique en contient quatre fois plus qu'une voiture thermique. Le développement des énergies renouvelables aussi réclame du cuivre, tout comme la construction des infrastructures électriques pour lesquelles il n'existe quasiment pas de possibilité de substitution. À lire aussiPar crainte de manquer de cuivre, la Chine relève sa prime à l'achat Des co-actionnaires à convaincre Selon Yves Jégourel, si cette fusion apparaît comme une évidence, c'est principalement parce que Teck Resources et Anglo American possèdent chacun une très importante mine au Chili. Les deux gisements sont distants de seulement une quinzaine de kilomètres : une proximité qui va permettre de créer des synergies et donc réduire les coûts. Notamment de profiter de la production d'Anglo American pour faire tourner l'usine de traitement du minerai de Teck Resources. Les experts soulignent aussi la qualité des autres mines que les deux groupes possèdent. Une fois la création du nouveau groupe Anglo Teck définitivement entérinée, il deviendra le cinquième producteur mondial. Le cuivre représentera 70% de sa production totale. Mais l'opération n'est qu'aux prémices. Sa finalisation prendra entre 18 et 24 mois. Les deux miniers devront notamment trouver des accords avec leurs co-actionnaires. Au Chili, Teck possède 60% de Quebrada Blanca et Anglo American seulement 44% de Collahuasi, à égalité avec Glencore. Il n'est pas impossible que les deux groupes reçoivent dans l'intervalle une meilleure offre, qui fasse capoter le projet commun. Car dans les affaires encore plus qu'ailleurs, il n'y a pas d'amour, il n'y a que des preuves d'amour. À lire aussiLes nouveaux droits de douane américains sur le cuivre secouent le marché
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Tous les jours dans la matinale d'Europe 1, Thomas Schnell scrute et analyse la presse du jour. Aujourd'hui, la stratégie de Vladimir Poutine pour négocier la paix en Ukraine, les voleurs de câbles en cuivre dans le collimateur du gouvernement et la mémoire des Négociations pour la paix en Ukraine, Vladimir Poutine procède avec méthode, les voleurs de câbles en cuivre dans le viseur du gouvernement et la mémoire des SuperAgers qui fascine. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
La revue de presse internationale - Les correspondants d'Europe 1
Revue de presse internationale sur les sujets brûlants du jour en Israël, au Chili et au Liban, notamment l'augmentation de l'aide humanitaire à Gaza, l'impact d'une taxe sur le cuivre au Chili et le décès de l'artiste libanais Ziad Rahbani.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Revue de presse internationale sur les sujets brûlants du jour en Israël, au Chili et au Liban, notamment l'augmentation de l'aide humanitaire à Gaza, l'impact d'une taxe sur le cuivre au Chili et le décès de l'artiste libanais Ziad Rahbani.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ecoutez RTL Matin avec Stéphane Carpentier du 24 juillet 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
La République Démocratique du Congo regorge dans son sous-sol de richesses. Cuivre, cobalt, or… Des minerais stratégiques qui sont au cœur de la transition énergétique mondiale. Malheureusement, la transformation locale de ces ressources ne suit pas. Le pays manque l'essentiel, à savoir une énergie fiable, accessible, et suffisante pour transformer ses minerais et booster le développement des communautés.Dans le secteur minier, le besoin est estimé à près de 1.000 Mégawatts par rapport à ce que la société nationale d'électricité est en mesure de fournir. Cette énergie produite est donnée en priorité aux entreprises minières, mais aussi pour les entreprises elles-mêmes, ça reste une énergie pas fiable et pas suffisante pour la production.Comment comprendre ce problème de déficit énergétique en RDC et que faudrait-il faire pour relever les défis ? Les précisions sont à retrouver dans ce nouveau podcast d'Actualité.cd, produit en collaboration avec Resource Matters.Présentation : José MukendiRéalisation : Olivier MuambaMusique : Samuel HirschHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Alors que les minerais extraits en Afrique centrale sont essentiels aux technologies du quotidien, leur traçabilité reste problématique. Entre initiatives internationales et controverses judiciaires, les entreprises sont sous pression pour assumer leur devoir de vigilance. La société luxembourgeoise Traxys a récemment été épinglée par l'ONG Global Witness. Elle est accusée d'avoir acheté plusieurs centaines de tonnes de coltan au Rwanda, un minerai stratégique utilisé notamment dans les smartphones, mais bien souvent extrait dans des conditions illégales en République démocratique du Congo. L'ONG affirme que ce minerai proviendrait de mines congolaises, comme celle de Rubaya, dans une région minée par les conflits armés. Traxys rejette les accusations. Pourtant, l'opacité des chaînes d'approvisionnement reste fréquente dans cette zone. Pour limiter les risques, les entreprises peuvent s'appuyer sur le guide de l'OCDE sur le devoir de diligence. Ce document propose une série de pratiques dites « responsables ». Selon Karim Dahou, directeur adjoint des relations mondiales à l'OCDE, la transparence progresse, et « les entreprises prennent de plus en plus au sérieux leur responsabilité ». Il cite un exemple révélateur : une mine de cuivre évaluée à trois milliards de tonnes de réserves a vu son projet suspendu par une Cour constitutionnelle, faute de consultation des communautés locales dans une zone protégée. « Beaucoup de projets sont retardés ou annulés parce qu'ils ne respectent pas les normes », explique-t-il Des recours juridiques contre les multinationales De son côté, la RDC a porté plainte en France et en Belgique contre des filiales d'Apple, les accusant d'avoir participé au recel de minerais exploités illégalement dans l'est du pays. Le groupe américain affirme avoir depuis suspendu ses approvisionnements en provenance de la RDC et du Rwanda. En France, la plainte a été classée sans suite en février, mais la procédure suit son cours en Belgique. Pour améliorer la traçabilité, des programmes comme ITSCI sont mis en place. Dirigé par Mickaël Daudin, ITSCI aide les entreprises à assumer leur devoir de diligence sur le terrain. « Le cœur du travail, c'est d'être dans les mines, de suivre les risques au quotidien et de les résoudre de manière transparente, insiste-t-il. Aucune solution n'est parfaite. Mais détourner le regard ne fera pas disparaître les abus. » À lire aussiEst de la RDC: la contrebande de minerai vers le Rwanda s'intensifie
C'est un métal discret mais indispensable. Présent dans nos téléphones, nos ordinateurs, nos voitures, et surtout dans les semi-conducteurs, le cuivre est devenu l'un des piliers de notre économie numérique et énergétique. Et pourtant, il est aujourd'hui en danger.Depuis les années 2000, 28 millions de tonnes de cuivre sont extraites chaque année à travers le monde, selon l'International Copper Association. Mais face à l'intensification des sécheresses, cette exploitation est de plus en plus menacée. Car extraire du cuivre, c'est aussi consommer énormément d'eau. 1 600 litres, rien que pour récupérer les 19 kilos nécessaires à une voiture thermique. Pour un véhicule électrique ? Il faut quatre fois plus. Et c'est bien là le problème. Le Chili, premier producteur mondial, fait face à des sécheresses chroniques, tout comme le Pérou, le Mexique ou encore la République démocratique du Congo. Des régions-clés pour le cuivre, et donc pour l'industrie électronique mondiale. En 2021, Taïwan, le plus gros producteur de semi-conducteurs, a connu une sécheresse sévère. Résultat : l'approvisionnement en cuivre a chuté, et avec lui, une partie de la chaîne économique mondiale.Selon PwC, d'ici 2035, un tiers du cuivre nécessaire à la production de semi-conducteurs pourrait ne plus être disponible. Et près de 60 % en 2050. Le tout, alors que la demande mondiale va exploser, poussée par les énergies renouvelables et l'électrification des transports. Quelles solutions ? Plusieurs pays misent sur la désalinisation de l'eau de mer, ou sur des matériaux alternatifs comme l'argent ou les nano-carbones. Mais surtout, le recyclage apparaît comme une priorité. En 2022, un tiers du cuivre utilisé dans le monde provenait déjà de matériaux recyclés. Et ce n'est pas anodin : recycler le cuivre permet d'économiser jusqu'à 80 % d'énergie par rapport à une extraction classique. Alors oui, les estimations parlent encore de 5 000 millions de tonnes en réserve. Mais ces chiffres reposent sur des scénarios très optimistes. Une chose est sûre : si notre consommation ne ralentit pas, ces réserves pourraient s'épuiser en à peine 30 ans. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
L'hyperactivité douanière de Donald Trump n'empêche pas les marchés actions de poursuivre leur ascension. Les investisseurs font preuve d'un certain détachement vis-à-vis des événements. Après tout, tant qu'ils ne voient pas les signes de la sortie de route économique largement prédite mais toujours invisible, pourquoi s'en préoccuper ? La principale victime expiatoire du jour s'appelle le Brésil, même si d'autres pays ont été rangés dans la catégorie des profiteurs de l'Amérique.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Donald Trump annonce taxer à 50% le cuivre à partir du 1er août. Il s'agit d'un matériau stratégique pour le secteur de la défense. Une décision que l'économiste et ancien président de l'autorité de la concurrence, Emmanuel Combe, juge contre-productive. Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
À trois semaines de la date butoir, fixée par Washington au 1er août, les sentences commencent à tomber dans la guerre commerciale engagée par les États-Unis. Donald Trump a annoncé mardi des droits de douane de 50 % sur les importations de cuivre. L'objectif du président américain est de relancer une industrie du cuivre aux États-Unis, alors que ce métal est essentiel pour les semi-conducteurs, les avions ou encore les batteries de véhicules électriques.
Malgré les tentatives désespérées (et infructueuses) de l'auteur pour se désintoxiquer de Trump, l'actualité et les marchés l'y replongent chaque matin. De toute façon nous sommes le 9 juillet, date-butoir d'hypothétiques annonces multinationales sur les droits de douane qui frapperont les produits non Made in USA. C'est le Tariff-Day, T-Day pour les intimes.
La Société du Logement de la Région Bruxelles-Capitale (SLRB), qui se charge notamment du développement des logements sociaux, met la Région en demeure. Sa trésorerie est à sec, alors elle hausse le ton pour que les autorités bruxelloises respectent leurs engagements. Un nouveau fournisseur d'énergie débarque en Wallonie. L'entreprise anversoise Ecofix entend faire baisser la facture des ménages wallons, mais comment compte-t-elle s'y prendre exactement? Le changement climatique menace un tiers de la production de cuivre d'ici dix ans. Un matériau essentiel à la fabrication de puces électroniques, cruciales pour l'économie mondiale. > Interview | Martinez Ojinaga, CEO de CAF: "On ne change pas les règles du jeu en cours de route" Présentation: Ondine Werres Le Brief, le podcast matinal de L'Echo Ce que vous devez savoir avant de démarrer la journée, on vous le sert au creux de l’oreille, chaque matin, en 7 infos, dès 7h. Le Brief, un podcast éclairant, avec l’essentiel de l’info business, entreprendre, investir et politique. Signé L’Echo. Abonnez-vous sur votre plateforme d'écoute favorite Apple Podcast | Spotify | Podcast Addict l Castbox | Deezer | Google PodcastsSee omnystudio.com/listener for privacy information.
Les menaces de l'administration Trump se sont concrétisées : le cuivre qui avait échappé jusque-là aux taxes américaines sera finalement soumis à des droits de 50% d'ici la fin du mois. Même si ce n'est pas une surprise, le marché est secoué, car 50%, c'est un niveau de taxation plus élevé que ce qui était pressenti. La mesure était anticipée, mais devrait assister cependant à un ultime sprint des acheteurs, qui ont déjà fait entrer d'énormes volumes dans le pays ces derniers mois, volumes prélevés dans les entrepôts du monde entier, qui ont logiquement vu fondre leur stock. En réaction à l'annonce de Donald Trump, les prix du cuivre ont immédiatement grimpé. La prime à l'achat à la bourse aux métaux de New York (COMEX) a aussi augmenté. Plus précisément, vendre aux États-Unis rapporte aujourd'hui 2 500 dollars de plus par tonne qu'à la bourse aux métaux de Londres (LME). La contrainte reste que le métal arrive avant l'entrée en vigueur des nouveaux droits, ce qui veut dire qu'il doit venir d'Amérique latine ou d'Europe s'il part rapidement, ou bien qu'il soit déjà chargé sur un bateau et change de destinataire en cours de trajet. « Les États-Unis n'ont pas encore fixé de date précise d'entrée en vigueur des droits de douane, ni de détails sur l'impact sur les cargaisons entrantes déjà achetées. La situation reste donc suffisamment floue pour que certains prennent le risque d'expédier des cargaisons avant et après la date limite » selon Ronan Murphy, responsable « pricing » pour le secteur du cuivre chez Argus Media. Conséquences aux États-Unis À court terme, il ne devrait y avoir aucun problème d'approvisionnement aux États-Unis puisque des montagnes de cuivre ont été accumulées : à titre d'exemple, rien qu'en avril et mai, les importations ont dépassé 400 000 tonnes, soit ce qu'importent les États-Unis sur six mois habituellement, explique Ronan Murphy. Et comme la consommation américaine n'a pas augmenté, ces volumes ont pu être stockés. À moyen terme, une pénurie n'est pas à exclure. Il y a certes des projets miniers dans le pays qui pourraient en théorie permettre de remplacer la totalité de ce qui est importé soit environ la moitié des besoins américains, mais ces projets ne sont pas aboutis, « leur financement n'est pas garanti et leur mise en service est prévue au plus tôt à la fin de la décennie, voire au début des années 2030 », explique l'expert d'Argus Media. À lire aussiLes États-Unis accélèrent le projet d'exploitation minière de cuivre en Arizona Impacts sur le commerce mondial Les nouveaux droits sur le cuivre sont un coup dur pour les trois principaux fournisseurs des États-Unis, le Chili, le Canada et le Mexique. Dès qu'ils entreront en vigueur, le cuivre importé va devenir beaucoup plus coûteux pour les acheteurs américains, et les flux vers les États-Unis devraient ralentir. Le centre de gravité du marché du cuivre se déplacera et les volumes seront redirigés vers le reste du monde, ce qui pourrait faire baisser la tension provoquée par les achats américains frénétiques de ces derniers mois. À lire aussiFace à la Chine, les États-Unis à la recherche de métaux rares
C'est une des conséquences de la guerre commerciale initiée par Donald Trump : il y a de moins en moins de cuivre sur le marché, les acheteurs de cuivre peinent à s'approvisionner, mais aux États-Unis, depuis plus d'un an, les stocks ne font que grossir. Il y a eu un appel d'air très fort aux États-Unis, avec des transferts de gros volumes, grâce à des primes payées Outre-Atlantique incitatives. Tous ceux qui pouvaient, ont fait rentrer du cuivre sur le sol américain, par précaution, avant que le métal rouge ne soit éventuellement taxé. Résultat, les stocks nationaux ont augmenté pour la seizième semaine consécutive et ont plus que doublé depuis mi-février. Ils sont plus fournis que ceux de la bourse aux métaux de Shanghai et de Londres (LME) réunis, une première, selon Saxo Banque. Plus précisément les stocks du LME ont baissé des deux tiers en quelques mois et sont aujourd'hui à leur plus bas niveau depuis deux ans alors que les stocks chinois sont en baisse depuis février et oscillent depuis mi-mai entre 80 et 110 000 tonnes, peinant à redécoller au-delà malgré une augmentation de la prime à l'achat par les opérateurs chinois. Production ralentie L'approvisionnement est aussi perturbé par des difficultés de production dans plusieurs pays. On peut citer les inondations au mois de mai dans la grande mine de Kamoa-Kakula en République démocratique du Congo, et des barrages routiers érigés par les mineurs artisanaux au Pérou qui ont fait obstacle ces derniers jours au transport du minerai. Un minier canadien est aussi en difficulté au Panama. La mine de First Quantum Minerals a été fermée, il y a un an et demi, par le gouvernement, suite à des protestations de la population. Les 120 000 tonnes de cuivre semi-transformé attendent de quitter le site. Pression sur les prix À plus de 10 000 dollars la tonne, les prix ont atteint cette semaine, à Londres, leur plus haut niveau depuis trois mois. Preuve du stress qui règne sur le marché, les prix immédiats sont plus élevés que ceux pour une livraison dans trois mois, alors que c'est l'inverse dans un marché normal. Au vu de la demande en cuivre qui se profile, les perspectives de long terme sont celles d'un marché en tension car « le rôle du cuivre en tant que conducteur industriel le plus efficace devient de plus en plus vital, rappelle l'analyste en chef du département matières premières de Saxo Banque. La demande d'énergie liée à l'IA, le déploiement de véhicules électriques, les infrastructures de recharge, la relocalisation industrielle aux États-Unis et la demande croissante de refroidissement soulèvent des vents arrière de la demande ». À court terme, les prix pourraient rester élevés, tant que l'administration Trump n'aura pas clarifié sa position sur les taxes douanières, car d'ici là, la prime américaine pour le cuivre devrait rester élevée, selon Saxo Banque, ce qui confortera les flux vers les États-Unis au détriment d'autres pays alors que les besoins américains ne représentent que 8% de la demande mondiale. À lire aussiPar crainte de manquer de cuivre, la Chine relève sa prime à l'achat
Épisode 3. Cette année où tout peut basculer. L'année 2025 s'annonce cruciale pour l'océan. Elle a, d'abord, démarré avec une session mouvementée à l'Autorité internationale des fonds marins (AIFM) qui travaille depuis plusieurs années à l'élaboration d'un code minier en vue d'une potentielle future exploitation minière des grands fonds marins. Depuis 2021, les pressions montent de toute part, avec d'un côté, les pays comme la France qui sont en faveur d'une interdiction ou a minima d'une pause de précaution pour éviter que l'exploitation ne démarre aux dépens des écosystèmes, ni des générations futures, et de l'autre, des pays ou des entreprises qui y voient une opportunité économique inespérée. En parallèle de ce projet de code minier de l'AIFM, se prépare l'un des plus grands sommets jamais organisé sur l'océan : la troisième conférence des Nations Unies sur l'océan co-organisée par la France et le Costa Rica prévu à Nice au moins de juin. Ce rendez-vous géant qui va réunir scientifiques, associations et leader a pour thème principal : « accélérer l'action et mobiliser tous les acteurs pour conserver et utiliser durablement l'océan ». Avec : Olivier Guyonvarch, ambassadeur de France en Jamaïque et représentant permanent de la France à l'Autorité internationale des fonds marins (AIFM) ; Gabrielle Larricq, rédactrice océan au ministère de l'Europe et des Affaires étrangères ; Nabil Medaghri-Alaoui, rédacteur océan au ministère de l'Europe et des Affaires étrangères ; Romane Prigent, rédactrice climat et environnement au sein de la Direction des Nations unies et des organisations internationales du ministère ; Lilou Sciortino-Monaco, coordinatrice générale de la 3e conférence des Nations unies sur les océans. ------ POUR ALLER PLUS LOIN : Une vidéo ludique et pédagogique : « À qui appartient la mer ? », à retrouver en ligne sur le compte Youtube d'Arte ; Une exposition fascinante à retrouver en physique ou en ligne : « Digital Abysses » où l'artiste Miguel Chevalier nous invite à plonger dans un univers numérique immersif qui révèle la beauté mystérieuse et fragile des profondeurs marines ; Un acteur incontournable de la diplomatie océanique : la Plateforme océan & climat, fondée en 2021, qui regroupe plus de 100 associations, fondations, et collectivités et qui s'est donné pour mission de favoriser la réflexion et les échanges entre la communauté scientifique, la société civile et les décideurs politiques ; ------ ARCHIVES & EXTRAITS : extrait du discours d'Emmanuel Macron à la COP27 en Égypte en novembre 2022 ; extraits médias (AFP, France Inter) à propos des négociations de l'AIFM publiés en 2024 et 2025 ; extraits médias (NPR, RTS, France 24) à propos du décret signé par Trump autorisant l'exploitation minière des fonds marins ; lecture d'un communiqué de TMC USA publié le 29 avril 2025 ; lecture d'un communiqué de l'AIFM publié le 30 avril 2025 ------ CRÉDITS : Voix, écriture, production et réalisation : Diane Jean Illustrations et identité visuelle : Julie Feydel Lecture et édition : Mariane Schlegel Communication : Kaled Maddi et Matthias Lugoy Direction de production : Julie Godefroy Musique : Out of Reach, Ziv Moran ; Underwater fantaisies, Omri Smadar ; Overcome, Tiko Tiko ; 1983, Angel Salazar (Artlist) ------ À PROPOS : « Qui gouverne l'océan ? » est une série du podcast Sources diplomatiques. Réalisé par le ministère de l'Europe et des Affaires étrangères, ce podcast vous propose des documentaires, décryptages, récits intimes et conversations pour plonger dans les coulisses de la diplomatie française et comprendre les grands enjeux internationaux. Sources diplomatiques est à retrouver sur toutes les applications d'écoutes et de streaming audio.
Aujourd'hui, petite exclu : Mon nouveau podcast, LES AVENTURES DU PROFESSEUR CAILLOUvoici le premier épisode, que j'ai écrit avec Lucie Le Moine et Greg Vacher,pour France Inter, en collaboration avec le BRGMle tout réalisé par Taissia Froidurepour retrouver les 5 autres épisodes, c'est sur le site de France Inter ou l'application Radio France : https://www.radiofrance.fr/franceinter/podcasts/les-aventures-du-professeur-caillouJ'espère que Pierrette Caillou vous plaira, et Abel aussi ! J'espère que vous serez curieux des cailloux !Moi, dedans, je joue :Professeur Caillou, L'Or, le Cuivre et le petit enfant qui fait le malinosbisous !!Le professeur Pierrette Caillou et son collègue Abel, sont géologues au BRGM, l'organisme français qui s'occupe de tout ce qui se trouve dans le sous-sol (comme l'eau et les ressources minérales).Alors que Pierrette souhaite réaliser un podcast pour parler de sa passion pour son métier et les cailloux, elle va être régulièrement interrompue par des appels à l'aide. En effet, elle a mis en place un système de cailloutolettre qui permet aux métaux de la contacter en cas de besoin.Elle et Abel vont alors secourir une multitude d'éléments chimiques.L'équipeAuteurs : Marine Baousson, Lucie Lemoine et Grégory VacherDistribution : Marine Baousson et Grégory VacherPrise de son : Valérie LavallartMixage : Eric BoissetRéalisation : Taissa FroidureUn podcast produit par le Studio Radio France en collaboration avec le BRGM, (le Bureau de recherches géologiques et minières) et tout particulièrement :Philippe Freyssinet, directeur scientifique du BRGMAgnès Noel, responsable de la médiation scientifique du BRGMEt les géologues :Gaëtan LefebvreAnthony PochonNicolas CharlesAnne-Sophie SerrandPaul NotomOlivier Serranoet maintenant, Petit Vulgaire est un spectacle qui s'appelle : POURQUOI POURQUOI À PARIS LE 15 JUIN À 14H30 À LA NOUVELLE SEINE : https://lanouvelleseine.com/events/pourquoi-pourquoi/ET AU FESTIVAL D'AVIGNON, TOUS LES JOURS SAUF LE LUNDI AU THÉÂTRE DES VENTS, À 11H : https://theatredesvents.fr/spectacle/pourquoi-pourquoi/Un podcast de Marine Baousson réalisé et mis en musique par Romain Baoussonillustrations de Juliette PoneyInstagram : https://www.instagram.com/vulgaire_lepodcast/ Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
La Chine pourrait-elle manquer de cuivre ? C'est en tout cas ce que certains acheteurs semblent craindre. Ils se démènent pour sécuriser leur approvisionnement. Pour s'assurer d'être couverts, les importateurs chinois sont prêts à payer plus cher. La prime payée par les acheteurs, en plus du prix fixé par les cours, est un bon indicateur de leurs besoins. En Chine, et plus précisément dans le port de Yanshan de Shangaï qui est une des portes d'entrée du cuivre, cette prime est passée de 35 dollars la tonne en février à 94 dollars cette semaine, selon l'agence Bloomberg. Les acheteurs chinois n'ont jamais payé autant depuis fin 2023.La hausse de cette prime illustre une tension sur le marché, alimentée par la baisse des stocks dans les entrepôts : selon les données de la bourse aux métaux de Shangaï, ils auraient chuté de près de 55 000 tonnes en une semaine, soit la plus forte baisse hebdomadaire enregistrée. Pour atteindre 116 800 tonnes la semaine dernière, selon le Financial Times. Selon le journal Mercuria, un négociant en métaux, estime qu'ils pourraient s'épuiser d'ici mi-juin. Concurrence des États-UnisSi les Chinois se démènent pour importer du cuivre, c'est que les États-Unis sont devenus des concurrents inattendus ces derniers mois sur le marché. Les acheteurs américains, mais aussi les traders, ont acheté beaucoup plus de métal rouge qu'en temps normal, par peur d'éventuels droits de douane. Sur la place boursière de New York (COMEX) le cuivre s'est négocié ces dernières semaines jusqu'à 1 600 dollars par tonne de plus que le prix de la bourse de Londres (LME). Cela a logiquement attiré ceux qui avaient du cuivre à vendre.Le niveau des stocks dans les entrepôts de la bourse américaine ont atteint leur plus haut niveau depuis 2018. Ce flux inhabituel de cuivre vers les États-Unis a commencé à inquiéter la Chine, gros consommateur de cuivre. La Chine acheteuse de cuivre et de ferraille Le pays est un des grands acheteurs de cuivre, mais aussi de ferraille de cuivre, qui pourrait, un jour ou l'autre, faire l'objet d'éventuelles taxes américaines. Les Chinois sont sur le qui-vive, car en 2024, ils ont absorbé la moitié de la ferraille que les États-Unis ont exportée, selon l'agence Fastmarkets.Les fêtes du 1er-Mai et les cinq jours de pause qui vont avec en Chine devraient cependant ralentir l'agitation ambiante autour du métal rouge. D'autant que les indicateurs économiques ne sont pas fabuleux dans le pays, notamment ceux du secteur manufacturier qui sont moins bons que prévu.La demande en cuivre pourrait ne pas être si forte que cela finalement, de quoi calmer les esprits si cela se confirme et mettre fin peut-être à la course aux primes chez les grands acheteurs de cuivre du marché.À lire aussiLes taxes Trump font grimper les prix de plusieurs métaux par anticipation
Chaque jour, votre coaching financier : on vous coache pour vous aider à devenir meilleur investisseur.
Depuis le retour de Trump à la Maison Blanche, les cours des métaux cotés aux Etats-Unis sont plus élevés qu'en Europe. Après l'or, l'aluminium, c'est désormais au tour du cuivre de s'envoler à Wall Street. Est-ce la conséquence de la guerre commerciale menée par le Président américain ? L'analyse de Benjamin Louvet, directeur des gestions Matières Premières chez Ofi Invest AM. Ecorama du 24 mars 2025, présenté par David Jacquot sur Boursorama.com Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d'informations.
Ce métal est appelé "l'or rouge" : le cuivre est de plus en plus recherché. L'offre, elle, est de moins en moins importante. Son cours établit un nouveau record jeudi 20 mars : 10.000 euros la tonne. Or, sans cuivre, pas de câbles ou de voitures électriques par exemple. Alors l'une des solutions pour limiter la dépendance de la France, c'est le recyclage. La filière n'est pas encore bien structurée en France, mais quelques sites s'y collent. C'est le cas d'un site de Suez près de Douai, dans le Nord, où Nathan Bocard s'est rendu pour RTL. Ecoutez RTL inside avec Nathan Bocard du 20 mars 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:02:18 - Le grand format - Le réseau cuivre, vieux de plusieurs décennies, commence à être désactivé à partir de ce vendredi dans plus d'une centaine de communes, au profit de la fibre optique. Reportage en Sologne.
Tous les matins à 8H10, Salomé nous donne des infos aléatoires du monde.
Sébastien Diaz nous prouve que l’expression qui dit « quand on se compare, on se console » est vraie ! Christophe Dupéré nous explique pourquoi il ADORE le lundi du retour de vacances ! Anne-Élisabeth Bossé nous donne des trucs pour se débarrasser de mauvaises habitudes de communication. BONNE ÉCOUTE !
Une sélection des actualités du jour qui ont un impact direct ou indirect sur vos finances personnelles. Avec : Félix Baron, fondateur du "Club des Investisseurs Indépendants", et Olivier Lechevalier, co-fondateur de Defthedge.
Une sélection des actualités du jour qui ont un impact direct ou indirect sur vos finances personnelles. Avec : Félix Baron, fondateur du "Club des Investisseurs Indépendants", et Christian Fontaine, directeur délégué de la rédaction du Revenu.
Ecoutez Tout savoir sur... avec Virginie Garin du 07 août 2024.
Cuivre, cobalt, manganèse... la demande en minéraux essentiels pour la transition énergétique et la fabrication de batteries électriques devrait être multipliée par six d'ici à 2040. De nombreux pays d'Afrique, dont les sous-sols recèlent de ces métaux, ont accéléré leurs travaux d'exploration tout en envisageant une transformation de ces produits bruts sur le continent. En Algérie, des indices de cobalt, nickel, ou encore lithium ont été repérés, le pays pourrait être un important pourvoyeur de ces métaux, notamment pour l'Europe qui cherche à diversifier ses approvisionnements. « L'Algérie doit inscrire sa stratégie par rapport à un contexte national et international vorace de ces minéraux critique, assure Nadjiba Bourenane, directrice générale des Mines au ministère algérien de l'Énergie et des Mines, à l'état actuel, nous avons des indices pour ces minéraux-là et nous devons réaliser beaucoup de travaux de prospection et d'exploration pour confirmer leur existence et surtout leur économicité. »À lire aussiFrance: un projet de mine de lithium dans l'Allier reconnu «d'intérêt national majeur»Manque d'eau et d'infrastructuresPlus de la moitié des projets dans les métaux critiques en Afrique sont concentrés dans trois pays : l'Afrique du Sud, la RDC et la Zambie. L'Algérie cherche à se faire une place. Un obstacle tout de même : sans usine de transformation sur son sol, la perte de revenus est considérable. « Si l'Afrique a un potentiel, il doit être valorisé et transformé au niveau des pays respectifs africains. Il faut créer des partenariats avec l'Europe qui demande justement ces substances, argumente Nadjiba Bourenane, si nous ne préparons pas toutes les ressources nécessaires, comme l'énergie, l'eau, les infrastructures, le transport... Sans ça, nous ne pouvons pas avancer. »Emplois et retombées fiscales à la cléL'interdiction d'exporter des minerais non transformés a été généralisée dans les codes miniers. C'est le cas du lithium ghanéen et zimbabwéen... mais faute d'énergie, faute d'infrastructures, l'application de ces interdictions est à géométrie variable. « La RDC, au début de ce siècle, a imposé, en imitant les autres pays africains, l'interdiction d'exporter des minerais non transformés. Or, elle n'avait pas assez d'électricité pour qu'on crée des usines pour les transformer, explique Thierry Vircoulon, chercheur associé à l'Institut français des relations internationales (Ifri), donc là, il y avait une contradiction évidente. Et c'est pour ça que pendant longtemps, au moins une décennie, cette disposition du Code minier en RDC n'était pas appliquée. » La transformation sur place permet de créer de l'emploi direct et indirect. Mais ce sont aussi des retombées fiscales pour un pays et la possibilité de conserver une part importante de la chaîne de valeur du minerai. Les différents ministres des Mines africains réunis la semaine dernière au sommet Mining on Top Africa à Paris étaient d'accord entre eux : les pays d'Afrique doivent jouer collectif et mieux mutualiser les infrastructures de transformation.À lire aussiQuels sont les risques environnementaux liés à l'exploitation des minerais de la transition?
Regard sur la Mongolie à l'occasion des élections législatives du 28 juin 2024 qui constitueront un moment charnière pour la démocratie du pays. Ces élections sont les premières depuis le récent amendement constitutionnel de 2023 qui a porté le nombre de sièges parlementaires de 78 à 126, dont 48 élus à la représentation proportionnelle. Les autres au scrutin uninominal à un tour. À ce changement, s'ajoute un autre, il concerne les circonscriptions électorales qui ont été remaniées et fusionnées, réduisant le nombre de circonscriptions de 29 à 13. 14 jours, c'est la durée en Mongolie des campagnes électorales. Un défi pour une démocratie assez jeune. Libérée du joug soviétique en 1990, la Mongolie ne cesse depuis de tenter d'affirmer son identité et son indépendance face à ses grands voisins, la Chine et la Russie en exaltant le passé et la figure de Gengis Khan. Un immense pays méconnu, à la densité humaine la plus faible au monde. 3,2 millions d'habitants et extrêmement bien doté en réserves minérales. Cuivre, uranium, terres rares... Prise en étau entre ses deux imposants voisins, la Chine et la Russie, la Mongolie a développé la stratégie du troisième voisin et tissé des liens avec de nombreux pays, ce qui rend l'appréciation de la situation assez complexe d'autant que le pays n'a pas à proprement parler d'importance stratégique.Invités : Jacques Legrand, professeur émérite de Langue et de Littérature mongoles. Ancien président de l'INALCO Antoine Maire, président de SELDON Conseil, chercheur en Sciences politiques et spécialiste de la Mongolie. « La Mongolie contemporaine » chez CNRS Éditions.
durée : 00:06:13 - Le Journal de l'éco - par : Anne-Laure Chouin - On le présente comme le nouvel "or rouge". Depuis trois ans, le cours du cuivre flambe, car ce métal est essentiel à la transition, mais que sa production stagne. La situation va perdurer et risque d'évincer des projets plus structurants. - invités : Philippe Chalmin Professeur d'économie à l'université de Paris Dauphine.
En avril dernier, le ministre de l'économie Bruno Le Maire, annonçait une série de mesures de simplification pour accélérer le développement des mines de métaux en France. L'enjeu est grand pour l'économie du pays : les métaux sont nécessaires à la fabrication et au fonctionnement des technologies bas carbone, par exemple des batteries. Ils sont donc des éléments clés de la transition énergétique.Mais pour parvenir aux objectifs fixés par les accords de Paris, il va falloir en produire beaucoup plus au niveau mondial. En développant des mines sur son territoire, la France espère donc se positionner sur le marché des métaux et s'éloigner de sa dépendance à la Chine, qui le domine aujourd'hui. Un projet de mine de lithium est déjà prévu dans l'Allier et devrait voir le jour en 2028.Mais celui-ci suscite l'inquiétude chez les populations voisines. Car l'extraction de minerai pollue les sols et les eaux, menaçant ainsi la biodiversité et la santé humaine. Aujourd'hui, elle est très peu encadrée, y compris en Europe. Et la gestion de ses déchets, qui polluent également, n'est pas encore résolue.Alors les métaux sont-ils la face sombre de la transition énergétique ? Pourrions-nous nous en passer ? Existe-t-il des mines propres qui respectent la biodiversité et les droits humains ? Réponse dans cet épisode de « l'Heure du Monde » avec Perrine Mouterde, journaliste au service Planète du Monde, chargée des énergies et de la biodiversité.Un épisode d'Adélaïde Tenaglia. Rédaction en chef : Adèle Ponticelli. Présentation : Jean-Guillaume Santi. Réalisation : Florentin Baume. ---Pour soutenir "L'Heure du Monde" et notre rédaction, abonnez-vous sur abopodcast.lemonde.fr
REDIFF - Le cours du cuivre a franchi les 10.000 euros la tonne. Comme le lithium ou le nickel, le cuivre fait partie des métaux indispensables pour réussir la transition écologique et décarboner nos économies. Car le cuivre conduit l'électricité et nous allons, pour remplacer le pétrole ou le charbon, vers toujours plus d'électrification. Du lundi au vendredi, la rédaction de RTL revient sur un fait marquant de l'actualité avec les reporters, les correspondants et les experts de RTL.
REDIFF - Le cours du cuivre a franchi les 10.000 euros la tonne. Comme le lithium ou le nickel, le cuivre fait partie des métaux indispensables pour réussir la transition écologique et décarboner nos économies. Car le cuivre conduit l'électricité et nous allons, pour remplacer le pétrole ou le charbon, vers toujours plus d'électrification. Du lundi au vendredi, la rédaction de RTL revient sur un fait marquant de l'actualité avec les reporters, les correspondants et les experts de RTL.
Vendredi 17 mai, les cours du cuivre qui atteignent un nouveau record ont été abordés par Benaouda Abdeddaïm, éditorialiste international chez BFM Business, Wilfrid Galand, directeur et stratégiste chez Montpensier Finance, Louis de Montalembert, président de Pléiade AM, et Pascale Seivy, directrice commerciale chez Lombard Odier, reçu par Marc Fiorentino dans l'émission C'est Votre Argent sur BFM Business. Retrouvez l'émission le vendredi et réécoutez la en podcast.
Le cours du cuivre a franchi les 10.000 euros la tonne. Comme le lithium ou le nickel, le cuivre fait partie des métaux indispensables pour réussir la transition écologique et décarboner nos économies. Car le cuivre conduit l'électricité et nous allons, pour remplacer le pétrole ou le charbon, vers toujours plus d'électrification. Du lundi au vendredi, la rédaction de RTL revient sur un fait marquant de l'actualité avec les reporters, les correspondants et les experts de RTL.
Le cours du cuivre a franchi les 10.000 euros la tonne. Comme le lithium ou le nickel, le cuivre fait partie des métaux indispensables pour réussir la transition écologique et décarboner nos économies. Car le cuivre conduit l'électricité et nous allons, pour remplacer le pétrole ou le charbon, vers toujours plus d'électrification. Du lundi au vendredi, la rédaction de RTL revient sur un fait marquant de l'actualité avec les reporters, les correspondants et les experts de RTL.
Ecoutez Lenglet-Co avec François Lenglet du 30 avril 2024
Le plus grand groupe minier au monde, l'Australien BHP Billiton, veut encore grossir en rachetant son concurrent Anglo-American, qui a pour l'instant décliné son offre. Une folie des grandeurs alimentée par la flambée des cours du cuivre. Avec la transition énergétique, le métal rouge a changé de couleur : il appartient désormais à la catégorie des métaux dits « verts », ceux qui sont indispensables à la décarbonation. Il faut du nickel, du lithium et du cobalt pour cette transition, mais aussi du cuivre, beaucoup de cuivre pour l'électrification de nos systèmes énergétiques. Cette nouvelle demande, en augmentation constante depuis quinze ans, nourrit l'ascension spectaculaire des cours. Sur le marché londonien des métaux, le cours du cuivre a bondi de 18 % en deux mois. Vendredi, il a franchi la barre des 10 000 dollars la tonne.À lire aussiLe cours du cuivre au plus haut depuis 14 moisDes cours astronomiquesLes ventes de cuivre d'Anglo-Américain, très présent au Chili et au Pérou, les deux plus gros producteurs avec la Chine, ont explosé. Elles ont augmenté de 30 % entre 2022 et 2023. C'est cette rente que le géant australien espère capter. Il a mis 39 milliards de dollars sur la table. Pas assez estime le groupe convoité.Anglo-Américain connait lui aussi les enjeux. Les deux entités réunies détiendraient à elles seules 10 % de l'offre mondiale de cuivre. De quoi assurer une rente confortable pour les vingt ans qui viennent. Car la demande va continuer à grimper. Entre 2010 et 2024, la production a bondi de 8 millions de tonnes. Sans pour autant épancher la soif de cuivre.Un déficit de l'offre en perspectiveUn déficit pourrait même survenir dès cette année, prévoient plusieurs analystes. Selon le cabinet CRU, il faudrait extraire 4 millions de tonnes supplémentaires d'ici 2030 pour satisfaire la demande potentielle. Mais au lieu de croître, l'offre va commencer à décliner à partir de 2027, faute d'investissements suffisants dans l'ouverture de nouvelles mines. Les gisements riches en minerai sont de plus en plus rares, leur exploitation de plus en plus coûteuse, et très chronophage. Cela peut prendre 10 ans pour réunir le financement, obtenir les autorisations et vaincre l'hostilité grandissante des populations locales. La sécheresse qui sévit menace par ailleurs la production dans la moitié des mines en activité, alerte PWC. Des perspectives pas très rassurantes pour les consommateurs de cuivre, et donc pour l'indispensable transition énergétique.Une méga fusion inquiétante pour les consommateursLa méga fusion qui s'annonce ne va pas forcément arranger les choses. Dans l'immédiat, les consommateurs redoutent surtout qu'elle aggrave le problème. En détenant une part aussi importante de l'offre, le nouveau mastodonte pourrait imposer ses prix au mépris de ses rivaux. Les Chinois achètent la moitié de la production mondiale de cuivre. On les voit mal laisser faire une fusion qui réduirait leur pouvoir de négociation. Ils seront consultés et donneront évidemment leur avis sur l'opération. BHP Billiton doit aussi composer avec l'hostilité des Sud-Africains. Dans l'immédiat, l'Australien prépare une offre plus alléchante. Avec, bien sûr, un œil sur le marché. Le cuivre pourrait facilement grimper jusqu'à 12 000 dollars la tonne d'ici deux ans.À lire aussiCuivre: de nouveaux records de prix à venir?
C'est dans les vieux pots qu'on fait les meilleures soupes mais aussi les meilleures confitures. Je vous ai déjà parlé des soupes et je suis d'une humeur douce. Celles de nos grands-mères sont sans nul doute les plus exquises, lorsque la marmite chauffe et la bonne odeur de fruits mêlée à celle du sucre parfument la cuisine et le reste de la maison. Deux questions pour le prix d'une dans ce podcast. La première sur l'utilisation de la bassine et l'autre sur l'interêt de la prendre en cuivre pour faire vos belles confitures ! La bassine déjà. C'est réellement un vieux pot, elle existerait depuis le XVIIe siècle. Elle a une forme évasée pour permettre une meilleure évaporation de l'eau. Les fruits en sont gorgés et ils vont transpirer au contact de la chaleur. Plus ils perdent de l'eau, plus ils se concentrent en sucres. En fructose plus exactement, alors pourquoi rajouter du sucre ? Pour mieux conserver sa confiture. Moins d'eau dans un produit, c'est moins de place aux bactéries. Ca vous rappelle pas un superbe podcast sur le sujet d'ailleurs ? L'eau bout à 100 degrés mais la sucre lui, à une température d'ébullition légèrement plus élevée. Pour éviter de transformer ce fructose en caramel, la mixture qui cuit bien gentiment dans notre bassine ne doit pas dépasser les 105 voire les 107 degrés. Oui, c'est très précis le sucre. C'est la température idéale à atteindre pour faire un sirop. Et quel est l'interêt du cuivre ? Il est un excellent conducteur de chaleur. Dans votre bassine large, cette chaleur est bien répartie. Autre avantage, c'est son action sur la pectine. La pectine est naturellement présente dans les fruits. Un élément indispensable pour réaliser une confiture ou une gelée réussie. La pomme, le cassis ou encore les agrumes en contiennent assez pour permettre au mélange de fruits et sucre de prendre, de se figer. Sinon, il faut en rajouter. Le cuivre s'oxyde au contact de l'acidité des fruits. Les molécules de cuivre forment un pont pour les molécules de pectine qui gélifient le mélange fruité. Mais attention, l'oxydation, ce n'est jamais bon. Pas d'exception pour l'oxydation du cuivre. Alors, on peut faire de très bonnes confitures dans une bassine en acier inoxydable et en rajoutant une autre astuce de grand-mère : du citron. L'acidité du citron titille aussi très bien la pectine. Vous êtes prêts pour les confituriades, le championnat mondial de confiture, les grandes gagnantes de 2023 ont une source d'inspiration précieuse, leurs grands-mères. Bonne fête à toutes les mamies du monde ! Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
durée : 00:06:27 - La Revue de presse internationale - par : Catherine Duthu - Le président du Panama promet de fermer la plus grande mine de cuivre d'Amérique centrale. La Cour suprême a déclaré "inconstitutionnel" son contrat avec une société minière canadienne. L'annonce a été suivie de célébrations dans tout le pays, après un mois de manifestations et blocages routiers.
Colombie : les voisins maudits de la mineRFI s'est associé au consortium international d'enquête « Forbidden Stories » pour reprendre le travail de Rafael Moreno, journaliste colombien, tué le 16 octobre 2022, dans des circonstances encore non élucidées. L'un des sujets sur lesquels il enquêtait : l'impact de la grande industrie minière sur l'environnement et la santé des populations dans sa région d'origine, le département de Cordoba. En 2017, la justice colombienne a obligé l'opérateur de la mine de nickel Cerro Matoso S.A à agir pour limiter ces effets nocifs. Six ans après, les dégâts sont toujours là parmi les communautés voisines de la plus grande mine à ciel ouvert de nickel du continent.Un Grand reportage d'Aabla Jounaïdi et Angélica Perez. Elles témoignent au micro de Patrick Adam Les mangeurs de cuivre du KatangaOn les appelle les mangeurs de cuivre. Nous sommes au Katanga, en RDC réputée depuis plus d'un siècle pour ses mines de cuivre et de cobalt, où se ruent les multinationales sur place. La dynastie du peuple Basanga, c'est elle qui fond le cuivre. Grâce à un four traditionnel, ce peuple du Katanga a produit différents objets en cuivre, dont le plus symbolique est la Croisette qui, au fil des années, a été utilisée par les peuples du sud de la RDC jusqu'en Afrique Centrale comme monnaie.Un Grand reportage de Denise Maheho qui s'entretient avec Patrick Adam
On les appelle les mangeurs de cuivre. Nous sommes au Katanga, en RDC réputée depuis plus d'un siècle pour ses mines de cuivre et de cobalt, où se ruent les multinationales sur place. La dynastie du peuple Basanga, c'est elle qui fond le cuivre. Grâce à un four traditionnel, ce peuple du Katanga a produit différents objets en cuivre, dont le plus symbolique est la Croisette qui, au fil des années, a été utilisée par les peuples du sud de la RDC jusqu'en Afrique Centrale comme monnaie. « Les mangeurs de cuivre du Katanga », un Grand reportage de Denise Maheho.