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Focus economia
Inflazione percepita al 10%, gli italiani riducono i consumi

Focus economia

Play Episode Listen Later May 5, 2025


Secondo un sondaggio Noto per Il Sole 24 Ore del Lunedì, l'inflazione percepita dagli italiani ad aprile è al 9,9%, quasi otto punti sopra il dato reale (2%). Un italiano su due ha tagliato i consumi negli ultimi sei mesi e il 61% giudica inadeguato il proprio reddito rispetto al costo della vita. Le spese più sentite sono per energia, salute e alimentari. La differenza tra inflazione reale e percepita è aumentata rispetto a ottobre 2023. Le donne avvertono incrementi di prezzo più forti degli uomini. Il decreto Bollette ha stanziato 3 miliardi, con bonus di 200 euro per famiglie sotto i 25mila euro ISEE. Intanto, le retribuzioni reali restano inferiori di circa l'8% rispetto a gennaio 2021, e il 70% degli intervistati non crede nell'efficacia delle misure del governo. Ne parliamo con Michela Finizio, Il Sole 24 OreCarburanti: proseguono ribassiI prezzi dei carburanti continuano a scendere per la quinta settimana consecutiva, con il Brent sotto i 60 dollari per la prima volta dal gennaio 2021. Tuttavia, il calo alla pompa non rispecchia pienamente il crollo delle quotazioni petrolifere (-15/20% su base annua), a causa dell'elevata componente fiscale nel prezzo finale. I prezzi medi: benzina self a 1,702 €/l, diesel self a 1,595 €/l. Gpl e metano in calo, come pure il Gnl. Anche in autostrada si registrano diminuzioni, ma più contenute. Il commento è di Gabriele Masini, direttore di Staffetta Quotidiana.Trump pensa a dazi del 100% sui film stranieri. Un'altra misura "Boomerang"?Trump ha annunciato possibili dazi del 100% sui film esteri, accusando altri Paesi di sottrarre produzioni agli Stati Uniti. Ma la misura rischia di danneggiare la stessa industria americana, che si appoggia spesso a studi stranieri per motivi di costo. Una risposta simmetrica da parte dell'Europa sarebbe disastrosa per Hollywood, che dipende anche dai mercati e dai festival europei. L'analisi ricorda che, come per l'automotive, queste misure protezionistiche possono ritorcersi contro gli stessi Stati Uniti. Interviene Cristina Battocletti, Il Sole 24 Ore.Sulla fuga dei cervelli è scontro Italia-FranciaIl vertice "Choose Europe for Science", convocato da Macron a Parigi, per attrarre ricercatori in fuga dagli USA, ha irritato l'Italia. Il ministro Bernini rivendica l'azione già intrapresa con un bando da 50 milioni. Il governo italiano si chiede se l'evento sia davvero europeo o promuova solo la Francia. Macron e Von der Leyen hanno annunciato un pacchetto da 500 milioni e una nuova "super sovvenzione" per ricercatori di eccellenza. La Francia aggiunge altri 100 milioni per attrarre talenti, mentre l'Italia era rappresentata dall'ambasciatrice a Parigi. Con noi Danilo Ceccarelli, Radio24.

Programas FM Milenium
Pablo y a la Bolsa: entrevista a Nicolás Gadano, economista, especialista en hidrocarburos

Programas FM Milenium

Play Episode Listen Later May 5, 2025 13:34


Entrevista de Pablo Wende a Nicolás Gadano, economista jefe de Empiria, especialista en hidrocarburos, a propósito de la aprobación del RIGI para el proyecto de exportación de GNL .

Chronique des Matières Premières
La Chine limite drastiquement ses importations de blé et de gaz américain

Chronique des Matières Premières

Play Episode Listen Later Apr 21, 2025 1:55


Les derniers chiffres douaniers chinois montrent un effondrement des importations de certaines matières premières américaines au mois de mars. Les plus touchées sont le blé et le gaz naturel liquéfié. Les chiffres montrent des achats de blé américain presque insignifiants au mois de mars, alors que la Chine a acheté l'année dernière plus de 15 % de son blé aux États-Unis. La tendance est la même pour le gaz naturel liquéfié. L'Empire du Milieu n'a quasiment rien acheté aux États-Unis le mois dernier. Ses commandes avaient déjà diminué en janvier et en février.Résultat, la Chine a vu ses importations de gaz américain chuter de 70 % au premier trimestre. Pendant le premier mandat de Donald Trump, la Chine n'avait pas reçu de cargaisons de GNL durant 400 jours. Impossible de dire à ce stade si la baisse des achats est partie pour durer, à nouveau, mais la Chine a déjà augmenté ses commandes faites au Qatar et à l'Indonésie. Elle aurait aussi privilégié un peu plus le recours au charbon et aux énergies renouvelables, selon une analyste des marchés énergétiques de Bloomberg.Une baisse à interpréter avec prudenceCes chiffres sont ceux du mois de mars, les droits de douane chinois, pris en rétorsion aux taxes américaines, n'étaient alors que de 10 à 15 % sur les produits énergétiques et sur les produits agricoles. Pour voir si le phénomène s'amplifie et s'il y a une véritable corrélation entre les taxes et les volumes importés, il faut attendre les prochains mois. D'autant que les taxes chinoises sur les produits américains concernés sont désormais supérieures à 100 %.La question se pose en particulier pour le blé, car pour l'instant, le lien n'est pas évident. Il n'y en a même aucun, selon Arthur Portier, consultant pour Argus Media France. La Chine a en effet beaucoup importé ces trois dernières années et ses stocks sont suffisamment élevés pour qu'elle achète moins. De fait, la Chine achète également moins de blé à ses autres fournisseurs habituels. Il faudra attendre les prochains mois pour savoir aussi si la chute des importations de coton et de maïs au mois de mars s'inscrit dans la durée et reflète un véritable changement du circuit d'approvisionnement chinois.Exceptions pour le soja et le pétroleLa Chine continue en revanche de maintenir des niveaux d'importation élevés pour le pétrole américain et le soja notamment. Les importations chinoises de cet oléagineux américain ont augmenté de 12 % au mois de mars par rapport à l'année dernière. Elles reflètent selon les analystes des achats d'importateurs stressés en fin d'année 2024.Selon les calculs de l'agence Reuters, la part de marché du soja américain en Chine était au premier trimestre encore de 68 %  contre 26 % pour celui du Brésil. Le soja brésilien devrait bientôt reprendre le dessus, la récolte sud-américaine étant disponible en Chine, à partir du printemps. À lire aussiGuerre commerciale: Pékin hausse le ton contre les pays qui négocient avec Washington

ANSA Voice Daily
PRIME PAGINE | Trump attacca Zelensky: ‘la guerra è colpa sua e di Biden'

ANSA Voice Daily

Play Episode Listen Later Apr 15, 2025 16:12


WALL STREET COLADA
Rebote Cortado: Vuelve la Volatilidad, Tensión Naval con China y Avance de Waymo en Japón.

WALL STREET COLADA

Play Episode Listen Later Apr 10, 2025 5:03


En este episodio, repasamos los temas más críticos del día: • Wall Street pierde impulso: Tras el rally histórico del miércoles ($SPX +9.52%, $US100 +12.16%), los futuros vuelven al rojo: $SPX -2.2%, $US100 -2.4%, $INDU -1.6%. Trump pausó aranceles para 75 países, pero subió al 125% los de China. Hoy se esperan el IPC de marzo y jobless claims. • Trump reactiva la industria naval: Orden ejecutiva impulsa construcción naval con incentivos fiscales y aranceles a barcos chinos. Elon Musk liderará equipo de eficiencia para revisar fragatas, submarinos y puertos. Se auditarán planes clave como los rompehielos árticos. • UE negociará GNL para evitar aranceles: La Unión Europea podría aumentar compras de gas natural licuado a EE.UU. para calmar tensiones con Trump. Se busca balancear el comercio sin comprometer la transición verde. Bruselas acelerará permisos para proyectos energéticos. • Waymo se expande a Tokio: $GOOGL inicia pruebas con 25 vehículos manuales para mapear calles japonesas. Se alía con Nihon Kotsu y la app GO. Es su primera exploración internacional, sumándose a sus operaciones en EE.UU. Un episodio para entender la fragilidad de los mercados y los nuevos frentes tecnológicos, geopolíticos y energéticos que se están abriendo. ¡No te lo pierdas!

Chronique des Matières Premières
La baisse des importations chinoises de gaz sème le doute chez les exportateurs

Chronique des Matières Premières

Play Episode Listen Later Apr 3, 2025 2:05


C'est le nouveau casse-tête du marché du gaz : la Chine, première consommatrice d'hydrocarbures, achète moins de gaz sur le marché international et cherche à en produire de plus en plus sur son territoire. Un changement de stratégie qui n'est pas sans conséquence pour le secteur. Cette tendance se traduit par une réduction des importations de gaz par voie maritime. Sur les deux premiers mois de l'année, ces achats ont atteint leur plus bas niveau depuis sept ans et pour le Premier trimestre, on se dirige vers une baisse de 20 %. La tendance est si forte que plusieurs cabinets d'analyse ont baissé les prévisions d'achats de la Chine pour 2025.La première explication est que la demande a diminué, mais aussi que le pays s'approvisionne autrement : l'Empire du Milieu importe plus de gaz par pipeline de Russie et du Kazakhstan et la production locale chinoise est en hausse, + 6 % l'année dernière. Les géants chinois des hydrocarbures tels que Sinopec et Cnooc ont relevé leurs objectifs de production de gaz. Le gaz représente désormais 54 % de la production de Petrochina, selon l'agence Bloomberg. Les équilibres du marché en questionExxon Mobil, Shell ou TotalEnergies avaient tablé ces dernières années sur une croissance de la demande chinoise pendant des décennies. « En 2024 encore, la Chine représentait à elle seule plus d'un quart de la croissance de la demande mondiale de gaz », explique Greg Molnar, l'expert en gaz de l'Agence internationale de l'Énergie (AIE).Ces compagnies pétrolières internationales ont investi des milliards de dollars dans des projets de GNL aux États-Unis et au Qatar avec l'objectif d'augmenter la capacité de production de 50 % dans les cinq prochaines années. Le ralentissement des achats chinois sème dorénavant le doute sur le rôle que jouera la Chine dans les prochains mois dans la croissance du marché et sur l'état de la demande chinoise. D'autant que le pays a considérablement réduit aussi ses achats pour une livraison immédiate, mais privilégie désormais des contrats de GNL à long terme, indexés sur le pétrole, « ce qui met en évidence la relative conscience des prix des acheteurs chinois », relève l'expert de l'AIE. Les Européens peuvent-ils en profiter ?À court terme, cette situation pourrait faire l'affaire des Européens, qui sont en concurrence avec l'Empire du Milieu pour acheter du GNL. Moins de bateaux qui partent vers la Chine, c'est plus de volumes disponibles pour l'Europe, et peut-être à meilleur prix.Un atout de taille pour les acheteurs européens qui ont vidé leur stock ces derniers mois et vont devoir le reconstituer avant l'hiver prochain. Les importations de GNL en Europe occidentale ont d'ailleurs atteint leur plus haut niveau pour un mois de mars, jamais enregistré depuis 2017, selon les données de suivi des navires compilées par Bloomberg.Autre conséquence, la demande actuelle et la moindre croissance de la demande chinoise pousse « de nombreux acheteurs chinois à renforcer leurs capacités de négoce et à revendre leurs cargaisons de GNL à d'autres marchés, qui sont prêts à payer une prime dans les conditions de marché tendues actuelles », note Greg Molnar. À lire aussiLa Chine compte sur ses découvertes de gaz «sans précédent» dans la course aux technologies

Focus economia
La frenata tedesca rallenta l'export del made in Italy

Focus economia

Play Episode Listen Later Mar 19, 2025


Frena l interscambio tra Italia e Germania nel 2024 e rallenta l'export italiano. Il valore dei rapporti commerciali tra i due Paesi è sceso del 4%, mentre le vendite delle imprese italiane sul principale mercato di sbocco per il Paese sono scese da 74,7 a 71 miliardi, in base al rapporto appena pubblicato dalla Camera di commercio Italo-Germanica, Ahk Italien.Nonostante la flessione, causata dalla frenata tedesca e dal complesso contesto internazionale, l'interscambio nel 2024 si è attestato a 156 miliardi di euro ed è stato «il terzo più alto di sempre, a riprova della solidità dei rapporti tra le due economie», spiega Jörg Buck, consigliere delegato della Camera di commercio Ahk Italien. Italia e Germania sono due Paesi votati all export e lo scenario globale «non favorisce il nostro modello di business», sottolinea Buck. Di fronte alle nuove sfide e alla minaccia dei dazi Usa, «è allora importante che collaboriamo e che definiamo insieme una politica industriale. Il tema dei prossimi anni sarà appunto quello di rafforzare l industria europea». Serve quindi più Europa, seguendo le linee guida indicate dal rapporto Letta e da quello Draghi, con più integrazione, con investimenti in innovazione e ricerca, con il recupero dei livelli di competitività e rafforzando le infrastrutture. E con una «strategia comune per tornare a prezzi dell energia più favorevoli per le aziende, perché questo è cruciale per le nostre industrie», afferma ancora Buck.Il commento di Joerg Buck Consigliere Delegato Camera di commercio Italo-Germanica AHK Italien. Venier, scenario incerto, Snam rafforza infrastruttura nazionaleSnam, ha rivelato oggi, ha chiuso il 2024 con ricavi totali pari a 3.568 milioni di euro, in riduzione di 373 milioni di euro (-9,5%) rispetto all'esercizio 2023. Con riferimento al business delle infrastrutture gas, si registra una crescita significativa dei ricavi (+422 milioni di euro, +14,9%). In riduzione i ricavi dei business della transizione energetica (-795 milioni euro, -71,9%) per il minor contributo dell'efficienza energetica a fronte del termine degli incentivi del Superbonus. Per quanto riguarda gli investimenti totali hanno raggiunto il livello record di 2.875 milioni di euro (+31,0% rispetto al 2023), trainati dall'avanzamento dei lavori per il terminale GNL di Ravenna, dall'avvio dei lavori della Linea Adriatica e dagli investimenti nello stoccaggio. Il 65% degli investimenti complessivi è allineato ai Sustainable Development Goals (SDGs) e il 31% alla Tassonomia Europea."In uno scenario energetico che rimane incerto, stiamo rafforzando l'infrastruttura nazionale". Lo afferma l'amministratore delegato di Snam Stefano Venier che oggi ha fatto il punto sui risultati del 2024 e sull'avanzamento del Piano Strategico al 2029. Venier ricorda l'acquisizione di Adriatic Lng ed Edison Stoccaggio e il piano di investimenti di 12,4 miliardi di euro al 2029, "il più significativo - sottolinea - della nostra storia". "Chiudiamo il 2024 con risultati molto positivi - aggiunge - superiori alla guidance, che dimostrano una crescita significativa e riflettono il nostro impegno a rafforzare la sicurezza degli approvvigionamenti del paese e ad accelerare la sua transizione sostenibile verso il Net Zero, con investimenti record pari a circa 3 miliardi di euro". "L'ambizione di diventare un operatore infrastrutturale pan-europeo multi-molecola - conclude il manager - va di pari passo con l'innovazione e la sostenibilità, aree in cui nel 2024 abbiamo fatto progressi, anticipando gli ambiziosi obiettivi fissati dal nostro Transition Plan".L'intervento di Stefano Venier, amministratore delegato di SNAM ai microfoni di Sebastiano Barisoni.Elkann alla Camera: «Per noi l Italia ricopre un ruolo centrale»Inizia puntuale l'audizione del presidente di Stellantis John Elkann alla Camera dei Deputati incarico che ha ricevuto dal Consiglio di Amministrazione lo scorso 2 dicembre 2024, a seguito delle dimissioni di Carlos Tavares .«Ci siamo preparati all'audizione di oggi con grande attenzione; perché per noi l'Italia ricopre un ruolo centrale» ha premesso Elkann ai membri della X Commissione (Attività produttive, commercio e turismo) della Camera dei deputati e della 9a Commissione (Industria, commercio, turismo, agricoltura e produzione agroalimentare) del Senato della Repubblica.Nel suo discorso Elkann ricostruisce il ruolo della Fiat in Italia negli ultimi venti anni, conferma il piano industriale presentato al tavolo del Mimit lo scorso 17 dicembre e infine punta a condividere con i membri del Parlamento la prospettiva del settore automotive, non solo in Italia ma anche in Europa e nel Mondo. «Il 2025 evidenzia Elkann - sarà un altro anno difficile: il mercato Italia nei primi due mesi è in contrazione del 7% rispetto allo stesso periodo dello scorso anno; dal 2026 si prevede un aumento della produzione grazie al lancio di 10 nuovi aggiornamenti di prodotto nelle fabbriche italiane i cui livelli produttivi dipenderanno dal mercato e da fattori esterni come i dazi».Sull'azione dell'Europa,Elkann parla di azioni «di corto respiro» e fa appello ad un maggiore impegno sul fronte delle infrastrutture di ricarica. «In Italia - dice - ci sono un terzo delle colonnine che ci sono in Olanda». I produttori automobilistici europei «stanno affrontando uno svantaggio strutturale rispetto ai loro concorrenti cinesi, pari al 40% del costo manifatturiero complessivo. In particolare, i prezzi dell'energia di paesi produttori di auto europei risultano cinque volte più alti di quelli cinesi».L'aumento della produzione in Europa e in Italia nel prossimo ventennio dipenderà dalla crescita del mercato, che sarà sempre più elettrico", ha detto John Elkann ricordando che "il mercato mondiale degli autoveicoli conta circa 80 milioni di unità vendute nel 2024. La Cina occupa il primo posto con 30 milioni, seguita dagli Stati Uniti (16 milioni) e dall'Unione Europea (15 milioni). Rispetto a 20 anni fa, le vendite in Cina sono esplose (+400%), negli Usa sono leggermente diminuite del 5%, mentre in Europa sono calate del 12% e in Italia sono calate del 30%". Filomena Greco, Il Sole 24 Ore a Focus Economia.Dazi, in 22 province export pari a oltre la metà del PilAlla crisi dell'automotive legata a transizione energetica e alla fine della globalizzazione, vanno ora a sommarsi i dazi imposti dagli Stati Uniti di Donald Trump al settore. Anche nel caso in cui i dazi Usa non dovessero essere imposti all Europa, ma solo nei confronti di Messico e Canada, le case automobilistiche di tutto il mondo (Stati Uniti compresi) subirebbero un duro impatto in termini di mancati profitti e perdite economiche.Al di fuori del Nord America, Giappone, Corea del Sud e Germania sono in cima alla lista dei Paesi che registrano un surplus commerciale con gli Stati Uniti. Ma a fine 2024 gli scambi internazionali di merci sono risaliti anche per l economia italiana. Nel 2024 oltre il 48% del valore dell export italiano è stato indirizzato al di fuori dell Ue, una quota superiore a quelle tedesca, francese e spagnola. Tra i principali partner commerciali, gli Stati Uniti hanno assorbito circa il 10% delle vendite all estero dell Italia e più di un quinto di quelle di prodotti italiani destinati ai mercati extra europei. L analisi svolta dall Istat in un focus suggerisce che l applicazione dei dazi preannunciati dall amministrazione statunitense nei confronti dell Ue potrebbe avere effetti rilevanti sull Italia.In Italia negli ultimi cinque anni le vendite all estero hanno trainato i conti di molti settori produttivi con importanti ricadute sui territori. Tanto che molte aree del Paese oggi si trovano particolarmente esposte a un eventuale inasprimento delle politiche commerciali sui mercati internazionali: le province italiane in cui l export genera un valore superiore al 50% del prodotto interno lordo sono 22 su 107. Ciò significa che in una guerra commerciale globale come quella che si sta profilando, sarebbe ad alto rischio l economia di una provincia su cinque.Il commento di Aldo Bonomi, direttore Consorzio Aaster.

WALL STREET COLADA
Rebote en Wall Street, Oro en Récord Histórico y Lockheed Martin Asegura Contrato Millonario.

WALL STREET COLADA

Play Episode Listen Later Mar 14, 2025 4:29


En este episodio, analizamos los eventos clave que están impactando los mercados y sectores estratégicos: Wall Street intenta recuperarse: El $SPX y el Nasdaq rebotan tras caer en territorio de corrección, acumulando más del 10% de caída desde febrero. Evaluamos el impacto de las amenazas arancelarias de Trump y la incertidumbre sobre un posible cierre del gobierno. Oro alcanza un nuevo récord: $XAUUSD sube a $2,984.30/oz, impulsado por la incertidumbre comercial y la posibilidad de recortes de tasas de la Fed. La plata también avanza 1.7% y acumula una ganancia del 17.6% en 2025. ¿Seguirá esta tendencia alcista? EE.UU. aprueba préstamo de $5B para GNL en Mozambique: El Banco de Exportación e Importación financia el megaproyecto liderado por $TTE, tras mejoras en seguridad y la reactivación del financiamiento internacional. Analizamos el impacto en el mercado energético. Lockheed Martin expande su producción de misiles: $LMT recibe una modificación de contrato por $1.93B, elevando el total a $5.18B para producir los JASSM y LRASM. Evaluamos el impacto en la industria de defensa y el crecimiento del gasto militar en EE.UU. Acompáñanos para entender cómo estos eventos están moldeando los mercados, la política comercial y la seguridad global. ¡Un episodio cargado de análisis estratégico!

Chronique des Matières Premières
Ce projet de gazoduc en Alaska qui pourrait intéresser l'Asie

Chronique des Matières Premières

Play Episode Listen Later Mar 11, 2025 1:47


Annoncé le 4 mars par Donald Trump devant le Congrès, un immense projet de gazoduc en Alaska intéresserait éventuellement le Japon et la Corée du Sud. Les deux pays se disent prêts à y investir. Mais pas avant d'engager des discussions sur des droits de douane avec Washington. C'est un vieux serpent de mer qui refait surface actuellement. L'idée de construire un gazoduc en Alaska existe depuis la découverte, en 1967, de vastes réserves de gaz et de pétrole sur la côte nord de ce territoire américain d'une superficie de 1,7 million de km².Un premier projet des années 1970 avait été vite abandonné, faute de financement. Un autre, soutenu par l'ancienne gouverneure républicaine, Sarah Palin, dans les années 2000, a connu le même sort. Cette fois, Donald Trump persiste et signe : l'immense projet Alaska LNG (gaz naturel liquéfié) verra le jour.Un immense gazoduc de 1 300 km de longCe projet consiste à acheminer du gaz naturel du nord de l'Alaska sur près de 1 300 kilomètres vers le sud de l'État. C'est là-bas, près de la ville d'Anchorage, que le gaz serait transformé dans une usine de liquéfaction et transporté par navires vers l'Asie de l'Est, son principal débouché.Porté par le groupe américain Glenfarne, le gazoduc ne devrait pas être opérationnel avant 2030 au mieux. Sa production de 20 millions de tonnes de GNL représenterait le quart des exportations annuelles des États-Unis, premier exportateur mondial de gaz naturel liquéfié.Coût estimé du projet : 44 milliards de dollars. Sachant que le gazoduc devra être entièrement enterré, il pourrait coûter beaucoup plus. Dès lors, une question : qui va payer ?Tokyo reste prudentSelon Donald Trump, le Japon, la Corée du Sud et d'autres nations souhaitent être les partenaires des Américains. S'il est vrai que les Philippines et Taïwan ont fait part de leur intérêt, pour Séoul, les discussions sont en cours.Le Premier ministre japonais, lui, semble prendre son temps. Shigeru Ishiba a rappelé que la contribution du Japon à l'économie américaine était déjà significative via les investissements nippons. Tokyo lance un appel pour que les États-Unis reviennent à la table des négociations sur les droits de douane. Une condition à peine voilée pour que le projet dans le nord de l'Alaska puisse un jour bénéficier du soutien du Japon.À lire aussiUn raz-de-marée de GNL attendu sur le marché

Ecorama
Pourquoi les importations de gaz russe en France ont-elles explosé en 2024 ?

Ecorama

Play Episode Listen Later Feb 25, 2025 12:04


La France a augmenté de 81 % ses importations de GNL russe entre 2023 et 2024, selon l'organisme américain IEEFA. Comment l'Hexagone est-il devenu la porte d'entrée du gaz russe en Europe ? Les explications de Patrice Geoffron, professeur à l'Université Paris-Dauphine et membre du Cercle des économistes. Ecorama du 25 février 2025, présenté par David Jacquot sur Boursorama.com Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d'informations.

Al contado
Líderes europeos estrangulan a sus ciudadanos con las sanciones a Rusia

Al contado

Play Episode Listen Later Feb 25, 2025 22:36


El primer ministro de Hungría, Viktor Orban, declaró que el aumento de los precios de la energía frenará el desarrollo de la economía europea y la matará, por lo que instó a Bruselas a recuperar las importaciones de hidrocarburos rusos. Sin embargo, la Unión Europea dice que aumentará su compra de GNL de EEUU, que es mucho más caro que el gas ruso.

Podcasts epbr
Grandes petroleiras que atuam no Brasil expandem atividades no Suriname | comece seu dia

Podcasts epbr

Play Episode Listen Later Feb 21, 2025 3:17


NESTA EDIÇÃO. Majors apostam no Suriname. Petrobras fecha acordo de longo prazo para comprar GNL. Macaé quer PPP para fábrica de fertilizantes. Casa dos Ventos fecha acordo para descarbonizar produção de cimento. MME adia leilões A-5 e de sistemas sistemas isolados. Associações da indústria eólica e de hidrogênio querem antecipação de estudos de acesso à rede.

Chronique des Matières Premières
L'Europe consomme moins de gaz naturel liquéfié mais en achète plus à la Russie

Chronique des Matières Premières

Play Episode Listen Later Feb 18, 2025 1:51


L'objectif du plan « REPowerEU » de la Commission européenne est de ne plus dépendre des combustibles fossiles russes (charbon, pétrole, gaz) d'ici à 2027. Mais il y a encore du travail. Les importations européennes de gaz naturel liquéfié (GNL) russe ont augmenté de près de 20% l'année dernière. C'est une situation presque paradoxale : la consommation européenne de gaz naturel liquéfié a chuté l'année dernière de 16%, pour atteindre son plus bas niveau depuis 2021. La part du GNL dans la demande globale de gaz des Européens a aussi baissé, selon une étude de l'Institut pour l'économie de l'énergie et l'analyse financière (Ieefa). Mais les vingt-sept pays membres de l'UE ont continué à se fournir en Russie et y ont même acheté presque 20% de GNL russe en plus.Ce qui veut dire que l'UE a dépensé 6,3 milliards d'euros en GNL russe l'année dernière, entre janvier et novembre 2024, période de calcul prise en compte par Ana Maria Jaller-Makarewicz, analyste en chef énergie-Europe au sein de l'Ieefa.À lire aussiÉnergies: le boom du gaz naturel liquéfié, une autre bombe climatique, selon le rapport d'une ONGLa France et l'Espagne, les deux premiers importateursCes volumes sont entrés en Europe essentiellement via les terminaux portuaires espagnols, belges et français. Près d'un tiers sont passés par le terminal de Dunkerque. C'est donc la France qui a importé l'année dernière le plus gros volume de GNL russe, avec une augmentation de 81% par rapport à 2023. Mais ce chiffre serait trompeur, selon une étude menée par plusieurs organisations — Bond Beter Leefmilieu, Urgewald, DUH et Razom We Stand. La France serait surtout une porte d'entrée, au service de l'Allemagne, un pays qui a banni l'importation de GNL courant 2024, mais qui aurait reçu une partie des volumes importés par la France et la Belgique, grâce à une interconnexion qui permet d'acheminer le gaz facilement. Blanchiment au profit de l'Allemagne Derrière ces importations figurerait une société allemande, Sefe, qui aurait acheté 58 cargaisons de GNL l'année dernière à un fournisseur russe bien identifié — Novatek. Le transit via d'autres pays aurait permis à l'Allemagne de blanchir en quelque sorte ces achats russes. C'est ce que dénoncent les auteurs de cette dernière étude qui parlent de « mascarade » qui alimente l'économie russe et indirectement la guerre. De fait, le manque de données sur le pays d'origine et le pays destinataire d'une cargaison empêche de savoir précisément combien chaque État européen importe et permet à chacun de décliner sa responsabilité.À ce stade, l'UE n'a pris aucune sanction sur le gaz naturel ni sur le GNL russe, seulement des mesures contre le transbordement de gaz naturel liquéfié russe dans les ports européens, une interdiction prise en juin qui devrait entrer en vigueur au mois de mars prochain. À lire aussiLe GNL russe ne pourra plus être transbordé dans les ports européens

Chronique des Matières Premières
Le froid qui persiste en Europe provoque une escalade des prix du gaz

Chronique des Matières Premières

Play Episode Listen Later Feb 10, 2025 1:45


Cela fait deux ans que les prix du gaz n'ont pas atteint leur niveau actuel en Europe. Le froid sur le continent stimule la demande, qui fait fondre les stocks. Les stocks européens de gaz diminuent à grande vitesse. Ils sont passés sous la barre des 50% en moyenne, contre 67% l'année dernière à cette période. En France, aux Pays-Bas et en Croatie, ils sont inférieurs à 35%. Et cela ne devrait pas s'arranger, car les prévisions font état d'une demande qui sera plus forte ce mois-ci qu'en février 2024, en raison du froid qui s'est installé et qui persiste. Dans plusieurs pays du nord-ouest de l'Europe, des températures glaciales sont annoncées pour les prochains jours. Et pour ajouter de la demande, à un moment où elle est déjà très forte, l'Ukraine a augmenté depuis la semaine dernière ses importations de gaz de Pologne, de Slovaquie et de Hongrie, après des dommages sur ses capacités qui compliquent son approvisionnement.À lire aussiLe gaz naturel: un marché en plein essorLa menace des tarifs douaniers américainsCette pression sur les stocks se fait ressentir sur les prix. Ils augmentent tous, que ce soient ceux du gaz, qui doit être livré dans le mois qui vient, ou celui des contrats, qui prévoient une livraison en 2026 et 2027.Les niveaux de prix risquent de mettre en difficulté les Européens qui vont devoir, tôt ou tard, acheter du gaz pour refaire leurs stocks à hauteur de 90% d'ici à l'hiver prochain. Le pire scénario serait que les tarifs douaniers américains s'ajoutent à l'effet de la météo et rendent les importations de gaz naturel liquéfié (GNL) plus chères : depuis deux hivers, l'Europe s'attelle à remplacer ses achats de GNL russe, et pour y arriver, l'Union européenne a augmenté ses importations de GNL des États-Unis, ce qui la rend plus dépendante de ses relations avec Donald Trump.À lire aussiTaïwan se dit «prête» à augmenter ses importations de gaz américain après les menaces de TrumpConcurrence accrue entre acheteurs européens et asiatiquesLa situation est très compliquée cet hiver pour l'Europe, qui a perdu 5% de son approvisionnement en gaz russe depuis janvier, avec l'expiration de l'accord de transit qui permettait au gaz russe de passer par le gazoduc via l'Ukraine.Et l'Europe a aussi des concurrents. Les prévisions météo annoncent des vagues de froid dans certaines régions d'Asie dès la fin de la semaine, ce qui pourrait augmenter la rivalité entre acheteurs européens et asiatiques de GNL, et donc forcément les prix. À lire aussiLibye: «les soupçons de contrebande de pétrole libyen vers l'étranger ne sont un secret pour personne»

Le retour de Mario Dumont
Renaissance énergétique au Québec… grâce à Trump?

Le retour de Mario Dumont

Play Episode Listen Later Feb 5, 2025 7:56


GNL, énergie est et électricité: une renaissance énergétique pour le Québec? Fusion avortée entre Honda et Nissan. Discussion économique avec Francis Gosselin, économiste.Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr

C dans l'air
Le coup de force de Trump, la sanction chinoise... - L'intégrale -

C dans l'air

Play Episode Listen Later Feb 4, 2025 63:50


C dans l'air du 4 février 2025 - Le coup de force de Trump, la riposte chinoise La Chine contre-attaque. Sans attendre la discussion prévue avec l'administration américaine, Pékin a décidé de répliquer, à l'entrée en vigueur des droits de douane supplémentaires de 10 % décrétés par le président américain sur les produits chinois. La Chine a ainsi annoncé ce mardi l'application de droits de douane de 15 % sur les importations de charbon et de gaz naturel liquéfié (GNL) américains, et de 10 % sur le pétrole brut, les machines agricoles et certains véhicules de grosse cylindrée, à partir du 10 février prochain. Pékin a aussi déposé plainte auprès de l'Organisation mondiale du commerce et ouvert une enquête contre le géant technologique américain Google, qu'elle dit soupçonner d'avoir enfreint sa réglementation anti-monopole.Le signal envoyé est clair : la Chine réagit lorsqu'elle est attaquée. Une façon de se placer en position de force avant des négociations sino-américaines annoncée par Donald Trump dans les prochaines 24 heures. Un président américain qui vient de suspendre pour un mois les droits de douane qui devaient être mis en œuvre ce mardi contre le Mexique et le Canada, après avoir obtenu des deux pays qu'ils surveillent davantage leurs frontières.Art du deal ou reculade ? Depuis son retour à la Maison-Blanche, la politique menée par le président américain interroge ainsi que les premières décisions d'Elon Musk au sein du "Département de l'efficacité gouvernementale". Chargé par le président américain de faire le ménage au sein du gouvernement fédéral, l'homme le plus riche du monde a déclaré, ce lundi 3 février, que l'Agence américaine pour le développement international (Usaid), qui gère des dizaines de milliards de dollars d'aide humanitaire et d'aide au développement à travers le monde, allait "fermer". Dotée d'un budget d'environ 40 milliards de dollars par an – moins de 1 % du budget fédéral –, l'organisation supervise aujourd'hui des programmes humanitaires, de développement et de sécurité dans plus d'une centaine de pays. Dès sa première semaine de retour au pouvoir, Donald Trump avait ordonné le gel de l'aide internationale américaine le temps d'un "réexamen complet" de quatre-vingt-dix jours, mettant fin à des programmes essentiels et entraînant de nombreux licenciements dans les ONG qui dépendent des financements américains.Parallèlement, le président américain qui menace d'augmenter "très bientôt" les droits de douane sur les produits européens, a conditionné lundi son soutien à l'Ukraine en contrepartie d'un accord sur l'exploitation future de ses sols, notamment de ses terres rares, c'est-à-dire des matériaux très utilisés dans l'électronique.De son côté, la Chine regarde également vers l'Europe. Face à la menace des droits de douane et au durcissement de la réglementation européenne, les industriels chinois se préparent à produire davantage de technologies vertes dans l'Union européenne. Ainsi l'entreprise chinoise DAS Solar (14 usines et 9.000 salariés en Chine) a signé un accord avec la métropole de Montbéliard pour l'ouverture en juin 2025 d'une gigantesque usine de fabrication de panneaux solaires, à Mandeure. Ce sera la première usine du groupe en Europe.Les experts :- ANTHONY BELLANGER - Éditorialiste - France Info TV, spécialiste des questions internationales- PIERRE HASKI - Chroniqueur international - France Inter et Le Nouvel Obs - STEPHANIE VILLERS - Économiste, conseillère économique de PwC France- ANNE TOULOUSE - Journaliste franco-américaine, auteure de L'art de trumper PRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé - REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40PRODUCTION DES PODCASTS: Jean-Christophe ThiéfineRÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son, Benoît LemoinePRODUCTION : France Télévisions / Maximal ProductionsRetrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux :INTERNET : francetv.frFACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5TWITTER : https://twitter.com/cdanslairINSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/

Jovem Pan Maringá
China retalia EUA taxando produtos americanos após anúncio de Trump

Jovem Pan Maringá

Play Episode Listen Later Feb 4, 2025 64:56


Enquanto México e Canadá fizeram acordo para tentar segurar a taxação imposta pelos Estados Unidos, a China, em resposta às taxações determinadas pelo presidente Donald Trump sobre produtos, impôs ontem novas tarifas sobre importações dos Estados Unidos. Tarifas adicionais de 10% em todas as importações chinesas para os EUA entraram em vigor nesta terça, depois que Trump alertou que a China não estava fazendo o suficiente para interromper o fluxo de drogas ilícitas para os Estados Unidos. O Ministério das Finanças da China informou que vai impor taxas de 15% para carvão e gás natural liquefeito (GNL) dos EUA e 10% para petróleo bruto, equipamentos agrícolas e alguns automóveis. As novas tarifas sobre as exportações dos EUA começarão em 10 de fevereiro, segundo o ministério.

Negocios Televisión
TEMPRANO: "El acuerdo de paz está más que hablado": estos son los límites de Putin y Zelensky

Negocios Televisión

Play Episode Listen Later Jan 15, 2025 11:27


TEMPRANO: "El acuerdo de paz está más que hablado": estos son los límites de Putin y ZelenskyNuevo movimiento hacia la mesa de negociación entre el presidente ruso, Putin y Zelensky para la paz de Ucrania. Todo el mundo lleva demandando desde hace año y medio consolidar las fronteras y llegar a un acuerdo de paz. "Los rusos no intentan conquistar más terreno de Ucrania y los ucranianos ceden el Donbás", está más que hablado, defiende Miguel Ángel Temprano, economista y experto en geopolítica. A Ucrania quizás no le interesa, pero sí a Occidente, quien apoya a Ucrania. La Unión Europea se prepara para prohibir gradualmente el GNL y el aluminio rusos, dentro del 16 paquete de sanciones del bloque. La fuente más próxima de Europa de gas es Rusia, recuerda Temprano. Llega un momento donde los occidentales se plantean que quieren acabar con Rusia, pero no pueden dejar a sus ciudadanos sin gas, "nos autoengañamos a nosotros mismos"."En política no están los mejores, sino que muchas veces los peores y los humanos tenemos la culpa", donde muchos de ellos no pueden trabajar en un puesto sin contactos. La relevancia económica de Europa en el mundo refleja que no vale de nada hacer una transición verde acelerada si no lo hace EEUU y China. "Somos una zona geográfica envejecida y dependiente de alianzas mundiales como Rusia con el gas natural". Von der Leyen encabeza la lista de incompetente para la política europea, sostiene Temprano. Se ve un cambio en las élites tecnológicas con la llegada de Donald Trump al poder, al darse cuenta de la influencia de la tecnología en el crecimiento de las empresas; pero además de necesitar capital humano como Silicon Valley, necesita microchips alimentados por tierras raras. La influencia de Elon Musk será también importante, sostiene Miguel Ángel Temprano. "La gente no se enfrenta a Trump porque sabe que va a liderar durante cuatro años y de tonto no tiene un pelo". putin #ucrania #paz #guerra #rusia #zelensky #ukrainewar #eeuu #trump #occidente #china #donbass #invasionrusa #negociostv #viznerSi quieres entrar en la Academia de Negocios TV, este es el enlace:   https://www.youtube.com/channel/UCwd8Byi93KbnsYmCcKLExvQ/join Síguenos en directo ➡️ https://bit.ly/2Ts9V3pSuscríbete a nuestro canal: https://bit.ly/3jsMzp2Suscríbete a nuestro segundo canal, másnegocios: https://n9.cl/4dca4Visita Negocios TV https://bit.ly/2Ts9V3pMás vídeos de Negocios TV: https://youtube.com/@NegociosTVSíguenos en Telegram: https://t.me/negociostvSíguenos en Instagram: https://bit.ly/3oytWndTwitter: https://bit.ly/3jz6LptFacebook: https://bit.ly/3e3kIuy

Aujourd'hui l'économie
L'Ukraine met fin au transit du gaz russe par son territoire

Aujourd'hui l'économie

Play Episode Listen Later Dec 31, 2024 3:17


C'est la fin d'une époque: le contrat qui autorise les exportations de gaz russe via l'Ukraine prend fin ce mardi soir. Le président ukrainien Volodymyr Zelensky ne souhaite pas renouveler cet accord. Quelles conséquences ? Décryptage.  Pour bien comprendre, il y a toujours du gaz russe qui arrive en Europe. Après pratiquement trois ans de guerre en Ukraine, le gaz russe a continué de transiter par ce pays pour arriver sur le sol européen. Malgré plusieurs paquets de sanctions contre Moscou, notamment en ce qui concerne le pétrole, aucune mesure n'a été prise contre le gaz russe. De fait, il continue d'être consommé par de nombreux pays européens. En ce qui concerne les volumes, c'est difficile à quantifier précisément mais on a tout de même un ordre de grandeur. Avant le début de l'invasion de l'Ukraine, l'Europe dépendait à hauteur de 40% du gaz russe, dont une très grande partie transitait par l'Ukraine. Aujourd'hui, cet approvisionnement est aux alentours de 15%. Pas d'accord entre Kiev et Moscou C'est simple, à partir de ce 31 décembre minuit, plus un mètre cube de gaz russe ne passera par l'Ukraine. La raison ? Aucun accord ne sera trouvé d'ici ce mardi soir entre Kiev et Moscou. Un contrat de ce type est signé tous les cinq ans et était en vigueur depuis 2019. Car il faut s'imaginer : le réseau de transport de gaz, c'est un peu comme des gigantesques routes, sauf qu'elles passent sous terre ou au fond de la mer. En Ukraine, ce sont 22 000 kilomètres de gazoducs qui ont été construits pour relier la Russie à toute l'Europe. On comprend donc bien que cette route ukrainienne est essentielle car directe pour approvisionner les pays européens. En moyenne, par an, ce sont 15 milliards de mètres cube de gaz russe qui utilisent ce chemin pour atteindre leur destination. Slovaquie et Moldavie en première ligne Si le robinet est fermé, cela aura des conséquences pour certains pays. Par exemple, pour la Slovaquie, pays qui pourrait être le plus touché par cette mesure. Si l'on regarde sur la carte, le pays est enclavé au milieu de l'Europe centrale. Le gaz russe représente à peu près 90% de ses importations. Situation peu ou prou équivalente pour la Moldavie qui dépend à 70% du transit ukrainien de gaz russe. On peut ainsi imaginer une hausse des prix mais vraisemblablement sur un court terme, le temps que le marché s'adapte. Cela parce qu'il y a d'autres solutions: soit par bateau, soit via le gazoduc Turkstream qui part de Russie, traverse la mer Noire et finit sa route en Turquie ! À écouter aussiEurope : sevrage du gaz russePourtant, en pratiquement trois ans de guerre, les Européens ont eu le temps de diversifier leurs approvisionnements, mais difficile de renoncer à un gaz russe très bon marché. Bruxelles a tout de même un objectif: 0% de gaz russe consommé en Europe d'ici 2027. Cela grâce à des alternatives, avec un gaz par exemple en provenance d'Afrique du Nord ou d'Azerbaïdjan. Pour l'heure, c'est la Norvège et les États-Unis, qui ont été les principaux fournisseurs de gaz en Europe l'an passé. Les Américains sont même devenus en 2023 les premiers exportateurs de GNL, de gaz naturel liquéfié, au monde, d'où l'inquiétude des Russes jusque-là en position de force sur ce marché. Puisque c'est bien grâce au GNL américain que les Européens pourraient trouver leur salut ! 

Appels sur l'actualité
[Vos questions] France: que retenir du gouvernement de François Bayrou?

Appels sur l'actualité

Play Episode Listen Later Dec 26, 2024 19:30


Ce matin du jeudi 26 décembre 2024, les journalistes et experts de RFI répondaient à vos questions sur la libération d'un Kényan retenu à Guantanamo, l'augmentation des importations de gaz russe par l'UE et la récade du roi Béhanzin.  France : que retenir du gouvernement de François Bayrou ? En France, le Premier ministre François Bayrou a dévoilé la composition de son gouvernement. Pourquoi avoir choisi de rappeler des anciens Premiers ministres et notamment Manuel Valls ? Ce gouvernement peut-il vraiment satisfaire les différentes classes politiques pour éviter la censure ?Avec Charlotte Urien-Tomaka, journaliste au service politique de RFI.Kenya : un Kényan libéré de la prison de Guantánamo Aux États-Unis, un Kényan, Mohammed Abdul Malik Bajabu, a été libéré de la prison de Guantánamo, où il était détenu depuis 17 ans, sans avoir jamais été inculpé. De quoi était-il accusé exactement ? Pourquoi les autorités américaines l'ont-elles gardé en détention autant de temps alors qu'il n'a jamais été inculpé ?Avec Albane Thirouard, correspondante de RFI à Nairobi.Union européenne : les importations de GNL russe augmentent Cette année 2024, les importations de gaz naturel liquéfié russe par l'Union européenne ont augmenté par rapport aux années précédentes. Comment expliquer cette hausse des importations alors que l'UE avait indiqué vouloir se débarrasser de sa dépendance au gaz russe ? L'Union européenne a-t-elle des alternatives au gaz russe ?Avec Thierry Bros, professeur à Sciences Po Paris, expert en pétrole, énergie et climat.Bénin : vers un rapatriement de la récade du roi Béhanzin ? Les autorités béninoises ont annoncé vouloir rapatrier la récade du roi Béhanzin, dont la mise en vente aux enchères en France a finalement été annulée. Comment cet objet s'est-il retrouvé en France ? Comment le Bénin est-il parvenu à annuler cette vente aux enchères ? Quels moyens les autorités béninoises comptent-elles mettre en place pour ramener cet objet dans le pays ?Avec Pierre Firtion, journaliste au service Afrique de RFI.

La Estrategia del Día Argentina
Los riesgos de un peso argentino apreciado y un enfriamiento en Brasil, según Gabriel Caamaño

La Estrategia del Día Argentina

Play Episode Listen Later Dec 20, 2024 10:39


En el capítulo 753 de este viernes, 20 de diciembre, @tomicarrio te cuenta sobre las definiciones clave que dejó el FMI respecto del nuevo programa que negocia con Argentina, el acuerdo que firmaron YPF y Shell para desarrollar GNL en Vaca Muerta y la nueva capa del cepo que sacó el Central. Además, @franaldaya y un #EspressoFinanciero con @GabCaamano: la apreciación del peso y sus consecuencias.

Chronique des Matières Premières
Les coûts de fret du transport de GNL plongent à un niveau historique

Chronique des Matières Premières

Play Episode Listen Later Dec 18, 2024 1:37


Le transport de gaz naturel liquéfié en pleine crise : les commandes de navires ont explosé ces dernières années, mais les échanges commerciaux n'ont pas suivi la même courbe. Cette surcapacité a fait sombrer les coûts de ces méthaniers.  Le nombre de navires en circuit ou en construction est affolant : en plus des 650 méthaniers en service l'année passée, 68 ont complété la flotte en 2024, et le rythme de mises sur le marché va encore s'accélérer jusqu'en 2027. « Plus de 50% de la flotte de GNL est encore sur des bons de commandes », résume un expert. Le décalage est aujourd'hui si grand entre la flotte et le marché du gaz naturel liquéfié que certains analystes annoncent un hiver aux allures de « fiasco ».L'appétit des constructeurs a été aiguisé d'abord par les taux de fret très hauts de ces dernières années. Le début de la guerre en Ukraine a ensuite poussé les armateurs à multiplier les commandes de transporteurs de GNL pour pallier le manque de gaz naturel russe qui n'arriverait plus en Europe.Or le développement des terminaux de GNL a pris du retard et les volumes commercialisables ne sont pas au rendez-vous : les quantités exportées cette année n'auraient augmenté que de 1%, contrairement à une croissance de 6 à 8% les dernières années. En parallèle, la demande européenne a été plus basse que prévu, en raison de stocks confortables et d'un hiver passé relativement doux.Les plus vieux « perdent beaucoup d'argent »Les mois qui viennent s'annoncent difficiles pour certaines sociétés, avec des navires qui sont mis au chômage technique et d'autres dont les marges bénéficiaires deviennent négatives. Car les taux de fret se sont effondrés et sont passés sous les coûts de fonctionnement ces dernières semaines pour les plus anciens navires.Entre octobre et novembre, les tarifs spots moyens ont, par exemple, baissé de 50% pour les méthaniers équipés de turbines à vapeur, les moins efficaces donc, et la chute se poursuit encore ces jours-ci, selon les données du courtier Clarksons. « Ces bateaux-là perdent aujourd'hui beaucoup d'argent », confirme un interlocuteur, contrairement aux plus modernes qui s'en sortent mieux.Ces navires déjà techniquement obsolètes le sont aussi maintenant sur un plan économique, pour le directeur de Flex LNG société spécialisée dans le transport de GNL. Leur démolition ou leur recyclage pourrait, dans ce contexte exceptionnel, être questionné plus rapidement que prévu, dès qu'ils ne seront plus sous contrat.La dégringolade des taux de fret n'affecte pas directement les prix du GNL, qui eux évoluent en sens inverse en ce moment. Ils sont portés par le manque d'offres disponibles et par une demande en hausse en Europe. Certains opérateurs chinois bien approvisionnés ont décidé d'en profiter et revendent une partie de leur stock pour profiter des prix hauts, selon l'agence Bloomberg, qui cite des initiatives de PetroChina et de la société publique Cnooc.

Al contado
Vucic: "Quienes prohibieron el gas ruso harán cola en Moscú para pedirlo" cuando EEUU no exporte GNL

Al contado

Play Episode Listen Later Nov 25, 2024 19:54


Cuando EEUU deje de exportar gas natural licuado [GNL] en los próximos años debido al aumento de sus propias necesidades, los países occidentales harán cola hasta Moscú para conseguir gas ruso, dijo el presidente serbio, Aleksandar Vucic, a en el marco de la cumbre de líderes de la conferencia sobre el clima de la ONU [COP–29] en Bakú.

Aujourd'hui l'économie
COP29: les banques et le financement climatique, une vaste hypocrisie?

Aujourd'hui l'économie

Play Episode Listen Later Nov 11, 2024 3:10


Alors que s'ouvre, ce 11 novembre, la COP29 à Bakou, en Azerbaïdjan, qui sera principalement axée sur le financement climatique, le rôle des banques dans la transition verte qu'elles disent accompagner est pointé du doigt par certaines ONG. Les participants doivent adopter un nouvel objectif mondial pour remplacer celui fixé en 2009, qui prévoyait que les pays riches mobilisent 100 milliards de dollars (92 milliards d'euros) d'aide annuelle à destination des pays en développement. Dans un rapport publié à la veille de l'ouverture de cette COP29, l'ONG Reclaim Finance a passé au crible les transactions de 20 grandes banques européennes depuis 2021, et note près de 1000 transactions auprès de majors telles que TotalEnergies, Shell ou BP. Si les banques affirment soutenir ces grandes entreprises pétro-gazières pour les accompagner dans leur transition, leurs financements vont majoritairement aux activités fossiles et notamment aux nouveaux projets de terminaux GNL. La parade est simple et s'appelle le financement « corporate », qui revient à financer l'entreprise qui développe le projet et non l'infrastructure. C'est par ce subterfuge que les banques affirment ne participer à aucun projet lié aux hydrocarbures de manière directe alors qu'elles sont impliquées dans nombre de « bombes carbones », ces mégas projets d'extraction de combustibles fossiles.Les institutions financières se défendent en affirmant que les énergies fossiles continuent de jouer un rôle important dans le mix énergétique mondial, avec une demande croissante, un argument qui est aussi régulièrement avancé par les producteurs d'énergie.Risque accru pour la finance mondialeCes financements comportent pourtant aussi un risque pour le secteur financier lui-même. La banque de France a elle-même publié un rapport dénonçant des conséquences sur les marchés ou encore le crédit. Car le réchauffement climatique qui génère des phénomènes météorologiques de grande ampleur et plus fréquents, on l'a vu récemment en Espagne, déstabilise aussi les tissus économiques locaux et peut fragiliser le système financier via les actifs dont la valeur peut très vite se dégrader. Le secteur financier a donc tout intérêt à s'engager pleinement dans cette transition sous peine d'un contrecoup très dur . Des subventions très généreuses Il n'y a pas que les banques qui sont mises en cause, les subventions des pays développés aux combustibles fossiles explosent elles aussi.Ces pays riches ont dépensé six fois plus sur douze ans en subventions pour les combustibles fossiles qu'ils ne se sont engagés dans le financement international contre le changement climatique pour soutenir les pays les plus vulnérables. C'est ce qu'affirme l'ONG ONE dans une étude : l'argent dépensé chaque année par les économies avancées en subventions vers le fossile couvrirait près de la moitié du déficit de financement public international pour répondre aux besoins de financement du climat des économies en développement. À l'exclusion notable de la Chine ... L'Azerbaïdjan, hôte de la COP29 cette année, est le pays le pire en la matière, toujours selon cette étude, le pays s'est illustré ces douze dernières années avec des subventions 1 800 fois plus élevées aux combustibles fossiles qu'au financement climatique.

Al contado
El GNL podría hundir a EEUU y sus socios, mientras la OPEP+ muestra su fortaleza

Al contado

Play Episode Listen Later Nov 9, 2024 23:50


Diciembre de 2024. Hasta ese momento, varios países de la OPEP+ mantendrán sus recortes voluntarios de producción de crudo, antes comenzar a retirarlos de forma progresiva. Mientras, la industria de exportación de gas natural licuado (GNL) de EEUU afronta retrasos debidos a quiebras, entre otros factores lapidarios.

Accents d'Europe
Émission spéciale sur Nord Stream

Accents d'Europe

Play Episode Listen Later Aug 26, 2024 19:30


C'est l'histoire d'un grand aveuglement, ou d'une grande naïveté, ou d'une obsession mercantile... la dépendance de l'Europe au gaz russe. Elle a trouvé son achèvement dans la construction des deux réseaux de gazoduc Nord Stream 1 et 2, reliant directement la Russie et l'Allemagne, sous la Baltique. « La plus grande erreur stratégique du XXIe siècle », écrit Marion Van Renterghem dans son dernier livre Le piège Nord Stream, aux éditions les Arènes. (Rediffusion) Avec Marion Van Renterghem, grand reporter, auteure de Le piège Nord Stream, le plan de Poutine était presque parfait, Les Arènes, 2023. Reportages de Carlotta Morteo sur la sécurité sous-marine dans la Baltique, et de Julien Méchaussie, sur les nouveaux approvisionnements de gaz GNL en Allemagne. Un an après le sabotage des gazoducs Nord Stream en mer Baltique, les responsables n'ont toujours pas été identifiés. 4 explosions, 4 fuites de gaz, dans les zones économiques de la Suède et du Danemark… une opération complexe, « sûrement l'action d'un état ou d'un groupe soutenu par un État », avait déclaré le procureur suédois en juin, sans mettre fin aux spéculations. Tous les regards se tournaient jusqu'à maintenant vers la Russie, mais une enquête du Spiegel (allemand) et du Washington Post, publiée le 13 novembre, est venue semer le trouble. Elle avance l'hypothèse qu'un officier ukrainien aurait joué un rôle-clé.Une autre enquête est toujours en cours, celle concernant le Baltic Connector, ce gazoduc qui relie la Finlande et l'Estonie et qui a été endommagé en octobre dernier. Un bateau chinois est impliqué, c'est son ancre qui l'aurait arraché ainsi qu'un câble de télécommunication. Accident, ou geste intentionnel ? Dans les pays nordiques, ces évènements font l'objet de toutes les attentions, mais la prudence est le mot d'ordre, tant les conclusions sont difficiles à tirer. À Stockholm, dossier signé Carlotta Morteo.C'est l'une des nombreuses conséquences de l'agression russe et de la guerre en Ukraine : fortement dépendante du gaz importé de Russie, l'Allemagne a dû revoir de fond en comble sa chaîne d'approvisionnement. Privée du gaz russe bon marché, l'Allemagne s'est retournée vers le GNL, le gaz naturel liquéfié. Si les réservoirs sont désormais bien remplis à l'approche de l'hiver, le pays a été contraint de se doter de toutes nouvelles infrastructures dans un laps de temps très court.Depuis Berlin, les explications de notre correspondant Julien Mechaussie. 

Accents d'Europe
Émission spéciale sur Nord Stream

Accents d'Europe

Play Episode Listen Later Aug 26, 2024 19:30


C'est l'histoire d'un grand aveuglement, ou d'une grande naïveté, ou d'une obsession mercantile... la dépendance de l'Europe au gaz russe. Elle a trouvé son achèvement dans la construction des deux réseaux de gazoduc Nord Stream 1 et 2, reliant directement la Russie et l'Allemagne, sous la Baltique. « La plus grande erreur stratégique du XXIe siècle », écrit Marion Van Renterghem dans son dernier livre Le piège Nord Stream, aux éditions les Arènes. (Rediffusion) Avec Marion Van Renterghem, grand reporter, auteure de Le piège Nord Stream, le plan de Poutine était presque parfait, Les Arènes, 2023. Reportages de Carlotta Morteo sur la sécurité sous-marine dans la Baltique, et de Julien Méchaussie, sur les nouveaux approvisionnements de gaz GNL en Allemagne. Un an après le sabotage des gazoducs Nord Stream en mer Baltique, les responsables n'ont toujours pas été identifiés. 4 explosions, 4 fuites de gaz, dans les zones économiques de la Suède et du Danemark… une opération complexe, « sûrement l'action d'un état ou d'un groupe soutenu par un État », avait déclaré le procureur suédois en juin, sans mettre fin aux spéculations. Tous les regards se tournaient jusqu'à maintenant vers la Russie, mais une enquête du Spiegel (allemand) et du Washington Post, publiée le 13 novembre, est venue semer le trouble. Elle avance l'hypothèse qu'un officier ukrainien aurait joué un rôle-clé.Une autre enquête est toujours en cours, celle concernant le Baltic Connector, ce gazoduc qui relie la Finlande et l'Estonie et qui a été endommagé en octobre dernier. Un bateau chinois est impliqué, c'est son ancre qui l'aurait arraché ainsi qu'un câble de télécommunication. Accident, ou geste intentionnel ? Dans les pays nordiques, ces évènements font l'objet de toutes les attentions, mais la prudence est le mot d'ordre, tant les conclusions sont difficiles à tirer. À Stockholm, dossier signé Carlotta Morteo.C'est l'une des nombreuses conséquences de l'agression russe et de la guerre en Ukraine : fortement dépendante du gaz importé de Russie, l'Allemagne a dû revoir de fond en comble sa chaîne d'approvisionnement. Privée du gaz russe bon marché, l'Allemagne s'est retournée vers le GNL, le gaz naturel liquéfié. Si les réservoirs sont désormais bien remplis à l'approche de l'hiver, le pays a été contraint de se doter de toutes nouvelles infrastructures dans un laps de temps très court.Depuis Berlin, les explications de notre correspondant Julien Mechaussie. 

Fuera de Tiempo
Columna de Facundo Cottet | El impacto político para Kicillof por la decisión de YPF de instalar la planta de GNL en Río Negro

Fuera de Tiempo

Play Episode Listen Later Aug 7, 2024 5:09


Columna de Facundo Cottet sobre las repercusiones por la decisión que tomó YPF de instalar la planta de GNL en Río Negro y no en la Provincia de Buenos Aires.

Noticias Descafeinadas
Resumen de Noticias (03.08.24)

Noticias Descafeinadas

Play Episode Listen Later Aug 6, 2024 71:26


Hubo elecciones en Venezuela y el resultado fue una total polarización entre denuncias de fraude, protestas, detenciones y represión del regimen de Maduro. Además reapareció Mauricio Macri con guiños y reclamos al Gobierno. Una inversión privada en una planta de GNL desató el escándalo entre Buenos Aires y Nación. Patricia Bullrich patrullará la Internet. Encontra este y mucho más contenido todos los sábados a las 13hs por www.fm913.com.ar o en Spotify

Fuera de Tiempo
Columna de Facundo Cottet | La planta de GNL se hará en Río Negro, Kicillof culpa a Milei y la oposición apunta al gobernador

Fuera de Tiempo

Play Episode Listen Later Jul 31, 2024 4:35


Columna de Facundo Cottet sobre la decisión que tomó YPF de instalar la planta de GNL en Río Negro y no en la Provincia de Buenos Aires.

Fuera de Tiempo
Columna de Facundo Cottet | Cómo tener la planta de GNL sin adherir al RIGI

Fuera de Tiempo

Play Episode Listen Later Jul 17, 2024 4:41


Columna de Facundo Cottet sobre la posición de Axel Kicillof ante el Régimen de Incentivos a las Grandes Inversiones (RIGI) y la posibilidad de que YPF monte una planta de GNL en Bahía Blanca.

Mercado Abierto
Analizamos el mercado de Wall Street

Mercado Abierto

Play Episode Listen Later Jul 10, 2024 7:05


Y lo hacemos con Celso Otero, gestor de fondos de Renta 4, con especial atención en la segunda jornada de comparecencia de Powell, la compra por parte de Honeywell al negocio de GNL de Air Produts y valores como Microsoft y Tyson Foods

All About the Girls
Stephanie Dorsey: Owner & CEO of Willow Blooms, Senior Director of Finance for Towne Park

All About the Girls

Play Episode Listen Later Jul 2, 2024 82:39


Stephanie Dorsey is the CEO and owner of Willow Blooms in Highland, Indiana. She is an experienced professional in sports, food, beverage and hospitality industries, previously working for organizations such as the Cleveland Indians baseball team. She acquired her Masters degree in Business Administration from Cleveland State University.GreatNews.Life and Podcast Host Jenny Craig-Brown have transformed the All About the Girls annual event into a podcast! These monthly episodes feature incredible women giving the audience all the insight about what makes them happy, successful, and motivational. New episodes launch on Sundays to make sure to start your week on a positive note! The All About the Girls Podcast is brought to you by GreatNews.Life

Capital, la Bolsa y la Vida
Claves del viernes. hoy se reúne el Ecofin

Capital, la Bolsa y la Vida

Play Episode Listen Later Jun 21, 2024 59:54


El Ecofin se reúne en Luxemburgo para intentar buscar un acuerdo sobre las nuevas normas para el IVA en la era digital después de que el FMI instara al Eurogrupo a aprovechar que la economía crecerá más de lo previsto en los próximos dos años para acometer ajustes fiscales. Bélgica alerta de que sufrirá un fuerte impacto en sus puertos a causa de las sanciones de la UE contra el trasvase de GNL ruso en los países comunitarios. CCOO y UGT rechazan alargar a septiembre la negociación con la CEOE para reducir la jornada laboral a 37,5 horas semanales.

Aujourd'hui l'économie
Gazprom, l'ex-fleuron russe de l'énergie au plus mal

Aujourd'hui l'économie

Play Episode Listen Later Jun 14, 2024 2:53


Les pays du G7, réunis en sommet en Italie ce jeudi 13 juin, se sont mis d'accord sur un prêt de 50 milliards de dollars pour l'Ukraine, garantis par les actifs russes gelés. Les États-Unis ont également annoncé de nouvelles sanctions contre des entreprises liées à des projets gaziers, notamment contre une filiale de Gazprom. Le géant russe du gaz est au plus mal et fait face à une accumulation de mauvaises nouvelles. Ce mercredi, le fournisseur allemand de gaz Uniper a annoncé avoir obtenu gain de cause en justice face à Gazprom, qui avait arrêté de le livrer après l'invasion de l'Ukraine par la Russie il y a un peu plus de deux ans. Uniper pourra bien lui réclamer près de 13 milliards d'euros de compensation, a décidé un tribunal arbitral international.Plus tôt cette semaine, déjà, Gazprom a informé qu'elle n'avait jamais produit aussi peu de gaz qu'en 2023. Une chute des livraisons qui a eu des effets sur les résultats du groupe : l'an dernier, le géant russe a enregistré des pertes record, l'équivalent de plus de 6 milliards d'euros sur l'année.Pour remplacer les clients européens, la Russie voudrait construire un gazoduc qui irait de la Sibérie à la Chine. Mais le projet patine : les négociations entre Pékin et Moscou n'ont pas enregistré de progrès récemment.La Russie perd une de ses poules aux œufs d'orGazprom pesait à elle seule il y a encore une quinzaine d'années 8% du PIB de la Russie, avec près de 400 000 salariés. Pour Thierry Bros, auteur du livre Géopolitique du gaz russe (Editions L'Inventaire), et professeur à Sciences Po Paris, Vladimir Poutine a torpillé lui-même Gazprom en forçant la société à restreindre ses livraisons de gaz à l'Europe dès 2021, avant même l'invasion de l'Ukraine. Mais aujourd'hui l'État russe – actionnaire majoritaire de Gazprom – n'est probablement pas prêt à voler au secours de l'entreprise, estime le chercheur. « L'État russe a besoin de gagner sa guerre en Ukraine, mais pour gagner la guerre, il a besoin d'argent, explique Thierry Bros. Cela devient un problème en Russie alors que cela n'était pas le cas jusqu'à récemment. Dans ce contexte, je vois mal le gouvernement russe utiliser son fonds souverain pour racheter des parts de Gazprom » aux actionnaires privés du groupe. La société a déjà été contrainte de réduire ses investissements.Est-ce le résultat des sanctions occidentales ?« Il n'y a pas de sanctions européennes directement dirigées contre Gazprom, rappelle Thierry Bros. Gazprom continue à fournir du gaz à la Hongrie, à l'Autriche… Des pays dont les gouvernements sont pro-russes. L'Union Européenne reçoit aujourd'hui à peu près autant de gaz gazeux que de gaz naturel liquéfié (GNL) russe : en tout, environ 15% de la demande européenne est couverte par du gaz russe », souligne le chercheur.Plusieurs pays, en particulier en Europe de l'ouest, ont bien diminué leurs commandes de gaz russe, mais les Européens continuent donc de dépendre en partie de ce gaz, qu'il provienne de Gazprom ou d'autres entreprises russes - pour le gaz liquéfié notamment (ce dernier étant livré par bateau et non par gazoduc).Pour l'instant, pour éviter une hausse brutale des prix de l'énergie en Europe, les États-Unis ne prennent pas de sanctions plus fortes, mais ils pourraient resserrer l'étau progressivement dans les mois à venir, anticipe Thierry Bros.Malgré les difficultés de Gazprom et les sanctions, l'économie russe devrait croitre de plus de 3% cette année, d'après le Fonds Monétaire International (FMI). Une croissance tirée par l'industrie militaire, mais aussi soutenue par les exportations de pétrole, que la Russie est parvenue à réorienter de l'Europe vers la Chine et l'Inde.

Podcasts epbr
O mercado de GNL no país | gas week 2024

Podcasts epbr

Play Episode Listen Later Jun 3, 2024 103:47


As discussões sobre acesso às infraestruturas e as tendências para os preços do GNL, num contexto de procura global moderada. Convidados: Marcelo Rodrigues | CEO da GNLink João Mattos | Diretor Executivo da Oncorp Bruno Chevalier | CEO da Marlim Azul e Operating Partner de Energia do Patria Investimentos Pedro Neves | Principal Consultant - Global Gas, LNG & Low Carbon S&P Global Ivan Londres | Sócio do Escritório Faveret Tepedino Londres Fraga Moderação: André Ramalho | editor gas week

Aujourd'hui l'économie
Pourquoi l'Australie se projette en futur géant des énergies vertes

Aujourd'hui l'économie

Play Episode Listen Later May 15, 2024 3:03


L'Australie, championne mondiale du charbon et du gaz, va-t-elle devenir une grande puissance des énergies renouvelables ? C'est en tout cas l'objectif affiché par le gouvernement. Pour y parvenir, il a promis 23 milliards de dollars américains pour développer les énergies vertes, ce mardi 14 mai. Vingt-trois milliards de dollars américains pour développer les minerais critiques, l'hydrogène vert et le solaire, c'est un coup de pouce fiscal en format XXL que le gouvernement travailliste d'Anthony Albanese a mis sur la table dans son budget 2024-2025. Les plus grosses dépenses de toute l'histoire du pays en faveur des énergies bas carbone. Cet effort budgétaire confirme le tournant voulu par le gouvernement et déjà amorcé le mois dernier : deux mines de charbon ont été converties en centre touristique pour l'une et en usine photovoltaïque pour l'autre.Le pays-continent s'est engagé à atteindre la neutralité carbone en 2050. Et il met le paquet pour verdir sa production électrique. En dix ans, les volumes en solaire et en éolien ont doublé. Le renouvelable représente près de 40% de la consommation électrique, mais le charbon et le gaz encore 60%. Ces deux hydrocarbures reculent dans le mix énergétique mais restent cruciaux dans le commerce extérieur. Avec le fer, ce sont les premiers produits d'exportations. Soixante-quinze pour cent du charbon, 90% du gaz naturel liquéfié (GNL) partent à l'étranger.À lire aussiL'Australie se veut une superpuissance mondiale en matière d'énergie propreÀ cause de ces exportations, l'Australie est classée parmi les plus gros émetteurs de gaz à effet de serre. Avec quinze tonnes de CO2 émises par habitant, c'est le pays le plus polluant après le Qatar et l'Arabie saoudite. Bien plus que les grandes puissances énergétiques que sont les États-Unis et la Russie. Ces ressources minières jouent un rôle disproportionné dans son économie.Double standardUn rôle auquel l'Australie n'est pas prête à renoncer. En avril, le gouvernement a prévenu : après 2050, l'Australie continuera à exporter du gaz naturel liquéfié (GNL), même si elle a atteint la neutralité carbone sur son territoire. Le gouvernement encourage même les investisseurs à développer l'exploitation de nouveaux gisements.Ce double standard, neutralité carbone à l'intérieur, pollueur à l'extérieur, n'est pas l'apanage de l'Australie. On retrouve la même philosophie en Norvège. Le champion de la voiture électrique est aussi un producteur de pétrole et de gaz prospère qui développe au maximum les hydrocarbures.Une industrie verte pour remplacer celle des hydrocarburesLa plus grande transformation de l'économie depuis la révolution industrielle promise par le gouvernement australien est motivée par les engagements climatiques et des nécessités économiques. L'Australie en a besoin pour trouver de nouvelles sources de revenus, et pour donner un travail aux 50 000 personnes employées dans le charbon et le gaz, essentiellement des hommes faiblement qualifiés.Les métaux verts, les panneaux solaires et l'hydrogène vert sont des débouchés potentiellement crédibles, car les besoins mondiaux ne vont cesser d'augmenter. Ce projet développé sous la bannière « Un avenir made in Australia » est aussi un pari osé, face à la Chine qui a réussi à écraser la concurrence dans quasiment le monde entier.À lire aussiAustralie: une étude scientifique étrille le programme de crédits carbone

Greenletter Club, l'écologie décortiquée
#117 - Gaz russe : peut-on s'en passer ? Marc-Antoine Eyl Mazzega

Greenletter Club, l'écologie décortiquée

Play Episode Listen Later Apr 23, 2024 58:01


Tensions politiques, dangers climatiques, effondrements industriels : la crise gazière avec la Russie bouleverse les approvisionnements énergétiques européens. D'où cette question, quelles sont les conséquences de cette crise gazière ? Pour y répondre nous recevons Marc-Antoine Eyl Mazzega directeur du centre énergie & climat de l'Institut français des relations internationales, ancien analyste à l'Agence internationale de l'énergie, où il concentrait ses recherches sur les questions gazières et pétrolières en lien notamment avec la Russie. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Argus Media
Falando de mercado: Perspectivas para o GAS-REC no Brasil

Argus Media

Play Episode Listen Later Apr 19, 2024 16:21


O mercado de certificados voluntários de rastreabilidade vem atraindo mais atenção no setor de biometano, com destaque para o GAS-REC, emitido localmente pelo Instituto Totum. Junte-se a Rebecca Gompertz, repórter da publicação Argus Brazil Gas Markets, e Fernando Giachini Lopes, diretor do Instituto Totum, e saiba mais sobre as perspectivas para os certificados de garantia de origem de biometano no Brasil. A Argus oferece informações de preço, análises de nossos experts, dados e fundamentos para os mercados internacionais de gás natural e GNL. Saiba mais em: https://www.argusmedia.com/pt/natural-gas-lng?utm_medium=social&utm_source=linkedin&utm_campaign=linkedin-ctas&utm_content=linkedin-ctas-natural-gas-lng-pt

#TheSoUGPodcast
#TheSoUgPodcast Sn2 Ep6: THE MITH x MUN*G

#TheSoUGPodcast

Play Episode Listen Later Apr 11, 2024 84:56


On this week's episode, Mun*G takes us through his journey. From being a hypeman for GNL to becoming the Icon that he is. His collaborations with the Legends Chameleon to Radio & Weasel. Mun*G tells it all. --- Send in a voice message: https://podcasters.spotify.com/pod/show/the-so-ug-podcast/message

Aging-US
Geraniol Attenuates Oxidative Stress and Cognitive Impairment in Mouse Aging Model

Aging-US

Play Episode Listen Later Apr 10, 2024 4:27


BUFFALO, NY- April 10, 2024 – A new #researchpaper was #published in Aging (listed by MEDLINE/PubMed as "Aging (Albany NY)" and "Aging-US" by Web of Science) Volume 16, Issue 6, entitled, “Geraniol attenuates oxidative stress and neuroinflammation-mediated cognitive impairment in D galactose-induced mouse aging model.” D-galactose (D-gal) administration was proven to induce cognitive impairment and aging in rodents' models. Geraniol (GNL) belongs to the acyclic isoprenoid monoterpenes. GNL reduces inflammation by changing important signaling pathways and cytokines, and thus it is plausible to be used as a medicine for treating disorders linked to inflammation. In this new study, researchers Peramaiyan Rajendran, Fatma J. Al-Saeedi, Rebai Ben Ammar, Basem M. Abdallah, Enas M. Ali, Najla Khaled Al Abdulsalam, Sujatha Tejavat, Duaa Althumairy, Vishnu Priya Veeraraghavan, Sarah Abdulaziz Alamer, Gamal M. Bekhet, and Emad A. Ahmed from King Faisal University, Kuwait University, Center of Biotechnology of Borj-Cedria, Saveetha University, Alexandria University, and Assiut University examined the therapeutic effects of GNL on D-gal-induced oxidative stress and neuroinflammation-mediated memory loss in mice. “Life expectancy in the 21st century is rising, resulting in more age-related illnesses, such as memory impairment and Alzheimer's disease. In this study, GNL was studied for its protective effect on D-gal-induced aging in mice.” The study was conducted using six groups of mice (6 mice per group). The first group received normal saline, then D-gal (150 mg/wt) dissolved in normal saline solution (0.9%, w/v) was given orally for 9 weeks to the second group. In the III group, from the second week until the 10th week, mice were treated orally (without anesthesia) with D-gal (150 mg/kg body wt) and GNL weekly twice (40 mg/kg body wt) four hours later. Mice in Group IV were treated with GNL from the second week up until the end of the experiment. For comparison of young versus elderly mice, 4 month old (Group V) and 16-month-old (Group VI) control mice were used. “We evaluated the changes in antioxidant levels, PI3K/Akt levels, and Nrf2 levels. We also examined how D-gal and GNL treated pathological aging changes.” Administration of GNL induced a significant increase in spatial learning and memory with spontaneously altered behavior. Enhancing anti-oxidant and anti-inflammatory effects and activating PI3K/Akt were the mechanisms that mediated this effect. Further, GNL treatment upregulated Nrf2 and HO-1 to reduce oxidative stress and apoptosis. This was confirmed using 99mTc-HMPAO brain flow gamma bioassays. “Thus, our data suggested GNL as a promising agent for treating neuroinflammation-induced cognitive impairment.” DOI - https://doi.org/10.18632/aging.205677 Corresponding authors - Peramaiyan Rajendran - prajendran@kfu.edu.sa, and Fatma J. Al-Saeedi - fatma.alsaeedi@ku.edu.kw About Aging-US Aging publishes research papers in all fields of aging research including but not limited, aging from yeast to mammals, cellular senescence, age-related diseases such as cancer and Alzheimer's diseases and their prevention and treatment, anti-aging strategies and drug development and especially the role of signal transduction pathways such as mTOR in aging and potential approaches to modulate these signaling pathways to extend lifespan. The journal aims to promote treatment of age-related diseases by slowing down aging, validation of anti-aging drugs by treating age-related diseases, prevention of cancer by inhibiting aging. Cancer and COVID-19 are age-related diseases. Please visit our website at https://www.Aging-US.com​​ and connect with us on social media. MEDIA@IMPACTJOURNALS.COM

Focus economia
Lavoratori extra Ue, boom di domande al primo click day

Focus economia

Play Episode Listen Later Mar 19, 2024


Oggi Il Sole 24 Ore racconta in esclusiva il boom di domande anche nel primo click day dell'anno per l'ingresso di cittadini extra-Ue da destinare al lavoro subordinato non stagionale. Il copione si ripete identico: le istanze inoltrate dalle imprese a caccia di manodopera attraverso il portale Servizio Ali del Dipartimento per le Libertà civili e immigrazione del ministero dell Interno sono state 4.167 soltanto nel primo minuto dopo le 9, sono salite a 38.464 alle 9.05 e sono arrivate a 242.365 alle 18. Cinque volte e mezzo più dei circa 45mila posti in palio sui 151mila totali autorizzati per il 2024 (61.250 totali per lavoro subordinato non stagionale, 700 per lavoro autonomo e 89.050 per lavoro subordinato stagionale) dalla nuova programmazione triennale definita dal decreto legge Cutro e resa operativa dal Dpcm 27 settembre 2023.Commentiamo i dati con Enrico Di Pasquale, ricercatore Fondazione Moressa.Gas Naturale Liquefatto (GNL) in Italia crescono la filiera (+10%) e il consumo (+15%). La rete italiana è la prima in EuropaCresce, in Italia, la filiera del Gnl, il gas naturale liquefatto. I dati sono stati diffusi la scorsa settimana da Assogasliquidi-Federchimica che fa capo a Confindustria sulla base del rapporto SSLNG Watch realizzato da Mbs Consulting, società del gruppo Cerved.A dicembre 2023 sono 293 le attività con depositi di Gnl (+10% rispetto al 2022) per i diversi impieghi, soprattutto per il trasporto pesante.Considerando le sole importazioni dei primi due mesi del 2024, ed escludendo invece il gas già stoccato che ha comunque contribuito agli approvvigionamenti del Paese, in base a dati Snam il Gnl è diventato la prima fonte di importazione del gas in Italia, superando i volumi in arrivo a Mazara del Vallo dall'Algeria. Il Gnl ha raggiunto il 31,2% delle importazioni, mentre dal gasdotto di Mazara è arrivato il 30,1% del gas. A seguire Melendugno con il 18,3%, Passo Gries con il 12,9%, Tarvisio 5,4% e, infine Gela con il 3,2%.Quindi anche se il Gnl è al primo posto con il 31,2%, resta comunque inferiore rispetto al gas che proviene dai gasdotti, cioè considerando la somma dei cinque punti d'ingresso (68,8%).Aumentati anche i consumi, +15% sul 2023, con volumi pari a oltre 151.000 tonnellate.Sull'infrastruttura per il Gnl (Stazioni di servizio, impianti per le imprese, reti off-grid, depositi che integrano quella a metano) l'Italia è il primo Paese in Europa e nonostante la turbolenza dei prezzi del 2022, l'industria italiana del Gnl è riuscita a mantenere la sua posizione dominante in Europa anche nel corso del 2023. Le imprese stanno continuando a investire nello sviluppo di questo mercato. Ne parliamo con Andrea Arzà - presidente di Assogasliquidi-Federchimica.Tavares, 'presenza di Stellantis in Italia non è a rischio'L’Italia è uno dei tre pilastri di Stellantis nel mondo, insieme e Francia e Stati Uniti. E resterà tale. Parola di Carlos Tavares, ceo del terzo gruppo automobilistico globale per ricavi.Tavares parla oggi con Il Sole 24 Ore mentre settimane di cassa integrazione e solidarietà, anche per Maserati, riducono al minimo la capacità dello stabilimento di Mirafiori. Quindi, Italia centrale sì, ma anche aria tesa. Soprattutto per il futuro del grande complesso industriale e del suo indotto. Tutto questo mentre il top manager portoghese ha chiuso un anno molto positivo sotto il profilo dei risultati finanziari (utile +18,6%), del dividendo (+16%) e del brillante andamento del titolo (+65% nei dodici mesi). Il piano Dare Forward 2030 per la transizione sta convincendo gli investitori.Mister Tavares, Gianni Agnelli sostenne che gli interessi della Fiat erano quelli del Paese e viceversa.Ne parliamo con Alberto Annicchiarico, che firma l'intervista per Il Sole 24 Ore.

La chronique de Benaouda Abdeddaïm
Benaouda Abdeddaïm : Mozambique, insurrection djihadiste et GNL - 14/02

La chronique de Benaouda Abdeddaïm

Play Episode Listen Later Feb 14, 2024 4:04


Ce mercredi 14 février, l'attaque terroriste du djihadiste qui a eu lieu dans le nord de la Mozambique, la possibilité de continuité de l'exploitation de Total Energies sur place ont été abordés par Benaouda Abdeddaïm dans sa chronique, dans l'émission Good Morning Business, présentée par Laure Closier et Christophe Jakubyszyn, sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.

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Journal d'Haïti et des Amériques
Des blessés lors des manifestations en Haïti

Journal d'Haïti et des Amériques

Play Episode Listen Later Jan 18, 2024 19:30


Nouvelles mobilisations en Haïti dans cinq villes d'Haïti : Les Cayes, Miragôane, Gonaïves ainsi que Ouanaminthe et Jérémie où l'on déplore plusieurs blessés, par balles ou armes blanches, après des heurts entre manifestants et riverains. « Les gens sont dans la rue depuis six jours, comment Frantz Duval, rédacteur en chef du Nouvelliste, et à chaque fois la tension monte un peu plus. » Pour l'instant, les manifestations restent limitées à ces villes de province mais les protestataires réclament la démission du Premier ministre, disent agir pour « chambarder le système, ajoute le journaliste, et chaque jour qui passe augmente le risque de dérapage. »L'insécurité, motif de protestationL'actualité à Port-au-Prince vient montrer une nouvelle fois la violence des gangs qui ont de nouveau mené des assauts dans les quartiers de Solino ou Carrefour-Feuilles. « Les gens étaient déjà dans la précarité et ces derniers jours beaucoup de maisons ont été pillées et incendiées. Des gens ont été blessés dans des affrontements ou en essayant de prendre la fuite. »La BSAP, objet d'incertitudes et de craintesLe Nouvelliste publie un long article sur la Brigade de sécurité des aires protégées, sur laquelle se penche le gouvernement d'après une source du journal. « Au départ, c'est une centaine d'hommes qui doivent surveiller les forêts, explique Frantz Duval, mais cela fait des années que les agents de la BSAP ont échappé à tout contrôle de l'administration. L'effectif a augmenté, BSAP est devenu un corps armé formé surtout d'anciens militaires ou agents de sécurité. » De plus, le directeur général de cette brigade est un proche de Guy Philippe, ancien officier de police, de retour en Haïti il y a quelques mois après avoir passé six ans en prison aux États-Unis, c'est lui qui appelle en ce moment à manifester contre le Premier ministre. « On a l'impression qu'il y a un nouveau corps armé sur le territoire, constate le rédacteur en chef du Nouvelliste, un corps qui n'est pas sous contrôle de l'administration publique et qui à tout moment peut faire basculer le rapport de forces parce qu'on ignore l'effectif de la BSAP. » Les États-Unis affichent leurs ambitions d'exportation du GNLTrois projets, au moins, devraient aboutir cette année, trois terminaux de liquéfaction du gaz naturel destiné à l'exportation. L'objectif est de liquéfier chaque année plus de huit millions de tonnes de gaz supplémentaires pour donner un rôle majeur aux États-Unis, qui ne produisaient pas de GNL, il y a encore sept ans, et sont devenus premier exportateur mondial. Un statut critiqué par les défenseurs de l'environnement, en particulier en cette période électorale. Ils considèrent que le gaz ne devrait pas être présenté systématiquement comme une énergie de transition, l'impact du gaz dépendant beaucoup de la quantité de fuite de méthane au moment de l'extraction et du transport. Le journal de la 1èreDans une lettre envoyée le 10 janvier 2024, le président de la collectivité territoriale de la Martinique demande à Emmanuel macron de « tenir ses engagements ». 

Aujourd'hui l'économie
Le commerce mondial otage des Houthis ?

Aujourd'hui l'économie

Play Episode Listen Later Jan 11, 2024 3:01


Le Conseil de sécurité des Nations unies exige l'arrêt immédiat des attaques menées en mer Rouge par les Houthis. Ces assauts répétés entravent la circulation des navires dans le canal de Suez. Avec quelles conséquences sur l'économie ? En temps ordinaire, 12 % du transport maritime emprunte le canal de Suez. Pour les conteneurs, c'est beaucoup plus : 30 %. Et ce sont les porte-conteneurs qui sont la cible privilégiée des tirs de drones lancés par les rebelles yéménites. La plupart des grands armateurs ont donc choisi de dérouter leurs bateaux vers le cap de Bonne espérance pour rejoindre l'Europe ou les États-Unis. En décembre, sur cette route très courue, le trafic global a chuté de 35 % par rapport à 2022, indique le FMI. C'est beaucoup plus sensible pour le transport des voitures, notamment les véhicules électriques fabriqués en Chine, car les rouliers ont quasiment déserté la mer Rouge. Le contournement de l'Afrique allonge la durée du voyage, le transport est donc plus cher. Début janvier, le coût du fret a doublé entre la Chine et le port de Rotterdam.La hausse du fret va-t-elle faire repartir l'inflation comme le redoute la Banque Mondiale ?C'est un danger bien réel, mais cela prendra plusieurs semaines avant de se matérialiser. Et l'impact de cette crise est incomparable avec celui de la pandémie. En 2021, les pics du fret étaient 45 à 75 % plus élevés que les plus hauts du moment. La situation actuelle est encore gérable, il n'y a pas de rupture des chaînes d'approvisionnement. Enfin, le pétrole, un élément clé dans le retour de l'inflation, est plutôt épargné par les tensions en mer Rouge. Les attaques des Houthis ont à peine perturbé le transport des hydrocarbures.Le transport du diesel et de l'essence a fortement baissé en mer Rouge, mais pas vraiment celui du brutD'abord parce que les méga tankers chargés en brut n'ont pas l'habitude d'emprunter le canal, trop exigüe pour leur taille. Ensuite, parce que les pétroliers tout comme les vraquiers sont rarement visés par les Houthis. La plupart des compagnies pétrolières comme les négociants se sentent donc à l'abri. D'autres estiment que la nationalité de leur cargaison leur donne une immunité naturelle. C'est le cas pour les cargaisons de pétrole russe destinées à l'Asie ou du GNL qatari expédié en Europe. On voit mal les Houthis s'en prendre à la Russie, amie de l'Iran ou au Qatar, hôte du Hamas. Au-delà de ces considérations particulières, les marchés pétroliers ont peu bougé parce que la demande est largement pourvue. Les réserves des pays importateurs sont pleines et les États-Unis ont pris le relais des fournisseurs orientaux pour approvisionner l'Europe en carburant.L'impact macro-économique est donc relativement limité ?Pour le moment, cette épreuve est soutenable. Sans dire son nom, c'est une sanction qui plane sur l'économie occidentale, mais qui pourrait d'abord affecter l'Égypte, très dépendante des recettes du canal de Suez.

Girls Next Level
S2 Ep3: Giant Muffs and MySpace Passwords "80 is the New 40" Part 1!

Girls Next Level

Play Episode Listen Later Sep 25, 2023 62:42


Join Holly and Bridget as they take us back to the Playmate reunion of 2006 featuring the women of the 1970's . . . what can they relate to? Were there 70's "mean girls?" What was it like seeing these women return to the mansion? The girls get into what production spent money on, slobbing on knobs, a human centipede, breaking the 4th wall, breast implants, the clown playmate and pubic hair trends.  For more content, check out our Patreon at https://www.patreon.com/girlsnextlevel This episode is sponsored by BetterHelp. Visit https://www.betterhelp.com/nextlevel today to get 10% off your first month. Try BlueChew FREE when you use our promo code GNL at checkout - just pay $5 shipping. https://www.bluechew.com 

Girls Next Level
S2 Ep2: Ep. 54: Food Shaming in Our Highest Rated Episode: "Here's Looking at You, Hef!" Part 2

Girls Next Level

Play Episode Listen Later Sep 18, 2023 67:13


Holly and Bridget catch us up on what they've been up to over the summer, talk Marilyn Monroe's house, the LA hurricane/earthquake combo, Hef's hearing loss, more naked scenes and Casablanca Night. The girls get into other books written about the mansion, fake scenes, house hunting, how possessive we really were, the food shaming on the show and the pressures that went along with it. Join the girls and they go over everything The Girls Next Door Season 2, Episode 1, "Here's Looking at You, Hef!" For more content, check out our Patreon at https://www.patreon.com/girlsnextlevel Manage your money the easy way by going to https://www.rocketmoney.com/nextlevel To learn more about microdosing THC go to https://www.microdose.com and use code NEXTLEVEL to get free shipping and 30% off your first order. Try BlueChew FREE when you use promo code GNL at checkout - just pay $5 shipping. Visit https://www.bluechew.com for more details and important safety information.

¿Qué pasa en Latinoamérica?
El Gas Natural Licuado en Latinoamérica

¿Qué pasa en Latinoamérica?

Play Episode Listen Later Aug 1, 2023 25:38


El Gas Natural Licuado (GNL) está jugando un papel crucial en la seguridad de suministro en mercados de Europa, Asia y Latinoamérica, según Kenna Bravo, directora de GNL Global. La puesta en marcha de nuevos proyectos de liquefacción y/o regasificación aseguran la capacidad de suministro en estos mercados. Latinoamérica, que aún cubre un pequeño porcentaje de la demanda, va teniendo cada vez más protagonismo como proveedor de GNL a nivel global.