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durée : 00:04:35 - Le Reportage de la rédaction - Israël a lancé l'offensive "mur de fer" en janvier en Cisjordanie. Depuis, la vie des Palestiniens s'en trouve encore plus compliquée. En particulier pour les Palestiniennes. La multiplication des points de contrôle est devenue un cauchemar pour les femmes enceintes. Une clinique mobile les aide.
durée : 00:04:35 - Le Reportage de la rédaction - Israël a lancé l'offensive "mur de fer" en janvier en Cisjordanie. Depuis, la vie des Palestiniens s'en trouve encore plus compliquée. En particulier pour les Palestiniennes. La multiplication des points de contrôle est devenue un cauchemar pour les femmes enceintes. Une clinique mobile les aide.
En Cisjordanie occupée, depuis l'offensive « mur de fer » lancée par Israël en janvier 2025, la vie quotidienne des Palestiniens s'en trouve encore plus compliquée. C'est particulièrement le cas pour les Palestiniennes. La multiplication des checkpoints est devenue le cauchemar des femmes enceintes là-bas. Que ce soit pour le suivi de leur grossesse ou pour l'accouchement, la colonisation et le durcissement sécuritaire menacent directement leurs vies et celles de leurs bébés. Il arrive que certaines accouchent aux checkpoints. Il arrive aussi que certaines y perdent la vie. Notre correspondante est allée à la rencontre de femmes enceintes et a embarqué avec des médecins qui sillonnent ce territoire palestinien dans une clinique mobile. Un dispositif qui fête ses trente ans cette année, mais qui n'a probablement jamais été aussi utile. Direction le désert de Judée où les villageoises qui y vivent sont celles qui pâtissent le plus de cette situation.
durée : 00:06:27 - La Revue de presse internationale - par : Catherine Duthu - A Pékin, des femmes enceintes et des bébés présentent des taux de lithium anormalement élevés, jusqu'à 20 fois supérieurs à ceux d'autres villes industrielles chinoises.
Tous les jours à 5h50, Anthony Morel, expert High-Tech vous fait découvrir les dernières actus techno, dans Charles Matin, sur RMC.
L'arrivée de l'électricité dans le Sud-Ouest malgache pourrait sauver la vie de femmes enceintes. Dans la ville d'Ankililoaka, une clinique tenue par des religieuses y contribue depuis quelques mois. L'établissement, qui a toujours fonctionné sans courant depuis sa création il y a 25 ans, a été raccordé à la plus grande centrale solaire de l'île mise en service en septembre dernier dans la commune. La maternité peut désormais fournir des soins plus sûrs et dignes aux femmes enceintes. Un tournant dans cette région à risque pour accoucher. Dans un patio, à l'abri du soleil, les pleurs de nourrissons résonnent. Tous sont reçus en consultation de suivi ce matin. L'un d'entre eux ne fait pas un bruit. Ses jours sont en danger depuis un accouchement compliqué en dehors de la clinique des sœurs d'Ankililoaka il y a trois semaines.Dans la région, les rares centres de soins modernes comme celui-ci peinent encore à concurrencer les tradipraticiens, plus accessibles. Le docteur Antonio, médecin généraliste référent de cette clinique à Madagascar, le déplore :« Oh, il y a des risques, beaucoup de risques. Mais les gens d'ici se disent que c'est le destin des femmes de mourir si elles doivent décéder pendant l'accouchement. Pour eux, Dieu décide si les femmes décèdent. C'est très difficile de sensibiliser les gens à aller dans le milieu hospitalier. »À lire aussiÀ Madagascar, le rôle majeur du secteur privé dans l'accès à l'énergie en zone rurale« Maintenant, avec la lumière, il y n'y a plus de risques »De la lumière stable, de quoi stériliser le matériel et stocker au frais les médicaments... Ce médecin a vu les salles d'accouchement se transformer pour accueillir plus dignement les femmes : « C'est une bonne chose que l'électricité soit là. Je trouve ça même très logique, vu que nous sommes au XXIe siècle. Lors des actes médicaux, ça permet de sauver beaucoup de vies. »Les exemples d'accouchements compliqués ne manquent pas dans la région. Les murs de la clinique ont, eux aussi, abrité des moments difficiles avant l'arrivée du courant. Son chapelet toujours en main, sœur Raveloarimanana Hanitriniaina, la responsable du centre, se souvient d'interventions nocturnes éclairées à la bougie :« Avant, rien que pour le simple nettoyage de la femme qui accouche, on risquait de lui faire mal. On voyait vraiment mal dans la pénombre. Maintenant, avec la lumière, il y n'y a plus de risques. On arrive aussi à éviter les plus grosses complications, comme la déchirure du col qui pourrait engendrer une hémorragie, voir le décès de la femme enceinte. »À lire aussiLa cuisson propre, un pari possible avec l'arrivée de l'électricité dans le Grand Sud malgache [2/3]L'arrivée de l'électricité marque un tournant dans ces zones ruralesLéonie, son bébé de trois mois au bras, attend toujours son tour sur les bancs de la clinique. Elle a fait le choix d'accoucher au centre de son deuxième enfant, rassurée par un cadre médical, et ce peu importe les frais, compris entre 20 000 et 40 000 ariary (soit entre 4 et 8 euros) selon les complications : « Dans cette clinique, on a vraiment pris soin de moi, avec des gestes qui m'ont fait du bien. Dès que j'ai su que le courant était arrivé, je me suis décidée à venir ici. »L'arrivée de l'électricité marque un tournant dans ces zones rurales, où plus qu'en ville, les femmes meurent encore en donnant la vie. Selon les dernières données officielles, 426 femmes décèdent pour 100 000 naissances à Madagascar. Un taux huit fois plus élevé par rapport à l'archipel voisin des Comores.À lire aussiDans le Grand Sud malgache, l'arrivée de l'électricité transforme la vie nocturne d'un village [1/3]
Le bilan du registre anti-blanchiment en Belgique montre que 50.000 sociétés et ASBL ont été radiées depuis sa création en 2018. Ce registre recense 98% des structures actives et engage pénalement les auteurs de fausses déclarations. Cependant, il est critiqué par certains, notamment Paul Dhaeyer, qui appelle à des actions plus ambitieuses. En Flandre, un plan de 1000 jours a été lancé pour détecter les femmes enceintes vulnérables et leur offrir un soutien adapté. Par ailleurs, une manifestation nationale est prévue jeudi, avec des grèves dans les transports et l'enseignement. La grève à Bpost persiste, le CEO estimant que cela nuit à l'entreprise et aux travailleurs Merci pour votre écoute N'hésistez pas à vous abonner également aux podcasts des séquences phares de Matin Première: L'Invité Politique : https://audmns.com/LNCogwPL'édito politique « Les Coulisses du Pouvoir » : https://audmns.com/vXWPcqxL'humour de Matin Première : https://audmns.com/tbdbwoQRetrouvez tous les contenus de la RTBF sur notre plateforme Auvio.be Retrouvez également notre offre info ci-dessous : Le Monde en Direct : https://audmns.com/TkxEWMELes Clés : https://audmns.com/DvbCVrHLe Tournant : https://audmns.com/moqIRoC5 Minutes pour Comprendre : https://audmns.com/dHiHssrEt si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement.
Assurances, conso, nouvelles technologies… "On en parle" vous oriente dans tout ce qui fait votre quotidien. 1. Enceintes connectées: pas très bon, le son! 2. Remplir sa première déclaration d'impôts 3. Guichet: les effets indésirables des médicaments
durée : 00:04:39 - Avec sciences - par : Alexandra Delbot - Idée reçue n°3 : les femmes enceintes souffrent du "syndrome du neurone unique". Les changements cérébraux de la grossesse peuvent brouiller l'esprit, mais ce n'est pas une maladie. Ce "Mommy brain" n'altère pas les capacités intellectuelles et pourrait même être bénéfique à terme.
Au sommaire du Sous Marin ce soir : Les cultures créoles… jusqu'en Anjou ! L'association AIMMER comme Association Interculturelle Maurice… The post AMAP : 50% de réduction pour les femmes enceintes first appeared on Radio Campus Angers.
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Chaque jour, découvrez la pépite du jour dans la France Bouge avec Elisabeth Assayag.
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durée : 00:02:10 - Le brief politique - À Strasbourg, des femmes enceintes reçoivent des fruits et légumes bio chaque semaine. Une initiative que veulent dupliquer plusieurs municipalités. Un enjeu de santé publique, et un choix politique.
Rubrique:nouvelles Auteur: paul-arene Lecture: RégineDurée: 10min Fichier: 7 Mo Résumé du livre audio: Faim, huîtres, café, femmes, enfant. Cet enregistrement est mis à disposition sous la Licence art libre. Cet enregistrement est mis à disposition sous un contrat Creative Commons.
durée : 00:04:22 - La planète des sciences - par : Daniel FIEVET - Au sommaire cette semaine : les transformations du cerveau des femmes enceintes pendant leur grossesse, un nouveau dispositif pour observer les entrailles des volcans et le secret des termites kamikazes...
Cliquez ici pour découvrir, pour les femmes enceintes, quelques bonnes pratiques de santé environnementale soulignées par le projet FEES. L'article Femmes enceintes : bonnes pratiques de santé environnementale (projet FEES, APPA) est apparu en premier sur Santé des Enfants et Environnement.
À 22h, Julie Hammett fait le tour des images marquantes et des déclarations fortes de la journée. Du lundi au jeudi, Julie jusqu'à minuit fait vivre l'info du soir avec chroniqueurs, invités et éditorialistes.
Depuis plus de dix mois, Gaza est bombardée par Israël, plus de 40 000 personnes sont mortes et, sur cette bande de terre côtière, la situation humanitaire est plus que désastreuse. Souvent, on oublie que les femmes enceintes, les femmes en post-partum et les femmes qui allaitent sont particulièrement vulnérables. À Gaza, le nombre de fausses couches a augmenté d'au moins 300 % depuis octobre, en raison du stress dû à la guerre, de la malnutrition et du manque d'eau. De femmes gazaouis témoignent, celles qui vont donner naissance, celles qui viennent de le faire, des conditions inhumaines et dans une enclave ravagée par la guerre. De notre correspondante depuis Jérusalem, l'accès à Gaza étant encore interdit aux journalistes étrangers par Israël,Être enceinte, accoucher, allaiter... à Gaza, c'est un stress au quotidien. La famine touche quasiment tous les Gazaouis et le manque d'eau potable est un défi majeur. Les femmes enceintes souffrent d'anémie, de malnutrition et ont désespérément besoin de vitamines et de suppléments prénataux. C'est aussi le cas pour les femmes qui allaitent.Yasmine est la mère de six enfants, elle était enceinte pendant les premiers mois de guerre : « J'ai eu ma dernière fille en pleine guerre et tout est extrêmement compliqué. Que ce soit de pouvoir la nourrir, la faire vivre, la rassurer psychologiquement, physiquement et financièrement, je n'ai plus rien, témoigne-t-elle, alors ma fille ne mange pas assez, pas autant qu'elle devrait, elle est toujours fatiguée. Elle comme moi, nous n'avons pas assez à manger, car il n'y a plus de nourriture. Et pour trouver du lait pour les nourrissons, c'est pire, il n'y en a pas, ou alors c'est très cher. »À lire aussi«Ce qui se passe à Gaza a été calculé et déterminé par Israël», dit une rapporteuse de l'ONUDepuis le début de la guerre, 34 enfants sont morts de malnutritionLa jeune femme d'une trentaine d'années raconte qu'elle n'a plus de maisons depuis les premiers mois de la guerre. Plus de parents non plus pour l'aider avec ses enfants, les cinq autres, lorsqu'elle s'occupe de sa fille de trois mois, car son père et sa mère ont été tués dans les bombardements. Yasmine n'en peut plus des avions ni de l'injustice, de l'éternelle recherche de nourriture : « Je ne sais pas comment son petit corps pourra se développer. Et puis il y a toutes ces épidémies, ces maladies qui ne cessent de se propager. »Depuis le début de la guerre, 34 enfants sont morts de malnutrition.À lire aussi Gaza : l'évacuation forcée de Deir al-Balah pousse les réfugiés à fuir dans la paniqueLe nombre de fausses couches a augmenté d'au moins 300 %L'accouchement, c'est l'autre question angoissante et récurrente, partagée chez toutes ces femmes dans la bande de Gaza. Comment mettre au monde dans de telles conditions, alors que les hôpitaux manquent de tout, même des choses les plus basiques, et qu'ils sont déjà bondés de patients blessés au bord de la mort ? Malek, elle, vient de Beit Lahia, elle est en ce moment déplacée dans une école : « Je suis enceinte de huit mois et je vous avouerai que j'ai tellement peur de l'accouchement. D'abord, car j'ai peur de ne pas pouvoir atteindre l'hôpital à temps et de devoir accoucher ici. Ensuite, car nous avons été déplacés à tellement de reprises que je suis épuisée et très stressée », confie-t-elle.Avant la guerre, les hôpitaux et maternités prenaient en charge les femmes et les nourrissons s'ils avaient besoin d'être en couveuse ou d'avoir des besoins particuliers. Aujourd'hui, certains ne verront même pas le jour, car, à Gaza, les médecins font état d'un nombre de fausses couches sans précédent. La plupart sont dues au stress psychologique car ces femmes vivent sous les bombardements depuis des mois. Leur santé mentale n'est pas stable et elles manquent de soutien de leur famille.Le sujet est tellement tabou qu'il est difficile d'obtenir des chiffres officiels, mais des docteurs contactés de part et d'autre de la bande de Gaza ont affirmé à l'ONU qu'ils voyaient environ 10 femmes par jour qui venaient de faire une fausse couche, contre une à deux maximum avant la guerre.À lire aussi Gaza : « Les chiffres actuels ne témoignent pas de l'ampleur de la catastrophe »
Depuis plus de dix mois, Gaza est bombardée par Israël, plus de 40 000 personnes sont mortes et, sur cette bande de terre côtière, la situation humanitaire est plus que désastreuse. Souvent, on oublie que les femmes enceintes, les femmes en post-partum et les femmes qui allaitent sont particulièrement vulnérables. À Gaza, le nombre de fausses couches a augmenté d'au moins 300 % depuis octobre, en raison du stress dû à la guerre, de la malnutrition et du manque d'eau. De femmes gazaouis témoignent, celles qui vont donner naissance, celles qui viennent de le faire, des conditions inhumaines et dans une enclave ravagée par la guerre. De notre correspondante depuis Jérusalem, l'accès à Gaza étant encore interdit aux journalistes étrangers par Israël,Être enceinte, accoucher, allaiter... à Gaza, c'est un stress au quotidien. La famine touche quasiment tous les Gazaouis et le manque d'eau potable est un défi majeur. Les femmes enceintes souffrent d'anémie, de malnutrition et ont désespérément besoin de vitamines et de suppléments prénataux. C'est aussi le cas pour les femmes qui allaitent.Yasmine est la mère de six enfants, elle était enceinte pendant les premiers mois de guerre : « J'ai eu ma dernière fille en pleine guerre et tout est extrêmement compliqué. Que ce soit de pouvoir la nourrir, la faire vivre, la rassurer psychologiquement, physiquement et financièrement, je n'ai plus rien, témoigne-t-elle, alors ma fille ne mange pas assez, pas autant qu'elle devrait, elle est toujours fatiguée. Elle comme moi, nous n'avons pas assez à manger, car il n'y a plus de nourriture. Et pour trouver du lait pour les nourrissons, c'est pire, il n'y en a pas, ou alors c'est très cher. »À lire aussi«Ce qui se passe à Gaza a été calculé et déterminé par Israël», dit une rapporteuse de l'ONUDepuis le début de la guerre, 34 enfants sont morts de malnutritionLa jeune femme d'une trentaine d'années raconte qu'elle n'a plus de maisons depuis les premiers mois de la guerre. Plus de parents non plus pour l'aider avec ses enfants, les cinq autres, lorsqu'elle s'occupe de sa fille de trois mois, car son père et sa mère ont été tués dans les bombardements. Yasmine n'en peut plus des avions ni de l'injustice, de l'éternelle recherche de nourriture : « Je ne sais pas comment son petit corps pourra se développer. Et puis il y a toutes ces épidémies, ces maladies qui ne cessent de se propager. »Depuis le début de la guerre, 34 enfants sont morts de malnutrition.À lire aussi Gaza : l'évacuation forcée de Deir al-Balah pousse les réfugiés à fuir dans la paniqueLe nombre de fausses couches a augmenté d'au moins 300 %L'accouchement, c'est l'autre question angoissante et récurrente, partagée chez toutes ces femmes dans la bande de Gaza. Comment mettre au monde dans de telles conditions, alors que les hôpitaux manquent de tout, même des choses les plus basiques, et qu'ils sont déjà bondés de patients blessés au bord de la mort ? Malek, elle, vient de Beit Lahia, elle est en ce moment déplacée dans une école : « Je suis enceinte de huit mois et je vous avouerai que j'ai tellement peur de l'accouchement. D'abord, car j'ai peur de ne pas pouvoir atteindre l'hôpital à temps et de devoir accoucher ici. Ensuite, car nous avons été déplacés à tellement de reprises que je suis épuisée et très stressée », confie-t-elle.Avant la guerre, les hôpitaux et maternités prenaient en charge les femmes et les nourrissons s'ils avaient besoin d'être en couveuse ou d'avoir des besoins particuliers. Aujourd'hui, certains ne verront même pas le jour, car, à Gaza, les médecins font état d'un nombre de fausses couches sans précédent. La plupart sont dues au stress psychologique car ces femmes vivent sous les bombardements depuis des mois. Leur santé mentale n'est pas stable et elles manquent de soutien de leur famille.Le sujet est tellement tabou qu'il est difficile d'obtenir des chiffres officiels, mais des docteurs contactés de part et d'autre de la bande de Gaza ont affirmé à l'ONU qu'ils voyaient environ 10 femmes par jour qui venaient de faire une fausse couche, contre une à deux maximum avant la guerre.À lire aussi Gaza : « Les chiffres actuels ne témoignent pas de l'ampleur de la catastrophe »
Encensée dans les années 70 pour son pouvoir libérateur quant à la sexualité féminine, la pilule contraceptive est sujette à de nombreuses controverses depuis quelques années. Si les risques liés à sa prise sont étudiés avec attention et que les jeunes femmes se montrent de plus en plus méfiantes à son égard, elle reste un moyen de contraception très efficace, utilisé dans le monde entier pour contrôler les naissances. Pourtant, il arrive que des femmes sous pilule tombent enceintes. Différentes raisons expliquent ce phénomène.L'efficacité théorique vs l'efficacité réelleSi l'efficacité en laboratoire de la pilule contraceptive est de 99%, elle est plus proche de 92% en conditions réelles. Les femmes qui l'utilisent devraient donc savoir qu'il reste presque une chance sur 10 de tomber enceinte avec la seule pilule orale comme moyen de contraception, en fonction des autres facteurs.Les erreurs de priseL'une des causes majeures de l'échec contraceptif réside dans l'oubli de prendre la pilule. Cela se produit par exemple en cas de déplacement loin du domicile, ou lorsque les habitudes sont bouleversées. Une fenêtre de seulement 24 heures réduit considérablement l'efficacité de la contraception orale. Des prises irrégulières et des interruptions compromettent aussi le bon fonctionnement de la pilule hormonale.Les interactions médicamenteusesEn cas de prise d'antibiotiques ou d'antiépileptiques, une interaction peut se produire avec la pilule et entrainer une baisse de l'efficacité. Il est essentiel de s'informer auprès d'un médecin dans de telles conditions pour envisager une autre contraception.Le millepertuis est également déconseillé lors de la prise d'un contraceptif oral.Les troubles gastro-intestinauxLes hormones délivrées par la pilule sont absorbées au niveau du système digestif. Mais des troubles tels que de la diarrhée ou des vomissements peuvent perturber cette absorption. D'autre part, les femmes qui souffrent de troubles alimentaires et se font vomir ou utilisent des laxatifs doivent savoir que ces comportements affectent l'efficacité de la pilule contraceptive.Les modifications hormonalesNaturelles ou induites par un traitement, les modifications de nature hormonale interagissent avec la pilule et modifient son efficacité. Il faut notamment faire attention aux crèmes contre l'acné, ou aux traitements pour la thyroïde.Le stockage inadapté de la piluleUne chaleur excessive, une humidité trop importante, un emballage déchiré sont autant de caractéristiques qui peuvent modifier l'efficacité réelle de la pilule contraceptive. En cas de doute, il est préférable d'en discuter avec un médecin et d'utiliser un autre moyen de contraception pour la fin du cycle. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Rémi nous fera aussi une comparaison de l'expérience utilisateur pour l'écoute radio entre une enceinte connectée (ou smartpseaker) et les postes DAB+.Animation / réalisation : Olivier OddouIntervenants : Rémy Bertholon, Julien Vigier, Frédérick Sigrist (animateur sur France Inter)Crédits musicaux : Rob - It's a blast (BO du film 'Radiostars'), jingles produits par Pure Jingles [https://purejingles.com/]Voix off : Estelle Hubert [http://estellehubert.com]ContactPar mail : contact@vocast.fr [https://www.vocast.fr/contact.html]Twitter : @DesOndesVocast [https://twitter.com/DesOndesVocast]
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Les femmes enceintes sont souvent mises en garde contre la consommation de gibier et d'abats en raison des risques potentiels pour la santé de la mère et du fœtus. Voici les principales raisons :1. Risque d'infections et de contaminations- Toxoplasmose : Le gibier, en particulier s'il est mal cuit, peut être une source de toxoplasmose, une infection parasitaire dangereuse pour le fœtus, pouvant entraîner des malformations congénitales ou une fausse couche .- Listériose : Les abats et le gibier peuvent également être contaminés par la listeria, une bactérie qui cause la listériose, une infection grave pouvant provoquer des complications chez la femme enceinte et des risques pour le bébé, comme un accouchement prématuré ou des infections néonatales graves .2. Présence de métaux lourds- Plomb : Le gibier peut contenir des fragments de plomb provenant des munitions utilisées pour la chasse. L'exposition au plomb est particulièrement dangereuse pendant la grossesse car elle peut affecter le développement neurologique du fœtus et entraîner des retards cognitifs et comportementaux .- Mercure : Certains abats peuvent accumuler du mercure, un autre métal lourd toxique pour le développement neurologique du fœtus. Les niveaux élevés de mercure peuvent entraîner des dommages au cerveau et au système nerveux du bébé en développement .3. Concentration de vitamine A- Hypervitaminose A : Les abats, notamment le foie, contiennent des concentrations très élevées de vitamine A sous forme de rétinol. Une consommation excessive de rétinol pendant la grossesse peut entraîner une hypervitaminose A, qui est associée à des malformations congénitales et à des anomalies du développement fœtal .4. Risque de parasites- Trichinose et autres parasites : Le gibier, surtout s'il est consommé cru ou insuffisamment cuit, peut être infecté par des parasites comme les trichines, qui peuvent causer des infections parasitaires graves. Ces parasites peuvent affecter le développement du fœtus et mettre en danger la santé de la mère .En raison de ces risques, il est recommandé aux femmes enceintes d'éviter de consommer du gibier et des abats. Lorsqu'elles souhaitent consommer ces aliments, il est crucial de s'assurer qu'ils sont bien cuits et de privilégier des sources fiables pour minimiser les risques de contamination. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Une plateforme pensée pour accompagner les femmes enceintes
Bassar / Halav - Les permissions (femmes enceintes/allaitantes - 5h30 - médicaments…) by Rav David Touitou
durée : 00:02:03 - Beauté, bien-être - FB RCFM - L'utilisation de certaines huiles essentielles en usage externe est envisageable à partir du quatrième mois de grossesse.
Avec Claire de Feligonde, co-autrice de Nous, mères qui sommes sur terre (Ed. Artège) Laurence Aubrun, autrice de Enceintes, la vie en soi (Ed. l'Emmanuel) Pauline Quillon, journaliste (société) à Famille ChrétienneHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Créé en 2010, The Shift Project, présidé par Jean-Marc Jancovici, se distingue par ses propositions concrètes pour une économie libérée des énergies fossiles. À l'approche des Jeux olympiques de Paris 2024, leur nouveau rapport met en lumière les émissions de gaz à effet de serre (GES) générées par les événements sportifs. Intitulé "Décarbonons les stades", ce rapport émerge d'un constat des professionnels du secteur. "Beaucoup de choses se passaient sur les questions environnementales, mais il était difficile d'évaluer la pertinence de certains projets sans référentiel", explique Alan Lemoine, chargé de projet sport au Shift Project. Ce rapport vise à créer une base pour les questions climatiques et énergétiques dans le secteur sportif.Pour l'instant, le rapport intermédiaire se concentre sur le football et le rugby, les plus grandes fédérations sportives françaises. L'objectif est d'établir des modèles et une méthodologie applicable à l'ensemble du secteur sportif. Les résultats montrent que les émissions par personne ne varient pas en fonction de la capacité du stade. Cependant, les événements internationaux entraînent une augmentation significative des émissions, principalement en raison des déplacements des spectateurs. Alan Lemoine souligne que "le parallèle avec les Jeux olympiques est intéressant, bien que notre rapport se concentre sur des événements européens. Les flux seront similaires : des spectateurs venant du monde entier, des stades énergivores, et des besoins alimentaires élevés". Un nouveau rapport est attendu en juillet, abordant les leviers de décarbonation pour les transports, l'énergie, l'alimentation et les infrastructures. Il prendra également en compte les sports amateurs, en évaluant les émissions générées par les pratiquants hebdomadaires et mensuels. Avec cette analyse, le Shift Project espère influencer les politiques et pratiques pour des événements sportifs plus durables et respectueux de l'environnement. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
La Haute Autorité de santé a publié jeudi une recommandation concernant l'intégration du nouveau vaccin Abrysvo dans la stratégie de prévention chez le nourrisson des infections par le VRS, responsable notamment de bronchiolites. Ce produit s'ajoute au traitement Beyfortus, administré aux bébés depuis l'automne dernier.
La Haute Autorité de santé a publié jeudi une recommandation concernant l'intégration du nouveau vaccin Abrysvo dans la stratégie de prévention chez le nourrisson des infections par le VRS, responsable notamment de bronchiolites. Ce produit s'ajoute au traitement Beyfortus, administré aux bébés depuis l'automne dernier.
La société Sonos a annoncé la mise à jour de ses applications mobiles le mardi 7 mai 2024. Après des retours inquiétants quand à l'accessibilité pour les aveugles de celles-ci, nous vous invitons à attendre avant de les mettre à jour. Dans ce podcast nous vous expliquons en résumé ce qu'il faut retenir du billet de Jonathan Mosen à propos de la future mise à jour des applications mobile Sonos. Liens utiles L'article complet de Jonathan Mosen avec les explications et les conseils (en anglais).
Les “morts maternelles” sont rares, mais existent toujours en France: environ 90 femmes décèdent annuellement d'une cause liée à la grossesse ou à l'accouchement, et le suicide en est devenu la première cause. De nombreux facteurs de risque expliquent ces statistiques : l'âge, les inégalités sociales, économiques, territoriales, l'isolement. En Auvergne, les futures et jeunes mamans éloignées d'une maternité bénéficient d'un dispositif expérimental unique en France métropolitaine : Opti'soins, un cabinet médical mobile se déplace jusque dans leurs villages. Grâce à un camion aménagé, sage-femmes et infirmières proposent des soins à la carte aux futures mères.Un épisode de Sur Le Fil réalisé sur le terrain avec Marine Lesprit et Céline Castella journalistes au bureau de l'AFP à Lyon . Invitée: Catherine Deneux, directrice de recherche à l'Inserm.Réalisation : Emmanuelle BaillonSur le Fil est le podcast quotidien de l'AFP. Vous avez des commentaires ? Ecrivez-nous à podcast@afp.com. Vous pouvez aussi nous envoyer une note vocale par Whatsapp au + 33 6 79 77 38 45. Si vous aimez, abonnez-vous, parlez de nous autour de vous et laissez-nous plein d'étoiles sur votre plateforme de podcasts préférée pour mieux faire connaître notre programme ! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Un court extrait de l'épisode qui sort jeudi Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Les propos exprimés dans ce podcast relèvent d'expériences et d'opinions personnelles dans un but de divertissement et ne substituent pas les conseils d'un.e sexologue ou autre professionnel de la santé. Cette semaine sur le podcast, on reçoit Joanie et Noémie qui viennent nous raconter leur histoire incroyable sur la façon dont elles sont tombées enceintes en même temps! ----- Page Facebook donneur de sperme et mère porteuse au Québec : https://www.facebook.com/share/ineHryVkvnDUHjaA/?mibextid=K35XfPSite internet : https://en.coparentalys.com/Pour suivre Joanie:https://www.instagram.com/p0ule/?hl=fr-caPour suivre Noémie:https://www.instagram.com/noemie.beau.regard/?hl=fr-ca Le podcast est présenté par Éros et Compagnie Utiliser le code promo : SexeOral pour 15% de rabais https://www.erosetcompagnie.com/ Les jouets dont les filles parlent: https://www.erosetcompagnie.com/page/podcast ---- Pour collaborations: info@studiosf.ca Pour toutes questions: sexeoral@studiosf.ca Pour suivre les filles sur Patreon: https://www.patreon.com/sexeoralpodcast Pour contacter les filles directement, écrivez-nous sur Instagram: https://www.instagram.com/sexeoral.podcast/
Assurances, conso, nouvelles technologies… "On en parle" vous oriente dans tout ce qui fait votre quotidien. Au programme aujourd'hui: 1. Des régies demandent aux futures locataires si elles sont enceintes 2. Deuxième service 3. Guichet: la féra, avec Stéphane Décotterd et Serge Guidoux
On part à la découverte d'un chemin original, tracé par la photographe Viviane Lièvre et l'écrivain nomade français Jean-Yves Loude. Ensemble, les deux ethnologues sont partis du Puy-en-Velay jusqu'en Galice en passant par le Portugal, en quête de vierges enceintes, faisant du voyage une quête de vérité, de justice et d'égalité. Après nous avoir emmené sur les traces des mémoires silenciées des Afriques, dans le monde lusophone, des Açores à Lisbonne, ou sur le continent africain, l'écrivain nomade français Jean-Yves Loude publie aux Éditions Chandeigne son dernier récit « Le chemin des vierges enceintes ». Pour ce livre, Jean-Yves Loude s'est longuement plongé avec la photographe et ethnologue Viviane Lièvre dans les textes saints, dans le Nouveau Testament, ses évangiles canoniques mais aussi apocryphes, avant de se lancer physiquement en voyage, en quête de représentations bien particulières de la Vierge Marie, le ventre rond, enceinte, allaitante ou parturiente. Des statuettes parfois disparues ou cachées car jugées « irregardables » par le Concile de Trente en 1563.Pour lui comme pour sa compagne Viviane, ce voyage va alors prendre des allures de jeu de pistes entre la France, le Portugal et l'Espagne, en quête de ces statuettes qu'il faut aller chercher dans les recoins de l'histoire, dans des églises, des musées ou des chapelles isolées. Chemin faisant, sur cette voie de Compostelle bien à eux, nos deux inspecteurs-voyageurs remontent aux sources du discours misogyne de l'Église et interrogent la faiblesse du rôle dévolu aux femmes, à commencer par Marie, une figure pourtant populaire qui a su traverser les âges et les interdits.Une rencontre initialement diffusée en octobre 2022En savoir plus :- Sur le récit de Jean-Yves Loude, paru aux Éditions Chandeigne.- Sur le chemin des vierges enceintes, un site internet avec près de 450 photos de Viviane Lièvre vient compléter le livre.
Comme une envie de manger de fraises à 3h du matin ? Pas de panique, aucune raison de courir acheter un test de grossesse dans la minute mesdames ! Écoutez d'abord ce podcast. L'idée que les femmes enceintes auraient envie de fraises est un cliché. Les premières responsables seraient les hormones. Ah les hormones, nécessaires au bon développement du foetus, à sa santé, celle de sa maman. Les femmes enceintes en produisent de nouvelles et en grande quantité. Elles pour effet de déséquilibrer l'organisme et côté alimentation, c'est aussi le boxon. Avec l'augmentation des oestrogènes dans le corps, les perceptions du gout et de l'odorat changent. Il y a des odeurs qui deviennent insupportable, nous devenons de véritables limiers ! Les femmes peuvent se sentir fatiguées notamment au début de la grossesse. Elles peuvent être en manque de vitamines, de calcium, de fer, etc. Leur cerveau leur indique qu'une petite collation ne leur ferait pas de mal pour pallier ces carences et il associe naturellement des aliments au nutriments dont il a besoin. Quoi de mieux que de manger des fraises et des fruits en général pour un plein de vitamines ? Les fringales peuvent aussi venir d'une privation. Peut-être que vous avez envie de manger un burger aux 1 500 calories parce que vous vous êtes interdit d'en manger avant de tomber enceinte ! Autre cliché à enterrer, celui qu'une femme qui se rue sur le sucre attend une fille et une autre qui mange du salé attend un garçon. C'est faux. Je peux vous le confirmer, j'ai eu une folle envie de manger des bulots en plein après-midi lors de ma première grossesse et pourtant j'ai eu une fille. Quant à mon envie de manger du fromage, à peu près tout le temps, c'est juste que j'adore ça et j'étais bien frustrée de ne pas pouvoir manger ceux au lait cru ! Une femme enceinte va être attirée par une catégorie de saveurs qu'elle soit sucré, salé ou encore acide. C'est pour cette raison que certaines femmes vont avoir une passion pour les cornichons, d'autres pour le chocolat. Quand on est enceinte, on est heureuse, stressée, anxieuse ou excitée…bref, toutes ces émotions, ça fait beaucoup à gérer alors la nourriture, c'est aussi un refuge pour la future maman. C'est une manière de se faire plaisir et de se rassurer. On ne peut pas faire de généralités sur les habitudes alimentaires pendant la grossesse. Chaque femme est unique, chaque grossesse l'est aussi et tous les goûts sont dans la nature. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Encensée dans les années 70 pour son pouvoir libérateur quant à la sexualité féminine, la pilule contraceptive est sujette à de nombreuses controverses depuis quelques années. Si les risques liés à sa prise sont étudiés avec attention et que les jeunes femmes se montrent de plus en plus méfiantes à son égard, elle reste un moyen de contraception très efficace, utilisé dans le monde entier pour contrôler les naissances. Pourtant, il arrive que des femmes sous pilule tombent enceintes. Différentes raisons expliquent ce phénomène.L'efficacité théorique vs l'efficacité réelleSi l'efficacité en laboratoire de la pilule contraceptive est de 99%, elle est plus proche de 92% en conditions réelles. Les femmes qui l'utilisent devraient donc savoir qu'il reste presque une chance sur 10 de tomber enceinte avec la seule pilule orale comme moyen de contraception, en fonction des autres facteurs.Les erreurs de priseL'une des causes majeures de l'échec contraceptif réside dans l'oubli de prendre la pilule. Cela se produit par exemple en cas de déplacement loin du domicile, ou lorsque les habitudes sont bouleversées. Une fenêtre de seulement 24 heures réduit considérablement l'efficacité de la contraception orale. Des prises irrégulières et des interruptions compromettent aussi le bon fonctionnement de la pilule hormonale.Les interactions médicamenteusesEn cas de prise d'antibiotiques ou d'antiépileptiques, une interaction peut se produire avec la pilule et entrainer une baisse de l'efficacité. Il est essentiel de s'informer auprès d'un médecin dans de telles conditions pour envisager une autre contraception.Le millepertuis est également déconseillé lors de la prise d'un contraceptif oral.Les troubles gastro-intestinauxLes hormones délivrées par la pilule sont absorbées au niveau du système digestif. Mais des troubles tels que de la diarrhée ou des vomissements peuvent perturber cette absorption. D'autre part, les femmes qui souffrent de troubles alimentaires et se font vomir ou utilisent des laxatifs doivent savoir que ces comportements affectent l'efficacité de la pilule contraceptive.Les modifications hormonalesNaturelles ou induites par un traitement, les modifications de nature hormonale interagissent avec la pilule et modifient son efficacité. Il faut notamment faire attention aux crèmes contre l'acné, ou aux traitements pour la thyroïde.Le stockage inadapté de la piluleUne chaleur excessive, une humidité trop importante, un emballage déchiré sont autant de caractéristiques qui peuvent modifier l'efficacité réelle de la pilule contraceptive. En cas de doute, il est préférable d'en discuter avec un médecin et d'utiliser un autre moyen de contraception pour la fin du cycle. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Encensée dans les années 70 pour son pouvoir libérateur quant à la sexualité féminine, la pilule contraceptive est sujette à de nombreuses controverses depuis quelques années. Si les risques liés à sa prise sont étudiés avec attention et que les jeunes femmes se montrent de plus en plus méfiantes à son égard, elle reste un moyen de contraception très efficace, utilisé dans le monde entier pour contrôler les naissances. Pourtant, il arrive que des femmes sous pilule tombent enceintes. Différentes raisons expliquent ce phénomène. L'efficacité théorique vs l'efficacité réelle Si l'efficacité en laboratoire de la pilule contraceptive est de 99%, elle est plus proche de 92% en conditions réelles. Les femmes qui l'utilisent devraient donc savoir qu'il reste presque une chance sur 10 de tomber enceinte avec la seule pilule orale comme moyen de contraception, en fonction des autres facteurs. Les erreurs de prise L'une des causes majeures de l'échec contraceptif réside dans l'oubli de prendre la pilule. Cela se produit par exemple en cas de déplacement loin du domicile, ou lorsque les habitudes sont bouleversées. Une fenêtre de seulement 24 heures réduit considérablement l'efficacité de la contraception orale. Des prises irrégulières et des interruptions compromettent aussi le bon fonctionnement de la pilule hormonale. Les interactions médicamenteuses En cas de prise d'antibiotiques ou d'antiépileptiques, une interaction peut se produire avec la pilule et entrainer une baisse de l'efficacité. Il est essentiel de s'informer auprès d'un médecin dans de telles conditions pour envisager une autre contraception. Le millepertuis est également déconseillé lors de la prise d'un contraceptif oral. Les troubles gastro-intestinaux Les hormones délivrées par la pilule sont absorbées au niveau du système digestif. Mais des troubles tels que de la diarrhée ou des vomissements peuvent perturber cette absorption. D'autre part, les femmes qui souffrent de troubles alimentaires et se font vomir ou utilisent des laxatifs doivent savoir que ces comportements affectent l'efficacité de la pilule contraceptive. Les modifications hormonales Naturelles ou induites par un traitement, les modifications de nature hormonale interagissent avec la pilule et modifient son efficacité. Il faut notamment faire attention aux crèmes contre l'acné, ou aux traitements pour la thyroïde. Le stockage inadapté de la pilule Une chaleur excessive, une humidité trop importante, un emballage déchiré sont autant de caractéristiques qui peuvent modifier l'efficacité réelle de la pilule contraceptive. En cas de doute, il est préférable d'en discuter avec un médecin et d'utiliser un autre moyen de contraception pour la fin du cycle. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
durée : 00:27:27 - Les Nuits de France Culture - par : Albane Penaranda - Par Ruth Scheps - Avec Danielle Clément (architecte) et Michel Ragon (critique d'art, écrivain, historien de l'architecture) - Lecture d'extraits de "Les oiseaux", d'Aristophane - Réalisation Marie-Andrée Armynot
Camille Froidevaux-Metterie, philosophe, est notre invitée aujourd'hui pour nous présenter son livre "Un si gros ventre", une immersion dans une maternité.
Entourées de Pierre de Vilno, les Grandes voix décryptent et analysent sans complaisance la vie politique.
Voici l'épisode 432 de "la quotidienne iWeek" en ce jeudi 6 juillet 2023. Abonnez-vous : c'est gratuit ! Threads : le rejoindre est facile ; en partir oblige à quitter Instagram. Présentation : Benjamin VINCENT (@benjaminvincent) + Elie ABITBOL (@elie06). Production : OUATCH Audio. Tags : l'audio en voiture révolutionné ? ; Threads, 10 millions d'utilisateurs en 7 heures ; iPhone 15 Pro Max : vers un prix stratosphérique ; um, um… ça craint ; AX7, des enceintes pour se faire plaisir. Bonne découverte de "la quotidienne iWeek" si vous nous écoutez pour la première fois, parlez de nous autour de vous, retweetez-nous (@iweeknews), bonne journée, bonne écoute et à demain ! Benjamin VINCENT et la team #iweekLQI PS1 : rejoignez la communauté iWeek sur Patreon et bénéficiez de bonus exclusifs ! PS2 : iWeek est désormais aussi présent sur mastodon :@iweeknews@mastodon.world PS3 : retrouvez-nous aussi, pour iWeek (la semaine Apple), notre podcast hebdo, désormais en ligne chaque mercredi soir. PS4 : l'épisode 144 d'iWeek (la semaine Apple) est imminent !
C'est le printemps et les coeurs cherchent à se lier. Sur une application de rencontre, Catherine – alias Catapulte — envoie un message à Rebecca. Les deux femmes se rencontrent en mai, c'est le coup de foudre. Très vite, elles emménagent ensemble et se projettent. Elles rêvent toutes les deux d'avoir des enfants et Catherine de les porter. Le mois de mai suivant, elles entrent en contact avec une clinique de fertilité et entament un processus de procréation médicalement assistée (PMA) mais rien ne va se passer comme prévu. Les mois passent et les tests de grossesse de Catherine restent négatifs. Pour mettre toutes les chances de leur côté, Rebecca décide d'essayer à son tour. Elles étaient bien loin d'imaginer la tournure que tout cela allait prendre. Cet épisode a été tourné, monté et scénarisé par Catherine Lavoie. Clémence Reliat a fait la réalisation et le mix. Le générique a été composé par Novembre Ultra. Louise Hemmerlé était en charge de la production de cet épisode, accompagnée d'Elsa Berthault. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Si vous suivez les actualités sur les réseaux sociaux, vous êtes peut-être tombé récemment sur des vidéos et photos surprenantes, prises par des femmes avant et pendant leur grossesse. Sur TikTok, notamment, le hashtag #pregnancynose (littéralement « nez de grossesse ») connait son petit succès depuis le début de l'année 2023. Le principe est simple : il s'agit pour les femmes enceintes de comparer leur nez avant la grossesse et pendant la grossesse. Pour une petite partie d'entre elles, la différence est flagrante, et le nez semble avoir gonflé comme après un choc physique ou une opération chirurgicale.Pourtant, il n'est ici question ni d'agression ni de rhinoplastie. En effet, le nez de certaines femmes enceintes grossit provisoirement pendant les 9 mois durant lesquels elles portent la vie. Ce phénomène trouve son explication dans la dilatation des vaisseaux sanguins qui se produit pendant la grossesse, ou dans la rétention d'eau qui découle également de cette dernière.Les changements physiologiques qui peuvent expliquer le pregnancy noseDeux hypothèses principales permettent de tirer au clair les raisons pour lesquelles le nez d'une femme enceinte peut potentiellement augmenter de volume.La première résulte du bouleversement hormonal important et unique qui a lieu au cours des 9 mois de formation du fœtus, et permet au bébé de grandir et de naître en bonne santé. Parmi les hormones qui influencent les modifications corporelles de la femme enceinte, la progestérone et les œstrogènes jouent un rôle majeur. Elles vont favoriser la dilatation des vaisseaux sanguins, dans le but d'améliorer la circulation sanguine vers le fœtus pour lui apporter tous les nutriments et anticorps dont il a besoin. L'augmentation du volume sanguin en transit est parfois visible au niveau du nez, car les muqueuses y sont très chargées en capillaires. Le nez va alors gonfler sous l'effet de la dilatation des vaisseaux, et même prendre une couleur plus prononcée, rouge ou rosée.La deuxième hypothèse qui explique le pregnancy nose concerne la rétention d'eau. L'imprégnation hormonale par les œstrogènes peut entrainer la formation d'œdèmes, notamment au niveau des membres inférieurs. Les femmes enceintes ont alors les pieds et les jambes gonflés. Pour une petite part d'entre elles, d'autres tissus mous seront touchés, comme ceux du nez. La rétention d'eau dans le nez va amplifier le volume de celui-ci.Quelle que soit la raison de l'augmentation de taille du nez pendant la grossesse, l'organe se résorbe totalement après l'accouchement et retrouve sa taille originale lorsque les hormones s'équilibrent à nouveau... Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Si vous suivez les actualités sur les réseaux sociaux, vous êtes peut-être tombé récemment sur des vidéos et photos surprenantes, prises par des femmes avant et pendant leur grossesse. Sur TikTok, notamment, le hashtag #pregnancynose (littéralement « nez de grossesse ») connait son petit succès depuis le début de l'année 2023. Le principe est simple : il s'agit pour les femmes enceintes de comparer leur nez avant la grossesse et pendant la grossesse. Pour une petite partie d'entre elles, la différence est flagrante, et le nez semble avoir gonflé comme après un choc physique ou une opération chirurgicale. Pourtant, il n'est ici question ni d'agression ni de rhinoplastie. En effet, le nez de certaines femmes enceintes grossit provisoirement pendant les 9 mois durant lesquels elles portent la vie. Ce phénomène trouve son explication dans la dilatation des vaisseaux sanguins qui se produit pendant la grossesse, ou dans la rétention d'eau qui découle également de cette dernière. Les changements physiologiques qui peuvent expliquer le pregnancy nose Deux hypothèses principales permettent de tirer au clair les raisons pour lesquelles le nez d'une femme enceinte peut potentiellement augmenter de volume. La première résulte du bouleversement hormonal important et unique qui a lieu au cours des 9 mois de formation du fœtus, et permet au bébé de grandir et de naître en bonne santé. Parmi les hormones qui influencent les modifications corporelles de la femme enceinte, la progestérone et les œstrogènes jouent un rôle majeur. Elles vont favoriser la dilatation des vaisseaux sanguins, dans le but d'améliorer la circulation sanguine vers le fœtus pour lui apporter tous les nutriments et anticorps dont il a besoin. L'augmentation du volume sanguin en transit est parfois visible au niveau du nez, car les muqueuses y sont très chargées en capillaires. Le nez va alors gonfler sous l'effet de la dilatation des vaisseaux, et même prendre une couleur plus prononcée, rouge ou rosée. La deuxième hypothèse qui explique le pregnancy nose concerne la rétention d'eau. L'imprégnation hormonale par les œstrogènes peut entrainer la formation d'œdèmes, notamment au niveau des membres inférieurs. Les femmes enceintes ont alors les pieds et les jambes gonflés. Pour une petite part d'entre elles, d'autres tissus mous seront touchés, comme ceux du nez. La rétention d'eau dans le nez va amplifier le volume de celui-ci. Quelle que soit la raison de l'augmentation de taille du nez pendant la grossesse, l'organe se résorbe totalement après l'accouchement et retrouve sa taille originale lorsque les hormones s'équilibrent à nouveau... Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
durée : 00:04:37 - Sous les radars - par : Sébastien LAUGENIE - Selon les services d'immigration du pays d'Amérique latine, près de 10.500 Russes enceintes seraient arrivées dans le pays au cours de l'année écoulée. Pour demander la nationalité et échapper au conflit ukrainien
durée : 00:04:37 - Sous les radars - par : Sébastien LAUGENIE - Selon les services d'immigration du pays d'Amérique latine, près de 10.500 Russes enceintes seraient arrivées dans le pays au cours de l'année écoulée. Pour demander la nationalité et échapper au conflit ukrainien
REDIFF - Une grossesse c'est pas toujours le pied. Le corps de la future maman change, la peau de son ventre se distend, sa poitrine augmente. Mais une fois bébé arrivé, si tout se passe bien, avec un peu de sport et un léger régime, le corps retrouve son aspect d'avant... Enfin pas totalement. Non il se produit quelque chose d'aussi étonnant qu'irréversible. Et ça se passe au niveau des pieds ! Pendant la grossesse, ils peuvent gagner jusqu'à 1 cm, soit un peu plus d'une pointure ! Découvrez la page Facebook Officielle des "Grosses Têtes" : https://www.facebook.com/lesgrossestetesrtl/ Retrouvez vos "Grosses Têtes" sur Instagram : https://bit.ly/2hSBiAo Découvrez le compte Twitter Officiel des "Grosses Têtes" : https://bit.ly/2PXSkkz Toutes les vidéos des "Grosses Têtes" sont sur YouTube : https://bit.ly/2DdUyGg